Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Erwan Mc Laan

Pages: [1] 2
1
Le coin du chalant / ... Je me permets.
« le: vendredi 11 janvier 2013, 23:06:01 »



... Bonsoir mesdames et messieurs, je vous présente Erwan. Parisien de naissance et fils d'un gérant d'une boîte de strip-teases, il est venu s'installer au Japon pour en ouvrir une à son tour : "Pigalle". C'est un homme charmant. Cultivé, un peu froid, mystérieux, charmeur ... Bref. A vous de voir, vous pouvez allègrement lire mes anciens RP incluant Erwan pour vous faire une idée.



Quant aux trames ... J'ai quelques idées. Vous pouvez très bien être une future strip-teaseuse, qui cherche à se faire embaucher à "Pigalle". Ou encore une ancienne connaissance d'Erwan, pourquoi pas un(e) ancien(ne) petit(e) ami(e), ça pourrait être amusant. Pourquoi pas incarner une simple personne qu'il croisera, ici ou là, par pur hasard, en jouant la carte de la rencontre fortuite. Ou bien une petite curieuse qui se réfugie à "Pigalle" par erreur. Je ne cracherais pas sur un(e) charmant(e) adolescent(e), joueur ou joueuse. Il est envisageable, aussi, qu'il vous sauve la vie, étant après tout un parfait gentleman. Une romance, pourquoi pas, lors d'un voyage ?

... Tout est envisageable, je sais très bien m'adapter. Je vous laisse choisir.

2
Les alentours de la ville / Je veux tes trésors ... ( Alexia )
« le: mercredi 28 septembre 2011, 17:30:24 »


Son goût pour les œuvres d'art le tuerait, il le sentait. Ou le ruinerait, au moins ... Depuis quelques jours, le jeune homme passait des heures à oublier son travail de gérant, au profit d'une autre activité qui le passionnait davantage : l'acquisition d’œuvres rares. Il avait abandonné son studio pour un autre, bien plus vaste, et comptait le peupler de multiples choses. Il avait écumé les cabinets de curiosités de bien des cités, avait prit rendez-vous pour des achats parfois peu scrupuleux, avait joué de ses charmes pour obtenir certains tableaux, et ce depuis peu de temps. Quand il avait quelque chose en tête, impossible qu'il puisse s'en défaire ... Ses "filles" avaient appris à moins compter sur lui, tant il passait d'heures à chercher, recherche, trouver, s'approprier une bonne quantités de choses plus ou moins étranges.

Et un de ses collaborateurs l'avait mené sur une piste des plus intéressantes ... Une jeune femme, aussi secrète qu'inquiétante, qui prenait un plaisir malin à entreposer chez elle des objets anciens, mystérieux, et rares.

- Comment se nomme t'elle ?

La cigarette au bout des doigts, le téléphone à l'oreille, Erwan faisait des pieds et des mains pour espérer une entrevue avec cette femme. La voix, au bout du fil, mit un certain temps avant de répondre, simplement :

- Alexia. Elle s'appelle Alexia, si mes souvenirs sont bons ...

- J'espère pour toi qu'ils sont bons ... Je ne veux pas baser mes recherches sur la mémoire défaillante d'un camé abruti par une fille qui danse.

La voix toussa, et un petit rire se fit entendre.

- Toujours ce don pour me faire plaisir, toi, hein ? Tes danseuses sont fabuleuses, tu le sais ...

Erwan ne releva pas. Évidemment qu'elles étaient fabuleuses !

- Où puis-je la trouver ?


- Je t'envoie l'adresse plus tard, j'm'en souviens plus très bien ...

Erwan poussa un soupir exaspéré ... Se baser sur la mémoire de ce type n'était pas une de ses meilleures idées, pour ne pas dire la pire. Il raccrocha, et attrapa son manteau, prêt à quitter "Pigalle" afin de la laisser au main d'un de ses associés, un homme en qui il avait une entière confiance. Il salua une de ses danseuses d'un signe de la main, et quitta la boîte sans bruit. Une nouvelle cigarette fut allumée, tandis que son portable affichait un nouveau message. L'adresse y était ... Il n'y avait plus qu'à s'y rendre. Ce qui fut fait, d'ailleurs, en quelques minutes, après qu'il eut prié son collaborateur de l'avertir de son arrivée.

Quand il se retrouva devant la demeure de cette inconnue, il se contenta de sonner à la porte, aimablement, prêt à utiliser son sourire le plus aimable.

