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Messages - Chaos

Pages: [1] 2
1
Eglise et couvent de l'Ordre / Confession Chaotique [Pv: Soeur Mary]
« le: dimanche 29 août 2021, 19:33:43 »
Chaos posait pour la première fois de sa vie, le pied sur Terra. Il connaissait bien ce monde, mais de là haut, du ciel, de la voûte céleste, de l’espace où il a observé sa création, ses enfants vivre et se développer. Mais il n’avait jamais eu la chance de voir à leur échelle cet univers, ni même le fouler de son corps physique. Lui qui de son aspect immatériel, de sa non consistance, de sa grandeur n’avait jamais connu les plaisirs mortels auxquels ses enfants divins s’adonnaient. Il en était jaloux, presque de façon maladive. Il avait donc tout mis en œuvre pour concentrer sa grandeur, changer sa forme, se rapprocher de ce qu’il avait créé. On dit que Dieu a créé les hommes à son image. Dans le cas de Chaos, père de toute chose, il faudrait voir les choses différemment.

Ce n’est pas physiquement qu’il les avait créés pour lui ressembler, mais psychologiquement, dans leur comportement. Même la vertu était l’une de ses qualités. Il pouvait l’être, tant qu’on lui donnait le respect qu’il mérite. Même le fait que les humains continuent à prier les mauvais Dieux éperdument était une preuve de son héritage, lui aussi était un être entêté dans ses convictions. Il était tombé amoureux de l’humanité, mais en même temps, il éprouvait une colère, une haine envers eux. C’était une danse perpétuelle dans son esprit, balançant entre les deux côtés.

Leurs comportements avaient apporté tellement de bonne chose pour l’être du Chaos et savoir que même si aucune d’eux ne lui vouaient de cultes, ils portaient tous les germes du Chaos dans leur façon d’être. Mais justement, le fait qu’ils vénèrent ses enfants, petits enfants ou même encore des divinités factices le mettaient hors de lui. Lui qui était à l'origine de tout, on venait à le remplacer, l’ignorer, une chose inconcevable pour son ego surdimensionné. Voilà pourquoi il vivait parmi les mortels à présent, simplement pour connaître les plaisirs de cette vie et s’amuser de ses créations. Des fois, de façon plus ou moins sympathique, mais à d’autres occasions plus virulente, perverse, machiavélique. Cela dépend simplement de l’appréciation qu’il peut avoir de sa victime, comme il aime à les appeler.

Il ruminait, pensait à ce genre de chose, tout en se baladant sur les terres de cet autre monde, fruit de sa création. Il ne marchait pas à l’aveugle. Il avait prévu son coup, son idée trottait depuis longtemps dans sa tête. Il avait donc décidé de cumuler sa farce, sa vengeance, en même temps qu’un petit tour sur ces terres magiques. Un territoire neutre, un lieu sacré, religieux, parfait pour sa personne. Enfin, il allait faire tourner en bourrique les personnes ayant osé le renier, leur apprendre la signification et la croyance d’un véritable dieu sur cette terre. Il chantonnait donc, sifflotant de temps en temps, pendant sa balade. Il s’approchait du couvent, ayant une préférence pour les sœurs ayant dédié leur vie en la croyance d’un Dieu et tout abandonner. Espérer les faire tomber de haut est sa plus grande fierté.

En approchant du domaine, il calmait son rythme, prenant une démarche plus simple, plus lente. Il devait se montrer comme un voyageur perdu dans ces lieux et ayant vogué jusqu’ici par hasard. Il regardait sa tenue, la voyant en trop bonne état pour être crédible. Il changeait donc la réalité selon ses envies, mettant une tunique blanche un peu déchiré, un pantalon en sale état, des chaussures usées. Il paraissait pauvre et désoeuvré. Il s’occupait même de salir ses cheveux. Il espérait pouvoir prendre un bain là-bas, car il ne supporterait pas la saleté longtemps.

Il continua donc son chemin tranquillement, avançant toujours aussi lentement, affichant petit à petit une posture fatiguée, une mine affaiblie, une démarche presque lourde. Si on le voyait, il fallait que l’on vienne le prendre en pitié dans cette situation. Enfin, il arrivait devant la grande porte du couvent, il levait l’anneau de métal pour le faire résonner. Lourdement, lentement, comme si l’effort lui coûtait énormément. Et l’instant d’après il poussait la porte, lentement, encore une fois, puis il pénétra dans le lieu. Sa voix se faisait usé, mais assez perceptible.

“Bonjour ?... Est-ce qu’il y a quelqu’un ?... J’ai besoin d’aide…”

Voilà, il ne lui restait plus qu’à voir si la charité de ce lieu ferait parler d’elle et lui permettrait de s’amuser petit à petit entre les murs de ce faux seigneur.

2
~ Un sublime paysage se dessinait sous le regard de l’être du Chaos. Il n’admirait pas la nature depuis un point culminant ou encore une belle exposition d’art. Non, il préférait se plonger dans des paysages bien plus primitif, expressif, personnel, lubrique, humiliant et dégradant pour plus d’une personne.

Confortablement installé sur un lit, sa croupe s’enfonçant dans les draps. Ses pieds au sol, dévoilant sa posture, assis au bord du lit, cuisses écartées. Mais pour quelle raison ? Fort simple, une demoiselle se trouvait entre ses jambes. Elle était à la frontière de la jeunesse, pénétrant presque dans les prémices de son âge d’or. Une chevelure blanche, des oreilles démontrant clairement son origine bien éloignée de l’humanité. Un corps plus que charmant et qui ferait baver bien des hommes. Mais cela n’était qu’un détail pour lui, l’élément le plus important restait ce qu’elle accomplissait.

Son corps était en action, il serait plus exact de dire que ses lèvres et son visage était au cœur des mouvements. Elle était attelée à tailler une pipe à Chaos, semblant prendre beaucoup de plaisir à cette tâche, son regard lubrique confirmant bien des choses. Les mains du Dieu se trouvait sur sa tête, à l’accompagner dans ses mouvements, comme si son but était de l’éduquer. Son autre comparse, lui, se tenait au-dessus, détenant entre ses doigts un téléphone, filmant la scène, avec un grand intérêt. Subitement, ses doigts se stoppèrent dans sa crinière pour la forcer à relâcher sa hampe. Il faisait en sorte que son visage soit parfaitement cadré.

« Alors dis-moi ! Que préfères-tu ? Ton fils ou sucer la queue de l’homme qui le tourmente à l’école ? Choisis bien ! »

Quel fils ? Quel tourmente ? Comment Chaos s’est-il retrouvé dans cette situation ? Cette histoire remonte un peu plus tôt. ~


Un moment banal, une journée typique pour l’être divin. Il s’était rendu à son lycée, poursuivant sa simple vie d’élève, sans histoire apparente. Il faisait en sorte de se fondre dans la masse, tout en attirant l’attention sur lui, devenir le petit chouchou, l’idole du lycée. Espéré avoir enfin toute l’attention qu’il désire, se sentir reconnue pour ce qu’il est et pense être.

Du moins, les choses auraient dû se passer ainsi. L’horloge était parfaitement calibrée, la mécanique huilée, mais malgré tous cela, un petit grain de sable osa de glisser dans le mécanisme de la petite vie tranquille de Chaos. Comme à son habitude, Chaos s’occupait de faire régner l’ordre dans l’établissement, rappelant à chacun sa douce place dans ce monde. Les dominants, les dominés et bien entendu les moutons. Le Dieu appartenant à la classe des dominants, il guide les moutons en leur montrant l’exemple à ne pas suivre avec les dominés et leur offrant ces pauvres personnes comme pâturages pour se soulager. Durant cette petite ronde, ce petit exemple du matin, alors qu’il mettait à mal un dominé en lui offrant des coups salvateurs, un berger décida de montrer les crocs.

Ces éléments perturbateurs, ce que Chaos nommait les bergers, des êtres voulant mettre fin à l’ordre établie, naturel des choses. Il détestait cela, il ne désirait que l’harmonie et ces gens venaient briser son petit monde. Un gamin du nom de Tethys, voilà le berger du jour. Lui aussi, il devrait le remettre à sa place, faire en sorte de le guider comme il se doit. Mais il devait faire cela à l’égard des yeux indiscrets, comme pour les autres dominés.

Heureusement, le terrain qui se présentait à lui était parfait, personne aux alentours. Chaos se fit simplement craquer les doigts et frappa l’énergumène au visage. Il pensait que cette simple frappe viendrait à calmer les ardeurs du blanc chevalier. Mais rien de cela, il se prit un revers de médaille, un assaut de la part du berger. Il détourna la tête sous le coup, choqué par cette veine résistance et surtout son culot d’oser porter un coup à son si joli visage. Hargneux et furieux, il se retourna et délivra coups sur coups à cette infâme pourriture à ses yeux. Même les moutons qui le suivaient se mêlaient au jeu, afin de ne lui laisser aucune chance de se relever.

Une fois satisfait, il laissa ainsi traîner au sol le nouveau dominé de l’école. Il épousseta ses affaires, sa joue lui faisant encore horriblement mal et étant même légèrement gonflé. Il s’en allait alors fier comme un coq en apparence, mais blessé dans son ego par la revanche de celui-ci. Il ne pouvait laisser passer un tel désordre dans ce petit royaume parfait qu’était le lycée pour lui. Il devait trouver un moyen de faire payer à ce garçon son comportement, lui faire comprendre que si l’on osait lever le petit doigt contre lui, les conséquences seraient lourdes.

En repartant, le Dieu posa des questions à ses fidèles, voulant savoir d’où sortait ce petit impertinent. Il faut dire qu’il s’intéresse peu au nom des personnes n’étant pas capable de devenir possiblement son égal. Il retenait bien des choses, son nom, son prénom, sa classe et même quelques propos amusant sur sa famille, autant sa sœur que sa mère. La beauté de cette dernière étant souvent indiqué. Curieux, il en demanda un peu plus, voulant savoir certains détails. Une idée de vengeance venait de germer dans son esprit. Il s’en prendrait à sa mère, à ses proches pour le remettre à sa place.

C’est donc information en main, qu’il décida de sécher le reste de la journée, la matinée arrivant déjà à son terme pour lui. Il déambula dans les méandres de la ville, passant de ruelle en ruelle, évitant les grandes avenues, ne voulant pas se faire remarquer avec son uniforme. Il connaissait la ville sur le bout des doigts, l’explorant toutes les nuits quand il n’est pas occupé à s’amuser dans sa demeure. Il arriva donc sans problème à rejoindre la boutique que devait tenir cette fameuse Ethys.

Il attendit quelques minutes avant d’entrer, que le dernier client quitte les lieux. Sans perdre de temps, il pénétra dans l’endroit, marchant à pas lent, ses chaussures résonnant sur le sol. Et d’une voix ferme, il prit alors la parole, pour se faire entendre, percevoir.

« Bonjour ! Vous êtes la mère de Tethys, non ? J’aimerais vous parler de votre fils. »

Il se montrait poli, il enfilait sa tenue de mouton pour bientôt lui sauter à la gorge et exercer sa petite vengeance.

3
Le coin du chalant / Le Chaos Veut Semer La Zizanie
« le: vendredi 20 août 2021, 10:03:32 »
Bonjour, bonsoir o/

Il est temps de laisser Chaos enfin vagabonder sur Terre.
Voici donc une petite liste d'idée de Rp, autant des Trames qui sont réutilisable, que des uniques devant mener à un lien plus sérieux. Bien entendu, toutes les autres idées sont les bienvenues pour Rp  ;D

Trames Réutilisable :
1 - Chaos profite de sa vie en tant qu’éternel lycéen, résidant à présent à Seikusu. Son tempérament faisant qu’il adore être le centre d’attention, surtout au lycée. Il pourrait ne pas apprécier que votre personnage attire pendant un court instant ou une longue période, plus d’attention que sa personne. Il pourrait donc décider de se montrer taquin et mesquin, vous faisant passer un sale quart d’heure à sa façon.

