Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le samedi 03 novembre 2012, 10:55:59

Titre: Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 03 novembre 2012, 10:55:59
« Haaa... Haaaa... »

Son dos rebondissait lentement contre le mur de la pièce plongée dans la pénombre. Elle fermait les yeux, ses lunettes ayant depuis longtemps quitté l’emplacement de son nez pour se retrouver en position de sûreté, sur l’une des tables. Ce faisant, Mélinda pouvait sans hésitation pénétrer la petite Shii (http://img72.xooimage.com/files/2/a/7/shii-32114ee.jpg), ce qu’elle s’évertuait à faire depuis maintenant un quart d’heure contre le mur. Shii avait déjà eu un orgasme, et un second semblait en approche. La timide lycéenne avait eu un contrôle assez important aujourd’hui, et c’était la raison pour laquelle elle était rapidement partie ce matin du manoir de Mélinda. Elle avait même été cassante avec la fille avec laquelle elle partageait généralement sa chambre, la sulfureuse Clara. Clara et Shii étaient un peu comme chat et chien. La première était impulsive, rebelle, et n’allait au lycée que pour martyriser d’autres élèves. Elle n’y était d’ailleurs pas retournée depuis plus d’un mois. Quant à la seconde, elle était sérieuse, timide, et travaillait énormément. Même si ça ne sautait pas forcément aux yeux, les deux adolescentes s’adoraient et se complétaient mutuellement.

Mélinda avait décidé de l’aider à décompresser, et lui était tombée à la fin des cours. Dehors, il faisait encore jour, et elles étaient entrées dans la pièce où Shii avait suivi un cours. Elle n’avait pas eu le temps de dire grand-chose. La vampire avait refermé la porte, et abaissé les stores, plongeant la pièce dans une relative pénombre, avant de bondir sur Shii. Les deux portaient l’uniforme scolaire règlementaire, mais ça n’empêchait pas Mélinda de la pénétrer, ayant pour cela fait sortir de son corps son sexe masculin,

« Hmmmm... Ohhhh, Maîtresse ! » gémit-elle.

Elle se tortillait contre elle, et les mains griffues de Mélinda caressaient son dos, glissant sur sa chemise, qui devait être bien serrée pour la brave Shii. Sa jupe d’écolière avait glissé le long de ses jambes, pour traîner sur le sol, et Mélinda l’avait ensuite pénétré en écartant sa culotte, y allant sans la ménager. Shii était toute rouge, gémissant lentement en se faisant prendre. Mélinda était de plus en plus rapide. Tout allait pour le mieux pour elle. Shii oubliait sa longue journée, et Mélinda se soulageait. Malheureusement, il arrive parfois que certaines personnes prennent plaisir à se mêler des affaires des autres.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le samedi 03 novembre 2012, 12:37:40
Jack tempêtait. Pour la première fois depuis bien longtemps, il avait commis une erreur professionnelle. Il fallait dire que depuis qu'il était sous cette nouvelle couverture, l'agent Taylor avait tendance à se ramollir un peu. Jugeant son environnement comme sécurisé, ses élèves et collègues comme ne représentant pas de menace potentielle, sa vigilance s'était relâchée. Lors de son derniers cours, la secrétaire avait interrompu sa brillante démonstration sur l'Alchimie dans Notre-Dame de Paris pour lui remettre un papier plié en quatre, sur lequel elle avait soigneusement noté ce que lui avait dicté son interlocuteur téléphonique, prétendument garagiste : "La pièce de rechange a été commandée, vous pourrez venir récupérer votre véhicule au garage Sasaki ce lundi, à partir de 14h".

Evidemment, Jack n'avait pas de véhicule, et le garage Sasaki n'avait jamais entendu parler de lui - bien que ce dernier existât -. C'était l'un de ses contacts sur place qui avait probablement du nouveau pour lui et lui donnait implicitement rendez-vous dans un bar animé de la ville pour partager ses informations avec lui. Jack distrait, n'avait pas immédiatement fait disparaître le post-it, et l'avait négligemment rangé dans l'un des tiroirs de son bureau. Il était ensuite parvenu à terminer son cours, puis était tranquillement rentré chez lui, oubliant l'existence du message. C'est une fois sous la douche que cela lui était revenu. Il s'était rapidement séché, rhabillé et était parti en courant. Même si le message était codé et qu'il n'y avait probablement personne au lycée pour y faire attention, Jack avait pour habitude de protéger sa couverture davantage que sa vie. Ce petit bout de papier presque insignifiant devait disparaître.

Il était revenu au lycée sur les coups de dix-neuf heure, et gravissait à présent les escaliers qui le menaient à la salle 312. Impeccable comme d'habitude, Jack portait un costume anthracite à deux boutons, ainsi qu'une chemise bleue pâle munie d'élégants boutons de manchette. Il avait pris le temps de cirer ses derby marron foncé avant de partir et de passer une montre-bracelet Seiko du meilleur effet, sans être toutefois trop tape à l'oeil. Néanmoins, l'urgence de la situation l'avait décidé à se passer de cravate. Alors qu'il s'approchait de la salle, des bruits sourds lui firent froncer les sourcils. contrairement à ce qu'il espérait, la salle n'était pas déserte sûrement quelques élèves sérieux qui sont rester réviser un peu... Il y a la bibliothèque pour ça, m'enfin bon, je vais pas les blâmer. L'agent Taylor posa sa main sur la poignée de la porte et s'apprêtait à l'ouvrir en grand lorsque des gémissements lascifs se firent entendre. Jack se figea instantanément, et posa son oreille contre la porte de la salle de classe. Maîtresse hein ? Il n'y avait aucun doute à avoir : deux adolescentes étaient en train de baiser sauvagement dans la salle de classe dans laquelle il officiait encore deux heures plus tôt. Peut-être même s'agissait-il de deux de ses élèves.

Voyons voir... Jack tourna la poignée de la porte avec une lenteur inouïe puis entrebâilla légèrement la porte. Ce qu'il discerna dans le fond de la classe confirma ses soupçons. Une des lycéennes besognait avec force sa camarade avec ce qui devait être un gode-ceinture ce qui n'était pour déplaire à cette dernière qui poussait moult gémissements obscènes et s'agitait comme une petite folle. En dépit de la pénombre, Jack reconnu la petite soumise : il s'agissait bien d'une élève qui avait assisté à son derniers cours de la journée. Une grosse bosseuse timide qu'on imaginait absolument pas en train de se faire prendre brutalement contre un mur en couinant comme la dernière des salopes. Quant à la deuxième élève, encore toute habillée, elle était de dos et Jack ne pouvait pas apercevoir ses traits. Il devinait toutefois un petit derrière rebondi ainsi qu'un corps juvénile svelte et fragile. Alors qu'il s'interrogeait sur la conduite à adopter, L'agent Taylor sentit la tension que son phallus imposait au tissu de son pantalon. Le spectacle de ces deux petites vicieuses en train de se gouiner le rendait malade. N'y tenant plus, il fit glisser sa fermeture éclair pour libérer son vit colossal, qu'il commença à branler doucement d'une main, caressant ses couilles pleine de l'autre, soupirant le plus doucement possible pour ne pas se faire repérer par les deux lycéennes.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 03 novembre 2012, 20:04:46
Sentir en elle ce membre dur et épais était toujours pour Shii une sacrée épreuve. Oh, certes, c’était délicieux, mais c’était aussi très douloureux. Elle avait réussi à ne pas pleurer, mais était toute rouge sous le plaisir qu’elle ressentait. Elle savait que, selon le code moral établi par sa Maîtresse, elle avait mal agi ce matin en partant si rapidement. Ce n’était pas entièrement de sa faute, elle était mortellement stressée. Elle avait révisé pendant de nombreuses heures, et, dans ce haut niveau de stress, elle n’avait pas voulu se défouler sur ses camarades. Maîtresse le comprenait, et c’était bien pour ça qu’elle se contentait de lui faire ardemment l’amour, d’enfoncer son sexe au plus profond de son corps3. Yeux clos, Shii se laissait aller, son corps rebondissant de plus en plus contre le mur.

Mélinda, de son côté, sentait, au milieu de tout le sang de Shii, de ce sang délicieux et vivifiant, un spectateur entrer. Elle sentit son sang s’échauffer, et eut un léger sourire. Il aurait été tentant de s’arrêter maintenant, mais avoir du public n’était pas pour la déranger. Elle se demanda si ce spectateur était un homme ou une femme, et opta pour un mâle, dans la mesure où une fille serait probablement déjà partie en courant. Mélinda se décolla un petit peu du corps de la jeune femme, et enfonça à nouveau sa queue en elle, tapant contre sa peau, tout en approchant sa bouche du cou de Shii. Elle lécha sa peau chaude, douce, et merveilleuse, sentant la lycéenne se blottir contre elle, repliant les jambes pour les serrer autour des hanches de la vampire. Mélinda tremblait de plaisir.

« On nous observe, ma beauté... murmura-t-elle faiblement dans le creux de son oreille.
 -  Haaaaa... HAAAAAANNNNN, Maî… MAÎTREEEEEEESSSSSEEEE !!!! »

Un nouvel orgasme traversa le corps de Shii, qui se ratatina sur le corps de Mélinda, poussant un long gémissement qui se tut faiblement en sentant sa mouille jaillir de son corps. Elle soupira lentement , haletant de plaisir, et posa sa tête contre la nuque de sa Maîtresse, l’embrassant, mordillant sa peau. Ce que Mélinda lui avait dit lui revint alors à l’esprit, et elle releva la tête. Sans ses lunettes, et dans la pénombre, elle ne vit toutefois rien, et sentit la Maîtresse agir, tirant sur ses jambes pour les décroiser.