3
Les alentours de la ville / Un incident regrettable ... ( Pv )
« le: vendredi 08 juillet 2011, 16:18:40 »



C'était de la folie ... De la folie pure. Tout en écrasant entre ses doigts une cigarette achevée avec fracas, Erwan scrutait sa salle. Une salle immensément, terriblement, désespérément ... Vide. Il chercha frénétiquement une cigarette dans sa poche. Lukas - son adjoint, dirons-nous - ne l'avait tenu au courant de rien. Il l'avait laissé partir une semaine à Paris sans l'informer du déclin de sa boîte. Et Erwan se retrouvait à devoir recoller les pots cassés ... Ou à attraper celui qui était à l'origine de cette apocalypse et lui faire avaler ces pots cassés. Meilleure idée. Il tira sur la cigarette, savoura le tabac et la drogue qui attaquait petit à petit ses poumons, dégustant le danger qui rôdait à chaque bouffée volée, et salua une des danseuses. Les yeux sombres, Lily enfilait une robe printanière. Ce soir, pas de représentation. Erwan, le grand patron, devait profiter de cette soirée pour régler le problème.

Il s'approcha de Lily.

- Tu t'en vas ?

- Oh, je reviens, répondit-elle. Demain.

- Lily ...

Elle tourna la tête vers lui. Du haut de ses 20 ans, cette gamine avait le charme d'une geisha qui étourdissait le jeune homme chaque fois qu'il croisait son regard.

- Tu sais quelque chose, toi ?

- Oh, non ... Lukas, il fait tout, tout seul. Jamais il ne nous demande quelque chose. Jamais il ne nous parle de quelque chose.

- Mais ... Tu as dû entendre des choses, non ?

- Ouai'p. Une fois. L'a parlé d'un clodo, pas loin. Un vieux squatteur.

Erwan fronça les sourcils. Lukas s'était barré. Et il ne lui avait rien dit quant à cet SDF. Il offrit une cigarette à Lily.

- Et il est où, ce type ?

Elle mit la clope dans sa bouche, l'alluma en louchant un peu.

- Tu vois le pont, pas loin de la boîte ?

- Oui.

- Il loge là. Les mecs, quand ils rentrent ici, c'est la première chose qu'ils voient. Alors, ça les rebute. J'l'ai vu, ce type. Pour sûr, l'est beau. Mais il donne une image pitoyable de "Pigalle".

Erwan se leva prestement, et la jeune femme quitta la salle. Il se posa sur un fauteuil, bien décidé à agir. La cigarette entre les doigts, il se mit à penser, à réfléchir. Il n'y avait qu'un seul moyen de régler un problème : l'affronter. Il enfila un long manteau noir sur ses épaules, par-dessus sa chemise blanche immaculée et son pantalon d'une noirceur d'encre, et sortit de la boîte. Il se dirigea vers le pont, calmement.
Une silhouette, déjà, se dessinait, non loin de lui. Il tira une bouffée sur sa cigarette, cherchant le calme au plus profond du tabac embrasé, et prit appui d'une main sur le pont, prés de l'homme. Il le fixa sans parler, le dévisageant avec son regard argenté et puissamment étrange. Il le décortiquait comme il pouvait ...

S'il avait pû s'imaginer tomber sur pareil spectacle en revenant de Paris ...

- Belle soirée, n'est ce pas ?

Un ton presque moqueur ... Il voulait surtout signaler sa présence.


4
Les alentours de la ville / Tu ouvres le bal ... ( Qaalëm )
« le: mercredi 20 avril 2011, 21:05:58 »


... Et il était là, la tête appuyée contre son bureau. A contempler un médicament effervescent qui disparaissait dans l'eau. Les yeux légèrement vaporeux, le teint plus pâle que d'habitude, la bouche close, les cheveux coiffés impeccablement. Il battait des cils au même rythme que battait son cœur. A ce stade de la migraine, toute stabilité était nécessaire. Ses yeux quittèrent la contemplation du verre pour regarder l'heure. 19h52. Ce mal de tête avait exactement 8 minutes pour s'évaporer. Il cligna des yeux, la porte s'ouvrit bruyamment au même moment, provoquant un sursaut chez le jeune homme. Il battit à nouveau des cils, distinguant avec peine la créature qui venait d'entrer.
Rousse, cheveux bouclés, yeux bleus, taches de rousseur et tatouages. Un peu trop de maquillage. Il eut un sourire. Elle s'installa devant lui, les bras appuyés sur le bureau, tandis qu'il se relevait avec difficulté, sa main droite supportant sa tête qu'il sentait un peu trop lourde. Elle avait l'air heureuse, joyeuse ... Il sentit un sourire naître sur sa bouche, et se donna un air plus digne.

- C'est ton premier show, je me trompe ? demanda t'il d'un ton affectif.

- Oui, oui ... J'ai un peu peur.

Il baissa les yeux. Les releva vers elle.

- Que vas-tu porter
? continua t'il.

- Une robe rouge, noire. Je ressemble à un démon, on m'a dit.

