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*Surtout, ne te fais pas repérer...*
Dissimulée derrière des buissons, Luna était en filature. Elle ne poursuivait d’ailleurs pas une personne anodine, mais celle qui se chargeait de l’héberger à Tekhos Metropolis : Mirei (http://nsa31.casimages.com/img/2012/11/13/121113121943485509.jpg). La belle soldate tekhane avançait lentement le long d’un trottoir, tentant de résoudre quelques-unes des fondamentales questions que Luna se posait. La petite neko n’était pas sans ignorer qu’elle avait été sauvée de sa Maîtresse par quelqu’un, à tekhos. Un individu suffisamment influent pour pouvoir se payer le luxe d’utiliser les Sans-Nom. Ces derniers formaient une redoutable et légendaire confrérie élitiste, et une personne, à Tekhos, les avait payé pour se charger de libérer Luna, et la conduire jusqu’ici. Pourquoi donc ? La petite neko avait du mal à profiter de sa liberté retrouvée, et un peu effrayante, en ayant tant de questions en tête.
Mirei elle-même ne voyait pas qui pouvait avoir les moyens nécessaires de payer les Sans-Nom. Il fallait nécessairement parmi les Teklhanes les plus puissantes et influentes, et, même malgré ça, il fallait encore découvrir pourquoi quelqu’un s’était donné toute cette peine pour secourir Luna. Mirei avait donc entamé des recherches, non pas en cherchant les Sans-Nom, mais en cherchant un bienfaiteur qui serait intéressé par les hybrides et les Terranides. Elle pensait enfin tenir une piste, et se dirigeait vers un bar tekhan assez louche, dans des quartiers assez lugubres de la ville. Bien qu’elle ait interdit à Luna de la suivre, la neko n’en avait fait qu’à sa tête. Elle avait appris, lors de ses années d’esclavage, à se faire discrète, afin qu’on ne la remarque pas. C’était l’une de ses rares qualités.
La Tekhane avançait dans des rues un peu moins ouvertes que les avenues que Luna côtoyait habituellement. Elle resta dissimulée dans une ruelle, entre plusieurs poubelles, et la vit s’approcher d’un bar à l’enseigne miteuse. De la fumée s’échappait d’une bouche d’égout, inondant une moitié de la ruelle, et Mirei alla voir trois hommes devant le bar, en train de fumer. Elle avait obtenu ce rendez-vous en faisant des recherches sur Internet, distribuant la photo de Luna à certains individus. Elle avait ainsi obtenu ce rendez-vous.
« Vous l’avez avec vous ? lui demanda l’homme, que Luna pouvait distinctement entendre avec ses grandes oreilles.
- Bien sûr, je me balade avec une neko dans ma poche ! répliqua Mirei, comme toujours agacée quand elle devait négocier avec des mâles.
- Détendez-vous, Miss Monde ! rétorqua rapidement son interlocuteur. Je sais que vous avez des questions, mais je ne peux pas y répondre comme ça, c’est bien trop compliqué... »
L’homme jetait de fréquents regards autour de lui, et Luna, bien qu’intriguée, choisit de se dissimuler un peu plus contre la poubelle.
« Vous êtes parano’ ou quoi ?
- Vous ignorez les enjeux de cette histoire ! Si j’ai réussi à obtenir cette image, alors eux aussi l’ont pu !
- Eux ?!
- J’aurais jamais du accepter de vous voir, quel con…
- Si vous vous sentez menacé, je peux vous protéger...
- ’Conneries ! Pas contre eux ! Il n’y a rien qu’on puisse faire contre eux, ils sont bien trop nombreux, et bien trop organisés !
- Mais de qui est-ce que vous... ? »
L’homme n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, car une détonation se mit à rugir. Une balle fit partir la moitié de la tête de l’homme, qui s’effondra mollement sur le sol. Des tâches de sang éclatèrent sur le visage de Mirei, qui repéra rapidement l’origine du tir : un fusil depuis une fenêtre en hauteur. Elle bondit derrière elle, tandis qu’une rafale de balles faucha les deux autres hommes qui accompagnaient son interlocuteur. Dégainant son pistolet, Mirei ouvrit le feu en visant la fenêtre. Elle vit le canon du fusil se replier, et chercha rapidement l’entrée de l’immeuble. Elle tira sur la serrure d’une porte verte, et enfonça la porte d’un grand coup de pied.
Les yeux écarquillés, Luna avança sa tête, la faisant sortir de la poubelle, et vit que l’un des trois hommes rampait mollement sur le sol. Curieuse, elle s’avança vers lui, tout en entendant, dans l’immeuble, des coups de feu qui la firent sursauter. La vitrine du bar avait explosé, et les clients choisissaient pour l’heure de rester à l’intérieur. Luna se rapprocha de l’homme agonisant, qui rampait sur le sol, et ce dernier planta son regard dans le sien. Ses yeux remplis de douleur exprimèrent brièvement la curiosité.
« T-T-T-Toi... »
Il reprit son souffle, du sang s’échappant de ses lèvres. Son corps tremblait nerveusement, et Luna cligna des yeux.
« Q-Q-Q-Qui... Quitte Te… Teeee… »
Ce fut tout ce que l’homme arriva à dire, avant de sombrer dans le coma.
*Mais qu’est-ce qui se passe ?*
Elle entendait, venant de l’immeuble, des hurlements, des fracas, les bruits caractéristiques d’une impitoyable lutte, et se mit à trembler en regardant la porte par laquelle Mirei avait pénétré dans le bâtiment.
-
Et bien et bien j'entends du grabuge par ici, ça m'intrigue, que ce passe t-il ? J'ai très vite ma réponse lorsque je rentre dans le batiment en question il y a eu diffusion de sang par ici, je dégaine alors mon long katana noir.
Et je le pose derrière ma tête, et je guette car je sens qu'on va me tirer dessus d'un instant a l'autre, j'ordonne a tsuki par télépathie de les localiser avec son odorat et elle m'indique la position de certain de la ou elle est cacher.
Une fois de plus je peux compter sur elle elle fait magnifiquement bien son travail ! Elle aura une récompense ce soir cette petite. Elle m'informe également qu'elle sent la présence d'une autre neko.
-Bon alors qu'est-ce que c'est que ce bordel ?
Dis-je en m'avançant vers les coups de feux. Je m'en rapproche petit a petit et je vois une jolie jeune femme armer d'un pistolet, ce truc la ne marche pas contre moi, d'ailleurs quelqu'un essaye de me tirer dessus mais aucune balle ne m'atteignent car je les ai toutes découpée avec mon sabre, je m'avance vers lui et je l'achève avant qu'il ne fasse plus de blesser.
Les autres doivent être assez choquer remarque il y a de quoi, mais une fois après avoir finie de faire le ménage je m'élance au dessus de la vitre, et j'attéris dans la rue comme dans un jeux vidéo. Classe calme et tranquille ! Je vis la fillette proche du type mais vu qu'elle n'a pas l'air menacée je m'avance paisiblement vers elle...
-Bonjour, alors c'est toi que tsuki a senti ? Je m'appelle Fumi. Mais on ne devrais pas restées ici, regarde les sniper sur les toit, c'est vraiment la pagaille.
Ceci font feux sur ma tête mais j'active un bouclier qui fait que les balles ne me touchent pas, et oui l'air dévie les projectiles mes amis. Revoyez votre science physique ! Car a grande vitesse il sera difficile de le percer et vu que je la protège elle aussi est invulnérable au projectile. Je lui demande alors
-Dit moi est-ce que tu est seule ou accompagnée petite ?
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Dans l’immeuble, Mirei montait rapidement les marches, arme au poing. Elle tenait un simple pistolet, une arme discrète, mais non moins efficace. Elle levait son arme en l’air, prête à se replier à chaque fois. Les gens autour de la soldate tekhane hurlaient, paniqués, et elle s’avançait lentement, jusqu’à entendre une porte s’ouvrir rapidement. Elle vit un homme arme, et pointa son arme vers lui.
« Vous êtes en état d’arrestation ! »
L’homme portait de simples vêtements, une veste avec un jean, et ouvrit le feu sur Mirei. Cette dernière jura, et se replia dans l’escalier, les balles s’écrasant à l’emplacement où elle se trouvait. La femme répliqua en ouvrant le feu, forçant l’homme à se replier en arrière, ouvrant le feu en retour, tirant à travers le sol. Ce dernier était fait dans un matériau assez faible, peu épais, et les balles filaient partiellement à travers. Mirei se protégea du mieux qu’elle pouvait, remontant le long de l’escalier, en faisant feu rageusement. L’homme choisit de se replier dans son appartement, tirant sporadiquement. Mirei tirait moins, mais de manière plus précise, son arme hurlant entre ses poings. Les tirs atteignaient le mur, près de la porte. Elle s’avançait lentement, au milieu de la poussière, dans un court silence. Elle s’abrita près de la porte, et parla à nouveau.
« Pourquoi vous voulez cette neko ? Répondez ! »
Pour toute réponse, elle eut droit à un coup de feu. La balle explosa près de son oreille, la faisant pester, et elle répliqua en tirant au jugé, sans viser, simplement pour rappeler à l’homme qu’elle était armée. Mirei s’humecta les lèvres, réfléchissant à une stratégie, et vit alors une femme approcher. Elle portait une espèce de kimono, et se dirigeait vers la porte, un katana dans son dos.
« Reculez, Madame, c’est une zone dangereuse ! »
Elle lui fit signe de la main de dégager, mais la femme ne sembla même pas l’écouter, et dégaina son katana, s’en servant pour découper les balles, et entra dans l’appartement. Mirei la regarda en fronçant des sourcils, entendit d’autres coups de feu, puis un hurlement suivi du tranchement d’une épée. Lorsqu’elle tourna la tête, elle vit que l’homme gisait au sol, baignant dans son propre sang, et que la femme s’approchait de la fenêtre, regardant en contrebas. Sans perdre son sang-froid, Mirei pointa son arme droit sur son dos.
« Arrêtez-vous ! Tout de suite !! »
La femme ne l’écouta pas à nouveau, et sauta dans le vide. Mirei s’élança rapidement vers elle, regardant par la fenêtre... Et eut la surprise de sa vie en voyant, dans la ruelle, Luna ! Elle était près d’un cadavre, tétanisée, et Mirei pesta. Qu’est-ce qu’elle fabriquait ici ? Elle fut tentée d’aller la voir quand elle entendit des bruits derrière elle. Se retournant, elle vit que l’homme blessé était toujours en vie, mais comateux. Il était proche de la mort. Elle hésitait, et entendit alors d’autres coups de feu venant de dehors. Elle se dirigea vers la fenêtre, et Luna sembla alors la remarquer.
« Viens, idiote ! » lui hurla Mirei.
Luna ne se fit pas prier, et fonça dans l’immeuble, délaissant complètement la femme en kimono, qu’elle ne connaissait pas du tout. Luna ne mit que quelques secondes à la rejoindre, et sauta dans les bras de Mirei, déstabilisant un peu cette dernière.
« Mais qu’est-ce que tu fiches ici ? Je t’ai dit de rester à l’appartement !
- J’ai peur ! Qui est cette femme ?!
- Je n’en sais rien, mon ange. Reste près de moi, d’accords ? On va foutre le camp d’ici. »
Elle reposa Luna, et vit alors que l’homme avait sorti de sa ceinture un petit objet, et appuyait sur le bouton. Mirei entendit alors un déclic, et tourna la tête... Pour voir, sur une étagère, une charge d’explosifs.
« Merde ! Cours !! »
Mirei sortit rapidement de la pièce, et l’explosion souffla l’appartement, la faisant décoller du sol. Elle atterrit contre le mur d’en face, s’écroulant lourdement sur le sol, voyant des flammes danser dans l’appartement d’en face, ainsi que de la poussière partout. Elle éternua, avant de sentir Luna à côté d’elle.
« Maîtresse ! Maîtresse !
- Je ne suis pas ta Maîtresse, lui rappela Mirei en se relevant, sonnée.
- Qui sont ces gens ? »
Luna avait de grands yeux paniqués, et Mirei soupira, ayant mal au dos.
