Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Kuro Hime

Pages: [1]
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Dictature d'Ashnard / Les déesses jouent trop souvent [PV]
« le: mercredi 23 novembre 2011, 16:01:00 »
Une journée comme les autres. Torture d'esclaves, ventes de déchets, et surtout travail. Et encore travail. Même s'il était vrai que Kuro Hime aimait la douleur, et que c'était un fait connu de tous ; qu'elle brûlait les cadavres des esclaves, ou qui allaient bientôt mourir, qu'elle s'amusait comme une folle en usant de son pouvoir, et ainsi de suite, personne ne pouvait reprocher à la princesse de ne pas travailler. Car pour bosser... ELle bossait.

Ne faisant confiance à personne, c'était elle qui gérait tout ce qui entrait et sortait dans la cité de Thekos, et cela représentait une dose de boulot non négligeable. Courant à droite à gauche, signant des piles entières de papiers, alors que chaque feuille était lue avec attention. Quand on connaissait la tâche que la jeune femme effectuait, on se demandait si elle pouvait encore dormir, s'il y avait assez d'heures dans une journée pour lui permettre de tout faire. Et la réponse était oui. Il suffisait de travailler vite et bien, qu'elle disait toujours.

Et d'un coté, si elle demandait d'énorme sacrifices de ses employés, ceux-ci ne pouvaient dire du mal de leur patronne au niveau du boulot fait.  Personne n'aurait voulu prendre sa place. Mais pourtant elle pouvait encore dormir...  D'ailleurs c'est ce qu'elle fit à la fin de cette longue journée. Toujours pareil. Après une bonne douche, elle s'était rhabillée pour saluer quelques nobles qui passaient, et sa dernière destination de la soirée était son lit à baldaquin. Encore habillée, elle s'effondra dessus et elle s'endormit directement.

Cependant, au réveil, ce n'était plus vraiment ça. Oh que non. Oh, elle avait bien dormi, bien sûr, là n'était pas le problème -après tout, au prix où elle l'avait payé, heureusement qu'elle dormait bien !- mais non. Le problème était sur l'endroit où elle se trouvait. Ce n'était pas chez elle. Un monde chaotique. Un monde fermé. Du rouge,du noir. Elle était perdue. Au réveil, elle fut affolée. Elle ne comprenait plus rien après tout, puis elle se rappela l'action d'une déesse qui avait changé son environnement d'un coup en la téléportant.

Et merde.

Si une déesse venait remettre son nez dans ses affaires, cela risquait de mal se passer. Surtout que le monde où elle se trouvait était loin d'être accueillant ou porteur de promesse d'une possible résolution. Mais bon, ce n'était pas pour autant que la princesse noir devait s'affoler. D'ailleurs, elle était à nouveau calme.  Une déesse voulait jouer avec elle ? Et bien soit. Elle jouerait. Elle n'avait pas le choix de toutes façons. A qui serait la plus hypocrites, elle avait eu tellement l'occasion d'en observer autour d'elle, des personnes qui la complimentaient sur tout, et sur rien, juste pour ne pas se faire torturer, ou pour gagner une prime. Elle en avait tellement vu... Mais c'était la fin. Il n'y avait plus à s'en faire de ce coté. Elle obéirait aux règles pour se sortir de là. Puis elle recommencerait à faire ce qu'elle voudrait. Simplement. La déesse voulait jouer, La princesse relèverait le défi.

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Ville-Etat de Nexus / Une fête qui dérape [PV]
« le: vendredi 28 octobre 2011, 21:23:50 »
Une soirée. Cela faisait longtemps qu'elle n'en avait pas fait. Il fallait aussi dire que le passage d'une déesse chez elle l'avait calmée... pendant un temps, au moins. Mais maintenant, elle était à nouveau sereine sur tous ses actes. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Elle avait le pouvoir, elle était riche, elle était la princesse de ces lieux, Kuro Hime. Magnifique non ? Ce nom lui allait à merveille. Et maintenant que son sadisme naturel pouvait reprendre le dessus sans être menacé par une foutue déesse... C'était le paradis. Et pour fêter son retour à la liberté, elle avait organisé une grande fête. Majestueuse, c'était le mot. Les invitations de la princesse avaient été envoyées au plus de personne possible. Riches, bien sûr. Kuro Hime ne les connaissait pas tous, même si elle avait déjà eu l'occasion d'en rencontrer la plupart lors de divers évènements, mais elle s'en foutait. Ce soir, c'était son soir. Elle allait à nouveau briller.

