Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ailizen

Pages: [1] 2 3
1
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 17:19:37 »
En même temps, un reboot pourrait aussi leur faire du bien. Ça n'a pas trop mal réussi au New 52 jusque là ce me semble, après le mémorable Flashpoint. Le problème des comics c'est qu'ils durent et durent encore, ne se renouvelant que péniblement. Du coup, ils finissent par tourner en rond... Donc un reboot n'est pas une mauvaise solution en soi.

Mais j'aime les reboots.

17h19

2
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 17:03:53 »
Ça me fait penser un peu à Crisis on infinite earths chez DC, qui leur avait permis de revenir à une storyline moins élargie et plus concentrée en reboot leur multivers. Mais il me semble que Marvel n'a pas cette politique ^^

17h03

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 16:57:52 »
Ah oui, j'avais croisé ces teasers. Ils en finissent avec les univers Ultimate, du coup ? :/

16h57

4
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 16:22:11 »
J'ignorais pour le remake :o

16h22

5
Archives / Re : [Sondage] Sélection d'images pour un possible avatar
« le: dimanche 24 mai 2015, 16:15:14 »
1 et 3 !

6
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 16:14:13 »
J'aime les brocantes. Les trucs en étal qui te rappellent les années tranquilles de ta jeunesse et les achats useless par nostalgie.

Dans mon escarcelle, les trois tomes d'un manga fun déjà lu et relu, Shadow Lady et une intégrale de Secret Wars, un arc à l'ancienne de chez Marvel qui ne parlera pas à tout le monde.

:3

16:14

7
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 24 mai 2015, 08:13:47 »
4 points ? On bat des records !

08:13

8
Prélude / Re : Mad? We're all mad here... (Validéprimée !)
« le: dimanche 17 mai 2015, 21:50:57 »
Bienvenue par ici ! :)

9
Prélude / Re : Vengeresse ou héroïne?
« le: dimanche 17 mai 2015, 21:50:37 »
Bienvenue ! :)

10
- Accordons à cette chienne de Gwydeva qu'elle n'a jamais manqué d'imagination. Je donnerai volontiers ce qu'il reste de mon âme pour l'avoir à portée de lame. Rien ne me ferait plus plaisir, rien ne serait plus jouissif. Une longue bouffée sur la kiseru, avant que son oeil unique de fonde dans celui de Tessia. Et toi, tu n'as rien fais pour te défendre en sept-cent années ? Tu es restée entre ses mains à te faire humilier sans une seule fois oser sortir les griffes, en brave petite victime ? Tu devrais pourrir de honte. Ta fille, au moins, a un peu plus d'estomac que toi. Même si c'est de l'ignorance, dans son cas.

Ailizen regarda sa petite soeur se dévêtir pour exposer son dos lacéré. Le fouet barbelé avait efficacement mordu la peau douce et tendre de Tessia, témoignage muet de toute l'aversion que Gwydeva entretenait pour la Mutilée et pour celle qui avait été la personne la plus proche d'elle. D'une certaine façon, il avait tout de même fallut du courage à la succube pour ne pas se défiler et accepter ainsi le traitement qui était le sien. Si elle avait été plus lâche, elle aurait adopté très tôt la stratégie de la fuite. Tessia n'était pas une guerrière; les succubes n'étaient pas "programmées" pour se battre. Cela, Vash'raka le savait bien. Comme elle savait tout autant que n'importe qui pouvait apprendre à brandir une arme. N'importe quel crétin pouvait agiter une épée devant lui en cas de danger, après tout...
En silence, la borgne regarda Tessia extraire le petit coffret de son sac, et surtout son contenu précieux. Même l'imperturbable bretteuse perdit un instant de sa superbe lorsque son interlocutrice lui révèla l'identité des âmes qui lui étaient présentées. De vieilles amies, de précieuses confidentes. Du bout de sa main unique, la guerrière vint caresser les sphères qui brillèrent plus doucement. Dans son oeil se lisait un éclat de tendresse qui se dissipa peu à peu. Lentement, Ailizen referma le couvercle de bois laqué et reporta son attention sur Tessia. Puisque la belle était là pour une confession, autant qu'elle s'y livre tout à fait.


