Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: vendredi 08 août 2014, 00:56:56 »
On entrait dans le vif du sujet, se dit Cassandra en voyant Sarah prendre son engin en bouche.

Il fallait après tout retenir une règle simple, par ici : si les Gardes étaient aussi sociables entre elles, c'était uniquement pour obtenir ce qu'elle voulait, quand elle le voulait. Un peu comme toute relation humaine, d'ailleurs : on ne devenait amis avec quelqu'un que parce que l'autre pouvait échanger des mots, des gestes, de l'expérience avec nous. L'échange était la base d'une relation, mais on n'enlèverait pas de la tête de la blonde que cet échange restait, dans tous les cas, intéressé.

Si les Gynoides n'avait pas été aussi boguées et les employées pas aussi fragiles, les deux auraient pu assurer du sexe sans limites aux Gardes et il n'y aurait eu que des échanges diplomatiques entre toutes ces psychopathes. Mais ça n'aurait pas été drôle. Aucun défi à relever. Et puis, quel gâchis, quand on connaissait le potentiel de certaines...

Cassandra espérait bien que Sarah fasse partie de cette catégorie de bombe sexuelle, prête à exploser mais qui ne se faisait pas dégoupiller aussi facilement. En attendant de le savoir, cette bouche qui glissait sur son sexe vigoureux avait de quoi faire gagner pas mal d'estime de la part de la "patronne" du lieu.


- Mmh... hé hé...

Les mains qui empoignèrent ses fesses furent ce qui fit rire Cassandra, excitée par cette initiative. Ses mains vinrent toucher la nuque de Pezzini, toujours autant occupée à engloutir sa récompense, et les doigts glissèrent sur la peau fragile de cette zone. Si facile d'ôter une vie à l'aide de cette zone, en étranglant ou en brisant la nuque... les points sensibles d'un corps excitaient la sadique, qui aimait l'idée qu'elle puisse tuer quelqu'un d'une seule main.

Sa verge semblait onduler sous les coups de langue de Sarah, décidément très douée en la matière. Le bassin de la dominante bougeait, les mouvements se synchronisant avec ceux de l'infiltrée, et elle ne la quittait pas des yeux. Sa main droite remonta sur les cheveux de Sarah, et les saisit pour la tirer vers elle, alors que la blonde s'appuyait contre le mur le plus proche et faisait ainsi avancer sa nouvelle camarade de jeu avec elle.

Sa main gauche alla ensuite se promener sur un de ses propre sein. Elle ôta sa nuisette d'une seule main, et révéla ainsi une imposante poitrine, dont les tétons étaient piercés. Le vêtement alla voler sur la tête de Linda, occupée avec une autre Garde un peu plus loin.


- Hé !
- Ta gueule, lui aboya simplement la blonde, toujours concentrée sur le visage de sa partenaire.

Il devenait de plus en plus dur de contenir autant d'excitation, et un peu de concentration était nécessaire. Son attention revint sur la tête qui s'agitait entre ses jambes.

- Caresse-toi, Pezzini, souffla la meneuse. Branle-toi, c'est un ordre.

Elle aimait utiliser ce ton brut et sévère pour parler à ses soumises : une lubie comme une autre, bien qu'avec toutes les dominantes qu'il y avait ici, ça devenait compliqué. Entre deux gémissements silencieux, elle se demandait si Sarah acceptait de se plier aux envies, ou se révélait plutôt versatile. La première idée ne l'excitait pas : elle avait suffisamment de chiennes à ses pieds d'un claquement de doigts pour en vouloir une de plus.
Un peu de résistance était toujours plus satisfaisant.

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Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: mercredi 30 juillet 2014, 00:10:37 »
Les dés furent jetés - ou plutôt les cartes, dans ce cas présent. Dans la pièce à présent envahi de murmures et de gémissements, il était temps que la partie finisse : la concentration devenait difficile, au fur et à mesure que le taux d'hormones environnant gonflait à bloc. Les Gardes cédaient souvent à leurs instincts au cours de la journée, mais le pic était atteint le soir. Les hautes instances n'autorisaient pas ces femmes à baiser en plein milieu de leur travail, et celles qui osaient partaient. Pour ne plus jamais revenir.
Avec un nombre incalculable de caméras, le moindre petit recoin était surveillé. Aucun mètre carré n'échappait à ces chiennes en chaleur qui rôdaient ainsi toute a journée en voyant des bouts de chairs s'agiter de tous les côtés. Cette stimulation rendait les choses bien plus intenses le soir. En vérité, rares étaient les nuits où personne ne bougeait. Et en conséquence, personne ne dormait très bien - ce qui expliquait sûrement les cernes sous les yeux et les effroyables sautes d'humeur de chacune d'entre elles.

En attendant, Cassandra accueillit la réaction de sa pair avec un sourire triomphant. Sa quinte n'était pas forcément obtenue à grands coups de chance et d'audace - chacune trichait sans honte pendant leurs parties, l'important étant bien sûr de participer. La blonde se leva et flatta le cuir chevelu de Sarah, sa cuisse pâle tout contre son visage.


- Heureuse de voir que tu n'es pas mauvaise perdante.

D'un geste étonnement doux, sa main vint caresser l'arcade sourcilière de la brune, puis l'arête de son nez et ses lèvres pulpeuses. Son autre main était occupé ailleurs, flottant sous le tissu de sa nuisette lâche. Cela semblait grandement amuser Linda qui observait le spectacle de prés, un sourire au coin des lèvres.
La propriétaire du Witchblade fit en effet face à une sacré surprise, lorsque les doigts blancs occupés sous le tissu relevèrent le pan du vêtement. Presque sous son nez, la culotte en dentelle de la Garde contenait quelque chose qui n'avait rien à voir avec ce que pouvait offrir une femme d'habitude. Le sous-vêtement fut baissé, et le pot-aux-roses découvert.

Un pénis d'une bonne taille palpitait entre les cuisses de Cassandra, aussi blanc que sa peau et joliment nervuré. Devenu dur, il palpitait et montrait à lui seul une certaine impatience de la part de sa propriétaire.
Une hermaphrodite, donc. Sa position de "chef", Cassandra la devait avant tout à son charisme et à son caractère bien trempé, mais il lui fallait bien avouer que cette chose entre les jambes l'avait aidé à grimper les échelons.

Bien qu'en bonne tekhane, aucune des femmes ici n'aurait admis une relation entre le statut de la blonde et ses parties génitales.