Elle poussa un long soupir.

- Et toi, Erwan, tu vas porter quoi ?

- Smoking. Veste, pantalon, veston noir. Chemise blanche. Cravate noire, aussi.

- Tu devrais vite te changer. Dans 5 minutes, ça commence.

- Toi aussi, princesse. Tu ouvres le bal.

Elle détala en riant, et il but son verre rapidement. Il alluma un moment sa musique - Diagram of the Heart : Dead Famous - et retira la chemise qu'il portait depuis ce matin, se retrouvant en boxer dans son bureau. C'était inhabituel, ce genre de choses. Je suis bien mort, moi, ce soir. Il enfila rapidement sa tenue, face à un miroir qui trainait dans le coin de la pièce - cela faisait trois mois qu'Erwan était censé l'accrocher dans son appartement - et repensa à la conversation qu'il venait d'avoir. Il sourit. Habillée en démon ... Ce genre de croyances l'amusait beaucoup. Pour dire vrai, il s'agissait davantage pour lui de croyances populaires que de réelles déités. Mais il gardait ça pour lui. Tout le mysticisme autour des anges et démons restait quelque chose de fantasmagorique. Il adorait ça.
Il entendit à nouveau des rires, et regarda l'heure.19h59. Sa migraine disparaissait. Il accueillit cette nouvelle avec un sourire. Les gens commençaient à entrer, bruyants et chics, et Erwan les lorgna par la porte entrouverte. Son bureau se trouvait non loin de l'endroit où les filles de produisaient, et où la musique se diffusait.  Derrière une porte de ce bureau se trouvait un simple escalier, qui menait vers une chambre dissimulée à l'aspect insolite et élégant, où il dormait quand il jugeait peu nécessaire de faire le trajet jusqu'à son appartement. Une sorte de cachette secrète ...

Il s'alluma une cigarette, et sortit de son bureau, accueillant les arrivants avec un sourire, le cravate à demi-accrochée. Du bout de ses doigts bagués, il la remit en place avec soin.

5
Le parc et son sous-bois / Le destin, oui ! ( Lisbeth's RP)
« le: jeudi 24 février 2011, 22:43:09 »


" Qu'est ce que je fais là ? "

Il se massa les tempes, d'un geste vif. Et entendit, à ses côtés, celle qui l'accompagnait vomir violemment.

" Ah, je me souviens ... "

Il se releva, les yeux embués.

" Putain. "

Et il la regarda. Déjà, elle s'éloignait. Il détestait les adolescentes qui se croyaient capable d'ingurgiter de l'alcool pour venir le vomir ensuite. Et s'enfuir, sans demander son reste. Tout lui revint en tête ... Ah oui, cette soirée, cette jeune fille charmante ... Qu'il emmena dans sa voiture, avec des arrières-pensées qu'elle partageait, au vue de ce qu'elle lui disait ...
Juste qu'à ce qu'elle vomisse. Et qu'une migraine l'attrape, lui. Il mit ses mains dans ses poches, inspectant les environs. Boisés, tiens, ces fameux environs. Était-ce un parc ? Il fit quelques pas dans une direction, au hasard. Et entendit des bruits. Sourds.

Une autre jeune fille, tiens. Qu'il ne connaissait pas ... Que faisait-elle là ? Il se sentit brusquement l'âme d'un voyeur , et cessa toute activité. Quand quelque chose retint son attention. Deux hommes, un peu trop peu-commodes sur les bords. Un " Putain ... " s'échappa d'entre ses lèvres.
Ce genre de cons, il détestait. Il remarqua que, déjà, ils s'attaquaient à cette inconnue.  D'un geste vif, il sortit de sa poche ce-fabuleux-pistolet-qui-lance-des-décharges-électriques - dont il ne savait pas prononcer le nom, d'ailleurs - et avança d'un pas rapide, sans aucune discrétion, dans leur direction. L'un des deux - celui qui ne tenait pas la jeune fille par les poignets, le vit.

Chtounk, une décharge.

Le second la lâcha, justement, pour venir régler le compte de ce jeune inconnu-téméraire.

Chtounk, une décharge. Encore.

Il se massa à nouveau les tempes, relevant son visage vers elle, après avoir surveillé les deux corps inanimés sur le sol. Avec son long manteau noir, il devait effrayer, lui aussi.

- Je ne sais pas si ... C'est ça, le destin ...
essaya t'il d'argumenter.

Il se mordit la lèvre inférieure.

- Je suis ... ravi.

Un sourire furtif.

- Vous allez bien ?

