Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sayori

Pages: [1] 2 3
1
Le quartier de la Toussaint / Re : Lust rencontre une déesse spéciale. [Lust]
« le: vendredi 29 octobre 2010, 21:23:44 »
Je ne put rien faire, enfin j'avais ouvert ma bouche pour me mettre à répondre à sa première question, mais d'autres s'en suivie, figeant ma bouche et ma voix, ne pouvant pas émettre une phrase, essayant  de bien assimiler ce qu'elle avait dit. Elle m'avais appelé Aphrodite ? Cela vous lais dire que mes rêves sont réels.

- Je ne suis …

D'un coup mes lèvres furent assaillit celle qui semblait être vraiment Lust, je ne fis rien toujours sous le choc de cette rencontre qui mettait en question une partie de moi, puis par pur réflexe je la repoussa de toute mes forces, j'entendis le bruit de quelqu'un qui était tombé,, aurais-je mit trop de force dans mon action, quoi qu'il en soit je me mis à dire de façon rapide, rougissant devant se baiser surprise.

- Je ne suis pas Aphrodite. Je m'appelle Sayori Yamada. Vous êtes bien Lust ? Déesse des Vices et petite soeur d'Aphrodite ? Je dis ça parce que je vois souvent  une Aphrodite dans mes rêves.

Je tente de retrouver mon sac qui était tombé sous la surprise et le trouve, ne faisant par attention à la demoiselle, oubliant le fait que, si elle était vraiment la déesse dans mes rêves, elle allait certainement me faire payer l'outrage d'avoir des points de similitude avec la déesse Aphrodite, pourtant rien dans mon physique ne se rapproche de la déesse, et je ne porte pas de parfum aussi attrayant que la déesse.

J'allais me relever, mais une sensation bizarre me fige, une sensation effrayante, je ne savais pas si c'était le silence persistant ou la déesse qui engendrait cette sensation désagréable. Sans doute avait elle moyennement apprécier que je dise Une Aphrodite et non Aphrodite, d'un certain point de vue j'avais comparé la déesse à une simple humaine portant son nom, une raison qui pouvait faire sortir des gonds toute déesse.

2
Le quartier de la Toussaint / Lust rencontre une déesse spéciale. [Lust]
« le: vendredi 29 octobre 2010, 19:12:23 »
Il faisait beau ce matin, je sentais la douceur des rayon du soleil passer au travers des rideaux et caresser ma joue, sans oublier le fabuleux chant des oiseaux, c'est alors que Yukari me secoua dans tout les sens en disant.

Allez debout la marmotte, aujourd'hui tu te souviens que c'est un jours spéciale.

Comment je pouvait l'oublier, c'était le jours de la mort de la petite soeur de Yukari, tout les ans elle se levait tôt, profitant de cette journée pour faire les magasin et trouver un bon sake et les fleurs préférés de sa petite soeur, pour moi cela me semblait naturel d'honorer les morts, avec mon pouvoir j'étaie la mieux placé pour savoir que les fantômes avaient de grandes chance d'exister.

Toujours pressé par Yukari, je pris mes affaires de tout les jours, non pas que je sois irrespectueuse des morts, mais la petite soeur aurait sans doute voulut voir une amie de Yukari dans une tenue habituelle et non celle que l'on doit porter lors d'une visite au cimetière.

- Dépêche toi  Sayori, sinon on va être en retard.

- Oui, oui ! J'arrive.

La journée promettait d'être mouvementé, si à ce moment j'avais su ce qui allait m'arriver, j'aurais sans doute faussé compagnie pour rester bien au chaud dans ma couette.

Nous nous dirigeâmes donc vers le centre commerciale et j'aide mon amie à porter les courses, je ne suis jamais très douée dans les lieux où il y a trop de monde, je suis Yukari, évitant les pièges et surtout les voleurs, car j'arrivais à  entendre leurs pas caractéristiques.  J'avais lu quelque part que le fait de perdre un sens important, comme la vue ou l'ouïe est compensé par  une hypersensibilité, un espèce de sixième sens, mais jusque là je n'ai pas développé  de sixième sens, sans doute des rumeurs que tout le monde à finit pas croire et qui l'a passé du rang de rumeur, à celui d'une vérité.