« Ils te recherchent, Luna… Mais j’ignore pourquoi… Et j’ignore qui est cette nana…
- Mais... Mais pourquoi, pourquoi ?! Je ne suis qu’une petite neko !
- J’en sais rien !! » soupira Mirei, excédée.
Luna baissa timidement les yeux, et Mirei, soupirant, tenta de se radoucir. Elle lui caressa brièvement la tête.
« Il faut absolument qu’on sorte d’ici, Luna, d’accord ? »
Luna releva la tête, et la hocha de haut en bas. Restait encore à trouver une sortie, car sortir par la rue était compromis, avec les autres tireurs d’élite qui erraient dans le coin.
-
Voila que la neko me fausse compagnie ! Et bien qu'elle ravissante jeune fille. Elle devrait me remercier je l'ai protéger des balles des snipers et au lieu de ça la voila qui me délaisse. Pff Mais ou va le monde, toujours est-il que le grabuge n'ait pas finit a l'intérieur de l'immeuble, mais cette conne y est retournée en plus ! Raah j'y retourne aussi du coup. Et ce fut une erreur assez flagrante... Aussitôt rentrée Voila qu'un type encore conscient appuis sur une espèce de détonateur ? Et merde !
-Aaaaaaah Noooon !!!
Lui disais-je en criant, car j'étais toujours la moi mais trop tard une violente explosion retentis dans l'appartement le soufflent, et moi avec, le choc fut tellement violent qu'il projeta sur le mur bien des objets et certains cadavres qui se trouvaient la furent carboniser, j'aurais du l'être aussi mais fort heureusement pour moi je me suis vite entourée d'aura de feu pour minimiser les blessures, cependant lorsque je fus projeter au mur d'en face également mon corps ce consumais encore sous les flammes cependant.
Il ne semblait pas noircir aux yeux des deux personnes non. Pas bruler, a la place ce qu"ils voyaient c'était l'aura de feu ce concentrer dans ma main et j'en absorbais le plus de dommage possible, même si je dois l'avouer que cette expérience était assez mauvaise, c'est malin j'ai du utiliser de l'énergie, tsuki m'en rejoins et constate l'état des lieux.
-Nyaaah, tu n'est pas blessée fumi ?
-ça va aller je te remercie, j'ai eu chaud quand même !
-J'te le fais pas dire ! Nyah tu prend des risques inutiles...
Pendant que nous on parlaient de notre coté eux les déclancheuse de l'explosion causaient aussi, visiblement elle cherchent une porte de sortie mais maintenant nous aussi on doit ce tirer de la mais une idée me vaint a l'esprit, si on a le même but pourquoi ne pas faire équipe ? Je vais tenter tiens on verra bien...
-Nyah ...
Tsuki me regarde m'avancer vers eux, d'un air assez interrogatif.
-Vous êtes bloqués ici ? Figurez vous que nous aussi on est bloqués ici et si on veut s'en tirer vivants, pourquoi ne pas faire équipe avec notre groupe ?
Une fois a leur hauteurs tsuki me rejoins assez curieuse, j'ai reçue quelques dommages au niveau du buste mais pas trop important, si un élément a souffert j'aurai dis ma main... Mais bon le plus important la c'est de ce tirer d'ici, seulement notre raffut a fait beaucoup de bruits, et la sécuriter a du être renforcer. Et en effet je vois des soldats ce pointer vers nous... Tsuki me regarde assez alarmer
-Nyaaah on devrait tous partir ! ils arrivent en nombres....
-
Mirei était toujours un peu sonnée, comme Luna. L’explosion avait eu lieu de très près, et c’était un miracle que les deux femmes soient encore debout... Surtout que Mirei n’avait pas son armure.
*J’aurais bien du me douter qu’une affaire concernant les Sans-Nom serait risquée... Quel secret dissimules-tu donc, ma petite Luna ? Quelle peut donc être ta si précieuse valeur ? J’ai pourtant analysé ton sang, et les médecins n’y ont rien trouvé de particulier... Alors quoi ?*
C’était à n’y rien comprendre ! Il valait mieux partir avant que la police n’arrive. Au milieu de la fumée, Mirei vit alors des formes s’avancer, et pointa à nouveau son arme... Avant de voir la mystérieuse femme avec le sabre qui avait sauté depuis l’appartement. La Tekhane se détendit un peu... Avant de voir un neko derrière elle. Un curieux duo. Mirei se détendit légèrement. Si cette femme voulait l’attaquer, elle l’aurait probablement déjà fait... Mais, de là à lui accorder sa confiance, il y avait un pas que la soldate n’était pas prête de franchir. Quand on était soldat, on apprenait à ne pas se fier aux apparences, et à accorder très difficilement sa confiance, même envers une autre femme.
« Vous êtes bloqués ici ? Figurez vous que nous aussi on est bloqués ici et si on veut s'en tirer vivants, pourquoi ne pas faire équipe avec notre groupe ? »
Luna regardait les deux femmes, restant toutefois près de Mirei. La soldate faillit dire quelque chose, mais entendit alors des bruits en provenance du toit. Les autres tueurs devaient débarquer par là. Elle pesta. Mirei n’avait clairement pas le temps de discuter. Il fallait fuir rapidement, et elle regarda la femme et son neko, avant d’hocher la tête.
« Soit... Mais ne me faites pas regretter ce choix ! »
Elle descendit rapidement l’escalier, sautant par-dessus la rampe pour aller plus vite, et atteignit rapidement le rez-de-chaussée. Elle fila par un couloir menant à une sortie latérale, dans une petite cour au milieu des immeubles, avec un jardin.
« Je t’avais ordonné de rester à l’appartement, Luna !
- Je sais...
- Ta curiosité est parfois très exaspérante ! »
Luna baissa la tête, tandis que Mirei rejoignit une ruelle permettant de partir. Des balles sifflèrent alors autour d’elles. Elles venaient depuis un toit à proximité, émanant de tireurs d’élite bien décidés à ne pas les laisser fuir. Ils étaient néanmoins trop éloignés, et les cibles étaient trop mouvantes. Mirei rejoignit la rue, et se dépêcha de courir vers sa voiture. Elle s’arrêta alors subitement, et pointa presque son pistolet à bout portant sur la femme.
« Un seul geste brusque, et je ferais feu, ma jolie ! Tu as dix secondes exactement pour me dire qui tu es, et ce que tu nous veux. Aussi, je te conseille de rapidement répondre, et de ne pas mettre en doute mes réflexes ! »
Un piège était tout à fait concevable, mais Mirei n’était pas suffisamment idiote pour se faire avoir aussi facilement. Luna, de son côté, jetait des regards paniqués, craignant à tout moment que les tueurs ne reviennent. Son petit cœur battait follement la chamade, et elle avait une envie de plus en plus forte d’uriner... Même si elle n’aurait jamais osé l’admettre !
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Qu'il en soit ainsi elle accepte, qu'on fasses équipe mais j'ai comme l'impression qu'elle a un autre plan en tête, peut être me ferais-je des idées ? Dans tous les cas nous devons les suivre, on descends alors les escaliers et la militaire utilise cette astuce de la rampe pour gagner du temps, mouai ce truc est vieux comme le monde, en revanche ce déplacer quasi instantanément grâce a une compétence ça c'est vraiment le pied ! Mais je dois protéger tsuki alors je ne l'utilise pas cette attaque appelée "dash".
Nous voila a présent dehors après une petite course dans les couloirs, on est sortit par une porte latérale sur le coté. On s'avance alors dans la rue. On est enfin sortit du complexe ! Heureusement que j'ai dévier les balles parce que sinon tsuki y serait probablement passer, j'aurais pu les abattres de la ou j'étais mais on étaient occuper a prendre la fuite. Quel attitude lâche... Vraiment très lâche ! Mais bon au moins tout le monde est saint et sauf mais pas pour très longtemps. Car une fois arriver a sa voiture, la voila qui pointe son arme sur moi.
Tsuki se cache aussitôt derrière moi, la queue redresser et est très peureuse, de ce genre de situation, je lui dis par télépathie de surveiller l'entrer de la rue par la qu'elle on est venue et elle se retourne se décolle de moi. Quant a la soldat elle a toujours son flingue braqué sur moi prête a faiire feu. Et comme je le pensais elle utilise les trucs classiques...
« Un seul geste brusque, et je ferais feu, ma jolie ! Tu as dix secondes exactement pour me dire qui tu es, et ce que tu nous veux. Aussi, je te conseille de rapidement répondre, et de ne pas mettre en doute mes réflexes ! »
-Ma pauvre aucune de ces balles ne m'atteindront toutes fois si tu deviens dangereuse je n'hésiterai pas a utiliser mes armes et a te tuer en retour. Toute fois la n'est pas mon intention si j'avais voulue vous éliminez vous ne seriez déjà plus de ce monde...
-Nyah fumi tu prend bien trop de risque, et on ne devrait pas rester ici ils arrivent...
Et en effets des soldat armer de grosses mitrailleuse font leurs apparitions et ils les braquent sur nous. Je me retourne alors en déployant une aura assez mauvaise, je suis furieuse, oh que oui je le suis les soldats tirent sans hésitation mais toutes les balles sont détruites au contacte du bouclier. Me rendant encore plus furieuse. Tsuki me passe mon sabre,
-Tiens !
-Merci recule toi tsuki...
Elle se recule et dit aux deux autres de ce reculer aussi, je vais m'en débarrasser de ces enfoirés. Je pointe mon sabre alors sur le coté. En disant cette petite chose a nos deux compagnes.
-Si vous quittez ce cercle au sol les balles vous atteindrons. Laissez moi faire, cela répondra a ta question toi qui voulais une réponse...
Et c'est sous cette pluie de balle que je charge mon attaque, humpf. Tsuki semble inquiète et regarde mon aura changer de couleur. Pour les deux femmes je suis une magicienne a leurs yeux et c'est effectivement le cas mais je suis très dangereuse ils vont en avoir une petite démo dans pas longtemps...
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« Ma pauvre aucune de ces balles ne m'atteindront toutes fois si tu deviens dangereuse je n'hésiterai pas a utiliser mes armes et a te tuer en retour. Toute fois la n'est pas mon intention si j'avais voulue vous éliminez vous ne seriez déjà plus de ce monde... »
Plus elle côtoyait cette femme, et plus elle lui cassait les pieds. Mirei avait presque envie de tirer, rien que pour juger ce qui se passerait. Elle se doutait que la femme devait être une magicienne. Les Tekhanes, de manière générale, ne les appréciaient pas trop, et Mirei ne faisait pas exception. A cette distance, aucun sort magique ne la sauverait, car elle n’aurait même pas le temps de songer à les utiliser. La balle lui aurait déjà fait exploser le crâne, et, quand bien même elle aurait eu le temps de formuler un sort, la balle partirait à une telle vitesse qu’elle n’aurait pas le temps de ralentir. Mirei n’avait pas du tout confiance envers cette femme. Ce n’est pas parce qu’elle était contre leurs ennemis qu’elle était avec elles. Il n’y avait que les enfants qui résonnaient comme ça. L’ennemi de mon ennemi pouvait tout à fait être un second ennemi.
Mirei continuait à hésiter, quand d’autres tueurs débarquèrent, pointant sur elles des fusils d’assauts. Luna se blottit entre les pieds de Mirei, qui pointa son arme en retour. La femme qui les accompagnait créa alors un bouclier censé les protéger, faisant rebondir les balles. Les tueurs hésitèrent, se regardant entre eux. Ils rechargèrent alors.
« Sorcière, hein ?
- Cette engeance n’est pas effrayante. »
Joignant le geste à la parole, l’un des tueurs sortit de sa poche un écrin, l’ouvrant pour révéler un cristal d’obsidienne. Le bouclier disparut automatiquement, annulant la magie à proximité, et les fusils d’assauts se pointèrent vers le groupe. Mirei réfléchit très rapidement, et eut la première idée qui lui vint à l’esprit. Elle attrapa Luna par la gorge, faisant gémir cette dernière, et se mit en avant, pointant son flingue sur sa tempe.