6
Les alentours de la ville / Symptômatique ... ( Miya's RP )
« le: jeudi 24 février 2011, 22:07:56 »
... Un symptôme ? Erwan releva les yeux vers le charmant infirmier qui le dévisageait, qu'il se mit à détailler. Une alliance ... Dommage. Il baissa les yeux, passant sa main dans ses cheveux, un peu trop secs à son goût. Tssk, ça ne te ressemble pas, ça. Puis il les releva vers l'infirmier. Il toussa un peu, éclaircissant sa voix.

- Un ... symptôme ?

Il avait pris ce ton inquiet, là, qui ne lui ressemble pas. Et ce regard perdu , qui lui non plus ne lui ressemble pas. Jouer le rôle de jeune père quand une de ses "filles" tombait enceinte était devenu une habitude, depuis peu. Cela devait faire la ... Cinquième, oui, la cinquième ... Nom de dieu, le printemps est dans un mois, attendez un peu. Il soupira. Je me trouve bien français.. Il toussa à nouveau, serrant la main de la jeune fille, à côté de lui, qui regardait, les yeux brillants, l'infirmier.
Sûrement pas pour les mêmes raisons que lui, tiens. Il regarda le temps, dehors, un moment. Un vent fugace ... Il envisagea de se balader le long de la digue, un peu plus tard.

- Oui, Mlle Lind est ... enceinte. Réellement enceinte
, assura l'infirmier.

Il se retint de soupirer de fatigue, tachant d'afficher un sourire heureux. Faussement, heureux.

- Quel bonheur ! s'exclama t'il d'un ton un brin exagéré.

- Oh, Erwan, c'est merveilleux ! s'exclama t'elle.

Elle avait une larme sur la joue. Il sentit un soupçon de bonheur traverser son propre cœur - voir les gens auxquels il tenait heureux d'être et ivre de vie le touchait - et toussa à nouveau, serrant dans sa main celle de sa "compagne". Puis il annonça qu'il devait se retirer ... Il ne devait pas tarder. Sinon, il recommencerait à être nostalgique. Ce qu'il détestait le plus au moins, sans doute. Une nostalgie qui pouvait le pousser à rester allongé une journée entière, une bouteille de vin à la main.
Une épave, dirons les poètes.

Il la fit monter dans la voiture avec précaution, bien décidé à la ramener chez elle sans encombres.

- Erwan, je te remercie ...

- Hum ?


Il s'alluma une cigarette, par réflexe.

- Éteins ça, ordonna t'elle.

Il s'exécuta, sans mot dire.

- Je voulais te dire ...

- Que voulais-tu me dire ?


Il la regarda, curieux, les yeux presque brillants de curiosité.

- Tu devrais te remettre à écrire, Erwan.

Il rigola, amusé.

- Ah oui, vraiment ?

- J'ai lu un de tes ... textes. Celui avec Phédre ...

- Ah ... ?

- On dirait ... Rimbaud, tu sais, celui qui ...

- Je connais Rimbaud. Merci pour la comparaison ... Tiens, on est arrivé.


Elle descendis prestement, il la salua rapidement. Il n'aimait pas les cérémonials, et ignora même le baiser qu'elle lui lança, affectueuse. " Tu devrais te remettre à écrire ... " Il ne demandait que ça. Mais sur ce texte ... Il avait sa muse. Actuellement, il peinait à trouver des compagnies agréables, regrettant même d'avoir posé le pied sur le sol Japonais. Il s'alluma, cette fois, sa cigarette, et sortit de sa voiture, hâtif à l'idée de retrouver sa mer, celle qu'il chérissait tant.
Il n'avait pas envie de retourner dans ses appartements. Pas pour le moment. Trop de paperasses, d'inutilités ... Il avait une furieuse envie de déménager prés de cette mer. D'ici peu, je m'y mets ... Il tira une bouffée de sa cigarette. Il devait bien être 19h, maintenant.

Il l'ignorait. Il s'en fichait presque. Il fallait qu'il chasse cette effroyable nostalgie ... Il inspira une autre bouffée, qui faillit l'abattre sur place. Allez, Destin, montre-moi que tu as des tripes ... Offre moi une Ophélie, digne de celle de Millais ...

7
Le coin du chalant / Il paraît que c'est un péché ...
« le: mercredi 23 février 2011, 17:18:55 »
Je recherche à nouveau un Rp ... J'en ai déjà deux en cours de route, et un troisième ne me ferait pas de mal.

Je recherche homme comme femme.

Pour le lieu, je peux me déplacer n'importe où.

Trames éventuelles :


- Erwan Mc Laan devient votre concurrent, pour une raison ou pour une autre. Vous lui mettez des bâtons dans les roues, empêcher sa boîte ( "Pigalle" ) de continuer à vivre paisiblement ... Et j'en passe. La réaction du jeune homme ? Rencontrer son adversaire. Et advienne que pourra ...