Hormis la voix de Tessia, le silence était pesant. Pourtant, le décorum auditif était agréable : on entendait l'eau caracoler non loin de la maison, le vent tranquille qui soulevait les pétales de cerisiers. Ailizen se leva sans rien dire, se dirigeant vers Syria à qui elle prit le couteau en un éclair avant de se diriger vers les poissons qu'elle tira de l'eau après s'être agenouillée devant le plan de travail. D'un geste habile, la femme fit voler les têtes qui rejoignirent dans le même mouvement une petite poubelle, tandis qu'elle entreprenait d'en lever les filets de sa main unique. Manchotte mais pleine de dextérité, l'ancienne succube s'occupait de sa tâche avec habileté, écoutant Tessia se livrer à ses dernières confessions. Et, quand la succube s'inclina révérencieusement, la cuisinière improvisée grogna d'agacement.

- Quel cinéma... Ta prétendue rédemption n'était finalement là que pour s'assurer de la survie de ta gosse quand elle se baladerait seule sur Terra. Tu as les foies. Tu te chies dessus en réclamant mon aide alors que tu n'as été bonne qu'à te terrer et à courber l'échine pendant sept cent ans. Tu as besoin d'aide, alors tu te souviens de l'amitié que tu as bafouée autrefois ? C'est comme ça que tu fonctionnes ? C'est l'exemple que tu veux donner à "l'air que tu respires et l'eau que tu bois" ? Tu me donnes envie de vomir.

D'un geste brusque motivé par la colère, la guerrière planta violemment son couteau dans la planche à découper avant de se relever, l'oeil brillant de fureur. En quelques pas elle revint vers Tessia pour la faire se redresser et desserra sa ceinture afin de défaire son obi usé par le temps.

- Tu veux t'excuser, infâme ? Tu veux expier ta lâcheté ? Alors crève toi un oeil et scie toi un bras. Porte les stigmates de tes convictions plutôt que de te dissimuler derrière un voile d'expiation.

D'un mouvement d'épaule, Ailizen fit tomber son kimono et révéla son corps nu sous le tissu vieilli. Ses formes étaient incontestablement celles d'une succubes; généreuses et arrogantes, appelant au désir et à la perversion. Des seins lourds, généreux et ronds, un ventre plat, de belles jambes fuselées supportant un fessier délicieusement bombé... Et il y avait tout le reste. D'affreuses et grossières cicatrices qui creusaient sa chair de façon anarchique. On devinait que de larges lambeaux d'épiderme avaient été arrachés, comme on apercevait de profondes brûlures où des lacérations infligées par perversion. Des traces de vrilles plantées dans les chairs et retirées brutalement, des coups de fouet et des coups de griffes... Son bras manquant avait été scié au dessus du coude et le moignon guéri depuis des siècles laissait deviner le cisaillement boucher qui avait séparé le membre en deux. La plus virulente des blessures restait celle qui ornait le dessus de son sexe, là où avait été arraché l'insultante verge de futanari qu'elle avait toujours abhorrée. On devinait encore la peau déchirée comme du papier dont les pans remontaient jusqu'à son nombril. Le corps d'Ailizen était un canevas de la souffrance et du martyr.

- Regarde moi bien, Lirates'Siaranna. REGARDE ! Crois tu avoir assez de salive pour t'excuser à hauteur de ma souffrance ? Tu pourrais passer ta vie à genoux devant moi que tu n'aurais pas fini de payer ta dette !

D'un mouvement de pied, Ailizen fit sauter du sol le katana qui y reposait et le prit en main. Plantant ses dents dans le fourreau de bois au vernis écaillé, la manchotte put sans mal dégainer en tenant de sa main libre la poignée de l'arme. Et, avant que quiconque aie put faire un geste, elle s'était retrouvée à côté de Syria, prête à lui ouvrir la gorge. Cela ne lui aurait pas été plus compliqué que de cueillir une fleur.

- Où alors, c'est à elle que je devrais m'en prendre ? Si tu l'aimes moitié moins de ce que tu le prétends, tu apprendras à souffrir. Et tu me haïras, ce qui t'aiderais à comprendre ce que je ressens. Là, nous serions sur un pied d'égalité et tu pourrais justifier ton culot de me quémander de l'aide !