Ma pensée fut interrompu par la sensation de me faire saisir le sac et je sens les mains de Yukari.

- Merci de m'aider, je t'ai sans doute prit beaucoup de ton temps, si tu veux tu peux me laisser et faire quelques magasin, on se donne rendez-vous à 20 heures devant le cimetière.

Une rendez-vous devant le cimetière quelle bonne idée,  je sais pas pourquoi ce soir je vais avoir un peu de mal à dormir. Mais bon cela lui tient tellement à coeur, que je ne peux pas la fausser compagnie. J'allais répondre quand une senteur particulière se fit sentir, cette odeur, elle me semblait familière et pourtant je n'imaginais aucun élèves ou professeurs porter un odeur aussi spéciale.

Je cherche dans ma tête et je trouve le visage sur l'odeur, c'était dans un de mes rêves, la femme s'appelle Lust … attend Lust c'est de l'anglais il me semble et ça veut dire … Luxure. Ok je le sens pas trop sur ce coup là, mais cela ne peut pas être elle vu qu'elle n'est le fruit que de mon imagination débordante … et pourtant c'est la même odeur.

Je tourne les talons en disant à Yukari que je viendrais et suis l'odeur, enfin suivre l'odeur, c'est assez précipité, entre le monsieur qui semble se parfumer rarement, la demoiselle qui s'asperge de parfum à la fraise et les odeurs des magasins, c'est assez dure de suivre l'odeur, mais par chance j'arrive dans un endroit moins peuplé, mais qui m'étaie pas contre inconnue, m'obligeant à marcher en tâtonnant de ma mains les murs.

Je sentais que l'ambiance était plus froide, plus glaciale, mauvaise, mais où l'odeur de Lust, si c'était vraiment elle, allait me conduire ?

3
Il semblait ne pas fuir, je n'entendais pas le bruit de ses pas, par contre son coeur … Son coeur battait rapidement, sans doute la surprise de découvrir qu'une aveugle possède un pouvoir qui pourrais changer la face du monde de manière radicale, mais cette puissance avait des limites, je ne les connaissaient pas tous, je ne savais que ce que j'avais constaté au fil de mes expériences. Vint la première question et elle était douloureuse à entendre.

- Ce pouvoir possède des limites, je ne peux en aucun cas utiliser se pouvoir sur moi, au mieux il ne marche pas, au pire il se retourne contre moi, la dernière fois que je l'ai fait mes parents ont faillit y perdre la vie.

Vint ensuite une autre vague de réponse, il semblait voir dans ce pouvoir la possibilité de résoudre l'irréalisable, me prenant sans doute pour une de ses magiciennes dans les mangas qui connaissent tout de leurs pouvoirs dès leurs première utilisations. Je souris un fixant mes yeux là où devait se trouver les siens.

- Je ne connais presque rien de mes pouvoirs, je sais que tant que je ne leurs dis pas de disparaître, ils continuerons d'exister, tu vois ces deux croix dorée.

Je montra la croix au niveau de la poitrine et celui à mon poignet gauche.

- Ce fut la première chose que j'ai créé, j'étaie enfant et je voulait avoir le même bijou que ma mère, ce fut aussi mon premier souvenir, ce pouvoir je ne sais pas comment il agit sur mon corps, s'il me réduit l'espérance de vie, ce que je sais c'est que mes créations ne peuvent savoir ce qui m'est inconnu. Pour certain c'est un don, mais à certain moment c'est aussi un fardeau dur à porter.

Mes mains commencèrent à trembler, j'entamais une part de moi, une chose que je cachais à tous et cela me faisait peur, mais il devait savoir qu'un pouvoir pareil incombe des responsabilité énorme.