- Vous cherchez du boulot en tant que danseuse / serveuse, et cherchez à le rencontrer.


- Rencontre fortuite dans un bar / un café / un lieu de votre choix ...


- Une nuit, alors que vous êtes poursuivi(e), vous cherchez refuge dans le premier endroit venu : "Pigalle", la boîte de strip-tease gérée par Erwan. Quel accueil vous réservera t'il ... ?


- ... Autre ?

Bref, proposez-vous, et nous trouverons des trames (;

8
Le quartier de la Toussaint / Show must go on ... ( Skull's Rp )
« le: dimanche 30 janvier 2011, 15:28:36 »

Il lui arrivait de rêver de son retour à Paris. Étrangement, c'était surtout quand il écoutait Queen. Show must go on devait être, de loin, sa favorite. Même si ce choix n'était pas marginal, son esprit s'attachait à ces paroles qui lui réchauffait bien plus que le cœur.
Il lui arrivait de rêver de son retour à Paris, aujourd'hui plus que jamais. Risquer de se faire poignarder par une Tekhane une fois, ce n'est pas affolant. Mais huit fois, c'est alarmant. Il faut croire que sa réputation ne devait pas frôler la pureté.

"Empty spaces - what are we living for ?
Abandoned places - I guess we know the score
On and on
Does anybody know what we are looking for ?
"

Étrangement, cela ne l'ébranlait pas plus que ça. Il avait si peu confiance en la vie et en sa population, que plus rien ne l'étonnait franchement. Les yeux rivés dans un vide sans nom, il attendait juste que le taxi daigne le déposer. La chanson atteignait sa fin. Il s'arrêta non loin du quartier de la Toussaint, ébouriffant ses cheveux encore trempés d'une plongée sous marine tortueuse et imprévue. Il lança quelques billets au chauffeur, les yeux cherchant le moindre support. Il ne se sentait pas au mieux de sa forme, torturé par quelques pensées. Pourquoi vouloir attenter à sa vie ? Il ne le savait pas, mais tentait de le deviner. Peut-être le prenait-on pour un de ces habituels tueurs ou violeurs de Tekhanes ... Sincèrement, ais-je ce profil ? ... Il fallait croire que oui.
Il s'alluma une cigarette. Un brouillard fin tombait sur la ville. Il tiqua ; il détestait cela. Cela l'inquiétait, de ne pas avoir conscience de ce qui l'entourait. Et il avait la sensation d'être dans un film américain de série B - pour lui, tout les films américains étaient de série B - . Il regarda autour de lui, cherchant quelque chose ... Mais quoi ?

Il n'en avait aucune idée.

" Ne tombe pas dans la paranoïa, ce serait ta première erreur ... "

Se murmura t'il. Il tira une longue bouffée sur sa cigarette. Il se sentait inquiet. Cela ne lui ressemblait pas tellement ... Mais quoi qui pouvait arriver, il ne devait pas se laisser déstabilisé. S'il était la proie de quelques idéologies un peu trop violentes, ou de suspicions fantasmatiques, il ne devait pas perdre la face, plutôt en rire. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il sentit un léger filet d'eau froide couler dans sa nuque, et frissonna. Pour seule réponse, il remonta le col de son manteau noir, et fit craquer ses gants en cuir. Il ne ressemblait pas tellement à quelqu'un de normal, dans cette tenue ; pantalon noir, chemise blanche, et long manteau entrouvert.
Il ne ressemblait pas à quelqu'un de fréquentable, en bref. Sa seule envie fut de rejoindre son appartement, pour regarder un Live de Queen, et se sentir un minimum en sécurité. Il n'avait pas son arme sur lui, et s'en sentait déstabilisé.  
Il s'engouffra dans une rue, d'un pas vif.

9


Erwan n'aimait pas ce genre de situations. Vous savez, ces enterrements fâcheux, qui ne tombent jamais au bon moment ... Les bras croisés, il attendait, sur son bureau, une cigarette coincée entre les dents, que minuit sonne, qu'il résonne. Qu'il fasse tout trembler, qu'il prenne une valeur symbolique aux yeux du jeune homme.
Il revenait d'un enterrement. Ou plutôt, de deux ... Deux sœurs jumelles qu'il avait, pour son plus grand bonheur, un jour prises à Pigalle. Talentueuses, sans tabous, et délicieux au moment de danser et d'en mettre plein les yeux. Il les considérait comme deux petites sœurs, avec leurs yeux pétillants, plein de malices, et leurs voix fondantes comme du miel. Il se souvenait qu'elles sentaient toujours l'eucalyptus, une huile de massage qu'elles utilisaient toujours à la fin de leurs spectacles. Enterrées dans la même tombe, désormais, un eucalyptus trônait au centre de leur nouvelle demeure. Il tapa du poing sur la table. Les objets tremblèrent, tout comme l'atmosphére, qu'il sentait pesante et froide. Une heure qu'il restait immobile, enchainant les cigarettes, guettant l'heure d'un regard tranchant, imaginant milles et unes malédictions, vengeances, et autres joyeusetés.
Tout lui revenait en mémoire.

