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(http://img4.hostingpics.net/pics/582431JustinLaw1.png)
Que la vie pouvait parfois être monotone! Justin était arrivé au Japon depuis quelques semaines qu'il commençait déjà à trouvé le temps long. En effet, ce jeune homme âgée de vingt-quatre ans était européen à l'origine, originaire d'Allemagne plus exactement. Et sous l'ordre de son maître, il doit resté sur Terre et mené à bien sa mission. Cela ne le dérangeait pas, les peu de fois ou il avait été sur Terra, ce n'était pas si génial que ça. Non pas que la malchance l'avait accompagné mais il ne pourrait ce faire à cette vie ou d'étrange créature peuple ce monde. Les vampires, les loup-Garous, les dieux aussi! Enfin, les soit disant dieux plutôt! Car Justin n'avait que pour seule maître et dieu son seigneur vénérer, Till. Difficile de croire que cette homme d'église sur Terre se fiche totalement de dieu ou du Jésus Christ. Devant les autres prêtes ou hommes d'église, il ne le disait pas et jouait un double jeux. Mais en solo, seul Till restait son sauveur.
Une journée des plus classique avait défilé, peu de personnes était venue à la chapelle, même pas pour demandé un renseignement. Du coup, on ne pouvait dire que la journée eu été des meilleurs. Même pas l'occasion de mené à bien sa mission! Quel sacrilège! Il aurait très bien pu habité sur son lieu de travail mais à cause de ses étranges activité, il pouvait s'exposer au danger à tout moment. L'hôtel était plus sympathique, du moment que l'on paye la chambre, il n'en demande pas plus. Ses étranges activité (pour les autres) ne sont que de banal activité pour Justin mais ce n'est pas le lieu et le moment pour ça. Toujours habillé de la même façon, c'est très rare de la voir avec autre que son costume officiel.
Un petit chapeau sur la tête, une soutane à la seule différence qu'une parti central et plus gris que le reste de sa tenue peux se détaché. Sur ses épaules étaient posé un col plutôt long descendant à mi-torse. (désolé, je ne connait pas le nom des vêtement de curé ^^) Sur ses manches se trouvait deux croix à l'envers. Ses supérieur le laissait faire car il disait comme prétexte que c'était pour donné un coup de jeune à l'église afin d'attirer quelques agneaux égaré. C'est pour ça que son look plus étranges que les autres prêtres était autorisé. Il en avait d'ailleurs un très long exposé dessus pour convaincre que ça tenue n'avait rien de blasphématoire ou autre truc idiot. La seule chose qui changeait entre maintenant et lorsqu'il 'travail' était sa croix autour du coup. Une croix ordinaire au travail, bien évidement! Et cette chaleur! Difficile de se croire au Japon! Alors que l'ennuie le guettait, c'était à lui de veiller sur l'église chrétienne de l'église pendant que ses confrère de l'église était partit faire une course en ville et d'autre... autre part! Il ignorait ou mais ce n'était pas le plus important.
Pour le moment, autant profiter du beau temps, debout devant les portes de son église avec un petit éventail à la main, il observait les gens qui se baladait dans la rue, les petits couples, les bandes d'amis, les personnes seuls. Il y avait de tout, mais personne qui rentrait dans cette église! Que quelqu'un vienne l'aider à faire passer le temps! Soudain, il vit une jeune fille aux cheveux assez court mais très mignonne, elle semblait... innocente, oui, c'était bien le mot. Pile ce qu'il préfère! Faudrait il encore réussir à l'attirer à lui...
« Bonjours jeune fille, comment allez vous aujourd'hui? Vous profiter du beau temps? »
C'est ridicule n'est-ce pas? Mais digne d'un homme d'église aussi? Bon, il faisait bien son boulot alors! Allait elle l'ignorer ou parler un peu avec Justin.
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Aujourd’hui était un jour spécial pour la jeune Fukô, elle avait décidé de se rendre dans une église. Vous vous demandez en quoi ce jour pouvait être spécial, n'était elle pas une création de Dieux et de ce fait n'allait elle pas régulièrement à l'église ? Vous n'auriez pas tord,sauf sur un point, Fukô n'était jamais allé dans une église, elle n'en avait jamais trouvé l'intérêt en effet à quoi bon aller dans un tel lieu pour discuter avec Dieux, lorsqu'on est l'hôte d'un ange. De plus si la jeune femme avait décidé de se rendre à l'église, cela n'avait rien à voir avec Gabrielle, son alter égo, la raison était de la curiosité, juste de la curiosité. La jeune femme venait d'étudier l'histoire de "son pays" et après avoir visiter un temple Shintoïste, elle voulait visiter un église chrétienne.
La journée s'annonçait ensoleillée et Fukô avait donc opté pour une jupe en jeans lui arrivant à mi-cuisse, une petite chemise blanche, une petite veste elle aussi en jeans. Sachant que sa chemise blanche était assez légère, elle avait opté pour d'innocents sous-vêtement en coton blanc, ce qui évitait au soutien gorge d'être perceptible par transparence.