« Retourne-toi, petite traînée, dit Mélinda à voix haute, je vais m’occuper de ton cul. »

Shii rougit devant cette insulte et obtempéra rapidement.

« O-Oui, Maîtresse... »

Est-ce qu’on les observait ? Shii n’avait rien entendu, et il était tout à fait possible que ce soit un mensonge de sa Maîtresse, afin de la perturber. Elle essaya de repérer d’éventuels sons... Quand une claque résonna sur son cul, la faisant hurler. Elle poussa un petit cri de surprise, et une autre gifle s’abattit sur son postérieur, un peu plus ferme, la faisant encore crier, cette fois-ci de douleur. Une troisième gifle jaillit, et claqua dans l’air, remuant ses petites fesses bombées. Shii hurla encore, sentant sa Maîtresse contre elle, son sexe glissant sur ses fesses.

« Tu aimes quand je te latte le cul, hein, petite salope ? »

Shii rougit encore, et une quatrième gifle s’abattit. Maîtresse frappait fort, et elle répondit en fermant les yeux, serrant les lèvres :

« Haaa... Maîtresse, hum...
 -  Dis-le ! s’exclama-t-elle en la giflant encore, faisant sursauter Shii.
 -  O-Oui, Maîtresse, ouiiii ! »
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 04 novembre 2012, 00:59:18
L'adolescente qui dominait l'acte sexuel se servait de son jouet avec brio et Jack avait l'impression qu'il faisait presque parti d'elle. Cette petite vicieuse savait vraiment s'y prendre et semblait faire jouir à répétition sa petite camarde qui hurlait son plaisir à qui voulait l'entendre. Quant à l'agent Taylor, il n'avait pas encore pris de décision quant à la façon dont devaient se dérouler la suite des évènements. A défaut d'intervenir, il poursuivait sa masturbation discrète, caressant son gland gonflé et violacé de la paume de sa main. De petites quantités de sperme s'échappaient déjà de son méat et rendait l'extrémité de sa queue poisseuse à souhait. Si les deux lycéennes n'étaient pas trop occupées par leurs jeux saphiques, elles auraient pu entendre le léger bruit mouillé et obscène que sa séance d'onanisme produisait. Si jack s'était trouvé à l'aise, il aurait probablement glissé un doigt ou deux dans son anus - ce dont il mourrait d'envie -, mais se masturber derrière une porte était déjà suffisamment risqué comme cela, aussi y renonça-il, bien qu'à regret.

Jack s'interrogeait. Il n'avait que peu d'alternatives. La première consistait à laisser les deux adolescentes terminer leurs ébats et s'en retourner chez lui. Dans un second cas de figure, il pouvait faire une entrée fracassante, punir les deux contrevenantes et récupérer son post-it. Ou bien... "Ou bien je pourrais, chose terriblement risquée et immorale, tenter de profiter de la situation en espérant que ces petits garces ne soient pas exclusivement lesbiennes". Rien qu'à l'idée de pénétrer de son vit colossal l'une de ces nyphettes, il en avait des frissons le long de la colonne vertébrale. Leurs chattes étaient probablement bien serrées et abondamment mouillées. Quant à leurs anus... Jack préféra n'y plus songer : c'était un coup à perdre la tête,  se ruer dans la salle de classe et à attraper la première venue pour la violer à même le sol, chose qu'il valait mieux éviter lorsqu'on était professeur de lycée.

Jack poussa un peu plus la porte vers l'avant, et avisa une armoire, un peu plus loin sur la gauche en rentrant dans la salle. Les deux lycéennes se trouvant dans le fond de la pièce, il avait de bonne chance de s'y rendre et de se cacher derrière  sans s'y faire répérer, d'autant plus qu'il savait se déplacer quasiment silencieusement...Même avec des derbies. Il se préparait à franchir les six mètres qui le séparait du meuble lorsque Mélinda proposa, ou plutôt imposa à sa camarade de s'occuper de son cul. Son coeur manqua un battement. Ces petites salopes pratiquaient donc la sodomie ? Ouvrant grand la bouche et les yeux, l'agent Taylor se figea, fasciné, ne voulant rien perdre de la scène se déroulait devant ses yeux. Sa jeune élève de l'après-midi se tourna docilement, présentant son joli petit cul bombé à sa maîtresse. Ainsi, elle ne pouvait plus regarder dans sa direction. Quant à l'autre, elle était bien trop occupée à maltraiter sa camarade pour se retourner, puisqu'elle fessait à présent vigoureusement le postérieur pâle de son amante, le rougissant par ses claques répétées. C'était l'instant rêvé. Il ne fallut qu'un instant à l'agent Taylor pour se plaquer contre l'armoire métallique, sans produire le moindre son. Il n'avait même pas daigné remettre sa queue dans son pantalon et son sexe brûlant entra en contact avec le métal glacé du meuble, ce qui le fit légèrement grimacer.

Avec prudence, il jeta un coup d'oeil vers les deux lycéennes. Il n'était plus qu'à trois ou quatre mètres d'elles à présent et pouvait contempler avec délectation les deux corps juvéniles qui s'ébattait dans la pénombre. "Vas-y ma jolie, enfonce lui ton gode dans le trou du cul, qu'on s'amuse un peu. Je suis sûr qu'elle peut gueuler encore plus fort que ça, cette petite chienne." L'agent avait repris sa masturbation et commençait à respirer plus sourdement à mesure que croissait son excitation. Il craignait à présent que s'occuper du cul de sa camarade signifiait uniquement pour la maîtresse, y balancer quelques gifles, ce qui dans une certaine mesure, le révoltait. "Si c'était moi..." Sans s'en rendre compte, Jack s'exposait trop et si l'une des deux adolescentes se retournait, il était très possible qu'elle puisse remarquer sa silhouette massive, et l'activité à laquelle il se livrait de plus en plus ostensiblement. En effet, Jack branlait à présent vigoureusement sa grosse queue, alors qu'il commençait à transpirer abondamment; son odeur de mâle en rut embaumait l'atmosphère.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 04 novembre 2012, 10:57:51
Cet humain était ridicule, mais elle ne pouvait pas lui en vouloir. Ses efforts incroyables pour rester discrets étaient totalement inutiles, car Mélinda sentait son sang... Cet indicateur-là ne pouvait pas se masquer, et elle souriait lentement ne le sentant se rapprocher. Désirait-il avoir une meilleure vue ? Ça ne pouvait réellement être qu’un mâle ! Un simple lycéen ? Possible... Mélinda était dos face à lui, tout comme Shii, qui se cramponnait contre le mur. Levant la main, Mélinda la gifla encore, frappant sec, et Shii sursauta, cramoisie. Sa Maîtresse ne la ménageait pas, et elle savait que ce n’était qu’un prélude. Mélinda secoua la tête, et commença à masturber son sexe, veillant ainsi à bien l’humidifier.

« Tes fesses sont biens rouges, ma belle petite chérie...
 -  Hummm... Maîtresse, hann...
 -  Alors, je vais pouvoir t’enculer comme une grosse chienne, maintenant… »

Elle espérait que l’homme se rinçait bien l’œil. Quand on avait un public, il fallait en prendre soin ! Les mains de Mélinda se posèrent sur les fesses de Shii, qui tremblait lentement. Au début, initier Shii à la sodomie avait été difficile. Elle avait volontiers pleuré lors des premiers ébats, mais Mélinda s’était toujours assurée de la faire jouir. La lycéenne était en effet très douillette, et guère habituée à la souffrance. Or, une sodomie était une expérience de la souffrance. Mélinda le savait mieux que personne, elle qui était une grande sodomite. C’était la première expérience sexuelle qu’elle avait connu, et, à l’époque, elle n’avait pas du tout été consentante. Il lui avait fallu des années pour apprécier ça, et des siècles pour adorer.

Lentement, prenant son temps, impatientant leur pudique spectateur, elle jouait avec les belles petites fesses bien bombées de Shii, et approcha son sexe. Elle utilisa ensuite l’une de ses mains pour le guider, et pénétra Shii, serrant les dents en entrant dans sa porte arrière. La lycéenne poussa un soupir qui mourut dans sa poitrine, et se plaqua solidement contre le mur, sentant ce gros membre s’enfoncer en elle. Cette sodomie serait longue et plaisante, car il fallait prendre son temps avec les bonnes choses, les savourer. Or, le cul de Shii était clairement quelque chose qu’il fallait pleinement savourer.