2 - L’être primordial s’ennuie bien vite et veut toujours faire en sorte de se divertir. Il peut donc décider de prendre n’importe qui pour cible et s’amuser en sa compagnie. Autant en étant proche que loin, changeant la réalité autour en créant un petit jeu semé d'embûches. Quelque chose qui pourra éteindre l'ennui qui l’habite depuis si longtemps.

3 - Chaos étant une divinité, le sommeil ne fait que peu partie de son mode de vie, il profite donc souvent de la vie nocturne soit pour sortir, profiter de ce que la ville peut offrir quand la pénombre s’invite. Il peut aussi organiser des choses dans sa demeure. En somme, il profite toujours de la vie, attrapant tout divertissement possible. Il serait donc en pleine soirée ou vagabondant sur les rues, tombant sur votre personnage, que se passerait-il dans cette ambiance de fête et d’amusement ?

4 - Dans sa vie de tous les jours, Chaos affiche toujours un masque de mignon personnage, ne laissant que rarement voir ses véritables intentions, le faisant de façon mesquine. Mais votre personnage pourrait voir clair dans son jeu. Chaos remarquant alors qu’avec vous, les choses ne semblent pas fonctionner, il pourrait décider de laisser tomber le masque et vous remettre à votre place, selon son point de vue. Faire en sorte que vous ne vendiez pas la mèche.

5 - Chaos ayant une haute opinion de lui-même, pourrait avoir un fort moment de fierté et d’ego, bien plus que d’habitude. Il veut savoir s’il peut plaire, séduire, corrompre quelqu’un pour sa propre satisfaction. Mais faire cela sur quelqu’un qu’il connaît serait bien trop facile. Il décide donc de faire ça sur un ou une parfaite inconnue. Et pas de chance, cela tombe sur vous. Comment les choses vont-elles tourner ?

Trame Unique :
1 - Chaos pourrait porter son dévolue sur une personne au hasard, pour être victime de sa personnalité, lui servir de souffre douleurs. Cependant, comparé à d’habitude, il ressent une joie immense à se montrer aussi exécrable. Bien plus qu’avec les autres. Il aurait donc envie de répéter autant de fois que nécessaire l’opération et faire de vous son divertissement favori, mais ne laissez personne d’autre vous faire subir cela. (Relation à long terme / À développer sur plusieurs Rp)

2 - Le dieu créateur ne peut pas toujours être le vainqueur. Il doit bien arriver de lui faire subir des défaites, des choses humiliantes. Mais il ne laisserait pas passer un tel affront, il voudrait se venger, rendre la monnaie de sa pièce à la personne concernée. Ainsi débuteraient des jeux revanchards, allant toujours de plus en plus loin. Cela deviendrait-il une guerre totale, une rivalité avec une forme de respect ou même une amitié après s’être autant querellé ?  (Relation à long terme / À développer sur plusieurs Rp)

3 - Chaos n’est peut-être qu’une saloperie, un diable en culotte courte, mais il reste un être avec de possible sentiment en sa personne. Et il pourrait découvrir pour la première fois de sa vie, ce que veut dire le sentiment d’amour. Un mélange étrange, instable en sa personne. Il retournerait cette frustration, ce mélange, cette incompréhension envers vous, la personne qui le fait se sentir ainsi et avancerait pas à pas pour essayer de comprendre et évoluer un peu. (Relation à long terme / À développer sur plusieurs Rp)


4
Identité : Chaos
Âge : Physiquement 15 ans / En réalité, même lui ne sait plus
Sexe : Masculin
Race : Dieu
Sexualité : Pansexuel

Physique : Chaos est un être trompeur, il insinue le doute chez les personnes qui le croisent. Non pas à cause de son âge, il est facile de voir qu’il est physiquement en plein milieu de son adolescence. Plutôt à cause de ses traits androgynes. Il est difficile de savoir si cet être égoïste est un homme ou une femme, même lorsqu’il décide d’ouvrir ses lèvres le doute est permis. Sa voix est cristalline et semble avoir été parfaitement ajustée pour coller à son physique longiligne. Oui, son corps est fin ce qui donne l’impression qu’il est grand, mais pourtant, il ne dépasse pas le mètre soixante. Heureusement pour lui, ce n’est pas une taille qui le complexe, loin de là, il s’en sert même pour paraître encore plus adorable et jouer de temps en temps sur son androgynie.

Si on se concentre un peu plus sur son visage, on remarque directement une chose, il possède une bouille d’ange. On pourrait lui donner tout ce qu’il demande, juste en le voyant sourire. Il a le teint légèrement blanc, ce qui met en valeur ses lèvres légèrement rosées et fine. Ainsi que son petit nez discret, se mariant parfaitement avec le reste de ses traits plus fin que les autres. Puis ses deux yeux bleus magnifiques, aussi profonds qu’un lagon, mais qui permet parfois de voir dedans quelques reflets arc-en-ciel.

Petit détail qui fait souvent son succès, il faut bien se l’avouer, tellement son regard est envoûtant et apaisant. Encore un élément permettant à ce diable déguisé en ange d’étendre son filet sur quelqu’un. Sa chevelure est d’un blanc éclatant, proposant selon le jeu de lumière quelques reflets argent notable. Sa pousse capillaire s’arrête au niveau de ses épaules, ses cheveux tombants simplement et son front étant dégagé pour le mettre en valeur. Ses cheveux sont d’une finesse le rendant presque inhumain, c’est comme tenir des fils de soie entre ses doigts.

En ce qui concerne son style vestimentaire, il est assez sobre. Chaos n’est pas un être extravagant de ce côté-là. Il porte des habits simples toujours dans des teintes monochromes. Assez souvent proche du corps pour le bas et un peu plus ample pour le haut, pour faire croire à de possibles formes chez lui et rester toujours et encore dans ce jeu concernant son genre.



Caractère : Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort, voilà un adage qui correspond assez bien à ce cher petit Chaos. L’être à la carrure androgyne et au trait fin, dévoile toujours un élégant sourire, comme si la bonne humeur faisait partie intégrante de sa vie, que le bien-être se trouvait sous chacun de ses pas. Il donne cette impression d’être une bonne personne, aimante, de faire propre sur lui, d’avoir le cœur sur la main et bien des qualificatifs sonnant toujours bien à l’oreille. C’est la carapace que cet être du malin a érigée autour de sa personne, afin de paraître le plus avenant, parfait au possible.

Cependant, cela cache bien des choses, il faut se méfier de ce petit être, car il n’a pas beaucoup de qualité pour lui. Les cordes à son arc sont assez peu nombreuses, quand on attend une bonne action de sa part. Mais si vous chercher un partenaire afin d’agir égoïstement, de vous amuser à votre seul profit, sans prendre en compte les autres, vous frappez à la bonne porte.

Derrière ce joli masque souriant, se trouve un être profondément égocentrique. Chaos fait toujours tout tourner autour de sa personne. Il invite les conversations à revenir vers lui, il veut être le centre de l’attention, il est l’astre qui attire tout à lui, faisant graviter bien des gens et des choses autour de sa personne. Son orgueil est donc fortement développé et il serait fortement mal venu d’essayer de le titiller sur ce point-là. En plus d’avoir un ego surdimensionné, il se trouve que le petit Chaos est un être rancunier et qui généralement ne fait pas dans la demi-mesure. Et cela, même pour une chose qui peut sembler insignifiante, il faut simplement que cela l’ait titillé, car il ne possède aucune patience et se montre très intolérant envers le comportement des autres.

Bien sûr, ce diable en culotte courte possède bien d’autres défauts pour alimenter son côté rancunier et le faire devenir l’une des dernières personnes à se mettre à dos. Il est intelligent, oui cela n’apparaît pas comme un défaut sur le papier, mais il suffit d’ajouter à cela que l’androgyne est un fin manipulateur. Et cette qualité devient rapidement l’une des meilleures armes de Chaos pour faire tourner en bourrique autrui et leur pourrir la vie. Et la recette du parfait, petit connard ne s’arrête pas, il faut encore ajouter quelques ingrédients pour obtenir ce qui est nécessaire. Comme un aspect sadique, lui faisant toujours chercher la plus grosse faille possible pour s’y engouffrer et remuer le couteau dans la plaie. Ajoutons à cela un soupçon de violence physique de sa part et un grand côté joueur et vous vous retrouver avec une parfaite trinité pour soutenir le manipulateur qu’il est.

Dans ce portrait qui se dessine, on peut espérer trouver d’autres qualités, mais cela n’est véritablement pas le cas. L’androgyne possède encore plus de défauts, comme pour essayer d’entacher un peu plus le tableau. Il est un être possessif, il ne partage pas, il n’a pas à le faire, car tout doit tourner autour de lui. Ce qui le rend assez invivable par moments dans sa famille et dans son cercle proche, si on n’adhère pas à sa mentalité. Heureusement que son masque et son côté manipulateur font passer la pilule en douceur. Et en termes de possessivité, celle-ci est fortement développée, au moins que même ses victimes ne sont réservées qu’à lui. Il est le seul à pouvoir s’amuser avec, personne d’autre ne peut les toucher, sauf s’il donne son accord pour un petit jeu. Et pour conclure le tout, saupoudrer l’ensemble de perversité pour obtenir un aspect encore plus malsain de cette fripouille à visage d’ange.



Histoire : La Chaos, l’origine de toute chose sur cette terre. Il aurait donné naissance à bien des choses, la Terre sur laquelle marche les humains, par sa fille Gaïa et son fils Tartare. Il a apporté avec lui les ténèbres et la nuit, par ses enfants Nyx et Érèbe. Il a aussi donné naissance à Éros, l’être offrant amour, instinct primaire, à faire procréer les choses sur cette terre fertile. Voilà les bases du monde qu’avait créé Chaos et de ses enfants découlèrent des générations d’autres divinités, rendant le monde de plus en plus intéressant aux yeux de ce Dieu primordial.

Tous cela reste une belle histoire, mais pourquoi un être tel que lui s’est-il retrouvé à donner naissance à cela et surtout, pourquoi faire ça ? La solitude, l’ego, l’envie. Il était seul dans l’univers, du moins dans sa partie d’univers. Il errait seul dans l’infini du vide, ne trouvant rien n’y personne, fort de son pouvoir, il décida d’user de ses forces pour créer ce qui en ressortit plus tard, la genèse du monde, de la Terre. Il avait des enfants, des êtres faisant parties de lui. Il avait certes perdu en puissance, mais la solitude ne faisait plus partie de ses préoccupations. C’était du moins, ce qu’il espérait, tout simplement, mais pour les Dieux, les choses semblent rarement très simples. Et rien ne désire aller dans leur sens, comme s’ils étaient victimes eux-mêmes d’un terrible destin.

Ses enfants le délaissèrent bien vite, préférant s’occuper de leur propre descendance ou même pire, se livrer de multiples guerres entre eux. Bien vite, ils le délaissèrent, ne l’oubliant pas, mais le renvoyant simplement à la masse informe qu’il était. Une masse ayant quand même donné la vie à cette terre. Pourtant, l’être de solitude et d’ego n’abandonnait pas l’idée d’attirer l’attention de ses descendants. Envoyant des signes, essayant de se faire voir, comprendre, trouver dans ce monde. Mais le résultat ne fut pas des plus précis, expectatif et ni même efficace.