Fukô portait sur son visage cet aire assez détaché, qui pouvait la rendre bizarre aux yeux des personnes qu'elle croisait. D’ailleurs ce comportement lui avait permis d'échapper à une tentative de séduction de la part d'un jeune homme dans le métro. D'ailleurs Fukô serait bien incapable de se rappeler du jeune homme en question, si ce n'était qu'il portait un anneau sur sa lèvre inférieure.
Une fois arrivée à la gare de Seikusu, Fukô avait décidé de marcher et de ne pas prendre le bus. L'église ne se trouvait pas bien loin et puis elle ne voulait pas se trouver coller à d'autres corps sous cette chaleur, le métro lui avait suffit. La jeune fille s'était arrêtée à une boulangerie et y avait pris une pâtisserie et une bouteille d'eau. Depuis qu'elle était sur terre, Fukô était devenu presque accro aux pâtisseries, et n'ayant pas à se soucier de sa ligne la jeune femme en profitait un peu. D'ailleurs elle n'avait pas terminé celle acheté à la boulangerie lorsqu'elle arriva devant les marches menant au parvis de l'église. De nombreuses personnes passaient devant, mais aucune ne semblaient faire attention au jeune prêtre qui se trouvait sur le parvis de cette dernière. Alors que Fukô observait le comportement des gens, elle entendit le jeune prêtre l'interpellé. Fukô posa sur ce dernier un regard assez neutre, mais un léger sourire des plus sincères apparut sur son visage. Fukô gravit les quelques marches qui la séparait du jeune prêtre afin de pouvoir lui répondre.
- Bonjour mon père, je vais bien merci. Sinon je dois reconnaitre que je ne m'attendais pas à une telle chaleur .... je ne la trouve pas des plus agréable.
Fukô semblait prendre plaisir à parler avec le jeune prêtre, du moins être intéressé par ce dernier. Comportement assez rare chez la jeune femme pour être signalé, mais pouvant s'expliquer par la présence d'un ange en elle.
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Justin était donc devant son église et observait les gens qui passait, rare était ceux qui daignait le regarder lui ou l'église derrière lui. Il n'y avait pas beaucoup de chrétiens au Japon mais il fallait quand même être présent pour les peux de personne qui avait foi en Jesus Christ. Enfin, pour le jeune prêtre, Jesus était un personnage comme un autre, plus ou moins important mais le fait qu'il soit homme d'église l'obligeait à la « vénérer » devant les autres. En effet, cela est juste pour sa couverture qu'il se dit prêtre au service de dieu. Son seul dieu étant Till, le reste lui importe peu! Sa mission lui avait été dicté par Till lui-même et donc, sa mission divine – comme il la nommait – devait se passer du mieux qu'il le pouvait! Qu'importe s'il doit y passer beaucoup de temps dessus! La jeune femme qu'il venait d'interpeller semblait justement se diriger vers l'église. Quel jour béni par le seigneur! Comme s'il lui facilitait la tâche. Faisant un peu de vent pour lui avec son éventail, il continuait de sourire à la demoiselle qui c'était montré aimable en lui répondant.
« En effet, je doit avoué que la chaleur n'est pas ma saison préférer, surtout lorsque c'est trop élevée. »
Discution banal mais qui lui était fort utile pour installer un peu de confiance entre ce prêtre et cette ravissante demoiselle. Un sourire sincère sur les lèvres, comme toute personne aimable avec les autres, il observait un peu plus la jeune femme aux allures innocente. Jupe à mi cuisse, petite veste en jean, petite chemise en dessous, il ignorait que ses sous vêtements était blanc maculée mais il serait près à parier la-dessus. Des dessous en dentelle blanche, ça serait la cerise sur le gâteau ça! Mais l'heure n'était pas à ça pour le moment. Elle dégageait un air innocent, on pourrait même dire un ange, un ange descendu sur terre! Enfin, qu'elle soit humaine, ange ou démon, ça lui importait peu du moment que cette jolie jeune femme garde son apparence actuel et qu'elle si... sage. Continuant de bouger sa main de façon régulière pour se faire un peu de vent par ce soleil, il reprit en gardant son sourire et son air angélique, lui aussi.
« Qu'est-ce qui vous amène ici mon enfant? Je peux vous être utile? »
Qu'elle vienne pour un simple renseignement ou autre, il devait tout faire pour la faire entré, il avait l'église pour lui tout seul en cet après midi et il comptait bien l'utiliser pour lui et pour elle aussi. Qui pourrait croire que derrière ce prêtre qui à l'air tiré du manuel du bon prêtre ce cache en réalité un type encore plus sombre que ceux en prison à perpétuité? Et oui, un sourire pouvait sembler être sincère mais il pouvait aussi être factice, un bon moyen de tromper bon nombre de gens, cela l'avait bien aider d'ailleurs à commettre bon nombre de crime. Apparence trompeuse? Oui, accorder sa confiance à un homme d'église ou de religion pouvait être bon car ils étaient toujours un bon moyen de se remonter le moral grâce à leurs conseil ou pour apaiser sa conscience mais Justin n'était pas réellement comme les autres. Son culte est bien différent des autres mais il comptait bien endormir le peu de méfiance – si toutefois elle en avait – de la jeune femme.
