Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Anne-Lily Beauregard

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1
Ma petite proposition avait été bien accueillie, mais pas comme je l’entendais. Bien sûr, cette alternative de pouvoir y aller en duo avec Mélinda me plaisait. Mais j’étais quand même curieuse de savoir ce que notre patronne avait en tête. Main dans la main avec mon amante du jour, nous nous dirigions vers le dit lit, en me posant quelques questions futiles en cours de route. Notamment un éventuel lien que pourrait avoir ces deux femmes que je ne connaissais que très peu. J’avais remarqué qu’elles avaient parfois une espèce de code… Comme si elles avaient planifiées avec exactitude ce qui allait se dérouler une fois dans cette pièce. Comme si elles se connaissaient… Ho bien sûr, elles ont tout à fait le droit de se connaître, mais si c’est pour faire une espèce de cinéma dont j’étais la victime surprise, non merci ! Je pourrais peut-être essayer de m’échapper avant que cela dégénère, mais pour l’instant, ce que l’on faisait me plaisait trop pour que je m’en aille.

Arrive dans la pièce adéquate, je m’aperçût d’un tas de trucs et de machins que j’avais pas soupçonnés. En fait, c’était bien plus qu’une simple pièce destiné à tourner de petits spots publicitaires. Il avait des tas et des tas de caméra et d’assistantes. Plus que je ne pourrais certainement jamais en ranger dans mon appart’ ridicule c’est pour dire ! Et à en juger par ce qui traînait comme objet ici et là, plus les tenues de ces demoiselles et également ce qui trainait un petit peu partout, on avait fait quelques émois lorsqu’on était encore en plein débat ! Ce qui était un très bon point en mon sens !


- Hey j’aime bien la miss à gauche !

J’avais entraperçut une belle rousse typiquement pas japonaise, mais pas eu le temps de rajouter quoi que ce soit que l’attention était déjà retombée. Mélinda et Pepper reprenaient à discuter entre-elles. Et si j’oserais, je dirais que je n’avais pas été super attentive car il y avait une armoire ouverte avec plein de gadgets sexuels en tout genre… A croire qu’en réalité, tout avait été réellement prévu depuis le début. Encore que j’en avait pas grand-chose à cirer vu que ce genre de rebondissement est du genre qui me plait ! Brefouille, Mélinda s’était tournée vers moi, histoire que je l’embrasse. Bien entendu, c’est ce que je fis. Je l’ai prise par la taille pour mieux la ramener contre moi, et je lui ai ensuite roulé un patin d’enfer tout en la faisant basculer. Vous savez, comme dans les films avec un mec soit parfaitement ridicule, soit un vieux beau-gosse des années 70-80. Placée à l’horizontale quoi. Mais j’avoue que je n’avais pas trainé à la remettre droite vu ma musculature de mouche. Sinon, j’aurais finit par la lâcher pour la faire tomber.

- Corrige-moi si je me trompe mais… Tu n’es pas du genre à te faire cravacher, n’est-ce pas… ?

J’avais dis ça parce que... Enfin… Pour une fois que j’avais droit à tout un florilège de trucs et machins sexuels gratis sous la main, j’avais bien envie de les essayer. D’ordinaire, je ne devrais avoir aucun souci d’argent pour en acheter. Mais bon… Je n’y connais malheureusement pas grand-chose à ce niveau-là donc je laisse les copines amener leur propre matos quand elles en ont.

J’attendais la réponse de Mélinda, même si j’étais presque persuadée qu’elle ne serait pas du genre à vouloir ça. Au pire, ça serait moi qui prendrais.


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Centre-ville de Seikusu / Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]
« le: vendredi 19 février 2016, 14:31:05 »
Pour être parfaitement honnête, j’avais complètement oubliée que l’on était filmée. Cela ne me dérangeait pas outre mesure puisque j’avais déjà l’habitude de poster des vidéos érotiques et sexuelles sur internet, sur mon blog. L’avantage qu’on on a déjà vécu ça, on a moins de stress que les toutes premières fois. Certaines filles ont tendance à surjouer et à ne pas décrocher la caméra des yeux, ce que je trouve absurde et vulgaire. Je préfère nettement faire comme s’il s’agissait d’une chose que je ferais en étant seule ou avec quelqu’un, mais sans caméra. C’est sûrement pour ça que Pepper m’avait complimentée auparavant. Mais trêve de blabla, ça n’est pas ça qui nous intéresse !

La réalité montante fit que ce que j’avais prévu d’entreprendre était un échec. A la base, je voulais satisfaire notre patronne dans les règles de l’art et être soutenue par Mélinda. Mais au lieu qu’elle la doigte comme je l’avais voulu, elle entreprit de me doigter moi. Non pas que cela me dérangeais hein ! Mais c’est juste que niveau préférence… Ho et puis zut. Toute cette excitation m’avais fichu dans un état lamentable, bien que je ne suis pas du genre à mouiller abondamment comme avait sûrement put remarquer Mélinda, j’étais suffisamment chaude pour ressentir certains besoins devenu insoutenable. Du moins qui auraient pu l’être pour le commun des mortels. C’était donc avec joie que je l’ai accueillie chez moi, si vous vous aussi vous arrivez à saisir la référence.

Sous un léger cri étouffé par ce qui cachait ma petite mais mignonne bouche, je m’étais mise à y aller un peu plus franchement. Tellement franchement même que j’avais pas tout de suite capté que j’avais placé un doigt dans la patronne. Franchement, à ce stade là, ça n’était plus qu’un détail, mais je dois avouer que j’aurais aimé un peu plus de lenteur. Paradoxalement, cela me fit beaucoup de bien d’être à la fois en haut et en bas en même temps sur elle. Je ne dirais pas que c’était défoulant, puisque ce n’étais pas vraiment du sport même s’il y a certains point commun avec le sexe, mais cela avait le mérite de me dépenser tout en profitant également de ce que je recevais. Non non, je ne parle toujours pas de sport !