De son oeil mauvais, elle jaugea alors Syria qui se trouvait sous la menace de son arme dont elle finit par abaisser la lame. Libre à elle d'aller rejoindre sa mère si elle le désirait : la pointe du katana ne représentait pour le moment plus une menace.

- Que sais tu de l'Enfer ? De ta mère, des succubes ? Réponds. Que comptes tu faire de ton avenir de démone ? Tu n'es pour rien dans le différent qui m'oppose à ta génitrice, mais tu en es d'une certaine façon le coeur pour aujourd'hui. Selon ce que tu me répondras, je déciderai. Je déciderai si ta mère mérite que je l'épargne encore. Choisi tes mots avec soin, gamine. A mon oeil, vous n'êtes jamais plus que deux succubes de plus à renvoyer en enfer.

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 14 mai 2015, 05:32:09 »
Malgré tout, je n'avais jamais regardé un seul épisode de Kill la Kill. C'est juste tellement over the fuck que je suis amoureuse :D

05h32

12
Son oeil unique rivé sur la jeune succube qui était arrivée dans l'entremise de son explication avec son ancienne sœur, Ailizen avait patiemment écouté les mots que la démone avait prononcé à sa demande. Elle n'avait pas réagit, ni même cherché à l'interrompre mais sa vigilance ne s'était pas relâchée une seule seconde. De fait, son pouce caressait doucement la garde de son katana, prêt à le faire jaillir du fourreau au premier signe de fourberie de Lirates'Siaranna. De la rancœur contre celle qu'elle avait toujours considéré comme sa sœur, la sabreuse en avait et l'avait entretenue pendant presque un millénaire. Elle qu'elle considérait alors comme sa moitié n'avait pas cherché à seulement hausser le ton pendant qu'on la torturait, qu'on la soumettait à l’infamie et à la honte. Et voilà qu'elle se décidait maintenant à s'excuser, à faire amende honorable ? Pourquoi faire ? Se donner bonne conscience, se prémunir de sa lame ? Lirates'Siaranna pensait encore une fois à sauver sa peau, comme elle avouait l'avoir fait lors de la purge qui avait fait de Vash'raka la tristement célèbre Mutilée. Au moins assumait-elle sa lâcheté... Restait pour la guerrière à savoir si elle désirait que cela ait de l'importance où que ça reste anecdotique et risible.

Ainsi, elle prétendait avoir enfanté par amour ? Ailizen avait su sa soeur capable d'un tel sentiment, à une époque. Qu'en était-il aujourd'hui ? Se voilait-elle la face en cherchant à ce que son bourreau épargne sa misérable vie ou se montrait-elle sincère. La borgne toisa la petit succube, qui s'était poliment inclinée face à elle. Son oeil était acéré, aussi redoutable que sa lame était meurtrière. Il serait si facile d'en finir avec cette jeunette inutile ici-même, d'un battement de cils... Une volée de pétales, un mouvement, un éclat de lame et du sang sur le sol. Une mort rapide et propre, par égard pour l'effort de celle qui se faisait maintenant appeler Tessia. Et l'instant d'après, sa "petite soeur" irait rejoindre son engeance, l'acier mordoré du sang de sa fille séparant efficacement sa tête du reste de son corps. Elle serait de retour en Enfer avant même que son visage de tombe sur le sol. Cela serait sa punition pour l'avoir abandonnée aux mâchoires de l'Enfer pour revenir 700 ans plus tard afin de quémander son pardon. Comment osait-elle, cette magnifique putain, réclamer la pitié de la chasseuse ? Comment osait-elle la supplier, même à genoux, de la guider ? Après tout ce temps, après cette trahison qui l'avait meurtrie au fond de l'âme même, lui laissant la plus cuisante et la plus béante des plaies ?
 Un cliquetis métallique se fit entendre quand le pouce d'Ailizen dégaina le sabre et que le fil de celui-çi se mit à lui sous un rayon de soleil. Dans moins de dix secondes, il y aurait deux cadavres gisant sur le sol. Ses dents se ressérèrent sur la pipe longue et son visage se déforma d'une grimace... Et finalement, le sabre retomba dans son fourreau.


