Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les terres sauvages => Discussion démarrée par: Sakura Korvander le jeudi 02 février 2012, 23:06:50
-
Après avoir célébrée mon mariage avec Alice, visitée les nombreuse baronnies du royaumes, et tant d'autres choses, j'ai enfin pue profitée d'une longue et torride nuit d'amour avec ma femme. Ça me fait toujours tout drôle de me dire ce genre de chose et j'ai encore un peu de mal à m'y faire... Bref, après cette nuit de noce mémorable, j'ai décidée de partir tout de suite après le petit déjeuné pour allez chercher Ayano... Dire qu'entre le moment où je l'ai confiée et aujourd'hui, il ne c'est écoulé que quatre jours... Au moins, elle n'aura pas eu le temps de se morfondre. Dans un sens, j'ai tenue ma promesse, lorsque je lui ai dit que je n'en aurais pas pour longtemps...
C'est donc en volant dans le ciel telle une dragonne que je me rend chez l'elfe. Pourquoi me suis-je changée en Demi-dragonne ? Pour deux raison. Je suis plus puissante sous cette forme et bien plus intimidante que sous forme d'ange. En revanche, je ne suis pas très bien habituée encore à ce feu liquide dans mon estomac... et chaque fois que je tousse, je crache de puissants jets de flammes. Ce n'est pas que ça me brûle la gorge, mais à la longue, ça donne soif... Malheureusement, il me faut bien attendre trois longues heures pour atteindre un petit lac en forêt. C'est donc pratiquement assoiffée que je décide de me poser près de l'étendue d'eau, afin d'étancher cette satanée soif... Du moins, c'est ce que j'avais en tête, mais là aussi, il faut croire que je ne suis pas habituée à mes pattes. Du coup, j'ai bien dû déracinée un ou deux arbres en m'écrasant lamentablement au sol, faisant une trainée de terre sur environ six mètres de longueurs, avant de finir ma course la tête dans l'eau. Tandis que je reprend une apparence humaine, je bois longuement, jusqu'à me remplir complètement l'estomac.
Enfin, c'est ce que j'aurais fait, si une espèce de liane ne m'avait pas tirée vers l'arrière...
- Hééééééééé !!!!!
-
(Par rapport à ton post, je pars du principe qu’Ivy ne se trouve pas vraiment à l’arrière, mais dans le lac. J’ai trouvé ça plus… Sexy x))
Bien loin de la nuit de noces de la Princesse de Sylvandell, et des transformations de Sakura, Poison Ivy, elle, continuait à explorer Terra, à s’y promener. Elle errait là-dedans depuis sa rencontre avec Sentinel Prime, depuis qu’elle avait du abandonner Green Avenger, ne pouvant empêcher la résurgence de Prime. Elle avait été de rencontres en rencontres, et sentait bien qu’elle n’était pas au bout de ses surprises. Elle avait vu une forêt géante disposer d’une âme propre, un vampire qui avait succombé à ses charmes, satisfaisant les pulsions d’Ivy, et elle avait continué à errer sur Terra, se promenant le long des forêts. Elle se trouvait aujourd’hui à proximité d’une communauté de fermiers près d’une grande ville qu’elle venait de quitter pour la forêt, s’enfonçant à l’intérieur, malgré la menace de loups et autres bestioles. Les animaux ne la menaceraient jamais sérieusement, c’était un fait. Elle se promenait ainsi depuis un ou deux jours dans cette forêt, n’éprouvant guère le désir d’y dresser ses plantes, et s’était arrêtée à proximité d’un grand lac au milieu de la forêt, en profitant pour se baigner dedans.
Ici, personne ne venait l’embêter, et elle était bien dans le lac depuis une heure quand elle entendit un dragon approcher. Elle le vit à vrai dire lui recouvrir la vue, et, en levant les yeux, vit que ce dernier était passé entre elle et les rayons du soleil. Elle vit le dragon cracher un jet de flammes, et fronça les sourcils. Les habitants de Terra, généralement, appréciaient les dragons, en voyant des créatures nobles et puissantes, mais elle voyait surtout des animaux qui crachaient du feu, et, qui, partant de là, pouvaient déclencher un incendie. Elle se demanda accessoirement ce qu’un dragon fichait ici, sachant qu’elle pensait qu’on devait plus facilement les trouver près des montagnes ou des volcans.
*Fiche donc le camp, rapace aérien, songea Ivy. Je ne tiens pas à ce que tu incendies par mégarde cette forêt.*
Au lieu de ça, le dragon tenta d’atterrir, et Poison Ivy comprit qu’il devait s’agir d’un jeune dragon, dans la mesure où il descendit en piqué bien trop vite. Il tenta de s’appuyer sur ses pattes, mais était arrivé si vite qu’il trébucha sur le sol, et roula par terre, filant vers le lac. En d’autres circonstances, elle aurait pu trouver cette scène comique, mais elle se sentait surtout furieuse en voyant que le dragon, dans sa descente, s’écrasait sur les arbres, les fauchant. Espèce de barbare ! Sauvage ! Monstre ! Meurtrier ! Elle vit la tête du dragon approcher de la surface de l’eau, et, à la surprise d’Ivy, le dragon changea de forme, prenant la forme d’une belle petite humaine, se mettant à s’abreuver au lac.
Sur le coup, Ivy fut surprise. Était-ce vraiment un dragon ? Ou une dragonne ? Elle avait entendu parler de dragons qui pouvaient prendre une apparence humaine. C’était peut-être le cas ici. Dans tous les cas, Poison Ivy était énervée, agacée, et décida d’agir, de ne pas laisser cette espèce de fillette impunément massacrer des arbres. Elle s’extirpa de l’eau, la moitié de son corps en ressortant. Elle avait alors une peau beige d’humaine, et une tenue verdâtre, et tendit un doigt. Une liane jaillit, et s’enroula autour de la taille de Sakura, la tirant en arrière pour la soulever.
« Hééééééééé !!!!! » protesta cette dernière.
Poison Ivy la souleva dans le ciel, à quelques mètres d’elle, une main sur les hanches, l’autre maintenant Sakura, serrant le tentacule sur son ventre.
« Dis-moi, toi… De quel droit est-ce que tu oses démolir des arbres qui ne t’ont rien fait ? Ne crois-tu donc pas que ces arbres méritent un peu de respect, eux qui vivent depuis des années ? »
Ivy parlait calmement, mais on sentait la colère sous-tendre ses propos.
-
Pendant de brèves secondes, je me débat un peu dans tout les sens, la tête en bas. Ce genre de situation est très désagréable et je sens l'eau avalée remuer dangereusement dans mon ventre. Franchement, il y a des choses qui ne ce font pas...
- Dis-moi, toi… De quel droit est-ce que tu oses démolir des arbres qui ne t’ont rien fait ? Ne crois-tu donc pas que ces arbres méritent un peu de respect, eux qui vivent depuis des années ?
Je m'arrête aussitôt de gigoter pour tenter de voir celle qui me parle. A première vue, il s'agis d'une femme rousse assez mature, vêtue de vert... et son doigt est une liane ? J'aurais donc en face de moi une femme-plante ? Tentant de voir derrière moi, j'aperçois le désastre que j'ai provoquée... Oups! Voilà qui demandera davantage d'entrainements à l'avenir...
- Heeeuuu.... Désolée pour votre forêt, ce n'était pas dans mes intentions...
Là, je suis rouge de honte... Franchement, ce premier atterrissage est une catastrophe... La regardant de nouveau, je continue.
- Je... c'étais mon premier atterrissage... et apparemment, j'ai encore besoin d'entrainement, si je ne veux pas tout détruire sur mon passage... Je...est-ce qu'il y a moyen de réparer ma faute ? En évitant de mourir si possible ?
-
Comment est-ce qu’une jeune fille comme ça avait pu se transformer en dragonne ? Ou, plutôt, comment est-ce qu’une dragonne qui démolissait des arbres pouvait prendre cette apparence chétive ? Les apparences étaient toujours trompeuses, et Ivy fronça les sourcils. La jeune fille avait la tête en bas, et Ivy, avec une autre liane, l’enroula autour de la gorge de la femme, afin de l’aider à se redresser, sans chercher à l’étrangler.
« Heeeuuu.... Désolée pour votre forêt, ce n'était pas dans mes intentions... », lança-t-elle rapidement.
Poison Ivy ne répondit rien. Fallait-il la croire ? Oui, indéniablement. Elle avait atterri sans raison sur cette forêt, probablement pour boire, et s’était écrasée sur le sol. Visiblement nerveuse à l’idée d’être étranglée, elle ne tarda pas à enchaîner, sans vraiment laisser le temps à Ivy de répondre quoi que ce soit.
« Je... c'étais mon premier atterrissage... et apparemment, j'ai encore besoin d'entrainement, si je ne veux pas tout détruire sur mon passage... Je...est-ce qu'il y a moyen de réparer ma faute ? En évitant de mourir si possible ? »
Son « premier atterrissage » ? Les dragons attendaient si longtemps avant de voler ? Il y avait plusieurs choses qu’Ivy ne comprenait pas ici. Elle esquissa un léger sourire quand cette dernière lui demanda comment se racheter, en évitant l’option de la mort. Pourquoi est-ce que tout le monde pensait systématiquement qu’elle voulait les tuer ? C’était fatigant, à force ! Elle desserra ses lianes, en se mettant à parler.
« Ce n’est pas ma forêt, précisa-t-elle. Je ne suis que de passage, mais, contrairement à toi, je ne démolis pas par erreur des arbres. Quant à te racheter… »
Elle desserra pour de bon ses tentacules, et la jeune femme tomba comme une pierre dans l’eau, émettant un petit *PLOUF !* en éclaboussant Ivy. Elle attendit que la jeune femme sorte de l’eau, ne se souciant guère que son kimono soit mouillée, et enchaîna rapidement.
« Si je devais tuer tous ceux qui ont fait du mal à la Nature, je commencerai par me tuer moi-même. »
Un aveu difficile à dire, mais réaliste. Ivy avait déjà marché sur des herbes, tué des brindilles, et une brindille, aussi insignifiante soit-elle, était une pépinière de vie, comprenant des organismes, de nombreux insectes microscopiques, une véritable faune silencieuse et animée.
« Ne crains donc pas pour ta vie, et commence par te présenter, jeune dragonne. Sache que je m’appelle Poison Ivy, et que, comme tu l’as remarqué, mon être est intimement lié à la flore. »
Il était de surcroît inutile de lui préciser qu’Ivy serait bien incapable de lutter contre une dragonne qui parvenait à arracher des arbres comme des fétus de pailles.
-
Bizarrement, elle avait légèrement sourie devant ma demande. Mais elle fini malgré tout par desserrer ses lianes, ce qui fit que je fini la tête la première à la flotte. Il me fallut un moment pour réussir à me remettre dans le bon sens, avant de remonter à la surface.
- Ce n’est pas ma forêt. Je ne suis que de passage, mais, contrairement à toi, je ne démolis pas par erreur des arbres. Quant à te racheter… Si je devais tuer tous ceux qui ont fait du mal à la Nature, je commencerai par me tuer moi-même.
Se tuer elle-même ? Cette femme-plante ? J'avais un peu de mal à suivre ses dires... Qu'entendait-elle par là ?
- Ne crains donc pas pour ta vie, et commence par te présenter, jeune dragonne. Sache que je m’appelle Poison Ivy, et que, comme tu l’as remarqué, mon être est intimement lié à la flore.
Elle crois que...? Mais pas du tout ! Je suis loin d'être une dragonne ! Ou une dragonne attardée par rapport à ses congénères.... Comme elle a été franche en déclarant que ce n'était pas sa forêt, j'imagine que je peux en faire autant, non ? Barbotant toujours dans l'eau, je fini par lui répondre.
- Je me nomme Sakura Kon... heu... Korvander... Je viens du royaume de Sylvandell, une région montagneuse avec peu de végétation... Et je ne suis pas une dragonne... seulement une Demi-dragonne. Ça veux dire que je suis avant tout une humaine capable de prendre une forme mi humaine mi dragonne, voir complètement dragonne. C'est uniquement grâce à un rituel du dragon Alpha que je peux faire cela, même si j'ignore encore pour quel genre de mission il m'a choisi...
