Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Physalis

Pages: [1] 2 3
1

La Satyre lève vers le héros un regard faussement coupable quand celui-ci lui reproche la "maladresse" avec laquelle elle aura mangé. Elle se dandine, d'un sabot sur l'autre dans un jeu faussement candide.

- Pardon. Je peux être si maladroite quand je m'y met.

Elle porte sur les doigts de l'homme un dernier coup de langue faussement contrit avant que celui-ci réagisse de la manière espérée. Le jus sucré qui avait ruisselé sur la peau de la Satyre était une invitation, le héros l'avait bien compris. L'empressement qu'il met à répondre à l'appel fait légèrement rire puis bientôt soupirer d'envie la créature divine.

Elle se cambre en arrière et ferme les yeux, s'abandonne à la sensation de la langue de son amant qui léché avec appétit chaque goutte de jus qui perle sur son corps.  Flattée, d'être ainsi révérée par le "fidèle", la belle soupire, gémit parfois quand la langue vient chercher son dû sur une zone plus sensible. Il n'est pas difficile de déceler à quel point les gestes de Vittorio excitent la divine créature. Ses yeux se font brillants, son souffle se raccourcit, rythmé par les battements de son cœur qui s'accélèrent à leur tour. Ses lèvres se gonflent légèrement, témoignant de la tension qui monte en elle, tandis que le rose lui monte aux joues. Ses seins se durcissent, pointant fièrement vers le ciel, tandis que son ventre se contracte, comme si elle était sur le point de s'envoler.

La suite que Vittorio propose de donner fait frissonner la Créature qui se redresse sur ses sabots et vient chercher un baiser sucré aux lèvres de l'homme. Elle peut sentir l'odeur musquée de son parfum, mêlée à celle de la forêt environnante. Son cœur bat la chamade alors qu'elle l'embrasse, posant ses lèvres sur les siennes avec un appétit dévorant.

Elle laisse sa langue glisser entre ses lèvres pour explorer sa bouche, s'enivrant du goût sucré de son souffle. Leurs langues se mêlent en une danse sensuelle, alors qu'elle se blottit contre lui, savourant chaque instant de cet échange de baisers. Ses mains s'entrelacent dans les cheveux de l'amant, tandis qu'il la serre contre lui et que les mains se font peut être baladeuses.

Quand leurs lèvres se séparent, elle reste proche de lui, souffle court, les yeux levés vers les siens. On peut deviner l'étincelle de désir qui brille dans ses yeux, comme le reflet de celle qui anime peut-être le regard de l'homme.

- Je t'en prie, ne t'arrête pas.

Elle se recule a pas prudents, elle entraine l'homme avec elle. Elle cherche à le caresser, toucher sa peau, maintenir le contact avec le corps désiré. Jusqu'à ce que son dos touche l'autel de pierre qui trône au centre du sanctuaire. Elle s'y hisse à reculons, s'asseyant sans pudeur sur la pierre nue et écartant quelques uns des paniers et bols d'offrande. Beaucoup de divinités auraient été outragées de voir un de leur lieu consacré sur le point de servir de support pour les ébats enflammés de deux impudents presque-mortels. Mais l'entité tutélaire des lieux n'est pas le genre à s'en offusquer, bien au contraire. Voir la belle cornue se renverser sur la table de pierre, écarter les cuisses pour laisser avec impudeur son amant disposer d'elle selon son gré est probablement au goût de cette dernière.

Aucune foudre divine ne les frappe. Aucun grondement, aucune colère, aucune malédiction. Seule une brise printanière chargée d'odeurs de fleurs et de fruits est portée à leurs nez. Physalis lui répond, un sourire joueur et provocateur aux lèvres.

- Viens. Montres moi comment tu honores les dieux.

Et elle souffle plus bas ...

- Et puis après ce sera mon tour ... si tu le mérite.

La phrase aurait pu être prononcée avec supériorité et arrogance. Mais non, l'intonation de la belle et celle du jeu. Il semble manifeste que l'hypothèse d'être déçue et devoir infliger des rétorsions au mortel ne semble pas l'effleurer. Après tout, ne vient t'il pas déjà de la sauver d'un destin peu enviable et faire d'elle sa débitrice ?



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Les contrées du Chaos / Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]
« le: mardi 25 avril 2023, 14:53:41 »
Encore une fois, la chevrette accueille la brutalité de son partenaire avec ravissement. Elle laisse les mains autoritaires de l'homme se refermer sur ses cornes et lève vers lui un regard brillant accompagné d'un sourire lorsque très brièvement elle retire le membre viril de sa bouche. Il n'y a pas besoin de mots pour que les deux partenaires se comprennent. Une main toujours serrée autour de la base du vit, elle se penche pour en lécher la hampe, de la base jusqu'au bout du gland. Plusieurs fois de suite. Puis elle s'abandonne à la force du guerrier à qui elle laisse le soin de la guider. Fermant les yeux, elle se laisse mener et prend de nouveau le membre en bouche. Le rythme des va-et-vient de sa tête s'accompagne de bruits de succions auxquels se mélangent des gémissements d'aise. Excitée, la Satyre laisse une de ses mains glisser jusqu'à son entrecuisse trempée où ses doigts commencent à œuvrer, massant le mont de vénus et le trésor caché qui s'y dissimule

Le rythme s'accélère. Encore, encore et encore, sous les directives impérieuses du guerrier. Et les gémissements étouffés de la belle suivent, s'amplifient. Jusqu'à soudain s'interrompre quand le guerrier se retire de la bouche qu'il baisait avec vigueur. La Satyre saisit immédiatement ce qui se passe, elle se redresse, bouche ouverte et langue tirée, seins tenus en coupe pour recueillir le fruit de la jouissance de son amant.  Les longs jets blancs l'éclaboussent. Elle était prête à les recevoir. Si la majorité finit dans sa bouche et sont avalés avec avidité, d'autres se perdent sur son visage, ses épaules, son cou et finissent par descendre en trainées blanches jusqu'à ses seins.

La Satyre encore essoufflée lève un sourire triomphant vers le sorceleur mais celui-ci ne lui laisse aucun répits. La voilà bientôt basculée sur le dos, pattes tenues en l'air par la poigne d'acier de l'homme. Souffle court, cheveux en bataille répandus autour de sa tête, la peau de la belle qui n'a pas été éclaboussée de foutre est à présent recouverte de sueur.