Linda, en tout cas, n'avait pas peur de venir toucher ce membre que, d'un coup de main, elle finit de rendre entièrement dur. Il faut dire qu'elle le connaissait, ce jouet, et savait comment s'en occuper. Elle le lâcha ensuite, mais ne cessa pas de le regarder, fascinée. Sa main droite tripotait discrètement un de ses seins.


- Félicitations pour ton lot de consolation, Pezzini, commenta simplement Cassandra, ne quittant pas la perdante des yeux.

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Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: lundi 21 juillet 2014, 02:15:39 »
Les Gardes écoutèrent Sarah proposer une nouveauté, quelque chose d'un peu moins banal que le strip-poker, et la proposition fut accueilli avec un intérêt poli. Les femmes se regardaient entre elles, imaginant les situations que pouvait provoquer ce genre de jeu, et surtout, un peu surprises que la petite dernière se permette tant de liberté. Mais cela ne sembla pas déranger leur chef de dortoir qui sourit à nouveau d'un air satisfait.

- On prend des initiatives, la nouvelle ? dit-elle d'un ton amusé. Mais tu sais, puisque tu te proposes si activement, je suppose que tu ne seras pas contre l'initiative d'être toi-même le pot commun ?

Sur ces mots, une vague d'enthousiasme parcourut l'audience dans la pièce. Le pot commun, le lot gagnant pour celle qui allait remporter la partie. Quoiqu'il arrive, Sarah serait soumise à l'action ou à la vérité dans tous les cas, à chaque fin de partie.

- Vois ça comme un bizutage sympa, Pezzini, acheva Cassandra, un sourire narquois sur ses lèvres pulpeuses.

Ce petit évènement passé, l'une des Gardes commença donc à distribuer les cartes, et il fut décidé d'un commun accord que les parties seraient courtes, histoire de passer le plus de monde possible à la casserole. Au fur et à mesure des parties, il semblait évident que c'était surtout la solution de l'action qui avait la côte. Dans cette mini-société où chacune commettait le pire presque tous les jours, il n'y avait plus vraiment de secrets à se mettre sous la dent. Personne ne connaissait la porteuse du Witchblade, mais tout le monde avait surtout envie de mettre la main à la pâte et d'apprendre à la connaître de façon plus intime.

Le plus intéressant restait sans doute le système de mise. Évidemment sans argent ou jetons à utiliser, les filles n'avaient rien trouvé de mieux que d'utiliser leurs propre corps pour miser. Avec un tapis composé de poitrines ou de fesses, les parties se firent donc tout naturellement intéressantes et Sarah eut droit à de nombreux baisers et morsures sur à peu prés toutes ses zones misées.


- Ma pauvre Sarah, t'as pas trop de chance au Poker, hein, la plaignit innocemment Linda - après lui avoir roulé un énorme palot en guise de mise.

Chance ou pas, elles étaient tout de même les trois dernières, avec Cassandra, à terminer cette partie. Plusieurs Gardes s'étaient éloignés en attendant le début du prochain jeu, et s'occupaient comme elles pouvaient à grand renforts d'attouchements et de jeux coquins dans leur coin.
La blonde observait ses cartes d'un air sévère, concentrée. Elle avait toujours été assez bonne au poker, et se réjouissait que la petite nouvelle ait choisi ce jeu pour commencer cette soirée... Linda se coucha, laissant à Pez' le loisir de décider de ses prochaines actions.

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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: lundi 26 mai 2014, 22:18:39 »
Pas jusqu'à lui filer du fric en tout cas, vu que j'en ai pas.

...Tiens, bah, ça va comment au niveau financier pour vous en ce moment ?

5
Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: lundi 26 mai 2014, 22:14:26 »
Il y avait des moyens de contacter l'extérieur, mais ils étaient rares. Comme on pouvait s'y attendre d'une usine souterraine, la communauté était renfermée sur elle-même. Ce qui signifiait d'ailleurs la disparition rapide de certains tabous qui régissaient les gens de la surface... si il n'y avait pas eu un minimum de surveillance, le personnel se serait sûrement déjà décimé tout seul. C'est ce qu'on gagnait à rassembler de telles psychopathes dans un espace si restreint...

Heureusement - ou malheureusement pour Sarah - il y avait surveillance, assez étroite, même. Les caméras en étaient une preuve, "l'ange gardien" en était une autre, puisqu'il avait exactement le même rôle que le bracelet que l'on imposait à ceux qui sortaient de prison en liberté conditionnelle. Comptons en plus la surveillance entre les membres du personnel, auquel on promettait de sympathiques promotions en cas de dénonciation. Mais en général, personne n'était dénoncé : chacune faisait bien son boulot, parce qu'après tout, elles aimaient leur travail !

Personne ne manquait de surveiller Pez' dans son dos, malgré les accolades et la promesse que livrait ses jolies formes dans l'uniforme réglementaire. Mais puisque l'infiltrée n'avait pour l'instant rien fait qui puisse la compromettre, on la traitait presque comme une invitée. Cassandra l'écoutait parler de son "trophée de guerre", et l'évocation de ce souvenir la fit légèrement sourire. Une première, pour elle qui d'habitude était aimable comme une porte de prison.


- Voyez-vous ça... une collectionneuse, répondit-elle simplement, en ne lâchant pas l'artefact des yeux.

La Garde ne croyait pas beaucoup à cette histoire de "trophée de guerre", et pour cause : il s'agissait en réalité d'une Esper, arrêtée pour dégradations et tueries au moyen de ses pouvoirs de manipulation du métal. Ici, on lui interdisait bien sûr de pratiquer son art... mais ça ne l'empêchait pas de ressentir que dans le métal du bracelet, se cachait de l'énergie magique.
Ce n'était néanmoins pas avec ce simple ressentiment que Sarah allait se faire capturer : la blonde restait juste méfiante, contrairement à sa compagne qui observait à son tour l'accessoire avec intérêt.


- Un trophée de guerre ? Comme la tête de ma mère que j'gardais dans un bocal ? ♪
- bref, la coupa Cassandra, il serait temps d'aller dans nos chambres.

Un bruyant "haaa" se fit entendre derrière le dos des trois jeunes femmes, et elles se retournèrent pour voir qu'il s'agissait d'une bonne paire de Gardes qui avait entendu les paroles de la blonde. Celle-ci se contenta de soupirer, s'avançant vers les portes du dortoirs, Linda et Sarah sur ses talons.

Les dortoirs se divisaient en plusieurs énormes pièces qui faisaient office de chambre, et celle des trois collègues contenaient dix lits tout au plus. A cette heure-ci, l'électricité ne fonctionnait pas ailleurs que dans les dortoirs, et les caméras étaient théoriquement éteintes...

