Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Les bas fonds => Discussion démarrée par: Magikya le vendredi 21 septembre 2012, 21:51:07

Titre: La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le vendredi 21 septembre 2012, 21:51:07
Les bas fonds de Nexus, Magikya ne pensait pas y aller un jour, Terra était suffisament dangereux comme cela pour ne pas aller tendre des perches. Mais la jeune magicienne était restée depuis de trop longues journées, voir semaines, à étudier de vieux grimoires de magie.
De ce fait, l'aventure lui manquait énormément, or n'ayant pas le temps de partir découvrir de nouveaux endroits, elle avait entendu parler de cette boutique pour aventures artificielles. Malgré qu'elle se soit d'abord refusée à cette idée, celle-ci lui avait trottée dans la tête un bon moment...
Et pour finir, elle s'y était lancée, à travers ce dédale de rues sombres et mal pavées. Elle s'était donc vêtues d'un long manteau noir qui assombrissait son visage.

Elle ne rencontra que peu de monde à l'exception d'un mendiant.

Puis, elle se retrouva devant la boutique, vieille et délabrée, Au petit rêve ...

Elle se mit à douter et voulu reculer lorsqu'un petit homme, gros, d'étranges cheveux verts là où il en restait, sortir brutalement de la porte :

-Oh, client ? Ah, non cliente ! C'est ce que je t'avais dit ! Oh, la ferme !

Magikya regarda autour d'elle mais, non, il semblait bien qu'il se parlait, il lui avait déjà été présenté par un ami, mais de ce qu'elle avait vu, cet énergumène devait probablement l'avoir oubliée...
La jeune magicienne lui tendit donc la main,

-Bonsoir, je suis Magikya, j'ai entendu parler de vos offres...

-Ah oui, la magicienne, oui, oui, Eldor m'a parlé de toi, l'aventure c'est ça ? Oui l'aventure, on en a plein qui le font ! C'est vraiment cool ! Oh, la ferme nom d'un dragon d'eau ! Entres, entres, voilà, enlèves ton manteau et vas t'asseoir sur le siège... Dans la salle à gauche !

Magikya posa donc son manteau, sur une chaise à côté d'elle, elle se retrouvait donc habillée d'un mini short et d'un haut court à bretelle qui laissait voir son nombril et qui épousait à la perfection ses seins, comme deux bonnets, elle n'avait donc pas pris de soutien-gorge, ainsi semblable à un corset.
Elle s'était vêtue de telle manière afin de ne pas attirer l'attention de son maître magicien, il auarait probablement desapprouvé ce comportement risqué.

La pièce était petite, mal éclairée, et de nombreux tuyaux qui comportaient un liquide verts fluorescents criculaient un peu partout. Elle s'assit, attendit un peu puis se mit à paniquer un peu, lorsque le vendeur arriva, portant un plateau avec des fioles de différentes couleurs...

-Voilà, toi c'est l'aventure c'est ça ?

Magikya acquiesca.

-Tiens, prends le bleu là, et hop, tu bois je poses ce bracelet sur toi et re-hop, tu pars dans un monde génial, satisfait ou remboursé, c'est OK?

Magikya acquiesca de nouveau, elle tendit la main, enleva le bouchon et au même moment, le vendeur posa le bracelet qui rejoignait les fils verts. Elle avala d'un trait le flacon, ses yeux commencèrent à se fermer, des images se déroulerent devant ses yeux, la dernière chose qu'elle entendit du monde réel fut un « Merde, ça déconne, débranche-là ! Non je peux pas faire ça, ça va tout faire péter, il faut laisser ! ! »

Magikya ouvrit les yeux, habillée de la même manière, à l'orée d'un bois, elle pouvait voir une plaine non loin et de la fumée, il semblait y avoir un village à l'horizon...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Keleth le dimanche 23 septembre 2012, 16:04:19
Personne ne savait pouquoi le delémion avait été mis en vente. Keleth avait été envoyée pour être la sentence du démon qui avait osé propager et user de cette substance magique si étrange, naturellement interdite aux humains compte tenu des origines purement démoniaques de celle-ci. Aussi la démone avait flairé la trace du démon, et mis quelques jours avant de pouvoir le retrouver dans les bas-fond de Nexus, l'air joyeux, roulant sur l'or, profitant en pleine rue d'une terranide fraichement achetée. Ce fus à vrai dire sa dernière occasion de ressentir le plaisir de la fellation, la démone ayant commencer par lui retirer cet instinct masculin avec toutes les peines du mondes pour se retenir de faire plus ... S'ensuivit alors une longue "discussion" qui fut malheureusement mortelle pour le traitre, damnation à son âme.

Malheureusement pour Keleth, le delémion avait déjà été vendu quelque part dans les bas-fond, et bien sur le corps décapité du démon n'avait pas choisit de lui repondre sur le lieu où se trouvait toute cette saloperie qui obligeait Keleth à faire des heures supplémentaire. Elle resta donc une semaine de plus dans les rues puantes et dégueulasse de cette ville détestable, en ce plan d'existence exécrable, afin de mettre le grappin sur la salopard qui usait de la substance démoniaque pour s'en sortir dans sa petite vie, et lui offrir surement la même sentence qu'au démon qui pourrissait dans un coin de la ville depuis un moment. C'est au bout de nombreuses heures de recherches, espacées sur plusieurs jours, et dans la plus parfaite inégalité, qu'elle découvrit alors qu'un étrange bonhomme avait commercialisé un renouveau dans le domaine de la machinerie et l'illusion, proposant des aventures fantastiques à quiconque mettait la main à la poche... Elle avait enfin son criminel.

Sur place elle agit vite, le type en question ne comprit pas trop quand elle l'assoma. Il semblait étrangement paniqué, courant dans tout les sens comme un idiot en se parlant et criant qu'il avait fait une connerie comme si il n'y était pour rien. À vrai dire elle ne voulait pas l'assomer au départ mais elle l'avait trouvée tellement pitoyable qu'elle n'avait même plus eut envie de lui ôter la vie sur le moment. Regardant d'où il venait, elle prit le chemin de la petite succursale et vit en y entrant la raison d'un tel empressement chez le tenancier du lieu. Une jeune femme était plngée dans la transe du delémion, et apparemment cet abruti n'avait pas bien calculé la dose qu'il lui avait administré, et ainsi n'avait pu la placer dans cet étrange état d'hypnose. Elle était entrée dans un état plus profond que celui-ci, même si pour l'instant la mixture ne semblait pas l'avoir menée ni dans ses rêves ni dans ses cauchemars.

Alors la démone eut une idée, un peu, voir complètement illégale au vu de sa position mais qui lui donnait vraiment envie sur le moment. LA petit fille était dans un état profond et ne se réveillera pas avant longtemps, alors elle pouvait bien se permettre de devenir la "déesse du jeu". Oui elle allait le faire. Respectant les coutumes démoniaques, elle installa le vrai matériel nécessaire à l'utilisation du delémion, et en ingéra une dose convenable pour les quelques heures qui lui permettrons de diriger le tout afin d'envoyer à la jeune fille les signaux obligatoire pour faire démarrer le monde qui l'entoure. Elle s'assit alors dans le siège juste à côté de la jeune fille, fit glisser l'aiguille en elle afin qu'une dose constante de la mixture lui soit propager et laissa le sommeil venir.
_ _ _ _ _

Elle se réveilla alors dans une grande plaine, apparaissant non loin de la jeune fille. Il était temps de mettre en place le jeu, vu que l'enfant ne devait pas savoir comment faire et que le gros porcs était endormi dehors. Bien vite, elle manipula le monde alentour pour le truffer des pièges habituels d'une partie de delémion. Elle ne savait pas à quels pratiques s'adonnaient les hommes avec cette mixture, par contre elle voulait respecter les règles démoniaques naturelles et elle n'allait surement pas s'en priver, le résultat sur les pauvres êtres touchés par une partie de delémion étant toujours un véritable amusement à contempler. Aussi immédiatement qu'elle avait placée les pièges dans le mondes les environnants, elle enroba soudainement la jeune fille d'une coque de racine d'où sortir un étrange personnage, figure féminine faite d'un corps de plante et richement habillée. Elle parla alors à la magicienne avec la voix de Keleth :

- Bienvenue parmi nous ô grande sauveuse. La tyrannie des forces maléfiques sur notre peuple entier est devenue impossible à supporter. Notre monde s'éteint tandis que l'infini puissance du haut-démon grandit, et rien ni personne ici ne peut le vaincre, sauf toi peut-être. JE t'en prie, aide nous, dirige toi vers la forêt, pénètre nos secrets, trouve la faiblesse de l'empereur maléfique et délivre nous de son joug.

Keleth adorait mettre les choses en scène, et actuellement tout commençait de la meilleure des manières possible, la jeune femme seras surement tentée par une aventure aux accents aussi héroïques, sauf que contrairement à une héroïne elle risquait bien plus que quelques points de vies en moins. La démone imaginait d'ici les sévices, les épreuves et tout ce qu'elle pourrait infliger à la pauvre humaine, tout en sachant que cela ne touchait pas l'intégrité physique de le femme et donc qu'il n'y avait ainsi aucuns soucis à se lâcher. Alors Keleth continua sons petit show, faisant de nouveau parler la femme plante :

- Fais vite désormais, j'ai trahis le démon, je suis découverte et je vais bientôt..., dit-elle avant d'être coupée alors que des flammes apparurent pour manger son corps. Aaaaah cours maintenant ... fuis !

Une entrée s'ouvrit dans l'énorme coque de racine pour que la magicienne puissent s'enfuir. Dehors des nuages sombres approchaient et s'accumulaient au dessus de l'ancien refuge de racine, qui maintenant flamboyait à vitesse grand V. Ce fut un dernier éclair provenant des nuages effrayants qui mit fin à la protection de la femme qui avait demandée tant d'aide à la jeune demoiselle, réduisant tout cela à l'état de cendre. La forêt n'était pas si loin que ça, mais tout autour se trouvait de multiples ronces et arbustes dangereusement piquant. En somme, Magikya était désormais dans un monde démoniaque classique, nommé la fureur du haut-démon. Bon parfois les démons profitait de la jolie femme arbre avant qu'elle ne se fasse exploser mais là n'était pas l'essentielle. Elle était entrée dans un lieu dangereux, alors maintenant allait-elle fuire dans les bois ? Allait-elle restée sur la plaine pour éviter les dangers qui peuvent se cacher dans les feuillages ?

En tout cas la partie était commencée.
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Keleth se réveilla sans soucis, la jeune fille dormant à ses côtés avec un air d'ange, même si l'on remarquait sur ses traits les soucis qu'elle rencontrait dans le domaine onirique. Lentement Keleth enleva la perfusion à son bras et regarda les machines un peu plus haut. Dans le fond elle remerciait un peu ce démon idiot qui avait apporté cette mixture en ce monde, même si il était désormais mort, et elle le remerciait parce qu'il lui avait offert un amusement conséquent dans ce monde si peu agréable et triste. Laissant toute l'instalation en état, elle prit même le temps de marquer quelques notes au cas où certains aimeraient s'essayer à tester la fillette en son absence. Comme ça tout le monde pourra devenir "dieu" ou "déesse" du jeu. Avant de partir elle attrapa le corps encore inerte du vieux schizophrène et l'emporta avec elle ... Pas question que ce porc touche à son jouet.

Quittant la zone, elle se répéta les mots habituels de la compétition du delémion : " Et que le plus endurant se réveille en dernier " !
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le dimanche 23 septembre 2012, 16:35:08
La jeune magicienne regarda autour d'elle, l'air paniqué, ce monde ne manquait pas de réalisme, elle avait donc une mission, à elle de l'accomplir. Elle ne savait pas quand elle se réveillererait, et de toute manière, la durée du temps n'atait pas la même entre le rêve et la réalite.