« Désolée, Luna, murmura-t-elle à voix basse, je n’ai pas le choix....
- Nyuuu ! »
Les tueurs semblèrent hésiter, et Mirei les regarda, avant de parler à voix forte, Luna se débattant contre elle, ses pattes la griffant. Mirei devait se retenir pour ne pas hurler.
« C’est elle que vous voulez, hein ?! Si vous nous tirez dessus, vous la tuerez ! »
Son plan était suicidaire, mais les tueurs, sur le coup, hésitaient.
« Donnez-là nous, et nous vous épargnerons.
- Ne me prends pas pour une conne ! » hurla-t-elle.
Luna était à moitié étouffée, et les tueurs hésitaient... Jusqu’à entendre des gyrophares. La police approchait.
« On se reverra !
- Oh, mais j’y compte bien ! »
Ils s’écartèrent, rejoignant un van noir qui disparut. Mirei relâcha alors Luna, et s’agenouilla devant elle.
« Désolée de t’avoir fait ça, Luna, mais je n’avais pas d’autres solutions...
- Kof ! Kof ! Nyyyyuuu...
- Désolée… Vraiment… »
Luna remua lentement la tête.
« Je... Je comprends... Mais... Mais que me veulent-ils ?
- Ça, c’est la question à mille crédits... »
Mirei soupira, et s’adossa contre sa voiture, tandis que Luna toussotait encore un peu. Sous la nervosité, Mirei l’avait partiellement étranglé, et tentait de se reprendre.
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Bon sang, les mecs veulent pas lacher l'affaire et les voila qu'ils me prive de mes pouvoirs, avec un cailloux ? Je parie que c'est de l'obsidienne, vous savez cette pierre super dure qu'on peut trouver difficilement ?
Et bien ils en ont ! Ainsi mon bouclier prend fin et l'attaque que je préparais aussi, mais la militaire a une autre idée pour nous tirer de la, tsuki est terrifier et est planquer derrière la voiture! La queue redressée sur elle même. Bref elle a peur cette petite.
Les flics finissent par arriver, et les assaillants prennent tous la fuite alors que le groupe s'appuie contre la voiture enfin la neko ennemie. Enfin je dis ennemie car je ne sais pas si c'est une alliée ou quelqu'un de dangereux, d'ailleurs une fois le danger passer la mienne reviens a mes cotés et je m'empresse de lui faire quelques caresses, après tout elle le méritait bien elle a fait du bon travail tout a l'heure avec les soldats. Mais le problème reste cette femme. Va t-elle me laisser partir comme ça ? Alors, je me tourne vers elle, et je la fixe du regard
-C'était une bonne idée, ce coup la bravo ! Mais maintenant que la situation est terminée que va tu faire de mon groupe ? Va tu le mettre a mort ou bien nous laisser partir ? Moi j'passais dans le coin et j'ai entendue des coups de feu, j'ai décider de venir jeter un coup d'oeuil.
Parlais-je alors que les voitures de polices arrivent sur les lieux, je les regardes un instant puis je dis ceci.
-Si tu veux tirer te fait pas chier et tire donc. Cela m'est complètement égale...
A ces mots tsuki sors ses griffes et s'empresse de me gifler avec ! J'ai alors des grosses griffures qui me parcourent le visage, et je commence a saigner, tsuki s'en mort les lèvres elle semble regretter son geste et moi je range mon katana dans mon dos en ne mettant ainsi aucune défense a disposition.
-d-d'ésolée fumi... J-je ne voulais pas !!!
-ça ne fait rien je comprend ta réaction c'est moi qui suis désolée.
-Nyaah ! Ne recommence pas ça ! Heh ecoute moi bien toi ! Ne la tue pas s'il te plait ! Elle n'est pas méchante...
Elle semble vraiment inquiète de la réaction de la jeune femme.
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Soupirant, Mirei tentait de se calmer. Elle avait du étrangler Luna, et elle s’en voulait... Mais avait-elle vraiment eu le choix ? Dans le cas contraire, les tueurs les auraient abattus, et auraient pris la neko. La Tekhane ne comprenait rien à ce qui se passait. Pourquoi déployer tant de moyens, tant d’efforts, pour une simple neko ? C’était insensé ! Elle ignorait qui étaient ces hommes, mais, vu leur armement, leur nombre, il devait s’agir de professionnels, et non d’un vulgaire gang de rue. En d’autres termes, un individu puissant et influent cherchait à mettre la main sur Luna. Mais qu’avait donc cette dernière de si précieux pour motiver à ce point ces individus ?
*Le pire, c’est qu’elle-même ne le sait pas...*
Le passé de Luna était mystérieux. Mirei, à plusieurs reprises, avait essayé de lui en parler, mais la petite neko restait très laconique. Elle lui disait qu’elle avait été l’esclave d’une Drow vivant dans un manoir souterrain, dans le désert, et qu’elle avait servi d’esclave sexuelle, que ce soit pour sa Maîtresse, ou pour tous ses monstres et ses serviteurs. Mirei avait écouté les récits de Luna, sans trop savoir si cette dernière était choquée ou... Nostalgique. C’était curieux... La Tekhane essayait d’apprendre à Luna à être libre et autonome, mais l’exercice s’avérait particulièrement difficile. Luna avait été esclave pendant de nombreuses années, et était instinctivement devenue une créature soumise et docile. Il lui arrivait ainsi souvent d’appeler Mirei « Maîtresse », et se comportait naturellement comme une servante, mettant toujours la table, et ayant un mal de fou à oser lui demander quoi que ce soit.
Comment donc une simple esclave, présumée décédée, pouvait à ce point attiser les passions ? Une fusillade au cœur de Tekhos Metropolis... Mirei avait du mal à y croire, et regardait Luna, qui restait proche de la voiture, reprenant lentement son souffle, à quatre pattes sur le sol. Sa petite langue pendait hors de ses lèvres, et elle n’osait pas regarder Mirei. Luna savait qu’elle avait commis une erreur en suivant la soldate. Mirei se mordillait les lèvres, essayant de savoir comment l’aborder, lorsque la femme à l’épée se remit à leur parler.
Tournant la tête, Mirei eut droit à une curieuse scène de ménage, où elle vit la neko accompagner la femme la griffer, alors que cette dernière l’encourageait à lui tirer dessus. La Tekhane regarda les deux femmes, interdite. Elle avait toujours dans le creux de sa main son arme.
« Il va y avoir une enquête de police... Nous allons devoir faire des dépositions. »
Elle rangea son arme, et s’écarta un peu, avant de tourner la tête vers Luna.
« Suis-moi, Luna... »
Baissant la tête, Luna la suivit. Mirei avait un peu honte d’elle, mais elle se devait bien de reconnaître que, parfois, le côté soumis de Luna était très utile.
« Où... Où va-t-on ? lui demanda-t-elle.
- Voir les policières, je ne tiens pas à être considérée comme une fugitive, s’expliqua Mirei. Et ça nous permettra peut-être de trouver des indices... »
Comme l’identité des agresseurs, ou de son mystérieux informateur. Elle tourna la tête vers la femme avec le sabre, et lui fit également signe de venir.
« Je m’appelle Mirei... Et vous ? Désolée de vous avoir menacé, mais je ne sais pas trop à qui me fier... »
Elle ne se fiait d’ailleurs toujours pas à cette femme, mais acceptait au moins, ce qui était plutôt une bonne chose, de lui parler.
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Et bien, voila que les deux jeunes femmes sont en pleines discutions pendant, que nous parlons aussi de notre coté. Je n'ai rien contre le fais de parler mais les flics arrivent, et il est trop tard pour fuir a présent ! Mais ce n'est pas grave car Tsuki et moi on a rien a ce reprocher, si on nous demande on ce portera juste en "témoin" de la scène. Qui fut assez violente d'ailleurs, un humain normal en serait terrifier mais ça montre qu'ils sont faible d'esprits ces humains. Il ne faut certainement pas ce laisser abattre a la vue d'autant de sang.
On nous appelle aussi comme je le pensai, alors on y rejoins rapidement le groupe tsuki et moi même. Mon sabre est bien entendu dans son fourreau derrière mon dos, après tout c'est la qu'il est ranger alors je ne vois pas pourquoi sa changerai. Je discute naturellement avec Tsuki par télépathie lorsque le début de l'échange entre nous et les flics commence. L'un d'eux me demande mon permis de port d'arme. Bon sang qu'est-ce que je déteste les interrogatoire ! C'est long c'est ennuyeux, il faut être en règle avec tout un tas de truc inutiles si on ne veut pas être suspecter par la loie nexusienne...
-Oui oui attendez un petit instant je vous pris.
Je fouille alors dans ma sacoche et j'en cherche un petit document qui m'est attribuer, c'est une espèce de carte de visite qui indique qu'on a le droit de porter l'arme décrite dessus. De toute façon je l'ai ma carte elle était au fond du sac la vilaine me faire chercher pour rien, c'est du temps perdu en plus pour répondre vite au question. Je le lui tend en disant :
-Tenez...
-Nyaah voici ma carte...
Il la prend et l'observe dans tous les sens, alors que des gendarmes demandes les papiers de tsuki, elle a les siennes donc pour elle c'est vite régler bref le contrôle d'identité ce déroule sans trop de grave problème, en faite il ce déroule bien. Mais pour les questions je me demande bien quel type de questions ils vont poser. De toute façon on est en règle avec la loi alors la militaire doit bien voir qu'on est pas des fouteuse de bazar ! On mène juste tranquillement notre vie sans déranger personne. Et on la vis comme on l'entend !
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Mirei rejoignit les policières, et leur présenta tout simplement sa carte de soldate. Ce fut entièrement suffisant, et elle commença à parler à l’une des policières, avant d’attendre la venue d’une inspectrice. Luna restait près d’elle, à quatre pattes. Mirei croisa les bras, et hocha la tête, avant de voir que d’autres agentes discutaient avec la femme à l’épée, demandant son permis de port d’armes.
« Dis-moi ce que tu as fait... » demanda alors Luna.
La Tekhane la regarda lentement, et soupira. Elle se pencha, et lui caressa la nuque, mais vit dans le regard de Luna une solide détermination. Elle ne lâcherait pas l’affaire, et Mirei haussa les épaules.
« J’enquête sur toi, Luna, tout simplement... Un individu a payé des Sans-Nom pour s’assurer que tu finisses libre à Tekhos Metropolis. J’ai voulu en savoir plus, et j’ai fait des recherches en fouillant sur les forums et les sites se consacrant sur les Terranides... Je t’ai fait faire des inspections médicales afin de savoir si tu n’avais pas un élément génétique particulier, une particularité qui justifierait qu’on te recherche...
- Mais... Je n’ai rien de particulier ! se défendit cette dernière.
- C’est ce que les six ou sept médecins m’ont dit. Aucune spécificité sanguine ou génétique. Sur Internet, je me suis rapprochée de réseaux concentrés sur les Terranides, de groupes et de forums de discussion militant pour la reconnaissance des droits des Terranides, et ce genre de trucs... »
Il y avait quantité de groupes sociaux et de forums qui pullulaient sur le Net pour lutter contre les expériences génétiques sur les Terranides. Ces différents groupes réclamaient une meilleure réglementation, et avaient organisé plusieurs manifestations. Mirei expliqua à Luna qu’elle avait balancé la photo de sa neko, espérant que quelqu’un mordrait à l’hameçon... Et un homme y avait mordu, lui disant d’être très méfiante Un type à moitié paranoïaque, qui était dans une association virtuelle depuis des années. Elle avait pris rendez-vous avec lui pour obtenir des informations, et les choses avaient complètement dérapé.
« Mais que me veulent-ils ?!
- Je ne sais pas, Luna... Je ne sais vraiment pas... »
Baissant la tête, un gros soupir traversa les lèvres de la neko, qui se mit à soupirer, devant retenir ses larmes. Soupirant, Mirei la prit dans ses bras, la soulevant, et lui caressa tendrement la tête, avant d’entendre une voiture se rapprocher.