Linda était d'ailleurs en train de regarder l’œil de l'une d'entre elles, celle qui était fixé juste au dessus du plus haut lit de la chambre - le lit de Cassandra, en l’occurrence. A moitié nue, parce qu'à la base en train de se changer comme toutes les filles de la pièce, et ayant troqué sa coiffure de jour pour deux couettes hautes, elle ressemblait beaucoup à une gamine - une gamine complètement psychopathe si l'on en croyait les récents évènements.


- Hé, j'me demande si elle est éteinte ce soir, songeait-elle d'une voix forte. J'ai trop envie de lui montrer mon cul, pour voir, ha ha ! ♫
- Arrête de dire des conneries et descends de là, tu veux ?

La blonde était occupée à donner à Sarah deux nuisettes noires - une en latex et une en dentelle, pour qu'elle ait le choix. Elle lui asséna ensuite un de ses rares sourires, continuant à s'adresser à Linda en même temps :

- ... On va commencer à jouer.
- Oh, ouaiiiiiis ! ♥

La brune descendit avec souplesse du lit, atterrissant par terre sans échelle et se rapprochant de sa camarade. Elle ne fut d'ailleurs pas la seule : toutes les Gardes désormais en petite tenue de nuit s'approchèrent avec intérêt. C'était visiblement dans leurs habitudes de considérer cette forte tête de Cassandra comme la "directrice" du dortoir, celle qui choisissait les évènements de la soirée.
On aurait pu croire que ces têtes brûlées passaient directement à ce qui était le plus intéressant, mais même ces tarées du bulbe devaient se divertir un peu. Aussi, elles entamaient toujours leurs soirées avec quelques parties de jeux plus ou moins coquins.

Une des filles sortit de nulle part un paquet de cartes.


- Oh, un strip poker ? Mais on en a déjà fait un avant-hier, bouda Linda.
- Tu n'as pas été la dernière à en profiter en tout cas, commenta Cassandra. Et on ne voudrait pas effrayer notre petite dernière, pas vrai ?

Le ton moqueur de la dernière phrase en disait long sur l'avis de la blonde vis à vis de sa nouvelle collègue : elle la provoquait, voulait la tester, découvrir ce qu'elle aimait avant de lui sortir les fouets et les masques. Contrairement à sa collègue enfantine, elle aimait bien amadouer ses proies avant de les bouffer toute crue.
Le reste de la nuitée était en tout cas partante, sachant très bien que ça allait débouler sur des évènements bien plus intéressants. En plus, vu les couches de tissu presque inexistantes, ça ne risquait pas de durer bien longtemps.


- Qu'est-ce que vous en dites, Mademoiselle Pez' ?

6
Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: mercredi 07 mai 2014, 23:46:55 »
Eh oui, un repaire de cintrées, siphonnées comme pas permis, et coquines par dessus le marché... ici, tout le monde était fou, comme aurait dit l'autre félin, perché sur son arbre. En même temps, quand on était constamment enfermé six pieds sous terre (littéralement) avec aucune autre source de distractions, les coups de poings et les câlins prenaient vite un petit côté ludique.

Après tout, personne n'était autorisé à sortir des sous-sols une fois qu'on y posait les pieds.

Du coup, Sarah pouvait facilement s'apercevoir d'un autre point commun qu'avaient toutes ces femmes, outre le sadisme qui rythmait leur comportement : elles étaient toutes livides. De vrais cadavres ambulants. Comme si on avait eu besoin d'une preuve de plus que les Enfers existaient bien. L'Ordre en aurait été tout retourné.

Si Linda paraissait sadique aux yeux de la policière, dieu sait comment elle considèrerait le reste des troupes... en attendant, c'était avec de furieuses crampes d'envie au ventre que la brune regardait sa nouvelle compagne choisir un lit, et se baisser pour mieux observer les lieux. Elle se lécha les lèvres en observant les fesses tendues de Sarah, frottant doucement son arme avec sa main sans forcément s'en rendre compte.

Même à Tekhos et sa technologie, on avait encore rien trouvé de mieux que le cuir, pour magnifier un postérieur. 

La suite n'arrangea pas les pensées de la Garde, quand Sarah lui glissa lentement un doigt... juste sur le visage, malheureusement. Elle touchait sa bouche, s'amusait à la frôler, à assurer les premiers contacts, et Linda ne pouvait pas s'empêcher de penser que la boîte avait vraiment engagé un bon élément.


« Ce soir, je te promets du très chaud, ma belle... En attendant, on va s’occuper des boulons et des boutons, puisqu’il faut bien le faire. »

Oh, c'était les copines qui allaient être contentes ♪

- Crois bien que j'adorerais m'occuper de tes boulons dés maintenant, mais...

Un petit sourire en coin, Linda s'arrêta de parler pour lever une main dans le dos de Sarah, et... lui administrer une violente tape au cul, une fessée presque déculottée quand on savait le peu de tissu qui pouvait recouvrir ces belles fesses. Laissant un instant ses doigts ramper sur le cuir du short, Linda désigna de son autre main quelque chose qui échappait à la vue de ceux qui en ignorait l'existence : une caméra, accrochée au mur d'en face.

- Directement reliée au bureau de la dirlo, précisa-elle en souriant. Elle ne l'éteint que le soir... enfin, c'est ce qu'elle dit.

Il n'aurait pas été surprenant que Madame Héléna prenne un peu de retard sur ce sujet, quand on savait ce que filmait l'objectif tard dans la nuit...
Suite à ça, ce fut avec regret que Linda se détacha de nouveau de Sarah, lui prenant la main pour l'entraîner vers les lieux de travail.
Que c'était dur, d'être sage !

Le volcan dans son bas-ventre sur le point de l'éruption, la brune lisait les différentes tâches marquées sur son bloc-notes, essayant de penser à autre chose, marmonnant à elle-même.


- Compteurs d'accidents à faire, vérifier les niveaux d'huile des machines, répertorier les... HA-AK !

Dans un gémissement de surprise, Sarah se prit le dos de Linda qui venait d'être poussée par quelque chose qui avait la force d'un petit bolide... quelque chose qui se tenait à quatre pattes. Et qui mit la Garde fortement en rogne.

- Putain, Cannelle, tu fais chier !