- Quand une personne te fais du mal, tu voudrais la voir souffrir, voire la tuer, pour une personne classique ce n'est rien d'autre qu'une pensée, mais pour moi cela change tout, si tu m'avais blessé en me trainant dans la boue j'aurais du retenir ma colère pour ne pas te faire subir un sort équivalent ou marquer ta mort prochaine. Je ne sais pas si cela peux se réaliser, mais je peux faire oublier à n'importe qui jusqu'à ma propre existence, ce qui est assez terrifiant à vrai dire. Ce pouvoir n'est ni bon, ni mauvais, son utilisateur doit prendre en compte le poids de l'âme, mais aussi les risques.

Je prit un bon inspiration pour souffler, ma nuque frémissait de peur, la peur d'être vu comme un monstre et non comme une fille normale …  non, je ne pourrais jamais être une humaine, car ce pouvoir n'est pas humain.

- Quand à ton idée de me tripoter, sache que je ne t'aurais rien fait, je n'use de mon pouvoir que pour punir ceux qui le mérite, ce qui est très rare. User de ce pouvoir serais pour moi pareil que frapper plus faible que soit, même si je ne considère pas les personnes normales comme faibles. Donc il fat dire que je ne l'utilise que rarement, sinon tout le monde aurait peur de moi ou me dévisagerait comme un monstre hideux.

4
Je le sens se relever, son odeur imprègne encore mes narines, il a vraiment une odeur qui est particulière, pour tout dire j'ai la sensation de sentir deux odeur, l'un qui est calme et doux, comme le Nicolas présent et une autre qui est par contre plus irritante, faisant légèrement frémir ma nuque, comme si mon cerveau sentait un danger, mais cela ne pouvait nullement provenir de Nicolas, il est trop gentil pour me faire le moindre mal.

C'est alors qu'il me pose une question intéressante, la pourquoi de mon attirance pour le violet. Rares sont les personne m'ayant demandé pourquoi j'aimais le violet au point de ne porter que cette couleur ou en tous cas sur la majorité de mon corps. Un léger rire traverse ma gorge, je ne savais pas pourquoi cette situation  me donnais un début de fou rire. Je pus le contrôler fort heureusement et répondis avec assurance.

- Au début j'aimais porter du bleu et du rouge, mais suite à un de mes rêves je me suis remise en question et j'ai décidé de porter du violet ainsi je portais le bleu apaisant et le rouge désirable. Pour moi le violet reflète non seulement mon côté mystérieuse, mais renforce aussi l'impression d'être un être à part.

Je pris la main du lycéen et me mis à fouiner pour trouver une plume avec de l'encre et un bout de papier.

- Je vais te montrer mon secret, mais surtout n'en parle à personne, on pourrais me forcer à faire de mauvaise choses.

J'écrivis avec délicatesse les lignes suivante.

"Au moment où ses lignes se finirent, un copie de Aerium apparut  au pied de la jeune femme, une copie qui ne fut pas victime du temps, une copie pure de toutes souillures."

Quant je mis le point un bruit de chute se fit entendre et je saisis le livre pour le tendre à Nicolas.

- Ce que j'écris, ce que je dessine, je peux le rendre réel. Cela dit je ne connais pas ses limites et ce que j'ai peur c'est que quelqu'un me force à tuer, c'est pour cela que tu ne dois rien dire.

Je venais de lui montrer mon secret le plus intime, restait à savoir s'il allait fuir de peur ou accepter ce fait irréel. S'il partais, je n'aurais qu'à effacer sa mémoire en écrivant sur le papier, je l'avais déjà fait sur des personnes ayant vu mon pouvoir et ils ne s'étaient rappelé de rien, je sais que ce pouvoir est puissant, si d'un côté je le chérit, de l'autre il me fait peur, cette puissance ne devra jamais tomber entre de mauvaise mains, c'est pour cela que je n'exhibe que rarement mon pouvoir.

