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Messages - Azmeth/ Tokmeth

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps du soumis
« le: mardi 25 novembre 2014, 04:37:36 »
La résistance fut brave, leur pied étaient solidement encré dans le sol, et leur bras luttaient avec la force du dernière espoir ! D'abord de survivre, ensuite de vivre assez longtemps pour sauver les malheureux prisonnier de la bête. Eglamorr gardait cela bien en tête, portant chaque attaque pour se rapprocher un peu plus de tout ses innocents qui n'attendaient qu'une démonstration de sa vaillance.
Ses hommes et lui n'étaient pas de taille, c'était sur et certain. Parvenant tout au plus à ralentir leur trépas... Mais l'arrivée de cette terranide semblait changer la donne.
Elle semblait affublé d'un don bien plus puissant que leur expérience et leur maîtrise des armes réunies. Leonna parvenait à anticiper les mouvements des créatures qui les attaquaient, portant de temps à autre un coup à leur encontre, ou indiquant simplement par où elles allaient jaillir.

Les hommes d'armes étaient dé lors plus efficace, plus percutant dans leur défense, se coordonnant même. L'un repoussait grâce à son bouclier, l'autre tranchait.
Un cercle parfait se forma, fait d'acier de de bravoure... les hommes hurlaient ! Se faisant plus menaçant, plus oppressant que les créatures qui les attaquaient.

- Du nerf compagnon ! Luttons ensemble !

Le chevalier leva alors son épée et porta un dernier coup sur un tentacule qui avait chercher à s'attaquer à l'un de ses compagnons. Il sembla marquer la fin du combat. Le calme revient... Cependant, il était stupide de penser avoir vaincu ainsi pareil créature. La brume était resté, plongeant la petite troupe dans un décors blanchâtre et vaporeux. Le nuage c'était tant épaissie durant le combat qu'ils ne distinguaient même plus l'entrée de la grotte. Il n'y avait plus d'horizon, plus de frontière entre le ciel et la terre... juste une masse informe et brumeuse qui les encerclait.

Le chevalier somma à sa troupe d'avancer. Il tandis une main ganté de fer vers Leonna... se retournant ensuite vers ses hommes.

- Mademoiselle, je ne serais que trop vous implorez de nous aider... rester au cœur de ma troupe, sans vous nous ne serons de taille à affronter cette bête.

Face à la mort, la fierté se fait silence et il n'y a pas un homme qui ne serait reconnaître haut et fort la nécessité d'une personne. Quand bien même s'agirait-il d'une femme... pire, d'une femme terranide.
Le petit groupe avança donc prudemment. Progressant avec crainte et méfiance, s'attendant à un autre tour de ces vils créatures.
Mais il n'en fut rien. Tous parvinrent saint et sauf jusqu'à l'entrée rocailleuse de la grotte par laquelle la brume et les tentacules s'étaient échappé.

Un souffle putride caressa leur narine, l'atmosphère était lourd au point d'en être humide et une légère brise arrivait dans leur dos. Comme si la grotte absorbait de l'air.
Cette impression progressa rapidement, jusqu'à en devenir visible, aspirant avec rapidité l'entierté de la brume qui les avait happé. Les soldats surprit, manquèrent de tombé. Messire Eglamorr jura comme jamais, observant avec stupeur ce qui venait de se passer.
L'entrée de la grotte et l'extérieur était vide de brume... et aucun cadavre ne traînait par terre. Ni les multiples tentacules coupés lors du pugilat, ni les corps sans vie de bon nombre des leurs.  

D'ailleurs, tant de chose avait disparu, qu'il fallu bien une trentaine de seconde à chacun pour constater que leur nombre avait été réduit de moitié...

- Mon dieu... messire Eglamorr, la brume les a emportée... nous sommes maudit, fuyons !?

- Pour abandonné les notre ? Trève de plaisenterie Ghutri, retourne dans le rang... et tenez vous prêt.

Le chevalier ouvrit la voie, malgré la soudaine peur qui lui broyait les instincts. Épée en avant, il montrait l'exemple, s'engouffrant dans ce qui semblait être la gueule béante d'un dragon gigantesque. Un démon des anciens temps... donc la seule présence pétrifiait d'horreur les plus braves.
La grotte était assez étroite, si bien qu'ils ne pouvaient progresser que par deux... les couloirs qu'ils longeaient se séparaient souvent en plusieurs, et c'est aléatoirement que Eglamorr décidait d'une direction. Il avait prit comme habitude de toujours tourner à droite, ainsi pour revenir ils leur suffira de prendre toujours le couloir de gauche. Une technique astucieuse mais qui ne s’avéra que peu payante. Rapidement, le groupe se mit à tourner en rond... arrivant toujours au point de départ.
Les humains s'observèrent un peu désemparé, ne sachant plus trop vers où aller.

Ils furent rappeler à l'ordre par une lourde voix... une voix provenant des profondeurs de la terre, ébranlant les murs et secouant leur cœur. Une voix surnaturelle... une voix qui n'en était pas une ! Une voix qui se contenta de rire. Une moquerie cruelle et malveillante, rappelant aux guerriers où ils étaient. Rappelant aux guerriers qu'ils étaient attendu et observé.