Autant sortir une semi vérité, je n'allais pas non plus lui dire que j'étais une Terramorphe. Pas tout de suite, du moins...
-
La jeune fille ressortit de l’eau après un certain temps. Ivy se mit à craindre qu’elle ne savait pas nager. Les dragons, ça avait peur de l’eau, non ? Mais le lac n’était pas très profond, et elle finit par en ressortir. L’eau avait collé ses longs cheveux sur son joli visage de poupée, lui donnant un charme assez enfantin. Son absence de poitrine proéminente, ce visage tendre et attirant, amenait Ivy à la voir plus jeune qu’elle n’était, tout en sachant combien le physique était un critère défaillant sur Terra. Quelqu’un qui avait l’air jeune était généralement plus âgé qu’un centenaire. Elle finit par répondre, divulguant son identité.
« Je me nomme Sakura Kon... heu... Korvander... »
Pourquoi cette brusque hésitation ? Simple hésitation de sa langue ? Entre « Kon » et « Kor », il y avait une simple différence de lettre, mais une forte différence de son. Elle avait lancé ce « Kon » comme si elle comptait dire autre chose, avant de se rabattre sur « Korvander ». L’hypothèse d’une jeune mariée, ou d’une esclave affranchie, vint à l’esprit d’Ivy, qui rejeta rapidement l’hypothèse du mariage. Si elle était bien une jeune mariée, où se trouvait son mari ? En toute logique, les premiers jours, on désirait rester le plus proche possible de son mari, surtout à un âge si jeune, où l’esprit était empreint à ce romantisme mielleux qu’Ivy trouvait insipide. Non, il devait probablement s’agir d’une affranchie, qui avait abandonné le nom donné par son esclavagiste, pour prendre le sien.
« Je viens du royaume de Sylvandell, une région montagneuse avec peu de végétation... »
Cette autre phrase confirma ce qu’Ivy pensait : une affranchie qui venait de s’échapper d’un royaume montagneux, soit un royaume austère, dangereux, hostile. Elle se mit à imaginer un vieux Roi fatigué, croulant sous le poids des années, impuissant, qui utilisait de jeunes filles pour assouvir ses envies sexuelles, ou pour obtenir une fille, une héritière. Elle imagina une dragonne ensorcelée, incapable de reprendre sa forme de dragonne, et laissa Sakura poursuivre son récit.
« Et je ne suis pas une dragonne... seulement une Demi-dragonne. Ça veux dire que je suis avant tout une humaine capable de prendre une forme mi humaine mi dragonne, voir complètement dragonne. C'est uniquement grâce à un rituel du dragon Alpha que je peux faire cela, même si j'ignore encore pour quel genre de mission il m'a choisi... »
Cette tirade interloqua un peu Ivy. Un dragon Alpha ? Et elle s’était visiblement trompée, en inversant le processus. Sakura n’était pas une dragonne capable de prendre forme humaine, mais une humaine capable de prendre une forme de dragon. Voilà qui changeait pas mal de choses, et elle s’approcha lentement de Sakura.
*Je n’ai compris que la moitié de ce qu’elle m’a dit… Une affranchie libérée par une espèce de dragon surpuissant ?*
Ivy décida de la réconforter, de la rassurer. Elle savait que les esclaves pouvaient, soit devenir paranoïaques, en croyant que n’importe qui leur voulait du mal, soit rechercher l’affection de n’importe qui. Sakura n’avait pas l’air particulièrement inquiète, mais Ivy tenait tout de même à la rassurer sur ses intentions. Elle tendit donc une main pour caresser lentement la joue de Sakura. Sa main devait être douce ou chaude, et, quand elle commença à la caresser, son gant vert s’effaça pour révéler sa première peau. Elle remonta jusqu’à l’oreille de Sakura, et se mit à lui répondre.
« Peut-être qu’il a juste vu en toi une créature exceptionnelle qui méritait d’être libre, et qui devait voler de ses propres ailes… Même si tu as encore des efforts à faire sur l’atterrissage… »
La perte des arbres était une véritable catastrophe, mais Ivy n’avait pas ressenti cela comme une douleur physique, comme quand on arrachait l’une des roses qu’elle avait aidé à enfanter. En ce sens, elle n’était pas particulièrement en colère contre Sakura. Elle lui sourit même légèrement. Cette petite semblait si innocente, si fragile… Difficile de croire qu’elle avait dégommé deux arbres…
« Et où te rends-tu donc comme ça ? poursuivit-elle, sans laisser le temps à Sakura de répondre. Erres-tu comme moi sur ce monde immense ? »
-
Je fus légèrement inquiète en la voyant s'approcher ainsi de moi, pour me caresser la joue... Je ne sais pas pourquoi mais, en général, chaque fois qu'une créature quelconque fait ce genre de chose avec moi, je me fait violer dans l'heure avec une nouvelle forme en bonus...
- Peut-être qu’il a juste vu en toi une créature exceptionnelle qui méritait d’être libre, et qui devait voler de ses propres ailes… Même si tu as encore des efforts à faire sur l’atterrissage…
C'était le même genre de paroles prononcées par le Patriarche ou Alice, bien que cette femme ignore ce que je suis vraiment... Peut être était-ce moi qui me faisais des idées ? Cette femme semblais plus maternelle qu'aux premiers abords, mais je e savais pas vraiment si je pouvais lui faire confiance ou non... Autant continuer cette semi vérité donc...
- Et où te rends-tu donc comme ça ? Erres-tu comme moi sur ce monde immense ?
- Pas vraiment... Je veux retrouver ma sœur... que j'ai confiée à une elfe, peu avant de me faire capturer par les es... esclavagistes... J'ai été esclave une année entière...
J'ai détournée le regard sur cette dernière phrase... Certes, cette durée n'est pas sur Sylvandell, mais plutôt la durée totale en esclavage.
- Avant d'être esclave sur Terra... J'étais lycéenne à Seikusu, sur Terre...
-
Sakura ne tarda pas à lui répondre, et Ivy continuait à lui caresser la joue. Pour l’heure, aucune pulsion sexuelle n’habitait son corps, ou ne motivait son geste. Elle désirait juste réconforter cette jeune fille, mais elle ne pouvait pas parler pour elle. Les spores d’Ivy agissaient naturellement, indépendamment de son état d’excitation. Des phéromones naturelles, qui amenaient toujours ses adversaires potentiels à devoir se préparer contre ça, sous peine d’hésiter à la frapper ou à la blesser. En revanche, pour Sakura, il était possible qu’elle se sente attirée par cette femme. Une attirance qui ne serait pas nécessairement sexuelle, mais qui l’amènerait au moins à apprécier son contact.
« Pas vraiment..., lâcha-t-elle.
- Que cherches-tu donc ? glissa rapidement Ivy.
- Je veux retrouver ma sœur... que j'ai confiée à une elfe, peu avant de me faire capturer par les es... esclavagistes... J'ai été esclave une année entière... »
Une année… Une année d’esclavage. Pour Poison Ivy, c’était inconcevable ! Elle méprisait l’arrogance de l’humanité, et l’esclavage était, pour elle, la plus belle forme d’expression de cet orgueil. Elle ne put s’empêcher de glisser ses mains derrière la nuque de Sakura, et de caler son corps contre elle, la tête de la jeune fille arrivant à proximité de ses seins recouverts par son tissu verdâtre.
« Ma pauvre petite… soupira Ivy. Crois bien que tu as toute ma compassion pour les atrocités qu’on t’a fait subir. »
Pour le coup, Poison Ivy était sincère. Qu’on lui donne seulement l’opportunité d’aller à Sylvandell, et elle trouverait bien un moyen de faire payer à ces esclavagistes. Elle tuerait en personne ce Roi, d’un baiser mortel, mais elle n’aurait probablement jamais l’occasion d‘aller à Sylvandell. Là où elle se trouvait, on ne voyait aucune montagne, ce qui signifiait que ce royaume maudit devait être loin. Sans doute devrait-elle marcher vers l’Empire d’Ashnard, cet endroit que bien des gens décriaient, et qui organisait fréquemment des raids et des pillages dans les régions libres. Sakura semblait avoir honte de sa situation, fuyant le regard de la femme-plante, qui essaya de parler, mais elle ajouta alors autre chose.
« Avant d'être esclave sur Terra... J'étais lycéenne à Seikusu, sur Terre... »
Ivy hocha la tête, fronçant les sourcils. Seikusu… Elle y était depuis quelques mois, maintenant, ayant réussi à obtenir un poste de professeur en sciences et vies. Ce n’avait pas été bien difficile. Elle n’avait en soi aucun diplôme dans l’enseignement, mais ses phéromones, ainsi qu’une séance torride avec les membres du conseil d’administration du lycée, avait amplement suffi à lui obtenir un poste. Ainsi donc, c’était une Terrienne… Une Terrienne transformée en esclave sur ce monde. Ivy ressentit à nouveau de l’empathie pour elle, caressant tendrement ses longs cheveux. Elle finit par parler.
« Je viens moi aussi de la Terre… Je suis professeur à Seikusu… N’aie pas peur, ma belle, je vais veiller sur toi, maintenant… Plus personne ne fera de toi son esclave, Sakura Korvander. Je te ramènerai sur Terre avec ta sœur. Personne ne te fera plus de mal, je te le jure. »
Poison Ivy continua à tendrement lui caresser les cheveux.
« Ma pauvre… Comment as-tu pu finir ainsi ? Et, si tu es une simple Terrienne, comment peux-tu te transformer en dragon ? Est-ce qu’on… Est-ce que les gens de Sylvandell ont fait des… Des choses avec to code génétique ? »
Ivy soupçonnait que la jeune femme avait subi des expériences magiques sur son corps, afin d’en faire une espèce de mutante hybride. Poison Ivy désirait savoir ce qui avait pu lui arriver, ressentant de l’empathie pour cette jeune femme, sans vraiment pouvoir se l’expliquer. Elle avait après tout démoli plusieurs arbres, mais, dans une certaine mesure, la femme-plante n’arrivait que difficilement à lui en tenir rigueur.
-
Après lui avoir dit mes intentions et m'être confiée ainsi, Ivy-san me serra contre elle, comme une mère... Un geste maternelle auquel je n'aurais sans doute plus jamais droit à l'avenir...
- Ma pauvre petite… Crois bien que tu as toute ma compassion pour les atrocités qu’on t’a fait subir.
Je pouvais sentir sa sincérité... Elle se mit alors a caresser doucement ma chevelure alors que, instinctivement, je me resserrais contre elle... Dieu que ma mère me manquais...
- Je viens moi aussi de la Terre… Je suis professeur à Seikusu… N’aie pas peur, ma belle, je vais veiller sur toi, maintenant… Plus personne ne fera de toi son esclave, Sakura Korvander. Je te ramènerai sur Terre avec ta sœur. Personne ne te fera plus de mal, je te le jure.
Aie, si elle nous ramène sur Terre, ma sœur et moi, je ne révérais peut être plus jamais Alice... D'autant que nous n'en avons plus sur Terre... Entre devenir SDF à Seikusu et Femme de la princesse sur Sylvandell, le choix est vite fait. J'allais protester, mais la femme plante fut plus rapide que moi.
- Ma pauvre… Comment as-tu pu finir ainsi ? Et, si tu es une simple Terrienne, comment peux-tu te transformer en dragon ? Est-ce qu’on… Est-ce que les gens de Sylvandell ont fait des… Des choses avec ton code génétique ?
La par contre, il devenait urgent de rectifier le tir... Les vrais coupables dans l'histoire, c'était Nexus... Je ne voulais pas que Sylvandell subisse la colère de cette femme... D'autant qu'il s'agissait aussi de mon royaume à présent...
- Vous n'y êtes pas... C'est... C'est grâce à la princesse de Sylvandell que j'ai été affranchie... Il y a un an, un... Un chasseur d'esclaves, travaillant pour un esclavagiste de Nexus, m'a capturée dans le parc de Seikusu... L'esclavagiste se nomme Hiro Atayoshi... et est avocat à Seikusu... Il... il a tué mes parents et gardé ma sœur en otage, disant que si je ne faisais p-pas ce qu'il v-voulais, il... en ferrait une esclave se... sex... Elle... Elle n'avait que 10 ans... Je voulais la protéger... et pour ça, j'ai été v... Vio...