5
Il m dis que son exposé doit être fait avec la présentation des ouvrages, je n cache pas ma déception, au final je ne l'avait pas aidé d'un pouce, bien au contraire, je lui avait fait perdre son précieux temps, je me mis à penser à une chose, peut-être que je pourrais …

Je sens quelque chose bouger à l'endroit où est Nicola, ainsi que le bruit d'une semelle frottant contre une des dalles de la réserve, il faut dire que ce lieu n'est entretenu que pour préserver les livres et donc le sol est devenu inégale au fil du temps.

Puis son corps appui d'une drôle de façon contre le mien, je ressent la perte de l'équilibre, tombant en arrière, d'instinct je pose mes mains sur ma nuque pour la protéger du choc, le contact du sol est un peu violent, mais je n'ai rien, juste mes mains qui son égratigné par les dalles qui sont à certain endroit saillant, comme des lames, si je n'avais pas té là, il se serait sans doute ouvert le front, l'espace d'un instant je suis dans le brouillard.

Quand j'entendis la remarque de Nicola, je me mis à légèrement rougir, il était vrai que je n'avais pas pour habitude de bien me couvrir, pour sentir le moindre courant d'air me frôler et c'était surtout mes bras qui étaient sur le côté et suivait les courbe de mon visage, une image de soumise à vrai dire, c'était cette image qui me faisait légèrement sourire. Je tente de parler pour changer un peu cette ambiance qui avait de quoi me déstabiliser un peu.

- Tu serais capable de tenir un secret, quand je dis le tenir cela est aussi sous la menace. Si tu es capable de le faire, je pourrais m'arranger pour que tu puisse avoir un copie de ses livres en parfaite état.

Je voulais l'aider, mais je n'avais jamais montré à quiconque mon pouvoir, aurait-il peur ? Me brulera-t-il comme les sorcière ? Je ne pouvais pas savoir comment il allait réagir, mais je voulais savoir si ce pouvoir est vraiment extraordinaire, même mes parents ne savent pas que j'ai ce pouvoir.

Je tendis mon auriculaire, au japon on se le tendait pour faire une promesse, j'avais lu dans un livre que ce doigts était aussi celui signifiait la vérité, quand on ment de trop ce doigt a tendance à se bloquer. Mais je ne suis pas sûr de la véracité de cette légende.

6
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: jeudi 28 octobre 2010, 22:07:45 »
*Reste planquée derrière le comptoir, assit en tailleur, buvant goulument le jus de raisin.*

7
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: jeudi 28 octobre 2010, 21:52:53 »
*Arrête un instant sa recherche, se demandant qui est l'idiot qui hurle dans les toilettes ... puis continue sa fouille, dégotant une bouteille de jus de raisin.*

8
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: jeudi 28 octobre 2010, 21:47:25 »
*Entend le bruit des bouteilles qui s'entrechoquent et sait où elles se trouve, fait une roulade en arrière pour atterrir derrière le comptoir et fouine, pour trouver une boisson qui sent pas l'alcool.*

9
Blabla / Re : la grosse apéro XD (flood + et affinité ;) )
« le: jeudi 28 octobre 2010, 21:42:33 »
*Rentre et s'assoit sur le comptoir.*

10
Contre toute attente, il ne se moqua pas de ma raison en ses lieux, soit il était un peu intrigué par mon histoire de rêve, soit il était lui aussi victime de ce genre de désagrément. Vint tout de suite des questions sur la nature des rêves, ce qui m'embarrassa un peu, je n'allais pas lui dire que je voyais la déesse Aphrodite se faire monter, ou plutôt, manipuler ses partenaires. Le lieu n'était pas trop porté sur se genre de choses, mais la politesse voulait que toute réponse aient une réponse.

- Je ne crois pas qu'ils soient prémonitoire, c'est plus comme si c'était  une autre moi qui vivait, je ne sais rien de plus et je pensais que ce livre pourrait me dire si ce n'est le fruit que de mon imagination ou un trouble psychologique qui peut être nuisible à la longue. J'ai ses rêves depuis toute petite et je n'ai pas encore trouvé ce qui clochait chez moi.