En un éclair, et une jambe levée, la brune envoya un violent coup de pied à la chose qui l'avait poussé. Celle-ci émit un jappement de douleur et tomba sur le sol froid. Dans le feu de l'action, la Garde ne s'arrêta pas là et lui donna un autre coup, puis encore un autre, jusqu'à utiliser la crosse de son arme, et finalement envoyer bouler d'un dernier kick le corps qui fut expulsée à au moins cinq mètres.
La petite forme allongée sur le sol et toute nue - à l'exception d'un lourd collier de fer autour du cou - était donc Cannelle.
Une employée un peu différente des autres - ça faisait longtemps qu'elle ne travaillait plus, ayant perdu toute conscience humaine pour muter mentalement en l'animal qu'elle était - un chien. Les Gardes ne la tuaient pas - n'en ayant pas le droit - mais s'amusaient à la battre régulièrement, et à la baiser quand l'occasion s'imposait.

Passé sa crise de violence, Linda se redressa et se retourna vers Sarah, de petites tâches de sang sur le visage. Elle les essuya d'un geste vif, expert.


- Désolé, désolé... haha, où on en étais ? Hmm...

Au moins, le volcan s'était éteint avec la dépense d'énergie. Bien que pas complétement sous le regard de l'infiltrée.

***

Le reste de la journée se passa sans évènements notables. Sarah eut donc le "plaisir" de devoir suivre Linda partout, qui tentait de rendre cette activité moins barbante en lui présentant ses collègues. La policière avait donc droit à tous les types de contact, de la poignée de main aux câlins l'air-de-rien, avec des mains et des yeux qui glissaient un peu partout au passage. Mieux valait être tactile, quand on avait affaire à ces charmantes dames.
Heureusement, avec toutes ces accolades, le temps passait vite. Quand la sonnerie retentit de nouveau pour indiquer la fin de la journée, Sarah put sentir beaucoup de regard se tourner vers elle. Et il y en avait autant du côté du réfectoire, où le repas fut vite englouti, aussi infâme que celui que servait les prisons tekhanes.
Il y avait de la suite dans les idées, chez les Gardes...

Linda baîlla, s'étirant après cette dure journée de labeur où elle avait dû se retenir toute la journée de sauter sur cette demoiselle qui la suivait tout le temps.


- Ooh, c'est vraiment trop dur de s'occuper des compteurs, gémit-elle à l'adresse de Sarah. J'en ai marre de tenir des crayons, j'ai pas signé pour faire ça, moi !
- Merci, on sait très bien pourquoi tu as signé, espèce de folle du cul.
- Hé, je t'emmerde, Cassandra ! ♥ Oh, Sarah, tiens... Cassie partage notre dortoir, elle a le lit au-dessus du tien !

Cassandra se contenta de jauger Sarah du regard, apparemment moins enthousiaste que la plupart des Gardes à la vue d'une petite nouvelle. Beaucoup plus méfiante envers les nouvelles venues, il fallait dire. Son regard s'arrêta sur quelque chose en particulier.

- Mademoiselle Pez', j'aime beaucoup votre bracelet. Mais je ne crois pas que ça soit dans la tenue règlementaire...

C'est vrai que le noir faisait bien ressortir le doré du bracelet. Linda ne le remarqua que maintenant, adressant un regard de reproche à Cassandra.
Dieu qu'elle était rabat-joie, quand elle s'y mettait.


- ...Faites attention à ne pas vous faire punir.

Il faudrait penser à attribuer les promotions en fonction du quota de sous-entendus déclamés.

7
Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: samedi 03 mai 2014, 21:28:23 »
Il fallait bien l'avouer, Linda était surprise par le comportement de Sarah. Les nouvelles venues, d'habitude, elles n'étaient pas aussi tendancieuses, d'habitude. Elles finissaient par se laisser porter et par adopter l'attitude de "domina" qui caractérisait toutes les Gardes. Mais celle-là, elle fonçait dans le tas. Directement.
Et ça n'était pas pour leur déplaire, bien sûr. La brune ne manqua pas de le faire comprendre à sa nouvelle camarade, se laissant caresser l'épiderme, un sourire amusé sur les lèvres.


"Eh, dis-donc, t'as vite compris la politique de la boîte, toi," murmura tranquillement Linda.

Elle posa ensuite un petit baiser sur le nez de Sarah, tellement léger qu'il en aurait presque été ingénue sans la caresse sur le ventre de la prétendue ex-taularde, caresse qui dura quelques secondes, du haut des abdos jusqu'au début du pubis. Linda regardait cette partie du corps de la policière d'un air très intéressé.

"Jolis abdos, Miss Pez' !" Taquina-elle.

Puis elle prit un air boudeur, en jetant un nouveau coup d’œil sur le carnet dans son autre main.

"Je sais bien, c'est pas marrant, bouh ! Mais je te rassure, on devrait pouvoir trouver d'autres occupations plus intéressantes quand on aura finis ♥ pour la petite info, on arrête de bosser vers dix-huit heures. Le temps de mettre toute la main d’œuvre à l'enclos et de manger, on a pas mal de temps libre après..."

Personne ne dormait beaucoup, en général. Mais ça, la jeune femme l'apprendrait bien assez tôt. Linda lui expliquait donc les horaires tout en marchant, guidant Sarah sur ses talons. Elles passaient toutes les deux devant le début des locaux : l'armurerie, là où l'on déposait donc toute l'artillerie en fin de journée et où l'on venait la récupérer le matin. Linda passa un badge dans la fente d'une épaisse boîte métallique. Dés lors, les portes s'ouvrirent sur une impressionnante collections de pistolets, fouets, et lames en tout genres.

"Notre petit Paradis, ha ha ♪ choisis ce que tu veux, moi perso j'ai déjà ma p'tite idée !"

Linda s'apprêta directement d'un Gatling classique, laissant sa compagne choisir tranquillement ses armes. Quand ce fut fait, la Garde se sentit presque obligé de justifier son choix qui pouvait sembler si banal.

"J'prends des fouets, d'habitude, mais comme aujourd'hui j'peux taper personne..." marmonna-elle avec une moue boudeuse. "Humf ! 'M'en fous, j'me rattraperais plus tard."

On aurait dit une enfant à qui l'on confisquait un jouet, pour ainsi dire. Linda jouait souvent de ce comportement enfantin pour mieux endormir ses proies et les séduire ensuite : son attitude sympathique cachait une femme-enfant typique. Malgré leurs nombreux points communs, les Gardes avaient toutes des personnalités différentes...

Les deux femmes quittèrent ensuite cette pièce, Linda saluant ses collègues sur le chemin, de façon assez hétéroclite (ça passait du simple hochement de tête à la franche tape sur les fesses), et elles continuèrent leur petite visite. La Garde tenait gentiment le bras de Sarah, comme le font les adolescentes entre elles, et l'effet était renforcé par le fait que Linda devait bien faire une tête de moins que l'infiltrée.


