Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Hiro le samedi 17 décembre 2011, 17:46:40
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Une convention de petits minables, que certains appelaient cosplayeurs, avait été organisée dans l’un des grands halls du Centre commercial… En général, je n’étais pas intéressé à aller dans ce genre de choses, je n’aimais pas vraiment perdre mon temps à lire des Bandes Dessinées, ou encore des jeux vidéos. Cependant, il y avait un client qui m’avait demandé d’éliminer un des instigateurs de cette convention, qui avait été témoin d’un braquage de banque, le seul qui avait vu son visage, alors que la cagoule avait tombé. Ce ‘’Geek ‘’ était le seul à pouvoir donner une description détaillée du criminel. Je devais donc le faire taire. Le bon point avec ces hommes, c’est qu’ils sont peureux, sous la pression. Je n’aurai même pas besoin de le tuer!
Le gros mais, c’était que je devais me trouver un jeu, ou une Bande dessinée fétiche pour pouvoir avoir l’air de quelqu’un qui n’a pas vraiment de but, autre que le seul ‘’bonheur’’ d’être dans cet endroit… Je passai donc les trois derniers mois à lire des livres ‘’d’art ‘’ japonais… C’était vraiment long, j’avais l’impression de ne rien faire, sauf lire des choses soporifiques sur des super-héros avec des pouvoirs venant de d’autres planètes ou avec des démons en eux, ou encore à jouer à des jeux considérés RPG… Rien de bien intéressant, si vous voulez mon avis. Je commençais vraiment à croire que la meilleure solution serait de tirer une balle d’un toit voisins pour en finir au plus vite, mais un titre de jeux m’attira l’œil : Resident Evil.
Des le premier jeu, je devins accroc. En deux semaines, j’avais termine tous les jeux et commençais à lire les mangas qu’il y avait… Je tenais ma couverture; Chris Redfield (http://browse.deviantart.com/?qh=§ion=&q=Chris+Redfield#/d1lvqsq). Cependant, je devais avoir l’air d’un de ces fans finis qui ne pensent qu’à avoir le meilleur costume. Donc je fis jouer mes contacts pour avoir un costume identique qui se vendait seulement en Europe… Je me fis même couper les cheveux et les faire teindre en bruns pour vraiment être dans mon rôle. Maintenant il ne restait plus qu’a attendre que la convention ne commence.
Le jour J
Tout semblait se passer comme prévu, plus facile en fait! Moi qui m’était fait une excuse pour avoir une arme avec moi, il n’y avait même pas de détecteur de métaux, ni même de gardes a l’entrée! Le tout serait très facile… Sauf peut-être essayer de trouver la personne que je recherchais, elle serait probablement costume. Alors que je marchais tranquillement au milieu des nombreuses personnes, majoritairement des adolescents, je bousculai une jeune femme sans le vouloir, alors que je m’éloignais légèrement d’un mec qui voulait engager la conversation avec Chris; moi. Tournant la tête vers la pauvre que j’avais frappé avec mon corps, je souris en coin en remarquant son costume. Lui faisant un petit clin d’œil, je lançai d’un ton amuse.
Désolé, bonsoir Sheva!
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Vraiment sympa cette convention! Dommage que mes potes n'aient pas pu venir, ça m'aurai évité quelques boulets et autres lourdingues qui veulent draguer la moindre fille présente.
Et puis s'il n'y avait que les mecs! Il y'a pas mal de lesbos qui m'ont abordé. Faut dire qu'avec ma tenue je l'ai un peu cherché... En plus parait que je ressemblais à Michelle Rodriguez comme ça! Ok, c'est pas pour me déplaire, j'adore cette nana, mais je pensais pas qu'elle était si prisée chez les homos! Et puis merde, c'est pas compliqué de reconnaître mon perso quoi!
Au moins, l'avantage c'est que je me suis pas ruinée pour le costume. La plupart des éléments venaient de ma période militaire et j'ai pas eu à racheter grand chose.
Dommage par contre qu'il y'ai eu si peu de stand. J'aurai bien aimé trouver quelques nouveaux goodies pour décorer l'appart.
J'allais repartir quand un mec me bouscula et m'envoya presque valdinguer. Je me retournais pour lui dire le fond de ma pensée quand il s'excusa, un petit sourire aux lèvres... En voyant sa tenue je comprenais son amusement.
Désolé, bonsoir Sheva!
Pas mal foutu le garçon en plus.... Voila une rencontre amusante et qui me donnait envie de rester un peu plus longtemps.
Hey Chris! Comment tu va mon mignon?
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La jeune femme déguisée en Sheva, eut un regard qui voulait en dire long sur ce qu’elle allait lancer par la suite, mais, une fois qu’elle avait vue mon déguisement, elle ne put s’empêcher de sourire et me répondre, sur le même ton amusé que moi. Regardant un mec, enfin je présumais que c’était un mec, déguisé en monstre tentaculaire à un seul œil, d’où je devais dire que ce dernier et les tentacules étaient très mal faites, je secouai légèrement la tête avant de reprendre mon petit sourire.