Elle ne savait pas si c'était le changement de cette atmosphère ou bien le froid, mais Magikya se mit un peu à trembler, sa tenue était légère, et ses cheveux bleus bouclés se mirent à se balancer. Le vent commençait à souffler.

Elle ne voulut donc pas se risquer à pénétrer dans cette forêt, se prenant au jeu, elle voulait obtenir plus de renseignements, cela semblait déja un peu risqué de se précipiter dans cette forêt. Elle se dit donc qu'il faudrait aller vers le village, rassemblait un peu d'équipement, d'autant que la forêt était grande alors foncer dans une forêt aussi grande sans aucun repère, c'était un coup à mourir de froid... Enfin mourir, c'est bien vite dit.

Elle se dirigea donc vers le village, il n'était pas si loin, elle se mit à courir, ses seins se balançaient beaucoup malgré son corset. Le village n'était pas si loin, c'était juste le temps de prendre de quoi "survivre" et d'obtenir davantage de renseignements sur toute cette histoire.

Au bout d'un moment, elle y arriva. Des soldats en armure de cuirs vinrent vers elle, un peu surpris. Le village n'était pas très grand.

-D'où venez-vous étrangère ?  

Ils étaient trois, elle put voir quelques villageois au loin. Cela ressemblait vraiment à un petit village du moyen-âge. Elle put voir l'un des soldats, plutot costaud, jeter un regard rapide et un peu gêné vers sa tenue.

-Je ne sais pas trop comment vous l'expliquer. Je m'appelle Magikya, on m'a parlée d'un... D'un haut-démon, est-ce que quelqu'un pourrait m'en expliquer davantage ?

Magikya était un peu maladroite dans ses propos, en même temps, il n'était pas évident d'arriver dans un monde inconnu.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le jeudi 27 septembre 2012, 09:20:46
Silence finit enfin par trouver l'entrée. Au Petit Rêve. C'était beaucoup plus petit, moche et miteux que ce qu'il avait imaginé. Douleur lui avait expliqué qu'un voyage irréel aurait peut-être un impact positif sur son amnésie. Alors il avait décidé de s'y aventurer. À première vue, c'était non seulement miteux, mal entretenu et caetera, mais aussi vide. Personne n'avait l'air de savoir qu'il était là. Le mercenaire entra donc, pensant que de toute façon, les conséquences ne pourraient pas être si terribles. Il marcha dans un petit corridor, posant des pieds méfiants sur des tuyaux parcourus de pulsations de couleur phosphorescence. Une jeune fille était assise sur un siège, les paupières closes, comme pendant une séance d'hypnose. C'était sûrement le cas, d'ailleurs. La première et la seule cliente. Il avisa quelques gribouillis sur une feuille de papier et tenta de les décrypter. Son choc amnésique avait beaucoup émoussé ses talents d'analyse littéraire, mais ses hommes lui avaient raconté qu'il excellait autrefois à cet exercice.

- Blmblmblmblmblmblm... tourner trois fois l'hydromachin... blmblmblm... ne pas omettre de tourner la clé spectroplasmique...

Il ne comprenait pas la plupart de ces mots. Non pas qu'il ne sache les lire, mais plutôt que leur sens lui échappe complètement. La clé devait être la sorte de petite éprouvette terminée par un manche gradué en degrés. Le capitaine des Griffes d'Ammoth comprenait difficilement son intérêt, mais la dernière phrase  du texte l'intéressa beaucoup plus. "Devenez maître de son imagination". Très intéressant... Etant donné son goût prononcé pour la découverte, les expériences et surtout les risques, il ne se demanda même pas comment cette feuille avait pu se trouver là, ni comment ce faisait-il qu'il n'y avait plus personne dans tout le bâtiment. Il relit le texte d'aide, attribua à chaque objet étrange un nom au hasard.

- Donc ça... Ça doit être le Chronocide...

Et il se projeta dans un monde parallèle dont il ne connaissait rien. Il tomba à plat ventre sur de l'herbe fraîche. Il se releva et immédiatement, il eut la sensation bizarre de posséder simultanément deux esprits. L'un d'eux était là, en train de se relever de sa chute, et l'autre avait une vue directe sur une jeune fille fort agréablement vêtue, en train de balloter sa poitrine de gauche à droite puis de droite à gauche, à chaque coup de bassin que nécessitait sa course. Une infinité de possibilités s'offrait à lui, et il se rappela la phrase griffonnée sur le papier. Il modifia l'histoire du plateau spatio-dimensionnel pour qu'elle corresponde au discours que Silence prévoyait pour le garde :

- Le Haut-Démon... Il a commencé à faire parler de lui après avoir kidnappé et dévoré vingt-et-une jeunes filles d'un village voisin. Ah oui, avant il les violait, pour les souiller de façon abominable et les priver du Royaume de Dieu. L'une d'elles était ma fille. Je n'aurais de quiétude avant d'avoir pourfendu ce monstre d'un monde maléfique !

Il distribua trois mentalités aux gardes, soit un pervers, pour faire bonne mesure, l'héroïque qui venait de parler et un vieil homme impatient d'atteindre la retraite. Ensuite, il réintégra un corps "physique", même si cette dimension n'avait en réalité rien de physique, où même de réel. Histoire de pouvoir se rincer l'oeil, il fit rapidement dire au garde :

- Venez-donc, vous avez besoin de vous relaxer. On dirait que vous venez de vivre quelque chose d'incroyable, et vous ne ressembler pas à l'image que propage la rumeur sur le Haut-Démon. Il y a des bains dans ce village. C'est bien la seule chose qui attire les touristes, pour la simple raison qu'ils sont très évolués. Il y a des bassines d'eau chaude prévue pour une à deux personnes, en fonction de qui y vient, un sauna, un bassin public d'eau chaude et un d'eau froide. Vous y trouverez votre bonheur, soyez-en sûre. C'est le deuxième bâtiment après le quartier général des gardes, le seul qui soit convenablement éclairé...

Silence se téléporta derrière Magikya, voir ce qu'elle allait faire lui faisait beaucoup plus plaisir en face... Elle entra dans le bâtiment, semblant ravie. Même pas méfiante. Une jeune fille innocente propre-sur-elle. C'était décidément parfait. Surtout que Silence venait de suivre Magikya dans sa cabine. Il était déjà excité rien que par la tenue légère de la jeune magicienne. Il ne voulait pas lui faire de mal, plutôt lui faire du bien, en fait. Mais en effleurant le corps de la magicienne, il fut déçu. Il ne pouvait pas intéragir avec elle dans ce corps. Il allait de voir se contenter de regarder... Alors qu'il terminait sa réflexion, la jeune fille s'était entièrement déshabillée. Il voulut critiquer son sens de la pudeur, puis se souvint qu'elle ne le voyait tout simplement pas...

Avec un sourire immatériel et invisible sur les lèvres tout aussi immatérielles et invisibles de Silence, celui-ci suivit Magikya. Alors qu'elle ouvrit la porte de la cabine de l'autre côté de l'entrée, elle découvrit une petite pièce circulaire, remplie complètement par un bassin d'eau d'où s'échappait une vapeur chaude... Ravie de cette surprise supplémentaire, elle laissa donc ses vêtements dans la cabine, puisqu'ils y étaient en sécurité. Silence en profita pour rapidement saboter le haut de ma magicienne, car ce n'était pas un être vivant, il pouvait donc le toucher, de sorte que quelques minutes après l'avoir remis, il cède, révélant à tous les chanceux passants la jolie poitrine de Magikya. Il était sadique, et il aimait ça en plus. Dommage que son sadisme soit essentiellement à thème sexuel.

Il entra dans le bassin, appréciant le contact de l'eau chaude, comme s'il était seul dans le bassin. Dans le but de la stimuler, il déclencha une arrivée de bulles très agréables. Cela avait du bon, d'être le maître d'une dimension...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le dimanche 04 novembre 2012, 15:50:19
L'idée d'un bain était vraiment excellente, et l'eau chaude était exquise. Même si Magikya voulait vivre des aventures, cela valait le coup de patienter un petit moment ici. Bien que tout cela soit artificiel, être nue dans un bain d'eau chaude était sublime !
Elle sentit quelques bulles qui venaient la masser, elle ferma les yeux et pencha la tête en arrière, ses cheveux bleus bouclés tombant sur ses épaules. 

Au bout d'un moment vraiment exquis, elle pris une serviette qu'elle enroula autour de sa taille, elle alla ensuite se rhabiller, le contact de ses vêtements sur sa peau était gênant après être restée aussi longtemps nue. Mais paradoxalement, le fait d'être habillée lui donnait un sentiment de sécurité évident.

Une fois dehors, elle sentit le vent frais venir caresser sa peau, ce contact qui semblait glacial par rapport au bain chaud fit poindre ses tétons, heureusement qu'elle était désormais habillée.
Elle alla dans un petit batiment juste à côté qui se trouvait être la boutique d'un tailleur. En effet, il fallait qu'elle change de vêtements pour s'aventurer dans cette forêt, le tailleur ne la rassura pas trop en lui parlant du clan des centaures qui étaient sauvages et hostiles envers tout étranger...
Le tailleur lui promit une tenue dans l'heure qui venait, il avait juste à ajouter quelques modifications pour que cela lui aille.

Une fois fait, Magikya se ballada un peu aux alentours du village, alors qu'une autre patrouille passait de quatre soldats cette fois-ci, Magikya s'était assise sur un banc, à l'une des sorties du village ce qui fit que personne, si ce n'est la patrouille, ne pouvait la voir. Elle s'étira doucement, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules, la patrouille ralentit alors pour mieux observer cette jeune étrangère. Mais à ce moment, les bretelles de la jeune femme craquèrent ! Bien que son corset restait attaché à sa taille, il dévoilait désormais sa poitrine.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le dimanche 04 novembre 2012, 19:31:06
Si le mercenaire avait le pouvoir de lire dans les pensées de Magikya, il aurait éclaté de rire. À peine avait-elle loué ses vêtements qui cachaient l'érection de ses tétons, que les bretelles de son corset cédaient, dévoilant aux yeux des gardes sa délicate poitrine, que Silence avait été jusqu'à présent le seul à pouvoir contempler. Deux d'entre eux, les plus timides, se cachèrent les yeux pour se soustraire à ce spectacle. Le troisième faisait à première vue la même chose, mais on devinait ses petits yeux marron entre ses doigts. Il avait aussi la bouche ouverte, ce qui n'était vraiment pas discret sur son véritable opinion. Le dernier était sans voix, et ses mains étaient parcourues de soubresauts. Il devait penser la même chose que Silence, soit "Ce doit être d'un moelleux..." L'un des plus pudiques se reprit alors et lança bruyamment :

- Ça va pas ? Attentat à la pudeur, ça peut aller loin ! Vous êtes une exhibitionniste ?

On voyait bien que le pervers de la bande devait penser "On peut aussi s'arranger autrement. Les amendes en nature, vous connaissez ?". Ameutés par le garde qui avait prit la parole, plusieurs passants sortirent de la rue principale du village pour voir ce qui provoquait tout ce vacarme. Quelques hommes sifflèrent, faisant rougir la magicienne qui ne s'y attendait évidemment pas, et un petit garçon à la voix stridente demanda à sa mère :

- Maman, pourquoi la demoiselle elle est toute nue ? On voit ses nénés !