La jeune démone -au sens figuré seulement- n'avait pas changé ses habitudes. Toute de noire vêtue, sa longue robe épousait ses formes alors que son corset enserrait ses hanches et rehaussait sa poitrine. Plus haut, sa peau d'albâtre était révélé par le décolleté offert, alors que les chaines en or blanc brillaient sous les flammes des lampes. Son collier de tissu portait toujours cette même tête de mort, signe de son pouvoir de vie... et de mort, sur tout ce qui entrait dans sa maison. Généralement elle ne l'usait que sur des esclaves, et c'est pourquoi la crainte n'était pas vraiment présente chez les riches, et pourtant... La coiffe noire sur ses cheveux peroxydés était en parfait accord avec la robe. Décidément, la princesse noire portait bien son nom.

Et la fait avait déjà commencée. Les invités ne cessaient d'arriver, et l'immense maison, manoir ou château selon le point de vue de la maîtresse de ces lieux pouvait facilement accueillir tout le monde. Lieu de débauche dans les moindres recoins. Lieu pour se montrer. Et celle qui brillait au milieu de tout cela, c'était la princesse. Posant ses mains sur des esclaves par pur plaisir, ceux-ci se mettaient directement à crier, leurs hurlements de souffrance couvrant un instant le capharnaüm qui régnait avant de s'éteindre. Ou bien dans des sanglots secoués, ou bien à jamais. Elle en avait déjà tué trois esclaves, des betes ignorantes jamais contents. Voilà ce qu'ils étaient. Mais elle se lassait des esclaves.

Surtout qu'une chose avait attiré son attention. Apparemment, c'était une invité, mes les habits que cette dernière portait étaient quelque peu singulier dans cette fête-là. L'invité en question était habillée comme une esclave, et faisait clairement tâche sur le tableau. On voulait gâcher sa fête en se dénotant ? Très bien, l'imprudente allait regretter son acte, Kuro Hime en était sûre. Une fois le nom de cette intruse, l'ordre donné pour le savoir avait rapidement été exécuté, elle s'avança vers cette femme, conquérante. Elle était sur son terrain, après tout, et maintenant allait commencer son jeu favori. La torture, encore et encore, mais d'abord, les formules de politesses... Joie. Et sa voix, plutôt grave, résonna assez fortement pour que, malgré le bruit environnant, la duchesse l'entende.

-Duchesse Fifine, je suis ravie que vous ayez pu venir à ma fête. Cependant, il y a quelques points que vous n'avez peut-être pas compris. Votre habit est inacceptable. Je vous demanderais de quitter la fête maintenant... Ou bien...

Elle fit un pas de plus pour se retrouver presque collée à la duchesse, un seul millimètre les séparant, et la princesse lui posa sa main sur son bras.

-Ou bien vous allez souffrir pour moi.


Dit-elle en souriant, alors qu'elle déclenchait en même temps son pouvoir, lui envoyant des salves de douleur. Derrière, et sur les cotés de Kuro Hime, se trouvait trois de ses gardes personnels. Jonas, celui qui pouvait distinguer la vérité du mensonge, et deux autres, un qui avait le pouvoir de soigner toutes les maladies et poisons qui existaient et qui se trouvaient dans un corps, et le troisième qui pouvait simplement envoyer quelqu'un voler d'une pichenette. Plus clairement son pouvoir était de mettre en lévitation quelqu'un, ensuite, l'envoyer balader était un jeu d'enfant.