Je ne sais pas trop où je suis tombé, mais ça va…
D’un petit rire, je me mis sur le côté, m’accotant sur un comptoir de bandes dessinées et de poster, libérant ainsi la voix à tous ceux qui voudraient passer. Cette jeune femme était très intéressante, surtout côté corps, et je devais avouer que je fantasmais un peu sur Sheva depuis que j’avais joué à Resident Evil 5, alors pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups?
Alors, fan de RE? Je t’aurais bien vu déguisée en zombie, sauf que j’aurais dû te faire éclater la tête… Maintenant c’est autre chose que j’ai envie d’éclater!
Une parole crue qui passait pour une plaisanterie, c’était une technique comme une autre pour avoir l’air sympa. Au mieux elle prendra ça pour une invitation et sera tentée, au pire je me prends un râteau et entre les deux elle se met à rire et me trouve sympa. J’ai deux chances sur trois de faire bonne impression, c’est acceptable!
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Croire aux coincidences, d'habitude c'est pas mon truc, mais pour une fois le hasard avait bien fait les choses. Tomber sur un mec mignon, incarnant un perso tout aussi mignon et issu du même univers que le mien... J'ai eu de la chance sur ce coup!
Je le regardais de haut en bas, ne cachant pas mon regard gourmand et interessé, ce qui visiblement ne lui avait pas échappé vu ce qu'il me sortit ensuite.
Alors, fan de RE? Je t’aurais bien vu déguisée en zombie, sauf que j’aurais dû te faire éclater la tête… Maintenant c’est autre chose que j’ai envie d’éclater!
Gonflé le mec quand même! Mais j'aime les garçons francs et directs, il avait tapé juste, mais je devais quand même voir s'il était prêt à assumer ses paroles...
Je le fixais alors dans les yeux et le défiais sans rougir.
Direct hein? J'aime ça... Mais tu sais qu'une guerrière de mon genre n'aime que les......armes de gros calibre. Tu te sens capable d'assurer ou alors tu devra appeler des renforts?
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Dans un rire, je me mis à détailler Sheva. Un regard assez sûre d’elle, un petit sourire qui en disait long sur son caractère, un petit corps svelte et travaillé, signe qu’elle travaillait dans le manuel, ou encore qu’elle s’entraînait assez fréquemment… Oui, niveau corps elle ressemblait un peu à Sheva, excepté le fait que le personnage est africain, et elle semble être japonaise… Quoique je pourrais facilement passer outre ce petit détail insignifiant.
J’ai peut-être plus le calibre d’un M14 que d’un Barrett, mais la beauté de la chose est que j’ai plus de balles dans le chargeur. Alors l’équipe bravo peut prendre une pause, je vais m’en occuper moi-même!
Regardant un peu partout, histoire de trouver un endroit assez tranquille où l’on pourrait continuer la conversation, et aussi pour vérifier que ma cible était toujours dans les parages, je me passai la main dans les cheveux, toujours pas habitué à les avoir aussi court. En y repensant deux fois, la convention ne s’arrêtait que dans quelques heures, et l’instigateur se devait d’être présent pendant toute la durée de cet événement.
Pourquoi sommes-nous encore là à discuter, alors que je vois dans tes yeux que tout ce que tu as envie, c’est d’essayer mon sniper? Sauf que sortir une arme ici risque de causer la commotion…Alors pourquoi ne pas se trouver un coin bien silencieux, à l’abri des regards?
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Cultivé en plus ce garçon... il avait l'air de s'en connaitre en matos de guerre. Peut être un ex militaire.... Tant mieux, une bonne dose de virilité ne me fait jamais de mal, au contraire! Visiblement il était bien interessé pour s'amuser avec moi, je n'allais donc surement pas laisser passer une telle occasion.
Un endroit silencieux? On risque de nous entendre alors, surtout qu'il parait que j'ai une voix qui porte lorsque l'on sait utiliser son arme comme un pro... Pourquoi on irai pas ailleurs plutôt genre chez toi, ou chez moi si tu préfères. Je n'habite pas très loin et c'est bien insonorisé.
Je croisais discrètement les doigts. Pourvu qu'il dise oui...
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La regardant, je pinçai légèrement les lèvres. Non, je n’avais pas envie de quitter cet endroit, je voulais avoir une chance de pouvoir ‘’discuter’’ en seul à seul avec cet homme, me donner une chance de gagner ce procès… Mais le fait qu’elle me dise qu’elle avait une voix qui portait, en d’autres mots qu’elle aimait bien crier pendant l’acte, me donna une petite émotion au niveau du bas ventre…
C’est que j’étais censé rencontrer un ami, et je ne veux pas le manquer… Ah et puis merde, il comprendra bien que je lui ai posé un lapin pour une fille dans ton genre!