Repenser à tout ça me fit très mal... Après tout, c'était encore mon quotidien il y a moins d'un mois. Je me suis serrée contre elle pour verser mes larmes, c'est plus fort que moi... chaque fois que j'y repense, je pleure... Il me faudra sans doute plusieurs années pour m'en remettre... J'ai pleurée ainsi de longues minutes, avant de continuer...
- Il y a moins d'une semaine, je suis parvenue à m'enfuir avec ma sœur... Mais j'avais p-peur de me refaire capturée avec elle... Je l'ai confiée à une elfe, que ma seule amie de Terra m'avais conseillée... et j'ai bien fait... D'autres chasseurs d'esclaves m'ont lâchement capturés et m'ont conduit à Sylvandell... Si la princesse ne m'avait pas achetée, je serrais aujourd'hui entre les mains d'un obèse pervers... Et entre nous deux, ça à été le coups de foudre... j'ai été affranchie et je lui ai demandée sa main... Mon ancien nom, Konoe, est synonyme de souffrances et de drames... mon nouveau nom est comme une renaissance... C'est pour cette raison que je veux retrouver ma sœur... pour l'amener dans notre nouvelle famille... et lui présenter sa nouvelle belle-sœur...
Alice était tout pour moi... elle était ma lumière au milieu des ténèbres... Elle, ainsi qu'Ayano... Si je les perdais toutes les deux, quel intérêt aurais-je de continuer à vivre ?
- Pour mon code génétique... Le dragon Alpha ma dit, que l'ADN est achevé à chaque création, et n’évolue que sous des conditions spécifiques. Le mien, présente cette originalité d’être comme le tronc d’un arbre, dont les feuilles sont encore à découvrir. Mes liens avec la princesse de Sylvandell faisaient de moi quelqu’un qui méritait qu'il ne déverrouille l’accès à d’autres branches de mon ADN. Dans une certaine mesure, mon ADN est donc malléable et peut s'adapter naturellement à diverses espèces semi-humaines... La forme complète de dragonne est un cas spécifique...
Relevant la tête pour croiser son regard, un timide sourire accroché aux lèvres, je termine mon long monologue...
- En d'autre termes, je serrais selon lui, une sorte d'être multi-races...
-
Ivy caressait tendrement cette jeune adolescente, qui ne tarda pas à parler, et à préciser certains éléments que Poison Ivy n’avait pas bien compris.
« Vous n'y êtes pas... C'est... C'est grâce à la princesse de Sylvandell que j'ai été affranchie... »
Surprise, Ivy regarda Sakura. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Fort heureusement, Sakura ne la fit pas trop attendre sur ce point, reprenant assez rapidement ses explications, les développant.
« Il y a un an, un... Un chasseur d'esclaves, travaillant pour un esclavagiste de Nexus, m'a capturée dans le parc de Seikusu... L'esclavagiste se nomme Hiro Atayoshi... et est avocat à Seikusu... Il... il a tué mes parents et gardé ma sœur en otage, disant que si je ne faisais p-pas ce qu'il v-voulais, il... en ferrait une esclave se... sex... Elle... Elle n'avait que 10 ans... Je voulais la protéger... et pour ça, j'ai été v... Vio... »
Ivy sentit son cœur se serrer. Même pour elle, donner sciemment la mort était quelque chose d’odieux, quand bien même il s’agissait de simples humains. Sakura se mit à fondre entre ses bras, et Ivy la serra contre elle, amenant ses tentacules à caresser un peu plus bas le corps de la jeune femme, se glissant sous son kimono pour frotter directement son dos. Chaque tentacule était pour cela pourvu d’une série de petites langues qui frottèrent le corps de la jeune fille, répandant des ondes de plaisir, des vibrations, dans son corps.
« Pleure, ma belle… Laisse ta souffrance s’échapper à tes larmes. Une larme n’est jamais un mal. »
Poison Ivy continua ainsi à caresser le corps de Sakura, jusqu’à ce que la jeune fille, parvenant à calmer ses sanglots, reprenne. Mentalement, Ivy espérait avoir un jour l’occasion de se rendre vers Nexus. De ce qu’elle savait, Nexus était une grande cité-État, l’un des plus grandes villes de Terra, où l’esclavage était donc autant autorisé que sur Ashnard. A quoi rimait donc la guerre qui opposait l’Empire et la cité-État ? Aucun ne semblait meilleur que l’autre.
« Il y a moins d'une semaine, je suis parvenue à m'enfuir avec ma sœur... Mais j'avais p-peur de me refaire capturée avec elle... Je l'ai confiée à une elfe, que ma seule amie de Terra m'avais conseillée... et j'ai bien fait... D'autres chasseurs d'esclaves m'ont lâchement capturés et m'ont conduit à Sylvandell... Si la princesse ne m'avait pas achetée, je serrais aujourd'hui entre les mains d'un obèse pervers... Et entre nous deux, ça à été le coups de foudre... j'ai été affranchie et je lui ai demandée sa main... Mon ancien nom, Konoe, est synonyme de souffrances et de drames... mon nouveau nom est comme une renaissance... C'est pour cette raison que je veux retrouver ma sœur... pour l'amener dans notre nouvelle famille... et lui présenter sa nouvelle belle-sœur... »
L’Empoisonneuse comprit donc le rôle de Sylvandell, ou, plutôt de la Princesse qui s’y trouvait, et qui devait forcément être belle. Une esclave qui se mariait avec une Princesse, qui devenait elle-même, dans une certaine mesure, une Princesse… Un conte de fées assez curieux, qui laissait rêveur. D’ici quelques années, elle ne doutait pas que des conteurs en parleraient. Sakura partait donc retrouver sa petite sœur, en espérant qu’elle ait été bien traitée. Poison Ivy avait toutefois tendance à moins se méfier des elfes, dans la mesure où ils étaient bien plus respectueux de la nature, contrairement aux humains arrogants. Les cités elfiques resplendissaient de beauté, d’une certaine fierté propre aux elfes, naturellement, mais aussi d’une propreté et d’un amour de la beauté qui témoignait d’un profond respect envers la nature. Elle avait donc affaire à une jeune mariée, et elle sourit vaguement, en comprenant le ridicule de sa proposition.
*Quelle lycéenne normalement constituée voudrait revenir sur Terre, quand elle n’a plus aucune attache, et est mariée à une Princesse ici ? A sa place, le choix ne se poserait même pas…*
Poison Ivy s’encouragea donc à ne pas trop lui parler de ça, à ne plus évoquer son retour sur Terre, et, continuant à serrer Sakura contre elle, cette dernière lui parla alors de sa transformation en dragon.
« Pour mon code génétique... Le dragon Alpha ma dit, que l'ADN est achevé à chaque création, et n’évolue que sous des conditions spécifiques. Le mien, présente cette originalité d’être comme le tronc d’un arbre, dont les feuilles sont encore à découvrir. Mes liens avec la princesse de Sylvandell faisaient de moi quelqu’un qui méritait qu'il ne déverrouille l’accès à d’autres branches de mon ADN. Dans une certaine mesure, mon ADN est donc malléable et peut s'adapter naturellement à diverses espèces semi-humaines... La forme complète de dragonne est un cas spécifique...
- Intéressant… » commenta Ivy.
Sakura, en relevant la tête, résuma cette situation en décrétant être une espèce d’« être multi-races ». Ivy se mit à légèrement sourire, amusée par cette idée, et retourna caresser avec une tendresse et une douceur infinie la joue de Sakura. Après tout, n’était-elle pas une mère, quand elle créait des hommes-plantes ? Il semblait normal que Poison Ivy sache faire preuve de cette tendresse propre aux mères, surtout avec une femme aussi belle.
« En tout cas, si tu t’es mariée, c’est que tu dois être plus vieille que ce que j’avais cru. Maintenant, dis-moi… Comment est-ce que tes transformations fonctionnent ? Comment est-ce qu’elles te sont apparues ? Car, tu sais, je ne suis moi non plus pas vraiment une humaine normale, comme tu as pu le constater… Mon ADN a évolué, a mué, faisant de moi une femme hors normes, et je peux influer sur l’ADN des autres… »
Elle illustra cela en plaçant une main devant son visage, ses doigts se transformant en tentacules qui glissèrent vers le visage de Sakura, caressant lentement ses joues, avant de remonter, reprenant leur forme de doigts, tandis qu’elle-même continua à parler.
« Si tu vas chercher ta sœur pour ton mariage, j’en déduis que tu es récemment mariée. Je te souhaite dans ce cas mes plus sincères félicitations. Trouver l’amour est si rare… »
-
Pendant que je lui résumais plus ou moins ma vie, en versant quelque larmes au passage, j'ai lâchée un petit cris de surprise entre deux sanglots, en sentant quelque chose se glisser sous mon kimono pour me caresser. Si j'ai eu peur au début, j'ai petit à petit commencée à m'apaiser, les tentacules me faisant du bien, m'apaisant, tandis que la femme continuait de me serrer dans ses bras, comme pour me protéger du reste de l'univers. Son seul commentaire durant mon long monologue, fut de trouver ADN malléable intéressant...
- En tout cas, si tu t’es mariée, c’est que tu dois être plus vieille que ce que j’avais cru. Maintenant, dis-moi… Comment est-ce que tes transformations fonctionnent ? Comment est-ce qu’elles te sont apparues ? Car, tu sais, je ne suis moi non plus pas vraiment une humaine normale, comme tu as pu le constater… Mon ADN a évolué, a mué, faisant de moi une femme hors normes, et je peux influer sur l’ADN des autres…
Elle me le montra en changeant ses doigts pour me caresser les joues, tandis que je lui répondais, mais en sentant une certaine chaleur sur mon visage, alors que les tentacules plus bas remontaient le long de mon corps.
- Merci... Mais je n'ai que 18 ans... [17 ans lors de l'inscription + 1 an d'esclavage] Pour mes métamorphoses, elles sont plus que physique, puisque j'ai aussi les capacités naturelles et la longévité de la créature... Mon ADN change... par transmission d'un... hmmm... d'un autre ADN... ou paaar... imagination... haa ! Pour les formes p-plus... haaaa... plus simples....
Les tentacules venaient d'atteindre mon clitoris et mes tétons, me transmettant de véritables ondes de plaisirs, commençant peu à peu à me plonger dans la luxure, tandis que la femme-plante continua à me parler comme si de rien était, au beau milieu de se lac.
- Si tu vas chercher ta sœur pour ton mariage, j’en déduis que tu es récemment mariée. Je te souhaite dans ce cas mes plus sincères félicitations. Trouver l’amour est si rare…
Mes tétons et mon bouton d'amour se firent alors comme aspirer dans quelque chose de petit et très humide, chauffant fortement mes zones érogènes. Parler devint très difficile et je n'allait pas tarder à avoir un orgasme... Quoi qu'il en soit, cette femme a une drôle de façon de remonter le morale des gens...
- M... Merciiiiiiiiii....haaaaan... J-je suis ma-mariée de... hmmm... depuis trois j-jouuuuuuuur... haaaaaa... huuuuuu... Je ne p-pensais.... pas trouver l'aaaaaaa... l'amour sur ce huuummmm... sur ce m-monde... haaaa...haaaa...
Ça devenait beaucoup trop intense pour que je puisse émettre autre chose que des gémissements et des cris de plaisirs, me retenant de moins en moins. J'ai fini par poser une main dans son dos et l'autre sur sa nuque en laissant pendre une langue pleine de salive, les yeux pratiquement révulsés, jusqu'à atteindre l'orgasme dans un long cris, lui envoyant un torrent de mouille sur le corps, des tentacules ayant retirés mon kimono entre temps.
- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!
-
Les tentacules agissaient en fonction du plaisir que Sakura ressentait. Pour Ivy, il n’y avait que peu de différence entre le sexe et la tendresse. Un simple câlin, ou un câlin sexuel, ce n’était qu’une zone différente, et elle sentit, alors que ses tentacules se promenaient le long de son délicieux corps, que le corps de Sakura en demandait plus. Les tentacules se dirigeaient donc lentement vers les zones érogènes du corps de la jeune fille, alors qu’elle se mit à parler.