- Qu'est ce donc que ce nouveau maléfice ?

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps du rédempteur
« le: lundi 27 octobre 2014, 06:07:32 »
Flawo trépignait d'impatience et de joie ! Heureux de sa brillante idée, impatient de démontrer encore une fois sa valeur et son ingéniosité à cette bande de rustre de milicien. Il allait encore une fois parvenir à contenter la volonté de son seigneur. Voilà des années que le bougre luttait pour redorer le fanion pourrissant de sa famille. Dont l'histoire avait toujours été lié à l'histoire de cette ville. Quelques sombres affaires avaient terni leur réputation et plongé leur nom en disgrâce... mais le baron Nolan leur avait laissé une chance de servir la cité à nouveau, et celui ci y mettait un point d'honneur. N'hésitant à pas à user de sa fortune personnelle ou de manigance peux honorable pour parvenir à ses fins. Aujourd'hui n'était pas différent.
Il garda un large sourire lorsque l'assassine se présenta, expliquant à son seigneur la raison de sa venue. Son allure était ce qu'il fallait pour convaincre le baron. Agréable au regard, assez pour pouvoir espérer lui paraître sympathique. Mais également munie d'une aura puissante qui intriguait voir fascinait.

Flawo avait joint ses mains, énormes sourires sur le visage, acquiesçant lentement ce que l'elfe disait pour ensuite la rependre.

- La meilleure à ce qu'on dit ! Une elfe runique... une elfe assassine mon bon seigneur. Elle sera aussi discrète qu'une ombre et nous organiserons tout pour que vous soyez le héros de l'histoire.
Déguisé en milicien, vos meilleurs chevaliers vous accompagneront, arrivant après que notre assassine aura tuer la bête... imaginez d'ici ! Sir Nolan le tueur d'engeance.


Le baron resta quelques peu sceptique, ne souriant qu'à moitié. Son visage alla de l'un à l'autre, et son sourire augmenta. L'idée avait fait son chemin, et son arrogance en fut fortement séduite. Il chevaucherait donc avec ses chevaliers, prenant cette place de héros qui lui revenait de droit après tout !
Il marcha un peu vers ses lieutenants, généraux ou conseillé. Mains dans le dos, faisant mine de réfléchir. Il se retourna ensuite vers Väria et lui sourit franchement.

- Tueuse de démon, vous faites cela aussi j'espère ? Je serais prêt à vous offrir beaucoup, si vous me débarrasser de cette créature. On dit qu'ils sont deux... Silhouette macabre enveloppé sous un capuchon, ne laissant aucun survivant. De la magie noir sans doute... enfin peu m'importe. Tuer cette bête pour moi, et je ferais de vous ce que voulez être.

Il frappa dans ses mains, un petit page s'approcha rapidement et posa le genoux au sol. Le baron l'observa avec mépris et ordonna.

- Qu'on apporte provision et or pour Dame Väria. Ainsi qu'une carte, il lui sera plus facile d'établir un point d'embuscade pour la créature.

Le page s'inclina plus bas encore et obéit e, courant.

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 26 octobre 2014, 22:02:10 »
La créature avait une odeur forte, une odeur de chair en décomposition, une odeur de mort. Ses multiples yeux se fermaient et s'ouvraient sans coordination et sa peau gluante semblait bouger indépendamment de son corps, cherchant à dégouliner dans un sens ou dans l'autre.
L'épais tentacule empalant sa victime se rapprocha de se tas informe. La dizaine d'autre membrane gluante continuait de se glisser sur sa proie, d'autre se rajoutèrent, toujours plus nombreuse. Passant toute sous les vêtements de Leafa qui commencèrent à céder. Le débardeur se détendait, le short en jeans craquait doucement alors qu'elle était assailli.

Mais soudainement, comme un essaim de mouche sur une carcasse qu'on chassait, les tentacules se retirèrent. Une bouche parmi tant d'autre s'ouvrit en grand et la petite humaine y fut enfourné. La mâchoire pleine de croc de se referma sur elle, blessant sa chair au niveau de son ventre.
Le monstre informe la secoua comme un chien cherchant à arracher un morceau de viande trop gros. Puis il rouvrit la bouche pour chercher à l'avaler d'avantage. Une langue pustuleuse s'enroula autour du coup de cette dernière et la tira comme pour l'entraîné dans les profondeurs de son ventre. Mais un membre vient s'enrouler autour de sa cheville pour l'empêcher de sombre dans l’abîme. Le monstre n'insista pas plus, se contentant de la garder ainsi, en bouche. Elle avait le loisir de sentir son immonde langue se frotter contre son visage, dégoulinant sur sa peau pour finir par se glisser entre sa poitrine. La partie inférieur du corps de Leafa se vit à nouveau envahie d'une multitude de tentacule grouillant et frétillant. L'un d'entre eux s'enroula autour de son short qu'il fini par achever, le déchirant en parti afin de rendre l'accès a son intimité plus facile.
La pauvre put alors sentir comme une armée de membre se ruer dessus, allant et venant contre son vagin et se faufilant entre ses fesses.