- Très tentaculaire ce plan à trois…

Lorsque j’eût remarqué ma petite folichonade, oui ce mot n’existe pas et je vous emmerde, je n’ai pas hésité à y aller tout en profondeur avec notre patronne. J’avais remarqué qu’avec ce qui la cernait, sa position debout n’était plus vraiment adaptée à l’énergie qu’on lui pompait… Ou alors c’était dût à autre chose que je n’avais pas autant saisi que ses seins. Quoi qu’il en soit, j’avais reculé mon visage de là où il se trouvait, c’est-à-dire un des seins de Pepper, pour gémir un petit coup. Mélinda faisait bien sa part du boulot en bas et c’était jouissif à souhait, mais je me devais d’assurer également car je me sentais à la ramasse. Avec le bout de mes doigts, j’utilisais ma salive pour dessiner de petits cercles, et sans plus tarder je passais à de petits pincements avec mes ongles en faisant attention à ne pas faire mal. Je les avais suffisamment raccourcit pour ne pas couper avec, surtout que ça n’est pas vraiment pratique pour se masturber ou doigter une damoiselle.

- Nous devrions peut-être nous placer sur le lit. Nous serions plus apte à garder notre énergie…

Je proposais ça comme ça, et j’espérais qu’on allait suivre mes directives. Mais bon, dans le pire des cas, on ne bougerait pas et continuerais à faire ce que l’on fait hein !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]
« le: vendredi 05 février 2016, 15:11:13 »
Boobz ! Les seins c’est la vie et la féminité puissance maximale. Certes, une paire de bien avec des formes placées comme il le faut est également une preuve de féminité, preuve en est que j’utilise souvent ma démarche pour draguer quand j’en reçois le besoin ou l’envie, mais la poitrine c’est au-delà de ça, à mon sens. Après, vous pouvez tous me dire que c’est en réalité les lèvres inférieures avec le clitoris et tout l’arsenal qui font le plus féminin, mais franchement, c’est majoritairement moins beau. Des fois il y a trop de peau, ou des poils mal placés, un clito’ aussi gros qu’un cornichon, lèvres irrégulières,… Bref ! Personne ne me fera changer d’avis sur les seins. Et tout particulièrement les tétons. C’est petit donc discret, sauf quand on porte une tenue trop moulante, sensible et agréable à la fois en main et en bouche. C’est également un bon moyen de se donner du plaisir sans forcément que ça se remarque donc, c’est juste parfait !

Mélinda m’avais fait une remarque qui transpirait le bon sens, à défaut de notre sueur à nous. C’est vrai que vu comment elle était foutue et comme elle semblait ouverte d’esprit, elle devait aimer que l’on s’occupe d’elle. J’avoue que si eut j’aurais les même proportions qu’elle, je me toucherais bien plus souvent, et peut-être même devant un miroir. Quant à Pepper… J’avoue que je ferais sûrement la même chose, mais en un peu moins régulier peut-être. Cependant, j’avoue ne pas avoir beaucoup d’apriori avec elle. Si elle est capable de coucher avec ses… euh… Modèle ? Oui je crois que ça dis comme ça, et bien, sa vie sexuelle ne devait pas vraiment être la chose la plus délaissée. Et je n’oubliais pas qu’elle me devait sa tenue ! Elle me l’avait promise ! Enfin, pas vraiment mais c’est comme ça que je l’avais entendu et assimilé.


- Mais, pour l’heure, je pense qu’il faille davantage s’occuper du corps de notre hôte. Après tout, sans elle, on ne se serait jamais croisées. Je propose donc que l’une soit devant elle, et l’autre... Derrière.
 -  Je dois admettre que... J’aime bien cet agencement.

Je n’avais rien dit à ce moment-là, ayant été passablement occupée avec le téton de Mélinda, ma réponse n’avais pas besoin d’être réellement bordée de mots, les actes suffisaient amplement à tout ça. Pepper n’avait pas eu le besoin réel de changer sa position, alors que Mélinda était partie derrière notre patronne. Je n’avais pas grand-chose à chose à rajouter, si ce n’est un puissant haussement d’épaule et un regard très intéressé. Le genre à dire "Bon et ben, c’est partit". Et je posais ma bouche sur le premier sein venu.

Tout d’abord, je prenais son téton sur ma petite langue, sans faire quoi que ce soit de charnel avec mes lèvres. Mon but était de jouer doucement avec cette petite extension féminine avant toute chose. Tout en faisant ça, passant rapidement à de petits cercles linguaux, je baissais ma tête et fixais le regard de la belle photographe. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour après tout prendre en bouche, y allant un peu plus franchement, mais pas suffisamment pour que ça soit hard. Ma langue faisait le tour de son mamelon et, de temps en temps seulement, je j’aspirais comme un bébé ferait pour traire. Sauf que je ne suis pas un bébé donc ça faisait bien plus érotique. Voire sexuel… tout dépends du point de vue !

Faire ça m’excitait grandement, et je sentais une grosse chaleur dans le bas ventre. Mais en mon état actuel, ça n’était juste pas possible d’utiliser ma main pour me soulager, et ce même si j’en crevais d’envie. Le temps de changer de sein et reprendre comme si je n’avais jamais arrêté, ma salive coulant finement sur son premier mont de chair et de graisse, je fis doucement glisser la main que j’avais posée sur son ventre jusqu’à arriver à son nombril, faisant des cercle au-dessus de son bouton pour susciter davantage de désir. Je n’ai certes pas beaucoup d’expérience pour une personne moyenne, mais j’en ai pas mal pour mon âge. Et je sais que faire ça permet d’accentuer les effets promulgué à la suite. De plus, de notre position respective, Mélinda pourrais s’occuper de la doigter pendant que je m’occupe de ses seins et de son clitoris. Chose que je commençais par ailleurs à faire.

Mélinda allait-elle capter mon message même pas transmis ? Vous le saurez au prochain épisode !


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Centre-ville de Seikusu / Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]
« le: mercredi 16 septembre 2015, 12:16:23 »
Je dois avouer que les choses ne se passaient pas comme prévu. A la base, et oui je me répète, j’étais juste en train de signaler que je haïssais les sous-vêtements et que les voir aussi facilement m’irritait la vue. Au lieu d’avoir une moquerie quant à ma petite action rigolote, j’ai eu grosso modo droit à un « OKay. Donc tout le monde à poil !". Pourquoi ? Et bien Mélinda dit ouvertement qu’il était inutile de se faire chier à tout porter, et quand Pepper vit ça, et bien, elle se mit à tout simplement faie pareil. Sauf qu’elle n’avait pas de sous-vêtement, elle. Donc visuellement, ça me dérangeait bien moins. Mais bon, je n’allais tout de même pas me plaindre non plus hein ! Enfin bon, je n’avais pas d’autres choix que de suivre le mouvement. Tout d’abord, les chaussures, puis le shorty et enfin le tee-shirt. J’avais remarqué qu’on était toute épilée. Vu que je déteste les poils, je fais en sorte de m’en débarrasser dès que j’en vois un se profiler. Je compte me faire une épilation laser pour n’en avoir plus jamais à en voir mais… Je ne connais pas d’endroit qui le font. Peut-être que les deux autres savent ? Je leur demanderais plus tard.