« Merci... Mais je n'ai que 18 ans... , expliqua Sakura, alors que ses tentacules se promenaient sur son délicieux corps. Pour mes métamorphoses, elles sont plus que physique, puisque j'ai aussi les capacités naturelles et la longévité de la créature... Mon ADN change... par transmission d'un... hmmm... d'un autre ADN... ou paaar... imagination... haa ! Pour les formes p-plus... haaaa... plus simples....
- Hum hum… » acquiesça silencieusement Ivy.
Poison Ivy s’amusait avec ses tentacules, et l’un venait d’atteindre l’intimité de la jeune fille, tandis que deux autres s’enroulaient autour de ses seins, sous son kimono, les caressant et les emprisonnant. La jeune fille était consentante, les tentacules le ressentaient en se promenant sur son corps, et Ivy, de son côté, se demanda si elle ne pouvait pas, à sa manière, s’occuper convenablement du corps de cette jeune femme. Elle était belle, ça oui, très mignonne, mais elle avait aussi expliqué que son corps pouvait évoluer par transmission d’un code génétique. Elle devait être une belle créature à étudier, et Ivy rêvait déjà de la glisser dans un cocon, mais aussi de s’amuser avec elle. Compte tenu du passé de la jeune fille, elle se voyait mal s’en servir comme cobaye uniquement. Autant joindre l’utile à l’agréable, et les idées évoluaient dans l’esprit d’Ivy.
Ses tentacules se mirent à changer en leurs extrémités, devenant des espèces de bouches dévoreuses et affamées qui suçotèrent les tétons et le clitoris de Sakura, la mettant dans un état difficile. Dur de se calmer, et, pendant ce temps, avec son autre main, Poison Ivy ôta le kimono de la jeune fille, le posant sur une branche d’arbre. Les tentacules s’enroulèrent délicatement autour du corps de la jeune mariée, la soulevant. 18 ans, et déjà mariée… 18 ans, et une année d’esclavage… Ivy ne savait si elle devait la plaindre ou la féliciter.
« M... Merciiiiiiiiii....haaaaan... J-je suis ma-mariée de... hmmm... depuis trois j-jouuuuuuuur... haaaaaa... huuuuuu... Je ne p-pensais.... pas trouver l'aaaaaaa... l'amour sur ce huuummmm... sur ce m-monde... haaaa...haaaa... »
Ivy sourit lentement. Trois jours ? Elle était déjà en train de tromper sa femme, sans éprouver la moindre gêne. Le mariage sylvandien devait être différent du mariage tel qu’il était traditionnellement conçu sur Terre. Le devoir de fidélité ne devait pas figurer parmi les obligations du mariage, et Ivy continua à soulever Sakura, l’enroulant avec tendresse dans ses tentacules, tout en commençant à marcher, s’extirpant du lac. Tandis qu’un tentacule suçait son clitoris, deux autres s’étaient glissés dans son vagin, lui offrant des sensations de plaisir extrêmes.
« Profite, ma belle… Vois ça comme ma bénédiction de mariage…, lança doucement Ivy. Ainsi que comme ma volonté de t’aider à ne plus penser à ta vie d’avant…
- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! » répliqua Sakura dans un long cri.
Ivy sentit la mouille de la jeune fille éclabousser son visage et son torse, coulant entre ses seins, et elle libéra un peu Sakura, retirant ses tentacules, la déposant sur le sol. Avec l’une de ses mains, Poison Ivy caressa la cyprine, du bout des doigts, et la suçota tendrement. La mouille de cette fille avait bon goût, et elle s’avança lentement vers la jeune fille, assise sur le sol, ses tentacules se baladant sur le sol.
« Tu as fait une longue route, petite Sakura… Je vais te réconforter comme il faut… »
Elle se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, répandant dans son corps l’aphrodisiaque de l’Empoisonneuse. Elle se redressa ensuite, et planta ses tentacules dans l’écorce d’un arbre à proximité.
« Je vais… Modifier la structure cellulaire de cet arbre… De manière provisoire, naturellement… J’ai envie de voir, Sakura, envie de voir si je peux aider ton corps à se parfaire encore plus, si je peux, dans une certaine mesure, te montrer que cette nature que tu écrabouilles si innocemment n’est pas qu’un décor vert, mais un lieu vivant en chacun de ses points. »
Ivy retira ses tentacules de l’arbre. Il s’écoulerait plusieurs minutes avant que ce dernier ne soit prêt, et elle se retourna vers Sakura. Ses vêtements végétaux s’enfoncèrent dans sa peau, révélant la beauté de son corps, de ses formes langoureuses, de ses superbes hanches. Plusieurs tentacules saisirent délicatement Sakura au niveau de ses bras, l’aidant à se redresser.
« Montre-moi l’une de tes formes, ma beauté, et tu pourras jouer avec mon corps, et avec mes tentacules. Vu la vitesse à laquelle tu as joui, j’en déduis que tu as du apprécier le contact de mes petites lianes… »
Poison Ivy lui offrit un franc sourire, et la mouille qui coulait sur son corps fut alors avalée par ce dernier, s’enfonçant dans le corps d’Ivy, révélant sa peau verdâtre et belle.
-
Ce plaisir... si intense... Jamais je n'avais atteint aussi rapidement l'orgasme... Les tentacules en moi se retirèrent lentement alors que j'étais doucement déposée au sol, en position assise et totalement nue, reprenant difficilement mon souffle, mais toujours aussi excitée... Ivy-san s'approcha de moi sensuellement, avant de se pencher vers mon visage...
- Tu as fait une longue route, petite Sakura… Je vais te réconforter comme il faut…
Elle déposa alors ses lèvres sur les miennes et je sentis aussitôt mon désir monter en flèche... J'avais envie d'elle, de ressentir une déferlante de plaisir, je voulais du sexe à n'en plus finir, à tel point que le terme de nymphomanie en devenait obsolète. Dans quelques minutes, je deviendrais incapable de penser à autre chose que le corps face à moi et aux tentacules, qui me donnaient terriblement envies... Ivy planta ses tentacules, avant de m'expliquer ce qu'elle faisait.
- Je vais… Modifier la structure cellulaire de cet arbre… De manière provisoire, naturellement… J’ai envie de voir, Sakura, envie de voir si je peux aider ton corps à se parfaire encore plus, si je peux, dans une certaine mesure, te montrer que cette nature que tu écrabouilles si innocemment n’est pas qu’un décor vert, mais un lieu vivant en chacun de ses points.
Je hoche la tête pour faire signe que je comprenais, sentant mes tétons durcir douloureusement et mon bouton d'amour gonfler de plaisir. Je commençais déjà à me tripoter toute seule, attendant l'invitation...
- Montre-moi l’une de tes formes, ma beauté, et tu pourras jouer avec mon corps, et avec mes tentacules. Vu la vitesse à laquelle tu as joui, j’en déduis que tu as du apprécier le contact de mes petites lianes…
En voyant sa peau nue et verte, ainsi que les lianes, je devins instinctivement une elfe, mes oreilles s'effilant, mes cheveux devenant d'un noir de jais et mes yeux devenant deux belles améthystes. Ma cyprine coulait en un flot continu et la moindre caresse du vent me faisait frémir de plaisir. Avec une grâce féline, je me rapprocha d'elle à quatre pattes, avant de gouter directement à ses lèvres intimes, insinuant ma langue dans son vagin, sa mouille ayant le gout des plantes médicinales... Une de mes mains alla visiter son tendre fessier, tandis que l'autre remonta lentement le long de son corps pour y trouver un sein à malaxer... Sans vraiment y prêter attention, je frottais de mon pied l'un des tentacules au sol...
Après plusieurs minutes à la torturer ainsi, je fini par relever la tête, ivre de sexe et totalement soumise par l'aphrodisiaque...
- Haaaaa... Maîtresse.... Je peux plus attendre... Pénétrez moi avec vos tentacules... Pitié...
-
L’effet de l’aphrodisiaque se faisait ressentir sur le corps de Sakura. Elle en tremblait d’impatience, et tandis qu’Ivy avait du modifier la structure de son arbre, elle en était presque à se caresser. Était-ce seulement dû à l’aphrodisiaque ? Sans doute pas… Après tout, Ivy ne l’avait embrassé qu’après avoir utilisé sur elle ses tentacules. Or, vu la vitesse à laquelle elle avait joui, il fallait en déduire qu’elle aimait l’idée de se faire prendre par ces filaments verdâtres. En soi, ce n’était pas vraiment surprenant. La totalité des partenaires sexuels d’Ivy avaient fini par apprécier les tentacules d’Ivy. Ceux qui y étaient réfractaires initialement avaient fini par l’apprécier. Sakura ne l’était pas du tout, réfractaire. Elle ne tarda pas à se transformer en une belle elfe, un choix plutôt judicieux, connaissant l’amour naturel d’Ivy pour la Nature. Or, les elfes vénéraient la nature. Elle ne pouvait donc que les adorer, et elle ressentit une bouffée de plaisir à l’idée de voir Sakura dans cet état. Poison Ivy remarqua en souriant que Sakura mouillait sans pouvoir se retenir. L’aphrodisiaque avait l’air d’agir de manière extrêmement efficace sur son corps, et elle marcha à quatre pattes vers elle.
Silencieusement, Ivy la laissa s’approcher, tandis que l’arbre se mettait à vibrer, que des tentacules commençaient à se former le long de l’écorce. L’arbre remuait, se réveillant, se reliant à l’esprit d’Ivy, qui se mit à soupirer de plaisir. En parfaite soumise, Sakura alla lécher son intimité, levant l’une de ses mains pour la poser sur son postérieur. Poison Ivy ne tarda pas, entre ses gémissements, à mouiller également, sa cyprine coulant pour que Sakura la boive. Sa mouille, outre être délicieuse, laissait aussi s’échapper des effluves qui ne faisaient qu’exciter l’odorat de celui qui les respirait. Comme c’était bon ! Sakura la léchait fiévreusement, avec un appétit incroyable. Elle buvait sa cyprine sans s’arrêter, et sentir ses mains presser son derrière excitait lourdement Ivy.
« Hum ! Hann… Comme c’est bon, ma belle… Là, vas-y, continue à lécher, à boire, abreuve-toi, je sens ta gorge sèche… Oh oui… »
C’était bon. Délicieux. Elle ne se lassait pas de sentir cette petite langue se glisser en elle. L’une des mains de l’elfe alla se glisser entre ses fesses, et Ivy en poussa un petit cri, avant de sentir une autre main se poser sur l’un de ses seins, le serrant. Sakura essayait-elle de l’exciter ? Si c’était le cas, elle se débrouillait plutôt bien, mais, à ce petit jeu, c’est elle qui finirait par s’épuiser. L’aphrodisiaque brûlait en elle, et était renforcée par les spores naturelles de Poison Ivy. Elle ne pourrait pas tenir longtemps. L’une des pieds de Sakura caressait l’un des tentacules naissants de l’arbre, dont le bout avait la forme d’une virilité masculine, une belle verge qu’elle caressait sans vraiment s’en rendre compte, faisant frémir l’arbre. Des feuilles en tombaient des branches, exprimant tout le plaisir que ce dernier ressentait. Un être vivant, voilà ce que cet arbre était, ce qu’il avait toujours été. Ivy espérait bien qu’au terme de cette séance, Sakura serait moins négligente avec les arbres.
Pendant que Sakura la léchait, Ivy promenait ses mains et ses tentacules. Ses deux mains caressaient tendrement les longs cheveux de l’elfe, tandis que ses tentacules jaillissaient de ses doigts pour malaxer les seins de l’elfe, évitant soigneusement les parties intimes, afin de la faire saliver. Le résultat fut bientôt au rendez-vous, car Sakura finit par se redresser, et par la supplier :
« Haaaaa... Maîtresse.... Je peux plus attendre... Pénétrez moi avec vos tentacules... Pitié...