« Voici l’inspectrice Duffy... »
Duffy était dans une superbe voiture de sport blanche (http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/70/Audi_RSQ_2.JPG). Elle s’arrêta dans la ruelle, et une femme ne tarda pas à en sortir. Duffy (http://img89.xooimage.com/files/4/f/e/duffy-39eb2f4.jpg) faisait plutôt jeune, avec des lunettes noires, et s’approcha, avant de jeter une cigarette sur le sol. Elle s’avança rapidement, et obtint rapidement des explications préliminaires. Elle regarda Mirei, sa neko, ainsi que Fumi, et Tsuki, hochant la tête, puis s’approcha du cadavre.
« On a des infos sur son identité ?
- Non... Les différents témoins affirment qu’il est venu avec un ami, et a commandé un verre... Le barman a certifié ne l’avoir jamais vu ici...
- Et le mec qui vivait dans l’appartement ?
- Le propriétaire nous a divulgué son identité. Un certain Jack Smith... On a envoyé une équipe chercher des indices, mais l’explosion a tout pulvérisé... Le propriétaire attend une autorisation judiciaire pour nous filer les coordonnées bancaires de M. Smith. »
Duffy hocha lentement la tête. Mirei resta là, et embrassa Luna, qui se blottit contre elle, éprouvée par tout ce qui se passait. Duffy alla voir l’un des témoins, le barman, puis se rapprocha de Mirei et de Fumi.
« Vous allez venir au poste pour un interrogatoire...
- Tout de suite ? s’exclama Mirei. C’est que j’ai ma voiture qui…
- Que vous soyez une militaire ne vous autorise pas à exploser un appartement, ou à tirer sur tout ce qui bouge, la coupa Duffy, visiblement agacée. On a un appartement en feu, des morts un peu partout, et les médias qui vont bientôt nous coller au cul. Et je me fous de la hiérarchie militaire ! Je veux vous voir toutes les quatre au poste ! On vous paiera le taxi. »
Mirei pesta, mais elle connaissait la procédure. Pour son malheur, elle était tombée sur une flic qui détestait les militaires, et voyait en eux des rivaux potentiels. Duffy fit signe à Mirei et à Luna de monter avec elle. Fumi et Tsuki devraient monter dans une autre voiture de police.
« Le temps qu’on arrive au poste, vous allez me dire tout ce que vous savez sur cette histoire. »
-
La voila qui arrive cette enquêtrice, mais elle se la pête horriblement, tranquille la voiture de sport, blanche dont tout le monde en aurait envie. C'est le meilleurs moyen pour s'attirer des ennuis ! Enfin ce ne sont pas mes affaires, mais en écoutant la conversation entre les deux flicettes je peux voir que l'ambiance est assez tendue entre eux. Quand elle nous adresse aussi la parole a moi et a tsuki...
Je veux vous voir toutes les quatre au poste ! On vous paiera le taxi.
Vu le caractère de la flic je dis a tsuki qu'on a pas vraiment le choix et donc on s'apprête a monter dans l'une des deux voitures, quand elle nous redonne des ordres, bon sang je déteste être commandée comme ça par la justice de tekhos. Miss super flic la y'a des limites quand même...
« Le temps qu’on arrive au poste, vous allez me dire tout ce que vous savez sur cette histoire. »
Cette histoire ? quel histoire ! je ne suis au courante de rien et tsuki n'est pas plus avantager que moi. Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir raconter a ses types la ? Franchement je déteste les intérrogatoire. bien souvent ils te foutent la pression inutilement juste pour te forcer a parler ou a dire des choses que tu ne sais pas, en clair ils jouent avec la psychologie pour faire parler la personne. C'est lâche comme méthode ! Surtout qu'ils sont protéger par la diplomatie ces enfoirés ! On a pas le droit de les taper si ils nous poussent a bout. C'est pô juste.
Nous voila a bord des véhicules, et elles démarrent en file indienne nous escortant ainsi jusqu'au poste de police le plus proche, ou alors le qg l'endroit ou ils vont nous torturer pour obtenir des infos ? En théorie ils n'ont pas le droit d'utiliser cette méthode mais avec le caractère mauvais de cette flic on sait jamais ce que peux nous arriver... Je commence alors a raconter ce que je sais, avant qu'on nous le demande.
-Bon ben en fait, nous on est juste de passage tsuki et moi. On a entendue des coups de feux alors on est allée voir ce que passe, et lorsque je suis rentrer, j'ai demander a tsuki, de monter la garde dehors pour surveiller si elle trouvait des indices de tout ce rafut. Mais on a rien trouver, et pour tout dire, dans l'appartement, les gens était armés l'un d'eux ma tirer dessus heureusement que j'ai découper les balles avec mon sabre et tuer mon agresseur. Autrement dit c'était lui ou moi...
Et je continu encore 5 bonne minute a raconter, ce que j'ai vu / entendu, je lui est bien sure racontée l'explosion et comment j'y est survécu ! Ke suis magicienne moi madame! Alors n'allez pas nous plaindre, je n'ai pas utiliser ma magie cette fois. Et puis enfin si mais seulement pour me défendre pas pour répendre le chaos je ne m'en prends jamais a quelqu'un sans raison flagrente qui mériterait ce type de réaction, bref j'ai tout déballer mon discour, mais ? Mais ? Mais ? La voila qui c'est endormie au volant ! Cette cruche de conducteur... Mon récit etait si ennuyant que ça ?
Je n'ai pas le temps de dire ouf que la "voiture" Prend un trajet dangereux pouvant provoquer un accident si on ne réagit pas très vite !!!
-AAAaaaahhhhh !!!!
Dis-je en criant pour la réveiller mais il est peut être trop tard ? La voiture ce rapproche du bord de route, et disons qu'il y a quelque mère de hauteur on descend une colline...
-
« Elle a de quoi si spéciale, cette neko ?
- Si je le savais, je n’aurais pas eu besoin de faire des recherches sur le Net... »
Duffy se mordilla les lèvres. Mirei était assise à côté d’elle, tandis que Luna était assise sur le siège arrière, observant avec de grands yeux ébahis les décors qui filaient à toute allure. Quand elle était dans une voiture, elle fonctionnait ainsi. Elle regardait autour d’elle, s‘étonnant de voir à quel point les éléments filaient vite. Même ici, Luna restait fidèle à elle-même. Mirei n’avait pas tardé à expliquer toute l’affaire à Duffy, comprenant que les enjeux dépassaient largement ses petites épaules. Elle allait avoir besoin d’un soutien policier pour son enquête.
« Si je comprends bien, cette neko a été retrouvée lors d’une mission classifiée exécutée quelque part sur Terra, et a fait l’objet d’un contrat organisé par les Sans-Nom. Vous ignorez d’où elle vient, mais les analyses médicales organisées n’ont rien révélé de particulier...
- C’est ça...
- Et, pourtant, il semblerait que des individus puissants cherchent à lui mettre la main dessus... »
Mirei n’y comprenait rien, et soupira lentement. Le contenu de cette mission n’était pas accessible au public, car il s’agissait d’une mission top-secrète. Est-ce que c’était lié à ce que Mirei avait trouvé dans les profondeurs du manoir ? Aux expériences secrètes menées par certains corps militaires pour former un virus formien ? Si tel était le cas, les analyses médicales auraient du faire ressortir cette particularité du corps de Luna. Au lieu de ça, la neko était tout à fait normale. Duffy roulait rapidement, comme si elle réfléchissait rapidement.
Duffy finit par soupirer. Elle gardait pour elle ses réflexions. Elle avait remarqué sur les cadavres l’absence de signes distinctifs qui auraient pu lui permettre d’obtenir des indices. Il ne s’agissait pas d’un gang, ni d’une faction particulière. Ces individus étaient probablement des mercenaires, mais elle avait des débuts de piste... Le nom du locataire, par exemple. Elle allait pouvoir remonter là-dessus, ou espérer que les scientifiques au laboratoire trouveraient un moyen d’identifier les cadavres. Duffy sentait que cette enquête risquait d’être assez spéciale. Si elle impliquait des militaires, le risque, tout simplement, était que l’armée ne décide de s’en prévaloir, et que l’affaire ne soit étouffée. Duffy avait une sainte horreur de l’armée pour ça, de sa manie à vouloir tout cacher, tout dissimuler... La guerre avec les Formiens se prolongeait depuis des années, et était un prétexte idéal pour une législation plus restrictive des libertés individuelles, notamment en octroyant à l’armée des prérogatives et des immunités de plus en plus grandes et de plus en plus fortes.
« Je vais affecter une équipe à votre protection.
- Merci, répliqua simplement Mirei.
- En revanche, je tiens à ce que vous arrêtiez tout de suite vos investigations. Non seulement vous mettez votre vie en danger, mais vous risquerez de gêner le déroulement d’une instruction pénale. Par conséquent, je n’hésiterais pas à vous poursuivre pour obstruction à une affaire pénale.
- C’est noté... »
Mirei ne voulait pas se battre. Elle savait très bien que les policiers n’aimaient pas trop les militaires, car ces derniers avaient naturellement tendance à empiéter de plus en plus sur les affaires civiles. De plus, les soldats étaient bien protégés par la loi, contrairement aux policiers, donnant lieu à des rivalités de plus en plus fortes. Duffy continuait à rouler, rejoignant en premier le commissariat. Mirei s’attela donc à faire sa déposition.
La voiture qui ramenait Fumi y arriva également. La femme qui la pilotait avait eu une nuit assez agitée, et eut donc un petit coup de pompe, avant de ressaisir, et de reprendre sa route, évitant ainsi de tomber le long d’une colline, chute qui aurait probablement été mortelle. La voiture arriva également au commissariat, et la policière sortit.
« Vous allez faire votre déposition, déposer vos coordonnées... »
Fumi aurait pu finir en garde-à-vue pour ce qu’elle avait fait, mais Mirei s’était portée garante pour elle.
-
Le décor défile toujours, devant nos yeux, la voiture roule a une bonne vitesse mais, on a échapper de peu a la catastrophe, et c'est avec soulagement que je me rassois sur mon siège arrière, d'ailleurs un détail m'intrigue. J'ai du causer un meurtre pour ma défense mais les flics ne m'en ont pas tenus plus compte que ça. Je pense que l'autre millitaire, a du négocier pour que je ne sois pas blâmer. J'irai la remercier en tant voulu. Mais avec toute cette route tsuki et moi on commence a avoir soif. Quand soudain on nous adresse la parole. Curieusement juste avant que la voirture s'arrête on nous en donne les consignes.
« Vous allez faire votre déposition, déposer vos coordonnées... »
-J'ai pas tout comprise. Mais pour les coordonnées je veux biens vous les laisser.
-Nyah Fumi na tu donc jamais mis la main dans la police ?
-Pour être franche tsuki pas le moins du monde c'est quoi faire une déposition ?
-Nyaah, Cela veut dire : C'est un résumer des faits devants les autorités locales...
-Supeeeer merci Tsuki... fffff
Dis-je en soupirant alors que celle ci rigolais, toute fois on descends du véhicules et on remercie la femme pour la route. Je récupère bien évidemment mon sabre, et tsuki son sac a dos. On regarde le ciel un instant il commence déjà a faire nuit, c'est vraiment la poisse. Mais bon on rentre donc dans le batiment et on va donc faire nôtre déposition, et indiquer nos coordonner aux flics. Mais les policiers doivent s'être énerver car, c'est nouveau pour moi, alors on est quelques peu " lent ". Et perdu !
Je vous raconte même pas la tête du juge lorsque je raconte mon histoire, pourtant j'essaye d'être le plus clair possible mais je me demande si il s'en fiche ou si il, note bien tout ce que je lui est dit. Après avoir finit je me contente d'un "voila". Tout banal car, j'ai résumer ce que j'ai raconter a la fille dans la voiture sans rien modifier. A mes agissements, et puis de toute façon que pourront-ils me faire au pire, je n'ai rien faite de mal.