Tout en le faisant, elle avait laissé tomber sa jupe, révélant ses belles fesses, et se permit de se donner une bonne claque sur son propre cul. C’était une manière d’inciter leur voyeur à venir participer à l’action... Ou pas. Elle lui laissait le choix de venir, une manière comme une autre d’évaluer de quoi il était capable. Si cet homme était observateur, il aurait pu remarquer l’absence d’une ficelle sur le corps de Mélinda, laissant supposer qu’elle ne pénétrait pas Shii avec un gode. Se faire prendre par l’arrière par un inconnu n’était nullement pour réfréner les ardeurs de la vampire, qui était connue pour être une très redoutable perverse.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 04 novembre 2012, 14:09:10
Persuadé de n'être toujours pas repéré, Jack Taylor s'abreuvait ses paroles obscènes des lycéennes. S'enhardissant à chaque seconde, il s'était détaché de l'armoire qui le dissimulait jusqu'à lors et son imposante silhouette projetait des ombres fantastiques sur les mur de la salle de classe, d'autant qu'il s'activait toujours sur son vit d'une main ferme et vigoureuse. Sans vraiment s'en rendre compte, il avait hasardé quelques pas vers l'avant, franchissant le point de non-retour. Il lui était impossible dès lors de ne pas se faire remarquer, mais il n'en avait cure. Il haletait dans la pénombre, maudissant la maîtresse qui semblait déterminée à prendre tout son temps. Lorsque finalement, elle présenta son engin devant l'anus de sa partenaire, il poussa  un soupir de soulagement. Il était suffisamment proche à présent pour voir le gland du phallus de l'adolescente s'écraser contre la rosette de son amante puis écarter doucement ses chairs afin de fouiller ses entrailles. La petite sodomisée devait être une pratiquante régulière, eu égard à la facilité avec laquelle elle négociait la queue de sa maîtresse dans son fondement. "La queue ? Attends, je rêve... ?" Jack avait beau ne pas en croire ses yeux, c'était bel et bien une bite gorgée de sang, et de bonne taille, que la maîtresse avait entre les jambes. Lorsque cette dernière fit chuter la jupe de son uniforme réglementaire au sol, elle dévoila un adorable petit cul d'aspect virginal - bien que Jack doutât très largement de cette apparence - mais l'absence de sangles au niveau de son bassin confirmèrent ses soupçons. Il ne s'agissait pas d'un godemiché. "Peut-être que c'est un garçon ? Elle est frêle et sa voix est aiguë, mais ça ne serait pas la première fois que je prends un homme pour une femme...Bah !" officieusement bisexuel, il arrivait assez régulièrement à Jack de coucher avec des hommes efféminés, sa pratique sexuelle favorite étant sans appel, la sodomie.
 
La claque que l'adolescente s'envoya sur le cul le fit sursauter. Elle ne s'était pas ménagée puisque ses fesses rosirent rapidement sa peau pâle. Sans véritablement savoir s'il répondait à un appel de la jeune femme ou à ses pulsions propres, l'agent Taylor franchit en un instant les quelques pas qui le séparaient encore du couple. Sans dire un seul mot, il colla sa verge monstrueuse contre le dos de la maîtresse, qu'il attrapa doucement mais fermement par les hanches. Du bassin, il accompagnait les coups de butoir de l'adolescente, lesquels résonnaient jusque dans ses couilles. Penchant la tête vers l'avant, il laissa son nez se perdre dans les cheveux de Mélinda, humant son odeur avec avidité, tandis qu'il contemplait les va et viens de sa jolie queue dans l'anus de sa partenaire. "Magnifique", laissa-il échapper à demi-mot, d'une voix rendue rauque par l'excitation. Remontant l'une de ses mains au niveau de la poitrine de Mélinda, Il haussa un sourcil lorsque sa paluche se referma sur un sein on ne peut plus rebondi, dont il tritura immédiatement le téton entre son pouce et son index. Jack Taylor laissa échapper un petit rire, avant de déposer un baiser dans le coup de la maîtresse. Il était bien trop excité pour se poser davantage de questions sur le genre de cette dernière lequel au demeurant, lui importait peu. Il la relâcha pour retirer rapidement sa veste, et la poser sur un pupitre, avant de se mettre à genoux derrière elle. D'une main experte, il lui écarta les fesses pour dévoiler un anus légèrement dilaté qui au bas mot, avait beaucoup servi. Pour autant, la démesure de son phallus lui laissait penser qu'il s'y sentirait tout de même bien à l’étroit, ce qui le fit frémir d'impatience.

"Je constate que toi aussi, tu aimes bien te faire enculer, visiblement", lâcha-il goguenard, avant de cracher éhontément sur son anus. Si l'autre adolescente ne s'était pas encore aperçue de sa présence, c'était maintenant chose faite. Jack s'empressa d'enfouir son visage dans les fesses de Mélinda. Titillant son trou de balle du nez, il y darda bientôt une langue habile. Alors qu'il donnait brefs coups de langue sur la surface de l'anus, il risqua sa main libre entre les jambes de la jeune femme afin de caresser ses couilles... Mais ce fut une chatte humide que rencontrèrent le bout de ses doigts. Mais Jack n'était plus à une surprise près. Il chercha son clitoris à tâtons et, dès lors qu'il le trouva, se mit à le frotter doucement du bout de l'index. Entre temps, il avait durci et introduit sa langue dans son cul et en usait avec brio; tantôt il pilonnait son anus, tantôt il le fouillait avec délectation par des mouvement circulaires. A raison de la démesure de sa queue, Jack avait dû apprendre à préparer correctement ses partenaire avant de les empaler. Si Mélinda était une adepte de la sodomie, elle devait probablement apprécier le traitement qu'il lui dispensait et devait mourir d'envie de se faire sodomiser. Mais Jack était comme Mélinda : il aimait qu'on le supplie. Aussi interrompit-il ses caresses l'espace d'un instant pour lui susurrer quelques mots. "Tu veux que je te la mette ma grosse queue ? j'ai bien envie de t'entendre gueuler comme une traînée, toi aussi !"
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 04 novembre 2012, 22:48:50
La brave Shii avait un peu de mal à comprendre les agissements de sa Maîtresse, qui était inhabituellement violente, maltraitant à plusieurs reprises son petit cul. La Maîtresse, pourtant, savait que Shii n’avait pas une très grande fascination pour la douleur. Certes, elle avait fini par aimer la sodomie, mais ce n’était pas pour autant qu’elle appréciait qu’on la batte. Si Maîtresse faisait ça, c’était probablement pour une raison qui lui échappait... N’avait-elle pas dit qu’il y avait quelqu’un qui les observait ? Était-ce pour ça ? Maîtresse était tellement perverse, des fois... Sa seule présence ici suffisait à le prouver. Elle lui avait sauté dessus à la sortie des classes... C’était typique d’elle, et Shii sentait son sexe dans ses fesses. C’était douloureux, mais aussi étrangement excitant. Yeux clos, elle se laissait aller, et entendit alors Maîtresse... Se donner une gifle ?! A quoi est-ce que tout ça rimait ?

Elle ne tarda pas à avoir sa réponse en tendant des bruits de pas rapides.

« Maî... Maîtres...
 -  Chut, petite catin, profite de ma queue, et ne pense à rien d’autre ! » répliqua rapidement Mélinda.

La Maîtresse sentit l’homme se glisser dans son dos, se mettant à la caresser. Il était massif, excité, fiévreux, et avait l’air particulièrement pervers. Elle esquissa un léger sourire en le sentant caresser ses cheveux, fourrer sa tête dans ses longues mèches. Elle frémit, avançant un peu son corps, faisant à nouveau gémir Shii, qui savait désormais qu’elles n’étaient pas seules. L’homme explorait rapidement le corps de Mélinda, son sexe tendu glissant contre son dos. Elle frémit lentement, ses mains se refermant un peu sur le corps beau, propre, et en sueur, de Shii.

L’homme dans son dos commença à s’attaquer aux fesses de Mélinda, qui soupira. Volontairement, elle ne s’était pas retournée, et ne savait donc pas qui était cet homme, si ce n’est qu’il était un peu trop grand pour être un simple élève. Un prof’, alors ? Ce ne serait pas surprenant. A Mishima, les relations sexuelles  entre élèves et professeurs étaient presque normales. Mélinda le savait très bien, pour avoir goûté au corps de plusieurs membres du corps enseignant, et ce sans la moindre honte. L’homme fléchit les genoxu, s’attaquant aux fesses de la vampire, qui gémit, en oubliant presque de bourrer le petit cul de son esclave, qui se mettait à trépigner d’impatience.

Un sourire sur les lèvres, Mélinda s’enfonça d’un coup en elle, et Shii, surprise, poussa un solide hurlement, un cri surexcité en s’écrasant contre le mur. La vampire se plaqua contre elle, avant de se retirer, et de retourner s’enfoncer en elle, compliquant les mouvements de la langue de l’homme.

« Hiii... Hiiii, haaaaa...
 -  Hum, hum, hummm… Raaaah… »

Des bruitages très expressifs, et Shii serrait les dents.

« Tu veux que je te la mette ma grosse queue ? j'ai bien envie de t'entendre gueuler comme une traînée, toi aussi ! »

Cette voix... Shii reconnaissait cette voix. C’était... Taylor-senseï ! Elle en devint encore plus gênée, réalisant que ce mystérieux professeur maladroit et massif était en réalité un pervers ! En soi, ce n’était pas foncièrement surprenant à Mishima, mais tout de même... Shii en rougit follement, avant que sa Maîtresse ne réponde à l’homme en envoyant une main dans son dos, agrippant fermement la nuque de l’homme. En temps normal, elle l’aurait volontiers égorgé pour cette phrase très irrespectueuse, mais, heureusement pour lui, la Maîtresse était tellement excitée que l’insulter ne la dérangeait pas... Pour le moment, en tout cas.

« Fourre-là moi, vas-y... Encule-moi comme une grosse chienne, allez ! Remue-toi ! »
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 09 novembre 2012, 13:17:04
De la même manière que Mélinda ne devait avoir qu'une vague idée de l'homme qui lui bouffait le cul, Jack n'avait toujours pas aperçu le visage de l'adolescente qu'il s'apprêtait à sodomiser. Bah, cela viendrait bien assez tôt. Indubitablement, le traitement qu'il procurait à cette dernière était efficace, vu les gémissements licencieux qui lui échappaient.