"Donc, là, tu as les ateliers de fabrication..." expliqua la brune en montrant du doigt les alentours de la nouvelle pièce où elles étaient entrées.

Cette pièce se résumait en un très long couloir, avec de chaque côté d'épaisses baies vitrées, d'où l'on pouvait apercevoir d'immenses machines, cuves remplies d'eau bouillantes ou de teintures, et de nombreuses employées qui s'activaient rapidement, comme autant d'ombres que l'on apercevait à peine. Des portes remplaçaient régulièrement les fenêtres, chacune surveillés par deux Gardes qui saluèrent Linda et Sarah quand elles approchaient.


"C'est là qu'on est censés surveiller si tout va bien..."

La dernière phrase était prononcée de manière ironique, et Linda ne tarda pas à continuer :

"Heureusement, ça va pas toujours bien, sinon on s'ennuierait vite, ha ha... tiens, rien que là... ça va, on vous dérange pas trop ?"

La brune s'adressait en dernier à quatre petites têtes qui se cachaient derrière les baies vitrés, les regardant passer. Il suffit à Linda qu'elle leur sourit pour que les têtes disparaissent aussi vite que l'éclair. L'instant d'après, une Garde passait et en attrapait une par les cheveux, l'emmenant un peu plus loin. Cela fit rire Linda, un rire aigre et sadique.

"Ces abruties d'employées, grogna-elle à l'attention de Pez'. Tu auras vite fait de le comprendre, mais il vaut mieux, hem, les mater rapidement si tu ne veux pas que ça soit le bordel... bon, ton p'tit ange ne te laissera pas les tuer, mais tu peux en faire ce que tu veux, après... ça fait rêver, hein ?"

Il était possible que Sarah ne comprenne pas l'allusion à l'ange gardien, mais sans doute ne serait-elle pas assez bête pour poser la question. C'était après tout quelque chose qu'on était censés lui expliquer à son arrivée.
Suite à ça, elles continuèrent sur plusieurs pièces du même acabit, et finirent par atteindre une pièce très sombre, assez grande. Linda indiqua à Sarah que l'épaisse porte qui dominait le côté gauche de la pièce menait vers les laboratoires - une information de plus que la policière pourrait peut-être utiliser, mais aucune Garde n'y allait jamais. La pièce d'après clôturait la visite.


"... Et ici, tu as les dortoirs, conclut Linda, un sourire évocateur aux lèvres. Oh, il y a de la place dans le mien, si tu veux !"

Comme par hasard, dis donc. Linda ponctua cette remarque en attrapant Sarah par derrière, passant ses bras autour de ses épaules, sa poitrine contre le dos de la justicière.

"C'est aussi celui où y a le plus d'ambiance... ouh ! Du coup, tu me feras une petite visite de tes locaux... chacun son tour, hi hi ♥"

Puis, à contrecœur, elle se dégagea d'un coup.

"Mais 'faut attendre ce soir... en attendant, Miss Pez', on a du boulot..." bougonna-elle en s'étirant.

Le temps que Sarah choisisse sa place, et la prochaine visite par ici serait bien plus intéressante.

8
Tekhos Metropolis / Re : Période d'essai [Pez']
« le: jeudi 01 mai 2014, 19:38:58 »
Il y avait bien des années que l'entreprise fonctionnait de cette façon, et bien des infiltrations avaient été recensées à ce jour. Cela dit, pour dénicher des preuves tangibles d'un quelconque bug judiciaire dans les locaux, il fallait non seulement les visiter, mais aussi faire un petit tour plus haut, dans les bureaux de la direction. Car, justement, à cause des prédécesseurs de la jeune femme, on n'évitait désormais de trop en dire aux Gardes.
Les meilleures sources d'informations étaient donc au nombre de deux : Madame Héléna, et les centaines d'employées qui traînaient leurs pattes dans les locaux. Il serait difficile d'extorquer des informations des deux côtés, mais c'était déjà deux pistes envisageables.

En attendant, Sarah jouait donc le jeu, tout comme les anciennes qui l'observaient. La plupart gardaient un sourire amical sur les lèvres - du moins, autant que des démones de leur type puissent paraître amicales - mais n'en pensaient pas moins : quand il y avait une nouvelle, il fallait faire attention. Sans pour autant changer leurs habitudes (non mais !), il était conseillé d'agir de la manière la plus professionnelle possible, jusqu'à ce que toute trace suspecte soit dissimulée.

Bon, après, tout était relatif. Peu d'entreprises partageaient la vision qu'avait Tekhfur Corp d'une Garde qualifiée.

La présentation de la jolie espionne donna du grain à moudre aux femmes en cuir, dont elle faisait à présent partie. Son passé était jaugé, ses crimes soupesés, et l'on déterminait en quelques secondes si cela était suffisant pour être accepté au sein du groupe. Le murmure était cependant enthousiaste, ce qui était bon signe. Constatant cela, Madame Héléna salua sa nouvelle recrue, pressant son épaule d'une main ferme.


"Si vous avez besoin de quoique ce soit, vous savez où se trouve mon bureau."

Le ton était bienveillant, mais tout de même assez froid pour ne pas laisser entendre que cette femme d'affaires n'était pas assez occupée pour recevoir des visites toutes les cinq minutes. Elle souhaita une bonne journée, que l'on lui rendit, et la porte se referma sur sa silhouette, redoutable de beauté.
Dés lors, les Gardes n'hésitèrent plus à se rapprocher de leur nouvelle recrue : excitées comme jamais, elles ressemblaient à des collégiennes à qui on avait présenté une nouvelle amie. Il était étrange de voir ces femmes à l'apparence morbide s'agiter d'une telle façon. Sarah avait des mains à serrer, recevait des compliments sur son uniforme (comprendre : ce qu'il y avait dessous), des tapes dans le dos, comme si elles connaissaient depuis longtemps toutes ces charmantes meurtrières.
On pouvait leur reprocher leur sadisme, mais dés lors que Sarah avait confessé ses "crimes", elle avait été considéré comme aussi déglinguée que n'importe laquelle d'entre elles, et donc, intégrée au groupe.

Une sonnerie criarde résonna alors dans l'ensemble des locaux mal éclairés, indiquant le début du travail pour toutes les personnes se trouvant ici.