Il se fit lentement connaître, mais non en tant qu’entité divine, mais plus en tant que concept, philosophie, et même étendard de certaines idéologies. Malgré ses efforts, personne ne lui donnait l’attention qu’il désirait et pensait amplement mériter. Son orgueil était frappé de plein fouet, se sentant encore plus solitaire et trahie qu’avant la création du monde. Un être bien trop orgueilleux pour supporter l’ignorance de ce qu’il avait créé. Pour lui, ils devaient tous lui être redevable, mais la vie n’est pas ainsi faite. On ne doit pas être redevable envers la personne qui nous a donné la vie, simplement reconnaissant s’il le mérite. Et vu le caractère, l’ego et le caractère immatériel de Chaos, il n’avait ce qui était logique et uniquement ce qu’il méritait durant cette simple occasion.

Ainsi l’être immatériel dû se contenter d’être un simple observateur, de devoir admirer, sans pouvoir interagir. Durant son examen, sa vision de l’évolution de l’humanité, il découvrit bien des choses. Certaines personnes connaissaient quand même son histoire, sans forcément lui rendre l’attention qu’il désirait. Malgré cette fierté bafouée, il continua de se concentrer sur son observation, car l’autre découverte qui l’avait poussé à poursuivre était intéressant. Chaque être humain et autres bipèdes semblait posséder le germe du Chaos en eux. Capable du meilleur comme du pire, de penser à eux en priorité, de vivre par envie, des détails qui représentaient parfaitement le Chaos. Alors même si personne ne lui donnait son intention, ils portaient tous, une trace de lui en eux.

Voilà de quoi réconforter cet être divin, même si personne ne le vénère, il a marqué sa création d’une manière indélébile. Pendant une longue période, cela fit son bonheur, avant de lentement provoquer l’inverse en son fort intérieure. Des personnes pouvant agir comme lui, cela devait être amusant d’interagir, de se jouer d’eux, d’avoir cet immense bac à sable rien que pour soit. Il voulait les rejoindre, fouler cette terre, marcher parmi les humains pour mieux profiter d’eux. Mais pour cela, il n’y avait pas beaucoup de solution, il devait avoir un corps physique, pour marcher sur le plan des mortels ou du moins tangible.

Cela pendrait du temps, mais la possibilité existait. Il devait condenser, concentrer tous ce qui le composait, l’agglutinait pour enfin lui offrir une masse. Après, il n’aurait plus qu’à lui donner une forme, la plus simple qui soit. Lentement, l’être du Chaos se plongea dans le sommeil, vivant dans un état de transe pour continuer à observer la Terre, tout en accumulant ses forces. Cela pendrait des années, des décennies, des siècles, mais cela pouvait en valoir la peine pour vivre au sein de l’humanité et de ses rejetons, d’une certaine façon.

Les temps passèrent, défilant à vitesse grand V pour cette créature ayant déjà connu le vide de l’infini. D’un œil discret, ils pouvaient admirer l’humanité évoluer, se déchirer pour des pulsions dignes du Chaos, mais retrouver un équilibre leur revenant, mais celui-ci restait toujours précaire. Et la corruption non plus ne quitta jamais ses terres, pour le plus grand plaisir de cet étrange énergumène. Début de nouveau millénaire, celui provoquant le fameux bug de l’an deux mille. C’est précisément à cette période de Chaos vint enfin à cristalliser son enveloppe charnelle. Il ressemblait d’abord à une simple forme noire, avant de voir un corps fin se construire, juvénile aussi.

Son heure était venue, celle de poser un premier pied sur terre. Une forme d’appréhension voyait le jour en sa personne. Il se demandait si cela serait une bonne idée, puis toutes ses années de solitudes et son envie d’être aussi chaotique, de s’amuser prenait le dessus. Il pénétra donc dans le royaume des mortels commençant à fréquenter cette espèce.

Il dut s’accoutumer dans un premier temps à leur mode de vie et surtout remarquer quelque chose. Son apparence ne changeait pas avec le temps, ce qui pouvait attirer les regards sur lui. Il vint donc à prendre la décision de changer souvent de coin du monde, afin de profiter sans être embêté ou jugé étrange. Il voulait de l’attention, mais pas au moins de griller ce qu’il était réellement. Ainsi se vie fut profitable, passant de bon moment, avant de mettre les voiles ailleurs et de profiter de nouveaux horizons. La vie ne lui avait jamais paru aussi amusante que depuis ces dernières années.

C’est donc en menant cette vie-là, que Chaos s’est retrouvé à loger dans la ville de Seikusu, un endroit peuplé d’une forte puissance, zone bien délicieuse pour ce Dieu. Il mène une vie tranquille, se faisant passer pour un simple lycéen, profitant de chaque occasion pour se sentir bien, aduler, aimer et s’amuser avec grand plaisir. 

Autre : Chaos possède un pouvoir conséquent, celui de pouvoir changer la réalité, de la modifier à sa guise autour de lui, dans un certain périmètre, une cinquantaine de mètres autour de sa personne. Dis ainsi, le pouvoir peut sembler conséquent, mais ce dernier possède quand même des limites. Il ne peut affecter ce qui est biologiquement composé de chair. La faune, humains et autre race ne peuvent être modifiés par son pouvoir. Seul ce qui est non-vivant et appartenant au règne végétal subira les conséquences de son pouvoir. Et lorsqu’il modifie la réalité, il ne peut rien créer venant de la faune ou étant humanoïde et vivant.

Concernant son mode de vie, ce dernier change souvent de logement ou même de vie, mais il fait toujours en sorte de vivre dans l'opulence qui convient selon lui à sa stature de Divinité.

Comment avez-vous connu le forum ? Par ce premier compte dans je fais une refonte.

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L’ancienne divinité faisait preuve de patience pour le moment, sachant très bien qu’il n’y avait aucune raison de venir s’inquiéter concernant la réponse de la demoiselle. Il avait posé sa question de façon rhétorique à Hiyori, il se doutait parfaitement de son état. Himéros avait la capacité de sentir le désir des personnes proches de lui et celui de la lycéenne irradiait les environs, se faisant encore plus intense que la luxure présente dans le corps de l’homme. Malgré leur ébat et la jouissance qu’elle avait déjà eu, son corps semblait en réclamer encore plus, profitant toujours plus d’un plaisir grandissant et explosant dans son intimité et qui viendrait se répandre dans son corps. Le fait qu’elle soit aussi sensible, sachant que le Dieu avait supprimé son pouvoir, démontrait encore une fois le talent de la jeune femme dans le domaine de la sexualité.
 
Tandis qu’elle restait confortablement installée sur ses genoux, il détaillait cette dernière pour capter encore le moindre signe de plaisir qui émanait de son corps. Elle tremblotait légèrement et son teint était aussi rouge que tout à l’heure. Alors il n’y avait vraiment que dans le feu de l’action qu’elle se dévoilait totalement ? Semblant un peu plus timide quand elle ne laissait pas le feu du désir déchirer son corps sous le plaisir.
 
Himéros entendait alors la demande de sa partenaire, affichant un sourire encore plus malicieux. Elle osait enfin demander d’elle-même ce qu’adorait faire l’entité divine sur le sol des mortels. Bien entendu, il allait répondre de façon positive à sa demande, mais en ajoutant sa petite touche à lui. Il comptait bien la taquiner pleinement et la faire craquer, languir et jouir de tous son soul. Ses mains se mettaient alors en action, déposant le sac contenant les jouets de côté pour faire les choses de façon un peu plus classique dans ce parc. Quitte à le faire entourer de nature, autant le faire comme la nature leur avait permis.
 
Ses comparses agissaient donc de concert pour mettre Hiyori à califourchon sur sa personne, lui laissant bien écarter les cuisses et pouvoir se tenir sur ses genoux à elle. Il caressait ses cuisses en douceur pour retirer ce qui gênait Himéros afin de lui offrir ce qu’elle désirait entre ses lèvres les plus intimes. Il fait quand même ne sorte qu’elle puisse se cacher en collant son bassin contre le sien, si quelqu’un venait et simplement donner l’impression d’être un couple s’affichant un peu trop dans le paysage japonais. Lorsqu’il arriva à mettre sa fleur à nue, il stoppait l’œuf vibrant en elle, le retirant en douceur, se doutant bien que sa peau devait être assez sensible à cause de la balade, il fallait éviter de la frustrer encore plus.
 
Car il comptait le faire d’une autre façon. Maintenant, c’est son pantalon qu’il déboutonnait pour libérer l’accès à sa verge étant dans une forme de demi-molle, le désir étant en lui, mais il n’était pas assez stimulé pour pleinement se dresser et offrir à la jeune femme ce qu’elle désirait. Cependant, cela ne resterait pas un problème bien longtemps au vu de ce qu’il comptait faire à cette lycéenne. Il faisait baisser le bassin de la brune pour que sa fleur soit collée à sa hampe. Il la faisait bouger alors pour user de son excitation afin de préparer son membre et aussi l’exciter en le gorgeant de sang.
 
Il espérait aussi que de se frotter ainsi, simuler en quelque sorte l’acte, puis sentir son membre se gonfler viendrait maintenant le brasier ardent présent dans les hanches de la jeune femme. Tout en la tenant par les hanches, ses mains glissaient un peu plus vers son fessier pour aussi jouer des boules de geisha encore présent en elle. Himéros en faisait sortir une pour la faire rentrer, faisant ce mouvement en boucle. N’ayant besoin que de quelques doigts, sa paume retournait devant pour caresser son clitoris et la stimuler de tous les recoins possibles, ne lui laisser aucune chance de laisser le désir descendre en elle.
 
Dans son cas, il était sur d’une chose, sentir la demoiselle bouger sur son corps faisant grandement redresser sa hampe qui reprenait de son volume surprenant. Il faisait même accélérer le bassin de la brune sur sa verge, il faut aussi dire que le faire en extérieure et le frisson de cette pratique irriguait son esprit d’un plaisir futur qu’il imaginait. Finalement son pénis se dressait totalement, il soulevait de nouveau le bassin de la demoiselle, sa hampe suivant le mouvement pour se dresser et toujours rester proche de la fente de la jeune femme. Son gland caressait même l’entrée de sa fleur. Ce qui était parfait, car sans attendre il fit en sorte que la lycéenne vienne s’empaler sur sa verge subitement.
 
Il profitait du fait de l’avoir déjà prise toute à l’heure pour aller au plus profond d’elle, sans aucune douceur et faire en sorte que leur bassin s’embrasse, l’obligeant à supporter toute sa verge, malgré la divine sensation procurer par l’étroitesse de sa fente. Il vint la lever plusieurs fois et la faire descendre aussi brutalement sur son morceau de chair. Il la laissait alors poser sur son bassin, relâchant ses hanches pour claquer simplement son fessier.
 
« Allez Hiyori remue ton cul pour me faire jouir, je veux que tu me montres comment une perverse dans ton genre, fait pour que je vienne la remplir complètement. »


6
Himéros émettait de la fierté envers la jeune femme, elle semblait accepter sa condition. En tant que mortelle, humaine et partenaire, il ne pouvait espérer mieux. Il devait réellement la faire sienne, cela serait idiot de passer à côté d’une telle personne. Il espérait pouvoir la convaincre et suffire à la satisfaire à cause de son état un peu pitoyable pour une divinité. Il ne lâchait pas la demoiselle du regard, la voyant apporter une petite touche d’affection à son organe reproducteur, comprenant clairement qu’il venait de supprimer sa timidité. Est-ce que cette dernière allait revenir en sortant de la cabine ou ferait-il toujours face à la véritable Hiyori à présent ? Celle qui semblait aussi perverse que cette divinité.

Alors qu’il la voyait se relever et voir des rougeurs revenir, il semblerait que sa gêne soit toujours un peu présente, il pourrait donc continuer de la taquiner. Mais pour le moment, il devait aussi se montrer réconfortant et la féliciter, il trouvait ce genre de détail assez important, c’était l’autre facette d’un aspect sauvage et brutal. Le Dieu savait parfaitement faire dans la douceur aussi quand il le fallait. Il portait donc sa main sur la tête de la brune, pour caresser cette dernière en signe d’affection. Puis ses lèvres se portaient sur son front pour embrasser ce dernier.