Le genre de livre que Nicolas demandait, ne m'étaie pas inconnu, je me mis à chercher dans ma tête l'endroit où ils auraient put être entreposé, les ouvrages comme-ça sont souvent anciens et donc très fragiles, ils ne peuvent par conséquent, pas être exposés à l'air livre et à la disposition des élèves. Puis je me souvient de l'endroit où ils étaient la dernière fois.

- Je me rappelle où il y en a, mais il va falloir être prudent, car normalement l'endroit n'est pas autorisé aux élèves, la dernière fois je me suis fait sermonné, mais comme je suis aveugle, ils ne pouvaient pas me dire que je n'avais pas vue le panneau.

Sans plus attendre, je saisis sa main, la chance voulut que je la trouve du premier coups et je l'entraine dans un endroit où l'air sentait les livres anciens, en faisant attention aux moindres bruits, cela serait bête de vouloir l'aider et de se faire prendre la main dans le sac. Mais après tout qui a eut l'idée stupide de lui donner un sujet aussi dure à exploiter, j'avais failli avoir le même sujet, à moins que ce soit lui qui l'ai hérité. Je me sens coupable de l'avoir pas prit.

En moins de temps qu'il ne fat pour le dire, nous étions devant une grille, les personnes l'appelait la réserve aux sept cadavre, un légende cours dans le lycée, comme quoi sept élèves seraient mort dans cet entrepôt à livre, écrabouillé par les esprits qui le hante, une belle histoire que je pouvais réduire à néant, car les livres étaient tous bien rangé et le simple fait de les laisser tomber signifierait la fin du livre qui tomberais en poussière. J'ouvre la grille en douceur, car elle grince, la bibliothécaire ne ferme jamais cette grille car elle pense que le simple grincement de la porte en ferraille est suffisant, mais pas pour moi qui a l'ouïe plus sensible qu'elle.

Je laisse ma main lire les petits écriteaux et m'arrête devant des livres  emmitouflé dans un linge de satin clair. Je partie un peu plus loin pour revenir avec des gants.

- Voilà, il y a dix ouvrages, tâche d'utiliser le tissu pour les tenir et d'utiliser les gants quand tu veux tourner les pages. Par contre il faut faire vite, la bibliothécaire fait des rondes toute les six heures, ce qui fait qu'il te reste une heure pour trouver ce que tu cherches.

11
Le coin du chalant / Re : Rp avec une déesse.
« le: jeudi 28 octobre 2010, 18:23:41 »
down, down, up, up.

Quelqu'un veux rp avec moi ?

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Ainsi, il s'appelle Nicolas, c'est un nom qui n'est pas japonais, mais qui semble refléter d'une certaine douceur, comment lui dire que je ne le connait que de passage, je n'ai pas envie de lui faire de la peine, il semble être un garçon tendre.

Je sens son corps bouger légèrement, prenant un livre, sans doute est-ce celui que j'ai demandé, il est vraiment gentil, il m'aide sans rien me demander en retour ? Il faudrait sans doute que je l'aide dans ses recherches si cela touche un domaine que je connais.

Je sens un léger courant d'air et un odeur de vieux papier, il me donne le livre apparemment, je tend mes mains, faisant légèrement bouger mes doigts pour avoir plus de chance de toucher la reliure, une fois que je le sens, je le prend et le cale contre mon cœur, l'odeur du vieux papier emplissant mes narines, j'aime cette odeur, elle est apaisante.

Il me pose une question que je répond d'abord par une hochement de la tête droite à gauche.

- Je vais beaucoup mieux, c'est grâce à vous, sinon je ne sais pas comment j'aurais fini.

Je laissa un silence, devais-je dire la raison de se livre, Nicola ne semblait pas méchant, mais sans doute trouverait-il cela drôle. Bon … Courage Sayori et dis lui al raison, au pire tu le ferras rire ce qui ne lui ferra que du bien.