Et pourtant, elle ne semble pas vaincue. Voir son amant se redresser dans une posture conquérante, prêt à la dominer de nouveau de sa stature et s'enfoncer en elle allume une braise au fond de son regard.

- Oui ... oui ! Vas-y ! Prends-moi, encore ! Donnes-moi tout !

Une invitation superflue pour le Sorceleur qui abat le poids de son corps sur elle. Son membre n'a aucune peine à glisser en elle, tant elle était excitée et prête à le recevoir.

Déjà amenée au bord de la jouissance par le brutal traitement qui vient de lui être imposé, il ne faut qu'une poignée de coups de reins supplémentaire pour que la créature explose en un orgasme puissant. Son corps frêle est saisi de spasmes alors qu'elle s'époumone et vocalise sans retenue son plaisir, faisant retentir ses cris bien au delà de la paisible clairière dans laquelle le moulin se dresse. Qui remarquera que autour des rives, boutons d'ors, coquelicots et marguerites éclosent au même moment ? Que les bourgeons des arbres s'ouvrent soudainement et que des feuilles nouvelles commencent à recouvrir les branches qui étaient nues il y a quelques instants encore ... ?

Certainement pas les deux amants en tout cas, bien trop absorbés par le moment présent. Corps arqué en arrière, à la fois soutenue et écrasée par la force du surhomme en train de prendre son plaisir avec elle, la Satyre jouit sans discontinuer pendant une longue minute au moins. Un exploit qui la laisse vide, essoufflée,  tremblante. Elle est comme une poupée de chiffons entre les mains de l'homme à qui elle se donne.

Est-ce que lui il en a fini ? Probablement pas, non ! Le nouveau round vient à peine de démarrer pour lui. Epaules rivées sur le lit défait, bassin tenu à la verticale par les bras de Gerd, la Satyre empoigne doucement ses seins et se met à les caresser. Elle lève vers son amant un regard brillant . Un regard qui veut dire "Continue. Fais de moi ce que tu veux".

3
Le métro et la gare / Re : Never sleeping city [ Koda - Physalis ]
« le: mardi 25 avril 2023, 13:31:35 »
D'humeur joueuse, la satyre laisse ses mains baladeuses œuvrer pendant que son amant du soir s'évertue à ouvrir la porte. Ses doigts laissent trainer des caresses douces ou appuyées, selon le gré de ses envies, ici et là. Les fesses du jeune éphèbe reçoivent son attention pendant que celui-ci est penché, de même que sa poitrine, un instant plus tard. Elle passe la main le long d'une de ses cuisses et effleure à peine l'entrejambe du jeune pervers.

Quand enfin l'huis s'ouvre, elle s'exclame.

- Enfin !

Elle pénêtre le tout petit habitat, laissant une main trainante caresser la joue de Koda avant de s'arrêter au milieu de cet espace modeste mais ... bien suffisant pour ce qu'elle a en tête ! Son regard curieux parcours les bibelots exposés, s'arrêtant parfois sur des choses humaines qu'elle peut imaginer incongrues. Comme ces figurines représentants des jeunes lycéennes en tenues très affriolantes. Elle saisit une des statuettes et demande, d'un ton amusé.

- Tu rends un culte à ces jeunes femmes peu vêtues ?  Tu en as beaucoup.

Elle repose la statuette de la "divinité" inconnue et se retourne vers le maître des lieux. Elle penche la tête de côté, un sourire au coin des lèvres. Et alors qu'il lui demande où ils en étaient, elle se contente de lentement écarter les bretelles de sa robe. La gravité faisant le reste, le vêtement finit par glisser jusqu'au sol. Elle lève un sabot, puis l'autre pour définitivement se débarasser du vêtement.

Privée au préalable de sa culotte, il ne lui reste ainsi que sa paire de jarretière noire qui recouvrent ses jambes peu-humaines quand on les étudie dans le détail. Avec un plaisir pervers, elle s'amuse à caresser son corps, offrant au regard du jeune Koda un spectacle propre à l'émoustiller. Elle finit par tenir ses seins en coupe, alors qu'elle répond avec une provocation évidente dans la voix.

- Il me semble que tu avais l'intention de me "baiser jusqu'à l'os". C'est toujours le plan ... ?

Elle descend le main de long corps, emet un soupir alors qu'un de ses doigts plonge dans sa fente délicate.

- Regardes dans quel état tu m'as mise, je suis trempée.

4
Le métro et la gare / Re : Never sleeping city [ Koda - Physalis ]
« le: mercredi 08 mars 2023, 16:06:48 »
Les choses s'enchainent donc. Jusqu'à ce que les deux complices de jeux grivois se retrouvent dans cette entrée d'immeuble où une fois encore les préliminaires se poursuivent. Physalis rend le baiser avec fougue. Ses mains à elle non plus ne sont pas en reste d'ailleurs ! Les doigts baladeurs s'immiscent dans le short du jeune éphèbe et viennent frôler sa virilité éveillée.  Les questions du jeune homme ainsi que l'attitude dominatrice la font glousser de rire. Le plumage délicat petit oisillon cachait finalement un animal bien moins innocent qu'il n'y paraissait.

Mais avant que Koda n'ait pu terminer sa phrase et qu'elle n'ait eu le temps de répondre, une porte s'ouvre. Et une femme épouvantée en jaillit. Elle vient interrompre les deux tourtereaux dans leurs ébats. La Satyre semble t'elle  fondamentalement dérangée ? Pas vraiment. Elle accueille d'un franc sourire la gardienne d'immeuble.

- Bonsoir !

Lancé avec entrain pendant que sans beaucoup de honte, elle rajuste une fois encore ses vêtements. Elle écoute la réponse du jeune homme, amusée par le mélange de politesse et d'impertinence qu'il emploie. Il lui tend la perche avec l'intention d'encore une fois provoquer leur interlocutrice ... ? Pourquoi pas. Si ca peut faire plaisir au jeune homme et flatter un peu son ego, pourquoi lui refuserait t'elle ? Ce ne sera pas elle qui en paiera les conséquences de toutes façons !