« Je suis fier de toi Hiyori. Tu es une sublime partenaire, surtout lorsqu’il s’agit de faire une fellation. Je vais donc bien t’entraîner et te rendre encore plus perverse. J’aimerais te dire que tu pourras séduire tous les hommes avec ça, mais je ne pense pas vouloir te partager après t’avoir initié un peu plus. »

Il finissait sa phrase tout en venant ranger le matériel qui n’était pas en la jeune femme. Il devait bien faire passer cela en caisse quand même, non ? Il y a quand même un objet qu’il ne rangea pas, il osa même le déballer. Il s’agissait de l’œuf vibrant, il le sortait, s’en retournant face à la demoiselle pour lui montrer l’objet et lui faire comprendre par le regard ce qu’il comptait lui faire. Il fit donc glisser en elle le sextoy pour la taquiner un peu. Il allumait ce dernier au minimum dans un premier temps, afin de le laisser en elle jusqu’à leur arrivé à l’hôtel où il comptait s’occuper encore d’elle.

Lorsque le nouvel élément de son jeu était en place, il reprenait le temps de ranger et s’habiller pour donner l’impression que rien ne s’était passé dans la pièce. Il laissait le temps à la demoiselle de finir de se vêtir aussi, pour jeter un coup d’œil dehors. Ne voyant rien, il sortait alors avec sa partenaire, lui tenant la main pour ne pas la perdre et pouvoir sentir par ses contractions musculaires son état. Il s’amusait même à augmenter l’intensité de l’œuf pendant la promenade. Il s’occupa de ce qui était nécessaire auprès d’une vendeuse et régla sa facture pour que les objets lui appartiennent à présent, même s’il avait déjà fait en sorte de les utiliser et vérifier leur qualité. Il se gardait simplement de le dire, cela pourrait lui apporter des problèmes.

Lentement, il sortait du magasin avec sa partenaire, prenant le temps d’être un peu plus éloigné de la boutique pour regarder Hiyori dans les yeux, un air toujours malicieux dans ses prunelles.

« C’est bon, tu peux avaler maintenant. Je suis encore plus fier de toi. Au fait dis-moi, tu aimes les surnoms coquins ou encore les insultes ? Car j’ai découvert un aspect de toi encore plus pervers que je ne le pensais. »

En lui tenant toujours la main, Himéros marchait alors dans les ruelles, essayant de se souvenir du chemin de lui-même et demandant à Hiyori quand il n’avait vraiment plus d’idée de comment faire. Il essayait de retourner sur la place où ils s’étaient rencontrés, de là, il pourrait retrouver la route pour son hôtel. Bien entendu, pendant le trajet il s’amusait avec l’œuf, le mettant autant au minimum qu’au maximum pour continuer d’éveiller le désir de la brune, comptant bien la laisser toujours grisée par la luxure. Il continuait de marcher jusqu’à tomber sur quelque chose d’intéressant. Il n’avait pas forcément fait attention la première fois qu’il était passé, mais un parc se trouvait sur le chemin de son hôtel.

Une nouvelle idée tordue venait d’apparaître dans son esprit, il entraînait donc la jeune femme dans ce domaine de verdure, marchant un petit moment dedans pour remarquer qu’il était pratiquement désert. Cela confirmait encore plus la bonne réalisation de son plan. Il prenait donc place sur un banc pour tirer sa partenaire sur ses genoux, lui offrant un répit assez intense, pour l’éviter de marcher tout en se faisant stimuler de cette façon. Il s’approche de son oreille pour lui souffler les prémices de son objectif à l’oreille.

« Dis moi Hiyori, tu penses pouvoir attendre jusqu’à l’hôtel ou tu as envie que je joue encore avec toi ? Si c’est le cas, on peut s’amuser ici. J’aimerais que tu me dises ce dont tu as envie, d’accord ? »


7
Himéros se laissait bercé par la situation, étant prit en tenaille par un cocktail plus qu’érotique et excitant. Son corps était contre celui de sa partenaire, sentant sa chaleur contre lui et les frémissements de sa peau. Il pouvait entendre son souffle se mêler à sa respiration rauque, les battements du cœur semblant être aussi intense pour elle que pour lui. Il sentait sa cyprine enduire sa hampe dressée, démontrant son excitation, sa verge pulsait sous le sang essayant continuellement de remplir chaque recoin de ce muscle creux. La poitrine de la jeune femme se dressant entre ses doigts étaient des plus exaltants. L’entendre soupirer, essayer de parler malgré son souffle manquant l’excitait, car il connaissait les raisons d’une telle réaction. Il adorait ça, c’est pour ce genre de moment de sensation grisant entre le plaisir du corps et sa fatigue, c’était aussi satisfaisant que du sport sans le désagrément de ce dernier, une source éternelle de satisfaction.

L’ancien Dieu écoutait alors la jeune femme lui parler, émettre ses envies. Encore une sensation plaisante, elle qui disait ne vouloir que le plaisir d’autrui émettait enfin une envie personnelle. Il était content d’arriver à lui faire exprimer le fond de sa pensée. Il comprenait encore autre chose, elle avait véritablement un penchant pour la fellation, autant par sa technique que son envie de le sentir se déverser. Il appréciait son allégorie concernant le fait de déverser des litres, si seulement elle savait ce qui l’attendait réellement. Le Dieu produisait énormément de semence, il était un cliché de ce que les humains appellent un acteur pornographique, une incarnation de la plupart des fantasmes et s’il ne l’était pas, il pouvait user de son pouvoir pour remédier à cela. Alors il allait donner ce que désirait Hiyori, une bonne quantité de semence.

Himéros se relevait alors, ne remettant pas le bâillon à la jeune femme, elle allait devoir contenir d’elle-même ses cris de plaisirs. La divinité voulait profiter encore de la fente aussi serrée de sa partenaire, ne comptant déverser son nectar divin qu’au dernier moment dans les lèvres de la jeune femme, elle allait connaître encore et encore l’aspect bestial de l’être aussi fluet.

Le rosé venait tenir les poignets de la jeune femme pour la tirer en arrière, lui forçant à courber l’échine et ondulant son corps ce qui allait provoquer d’autres sensations en sa personne. Il bougeait alors à nouveau férocement, ne prenant pas le temps d’être doux. Il imposait de nouveau un tel rythme à Hiyori, voulant la surprendre et la taquiner à sa façon de son jeu. Il prenait son pied en la sentant encore plus serrée, contractée autour de son pénis. Son souffle devenait déjà plus lourd ayant à peine eu le temps de récupérer son rythme dans cette situation. Sa verge commençait à palpiter, signe que sa jouissance allait bientôt approcher, mais il continuait encore de se défouler comme un forcené en elle.

Finalement, sa jouissance se faisait sentir, il se stoppa alors immédiatement pour éviter de rompre la demande émise par la demoiselle. Il se retire de la jeune femme, relâchant son emprise sur elle, pour porter sa poigne dans sa chevelure. Il met à genoux la demoiselle et colle à nouveau sa hampe contre ses lèvres. Cette fois-ci, il ne lui laisse pas la possibilité de montrer son talent, il vient exploiter celui-ci, l’utilisant comme un simple sextoy. Il montrait une facette de sa personnalité qui sera totalement différente lorsqu’il la pendra dans des draps, car ses envies auront encore changé. Voilà ce qu’il était, changeant, comme n’importe quel Dieu.

Il faisait en sorte que sa partenaire vienne toujours embrasser son bassin de ses lèvres gourmandes. Il continua ainsi, son membre palpitant de plus en plus pour finalement céder à l’orgasme puissant, le premier depuis bien trop longtemps à son goût, que cela était bon. Il maintenant Hiyori en gorge profonde pour déverser sa semence directement dans sa gorge, puis il la faisait reculer au fur et à me sure des jets de semence qu’il expulsait dans son gossier. Il ne lui laissa alors que son gland entre ses lèvres, remplissant à sa limite sa bouche de ce qui lui restait de semence pour ce premier orgasme.

Son regard se plantait dans le sien, le bout de sa hampe toujours entre ses lèvres, le souffle lourd, un sourire se dessinait quand même sur son visage, le laissant reprendre la parole.

« Je vais retirer ma queue et je t’interdis d’avaler ma semence, tu vas devoir la garder en bouche jusqu’à ce que l’on sorte du magasin. Tu penses pouvoir tenir sans te faire griller ? Et comme pour le chapelet, tu vas devoir le garder jusqu’à ce que l’on aille à l’hotel, j’espère que cela ne sera pas trop agréable pour toi Hiyori. »

Lentement, il retirait sa verge de sa bouche, lui laissant le choix ou non de respecter cette demande, ce n’était qu’une idée perverse du Dieu de la luxure sur cette terre de mortels.

8
Les choses commençaient à devenir de plus en plus sérieuses, ce n’était plus une histoire afin de profiter de la cabine pour tester les objets et glisser un plug afin de la titiller. Non, c’était bien autre chose, il s’agissait de prendre son plaisir de bien des manières. Himéros se plongeait dans le désir, il n’avait qu’une envie, profiter du corps de sa partenaire, de se plonger en elle pour sentir le désir traverser son être. Il faut avouer qu’il avait été surpris par la façon de faire de la demoiselle, être aussi doué par un jeune âge, c’était une perle rare, il devait la garder proche de lui, en faire une de ses fidèles autant pour sa survie que son propre plaisir.

Il attendait donc patiemment que la brune vienne répondre à sa demande, ce qu’elle fit une nouvelle fois sans se faire prier. Elle était comme lui, enivrée par le désir intense qui parcourait son âme pour le moment. Il voyait alors son fessier se tendre sous ses yeux et la voir écarter bien comme il faut sa fente pour recevoir l’être charnel en sa personne. Cette scène torride enflammait Himéros et la phrase de la jeune femme ne fit que jeter de l’huile sur le feu. Il n’allait pas se priver de la combler comme elle le demandait aussi gentiment et passionnément. Il agrippa d’une main ses hanches, de l’autre, il guidait sa hampe pour entrer un peu plus facilement en la demoiselle au vu de sa carrure.

Son gland passait les pétales de sa fleur pour glisser lentement en elle, lui faisant sentir centimètre par centimètre jusqu’à toucher le fond de la demoiselle. Hiyori allait devoir supporter les assauts suivant du Dieu, car celui-ci n’avait entré qu’une partie de sa verge en elle. Il allait aussi devoir s’occuper d’un autre problème, éviter que sa partenaire couine un peu trop et qu’ils se fassent entendre. Il attrapa donc la culotte de la jeune femme sur le sol. Il courbait son échine pour approcher ses lèvres de son oreille et plus facilement ses doigts de ses lèvres. Il lui faisait ouvrir la bouche pour glisser alors la culotte entre ses lèvres et faire un bâillon artisanal.

« Avec ça, tu seras silencieuse, tu ne veux pas te faire attraper alors que tu prends ton pied n’est-ce pas ? Puis, je ne risque pas d’être tendre, donc tu vas devoir supporter mes assauts de ton mieux. »

Il redressait son échine, pour agripper la chute de rein de la demoiselle de ses deux mains, la tenir fermement, démontrant alors la force qu’il allait mettre dans les mouvements de ses hanches. Himéros recula doucement son bassin pour frapper fortement en elle, comme pour essayer d’entrer le reste de la verge, former la jeune femme à tout recevoir en sa fente, la former selon ses goûts, ses formes, la faire sienne durant ce moment. Il continuait comme ça pour toujours frapper plus loin, toujours le fond. Son rythme devenait plus intense au fur et à mesure, démontrant de plus en plus son aspect sauvage dans cette forme de sexualité.