Dés lors, la nuée d'ex-taulardes se dispersa, chacune se rendant à son poste respectif. Mais l'une d'entre elle se rapprocha de Sarah, un grand sourire sur ses lèvres. Elle portait un carnet dans les bras et un sifflet autour du cou. Chaque semaine, à tour de rôle, les Gardes supervisaient les opérations et prenaient des notes, qui étaient restituées à Madame Héléna pour un rapport simple et rapide, histoire de voir si tout fonctionnait bien et faire prendre conscience des différents problèmes. C'était une tâche qui prenait l'ensemble du temps de travail, car les locaux s'étalaient après tout sur plusieurs dizaines de kilomètres... pendant ce temps-là, pas de surveillance, et donc pas de divertissements propres aux Gardes. Un réel problème, pour ces femmes qui ne contrôlaient leurs pulsions que de cette façon.


"Salut ! Moi, c'est Linda, tu vas bien ?" lança la jeune fille à Sarah, clin d’œil à l'appui. "Bon, alors, en gros, cette semaine, c'est à moi de m'occuper de tout ce qui est papiers, compteurs, tout ça... et aussi de toi, en l’occurrence, ajouta-elle en insistant bien sur le "toi". Donc, bah, j'te propose de commencer avec une visite des locaux ? T'en dis quoi ?"

Avec son visage aux traits détendus, c'était limite si l'on oubliait qu'en face de nous se tenait une ex-prisonnière... Linda était de ces filles qui disaient et faisaient des choses en désaccord total avec leur apparence. Elle en avait profité dans le passé, dans le présent, et probablement dans le futur. Mais tout le monde ne tombait pas dans le piège, évidemment.

9
Le coin du chalant / Re : J'ai besoin d'un maitre SADIQUE*-*
« le: jeudi 24 avril 2014, 16:24:57 »
C'est la période des jobs d'été ma mignonne :D

Je n'ai pas une, mais plusieurs maîtresses à te proposer ! Et dans le genre sadique, je te promets qu'elle feront de leur mieux ;) !

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Tekhos Metropolis / Période d'essai [Pez']
« le: jeudi 24 avril 2014, 16:20:11 »
Dans la petite communauté de Tekhfur Corporation, les informations circulaient très vite. D'autant plus qu'on pourrait dire ce qu'on voudrait de ces tarées de Gardes, elles étaient soudées entre elles et n'hésitaient pas à papoter de tout et de rien, laissant sous-entendre que même des femmes ayant mangé leurs propres enfants restaient des femmes. Du coup, il était impossible de garder la moindre nouvelle un tant soit peu secrète. De toutes façons, personne n'essayait de le faire.

C'est pour cette raison que, rassemblées dans un des couloirs du secteur 1 qui servait habituellement de salle de réunion, les surveillantes trépignaient d'impatience de voir la nouvelle recrue, pour l'instant enfermée avec l'une de leurs chefs en train de signer son contrat. On se posait mutuellement des questions sur le caractère de la nouvelle venue, sur ses méthodes de travail... sur son apparence, aussi. Surtout, en fait. Car personne ne doutait que sa pendaison de crémaillère risquait d'être mouvementée.
On se demandait aussi ce que cette nouvelle avait pu avoir fait, quelles fautes graves elle avait pu commettre pour avoir l'honneur d'intégrer leur cercle très fermés de connasses sanguinaires. Car pour être embauché dans un pareil endroit, il fallait avoir assez lourdement merdé. Au moins assez pour avoir fait quelques années de prison, comme c'était le cas pour toutes ces dames ici présentes.

Ce fut finalement au bout d'un certain temps que les portes s'ouvrirent, pour laisser passer l'une des influentes dans la troupe des Gardes, Madame Héléna, comme on l'appelait par ici. Madame Héléna, c'était un mètre quatre-vingt dix de posture svelte et bien formée, une combinaison en cuir moulante et des talons hauts bien cirés, ainsi qu'une attitude autoritaire et froide, comme on l'attendrait de quelqu'un avec un visage aussi fermé. Quand elle ordonnait quelque chose, ça devait être fait tout de suite, et ses ordres pouvaient aussi bien passer de laver par terre à retirer sa culotte. Rien n'était discuté avec quelqu'un de son acabit.
Et surtout, Madame Héléna n'aimait pas du tout les fouineuses. Ce qui était probablement la raison pour laquelle elle s'adressait d'un ton aussi sec à chacune des nouvelles venues. On ne méritait sa confiance qu'après quelques mois dans l'entreprise - et quelques promotions canapés.


"Mesdames, voici la nouvelle recrue de notre entreprise. Je compte sur vous toutes pour lui présenter les locaux et lui montrer comment les choses sont censées fonctionner ici."

Des petits sourires passèrent sur plusieurs visages quand la dernière phrase fut prononcée. Probablement que Sarah n'avait en effet pas du tout été mise au courant de "comment les choses fonctionnaient", et les Gardes étaient déjà en train de la déshabiller du regard, plus ou moins discrètement.

"Présentations, Mademoiselle ?"

Il faut dire que l'uniforme règlementaire lui allait à merveille.

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Nice to see you again :D !

Avec Pez', ça me tenterait bien :) ! Ce bracelet m'intrigue...
Mettons qu'elle est embauchée ? Les Gardes lui présenteront l'usine, et elle aura tout le loisir d'en voir les tréfonds.

Je peux commencer, si tu veux !

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Et, selon votre grade, vous y serez plus ou moins bien accueillis :D

La particularité que je peux vous offrir avec ce compte, c'est que je dispose déjà de trois types de personnages avec lesquels vous pouvez jouer.
(Ci-dessous, les résumés des différents personnages proposés. Pour les connaître plus en détails, consultez la fiche ICI)

Les Gardes : sadiques à fouet, tromblons ou pistolets, chargées de surveiller l'état de la production. Cuir, dominatrix, et tendance BDSM au programme !
Trames disponibles
• Vous avez répondu présente à une annonce proposant un poste de gardienne d'usine. Vous êtes donc l'une des leurs, à présent... goûtez au plaisir de vous amuser entre vous, et peut-être même d'inviter quelques jolies employées dans le lot... (sans leur laisser le choix, ça va de soi !) (social - hentai)
• Vous vous êtes infiltrés dans l'usine dans l'idée d'en découvrir les secrets... pas de chance, les Gardes sont partout. Elles sont plutôt joueuses, néanmoins. Vous ne risquez donc pas la mort. Mais j'espère que vous aimez les laisses.