- Moi, il y a une partie de ton corps que j’aime beaucoup, Liléanne...
Je crois savoir laquelle, chérie…

Comme je l’avais deviné, elle reposa sa main sur mes fesses. J’avais bien vu que Mélinda semblait particulièrement fan de cette partie du corps. D’une part parce qu’elle n’avait pas hésité à faire de même tout à l’heure, et elle semblait avoir rencontré le messie quand je m’étais occupée de la sienne, de paire.

La situation était très amusante, et je ne cachais absolument pas que je trouvais ça amusant vu qu’un sourire un peu bête et pas vraiment contrôlé ornait mon joli visage d’ange. J’avais peut-être l’air un peu insouciante, mais bon, c’est pas ma faute si mon sourire actuel me fait paraître ainsi hein ! Bref, j’avais une main libre d’un côté et une autre qui c’était posée par réflexe sur la partie bombée inférieure de ma première partenaire. C’est la remarque de Mélinda qui me fit penser qu’il serait peut-être temps que j’arrête de délaisser Pepper, même si cette dernière ne semblait pas tenir rigueur de mon retard. C’est en passant ma langue sur mes lèvres que je me suis mise à faire un grand geste avec mon bras, me courbant également sur le coté de façon légère, et pour finir, la pose de ma main sur sa fesse libre avec un son assez caractéristique, mais sans être non plus violent. Bon okay, il y avait des chances que ça fasse une petite marque rouge, okay… Mais ça n’est pas comme si j’avais mis une claque façon Ken le survivant hein !


- Sans vouloir créer de second sens, j’avoue que je me tâte…

La réponse était assez évidente. Je fis des cercles avec mes mains plus ou moins organisés, ma main droite étant ma principale celle qui s’y trouvait avait donc un meilleur rendu, tout ça pour faire des caresses simples et pas vraiment sexuelles. Puis j’empoignais doucement un peu de matière avant de reprendre les caresses. Je devais donner un avis, mais je ne saurais dire laquelle je préfère, de paire de fesses.

- Niveau préférence, je suis assez embêtée. Mélinda à toutes les formes que j’aime à ce niveau-là.. *j’étais en train de regarder son cul au moment de dire ça, puis je fis pareil avec Pepper* … mais notre patronne possède tout ce que j’aime au niveau de la texture. Je ne peux pas choisir !

Je me demande d’ailleurs ce que préférais les deux, mais ça, je ne pouvais le deviner. Mélinda possédait un corps foutrement bien gaulé, franchement. Le genre qu’une reine se devait d’avoir pour imposer ses modèles de beauté et pouvoir se faire baiser par n’importe qui tellement personne n’aurais rien à dire sur la générosité de ses formes. Pepper quant à elle, et bien, je la considérerais davantage comme étant une générale pour rester dans le contexte. Elle était davantage proche du genre grande asperge, mais avec du muscle davantage mis en valeur. Ses formes étaient les égales de Mélinda, mais vu qu’elle avait un corps plus élancé, ses formes l’étaient également. Et les miennes ? Ho et bien je ne suis ni très grande, ni très grosse ni exceptionnellement bien formée contrairement à ce qu’avait fait remarquer bouclette. Il l’est peut-être dans le sens où les formes sont adaptées à mon corps, mais ce n’est pas particulièrement imposant. Du genre petit seins et cul plat, en exagérant un peu bien entendu.

J’avais repris des caresses avec mes mains. Et puisque nous étions toutes collées les unes aux autres, tout en remuant mon popotin, ce qui faisait frotter mes cuisses contre celles de mes partenaires, j’en profitais pour faire une remarque sur quelque chose que moi aussi j’aimais bien. Histoire de rester dans le contexte.


- Il y a moi aussi une partie du corps que j’aime…

Je n’avais ciblé personne en particulier, mais Mélinda pouvait se sentir visée vu ce que je m’apprêtais à faire avant que l’on se fasse interrompre. Doucement pour ne pas percuter quelqu’un, je me baissai légèrement pour aller lécher le bout des tétons les plus proches avec le bout du bout de ma langue, l’une comme l’autre y passant quoi qu’il en advienne. Mon but n’était pas d’y aller franco, notre position générale ne permettant pas vraiment de le faire sans fatiguer rapidement du cou, mais juste pour leur faire comprendre que ce petit machin capable de pointer était ce que je préférais. Les fesses, c’est bien une fois en main. Mais on peut davantage faire de choses avec les tétons ! Autant hommes que femmes et pas seulement avec une partie de l’anatomie.

J’avais fait ça brièvement, de façon à réveiller davantage de désir plutôt que réellement soulager quiconque était passé. Après tout, j’étais là à la base pour cette pub, même si au final elle n’existe pas, ce que je trouve dommage personnellement, donc autant continuer dans cette lancée. Personne n’avait encore réellement commencé le sexe et je n’étais pas prête à le faire vu que pour l’instant, cette situation me faisait bien tripper. Enfin… Pas tripper dans le sens où ça me faisais rire, mais plus parce que cela me plaisais. C’était calme, doux et progressif.


- Vous en pensez quoi les filles ? Vous aimez ça aussi ? Vous avez une préférence ?

C’était un peu copié sur Mélinda comme réplique, même si là je parlais des tétons plus que des seins, mais bon tant qu’on était lancée hein… Et puis, cette dernière pouvait savoir sans réfléchir laquelle des deux était ma préférée.