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Le jeune prêtre semblait des plus ravi de trouver une personne qui semblait s’intéresser à lui. Fukô devait reconnaitre que la religion chrétienne n'était pas la religion majeur de ce pays, mais il était dommage que les japonais ne montrent pas plus d’intérêt, si ce n'est pour la religion, mais pour l'histoire de celle-ci après tout elle avait forgé l'histoire de plusieurs nations. Fukô n'était pas Gabrielle et se moquait quelque peu de la religion, elle savait que Dieux existait, vu qu'il l'avait créé, mais c'était la seule chose qu'elle connaissait de lui. Ceci expliquait la raison pour laquelle la jeune femme avait décidé d'aller à la rencontre du jeune prêtre, ce dernier devait surement pouvoir l'éclairer sur Dieux et ce qu'il représentait. D'ailleurs elle n'eut pas à demandait quoi que ce soit au prêtre, ce dernier ce proposant de l'aider si elle en avait besoin.
- En effet, je m’intéresse à la religion chrétienne et je me demandais si vous pourriez m'éclairer sur celle-ci.
Fukô ne montrait aucun signe de suspicion ou de méfiance à l'encontre du jeune prêtre, de plus quelque chose au fond d'elle la poussait à faire confiance aux homme d'églises. Afin de se protéger de l'effet de la chaleur, Fukô se dirigea vers l'intérieure de l'église puis se rendant compte de son geste s’arrêta.
- Désolé, mais je n'ai put résister à la fraicheur qui se dégage de l'intérieure de l'église.
Fukô ne montrait pas particulièrement de signe de gène ou honte, mais elle avait quelque peu baissé le regard en s'excusant.
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L'homme d'église continuait de jouer parfaitement son rôle, gentil, souriant, poli, bref, du grand art! En même temps, il n'avait aucune raison de son montré méchant avec cette jeune femme pour le moment, elle était toute aussi charmante que lui. Et cet air innocente et pleine de vie, il n'allait pas tenir longtemps, ça c'est sur! Mais pour le moment, rien n'était gagner donc autant jouer la carte du gentil prêtre le temps qu'il puisse mettre son plan à exécution. Ce dernier lui demandait s'il pouvait lui être utile et en effet, cette jeune femme s'intéressait à la religion chrétienne et voulait savoir s'il était qu'il l'éclaire sur ce sujet? Justin riait mentalement, tout semblait jouer en sa faveur, il fallait remercier le seigneur pour ça, oui le seigneur Till bien évidemment. Quels dieu irait soutenir un taré comme Justin?
« Bien sur mon enfant, je suis là aussi pour ça. Si seulement les jeunes de nos jour serais si curieux que vous, ça serais plus pratique pour notre église. »
A peine sa phrase fini que la demoiselle se dirigeait vers l'église en s'excusant de déjà y entré mais la fraicheur y était si agréable. Ce n'était pas faux en même temps! Halala, ce petit air tout mignon qu'elle avait en s'excusant, cette jeune femme était un véritable ange tomber du ciel! Le jeune homme gardait le sourire en riant un peu, tout en avançant vers elle, il lui faisait signe de la main d'entré dans la demeure du seigneur.
« Vous n'avez pas à vous excuser, le Seigneur accepte tout le monde dans sa demeure, les fidèles comme les pécheurs! Bien sur, si ses derniers sont venue pour se confesser... »
Il l'invita donc à rejoindre l'intérieur de l'église et ferma la porte doucement derrière lui. Maintenant qu'il était à l'intérieur, il n'avait pas besoin de laisser ça ouvert. Ça ne serait pas étonnant de voir personne d'autre y entré dans la journée. Avançant en compagnie de la demoiselle dans la longue allée entre les bancs, il joignit ses mains dans son dos en lui demandant quelques précisions sur ce qu'elle désirait.
« Bien, que voulez-vous donc savoir à propos de la religions chrétienne mon enfant? »
Même lui trouvait ça bizarre de nommer les autres mon fils, ma fille, mon enfant surtout qu'il n'avait que vingt-quatre ans et cette demoiselle devait avoir autour de dix-huit ans mais qu'importe. Il s'y était fait après tout et il jouait merveilleusement bien son rôle à présent. Avant même qu'elle puisse y répondre, il lui proposa autre chose.
« Au fait, voulez-vous quelques choses à boire? Nous n'avons que de l'eau mais c'est toujours mieux que rien, surtout par cette chaleur. »
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Fukô suivit l'invitation du jeune prêtre et passa le seuil de l'église. La bâtiment était frais et Fukô se sentit tout de suite mieux, on pouvait constater que l'intérieur de l'église était joliment décorée, avec des statue et des vitraux aux multiples couleurs. Fukô ne prêta nul attention à la fermeture de la porte et puis en faisant cela, le prêtre gardait la fraicheur à l'intérieur de l'église.
Lorsque le jeune prêtre lui demanda sur quel sujet, elle désirait des informations, Fukô fut quelque peu embarrassée. La jeune femme n'avait pas réellement réfléchit à ce qu'elle désirait connaitre sur cette religion qui servait son créateur. Mais la proposition du jeune prêtre concernant la possibilité de se désaltérer offrit à Fukô un échappatoire momentané.