- Je m'appelle Physalis, enchantée ! J'ai rencontré ce jeune homme cette nuit. Il a mis sa main sous ma jupe, m'a pris ma culotte et m'a promis de "me baiser jusqu'à l'os" si je venais chez lui. Tout ca parait être vraiment intriguant alors je suis venue ici voir s'il saurait tenir ses promesses.

Franc-sourire plein de fausse innocence, la Satyre avait commencé à monter les marches de l'escalier ce qui laissait à la mégère une vue imparable sur le dessous de sa jupe.

- Je vous aurai bien proposé de nous rejoindre pour qu'on s'amuse tous ensemble mais vous semblez fatiguée. Bonne nuit madame Kouhari !

 Sourire lumineux et la voilà qui fait demi-tour pour monter à son tour les escaliers, consciente de laisser derrière elle une concierge estomaquée et rougissante. Elle attend d'avoir tourné le premier palier pour déclarer d'un ton malicieux.

- Tu as l'air si fier de m'exposer. Ca t'a fait plaisir ? Ce service là te coûtera une faveur que je compte bien réclamer, jeune maître.

Une déclaration qui ne souffre visiblement d'aucune forme de contestation. La Satyre ne se soumet visiblement que quand elle le souhaite, restant au final pleinement maîtresse de son libre-arbitre sur le sujet.

- Tu m'as demandé ce que j'étais ? Les mortels ont donc tout oublié des anciennes traditions ... ?

La question semble toute rhétorique car elle enchaine immédiatement.

- Cornes. Sabots. Queue. Je suis une Satyre pardi !

Avançant juste quelques marches derrière lui, elle s'amuse à tirer sur l'élastique de son short et à le faire claquer sur son petit fessier rebondi. Plus que quelques mètres à patienter avant que cet obstacle de tissu ne soit amené à disparaître. C'est une perspective qui semble l'enchanter !
 


5

- Ah !

L'inconnu se révèle être un sauveur ! La Satyre ne se fait pas prier pour bondir se cacher derrière lui pendant qu'il fait face aux poursuivants. Alors que ceux-ci s'arrêtent, hésitent et s'interrogent sur la suite à donner à cette poursuite, l'insolente créature ne se prive par pour leur adresser des regards et des gestes moqueurs. Ils finissent par renoncer, ce qui provoque les vivats de la cornue.

- Yay, vous les avez fait fuir !

Elle fait un pied de nez en direction des fuyards humiliés et se met à danser autour du jeune héros pendant qu'ils retournent vers l'autel. L'expérience ne semble pas avoir traumatisé la créature au point de lui faire perdre sa bonne humeur.

- Ils auraient pu vous faire très mal. Quel courage insensé vous avez eu. Tout le monde n'est pas immortel !

La déférence de celui qu'elle croit être un mortel semble l'amuser autant que lui faire plaisir. D'origine divine ou pas, toutes les filles rêvent d'être traitées comme des princesses. Et croyez-le ou non, c'est fort difficile d'être considérée avec égards quand ses loisirs principaux sont de rire avec les hommes, boire et finir retournée sur le dos à la moindre occasion. Chaque petit pas qu'il fait pour s'éloigner d'elle est aussitôt suivi par un petit bond en avant qui lui permet de rester accrochée à son bras.

- Comme ca aurait été triste qu'ils vous abiment. Vous êtes bien trop beau pour ça. 

Compliment fait sans détour, le regard brillant levé vers le visage du blond. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle ne perd pas le nord la sabotée ! Un beau jeune homme dévoué dans son sanctuaire, brave et méritant. Ce serait un crime que de ne pas le récompenser à la justesse de ses mérites, n'est-ce pas ? Pourtant, avant qu'elle ait eu le temps de lui proposer la gratification méritée le voilà qui se présente et ... offre de réparer l'affront commis par les rufians ! La Satyre pourrait l'arrêter, lui dire que c'est elle qui se sent débitrice. Maaaaaais ... ah ... comment dire non à ce si beau fruit qui lui est offert avec tant de spontanéité ? Un demi-sourire apparait sur ses lèves alors qu'elle répond d'un ton où pointe une once de malice.

- J'accepte ton offrande, Vittorio. Je m'appelle Physalis.

Chair ferme et appetissante, peau de velours et teint de miel. Le cadeau qui lui est fait est somptueux. Elle n'a qu'une envie, c'est de le croquer. L'abricot aussi n'a pas l'air si mal d'ailleurs. C'est dans la chair de ce dernier qu'elle choisi d'abord de planter les dents.

Avec un mélange d'amusement et de provocation, la créature rive son regard dans celui de son sauveur. Elle se rapproche tout contre lui et vient lui saisir la main tenant le fruit. Par des gestes doux elle l'incite à amener l'abricot à hauteur de son visage avant de mordre dans le fruit charnu, encore lové dans la paume de l'homme. Le fruit est mûr, sucré. Son jus dégouline depuis le menton jusqu'au cou de la belle autant que les doigts de celui qui tient le fruit.

Hasard ou geste délibéré ? "L'accident" lui permet de prendre un air faussemnt surpris et de minauder.

- Oh ... Regardes-moi ça. On en a mis partout.

Espiègle, regard toujours rivé dans le sien, elle penche la tête et se fait un devoir de recueillir du bout de la langue jus sucré sur les doigts du jeune-homme.  Savourant autant le suc de l'abricot que la réaction qu'elle suscite chez son partenaire, elle pousse le bouchon jusqu'à presser entre ses mains menues ce qu'il reste du fruit de manière à ce que davantage de jus dégouline.
Sur elle cette fois.

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Les contrées du Chaos / Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]
« le: jeudi 02 mars 2023, 22:03:38 »
Sans surprise, le sorceleur dont les appetits n'avaient pas encore été comblés ne se fit pas prier pour répondre à l'invitation. Sitôt la chevrette attrapée par les hanches, il se glisse en elle et le rodéo recommenea de plus belle.