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Si s’occuper de belles femmes de façon purement érotique serait un art, non en fait pas besoin de parler comme une hypothèse puisque s’en est forcément un, je dirais que je serais au pinacle du mien. J’avais déjà fait quelques séances vidéos avec des copines juste pour s’amuser, donc autant dire que je savais autant modérer mes envies que jouer un rôle, ou encore me montrer excitante pour toute personne pouvant me regarder. Sauf que bien souvent, ce n’est pas forcément réciproque car mes partenaires se laissent trop souvent distraire par la présence d’une caméra ou d’un appareil photo. Et bien que je ne sois pas parfaite non plus, ça me crispe de voir une vidéo avec une fille qui arrête pas de regarder vers l’objectif… C’est comme si pendant que l’on baise, nos partenaire regardaient sans cesses ailleurs comme s’ils en avaient rien à foutre de ce qu’on leurs fait. Exactement comme quelqu’un qui ne te regarde même pas qu’on lui parle. Enfin bon…

Mélinda appréciait ce que je lui faisais, sans aucun doute. Je ne suis pas la dernière quant il faut prendre des initiatives et j’ai un certain œil sur ce qui peut faire plaisir à mes partenaires. Bon d’accord faut que je teste un peu le terrain avant, mais bon, personne ne peux pas tout savoir sur tout le monde simplement en les regardant hein ! Ma partenaire soupirait, ce qui me fit plaisir puisque cela me faisait une vraie preuve comme quoi ce que je faisais était bien fait. Pepper finit par nous rappeler sa présence en faisant des sortes d’applaudissements. L’une comme l’autre, nous avions stoppées net nos actions et tournés la tête pour savoir ce qu’il pouvait bien se passer. Notre évaluatrice venait nous trouver tout en nous complimentant de "déesses". Woah et bien, je crois que c’était la première journée de ma vie où l’on me considérait vraiment ainsi. Par contre, j’avoue avoir un peu décrochée sur sa tirade suivante.


Je vous ai dit qu’on faisait une campagne publicitaire sur le désir... En réalité, on fait la promotion d’un parfum aphrodisiaque, les filles. Le slogan est : ‘‘Un baiser, une nuit’’. C’est un parfum que la firme pour laquelle on travaille décline aussi en rouge à lèvres, et l’idée est d’emballer son partenaire avec un baiser... Alors, je suppose que vous comprenez où je veux en venir, car je sens bien que votre beauté n’est que le reflet de votre profonde intelligence...

Donc en gros, on était là en réalité pour la pub d’un parfum et parce qu’on était belle voulait dire qu’on était intelligente ? Si j’étais à côté de la plaque, je ne saurais dire si j’étais à gauche ou à droite. Mais j’avais compris une chose cependant. Quelque chose qui se trahissait dans le regard de Pepper et que Mélinda m’avait confirmé par sa phrase suivante. J’alternais mon regard entre les deux, un regard assez neutre bien qu’un peu perdu, je dois l’avouer. Je répondis une fois que ce dernier c’était à nouveau posé sur Pepper.

- J’ai pas tout saisi, mais si c’est pour faire un plan à trois, je suis partante. Surtout qu’il me manquait sur mon cv la partie avec deux filles en plus de moi-même.

Puis je me suis mise à hausser les épaules, comme si de rien étais. Nous serions dans une espèce de série télévisée érotique, c’est là que les rires préenregistrés se feraient entendre. Mais bon, j’avais déjà fait avec deux mecs, un gars et une nana, c’est d’ailleurs ce dernier type de plan à trois que je faisais le plus souvent les quelques fois où ça arrivait, mais jamais avec deux nanas. Surtout des aussi bien gaulée physiquement. Je profitais d’ailleurs de ce petit moment de calme pour préciser une petite chose qu’il fallait sortir. Désolée Mélinda !

- Tant que l’on est en pause, il faut que je dise un truc.

Je me suis mise à pivoter à la fin de ma phrase, histoire d’être en face de ma partenaire initiale. Puis je dégainai mes index.

- Je… Déteste… Ces… Machins !

J’avais désigné à chaque mot quatre endroits différents à l’aide de mes index. Tout d’abord, les bretelles de soutien-gorge. Puis après avoir reculé mon buste légèrement puisque à la base je collais presque Mélinda, ce qui pouvait également montrer que j’étais un peu souple, les bonnets. Ensuite, après avoir redressé légèrement la barre et plié les jambes, le devant de la culotte. Et pour finir, en me rapprochant un peu, le fessier. Le tout de façon à peu près symétrique. Une fois finit, je me redresser entièrement, parée à ce que l’on se moque de moi. Même si je vais le prendre plutôt bien. J'espère juste qu'elles vont comprendre que je parle des sous-vêtements et non de la poitrine des fesses et de... Non elles ne sont pas stupides quand même, non?

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Et bien, pour être parfaitement honnête avec tout le monde, je ne pensais pas que Mélinda allait réitérer ce que j’ai fait en plus bref tout à l’heure. Il faut dire qu’embrasser quelqu’un de bien foutu et qui en plus avait un goût d’enfer, il est parfaitement impossible de trouver ça chiant ou dégueulasse. A moins d’être une vieille mamie n’ayant jamais réussie à tirer le moindre coup de toute sa vie de merde. Les lèvres de Mélinda étaient experte, et je ne m’en lasserais probablement que dans le cas où ça me couperais l’arrivée d’air ou de nourriture. Embrasser jusqu’à la mort, c’est certes d’un romantisme fou, mais j’ai envie de tout sauf de crever avant d’avoir passé l’âge à faire l’amour de façon agréable. Même si ma meurtrière a du potentiel à me donner de l’inspiration quand je me tripote.

Le baiser commença donc. C’était à la fois une excellente expérience d’en recevoir un, alors que je vous avouerais que j’en suis la principale donneuse d’habitude, mais davantage d’une femme qui ne viendrait probablement pas du même pays que moi. Par ailleurs, je trouvais ça très bizarre cette aisance naturelle et cette hyper-sexualisation de sa personne. Non pas que des nanas bien gaulée ne doivent pas s’habiller comme ça, j’en veux pour preuve que dans la famille on est toute comme ça, Stalonette compris, mais il était très clair pour moi que cette femme était obligatoirement du genre à avoir au moins un truc sexuel par jour. Je suis même certaine que son expérience de la chose est terrible comparé à moi qui a pourtant commencé vachement en avance. Et comme dernière preuve, j’ajouterais pour la défense qu’elle embrasse foutrement bien. Vous pouvez disposer.

Pepper était à fond. Etait-elle là en simple spectatrice, évaluatrice ou bien un rôle que je n’avais pas calculé ? Mystère, mais pour l’instant, j’aimais bien me sentir matée ainsi. Et quand je serais devenue célèbre, autant vous dire que ça va être encore mieux ! Mais là n’est pas la question.