« Fourre-là moi, vas-y... Encule-moi comme une grosse chienne, allez ! Remue-toi ! »

Jack, la face écrasée dans la raie du cul de l'adolescente dont il lapait littéralement l'anus, produisant un bruit mouillé des plus obscène, ne put s'empêcher de sourire. Cette petite pute savait ce qu'elle voulait, et ce n'était pas pour lui déplaire. Jack avait eu de nombreuses amantes et les femmes trop passives commençaient sérieusement à le lasser. Mélinda avait du caractère ; la baise qu'il allait s'ensuivre s'annonçait mémorable. Lorsqu'il se recula, l'anus de l'adolescente dégoulinait de salive, béait légèrement et frémissait au contact des courants d'air. Satisfait, l'agent Taylor claqua fermement le postérieur de Mélinda à deux reprise, rougissant à nouveau sa peau laiteuse. Puis il se redressa, humecta son majeur et son index et écarta à nouveau les fesses de la jeune fille pour y fourrer ses doigts qui n'y rencontrèrent que peu de résistance. Ce faisant, il observait le visage de la petite Shii, déformé par la jouissance et lui adressa un clin d'oeil. Son tour viendrait. Plus impatient que jamais, Jack ne ménageait pas le cul de Mélinda qu'il bourrait vigoureusement, écartant ses doigts en V à l'intérieur de son fondement afin d'en assouplir les sphincters. Il profita d'un moment ou elle allait à la rencontre de son partenaire, la perforant de son vit, pour se plaquer contre elle de tout son poids, l'empêchant de se retirer.

Jack Taylor avait placé son gland brûlant et violacé contre l'anus de l'adolescente ; quelques gouttes de sperme s'échappaient déjà du méat et se mélangeait à l'abondante salive qui maculait l'orifice. "Ne bouge pas", lui intima-il, d'un ton sans réplique. Guidant son phallus colossal d'une main habile, il en appuya l'extrémité contre le fondement de Mélinda, puis avança progressivement le bassin vers l'avant. Il sentait sa grosse queue déformer l'anus, et enfoncer progressivement les chairs de l'élève. C'était si tiède et douillet qu'un petit jet de foutre s’échappa sa queue gonflée. Mais le temps n'étant pas encore venu d'inonder le cul de sa partenaire, Jack resserra l’étreinte que sa main exerçait sur son braquemart.

Lorsqu'un bon tiers de son phallus eût perforé l'anus de la jeune femme, Jack se pencha, pour venir noyer son visage dans les cheveux de son amante. D'une main, il lui maintenait fermement la taille. De l'autre, il passa à nouveau sous l'uniforme de la lycéenne pour attrapa l'un de ses petits seins et en faire rouler le téton entre son pouce et son majeur. "Tu la sens bien là, ma grosse queue, petite pute ?" Dans le fondement de l'adolescente, le vit de l'agent Taylor palpitait, déformant à l'envie son trou du cul. Jack mourrait d'envier de lui limer l'arrière train, mais le rapport de force qui s'instillait entre eux l'excitait encore davantage. Il voulait que cette petite salope dominatrice s'empale sur sa bite en gémissant, raison pour laquelle il restait absolument immobile. "Encule-toi ma belle, remue ton cul sur cette grosse queue, va." C'est à son oreille qu'il avait murmuré ces derniers mots. Se penchant encore davantage, il soufflait son haleine brûlante dans le cou de Mélinda et, sous le coup d'une impulsion subite, vint lui mordiller la peau.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 11 novembre 2012, 21:51:17
Bien qu’elle ait toujours du mal à y croire, Shii devait se faire à l’idée qu’elles avaient été rejointes par son professeur. Le senseï s’était glissé derrière elles, et se collait à Mélinda. Shii pouvait le sentir pousser, et frissonnait, rouge de honte. Pour elle, c’était une situation extrêmement embarrassante. Elle entendit les gifles du prof’ sur les fesses de sa Maîtresse, et rougit encore plus, sursautant, comme si c’était elle qu’on giflait ainsi. La belle et grosse queue de sa Maîtresse était toujours enfoncée en elle, dans son fondement, et elle gémissait, avant de sentir cette dernière s’enfoncer d’un coup, puis rester là, comme bloquée.

« Hum... gémit la vampire en se plaquant solidement contre Shii.
 -  Haaa... Haaaa, Maî... Maîtresse, haaaaaa... »

Shii se crispait lentement contre le mur, serrant ses petits poings. Mélinda fourra sa tête dans son cou, l’embrassant. L’homme appuyait de tout son poing contre elle. Mélinda aurait pu le repousser sans difficulté. Il était massif et puissant, certes, mais cet homme ne restait qu’un simple humain. Elle, elle était une vampire, et elle avait donc une force plus développée que des humains normaux. Néanmoins, elle n’en faisait rien, se laissant faire. Cet homme outrepassait les bornes qu’elle fixait généralement à sa propre soumission, mais elle le laissait agir à sa guise... Elle aurait bien le temps de le dominer ensuite, et de lui faire comprendre qui était la Maîtresse ici.

« Tu la sens bien là, ma grosse queue, petite pute ? » lâcha-t-il à son attention.

La vampire tourna lentement la tête, répondant avec un léger sourire montrant ses belles dents.

« Tu n’as pas idée... »

La sodomie était quelque chose que Mélinda appréciait depuis de nombreuses décennies. Son esprit et son corps avaient vécu, sur cette question, une forte évolution. Le sexe était l’arme avec laquelle son père l’avait dressé, dominé, torturé, en commençant par la sodomiser avec ses gardes et son grand-frère. Elle s’était forcée à devoir surmonter sa peur du sexe, afin de se prouver qu’elle avait vaincu pour de bon les sévices de son père. Maintenant, elle appréciait pleinement le sexe. Chaque jouissance, chaque orgasme qu’elle avait, était comme une manière de vaincre son père, de lui montrer qu’elle avait surmonté les traumatismes de ce dernier, sa rage et sa haine.

Elle laissa l’homme s’enfoncer en elle, la faisant soupirer et gémir, mais ne remuait pas beaucoup en elle. Elle comprit alors ce qu’il avait en tête. Il avait avancé l’une de ses mains pour tripoter l’un de ses seins, et elle envoya l’une de ses propres mains, l’agrippant à la nuque, ses longs ongles griffus se plantant dans sa peau. Ce devait être douloureux, mais elle n’était pas non plus en train de le griffer. Elle s’appuyait juste, et commença à remuer son corps en arrière, lentement. Mélinda s’occupa ensuite de le narguer, voulant voir de quoi ce beau parleur était capable.

« Hummm... Mais qu’est-ce que tu attends, hein ?! Défonce-moi, allez ! »
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 16 novembre 2012, 14:37:55
La gêne de la petite Shii amusait beaucoup Jack. Ces petites ingénues qui faisaient encore des ronds de jambes avec un braquemart au fond du trou de balle n'étaient pas rare au Japon. En occident, une fois leurs barrières franchies, les femmes avaient tendance à perdre plus facilement le contrôle et à gigoter comme des chiennes, ignorant le monde qui les entourent. Quant à Mélinda, elle semblait accepter son énorme vit avec grand plaisir. De toute évidence, la petite avait l'habitude de se faire prendre le cul, étant donnés ses gémissements équivoques. Lorsque finalement elle tourna son visage vers lui, l'agent Taylor constata qu'elle était jolie comme un coeur, même s'il émanait quelque chose de sauvage de ses traits délicats. Répondant à sa demande implicite, Mélinda ondulait des hanches, et remuait son petit cul vers l'arrière. Lentement mais sûrement, Jack sentait sa grosse queue s'enfoncer au plus profond des entrailles de la lycéenne. Lorsqu'elle l'agrpipa par la nuque, il eût un hoquet de surprise : ce n'était pas des ongles qu'elle avait, mais de véritables griffes ! "T'es une vraie sauvage, ma salope", lança-il, alors qu'une vague de plaisir l'envahissait. L'agent Taylor était suffisamment expérimenté pour apprécier les délices d'une sexualité brutale, mélangeant plaisir et douleur.

Une bonne moitié de sa bite gonflée était à présent enfilée dans l'arrière train de la lycéenne qui l'encourageait de mots crus. Et vulgaire avec ça. Jack se passa la langue sur les lèvres. Cette espèce de pute avait retourné son petit jeu contre lui, et prenait un malin plaisir à le rendre fou en s'empalant avec une lenteur infinie sur son pieu. Il se pencha par dessus l'épaule de Mélinda, pour lui susurrer quelques mots à l'oreille, sur un ton d'une douceur infinie, qui tranchait avec l'extrême obscénités de son langage. "Ecoute moi bien, petite chienne. Je vais te baiser le cul si fort que tu vas gueuler comme une truie. Puis je me viderai les couilles dans ton petit trou, encore et encore." Puis il se redressa, et extirpa sans mal sa queue du fondement de l'adolescente, lui écartant les fesses afin de contempler son anus béant, trempé de salive et d'un peu de foutre. Il y envoya une petite claque qui produisit un infâme son mouillé, puis présenta de nouveau son gland violacé devant son anus. Ah elle voulait se faire défoncer ? Elle allait être servie. Jack l'agrippa fermement par les hanches, puis s’enfonça brutalement en elle jusquà la garde, faisant claquer ses bourses pleines contre son cul. "Oh putain", lâcha-il, haletant. Le choc avait été si violent, qu'il avait envoyé Mélinda s'enfoncer encore plus profondément entre les fesses de sa camarade. Jack, en nage, commença à se mouvoir doucement dans le fondement de sa partenaire, afin de l'habituer à l'épaisseur de son sexe. Elle était si chaude et étroite ! Il n'y avait rien au monde que Nathan préférait, que de sodomiser des adolescentes au corps gracile avec une queue qui faisait le diamètre de leur avant bras.