Il la prenait comme ça pendant plusieurs minutes, ondulant lui-même son bassin pour caresser d’autres parties de son corps, son rythme devenant soutenue, faisant au maximum pour finalement réussir après une dizaine de minutes à faire claquer son bassin contre le fessier de Hiyori, il avait alors réussi son but, totalement rentré sa verge en la jeune femme. Le travail avait été rapide, ce n’était sans doute pas la première fois qu’elle venait faire face à ce genre de verge, elle devait avoir goûté à des partenaires doués.

Maintenant qu’il avait réussi son objectif, il s’en fixait un autre, faire jouir la demoiselle durant ce moment, la sentir frémir de plaisir durant cet instant. Il relâchait donc sa chute de rein d’une main pour attraper le cercle creux pendant au chapelet se trouvant en Hiyori. Il attrapait se dernier pour sortir une à une les quatre premières boules, puis les faires entrer à nouveau, comme si la jeune femme subissait une forme de double pénétration. Il devait user de toutes les possibilités possibles pour faire craquer la demoiselle. Il ne voyait plus le temps passer en sa compagnie.

Il osait jouer de chose amusante, pendant qu’il touchait le corps de la brune, il faisait en sorte d’augmenter à son paroxysme ses sensations que chaque mouvement de hanches soit pratiquement capable de la faire jouir. Il voulait apparaître comme le meilleur de ses amants, son partenaire idéal pour réussir à la convaincre de rejoindre son harem, de devenir sienne pour le présent et le futur de sa vie. Il finit tout de même par se lasser de jouer des boules en son anus, les enfonçant à nouveau totalement. Son corps se courba encore pour se faire toucher leur dos, il pouvait alors mordre son cou dans cette position, tout en attrapant sa menue poitrine. Il jouait de ses tétons, les caressants, les stimulants, les pinçant, tout en renforçant encore leur sensibilité.
À force de jouer de son corps, il faisait grimper son propre plaisir, son orgasme à lui étant de plus en plus proche pour le moment. Il retira le bâillon des lèvres de Hiyori pour lui laisser une chance de parler et surtout répondre à une de ses questions.

« Hiyori, ta fente est tellement délicieuse que je ne vais pas tarder à jouir. Alors une fois que tu auras ton prochain orgasme, je me retirerais pour que tu me finisses avec ta bouche, c’est clair ? Ou tu préfères que je te remplisse sans protection ? »



9
Himéros admirait la scène qui se dessinait sous ses yeux, il avait bien l’impression d’avoir allumé un puissant feu en la jeune femme, cette dernière ne se cachant plus derrière un voile de timidité Elle se laissait porté par le plaisir que venait donner le Dieu en l’investisant de ses doigts en sa rose et de sa baguette sur son bouton d’amour Et il ne comptait pas s’arrêter-là avec cette dernière, voulant aller toujours de plus en plus loin pour voir cette expression sur son visage et bientôt pour une tout autre raison, il faut bien le dire.

Alors que ses doigts dansent en son anus, passant du rythme d’une valse à une salsa de plus en plus endiablé au fut de sa façon de se détendre autour de ses doigts, il pouvait sentir la jeune femme en action autour de sa ceinture. Il ne lui fallut pas longtemps pour se retrouver sans rien autour de son entre-jambe, Hiyori démontrant un certain empressement dans cette situation. Le visage qu’elle vint dévoiler en voyant sa verge faisait sourire le Dieu de contentement, même une divinité avait besoin de temps en temps que l’on flatte son ego. En fait, surtout les Dieux au vu de leur comportement depuis des millénaires.

Et son sourire ne tarda pas à se transformer en autre chose, quelque chose de bien plus spécial pour le coup, de surprenant même. Un visage stupéfait, mais ce fut du plaisir et de la satisfaction avant. La jeune demoiselle s’occupant de stimuler son gland, démontrant de bien des façons qu’elle savait où venir s’occuper d’un membre pour le faire se dresser fièrement devant elle. Il ne fallut pas longtemps pour que sa verge gonfle et prenne toute son ampleur. Et la surprise ne s’arrêta pas là pour l’ancienne divinité, tout se dévoila lorsqu’elle vint lentement le prendre en bouche.

Il était déjà prêt à lui dire qu’elle n’avait pas aller trop loin, grossière erreur de sa part. Il voyait la jeune femme engloutir sa verge sans véritablement le moindre soucis, faisant frémit de plaisir Himéros. Il fut même tellement et agréablement surpris que son corps se stoppait, bien la première fois qu’une jeune humaine surprenait la divinité dans un acte sexuel. Cela eut l’effet de le motiver encore plus dans son envie de désir et de plaisir avec la jeune femme. Rien que par cet exemple et ce jeune âge, il voyait en elle, une future amante parfaite. Il devrait sans doute l’entraîner sur bien des points, mais il la voulait dans son harem personnel, cela était indéniable.

Puis, il ne pourrait clairement pas dire que c’était une chance de débutante, car elle osait recommencer plusieurs fois l’exploit, faisant frémir en continue son corps. Sauf que cette fois-ci, il ne stoppa pas son corps sous la sensation, il venait donner encore plus de sa personne. Ses doigts accélérait encore en elle, n’attendant pas plus longtemps pour oser un troisième comparse en son orifice anal. Le Wand se pressant aussi un peu plus sur son clitoris et son bouton d’amour. Son souffle devenait un peu plus rauque au vu des actions de la jeune femme, il n’allait pas tarder à craquer et la prendre ainsi sans retenue et sans faire attention à son environnement.

Il fit de son mieux pour contrôler cette vague de désir prenant possession de lui, décidant de retirer ses doigts de la rose de Hiyori. Il portait son attention sur d’autres jouets, le chapelet anal qu’il avait prévu, celui-ci étant aussi large que deux à trois des doigts du Dieu et composé de cinq perles. Il ouvrait celui-ci assez difficilement, n’ayant qu’une main et surtout sentant la fellation de la jeune femme se faire. Il finit enfin par réussir à ouvrir l’objet et le sortir, se saisissant du lubrifiant. Il en répandit sur le jouet, pour le saisir ensuite et commencer à enfoncer la première perle en la demoiselle.

Lentement, mais sûrement, il remplissait l’anus de sa partenaire du chapelet qu’il pourrait s’amuser à sortir plus tard et rentrer pour stimuler les zones érogènes de sa rose et pimenter les sensations durant l’ébat en lui-même. En parlant de ce dernier, il n’allait pas tarder à le provoquer, au vu du plaisir que lui donnait la demoiselle. Il stoppait le wand sur le clitoris de Hiyori pour le déposer et pouvoir attraper la chevelure de la demoiselle, afin de la calmer, n’ayant plus assez les idées claires pour formuler une phrase correctement envers cette dernière. Il lui faisait relâcher sa queue pour reprendre son souffle.

“C’est très bien Hiyori, il n’y a rien à redire sur la fellation, beaucoup de femmes seraient jalouses de ta technique et beaucoup d'hommes en auraient déjà jouis. Tu as un avenir prometteur, peu de personne pourront te résister. Maintenant, tourne toi, écarte bien les jambes et ta fente pour moi. Je dois voir ce qu’il en retourne concernant la pénétration. Tu es d’accord ?”
 

10
Il semblerait que l’être du désir commençait à cerner les ressentis de la demoiselle dont il s’occupait. Il lui arrivait de fermer les yeux pour se concentrer sur le désir émis par la jeune femme. Himéros était comme un radar à luxure, il pouvait ressentir le désir de quiconque l’entourait, mais le plus impressionnant, c’était sa capacité à capter les variations de ce dernier. Il comprenait donc parfaitement que le clitoris de la demoiselle était plus que sensible surtout sous l’action de la baguette. Il dut même rouvrir les yeux en la sentant glisser le long de son corps, le plaisir était si intense qu’elle ne pouvait plus se maintenir correctement ? Cela plaisait au Dieu, qui voulait la taquiner encore plus, la voir se tortiller sous les affres du plaisir envahissant son corps.

Himéros continuait donc son jeu, appuyant par moment la baguette de façon plus intense pour varier les pressions sur son bouton d’amour. Il lui arrivait aussi, par moment, de le faire bouger pour entraîner encore et encore de nouvelles sensations sur ce bouton de rose. Il faisait même découvrir les sensations d’un tel objet en glissant le long de sa fleur intimes, se faisant un chemin entre ses lèvres. Les mouvements étaient amples et lents pour éviter la douleur et ne laisser place qu’au plaisir que la demoiselle pourrait ressentir par sa fente.

Bien entendu, il ne comptait clairement pas délaisser sa rose de velours, ses doigts caressant toujours la zone. Il sentait que ses comparses glissaient sans problèmes, il décidait donc de passer à l’étape suivante. Son majeur posé contre son anus, il faisait pression du bout du doigt pour inciter l’endroit à s’ouvrir et laisser passer Himéros en elle. C’est ainsi qu’il initiait la demoiselle à la pénétration annale, le faisant en douceur. Il avait beau avoir des envies de taquineries et domination, il n’était pas une brute sans nom, venant faire de l’anal à sec à une demoiselle n’ayant pas eu la chance de pratiquer cela.

Il rentrait donc son doigt, phalanges par phalanges pour lui laisser le temps de s’adapter, il ne courbait pas son doigts pour que la sensation en elle ne soit pas trop dure pour la première fois. Une fois son comparse totalement en elle, il pouvait bouger lentement, ressortant avec autant de douceur que son entrée, laissant simplement une phalange à l'extérieur. Il continuait comme ça un moment, courbant lentement son doigts pour caresser ses parois, ce qui était la zone la plus sensible en anal. Il venait même se frotter à la parois jointe à celle de sa fente, afin de stimuler indirectement cette partie de son corps, rien de plus, rien de moins.

Il jouait donc ainsi du corps de la demoiselle, pressant le wand contre son clitoris, tout en ouvrant sa rose de velours à la future insertion du plug ou même d’un autre jouet pour continuer à la dilater pleinement et profiter de cet instant.

Son propre plaisir ne cessait d’augmenter à force de taquiner Hiyori et la voir réagir ainsi, lui aussi voulait continuer de jouer et profiter de ce plaisir. Il avait donc trouvé la parfaite méthode pour taquiner encore la demoiselle et profiter de ce délicieux moment d’éducation et de découverte.

“Vu ta position Hiyori, vient défaire mon pantalon et montre moi les résultats de ton entraînement à la fellation.”

Il se doutait que l’idée pourrait sans doute plaire à la jeune femme, elle qui adorait donner du plaisir à son partenaire, l’idée pourrait sans doute lui convenir. Il espérait simplement qu’elle ne serait pas trop surprise par son membre. Il faut dire que ce dernier avait été influencé par la culture gréco-romaine dont il tirait quelques fervents à l’époque, il est donc l’incarnation de ce qui fait un être laissant ses pulsions le contrôler, le dominer et non l’inverse. Dans cette culture, un petit membre signifiait un contrôle de lui-même, de ses désirs, du fait de ne pas se laisser corrompre par les vices et la luxure. Himéros étant totalement à l'inverse de cela, sa hampe était toute sauf petite, ce qui contrastait dés fois avec son physique un peu fragile ou fin. Il espérait que cela ne viendrait pas faire paniquer la demoiselle.

Mais bon, il n’avait pas le temps de s’inquiéter de cela, il voulait taquiner encore plus la demoiselle. La voyant donc capable de supporter assez facilement son doigt en son anus, il passait lentement à l’insertion d’un second comparse en elle. Il ne s’arrêtait pas à ce seul ajout, il usait encore de son pouvoir sur la jeune femme, doublant la sensiblité et le plaisir qu’apportait le wand sur son clitoris et ces doigts en elle. Il voulait qu’elle soit subjugué par le plaisir, qu’elle ait du mal à retenir ses cris dans la cabine, qu’elle vienne même possiblement jouir de se faire stimuler par derrière et simplement par son bouton de chair.