« Je porterais une de ces saleté de culotte, elle serait dans un drôle d’état »

A peine j’avais eu le temps d’avoir cette pensée que le French Kiss était en train d’être rompu. Dommage, mais en même temps ça se comprends. Je déplaçais ma main pour attraper le bout du filet de bave me reliant à Mélinda, le fit se décoller de sa bouche à l’aide de mon pouce et sans le briser, je réussis à le faire tomber dans la mienne avec un brio qui aurait peut-être étonné mon crétin de père. J’espère d’ailleurs très sincèrement ne pas avoir son don pour être douée dans tout ce qui ne sert à rien…  Enfin bon, j’ai lâché un petit rire très court quand j’ai réussis à faire ça. C’était stupide, ça okay, mais au moins cela brisait un peu l’ambiance trop sérieuse qui… Ouais trop sérieuse.

Je me rapprochais un peu plus de Mélinda, étant partiellement éloignée le temps de faire ma petite connerie, histoire de revenir à mon point de départ. Ma main droite partit à vitesse lente vers son dos, ou plus précisément le bas du dos… Enfin le cul quoi. Je l’avais faite partir de bas en haut et par conséquent, vu que ma mémoire de poisson-rouge m’a fait oublier qu’elle était en tenue de ville, cette coquine s’était rendue sur son vêtement caché dessous... Je ne comprendrais jamais pourquoi les gens en porte m’enfin, ils font ce qu’ils veulent tant que je ne suis pas forcée de faire pareil. Mon autre main s’était place sous la cascade de cheveux de Mélinda et poussait légèrement cette dernière pour avoir son visage dans mon cou, et tant qu’à faire avoir le mien dans le sien. Une fois à portée, mes lèvres ne purent résister à l’envie de mordiller cette peau. Je ne voulais pas lui faire de mal, après tout j’en suis incapable, ni même la salir, mais juste embrasser cette peau qui provoquait de terribles sensations. J’en ai profité pour également détacher un bouton de sa chemise et ainsi avoir plus d’espace à ma disposition. De toute façon, à un moment ou un autre on se retrouvera parfaitement nue donc autant commencer ! Mais tranquillement car je vais déjà assez vite en besogne sur mon blog ou avec certains mecs trop à fond dans leurs fantasmes.

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Ow yeah ! J’adorerais qu’une musique façon Western-spaghetti se déclenche. Ça irait trop avec l’ambiance cowgirl solitaire sexy qui en croise une autre sous le soleil couchant et canasson qui picole de la bière à l’abreuvoir. Un harmonica pour citer la base, deux trois souffles dedans et hop, ambiance romantique de l’ancienne Amérique !

Ce n’est peut-être qu’une supposition malvenue de ma part, mais je pense que Mélinda avait quand même pas mal apprécié ce que je lui avais dit et fait. De par mon expérience personnelle et ressentie, beaucoup de femme tiennent leurs cheveux en haute estime, surtout au Japon médiéval où la chevelure d’une dame lui était bien plus cher que sa féminité. Couper tout ça signifiait mettre un terme non seulement à la beauté que Eve nous a offerte, mais également briser une partie du mental comme l’on pourrait le faire en coupant une artère cardiaque. De plus, la chevelure de Mélinda était fournie en taille, soyeuse comme ce qu’on peut voir dans les pubs Schwarzkopf ou Fructis, souple comme un string de bain jeté à la merde et bouclée comme une ceinture. Cela voulait donc dire qu’elle en prenait soin, donc que faire une bonne remarque ou attention dessus ne serait pas de trop pour lui faire plaisir. Et puis si elle n’avait pas aimé, je me serais sûrement retrouvée avec les joues endolories.

Sa réponse fut rapide, mais d’abord de façon physique. Elle fit passer le bout de sa langue sur mon cou, aussi proche que le sien l’était de moi à plus ou moins égale mesure vu notre taille respective, puis usa de ses lèvres pour ensuite reprendre avec sa langue. Apparemment, je n’étais pas la seule à avoir de l’expérience ! Ce qui parait logique car vu son corps, sa façon de s’habiller ainsi que l’espèce de charisme qu’elle dégageait, cela aurait été étonnant que ça soit une sainte nitouche juste là pour montrer son cul façon danseuse bourrée en boite de nuit. Ibiza s’en remettra.


- La même chose que moi... Que tu as une peau merveilleuse, ma belle... Et un corps des plus bien formés…
Ho mais tu m’es supérieure sur ce dernier point, baby…

J’avoue avoir la chance d’avoir de jolies formes pour ma corpulence et de savoir bien mettre tout ça en valeur. Néanmoins, je reste quelqu’un d’assez maigre et tout ce qui symbolise la féminité en prend quand même pour son grade. D’autant plus que je ne porte pas de sous-vêtements  donc ça gonfle moins dessous et donne davantage une sensation moulante. Pour le bas du moins puisqu’en haut ça flotouille un peu suivant ce que je mets. Et puis pour être franche, cette femme avait un corps de rêve ! Plus j’y pensais et plus j’avais envie de me tripoter même si ça serait assez mal venu pour l’instant. Ho quoi que… Hum ça tuerais l’ambiance sensuelle de ce moment alors vaudrait mieux éviter, et peut-être espérer que je ne serais pas découverte trop tôt ? Ça ferait mauvais genre en plus de paraître pour une nymphomane vulgaire et pas très pudique. Même si la vulgarité mise à part, ce n’est pas faux.

Pepper semblait déchaînée derrière, sûrement contente de voir un tel résultat se profiler. Beaucoup de filles passant ce genre de petit contrat sont bien plus timide et moins expérimentée que moi ou Mélinda, du moins de ce qu’en déduisait pour cette dernière, et voir quelqu’un bien se débrouiller lui faisait très certainement plaisir par rapport aux potentiels échecs sur pattes qu’elle avait dut rencontrer plus tôt. En considérant que ça soit bel et bien elle qui s’en est occupée. Puis Mélinda savait clairement se montrer sensuelle, qui déjà me faisait plaisir, et ensuite devait également motiver Pepper plus loin derrière. D’autant plus que je n’ai pas pu m’empêcher d’emmètre un petit rire amusé quand cette dernière parlait de timidité. J’avais envie de lui dire que je ne l’étais pas, mais j’aurais été capable de raconter ma vie. Du genre que c’est moi qui suis allé devant les gens quand j’ai changé de pays deux fois, quand j’ai voulu perdre mon hymen en allant voir un gars très renfermé qui me plaisait bien, que je commentait sévère à l’époque où j’entendais mes parents baiser tous les soirs avant de dormir… Oups désolée. J’allais réellement raconter ma vie là.