Cédant à une impulsion subite, l'agent Taylor remonta l'une de ses mains le long des hanches de la jeune femme pour lui caresser le ventre l'espace d'un instant, puis de triturer un mamelon, et enfin de lui saisir le menton pour tourner le visage de Mélinda vers lui. "C'est parti", lâcha-il, avant de l'embrasser à peine bouche, forçant les lèvres humides de l'adolescente avec sa langue. L'instant d'après, il imprimait un mouvement vigoureux à son bassin, faisant tressauter le corps de l’adolescente à chaque coup de butoir. Ses yeux plongés dans les siens, il la besognait à présent avec une rage et une vigueur qui tenait davantage de l'animal en rut que de l'être humain.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 17 novembre 2012, 09:55:51
A bien y réfléchir, leur position était assez cocasse. Mélinda n’aurait pas trop su dire comment elle en était arrivée là, presque en sandwich. Elle faisait initialement tout simplement une petite séance de détente à sa petite Shii, qui avait eu une dure journée, ce qui, pour l’étudiante, était synonyme de stress. Shii, contrairement à Mélinda, n’était pas aussi perverse que sa Maîtresse, et n’aimait pas énormément faire l’amour avec ses professeurs. Il était probable qu’elle allait se reprocher, ou reprocher à sa Maîtresse, ce qui se passait. Elle ne le dirait jamais explicitement, bien sûr, mais Mélinda ne serait pas une bonne Maîtresse, si elle ne savait pas comment ses protégées fonctionnaient.

L’homme lui disait qu’elle était une femme sauvage. Elle eut un léger sourire. Sauvage... N’était-ce pas l’une des facettes des vampires ? Il existait peu d’espèces aussi contradictoires, paradoxales, que les vampires. Ils étaient à la fois élégants, raffinés, et cruels, brutaux, sauvages, sanguinaires. Ils étaient beaux, s’habillaient de vêtement luxueux, mais adoraient boire le sang, avaient de longues griffes et des canines pointues... Oui, les vampires étaient paradoxaux, impossibles à classer, à catégoriser... On les disait mauvais, mais ils étaient tellement plus compliqués... Elle frémissait de plaisir, tandis que la pauvre Shii se contorsionnait, toujours aussi rouge, toujours aussi désirable... Mélinda pouvait difficilement résister à un tel appel. Shii était vraiment atroce pour ça ! Elle rougissait comme une espèce d’usine à gaz ! La vampire se mordillait lentement les lèvres, et sentit alors Jack s’enfoncer en elle, lui faisant pousser un petit cri.

*C’est un vrai colosse, ce mec !*

Elle se retrouva plaquée contre le corps de Shii, si près de sa gorge, et ses canines pointèrent presque automatiquement, son souffle chaud et rauque soufflant sur sa gorge. Elle sentit Shii se tendre, comprenant que sa Maîtresse allait planter ses crocs en elle... Et, pile au moment où elle allait faire, elle sentit l’homme bouger sa tête, poser une main sur l’un de ses seins, et l’embrasser. Un frisson d’irritation traversa le corps de Mélinda, qui résista à la tentation subite de le balancer à l’autre bout de la pièce. Priver un vampire de sa source de nourriture sanguine était le meilleur moyen d’attiser sa fureur, mais elle sentit pile au même moment le membre tendu du prof’ inconscient s’enfoncer en elle, écartant douloureusement ses fesses, tandis qu’il continuait à l’embrasser.

« Hnnnn... !! »

Mélinda le mordilla avec ses canines, faisant couler un peu de son sang, tandis que ses griffes dans sa nuque faisaient également perler son sang. Elle était en manque, et pas uniquement de sexe. Le sang la tentait ! Elle rompit le baiser, et se plaqua contre le corps de Shii, ses mains caressant ses hanches. Shii gémit lentement. Elle avait des ongles en sang, et les remonta pour caresser l’un des seins de la lycéenne, avant de les glisser dans ses lèvres. Elle gémit, mais il y avait si peu de sang qu’elle ne sentirait rien. Mélinda enfonça alors ses crocs dans la nuque de Shii, et se mit à boire son sang, gémissant lentement, se cramponnant au corps de cette dernière.

« Haaa... Haaa, Maî… Maîtresse… »

Shii se mettait à mouiller de plaisir. Oh, elle adorait ça ! C’était clairement son fantasme : se faire mordre par un vampire... Alors, quand ce vampire était sa Maîtresse, c’était le nirvana. Elle était proche de l’orgasme, tout comme Mélinda, qui buvait lentement son sang, laissant à l’homme le soin de la sodomiser. Autant qu’il en profite, car elle comptait bien lui rappeler ensuite qui était la patronne ici.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 18 novembre 2012, 15:24:52
Jack était ivre de plaisir, si bien qu'il sentit à peine les canines de Melinda lui ouvrir la lèvre et ses ongles s'enfoncer dans la chair tendre de sa nuque, trop occupé à enfouir son vit au plus profond de ses entrailles. Le bruit du claquement de chairs obscène qui accompagnait chacun de ses vigoureux coups de reins résonnait dans la salle de la classe et enivrait l'agent Taylor, qui approchait de l'orgasme. Toutefois, un mouvement de l'adolescente qu'il besognait consciencieusement lui fit froncer les sourcils ; Mélinda s'était jetée sur le cou de la petite Shii avec un empressement étrange, dévoilant par la même occasion, des quenottes pointues. "Eh oh..." Un frisson d'horreur lui parcouru l'épine dorsale, alors qu'un léger filet vermillon s'écoulait du cou de la petite soumise. "Du sang ? C'est un putain de vampire ou quoi ?" Non, c'était invraisemblable. Les vampires n'existaient pas. Dans l'esprit rationnel de l'agent Taylor, les créatures surnaturelles appartenaient uniquement au domaine de la fiction et du fantasme. Pourtant, il n'avait jamais assisté à un tel phénomène, le pire étant que Shii couinait de plaisir comme une petite chienne. L'instinct de Jack lui hurlait de s'enfuir en courant, mais il avait franchi le point de non retour et pas un seul instant, il n'avait cessé de défoncer le délicieux petit cul de la lycéenne. "Je... Je viens !" Les yeux fous et le torse en nage, il se raidit brutalement, alors que son phallus se convulsait violemment dans le fondement de Mélinda, expulsant des quantités invraisemblables de foutre brûlant et épais. "Ah... Ahhh !" Loin d'interrompre sa pénétration à rebours, l'homme se servait de l'anus étroit de son amante pour littéralement drainer son sperme, agitant son corps gracile sur son pieu pendant de longues secondes, jusqu'à ce que le déluge de semence se tarisse. Lorsqu'enfin ce fut terminé, il glissa son sexe en berne hors du fondement de l'adolescente avec une certaine délicatesse, caressant au passage sa chatte du bout de son gland souillé. Pantelant, l'homme s'écarta d'un pas pour contempler son oeuvre. De l'anus dilaté à l'extrême de la jeune fille, s'écoulait son foutre qui s'insinuait entre ses lèvres de son pubis, et dégoulinait le long de ses cuisses.

Son orgasme avait été dévastateur et il en avait des papillons devant les yeux. Titubant, il s'éloigna de ses deux élèves pour s'adosser à un pupitre. La frayeur que les canines de Mélinda avait d'une étrange manière, décuplé son excitation sexuelle. Mais à présent, Jack ne tenait pas à rester une seconde de plus dans la salle de classe. Il se sentait vulnérable après avoir joui et se refusait à réaliser qu'il venait de voir une jeune fille planter ses dents dans le cou d'une de ses camarades afin de se repaître de son sang. Ca n'avait pas de sens. Ca ne pouvait exister. Peu conscient du danger qu'il encourrait, Jack se retourna, et se baissa afin de saisir son pantalon qu'il commença à enfiler maladroitement. Sans même prendre le temps de récupérer sa veste, ou d'arranger sa chemise, il se dirigea d'un pas mal assuré vers la sortie de la salle de classe.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 19 novembre 2012, 22:10:06
C’était bon... Oh, c’était tellement bon, le sang de Shii... Un sang timide, discret, et bon, pur et frais... Shii ne buvait pas, ne fumait pas, et était relativement sportive et énergique. Elle prenait soin de son corps, et, dans cette situation, son sang était de qualité. Non seulement elle buvait un sang merveilleux, mais on était en plus en train de la culbuter sauvagement. Le senseï dans son dos la défonçait de plus en plus violemment, s’enfonçant en elle, l’écartelant. Elle gémissait, et l’une de ses mains pressait l’un des seins de Shii, tandis qu’une autre doigtait l’intimité de cette dernière, deux doigts remuant en elle. Elle sentait la mouille de Shii sur ses doigts, coulant de ses doigts griffus et fins.

L’homme continuait à s’enfoncer en elle, à la sodomiser, et elle ne tarda pas à le sentir venir. Il se mit à jouir, et elle poussa un petit cri étouffé, sentant le sperme de ce dernier exploser longuement en elle. Il jouit plutôt bien, avec un plaisir évident. Visiblement, le cul de Mélinda devait être des plus attirants, ce qui n’était pas surprenant. Elle savait qu’elle était belle, et qu’elle avait des fesses magnifiques. Une femme qui adorait tant la sodomie se devait bien d’avoir des fesses agréables. Elle sentit l’homme se reculer, le plaisir s’en allant, et donnant lieu à ce qui était assez classique chez les hommes : la surprise, puis la peur. Mélinda, de son côté, continuait à boire le sang de Shii, gémissant de plaisir, sentant le sperme de l’homme glisser le long de ses cuisses. C’était tellement bon, et elle remonte ses mains sur les deux hanches de Shii, suçant son sang.