Le tentacule d'Azmeth lâcha alors la cheville de sa protégé... finalement, son frère et lui allait devoir renégocier son utilité. Tokmeth en serait fou de rage, mais elle venait de retrouver un intérêt énorme pour l’aîné, et au final. C'était l’aîné qui décidait.
Baisé jusqu'à épuisement oui... baisé jusqu'au porte de la mort oui... mais plus question de la dévorer.
Elle était belle et bien sienne à présent.

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: jeudi 23 octobre 2014, 22:58:15 »
Un amas gluant et visqueux. Sans commencement, ni fin ! Un pur chef d’œuvre de malveillance et de sadisme... Il n'avait pas de nom, cela n'avait pas d'utilité. Pas de conscience, pas de raison d'être, juste la volonté d'être plus puissant et plus réfléchit que lui.
Tokmeth posa une main sur son épaule, il releva ses doigts tâché de son sang et observa avec une colère animal la petite protégé de son aîné.

Il était bâtisseur, il massacrait pour recréer ! Insufflant l'essence même du mal à des formes modeler par ses soins. Le travail subtil d'Azmeth qui insufflait la malveillance à des êtres doué d'une conscience propre et d'un libre arbitre était loin de sa compréhension. Une perte de temps, inutile et sans intérêt.
Et elle venait de le prouver en cherchant à le tuer... leur adepte n'étaient pas nombreux, et leur efficacité toute relative. Certes le jeune frère avait mit plus de temps à faire lever cette chose, mais elle au moins obéissait aux doigts et à l’œil à son maître, et son maître hurlait : Vengeance !

C'est donc par vengeance, que l'ignoble créature informe et puante se traîna vers Leafa... la pauvre était à genoux, ses petites fesses trop serrer dans un mini-short en jeans et un misérable débardeur blanc plein de trou sur les épaules. Elle avait le regard bas, ses main sur ses cuisses à attendre qu'on la dévore.
Et la chose ne se fit pas prier pour déverser sa rage et sa brutalité sur elle...

De nombreux tentacules convergèrent vers elle, glissant sur le sol comme des serpents. Plusieurs se rependirent sur son corps, remontant le long de ses cuisses pour aller jouer sous son débardeur. Attrapant, malaxant et caressant sa poitrine.
Un autre tentacule se fraya un chemin sous les jambes de Leafa, remontant le long de ses cuisses pour passer sous son short. La membrane se força un passage jusqu'au vagin de la jeune humaine qu'il pénétra sans chercher à comprendre. Il se releva, emportant le corps à présent empalé de Leafa. Et au fur et à mesure que le tentacule se soulevait dans les airs avec sa poupée de chiffon, la pauvre s'enfonçait d'avantage.

Arrivé au plus haut de la créature, elle fut maintenu sur place. Laissant ainsi le loisir à d'autre tentacule de s'enrouler autour d'elle, violant son corps sans une once d'égard ou d'inquiétude.

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Le coin du chalant / Re : Trames visqueuses !
« le: samedi 27 septembre 2014, 15:36:49 »
Troisième poste de suite ! Trop la loose...

Je préviens que je ne prend plus de Rp pour le moment, sauf un rp qui me permettrait de clore l'Acte I
A voir plus haut si cela vous intéresse...

Non mais genre, s'il vous plaît quoi :-[

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps du soumis
« le: samedi 27 septembre 2014, 15:20:23 »
Messire Eglamorr s'insurgea face au comportement déplacé de l'un de ses hommes... certes, il était de coutume que les terranides soient esclave, mais il était assez ouvert pour accepter que certain d'entre eux étaient libre et respectable. Quitte à les traiter comme des égaux. Eglamorr était un vieux capitaine de cavalerie dont la renom faisait pâlir les grandes de sa cité. Il n'aimait que ses soldats se comportent comme des porcs...
Il posa donc pied à terre et s'approcha du soldat, pour l'aider à se relever avant de lui donner un grand coup du plat de son épée derrière la tête.

- Imbécile ! Ne voyez vous pas que cette demoiselle cherche à se venger de cette créature...

Il se retourna vers Leonna et s'inclina légèrement. Le reste de sa troupe descendirent de chevaux également.

- Louez soit votre courage mademoiselle... Mais il serait préférable que vous nous laissiez agir ! Et si quelqu'un qui vous est proche se trouve la dedans je vous pro...

Il fut interrompu par un concert de hennissement. Les chevaux venaient subitement de s'agiter, cherchant à reculer ou se cabrant lorsqu'on leur ordonnaient d'avancer. Il donnait des coups de sabot dans le vide et se montraient extrêmement belliqueux. Plusieurs d'entre eux parvinrent à se défaire de l'emprise de leur maître pour s'enfuir sans hésitation dans la forêt derrière eux.
Un épais tapis de brume jailli doucement de la grotte, avançant vers eux et prenant rapidement de l'ampleur. La troupe ne le remarqua pas immédiatement, trop occupé à esquiver les chevaux en panique ou à chercher à les contenir. Un soldat se recula de la scène pour éviter de prend un coup de sabot et tomba sur son cul, constatant avec surprise la brume autour d'eux...