- De l'eau sera très bien, et puis il n'y a rien de mieux pour se désaltérer.
Tout en disant ses mots, Fukô s'avança dans l'église observant les bancs parfaitement alignés. Ils n'avaient rien de confortable et Fukô se demandait si cela était fait exprès. La jeune femme compter sur le laps de temps qu'il faudrait au prêtre pour aller chercher de l'eau afin de réfléchir à ces questions. En attendant, Fukô alla s'assoir sur le premier banc, face à l'autel admirant la richesse du travail. Le retour du prêtre la sortit de son observation et ce fut avec un sourire reconnaissant que Fukô accepta l'eau offerte.
- Est ce que le Christ était un ange ?
Fukô avait posé sa question du but en blanc, sans même prendre le temps de boire une gorgée.
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Justin accepta que la jeune demoiselle rentre dans l'église, le fait qu'elle accepte si facilement à cause des informations qu'elle recherche lui facilitait la tâche. Il ferma ensuite simplement les porte de son église, sans fermer à clé sinon, ça serait suspect. Il est vrai qu'à cause de ça, c'était aussi plus frais à l'intérieur puisque la chaleur n'y rentrait pas. Il la laissait observer l'intérieur de la maison de dieu, l'allée bien droite, les banc bien parallèle, les vitraux de couleurs plutôt vif bien propre. Il pouvait quand même être fier du travail qui était effectuer ici. Que ce soit lui ou un des autres prêtre, ils faisaient vraiment tout pour que cette endroit reste propre même s'il n'y avait pas foule. On pouvait dire que Justin prenait son rôle au sérieux au moins, un prêtre qui fait attention à l'église dans laquel il travail. L'européen proposa ensuite un verre d'eau à la jeune demoiselle, non pas par bonté mais par ce qu'il avait une idée derrière la tête. Cette dernière accepta poliment et il ne lui répondit que par un sourire.
En allant dans l'arrière de l'église, il versa l'eau de sa carafe bien fraiche sortit du frigo. C'était de l'eau normale, bien fraiche, il y versa juste un petit quelques chose en plus. Il sortit de sa soutane une petite boite pas plus grosse qu'un tube d'aspirine. Il versa la capsule qui se dissolvait dans l'eau et qui disparaissait rapidement. Quel était ce petit cadeau en plus? Du G.H.B., plus connue comme étant qualifier de la drogue du violeur. Cela dure une petite heure environ, cela dépend de la dose aussi mais lorsque la victime reprend conscience, elle ne se souvient plus de rien. Idéal pour lui surtout que celle-ci n'avait aucun goût et ne laissait aucune trace dans l'eau. Cette nouvelle version, surement amélioré par une méthode quelconque ne fonctionnait pas comme un somnifère normale puisque la victime est consciente mais seulement un peu affaiblie et c'est seulement après une petite heure qu'elle perd la mémoire de cette dernière heure. Après ça restera une journée ou deux dans son sang mais il s'en fichait puisqu'il savait qu'il ne sera pas soupçonner. Une fois de retour, il retrouva sa future victime assise sur les premier bancs, face à l'autel et une fois le verre en main, elle lui posa déjà la première question à propos du christianisme.
Le christ, un ange? De quoi parlait elle? Un ange tout simple comme on voit dans le monde réel, c'est à dire les petits chérubins avec des ailes dans le dos? Ou bien connaissait elle l'existence des démons et anges de Terra? Lui même n'en avait jamais vu même si selon quelques rumeurs, il y en aurait dans l'organisation dans lequel il était. Pour le démon, facile à deviner qui c'était mais l'ange? Une femme, c'est sur mais laquel? Quoi qu'il en soit, il devait répondre à sa question.
« Hum cela peu dépendre des opinions des gens. Le Christ est né du créateur et de la vierge Marie. Donc, il est un demi dieu déjà. Après, peu on qualifier ça d'ange? Après, les anges restent des êtres pur n'ayant commis aucun pécher selon moi. Bien que Jésus soit mort pour nos péchés, je ne pense pas que cela peu être retenu contre lui. Je pense que chaque personne à son opinion. Si vous penser qu'il est un ange, c'est votre droit. Personnellement, je le vois comme un véritable dieu bien qu'il n'en ai que la moitié. »
Il fallait attendre qu'elle boive un peu d'eau mais le mieux serait qu'elle le vide, ensuite, elle se sentira un peu plus fatigué, plus faible mais c'est à ce moment-là qu'il agira. Pas de violence cette fois-ci, que de la douceur, dans un premier temps...
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La réponse du jeune prêtre laissa la jeune étudiante quelque sur sa faim, mais que devait elle attendre comme réponse. Le verre d'eau était frais dans les mains de la jeune femme, qui en but une gorgée, avant de se mettre à réfléchir. Fukô se décida pour une nouvelle question concernant toujours le Christ, du moins son sacrifice.