Mélinda continuait à boire, avant d’entendre l’homme se retirer. Elle retira alors ses dents de sa nuque, laissant à l’homme le soin d’avancer. Il était assez étourdi, dans cette pièce sombre. Mélinda avait abaissé les stores, et le vit lentement avancer vers la porte, essayant d’enfiler son pantalon. Un sourire traversa ses lèvres, et elle laissa là Shii, puis fit racler ses griffes contre les tables en bois, s’avançant vers l’homme.

« On s’enfonce, et on ressort sans demander son reste, professeur ? Ce n’est pas très correct... »

Les griffes raclaient contre les tables. Elle aurait pu le rattraper rapidement, et l’empêcher de fuir, mais elle nota que l’énergumène avait oublié ses vêtements. Elle ouvrit les pans de sa veste, et trouva son portefeuille. Les hommes... Ils étaient vraiment stupides.

« Où donc courez-vous comme ça ? Vous en oubliez vos papiers... Je ne sais pas si la presse apprécierait de retrouver sur vos vêtements des traces de cyprine... Les traitements légaux sont très poussés là-dessus... La discrétion est de vigueur dans ce lycée pour ce qui concerne ce genre de relations, Taylor-senseï. »

Mélinda tenait entre ses doigts sa carte d’identité, prête à la déchirer. Bien sûr, si ce dernier envisageait de partir, elle allait devoir le rattraper de force, et le traîner le long du couloir. Cet homme l’avait, non seulement enculé comme une chienne, mais grossièrement insulté. Il était temps pour lui d’assumer les conséquences de ses actes. Mais, dans l’absolu, elle préférait qu’il revienne, qu’il se laisse faire, dominer volontairement... C’était toujours plus gratifiant.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 24 mars 2013, 17:54:11
Lorsque Mélinda l’interpella, Jack était sur le point de quitter la salle de classe. L’étourdissement passager dont il avait été victime s’atténuait et il n’avait qu’à piquer un bon sprint pour se débarrasser de cette espèce de vampirette et de son esclave favorite. Néanmoins, la curiosité de Jack prenait peu à peu le pas sur la crainte que pouvait susciter chez un être aussi rationnel que lui, la manifestement de phénomènes surnaturels. Il se retourna vers la jeune femme, tout en boutonnant soigneusement sa chemise en coton. « Désolé princesse, je serais bien resté davantage avec toi et ta copine, mais j’ai une tonne de copies à corriger pour demain. Mais si tu veux on peut remettre ça à… Eh oh, touche pas à ça ! » Quel imbécile ! Oublier sa veste dans un moment pareil… Voila qui ne lui ressemblait pas du tout. Lorsqu’elle s’empara de son portefeuille, il grimaça. Ce qui devait arriver arriva et les menaces à peine voilées de l’adolescente étaient plus qu’inquiétantes. Plaquant un sourire de façade sur son visage, l’agent fit quelques pas vers Melinda, les mains levées et écartées en signe de paix. Surtout ne pas paniquer. Jack ne craignait pas pour sa couverture : il en fallait beaucoup plus pour le griller. Néanmoins, avec ce genre de preuve, le professeur Jack Taylor risquait bien de finir au trou pour une petite dizaines d’années ainsi que de provoquer un incident diplomatique entre les Etats-unis et le Japon…. Et il était assez peu probable que le fait d’alléguer du fait que l’adolescente qu’il venait de sodomiser vigoureusement était une - Quoi d’ailleurs ? Vampire ? Démone  ?- servirait sa défense. Au mieux il pouvait espérer l’acquittement pour démence. vaste programme.

« Ecoute, je pense qu’on est pas obligé d’en arriver à ce genre d’extrémité. J’ai pris mon pied entre tes jolies fesses, toi aussi et… Ta copine aussi. » Jack désigna la petite Shii, effondrée contre le mur, son petit corps tiède et juvénile encore agité de légers soubresauts. Jack se passa rapidement la langue sur les lèvres et expira longuement pour éviter que des pensées parasites ne vienne le distraire alors qu’il parlementait. « Vous n’êtes peut-être pas adultes, mais mon petit doigts me dit que vous étiez pleinement consentantes à ce que je vienne vous rejoindre. Je me trompe ? » A mesure qu’il s’efforçait de calmer le jeu, l’agent Taylor avançait prudemment vers Mélinda, à demie-nue, malgré son cœur qui battait la chamade. « Je pense qu’un petit examen médical révèlerait à mes juges que vous n’en êtes pas à votre coup d’essai. » Jack sourit : n’importe quel docteur qui constaterait l’état de dilatation de l’anus de Mélinda serait horrifié : en dépit de sa juvénilité apparente, son derrière avait probablement été visité un nombre incalculable de fois. Quant à Shii… Elle devait probablement être un peu plus serrée. Voila quelque chose que j’aimerais bien vérifier… A présent, l’américain n’était plus qu’à deux mètres de son élève, et il hésitait. Théoriquement, la maîtriser et s’emparer de ses papiers d’identité ne devait pas poser de problème. Néanmoins, il n’avait pas la moindre idée de ce dont était capable cette étrange créature. Il restait que la jeune fille pouvait toujours l’accuser sans cette preuve, avec le témoignage de Shii à l’appui. Non, de tote évidence, mieux valait négocier. « En outre, je pense que la grosse queue qui te pend entre les jambes ferait aussi un beau sujet de tabloïd, qu’est-ce que tu en penses ? », lança-il, goguenard.

Baissant les bras, Jack s’installa sur une table en face de son interlocutrice, ne quittant pas ses beaux yeux verts du regard, attentif à tout changement dans l’attitude de cette dangereuses poupée. Il extirpa une cigarette de son paquet, la porta à son bec et l’alluma. Naturellement, c’était interdit. Mais Jack n’était plus à ça près. « Ecoute petite… Je ne connais même pas ton nom, d’ailleurs. Elle, c’est Shii, et elle est dans ma classe. J’ai cours avec elle demain. Quant à toi… Il me semble bien t’avoir aperçue ici ou là, mais je t’ai jamais eu comme élève. » Jack fronça les sourcils, se forçant à faire fonctionner sa mémoire eidétique. Il avait pris le temps de consulter le trombinoscope des élèves du lycée peu après son arrivée, et la jeune fille devait forcément y être. «Tu dois être… Mélinda, Mélinda Warren, c’est ça ? » Appeler quelqu’un par son prénom avait toujours comme conséquence de voir les réticences s’amenuiser et la confiance s’instaurer progressivement. C’était la base de la base de la programmation neurolinguistique. Restait à espérer qu’elle y fut sensible. « Ecoute Mélinda, je veux pas d’emmerdes. Je suis prof ici, et je tiens à garder ma place. Qu’est-ce que tu veux de moi ? »

De toute évidence, la vampirette était une adolescente particulièrement intelligente : elle avait sûrement une très bonne idée derrière la tête pour vouloir le faire chanter. Jack sourit malgré lui. Si ce chantage comprenait des ébats bestiaux, il n’était pas contre. En outre, cela lui permettrait probablement de recueillir des informations supplémentaire sur la nature biologique de Mélinda et sur ses intentions. Ils vont bien se marrer, à la CIA… L'agent Taylor expira longuement, des volutes de fumée s'échappant de ses lèvres pour s'élever vers le plafond de la salle de classe.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 25 mars 2013, 12:13:49
Le chantage... Une chose que Mélinda adorait, surtout quand elle avait toutes les cartes en main, comme en ce moment. L’honorable professeur voulait filer comme un voleur, mais en avait oublié ses affaires. Tandis que Shii restait dans son coin, gênée, Mélinda faisait face à l’humain sans inquiétude. Pour elle, une vampire, il était un être qui, par nature, lui était inférieur. Elle n’avait nullement peur de lui, et elle s’amusa de le voir organiser sa défense, essayant de lui faire peur. Elle l’écouta silencieusement, sans détacher son regard du sien, une ombre de sourire sur les lèvres, sourire qui allait en s’accroissant au fur et à mesure qu’il continuait à défendre son cas. Il l’appela par son nom, ce qui ne la choqua nullement. En revanche, la surnommer « petite »... Certes, Mélinda n’était, physiquement, pas très grande, mais, pour le reste, elle avait bien plusieurs siècles dans les pattes. Pour une vampire, elle n’était pas très vieille, mais, par rapport à des humains, qui parvenaient difficilement à dépasser le siècle, il y avait de quoi se gausser. Comme quoi, les apparences...

Quand il sortit sa cigarette, elle fronça les sourcils. L’odeur du tabac l’insupportait. Elle n’avait jamais réussi à comprendre pourquoi les espèces inférieures aimaient tant ce genre de produits. Non seulement ils puaient, mais ils atténuaient substantiellement la qualité de leur sang. C’était pour ça que ses esclaves n’avaient nullement le droit de fumer. Elle n’hésitait pas à pratiquer des saignées sur les anciennes toxicomanes, afin de purifier leur sang.

« Ecoute Mélinda, sembla-t-il conclure, je veux pas d’emmerdes. Je suis prof ici, et je tiens à garder ma place. Qu’est-ce que tu veux de moi ? »

On en arrivait enfin aux choses intéressantes. Taylor-senseï avait compris de lui-même que son argumentation ne tenait pas debout, et que Mélinda n’était nullement effrayée. Entre deux innocentes jeunes filles et un sale professeur pervers, gaijin de surcroît, les juges hésiteraient peu. Ce simple fait était suffisant. Elle se mit alors à sourire, un sourire étincelant, révélant ses belles dents cristallines et pointues, avant de passer, brièvement, sa langue sur ses lèvres.