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Place publique / Un changement [PV]
« le: jeudi 11 août 2011, 13:09:37 »
Après quelques épisodes plus ou moins troublant, surtout avec une déesse qui l'avait trainée dans la boue, et elle s'en était sortie grâce à ses mensonges, et son jeu de scène. Après tout, elle n'avait fait que cela de sa vie. Le meilleur moyen pour convaincre quelqu'un est de résister, puis peu à peu se laisser faire, doucement, pour le convaincre d'une pseudo soumission, et le faire se barrer le plus rapidement possible. Et c'est ce qu'il s'était passé. Le petit problème avec le Don avait aussi été plus ou moins rapidement réglé, selon elle. Elle avait gagné une superbe marque faite au fer chauffé à rouge, mais rapidement, elle avait regagné ses bureaux, et sa cruauté avait encore augmenté, et ses taxes, impôts, et autre qu'elle prélevait pour la gérance des flux de marchandise devenaient parfois, selon ses humeurs, disproportionnés.

Mais malgré tout, les râleurs n'avaient pas leur mots à dire. Grâce à elle, leurs marchés se portaient plutôt bien, et il n'y avait plus de fraude, ou si peu... De toutes façons, les quelques contestataires avaient été réduits au silence assez rapidement. Et chaque matin, elle faisait un tour des divers portes de la ville, avant de parcourir quelques rues pour finir dans la place publique. Elle vérifiait si ses gardes étaient correctement traités, et ne manquaient à rien. Si c'était le cas et qu'un faisait une bourde, il finissait généralement sa vie  en cachot, ou amputé d'un bras selon la faute et la gravité. Ceux qui réussissaient finissaient riche, assurément, au bout de deux ans de loyaux services irréprochables, tandis que les autres terminaient dans la bouse, à jamais rayé de tous services. Tel était la balance de tous ceux qui croisaient le regard de la princesse noire.

Et c'est accompagné de quatre gardes du corps que La princesse avait son tour, ce matin, amusée, elle avait déjà tué deux hommes et une enfant qui avaient osés se mettre sur son passage, roués de coups. Aucune pitié, elle ne faisait aucune différence selon l'âge, le sexe. Elle se retenait seulement si son œil était attiré par la personne, sinon, elle en faisait ce qu'elle voulait. Les autres passants s'écartaient prestement, et c'est ainsi, toujours habillée de noire, de la tête au pied, une ombrelle à la main, qu'elle marchait d'un air supérieur parmi les badauds. Et enfin, elle arriva jusqu'à sa destination finale, la place publique. Son terrain de jeu, de chasse, son amusement favori. Là où elle pouvait faire chier le Don, là où elle n'avait pas tout son pouvoir habituel, mais que si on la faisait chier, elle pouvait quand même l'appliquer.

Et voilà qu'elle se dirigeait vers un stand d'esclave, et qu'elle raflait le tout, pour un prix exorbitant. Et un autre stand qu'elle raflait à nouveau tout, gratuitement, usant de son pouvoir de persuasion et de son influence. Le pouvoir corrompu, c'était vraiment une chose magnifique. Et en user, c'était ... jouissif.

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C'était magnifique, tant de pouvoir, réuni en une main. La princesse du manoir pensait avoir le droit de vie ou de mort sur ceux dont elle avait acheté les services. C'était déjà un privilège de la servir, puisque ça assurait à qui en ressortait vivant, les honneurs, une vie pleine de richesses, et plus encore. Le tri au départ été horriblement strict, mais c'était pourtant un paradis par rapport à ce qui les attendait à l'intérieur du manoir. Heureusement que l'appat du gain à la sortie était le plus fort, car sinon, personne n'aurait jamais voulu la servir, sauf quelques rares élus.

Mais tout cela se passait bien, pas de mort, quelques souffrances, mais rien de plus... quand elle était de bonne humeur. Et ce n'était pas vraiment le cas. Non seulement, elle s'était réveillée à cause d'une crampe au mollet droit, ce qui l'avait particulièrement énervée, mais en plus, celle qui lui apportait sa robe était tombée malade. Le médecin du manoir jugeant son état trop alarmant l'avait consignée chez elle. Foutu médecins, foutu esclaves. S'habiller seule ? Certes c'était une bonne possibilité, assez simple à faire. Elle aimait se faire servir, certes, mais de là à ne pas savoir s'habiller seul, non ! Tout cela pour dire qu'elle pensait plutôt s'amuser à se défouler sur quelques esclaves qui la serviraient.