Ma partenaire s’amusait à jouer avec son nez juste après que nos têtes respectives se trouvaient de nouveau face. Elle le passait sur mes joues, heurtait délicatement le mien de temps à l‘autre, le tout en agrippant mes fesses alors que je n’avais même pas remarquée quelle avait une main dessus. Depuis quand elle se trouvait là ? Sûrement quand j’étais trop concentrée à humeur son odeur. Et vu que du coup j’ai eu droit  une main inactive, je me pris pas de court à la mettre dans son dos, l’avant-bras longeant sa colonne vertébrale, et je fis descendre l’autre vers ses fesses qui me faisait assez envie. Tant qu’à faire, autant que j’en profite également, et je finis par savourer un baiser des plus agréables. Non vraiment, elle avait super bien fait durer le plaisir tout en utilisant sa sensualité pour arriver à un baiser romantique et doux, avec un bon côté sulfureux en prime. Si j’étais une aussi bonne parieuse que ma mère, j’aurais parié que la miss serait du genre à savoir se faire satisfaire par les autres. Mais je ne m’avancerais pas trop dans ce genre de débats.

Toutes paupières closes, nous étions en train de profiter des lèvres de l’autre pendant que Pepper nous regardait. Je ne vous cacherais pas, parce que de toute façon c’est d’une telle évidence que même le plus crétins des hébétés le remarquerait, que je suis de plus en plus en proie à mes désirs. Entre la voyeuse qui faisait son travail, ma tentative de séduction ayant plutôt bien marché et celle de Mélinda qui renforçait mon besoin, autant dire que j’étais bien servie. Puis étant lancée, je lui fis part d’une spécialité française, l’une des seules que j’aimais bien avec les jeux de mots et le cassoulet, passant mes lèvres sous un autre angle tout en lui tenant le menton avec la main qui lui parcourait autrefois le dos. Ce qui par chez nous s’appelle…


- French kiss

Je finis par rompre de moi-même cette embrassade. Je n’avais absolument aucune idée de si Mélinda connaissait cette technique ancestrale et transmise de génération en génération par le peuple autrefois appelé Gaulois, mais si je pouvais lui apprendre un truc ça serait cool. En plus, j’avais dit ça comme une japonaise parlant anglais alors ça devait bien faire son petit effet cette tri-culture, non ?

J’entendais une nouvelle fois Pepper au loin, mais je ne me préoccupais que de ma partenaire, du moins réellement. Je repartis sur un baiser à la française, sauf qu’au lieu de lui tenir le menton, je lui caressais la joue du même côté de ma main, avec le dos de mes doigts, de façon à seulement l’effleurer. Je voulais lui donner une sensation de confort, voire de flottement. Comme si nous étions en train de léviter dans un ciel sans vent, avec seulement quelques nuages furibond qui nous observeraient au loin comme des jeunes pucelles timides et discrètes. Oui, je suis poète quand j’embrasse une jolie dame.

J’avais également une petite idée derrière la tête, puis tout en prenant un petit air de… Enfin comme si j’étais désireuse d’aller plus loin sans pour autant vouloir sauter les étapes, je quittais ce nouveau baiser en ouvrant grand la bouche, reculant mon visage, puis me mordillant la lèvres inférieure. Je pris une des mains de Mélinda pour la poser sur mon sein gauche, ne lésinant pas sur la possibilité que celui-ci aie droit à un traitement de faveur. Avec mon regard presque en mode supplice, je fixais ma partenaire intensément, restant sensuelle, femme.


- Tu sens comme mon cœur bat ? Il bat pour toi, ma chérie…

J’avoue, c’était un peu surfait comme jeu d’actrice. Mais d’une part cela m’amusait, et d’une deuxième part j’offrais une ouverture terrible sur les quelques possibilités qu’offrait mon geste. J’avais hésité à prendre un doigt pour le sucer à la place, mais ce n’étais pas encore le moment. Et puis, le thème reste la sensualité, pas vrai ?


8
Nous somme trois belles femmes réunies dans un studio photo moderne avec deux qui vont passer une séance photos érotiques. Personnellement, je la sens bien cette séance photo. A peu près autant qu’un camion-citerne qui essaierait de me rentrer dans le derrière. En moins bourrin, peut-être. J’avais déjà fait une séance comme ça par le passé, à l’époque où j’étais encore une Américaine importée. Bon d’accord, ce n’était pas quelque chose de professionnel vu qu’on était juste une bande de copines voulant s’amuser et le tout avec du matos un peu pourris, mais ça n’est pas la première fois. Je ne sais d’ailleurs pas si ça vient de ça, mais je ne me sens absolument pas stressée. Quoi que je ne l’ai jamais été aussi loin que je me souvienne…

En tout cas, Mélinda semblait avoir aimé mon compliment. Quoi que ça soit un peu exagéré de dire cela comme ça vu qu’elle a VRAIMENT un visage de princesse. Même si je n’en ai jamais croisée à vrai dire. On va dire qu’elles ont à peu près un visage comme ça, ça me plait comme idée. Bref, son sourire avait un petit côté charmeur qui était assez plaisant, je me dois de le souligner.


- Je me disais aussi que ton magnifique corps se devait d’être honoré comme il se doit ici... Après tout, quand on est belles comme nous, c’est bien pour en profiter, non ?
C’est drôle, je pensais à la même chose. Tu sais que c’est un de mes principes de faire plaisir à des femmes comme nous ?

Pourquoi mentir ? La beauté naturelle est quelque chose qu’il ne faut pas prendre à la légère quand on la possède. Et dans mon cas, je sais que je l’ai et je sais également que Mélinda l’est également vu que je n’arrive pas à deviner un seul artifice utilisé. Donc soit elle est au naturel, soit avec des bidules tellement de bonne qualité que je serais incapable de savoir quoi que ce soit à leurs sujets. Vu que la seconde proposition est trop peu réaliste pour que le public la garde, le vote désigne plutôt la première. En plus, ça m’arrange de le croire.

On était toutes les deux l’une avec l’autre lorsque notre photographe en chef revenu de ses bidouillages, ou du moins ce que je pensais en être. Cette miss avait un cul d’enfer en plus d’avoir une silhouette de rêve et tout le tralala nécessaire pour une jolie fille. Combinez ça à la tenue moulante qu’elle porte et sa façon de bouger, vous avez là un objet de fantasme sur pattes. Mais ça, je l’ai déjà dit. Bref, elle nous bazarda avec des explications comme quoi ce n’était pas réellement une séance de photos, mais plus une campagne qui n’avait pas pour but la même chose que ma venue initiale. C’était même mieux ! En gros, je pouvais rapidement devenir connue simplement en faisant du posing photo suivit de vidéos si tout se passait bien. Le rêve ! Et en cadeau bonus, je pouvais donc bel et bien gratter une tenue comme Pepper. J’espère qu’ils ont ma taille car je compte bien y aller à fond.