- Messire, rega...

Ambiance musique pour la scène

Il fut interrompu lui aussi. Sortie du tapis de brume comme un requin bondissant sur sa proie, un épais membre noirâtre s'enroula autour de lui avant de l'emporter hors de la vision de tous. On entendait que ses cries alors qu'il semblait être hisser vers l'ouverture de la grotte. En témoignait l'agitation de celle-ci...
Les soldats lâchèrent les chevaux pour dégainer leur épée... un cheval chercha à fuir mais fut également attraper pour être hisser vers la grotte. Dans sa chute il donna de vioent coup de sabot, fracassant le crâne métallique d'un homme qui fut projeté plus loin, entraînant dans sa chute deux autres soldats. Un autre tentacule sortie de la brume pour se planté dans le torse d'un homme, s'enrouler autour de lui et chercher à le ramener vers la grotte. Mais Eglamorr trancha d'un coup puissant le tentacule et le cadavre de l'homme tomba mollement au sol pour se perdre dans la brume.

- Attention à la brume, surveiller vos pieds ! Surveillez vos pieds !

Deux autres soldats furent happés sans avoir eut le temps de réagir... C'était un vrai bordel, laissant la panique et le désordre prendre le dessus. Seul Eglamorr et trois de ses hommes s'étaient regroupé, tranchant sans somation tout ce qui jaillissait de la brume.
Les autres cherchaient à fuir ou frappant sans réfléchir dans la brume, avant de se faire attraper à leur tour...

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: samedi 27 septembre 2014, 14:48:38 »
Un jeu sadique, entre lavage de cerveau et torture visant à démolir sa volonté, ses espoirs, sa combativité. Elle lui avait promis bien des choses et à la première occasion elle avait chercher à s'enfuir. Un comportement inadmissible qui traitait encore une fois de la stupidité humaine.
Elle n'était rien d'autre qu'une jeune femme perdue et sans défense, dans un lieu qu'il maîtrisait, dans une grotte qu'il devait être le seul à connaître, dans un réseau de galerie qu'il avait créer lui et son frère. Ainsi donc, il la laissa errer.... Languissant d'un désir de se faire prendre sans précédent. Elle erra ainsi durant des jours, sans manger, dormant contre les murs froids et humide, et sans jamais rencontrer quoi que ce soit. Au bien sur elle tomba sur de multiple dépouille, oublier par le cadet. Celle-ci étaient habillées et disposaient d'arme et de vêtement. Mais cela fut inutile à Leafa qui ne croisa rien ni personne.
La faim, qui jusque là ne l'avait pas envahi, commença à faire effet... A croire que se gaver d'aphrodisiaque nourrissait son organisme. Il fallait donc ajouter à son besoin sexuel, un besoin vital de se soumettre à Azmeth. Il espérait que cela la motive à se mettre à genoux devant lui.
Il déploya beaucoup d'effort et d'énergie pour tenter de dompter la femelle. Elle se montrait gourmande, mais toujours lui restait cette volonté de fuir. Sa dépendance à Azmeth n'était pas encore total. Il aurait dû la tuer, Tokmeth c'était plusieurs fois rapprocher pour l'étriper et l'ajouter à ses collections morbides de macchabée. Mais le frère aîné dans sa grande sagesse le lui interdisait à chaque fois...  était ce réellement de la sagesse ou un aveuglement typiquement humain, résultant de sensation qu'on pouvait raccrocher à une forme de sentiment.

Le bourreau se montra finalement attentionné, allant trouver sa pauvre victime, terré au fond d'un tunnel. Morte de fatigue, de faim et de soif. Il s'en empara pour la porté jusqu'à sa chambre, espérant que cette petite expérience aura apprit quelque chose à Leafa. Espérant qu'elle se montrera plus raisonnable...
Difficile à savoir, elle affirma que oui, comme toujours mais probablement qu'à la première occasion venue elle cherchera à fuir ! L'aîné changea donc de tactique, revenant à une méthode dites plus classique... il la prit comme un sauvage, la gavant à nouveau d'aphrodisiaque, estimant qu'elle finirait bien par craquer un jour ou l'autre. Il la laissait donc seule la journée, la laissant se perdre dans les tunnels, pour la rattraper le soir et l'enfiler durant des heures. Et ce petit manège dura des jours, voir des semaines. Sans que ni elle ni lui n'abandonne... elle cherchant toujours à fuir, lui se refusant à la tuer.
Et Tokmeth, jusque là vivant dans l'ombre de la volonté de son aîné se révolta... Leurs plans prenaient du retard, et même si ceux-ci comptaient en millénaire leur projet, cette courte période de l'historie de l'humanité était plus propice qu'un autre à l'accomplissement de leurs sombres desseins.
Il se décida donc à agir, combattant même son frère pour arracher la tête à cette misérable humaine... leur querelle fut violente, étalage d'une puissance colossale et sans précédent. La pauvre Leafa, reclus dans sa chambre ne put comprendre ce qui se passait, mais elle aurait pu croire que la grotte était sur le point de s'écrouler. Le combat dura une journée... une journée où le sol trembla, ou le plafond menaçait de tomber et ou les échos violents et strident de leur crie de fureur résonnèrent dans les galeries désertes de ce lieu.
Et puis plus rien, la porte s'ouvrit et Azmeth entra dans la chambre... il avait gagné semblait il, mais ne pouvait se permettre d'être en conflit avec sa moitié. Eux qui partageait la même conscience se divisaient pour une simple femelle.
Ses tentacules s'enroulèrent autour de la jeune femme sans douceur, il l'empoigna et la traîna dans les fins fonds de leur repaire. A choisir entre elle et son frère, il avait choisi son frère, malgré sa victoire qui lui aurait permis de garder l'humaine, il décida de l'offrir à Tokmeth en signe de paix. Comprenenant qu'elle était de trop dans leur fratrie, elle qui se refusait à la soumission.