Je n’avais aucune chance de dire non. Je me voyais déjà en train de la ramoner un peu partout chez elle, l’entendant crier ses ‘’gémissements’’. Ouf, il commençait à faire chaud ici et j’avais envie de retirer de costume… Au pire, pour mon procès, ce n’est pas nécessaire de lui faire peur, une belle balle dans l’arrière du crâne et le tour est joué
Je te suis.
Suivant Sheva, et lui détaillant le corps de derrière de plus près, je sortis de la salle par la porte extérieure, nous traversâmes le parking avant de devoir traverser quelques rues avant de nous retrouver devant un bâtiment. Baissant la tête vers celle de ma partenaire, je lui dis.
Tu as intérêt à ce qu’il soit bien insonorisé, car lorsque j’en aurai finit avec toi, tu auras tellement crié que tes voisins eux-mêmes auront joui de t’entendre!
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Bingo! Il avait dit oui! Il était d'accord pour me suivre jusqu'à mon appart pour une nuit de débauche qui, je l'esperais, serai longue et intense. Je n'ai pourtant pas pu m'empêcher de lancer une petite pique, par pure provoc.
Au pire, tu pourra dire à ton copain de nous rejoindre. Il pourra t'épauler pour cette mission...
Puis je partis devant, sans attendre sa réponse, roulant ostensiblement des fesses à chaque pas, le pantalon de treillis me faisant une jolie croupe d'après ce que j'ai pu apprendre pendant mon temps à l'armée.
Je finis par l'amener chez moi et le fit entrer dans mon appart au dessus de l'atelier. Il ne fut pas non plus avare en remarques salaces, me faisant notamment comprendre que je risquais fort de me briser la voix durant nos ébats.
Ne t'inquiète pas mon mignon, j'ai l'habitude de me faire entendre et jusqu'à présent les voisins ne se sont jamais plaints. Par contre j'ignore s'ils n'entendent rien ou s'ils apprécient le spectacle. Fais pas gaffe au bordel chez moi, je suis loin d'être une pro du ménage.
Mon appart n'infirmait pas mes paroles. Des fringues qui trainaient partout, des ordis qui prenaient un max de place et leurs cables qui envahissaient le sol. Pas vraiment ce que l'on appelle une chambre de jeune femme modèle.
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Alors que j’entrai dans l’appartement, je pus rapidement constater qu’elle n’avait rien de très ordonné… Elle semblait même adorer le désordre. Quoique je m’en foutais un peu, beaucoup. Alors qu’elle avait trouvé une forme d’excuse pour les vêtements qui s’entassaient et qui partageaient le plancher avec des carcasses d’ordinateurs, elle me tourna le dos.
Une pro du ménage est ennuyante, mais toi, tu es intéressante… Très intéressante.
Je n’attendis pas plus pour plaquer mon torse contre son dos, glissant une main sous son chandail et lui caressant la poitrine par-dessus son soutient gorge. Mon autre main alla titiller son intimité dans ses pantalons, caressant le tissu de ses sous-vêtements et mes dents qui s’occupaient de se resserrer contre la peau de son cou.
Oh oui, je crois que je vais me plaire chez toi ce soir…
D’un petit rire, je recommençai mes petites attentions sur son cou, sentant mon calibre grossir de secondes en secondes…
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Je ne sais pas si ce mec sortait de taule ou si c'est moi qui lui faisait un tel effet mais il ne semblait pas vouloir perdre de temps et je n'allais pas m'en plaindre. J'aime les hommes directs et le problème quand on a mon physique et mon caractère, c'est qu'on attire surtout les homos refoulés et les soumis... Tout ce que je déteste quoi! Alors pour une fois que j'en trouvais un bien viril, je n'allais pas me priver.
Je m'abandonnais doucement à ses caresses, m'amusant de sentir une main au travers du soutif, moi qui n'en porte quasi jamais vu ma poitrine de gamine. Je frottais doucement mon bassin contre le sien afin de faire monter plus vite son envie et je feulais sous l'effet de ses dents dans mon cou
J'ai très envie de toi mon Chris, mais dis moi en quoi tu me trouves si interessante.
Mes yeux s'étaient clos et j'attendais cette dernière précision pour pouvoir m'abandonner totalement à ses envies.
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Alors que je sentais sa croupe venir caresser mon phallus qui, stimulé par la friction de quelque chose qui serait sien, grossissais de plus en plus, Sheva me demanda en quoi je pouvais bien la trouver intéressante. Elle ne s’en doutait pas, mais la réponse était plus qu’élémentaire. Eh oui, je ne l’avais pas choisie parce qu’elle semblait assez ouverte à l’idée, enfin, pas que pour ça.