Prise en levrette, la Satyre ne reste pas pour autant passive. Chaque coup de rein du sorceleur est accompagné d'un mouvement de fesses qui fait claquer les corps l'un contre l'autre, un bruit rapidement couvert par les cris de la belle qui vocalisait son plaisir sans retenue et par les grognements rauques de l'homme-animal en train de la saillir. L'accouplement est violent, instinctif. Avec une énergie qui semble inépuisable, elle pousse des bras, des jambes, de tout son corps pour aller à la rencontre de ce membre qui coulisse en elle.  Il faut bien la puissance d'un sorceleur pour dompter une si infatigable créature ! De plus frêles n'auraient su tenir la cadence. A tel point qu'à un moment, la saisir par les hanches ne semble plus suffire. Deux mains puissantes viennent saisir la Satyre par les cornes.

Elle pousse un cri de surprise et de ravissement.

- Oooh  ! Han oui vas y !

Tête tirée en arrière, la chevrette accompagne le mouvement et se cambre en arrière alors que le martellement reprend et s'intensifie même. Elle tente une fois encore de suivre le mouvement mais sa nouvelle position rend la chose bien plus difficile. Elle n'a plus le loisir d'utiliser ses bras autrement que pour maintenir un équilibre rendu de plus en plus précaire à chaque nouveau coup boutoir.

Ce n'est qu'au moment ultime où Gerd se cambre et jouit longuement en elle qu'elle se laisse retomber mollement sur le ventre, encore essoufflée par la cavalcade anthologique qu'ils viennent de partager. Les cuisses et les jambes de la Satyre ruissellent. Les longues trainées finissent leur chemin sur le draps blancs du pauvre Gustave sans qu'aucun des deux ne semble se préoccuper une seconde des souillures que leurs ébats laissaient derrière eux.

Un rire joyeux s'échappe des lèvres de la créature sylvestre alors qu'elle se retourne et lève les bras avec l'enthousiasme d'une sportive victorieuse. 

- Yah ! Ca c'était de la baise !

Elle lève un regard brillant vers son amant dont les capacités prodigieuses semblent forcer son admiration. Les paroles prononcées par celui-ci lui font prendre un air malicieux.

- Alors ... si on ne fait que commencer à s'amuser ... rien ne presse.

Elle cherche à tâton la bouteille qui avait été entamée et en prend une longue lampée avant de la tendre au guerrier. Non pas qu'il ait besoin de beaucoup reprendre de forces visiblement. Le temps qu'il s'abreuve, elle en profite pour s'essuyer le bas ventre avec un pan du drap blanc, sans plus de considération pour la literie qu'elle n'en a eue jusqu'à maintenant.

- Je dois peut être prendre le temps de remercier comme il se doit le soldat qui a si bien travaillé alors ...

Parle t'elle de Gerd ? Ah visiblement non. Pas de sa personne en entier visiblement car elle se rapproche de lui et d'une main caressante, elle vient caresser le membre viril encore vigoureux du sorceleur. Un sifflement admiratif s'échappe de ses lèvres.

- Je n'ai même rien à faire pour le motiver on dirait.

Cette constatation faite, elle écarte de son visage quelques mèches que la sueur avaient collées là et rapproche ses lèvres de la hampe dressée. Ce sont quelques coups de langues adroits qui recueillent d'abord le fruit de leur précédent ébat. Puis ses lèvres se referment sur le gland et lentement, commencent à descendre ... Sa main se referme sur le manche dressé et d'abord très lentement, imprime un mouvement de va et vient sur celui-ci.

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Les contrées du Chaos / Petites offrandes entre amis [Vittorio & Physalis]
« le: vendredi 24 février 2023, 17:22:53 »

- Rha mais m*rde je comprend pas !


Au milieu d'une jolie clairière ensoleillée et printanière, aux pieds d'une statue et d'un autel, un homme cul-nu s'astique le poireau et ... semble de plus en plus frustré de ne pas réussir à éveiller la moindre réaction chez lui. Incompréhension, gêne, colère. Devant lui, deux compagnons maintiennent au sol une créature cornue au pelage roux et aux pattes de chèvre. Une Satyre. Renversée sur le dos, la toge blanche de celle-ci a été presque  complètement déchirée et il ne fait aucun doute sur les intentions de ses trois assaillants en ce qui la concerne.

Sauf que ben ... ca vient pas. Les deux comparses commencent à grommeler et s'impatienter pendant que la Satyre affiche tous les signes de l'ennui.

- Bon alors, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Laisses nous la place si t'es pas capable ...

- Minute, b*rdel ! Ca va venir.

Mais non, rien à faire. Il s'ensuit une vague engueulade. La créature (qui ne se débat pas spécialement) étouffe un baillement et répond d'un ton las ...

- Mince alors, qui aurait pu croire que vouloir piller un temple et tenter de violer une créature dans un sanctuaire de sa divinité pourrait maudire quelqu'un ...

Le malandrin regarde la satyre avec incompréhension, main encore refermée sur son membre totalement et désespérément mou.

- Quoi ... ?

- Ben quoi, quoi ... ? Tu vois bien que ca marche plus. Couic. Kaput. Fallait pas fâcher papa divin.

- Retires moi cette malédiction tout de suite !

- Ah mais tu crois que j'y peux quelque chose, moi  ?? Arranges toi avec le Patron.

Elle fait un signe de menton en direction de la statue du grand bonhomme barbu qui préside le sanctuaire. La statue est d'ailleurs fort flatteuse pour la divinité. Musculature athlétique, pose conquérante au dessus de figures féminines et masculines dénudées à ses pieds (Eh ... oui ils sont comme ça chez nous. Il y'en a qui aiment le salé autant que le sucré. C'est pas un crime.). Il porte sous le bras une corne d'abondance débordante de fruits et boit à une amphore-fontaine qui ne semble jamais pouvoir s'épuiser.

La réponse ne satisfait évidemment pas le profanateur qui se met à se répandre en menaces et insanités alors que ses comparses inquiets la relachent brutalement et commencent à vérifier dans leurs pantalons pour faire des constatations.

Ca laisse de marbre la Satyre qui se redresse, assise dans l'herbe et entreprend de se recoiffer. Assez peu interessée par les émois des voleurs privés de leurs ardeurs, elle finit par demander, avec le même intérêt que si elle s'enquerait du sens du vent.

- Bon, vous me relâchez ou vous me passez l'épée en travers le corps ? Non parce que les deux me vont, vu que mon essence est techniquement immortelle, je  ...

- Ta gu*le !

- Woawaow  ... t'as le droit d'être poli aussi.