- Maîtresse ? répliqua Ivy en souriant. Comme c’est flatteur… Te voilà donc redevenue une esclave… Mais je te traiterai bien pendant cette courte période de servage, rassure-toi. Tellement bien que tu vas finir par te croire au paradis… »
Sous l’effet de l’excitation intense, les fantasmes de Sakura ressortaient. Avait-elle toujours rêvé d’être une soumise ? Ou est-ce que son année de servitude avait fini par faire d’elle, au fond de son corps, au fond de ses désirs et de ses fantasmes, une soumise ? La question était permise, mais Ivy décida de l’éluder. L’arbre continuait à se constituer, et elle décida donc de continuer à s’occuper de l’elfe avec ses tentacules. Elle tendit une main, et deux tentacules s’enroulèrent autour des bras de l’elfe, la soulevant, tandis que deux autres s’enroulèrent autour de ses jambes. Deux tentacules un peu plus gros allèrent alors frotter les mains de l’elfe. Ils avaient la forme d’une verge, et d’autres allèrent s’enrouler autour des tétons de l’elfe. Un tentacule supplémentaire, humide, alla se glisser dans son postérieur, s’enfonçant dans son anus, tandis qu’un autre entra dans son vagin. Elle s’approcha du corps de Sakura, et embrassa ses lèvres.
« Allez, ma beauté, gémis, et satisfais mes tentacules. Ils ont tellement soif de ton corps… »
Ivy frottait le dos de l’elfe avec d’autres tentacules, ainsi que ses jambes. Un maigre avant-goût de ce qui l’attendait quand son arbre sera enfin prêt, et Ivy continua à jouer avec ses tentacules.
-
Au fil des minutes, je retournait à l'état d'esclave soumise, à la différence que cette fois-ci, j'aimais ça. Pour quelle raison ? Tout simplement parce que je n'était pas esclave des hommes mais de la nature elle-même... Celle-ci me faisait énormément de bien et je la lui rendais bien. Les doigts de ma Maîtresse me caressaient le visage, tandis que ses tentacules enserraient doucement mes seins, sans jamais toucher mes zones sensibles, ce qui en un sens, était franchement frustrant.
- Maîtresse ? Comme cest flatteur
Te voilà donc redevenue une esclave
Mais je te traiterai bien pendant cette courte période de servage, rassure-toi. Tellement bien que tu vas finir par te croire au paradis
Je sentis alors des tentacules s'enrouler autour de mes bras et de mes jambes, me soulevant dans les airs tout en m'entravant, m'empêchant de me mouvoir, ne pouvant seulement me cambrer et bouger un peu les poignets. J'eu bientôt droit à un tentacule dans chaque main, deux enroulés autours de mes seins, un qui se glissa sans efforts dans mon fondement et un dernier vint s'activer dans mon antre des plaisir. Tous étaient gros et avaient le forme de phallus. Lorsqu'ils me pénétrèrent, j'en eu des larmes de plaisir, la langue pendante et salivant sur moi-même. Pour le moment, les mouvements en moi et sur moi étaient lents, mais je ressentais déjà un intense plaisir...
- M-erci M-m-mai... trèèè...èèè...sseee.... haaaaa... haaaa... haaaaaa...
Elle revint m'embrasser une nouvelle fois et mon excitation atteint des sommets jamais visités auparavant.
- Allez, ma beauté, gémis, et satisfais mes tentacules. Ils ont tellement soif de ton corps
Je gémissais fort, pour lui retransmettre tout le plaisir que je pouvais ressentir. Les phallus en moi s'activaient si vite, que je me mis rapidement à jouir en continu, sans même m'arrêter, tandis que des sortes de picots apparaissaient à la surface de ses lianes lisses à l'origine, m'arrachant de nouveaux cris de jouissance.
- Haaaaaaaaaaaaa!! Maî.....tresse........ encore....c'est.....si bb-boooooOOOOOoooon...Haaaaaaaaaaaa!!!
J'était à un point ou plus rien autour de moi n'avais d'importance. D'autres tentacules ventouses s'accrochèrent à mes tétons et mon bouton d'amour pour les aspirer, tandis que deux autres tentacules phallus entrèrent dans mon vagin. Un autre se glissa dans mon cul et un dernier, plus fin, pénétra mon urètre jusqu'à la vessie. Un des tentacule passa le col de l'utérus et vin remuer dans tout les sens, et j'en senti un se faufiler dans mes intestins pour remonter jusqu'à mon estomac. De mes mains, je m'activais fébrilement sur les deux lianes entre celles-ci, et d'autres encore vinrent se frotter contre mes cuisses, mon ventre, mon dos et même mon visage et dans ma chevelure, alors que je jouissait de plus belle, arrosant le sol de mon jus, le nourrissant abondement.
- En... core... plus... En... Mmmmmm...
Un autre fini par entrer dans ma gorge et fit des mouvement rapide à l'interrieur. Etrangement, j'était toujours capable de respirer. Mes yeux se révulsant vers l'arrière, tant le plaisir était inimaginable, je pu également voir des lianes phallus se tendre au dessus de moi. Toute cette séance durait depuis déjà fort longtemps... A vrais dire, j'avais perdue toute notion du temps, seul le plaisir ressentit comptait...
-
Oh oui, Sakura était une option de choix. Ivy eut un sourire de fierté en la voyant pleurer, tant elle était heureuse. Qui aurait cru ? Chacun des partenaires qu’elle avait rencontré sur Terra, depuis sa rencontre avec Weldenela, raffolait de ses tentacules, de ce contact dans leurs corps, et il n’en fut pas différent pour Sakura, bien au contraire. Plus elle se faisait prendre, et plus elle appréciait cela. L’arbre continuait à prendre forme, et Ivy le sentit empreint de désir à l’attention de cette elfe, désireux de la perforer avec tous ses tentacules. Elle ne faisait qu’échauffer Sakura, qui se mettait à hurler son plaisir, alors que les tentacules se multipliaient sur et dans son corps. Des espèces d’aspérités se formèrent sur les tentacules qui enlaçaient et serraient son corps, répandant en elle des doses exquises de plaisir. Les minutes devinrent des secondes, les heures des minutes dans ce cocon de plaisir que devenait le corps de la jeune femme, et, tandis qu’Ivy continuait à s’amuser avec elle, son arbre se mit à réagir. Les tentacules pointèrent vers Sakura, et, progressivement, Poison Ivy commença à retirer ses tentacules, cédant à son arbre, qui se mit à l’attraper, et à la perforer comme il fallait.
« Haaaaaaaaaaaaa!! Maî.....tresse........ encore....c'est.....si bb-boooooOOOOOoooon...Haaaaaaaaaaaa!!! » jubilait Sakura.
De tells aveux arrachèrent à Poison Ivy un sourire amuse, qui ne tarda pas à parler à son tour, tandis que l’arbre la prenait entre ses tentacules.
« L’arbre a l’air aussi de te trouver à son goût. J’espère que cela t’aide à comprendre un peu mieux, maintenant… Mais la leçon, petite jeune Terrienne, ne fait que commencer. »
Faire l’amour avec Ivy et ses plantes présentait cet avantage qu’une plante n’était jamais fatiguée, et ne connaissait pas, contrairement aux partenaires sexuels classiques, la panne ou la fatigue. Sakura enchaînait les orgasmes, mais ce n’était qu’un début, et Ivy l’observa, tandis que son arbre poursuivit son exploration intime, très intime. Les tentacules se faufilaient partout où il était possible d’aller. Ceux qui étaient entre les doigts de Sakura étaient rejoints par d’autres, qui caressaient ses longues oreilles, qui se masturbaient sur ses joues, qui se glissaient dans ses cheveux. Ils grouillaient tous sur elle, caressant son ventre, s’enroulant sur ses jambes, se masturbant sur ses pieds. Elle put ainsi sentir une verge verte sur chacun de ses pieds, l’extrémité caressée par ses doigts de pied, tandis que ses parties intimes devinrent les cibles d’assauts furieux.
« En... core... plus... En... Mmmmmm...
- L’arbre va te satisfaire au-delà de ce que tu peux imaginer, ne t’en fais pas. »
L’arbre s’activa en effet. Un gros tentacule se glissa violemment dans la bouche de Sakura, se faufilant dans sa gorge, multipliant des gorges profondes. Un tel acte aurait du l’étouffer, normalement, mais elle faisait l’amour avec la Nature, et, sans que Sakura ne le réalise, les espèces de petites pointes qui caressaient son corps avaient en fait de microscopiques trous tout el long de son corps. Des plaies qui, sans la présence des tentacules, auraient provoqué une hémorragie. Pour autant, elle ne souffrait nullement, car chaque trou était précédé et suivi d’une espèce d’anesthésiant, tandis qu’un petit tentacule se faufilait à chaque fois à l’intérieur de son corps, afin d’éviter une infection. De cette manière, les tentacules parvinrent à permettre au corps de la jeune femme de respirer en oxygénant directement son système pulmonaire. L’ensemble était également facilité par de multiples micro-tentacules qui partirent depuis l’urètre de la femme et sa bouche, se faufilant dans les profondeurs de son corps. Tout en lui offrant une dose maximale de plaisir, un plaisir qui dépassait l’entendement, Ivy s’assurait également de lui offrir un cadeau. En explorant les profondeurs intimes de ce corps, elle comprit effectivement que la jeune Sakura ne mentait pas, et que son corps était une exception génétique universelle.
« Ton corps est vraiment une pure merveille, petit ange… Savoure donc. Sens à quel point les délices de la nature peuvent être infiniment supérieurs à ceux que les hommes peuvent te donner. Sens comme cet arbre te désire… »
Plusieurs tentacules ne tardèrent pas également à jouir un peu partout, mais les tentacules continuèrent à la recouvrer, à la remplir, tandis qu’Ivy observait le spectacle. Le temps passait, naturellement, et de nombreuses minutes s’écoulèrent, mais, avec un arbre, c’était généralement en nombre d’heures qu’il fallait parler. En réalité, l’arbre ne s’arrêterait que si Ivy lui en donnait l’ordre, ce qu’elle ne comptait pas faire. Sakura continuait à se tortiller, alors que les tentacules multipliaient leurs agissements sur son corps, grouillant sur elle. C’était une image assez belle à voir, mine de rien, que le spectacle de ces nombreux tentacules.
-
- L’arbre va te satisfaire au-delà de ce que tu peux imaginer, ne t’en fais pas. Ton corps est vraiment une pure merveille, petit ange… Savoure donc. Sens à quel point les délices de la nature peuvent être infiniment supérieurs à ceux que les hommes peuvent te donner. Sens comme cet arbre te désire…
Je n'avais pas eu conscience que je me faisait prendre dans tout les sens par un arbre, naturellement... néanmoins, j'en avais envie et j'en voulais toujours plus. Je pouvais sentir ces tentacules grouiller dans mon corps et sur ma peau. Dans ma tête, je me mis à réciter fiévreusement une vieille formule que Sya avais prononcée il y a longtemps, un jours de camping sur Terre. Au bout d'un temps infini, je fini par faire apparaitre une verge relativement grande, dépourvue de testicules mais aussi sensible que le clito présent il y a encore quelques secondes. Un tentacule s'enroula autour et il ne fallu pas longtemps avant que je ne me mette à jouir en continu de grandes lampées de sperme, qui vinrent s'étaler sur le corps et le visage de la femme plante en face de moi, bien que ma cyprine coulait toujours autant...
Il fallut encore plusieurs minutes avant que les tentacules ne commencent à cracher des litres et des litres de leur semence, chaud et gluant, me recouvrant intégralement le corps et me remplissant bien le ventre. Mon cul et mon vagin se mirent vite à déborder, tandis que je me prenait toujours une véritable douche... non... un torrent de sperme plutôt... Je ne faisait plus un seul mouvement et était au bord de l'évanouissement, mais ce fut cet orgasme à l'unisson qui eu raison de moi, cette décharge de plaisir infiniment puissant qui me fit cambrer vers l'arrière en me faisant gicler un véritable geysers de mouille mêlé de sperme, tandis que mon pénis envoyait lui aussi plusieurs litres sur la maitresse, tout en recevant cette pluie blanche et épaisse...
- HHHHMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!! ♥
Après ça, ce fut le noir complet...