-
Faire la déposition fut heureusement assez rapide. Duffy s’en chargea en personne, réalisant le procès-verbal dans lequel Mirei consigna les faits. Elle expliqua tout ce qu’elle avait vu, en étant le plus précis possible. Ce fut assez rapide, et elle déposa ses coordonnées. Duffy lui signala ensuite quelques points de droit. Elle restait libre de partir, mais elle pouvait à tout moment être contactée par la police, si jamais ces derniers avaient besoin d’informations supplémentaires. Duffy mit les agissements de Mirei sur le compte de la légitime défense, mais l’encouragea vivement à laisser la police faire son travail, et à ne pas chercher à se mêler à nouveau de ces histoires.
« Ceci va de soi », répliqua Mirei rapidement.
Duffy et elle se regardèrent silencieusement, tandis que Luna, qui commençait à avoir faim, se frottait à l’une des jambes de Mirei. Les deux Tekhanes se comprenaient très bien. Mirei ne comptait pas abandonner la traque si facilement, et Duffy, de son côté, savait que la soldate risquait d’empiéter sur ses plates-bandes... L’inspectrice n’attendait que ça, car elle pourrait alors coffrer Mirei, quitte à avoir ensuite des ennuis avec sa hiérarchie. Elle détestait que l’armée se croit tout permis. Tekhos Metropolis n’était pas encore sous juridiction militaire, contrairement à certaines villes frontalières proches de la Fourmilière. Ici, les soldat devaient respecter certaines lois procédurales fondamentales, notamment le fait que la police était la seule autorité habilitée à exercer la violence.
Mirei et Luna se retirèrent donc. La Tekhane avait avec elle une copie du PV qu’elle avait réalisé. Elles descendirent par un escalier, rejoignant l’accueil, où il y avait, comme d’habitude, une foule de gens venant porter plainte. Mirei ne s’y intéressa pas, sortant du commissariat. La nuit s’abattait dehors sur la ville, et elle leva la tête, sentant un vent frais remuer sur ses vêtements Luna la suivit lentement.
« J’ai faim ! » miaula-t-elle faiblement.
Penchant la tête vers elle, la Tekhane eut un léger sourire, et lui caressa la nuque. Luna restait à quatre pattes, et Mirei ne tarda pas à voir un restaurant à proximité.
« Alors, il est temps de manger... Suis-moi. »
Mirei traversa le boulevard à six voies, rejoignant le restaurant, et y pénétra. Les deux femmes allaient manger rapidement. Mirei avait, à vrai dire, également faim. Elle allait pouvoir se détendre un peu après cette longue et difficile journée, forte en émotions. Luna saliva de plaisir.
-
Quelque chose me dis cependant que cette affaire est loin d'être finie, alors aussitôt sortie le taxi qui nous avait été promis nous fus payer. Pour se rendre dans mon appartement, cacher quelques part tekhos. La journée avais été fort mouvementer et il faut que je note ça dans mon carnet de note, afin de ne pas l'oublier. Mais qui peu bien en vouloir a cette pauvre neko qui na rien demander ? C'est une très bonne intrigue, mas pour leur j'ai faim et je pense qu'il en va de même pour Tsuki. D'ailleurs elle a bien mériter ça récompense aujourd'hui, je vais lui préparer son plat favori. Je m'avance donc vers les fourneaux.
-Dit moi Tsuki ta faim je vais te préparer quelque chose.
-Faim moi ? Tu rigole ! J'ai rien avaler depuis qu'on est partie ! Nyyaaah...
-Oui moi aussi, bon j'te cuisine ça alors.
-Merci nyah. !
Tsuki semble heureuse et va se déposer dans le canapé en soupirant de soulagement. On peut enfin gouter a quelques moments de repos. Alors que moi je suis perdue dans mes pensées en cuisinant. Je ne peux pas nous permettre d'aller au resto, on doit ce montrer écolo au niveau du fric, sinon ce serai rapidement la cata, bien que avec mon dernier tournois. J'ai pus obtenir quelques réserves personnelles. De son cotés tsuki a fait des petits boulots pour gagner des sous, donc on a pas réellement a s'en faire en faite. Mais il ne faut surtout pas céder a la tentation de tout dépenser dans des achats inutile. Et ça tsuki le comprend aussi.
Une fois les plats préparer on passe a table dans une bonne ambiance, on parle entre nous, on en ris, on pleure, on est en colère. On est entre bonne amies quoi, et le repas ce déroule sans souci. Après le repas Tsuki retourne donc a ses occupations et moi aux miennes, pendant que je réfléchis je nettoie la lame de mon katana couverte de sang. Une chance que les policiers n'aient pas remarqués que la lame était ensanglanté, j'aurais pu avoir des soucis, et la militaire aussi. Vu qu'elle ma couvert de ses voyous. Je n'ai toujours pas pu lui dire merci d'ailleurs, je lui dirai quand tout ceci sera régler.
Mon sabre étant propre je le range a sa place, et je vais sur le pc, Tsuki me rejoins intriguée car je ne me connecte quasiment jamais dessus, elle commence a me poser des questions.
-Niah Tu travaille encore sur cette affaire ? Cela ne nous concerne plus fumi ! Nyah...
-Je le sais, mais un détail me tracasse et je n'aime pas ne pas avoir de réponse.
-Je vois, dans tous les cas ne mets plus nos vies en dangers inutilement. Réfléchis avec ton cerveau avant d'attaquer, ta comprise le message ?
-Evidemment je ne suis pas faible d'esprit.
-Nyah... Je l'espère.
Je me connecte a internet et je fais quelques recherches de mon coté, sur ce que j'ai entendue aujourd'hui. Les sans noms, qui sont-ils ? J'en apprends juste que c'est une organisations très puissante dans la société, et au sujet de luna par contre je n'ai aucune info a me mettre sous la dent. Tout ce que je sais c'est qu'elle semble très attacher a la militaire, cette Mirei cache plus de chose qu'il n'y parait toute fois elle en fait choux blancs sur cette enquête. Demain j'irai me balader en ville sans tsuki, pour voir si je peux espérer chopper quelques informations.
J'éteinds mon pc, et après avoir entretenue mon corps avec tsuki, on va ce coucher ! Je me demande cependant ce que peux bien faire la femme et sa neko. Nous nous recroiserons j'en suis quasiment certaine. ! De mon coté la nuit passe sans ennuis, sauf si les policiers m'appellent sur mon numéros pour x raisons...
-
« Qu’est-ce qu’on fait, maintenant ?
- On rentre chez nous... Et on digère. »
Luna n’ajouta rien, baissant respectueusement la tête. Elles sortirent du restaurant, après avoir bien mangé. Mirei s’était fait plaisir, tout comme Luna, et les deux femmes étaient repues. Mirei allait toutefois devoir laisser Luna seule un moment, car elle avait sa moto à aller récupérer. Elles filèrent dans une station de métro, revenant vers leur quartier. La petite neko était perturbée. Qu’est-ce qui avait bien pu se passer ? Pourquoi diable voulait-on la capturer ? Elle n’était pas complètement idiote, et avait clairement compris que des individus puissants, très puissants, voulaient se l’approprier. Mais qu’avait-elle de si particulier ? C’était incompréhensible ! La pauvre Luna n’arrivait pas à comprendre ce qu’on lui voulait. Elle soupira, et Mirei dut sentir son trouble, car la Tekhane l’embrassa dans le cou, la faisant sursauter.
« Ne t’en fais pas, Luna... Je veillerai sur toi, et nous découvrirons ce qui se passe... »
Rassurée, Luna lui fit un petit sourire.
« Mais... La dame qui nous a parlé, elle ne risque pas de s’énerver si elle découvre que... ?
- Je t’ai dit de ne pas t’en faire ! »
Luna baissa les yeux, sentant l’irritation de sa protectrice. Elle ne dit rien de plus, et Mirei était trop nerveuse pour s’excuser. Ne pas s’en faire... Il y avait pourtant de quoi, car cette Duffy avait l’air du genre tenace. Et Mirei n’avait aucun droit d’enquêter. Elle pouvait demander une dérogation officielle auprès des services militaires, mais il lui fallait des motifs... Or, sa neko ne constituait pas vraiment un intérêt militaire significatif justifiant une intervention de la troupe. Mirei devrait donc se débrouiller seule. Elle était trop têtue pour abandonner si facilement.
Elles sortirent près du square où Luna avait l’habitude de se promener le matin, et rentrèrent dans leur appartement. Mirei ferma la porte, et indiqua à Luna qu’elle allait sortir récupérer sa moto, lui faisant signe de se coucher. Luna ne protesta pas, même si elle avait un peu peur, à l’idée d’être seule. Soupirant, elle s’approcha de son lit, et se coucha dessus, s’emmitouflant dans les couvertures. Le sommeil vint assez rapidement la guetter, mais il ne fut pas de tout repos. Elle fit plusieurs cauchemars, miaulant faiblement en se tortillant dans son lit. Mirei la rejoignit bien plus tard, et elles dormirent ensemble. Le sommeil de Luna, dès lors, s’avéra un peu plus paisible, et elle put dormir assez longuement.
-
La nuit ce déroula sans problèmes pour Tsuki et moi même. Mais vint l'heure de me lever ! Alors je regarde un peu Tsuki dormir comme une enfant, et je vais donc préparer mon petit déjeuner. Aujourd'hui, s'annonce être difficile, je vais devoir enquêter seule de mon coté même si mes recherches internet on un peu porter les fruits je n'ai pas du tout résolue l'affaire. Alors je mange rapidos mon croissant, et j'écris un mot a Tsuki pour quand elle se réveillerai. " Je suis sortie en ville ne t'inquiète pas pour moi ! Journée libre tu peux faire et manger ce que tu veux en attendant mon retour, mais ne sors pas de l'appartement ! " Je pense que ça suffira, Tsuki n'est pas du genre a me trahir.
Bref me voila dehors marchant pensive, le froid me fais me resserer dans mon blouson, et je met mes mains dans mes poches, j'ai naturellement mon sabre. Et certaines personnes me regardent bizarrement d'ailleurs. Ce demandant d'ailleurs si ce n'était pas un cosplay ou une mauvaise blague. En général je répond cosplay quand on me demande. Comme ça j'ai la paix. Il est l'heure de prendre un café, car j'ai trop froide pour continuer dans ma démarche. Je m'installe alors a une table a l'intérieur et je me commande un bon café bien chaud.
étant en parfaite situation pour cogiter, je repense a tout ce que j'ai entendue hier, sans-noms, militaire, policier, et bien d'autre. C'est une affaire d'état donc je ne pense pas qu'ils apprécient que des touristes comme moi, viennent y fourrer leur nez. Mais qu'importe ! Je porte la tasse a mes lèvres et le café me réveille un peu plus. Voyons voir ce que nous avons la. J'écris dans mon carnet de note :" Gang ? Organisation ? Pourquoi voulaient-il cette petite Neko ? " Il y'a bien des choses qui me tracassent. Je re bois un coup de café, et je finis par vidée ma tasse en fait. Mais un café ne me suffit pas.
Alors après avoir payer mon premier, café je m'en commande un deuxième après avoir vérifier que j'ai assez pour m'en payer un autre. Cependant manquerait plus que je retrouve cette flic dans ce café, car j'aurais des questions a lui poser. En faite ça paraitrait irréalisable ! Une chance sur un million qu'elle ce pointe dans le café. Mais bon je continue donc de boire doucement ma seconde tasse de café toute en prenant des notes.
Pendant ce temps tsuki de son coté, elle se réveille enfin et tombe nez a nez sur le mot que je lui ai laisser. Elle soupire car elle sait ce que je suis partie faire malgré le peut d'indication, que je lui est laisser. Mais tant pis la voila qui mange a son tour, et va s'occuper par x façon en attendant mon retour. Elle a reçue pour consigne de ne pas sortir, sauf en cas de danger bien évidement. Mais elle s'occupe quoi.
-
Quand Luna se réveilla, elle réalisa assez lentement qu’elle était seule. Lentement, car, entre le moment où elle se réveilla, et où elle décida de sortir du lit, il s’écoula bien une bonne heure. Lorsqu’elle sortit du lit, titubant à moitié sur la moquette, ce fut pour voir que Mirei était partie, en laissant un simple mot sur la table basse. Luna le consulta silencieusement, en clignant des yeux : « Partie travailler. Ne fais rien de stupide, Lu’ ».