L'air en rage, son interlocuteur remonte son pantalon et vocifère tout en bouclant son ceinturon/

- Tes cornes valent quand même une blinde je suis sûr ! Ou ton petit c*l sur les marchés à esclaves. On va gagner assez pour se faire désenvoûter et bien plus encore.

- La barbe ...

Les futurs kidnappeur mettent la main sur des chaines et les brandissent avec un sourire mauvais. Finir un collier au cou ne fait visiblement pas partie des solutions "acceptables" aux yeux de la Satyre qui se dresse soudainement sur ses deux pattes sabotées et se met à  bondir de rochers en rochers à une vitesse ahurissante. Mis en confiance par sa docilité apparente, les agresseurs n'avaient pas anticipé une si soudaine vivacité et avaient relâché leur vigilance.

- Attrapez-la !

Les trois ballots se mette à crier et à tenter de rattraper la Satyre bondissante. Un rire cristallin s'échappe de ses lèvres alors qu'elle lance derrière elle.

- Ciao bande d'impuissants !

A la vitesse où elle file, il y a bien peu de chances pour qu'elle se fasse rattraper en plein milieu naturel. C'était sans compter sur un nouveau protagoniste devant qui elle tombe soudain nez à nez. Un jeune homme armé, mieux bâti que les trois autres qui visiblement, avait du assister au moins en partie à la scène.

- M*rde, un autre ...  !

Et elle vient de se jeter quasiment dans ses bras. Autant dire que si il est de mèche avec les autres, ca s'annonce très mal pour elle !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Saturday Night Fever ( Jason / Joanna - Physalis )
« le: vendredi 24 février 2023, 15:51:51 »
Allez essayer d'expliquer à une Satyre chauffée à blanc le concept "d'attendre"  on vous promet bien du plaisir ... Le "pauvre" Jason ( ou "fortuné" ? C'est une question de perspective) allait l'apprendre à ses dépends.

Si sa force lui permet de soulever la Satyre et de lui offrir les hommages que les gentlemen proposent aux lady les plus distinguées, ce genre de préliminaire malheureusement ne suffit pas pour combler les attentes de la créature dont les appétits sauvages  ont été aiguisés par les phéromones ... Tremblante, impatiente, elle prend à deux mains la tête de son amant du soir et le force à aller plus loin, plus vite, plus fort. Elle bouge le bassin, ondule, frotte son intimité sur la bouche de l'homme dans l'espoir d'y tirer le  plus de plaisir.

Ses soupirs de plaisir se mêlent à des manifestation d'impatience voire de frustration quand celui-ci s'amuse à l'amener au bord de l'orgasme et à la laisser plantée là, à la frontière d'un entre-deux tout à fait insatisfaisant ! L'exaltation ressentie par le démon ne semble pas du tout partagée. Il était temps qu'il la dépose au sol et passe enfin aux choses sérieuses !

Basculée sur le dos, elle l'attire à elle avec fébrilité. Elle s'agrippe à ses épaules, verrouille ses jambes autour de son bassin pour ne lui laisser aucune chance d'échapper à ce qu'elle estime être son devoir. Et quand enfin le démon consent à entrer en elle, c'est la libération. Elle ferme les yeux, pousse un cri où plaisir et soulagement se mélangent.

-Ah ouuuuui Enfiiiiin ! Vas y ! Vas y ! Vas y fort !

Chauffée comme elle était, amenée à deux doigts de l'orgasme, il ne faut que quelques coups de reins pour la pousser à exploser. Elle jouit violement, arquant son corps sous le sien et s'agrippant avec désespoir à ce qui passe sous ses mains. ( RIP la chemise à laquelle elle vient de s'agripper ... le tissu du canapé ne finira pas en meilleur état. Mais est-ce qu'un homme riche comme Jason sera du genre à s'en émouvoir ?). L'orgasme la secoue de longues secondes au cours desquelles elle perd haleine et est prise de spasmes incontrôlés et violents. Son entrecuisse s'inonde des fruits de sa jouissance, venant couler le long de ses jambes et enduisant le membre viril davantage encore.

Cette première jouissance à peine achevée, la Satyre rouvre les yeux. Son regard brûle du même désir inextinguible et bien loin de vouloir mettre fin aux hostilités.

- Enivrante, hein ? Je n'en ai pas fini avec toi ! Tu n'en es qu'à la première gorgée.

Ce n'est donc que le commencement aux yeux de la bouquetine qui se laisse changer de position, puis fesser avant d'adopter la posture "dominante" de la situation. L'ordre donné de "sautiller sur lui" ne semble pas avoir l'effet escompté. Cuisses écartées, Jason toujours en elle, la Satyre ondule plus qu'elle ne tressaute. Lentement, elle avance et recule son bassin en un coït lent, apte à entretenir "la flamme" de son amant. Un sourire sauvage étire ses lèvres alors qu'elle pose ses mains sur les joues du démon, le pousse à rejeter la tête en arrière et mordille avec appetit ses oreilles et son cou.
 
Elle titille le lobe du bout des lèvres, s'amuse avec le rebord de sa langue en descendant le long de la nuque. Et sans crier gare, elle plaque soudain ses lèvres au creux de l'épaule de l'homme, imprimant sur sa peau un suçon  aussi sauvage que visible. Ce n'est qu'une fois son amant marqué qu'elle consent enfin à reprendre des mouvements plus marqués.  Avec une énergie et un rythme croissant, elle soulève son postérieur et le laisse retomber, laissant glisser l'épieu de chair en elle de la pointe jusqu'à la garde. Et elle recommence. Petit à petit plus fort. Plus vite. Plus sèchement. Chaque mouvement provoque en elle un soupir d'aise qui accompagne le claquement provoqué par la rencontre des deux corps. La créature parait enflammée, infatigable. Capable de tenir ce rythme et de l'imposer à son partenaire jusqu'au point du jour s'il le faut voire même davantage.
 
Emportée par le plaisir, elle rejette la tête en arrière et ferme les yeux. Ses deux mains viennent saisir ses seins que les mouvements de va et vient du couple faisaient tressauter en rythme et animaient d'un mouvement hypnotique. Elle tient eux globes de chair aux galbes envoûtants juste sous le nez de l'homme. Une provocation involontaire ou parfaitement intentionnelle ? Allez savoir.