- Cool.

Donc en gros, il fallait bouger jusqu’à là où il y avait tous les appareils. Le temps que mon cerveau lise et transmette les informations, Mélinda avait joint sa main avec la mienne, déjà parée à faire ce pourquoi on était là.

- Moi, je suis prête à me coller contre toi, Liléanne...
Mais tu n’es pas la seule, ma beauté.

A rester coller ainsi, il y a de fortes chance que l’une puisse humer de façon plus ou moins volontaire le corps de l’autre surtout que l’on devait rester collée, mais Pepper n’avait absolument pas dit de quelle manière. Je comptais donc y aller à la cool avec tout le naturel que je puisse avoir, d’autant plus que Mélinda était partante sans aucun soucis. En apparence du moins, mais je ne pense pas qu’elle mente à ce sujet-là. Main dans la main, il ne nous pas fallut beaucoup de temps pour nous installer, moi avec mon shorty ainsi que mon tee-shirt Donald Duck asymétrique et Mélinda avec sa tenue citadine très japonisée, féminine et sexy dans son genre. Je profitais d’un moment pour attraper entre deux doigts une mèche de cheveux ondulée et me rapprocher pour humer son parfum… Qui était assez particulier.

- Tu savais que l’on peut savoir quel genre de femme à qui ont à faire juste par son odeur ?

Oui, j’ai dit ça pour qu’elle se rapproche davantage de moi, avec une petite voix mystérieuse. Et puis cela pourrait rajouter un peu de piquant dans notre petite affaire, je pense. Je ne sais pas ce qu’elle pourrait sentir venant de moi, en tout cas pas de parfum vu que cela fait un moment que je n’en ai pas mis, mais cela pourrait être amusant de le savoir. Surtout que je n’ai aucune preuve de ce que j’ai avancé en lançant cela.

Je fis une petite approche, en lui faisant face. Depuis tout ce temps, je tenais sa main dans la mienne vu que je n’avais aucune raison particulière de la relâcher. Prise d’un éclair de malice, mon autre main alla sur sa taille, provoquant une légère pression dessus, puis je me suis mise à me pencher doucement, donnant une fausse indication comme quoi je comptais l’embrasser. Oui, fausse car je déviais exprès vers la fin pour aller sentir son cou, humant son parfum. Notre poitrine était l’une contre celle de l’autre, la mienne seulement dérangée par le tee-shirt et celle de Mélinda gardée très probablement par un sous-vêtement… Brrr saleté de sous-habits.


- D’après toi, qu’est-ce que je peux déduire de là où je suis… ?

9
- Hey ! Salut ! Je m’appelle Mélinda. Tu viens pour le concours de photo, toi aussi ?

Je n’avais pas tilté que quelqu’un était arrivé jusqu'à entendre cette question à la réponse évidente. A vrai dire, j’étais plus concentrée sur l’air de la climatisation sur mes perles de sueurs que sur le restant de l’humanité. Cette femme était plutôt bien roulée, y’avais pas à dire. Je serais prête à parier une séance de pole dance payée plein pot que cette nana sait faire fantasmer les gens. Une poitrine mieux fichue que la mienne et mieux mise en évidence, même si de mon côté c’était limite fait exprès, un visage de princesse Disney pour adulte et toutes les fringues qui savait bien la mettre en évidence. Bon sang, si j’aurais été un mec, j’aurais explosé mon short et l’aurait salué avec ma virilité plutôt qu’avec des mots, une bise ou une poignée de main. Mais bon, je ne suis pas une bête sauvage non plus. En revanche, suivant ce qu’il allait se passer durant la séance, y’a de fortes chances que je mette à penser à elle quand je passerais sous la douche.

- Ho salut ! Oui c’est une bonne occasion de savoir ce que mon corps peut offrir. Tu peux m’appeler Liléanne.

Si cette fille n’est pas trop idiote, elle pourrait facilement deviner que la fille souriante et toute mimi en face d’elle n’était très clairement pas Japonaise, que son prénom était peu commun OU mieux qu’elle connaisse son pseudo de blogueuse, et qu’enfin ses fringues était surtout choisie à la va vite. Oui, je parle de moi à la troisième personne. Cela vous pose un problème ?

Pas longtemps après ce très court dialogue, la porte qui allait être tout notre centre d’intérêt finit par s’ouvrir. Une femme toute aussi canon, mais dans un autre registre, en sortit avec le sourire aux lèvres. Je me serais presque attendue à ce qu’elle veuille nous vendre des produits de beauté, mais fort heureusement pour mon compte en banque ce n’était pas le cas. Il ne fallait pas me le dire deux fois, quand elle nous proposa de rentrer, je n’ai pas attendu que trois guerres mondiales éclatent. Je crois qu’en fait, il n’y aura pas qu’une visite surprise dans ma tête lorsque que j’irais me doucher.


- Salut et merci ! Dites il y a moyen d’avoir un exemplaire de votre tenue ? Elle fera trop classe sur mon blog.

Ben quoi ? Si ses fringues appartiennent à l’entreprise, je n’ai pas de raison à ne pas en demander une. Surtout que le bas semble être comme un maillot de racing queen et le haut également, mais dans un genre différent.  Vu que je n’ai pas encore de tenues futuristes ou en rapport avec la course auto-moto, je me ferais plein de vue comparée à tout ce que je possède et qui a été vu et revu sur mon site.

La salle où l’on allait sûrement bosser était technologiquement cool. J’ai surtout remarqué les appareils photos qui étaient tout sauf des instruments photographiques de tapette. Une fille de mon âge ne pourrait normalement jamais avoir des trucs pareils même dans ses rêves les plus fous. Ce qui me fait penser que ma mère n’a pas encore envoyé la caméra que je lui avais demandée. D’ailleurs, elle devait dormir dans un lit à peu près aussi similaire que celui qui se trouvait bien en vue du matos. A part ça, c’était plutôt vide à mon goût. Mais bon, on est dans un studio photo après tout et non pas une chambre de jeune femme célibataire qui qui se tripote le minou quand elle s’emmerde.