11
L’entité du désir reste debout à fixer tendrement la demoiselle qui allait bientôt subir ses vices. Son sourire était tendre, pendant que son regard brûlait d’un léger désir ardent en lui. Il avait lâché ses mots à la jeune femme, attendant simplement sa réaction à la suite de sa demande. Une nouvelle fois, il était possible de lire en elle comme dans un livre ouvert, ce qui faisait sourire Himéros. Il avait une envie folle de la taquiner encore, de s’amuser en sa compagnie, tout en lui faisant prendre son pied pour le moment. Les échanges de regard s’en suivirent, le Dieu ayant l’impression que la demoiselle cherchait du réconfort ou quelque chose de similaire. Son regard se faisait alors plus tendre et doux à l’égard de cette dernière.

Il ne fallut pas plus longtemps apparemment pour que Hiyori commence à retirer ses vêtements sous le regard passionné de l’entité divine. Il l’observait avec un grand intérêt, sentant son propre désir monter en flèche en découvrant ses courbes et sa peau nue. Son regard devenait de braise pour ne pas lâcher la demoiselle d’une semelle jusqu’à la voir entièrement nue. Ce mélange de gêne et de son corps nu était un spectacle des plus simple et érotique pour l’être offrant l’amour physique. Lorsque là demoiselle lui posa la question, il souriait tendrement à ses paroles, s’approchant lentement d’elle. Il attrapait avec douceur ses poignets pour l’empêcher de véritablement cacher quoi que ce soit.

« Ton corps ne me dérange absolument pas, bien au contraire, tu es magnifique et excitante. »

Pour compléter ses paroles, il vint embrasser la jeune femme tendrement, puis avec plus de passion. Sa langue venait chercher la sienne pour une danse torride et endiablée jusqu’à perdre le souffle et la tête durant ce moment-là. Peu après, Himéros brisa le lien entre les deux, libérant ses mains, afin de se permettre de retirer sa veste à lui, ainsi que toutes les couches de vêtements supérieure. Il était donc torse-nue devant la jeune femme, se retournant pour prendre un objet, le wand pour être plus précis. Il ouvrit la boîte pour prendre cette baguette vibrante, regardant si elle était chargée et une fois la confirmation obtenue, il pouvait passer au plat de résistance.

De sa main libre, il venait saisir la demoiselle à la taille pour la coller contre lui, bassin contre bassin. Il venait encore chercher ses lèvres pour quelques échanges sympathiques. Puis lentement, il descendait couvrant son cou de divers baisers et morsures jusqu’à se trouver devant ses formes. Sans attendre, il lapait le bout de ses tétons pour la stimuler et faire dresser ces derniers. Il s’amusait ainsi à stimuler chaque petit mont rosé qui lui appartenait. Lorsque le résultat obtenu lui convenait, il décidait d’agir autrement, le wand s’approchait de sa poitrine, se posant contre un des tétons.

Il allumait alors ce dernier le faisant vibrer à vitesse moyenne pour que cela ne soit pas douloureux sur cette excroissance de plaisir. Pour éviter de délaisser son comparse dressé, Himéros venait sucer le téton, faisant un bel effet de succion dessus. Il inversait de temps en temps les positions pour varier les plaisirs, s’amusant aussi de diverses façons pour pimenter le moment. Comme tirer ou mordre sa chair rosée, ce qui stimulait son côté taquin. Il se calmait alors sur sa poitrine pour éviter de faire devenir cette dernière douloureuse et surtout voulant passer à autre chose. Il remontait donc doucement, mordiller l’oreille de Hiyori, soufflant ensuite quelques mots.

« Tends bien ton fessier en arrière, écarte les cuisses et appuie-toi sur moi pour ne pas perdre l’équilibre, je vais te faire découvrir encore plus de chose délicieuse. »

En attendant qu’elle vienne agir en conséquence, il prenait le lubrifiant qu’il avait prévu, l’ouvrant d’une main et en versant sur ses doigts, afin de les enduire complètement. Une fois que la jeune demoiselle eut accompli sa tâche, Himéros pour continuer de jouer d’elle. Le wand glissa de sa poitrine pour aller entre ses cuisses, se frottant doucement jusqu’à sentir la boursoufflure de son clitoris. Il colla contre l’objet vibrant pour le mettre à sa force maximale et faire grimper le plaisir en elle. Avoir cet objet contre, c’était comme sentir un œuf vibrant trois fois plus puissant.

Cela laissait toujours une main de libre à l’être du désir qui portait ses doigts entre ses fesses, afin de venir saluer sa rose de velours. Il devait bien la préparer pour recevoir ce qui serait sans doute son premier plug à vie. Il caressait lentement cette zone, sans la pénétrer, simplement pour laisser la demoiselle s’habituer à être caressé ici et en ressentir du plaisir surtout.

« Comment te sens-tu Hiyori ? »
 

12
Himéros était comme au Paradis, entouré de tant d’objet dédié au plaisir charnel, tout en étant en charmante compagnie. Qu’est-ce qu’il pouvait demander de plus ? Eh bien une chose très importante, pouvoir user de tous les objets sur Hiyori, voilà ce qui viendrait rendre véritablement merveilleuse cette journée. Il avait donc pris de quoi stimuler la jeune femme et était passé dans un rayon qu’il connaissait un peu mieux et donc il voulait en faire découvrir les horizons à sa future partenaire. Tandis qu’il regardait ce qui était disponible et qui serait amusant à tester, il écoutait la demoiselle lui parler, il posait donc ses prunelles sur elle à présent.

Elle connaissait quelques bases, mais n’avait jamais essayé cela. Il ne devrait donc pas être trop brutal ou hard s’il voulait l’initier à ce genre de pratiques. Bon, lui-même ne pensait pas à ce genre de chose pour débuter de toute façon. Il avait des envies de dominations, non pas de pur sadisme, il savait parfaitement différencier les deux. Il écoutait aussi ce que pratiquait généralement la demoiselle, notant dans son esprit qu’il pourrait user de ce genre de chose, afin de faire une transition et ne pas totalement la plongé dans quelque chose de nouveau et possiblement effrayant pour sa part.

« Je prends bien note de cela. Je veux juste prendre des objets basiques de Bondage, rien de vraiment extravagant. Je pensais à un bandeau et de quoi attacher les mains, tu n’as donc pas à avoir peur, puis cela serait une bonne découverte pour toi. »

Il prenait donc un bandeau en tissus léger et noir, celui là était assez long pour bien s’attacher derrière la tête. Pour les menottes, il prenait une paire en cuir doublé noir aussi. Il voulait éviter du métal pour que cela soit trop serré ou douloureux et pas de cuir brut pour éviter les brûlures dû aux frottements. Il fallait quelque chose de confortable. Cette fois-ci, il ne venait rien mettre dans les mains de la demoiselle, ne voulant pas que son cœur explose sous la pression de ce genre de matériel.

Après cela, il vint à changer de rayon pour se concentrer sur des choses qui semblaient mieux convenir à la demoiselle. Des accessoires plus classiques, des préservatifs, des gels stimulants ou encore simplement du lubrifiant. Il prenait des préservatifs assez fins pour se protéger, tout en optant pour un gel stimulant. Il voulait la faire chavirer sous l’intensité du plaisir. Cela semblait être un bon début pour lui, mais avant d’aller faire la partie essayage, il attrapait du lubrifiant pour tester le plug en la demoiselle, mais pas uniquement. Il faisait un nouveau détour par le rayon plug et godemichet. Il prenait un œuf télécommandé, ainsi qu’un chapelet anal. Il allait l’entraîner à cette pratique du plaisir classique, si le BDSM n’était pas sa tasse de thé.

Une fois que tout était en sa possession, il ne restait qu’une chose, tester la qualité du matériel, avant de passer à la caisse. Cela était dans le bon droit du Dieu de voir la qualité de la marchandise, il n’allait pas jeter son argent par la fenêtre. Il prenait la demoiselle par la main pour l’entraîner vers la zone des cabines ou personne ne semblait être, les vendeurs et vendeuses s’occupant des autres clients présents dans la boutique. Il entraînait donc Hiyori dans une cabine avec lui, fermant celle-ci derrière eux et les isolant dans un coin, en espérant que celui-ci les couvre assez vu ce qu’ils allaient faire maintenant.

Himéros déposais tous cela sur le rebord présent dans la pièce. Celle-ci était assez large, suffisamment pour contenir les deux, sans avoir besoin de trop se serrer et pouvant se déplacer sans problème. L’être du désir plante alors ses prunelles dans celle de la jeune femme, lui soufflant quelques mots pour essayer d’initier un début de quelque chose.

« Hiyori, tu veux bien te mettre nue à présent ? J’aimerais essayer ses objets sur toi, savoir si tu aimes, avant d’aller les acheter. »

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Himéros se sentait pitoyable pour bien des raisons. Il était entrain de vider son sac à une inconnue, il s’était fait maltraiter facilement par cette humaine, il n’avait plus rien à voir avec sa stature d’avant. Et malgré le fait qu’il s’était convaincu de voyager pour oublier cela et profiter de sa vie, cela pesait bien trop sur son cœur, au point d’exploser ainsi. Il ne voyait plus clair, ses yeux étant noyés sous les larmes, il avait du mal à respirer et son corps tressautait sous les sanglots qui parcouraient son corps. Pour une fois, il avait envie de disparaître de la surface de la terre, qu’on ne le voie pas dans cette situation disgracieuse et remplie d’ouverte et faiblesse à son encontre. Mais en même temps, il voulait qu’on le prenne dans ses bras et qu’on le réconforte, qu’on vienne apaiser le poids qui pèse sur son cœur et sur son âme.

Il aurait accepté l’affection de n’importe quoi ou n’importe qui et il l’a reçu. Il se laissait donc aller contre la demoiselle, reposant sa tête contre elle et appréciant ses caresses dans son dos. Il laissait alors déverser ses dernières larmes dans de sonores sanglot, toute sa tristesse s’évacuant pour le laisser apaiser pendant un moment. Il écoutait les paroles de la jeune femme, voulant essayer de répondre à ses paroles, donnant un drôle de mélanges entre sanglot et propos, cela pouvant faire penser à un enfant venant s’exprimer envers quelqu’un.

« Chi… Jl pveux moulir… Jl suis delà molt une fois, il y a long… Longtemps. Jl suis revemu à la vie que lécemment. »

Il continuait de déverser ses larmes sur la sénatrice, n’arrivant toujours pas à se calmer, des siècles de rancœurs venant exploser en cet instant. Pourtant, il essayait de faire un effort pour tarir ses larmes ou même reprendre son souffle auprès de la jeune femme. Il l’écoutait encore parler, voyant qu’elle pensait que le fait de simplement copuler servait à faire vivre le Dieu. Elle n’avait pas totalement tort, mais cela n’était pas suffisant, juste de quoi maintenir cette forme pseudo humaine et fragile. Il essayait d’étouffer ses sanglots pour être un peu plus compréhensible lorsqu’il décidait de prendre la parole avec la jeune femme.

« Je peux… Peux marcher sur terre… Car vous copuler à nouveau… À nouveau pour le plaisir… Mais si personne ne connaît… Connaît mon nom… Cela ne sert à rien… Il faut me prier… Penser à moi… Pour que je continue d’exister… Sinon, je ne finirais… Par… Par… Par disparaître à nouveau… »

L’ancienne divinité venait totalement exposer sa situation, ne cachant rien de son avenir et de la peur qui lui rongeait le vendre depuis autant de temps. Lui qui pensait que cela viendrait le soulager d’un poids, mais rien du tout, il avait toujours aussi peur de son futur et du fait que ce moment sur Terra et même la Terre n’était que temporaire. Voilà pourquoi il voulait autant en profiter et savourer tout ce qu’il était possible de savourer.