Tu es intéressante, parce que tu ne ressembles pas à ce que tu es vraiment, tu ne réponds pas au stéréotype des filles qui aiment aller dans ce genre de conventions, tu sembles beaucoup moins gênée que les autres, plus ouverte aux hommes qu’aux bandes dessinées… Et, peut-être est-ce le personnage, mais ô combien plus sexy, mais étant donné que ce soit ton corps, je doute que ce soit un personnage que j’ai devant moi … Au fait, tu voudrais connaître mon nom, ou tu préfères crier Chris, cette nuit?
D’un petit rire, la main qui était sur sa poitrine se fit plus baladeuse, se frayant un chemin sous son sous-vêtement, le pouce et l’index maintenant prisonnier un des petits bouts de chair rose qui commençait à ressortir. Bien que je fantasmais un peu sur Sheva, je devais dire que j’aurais bien aimé savoir à quoi cette fille ressemblait dans la vraie vie, sans son costume… Peut-être serait-ce une fille que je n’aurais jamais osé approcher, qui sait? Mais pour le moment, j’aimais bien ce que j’entrevoyais de la soirée.
Tu sembles avoir une poitrine mignonne, ainsi qu’un corps de rêve…. Si tu me le montrais?
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Ses caresses m'excitaient de plus en plus, je voulais qu'il me prenne là, à même le sol, qu'il m'insulte et me fasse hurler. Mais il semblait deviner mes envies et prenait un certain plaisir à prendre son temps pour me frustrer et m'exciter encore plus.
Je me tournais pour lui faire face, lui collant la main sur le paquet que je massais lentement en le regardant dans les yeux.
Peu importe qui je suis ou qui tu es, on verra ça demain matin. Pour l'heure je suis Sheva, tu es Chris et je veux t'appartenir de toutes les manières possibles... Et pour ce qui est de mes fringues, ça casserai un peu le trip si je les enlevais, non? D'ailleurs je suis sure que tu crèves d'envie de te faire sucer par une militaire.
Sans détacher mon regard du sien je m'agenouillais, me retrouvant face à son entrejambe et commencait à défaire sa ceinture.
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Elle ne voulait pas savoir mon nom, et je me foutais pas mal du sien aussi d’ailleurs, elle n’était rien de plus qu’un bon coup, qui serait probablement remplacé demain. Mon petit sourire fut comme une approbation à ne pas dévoiler mon identité, ni à connaître la sienne, et peut-être que demain je saurais son nom, à moins que je ne restes pas assez longtemps pour le découvrir… Quoique je ne suis pas ce genre d’homme, qui déguerpit après avoir tiré sa semence.
Mmm… Ouais, ta proposition est plutôt tentante! T’es directe, j’adore ça! Je sens qu’on va passer une sacré belle nuit ensemble, Sheva!
Alors qu’elle était à genoux, devant moi, à détacher la ceinture et les pantalons, je posai une main sur l’arrière de sa tête, surtout pour avoir un appui quelconque. Pour le moment, j’allais la laisser aller, voir son degré d’expérience avec les verges, mais rien ne laissait croire que je n’allais pas prendre le contrôle du rythme après quelques minutes!
Un soupir de soulagement sortit de ma bouche alors qu’elle libérait le serpent, déjà bien droit, dur et fier, pointant le plafond. Comme je lui avais dit, je ne possédais pas une de ces grosses queues faisant plusieurs dizaines de centimètres, mais elle était de bonne taille, plus ‘’élancée’’ que la moyenne. Comme s’il s’agissait d’un automatisme, je fermai les yeux et balançai ma tête vers l’arrière, alors que je sentais le contact de la langue de la jeune femme contre mon phallus.
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Je le fixais toujours dans les yeux pendant que je finissais d'ouvrir son pantalon et que j'en extrayais le membre fier et dur que j'y trouvais. Baissant enfin les yeux dessus pour l'admirer je ne fut pas déçue, le garçon n'était pas vantard!
Je souris, la prenant bien dans ma main, et je plongeai à nouveau mon regard dans le sien pendant que mes lèvres se posait sur la longueur de l'engin pour l'embrasser, partant des testicules que j'effleurais délicatement et montant vers le gland. Mes baisers se faisaient plus appuyés, plus torrides, plus langoureux à mesure que je montais et une fois mes lèvres arrivées tout en haut, elle se refermèrent autour du gland que je gobais comme une petite fraise.
Ma langue en fit lentement le tour alors que j'observais mon partenaire attentivement, interessée par ses réactions.
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À chaque baiser que la ‘’militaire’’ faisait, une salve de sensations plus intenses les unes que les autres m’envahissaient, me laissant aller entre mes deux lèvres quelques petits soupirs de plaisir. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait ça, et elle était douée, cette fille. Alors qu’elle tournait la langue autour de ma partie sensible, qu’elle avait en bouche, j’avais tellement un grand plaisir que je ne me rappelais plus où j’étais. Le ‘’où’’ n’avait pas vraiment d’importance, seul le ‘’quoi’’ importait.