L'aîné déboula dans une grotte particulière... elle était anormalement grande et ils arrivèrent lui et Leafa sur un balcon. Le sol de la grotte était à 10 mètres en dessous... et Tokmeth se tenait là, devant un tas de cadavre en décomposition. L'odeur était insupportable...
Sans aucune explication, Azmeth jeta l'humaine à son frère qui la rattrapa de l'un de ses larges tentacules. Tokmeth était la puissance, il n'avait aucune douceur. Aussi, son tentacule se serra avec force autour du ventre de l'humaine, elle peina donc à respirer.

Tokmeth commença ensuite à émettre une succession de son étrange... il se dressa bien haut grâce à ses tentacules et tendit une main vers l'amas de chair et d'os. Une lumière foudroyante émana de ses doigts et heurta le monticule une première fois, puis une seconde, et une troisième, jusqu'à ce que celui-ci ne bouge. Leafa pu comprendre dans la succession de bruit et de gargarisme étrange de Tokmeth.


- Lève toi !

Et le monticule s’exécuta... prenant forme pour se distordre ensuite... les os craquèrent, la chair se déchira, un mélange de bruit répugnant et sinistre fit tressaillir la grotte. Le monticule prit petit à petit forme, laissant apparaître une série d'yeux globuleux sortant d'une masse informe. Des tentacules se mirent à pousser ici et là et d'effroyable bouche pleine de croc se dessinèrent à leur tour. Voilà l'accomplissement de tant d'effort...
Une créature était né... certes elle ne ressemblait pas encore à grand chose, mais Tokmeth était fier, comme un savant fou, faisant divers essaie pour parvenir à ses fins, et en voici le premier.
A présent, la créature avait faim... Tokmeth balança donc le corps fluet de Leafa qui tomba à ses pieds. Lorsqu'elle releva la tête, elle était nez à nez avec...


Une voix résonna dans l'entierté de la grotte, créant un écho lugubre et morbide.

- Repais toi de sa douleur, repais toi de sa luxure et lorsqu'elle n'en pourra plus, dévore sa chair !

Les nombreux yeux se tournèrent donc vers la jeune femme, et un surplus de bave s'écoula de ses bouches immondes...

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: mardi 23 septembre 2014, 03:05:53 »
Il était resté très sage. Comme un animal docile, attendant simplement qu'on le libère de sa cage. Et lorsque ce fut chose faite, encore une fois il se montra sage. Émergeant doucement de sa torpeur pour se balancer lentement de gauche à droite, laissant le bout de corps perlé d'une épaisse goutte de sperme...
Il fut ensuite littéralement gober par des lèvres visiblement affamées... Le membre gesticula légèrement, se laissant surtout faire, utiliser comme un god pour aller et venir dans la bouche de la jeune femme.

Seul dans son couloir, Azmeth s'arrêta de marcher ! Il savait, il avait senti !
Lui et cet embryon tentaculaire n'était qu'une seule et même chose... aussi, lorsque Leafa l'avala goulûment en bouche, Azmeth en fut le premier informé et le premier intéressé.
Les deux entités partageaient, échangeaient et communiquaient entre elles. Aussi, lorsqu'Azmeth décida qu'il était peut être temps d'agir, le tentacule solitaire se mit à frétiller. Il se déroba peut à peut de l'étreinte de la jeune femme pour aller et venir à sa guise. Au rythme qu'il souhaitait, burinant frénétiquement la gorge trop étroite de Leafa. La pauvre chavira et tomba sur son petit derrière, subissant les assauts répété du tentacule qui cracha en elle un liquide très proche de l’aphrodisiaque d'Azmeth. La larve solitaire continua de remuer pour finir par glisser entre les mains de Leafa et s'enfuir par la porte, pour se perdre dans les couloirs. Laissant cette pauvre jeune femme seule avec son désir insupportable.