- Pour dire la vérité ce livre n'est pas pour un cours. Je fais de drôle de rêve qui sont tellement réaliste que j'ai l'impression que c'est la réalité et je voulais savoir si c'était une maladie ou un problème dans ma tête.

J'avais dit sans respirer, ce qui voulait dire que je l'avais formulé avec un débit très rapide, sans doute trop, puis je ne savait pas pourquoi je me mis à rougir, restait à savoir s'il allait rigoler ou non. Je continua donc mon monologue pour éviter d'entendre sa réaction.

- Mais toi tu es là pour trouver des information sur un cour, non ? Je serais ravi de t'aider en retour de m'avoir … vé

Je baisse la tête, ayant manger le mot sauvé, je jouais avec mes pieds, j'étaie toute gênée d'avoir dit ça, même si c'était vrai. Ce n 'était pas mon genre de faire ce genre de chose, mais je n'aime pas avoir de dette envers quelqu'un. Je m'attendais à ce qu'il refuse mon offre.

13
La chute me semble interminable, cela a toujours été comme-ça et cela le restera sans doute à vie. Quand on ne vois pas le temps paraît se moquer de vous s'étendant autant que possible pour vous torturer dans votre univers fait d'obscurité. Rien que le fait de sentir les cheveux s'étirer vers le haut me fit davantage trembler, la chute serait dure, très dure, mais ce n'était pas la première fois que je tombais, ma seule crainte c'était de mourir sans voir la mort arriver. Je continue à prier pour que cette chute sans fin s'arrête.

D'un coup un choc survint, ce n'étais pas la sensation du parquet en bois, non on dirait deux bras, des bras chaud, pleine de vie. La personne qui me parle m'est inconnu, ce n'est pas un surveillant ni un professeurs, quand aux élèves, hormis Yukari, je ne les connais pas trop, il ne portait pas de parfum que je connaissais, enfin si je l'avais déjà sentit dans les couloir, mais jamais je ne lui est parlé. Je tremblais encore de peur et d'un geste mécanique, je me relève et gardant un pan de son vêtement dans ma main droite, comme le ferais une gamine, j'étaie consciente de ce que je faisait, mais la chute m'avais tellement terrifié que je … Je ne voulais pas le lâcher,pas tant que ma peur état encore là.

Je tente de parler, répondre à ses question, mais ma voix se fait tremblante et des larmes viennent, j'essaie de les retenir, mais je n'y arrive pas.

- Je n'ai rien … J'ai … J'ai … J'ai eu très peur.

Je me colle contre cet inconnu, me mettant à pleurer un bon coup, je n'avais jamais eu aussi peur de tomber, je n'avais jamais eu cette sensation que la faux de la mort m'avait épargné de très peu. C'était effrayant, pourquoi devais-je être aveugle, qui avait bien put décidé de me faire une telle chose.

Je ne sais pas combien de temps j'ai mit à pleurer, sans doute quelques secondes, minutes ou heures. Je sèche mes dernière larmes et je souffle un bon coups, histoire de faire un trait sur mon passé.

- Je voulais le livre : La psychologie en braille. J'ai été un peu trop téméraire sur le coups. Merci, monsieur  … ?

Je pensais avoir affaire à un adulte, car les lycéens, ce n'est pas pour les critiquer, non, mais c'est une généralité, ils ont tendance à laisser les autres dans leurs problèmes.

14
- Sayori !  Saoyori ? Quelques chose ne va pas.

Je me tourne vers la personne, que j'identifie facilement de part son léger accent et l'odeur de son parfum que beaucoup trouve fade, mais mon odorat est toujours ravi de sentir autant de parfum de fruit mélangé.

- Cela peut aller Yukari.J'ai juste un peu le cafard, mais cela va passer, c'est toujours comme-ça, j'étaie partie pour livre un livre en braille, histoire de me reposer un peu.