- Si le Christ s'est sacrifié pour les pêches des hommes, cela veut il dire que tous les hommes sont pardonnés ?
Fukô but une nouvelle gorgée, puis une autre en attendant la réponse du jeune prêtre. la jeune femme observait le jeune homme attendant patiemment que ce dernier réponde. Fukô sentit une certaine langueur la gagner, elle vida son verre espérant que cette eau fraiche allait la réveiller quelque peu. Mais ce fut l'inverse qui se produisit, cette langueur devenait de plus en plus présente et puissante en elle. La jeune femme sentit son verre lui glisser de la main, elle parvint à éviter qu'il ne tombe et le présenta au jeune prêtre.
- Je suis désolé, je ne me sent pas très bien ...
Fukô ne pouvait pas imaginer ce que cet homme lui avait fait boire, ni ce qui l'attendait. Fukô portait sur l'homme son regard neutre quelque peu perdu. Fukô essaya de se lever et faillit renverser le banc en voulant s'appuyer sur ce dernier, à cause de cette langueur, Fukô avait eu du mal à contrôler sa force sur le moment.
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Justin avait donc répondu à sa première question, est-ce que le Christ est un ange? Comme il avait expliquer, cela dépendait du point de vue de la personne mais réellement, il se fichait de ce type qui disait être le fils de dieu et qui avait fini cloué sur une croix. Pauvre homme quand même. Elle pouvait lui poser la question qu'elle voulait, malgré qu'il joue un double jeux, il restait incollable sur le sujet et n'attendait qu'une chose, que la jeune femme finisse son verre pour que le G.H.B. fasse son effet et qu'il puisse passer aux choses sérieuse. Sa nouvelle question concerna toujours Jésus mais plutôt à cause de son sacrifice pour que les hommes soient pardonner. Question assez simple selon lui et il ne tarda pas à y répondre sérieusement pendant qu'elle vidait enfin son verre d'eau petit à petit.
« Disons plutôt que lorsqu'il était sur terre, oui, tout les hommes étaient pardonner. Mais à présent, c'est à ça que sert le confessionnal. Nous somme un peu les secrétaires qui gèrent la tonne de travail du Christ. Nous travaillons pour lui afin de faire en sorte que tout ceux qui ne se sentent pas bien à cause d'une mauvaise action soient pardonner. »
C'était à croire que sa réponse avait endormis la demoiselle mais il n'en était rien. Disons plutôt que c'était le second ingrédient dans le verre qui fit parfaitement son travail. Continuant de jouer les gentils prêtre, il reprit le verre qui manqua de tomber pour le déposer sur le banc derrière lui. Alors qu'elle tentait de se relever, Justin se leva aussi et tenait la demoiselle par les épaules.
« Allons, rester assise un moment, je vais voir ce que je peux faire... »
Il fit asseoir la jeune fille de force – sans pour autant la brusquer – sur le banc et s'en allait faire quelques chose de primordial. Ils ne recevaient que rarement des visiteur mais il ne faudrait pas qu'un de ses rares fidèles débarque à ce moment précis. Ça serait dommage de devoir se priver pour faire taire les autres. Marchant normalement vers la porte, il tourna la clé dans la serrure et bloqua donc la portre. Double précaution, il laissa les clé sur la porte pour que personne ne puisse venir ici, pas même les autres prête qui logiquement devrait rester encore dehors. Il retourna auprès de la demoiselle et posa sa main sur la sienne et tentait de la regarder dans les yeux. Seule elle pouvait savoir si elle le voyait bien.
« Ne vous inquiéter pas, tout va bien se passer mon enfant... »
Sa main se posa rapidement sur sa cuisse qui était bien douce, comme il le pensait. Sa main fit des vas et viens dessus et profita de plus en plus de cette peau si douce. La jeune devait avoir quelques foutes ou quelques questions mais à présent, elle était sienne! Approchant son visage du sien, il déposa quelques baiser dans le coup de cette ravissante jeune fille alors que ses mains se baladait de plus en plus sur son corps qui devait encore être innocent. Enfin, il pouvait s'amuser avec elle! Bas les masques à présent, il pouvait rester le Justin qu'il était en arrêtant ce petit jeux de curé bien gentil! L'heure de la détente à sonner!
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Fukô ne comprenait pas ce qui lui arrivait, c'était la première fois qu'elle se retrouvait dans cet état. Il fallait reconnaitre que notre jeune étudiante n'était pas non plus une habitué des beuveries ou de la prise de drogues. Mais en tant normal on pouvait dire que Fukô n'était pas du genre à ressentir une telle fatigue, non pas qu'elle avait de dormir, mais elle se sentait engourdie. Fukô ne fit pas attention à la réponse que lui donna le jeune prêtre, ni ne remarqua le comportement de ce dernier, en effet pourquoi venait t il de fermer la porte de l'église. Question que la jeune fille ne chercha pas à approfondir toujours concentré sur son état et la raison qui pourrait expliquer celui-ci.
Fukô sentit la main du jeune prêtre se poser sur la sienne, elle rendit son regard à ce dernier, qui put constater que la jeune femme avait toute sa conscience, mais qu'une certaine langueur emplissait son regard.
