Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Refectoire => Discussion démarrée par: Gabriel Valmy le jeudi 01 mars 2012, 20:11:05
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« Et voici ce qui conclue mon intervention...je vous remercie de la pêtite portion de votre inattention que vous m'avez offerts....c'était charmant de votre part.... »
Intérieurement, là, Gabriel se disait qu'hormis quelques beautés, cette classe était remplie de merdeux. Il éteignit le vidéoprojecteur et attendit que tout le monde soit sorti de la salle pour faire de même admirant au passage la belle série de paires de miches qui sortaient... allêchants...dommage que ce soit un peu compliqué...ça aurait du l'être jusqu'à ce que le professeur lui dise que si il le désirait, il pourrait mander au self de l'établissement, ce quia rrangeait bien notre cher gabriel, se placer au milieu de toutes ces belles paires de gambettes qui ne connaissaient sans doute encore rien à l'amour, rien au plaisir, si seulement il pouvait avoir gagné sa journée avec un bon coup...mais pour le moment rien. Et dire que c'était une vengeance de la part de la commissaire cette intervention...
Il se dirigea alors vers le self pour manger, se mêlant aux étudiants, jouant des coudes comme tout le monde, sauf que lui, on s'écartait et ça marchait. Le self était bondé quand il parvint dans le réfectoire, il y avait une table de libre, une seule malheureuse table, encore vide, ou du moins non, il y avait juste trois petites places, une pour lui, une pour son compagnon de toujours, monsieur berreta neuf millimètres, et une autre pour son égo.... cette table était au fond de la salle, face à la sortie, il s'y installa, prenant la place du milieu, celle qui emmerdait le plus souvent les gens, tranquillement, avant de manger ce qui était dégoutant, très clairement...
Si seulement quelque chose pouvait se passer, quelque chose qui mettrait du beaume au cœur de sa journée, uelque chose d'amusant, d'excitant, ou du genre à vous dire ue cette journée s'était bien passée, mais là, rien....rien de transcendant, même pas un courant d'air à faire voleter une jupette...
Puis là, ce fut le ponpon, un espèce de geek qui vnt squatter la place de droite, il se décala machinalement d'un rang, alors que le geek, bien gras, était en train de commencer à l'entretenir de la dernière mise à jour d'il ne savait plus trop quel jeu.
Et pendant ce temps, le self ne désemplissait pas...
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Quand Ayame entra dans le self surchargé, l'odeur de nourriture emplissa ses poumons: elle voulait trouver une place et vite. Elle sentait le regard des gens, en particulier des élèves masculins regarder avec plaisir son corps au formes rebondies. Sous son uniforme de lycéenne, sous sa courte jupe plisée, elle se sentait comme humilliée, mais elle avait besoin de quelque chose. Au fond d' elle elle le savait.
Mais soudain, Ayame croisa de Regard de Mr Valmy, qui venait de parler de la sécurité dans d'autres classes. Elle ne pouvait s'empechait de rougir, de baisser les yeux... Il ne trouvait lui aussi pas de places. Elle vit soudain un petit garçon grassouillet, au physique de geek, qui... qui se leva, et laissa à présent deux places de libres. Elle s'asseya, mais laisa échapper un petit cri étouffé: Un courant éléctrique intense circula dans son corps: Elle vit la pointe de ses seins durcir et elle sentit sa culotte mouiller et s'enduire de liquide séminal. Sa vulve, son vagin s'ouvrait peu à peu, pour former un orifice, tout comme son anus. Ayame Haletait, puis elle vit Gabriel s'assoir a coté d'elle...
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Gabriel avait envoyé une très légère dose de courant, à peine plus qu'une chatouille vers la jeune fmme qui venait de s'asseoir à ses côtés. Le petit cri étouffé et les halètements firent se retourner Gabriel vers elle de manière franche. Elle était dans un sacré état juste après cela, il ne fallait décidément pas grand chose à la midinette. Il avait trouvé son divertissement de la jouréne, la chose qui faisait qu'il apprécierait cette journée.
Doucement, il posa sa main sur son épaule avant de donner un nouveau petit choc électrique, il avait bien l'intention de la faire saliver, et jouir, juste avec ses courants, et au pire, il lui restait toujours le reste (son propre corps et toutes ses extrémités.
« Vous allez bien mademoiselle ? »
Ce faisant, il envoyait un nouveau petit choc, toujours légrement plsu fort que le précédent, il voulait entendre un vrai petit cri...