9
Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 23:15:28 »
La porte s'ouvrit dans un grincement assez sinistre. Dénotant avec les belles couleurs et l'aspect chaleureux de la chambre de Leafa.
Sans se retourner, sans s'arrêter, Azmeth passa la porte qui se referma d'elle même derrière lui...
Devait elle lui dire !? Le risque était mince, très mince même.
Son histoire et sa légende étaient oublié de tous. L'âge d'or de son maître ne semblait jamais avoir existé pour cette humanité, et les traces de sont passés devaient au mieux être un murmure au coin du feu des plus érudits. Cependant, leur survie avait été le fruit d'une discrétion exemplaire, pourquoi commencer à changer de tactique...
D'ailleurs, il ne savait même pas comment prononcer son nom dans des mots qu'elle comprendrait ! Il n'était qu'une suite de sifflement et de grognement tout simplement inaudible pour les humains.

La jeune femme resta un instant sans réponse, seule dans sa chambre... puis, ce même écho doux et rassurant dans sa tête. Il c'était souvenu du nom qu'un mage un jour, lui avait donné. Traduction la plus proche du langage humain semblait il !

- Je suis Azmeth ! Jeune Leafa... très heureux que ta curiosité t'ait conduite jusqu'à moi.

Il savait déjà depuis longtemps qui il était, à quoi elle aspirait et ce qu'elle souhaitait... à présent, les choses étaient plus équilibré.

- Réfléchis bien avant de me répondre... ce ne sera peut être pas facile, mais tu vivras comme tu n'as jamais vécu ! Et tu découvrir des choses que nul autre n'aura eu le loisir de voir...
Je suis Azmeth... et je ne te veux que du bien !

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 17:58:43 »
Azmeth marqua une large pause, réfléchissant sans doute ! Mais à quoi... sous sa capuche, seul le néant transparaissait, ni son regard ni son visage n'était visible, laissant son silence prendre plus de place dans la pièce. Il restait droit comme un piquet, complètement immobile.
La voix dans la tête de Leafa reprit...

- Oui, principalement ! Une série d'entre eux sont à notre porté... mais pour les autres, nous aurions besoin du savoir humain. Nous avons besoin de vos connaissances, de vos compétences... si tu me les offres, je t'offrirais ce que tu désirs en retour.

Il ne parlait déjà plus de liberté, espérant que le sujet ne reviennent plus sur le tapis. Et qui disait liberté, disait prisonnier. Hors, il cherchait avant tout à la convaincre qu'elle n'était pas prisonnière, et que si elle restait avec lui, c'était de son plein gré.

- Tu aimerais nous aider ? Traversant Terra pour nous... rencontrant certaines personnes à qui il te sera plus simple de soutiré les artefacts.

Des négociations, excellent ! Un pas de plus vers une étroite relation...

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 15:17:30 »
En quoi pouvait elle l'aider ? Une question pertinente à double tranchant, il ne fallait pas trop en dire, mais en dire assez pour la convaincre de rester sagement ici. Il fallait doser l'apport en information valable et intéressante et meublé avec du vent, ou du confus.
Azmeth était resté statique depuis son entrée dans la chambre, il l'avait observer sans vraiment la regarder, restant vague et dissipé.
La jeune femme se montra pudique, couvrant la nudité de son corps avec une couverture. C'était amusant à voir, surtout que vu la qualité des vêtements qu'il lui avait apporté, elle ne serait jamais bien plus vêtu que cela. Les tentacules d'Azmeth posèrent alors le petit body qu'il lui avait trouvé sur son lit, comme pour insister sur le désir qu'il avait à la voir porter cela.

Un tentacule glissa sur le sol, allant s’emparer de la chaise de bureau pour la faire glisser sur le sol et se cogner contre les jambes de Leafa. Le bois se heurtant à l'arrière des genoux de celle-ci la força à s'asseoir un peu brusquement. Le tentacule s'écarta rapidement, comme pour ne pas lui faire mal d'avantage. Il allait réellement devoir apprendre à être plus doux, plus calme, faire preuve de plus de tendresse. Heureusement, il avait la contre. Un tentacule alla s’emparer d'un cousin sur le lit (qu'il souilla au passage d'un liquide visqueux et collant) un autre soulèvera le petit derrière de l'humaine pour glisser le coussin et il la déposa dessus. Comme une marque d'attention... Même si pour le coup c'était un peu raté. Le coussin était gluant et la peau nue de Leafa entra en contact avec ce désagréable liquide. Mais il cherchait à bien faire... il lui avait apporté ses vêtements, elle était bien installé... et confortablement en plus. A présent il était temps de lui parler.

- Moi et mon frère travaillons dans un but ancestrale, nous fûmes créer ici bas pour accomplir une volonté supérieur. Celle d'un maître, qui nous est très largement supérieur. Mais nous avons besoin d'aide. A deux la tâche est trop grande...

Un début d'explication un peu hasardeux... mais il venait d'omettre le fait qu'il avait surtout besoin d'humain.

- Notre connaissance de Terra, et de la terre sont limité... Aussi, j’espérais que tu pourrais nous aider à trouver certain objet. Des artefacts que notre maître à exigé que nous trouvions.