Lorsque Justin vint à poser sa main sur la cuisse de Fukô cette dernière la regarda avant de revenir sur le visage du jeune prêtre. Ce dernier pouvait lire de l'incompréhension dans le regard de la jeune fille, mais rien d'autre. Elle leva juste un sourcil lorsque l'expression du jeune prêtre changea pour révéler le vrai visage de ce dernier. Lorsqu'elle vit le visage du jeune prêtre s'approcher de son coup, Fukô tenta de le repousser, mais elle semblait avoir perdu de sa force.
* Est ce un vampire, va t il me mordre ??? .... Non sinon elle aurait réagit à son contact ... d'ailleurs est ce que les vampires existent ? *
Au lieu d'une morsure ce fut quelques baisers que le jeune homme déposa sur son coup, ce qui n'était pas désagréable en soit, mais qui ne collait pas à l'image que ce faisait Fukô des prêtres. Surtout que ce dernier commençait à lui prodiguer des caresses qui n'avaient rien d'innocente. Même si la jeune fille n'était pas aux faits des rapports sexuels, elle avait malgré tout lut et regarder de nombreux livres et film pour comprendre ce qui était en train de se passer.
Fukô essaya de repousser une nouvelle fois le jeune homme se servant de toute sa force, elle alors qu'elle aurait dût pouvoir le rejeter, elle parvint à peine à le repousser. Être l'hôte d'un ange et avoir un corps amélioré lui permettait de pouvoir résister aux effets de la dragues, mais celle-ci se propageait dans tout son corps et Fukô sentait bien que ses forces risquaient de lui manquer.
- Arrêter s'il vous plait .... je ne veux pas ...
Fukô avait parlé d'une voie ferme, sans colère ou supplication, il était clair qu'elle était encore consciente et que la situation ne lui faisait pas peur.
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Voilà que le plan commençait enfin pour notre drôle de curé. Il voyait bien que la jeune femme était toujours consciente et qu'il n'avait pas un légume en face de lui. Tant mieux, de toute façon le G.H.B. Engourdit juste la victime avec une perte de mémoire, et puis c'était mieux quand elles se débattaient. La fait qu'il ai poser sa amin sur sa cuisse et qu'il commença à la caresser lui donnait juste de l'incompréhension, elle n'allait pas tarder à comprendre la petite. Même lorsqu'il aprocha de son jolie coup pour l'embrasser. Il pouvait très bien être un violeur mais avec un peu de tendresse, vu la beauté qu'il avait sous la main, il n'allait pas la traiter comme une simple fille de joie! Son air angélique, ses formes mignonnes, non, cette fille allait être bien traiter entre ses mains. Néanmoins, cette petite avait encore assez de force pour le repousser simplement. Chose qu'il surprit Justin un minimum. Qu'elle tente, d'accord mais là, qu'elle réussisse c'était étrange? Enfin, il fallait peut-être le temps que cette drogue se propage dans tout son corps?
« Encore la force de me résister hein? Pff, pas grave, j'aime bien... »
S'approchant de nouveau d'elle, il ignora la menace, il attisa plutôt le feu en répliquant.
« Je me fiche que tu ne veux pas, moi, je te veux ma belle. Le seigneur me donne cette faveur alors pourquoi je n'en profiterais pas? »
Bien sur, il parlait de son seigneur à lui, pas au seigneur de tout les chrétiens. Oui, son seigneur Till était plutôt sympathique, ou plutôt, il avait proposer ses commandements et lui, avait accepter pour que Justin ne vienne plus lui coller aux basques. Cette fois-ci, il prit un minimum de précaution pour éviter une baffe ou pire, il attrapait les poignets de la demoiselle. Il n'hésita pas à serrer aussi fort qu'il le pouvait pour la mettre sur deux jambes. Bien évidemment, il n'allait pas laisser tomber cette ravissante poupée de porcelaine. Il lâcha une de ses mains pour le retenir dans le dos.
« Reste tranquille ma belle, je te promet que tu va adoré la suite. »
De nouveau, il prit son cou pour cible en léchant de bas en haut pour en voir sa réaction. Elle ira surement tenter de le repoussé mais méfiance, sa patience à des limites. Cette fois-ci, il voulait vraiment de l'embrasser en collant ses lèvres contre les siennes et en essayant de faire entrée sa langue dans sa petite bouche de sainte. Oui, il voulait se faire cette demoiselle et il y arrivera!
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La situation échappait totalement au contrôle de Fukô, qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle était venu en ce lieu afin d'en apprendre un peu plus sur son créateur et sur l'être qui se cachait en elle. Les premiers instants lui avaient semblé normal, le prêtre était jeune mais cela ne l'avait pas choqué, elle avait même était légèrement rassuré par l'age de ce dernier. Étant un jeune prêtre il se pouvait que le père Justin soit un peu plus ouvert d'esprit qu'un vieux prêtre aigri. Il s'était montré courtois et charmant, jusqu'à ce qu'il lui offre à boire.