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En entendant ce que lui disait Gabriel, Ayame s'appretait à répondre mais une secousse plus violente parcoura son corps.
"oui je vais... ahh"
une légère sueur recouvrait sa peau. Sa chemise blanche collait sa poitrine en sueur et Ayame ne portait pas de soutien-gorge on pouvait voirt ses seins bouger a chaque mouvement .Elle cria et par reflexe, la jeune se plaqua une main contre sa bouche.
Ayame pensa, affollée:
"Que m'arrive t-il ? je ne voudrais pas qu'on me voit comme cela !"
Ayame voulait toujours faire bonne impression. Elle ne voulait pas qu'on pense que c'était une perverse ou quoi que ce soit. Mais parfois, elle était obligée de vivre sa vie sexuelle. Alors elle se livrait à des hommes qui avait eux aussi besoin d'elle. elle se laissait piéger si facilement... Sous ses airs de jeune fille innocente, elle cachait ses envies... Et C'était une jeune fille innocente...Sous le coup de l'excitation, Elle tomba entre les jambes de Gabriel: elle sentit que quelque chose gonflait sous le pantalon de l'homme.
Mais à présent, tous le monde la regardait, elle, à moitié nue, la cullotte et le corps trempé de sueur et de liquide séminal.
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Il al réceptionna alors qu'elle tombait, et discrètement, il passa sa main contre sa poitrine et lui envoyant une nouvelle décharge au niveau du téton, le tissu tant rarement un bon isolant, il serait intéressant de constater comme cela devait faire son petit bout de chemin.... Puis , comme elle était sur lui, il lui pinça le téton et envoya encore une décharge.
« Vous êtes sur de bien aller, mademoiselle ? »
Il avait dit cela en la prenant par les épaules, jouant cette fois avec de miniscules arcs électriques qui venaient lui picoter la peau alors qu'il la redressait pour qu'elle se rassoit comme il fallait, trempant son siège si besoin était avec sa mouille, il lorgnait sans se cacher la poitrine au travers de tissu collant à son corps.
« Allons, calmez vous et remettez vous à manger, cela vous feras du bien. »
Il lui tapota le dos, sans l'électricuter cette fois...
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Ayame, rattrapée par Gabriel, ne savait plus ou elle en était. Elle n'eut pas le temps de dire ouf, qu'elle sentit une chaleur agréable dans sa poitrine, suivit d'un picotement. ses seins lui faisait tellement du bien et ses têtons durcissait encore...
-Oui je vais bien...
Gabriel la redressa, et elle sentit un picotement au niveau de ses épaules. Son siege était trempé. Elle n'avait qu'une envie: retirer sa culotte et voir ce qu'elle pourrait faire avec ce qu'il ya en dessous, peut-être dans les toillettes ou chez elle... En aucun cas devant tout le monde !
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Il lui sourit en voyant que même la jupe commençait à s'imprégner. Alors il entra en scène réellement, pour lui murmurer dans le creux de l'oreille.
« Vous savez, si vous mettez fin à vos bouffées de chaleur maintenant, sous la table, personne ne le verra, il vous suffit d'enlever votre culotte pour le faire, ce n'st pas bien dur, si ? »
Il sourit et lui enoya un nouveau choc électrique sur la cuisse cette fois, l'écouterait-elle ? Bonne question. Mais la réponse, il allait plus ou moins la forcer. Sous prétexte de lui donner une petite accolade, il lui envoya une nouvelle décharge électrique...
« Ne vous déragez pas pour les autres, au pire, le mal est de toute manière déjà fait je pense, donc ça ne peut pas empirer, si ? »
Et une nouvelle décharge sur la cuisse au passage....
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En entendant cette proposition, Ayame se tut:
-Vous...je...
Elle ne pouvait rien dire. mais c'était une chance inouïe:
Elle sentit sa vulve s'ouvrir et Au fond d'elle, elle avait envie de retirer sa culotte et que quelque chose rentre dans son organe génital. Elle regarda Gabriel .
-Non... je... je ne peux pas... Hhh
La douce chaleur si caractéristique des préliminaires d'une relation empara son corps. Elle voulut se lever mais...
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Il la força à se rassoir avec douceur mais fermeté.
« Allons, dans votre état vous pensez vraiement pouvoir aller quelque part sans avoir des vertiges et vous écrouler au sol. Faites ça ici et maintenant, enlevez votre culotte et soulagez vous ! »
Ce faisant, il tapota très légèrement l'abdomen de la jeune femme, lui envyant encore quelques chocs électriques, histoire de.