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Le métro et la gare / Re : Never sleeping city [ Koda - Physalis ]
« le: samedi 18 février 2023, 20:31:51 »

La Satyre avait emboité les pas du jeune déviant et cédé à toutes ses perversions jusque maintenant. Les mains baladeuses étaient accueillies comme des faveurs. Les gentilles brutalités semblaient consenties et accueillies.

Jusqu'au moment où arrive l'ultimatum fatidique : le défi de se dénuder et de livrer au jeune homme le tissu ôté. La demande est appuyée par la menace d'une hypothétique punition en cas de désobéissance. Le pervers en herbe feint la nonchalance et se détourne. Se demande t'il ce que sa conquête du soir trame dans son dos ? C'est possible. Car en vérité, seuls quelques bruits de pas irréguliers dans son dos trahissent encore la présence de la Satyre quelques pas derrière lui, ne laissant planer aucun indice sur ses intentions.

Ce n'est que quand il se retourne enfin, une fois arrivé près du lampadaire, qu'il peut constater que la jeune femme le suivait toujours de près. Elle se rapproche, joueuse, mains dans le dos jusqu'à se coller tout contre lui et rapprocher son visage à quelques centimètres du sien. L'odeur fleurie qui émane d'elle est entêtante, ses yeux émeraudes brillent de plaisir anticipé. Ses doigts graciles viennent toucher les mèches mauves délicates du garçon.

- J'ai presque envie de désobéir pour voir ...

Provocatrice, malicieuse, elle se rapproche jusqu'à ce que ses lèvres frôlent le menton de l'effeminé.

- ... presque ...
 
Mais soudain, elle se dérobe. Elle lève les bras et se retourne sans préavis. Le mouvement fait voleter le bas de sa robe, laissant deviner pendant un court instant la peau nue de ses fesses alors que la culotte qu'elle tenait à la main s'envole soudain en l'air. Charge à Koda de l'attraper le vêtement écarlate au terme de sa trajectoire. Ou pas. Visiblement son ancienne propriétaire s'en moque bien ! Elle avait ôté le bout de tissu dans le dos du garçon sans beaucoup ralentir sa marche, exposant à l'air nocturne un fessier rebondi surmonté d'une petite queue en houppette. Peut-être finira t'il par la remarquer ? C'est une sacrée surprise en perspective.

Insouciante, la Satyre tourne autour de l'éphèbe, le frôlant sans jamais ouvertement le toucher.

- Satisfait, monsieur le petit maître ?

Son intonation transpire le jeu et le défi. La déclaration est suivie sur un ton plus insistant.

- On se remet en route ? C'est encore loin ?? J'ai hâte j'ai hâte !

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Les contrées du Chaos / Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]
« le: vendredi 17 février 2023, 13:14:11 »
L'appel à la tempérance du Sorceleur ne semble pas avoir beaucoup d'effets sur la Satyre qui soupire sa frustration quand l'homme se met à farfouiller ses affaires. Continuant de gémir et d'onduler dans l'espoir de sentir le membre planté en elle, elle de mord les lèvres et reproche d'un ton boudeur.

- Et ca te viendrait pas à l'idée de partager ... ?

Quoi que ces fioles puissent contenir, elles ont attisé la curiosité et l'envie de la Satyre. Alcool et sexe sont les deux grandes passions de cette créature après tout ... Mais le temps n'est pas à la picole ! (Elle règlera la question des flasques secrètes dans les poches du guerrier plus tard). Enfin, l'homme daigne tourner son attention vers elle. Bouillant d'impatience, elle trépigne presque qu'elle l'amène à elle avec fébrilité, incitant l'homme à se mettre à l'œuvre, tant par ses gestes que par ses paroles.

- Allez vas-y ! Te retiens p... mhh !

Enfin prêt aux "choses sérieuses", le Sorceleur avait basculé la Satyre sur le dos et collé sa bouche à la sienne, faisant taire cette dernière.
Avide, la créature lui prend le visage entre ses mains et l'embrasse avec une passion dévorante, goûtant sur ses lèvres l'amertume du breuvage auquel elle n'avait pas eu droit. Leurs souffles et leurs salives se mêlent sans retenue. Sauvage et spontanée, Physalis savoure la rudesse de l'homme. Elle mord les lèvres, joue avec la langue conquérante de l'homme.

Et puis soudain, le premier coup de rein est asséné. Brutal et autoritaire. Le baiser ne peut retenir son cri, mélange de surprise et de joie. Elle écarquille les yeux, comme si elle même peinait à comprendre ce qu'elle venait de ressentir. L'astucieux breuvage faisait visiblement son effet sur elle aussi.

- Mais que ... Oh !

Nouveau coup de rein.

- Aaah !

Encore.

- Oh putain  oui ! Aaah !

Et bien d'autres suivent, de plus en plus brutaux, de plus en plus acharnés. Gerd se montre bestial, animal. La Satyre n'est pas en reste.  Electrisée par ce plaisir brut et innattendu, la Satyre se déchaine. A chaque coup de boutoir répond un cri. Bien que le sorceleur impose un rythme effréné, chaque coups de bassin est accompagné par un mouvement des hanches de la belle. Sabots croisés dans le dos de l'homme, corps soudé à celui du guerrier, elle s'agrippe à ses épaules pendant que son amant la besogne avec animalité.

Elle enfouit son visage dans son cou, étouffant ses cris qui deviennent de moins en moins articulés à mesure que le coït s'intensifie. La pièce s'emplit des cris et des halètements rauques des deux partenaires. Quand soudain, la Satyre se cabre, parcourue par le frisson bien reconnaissable de la jouissance. Coincée entre les bras de son partenaire, son corps est parcouru de mouvements incontrôlés, saccadés.  Elle se contracte, enfonçant ses ongles dans la chair de son dos avant de brutalement relâcher et partir en arrière, finissant le dos étalé sur les draps trempés de sueur. Elle ouvre des yeux brillants, essoufflée, les joues encore rouge écarlates. Elle s'exclame.

- Oh oui ! Encore ! Encore encore encore !

Lui n'en a pas fini. Et ca tombe très bien. Elle gigote, pousse sur les pectoraux du guerrier pour lui faire comprendre ce qu'elle veut. Et avec la permission de celui-ci, elle se retourne sur le ventre, se redresse sur ses genoux.  Elle ne s'arrête qu'un instant pour écarquiller les yeux en voyant le membre très brièvement ressorti de son fourreau intime.