- C'est ce qu'on appelle une péripatéticienne. Ce sont des femmes à qui il ne faut pas parler.

Le garçon, sa mère et quelques autres femmes passèrent leur chemin, les hommes, eux, préférant pour la plupart se rincer l'oeil. l'un d'entre eux se fit immédiatement gifler par sa femme, alors que Magikya masquait sa semi-nudité avec ses bras, mais son opulente poitrine dépassait tout de même. Silence était plié en deux, haletant tellement il riait. Il regarda d'un air amusé la jeune femme se recouvrir de son corset et se précipiter plus loin dans la campagne, fuyant ses "tortionnaires", même si le pire d'entre eux la suivait toujours, invisible et imperceptible. Elle s'enfonça dans un petit bois, s'imaginant sans doute se promener un peu en attendant sa nouvelle tenue. Silence comptait bien ne pas la laisser se détendre.

Une fois qu'elle fut certaine que personne ne la suivait, elle arrêta de plaquer son haut contre ses seins, elle devait avoir une crampe, et resta donc ainsi, la poitrine à l'air. Le mercenaire décida donc de l'embêter encore un peu durant cette heure. Et pourquoi pas... Oui, c'était sadique et il allait pouvoir s'amuser encore un peu. Il regrettait quand même de ne pas pouvoir interagir physiquement avec elle. Il augmenta la température jusqu'à la aire transpirer, on ne sait jamais, elle aurait peut-être envie d'en enlever plus. Elle fit encore quelques mètres, puis une créature assise sur un rocher attira son regard. Silence avait invoqué une succube (http://img7.imageshack.us/img7/7940/1352053780082.jpg). Il laissa une certaine liberté de pensée à la démone, parce qu'être surpris, c'est plus drôle. Comment allait réagir Magikya ?
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le dimanche 04 novembre 2012, 20:48:15
Bien que ce monde soit virtuel, les regards de ces villageois semblaient vraiment réels, elle s'était sentie humiliée, mais désormais elle prenait du recul par rapport à cette affaire. Elle s'assit sur une petite colline, contre un arbre. Elle devait attendre, elle en profita pour admirer la vue de ce monde virtuel. A sa droite, le village, isolé, seulement avec une rivière le traversant, les villageois avaient dû se remettre de sa poitrine, elle pensa au jeune adolescent qui avait aussi regarder ses seins, ne pouvant cacher une érection, il devait probablement se masturber en pensant à sa poitrine, si la réalité allait jusque là bien sûr !

Elle avait chaud, très, la température augmentait sensiblement, elle regarda autour d'elle et finie en petite tenue, le torse complètement nu, elle avait égalemet enlevée son bas, laissant juste sa culotte noire.

Puis, elle entendit du mouvement à sa gauche, là elle vit... Une succube ! Une tenue noire légère, des cheveux sombres ainsi que des ailes, elle la fixait de ses yeux, un petit sourire malsain aux lèvres.

- Alors ma belle, on prend soin de soi ?

La succube s'approcha d'elle, Magikya resta surprise d'abord, essayant de cacher ses seins.

- Ne t'en fais pas, je ne te ferais pas de mal...

Disant cela, elle eut fini de parcourir la distance les séparant.

- Je suis une succube, fille de l'esprit de la forêt, et je veux passer du temps avec toi.

Elle montra ses dents, semblables à des crocs, soudain, Magikya tomba, les racines de l'arbre avaient surgies de sous terre s'agrippant aux pieds de la jeune femme. En deux temps, trois mouvements, Magikya se retrouva contre l'arbre, les cuisses entourant le tronc, son vagin appuyé contre l'écorce.

- On va bien s'amuser !

Magikya restait trop stupéfaite pour faire quoi que ce soi.

- Fais plaisir à la nature et je te ferais plaisir !

Les racines retournèrent magikya et la relevère, elle était désomrais debout, dos contre le tronc, lorsque soudain, elle vit entre ses jambes un... pénis en bois surgir du tronc, d'une taille impressionante. Les branches saisissèrent les poignets de Magikya, les baissant et ainsi baissant son corps, les racines appuyèrent légèrement sur ses jambes quant à elle, la mettant au niveau du pénis.
De son côté, la succube sortit son... pénis également et se mit à se mastruber.
Une racine enroula le cou de la jeune femme.

- Fais-toi pénétrée ou je t'étrangle, dit-elle d'un sourire.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le lundi 05 novembre 2012, 19:48:26
Silence contrôlait la succube, mais pas complètement. Elle faisait ce qu'il voulait qu'elle fasse, mais il ne parlait pas pour elle. Mais les mots qu'elle prononçait lui plaisaient beaucoup.

- Fais-toi pénétrer, ou je t'étrangle...

Du chantage, en gros. Un chantage que Silence aurait tout à fait pu exécuter de lui-même. Le pénis de l'arbre était surtout là pour faire peur à Magikya, c'est bel et bien la démone qui allait finalement effectuer le travail. Elle continuait de se masturber, et Silence, prit d'une envie soudaine, se déshabilla, ce qui ne changeait pas grand chose, en fin de compte, et accompagna les mouvements de poignets de la succube dans une masturbation rapide. Il voulait éclabousser la magicienne de son sperme, car n'étant pas un être vivant, sa semence pouvait entrer en contact avec elle.

Comme Magikya ne semblait pas décidée à se faire violer, elle tenta de se débattre, et d'autres racines jaillirent de l'arbre et commencèrent à peloter ses gros seins, tirant sur ses tétons d'une façon sadique. Mécontente de la réaction de l'humaine, la créature lubrique cessa se se masturber et pressa son énorme sexe, totalement démesuré, qui devait atteindre les trente-cinq centimètres,  contre le fin tissu de la culotte de la femme immobilisée, au niveau de son vagin. Cette dernière devait vraiment commencer à paniquer, car même si ce monde n'était pas réel, se faire violer ne devait rien avoir d'agréable. La succube commença à se frotter énergiquement contre le sous-vêtement, son gland suintant d'une petite goutte de liquide séminal glissant sur les lèvres intimes, même si le tissu restait présent entre les deux intimités.

La branche végétale entourant le cou de Magikya se resserra, creusant de petites marques dans sa peau laiteuse. Silence frissonna de plaisir. La succube tira le sous-vêtement, non pas vers le bas, mais vers le haut, ce qui avait pour effet de moule la forme du jardin secret de Magikya, dont les tempes étaient parcourues de gouttes de sueur, plus seulement à cause de la chaleur. La culotte fini par céder, révélant une vulve rasée et un adorable petit clitoris. La démone lubrique continua de se frotter contre celui-ci (le clitoris donc) avant de s'enfoncer d'un coup de hanche. Trente-cinq centimètres peinèrent un peu à se frayer un chemin, mais une fois bien installée, la succube commença une série de va-et-vients violents. Magikya cria.

Le mercenaire, lui, était presque au paradis. Voir cette petite chatte glabre se faire pilonner de la sorte lui donnait tellement envie d'en faire autant. Mais en attendant, seule sa main droite lui donnait du plaisir...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le lundi 05 novembre 2012, 21:37:29
Magikya avait entendu parler des besoins de ces êtres artificiels, la faim, la soif ou le sommeil, mais on avait omis de lui évoquer le besoin de copuler ! Elle était actuellement en train de se faire sauvagement chevauchée par une succube, et qui plus est, avec un pénis d'une taille surhumaine ! Ah, le vendeur allait entendre parler d'elle pour les réclamations !
D'autant que la succube semblait augmenter la cadense, et lorsque finalement, elle éprouva de la fatigue, elle s'écarta, s'assit, et regarda, à la place, Magikya faire des mouvements de bassin, le pénis de l'arbre en elle, menaçait par la strangulation.
La succube se rapprocha finalement d'elle lorsqu'elle se sentit prête à éjaculer, son sperme recouvrant le visage et les seins de Magikya. La jeune femme, presque aveuglée par tant de liquides, cru même que tout ce sperme ne venait pas d'elle, elle cru en voir venir d'une autre source qu'elle ne pouvait déterminer, quoiqu'il en soit, elle était recouverte !
C'est alors qu'elle entendit des voix non loin qui criaient son nom.

"Ah, on te recherche, merci pour cette distraction ma belle", dit la succube en souriant. "Je ne suis pas méchante, je vais te remettre ton corset, mais, je ne te détacherais pas de là, j'ai envie de voir la tête de tes amis", sur ce, elle rit, tout en attachant le corstet autour du torse de la jeune femme.

"Magikya !"

C'était une patrouille de six soldats, l'un d'eux cru aperçevoir sa silhouette.

"Magikya ! Nous vous cherchions partout, nous somme désolé pour la scène au village, vos vêtements sont prêts et le tailleur y a mit tout son talent !"

Mais c'est en approchant qu'ils virent la situation encore plus étrange dans laquelle se trouvait la jeune femme...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Keleth le mardi 06 novembre 2012, 01:28:36
Elle avait passée une semaine paisible à vrai dire. S'étant installée dans une bâtisse particulièrement accueillante dans les bas-fonds de Nexus, et profitant avec un grand plaisir de ce qui se déroulait dans les villes tellement artificiels de ce monde débectant, la démone avait pris soin de s'accorder un jouet pour attendre tranquillement le moment où elle irait faire un tour du côté de la demoiselle complètement prisonnière du Délemion. Aussi possédait-elle désormais un affreux spécimens de porcs sur pattes schyzophrène et particulièrement amusant à torturer. Tout était bon pour faire souffrir cet être tout simplement abject et insupportable. Aussi Keleth avait donc maintenant dans sa chambre un être à moitié nu qui avait bien perdu de sa bedaine large et de son air fou. Il était malade, mal en point, carbonisé par endroit. Oh oui il ne faisait vraiment pas bon de tomber entre les mains de la démone.

Celle-ci d'ailleurs était partie de bon matin pour pouvoir remettre en état l'histoire qu'elle avait entamée sur la petite magicienne qui avait pénêtré dans le monde infernale qu'est celui du délemion, et qui avait de très grandes chances de totalement s'y perdre. Dans le fond Keleth ne cautionnait pas vraiment cette pratique qui était d'augmenter peu à peu la dose de délemion pour nourrir le rêve et empêché les "rêveurs" de retrouver le monde normal, aussi elle comptait bien libérer Magikya dés qu'elle se serait assez amusée, autrement dit quand la magicienne aura finalement réussi à tuer le haut-démon, où qu'elle tombera sous ses griffes et finira dans la plus belle scéance de viol qu'elle n'ai jamais connue. Un sourire sombre naquit sur les lèvres de Keleth à cette idée. Oh oui, elle savait très bien qui serait le Haut-démon dans l'histoire, et la simple idée de mettre celui-ci en place lui faisait se pourlécher les lèvres de faim et de désir. Pauvre petite jeuneôte prise entre les griffes de l'exécutrice.

Enfin celle-ci rentra dans le magasins et remarqua immédiatement plusieurs traces de pas de la même marque de chaussure. Quelqu'un avait donc su trouver cette perle rare dans les bas-fond de Nexus, et en avait profité ? Mais c'était très bien cela, c'était même parfait pour la démone qui alors n'aurait qu'à continuer dans la voie de son prédécesseur, à moins que celle-ci ne lui convienne pas bien sur. En attaquant l'avancée dans la boutique sombre et franchement peu élégante, elle réfléchit à qui à bien pu se poser ici, à moins qu'elle en tombe sur lui en allant s'occuper de la démoiselle. Ce serait dommage car son arrivée le ferait plonger lui aussi dans le rêve, et sous sa coupe. Enfin elle entra dans la grande salle où se déroulait l'obscure partie de délemion. Cette clandestinité était un véritable ravissement pour la démone. Pour elle qui était des plus respectueuses des ordres, un peu d'amusement illégal ne pouvait qu'être un des meilleurs cadeaux possible à son encontre.