Celui qu'il avait engagé, et qui avait en un éclair retrouvé qui leur avait fait cela. Celle qui l'avait guidée jusqu'aux pas de cette charmante tueuse aux yeux de folles. Et la dernière, qui lui avait offert sa bénédiction.
Une bonne sœur, trop naïve, lors de l'enterrement. Il se souvenait de ses paroles : " La vengeance n'est qu'inutilité. " Il lui avait décoché un regard si froid qu'elle avait dû se mordre la langue de parler ainsi.
On n'assassine pas les danseuses d'Erwan Mc Laan. Ainsi était les règles du jeu ; froides et dures, mais simples à suivre. Et une d'elle n'avait pas suivie ces règles.


L'horloge sonna, brusquement, un tendre minuit, qui résonna dans le salon vide. Il se leva, d'une traite, éteignit sa cigarette pour s'en rallumer une nouvelle, et attrapa son manteau. Il devait sortir, la trouver. Il savait où elle rôdait. Cela tombait bien, ce soir, c'était sa destination. D'un pas vif, il parcourut les rues de Seikusu, connaissant sa destination, et chacun de ses mots, de ses gestes. Il revoyait, sans cesse, le regard des deux sœurs. Il entendait leur voix. Sa seule certitude, était que tant qu'il n'aurait pas croisée cette tarée, il ne vivrait pas en paix.
Il ne savait pas ce qu'il voulait lui faire ; peut-être juste la voir, l'avoir, la faire plier, l'exécuter ... Il avait appris suffisamment de choses. Il était capable du pire. Mais toujours était-il qu'il ne savait pas ce qu'il ferait, face à elle, sinon une improvisation totale, vive. Il ne se sentait pas l'âme d'un tueur, plutôt celle d'un tortionnaire ... Mais encore fallait-il pouvoir faire plier une jeune ravagée qui prônait le meurtre. Il ne s'en savait même pas capable ... Il voulait juste la rencontrer.
Atypique. Certes, certes, incongru et insolite, même. Rencontrer celle qui venait d'abattre froidement deux vies. La connaître, la comprendre. Il était anxieux, curieux et haineux, en cet instant. Il se sentait légèrement instable. Et la nicotine qui attisait son esprit ne valait guère mieux ...
La vengeance était, sans doute, la pire chose à laquelle il pouvait donner vie. La haine qui le ravageait, surtout, enflammait ses veines. Habité par une obscure sensation d'incompréhension et de reproches, il ne pouvait que la trouver ... Chaque chose le guiderait sur les pas de cette tueuse. Devant laquelle il ne détournerait pas le regard.

10
Les alentours de la ville / Une simple annonce ... ( Clarissa's Rp )
« le: dimanche 23 janvier 2011, 14:06:52 »
"Recherche serveuse, pour "Pigalle".
Travaillant 3 jours par semaine ( lundi, mercredi, vendredi soir )
Bonne rémunération."


Une simple annonce, tout avait commencé avec une simple annonce. Griffonnée avec un stylo léger, et lancé sur internet. Il se doutait qu'il ne tarderait pas avoir une réponse, cela ne mettait jamais trop de temps à se faire. Généralement, quelques étudiantes en mal d'argent apparaissait au bout d'une heure, et répondaient présente à l'appel.
D'un geste de la main, il envoya voler sa cigarette dans un verre d'eau à moitié rempli, négligeant. Il lui fallait cette serveuse, d'ici ce soir. Pourquoi fallait-il que l'ancienne se soit barrée ? Il fouilla dans sa mémoire. Ah oui ... Elle était tombée amoureuse d'une des danseuses. Coeur brisé, donc porte claquée. Il détestait la nature humaine, ces temps-ci. Il regarda par la vitre, les flots agités par un vent de février peu calme, et soupira. Il détestait cet hiver vitreux et glauque. Aussitôt, il ferma les rideaux.

Bup !

Il détourna le regard vers l'ordinateur, qui venait d'émettre un son étrange - il fallait vraiment qu'il songe à changer cet ancêtre - et sourit.

" Je suis intéressée. Je vous done rendez-vous ici "

Suivi d'une adresse griffonnée. La faute de frappe de l'inconnue le charma, étrangement. Il relut le message, et regarda la photo qu'elle avait publiée d'elle. Pas de doutes, il la reconnaitrait.