Les deux mains sur la tête de la jeune femme, je baissai mon visage vers le sien, un petit sourire aux lèvres.
T’es douée avec ta bouche! Tellement douée que je vais te laisser le contrôle du rythme encore quelques instants, ensuite, je vais établir le rythme!
D’un petit rire, je déplaçai une nouvelle fois mes mains gantées vers sa nuque, faisant un semblant de massage à celle-ci alors que la jeune femme continuait sa fellation si plaisante.
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Ce compliment me donnait envie de sourire, chose plutôt difficile quand une queue de belle taille visite votre bouche. Je décidais donc de le remercier en m'appliquant particulièrement. Je commençais de longues allées et venues sur ce membre dur comme de l'acier, avalant goulument chaque centimètre et en allant le plus loin possible afin de lui montrer que je n'étais réellement pas une noob dans ce domaine.
Après quelques va et viens je la fit sortir de ma bouche afin de ménager ma machoire. Un filet de bave me reliait encore au gland et je décidais de lui offrir un petit plaisir différent en descendant lui gober les testicules. Je les faisait délicatement jouer dans ma bouche, l'une après l'autre, pendant que ma main branlait vigoureusement sa queue afin qu'il ne perde rien de son excitation.
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Comme seule réaction à mon compliment, et aussi probablement parce qu’elle n’avait pas la possibilité de faire autre chose, ‘’Sheva’’ se mit à faire de longs allers et retours le long de ma verge, la prenant presque toute dans sa bouche, ce qui m’arrachait de longues plaintes par moment.
Cette sensation, à mon grand dam, s’estompa, alors qu’elle retirait mon engin de sa bouche, laissant une image assez excitante; la jeune femme reliée à mon corps à l’aide de sa salive. D’un petit sourire, je la regardai me branler avec sa main alors que sa bouche s’occupait de mes bourses, passant sa langue autour de chaque et les faisant rouler en bouche.
Avoues que tu l’aimes ma queue, hein Sheva! Tu dois vraiment t’imaginer en train de te faire baiser comme une chienne!
J’aimais bien être cru, parfois, pendant les ébats, ça ajoutait un peu de piquant à la situation et j’étais certain qu’elle aimerait aussi se faire traiter ainsi. Retirant sa main de ma hampe et son visage de mes testicules, je posai mes mains sur sa tête avant de la forcer à la prendre complètement en bouche, la faisant coulisser de la base jusqu’au bout du gland ses lèvres, lentement pendant un moment, puis je décidai d’accélérer légèrement, graduellement.
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Visiblement il aimait grandement ce que je lui faisait et j’espérais fortement qu'il me le rende bien. Je continuais à le branler et à étaler ma bave sur son sexe tout en goutant à ses testicules. Elles semblaient bien pleines, peut être assez pour plusieurs giclées cette nuit. J'allais faire tout mon possible pour qu'il crache jusqu'à sa dernière goutte de semence chaude.
Je l'entendis alors me parler et me faire de délicieuses promesses.
Avoues que tu l’aimes ma queue, hein Sheva! Tu dois vraiment t’imaginer en train de te faire baiser comme une chienne!
Je lui répondis avec un sourire radieux et des yeux pétillants d'envie.
T'as pas idée à quel point je veux ta queue tout au fond de moi et que tu me...
Je n'eut pas le temps de finir ma phrase qu'il me fit taire en m'enfoncant à nouveau ce délicieux pieu de chair au fond de la gorge, mais cette fois il ne me laissait plus mener la danse et m'imposait son rythme à renfort de coups de reins de plus en plus vigoureux. Les choses devenaient enfin comme je l'esperais depuis le début de cette soirée...
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C’a avait été une question plutôt rhétorique, je ne m’attendais pas vraiment à ce qu’elle ne me réponde, mais elle l’avait fait, me prouvant que le plaisir que j’éprouvais, et l’anticipation que j’avais face aux prochaines actions pendant la nuit, qui serait très certainement mouvementé. Continuant à ramoner sa bouche à grands coups de reins, je laissais aller des longues plaintes, mêlée avec des jurons, comme pour accentuer la preuve que j’adorais ça. Elle semblait aussi aimer se faire traiter ainsi, être soumise à son partenaire, et de ce que je pouvais constater de ses actions, elle n’avait pas l’habitude de se faire dominer, mais aimerait beaucoup en avoir l’habitude, donc aussi bien lui faire cette ‘’ fleur’’ non?
Je sentais que j’allais jouir, ça devenait même imminent comme réaction. Mais je ne pouvais pas me résoudre à perdre une de mes éjaculations. Peut-être pourrais-je venir quatre fois, mais je voulais qu’elles durent le plus longtemps possible, c’est pourquoi je me retirai, forçant la jeune femme à me regarder en tirant sa nuque vers l’arrière.