« Ce que je veux ? Pour commencer, que tu éteignes cette foutue cigarette, elle m’irrite les narines. »

C’était un préalable indispensable pour la négociation. La vampire secoua la tête, remuant ses longs et magnifiques cheveux, puis alla s’asseoir sur la table à proximité, avant de croiser les jambes, son sexe masculin disparaissant comme par enchantement. Elle pouvait le rétracter et le faire apparaître sans difficulté. Et elle doutait que l’expertise scientifique ne parvienne pas à ne pas le remarquer. Or, il valait mieux éviter que ce genre de choses arrive.

« Ensuite, je ne veux rien de particulier de toi... Que pourrais-je bien vouloir ? Je n’ai pas besoin d’argent, et j’ai déjà des esclaves. »

Si Mélinda avait des esclaves mâles, ils étaient peu nombreux. Le sexe, c’était surtout une affaire féminine, et la plupart des clients d’un harem étaient des hommes. Pour autant, Mélinda avait bien quelques hommes comme prostitués, mais elle voyait mal Taylor-senseï y figurer. Et puis, Mélinda avait déjà eu suffisamment de problèmes avec certains professeurs pour ne plus retenter cette expérience. Elle préférait se concentrer sur les élèves, qui étaient bien moins irritants, et bien plus conciliants. Son sourire se raffermit, alors qu’elle se penchait vers lui.

« Ce que je veux est bien plus simple... Tu m’as défoncé le cul sans autorisation... Je crois que je pourrais prétendre à la même chose, petit humain. »
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le lundi 25 mars 2013, 14:13:16
Mélinda avait une telle confiance en elle que s'en était presque perturbant. A demie-nue, l'anus encore dilaté de la puissante pénétration qu'il lui avait imposée, la vampirette tenait encore tête à son "professeur." Si la situation n'avait pas été aussi délicate, Jack aurait sans nul doute sorti à nouveau sa queue colossale afin de dompter la belle arrogante. Lorsqu'elle lui demanda, ou plutôt ordonna de cesser de fumer, l'agent Taylor l'ignora purement et simplement. Pis encore, il expira dans sa direction, escomptant bien irriter un peu la lycéenne en retour. Néanmoins, après quelques longues secondes de silence, il se plia à sa volonté de mauvaise grâce, éteignant sa cigarette du bout de ses doigts, astuce inutile mais amusante qu'il avait appris chez les Marines. "Je t'écoute." La jeune femme s’était assise en face de lui, croisant ses jolies jambes d’albâtre. Les mots qui franchirent ensuite ses lèvres le laissèrent absolument perplexe. Des esclaves ? Allons bon, il devait sûrement s’agir d’une métaphore. Aussi sûre d’elle et surnaturelle qu’elle pouvait sembler, Jack doutait qu’une créature aussi juvénile qu’elle puisse réellement asservir des êtres humains. D’ailleurs, plus le temps passait, moins elle lui semblait redoutable. Elle avait des canines pointues, des ongles crochus et un membre masculin d’une taille honorable, soit. De là à en déduire qu’elle représentait une menace pour lui, il y avait un fossé. « De toute façon, je ne crois pas qu’il soit possible de m’asservir », lâcha-il, presque sans le vouloir. Jack Taylor retirait en effet un orgueil certain d’avoir été fait prisonnier en Afghanistan pendant de longs mois, torturé avec plus ou moins de subtilité, mais de n’avoir jamais cédé. Dire qu’il n’avait pas hurlé de douleur ou abjuré plusieurs fois aurait été un mensonge ; néanmoins il était parvenu à garder son identité et le but de sa mission secret, avant que ses petits camarades des Delta force ne le récupère en piteux état. En conséquence, toute allusion à l’abaissement, même éventuel de son âme lui faisait l’effet d’une gifle. « Annonce ton prix », ajouta-il d’un ton irrité.

Néanmoins, l’agacement succéda bien vite à la surprise et la surprise à l’hilarité. De toutes les propositions sexuelles qu’on lui avait faite jusqu’à lors, celle-ci était des plus cocasse : laisser une lycéenne avec un vit assez épais pour faire rougir de honte ses camarades du sexe masculin lui pilonner le derrière. « Ah ah, tu déconnes ? » Néanmoins la dérision qu’affichait l’agent Taylor était là encore de pure façade. A dire vrai, lorsque la jeune fille avait énoncé sa condition, un afflux sanguin massif était venu gonfler sa queue, alors qu’un frisson de désir lui avait parcouru l’épine dorsale. L’agent Taylor était un sodomite complet, et ne rechignait pas devant une sodomie passive. Bien des années plus tôt, sa sœur aînée l’avait initié à de tel plaisir en lui glissant un doigt ou deux dans l’anus lors des fellations qu’elle lui prodiguait, ce qui engendrait naturellement des éjaculations stupéfiantes. Par la suite, elle l’avait même pénétré avec des godes et autres accessoires. Il avait ensuite fallu un certain temps pour que, arrivé à l’âge adulte, Jack accepte sa bisexualité. Il s’était d’abord contenté de sodomiser certains de ses camarades de fac, puis la promiscuité des marines et leur isolement complets pendant de longs mois l’avait incité à expérimenter de nouvelles choses. Une belle nui d’été, au milieu du pacifique, sur le Hope, croiseur américain, Jack avait gouté à la présence d’un chibre chaud dans son fondement. La douleur s’était longtemps disputé au plaisir avant qu’il n’inonde le point de son foutre, son amant se vidant dans ses entrailles.

Il restait que si la queue de l’adolescente n’était pas aussi impressionnante que la sienne, l’agent Taylor n’avait négocié un tel morceau de chair entre ses fesses. L’opération risquait d’être douloureuse… Mais aussi, probablement, d’une jouissance sans pareille. Jack sentait qu’il approchait du point de non retour : sa grosse queue enflait à nouveau et déformait le tissu de son pantalon, alors que son anus se dilatait légèrement sous l’effet de l’excitation. « Qui te dis que j’apprécierais de me prendre ton engin dans le derrière ? », lança-il, pris au piège de son propre désir. S’écartant de la table sur laquelle il était assis jusqu’à lors, il contourna Mélinda et s’approcha de la pauvre petite Shii, laissée pour compte depuis cinq bonnes minutes, palpant son phallus à travers son pantalon, l’air pensif. « D’accord », lança-il à Mélinda, par-dessus son épaule. « Mais je veux qu’elle me suce. Et je veux prendre son cul, aussi. » Le point de non-retour était dépassé. Sans transition, le « professeur » extirpa sa queue massive et à demie bandée de son boxer. A raison de son éjaculation quelques minutes plus tôt, quelques gouttes de spermes perlaient de son méat et son gland, grosse fraise boursouflée, semblait encore plus boursouflé qu’avant. Se décalottant entièrement, Jack s’approcha de Shii, assise contre le mur, et la força à se redresser légèrement en la saisissant par le bras. D’un main autoritaire, il lui releva ensuite le menton vers le haut pour qu’elle le regarde. Un bruit mat et mouillé résonna dans la salle de classe lorsqu’il envoya sa belle queue frapper contre la joue fraîche de son élève, y laissant au passage une légère traînée de foutre tiède. « Tiens, suce-moi, petite salope, suce cette grosse queue aussi bien que si c’était celle de ta maîtresse et je te mettrais une bonne note au prochain contrôle », lâcha-il, haletant déjà. S’il ne semblait plus faire attention à Mélinda, Jack l’attendait de pied ferme. En attendant, il promenait son sexe brûlant sur le joli visage de son élève, lui caressant distraitement les cheveux de sa main libre.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 28 mars 2013, 10:22:36
Taylor-senseï n’avait visiblement pas saisi l’ampleur de sa situation. Il narguait Mélinda, sans comprendre qu’il jouait avec le feu. Elle était presque tentée d’essayer de l’asservir, histoire de lui montrer de quoi les esclavagistes ashnardiens étaient capables pour briser les volontés de leurs victimes, mais ce n’était pas de cette manière qu’elle avait des esclaves. C’était bien pour ça qu’elle ne s’intéressait que peu aux professeurs, ils étaient trop arrogants, trop présomptueux, bien trop suffisants de leur petite personne. Les lycéens, inversement, étaient bien plus accessibles, car ils avaient toujours des doutes, des questions, des hésitations. Mélinda leur apportait des réponses concrètes, ainsi que de fortes satisfactions physiques. Pour autant, elle ne se faisait aucun doute. L’homme était excité à l’idée d’être sodomisé par elle. Elle le sentait à travers ses ondulations sanguines, et son rire sonnait terriblement faux. Il bandait à cette idée, et elle se permit de sourire, avant qu’il ne mette ses propres conditions, qui consistaient à ce que Shii lui fasse une fellation. A cette idée, l’intéressée rougit encore plus, et poussa même un petit cri quand Jack s’approcha d’elle, approchant son membre de sa joue. Elle tourna la tête, n’osant rien dire, et Mélinda décida d’intervenir.

Contrairement à beaucoup d’autres filles, Shii était une grande timide, une jeune femme nerveuse qui n’aimait que peu faire l’amour au lycée. Elle descendait d’une famille traditionaliste, et, si elle savait que faire l’amour avec les profs était un grand fantasme, pour elle, et quand bien même ça pouvait l’exciter, elle restait en retrait. Si Mélinda lui avait fait l’amour dans cette salle, c’était parce que Shii n’avait pas osé la repousser. Et, si elle avait effectivement pris du plaisir, elle en avait aussi eu honte.