« Allons, faites le, que vous soyez délivrée, que vous soyez enfin tranquille, que vous soyez enfin bien, vous en avez besoin, vous le sentez, n'est-ce pas ? »
Il avai posé sa main sur sa cuisse et envoyait du courant continu dans le corps de la jeune femme, continuant à stimuler tout cela !
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Ayame ne pouvait plus résister:
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Oui, Ayame ne pouvait plus résister:
-Hhh...oui, je vais...
Elle commenca a retirer sa cullotte, mais elle hésitait. Mais sous les paroles apaisantes de gabriel, elle y était forcée . Sous les décharges électrique, sa poitrine avait augmentée de volume. Un air chaud circulait dans son corps.
-Oui...Je vais me...déli...vrer
Ayame haletait. Gabriel tira le haut de sa culotte: cela formait un fil qui s'introduisait dans sa vulve. Ayame l'arreta: Ele leva les jambes et enleva enfin sa culotte. Son vagin attendait à présent l'homme.
La lycéenne déboutonna sa chemise trempée: ses seins tronaient au millieu de cette chemise ouverte.
Ayame était recroquevillée; mais elle était tellement stimulée qu'elle s'appuya sur le dos de la chaise, les jambes ouverte. sous son vagin coulait le liquide séminal qui trempait complétement la chaîse.Ayame attendait, les jambes écartées...
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Souriant, il regardait cette jeune femme, elle était comme toutes les lycéennes : dépendantes de leurs hormones si facilement manipulmables, et là, il ne se gênait pas un seul instant pour tout ça ! Aucun scrupules ! Il caressa l'intérieur de la cuisse avant de prendre la culotte et l'essuyer sur le visage de la jeune femme, puis il la fourra dans la bouche de celle ci...
« Ça toufffera un peu tes cris, vois comme je suis gentil ! »
Puis, douement, il prit la main de la jeune femme et commença à utiliser cette même main pour la faire se caresser la vulve alors qu'en mee temps, il l'électrocutait.
« Tu veux ta délivrance ? Mérite-la ! »
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Souriant, il lui tapota la cuisse en calant bien la main de la jeune femme sur son minou trempé.
« Vas, montre moi comment tu te débrouilles quand tu es toute seule ! »
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Ayame était comme toutes les lycéennes: Pour elle, le sujet de la sexualité était comme tabou, mais elle ne pouvait aux pulsions et a la stimulation de ses hormones.
Elle sentit un gout mielleux emplire sa bouche. Elle rougit: Sa cullotte était dans sa bouche; le goût de son liquide séminal brulant ses papillles et l'excitant un peu plus.
Sa main fut dirigée entre ses jambes. elle l'enfoncait un peu plus, une douce chaleur emvellopait son corps, par dessus, une légère douleur.
Ayame ouvrit les yeux, surprise, et cria, comme hallucinée:
- Aah ! Arrete ! arre... Aah !!!Je jouis !!
Comme par reflexe, elle ferma les jambes rapidement et fut agiter de soubresauts:
-Tu... tu vas... continuer...tout seu... seul...
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Déjà elle jouissait ? C'était trop facile et trop rapide, il avait bien l'intention de remédier à cela.
« Tu veux que je le fasse, c'est cela ? Si tu le demande poliments, alors, oui, je le ferais.... »
Il envisageait de lui faire mettre sa culotte sur la tête..mais tout le monde la regardait déjà avec de sacrés yeux. Et lui, l'intervenant, ne la touchait plus, il était en train de l'observer aussi, avant de lui dire :
« Tu as sali ta jupe, elle est toute trempée, et j'imagine que tu n'as pas d'affaires de rechanges ici...tant pis, tu resteras inondée de ta mouille jusqu'à ce soir alors... »
Il eut un sourire avant de poser sa main sur une partie métallique de la chaise et envoyer un courant plus fort, conduit par le liquide séminal de la jeune femme.
« Alors, tu veux que je le fasse, ça se voit, demande le moi gentiment... »
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Aprés ayant joui, Ayame fut comme déçue
Elle voulait qu'il le fasse... Mais tout le monde la regardait.
Mais il devait le faire.
-Oui... Faites...le... Faites le... Hhh..S'il vous plait...
A présent, Ayame ne savait pas ce qui alait suivre.