J’étais sur le point de jouir, mais je ne veux pas gaspiller ma semence en aussi peu de temps…
À ce moment, je me penchai pour me retrouver à sa hauteur, approchant mon visage, un léger sourire malicieux aux lèvres, du sien.
Alors on va passer aux choses sérieuses…
À peine avais-je terminé ma phrase que je plaquai mes lèvres contre les siennes, m’appropriant sa langue à l’aide de la mienne, tout en plongeant ma main dans ses pantalons et sous-vêtements, caressant son intimité avec vigueur.
Je n’aimais pas trop le goût amer qu’elle avait dans la bouche, mais savoir que c’était mon goût était moins pire que de savoir que c’était quelqu’un d’autre qui aurait passé par là…
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Alors comme ça il avait failli jouir... C'est toujours plaisant à entendre, que l'on donne beaucoup de plaisir à un homme. Même si j'avais très envie de boire une bonne giclée de sperme chaud, c'est vrai qu'il aurait été dommage qu'il jouisse si vite, sans même avoir pénétré autre chose que ma bouche. Surtout qu'un tel engin, avec de si belles dimensions, est surement apte à faire grimper aux rideaux n'importe quelle nana, même une qui n'a peur de rien...
Mmmm et voilà qu'il m'embrasse! Mais il est décidemment très bien ce garçon! S'il me fait prendre mon pied je pense que je lui donnerai mon numéro avant qu'il parte. Un homme qui n'a pas peur de mettre sa langue là où a trainé sa queue est généralement un mec bien.
Les caresses qu'il administrait à mon sexe, déjà ouvert et bien humide par la faute de ces préliminaires, me firent pousser de petits gémissements, lui montrant que j'en voulais plus.
Alors Chris, tu veux vérifier si je crie si fort que je te l'ai dit? C'est pas très compliqué tu sais...
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T’inquiète pas, Sheva, je vais te faire grimper aux rideaux... Mais le temps n’est pas encore venu! Je veux premièrement savoir ce que tu goûtes…
Mes deux mains s’afféraient alors à déboutonner et retirer les shorts et ses sous-vêtements, laissant apparaître une intimité rose et déjà dégoulinante de plaisir. D’un petit sourire, je descendis mon visage, partant du sien pour me retrouver entre ses jambes. Levant les yeux vers la jeune femme, un brin de plaisir pouvait se lire dans ceux-ci. Déposant quelques baisers, mêlés à des mordillements, sur l’intérieur de ses cuisses, je commençai ma besogne, plaquant ma bouche contre ses lèvres inférieures, laissant ma langue caresser les parois internes, m’arrêtant parfois pour jouer avec son clitoris, le suçotant, l’enduisant de salive, déjà mélangée avec sa cyprine.
L’envie de mettre mon gourdin en elle devenait de plus en plus fort… Et au final je ne pus y résister. Remontant au niveau de la jeune femme, je passai mes bras autour de sa taille avant de la soulever, mon membre caressait déjà son antre chaude et humide. Plaquant la jeune femme contre un de ses murs, je posai une main à sa gorge sans trop serrer, avant de glisser à son oreille
Alors? Je suis sûr que tu es déjà prête à me recevoir… Je n’attendrai pas un instant de plus!
Glissant mon membre dans son intimité, dilatant ses parois, je poussai un léger soupir de satisfaction, alors que je prenais un rythme répété et rapide. Je savais que la douceur ne mènerait à rien, alors aussi bien y aller fort en commençant!
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Ce que je goute? C'était bien la première fois que j'entendais cette expression, il n'était probablement pas de la région mais peu importe... Sa langue me faisait déjà grimper au ciel et pousser des gémissements d'extase. Je m'aggripais à ses cheveux pour le coller tout contre mon intimité et lui montrer à quel point j'appréciais sa façon de me fouiller, de me manger.
Oooooh oui...mange moi bien Chris chéri, tu fais ça si bien!
Ma main maintenait sa pression sur sa tête mais il était bien plus costaud que moi, ce dont je n'allais surement pas me plaindre et il me repoussa sans grand effort pour venir me plaquer au mur, tel une bête en furie avant de me pénétrer avec force, m'arrachant un premier cri de plaisir que j'étouffais vite par un baiser passionné et langoureux.
Quel mec décidemment! J'allais pas le laisser partir celui là!
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Bon sang, ce qu’elle pouvait être bonne! Les cris que cette inconnue poussait me donnaient l’envie de la prendre encore plus sauvagement, rapidement. Les fois ou elle se taisait pour m’embrasser, on pouvait entendre mes hanches taper contre l’intérieur de ses cuisses…Un petit bruit de tapement qui, je ne saurais par contre dire pour elle, m’excitait au plus haut point. J’avais même du mal à me contenir pour ne pas me joindre aux festivités buccales de Sheva, grognant à presque chaque coup de reins, certains gémissements arrivant cependant à passer entre mes dents.