- C'est vrai que vivre dans le noir constamment, ça aide pas pour le moral, tu veux que je t'apporte du chocolat ?

Yukari est très protecteur avec moi, sans doute trop, elle tente toujours de m'aider, marquant mes cours en braille pour que je puisse les relire, elle sacrifie toujours une partie de son temps à m'aider et à m'épauler, sans doute sa gentillesse à un rapport avec la mort récente de sa sœur qui était elle aussi aveugle.

- Merci Yukari, mais ça va passer, je veux être tranquille un petit moment, toute seule.

Je n'attendis pas le réponse de mon interlocuteur pour faire demi-tour et me diriger vers la bibliothèque, elle n'allait pas être malheureuse, car elle savait que j'aimais de temps à autre être seule à réfléchir sur des choses que bien des personne jugeraient débile et sans le moindre intérêt.

Je marche, calculant dans me tête le nombre de pas avant de prendre la prochaine à droite et ne pas me prendre le mur en face, j'avais au moins la qualité de pouvoir me représenter les locaux dans ma tête, c'est presque si j'arrivai à voir le mur, mais je ne pouvais pas savoir s'il était blanc, noire, rose, bleu, aussi j'imaginais la couleur chaque jours, hier les murs étaient vert pomme, aujourd'hui c'était bleu ciel.

Je sens une personne me frôler et d'un coup un objet invisible me fauche la jambe d'appui, me faisant tomber de tout mon long, dans un cris de surprise, je me relève et entant le bruit d'un coup de poing atterrissant dans la joue d'une personne, faisant craquer sa mâchoire, je n'entend pas les murmure, mais je sais maintenant ce qui c'est passé, une personne, plus précisément celle qui est passé près de moi m'a fauché la jambe et une autre est intervenu pour le corriger, je me relève et tourne ma tête vers l'endroit où est supposé être la personne qui m'a aidé et j'incline mon buste pour le remercier.

Suite à cette incident, je me fis plus attentive, mais rien ne se passa quand j'atteignis enfin la bibliothèque, immédiatement je me dirige  vers la bibliothécaire et demande où je peux trouver un livre en braille parlant  de la psychologie, non pas que cette matière m'intéresse particulièrement, mais il y avait quelques questions que je me posais et qui se devaient d'avoir une réponse.

La femme m'indiqua le titre et le lieu où il était entreposé, mais je refuse qu'elle aille me chercher, je voulais le faire moi-même, aussi je m'y dirige, dès que je suis dans le bon rayon je tâtonne, car je ne connais pas assez bien ce recoin, je passe mes doigts sur les reliure et découvre que le livre se trouve en hauteur, aussi je saisit le premier escabeau dans le coin pour monter dessus.

J'ai un peu peur, car j'ai la sensation que mes pieds marche sur quelque chose qui peu lâcher à tout moment, avec d'énorme précaution je passe mes doigts sur les reliure et trouve le livre en question trente minute plus tard, je suis assez haut, je le sent, sans doute trois ou quatre mètre de hauteurs, mes jambes tremblent de peur, mais je veux lire ce livre.

Je tente de le saisir, mais il est comme collé, aussi je fait un pas en arrière pour avoir plus de force et là, mon pied droit rencontre le vide, mon corps se balance en arrière, sans que je ne puisse réagir de quelconque manière, je sens la gravité m'attirer vers le pas, mes yeux son grand ouvert, je tente de crier, mais la peur et les sensations de tomber m'en empêche, je me demande si je vais mourir comme la soeur de Yukari, même si elle est morte d'un accident de la route, ma situation est la même. Je me recroqueville attendant le choc douloureux que va être ma chute.

Je vois ma vie défiler dans ma tête et je me met à prier pour que quelqu'un m'aide, n'importe qui.

15
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 28 octobre 2010, 13:11:24 »
Quelqu'un aurait pas un nom de jeu en ligne, pour que je m'occupe ?

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