Ensuite, tout avait basculé dans une situation digne d'un roman. Le jeune prêtre si gentil était entrain de l'agresser et ce dans un but qui devenait de plus en plus claire pour la jeune femme. Rajoutait à cela, le fait qu'il avait dût droguer son eau et Fukô se demandait si elle n'était pas entrain de rêver. Mais le regard du jeune homme qui lui faisait face, la convint qu'elle était bien réveillé et que l'on tentait de la violer.
« Je me fiche que tu ne veux pas, moi, je te veux ma belle. Le seigneur me donne cette faveur alors pourquoi je n'en profiterais pas? »
L’allusion à la faveur faire par le seigneur, laissa Fukô indécise et quelque peu perdu. La jeune femme ne se voyait pas comme un cadeau, offert aux serviteurs du Seigneur. Elle pensait savoir qu'elle n'avait pas été créée pour cela. Fukô reprit ses esprit lorsqu'elle sentit le jeune prêtre lui attrapa ses poignets. Fukô essaya de se libérer mais à sa grande surprise, elle ne sentit aucune force dans son corps, si son esprit semblait restait en alerte, son corps quand à lui devenait lourd, engourdit. Lorsqu'il lui lécha le coup Fukô essaya de repousser son agresseur, pour ce faire elle essaya de se servir de son corps prenant ainsi appui sur celui du jeune prêtre. Peine perdu, elle était plus légère que lui et elle n'avait quasiment plus la moindre force.
Lorsqu'il posa ses lèvres sur les siennes et insinua sa langue dans sa bouche, Fukô écarquilla les yeux et des larmes commencèrent à apparaitre dans ces derniers.
* Je n'ai encore embrassé personne ... Il me vole mon premier baisé ...*
L'esprit de Fukô resta focalisé sur cette pensée, lorsque la langue du jeune prêtre pris possession dans sa bouche, son corps commençait à être si engourdit qu'elle ne put rien faire pour empêcher ce vol. Fukô se doutait bien que ce baisé, n'allait pas être la seule chose que le prêtre allait lui voler, mais seul le vol de ce baisé, blessa la jeune femme.
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Justin laissa enfin tombé son masque de prêtre bien gentil. Un masque qu'il portait souvent bien que ne lui plaisait guère mais c'était bien pratique surtout lorsque ce résultat est comme à cette instant. Ses lèvres contre les siennes, il inséra sa langue dans sa bouche en se tortillant contre la sienne. Exquis, cette petite avait un goût tout à fait délicieux. Il avait vraiment de la chance aujourd'hui. Après quelques échanges buccale avec sa petite victime, le prêtre cessa de l'embrasser pour la regarder. Elle pleurait? Oui, quelques larmes avait couler le long de sa joue. Venait elle enfin de se rendre compte de ce qui allait se passer? A moins que ce ne soit autre chose? Qu'importe en fait, elle ne partira pas d'ici avant que la drogue ne fasse plus effet et qu'elle se réveille comme si de rien n'était. L'histoire qui allait lui sortir après était d'une banalité si grande que ça marcherait très bien! Il avait envie de s'amuser un peu plus avec sa poupée grandeur nature. Son petit regard mesquin vint rapidement se changer en regard emphatique. Il déposa la belle demoiselle sur le banc et fuyait même son regard en allant même lui tourner le dos.
« Désolée... je ne serait pas expliquer pourquoi j'ai agit comme ça... Je ne serait aussi me faire pardonner pour cet acte... horrible. Dans le sens ou tu n'était absolument pas consentante... Je ne mérite rien d'autre... même la mort semblerait trop faible pour ce que j'ai fait. J'ai faillit à mon devoir de prêtre, à mon vœux de chasteté... Pense tu que dieux me pardonnerait mon acte? »
Cela avait tout d'un discours sincère. Allait elle gober ce tissu de mensonge? Mais pourquoi raconter tant de mensonges à cette demoiselle dont il ignorait même le nom? Pour mieux briser sa petite lueur d'espoir! Oui, voir son regard à peine consciente qui perdrait tout espoir, c'était si beau! Tournant sa tête vers elle avec le même regard remplit de pardon et de détresse, il restât muet quelques secondes sans ouvrir la bouche. Voir si la demoiselle allait tenté de lui répondre mais la blague avait assez durée. Son regard démoniaque était de nouveau là tout comme le sourire qui allait avec.
« As tu vraiment cru à tout ses bobards? Tu est vraiment naïf ma pauvre si tu y à cru! Mais bon, je pense que ta naïveté fait aussi ton charme... »
Se rapprochant de la jeune fille, il plaqua la jeune fille innocente sur le banc pour qu'elle se retrouve allonger, le jeune prêtre semblait avoir sombré dans une folie indéfinissable.