Un quart d'heure aprés, il était au lieu de rendez-vous. La jeune femme en face de lui. Ils commandèrent des cafés, et il se rendit compte aussitôt que la faute de tout à l'heure n'était pas du à une mauvaise frappe. Elle était incapable de prononcer correctement, de construire des phrases correctes. Elle était étudiante, une allemande, qui venait apprendre à parler japonais. Aussitôt, il la rejeta, sous un simple argument

" Ce n'est pas possible. Apprenez à vous exprimer, et nous en reparlerons."

" Pardon ? "

" Je ne peux pas me permettre d'embaucher quelqu'un qui ne comprendrait qu'à moitié les commandes. "


Il était calme, et sentait qu'elle tempêtait.  Effectivement. Vivement, elle se leva, et le traita de tous les noms, dans un allemand violent - lui qui prenait ce langage pour quelque chose de symphonique se sentait dépassé - sans délicatesse. Elle lui sauta même dessus. Une passion haineuse ... Il la souleva et l'envoya sur le sol ... Cela commençait à devenir trop violent pour lui.
Il aurait aimé, sincérement, une quelconque aide extérieure. Cela devenait gênant pour lui, pour elle, et pour la personne qui gérait ce lieu. "Bienvenue au Japon " , ironisa t'il en encaissant une gifle. Il fallait qu'il immobilise cette furie, pour lui donner un pichenette sur les carotides. Elle se calmerait aussitôt, il le savait trés bien ... Mais seul, et assez épuisé, il ne pouvait pas faire ce qu'il voulait.

11
Le coin du chalant / Un certain appétit ...
« le: dimanche 23 janvier 2011, 12:40:21 »


Sujet : Une rencontre, ou un affrontement, mais qui ne se terminerait pas dans une marre de sang. Mais qui ne tournerait pas au hentai au bout de trois lignes.

But  : Rencontrer quelqu'un de ... différent. Qui change du tout au tout Erwan. Un défi ? Prenez-le comme vous le voulez ... En tout cas, quelqu'un de délicieux.

Lieu : N'importe où.

Pers. recherchée : Une femme, de préférence.

Idées de trames :

Si on fait comme prévu ( genre "rencontre du destin" )
Pour une raison ou pour une autre, il vous remarque, à une soirée, et ainsi commence la conversation.
Vous l'intriguez ( il vous trouve dans une situation étrange, ect ... )
Vous lui cherchez des noises, en pensant qu'il n'est qu'un petit homme d'affaire, et il se chargera de vous faire comprendre qu'il ne faut pas jouer à cela avec lui.

Si on fait pas comme prévu
( genre "hentai pur" )
Vous croisez Erwan, sortant de "Pigalle", et cela vous donne quelques idées / vous souhaitez être embauchée.


D'autres trames peuvent être données, je reste ouvert.

12
Le coin du chalant / Bref ...
« le: samedi 27 novembre 2010, 17:55:20 »


Allez, on se lance un sujet.
Disons qu'il sera hentai, oui. Avec une femme, de préférence.
Tendre, il faut voir ... Passionnel, j'aimerais bien. Mais avec une femme qui ne soit ni douce, ni fragile, surtout passionée.
Si j'ose dire.

Alors, mesdemoiselles - ou mesdames - serez-vous tentée ?

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Les alentours de la ville / Convenable ? ( Laylaa )
« le: dimanche 21 novembre 2010, 17:52:24 »


Enervé n'était pas le terme. Ce soir, Erwan n'était pas, à proprement parler, énervé. Il avait juste quelques soucis avec des clients trop prétentieux, et sans gêne. Pour un soir qu'il voulait paisible, cela n'était pas trés bien trouvé ... Il n'en pouvait plus, déjà. Sur ses doigts se trouvait du sang, dû à un coup de poing violent flanqué à un des clients. Qu'il avait assomé, avec comme seule phrase d'explication " On ne malméne pas mes filles. " Ici, on pouvait seulement regarder, et oser toucher - ou pire - une des danseuses menait à un entretien direct et franc.
Un beau coup, histoire de marquer le coup.
Avec le patron.
Erwan, donc.
Qui se chargeait, sans craintes ni regrets, de rappeler aux gens où ils étaient ; en l'occurence, chez lui, et ici, on respectait les régles de vie, sous peine de finir amoché.