Alors que mon dard faisait ses allées et venus dans son intimité, rapide et sans relâche, mes mains lâchèrent la partie du corps à laquelle elles étaient occupés, à savoir une serrant les cheveux de la demoiselle tandis que l’autre glissait dans son dos, elles allèrent s’agripper contre ses fesses, les empoignant dans une manière à l’image de la soirée; loin d’être douce.
Alors Sheva, ma petite salope adorée, tu aimes que ma queue visite ta chatte de cette manière, hein? Je sais que tu aimes, même adore, mais je veux te l’entendre dire… Je… Je vais venir bientôt! Tu veux que je te remplisse ou que je te couvre?
Trop souvent j’avais dû endurer les cris de douleur, de terreur et les larmes pendant un échange avec aussi peu d’émotion…Voir une femme adorer ce genre de traitement… Je pourrais très bien prendre goût à cette fille, même si ce ne sera peut-être pas du cosplay la prochaine fois…
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Je ne sais pas si je suis folle ou maso, ou quoi que ce soit d'autre, peu importe le terme, mais un mec qui me parle si mal, qui me prend avec force, sans aucun égard pour moi, ça me fait toujours un effet monstre et j'en redemande...
Sa grosse queue coulissait sans souci en moi malgré mon petit gabarit, la tonne de bave que j'y ai déposé et mon sexe dégoulinant n'y étaient pas pour rien. Je me pâmais de plaisir dans ses bras, prise avec force contre le mur, comme pour un viol.... viol où la victime serait très très consentante et en redemanderai encore et encore! Son corps musclé m'écrasait tandis que j'enroulais sa taille de mes cuisses pour faciliter la chose, et aussi pour lui faire comprendre que je voulais qu'il reste en moi. Le bruit de nos chairs qui claquaient l'une contre l'autre montrait bien la puissance bestiale de cet accouplement quasi-divin. Je n'ai jamais aimé la douceur, je laisse ça à ces pauvres connes romantiques. Mon truc c'est la bestialité et ce soir j'étais servie, surtout qu'il me demandait de me rabaisser en avouant ce que je ressentais.
Oui Chris, j'aime trop que tu me ramones la chatte bien fort! Je suis ta salope Chris! Ta pute! Prends moi encore! Encooooore!
Je me serrais de toutes mes forces contre lui, lui montrant bien à quel point j'aimais ce traitement et je vins même lui mordre l'épaule alors que je sentais un premier orgasme poindre en moi. Il eu la délicatesse de me demander où je voulais recevoir sa giclée, j'aurai préferé qu'il décide de lui même, qu'il ne me traite que comme un trou destiné à le vider pour toute la nuit mais je lui répondais quand même tout en lui mordillant le lobe de l'oreille.
Je te veux...sur mon ventre cette fois.... et si tu en es capable, prends moi ensuite à quatre pattes, comme je le mérite....dans mon petit trou.
J'espérais de tout mon coeur qu'il n'était pas un de ces cons qui refusent la sodomie par respect pour les femmes...
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Alors que je m’approchais de l’extase, je sortis mon membre de son antre chaude, me permettant ainsi de jouir sur son estomac, l’endroit ou ‘’ elle me voulait’’, dans un long gémissement. Elle m’avait aussi proposé de la prendre en levrette, comme une chienne, et la sodomiser… Ce qui m’énerva un peu, c’est qu’elle me demanda si j’en serais capable…
Tu ne disais pas être ma pute? Tu dois te plier à ce que je te demande, Sheva… Mais j’aime bien ton idée! Et tu vas voir que j’en suis capable.
La reposant au sol, je lui laissai le temps de se placer à quatre pattes, le derrière bien en l’air, avant de venir m’installer au dessus d’elle. Plaquant le dos de ma queue contre la raie de la jeune femme, je passai mon bras droit autour de sa taille avant de caresser son clitoris de mes doigts.
Pour l’instant, ma queue n’est pas entièrement remise de l’éjaculation et elle a besoin d’un peu d’aide…bouge tes anches de haut en bas, et bientôt tu te feras défoncer comme tu le souhaites.
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Une belle giclée, chaude et épaisse, se déversait sur mon ventre tandis que je regardais mon bel inconnu se pamer de plaisir grâce à moi. Je ne me suis pas privée pour aussitôt jouer avec, l'étalant sur mon ventre et le ramassant pour l'avaler. J'aime réellement le sperme, depuis ma première fois et je faisais ça par pur plaisir, pas pour l'exciter, ou alors juste un peu.
Il me retournait sans ménagement et m'insultait à nouveau pendant que je suçait mes doigts. Ses paroles me firent rougir de plaisir, telle une gentille collégienne qui recevait la meilleure note de sa classe. Il souhaitait désormais que je le chauffe pour le remettre en forme, j'allais donc m'y mettre de tout mon coeur. Mon coeur qui me semblait bien battre pour cette magnifique queue.