Petit à petit, il arrivait à reprendre sa consistance, stopper ses larmes et calmer sa respiration, son corps ayant encore quelques formes de spams le traversant. Il prenait la parole pour une dernière fois, espérant pouvoir clôturer le sujet de son cas par la suite et ne pas revenir sur cette discussion.

« Non… Je peux comprendre… Je suis l’incarnation du désir, je sais donc que cela est important… Et désolé… »

Il soufflait ses derniers mots très doucement, Himéros était à nue sentimentalement, laissant sa véritable personnalité prendre le dessus. Et il s’excusait, car il savait que cela était important, lui-même étant dans cette situation. Il s’en voulait donc un peu, surtout que la jeune femme avait prit le temps de consoler sa personne, alors que lui avait explosé comme une bombe à son visage. Il retrouvait encore un peu de sa contenance. Le Dieu sentait alors le fait que la jeune femme voulait se déplacer, il bougeait à son tour pour lui laisser le champ libre et laisser cette dernière pouvoir se relever. Il finit par lui emboîter le pas, se mettant debout, profitant de la situation pour épousseter ses vêtements, essuyer ses yeux bouffis et remettre ses cheveux en état.

À défaut d’être stable émotionnellement, il pouvait au moins être présentable. Il profitait aussi de l’occasion pour se remettre dans la situation, comprenant rapidement que la sénatrice désirait toujours son dû. Il comptait toujours l’aider et cette fois-ci ce n’était pas à cause du chantage, mais belle et bien pour réparer sa faute à son égard. Himéros prit le temps de lui expliquer ce qu’elle devait faire dans cette situation et lui se chargerait de faire opérer la magie, de façon littérale. Il pouvait comprendre le haussement de sourcil de la demoiselle, mais elle viendrait vite changer d’avis quand elle verrait son pouvoir en action dans cette drôle de situation.

Encore une fois, il emboîtait le pas à la jeune femme, pour se retrouver dans la boutique et laisser la demoiselle exprimer sa façon de penser à la pâtissière qui avait agit ainsi à cause de l’action d’Himéros. Lorsque Lied vint terminer de dire ce qu’elle avait sur le cœur, l’homme se concentra sur les désirs alentours pour ressentir pleinement ce qu’il y avait. Détectant enfin le désir et l’émotion qui animait la jeune femme, il claqua des doigts pour laisser ce dernier enfler et aller dans la direction nécessaire à la réparation du mal opéré. Heureusement pour lui, son but était atteint et la femme semblait ronger par le remord et s’excusait encore et encore.

Cependant, un problème se présenta bien vite, il n’y avait clairement pas de quoi faire un nouveau cupcake. Assez logique, sinon la demoiselle en aurait vendu plus, il s’attendait à cette situation. Il ne tarda pas à croiser le regard de Lied, comprenant qu’il allait devoir agir en concert avec elle. Il n’aurait pas craqué quelques minutes plutôt, il aurait sans doute refusé et envoyer chier la jeune femme, mais maintenant qu’il était à nue, il se montrait totalement enclin à l’aider et l’assister plus que de raison.

Il en fallait peu au Dieu à présent, il avait commis un impaire, craqué, dévoilé son plus faible visage à la jeune femme et cette dernière avait transformé sa colère à son égard en tendresse. Un signe d’affection que peu de personne, voir même aucune personne n’avait démontré à son égard. Il revoyait donc son jugement sur la demoiselle, elle était sans doute une tempête. Cependant, elle avait prit le temps d’apporter affection et réconfort à Himéros, qui dans le fond ne demandait que ce genre de chose depuis si longtemps. Il voulait de l’attention, partager, ressentir et non pas ignoré, délaissé. En quelque sorte, il allait s’accrocher à Lied, elle devait se tenir prête à supporter la présence du Dieu.

Pendant qu’il se perdait sans ses pensées, il avait vu que la demoiselle avait été active et surtout récupérée la liste des ingrédients qui était nécessaire à cette drôle d’équipe pour réussir à faire fabriquer un nouveau et délicieux cupcake. Il suivait donc la demoiselle jusqu’à l’extérieur de la boutique, l’écoutant parler et énoncer la liste des ingrédients à récupérer. Le Dieu ne les connaissait pas tous, sauf les plus basiques, il appréciait donc l’explication que venait lui donner la jeune femme. Il l’écoutait aussi demander son nom.

« Je m’appelle Himéros et toi ? »

Lui aussi voulait connaître son nom, puis il avait aussi envie de bien des choses. Il n’hésita pas alors une seule seconde dans sa situation, venant s’accrocher au bras de la demoiselle. Donnant alors l’impression d’être un couple pouvant se balader en ville. Il restait ainsi, cherchant le contact de la demoiselle, il avait même trouvé une excuse pour qu’elle ne l’envoie pas voler ailleurs.

« Je peux rester comme ça proche de toi ? Je ne connais pas la ville, je veux donc éviter que l’on soit séparé, puis en restant comme ça, on évitera que je remarque ce que je suis réellement. »

Il avait pris un ton mielleux et même quelques rougeurs venaient apparaître sur son visage en disant ça. La sénatrice avait réveillé la véritable personnalité de l’incarnation du désir charnel, de l’amour physique. Il en était son digne représentant, le comportement allant bien sûr avec.

Sans plus attendre, il se mettait en route avec la demoiselle pour chercher cette fameuse vanille. Il se laissait guider jusqu’à une possible pâtisserie en possédant, mais ce fût un refus, non pas qu’il en avait, mais le stock était vide de leur côté aussi. Le duo continua alors sa route, faisant escale auprès d’une boutique classique pour faire le plein des choses les plus communes. Au moins, ils étaient sûr d’avoir ça. Leur route repris pour se diriger vers une autre boutique, une consœur à la pâtissière. Ce fût encore la douche froide pour le groupe, mais pas par manque de stock, non, il s’agissait de l’avarice de la gérante.

Elle avait bien du stock, mais elle ne voulait pas le céder, sauf si le prix était mis. La somme annoncée était exorbitante, Lied avait sans doute de quoi payer de tel frais au vu de sa place. Cependant, Himéros ne comptait pas laisser la jeune femme débourser la moindre pièce, il allait payer lui pour réparer sa faute. Oui, le Dieu aux paroles venimeuse et le comportement dédaigneux se montrait tendre et gentil avec la demoiselle. Il plongeait donc sa main dans l’une de ses poches, sortant une sphère d’or pouvant tenir dans le creux de la main et laissant les doigts se fermer dessus, arrivant tout juste à l’entourer.

Comment Himéros avait-il cela en sa possession ? L’ancien Dieu ne s’était pas privé pour piller les temples des autres divinités dans une vengeance futiles. Cela lui servait au moins à financer ses voyages et escapades. Il pouvait donc bien laisser une partie de son pactole réparer la situation. Il tendait donc l’or à la jeune femme, espérant provoquer un désir de tentation face à cela. Dès qu’il ressentit la naissance de l’émotion, il claqua à nouveau des doigts pour faire céder la femme et approuver la transaction. C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent en possession de la Vanille.

Himéros sorti alors de la boutique en compagnie de la sénatrice. Il regardait alors la demoiselle, souriant tendrement, toujours un peu de rouge à ses joues.

« Si on rencontre des problèmes avec les autres boutiques, laisse moi les régler, je dois bien réparer mon erreur à ton égard. Alors allons-y, il faut récupérer ce qu’il nous manque pour la préparation. »

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Himéros était allumé, très clairement, il avait besoin de défouler cette excitation et aussi de recharger ses batteries d’une bonne façon. C’est pour cette raison qu’il avait finit par claquer le fessier de la jeune femme, voyant que le même brasier du désir étant présent en les deux. Et Keleth semblait même déjà brûler sous ce dernier, ce qui lui confirmait que malgré sa position et la drogue, dont le Dieu était aussi victime, elle avait des pensé assez perverse pour être dans cet état. Surtout qu’il ne pouvait pas dire que sa condition mentale pouvait la rendre ainsi, du moins si, mais pas celle que reflétait la démone de base. Elle cachait bien son jeu et si Himéros, étant déjà l’être du désir se retrouvait autant affecter, à quoi pouvait bien penser cette démone perverse.

Pourtant, malgré le fait qu’il avait claqué sa chair de son assaut, elle ne semblait pas réagir comme il l’espérait. Elle jouait la fier et surtout la personne en détresse, plutôt que la jeune femme en manque. Est-ce qu’elle canalisait ses pulsions au plus profond d’elle-même ? Elle semblait avoir un certain contrôle d’elle-même, il aurait donc un peu plus de mal à la tenter qu’il ne le pensait clairement. Il aurait adoré s’attelé à la tâche amusante de faire craquer ses barrières, mais les paroles de la jeune femme venaient le ramener à la raison de façon temporaire.

Elle n’avait pas tort, il avait certes éliminé la tribu du coin, non sans mal. Il pensait donc être tranquille, mais seulement dans cette galerie, qui sait ce qui se trouvait plus loin, plus profondément et surtout plus dangereux que cette bande de peau-noire débile sur les bords ? Il ne pouvait pas prendre ce risque-là, d’être pris par derrière alors qu’il serait entrain de s’amuser avec la demoiselle. Il allait donc devoir ronger son frein pour le moment et faire en sorte de mener sa carcasse et la sienne dans un endroit plus sûr pour se protéger et s’amuser avec la démone. Oui, maintenant son objectif était de faire de la démone son quatre heures et de se servir d’elle pour faire le plein d’énergie.

Le jeune homme fit donc en sorte de débarrasser la jeune femme des liens qui la retenait et se concentrant sur son environnement. Il ne disait rien, car vu son état, il ferrait clairement comprendre à la jeune femme ses intentions et pour le moment, il préférait faire en sorte que les deux soient concentrés sur leur évasion. Pendant que Keleth essayait de se redresse, Himéros venait récupérer certaines choses qui pourraient lui être utile, le fond de sa fiole de sommeil, ainsi que deux armes de gobelin. Le reste ne servirait à rien ou serait totalement inutile pour la suite de l’aventure. Il serait un peu affaibli s’il croisait un ennemi, mais il aurait la démone avec lui, à deux ils pourraient sans doute s’en sortir sans trop de problème à présent.

 En parlant de cette dernière, elle ne semblait pas tenir sur ses jambes, cela faisait réviser son jugement à Himéros. Bon, il était venu pour elle à là base, il n’allait pas l’abandonner aussi facilement. Il lui prêtait donc assistance, sans dire un mot encore une fois. Il laissait le bras de sa partenaire reposer sur ses épaules, tandis que lui la soutenais par en dessous, pouvant presque saisir sa poitrine de ses doigts s’il avait les bras un peu plus longs, comme sous son ancienne forme. Il portait donc la demoiselle sur la distance qui était nécessaire pour déjà quitter ce camp et se déplacer dans un nouveau chemin de pierre, qui semblait déjà mieux aménagé que les autres.

Le Dieu étant dans une sorte de forme olympique grâce au désir des créatures et de Keleth, il arrivait donc à se déplacer sans mal, il pouvait remercier la démone, grâce à elle, il pouvait se sentir en forme, même dans un endroit comme celui-ci. Il avançait dans le chemin de ronde, jusqu’à tomber sur une zone donnant du fil à retordre à n’importe qui étant là pour l’exploration. Mais dans le cas des deux fuyards, le tunnel le plus proche serait parfait pour s’éloigner le plus possible. Himéros gardait quand même dans un coin de son esprit qu’il avait la légère impression de pouvoir aussi foncer dans un guète apens.