L'écho qui résonnait dans la tête de Leafa était devenu assez tendre. Il prenait une voix douce, familière afin de ne pas l’effrayer et de continuer à la rassurer de ses bonnes intentions.

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 05:03:57 »
Sa question ne trouva pas de réponse, Azmeth redevient silencieux et le membre enfermé dans le meuble se remit à gesticuler mais plus lentement. Comme pour rappeler qu'il était la, qu'il patientait.
Ce meuble, comme tout le reste dans cette chambre, était la copie exact de celle qu'elle avait laissé sur terre. Elle avait même accès a son ordinateur... seul le noir des fenêtres rappelaient qu'elle était sous terre et loin de chez elle. Ca et une légère odeur d’humidité et de renfermé.
Il avait été très facile de puiser dans les souvenirs de Leafa une reproduction exact de sa chambre... encore plus facile de créer une illusion assez forte pour qu'elle se pense dans sa chambre. Celle-ci n'étant en réalité que le fruit de son imagination.

Il ne fallut pas cinq minute avant que Azmeth n'entre dans la pièce. La porte s'ouvrit sans qu'il n'ai à la toucher. Il avait dans ses bras une sacoche plein de vêtement de toute sorte. Il jeta la sacoche à ses pieds et elle s'éventra pour en libérer le contenu. La quasi totalité des vêtements qu'il y avait était souillé, déchiré ou maculé de sang.
Les petits mains de la jeune femme trifouillèrent donc dans ce foutoir pour en sortir une des rares tenues encore complète : Un jolie petit body minimaliste qui ne couvrait rien du tout. Entre être habillé comme ça ou être nu, c'était un peu près la même chose. La chose avait probablement dû être acquit lors d'une raft dans une ville. Dans le lot de leur prise, une femme de petite vertu ou une prostitué avait dû porter ce genre de chose et il avait fini dans les monticules d'affaire et de brole que Tokmeth ôtait des cadavres qu'il manipulait.

Azmeth sembla l’apprécié car il se rapprocha de la jeune femme pour prendre le body et le regarder sous divers couture avant de le retendre vers Leafa.
Une vois résonna dans sa tête... au départ forte et autoritaire, mais s'adoucissant rapidement. Il se cherchait un ton pour communiquer avec elle, mais il fallait un ton rassurant.

- Tu es ici chez toi ! Je m'occuperais de toi... et tu auras ce que tu désirs jusqu'à ce que tu nous aide moi et mon frère. Ensuite, tu seras libre si tu le souhaites !

Quel horrible mensonge... nouvelle tactique pour l'amadouer semblait il.

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 03:48:31 »
Cette chose gluante et gigotante était le prolongement d'Azmeth. Il pouvait donc garder un œil sur son hôte qui était sa prisonnière malgré tout ce qu'il avait pu lui dire.
Et cette chose était également la pour combler l'appétit nouveau de Leafa pour le sexe... bien que c'était une information faussé, l'aphrodisiaque de la créature tentaculaire y était pour beaucoup et à présent que l'effet c'est dissipé, elle semblait capable de lui tenir tête. Ou du moins de ne plus se ruer comme une affamée sur tout ce qui était long et qui pouvant être planter dans un trou.

La "larve" fut jeté de force dans un des tiroirs de la commode de Leafa, elle bloqua le tiroir et parla sur un ton autoritaire. Il ne fallut même pas cinq seconde pour que le meuble cessa de frémir. Azmeth avait comprit le message, et trop heureux d'en avoir faire une "esclave" il était enclin à concéder certaines petites choses. Comme le fait d'obéir sagement aux exigences de l'humaine. Il était important qu'elle coopère. Morte elle ne servirait en rien leur intérêt.
L'esprit de Leafa s'embruma de mot et de suggestion envoyé par Azmeth. Il lui fit comprendre être désolé et lui demanda de bien vouloir le pardonner. Par ailleurs il insista sur le fait que cette chose était là pour la service.

A défaut de réellement la service lui même, il chargerait bien d'autre créature pour le faire à sa place...

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Les contrées du Chaos / Re : Acte I - Le corps dompté
« le: dimanche 21 septembre 2014, 02:34:01 »
Elle avait absolument dit tout ce qu'il voulait entendre ! Un peu trop peut être... Mais est ce que cette créature était capable de concevoir qu'un humain se joue de lui ainsi. Il usait lui aussi de mensonge, pourquoi pas cette humaine. Les litres d'aphrodisiaque injecté dans son ventre et saturant son organisme le confortèrent dans cette idée de plein pouvoir sur son hôte. Elle était sienne, elle l'avait dit, il serait son maître et elle sa chienne.
De la satisfaction, du bonheur, ou un sentiment de victoire atteint l'entité tentaculaire qui en aurait frémit de plaisir. Un peu comme une récompense, il força l'ensemble des membres plantés en elle à éjaculer simultanément comme pour lui montré son contentement et la combler de son incroyable foutre qui débordait de tout côté.