- Je m’appelle Pepper, c’est moi qui serais votre coach pour les séances photos ! Vous voulez un truc à boire ou à manger avant de commencer, les filles ?
Merci mais pas pour moi. Je n’ai pas envie d’aller aux toilettes en plein milieu d’une séance.

Si elles n’étaient pas encore habituées à ma franchise, il fallait de toute façon le faire dès maintenant. Oui, si je bois trop, faut que j’aille pisser. Et vu la chaleur de folie qu’il fait dehors, il me faudrait non pas un verre ou une bouteille, mais une citerne entière pour pouvoir calmer ma soif. Et vu que je n’ai pas envie de rejouer la catastrophe de Malpasset, je vais m’abstenir avec une joie immense.

On était donc que toutes les deux pour la séance photo ? Voilà qui est bien triste. J’aurais tellement, mais tellement préféré que l’on soit au moins avec une troisième personne histoire que ça soit plus fun. Si ça se trouve, il y quelque par une kunoïchi sexy qui nous attends, cachée sous le lit ou au plafond et qui attends le bon moment pour débarquer et faire la photo du siècle. Ou encore une blonde toute en beauté et un peu maladroite qui va arriver en retard par la même porte où l’on est toute passée pour une inscription de dernière seconde. Je rêve peut-être un peu, je l’avoue sans honte, mais ce n’est clairement pas ma faute si mon crétin de père a déteint sur moi ! Oui bon, en fait, je devrais essayer de sympathiser avec Mélinda même si je ne devrais pas avoir de soucis.


- J’espère que l’on va bien s’entendre toi et moi. Même si je ne pense pas qu’une femme au visage de princesse soit réellement maléfique.

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Centre-ville de Seikusu / Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]
« le: dimanche 21 juin 2015, 20:54:00 »
Actuellement, il fait chaud. Du genre tellement chaud que je pourrais faire ma cuisine simplement en tendant une poêle à frire vers l’extérieur et la rentrer immédiatement pour avoir à manger. Mon stock de gâteau au chocolat ainsi que celui comportant toute la famille Kinder (Bueno, Country, Pingui pour ce qu’il reste) est littéralement clouée au frigo vu que je ne peux pas les sortir sans qu’ils fondent à vue d’œil. Et avec ma flemme, je suis restée pratiquement toute la journée sous la fenêtre à me masturber mollement l’entrejambe tout en mangeant des glaces à l’eau. Et toujours par flemme, je ne me suis même pas habillée. Même la nuit il fait chaud donc pourquoi s’encombrer ? Si je pourrais, je resterais dans le congélateur à ne rien faire d’autre que dormir, mais bon y’as pas marqué Häagen-Dazs sur mon front. Le magazine que je lis est relativement naze aussi. Il me servira limite me faire patienter quand je serais aux toilettes.

Mais ça, c’était avant. Avant quoi ? A la fin de ce magazine, j’ai trouvé un prospectus parlant de manière criarde qu’une séance photo allait se dérouler non-loin d’ici, à Seikusu city, où de la chair fraîche pourrais se présenter pour un shooting. J’ai pas tout compris, mais en gros, on pourrait paraître dans le prochain numéro ou non suivant comment se déroulerait la séance. Vu que celui-ci n’a pas l’air connu, c’est plutôt une bonne initiative de leur part. Et vu que c’est exactement le genre de choses que j’aime pour me faire connaître, je me suis dit que c’était une occasion à ne pas louper. Mais un gros problème était là... Vous savez, le genre qui vous regarde avec ses gros yeux rouges et qui cache toute votre misérable existence juste avec son ombre.

Il fallait… Que je me lève.

Sans rire, être allongé comme ça en train de manger une glace tout en me tripotant le minou au bord de la seule place où je peux avoir un renouvellement de l’oxygène, c’est le paradis. Et puis… J’ai vu que cela commençait dans quelques minutes.

Je me suis donc empressée de venir simplement vêtue d’un shorty blanc en jean et un top bretelle léger de même couleur avec Donald Duck dessus. Et maintenant, j’attends dans le couloir que la séance commence. Je ne me suis pas maquillée au cas où il y aurait du monde pour ça, mais si c’est pas le cas, je suis déjà bien canon sans artifices de toute façon. Ah et j’adore cette climatisation ! Même s’il fait toujours chaud à transpirer facilement.


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Prélude / Re : *clic* (Validéprimée !)
« le: jeudi 14 mai 2015, 20:18:52 »
Un problème Monsieur Connor ?

Et je te remercie à la fois pour ton accueil et le compliment sur ma présentation, Lanrea !

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Prélude / Re : *clic* (Validéprimée !)
« le: mercredi 13 mai 2015, 17:46:41 »
C'est pas vraiment mieux.

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Prélude / Re : *clic* (Validéprimée !)
« le: mercredi 13 mai 2015, 17:01:26 »
Encore merci à tous pour votre message de bienvenue !

Catalina, si j'ai précisé "Le cri", c'est parce que lors de mes études on m'a convenu qu'il s'apellait comme ça. Et vu que les musées me font royalement chier, pour rien au monde j'ai été vérifier. Je ne suis même pas sûre que j'irais si on me paierais. et concernant mon père, Concernant mon père en revanche, ça n'est pas la seule fois où je l'ai vu faire. Une fois, il s'en est même servit de joystick pour borne d'arcade donc je te laisse imaginer le pire du pire.

Et histoire de garder le meilleur pour la fin, merci Lyan pour cette validation ! En tant que modo le plus badass du moment, il est possible d'avoir un autographe? Je pense que ça va péter des culs quand je serais célèbre.

En revanche, plutôt mourir que de porter une culotte !


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Prélude / Re : *clic* (Lyan passera demain, comme le Père Noël !)
« le: mercredi 13 mai 2015, 11:22:51 »
Merci à tous pour votre accueil !

J'ai modifié la couleur de mes petites réponses amicales. Je l'ai fait dans la fiche mais complètement zappé dans le reste. Cela devrait bien mieux passer maintenant. J'attends donc avec impatience le verdict de la modération vu que le célèbre Lyan Rose s'en occupe.

Elisia, mon blog se trouve à l'adresse www.misslileannekiss.com et si tu peux rajouter les balises /fr ou /eng si tu n'aime pas le japonais. Au plaisir de se rencontrer dessus ou en chair et en os !


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Prélude / Re : *clic*
« le: mercredi 13 mai 2015, 00:39:58 »
C'est ce que je compte faire. Merci Naisho !

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