« Tiens, suce-moi, petite salope, suce cette grosse queue aussi bien que si c’était celle de ta maîtresse et je te mettrais une bonne note au prochain contrôle.
 -  N-Noon... » protesta-elle faiblement.

Mélinda sauta sur le sol, et attrapa l’homme, l’écartant. Elle avait une force vampirique, surhumaine, et repoussa sans problème l’homme, l’envoyant sur le sol. Il tomba sur les fesses, et Mélinda se plaça devant lui.

« Ne rêve pas, petit homme. Ici, c’est moi qui décide ce que tu fais. »

Shii était dans son coin, se redressant lentement, baissant la tête en rougissant. Mélinda était entre elle et le professeur, et posa ses mains contre la nuque de ce dernier, tandis que son sexe masculin ressortait de son intimité, près des lèvres de l’homme. Elle avait bien compris que cet homme était du genre tenace.

« C’est toi qui vas sucer ma queue, petit humain. Et, selon ta performance, j’aviserai de ce que tu pourras faire avec Shii. Allez, ouvre la bouche, et suce ! »
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 31 mars 2013, 18:30:01
Lorsque sa jeune élève se refusa à prendre son sexe en bouche, Jack fit la moue. Eh quoi ! n'avait-elle pas la queue de Mélinda dans son cul, cinq minutes plus tôt ? Peut-être était-elle de celles qu'il fallait forcer un peu. Jack tapota son gland sur la joue fraîche de de la jeune fille, se préparant à prendre sa bouche de force. "Allez, dépêche-toi." Néanmoins, il n'eût la possibilité de s'exécuter puisque l'instant d'après, une force irrésistible, l'envoya directement sur le derrière, deux mètres plus loin. Le première réflexe de l'agent Taylor fut de porter sa main à l'arrière de son pantalon, à la recherche d'un révolver absent. Lorsqu'il leva les yeux, la lycéenne le surplombait de toute sa petite taille, triomphante. L'homme ne put réprimer un sourire : pour projeter avec autant de facilité ses quatre-vingts kilos de muscles, la gamine avait une force carrément surréaliste, pour son gabarit. "T'es vraiment pas humaine, pas vrai ?" Visiblement résolue à mener la danse, Mélinda approcha son bassin de son visage, l'aggripant par la nuque, alors que Jack pouvait observer le phénomène le plus étranges qu'il lui avait été donné de voir jusqu'à lors. de la petite chatte rose et humide de l'adolscente, émergeait à nouveau un membre viril débandé, mais néanmoins de bonne taille, et ce juste sous son nez. Partagé entre la stupeur et le ravissement, Jack avait les lèvres entrouvertes, le regard vitreux. Sans même s'en rendre compte, il avait laissé sa main glisser vers sa propre queue, dont il frottait doucement le gland humide avec la paume de sa main. Lorsque Jack couchait avec des hommes, il les choisissait jeunes et plutôt effeminé : les partenaires virils ne l'intéressaient que peu; le mâle dominant, c'était lui. En conséquence, Mélinda représentait le partenaire idéal : le physique d'une ado, et une bonne queue pour lui limer un peu le trou du cul. Mais si cette belle bite n'était pas aussi impressionnante que la sienne, il y avait de bonne chance pour qu'elle lui déchire l'anus; Jack n'avait encore jamais accueilli de phallus de cette taille entre les fesses : une jolie petite verge de lycéen suffisait généralement à lui masser la prostate et à le faire décharger des torrents de foutre s'il se branlait en même temps.

Sans même réfléchir, dès Mélinda lui en donna l'ordre, L'agent Taylor tendit la main vers la verge encore molle de l'adolescente qu'il commença à branler avec délicatesse vers le bas, en prenant le soin de décalotter le gland à chaque fois. Tout mâle dominant qu'il était, Jack s'amusait parfois à se laisser dominer par de jeunes partenaires vindicatives, avant de leur montrer finalement qui était le patron, en les sodomisant brutalement. Mais cette fois, c'était différent : Jack savait que la vampirette avait réellement le dessus sur lui en cet instant précis et que cela n'était pas qu'un jeu. La sensation était étrange, frustrante même, mais Jack était trop excité pour s'en indigner. Sans proférer un mot il avança le cou pour plaquer son visage contre la queue de l'adolescente et en humer les effluves. Ca puait le foutre, la cyprine et l'odeur si particulière de l'anus, ce qui ne manqua pas de raidir encore davantage sa grosse queue." Hmmm." N'y tenant plus, il fit glisser le gland de Melinda sur sa langue jusqu'entre ses lèvres pour le téter, agitant légèrement la langue au dessous de gland pour en agacer le raphé. La belle queue de l’adolescente enflait entre ses lèvres, et bientôt Jack pût la branler consciencieusement. Levant les yeux vers la lycéenne, Jack extirpa le sexe durci de sa bouche avec un bruit mouillé, pour en lécher avidement la hampe et le méat qu’il pénétra du bout de la langue, recueillant ainsi un peu de précieux pré-sperme. « Alors princesse, ça te plaît ? Tu vas me gicler dans la bouche, petite pute ? » Humectant deux doigt de sa main libre, Jack glissa sa main sous les fesses de la jeune femme, pour glisser deux doigts dans son anus encore dilaté. Sitôt fait, il s’enfonça la belle bite bandée jusqu’au fond de la gorge, s’étouffant presque, tout en la masturbant vigoureusement et d’une poigne de fer.
Titre: Re : Quand on se mêle des affaires des autres... [Jack Taylor]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 31 mars 2013, 22:59:01
« T'es vraiment pas humaine, pas vrai ? »

Cette question rhétorique n’appelait pas de réponse, car cette dernière était évidente. Au-dessus de l’homme, Mélinda agissait dans le rôle qui lui convenait le mieux : la dominante. Elle était une esclavagiste, la puissante Mélinda Warren, la gamine qui, contre toute attente, avait réussi à empêcher que son harem ne soit avalé par les concurrents. Elle avait réussi à se tailler un nom au milieu des loups, des tigres, et des requins. Un misérable humain ne pouvait décemment pas l’impressionner. A terre, Taylor-senseï commençait à le réaliser. Le pauvre n’avait pas de chance. Après ses déboires avec Yamagashi-senseï, dont la simple évocation du nom suffisait toujours à lui donner des envies de meurtre, elle était bien plus sévère à l’égard du corps enseignant. L’homme était lent à la détente, mais, en voyant sous ses yeux le sexe masculin de Mélinda revenir, il dut réaliser qu’il n’était pas en position de force, et décida d’agir de manière typiquement humaine : en se soumettant.

*JE mène la danse, JE décide de ce qui se passe, humain...* songeait, avec une certaine satisfaction, l’arrogante vampire.

Se redressant lentement, Taylor-senseï finit par enfoncer le sexe de Mélinda dans sa bouche, tout en enfonçant deux doigts dans ses fesses. L’intéressée soupira de plaisir, et posa ses mains sur la tête de l’homme, caressant ses cheveux, plaquant sa tête, lui griffant même partiellement la peau. Son instinct lui avait soufflé qu’il y avait de fortes chances pour que le senseï soit bisexuel. Ceci se confirmait, vu la facilité avec laquelle il avait gobé son sexe. Mélinda trouvait ça assez excitant, qu’un homme soit de l’autre côté de la queue. Généralement, c’était plutôt la femme qui suçait. Que ce soit l’inverse, il fallait bien le dire, était particulièrement gratifiant. Un sourire ravi sur les lèvres, Mélinda révélait sans hésitation ses canines, tandis que son érection avait rapidement atteint sa belle normale, devenant une belle queue élancée qui pulsait sur son sang. Ce sexe était d’origine magique et génétique, elle aurait tout à fait pu accroître sensiblement sa taille, mis, dans la mesure du possible, elle préférait un membre de taille normale. Un membre trop gros pompait bien trop son sang.

En souriant, elle continuait à caresser les cheveux de Taylor-senseï avec ses solides mains, empêchant tout simplement ce dernier de se retirer. Il enchaînait les gorges profondes avec passion, confirmant ainsi qu’il était à l’image des professeurs de Mishima : un pervers. C’était à croire que ce lycée cherchait à regrouper sous un même toit tous les plus gros pervers de la planète, des gens qui n’hésitaient pas à coucher avec leurs élèves, et ce sans ressentir la moindre gêne.

« Hummmm... Oui, oui, c’est bon, mon brave... Vas-y, suce, suce, mon salaud ! »

En entendant des propos aussi crus, Shii était toute rouge. Elle n’était pas habituée à voir l’image du professeur aussi rabaissée. Hitomi lui avait déjà permis d’apercevoir à quel point son image de la prof’ parfaite était fausse, mais, avec Taylor-senseï, on explosait cette impression. Mélinda tourna la tête vers Shii, et lui fit signe d’approcher.

« Occupe-toi de son sexe, Shii. »

L’intéressée rougit à nouveau, et hocha la tête.

« O-Oui, Maîtresse... »

Les ordres de Maîtresse Warren n’étaient pas susceptibles de contestation. Elle se rapprocha, et se glissa entre les deux, tendant sa main pour attraper le sexe de l’homme, et le relever, afin d’y approcher sa bouche. Elle le prit ainsi entre ses lèvres, et commença à le sucer, conformément à ce que Mélinda voulait, et à ce que Jack Taylor avait espéré. Elle ferma les yeux, et soupira, se mettant à remuer sa bouche, enfonçant ce gros sexe entre ses lèvres progressivement.