-
Sakura ne manquait décidément pas de surprise, et Ivy se contentait de l’observer. En soi, après avoir fait l’amour avec Iruka, son appétit sexuel était assez satisfait, et elle ne ressentait pas vraiment le besoin de sauter sauvagement sur Sakura… La voir se faire prendre par cet arbre était un plaisir bien plus appétissant que tout. Elle vit alors une verge jaillir avec violence, pointant entre plusieurs tentacules, et l’arbre réagit rapidement. Un tentacule s’enroula autour de cette verge, et tira dessus, remuant ce dernier dans tous les sens. Sakura bouillonnait de plaisir, continuant à jouir sans s’arrêter, et l’arbre orienta l’extrémité de la verge de manière à pouvoir jouir sur Ivy. Cette dernière se trouvait à proximité de son corps, très proche, caressant la base de l’arbre avec ses mains, et sentit le sperme l’éclabousser sur le visage, glissant de ses cheveux. On continua à tirer sur le sexe masculin de Sakura. Elle jouissait sans s’arrêter, son corps se trémoussant entre les tentacules de l’arbre, au bord du point de rupture. Poison Ivy, elle, prenait tout simplement une forme de douche, arrosée par le sperme de Sakura, ce sperme que son corps absorbait presque naturellement, et qui la galvanisait. Elle sourit, ravie, continuant à la voir être prise dans tous les sens.
Progressivement, tout le corps de Sakura se mit à dégouliner d’une sève blanchâtre, le jus de plaisir de l’arbre, issu de ses fibres naturelles. Il se répandait sur l’intégralité de son beau corps, coulant sur le sol, la tachant de blanc. Un spectacle aussi fascinant que dégoûtant pour un observateur étranger. Les yeux de Sakura fléchissaient.
« HHHHMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!! » finit-elle par gémir.
Ses yeux se révulsèrent ensuite, dans un ultime sursaut, et Sakura fut plaquée contre le tronc de l’arbre. Les tentacules continuaient à jouer en elle, mais ils avaient désormais d’autres fonctions que simplement faire plaisir à la petite femme. Elle ne lui avait pas menti, et, dans une certaine mesure, son histoire avait touché Poison Ivy. Il était donc naturel que cette dernière lui offre une espèce de cadeau. Vu la manière dont elle avait aimé le contact avec ses plantes, Poison Ivy ne doutait nullement qu’elle apprécierait.
Les tentacules finirent par se retirer de ses parties intimes, pour mieux l’enlacer, la plaquant contre l’arbre. Sa colonne vertébrale se retrouva le long d’une espèce de tentacule glissant sur l’arbre, qui enfonça dans son épiderme de petites lianes. Le sperme qui baignait sur Sakura lui servait pour ainsi dire de seconde peau, et, contrairement au sperme d’un homme normal, il était relativement différent, comme elle ne tarderait pas à le réaliser. Poison Ivy s’approcha d’une fleur, et lui offrit un peu de son sang. Au bout d’un certain temps, la fleur poussa, devenant une sorte de grosse bulbe nourrie par la sève naturelle de son arbre, ses racines s’enfonçant sous la surface du sol pour nourrir la plante.
Poison Ivy regarda ensuite Sakura, dont le corps avait disparu dans une espèce de cocon. L’arbre modifiait son ADN en se servant de son sperme, modifiant toute la structure cellulaire du corps de Sakura, afin de lui offrir une nouvelle forme. Ivy aurait été tentée de lui permettre d’être une dryade, sachant que les dryades sont très respectueuses de la Nature, mais elle sentit que ce serait, non seulement une transformation génétique difficile, mais aussi excessive. Elle prévoyait un stade intermédiaire, même si tout dépendrait, au fond, de ce que Sakura voudrait. Le cocon se mit à grouiller, et s’ouvrit progressivement, déposant le corps nu et endormi de Sakura dans le bulbe. Cette dernière se referma sur elle. Vue de l’extérieur, on ne verrait qu’une espèce d’énorme plante avec de gros pétales. A l’intérieur, Sakura barbotait dans un jus qui avait tout du liquide amniotique. Quand Sakura se réveillerait, elle serait transformée. En revanche, Ivy ignorait le temps que ça prendrait.
Poison Ivy se pencha contre un arbre, et attendit patiemment, sentant le bulbe s’activer en modifiant le corps de la jeune femme.
*A quoi donc va-t-elle ressembler ?*
-
Je ne sais pas combien de temps j'ai dormis... peut être des heures, voir des jours... Ce qui est sûr c'est que, lorsque je me réveilla, mon corps était tout engourdit... En même temps, vu ma dernière séance de sexe, c'était bien normal... C'est alors que je constate que je me trouve dans une sorte de poche, mi végétale mi organique. Et aussi étrange que cela puisse sembler, je ressent tout ce qui se passe à l'extérieur, comme si cette poche faisait désormais parti de moi... A vrais dire, j'était en position fœtale et baignant dans un liquide transparent et sucré, mais parfaitement capable de survivre dans ce milieu aqueux, en respirant l'air de dehors à travers... quelque chose d'autre... Lorsque je voulus bouger mes pieds, je pu alors constater que ceux-ci étaient inexistants. Mes jambes fusionnaient en effet avec la poche au niveau des chevilles... En revanche, je pouvais sentir une bonne dizaine de membres supplémentaires, enfoncé dans quelque chose de meuble et frais, dans lequel je pouvais absorber des nutriments... Ce n'est qu'en relevant les yeux que je vis d'immenses pétales... Je n'était pas seulement dans une grosse plante... J'étais la plante...
Quand je voulus sortir à l'air libre, il me suffit seulement de penser à réabsorber le liquide pour que la poche ne se vide... et pour que les pétales ne s'ouvrent... C'est seulement en me redraissant que je vis ma peau légèrement plus verte et caoutchouteuse au niveau des jambes, et les fines lianes qui parcouraient mon corps... Le constat était simple.
- Je... Je suis devenue une Mandragore... !?
C'était effectivement le cas, j'étais moi aussi devenue une femme plante, avec des racines tentaculaire en guise de jambes. Je fis d'ailleurs sortir ces dernières du sol pour pouvoir me déplacer – plus ou moins facilement – vers Ivy-san, avec un grand sourire aux lèvres. Evidement, j'était nue, mon Artefact étant posé plus loin, mais je faisais désormais partie de cette nature et en avais les même capacités... Pour remercier celle qui m'avais offert un tel cadeau, je me pencha vers elle pour l'embrasser langoureusement, durant de très longue minutes, avant de me redresser...
- Merci, je... Je ne sais comment vous remercier... sans vous rendre la pareille, pour tout à l'heure...
Oui, j'allais payer la Nature en nature. Mais cette fois ci, ce sera à moi de m'occuper d'elle...
- Acceptez-vous ?
-
Moins patient qu’Ivy, le soleil finit par se coucher, plongeant la forêt dans une belle nuit étoilée. Cette dernière était allongée sur le sol, le haut de son dos posé contre un arbre, observant la scène silencieusement. Son esprit était relié à cette grosse fleur dans laquelle végétait Sakura, et les signes vitaux de cette dernière étaient calmes. Elle ne courait aucun danger, et il fallait juste attendre qu’elle se réveille. Ivy somnolait à moitié, quand elle sentit que Sakura était sortie du néant. Elle ne sortit pas tout de suite de bulbe, et Poison Ivy réalisa alors qu’elle ne pouvait plus vraiment contrôler cette fleur. Cette dernière semblait s’être liée aux gènes de Sakura, qui baignait avec plaisir dans ce liquide délicieux. Elle devait se sentir très apaisée à l’intérieur, comme tous ceux qui avaient eu la chance de bénéficier des traitements magiques de Poison Ivy en la matière. Oui, la petite Sakura barbotait à l’intérieur, n’ayant visiblement pas envie de sortir. En position fœtale, elle finit par se redresser, et, parvenant à contrôler la plante, sortit, visiblement heureuse et épanouie. Redressée, Ivy l’observa en souriant.
Le corps de Sakura avait légèrement changé. Elle avait perdu ses jambes, ces dernières ayant été avalées par sa plante. Des tentacules traversaient sa peau, qui était malheureusement restée beige, à l’exception de la base de son corps, sous son intimité. C’était une peau vert claire, et ses cheveux avaient également pris une teinte verdâtre. Le résultat n’était pas si mal, après tout. La forme de son visage avait légèrement changé, même s’il se dégageait toujours de Sakura ce côté doux et innocent, qui donnait envie de la serrer dans ses bras. Lentement, Ivy s’approcha d’elle, tandis que Sakura prenait conscience de ce qu’elle était devenue.
« Je... Je suis devenue une Mandragore... !?
- Tu es très perspicace, petite Sakura… » la félicita Ivy.
Oui, une très belle mandragore, et un sourire ravi éclaira les lèvres de Sakura, qui glissa vers elle, utilisant les tentacules de sa plante pour se déplacer. Ivy la laissa venir, et glissa ses mains dans le superbe dos de Sakura, l’embrassant tendrement, sentant les tentacules sur son corps remuer. Ce fut un long et très agréable baiser, Ivy serrant le corps de Sakura la mandragore contre elle. Elle lui caressa le dos doucement, glissant légèrement vers ses petites fesses, constatant que les zones érogènes du corps de Sakura étaient les mêmes, avant de remonter ses mains. Elle finit par en placer une sur le devant de son corps, mais ne chercha pas à malaxer ses sens, préférant serrer entre ses doigts l’un des tentacules traversant le corps de la jeune mandragore, afin de le serrer et de le caresser tendrement, prolongeant le baiser.
Sakura était heureuse, c’était un fait indéniable, et la savoir heureuse renforçait le plaisir qu’Ivy ressentait. La transformation avait l’air parfaite, et elle joua avec sa langue contre celle de la mandragore, l’embrassant furieusement. Elle avait déjà fait l’amour avec une dryade, et avait plutôt bien fait l’amour avec cette dernière ; elle devait bien varier les plaisirs, après tout. Elle continua à l’embrasser follement, glissant sa main pour la poser sur l’une des fesses de Sakura, serrant cette masse de chair entre ses doigts, et continua à l’embrasser avec ardeur, pinçant son joli petit cul, donnant de petites gifles dessus. La libido de Sakura était apparemment toujours aussi élevée. La pauvre allait comprendre que la nature avait de gros besoins, et que, dans cet état, il lui serait difficile de résister à ses pulsions naturelles.
« Merci, je... Je ne sais comment vous remercier... sans vous rendre la pareille, pour tout à l'heure...
- C’est tout à fait ce que j’escomptais, bout de chou répondit Ivy en l’embrassant sur le nez.
- Acceptez-vous ? » demanda-t-elle.
Ivy sourit. Sakura la vouvoyait, voyant probablement en Ivy une femme supérieure, et elle l’embrassa à nouveau, savourant ses belles lèvres.
« Dans une certaine mesure, tu peux me considérer comme ta mère… Au moins pour cette forme-là. Car c’est bien une partie de mon ADN qui bat désormais en toi, un code génétique qui est passé par mes plantes pour évoluer dans ton corps. Et sache, ma jeune fille, fit-elle en caressant avec son doigt les lèvres de Sakura, que je me dois de voir quelles sont tes performances. Je t’ai offert de nouvelles opportunités, Sakura, j’ai fait de toi mon enfant, et je me dois de veiller sur toi et sur ton éducation. Apprends à utiliser ton nouveau corps, Sakura, et fais-le sur moi. »
Poison Ivy se recula un peu, se retournant pour lui montrer son postérieur, avant de se remettre face à elle, lui faisant signe de la main.
« Viens, ma fille… Déchaîne tes pulsions sur mon corps… »
-
Les douces caresses qu'Ivy m'avait procurée avaient réussies à faire remonter en flèche ma libido, ainsi que le langoureux et profond baisé. Ma mouille se remit rapidement à dégouliner entre mes cuisses et, rapidement, je me sentie en chaleur face à cette femme naturellement attirante. Ses mains glissaient sur mon corps, pinçaient mes fesses, tandis que j'en faisais de même avec elle. Elle fini toutefois par se détacher de mes lèvres en souriant, avant de me répondre.
- Dans une certaine mesure, tu peux me considérer comme ta mère… Au moins pour cette forme-là. Car c’est bien une partie de mon ADN qui bat désormais en toi, un code génétique qui est passé par mes plantes pour évoluer dans ton corps. Et sache, ma jeune fille, fit-elle en caressant avec son doigt les lèvres de Sakura, que je me dois de voir quelles sont tes performances. Je t’ai offert de nouvelles opportunités, Sakura, j’ai fait de toi mon enfant, et je me dois de veiller sur toi et sur ton éducation. Apprends à utiliser ton nouveau corps, Sakura, et fais-le sur moi.