*Rien de stupide... songea cette dernière. Je ne fais jamais rien de stupide, moi !*
Se rendant dans la salle de bains, la petite neko fit couler l’eau. Elle était nue, et sa queue remuait de droite à gauche. Elle bondit dans la baignoire, et se détendit, essayant de ne pas penser au fait qu’elle était poursuivie par de puissants individus. Néanmoins, il était difficile de ne pas y penser. Elle n’était qu’une simple petite neko. Elle se glissa dans l’eau, arrêtant l’écoulement de l’eau, et commença à se frotter avec du savon. L’hygiène était une chose que sa Maîtresse lui avait solidement inculqué, afin qu’elle soit belle, propre, et parfumée. Luna n’était pas une sauvage, après tout, et prenait grand soin à avoir une hygiène saine. Elle se lavait donc régulièrement, utilisant sa queue pour frotter son dos avec du savon, se parfumant très légèrement, agissant par automatisme. Protectrice Mirei n’avait pas autant de choix que son ancienne Maîtresse, mais Luna n’allait pas faire la fine bouche.
*C’est quand même curieux, cette histoire… Pourquoi donc me pourchasse-t-on ?*
Tandis que Luna se posait des questions, Mirei, de son côté, descendait d’une rame de métro, s’enfonçant dans l’une des zones industrielles entourant Tekhos Metropolis. Elle avait eu bien du mal à dormir, son esprit étant perturbé par les nombreuses questions qui la traversaient. Par conséquent, la Tekhane avait mené quelques investigations, poursuivant son enquête. Elle avait commencé par lire la presse, mais les journalistes ne s’étaient pas mobilisés d’un bloc sur cette histoire. Il n’y avait eu que quelques brèves, et Mirei comprit, en filigrane, que la police avait transmis peu d’informations. Duffy avait du agir pour éviter d’en divulguer le moins possible. Mirei n’était toutefois pas une simple citoyenne, mais une soldate. Elle avait ainsi accès à des bases de recherche complète, notamment les réseaux de police. Au sein de la hiérarchie tekhane, la police était inférieure à l’armée. Or, il arrivait fréquemment que l’armée s’occupe d’affaires civiles, si ces dernières avaient un lien, même ténu, avec la sécurité nationale. Concrètement, cette approche permettait à certains soldats ayant des galons, comme Mirei, de pouvoir avoir accès aux serveurs de la police.
Les menaces de Duffy n’impressionnaient nullement la soldate, qui apprit, en consultant des registres médicaux, que les tueurs travaillaient pour une organisation criminelle opérant à Tekhos, le cartel de de Juanino, en référence à une ville frontalière se situant dans les Badlands, Juanino. Le cartel de Juanino, comme tout cartel digne de ce nom, se spécialisait dans le trafic de drogues, mais diversifiait ses activités. Comme n’importe quel cartel, le cartel de Juanino opérait surtout dans les Badlands, relayant la drogue produite à Ashnard, pour la transmettre dans les grandes métropoles tekhanes. Toute la difficulté était donc de traverser les Badlands.
*Qu’est-ce qui peut bien conduire un cartel à traquer une petite neko ? Pour qui travaillent-ils ?*
Des questions auxquelles elle devait répondre. Mirei portait un déguisement qui rendait difficile de la reconnaître. Elle avait notamment une casquette d’ouvrier sur la tête, et des vêtements simples. Elle portait, sous une veste en cuir, son pistolet à sa ceinture, et sortit de la station de métro. Elle était hors de la ville, voyant, derrière elle, les hautes tours de Tekhos. C’était le jour, et, de l’autre côté, on voyait une série de montagnes menant aux Badlands. Il y avait des camions, des fourgons, des cheminées en acier, des entrepôts... Et l’un des repaires du cartel de Juanino. Mirei avait consulté les dossiers de la police, et avait ainsi appris la position d’un entrepôt appartenant à une société de transports de marchandises entre Tekhos et les villes frontalières. Cette société avait comme actionnaire majoritaire une femme qui était l’une des baronnes du cartel, et la police essayait de se servir de cette société-écran pour remonter la filière. Les Tekhanes auraient tout à fait pu faire fermer cet entrepôt, organiser une descente, mais cette descente n’aurait eu qu’un simple impact médiatique. Les narcotrafiquants n’auraient eu aucune difficulté à trouver un autre entrepôt.
Mirei s’avançait le long de trottoirs désolés et tristes, se rapprochant de l’entrepôt. Il y avait plusieurs vigiles à l’entrée, en train de fumer, et elle suivit le mur, cherchant un passage. Elle finit par trouver un point d’accès grâce à une poubelle accolée le long du mur. En s’appuyant sur cette dernière, elle put sauter, et tomba dans la cour longeant l’entrepôt. Il y avait dehors plusieurs camions, quelques fourgons, et de nombreux hommes et femmes. La criminalité n’aidait pas vraiment le genre masculin à retrouver ses lettres de noblesse, et certains spécialistes y voyaient un lien de corrélation. Bien des emplois haut placés étaient réservés aux femmes, ou restreints aux hommes. Y accéder était très difficile, et ceci conduisait, selon les criminologues, bien des hommes à devenir des délinquants en puissance.
Elle s’avança derrière une série d’énormes caisses, et, évitant de se faire repérer, passa par une petite ruelle longeant l’entrepôt, cherchant une petite porte par laquelle entrer. Elle avançait au milieu de barils bleus, de caisses, de détritus, entendant les cris des goélands, les bruits des usines en marche, essayant de ne pas se faire remarquer.
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Une chose est sure c'est que ce n'est pas en restant glandouiller dans ce café que j'obtiendrais d'avantage d'information, je finis donc mon café en continuant de noter des truc dans mon calepins, et je quitte donc l'endroit après avoir payer. Je décide donc de me rendre dans ce genre de quartier mal peuplé avec tout ses gens déchus de bon sens et de bonnes actions. Mon regard s'attarde alors sur un chef de gang. Peut être a t-il des informations a son sujets mais ma force physique me permettrais sans souci, de leur taper dessus sans risque de riposte. D'ailleurs me voila entourer par 5 type louche. Surement pour me faire du mal ? Je n'ai pas le temps de m'amuser avec des sous fifres alors je les lattes, en une attaque magique. Tous ce retrouvent au tapis, et je continue ma route.
Ceci étant fait j'arrive alors dans un entrepot bizarre, toujours dans tekhos. Leur repaire est effectivement ici, ils me conduisent a leurs chef qui accepte entre guillemet de me parler, cependant il me dit que les informations de sont pas gratuites et qu'il faudra les payer. Payer ? Je n'ai pas l'intention d'obéir a leur règle, qui sont d'ailleurs complètement a leur avantage et bidons ! Depuis quand devrions nous payer d'un renseignement ? Je m'énerve donc et je leurs fous une bonne raclée même si cette fois j'ai eue un peu plus de mal vu que c'était leurs chef. Il était plutôt puissant, je ne repars pas sans rien, car après avoir questionner leurs chef j'en apprend des bribes d'information concernant un certain réseau qui ce trouverait en dehors de la ville. Ils m''indiques la positions du local et je décide donc de m'y rendre.
Une fois avoir quitter la ville, je remarque aussitôt des traces de pas sur le sol, pourtant elle me sont familières mais je n'arrive pas a me rappeler de qui pouvait-elle provenir, mais si il y a un allié dans le coin alors cela n'en sera que plus profitable. Mais il faut veiller toute fois a ne pas me faire repérer alors dès que j'aperçois le bâtiment en question, je m'avance tranquillement vers un coin ou je suis sure de ne pas être vue. le meilleurs moyen de rentrer sans ce faire remarquer ce serai de trouver une faille et de passer par la. étant dans le coin industrielle, de Tekhos je me dis que cette zone doit particulièrement être surveillée. Mais suis-je bête voyons, je cherche une entrée mais j'en oublie mes capacité !
Je me concentre alors un instant, et je saute sur le mur j'y cours a la verticale et une fois arriver en haut je saute sur le toit mission infiltration réussie, j'observe donc ce fameux entrepôt. Et des gens qui surveillent l'entrée pour moi ça cache quelque chose? Pourquoi surveillerons ton cette entrée et pas une autre ? Je pense que ça mérite des approfondissement d'enquête. Mais qu'importe je me dois de découvrir ce qui ce cache derrière cette histoire. J'étais loin de penser que la militaire ce trouvait également non loin de l'endroit ou je me cache, mais je ne m'en aperçois pas de sitôt. Peut être devrais-je crée un gros bordel histoire d'attirer leurs attention afin qu'elle puisse enquêter sans être vue de son coté ? Mais il faudrait déjà que je sois sure qu'elle soit la avant de tenter quoi que ce soit d'illogique. Sinon j'aurais l'air bête.
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Longeant la ruelle, Mirei ne tarda pas à voir une porte latérale, et se dissimula derrière une poubelle. Un homme ne tarda pas à ouvrir la porte, descendant. Il était torse nu, fumait une cigarette, et avait de nombreux tatouages sur le corps. La Tekhane l’observa silencieusement, sans rien dire, et attendit qu’il s’éloigne de l’autre côté pour s’approcher de la porte. Elle jeta un coup d’œil à l’intérieur, et vit un long couloir aux murs blancs et verts, décrépis. Elle s’y avança prudemment. A sa gauche, de grandes vitres avec des stores permettaient de voir l’intérieur de l’entrepôt, une grande pièce avec de nombreuses étagères industrielles, des cartons, et des hommes qui parlaient à vive voix. Elle resta agenouillée, nerveuse, et s’avança jusqu’à un embranchement. Un couloir partait sur la droite, et elle s’avança. Une porte entrouverte à droite menait à une salle de détente, et elle entendit d’autres hommes parler.
« Comment ça s’est passé en bas ?
- Elle finira par craquer. »
Mirei ne dit rien, comprenant que les deux hommes devaient parler d’une femme qui se faisait torturer en contrebas. Elle tourna lentement la tête, et vit que les deux lui tournaient le dos. Elle se dépêcha de passer, et avança, jusqu’à rejoindre la cage d’escaliers. Soit elle pouvait monter, soit descendre. La soldate hésita, et choisit de descendre. L’escalier était métallique, et elle s’enfonça sous le sol, pénétrant dans un couloir assez sombre et humide. Il y avait des lumières qui grésillaient au-dessus d’elle. Elle s’avançait lentement, se doutant que cet endroit devait mener aux égouts municipaux. Une bonne manière de s’échapper en toute discrétion. Elle entendit des bruits, et se dissimula dans un renfoncement, voyant des femmes en tenue de cuir de passer.
« Elle est tombée dans le coma... »
Les deux femmes passèrent. Les cartels n’étaient pas réputés pour être des enfants de chœur. Leurs interrogatoires n’étaient rien de plus que des scènes de torture, et Mirei sentit son cœur s’emballer. Était-ce lié à Luna ? Ce serait peut-être un peu trop beau. Elle resta dissimulée dans l’ombre, attendant que les deux femmes s’éloignent, et sortit de son abri, tenant désormais son arme. Il y avait une intersection, et elle pouvait entendre des gouttes tomber, ainsi que l’écoulement des eaux, au loin. Elle s’avança rapidement, commençant à sentir une vieille odeur remonter... Les égouts ne sentaient jamais très bons, et elle vit un petit escalier partir sur la droite, avec une porte en fer au fond. Elle s’y approcha, regardant autour d’elle, nerveuse, et ouvrit la porte, qui grinça.
A l’intérieur, une femme se tenait, en débardeur, sur une chaise. Elle était ligotée à cette dernière, et était couverte de sang. Mirei s’approcha rapidement, sentant son pouls battre dans sa poitrine, et se pencha vers la femme, tapotant ses joues.
« Réveillez-vous... Réveillez-vous, Madame ! »
La civile gémissait faiblement. Mirei se releva, et vit qu’elle avait été électrocutée, entre autres choses. Un couteau ensanglanté dans un coin montrait qu’on avait aussi du la taillader. Elle se pencha dans le dos de la femme, et retira les cordes la retenant. Ceci sembla faire réagir cette dernière, qui se mit à tousser lentement, respirant lourdement.