C'est donc avec sa robe de nuit, noire, avec un peu de dentelles sur les extrémités, bras, cou et près des chevilles, qu'elle descendit les marches pour aller vers sa salle à manger. Réclamant son petit déjeuner habituel, elle regarda quelques esclaves alignés contre le mur, sans entrave, mais toutes tremblantes de recevoir la colère matinale de la maîtresse de maison, et en fit venir une près d'elle. Jeune, humaine, elle avait été abandonnée par ses parents, et gracieusement, elle avait été recueillie.

La laissant lui masser les pieds pendant qu'elle mangeait, la petite imbécile eut l'audace de toucher sa cheville. Quelle effrontée. Prenant son élan avec son autre jambe, son propre pied, nu alla s'écraser contre le visage de la pauvre. Puis, s'agenouillant près d'elle, quittant donc la table, elle posa une main sur son ventre. Et le tout commença. La petite commença à se trémousser, pleurant, voulant échapper à la poigne de la princesse, en vain. Puis les cris commencèrent, déchirant, horrible, et pourtant la dame d'ébène comme on l'appelait parfois souriait d'un air paisible et cruel.

Puis enfin le silence. La pauvre était morte, dans la douleur. Lui donnant un dernier coup de pied comme à un jouet cassé, elle prit son assiette pour se débarasser de sa nourriture sur ce corps, à cause d'elle, son envie de manger avait disparue, une bonne à rien jusqu'au bout finalement. Et elle ordonna aux autres d'aller bruler le cadavre dégoulinant de sauce à viande.

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Prélude / Kuro Hime [Valibreizh]
« le: dimanche 22 août 2010, 23:25:14 »
Nom/Prenom/Surnom : Elle n'a plus de nom ni de prénom. Seul son surnom subsiste à travers le temps, et sur son passage la princesse noire : Kuro Hime.

Age : Elle a laissé dix huit ans de souffrance derrière elle.

Sexe : Femelle

Race : Esper

Orientation sexuelle: Bisexuelle.

Description physique : "Petite princesse, tu es petite et toute maigre, n'as tu pas honte ?" Cette question lui a été posée tant de fois qu'elle a faillit se graver dans son esprit irréversiblement. Pourtant, quand elle se regardait, elle n'avait pas l'air si petite que ça, et quant à sa maigreur, celle ci non plus n'était pas vraiment remarquable. Maintenant qu'elle avait atteinte sa taille définitive, cette phrase avait malgré tout, encore lieu d'être, mais à part les servante et serviteurs qui la servent, plus personne n'est là pour lui dire. En effet, sans ses talons haut, elle ne fait qu'un petit mètre soixante, sûrement moins. Son poids, quand à lui, est de quarante-quatre kilos. Préférant écouter les cris des gens, leur plaintes, et de s'amuser comme elle le pouvait avec tous ces jouets, plus ou moins vivant, manger n'était pas vraiment sa principale préoccupation.

Heureusement, cette maigreur ne se voit pas sur son doux visage. Visage humain aux yeux d'un bleu glacial, elle possède un regard éternellement triste, comme cherchant toujours sa mélodie parfaite. Ses yeux captivants se couvrent de colère quand quelque chose ne se passe pas exactement comme elle le veut. Ce qui arrive relativement souvent. Ses lèvres, bien dessinées, paraissent de porcelaine. Si elles se couvrent d'un sourire, craignez la, car ce n'est pas d'une joie infantile qu'elle sourit, mais c'est qu'elle réfléchit au souffrances qu'elle pourra vous imposer. Ce sourire cruel n'annonce jamais de bonnes choses pour son interlocuteur. Son nez pointe gentiment, ni trop long, ni trop bas, parfait. Ce beau visage, donc, est encadré par deux couettes blanches. Ses cheveux, étrangement, sont blancs. Pourtant, aucune maladie ni teintures ne sont venus altéré leur couleur d'origine. Elle est née ainsi, et mourra sûrement ainsi aussi.