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Souriant, il exécuta, il glissa une main entre les cuisses de la jeune femme, il commença à caresser sa vulve trempée en lui demandant doucement :
"Tu aimes quand je te touche ici ? Tu en veux plus ? Il te suffit de le demander."
Il déclencha un petit arc électrique le long de ses lèvres intimes pour qu'elle reprenne vite ses envies liées à sa libido débordante. Et en même temps, il prit la main de la jeune femme et la posa sur la bosse de son pantalon.
"Tu sais, tu devrais caresser ta poitrine et pincer un téton pendant ce temps ! Et tu sens la bosse sous tes doigts, et bien elle est pour toi si tu le veux...."
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Ayame se sentait tellement bien. La main de Gabriel glissait sur sa vulve trempée
-En...core...
Ses levres si douces lui faisait du bien et elle voulait les utiliser à bon escient.
Elle carressa sa poitrine, ses téton durcis lui procurait une sensation inouïe: Elle les pincas et les tira: ses seins firent un mouvement circulaire. Ils avaient gonflé encore. Puis en entendant les conseils de Gabriel, elle se baissa et déboutona le pantalon de l'homme. Elle découvrit alors un trés gros ...
Elle coinca le membre entre ses seins et elle dscendit de plus en plus jusqu'a ses magnifiques lêvres, puis refit le mouvement plusieurs fois de suites. Elle sentait une douce chaleur sur ses seins et son fessiers frissonna de plaisir.
Elle descendit, et sentit le membre gonfler, et son visage fut recouvert d'un doux liquide blanc et mielleux. Elle baissa les yeux, rougit, puis rearda gabriel et se lechant les lêvres, enlevant les quelques gouttes avec sa langue.
- Mmmh... à toi de ...jouer
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Oh bon sang, elle lui avait fait du bien, du bien au point de lui jouir au visage, mais encore un peu de liquide perlait de son membre, et sa main quitta la vulve de la demoiselle pour lui dtacher sa jupe. Une fois cela fait, il posa un doigt sur sa rosette anale et lui envoya une décharge électrique bien piquante.
« Tu apprécies là aussi ? »
Il sourit en se mettant à masser cette zone par électrochocs, alors qu'il regardait son membre s'amollir, conséquence du plaisir et de la jouissance, aussi, appuya-t-il sur la tête de la jeune femme pour qu'elle prenne en bouche sa limace et qu'elle lui redonne un aspect de gros saucisson bien ferme.
« Ta bouche et ta langue...joue avec et tu auras le droit à bien plus ! Quand à tes mains, sers-t'en pour te faire du bien, enfonce un doigt dans ton minou.... »
Il se disait que tout plaisir avait une fin, car l'ennui, c'est que si le surveillant était bouche bée et profitait du spectacle, à un moment ou à un autre,il interviendrait pour faire cesser cela....
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Ayame quitta le membre de son mentor pour se reposer et s'habiller. mais ce dernier ne comptait pas s'arreter là.
-Bon... je vais y all... aah... ou..oui...c'est bon !!
Gabriel envoya une décharge sur son anus. Ayame ne s'était jamis sentie aussi bien. Elle voulait que ce rapport aille encore plus loin .
La jeune femme se retourna, souleva l'arrière-train en directionde son conjoint, mis un doigt dans sa bouche, l'autredans son vagin. et haletat et dit alors:
-Aahh... occ...occupe toi de mon anus
tout le monde la regardait et le surveillant allait revenir. Ils devait sans doute finir cela loin des regards, pour avoir plus de possibilités, mais le choix revenait à Gabriel !
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Gabriel sourit et lui dit :
"Viens, allons dans un endroit plus tranquille !"
Il prit la jupe dans la main,ainsi que la culotte, qu'il lui mit finalement (enfin) sur la tête, avant de lui donner une pêtite tape sur les fesses et la faire se relever pour l'accompagner hors du réfectoire, direction....et bien il ne le svaait pas, il savait juste une chose, que pendant qu'il marchait avec la jeune femme, il avait commencé à entrer son doigt dans son anus...
"Alors écoute, si tu en veux plus, choisis un endroit que tu veux, mais il faut qu'il y ait un peu de spectateurs, d'accord ?"
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Ayame, marchait, honteuse. Sa mouille coulait entre se jambes et ses seins lui faisait du bien. A chaque pas, ils bougeait dans un beaux mouvement rempli de volupté. Sa chevelure Brune tombait sur sa poitrine en sueur. Elle demanda à gabriel:
-OU allons nous ?