Les Gynos : Robots programmées pour surveiller les différents points d'entrée et de sortie de l'usine, on les retrouve donc aux "frontières" des sous-sols. Souvent défectueuses car achetées très peu chères, elles restent tout de même assez efficaces pour vous cribler de balles, mais il est facile de les démonter une fois court-circuitées ou d'en modifier les composants.
Trames disponibles
• Vous êtes quelqu'un d'important venue négocier l'achat de production ou même d'un groupe d'employées, et une Gynos est donc chargée de vous assister au cours de votre visite au sein de l'usine. Les bugs sont courant chez ce genre de machine qui finira par vous prendre pour cible. (social - combat)
• Votre infiltration au sein de l'usine finira en altercation avec une Gynos à son poste. Heureusement, vous vous y connaissez en mécanique ou avez beaucoup de chance en lui assénant un coup au bon endroit, et elle se montrera tout de suite... plus affectueuse. (combat - hentai)


Les employées : esclaves chargées d'assurer la production de l'usine, on les retrouve un peu partout en train de nettoyer, de nourrir les terranides ou de les dépecer pour transformer leurs peaux en manteaux. Certaines essayent aussi de s'enfuir, et vous pourrez en voir gambader sur les murs ou en entendre courir dans les conduits d'évacuation... sans grand succès, en général.
Trames disponibles
• En pleine infiltration dans l'usine pour une raison ou une autre, vous découvrez ces pauvres âmes réduites à des moins que rien et décidez d'organiser une libération, massive ou non.
• Un groupe d'esclaves vient d'être acheté par l'entreprise et vous faites partie du lot... bienvenue dans les sous-sols de Tekhfur Corp. ! Entre les Gardes perverses, les Gynos détraqués et vos camarades terranides que vous devez nourrir avant de les voir se faire arracher la peau, le sort ne pouvait pas vous être moins favorable. (social - hentai)


L'autre disposition particulière que je dois vous préciser, c'est qu'avec ces trois types de personnages disponibles, tous les types de caractères sont possibles. Cela signifie que vous pourrez jouer avec un personnage timide, colérique, psychopathe, courageux... tout est donc possible dans ce petit monde qui j'espère, vous intéressera ! :)

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Prélude / Re : TekhFur Corporation ® [Validora !]
« le: samedi 29 mars 2014, 11:39:17 »
Merciii o/

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Prélude / TekhFur Corporation ® [Validora !]
« le: samedi 15 mars 2014, 23:20:21 »
Immatriculation de l'entreprise
Nom : TekhFur Corporation
Date de fondation : 25 ans plus tôt
Siège social : Tekhos Metropolis
Fondatrice : Paolina Fawn (actuellement sous détention)
PDG actuel : Miss Powder (héritière de l'entreprise)
Secteur d'activité : Marché de niche – textile, produits pharmaceutiques, accessoires de luxe

Description de l'entreprise
TekhFur Corporation (souvent renommée sous son abréviation de TekhFur Corp ou même juste TekhFur) est une société commerciale spécialisée dans la fabrication d'accessoires et de vêtements de luxe – la fourrure étant leur principale matière première. A l'aube de l'ouverture des locaux, cette dite matière première était prélevée sur des animaux classiques. Néanmoins, l'entreprise connut une récession assez importante -principalement causée par le passage de plusieurs lois tekhanes qui condamnaient sévèrement les mauvais traitements infligés aux animaux - qui les obligea à trouver d'autres moyens de récupération de stock.


L'historique de l'entreprise mentionne que Paolina Fawn intervint à ce moment-là et évita la liquidation inévitable. Déjà légèrement cotée dans le quartier des affaires, elle racheta TekhFur alors que la compagnie était assaillie par les accusations de traitements brutaux sur les animaux et semblait sur le point de sombrer. L'idée de remplacer la fourrure animale par des fourrures de terranides vint de sa personne et permit de relancer la compagnie qui bénéficiait désormais d'une mine d'or pour ce qui était de la matière première - les terranides étaient moins chers, plus facilement trouvables, beaucoup plus rentables (car possédant plus de fourrure pour un individu) et les autorités étaient bien plus souples avec cette manière de faire.
Aujourd'hui, la fourrure utilisée provient donc non plus de simples animaux, mais de terranides esclaves capturés ou rachetés sur Nexus (terranides des contrées froides en particulier). Le procédé n'est connu que de très peu de personnes mais n'est pas non plus dissimulé – car ce n'est pas moralement condamnable dans la société tekhane. Néanmoins, ce manque d'informations implique que beaucoup pensent encore que TekhFur utilise de simples animaux pour le prélèvement des fourrures et des peaux, ce qui emmène de nombreuses écologistes à protester régulièrement devant les murs pour la fermeture du business.

TekhFur compte quinze usines dispersées un peu partout dans la métropole de Tekhos, mais la plus intéressante est celle qui peut être considérée comme le « quartier général » de la société, car c'est la plus grande et la plus active, et c'est également la seule qui compte un building spécialisé dans une nouvelle gamme que l'entreprise souhaiterait développer : les produits pharmaceutiques (vivisections et expériences étranges au programme, donc). Située aux frontières du quartier des affaires, sa façade est composée du building où la manœuvre administrative s'effectue tous les jours. Derrière ce même building, on peut voir les bâtiments où s'effectue le traitement des marchandises. De grandes cheminées de béton laissent sortir d'épais nuages cendrées – mais pas de panique, ce n'est que de la vapeur ! (et quelques produits chimiques... rien de méchant, non ?)
Ce ne sont certainement pas ces nuages qui dévoilent le côté le moins humain de l'entreprise. D'ailleurs, ce côté-là n'est pas montré au public. Il se trouve sous terre, sous ce que nous venons de décrire.
Sous les bâtiments, se trouvent en effet les ateliers de fabrication des différents produits qui seront vendus par la suite. Ils ont été placés là pour plusieurs bonnes raisons : diminuer les chances que les « employés » aient envie de s'échapper, par exemple. Ou cacher au maximum ce côté de la société, assez peu glamour après tout.
Les quinze usines sont construites de la même façon, et procèdent de la même manière. Dans chacune, on compte pas moins de plusieurs centaines de gardes et de robots pour veiller au bon fonctionnement des ateliers, et bien sûr, celles que l'on déguise sous le doux terme d'employées, et qui ne sont rien d'autres que des esclaves gardées ici pour effectuer les tâches ingrates.