Sur ces cheveux, elle porte toujours une espèce de "coiffe de Maid" noire, avec une rose rouge-sang à gauche. Comme boucles d'oreilles, une croix représentant non pas son amour pour Dieu, mais ça haine, lui suffit. Son collier surmonté d'une petite tête de mort semblant vous sourire enserre son maigre cou, qui semble pouvoir se briser si facilement... De ce collier, des chaines partent de chaque coté pour finir leur courses à l'arrière du du collier, une troisième descend tout droit entre sa poitrine, pour finir caché sous ses vêtements, personne ne sait ce qu'il y a au bout.

Ses vêtements, justement, parlons en ! Sa garde robe n'est composé uniquement d'une dizaine de même robes noires, ainsi que de corsets pour emprisonner ce corps gracile. Même si la robe parait compliquée et décalée par rapport à son temps, quelque soit l'époque, Hime la portera, faisant fit des regards qui se porteront sur elle. Fière, pour compléter ce tableau, et pour garder sa peau à l'ombre, il est rare qu'elle parte sans son ombrelle noire. Son surnom de princesse noire n'est pas dut à la couleur de sa peau, d'un blanc laiteux, mais plutôt à ses vêtements.

Caractère :
La jeune princesse paraît très gentille, peut être l'était-elle à sa naissance, innocente comme tous les nouveaux nés... Même quand elle s'approche de vous, aucune once de méchanceté ou de cruauté ne sortira de sa petite personne. Toujours précise, elle ne laisse que peu de chose au hasard, chose qu'elle exècre vraiment. Toutes les choses doivent se passer comme elle l'a prévue. Rien n'est plus embêtant de se faire contredire alors qu'on sait qu'on a raison, non ?

C'est dans ces moments là que la personnalité de cette âme noire se dévoile. Pour elle, en fait, les autres personnes ne sont que des choses, des objets, des jouets. Une personne dans la rue sur son chemin se fera, par exemple, bousculée par deux gardes du corps de la princesse. Rien n'est plus énervant que de se voir changer de chemin à cause d'une saleté de personne. Les personnes qui l'entourent sont des ustensiles. Et en tant que tels, ils doivent être utilisé à sa manière. Même si chaque objet a, au départ, une raison d'exister qui lui est propre, seul celui qui le manie décide du but de l'objet.

Ce principe, elle l'applique. Bien sûr, elle est celle qui manie les objets, et tout ceux qu'elle croise doivent lui obéir, quelque soit l'ordre. C'est ainsi que vont les choses, et elle ne compte pas changer de principe avant longtemps. Moralement, elle n'a aucun remord. Elle ne fait pas la différence entre une mort de plus ou de moins, et une vie de plus ou de moins. S'amuser, torturer, et détruire, c'est tout ce qui compte.

Enfin, si elle devait donner son amour à quelqu'un ou quelque chose, ce serait sûrement à ses deux plus fidèles serviteurs : l'argent et son ombrelle. Cette phrase résume tout aussi bien son état d'esprit, pour le moment.

Histoire :
Pour comprendre l'histoire de cette pauvre jeune femme, il faut d'abord remonter à celle de ses parents, humains vivant sur terre. Pourtant leur fille n'est pas née sur terre... Mais bon, revenons à ce qui nous intéresse, l'avant de sa naissance.

Ses parents, ne se sont connus que très peu de temps avant sa naissance. Ils était dans deux entreprises concurrentes, qui, à l'époque était vraiment bien cotée. Les prises de bec, les coups bas, et les engueulades étaient le quotidien entre les deux entreprises. Racheter les parts du marché avant l'autre, à un meilleur prix, juste pour embêter son concurrent était journalier, à l'époque. Les deux directeurs de chaque agence ne s'était jamais vu, ils prenaient les décisions, et les centaines, ou les milliers, d'employés s'empressaient de les exécuter. Mais ceux -ci n'avaient pas la moindre marge de manœuvre. Ceux qui dirigeaient étaient bel et bien les directeurs, seul eux avaient une vue d'ensemble.