- Whoah ce qu'il est énorme !

Avant de se retourner complètement et cambrer les reins, de manière à accueillir de nouveau le guerrier en elle. Penchée en avant, elle prend en main le membre viril et le guide de nouveau vers sa fente. Une aide probablement inutile car l'engin encore couvert des fluides intimes de la belle avait déjà su trouver son chemin vers ce con brûlant qui palpite encore de désir.

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Le métro et la gare / Re : Never sleeping city [ Koda - Physalis ]
« le: dimanche 05 février 2023, 18:42:10 »

Le petit louveteau sait finalement sortir les crocs ! Encouragé par la Satyre, il laisse les instincts les plus bas le dominer. Et ce n'est pas pour déplaire à la jolie cornue ! La main serrée autour de son cou lui fait fermer les yeux et décuple les gémissements qu'elle pouvait déjà pousser.

Quant à ce qui arrive par la suite, après qu'ils soient interrompus par le couple, ca dépasse tout ce qu'elle aurait pu imaginer. L'androgyne pousse le culot à son paroxysme en provoquant volontairement le couple de bien pensants. Un vrai petit Satyre !

Elle se laisse donc entrainer, petite chose affectant ( pour l'instant ) la docilité. Si elle a eu le reflexe de baisser sa jupe et remettre en place le tissu de sa culotte (par confort), ces pans de tissus se retrouvent immédiatement écartés lors de l'exhibition soudaine. Visiblement excitée par la situation, il ne lui vient pas à l'idée un seul instant de protester, au contraire ! Elle glisse une main derrière elle et pendant que Köda crache son discours et joue avec son corps, sa main à elle vient lui caresser l'entrejambe, ravie de contribuer davantage encore à l'excitation de l'humain complètement hors de contrôle. 

Être réduite à l'état de trophée sexuel exhibé par Köda ne semble pas lui déplaire. Son regard se rive à celui de l'inconnu et joueuse, provocatrice, elle se mord la lèvre et lui fait un clin d'oeil. Elle regarde l'homme en face d'elle avec provocation, semblant vouloir lui dire "Regardes moi et souviens toi". Quant à l'inconnue, elle lui jette un regard amusé. L'air de lui dire "Regardes ce que tu te refuses".

 Et quant vient le temps de tirer leur révérence, ils changent de wagon ! Elle le suit docilement, sautillant presque sur ses sabots tant la situation l'amuse au final. Köda tente de s'excuser mais c'est à peine si elle y prête attention.

- Wow ! Quel spectacle !

Pas de récrimination, pas de reproches face au traitement indigne qu'elle vient de subir. Cette fille défie manifestement toutes les normes sociales. Elle semble au contraire sincèrement admirative devant ce qui vient de se passer. Elle vient poser ses mains sur son col et se rapproche pour se coller à lui.

- Si jeune ... si pervers ... Woaw. Oui emmènes moi chez toi !

Elle vient presser ses lèvres aux siennes et l'embrasse à pleine bouche. La Satyre a trouvé son humain "sortant du lot" et elle ne compte pas le laisser filer. L'embrassade est longue, fiévreuse. Elle dure tant que bientôt, l'arrivée à l'arrêt attendu est annoncé. Prête à relâcher provisoirement de son étreinte, Physalis est toute disposée à suivre le jeune homme jusqu'à son antre et le cas échéant, jouer le jeu si des connaissances à lui avaient le bonheur de croiser son chemin. Après tout, Köda avait bien le droit de se vanter "un peu" de la proie qu'il ramenait dans ses filets aujourd'hui.


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Les contrées du Chaos / Re : La démone du moulin [Gerd - Physalis ]
« le: dimanche 05 février 2023, 18:18:46 »
La satyre se moque bien du vin qui s'échappe de leurs lèvres collées et qui vient tracer des sillons écarlates sur sa gorge et sur ses seins. L'idée de souiller les draps blancs apportés par le vieux paysan ne lui traverse même pas la tête. Seule l'ivresse de l'instant compte pour elle. Ses baisers sont passionnés, avides. Elle colle son corps menu à celui du sorceleur tout en muscles en et cicatrices. Espère t'elle, a l'instar d'un silex, que leur contact si rapproché finisse par produire des étincelles ?

Métaphoriquement parlant au moins, c'est une réussite. La satyre s'échauffe et s'échauffe même très vite. Elle soupire, gémit, se tortille. L'impatience semble la gagner, même à l'instant ultime où elle est renversée sur le dos et que l'homme prend place au dessus d'elle. Cuisses écartées, peau frémissante, tout son corps se tend dans l'attente du moment fatidique. La délivrance vient sous la forme d'un coups de rein et d'une soudaine pénétration.

- Oh oui !

Elle se cabre, lâche un cri de pure joie. Le membre avait pénétré en elle et glissé d'un seul mouvement fluide, aidé par les jus de sa féminité. Puis elle se tortille, avide de recevoir une suite qui tarde à arriver. Un nouvel échange de vin à lieu. Elle s'accroche à son cou, bois le liquide offert avec avidité. Mais l'alcool est vite bu. Les baiser finissent par se faire sauvages, impatients. Les lèvres du sorceleur sont mordues, happées par l'avidité animale de la Satyre.

Elle finit par se laisser aller en arrière, tombant sur le dos. Elle enserre le bassin de son amant avec ses jambes et croise les sabots dans son dos. Elle répond sans retenue à sa question, un feu se lisant dans son regard.

- Que tu me baises ! C'est ça que je veux. Vas-y !

Ses mains viennent empoigner ses seins, ronds et fermes. Elle les presse, tord les mamelons. Elle le fait en regardant Gerd dans les yeux avec le désir manifeste de le provoquer. Elle ondule, presse le dos de l'homme de ses sabots pour l'inviter à continuer un mouvement qu'il avait si bien commencé et l'aiguillonne de paroles lancées avec ardeur.

- Vas-y guerrier, donnes tout ! Ne te retiens pas !