Enfin, pas de monsieur, ni de madame, et un matériel utilisé mais en bon état. Tout ce qui permettait à la démone de savoir qu'elle était actuellement seule ici et parfaitement prête à agir sur le monde de la demoiselle sans pour autant avoir à gêrer une autre présence. Parfait. Fermant la porte d'entrée en y ajoutant un mot bien visible, à savoir "FERMER POUR CAUSE DE RETOUCHES MATÉRIELS", elle se redirige doucement vers la magicienne et l'embrasse alors qu'elle dort, ceci avec un sourire malsain, avant de retourner au panneau de bord pour régler les différents éléments nécessaires à la simplification du voyage. Une fois chaques paramètres ajuster elle regarde le mots qu'elle avait laissé. Décidément elle avait écrit n'importe quoi là-dessus juste pour nommer de manière ridicule les objets, mais finalement l'autre personne avait réussi à s'en sortir bravo à lui ...

Enfin, elle s'installa et plongea dans l'autre univers...

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La remontée d'informations fut bien plus importante que ce que la démone avait prévue et le résultat fut sans conteste. Revoyant les nombreux passages qui se sont déroulés lors des rêves commandés de l'autre homme, Keleth se fit bien malheureusement surprise par l'avancée particulière de l'histoire dans une direction qu'elle n'avait absolument pas prévue, tandis que les sensations de l'autre homme l'envahir. Elle maudit bien malgré elle le principe du Délemion de rappeler à chaque nouveau passant ce qui s'est déroulé plus tôt, et la forme de la démone se retrouva à tomber mollement sur le sol alors que la jouissance du précédent pervers l'envahit, l'obligeant elle même à passer par cette étape de plaisir... Au sol haletante, la cyprine coulait lentement d'entre de ses jambes ... Elle lui fera payer cette attaque si fourbe et sournoise envers sa personne ... Oh oui elle lui fera payer.

Elle avait mis le monde en pause le temps qu'elle se reprenne en main. Touchant ses vêtements humides à cause du pervers qui s'était excité avant elle, elle en ressenti une certaine honte à avoir perdu la main aussi facilement sur ce monde. Il était clair pour elle qu'elle ne refera pas la même erreur la prochaine fois qu'elle interviendrait ici, et elle prendra surement de bien amples précautions. Enfin, elle remit le jeu en marche et contempla le désastre, son petit jouet aspergé du sperme de l'aggresseur ainsi que de celui d'une succube ô combien grotesque et cette magicienne en proie à la honte d'être ainsi découvertes par des soldats. Quel misrable ... On voyait bien le tracer d'un humain, aucune finesse dans le travail, un manque tout à fait flagrant dans le travail de la perversité et du viol mental. Mais bon l'homme qui avait fait ça devait être d'une race inférieur, aussi rien ne paraissait plus simple que le fait que ce qui c'était passer manquait de classe.

L'arrivée des soldats se fit donc malgré tout, et la plupart après la surprise d'une telle attaque allèrent aider la jeune femme d'une manière empressée. La plupart était jeune, et cela corroborait le fait que la plupart des hommes avaient été réduit en charpie durant les assaults portés sur le haut-démon. Pourtant tout ces jeunots, loin de vouloir en remettre une couche, semblèrent bien s'occuper d'elle, la détachant et lui néttoyant sa figure recouverte de ce trop de sperme lâché, selon l'avis de Keleth, par une espèce de cochon au comportement assez peu responsable pour la laisser dans cet état. Une fois cela fait, un des gardes l'aida à se relever et lui offrit son manteau pour se recouvrir avant que tout deux atteigne le poste de garde quasiment vide, avec ses collègues. Là bas lui sera donné les vêtements du tailleur, finement cousus et de très bonnes qualités à vrai dire. Tandis qu'elle se vêtissait, les gardes lui parlèrent de ce qui lui était arrivée :

-Vous voyez, ce genre de choses arrivent toujours depuis que le haut-démon a prit le contrôle de ce monde. Les femmes se font saillir par les bêtes et les monstres, des êtres impossible naissent dans le seul but de les violer... Aucune de nos dames sont à l'abri mais nous ne pouvons faire quoi que ce soit pour les maitrisée ... C'est pour cela que vous êtes là sauveuse ! Respecter les voix de celle qui vous a accueillie, trouvez notre ennemie et libérez nous, vous seule êtes capable de survivres aux poisons des serviteurs du haut-démon.

Ainsi elle sera équipée. Outre ses vêtements, composés d'une robe élégante et finement tissée, porteuse d'une magie certaine, ainsi que de longs gants remontant jusqu'à mi bras et de bas, le tout d'une couleur automnale, elle avait obtenue une long baton de magie semblant contenir quelques sort inestimés ainsi qu'une tiare et une flûte traversière ouvragée. Tout cet équipement sentait très forts les enchantements diverses ainsi qu'une promesse de puissance et de résistance qu'ell allait avoir du mal à retrouver dans le monde réelle. Bien sur tout ceci était un cadeau de la démone pour les futurs missions de la femme qui se révéleront particulièrement ardue, mais bien sure il y aura toujours moyens pour les bêtes du roi-démons de se faire plaisir, si elles agissent de manière ... "intelligente" ! EN tout cas l'équipement complet rend Magikya particulièrement prête à affronter le destin qui lui a été tracé en ce monde, à savoir exterminé ce démon si puissant qui trône en tyran sur ces contrées. Les gardes donneront une carte à Magikya et lui montreront le chemin vers le passage menant au domaine du haut-démon, avant de l'amener vers la sortie du village.

- Nous sommes désolé de ne pouvoir vous accueillir plus longtemps. Nous vous promettons de vous offrir le plus beau logis de nos terres quand vous aurez réussi à vaincre ce monstre. D'ici là nous veillerons sur nos femmes, et de votre côté, nous plaçons nos espoirs en vous. Terrassez le haut-démons nous vous en prions.

Sur ces mots elle sera intimée à quitter les lieux, malgré que les ggardes semblaient vraiment peu enclin à pratiquer cet ordre. Qui sait, peut-être avait-il été obligé de l'envoyer loin par l'appui des personnes de la ville qui l'avait vu plus tôt montrer sa poitrine dénudée en plein milieu d'une rue. En ce cas elle pouvait très bien supposée que son retour, même après un grand exploit comme celui qu'elle s'apprêtait de faire, ne se fera pas aussi simplement que les gardes semblaient le dire. C'était ainsi, la jalousie avait fait son oeuvre. Une fois éloignée, Magikya pouvait contempler la carte qui lui avait été donnée. Elle était de bonne facture, et montrait principalement le chemin qu'elle allait devoir prendre durant son périple vers l'oppresseur. D'abord elle allait avoir à passer l'énorme forêt qui s'étendait autour de la plaine. Ensuite elle allait devoir trouver une grotte qui allait s'enfoncer dans une nécropole. Enfin de la nécropole, elle trouvera soi-disant un portail menant jusqu'à la forteresse volante du haut-démon. Cette dernière information était écrite de manière manuscrite sur le bord de la carte. Elle entamait donc une longue épopée dans des milieux qui lui promettait milles sévices sexuelles... Y survivra t-elle ?

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Keleth venait d'ôter l'aiguille profondément figée dans son bras. Le réveil fut facile pour une personne de sa puissance, et elle contempla la demoiselle à ses côtés. Décidément elle lui promettait un bien mauvais destin, surtout avec l'autres pervers qui allait surement revenir durant la semaine pour se secouer le poireau sur l'image de rêve de son jouet. Se relevant doucement, elle regarda son siège pour être sure que la jouissance qu'elle a vécue dans le rêve n'ai pas été asez forte pous s'imprimer aussi dans la réalité. Par chance le siègne ne portait pas la moindre trace de cyprine, et elle-même était parfaitement sèche au niveau de ses parties intimes. Soupirant de soulagement, elle partit à la recherche d'une feuille de note et d'un crayon dans la boutique, ce qu'elle trouva sans peine en se rappelant où elle avait cherchée il y a plusieurs jours. Vu que l'homme en question semblait ne pas être très doué d'imagination elle allait lui laisser un mot :

"- Cher inconnu. La personne avec qui vous avez bien gentiment jouée est actuellement dans une histoire, qui lui est nécessaire pour qu'elle s'éveille. Je ne vous demande pas de ne pas laisser libre court à votre perversité, mais je vous prie, s'il vous plait, de le faire d'une manière malgré tout un peu moins banale que ce que j'ai eu l'occasion de découvrir en remettant l'histoire en marche. Pensez aussi à la faire avancer dans son épopée, afin qu'elle puisse se réveiller. Enfin, n'hésitez pas à me laisser un message sur ce même siège la prochaine fois que vous passez, si vous avez besoin d'information. Cordialement...
                                                                                                    Dieu."

Sur ces mots elle partit, tranquillement, enlevant le mot sur la porte et replaçant le matériel. Elle repassera dans une semaine, d'ici là ... Enjoy !
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le mardi 06 novembre 2012, 09:29:49
Elle était donc de nouveau sur la route, cette fois confiante, sur la route menant à la résolution de la quête. La première étape était cette monstrueuse forêt, il allait falloir la traverser. Sa robe était légère, elle avait été un peu inquiété au début, être en robe pour traverser une forêt sauvage n'était pas évident, mais la finesse de cette robe promise par le tailleur allait finalement, peut-être, ne pas trop l'entraver dans son aventure.
Elle jeta un dernier coup d'oeil sur la carte avant de pénétrer dans la forêt. Celle-ci était sombre et inquiétante, les arbres étaient très proches les uns des autres ce qui renforcait un sentiment d'oppression. Peu importe, un petit sentier était censé traverser cette forêt, elle le prit donc.
Au bout de quelques heures, fatiguées, d'autant que la nuit commençait à tomber, elle trouva une vieille cabane dont se servent les voyageurs lors de la traversée de la forêt. Les villageois lui avaient conseillé de s'y abriter pour la nuit, les aventuriers s'y trouvant étaient, d'ordinaire, des gens convenables qui ne se souciaient que peu d'autrui.
La cabane ne contenait qu'une grande pièce, alimentée par un feu. Les aventuriers présents ne se parlaient au minimum que par des phrases de politesse. Il n'y avait que des hommes, ou du moins des mâles, à l'exception de Magikya qui fut donc rassurée que sa robe lui monte presque jusqu'au cou afin de ne pas trop laisser de place à l'imagination perverse de certains individus. Il y avait là deux nains qui restaient entre eux, discrets, fumant la pipe et parlant dans leur langue maternelle, rude dans les sonorités. A l'un des angles de la pièce, assis sur trois tabourets, trois hommes aux manteaux et capuchons sombres, elle ne pouvait distinguer leur visage. Enfin, un troubadour accompagné d'un...orc, près de deux mètres de haut, une carrure incroyable.
La nuit se passa rapidement, le troubadour raconta des histoires et légendes sur cette forêt, comme celle de Galdra aux Sabots de Vent, le chef du clan des centaures sauvages. Puis, alors que le feu commençait à s'éteindre, ils allèrent se coucher, paisiblement.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Vincente Valentyne le mercredi 07 novembre 2012, 05:25:34
Les bas-fonds de Nexus... Pour certains, c'était un des pires endroits de la région, mais pas pour moi. J'y avais passé mon enfance, alors c'était un peu comme chez moi ici. Ce qui  ne veut pas dire grand-chose, en y réfléchissant, mais c'est ce que je sentais. Bref... Si je me trimballais dans le coin, pour une fois c'est que j'avais un objectif en tête. J'avais entendu parlé d'une boutique qui permettait de vivre des aventures imaginaires. Moi qui ai toujours envie d'aventures, l'idée était très intéressante. Du coup, me voila partie à la recherche de l'enseigne, Au petit rêve...