Leur rencontre, vous devez vous en douter, ne se fit pas en douceur. Et ce n'était même pas en tant que directeur et directrices qu'ils se heurtèrent dans la rue. Sortant de leur manoirs respectifs, ils avaient décidé de ne pas prendre leur voiture, et leur rencontre se fit brutale. L'un rencontra l'autre, et les deux personnes tombèrent à terre. Rigolant chacun de leur coté, en maugréant que pour une fois qu'ils ne prenaient pas la voiture, cela leur arrivait, ils n'étaient vraiment pas chanceux. Se reprenant en même temps, leur paroles se mêlèrent et c'est à l'unisson qu'ils engueulèrent leur adversaire. Ce fut le début d'un amour enflammé qui continua de longs mois.

Ils se marièrent le lendemain, se moquant des journalistes, et de leurs employés. Si quelques choses les ennuyaient, ils pourraient très bien le faire disparaitre facilement, alors pourquoi s'en soucier ? Et Kuro Hime naquit 10 mois après. Mais pas à l'endroit où elle aurait du naitre. Elle ne sait pourquoi, ni comment, mais ses parents avaient changé de monde. De la terre, ils étaient aller sur Terra. Ayant auparavant pris soin d'acheter avec leur immense fortune tout l'or qu'ils pouvaient, pensant que les billets n'étaient que de simple bout de papier sur l'autre terre.

Apparemment, ils étaient au courant sur ce monde, et même plutôt bien informés. Mais malheureusement, personne n'a eu le temps de leur demander ce qu'ils savaient, et comment. Peu après la naissance de leur petite princesse, ils moururent, tous les deux. Suicide, ou meurtre, le résultat était le même, et leur secret passait dans l'autre monde, avec eux. Heureusement, des précautions avaient été prises, et la fortune plus que colossale apportée par ses géniteurs, lui était revenu toute entière. Son éducation était assurée par des tuteurs, et tout ce qui était course, ménage, et autres taches étaient assurées par une armée de serviteur.

Mais ce surplus de bien finit pas faire croire à la jeune princesse que tous lui appartenait. Tout ceux qui l'entouraient, ayant reçu l'ordre de lui obéir quel que soit les demandes de la petites n'arrangeaient rien. Ce sentiment de force et de supériorité augmentait chaque jour que la petite passait à vivre en plus.  La souffrance l'amusèrent rapidement, les cris et les plaintes ne devenaient que sa seule source de vie, le pourquoi elle continuait à vivre seule.

Son pouvoir aussi étrange qu'il soit fut utilisé au départ inconsciemment. Au début, les douleurs infligées par ce pouvoir mystérieux était bénignes, des chatouilles, sur des animaux dont les membres avaient été cassés auparavant pour qu'ils ne s'enfuient pas. Mais après, plus tard, c'était la douleur qu'elle leur infligeait qui les clouaient sur place... Sa vie a continué ainsi. Jouant sur sa fortune, les douleurs des autres, et son seul amusement. Rapidement, elle prit le surnom de Kuro Hime, la princesse noire.

Situation de départ : Elle sait s'amuser.

Autres : Son pouvoir est un poil compliqué. Il s'agit de connecter les deux cerveaux, de la cible visée et le sien. Non pas comme on pourrait s'en douter, lire dans les penser, trouver ce que cache, ou se cache, la cible, mais pour faire un infliger une douleur, ou en soigner une. Par le biais de cette connexion, elle peut faire croire au cerveau qu'un bras est amputé, que tout le corps est torturé, et ainsi de suite. Si elle ce sert beaucoup de ce pouvoir de cette façon, il existe une autre façon de l'utiliser, qu'elle n'a que peu exercée jusqu'à présent. Elle peut soigner le corps. Et cela, quelque soit la taille, ou profondeur de la blessure.
Si ce pouvoir est très puissant, il est assez difficile à mettre en place, puisqu'il faut que la cible soit immobile, ou du moins que le contact entre la paume de la princesse et le corps de la personne visée soient en contact toute la durée du "traitement".

Comment avez vous connu le forum: Par internet.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Je ne vois pas, peut être le bouche à oreille, si je vois quelqu'un ! ^^

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