Je commençais un va et vient langoureux pour que sa bite glisse le long de ma raie culière, tout en enfonçant deux doigts couverts de son sperme au fond de mon sexe qui dégoulinait toujours. Les bruits humides qui en émanaient n'allaient surement pas le laisser indifférent.
Je suis qu'une sale pute Chris, je veux ta queue... Je l'aime et je ferai tout ce que tu voudra pour que tu me baises à nouveau. Défonces moi mon chéri...par pitié!
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Sans ménagement, je glissai ma main à sa gorge, avant de la forcer à lever sa tête, pour accoter l’arrière de celle-ci contre mon épaule. Léchant son cou de toute sa longueur, en partant du bas jusqu’en haut, je lui murmurai à l’oreille.
T’es pas qu’une simple pute, t’es Ma pute, Sheva… Je vais te défoncer, aussi bien que personne ne pourra jamais t’apporter le plaisir que tu mérites tant…
Ma main droite parcourut alors le corps entier de la jeune femme, avant d’entrecroiser mes doigts aux siens, tout en continuant de la caresser avec elle…
J’étais redevenu dur, tellement dur qu’elle m’en faisait presque mal; mais j’avais quelque chose pour me soulager… C’était loin d’être fini et, pour être honnête, je savais déjà que c’était la meilleure soirée que j’avais passé avec une femme…
Je relâchai un court moment la gorge de ma partenaire pour orienter mon barreau de chair dans l’étroit passage dans lequel il devrait faire son chemin. Une fois bien installé à l’intérieur, sans oublier les petits gémissements et grognements de plaisir de notre part, ma main gauche retourna à sa place; entourant son petit cou frêle.
Mmm… Sheva, tes fesses sont si douces qu’elles auraient pu me faire jouir toutes seules, mais ton cul va me rendre complètement fou, tellement il est bon!
D’un coup, je me mis à battre des reins, créant une rapide série de bruit de ‘’fap’’, créés par mes anches contre ses fesses, alors que mes doigts s’activaient plus rapidement contre son intimité, forçant même parfois les lèvres pour caresser les parois, avec une délicieuse avidité.
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Sa queue était....magique! Il n'y avait pas d'autres mots. En plus d'en avoir une belle, il savait s'en servir comme un dieu et me faisait exactement ce que j'aime. Ses insultes et ses promesses me faisaient encore plus rougir, et je savais qu'il ne mentait pas en disant que personne ne me baiserai comme lui.
Le fait qu'il prenne ma main pour m'aider à me caresser ajoutait comme une goutte de tendresse dans cet océan de débauche dans lequel nous nagions. J'en venais même à me demander s'il ne craquait pas pour moi...
Il me fit me rabaisser, comme une bonne petite soumise, et je me sentais vraiment heureuse. J'aurai fait n'importe quoi pour que ce mec reste ici et me saute aussi souvent qu'il le voudrait. Je le sentis s'introduire lentement dans mon petit trou, m'envahissant et me faisant pousser un long gémissement rauque à mesure que mon anneau enserrait son membre.
Il me manipulait telle une poupée juste vouée à son plaisir et se mit à me labourer rapidement, avec force. Chacun de ses assauts me faisait sursauter, et je sentais tant de force en lui qu'il aurai surement pu me porter sans souci pour me défoncer debout, surtout avec mon petit corps d’éternelle adolescente.
Des larmes de douleur et de joie se mirent à couler le long de mes joues, à mesure qu'il me prennait telle une chienne immonde et je devais faire des efforts surhumains pour ne pas hurler mon plaisir...
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Chaque coup de bassin déclenchait en moi une série de sensations, toutes plus agréables les unes que les autres, alors que mon membre coulissait dans le derrière de Sheeva… De ma main toujours libre, je l’attrapai par la gorge avant de la forcer à lever la tête, l’appuyant contre mon épaule. Posant mes canines contre le lob de son oreille, je murmurai :
Tu m’avais promis que j’allais pouvoir t’entendre crier ton plaisir?... Mais on dirait que tu fais de gros efforts pour ne pas le faire! Aurais-tu honte de ce que tes voisins pourraient penser, Sheeva?
D’un coup, je la soulevai, ce n’était pas comme si elle était lourde non plus, avant de la plaquer contre un mur. Tout les deux debout, elle le visage, les mains et le buste collé contre le mur froid, je continuais inlassablement de lui labourer l’anus, les deux mains désormais sur ses hanches, poussant un grognement à chaque fois que mon membre rentrait plus profondément en elle.
Soudain, je me sentis plus libéré, poussant un gémissement, signe que ma semence blanche venait de souiller l’intérieur de la jeune femme à nouveau. Je restai quelques instants comme ça alors que je pris sa tête dans mes mains, avant de la poser sur mon épaule et l’embrasser, encore une fois sans grande tendresse.
Je dois bien reconnaître que je ne m’attendais pas à ce que ce soit bon comme ça!