Après avoir tourné pendant un quart d'heure autour, je trouve enfin le magasin, caché dans une petite rue. De l'extérieur, il ne se paye pas de mine : pas de gros panneau, ni de belles couleurs... Rien à voir avec ce que j'avais imaginé. Mais bon, ce n'était pas ce qui m'intéressait le plus, alors j'entre quand même. J'en profite pour me faire la réflexion qu'agir en tant que cliente normale, c'est sympa aussi. Pas besoin de trouver une entrée discrète, ou de fracturer une serrure...

Pourtant, une fois rentrée, personne. Pas un vendeur pour m'accueillir. J'ai même l'impression que l'endroit est abandonné. Bon, et bien s'il est abandonné, personne ne pourra se plaindre si je visite, et même si je ramène un souvenir... Donc, j'explore un peu la battisse. C'est en passant dans l'arrière-boutique que je tombe sur... Comment appeler ça... Le truc avec le machin dans le chose ? Bref, toute une installation sans queue ni tête, montée autour d'un siège sur lequel repose une fille. Au départ, je pensais qu'elle était morte, mais non, elle respire. Puis mon regard est attiré par une ensemble de feuilles, disposées sur la machinerie. Par réflexe, je m'en empare et les lis. Mon regard s'illumine...

Après une bonne heure passée à comprendre quoi brancher où, et multiples jurons, je contemple mon travail. Ça n'avait pas été simple, mais à partir du moment où j'avais décidé de suivre scrupuleusement les instructions, le travail s'était simplifié. Maintenant, il ne restait plus qu'à se raccorder à l'ensemble. J'étais venue vivre des aventures, mais j'avais trouvé mieux : décider les aventures vécues par quelqu'un d'autre...

Si je devais décrire le phénomène qui se produit quand on se branche, je dirais "Waouh !". Finalement, j'arrive dans le monde où se trouvait la fille. Plus précisément, dans une cabane dans une foret. Réflex idiot, je commence par m'assurer que je suis entière. Visiblement, c'est le cas. Autre chose, personne ne s'est rendu compte de ma présence. J'en ai la confirmation quand, en essayant de piquer la bourse d'une des personnes, ma main passe au travers. Les voleurs aiment bien dire, en plaisantant, qu'ils voudraient être des fantômes pour pouvoir passer au travers des murs, mais finalement, je ne suis pas sure que ce soit une bonne idée...

Du fait, vexée de ne pas pouvoir faire grand-chose à part regarder, je pensais partir, quand je me souviens que dans ce monde, c'est moi qui décide ce qui se passe. Hou, je sens que je vais m'amuser...

Une première idée me vient en me souvenant de la façon dont Lya se glisse parfois dans mes vêtements. J'imagine alors des furets. Plein de furets. Au moins trois ou quatre par personne dans la pièce. Et je leur donne un tempérament coquin, du genre à se glisser sous les chemises et remonter dans les jambes de pantalon... Je ne sais pas trop comment ça se passe, mais j'entends rapidement mes créations s'assembler à l'extérieur, pour commencer à entrer. Que le spectacle commence...

Anticipant le bazar à venir, je regarde les personnes dans la pièce, augurant qui serait attaqué le premier, qui se réveillerait le premier... Quand mon regard tombe sur l'alter-ego de la fille que j'avais vue en arrivant. Je me demande comment j'ai pu la rater, c'est la seule fille de la pièce, et sa robe est plutôt voyante. Je n'ai pas mon attention habituelle, ça ne va pas... Cela dit, maintenant que je l'ai vue, je sais ce que j'ai à faire. D'une pensée, je récupère quelques furets, et je change leurs objectifs. Désormais, il y en a bien huit réservés spécialement pour elle.

Les premiers furets commencent à se frayer un passage vers l’intérieur de la cabane. Je les regarde faire, me mordant les joues pour ne pas rire par anticipation. Histoire d'enfoncer le clou, j'attends que tous soient passés avant de les lâcher. Immédiatement, ils commencent à grimper sur les corps, à se fourrer dans les vestes. La réaction ne tarde pas.

Le premier à réagir est l'orc, dans un coin. Celui-ci bondit en rugissant, écrasant la main de son voisin dans son mouvement, et réveillant toute la pièce. Et c'est parti ! Tout le monde se met à s'agiter dans tout les sens. Les plus rapides à se mettre debout donnent maintenant l'impression de réaliser une danse très spéciale, se tordant dans tout les sens sous la sensation des bêtes couvertes de fourrure qui s'agitaient à même leurs peau. Les autres, restés au sol, se tordaient de manière identique, quand ils n'étaient pas occupés à reculer tant bien que mal pour échapper aux furets.

Ça criait, ça hurlait, ça gigotait dans tout les sens... Et pour les plus chatouilleux, ça rigolait, aussi. Du coin de l'oeil, j'en vis deux se percuter dans leurs mouvements désordonnés, et tomber au sol. Mais le plus rigolo restait quand un furet parvenait à se glisser dans une jambe de pantalon. Son propriétaire gigotait alors les jambes d'une façon tout à fait grotesque. J'étais hilare.

Bien sur, je n'avais pas oublié la fille. Je me retournais, pour la découvrir en prise avec le détachement que je lui avait réservé. Visiblement, porter une robe n'aidait pas vraiment : les furets étaient montés si vite le long de ses jambes que maintenant, on en voyait s'agiter sur son torse et sa poitrine. Je savais par expérience, car Lya me faisait souvent le coup, ce qu'on pouvait ressentir. Cela dit, avec trois furets qui tournaient autour et sur ses seins, ça devait être tout autre chose, d'autant que la fourrure d'un furet est plus drue que celle d'une hermine.

La fille tomba sur les fesses, et je pouvais désormais voir sa culotte. Une autre idée me vint, bien plus malicieuse. En un instant, j'avais isolé un furet, et le fit aller directement dans son sous-vêtement. Lya n'était pas allée jusque là, aussi je ne savais pas trop ce que ça faisait, mais à voir la tête de la fille, c'était une sacrée surprise.

Pendant ce temps, le reste de la salle, qui n'avait pas autant de furets à ses trousses, avait plus ou moins réussi à contenir l'invasion, et quittait précipitamment les lieux. Histoire de rire encore un peu, je lançais les furets à leur poursuite. Puis il ne resta plus que moi et la fille. Pour m'amuser encore un peu, je lui colla plusieurs furets sur le corps, et m’arrêta quand je manqua de m'étouffer, tant je riais.

Ouh, ça fait du bien ! Allez, les plus courtes sont les meilleures, je la libère des furets. Par contre, je ne reste pas très loin, pas si je peux avoir l'occasion de lui jouer un nouveau tour...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le mercredi 07 novembre 2012, 21:45:35
Au bout de nombreux sorts et quelques crises d'énervements, Magikya finie par réussir à faire fuir ces bestioles. Elle était désormais épuisée, haletante, elle repoussa un de ses mèches qui lui retombait sur le visage. Cela devenait vraiment étrange, mais au moins, ce n'était que des furets, cela aurait put être quelque chose de beaucoup moins... disons coquin. Ce monde ne tournait vraiment pas rond... Et ces semblants de brutes, de mercenaires, qui dormaient à ses côtés qui avaient fuit à cause de... petites bêtes ! Elle ne s'étonnait plus que l'on ait fait appel à elle pour rétablir le calme et la paix dans cette contrée.
Et puis, avec un peu de recul, elle se mit pourtant à penser, et cela la surprise, que ce contact n'était pas si désagréable que cela après tout, c'était presque un massage, disons un massage innocent sur son corps. Et même des parties intimes. Ils n'avaient pas hésiter à se glisser contre ses seins et à remonter le long de sa jambe pour aller directement contre cette partie intime également. Elle s'étonna, d'une certaine manière s'en était vraiment plaisant, presque excitant... Elle se mit même à avoir des pensées perverses.
Mais épuisée, les cheveux ébouriffés, elle souhaitait plus que tout pouvoir dormir et n'avait pas le coeur à se faire plaisir, seulement, le passage improvisé de ces bêtes continuait de la chatouiller. La jeune femme soupira, ce n'était pas ainsi qu'elle allait réussir à s'endormir... Elle se mit à hésiter, était-ce une bonne idée d'aller prendre un bain en pleine nuit ? A l'évidence, pas vraiment, mais elle commençait à en avoir assez, elle n'avait pas non plus eu l'occasion de réellement se laver après la scène avec la succube...
Puis la jeune femme se décida, elle savait qu'il y avait un lac non loin, c'était indiqué sur la carte. Regardant aux alentours, si par hasard les autres "aventuriers" revenaient, mais aucune trace. Elle murmura doucement un langage inconnu qui fit apparaître une flamme inoffensive au bout supérieur de son baton, illuminant peu les environs mais l'objectif était surtout de faire fuir les possibles prédateurs.
Mais tout semblait calme. La jeune femme se dirigea donc là-bas. Elle y arriva au bout de quelques minutes, l'endroit était réellement enchantant ! La lune semblait vraiment proche de la terre dans ce monde, sa lumière se reflétait sur le lac qui ressemblait à un miroir. On aurait dit un conte de fée. Apaisée par cet environnement féérique, la jeune femme appuya son baton contre un arbe, à l'évidence afin de dissuader ceux qui viendraient, du moins pour les animaux...
Elle défit délicatement sa robe, la secoua pour enlever toute trace de ces animaux. Puis elle entra dans l'eau, jusqu'à ce que celle-ci lui atteigne le ventre. Ses cheveux retombait sur son dos mais également quelques mèches sur son torse. L'eau était froide, mais pas glaciale, du moins suffisament pour que ses tétons pointent. Par pudité, elle glissa quelques-unes de ses mèches sur ses deux globes de chair.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Vincente Valentyne le jeudi 08 novembre 2012, 20:58:06
Je suivais la fille, tout en réfléchissant à quelle blague lui faire. Elle n'alla pas très loin : sa destination était un lac un peu à l'écart de la cabane. Elle veut prendre un bain, ou quoi ? Ah, elle veut prendre un bain... Et nue, en plus ?! Je la regarde tranquillement faire. Oui, je suis un peu voyeuse sur les bords, mais j'assume. Chacun ses petits travers, non ? Donc, la voila nue, partie dans l'eau. De mon coté, je me creuse furieusement la cervelle pour trouver un coup tordu. Une telle occasion, je ne vais pas la gâcher...

Puis, une idée me vient. Je me souviens avoir entendu parler de centaures, dans cette foret... Un homme dont le bas du corps est celui d'un cheval. Avec quelques connaissances en anatomie, on comprend que son "engin" est relativement loin des ses mains... Or, comme il est aussi moitié-homme, s'il voit une fille nue, il aura envie de s'exciter... Ouh, je vois la scène venir, ça promet pas mal de rigolades, là aussi.

Rapidement, je crée mon centaure voyeur et pervers. Puis je l'envoie en direction du lac. Oh, et une autre idée ! L'orc de tout à l'heure ! Vite vite vite, il est passé où ? Ah, le voila. Hop, on modifie son parcours... Et tant qu'à faire, on lui change un peu ses mœurs, tiens ! Histoire qu'il file un coup de main au centaure... Et pas seulement métaphoriquement... Nyéhéhé, ça va être la poilade...