- Aide ta mère à se relever, dit-elle à Syria en grognant à moitié. Tu videras le poisson, aussi.

Sans plus accorder un regard à Tessia où à son enfant, la sabreuse s'éloigna des deux d'un pas lent, la manche vide et déchirée de son kimono flottant mollement dans le vent pendant qu'elle tirait de l'autre main sur sa kiseru, expulsant la fumée par les narines. Elle s'arrêta au pied d'un cerisier où reposaient canne à pêche et poissons liés entre eux par les hameçons et un morceau de corde, parvenant à jeter le tout sur son épaule d'un mouvement expert. Son fardeau chargé, Ailizen attendit Syria et sa mère avant de les inviter à lui emboîter le pas d'un mouvement sec de menton. Les trois femmes se retrouvèrent à déambuler entre les arbres lourdement fleuris dans une direction que la sabreuse connaissait apparemment sur le bout des doigts. Le bruit de l'eau se faisant de plus en plus fort à mesure qu'elles approchaient de la rivière qui coulait là, Tessia et sa jeune purent découvrir une modeste petite cabane adossée à ce qui était à n'en point douter le plus beau des cerisiers de la forêt. Toujours sans rien dire, la borgne fit entrer ses deux invitées dans la petite demeure au mobilier spartiate mais fonctionnel après qu'elles se soient déchaussées. Posant les poissons à côté du feu mourant qui  se trouvait dans la pièce centrale de la cabane dans un endroit prévu à cet effet, Ailizen disparu dans une pièce adjacente et en revint avec tout le nécessaire pour vider les poissons, tendant le tout à Syria.

- Ne gâche pas ma pêche, fais ça correctement. Ou tu ne mangeras pas.

Sèche, mal aimable mais pas spécialement mauvaise. Du moins, ça ne transparaissait pas dans ses propos. Laissant la jeune à son oeuvre, elle fit coulisser les plaques qui servaient de facade et ouvrit totalement cette dernière sur l'extérieur et le cours de la rivière. Elle récupéra une gourde de saké et s'en octroya une large rasade avant de se laisser tomber assise, faisant signe à Tessia de faire de même; l'instant d'après, elle lui collait l'alcool de riz sous le nez.

- Vash'raka est morte sur son chevalet de torture. Aujourd'hui, il ne reste plus qu'Ailizen. Tu sais ce qu'il y a à savoir : je traque et j'extermine les engeances de votre espèce. Ne t'avise plus JAMAIS de prétendre qu'ils sont mes semblables, tu entends ? Elle darda sur elle un regard meurtrier, avant de lui reprendre brutalement le saké pour en boire à nouveau. Ta fille n'est pas épargnée; elle n'est qu'en sursis. Tout comme toi. Gardez bien ça dans le crâne.

Elle n'était pas bien sûre de savoir pourquoi elle les avaient épargnées. Toujours était-il que Tessia et sa fille étaient à présent dans son antre et, dans les faits, sur le point de partager son repas. Des vomissures infernales, à sa table ? Ailizen estimait que cela justifiait bien qu'on lui scie son dernier bras. Pour elle-même et d'agacement, elle fit claquer sa langue contre son palais. Installée comme elle l'était, les bords de son kimono faisaient jour sur le volume toujours beau et ferme de ses seins lourds mais elle ne semblait nullement s'en soucier. La pudeur n'avait jamais été une de ses considérations.

- Crache le morceau, maintenant. De quoi as tu besoin, imōto ? Que viens tu chercher ici ?

Le terme de "petite soeur" lui avait échappé, mais elle affecta soigneusement de ne pas y avoir fait attention. Et à vrai dire, c'était sorti tout seul, comme une vieille habitude. Tirant sur sa pipe, elle attendait de savoir ce que Tessia espérait d'elle tout en veillant à ce que Syria n'abîme pas la chair de ses précieux poissons. Savait-elle seulement se servir d'un couteau, cette putain de gamine ?

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 13 mai 2015, 17:35:11 »
L'identité de "la" Thor était quand même assez prévisible. Mais j'aime bien l'idée.

17h34

14
Prélude / Re : *clic* (Validéprimée !)
« le: mercredi 13 mai 2015, 17:04:18 »
Mets des strings ?

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