« Qui... Qui êtes-vous ?
- Police, mentit Mirei. Je viens vous sauver de là...
- Très... Très généreux de votre part... répondit la femme d’une voix épuisée.
- Pourquoi est-ce qu’ils vous ont torturé ?
- Police aussi. »
Mirei n’eut pas le temps de lui demander son nom qu’elle entendit des bruits de pas se rapprocher. Elle s’accrocha à son arme. Il n’y avait aucune plaque possible ici. Elle pesta, se tenant prête à ouvrir le feu.
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Je m'infiltre dans le bloque ! En passant par les toit évidemment je n'ai pas choisie le chemin le plus long, mais une fois a l'intérieur du bâtiment en étant passée par la fenêtre, j'entends des gens discuter, visiblement vu leurs démarchent ils semblent qu'ils reviennent du sous sol, d'ailleurs y a quoi au sous sol ? Je suis bien curieuse mais voila que quelqu'un arrive dans ma pièce et merde ! Je la ferme en vitesse et je me planque derrière une armoire juste a temps. Mais vad rétro satanas. J'entends que des gens , parlent d'avoir torturer quelqu'un pour obtenir des infos. Je leurs auraient bien régler leurs comptes mais je me ferais repérer et ce n'est pas une bonne idée. Cela dt ça montre que je suis tombée sur le bon bâtiment puisqu'il si passe des choses troublante.
A la maison Tsuki elle mène sa petite vie privée, elle lis des trucs sur internet, elle pense qu'elle aussi devrait s'informer sur l'état des choses actuelles et ne pas restée dans 'l'ignorance. Elle a suivi mon conseil cette petite, d'ailleurs de temps en temps je lui parle par télépathie, pour m'assurer que tout va bien, je lui est dit de ne pas sortir de l'appartement comme ça elle n'ira pas fouiner de son coté ou tenter de me retrouver pour me coller car dans ce genre de situation, c'est risquer !
Je m'avance lentement mais surement vers le sous sol en prenant soin de prendre des repaires, pour sortir tout a l'heure seulement arriver en bas j'entends des gens discuter dans une pièce avec une porte entre ouverte. Qu'est-ce que je fais ? J'y vais ou j'attends qu'elles sortent pour les capturer et obtenir des infos ? Oh et puis zut je me colle contre le mur sabre en main, je pousse d'un coup sec la porte et je m'avance dans la pièce en dégainant mon sabre d'un coup et en le pointant vers les personne. Je ne m'arrête qu'au milieu de la pièce et je pointe mon sabre sur la millitaire car elle a son gun pointé sur moi prête a tirer.
-V vous ici ? Mais qu'est-ce que vous foutez la ? Me dites pas que vous avez un rapport avec ce gang. ? Si ça ne vous ennuis pas j'aimerais que vous pointiez ce truc ailleurs que sur moi et j'abaisserais mon sabre.
Mais une fois encore je n'ai pas de chance car, des mecs du gang se pointent surement pour interroger l'une d'entre elle, mais quand ils nous voient armer ils sortent leurs flingues aussi et moi je suis prise entre deux feux une fois de plus... Super c'est trop de la balle, ha ha ha ce jeux de mot n'a jamais eu autant de sens propre ! D'ailleurs vu que je soupire et que j'ai un moment de vigilence il y a un connard qui en profite pour tirer dans mon bust. j'aurais pu arrêter aisément la balle si la millitaire m'avais pas menacer plutôt. Alors je pose un genoux sur le sol. Tenant, sous ma poitrine avec un oeuil de fermer...
-A aie.... espèce d'enfoiré !
Le mec reste impassible et pinte son flingue sur ma tête... Prêt a faire feu au cas ou je tenterais quoi que se soit, pour fuir. Il reste a sa place bien évidemment il ne bouge pas car il se méfie de mon sabre, mais son coup de feu était un avertissement autant pour moi que pour les autres. La balle dans mon corps, commence a faire couler du sang, maintenant visible sur le sol... Je me met a tousser mais ce n'est pas une balle qui va m'arrêter. Sauf si la millitaire me tire dessus a son tour, c'est bien ce que je dis : Prise entre deux feu, ou encore, mettre de la poudre aux yeux ? Qu'importe des proverbe a la con la n'est pas le moment...
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N’importe qui pouvait jaillir de l’autre côté de cette porte. Mirei était préparée à toutes les éventualités : une menace supplémentaire, d’autres patrouilleurs... Quelle ne fut donc pas sa surprise en voyant que l’individu qui venait de débarquer n’était autre que... Fumi Narita ! Elle en fut tellement éberluée qu’elle ne songea même pas à ouvrir le feu, avant de se reprendre rapidement. Pour le coup, c’était un sacré manque de professionnalisme ! Elle se le reprocha, et sentit alors d’autres types approcher.
*Eux, ce ne sont pas des amis...*
Fumi se reçut une balle, tomba sur le sol, et la fusillade s’engagea. Mirei se retrouva au cœur d’une fusillade explosive, et réussit à atteindre le premier des tueurs, qui était trop nerveux, et pas assez attentif. Une balle l’atteignit à la jambe, et une autre à la poitrine, contraignant les autres à rester à l’entrée, de part et d’autre de la porte. Ils tirèrent au jugé. Les coups de feu résonnaient furieusement dans cette petite pièce, et Mirei plongea sur le sol, ouvrant également le feu, mais sans atteindre qui que ce soit. Malheureusement, la flic infiltrée se reçut plusieurs balles perdues, et mourut dans un hurlement. La Tekhane chercha une autre planque, tout en sachant que Fumi était blessée, et représentait donc une cible potentielle.
L’inconvénient, c’est qu’il n’y avait aucune autre sortie possible ici que la porte d’entrée. Et les deux tueurs de l’autre côté ne tarderaient pas à recevoir des renforts. Elle pouvait les entendre baragouiner entre eux. Continuant à tirer, Mirei se releva, et alla s’abriter derrière une armoire métallique. La situation était critique. La Tekhane n’en menait pas large, clairement pas, et la situation ne risquait pas de s’améliorer. Il lui fallait rapidement sortir de ce guêpier. Visant un peu plus soigneusement, elle continua à ouvrir le feu, manquant de peu l’un des deux tueurs. La balle se logea dans le mur, mais sans les toucher. La position de Mirei lui permettait juste d’obtenir l’attention des deux tueurs. Elle ne pouvait rien faire de plus.
*Tu parles d’une merde...*
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La fusillade éclate de plus belle, et une fois de plus je suis prise entre deux feux ! Tu parles d’une veine et Tsuki m’en voudra si je meurs ici, je ne me permettrais donc pas l’échec. Mais d’un côté il y a la militaire avec cette étrange néko. Et de l’autre les gangsters armer jusqu’aux dents. Et moi bah je suis allongée au sol entre les deux, le premier réflexe du flic de mon côté fut de tirer sur l’un des tireurs et toucha sa cible, une balle vint ce loger dans sa jambe et sa poitrine. C’est fini pour lui ! Et bon débarras si j’ose dire. Mais je ne fous pas rien au milieu de la fusillade, d’un geste héroïque je me saisis de mon sabre et je me lève alors d’un bon. Les tireurs pointent leurs flingues sur moi mais a peines ils ont tirés que j’ai déjà disparue derrière une armoire.
C’était moins une, si les balles m’avaient eu avant que je n’active mon sort de vitesse j’aurais été mal barrée. Laisse tomber ! Bien que Mirei se concentrer pour tirer et tenter de gagner leurs intentions j’en profite pour charger une attaque magique au sabre. Il vire au vert clair et dans un élan de lucidité je dis alors
-Hack and slash activée…
Je surgis de l’armoire pendant que les mecs ne tirent pas et je fais deux gestes diagonales avec mon sabre et deux ondes magiques se dirigent droit vers eux à grande vitesse ! Cela provoque quelques dégâts au couloir mais le terrain est encore praticable, quant au gars bah ils sont mort découper en morceau ! Profitant de mon espace de libre je sors dans le couloir, bien que je sois blessée. Et ce fus une erreur une fois de plus les renforts sont arrivés dirait-on. Je fais un sourire a la flic du genre « tout va bien » et je ferme alors mes yeux. Je pense utiliser mon bouclier et le death slash pour nous tirer de là. Les types font évidemment feux en nous voyant certains armés de fusils à pompes et d’autres de grosses mitrailleuses, cependant quelque chose ne vas pas ! Je dois vite me dépêcher car les balles traversent mon bouclier ? Quoiii ? Qu’elle merde alors !
-Death slash de niveau 5.
Mon sabre devient gris, et je disparais de l’espace, tout ce qu’on voit ce n’est qu’une trainer de lumière grise émanant de mon sabre et les balles tomber en petit morceau parce que je les découpes. Me rapprochant ainsi des types je finis par les tranchés de mon sabre et ils tombent. Mais moi je n’ai pas fait ça gratuitement. Les balles ont réussie a avoir mon bouclier, et de plus ils mont toucher pendant l’attaque. Donc quand je reviens visuellement, je suis mal en point. J’ai une balle au niveau de l’épaule droite une dans la jambe. Et une a la main. Ça commence a faire beaucoup si je compte celle déjà dans mon ventre. Je m’assois donc contre le mur tenant l’une de mes blessures et je ferme les yeux. La douleur est vraiment très insupportable. Qu’elle merde, je range mon sabre dans mon fourreau et je m’allonge par terre. Baignant dans mon sang, et au passage il y a une jolie trace contre le mur. Me dite pas que je vais devoir utiliser un sort de régénération ? C’est super lourd a recharger ! Et mon chargement actuel n’est pas encore finit, plus que quelques minutes. Je dois au moins tenir jusque-là.
-Tu parle d’une plaie, ça fait atrocement mal ! je peux plus bougée comme ça….
Dis-je en regardant mirei, alors que la trace de sang s’élargit, et moi je commence a tousser. C’est un très mauvais signe ! Si on ne trouve pas un moyen de ce tirer vite fais c’est cuit ! Cuit pour nous
-
Derrière l’armoire, Mirei optait pour la prudence, ouvrant le feu avec parcimonie. Les munitions ne posaient pas vraiment problème, mais elle ne pouvait pas non plus se permettre de les gaspiller inutilement. Elle avait vu Fumi se remettre en position. Elle s’était fait tirée en plein dans le ventre, mais semblait particulièrement rapide. Impressionnant. Elle n’était sûrement pas une humaine classique. Même avec son entraînement militaire, sans armure, Mirei serait au sol, à gémir de douleur en essayant désespérément de retenir l’hémorragie. Elle ouvrit le feu, essayant de faire diversion, et Fumi envoya alors des attaques magiques avec son épée. Des lames fendirent l’air, défonçant le sol, et fauchèrent les ennemis, les tuant dans des déjections de sang et des explosions d’hémoglobine. Mirei tenta de dire à Fumi d’attendre, mais cette dernière se rua dehors. La Tekhane alla se lancer à sa poursuite, quand elle entendit la flic pousser des gémissements. Mirei s’arrêta, surprise, et tourna vers la femme. Elle s’était reçue plusieurs balles, et crachait du sang. Elle ne tarderait pas à mourir.
« Calmez-vous, je... Les secours seront bientôt là ! »
Que dire de plus ? Mirei connaissait suffisamment les blessures pour savoir que les secours n’arriveraient jamais à temps pour la sauver. Elle était condamnée, c’était une évidence. La Tekhane était habituée à ce genre de spectacles. N’avait-elle pas perdu son frère de cette manière ? Ce n’était pas pour autant qu’elle se sentait avec un cœur de pierre. Elle était désolée pour cette femme, et cette dernière se mit à parler, articulant difficilement :
« Ma... Ma... Mathilde Vaughn... »
Vaughn ? Qui était-ce ? Ce nom ne disait absolument rien à Mirei, qui fronçait les sourcils. La flic crachait des sangs, et dans le couloir, la Tekhane entendait des coups de feu et des explosions. Ça avait l’air d’être violent là-dehors, mais elle préférait rester avec cette femme, ayant le sentiment que ce pouvait être important.