Il était donc sorti, une cigarette entre les lèvres, les sourcils froncés par ces événements. Derrière lui se trouvait une des danseuses, qu'il ramenait gentiment chez elle. La pauvre n'avait pas eu une soirée facile ... Il ne tenait pas à ce qu'elle se remettre à danser aprés cela, il tenait trop à elle. C'était Elsa, une jeune danseuse chinoise, qui était sans doute sa favorite. Muette, elle utilisait le langage des signes pour parler. Attendrissante, Erwan l'avait prise sous son aile.
Il la fit grimper dans sa voiture, et la conduisit chez elle, lui embrassant le front avant de lui souhaiter une bonne nuit. Puis, il repartit. Ce genre de manége était arrivé plusieurs fois. Mais, cette fois, il ne voulait pas rentrer tout de suite à  " Pigalle ". Il s'arrêta dans la ville, quelque part, dans un lieu qu'il ne connaissait pas, face à une sorte de digue monumentale. Il avait terminé sa cigarette.

Il l'écrasa, du bout des doigts, prés à remonter dans sa voiture aprés cette petit pause.
Quand il entendit quelques pas dans sa direction. La soirée était sombre, il ne se sentait pas en sécurité. Il vérifia si son arme était toujours dans sa poche, prés à agir.

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Le coin du chalant / J'en serais ravi ...
« le: dimanche 21 novembre 2010, 17:33:22 »
Un homme, une femme ... Un Rp tendre, ou pas ... Mouvementé, ou paisible ... Je peux être trés polyvalent.

A vous de voir. A nous de voir.
En tout cas, j'attends avec impatience de voir ce que cela donnera ...

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Ville-Etat de Nexus / Paisible crépuscule ... [ Leiah's Rp ]
« le: lundi 01 novembre 2010, 23:06:57 »

Les affaires tournaient bien. Il n'y avait eu que peu de soucis à régler - drogue dissimulée dans les casiers, talon brisé sur scéne, trois alcooliques qui ne comprenaient pas qu'ici, il n'était pas question de prostitution - à Pigalle. Cette soirée-là, il la laissait à un autre. Un acolyte, qu'il appréciait énormément, qui avait un bon feeling avec les filles. Tout ne dépendait que d'elles ; si l'une d'elle avait dit qu'elle n'aimait pas cet homme, il aurait tout annulé. Mais ce n'était pas le cas, bien heureusement ... Même si l'acolyte en question était un gay de pure souche, il pouvait aussi mal se conduire envers quelqu'un ou quelqu'une. Avec l'expérience, Erwan avait appris la méfiance.
Il passa sa main sur son front, toujours aussi stoïque sur cette digue. Il se remmémora le moment où il les avait toutes embrassées sur le front, leur souhaitant bonne chance, et où il avait claqué la porte de Pigalle, afin de passer une soirée loin du tapage. Non pas qu'il dédaignait la musique - il avait son droit de veto dessus, aprés tout - mais il ne se sentait pas capable de supporter des tonalités qu'il connaissait par coeur. " Il faudra songer à se renouveler ", nota t'il intérieurement.


Ce soir-là était bien calme. Il ne s'en faisait pas. "Pigalle" allait bien, ses filles allaient bien, il allait bien, sa bibliothéque allait bien, Phédre allait bien ... Un sourire passa sur ses lèvres. Paris lui manquait, tout de même. Surtout la langue française. " Hum, pas de nostalgie, continue sur ta lancée ". Le Japon allait bien, son estomac allait bien, ses poumons - en y pensant, il s'alluma une cigarette - allaient bien, sa vie sentimentale - solitaire - allait bien, le reste allait bien ... Même si les françaises lui manquaient ... Il se sentait bien étrange, occidental au milieu de cette foule asiatique. Il en venait à regretter beaucoup de choses auxquelles il n'aurait pas dû songer.
Calmement, il continua sa marche, les yeux rivés vers un ciel ombragé. La nuit allait tomber, et il s'éloignait, le coeur serré, de sa chère "boîte". Il ne voulait pas songer au travail, il était venu pour marcher, manger un peu et se vider le crâne.
Autant que possible.

Mais cette ville surprenante lui avait apprise à se méfier, et à ne pas se fier aux apparences : une nuit à l'allure si calme n'annonçait rien qui serait dans cette optique. Il avait presque hâte de rejoindre sa demeure, un appartement non loin de là ... Sans se presser, il emprunta un de ces passages pour accéder à Terra, passage emprunté plus tôt pour embaucher une jeune Terranide disparue depuis - un esclavagiste, sans doute - , et arriva de plein pied sur Terra.
L'atmosphére n'était pas la même, il le sentait. Vivement, il continua sa marche, son long manteau noir lui donnant un aspect d'un étrangeté vampirique, et observa l'endroit. Rues, ruelles ... Un dédale , un labyrinthe.



- Je souhaite m'y perdre, sussura t'il en empruntant un passage, au hasard.


La nuit était belle, chaude. Le ciel, opaque. L'air, doux. Il marcha, à droite, puis gauche, tout droit, pourquoi pas ? Puis, dans un soupçon d'envie, les paupières presques closes, il tourna à droite.

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