Le duo finit par atterrir dans un lieu assez similaire aux deux autres cavités explorées dans cet caverne. Cela semblait suspect pour Himéros, qu’il croise une ou deux créations de ce genre, cela ne l’aurait pas choqué plus que de raison. Cependant, croiser trois fois une telle structure si peu espacé, il comprenait alors que ces espaces n’avaient sans doute rien de très naturel pour le coup. Il ne perdait pas le temps de divaguer sur de multiples hypothèses, il préférait avancer pour se mettre un peu plus à l’abris et surtout profiter d’un excellent moment dans le futur.
Le chemin continua quelques minutes à peine, car une ruine encore en état se dévoilait aux complices, une sorte d’étable. Il observait une drôle de créature qui semblait domestiqué par les peaux-noires. Ils avaient donc des montures ? Bizarre, surtout qu’une seule était présente. Est-ce que toute la tribu n’était pas présente lors du rituel ? Ce qui le fit lentement paniquer et confirmé alors les soupçons de Keleth. Il devait fuir le plus vite possible. Himéros écoutait la suggestion de la démone, trouvant cette dernière des plus pertinentes, car il pensait exactement à la même utilisation de la bestiole.

Il pliait les genoux pour laisser la jeune femme se reposer sur le sol et lui laisser le loisir de se mettre debout si elle le désirait. Il pouvait encore sentir son excitation, ayant fait exprès de laisser un tel contact entre eux et surtout de s’amuser de temps en temps à caresser sa peau discrètement. Il allait faire de même pendant le reste de leur escapade, il ne devait pas laisser le brassier du désir s’éteindre en la démone affaiblie.

Maintenant qu’il était déchargé d’un poids, il s’avançait vers la créature dressé et déjà équipé à se faire chevaucher. Il tendait la main légèrement et avançait à pas sur devant lui. Il ne disait rien encore, sachant très bien que les mots ne pourront rien faire, ils ne se comprenaient pas. Les gestes pouvaient être interprété eux. Au fur et à mesure que l’ancienne divinité se faisait proche, le scarabée surdimensionné osait enfin leur accorder de l’attention et se tourner vers Himéros. Sans attendre ce dernier se dressait encore plus fortement sur ses pattes et mettait en évidences ses attributs frontaux. Une réaction normale pour cette bête. Cela ne venait en rien ralentir les actions du Dieu qui continuait d’avancer vers lui, il ne céderait pas face à la bête.

Tandis qu’il faisait des pas, les deux êtres se jaugeaient pour laisser le Dieu en vainqueur, la monture bassa sa corne pour laisser Himéros la toucher et pouvoir s’approcher plus. Heureusement qu’il avait été dompté par les gobelins, sinon le Dieu se serait trouvé empalé par cette bête. Il pouvait s’emparer des rennes de la bête et l’emmener lentement vers Keleth. Il lui portait assistance pour grimper sur la créature, prenant son temps pour qu’elle se retrouve en bonne position. Au vu de son état, il se mit derrière elle, malgré la différence de carrure, il passait ses bras de chaque côté pour éviter qu’elle tombe, lui confiant les commandes pour diriger, vu qu’elle viendrait à mieux voir que lui.

Puis se mettre ainsi derrière n’était pas anodin non plus, il y avait un autre objectif dans cette situation amusante. Lentement, ils se mirent en route pour changer de zone et se libérer d’une potentielle attaque sur leur personne. Le trajet se passait dans le silence du Dieu, encore une fois, il était occupé à autre chose. La chevauché sur l’insecte était étrange, apportant son lot de secousse et un dos aussi arrondis et large n’aidait pas trop pour glisser. Il n’était donc pas rare que le corps des deux vienne à bouger, le Dieu en profitait donc pour laisser glisser ses mains sur certaines zones, comme si les tremblements l’avaient amené à agir ainsi, indépendamment de sa volonté.

Les minutes s’écoulèrent encore, portant le trajet à une bonne heure maintenant et enfin, Himéros voyait le bout du chemin, une nouvelle cavité permettant du repos, une source d’eau passait dans cette dernière. Il devrait vérifier plus tard si elle était bonne, mais cela serait un bon endroit pour mettre un camp en place pour les deux. Le Dieu tapait sur la cuisse de Keleth pour lui indiquer qu’il fallait s’arrêter là. L’endroit était vraiment parfait, pas trop grand, pas de marques non plus et ils avaient le scarabée pour prendre la fuite en cas de problème.

Himéros allait donc pouvoir passer à la suite de son plan, décidant enfin de reprendre la parole, tandis qu’il descendait en premier de la monture.

« Au fait, je dois te faire une confidence Keleth. Je t’ai menti sur quelque chose me concernant, je ne suis pas un humain. Mais cela, je pense que tu as déjà dû t’en douter. Je pense qu’au vu de notre situation, tu as le droit de connaître ce que je suis vraiment. Je te rassure, je suis bien ici pour explorer le monde et je me nomme bien Himéros… Cependant, je suis un Dieu, un Dieu Déchu de l’olympe pour être plus précis. Et sache que je ne suis pas n’importe quel Dieu, je suis celui qui a offert le désir charnel, le plaisir de l’ébat, les penchants, la lubricité à tous les êtres de ce monde… Tu comprends ce que cela veut dire n’est-ce pas ? »

Il aidait maintenant la demoiselle à descendre, se retrouvant face à elle, un large sourire sur le visage et les yeux brillant à nouveau du profond désir qui l’habite.

« Je pense sentir le désir de n’importe qui Keleth et le tiens n’a pas perdu en force depuis que l’on a quitté ce repaire. Et n’ose pas me sortir à nouveau l’excuse que se sont les produits des gobelins. Tu étais dans une position où tu allais te faire violer, alors je comprends que la drogue fasse de l’effet, mais pas au point de t’excité autant que tu l’es. Car même moi qui suis affecté et l’incarnation du désir, je ne suis pas aussi excité que toi. Il serait donc bien d’avouer que tu désires que l’on abuse de toi Keleth. »

Himéros profitant de son état plus que bien au vu de la situation et de la faiblesse encore présente de Keleth, il la fait basculer, en lui imposant tout son poids, puis venant la retenir. Il se met rapidement à califourchon sur elle pour essayer de la maintenir dans cette position. Puis, pour essayer de la plonger dans ce jeu de désir et confirmer qu’elle aimait être dominer et maltraiter, il pose sa main sur sa gorge, faisant pression de son poids encore une fois sur la démone.

« Donc maintenant que l’on est en sécurité Keleth, je vais faire ce que les gobelins n’ont pas pu faire à ton corps, le souiller. J’en profiterais aussi pour réaliser ton désir d’être simplement utiliser. Alors maintenant fait moi le plaisir d’écarter les cuisses bien sagement. »

Himéros n’espérait qu’une chose, que la démone n’était pas trop renfermée sur ses désirs et surtout que la grotte n’avait pas détraqué ses capteurs de désirs et qu’il se trompe entièrement sur le ressentit de Keleth, sinon, il pouvait signer son arrêt de mort.

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Himéros semblait avoir fait son effet sur la demoiselle, qui semblait se dévoiler être assez timide, elle était donc du genre à se faire mener au lit ? Raison de plus de l’aider à comprendre l’importance de prendre son pied dans une relation, car elle pourrait tomber sur des personnes assez dégueulasses pour ne penser qu’à leur gueule durant l’acte. Si un baiser là m’était dans cet état, qu’est-ce que cela serait lorsqu’il viendrait s’amuser un peu plus en sa compagnie. Cela amusait son esprit aussi, il avait une folle envie de la taquiner, quelqu’un de ses penchants venant ressortir. En même temps, en tant qu’incarnation du désir et de la luxure quel penchant ne possédait-il pas ? Il les avait tous et s’amusait à passer de l’un à l’autre selon son humeur du moment et là, Hiyori réveillait clairement ses envies de domination et de taquinerie.

Il l’écoutait donc parler, pendant qu’elle prenait sa main sans rechigner pour le moment. Il hochait donc la tête, ouvrant rapidement la marche pour se faire guider par la demoiselle dans les dédales de la ville pour le moment. Il regardait autour de lui pour voir les boutiques et se souvenir de la route, il comptait souvent revenir ici, l’endroit étant un passage important pour venir sur Terre et cela lui évitait de devoir passer par le Mont Olympe.

Pendant qu’il se promenait avec la demoiselle, il se faisait plus proche d’elle, tenant toujours sa main, mais jouant avec les doigts de cette dernière. Elle semblait plutôt bien apprécier les taquineries, même si elle en rougissait fortement. Il se pencha même pour lui souffler à l’oreille quelques idées et voir possiblement ses réactions pour quand ils arriveraient à la boutique.

« Au fait, tu as déjà pratiqué l’exhibition ou du moins t’amuser en pleine ville avec tes jouets sur toi ? C’est une idée que j’aime beaucoup. Puis, je pense qu’à la boutique, cela serait un bon moyen de tester directement sur place ce que tu pourrais aimer ou non. On va faire comme ça je pense. »

D’une certaine façon, il lui donnait l’impression qu’elle n’avait pas le choix, mais cela ne se passera pas ainsi, il allait lui laisser son libre arbitre pour le moment. Si elle ne voulait pas, il ne forcerait pas, il se comportait simplement de façon dominante, puis cela permettait de voir si elle pouvait dire ce qu’elle désirait ou si elle était du genre à se fermer et faire totalement plaisir à l’autre. Comment pouvait-il le savoir ? L’excitation, il pouvait ressentir ce genre de chose, si cette dernière augmentait lorsqu’il évoquait l’idée, c’était que sa nouvelle élève du moment avait ce genre de penchant, tout simplement.

Enfin, il arrivait à la boutique que connaissait l’étudiante. Une fois devant, c’est lui qui prenait encore les devants pour entrer dans la boutique et découvrir celle-ci. Il se faisait discret sur l’âge de la jeune femme, essayant de la faire passer pour une jeune de dix huit ans en manipulant un peu la vendeuse de l’accueil par ses pouvoirs. Grâce à cela, il eut la possibilité d’entrer en sa compagnie. Il ne lui lâchait toujours pas la main, comptant bien voir ce qui l’intéressait et de même pour lui.

L’ancien Dieu allait d’abord en direction du rayon contenant tous ce qui était godes. Il ne resta pas longtemps, pensant que la demoiselle avait déjà bien de ces jouets, quitte à en prendre, autant aller dans quelques choses de nouveau. Il continuait donc un peu plus loin, il regardait les divers produits de type vibrant et stimulation clitoridiennes. Il prenait le temps de les analyser en détail, connaissant en gros leur utilité, mais pas toutes les variétés. Il tombait alors sur un objet qui lui semblait fortement intéressant, une baguette équipé d’un embout imposant et vibrant. Un wand, voilà le nom de cette merveille de plaisir féminin et aussi masculin d’après ce qu’il comprenait selon les accessoires que l’on met dessus.

Le rayon suivant arriva bien assez vite, celui des plugs. Il semblerait que le plaisir anal se soit encore plus démocratisé à cette époque. Ce qui faisait énormément plaisir au Dieu, lui qui avait donné du plaisir, c’était pour l’utiliser sous toutes ses formes. Il venait en prendre un aussi, d’un petit diamètre, il allait proposer aussi ce genre de plaisir à la demoiselle. Il se tournait alors vers elle pour lui donner les objets adéquate à cela et la taquiner encore un peu.

« J’aimerais te faire essayer ce genre d’objet, pour que tu découvres de nouveau plaisir et possibilité avec ton corps. Cela te tente ? Puis, je suis sûr que tes partenaires seraient aussi heureux de pouvoir user de ce genre de chose sur ta personne. »

Il regardait un autre rayon du coin de l’œil, reconnaissant un endroit qui lui plaisait énormément. Il la conduisait alors dans le coin traitant du BDSM, voulant encore la faire rougir et voir sa réaction concernant cette possible pratique dans la sexualité.

« J’aimerais aussi te faire découvrir cela. Tu serais tenté ? On peut regarder quelques objets te donnant envie, puis on passe par les rayons qui te tente. Cela te va ? »

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