Mais alors que je me frottais les mains à l'idée du spectacle à venir, je me réveille dans la pièce du magasin. Mais non ! Pas chouette ça ! Pffff... Alors que j'avais eu une super-idée, en plus... Dégoutée ! Bon, bah il ne me reste plus qu'à quitter les lieux, vu que je n'ai plus rien à faire... Au moins, j'aurais déjà bien ri avec le coup des furets...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le jeudi 08 novembre 2012, 23:36:55
Magikya se passait de l'eau sur les bras et le haut du corps. Elle regardait en face d'elle, d'une part pour ne pas penser au froid et d'autre part car le paysage en face d'elle, le lac et des montages, était magnifiques. Elle ne bougea plus pendant un petit moment, en pleine contemplation. C'est alors qu'elle sursauta, elle venait d'entendre une voix dans son dos...

"Magikya ? C'est bien ça ?",  la voix se mit à rire.

La jeune femme se retourna brusquement, les bras couvrant ses seins, heureusement pas trop gros, plutôt proches d'une taille moyenne. En face d'elle se trouvait l'orc faisait partit des aventuriers dormant dans la cabane. L'orc était imposant, et cela pas seulement à cause de sa taille, mais également sa masse musculaire impressionant, on sentait sa puissance à chacun de ses mouvements. De plus, il portait quelques fragements d'armure qui renforçait le côté menaçant de cette créature, comme des épaulières rouges cloutés, en fort contraste avec la couleur verte de sa peau. Il portait de grosses bottes de voyageurs, maculées de boue, ainsi qu'un pagne qui couvrait sa virilité masculine. Un sourire sadique illuminait son visage, c'est alors qu'il se mit à agiter ce qu'il tenait de la main droite ; son arme, une massue, était posée au sol, à la place il tenait... la robe de Magikya. Lorsqu'il vit qu'elle s'en apperçut, il eut un rire mauvais.

"Grossière erreur ma petite... Très très grosse erreure ! Ton feu éloigne les bêtes, mais pas moi, et puis, une jolie fille comme toi nue, les prédateurs n'allaient pas tarder à arriver. Et ta robe, très belle, si je la fais brûler avec le feu de ton bâton, tu mourras dans cette forêt, que ce soit de froid ou par des prédateurs qui profiteraient de ta beauté pour te chevaucher. Allez, viens, sors donc de l'eau ma chérie."

Effrayée, la jeune femme recula, toujours les bras cachant ses seins. Elle regarda rapidement autour d'elle. Le lac ! Un fleuve passe non loin du village, elle pourrait sans trop de peine s'y laisser porter. Mais elle fut rapidement coupée dans sa réflexion par le rire de l'orc.

"Oh non, ma belle, n'y pense pas, tu n'es pas une sirène ! Les monstres aquatiques sont plutôt dangereux dans ces eaux lorsqu'on s'éloigne du bord, allez viens, je ne profiterais pas trop de toi !"

La jeune femme ne bougea pas, elle ne savait que faire, elle était dans une sacrée impasse...

"Ne t'en fais pas, je veux juste que tu m'astiques, tu auras juste besoinde ta main et de la force de ton poignet, tu as beau être très belle et m'exciter, je préfère, disons, plus de virilité."

Magikya le croyait. En effet, un orc qui disait cela ne pouvait pas mentir, c'était presque mal vu parmi certains clans orcs, même si la relation était davantage sentimentale que sexuelle.

"Bon, je comprends que tu sois timide ma belle, mais j'ai de quoi te bouger de là. Tout d'abord, je vais bruler petit à petit ta robe, enfin, si tu restes encore longtemps ici, un prédateur aquatique va rapidement t'arriver, j'espère pour toi que ce ne sera pas un serpent d'eau douce ! Ceux-ci sont long, fin, et je n'aimerais pas qu'il me pénètrent à cet endroit ! Enfin, nous allons partir sur un pied d'égalité..."

Disans cela, de la main gauche, qui ne tenait pas sa robe, il enleva doucement son pagne. Son pénis était d'une taille impressionante, une vingtaine de centimètres et son pénis était à peine durcit.
Encore stressée, Magikya avança, mais avec prudence, un de ses mains cachant son jardin secret, son autre bras ses seins. Elle se doutait qu'elle devrait finalement enlever une de ses mains, mais elle préferait attendre le dernier moment.

"Oh, que tu es belle ! Allez, approche, ça va être génial, mets-toi à genoux."

Sans l'attendre, il commençait déja à se mastruber. La jeune fille s'agenouilla devant lui. L'orc lui prit la main cachant ses seins et la posa sur son membre, chaud et excité. Ses tétons pointaient, et le pénis de l'homme devint rapidement complètement dur. Magikya se mit à l'agiter frénetiquement, faisant bouger ses seins d'une sacré cadence.

"Golbar Masse Rouge ! Cela ne pouvait être que toi, et en charmante compagnie en plus !"

Un centaure se tenait là, grand, et regardait Magikya avec attention.

"Quelle jeune fille excitante que tu as trouvé là !"

"Et oui, Maldrack, il faut savoir prendre du bon temps, continue ma belle !"

Magikya continua, elle sentit un liquide préséminale couler le long de son bras. A côté, le centaure la regardait avec une extrême attention, il rougissait, au bout d'un moment, se mit même à suer. En effet, Magikya comprit rapidement pourquoi en le voyant sortir du buisson, il bandait totalement et avait beau essayer de se soulager, être un centaure dans cette situation. Il essayait par tout les moyens de se mastruber, il se penchait de tout côté, rapidement, sans vraiment réflechir, il failli tomber plusieurs fois, il se tournait sur lui-même, il tenta même de se frotter contre un arbre, il avait besoin plus que tout d'éjaculer, et cela amusait l'orc alors que Magikya était légèrement excitée par le membre de l'orc, mais si elle réussissait à se calmer.
L'orc souriait :

"Magikya, va mettre tes bas, et finissons !"

Magikya fut un peu surprise, elle arrêta la mastrubation, et alla les mettre devant eux. Désormais, elle n'était plus vraiment choquée de sa nudité quand elle voyait le ridicule du centaure. L'orc restait derrière elle, excité plus que tout.
C'est alors qu'il tira Magikya et la poussa contre un arbre. Les seins de la jeune fille étaient appuyés contre l'arbre, elle haletait, effrayée, alors qu'elle sentait l'orc la palper d'une main et son pénis durcit qu'il frottait contre l'entrée de son vagin tout cela en se branlant frénétiquement. Puis, de sa force incroyable, il l'allongea sur le dos au sol, et elle reçut un liquide blanc et chaud sur ses petits seins et elle entendit un soupir bruyant de la part de l'orc.
Elle le vit sourire.

"Allez, rhabille toi ma belle, je vais m'occuper de mon ami."

"Ah, enfin Golbar, la prochaine fois, tu me laisseras la chevaucher !"

Ils se mirent à rire, mais Magikya était déja loin,elle les entendit cependant. Cachée derrière un arbre, elle se nettoya rapidement, cette fois, hors de question de prendre un bain, et se rhailla, elle déambulait, un peu perdu, elle n'avait plus aucun repère, sa carte ne l'aidait donc plus...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le dimanche 11 novembre 2012, 17:02:29
Silence ouvrit les yeux et poussa un juron sonore lorsque sa tête commença à lui faire souffrir le martyre. Il avait eu comme un black-out, après avoir éjaculé sur la magicienne. Il était toujours face à l'arbre-pénis, et la succube se masturbait toujours, ce devait être la sixième ou septième fois, déjà. Incroyable l'endurance de ces créatures. Il la fit disparaître, et partit en quête de Magikya. Il voulait encore s'amuser, étant un obsédé sexuel insatiable, il en voulait encore. Ce monde était parfait pour lui, mais certains phénomènes étaient tout simplement inexplicables. Il se téléporta donc, avec comme point de repère mental la belle femme fortement poitrinée avec laquelle il s'amusait bien depuis quelques heures.

Il réapparut devant la porte d'une auberge. Il entra sans se poser de questions, et découvrit une sorte de capharnaüm. Diverses créatures humanoïdes couraient en tout sens, poursuivies par des furets, une jeune femme restait immobile, et une autre encore s'époumonait à lancer des sorts pour chasser les bestioles qui s'étaient infiltrées dans ses vêtements, allant masser jusqu'aux parties les plus intimes de son corps. Les cauchemars sur quatre pattes s'en allèrent et la magicienne sortit, suivie de près par celle qui ressemblait à première vue à une Terrane. Une troisième cliente ? Possible...

Toujours est-il que Magikya, complètement nue, était maintenant en très de se baigner dans un grand lac, éclairée par une minuscule flamme à l'extrémité de son bâton. Spectacle plaisant, une fois de plus. Avec un sourire, Silence s'imagina le supplice de se trimballer constamment deux énormes seins sur la poitrine. La probable Terrane disparut alors, et le mercenaire ne sentit plus sa présence. Elle devait avoir été renvoyée dans son monde. Tant mieux. Silence voulait être le seul à pouvoir profiter de son terrain de jeu.

Il regarda calmement la scène se dérouler, la magicienne se laissait faire, masturbant l'Orc énergiquement. Silence recommençait à bander. Son érection augmentait de plus en plus, atteignant son paroxysme lorsque le Centaure et l'Orc s'éloignèrent en éclatant de rire. Le mercenaire pensa qu'elle avait déjà subi beaucoup de sévices sexuels, et que c'était bien dommage. Elle apprécierait moins ce qu'il allait lui faire. Il matérialisa une bâtisse au beau milieu de la forêt d'un mouvement de bras, s'apercevant par la même occasion qu'il avait, comme il le souhaitait, perdu son invisibilité. Il se téléporta dans le bâtiment qui se voulait avoir une atmosphère propice à un viol en règle. Une chaleur étouffante, une pièce vide et claire, comme dans des douches. Chaud, humide...

Magikya frappa par trois fois à la porte et le mercenaire s'empressa d'ouvrir, métamorphosant sa tenue en une simple serviette autour de son sexe. Il pria la jeune femme d'entrer et dénoua celle-là sans la moindre pudeur. D'ailleurs, la jeune femme pouvait contempler son sexe dressé aux dimensions respectables.

- Qu'est-ce qui vous amène, magnifique jeune femme ? Que diriez-vous de vous faire défoncer pour vous remettre agréablement de vos aventures ?
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le samedi 15 décembre 2012, 14:29:37
Magikya marchait, énervée, ce jeu commençait vraiment à l'énervée ! Elle voulait juste vivre un peu d'aventures, pas rencontrer autant de vices et de perversités. Elle soupira.

Elle s'était donc re-vêtue de cette robe fine qu épousait à la perfection sa silhouette juvénile. Seulement, elle ne portait pas de soutien-gorge et le froid faisait pointer ses tétons, dans le noir elle ne put discerner si cela se voyait ou non d'un point de vue extérieur.

Elle avait toujours son baton, la flute et la tiare, même si elle n'avait aucune idée de l'utilitée que ces objets pouvaient bien avoir, mais elle les gardait dans une petite sacoche. Un vent froid soufflait, elle se rassurait d'avoir ces bas et ces gants qui lui tenaient très chaud. Cependant, il lui faudrait trouver un abri pour la nuit, l'orage grondait et il ne faisait aucun doute que la pluie tomberait bientot.

La jeune fille évitait soigneusement les routes ou autres chemins, les individus étaient plus qu'à éviter, du moins, tous ceux qu'elle avait rencontrée jusque là ! Au bout d'un moment, elle s'arrêta presque de respirer. Elle n'avait pas fait attention et s'était retrouvée non loin d'un chemin. Elle s'allongea rapidement derrière des buissons, à travers lesquelle elle pouvait discerner des ombres, un orc et un centaure, et c'était bien ceux de sa dernière rencontre, elle reconnue leurs voix.