Ivy se mit dos à moi, avant de se baisser pour me montrer son postérieur, avant de poursuivre.
- Viens, ma fille… Déchaîne tes pulsions sur mon corps…
- Je viens... M... Mère...
Doucement, je me suis penchée comme un roseau vers son cul pour venir lécher ses fesses, les malaxant avec mes douces mains au passage, avant d'amener lentement ma langue dans son puits secret, la pénétrant le plus loin possible, la glissant tendrement sur les parois, en poussant de faibles gémissements. Au fil des minutes, mes mains se déplacèrent avec une tendresse langoureuse vers son intimité, glissant doucement deux doigts dans son antre des plaisirs, tandis que je prenait son bouton d'amour entre deux autres doigts, le roulant avec amour entre eux. Toutefois, j'eu la sensation que ce plaisir durait depuis près d'une heure et je n'était toujours pas épuisée, alors qu'une femme normale aurait jouie depuis déjà un moment. Je sortis ma petite langue de son anus et glissa mes main sur son corps, jusqu'à ses tétons durcis que je vins pincer avec tendresse, tandis que ma bouche se retrouva près de son oreille...
- Et si on passait au choses sérieuses, Mère ?
J'avais une dizaine de tentacules qui me servaient de jambes, comme de racines. Mais je m'aperçus bien vite que je pouvais rétracter les épines pour m'en servir également de lianes. Quatre d'entre elles vinrent s'enrouler autour de ses bras et de ses jambes, et j'eu la surprise de ressentir sa douce peau contre ces dernières. De la même manière, mes lianes sont érogènes, car je n'en mouille que d'avantage, remplissant lentement mais sûrement mon bulbe de cyprine. Deux autres lianes vinrent s'enrouler autour de ses deux beaux seins et titiller ses tétons et les quatre derniers se présentèrent faces aux différentes entrées.
- Appréciez les efforts que je fait pour vous... Mère...
Je dois avouer que la nommer ainsi, alors que j'ai perdu la mienne il y a près d'un an, me fait assez bizarre. Mais d'un autre coté, cela a le don de me réchauffer le cœur... Deux lianes entrèrent respectivement dans son anus et son vagin, allant aussi loin que possible, tandis que la troisième, plus fines, entra dans l'urètre jusqu'à la vessie. La dernière, enfin, franchie le barrage de ses lèvres pour venir s'insinuer dans sa gorge. Mes lianes développèrent le même principe que celle de l'arbre pour qu'elle puisse continuer de respirer, alors que moi-même, je ressentais tout le plaisir, qu'elle devait vivre, comme si j'était équipée de dizaines de phallus. Mes doigts, aussi rapides soient-ils, ne suifèrent bientôt plus à mon plaisir, tandis que mon bulbe débordait à présent de ma douce liqueur. Presque suppliante, je me tourna vers l'arbre mutant en écartant mes lèvres intimes, alors que mes mouvements de lianes accélérèrent en Ivy.
- Viens... Viens me prendre... Ta petite sœur te veux en elle...
-
Ivy se mit à quatre pattes, offrant sa fleur, son corps, et sa beauté à sa « fille ». Cette dernière ne tarda pas à accepter, devant probablement sentir un élan d’amour difficile à expliquer envers Poison Ivy, une bouffée de chaleur et d’affection.
« Je viens... M... Mère... » finit par dire cette dernière.
Poison Ivy sentit alors cette dernière poser ses mains sur son corps, et elle en frémit. Ivy serra le sol entre ses doigts, avant de sentir les lèvres de la mandragore se poser sur son derrière. Les mains de Sakura caressèrent le très attirant cul de la femme, avant qu’elle n’écarte ses fesses pour lécher les profondeurs de son fondement, faisant soupirer Ivy. Il n’y avait pas à dire, ces caresses buccales étaient particulièrement vivifiantes, et elle remuait légèrement son postérieur pour accompagner les mouvements de Sakura, sachant très bien que sa fille ne faisait que la titiller, que l’émoustiller. Elle y passa un certain temps, semblant admirer le cul bien formé de Poison Ivy, et cette dernière se mordait les lèvres pour ne pas lui hurler de passer aux choses sérieuses, d’accélérer le mouvement. Elle laissait à Sakura le temps nécessaire pour agir, cette dernière ayant après tout subi d’importantes modifications génétiques.
Au bout d’un moment assez long, Sakura retira sa langue, et s’étala sur le corps d’Ivy, se penchant en faisant remonter ses tendres mains le long du corps d’Ivy. Elle sentit le corps de Sakura frôler le sien, tandis qu’elle s’appuyait sur les seins tendus et impatients d’Ivy. Les pointes durcies de ses deux mamelons indiquaient à quel point elle était impatiente, et la doucereuse et enivrante odeur jaillissant de son intimité allait dans ce sens. Sa cyprine parfumée s’échappait de son intimité.
« Et si on passait au choses sérieuses, Mère ? lui demanda alors Sakura.
- Mon corps est tout à toi, Sakura… » répliqua simplement Ivy.
La mandragore utilisa ensuite ses tentacules, passant, comme elle l’avait annoncé, « aux choses sérieuses ». Ivy espérait que sa fille n’aurait aucune difficulté à s’en servir. Pour elle, les tentacules fonctionnaient naturellement, mais elle ne se rappelait plus si elle avait eu du mal ou pas à s’y adapter. C’était comme essayer de se rappeler si on avait eu du mal à utiliser ses jambes. Les tentacules étaient pour elle des organes normaux, des membres, au même titre que ses bras ou ses jambes. Sakura déploya ses tentacules, et Ivy en sentit quatre s’enrouler autour de ses jambes et de ses pieds, l’emprisonnant avec délice. Elle en soupira, et caressa avec ses doigts le bout des tentacules enroulés autour de ses bras, les emprisonnant dans la paume de chacune de ses mains, les grattant. Les tentacules étaient des zones érogènes chez cette mandragore, et elle les grattait tendrement, se demandant si ces tentacules permettraient de cracher, comme le corps d’Ivy pouvait le faire à travers ses tentacules, un genre de sperme.
D’autres tentacules ne tardèrent pas à venir, trois s’occupant du bassin d’Ivy. Deux autres roulèrent sur ses seins, les emprisonnant, les tirant à droite et à gauche, devant, les soulevant, la faisant gémir lentement. Toutefois, Ivy ne put bientôt plus gémir. Elle sentit un tentacule se glisser dans son cul, en même temps qu’un autre dans son vagin, et un troisième dans un autre trou, et elle en poussa un cri… Le cri ne dura toutefois qu’une ou deux secondes, car un énième tentacule s’enfonça dans sa bouche, glissant dans sa gorge, et tous les tentacules se mirent à remuer sur elle, et ses cris et gémissements furent étouffés. Comme c’était bon ! Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, sa cyprine explosant pour glisser le long d’un tentacule, répandant une magnifique odeur, et elle ferma les yeux, se laissant faire, devenant une petite poupée entre les tentacules de Sakura, de sa perverse fille, qui y éprouvait un grand plaisir. Sous sa forme de mandragore, l’esprit de Sakura était en effet relié au sien, et elle pouvait sentir son bulbe, son petit cocon, se remplir de sa mouille. Ivy, elle, était aux anges, ressentant ce que ses partenaires, nombreux, avaient ressenti quand elle les prenait ainsi. Dix tentacules grouillaient sans relâche sur et dans elle, serrant son corps, tirant ses membres, la martyrisant avec délice. Elle était une prisonnière entre ses tentacules qui gargouillaient autour d’elle, la maintenant en l’air, serrant, la serrant… Oh, comme c’était bon ! Elle se sentait complètement écrasée sous une telle vague de plaisir, et contracta un second orgasme, sa cyprine continuant à se répandre, au fur et à mesure que les tentacules s’agitaient de plus en plus intensément.
« Viens... Viens me prendre... Ta petite sœur te veux en elle... » lança alors Sakura à l’attention de l’arbre tentaculaire.
Ce dernier agit sans hésitation, et de nombreux tentacules convergèrent vers Sakura, l’enveloppant délicatement et solidement. Un tentacule se contenta ainsi tout simplement de l’enlacer autour de son estomac, mais d’autres ne tardèrent pas à la pénétrer, s’enroulant autour d’elle, la mettant dans le même état qu’Ivy, ou presque. L’arbre agit selon sa volonté propre, et ne tarda pas à répandre un liquide verdâtre sur le corps et dans le corps de Sakura, remplissant progressivement le bulbe. Ce n’était plus du sperme végétal, mais une sève un peu différente. Sous l’excitation, Ivy était en effet décidée à poursuivre son expérience, et à continuer à modifier les gènes de cette dernière. Bien sûr, elle n’agissait pas consciemment, car Ivy n’était pas spécialement en état de le faire, mais de manière inconsciente. Les tentacules de l’arbre enveloppaient Sakura, cherchant à amener cette dernière à se désolidariser du bulbe dans lequel elle vivait, à donner dans son code génétique le support nécessaire pour en faire une dryade, ce qui amenait les tentacules de l’arbre à être assez offensifs. L’arbre tentaculaire ne cherchait pas vraiment un plaisir sexuel, mais c’est ce que Sakura devait ressentir, car c’est en l’anesthésiant sexuellement que l’arbre comptait la transformer. Ainsi, deux tentacules gobaient ses seins, les absorbant dans des bouches voraces pour lécher par de multiples dents visqueuses et molles, semblables à des langues, ses tétons. D’autres tentacules étaient enfoncés dans ses parties intimes, d’autres caressaient son cul, et des micro-tentacules filaient par sa bouche dans son corps, tournant autour d’un tentacule bien plus gros qui pénétrait sa bouche, les micro-tentacules se mélangeant avec les veines de Sakura pour y inclure de la sève verdâtre, modifiant ainsi son sang, atteignant son cœur pour le faire, recouvrant progressivement tout le corps de Sakura de tentacules.
-
Voir ma "Mère" hurler ainsi de plaisir et se rependre ainsi sur le sol me faisait énormément de bien, d'autant plus que je ressentais absolument tout au travers de mes tentacules. Glissant toujours plus vite en et sur elle, je fis signe à l'arbre d'en faire de même avec moi. Très vite, je sentis ses tentacules venir s'enrouler tendrement mais fermement autour de ma taille et venir bloquer mes bras dans mon dos, comme une prisonnière. Ses nombreuses lianes entrèrent de nouveau en moi, à plusieurs dans un même trou, pour remuer et grouiller dans mon corps, comme tout à l'heure...
- Haaaaa.... Si boooon... Viens dans ma bouche... Remplis moooiiiii...
Il ne se fit pas prier et un énorme tentacule entra par la voie buccale, s'enfonçant aussi loin que possible dans ma gorge, tandis que je faisais glisser ma langue sur ce membre végétal. Sous l'excitation, mes propres tentacules allèrent si vite en Ivy que leurs mouvements en devenaient flous. Le plaisir était tel que j'eu bientôt un orgasme en continu, expulsant un geyser de mouille dans mon bulbe, non stop, tandis qu'un liquide blanchâtre sortait de chacun de mes tentacules, aspergeant et remplissant ma "Mère". De son coté, l'arbre fit bientôt de même avec mon corps et c'est un épais liquide vert qui gicla sur ma peau. Non seulement cette scène d'intense luxure ressemblait à une véritable orgie, mais en plus, on pouvait la comparer à une débauche incestuelle et dépravée. Il pleuvait littéralement du sperme sur nos corps et la terre en était souillée à dix mètres à la ronde. Mes gémissements de plaisir étouffés entraient en résonnance avec ceux de ma mère et nos mouilles se mélangèrent ensembles dans l'herbe généreusement arrosée. Mes yeux étaient révulsés vers l'arrière sous ce plaisir ininterrompu et cette jouissance infinie et pourtant, j'étais encore bien loin d'avoir atteint ma limite, comme si j'étais devenue insatiable...