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Prélude / Re : A l'aventure, Phiren ! [Terminé] [Vanéalidé !]
« le: samedi 04 février 2023, 13:59:22 »
Bienvenue ici o/

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Il y a de la place sur ce grand rocher moussu. Bien assez pour deux normalement. Pourtant à peine le jeune homme installé, c'est une Satyre enjôleuse et calîne qui vient presque se coller à lui, réduisant drastiquement l'espace personnel de l'aventurier. Ses mains papillonnent, effleurant tantôt ses bras, tantôt ses cheveux. Des contacts furtifs et légers. Le parfum de jardin printanier qui émane de la créature vient se mêler à celui de la clairière boisée.
Aux regards qu'elle lui porte et à son langage corporel, il n'est pas difficile de deviner que le gaillard semble à son goût. Il est gauche et naïf, c'est vrai. Mais il est bien bâti. La timidité ne semble pas la gêner. Au contraire peut-être même.

Elle dit en l'entendant.

- Que oui tu as eu de la chance de tomber sur moi et pas sur cette pimbèche de Sirène ! Je m'appelle Physalis.

Elle prend un air faussement choqué en l'entendant poser des questions sur son espèce. C'est évidemment un jeu car pendant qu'elle joue les effarouchées, elle se met à jouer l'air de rien avec la boucle du baudrier du garçon.

- Que diable, tu ne connais pas les Satyres ?? Nous avons été créés par les dieux de l'abondance et de la fête ! Mes "cousins" sont de sacrés phénomènes qui aiment montrer aux jeunes femmes seules que la vie est belle.

Elle s'arrête et fronce un peu les sourcils, le temps d'ajouter in petto.

- ... et les jeunes hommes aussi parfois. Enfin bref.

Assise, les jambes repliées sur elle, elle pose une main sur le bras de Sidon pour se hisser jusqu'à portée d'oreille pour lui chuchotter.

- Quant à mes pouvoirs ... Il parait que pour commencer j'ai des mains merveilleuses capables de réaliser les massages les plus agréables de ces terres. Tu aimerais ... ?

Le sourire se fait malicieux, l'oeil brille d'un regard espiègle. Il est évident que la Satyre a remarqué l'effet qu'elle produisait sur le jeune homme. Elle pourrait sans doutes en profiter dès maintenant et aller chercher dans ce pantalon tendu l'objet de sa convoitise. Mais non. Elle est patiente. Elle semble éprouver du plaisir à ces préliminaires délicats. Même quand on se doute de l'endroit ù tout ca va mener, il n'y a pas lieu de se presser. Les arts de l'Amour sont trop beaux pour être bâclés.

- Que dirais-tu d'enlever ta chemise et de me laisser faire ? Prends du vin, ton voyage jusqu'ici a du être long.

La proposition s'accompagne de gestes évocateurs. Elle caresse le bras de l'homme, lui tend l'outre de vin de l'autre main. Des propositions alléchantes, presque trop belles pour être vraies. Elles sont pour une fois sincères, mais évidemment Démones, Fées et Sirènes font tout pour donner une réputation épouvantable aux créatures surnaturelles. Elle se sent du coups le devoir d'expliquer.   
 
- En vérité les dieux de l'abondance couvrent de bienfaits ceux qui traitent bien leurs serviteurs. Me rendre heureuse éloigne les maladies, accorde la vigueur aux champs et ... aux hommes.

Joueuse, elle prononce ces dernières paroles en coulant un regard volontairement équivoque à l'entrejambe de Sidon.

- Descendance nombreuse et en santé. Longévité. (Ce dernier point est un mensonge hélas, mais ... il faut bien se vendre, non ?) Pourquoi refuser ... ?

Elle s'arrête et lève vers lui un regard plein d'attentes. Elle tire sur la manche de la chemise, l'air de dire "tu l'enlèves ?", n'attendant que l'accord de l'aventurier pour commencer l'oeuvre prétendument magique. 

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Regard rivé sur l'oisillon tombé du nid, la créature joueuse semble beaucoup s'amuser de la gêne affichée par le jeune homme.
Elle penche la tête sur le côté pendant qu'elle l'écoute et s'exclame avec malice.

- Un monstre ! Ne cherche pas plus loin, il est dans ce lac. Une sirène épouvantable mériterait largement une belle correction. C'est une teigne malfaisante qui n'hésite pas à noyer tous les jeunes hommes qui approchent de son étang.

Mais elle ajoute d'une voix douce.

- Mais ca n'arrivera pas si tu es avec moi. Arriver jusqu'ici a du être ereintant. Que dirais-tu de traverser ce petit courant d'eau et te poser à côté de moi ...? Viens, j'ai du vin et tu as l'air terriblement tendu. J'ai des doigts de fée tu sais.

L'invitation est tentante. La grosse pierre ronde et moussue semble en effet idéale pour se prélasser au frais. L'endroit est ombragé, paisible. Lumineux sans que le soleil cuisant ne frappe directement. Il n'est séparé du bord du lac que d'une dizaine de pas, qu'on pourrait parcourir en marchant dans l'eau peu profonde ou, de manière plus aventureuse, en marchant de pierre en pierre pour rester à pied sec.

- Je ne suis pas une Terranide,  non non ! Tu n'as jamais vu de Satyre ?

Elle se redresse avec souplesse, se retrouvant assise. Elle déplie une jambe galbée terminée par un fin sabot et la tend pour que le chasseur puisse bien l'admirer. Elle énumère avec lenteur, prenant bien le temps de tout montrer.

- Regardes. J'ai des pattes superbes ...

Elle secoue la tête et fait mine de recoiffer ses cheveux. Le geste est évidemment méticuleusement calculé pour offrir un spectacle saisissant pour le jeune homme.
- ... des cornes magnifiques ...

Et enfin elle roule sur elle même pour tourner le dos et jouer l'atout maître de son jeu de séduction. Cambrée, elle agite le bas des reins terminé par une petite queue en houpette qui frétille à chaque mouvement de popotin.

- ... et une queue épatante !

Elle jette par dessus son épaule un regard espiègle, s'amusant visiblement de l'effet qu'elle produit sur le pauvre garçon qu'elle essaye d'attirer dans ses filets. Elle retrouve une position sage, s'asseyant sur ses jambes qu'elle replie sous elle.

- Tu vois que je suis parfaitement innoffensive. Ma présence est même bénéfique !


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