Elles'approcha de lui pour lui demander. Un peu trop: Sa poitrine collé contre son torse musclé. Elle sentait le membre de Gabriel grossir contre sa vulve. Ayame rougit et ouvrit grand les yeux.
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Il haussa les épaules, enfonçant d'un cseul coup son doigt plus au fond de son anus, alors qu'il haussait les épaules et qu'il envoyait un courant électrique dans son derrière.
« Je ne sais pas, où est-ce qu'il y aura des élèves mais pas de profs ou de surveillants ? »
Il sourit carnassier avant de mordiller son téton, tirant légèrement dessus avec les dents. Puis il lâcha prise, commençant des vas et viens avec son doigt dans son fondement.
« Je suis sur que tu as une idée la dessus, si tu réfléchis bien ! »
Ce faisant, utilisant son autre main, il finit par lui retirer son chemisier, qu'elle soit nue devant tout le monde dans les couloirs....
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Ayame étouffa un cri, puis retira la main de gabriel de son vagi et mit un doigt dans sa bouche. Elle vit alors la salle de permanence ... vide.
Mais ce qu'elle ignorait, c'est que deux classe allait occuper cette salle... sans professeurs.
Ayame était magnifique: se cheuveux emmelés tombait sur sa poitrine en sueur. Son corps lui faisait tellement du bien.
Elle baissa les yeux. ses jambes tremblaient, les cuisses pleines de mouille: elle ne pouvait plus résister:
-Je n'en...peux plus... fais moi jouir...je...Aahhh
Et Elle entra dans la salle, ecxitée comme jamais.
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Et hop voila comment on rendait une fille complètement folle ! La soulevant du sol au moment où elle aller entrer pour la mettre sur son épaule comme un sac à patate, disant bien fort en entrant et en verrouillant la porte :
"Cours d'éducation sexuelle !"
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Il sourit en posant la miss sur le bureau du prof avant de dire, bien fort :
"Parce qu'elle est perpétuellement en chaleur, cette jeune fille a accepté d'être le sujet du jours !"
Il lui écarta les cuisses devant tout le monde, prenant une de ces règlettes métallisques près des tableau pour écarter les lèvres intimes de la jeune fille qui avait encore sa culotte sur la tête.
"Vous voyez comme la cyprine s'écoule ? C'est pour faciliter la pénétration !"
Puis il se pencha et lui murmura à l'oreille :
"si tu veux que je te fasse jouir, va, à quatre pattes, circuler entre les bureaux, que tout le monde voit bien de quoi je parle !"
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Effectivement, Ayame était en chaleur. elle écarta les cuisses, trémpés par la cyprine qui s'écoulait de son vagin en sueur. Tout le monde la voyait, mais elle s'en fichait:
-Eff...ectivement...ca faci...facillitte la péné... Aaahh c'est...bon
Elle pinca ses têtons et se mit à quatre pattes:
-C'est..là...qu'on doit ... le faire rentr...Aahh je veux...
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Il sourit et il lui dit :
"Et s tu le veux alors va faire ce que je t'ai demandé, sinon, rien du tout !"
Il encoya, par contact tactile, une décharge dans son bas ventre, puis dans ses tétons.
"Alors, tu vas obéir ?"
Il effleura la rosette anale de l'élève.
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Ayame, plus humiliée que jamais, passa dans les rangs, d'élèves, exhibant son corps. Parfois, elle enfoncait son doigt dans son vagin, ou se sucait les seins avec délectation.
Plus excitée que jamais, elle se rapprocha du pied d'une table, et y pressa son anus. mais le pied ne voulait pas rentrer. elle se dirigea vers Gabriel et esperait qu'il pourrrait y remedier.
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Tout sourire, il dit à l'élève soumise qu'il avait devant lui.
"Montre moi ta croupe en restant à quatre pattes, tu vas avoir un avant gout de ce à quoi tu vas avoir droit !"
Il stoppa tout pour lui cracher sur la rosette, pour lubrifier l'intéreiru alors qu'un doigt électrifié lui ramonait l'anus pour le dilater.
"Voila comment on fait une pénétration !"
Puis, arrêtant de jouer dans son anus, il lui maitint les hanches entre ses mains, l'électrocutant plus fort que jamais au moment où, très brièvement , il la pénétra, dans son vagin, il n'avait envoyé qu'un coup de rein, puissant. C'était agréable à souhait là dedans, mais il fallait d'abord bien lubrifier son mandrin avant de pénétrer le derrière de cette jeune fille complètement folle de sexe.