Etrangement, je vis ma peau absorber la sève verte de l'arbre, en prendre la couleur, tandis que mes pieds semblaient se détacher du bulbe, se faire écarter par de nouveaux tentacules pour mieux me pénétrer. Et pourtant, même hors de ma fleur, je pouvais toujours ressentir les sensations offerte par le corps de ma mère. Il me semblait aussi que ma peau était bien plus caoutchouteuse et j'eu même l'impression de ressentir chaque caresses du vent dans les branches de la forêt. Mais ces simples caresses me firent finalement atteindre le 7e ciel, me faisant jouir des dizaines de litres de cyprine et de sperme sur ma mère et sur les tentacules de l'arbre, sur une dizaine de minutes sans interruptions, avant de choir au sol, tentant de reprendre mon souffle. J'avais été satisfaite sur le plan sexuel pour au moins les deux prochains mois...
Ce n'est qu'en me redressant que je vis enfin ce que j'étais devenue. Entièrement verte, les cheveux plus foncés que la peau, j'étais capable de ressentir toute la vie présente dans la forêt, comme si c'était la mienne. De même, je pouvais toujours contrôler mon bulbe à distance, qui fini par se retirer de ma mère pour planter les racines dans la terre, pour ce ressourcer. C'était comme si mon corps avait été divisé en deux entités distinctes, reliées mentalement. Mais au final, j'était devenue bien plus qu'une Mandragore. Cette fois ci, je suis devenue...
- Une Dryade (http://nsa27.casimages.com/img/2012/02/19/12021901212517200.jpg)... Je me suis changée en fille de mère Nature... Je ressent toute la vie de la forêt, comme si elle palpitait en moi...
-
La brave Sakura était progressivement en train de réaliser à quel point la Nature était un jouet à double tranchant. Faire l’amour avec cet arbre tentaculaire, c’était bon, mais parfois trop bon. Ivy ne saurait exactement comment décrire ce sentiment, cette espèce d’overdose de jouissances. Sakura était en train de l’éprouver, tout comme Ivy, tant l’arbre était intense, tant il la prenait avec envie. C’était quelque chose d’unique et d’indescriptible, et Sakura le découvrait en ce moment, tout comme Ivy. La notion de temps disparut, Sakura baignant dans sa cyprine, ne pouvant plus se retenir, tandis que son corps se modifiait à nouveau, s’améliorer. Quand Ivy reprit son souffle, soit quand les tentacules se retirèrent d’elle, la femme baignait sur une flaque de sève et de cyprine. La nuit battait son plein depuis plusieurs heures, et Poison Ivy entreprit de se relever, mais ses jambes se dérobèrent, et elle tomba sur les fesses, pouvant toutefois voir le produit de sa réalisation.
« Une Dryade... Je me suis changée en fille de mère Nature... Je ressent toute la vie de la forêt, comme si elle palpitait en moi... »
Et une belle dryade ! Elle avait un corps vert clair, des formes alléchantes, et un visage poupon, similaire à celui de la traditionnelle Sakura. Un sourire éclaira les lèvres d’Ivy, qui resta assise sur le sol, et tendit un tentacule vers Sakura. Ce dernier s’enroula délicatement autour de son poignet, et l’amena vers elle. Dans ce corps, Sakura semblait avoir rajeuni, mais c’était une fausse impression. Le tentacule la fit tomber contre le corps d’Ivy, qui se mit à caresser son dos et son postérieur. La femme-plante souleva un peu Sakura, la tenant tendrement contre elle, comme une mère l’aurait fait avec son enfant, et elle lui embrassa le nez, avant de caresser avec un doigt ses seins, posant ensuite ses lèvres sur sa bouche.
« Oui, ma belle… Une belle et superbe dryade… Comme tu es belle, ma chérie… Je suis fière de moi… Ressens maintenant la Nature comme si elle faisait partie de toi… Maintenant, que ressens-tu à l’idée d’avoir détruit deux arbres ? Je suis sûre que plus jamais tu ne considéras ça comme quelque chose de négligeable, n’est-ce pas ? »
Elle retourna l’embrasser, poursuivant son câlin, la serrant contre elle. Sa peau était douce, et elle ressentait à son égard des bouffées d’affection. Ivy se laissa ensuite tomber, s’allongeant sur le dos, laissant Sakura sur elle, amenant la dryade à s’allonger également sur le corps d’Ivy, lui offrant de tendres et délicieuses caresses, parcourant tout son corps, glissant sur ses fesses, les pressant, avant de frotter son dos avec ses ongles.
« Là, repose-toi maintenant, ma belle… Passe la nuit ici, au milieu de cette nature, avant de reprendre ta route… »
Fatiguée comme elle était, Sakura n’était de toute façon probablement pas en état de se transformer en dragonne, et de retourner chercher sa sœur. La nuit était bien avancée, et elles étaient seules, seules au milieu de nulle part, avec pour seule compagnie tout ce dont une dryade avait besoin : des arbres.
-
J'étais bien trop épuisée pour faire quoi que ce soit d'autre. Aussi, lorsque Ivy enroula un tentacule autour de mon poignet pour m'attirer contre elle, au sol, je me laissa faire comme une poupée de chiffon. Elle se mit à caresser mon dos et mes fesses tendrement, ma poitrine, amoureusement, mais sans chercher à me faire atteindre un énième orgasme. Ça faisait seulement du bien, c'est tout, tandis que mon esprit se connectait petit à petit à l'ensemble de la forêt.
- Oui, ma belle… Une belle et superbe dryade… Comme tu es belle, ma chérie… Je suis fière de moi… Ressens maintenant la Nature comme si elle faisait partie de toi… Maintenant, que ressens-tu à l’idée d’avoir détruit deux arbres ? Je suis sûre que plus jamais tu ne considéras ça comme quelque chose de négligeable, n’est-ce pas ?
Bien malgré moi, des larmes de tristesse se mirent à couler. Je sentais les deux arbres mourant, avec l'impression de mourir en partit. Serrant ma mère contre moi, je découvris une autre facette de ma nouvelle forme... Les Dryades ne sont pas uniquement des protectrices... mais aussi des guérisseuses. En fait, elles ont un contrôle totale sur les forêts. Avec un peu d'attention, on pouvait voir un peu plus loin deux arbres se redresser soudainement, avent de se planter de nouveau dans le sol. En réalité, des racines étaient sorties de terre pour attraper celles des arbres tombés par ma faute, pour les replanter. Ensuite, ma cyprine dans le bulbe se fit absorber par ce dernier pour être réinjectée dans les arbres, par le biais de mes racines, sous forme de nectar ambré, pour les soigner de l'intérieur. Je sentis alors la vie battre de nouveau dans les veine de sève...
- J'ai réparée... ma faute...
Et je me suis endormie comme une masse. Etant une Dryade, mes pieds se plantèrent pratiquement instinctivement dans le sol, pour absorber les nutriments et reprendre des forces...
Le lendemain, je me réveilla contre le corps chaud de ma "mère", en pleine forme. Je découvris alors que mes cheveux, agissaient comme les feuilles des plantes, absorbant la lumière solaire par photosynthèse. Je me sentais heureuse et pleine de vie parmi tout ses arbres. Pourtant, il me faillais reprouver ma sœur et retourner près de mon Alice adorée. C'est alors que je me souvint de cette particularité que le dragon d'or m'avait offert. Le fait que mon pouvoir pouvait également agir sur les autres. Au moins, les deux filles à qui je tient le plus au monde pourront vivres les même expériences que moi...
Déracinant mes jambes du sol, je suis retournée dans mon bulbe pour reprendre une forme Mandragore, avant de redevenir humaine. Puis, je suis revenue près de cette étrange femme, qui m'avait appris et apportée tant de choses, pour l'embrasser tendrement su les lèvres.
- Je ne vous remercierais jamais assez pour tout ce que vous m'avez apportée et appris... J'espère sincèrement que nous nous révérons un jours. Peut être qu'à cette occasion, vous pourrez rencontrer ma petite sœur et mon amour... Au revoir... Mère...
J'ai déployée mes ailes d'ange, étant après tout plus très loin de ma destination, avant de filler rapidement dans le ciel, en adressant un signe de la main vers Ivy. Je n'oublierais jamais cette femme et si elle souhaitait me revoir, elle savais à présent où me retrouver...
-
Ce fut indiscutablement une rencontre intéressante. Serrant contre elle Sakura, Poison Ivy s’abandonna également au plaisir du sommeil, sombrant rapidement. Cette petite femme avait été très épuisante, et elles dormirent ainsi, l’une dans les bras de l’autre, dans une tendre et délicate étreinte, leurs corps verts se confondant avec l’herbe. La nuit les enveloppa d’un halo d’obscurité, les vents refroidirent leurs corps essoufflés, et ce fut la Nature qui, après les avoir endormis, les réveilla. Paresseusement, le soleil s’étira dans le ciel, dardant de ses rayons de feu la région. Les oiseaux émirent leurs gazouillis habituels, les animaux se réveillaient, les prédateurs, à l’affût, chassaient à nouveau. Lentement et silencieusement, la Nature poursuivait son perpétuel cycle de destruction et de création, infligeant la mort pour répandre la vie. Ivy fut la première à se réveiller, sentant le corps chaud et tendre de la petite dryade contre elle. Cette dernière était à moins enracinée dans le sol, ses pieds s’enfonçant légèrement dans les brins d’herbe. Lors des nuits d’hiver, les légendes affirmaient que les dryades sommeillaient avec la nature, se perdant dans les racines des arbres, n’en ressortant que quand les arbres fleurissaient à nouveau. Il fallait croire que c’était le cas. Dans un sens, Ivy était jalouse de Sakura. Cette dernière était une dryade parfaite, détenant un lien de communion avec la nature fort, un lien qu’Ivy ne pourrait jamais avoir. Si elle était fière de son résultat, Poison Ivy en éprouvait tout naturellement de l’envie.
*Bah, songea-t-elle, inutile de faire l’enfant ! J’ai réussi à créer une veritable dryade… Certes, ce n’est pas vraiment une construction « ex nihilo », loin de là, et le fait que cette petite soit terramorphe m’a plutôt bien aidé, mais bon… C’est au moins une dryade parfaite…*
Elle avait après tout réussi à soigner les arbres. Ivy caressait silencieusement le corps de la nymphe endormie, se repaissant des bruits de la Nature. Elle pouvait sentir le vent faire remuer les fleurs, humer le pollen de ces dernières, sentir les oiseaux s’extirper de leurs nids pour prendre leur envol. Les abeilles butinaient, les araignées, silencieuses et muettes, tapies dans l’ombre, tissaient leurs toiles. Elle sentait également les ours, les loups, les chiens errants, se promenant dans cette grande forêt, et prolongea son regard, sentant encore d’autres créatures fantastiques remuer et avancer.
Lentement, Sakura se redressa, s’extirpant sans problème des bras d’Ivy, retournant dans son bulbe. Elle reprit alors une forme normale. Toujours allongée dans l’herbe, Ivy la regarda, entreprenant de se redresser. Un dernier baiser eut lieu, et Ivy savoura le goût tendre des lèvres de la jeune femme. Oui, c’était particulièrement agréable.
« Je ne vous remercierais jamais assez pour tout ce que vous m'avez apportée et appris... J'espère sincèrement que nous nous révérons un jours. Peut être qu'à cette occasion, vous pourrez rencontrer ma petite sœur et mon amour... Au revoir... Mère...
- Rassure-toi, je compte bien revenir voir comment se porte ma fille… répliqua Ivy en lui caressant une joue. Là où il y a des arbres, attends-toi à me trouver… Je viendrais te voir dans ton royaume un jour, petite Princesse. Maintenant, va. Ton cœur a d’autres sujets de préoccupation. »
Ivy embrassa alors Sakura, et cette dernière se transforma en un ange, s’envolant dans le ciel. Des rayons de soleil l’éblouirent, et la jeune femme disparut alors, s’envolant vers sa destination. Un sourire aux lèvres, Ivy entreprit de se redresser. L’arbre tentaculaire n’était plus. Lentement, les tentacules s’écroulaient sur le sol, et Ivy décida de retourner dans le lac, achevant son bain qui avait été interrompu la veille.
*Quel étrange monde… songea-t-elle silencieusement. Je sens que mon voyage est encore loin d’être terminé…*
FIN