Les Gardes


Toutes vêtues du même uniforme de cuir, les Gardes sont toutes des femmes, respectant la hiérarchie de Tekhos. Outre ce premier point commun, il y en a un autre moins évident : toutes proviennent du milieu carcéral ou ont été impliquées dans des affaires sordides à un moment ou à un autre de leur vie. La raison en vient du fait que TekhFur a la main légère en matière de salaire, et que les recrutements se font dans la grande masse de la sous-traitance.
Celles qui gardent les couloirs et donnent les directives peuvent donc être aussi bien voleuses à la sauvette, que coupables de plusieurs viols ou meurtres. Le commandement s'associe donc souvent au sadisme et aux actes immoraux contre les esclaves.
On peut imaginer qu'il est difficile de faire confiance à de telles personnes. Voilà pourquoi chacune d'entre elles possèdent ce qu'elles appellent ironiquement un « ange gardien » : il s'agit d'une puce électronique implantée soit dans leurs corps, soit dans leurs uniformes, soit dans leurs armes. Aucune des Gardes ne sait où se trouve sa propre puce, qui rapporte chacun de leurs faits et gestes, et est la condition principale qu'on leur soumet en échange d'une sortie de prison et d'un maigre salaire.
L'ange gardien a néanmoins une marge de tolérance large : elle n'agit que si la Garde opère contre les intentions de la société (tentative de sabotage, dégâts sur les locaux et matériaux...). Torturer des terranides fait donc apparemment partie de cette marge...

Les Gynos


Elles sont quelques dizaines à patrouiller prés des sorties des ateliers, avec ordre de tirer à bout portant sur tout ce qui bouge. On ne les voit pas souvent à l'intérieur des locaux, car elles sont principalement là pour prévenir les évasions et autres actes de rébellion.
Sous l'apparence de beautés froides à la gâchette facile et moderne, elles sont exclusivement gynoïdes (et donc possédant une apparence de femme).
Ces androïdes sont rachetés par la compagnie pour des sommes modiques. Ce qui signifie qu'ils ont donc pas mal de défauts de fabrication... leur plastique est impeccable, mais elles ont toutes tendance à péter un boulon de temps en temps. Ne vous étonnez pas d'en voir tirer dans le tas ou éviscérer quelques esclaves sans aucune explication...
Néanmoins, leur manque de sentiments et leur système d'exploitation très simple à pirater en fait des partenaires bien plus sûres que les gardes en cas d'évasion. Au moins, vous pouvez être sûre que celles-ci ne s'amuseront pas à vous faire croire qu'elles sont de votre côté, puis à vous balancer dans les cuves de lustrage en vous faisant la courte échelle. De plus, elles ne sont pas très solides et il est simple de leur retirer un bras ou une jambe, voire même la tête, pendant leur période de récupération.

Les Employées de l'usine


On les dénombre à ce jour par dix mille et quelques par usine. Majoritairement femelles – bien qu'il y ait un nombre très restreint de mâles – les employées ont tous les âges, toutes les tailles et toutes les formes. On compte tout de même une majorité de terranides achetées en gros aux esclavagistes de Nexus. Elles sont en effet plus faciles à menacer : le risque de se voir arracher les oreilles et la queue si l'on commet une maladresse n'enchante personne. Il y a également quelques humaines, et des espers que l'on prive de leurs pouvoirs.

Leur but étant de faire du rendement, ces esclaves sont toujours en activité, mangent et dorment très peu. Les plus chanceuses auront comme tâches à effectuer les nettoyages des locaux. Les autres seront assignées à la maintenance des fournisseurs de matière première – comprendre par là, s'occuper de leurs congénères enfermés dans des cages en attendant qu'on leur prélève leur peau... une activité auquel elles sont parfois aussi d'ailleurs obligées de prendre part, aidées par les Gardes qui adorent les encadrer dans ces moments-là. Selon elles, la lueur d'horreur dans leurs yeux est un spectacle hilarant.
Certaines subissent également les expériences du secteur pharmaceutique, d'ordre biologique ou psychologiques. Même si ces expériences sont menées par le personnel médical (un peu plus sain que les Gardes), il n'en reste pas moins qu'une employée n'a rien de libre et qu'on ne va pas s'amuser à lui faire signer une décharge à chaque nouvelle injection. Ces cobayes meurent dans le meilleur des cas. Celles qui restent en vie deviennent folles ou sont victimes d'horribles mutations.
Le reste du temps, il faut s'occuper de nettoyer les peaux, les lustrer si besoin est et les coudre pour en faire des vêtements prêts à être vendus. Les employées sont donc très douées de leurs doigts – autant pour manier une aiguille que pour ouvrir des portes à la dérobée, ou même faire d'autres choses pas très catholiques...
Elles sont toutes habillées d'haillons, et portent autour du cou, des mains et des chevilles les élémentaires colliers et bracelets de fer (ceux des espers sont renforcés par des matériaux magiques qui affaiblissent leurs pouvoirs... sans toutefois totalement les supprimer). Ce sont des tenues qui éveillent forcément les instincts de prédateurs des Gardes qui ne se gênent pas pour leur mettre des mains aux fesses (entre autres...).

Il existe au sein des Employées quelques mouvements de révolte de temps à autre, mais ils sont vite étouffés par la présence des Gynos et l'enthousiasme des Gardes à l'égard de la moindre tentative de fuite...
Il existe néanmoins des historiques d'évasion, des employées que l'on n'a jamais retrouvé mortes ou vives. Personne ne sait si elles ont réussi à s'échapper ou si elle se cachent dans les profondeurs des ateliers. Ce n'est évidemment pas une bonne chose pour l'entreprise que quelqu'un d'aussi mal traité parvienne à s'échapper et raconter à qui veut l'entendre les jours sombres passés dans les sous-sols de la ville...
Le moyen le plus sûr et le plus connu consiste à passer par les conduits d'aération. Cela permet d'accéder aux étages plus haut et il faut des jours pour arriver à trouver une fenêtre ou une porte, dans l'optique miraculeuse que l'on ne se fasse pas prendre. Beaucoup tentent leur chance de cette façon.
Néanmoins, il n'est pas rare que l'on soit réveillé par une odeur de chair en putréfaction répandue par l'aération, et si l'on se risque à essayer d'entrer dans les conduits, on est alors accueilli par quelques cadavres de malchanceuses coincées entre les tuyaux...

***

INFORMATIONS CONCERNANT LE COMPTE
Il s'agit d'une sorte de complément de script au personnage de Powder, dont la fiche peut être trouvée ici. La lire est conseillée pour connaître tous les détails du contexte, mais si jamais l'envie vous manque (ce que je peux comprendre XD) je répond à toutes vos questions et/ou peut vous faire un rapide résumé par MP ;) !
TekhFur possède néanmoins son propre contexte et il n'est pas nécessaire de tout savoir sur Powder pour jouer avec TekhFur. Rien que savoir qu'elle dirige la société suffit. TekhFur possède sa propre histoire, ses propres personnages et ses propres plans d'actions, c'est un perso qui se suffit donc à lui-même.

Voilà, j'espère ne pas m'être perdue dans mes explications ^^' ! En espérant que vous avez eu une bonne lecture !

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