Elle était tremblante, à demi consciente, ivre d'orgasme et de plaisir. Impossible pour elle de marcher, impossible pour elle de faire grand chose d'autre que de s'allonger et frémir. Ou du moins c'est ce qu'Azmeth conclu alors qu'il regagnait la terre ferme.
L'endroit où il se trouvait était une véritable marre de fluide répugnant et collant. La silhouette tentaculaire se résorba, les tentacules rentrèrent un à un dans le manteau d'Azmeth qui semblait être presque vide, comme si ils venaient y disparaître pour n'avoir jamais existé. Seul un tentacule était encore visible, jouant à aller et venir dans son entre jambe... comme pour maintenir une certaine forme d'excitation chez son hôte. Et pour honoré ce qu'elle lui avait demander... de continuer à la baiser.

Azmeth, devenu silhouette décharnée, portait Léafa dans ses bras. Il glissait sur le sol sans hésitation et sans avoir peur de heurter quelques choses dans cette pénombre. Il parcouru des quantités impressionnantes de galerie pour afin parvenir devant une porte, planté en plein milieu d'un mur de roche. Alors qu'il s'en approchait, la porte s'ouvrir d'elle même et Léafa pu reconnaître d'un œil à moitié ouvert, la réplique quasi identique de la chambre qu'elle avait sur terre. Encore un moyen de la rassurer, d'en faire une loyale petite humaine.
La créature tentaculaire la posa alors dans son lit. Sa main décharnée glissa sur le ventre de la belle avant de se glisser sans un mot hors de la chambre. Le tentacule sembla s'arracher du corps d'Azmeth pour s'enrouler affectueusement autour de la jeune humaine, continuant à sa guise de se glisser dans ses différents orifices. Malgré toute l'excitation qu'elle pouvait avoir, l'entité avait bien compris qu'il lui faudrait du repos... les humains avaient constamment besoin de repos. Un concept qu'il acceptait sans comprendre, lui qui ne s'était arrêter de marché depuis des millénaires.

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Les contrées du Chaos / Acte I - Le corps profané
« le: samedi 20 septembre 2014, 22:48:24 »
- Je suis étonné... étonné que vous ayez répondu si rapidement à notre... annonce !

Il avait des remords, une si belle jeune fille ! Enfin mise à part les balafres sur le gueule, le reste n'était pas du tout à jeté. Puis le remord s’effaça rapidement. Ce qui était arrivé n'était pas de ça faute, non, certainement pas de sa faute à lui.
Assit derrière son bureau, le maire du village observa avec attention la demoiselle se tenant devant lui. De haut en bas, sans trop de gêne de paraître pervers. Il afficha un petit sourire et croisa ses doigts potelés. Son apparence disgracieuse était en contraste avec une intelligence et une certaine aura charismatique. Il était certes bien en chair, un début de calvitie et de grosse lunette ronde en faisait un cliché. Mais sa voix douce et ronronnante, avec un certain sens de la diction, en faisait une personne intéressante qui plaisait à écouter et à respecter. Des années qu'il était maire, et rendait des comptes au seigneur du fief avec brio...
C'était donc tout naturellement qu'il prit personnellement en main ce qu'on avait appelé "le problème Bailery"...

Le village était bondé d'habitant lambda, cherchant à avoir une vie calme et sans encombre. La moindre activité hors-norme ou qui coupait du quotidien était jugé et réprimandé par la communauté. Aussi, lorsque quelques choses de grave ébranlait le village, on allait en référer au maire à qui on confiant aveuglément plein pouvoir pour régler ça.
Les catacombes de Bailery était un endroit un peu en extérieur de la ville... un endroit, pas franchement fréquenté mais qui disposait tout de même de son gardien. Le bougre disposait d'une bicoque à côté des catacombes et s'assuraient qu'on ne vandalise pas les lieux, que les structures restaient scène. Il gérait également les "comptes" et on savait exactement où chaque sépulture se trouvaient. C'était un homme assez aigri, qui restait isolé, ne descendant au village que tout les 4 - 5 jours pour acheter des provisions.
Son absence n'avait donc inquiété personne, et c'est par hasard qu'on retrouva sa maison éventré, tâché de sang et absente de sa présence.
Une enquête avait eu lieu mais n'avait rien donné... où du moins c'est ce qu'il paraissait. Car bon nombre de sépulture avaient été profané et vidé de leur occupant. Pour garder le calme, le maire avait décider de les faire refermer afin d'étouffer l'affaire, et d'engager tout simplement un nouveau gardien... mais dans ce cas ci, il s'agissait d'une ! Qu'importe après tout, l'important c'était que tout revienne au calme au plus vite.

- Vous n'êtes pas de la région... aussi, ne vous étonnez pas que les gens de se village se montre un peu méfiant ! Mais vous serez rapidement intégré ne vous inquiétez pas...

Il se redressa pour aller serrer la main de la nouvelle gardienne, un large sourire au lèvres !

- Bienvenu parmi nous en tout cas. Oh, et pardonnez moi mais je n'ai pas bien compris votre nom. Vous êtes ?

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