Et justement, il semblait dans ce murmure inaudible qu'ils parlaient d'elles... Magikya rougit, il semblait qu'elle leur avait vraiment plut...

A peine quelques mètres plus loin, des cavaliers, sept, déboulèrent, ils s'arrêterent à hauteur des deux compères. Ces cavaliers portaient une armure noire et étaient d'une carrure impressionante, Magikya pensait que c'étaient des hommes, mais eu un doute.

Ellle entendit son nom, ils parlaient d'elle. Magikya se mit donc à tendre l'oreille. Les cavaliers étaient à sa recherche au nom d'une entité, probablement cette entité-même qu'elle devait tuer. L'orc et le centaure riaient, ils racontaient où ils l'avaient rencontrer et dans quelle circonstance ils l'avaient rencontrer. Cela semblait intéresser les cavaliers qui demandèrent même des détails. Puis, l'orc renifla l'air, et murmura quelques mots dans un sourire, la fille était dans le coin... Magikya sentit son coeur battre la chamade.

-Magikya ? Viens, j'ai des amies qui voudraient te rencontrer ! dit l'orc en souriant.

Ils se rapprochaient mais Magikya lança vite un sort qui obscurcit l'air, elle se mit à courir. Malgré cette course, cela semblait telle une danse.
Au bout d'un moment, elle crue les avoir semer, pour s'assurer de cette distance, elle frappa à une batisse, elle n'avait pas le choix, les cavaliers, l'orc et le centaure n'étaient pas loin.

La porte s'ouvrit, mais l'homme semblait aussi excité que tous les autres :

- Qu'est-ce qui vous amène, magnifique jeune femme ? Que diriez-vous de vous faire défoncer pour vous remettre agréablement de vos aventures ?

Magikya fixa un instant son regard sur son pénis durcit.

Elle ne répondit rien, recula lentement vers la porte d'où elle venait. Elle marchait à reculons, restant face, elle tendit la main vers la serrure qu'elle ouvrit subitement. Mais elle sursauta, des mains venaient de se refermer sur ces épaules. Un minotaure, grand et fort.

Celui-ci se mit à rire :
-c'est toi la magicienne Magikya ? Tu es recherchée par la garde noire, et tu es capable de certaines prouesses ! Et oui, l'orc ne sait pas se taire !
Et il se mit à rire de plus belle alors que Magikya se retrouvait à la merci de deux prédateurs.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le samedi 15 décembre 2012, 16:54:56
Silence était assez contrarié par ce contretemps. Le Minotaure qui venait d'entrer n'était pas prévu au programme, et pour que la magicienne ne comprenne pas tout de suite la supercherie, il ne pouvait décemment par le désintégrer. Il allait devoir composer avec ce petit désagrément. Enfin, plutôt gros, mais il allait faire avec. Il n'était pas membre des Griffes d'Ammoth pour rien.

- Toi, la grosse monstruosité semi-bovine, je te prie cordialement de foutre le camp en vitesse. Sinon tu vas morfler.

La bête éclata de rire, l'énorme anneau qui pendait de son nez rebondissait sur son museau à chaque sursaut. Il ne prenait visiblement pas le mercenaire au sérieux, ce qui était parfaitement compréhensible vu l'écart entre la taille, la carrure et la musculature du Minotaure et de l'humain. Mais il pouvait peut-être l'avoir au bluff en modifiant une partie de ses souvenirs...

- Tu te souviens de l'agent X ? Celui de la Garde Noire qui devait garder une identité secrète pour les missions d'espionnage ? Et bien si tu n'avais pas fait cette action stupide de te moquer de moi, il aurait très bien pu proposer aux Haut-placés de t'octroyer une promotion... Parce que oui, tu l'as en face de toi.

Le monstrueux homme-taureau sembla pâlir. Il recula légèrement, lâchant les épaules de la magicienne, qui paraissait ne pas avoir apprécié que ses frêles épaules soient à ce point écrasées. Il s'excusa doucement, bouillonnant de rage par son impuissance et sortit en claquant la porte. Il avait espéré quelque chose qu'il aurait bien de la peine à obtenir, maintenant. Silence, satisfait, se retourna vers Magikya et s'éclaircit la voix.

- Alors, où en étions-nous, délicieuse enfant ?

Il avait bien une idée de ce qu'il allait faire par la suite, la mignonne robe de la magicienne lui donnait des envies... Il aurait peut-être besoin de l'homme taureau finalement. Mentalement, il lui donna l'ordre de revenir, comme ça Magikya ne s'y attendrait pas. La porte claqua, la bête entra, et prit Magikya par une épaule et par la taille pour l'immobiliser. Silence sourit et caressa doucement le contour du sein droit de la magicienne, faisant des petits ronds avec son doigt, de plus en plus petit, se rapprochant de plus en plus du téton de Magikya, et sourit en sentant qu'il était tout pointu. Sans doute à cause du froid, mais qui sait... Il appréciait le contact de la robe, mais attendait la suite avec impatience. Il tentait de se maîtriser car de toute façon, que pourrait-il se passer, il avait la situation bien en main. Au sens propre comme au figuré, d'ailleurs. Il saisit un petit couteau et déchira le haut de la magicienne, et abaissa ce qu'il restait pour dévoiler deux appétissants globes de chair. Il continua à les caresser, tous les deux maintenant, et son pénis se réveillait doucement. Il joua quelques instants avec ses tétons, s'amusa à les pincer... Cette jeune femme lui plaisait beaucoup, et il avait hâte de passer aux choses sérieuses.

Le Minotaure semblait aussi excité par la jeune femme, et très jaloux de Silence. Le mercenaire ne voulait pas l'imaginer, mais il était très probable que dans le dos de Magikya, elle ressente comme une grosse bosse. Sous ses doigts habiles, la poitrine ferme de la magicienne lui procurait des sensations extrêmement agréables...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le samedi 15 décembre 2012, 19:46:55
Magikya était presque obligée de sa cambrer, le pénis du minotaure était d'une taille impressionant, du moins de ce qu'elle sentait. Le minotaure ne portait qu'un pagne au niveau de son membre viril et la jeune femme le sentait se coller contre sa robe et de donner de petits coups de hanche alors que son souffle chaud s'accélerait contre Magikya. La créature n'était contenue que par l'autorité de l'homme en face d'elle.

Un homme qui justement, excité par la jeune femme, se concentrait sur les seins de Magikya, ses tétons durcit par le froid semblaient l'attirer. Il refermait ses mains sur ses sains, les manipulant, les malaxant, et plus il le faisait, plus son pénis durcissait. Il finit par se coller contre elle et également donner quelque coups de hanches délicat afin de réussir à se contenir et ne pas lui écarter les cuisses de suite.

Le minotaure avait prit les mains de la jeune femme, les positionnant contre son dos. La jeune essaya de se débattre, donnant quelques coups de hanches et des mouvements des épaules mais cela ne servait à rien, la poigne du minotaure était ferme et les mains bloquées de l'homme sur ses seins limitaient ses mouvements.

Puis l'homme mis ses pouces sur ses tétons, jouant avec, puis les pinçant, les tirant et finit par mordre dedans. Magikya poussa un petit cri, mais elle ne se débattit pas, de peur de blesser ses seins.

-Alllonge-là, dit l'homme au minotaure qui le fit de suite. Magikya eut du mal, de nouveau, à se débattre. Elle n'est qu'une jeune femme et lui une créature surtout composée de muscles.

Elle fut donc allongée en deux temps trois mouvements par le minotaure. Celui-ci était à genoux derrière elle, son pénis en érection au-dessus de son visage alors que l'homme, à califourchon sur son ventre, placa son pénis durcit entre ses seins qu'il maintenait appuyés contre son membre. Il fit de nombreux mouvements, un liquide présiminale sortit de son pénis. Magikya tentait de se débattre, les mains maintenues par le minotaure. Elle criait, mais rien à faire.

-Alors alors, on s'amuse, qu'attends-tu pour la chevaucher ?
-Allez, elle attend que ça cette salope !

des voix criardes commentaient l'action, de petits gnomes, cinq ou six, hauts de seulement une dizaine de centimètres. La plupart avaient soit la main dans leur pantalon, l'agitant, ou avaient carrément sortis leurs pénis en train de se durcir.

L'homme les regarda rapidement, il n'avait pas à se soucier d'eux, c'étaient juste de petit pervers. Alors qu'il accélerait le mouvement entre ses deux dômes de chairs chauds, le minotaure lui désigna un endroit derrière lui. En effet, il s'y trouvait une table, un bon endroit pour poser leur victime et s'occuper plus sérieusement d'elle...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le samedi 15 décembre 2012, 20:21:29
L'homme-taureau avait tiré les mains de leur prisonnière en arrière, et sa poitrine était alors encore plus offerte à Silence, qui commença à mordre ses tétons. Magikya cria de douleur, mais ne put pas faire le moindre mouvement. Le mercenaire se demandait si c'était possible de l'arracher.

- Allonge-là.

Il était temps de passer à quelque chose de plus costaud. Car même s'il appréciait beaucoup ce qu'il faisait subir à l'apprentie magicienne, un acte sexuel ne doit jamais être trop longuement prolongé dans une seule position. Il faut faire grimper le plaisir. Le Minotaure étendit donc la jeune femme sur le dos, prenant soin de palper ses seins "accidentellement" par la même occasion. Il s'agenouilla donc auprès d'elle, et vu là vue en contre-plongée qu'elle avait, elle devait voir parfaitement le pénis sauvage, parcouru de palpitations et de veines qui ressortent qui était censé être dissimulé sous son petit pagne. Mais Silence se moquait bien de ce que l'hybride faisait. Il s'assit sur le bassin de sa "partenaire", ôta son pantalon et glissa son pénis avec une érection maintenant impressionnante entre ses deux obus naturels. Ensuite, il commença une série de va-et-vients entre ses seins, qui, s'ils étaient épuisants, lui procuraient des sensations inouïes.

Car les seins de Magikya étaient presque parfaits. Le volume était suffisant, ils étaient doux et moelleux, chauds aussi. Ses mouvements le fatiguaient assez rapidement, accélérant son rythme cardiaque, et la cadence de ses respirations, ainsi que de ses coups de bassin, d'ailleurs. Du présperme jaillissait déjà par à-coups de son membre volumineux, quand il entendit une série de voix plus désagréables les unes que les autres. Une demi-douzaine de Gnomes voyeurs observaient le viol pur et simple qui était en train de se dérouler sous leurs yeux.

- Alors alors, on s'amuse, qu'attends-tu pour la chevaucher ?

- Allez, elle attend que ça cette salope !

Il ne s'intéresserait pas à ces créatures, sauf si elles aspergeaient le sol de sa bâtisse avec leur semence impure. Lui, il était toujours à son extase, presque au septième ciel, accélérant toujours ses mouvements, sentant une intense et agréable chaleur se diffuser dans tout la partie inférieure de son corps... Il éjacula. En grande quantité. Sa semence recouvrit le visage de Magikya qui recracha ce qui avait pu pénétrer dans sa bouche. Le Minotaure, dont le sexe crachait quelques gouttes par intermittence, tant il était excité, désigna une table à Silence. Celui-ci acquiesça et ils la transportèrent sans ménagement jusqu'à la table, où ils l'allongèrent, ses fesses étaient au niveau du bord de la table. Silence était à nouveau en érection, à sa grande joie, et il souleva la robe de l'apprentie magicienne, coupant court au suspense. Son vagin était très joli, ses lèvres étaient lisses, elle était rasée...