« Vau... Vaughn... Te... Terra... Terra... Ra... Ni... »
Impossible d’en dire plus. Elle cracha encore du sang, et sa tête s’abaissa. Mirei se mordilla les lèvres, serrant les poings. Mathilde Vaughn... Et les Terranides... C’était probablement ce qu’elle avait cherché à dire. Y avait-il un lien avec Luna ? Sa neko était une Terranide, après tout. Mirei devait sortir d’ici, ayant une nouvelle piste. Elle entendit des coups de feu supplémentaires, et, en retournant dans le couloir, elle vit une scène de carnage. Il y avait de nombreux cadavres, et Mirei semblait très affaiblie, du sang s’échappant de son corps. Les deux mains sur son puissant pistolet, la Tekhane s’avança lentement, entendant des bruits de pas précipités. D’autres bandits venaient.
« Tu parle d’une plaie, ça fait atrocement mal ! je peux plus bougée comme ça…. »
Mirei l’observa. Combien de balles s’était-elle reçue ? Elle était bluffée. C’était quoi, cette fille ? Une sorte de Terminator avec des seins et une épée ? La Tekhane l’attrapa par l’épaule, l’aidant à se relever.
« Il faut sortir par les égouts. »
Elle était convaincue que ces souterrains étaient reliés aux égouts, voire même à la station de métro. C’était une technique classique pour éviter la police, et permettre la circulation d’articles de contrebande. Mirei tenait Fumi par l’épaule, et avançait rapidement, retenant dans sa tête le nom de Mathilde Vaughn. Il fallait faire des recherches sur elle. Elle entendait les hommes se rapprocher, et relâcha Fumi, avant de se retourner. Elle se tenait dans une galerie creusée dans la pierre, et l’odeur putride au loin indiquait que les égouts étaient par là. Mirei se mit à ouvrir le feu, forçant leurs poursuivants à se replier, afin de se regrouper.
« Dépêchez-vous d’avancer, je vous couvre ! » intima Mirei.
Elle ne pourrait pas couvrir longtemps, car elle restait une simple humaine, frêle et fragile. Et les criminels avaient l’air aussi furieux que nombreux.
-
Lorsque mirei revint elle me regarde en haussant un sourcil, le nombre de balle que je m'étais pris semblait la bluffer et pourtant j'suis toujours en vie moi ma petite dame. Car pour elle c'est la réalité et pour moi c'est comme si j'étais dans un jeux vidéo. La barre de vie, de mana, la skill barre de compétence en bas, la mappe en haut a gauche ? C'est exactement comme si c'était le cas ! Mais je dois faire gaffe il ne me reste qu'une minute de recharge pour le resurrect. Sort qui redonne le plein de vie, comme si j'étais jamais morte ! Mais mon état, je ne sais pas si je vais tenir très longtemps. La flic me dit alors.
« Il faut sortir par les égouts. »
-Avec un peu de chance, ils sont relier aux autres réseaux sous terrains de la ville...
dis-je en commençant a cracher du sang, la flic me prend sur son épaule, alors que je commence a perdre connaissance. On s'avance pendant que la voie est libre dans le chemin vers les égouts mais l'odeur des égouts nous guide vers la sortie. Les poursuivant arrivent bien furieux, et ouvrent le feu, mirei en fait de même pour les forcer a ce replier elle me donne l'ordre de continuer. Mais vu mon état tout ce que je vais faire c'est m'écrouler par terre en remplissant le sol de sang...
« Dépêchez-vous d’avancer, je vous couvre !
C'est bien gentil, mais a peine ma t-elle lacher que je tombe lourdement sur le sol, le sang ce forme au tour de moi, comme si on avait casser une belle bouteille de vin et ma vue ce trouble. Je pense que je vais crever, cependant alors que je me vide de mes forces petit a petit, une sphère vient m'entourer un bref instant et disparait aussitôt. Le sort est prêt je peux enfin me soigner ! J'ai a peine le temps de prononcer le nom du sort que je meurs cribler de balle, car comme le nom du sort l'indique je dois mourir et m'en servir. Sinon ça ne marche pas !
-Resurrect !
Dis-je, alors que mon coeur cesse de battre. Une lumière verte vint m'envahir alors et me maintient debout en l'air droit, comme si j'étais vivante. Bien que ma tête soit baisser avec un filet de sang qui coule de ma bouche, la régénération est en cour... Une fois qu'elle a finit je rouvre mes yeux et je me saisis de mon arme. Les impactes de balles semblent avoir disparus a l'endroit de mes déchirures.
-Pas le temps de pioncer ! Si on veut sortir d'ici il faut qu'on se bouge. On aura un temps pour parler de ça plus tard...
Dis-je en envoyant valdinguer nos poursuivant avec une sorte d'onde jaune, cette fois. Des dégâts de foudre semblent avoir lieu en plus ça les électrocutes et sa les retardes bien. C'est notre chance pour filer !
-
*DIIIIIIING*
En entendant le bruit, si caractéristique, du four, Luna, bondit de son fauteuil, et rejoignit rapidement la cuisine. Comme elle avait l’habitude de le faire, elle grimpa sur le tabouret, puis sauta sur l’étagère, et tendit ses petites mains pour abaisser la lourde plaque du four. Une vive chaleur agressa alors ses petites narines, mais elle sentit, par-delà la chaleur, l’odeur du pain grillé. Son estomac provoqua un violent gargouillis dans son ventre, et elle s’approcha. Généralement, c’était Mirei qui se chargeait de faire à manger, et, quand Luna était sage, elle lui offrait parfois une récompense : des pains grillés ! Il s’agissait de petites baguettes qu’elle mettait au four, et qu’elle faisait chauffer pendant une certaine durée. Mais, en l’absence de Mirei, Luna avait bien le droit de s’offrir de petits plaisirs. Elle sortit délicatement le pain chaud, utilisant des gros gants, et rejoignit ensuite le canapé du salon, devant un énorme écran plat plasma. Ce faisant, Luna attrapa avec sa queue la télécommande, et alluma la télévision. C’était un loisir curieux, mais elle y prenait de plus en plus goût.
La neko mangeait son pain en regardant une série télévisée idiote et farfelue sur de jeunes Tekhanes. Ce n’était pas l’émission qu’elle préférait, mais elle précédait Sexy Spy Girls, un dessin animé sur des lycéennes tekhanes qui étaient en fait des agentes secrètes agissant contre des terroristes, des criminels, dans les quatre coins de Tekhos. Cependant, cette émission l’ennuyait beaucoup. C’était une histoire sentimentale à l’eau-de-rose, et elle zappa, se dirigeant vers une autre chaîne où, espérait-elle, il y aurait un autre épisode de Knight Roland, l’histoire d’un chevalier nexusien accomplissant un long voyage pour secourir sa promise, capturée par un vil duc ashnardien. En zappant, Luna tomba toutefois sur une chaîne plus adulte, où elle entendait une journaliste parler d’une voix précipitée, un hélicoptère montrant les usines de la ville, à l’extérieur de la métropole. Un endroit sinistre et effrayant, fait de béton, d’acier, et d’immenses cheminées infernales semblables à des gueules infernales, qui répandaient dans l’air une fumée nocive et toxique.
« Une violente fusillade a éclaté entre les forces de police et l’un des plus puissants cartels de Tekhos, le cartel de Juanino. L’origine de cette fusillade aurait pour objectif la délivrance d’une agente infiltrée dans les rangs du cartel, et qui aurait été capturée par les criminels. »
L’hélicoptère filmait en hauteur, et on voyait, presque comme dans un film, de nombreuses voitures de police, des fusillades et des hurlements. Elle cligna des yeux, interloquée.
De l’autre côté de l’écran, sous l’entrepôt, Mirei ouvrait le feu, mais commençait, pour le coup, à voir ses munitions diminuer. Les ennemis répliquaient également, et le long couloir métallique résonnait des multiples coups de feu. L’abri de Mirei était des plus précaires, et elle perçut des vibrations sonores derrière elle. Tournant la tête, la Tekhane vit un curieux spectacle. Une aura verdâtre enveloppait Fumi, qui lévitait au-dessus du sol.
*Qu’est-ce que c’est que cette merde, encore ?*
Sûrement de la magie... Le corps de Fumi sembla cicatriser, et cette dernière se remit sur ses pieds. Cette dernière se mit alors à l’interpeler :
« Pas le temps de pioncer ! Si on veut sortir d'ici il faut qu'on se bouge. On aura un temps pour parler de ça plus tard... »
Elle envoya alors une onde magique vers les tueurs, les retardant. Mirei ne se le fit pas dire deux fois, et s’écarta rapidement. Elle remonta le long conduit, jusqu’à débarquer le long d’égouts puants. Elle avança rapidement, passant par un pont métallique, et s’approcha d’un égout filant à un embranchement. De là, elle s’arrêta, et se mit en position de tir, ouvrant à nouveau le feu quand les tueurs s’approchèrent. Elle réussit, plus par miracle qu’autre chose, à en atteindre un, le faisant tomber dans l’eau. Les autres répliquèrent immédiatement, et Mirei décampa. Inspirant et expirant, la Tekhane filait le long d’un couloir interminable, jusqu’à voir une porte sur sa droite, au-dessus d’un petit perron.
D’un coup d’épaule, elle l’ouvrit, débarquant dans un bureau de maintenance, vide. Il y avait des casiers à droite, et une petite télé à gauche. Elle monta deux par deux l’escalier devant elle, arme au poing, débarquant dans des couloirs d’usines, où de la vapeur s’échappait d’énormes machines et de gros tuyaux très chauds. Elle avança le long d’un pont métallique, débarquant dans un entrepôt qui se trouvait à l’opposé de celui des trafiquants. Il y avait des employés, qui étaient nerveux et agités. Mirei en écarta rapidement un, et descendit les escaliers, courant vers la porte de sortie. Elle débarqua dans la cour d’une grande usine, et s’arrêta. Les tueurs n’oseraient pas les poursuivre ici. Mirei entendait les rugissements de la bataille à côté, et soupira longuement.
« Tâchons de faire profil bas », suggéra-t-elle.
-
Pendant ce temps dans l'appartement de Fumi narita la jeune neko du nom de Tsuki regardait aussi la télé en mangeant un bon poisson bien cuisinier. Elle semblait inquiète au sujet de la fusillade et espère que Fumi n'en est pas la cause, sinon elle jure de lui faire la misère a cette fille. Elle va donc mettre une tenue de sortie et attend les ordres de fumi par télépathie. Elle veut qu'elle rentre maintenant.
-Myah, Fumi a utilisée son resurect. Il a du ce passer quelque chose pour qu'elle vienne a utiliser ce sort.
Dit-elle alors que Fumi et la policère continuent de semer leurs poursuivant. Après une longue poursuite a travers des tunnels Ils arrivèrent dans l'autre bâtiment et de la on pouvait entendre des coups de feu, mais mirei avait subit des dommages lors de la fusillade même si ils étaient beaucoup moins important que ceux de fumi. Ils se rendirent dans une espèce de cours d'ouvrier après avoir dévaler les ouvriers. Mirei suggéra alors de faire profil bas quelques temps. De toute façon avaient-ils le choix réellement ?
-Oui surtout que maintenant je fais partie de leurs cibles a détruire. Et sinon tes blessures ça va ? Tu n'est pas trop touchée ? Tu veux un sort de soin ?...
Proposa fumi alors que celles-ci traversaient la cours a grande hâte pour quitter les lieux au plus vite. Pendan ce temps fumi se présente a mirei afin qu'elle est des éclaircissement sur ce qui c'est passer toute a l'heure.
-Au fait moi je suis Fumi narita et je suis une mage de jeux vidéo. C'est pour ça que j'ai beau prendre des coups je peux quand même continuer a courir, et toute a l'heure l'aura verte que tu a vu c'était le sort "ressurect". Qui comme son nom l'indique ressuscite la cible après sa mort. Seulement je ne peux l'utilisée qu'une fois par semaine. J'espère que ça t'aura apporter quelques précisions.