Silence guida son membre jusque dans les tréfonds de la jeune femme, ensuite il prit les jambes de sa victime pour avoir un meilleur appui, et commença à la pénétrer violemment.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le samedi 15 décembre 2012, 23:07:29
Le fait que le minotaure tienne les bras de Magikya loin de son torse permettait de voir ces deux collines de chair balloter au rythme de la pénétration véhémente de l'homme. Il accélerait ses pénétrations alors qu'au même moment, le minotaure massait l'un des seins ronds de Magikya tout en posant son imposant pénis contre l'une des joues de le belle femme. Il remuait ce lourd membre contre elle, lui faisant couler du liquide pré-séminal sur son visage en plus du sperme de l'homme qui la chevauchait actuellement avec encore plus de vigueur.

Au bout de plusieurs minutes, l'homme accélera la cadence à un rythme effrénée, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de petits cris. En effet, Magikya se mettait à bouger le bassin en rythme avec les coups de hanche de l'homme qui s'enfonçait au plus profond du vagin humide de Magikya.

Puis il éjacula, puissament, emplissant Magikya, l'homme s'essouflait, fatigué de tant de performances. Il se recula et fit signe au minotaure qu'il pouvait y aller, celui-ci ne se le fit pas dire deux fois.

Le pénis de l'homme devenant mou, l'un des gnomes s'écria :

-hé, mon beau, faut pas te laisser aller comme ça, elle se fait baiser comme jamais !

Avant même que l'homme eut le temps de répondre, les dix gnomes se réunirent en cercle, un cercle plutot large, leurs pénis en pleines érections limitaient leur approche. Cela dura à peine quelques secondes, puis, celui qui devait être leur chef, et le plus moche également, se retourna vers l'homme :

-Tiens, une petite illusion qui devrait te remonter le membre, et après, tu retournes baiser cette jeunette à grosse poitrine comme jamais !

Le gnome jeta alors une pourdre et tous purent voir... Un clone de Magikya !

Alors que le minotaure retournait Magikya sur le ventre en travers de la table pour qu'elle ait plus de mal à se débattre, se qui grossissait les seins de la jeune fille qui dépassait d'un côté de la table, tandis que de l'autre le bassin de la jeune femme était maintenu entre les mains fermes du minotaure qui se préparait à la pénétrer avec encore plus de force, une copie totalement réaliste de Magikya se trouvait dans l'un des coins de la pièce, face à l'homme. Mais, à la différence de la vraie, celle-ci portait juste une nuisette... Rien d'autre qu'une nuisette rouge transparante qui laissait voir le corps de la vraie Magikya ; deux seins d'une rondeur exquise avec des tétons roses pointants, la nuisette descendait jusqu'à la moitiée de ses cuisses... Mais elle laissa voir le vagin humide de la jeune femme.

Cette seconde Magikya avait le regard qui brillait d'excitation, ses cheveux violets bouclés tombaient le long de son corps, magnifiques. Celle-ci fixait l'homme dans les yeux, se mordant la lèvre inférieure alors qu'elle caressait l'un de ses seins à travers la nuisette. Son autre main descendait le long de son corps, pour finalement s'insérer au niveau de son entre-jambe...

A côté, le minotaure avait finalement réussit à faire entrer son membre d'une taille importante dans Magikya, donnant de violents et rapides coups de son puissant pénis avec une endurance incroyable tout en tennant serré ses mains sur les seins de Magikya.
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Silence le dimanche 16 décembre 2012, 15:58:44
Quand Silence éjacula pour la deuxième fois, cette fois à l'intérieur de la magicienne, un bien-être extrême l'envahit, si bien que cela ne l'embêtait même plus de laisser agir le Minotaure, qui, ravit, ôta son pagne superflu, même s'il frottait son volumineux membre déjà depuis un moment sur le visage de Magikya,  il la retourna sur le ventre et commença à la prendre en lévrette, ses mains sur ses gros seins. Malgré l'écart entre la morphologie des Minotaures et des humaines, il semblait apprécier pleinement le coït fougueux auquel il se livrait. À ce moment-là, les Gnomes protestèrent, formèrent un cercle - leurs glands se touchaient, ce qui dégoûtait Silence - et lancèrent un peu de poudre magique au point où tous se frôlaient, avant de se reculer rapidement. Lentement prit forme un clone parfait de l'apprentie magicienne, encore plus érotiquement attirante que la vraie, qui si elle était excellente à violer, n'était pas consentante, ce qui était bien dommage.

Silence était face à la fausse Magikya en nuisette transparente diablement excitante, qui laissait transparaître deux seins énormes, ronds, fermes, sui semblaient d'un moelleux... L'idéal pour Silence qui recommençait à bander. Son regard redescendit encore jusqu'au vagin humide et dégoulinant de cyprine de l'illusion... Magnifique... À travers le fin vêtement, la jeune femme irréelle caressait l'un de ses seins , encore plus gros que ceux de la vraie, et insérait un doigt dans son vagin. Quand il ressortait, il était trempé. L'érection de Silence était à présent et pour la troisième fois à son paroxysme. Il s'approcha de la fausse jeune femme et caressa son clitoris. Il avait bien une idée... Il appela le Minotaure qui commençait à faire sérieusement hurler Magikya et lui demanda de s'arrêter. La bête parut profondément déçue mais obtempéra.

- Tu n'as qu'à demander aux nabots de t'en faire une autre... moi, j'ai toujours rêve d'en prendre deux en même temps...

Il s'approcha de Magikya, qui n'avait même pas eu le temps et qui essayait de se redresser sur ses bras, mais il recommença à la chevaucher, la prenant avidement par derrière. Sur ses consignes, la clone, elle, se déplaça et alla se mettre sur la magicienne. Elle offrait donc son entrejambe au mercenaire, et essayant d'embrasser la jeune fille qui, épuisée après tant de sévices, se laissa faire. Silence labourait le vagin de la vraie, tandis qu'il léchait et mordillait celui de la fausse, excité encore plus par ces deux arrières-trains qui se secouaient devant lui et ces deux beautés qui s'embrassaient langoureusement sous ses yeux. Incapable de tenir trop longtemps après tant de plaisir et d'excitation, il sortit son membre de l'antre pas si secrète que ça de Magikya et éjacula sur les deux paires de fesses qui lui faisaient face en poussant un râle de plaisir. Sa raison d'être était maintenant sur ses fesses, donc la fausse magicienne disparut comme elle était venue.

Le Capitaine des Griffes d'Ammoth fit signe à l'homme-taureau qu'il pouvait finir ce qu'il avait commencé. La bête terriblement frustrée eut un râle de désespoir. Car voyant qu'il n'avait pas le droit à l'une de ces femelles, il avait décidé de se finir tout seul en regardant la scène, et avait donc éjaculé en même temps que le mercenaire, mais en beaucoup plus grande quantité. Il aurait pu remplir tout une chope de bière... Mais ces bêtes avaient une endurance hors du commun, aussi son pénis se remit immédiatement en érection, et il recommença à violer la jeune fille. Elle risquait peut-être de mourir d'épuisement.

- On dit que des... Démons violeurs... Vivent dans la forêt non loin d'ici... Que leurs connaissances et leurs capacités en matière de sexe sont du jamais vu... On devrait peut-être la laisser s'enfuir après, et la suivre à distance... Qu'en dites-vous... ?

- Excellente idée... Ça pourrait remettre ma bête d'aplomb...

Pendant encore un moment, le Minotaure pénétra la magicienne jusqu'à l'orgasme, puis les deux violeurs la portèrent jusqu'à une autre pièce (elle avait perdu connaissance), la nettoyèrent, la rhabillèrent, et puis la déposèrent hors de la cabane, dos au mur, face à l'orée de la forêt. À son réveil, elle serait sans doute paniquée, et elle tenterait vraisemblablement d'entrer dans les bois. Et c'est là qu'ils la suivraient pour se rincer l'oeil, encore et toujours...
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magister Aetius Celestus le jeudi 27 décembre 2012, 02:07:22
Chacun à son tour de s’amuser n’est-ce pas, et bien le magister allait donner une bonne leçon à son apprentie, il allait lui apprendre la honte d’être la merci des autres ! Elle allait prendre une leçon d’humilité, d’humiliation et surtout une bonne leçon de vie… alors, que faire… hum… voilà !

Il bloqua un peu l’avancée des créatures démoniaques, non, pas tout de suite, d’abord, il allait lui faire comprendre qu’elle n’était absolument rien… il s’était décidé à lui donner une leçon aussi, au lieu que les démons ne viennent, ce furent des espèces de créatures gélatineuses qui approchèrent, similaires à des slimes, elles étaient particulièrement gluantes mais tenaient debout par magie.

Ils se réunirent tous en une seule et même créature énorme , visqueuse, qui n’avait ni visage ni signe particulier à part cette apparente viscosité. L’être s’approcha et saisit magikya pour la redresser et la retourner. Sa gélatine, loin de former un phallus ou autre, se contenta d’entrer dans son petit trou et dans son intimité, il ne s’agissait pas d’une sorte de rapport sexuel, non, il la remplissait juste d’un fluide qui outre le fait qu’il semblait se déverser en elle toujours plus loin et toujours  en plus grande quantité… c’était visqueux,  c’était puant, mais surtout, on voyait des yeux qui regardaient davantage magikya un peu partout à l’orée de la foret…

Effet particulier ? Émettre une odeur qui donnait envie à toute créature qui la regardait de la remplir de semence…
Titre: Re : La boutique de l'imagination
Posté par: Magikya le dimanche 31 mars 2013, 14:47:21
Magikya ouvrit péniblement les yeux, épuisées. Elle se sentait étrange, il lui semblait que quelque chose était différent. Elle remarqua qu'elle était habillée, dehors, et il semblait que ses deux tortionnaires l'avaient abandonnés ici.

Alors qu'elle venait de se relever, prenant appui contre le mur, elle sentit qu'elle n'était pas seule. Des yeux malsains brillaient dans les ténèbres, la scrutant, la déshabillant du regard. Sa poitrine se mit à soulever et l'inquiétude à grandir en elle.

Soudain, le tronc des arbres se mit à s'épaissir, leurs branches se mouvaient en direction de la jeune femme. Celle-ci se mit à reculer, tranquillement, gardant un oeil sur les ombres qui sortaient de la forêt, de multiples créatures, la plupart qu'elle ne connaissait pas.

-Reculez ! Cria une voix grave et vieille.

Magikya se sentit transporter dans les airs par un faisceau lumineux, et un mur bleu, translucide, se forma entre elle et la forêt. Ne comprenant pas ce qui se déroulait, elle voulu se débattre, ce qui n'eut aucun effet. Alors, un vieil homme, dans une robe blanche de sorcier et un grand bâton de bois qu'il serrait, pointée dans la direction de Magikya.

-Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas eu un tel tourbillonnement de sensations en moi, ni un tel désir pour la chair.

Il lui sourit, observant son corps, ses seins qu'il tentait d'imaginer avec passion derrière ses vêtements.

-Qui êtes-vous ?  Demanda Magikya. Le vieil homme ne la regarda même pas, il se mit même à poser sa main, doucement, sur sa jambe, remontant le long de sa douce cuisse.

-Tu n'as pas besoin de connaître mon nom, sache juste que je suis le plus puissant sorcier de toute cette contrée. Tu vas venir avec moi...

Un tourbillon de magie apparut alors à l'endroit où ils se trouvaient, téléportant Magikya et le vieil homme chez ce dernier.