« Si douce, si belle, si innocente... tu a vraiment tout pour me plaire toi! Je pense que tu est même une des meilleures pièces de ma collection! »
Déboutonnant son chemisier, chaque bouton retiré dévoilait un peu plus son magnifique corps mais il ne s'arrêta qu'une fois sa chemise totalement ouverte. Un soutien gorge blanc, il l'aurais parier! L'incarnation même de la pudeur et de l'innocence! Il ne regrettait vraiment pas d'avoir croiser son chemin. Justin vint se placer sur elle pour éviter qu'elle ne bouge trop bien que ses membres devaient être engourdi. Ses main parcourait son corps, sa peau si douce était comparable à la soie. Cette fille était vraiment un joyau à l'état pur! Mais bien vite – car caresser son corps n'était pas ce qui hantait son esprit – il retira doucement ce morceau de tissu qui cachait sa poitrine. Il ne l'avait pas vraiment retiré mais au moins soulever pour libérer la poitrine de la belle. Ses mains palpait doucement cette partie du corps de la jeune fille. Doucement, il se pencha sur elle et murmura à l'oreille quelques mots qui devrait la faire sombré un peu plus dans la panique.
« Que le spectacle commence! »
Commençant avec de simple baisers sur sa poitrine, il en vint rapidement à lui sucer ses tétons et passer quelques coups de langue dessus. Ceci n'était que le commencement du cauchemar de la demoiselle.
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Après lui avoir volé son premier baisé, le jeune prêtre sembla être pris de honte. Il se détourna d'elle, après l'avoir assise sur un banc, Fukô ne savait trop que faire, elle ne s'était jamais retrouvé dans une telle situation. Elle avait bien du mal à comprendre jusqu'à sa réaction face à ce baisé volé. La jeune femme écoutait la complainte du jeune prêtre, ne ressentant aucune sympathie envers lui et le fait que Dieux le pardonnerait ou pas. Fukô ne ressentait pas plus de colère d'ailleurs, elle aurait bien eu du mal à ressentir quoique ce soit avec le produit qui circulait dans ses veines et embrumait son esprit, ainsi que son corps.
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Puis il se tourna de nouveau vers elle, attendant surement une réaction de sa part, mais Fukô resta silencieuse et immobile, faisant preuve d’embarras plus que de toute autre chose. Lorsque le jeune prêtre cessa sa comédie, Fukô recula par réflexe face au regard qu'il posa sur elle. Malgré ses efforts, elle ne put l’empêcher de la plaquer contre le banc. Puis il reprit son monologue incompréhensible pour la jeune femme qui avait du mal à analyser la situation. Elle avait, grâce à certains mangas, une idée de ce que lui voulait le jeune prêtre, mais n'en comprenait pas la raison.
Lorsqu'il se mit à lui déboutonner le chemisier, Fukô essaya de réagir, mais son corps était devenu des plus lourd, à moins que cela ne soit son esprit. Après avoir finit de déboutonner le chemisier de Fukô, le jeune prêtre commença à la caresser. Elle ressentait quelque chose, mais n'aurait put dire si cela lui plaisait ou pas. Une partie de son esprit avait envie de se rebeller contre ce qui était entrain de se passer, mais Fukô décida d'ignorer tout cela. Lorsqu'il glissa sa main sur sa poitrine nue, Fukô eut le souffle coupé.
Les mots prononcés à son oreille ne firent pas réagir la jeune femme qui semblait être ailleurs, observant le plafond de la nef de cette église, mais si elle semblait détacher son esprit de ce qui se passait, son corps lui eut une réaction lorsque ce fut la langue et la bouche du jeune prêtre qui vinrent remplacer la main. Le souffle de Fukô commença à devenir un peu moins régulier, suivant le rythme imposé par les caresses et les succions dont le jeune prêtre usait sur la délicate poitrine de Fukô. Celle-ci parvenait pour l'instant à ignorer les sensations qui commençaient à naitre en elle, mais une chose plus les caresses se faisaient pressantes et plus Fukô avait du mal à continuer à ignorer ce qu'elle ressentait.
Fukô n'avait jamais imaginer faire l'amour avec qui que ce soit, cette idée ne lui avait jamais traversé l'esprit même en lisant les ouvrages pornographiques qu'elle avait récupéré. Mais elle savait que si elle en avait eu l'idée, cela n'aurait jamais dût se passer de la sorte. Sous l'impulsion de cette idée, Fukô essaya une nouvelle fois de se dégager.
- Arrêter s'il vous plait, pour l'amour de Dieux ....
Fukô ne sachant pas que le jeune prêtre n'était pas un serviteur du Dieux qu'il prétendait servir, elle espérait que cette supplique le ramènerait à la raison.
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Justin ne pouvait pas mieux rêver! Une jeune fille aussi belle qu'innocente qui semblait aussi vierge que la Vierge Marie. Oui, cela serait mieux sans l'effet de la drogue, elle se débattrait plus, elle serait plus réactif que ça mais elle risquait de pouvoir alerter les gens et ça, il ne pouvait pas se le permettre. C'était d'ailleurs dommage qu'elle n'ai pas réagit plus que ça aux mots qu'il lui avait dit. Mais bon, ce n'était pas si mal de l'avoir toujours assez consciente. Ayant un peu profiter de sa poitrine avec sa main, il était passer au niveau supérieur en la léchant et en lui suçant la poitrine. Un goût délicieux, il savait que tout ce qui lui faisait et allait lui faire allait être nouveau pour elle, il allait lui faire découvrir de nouvelle chose qu'elle n'avait peut-être même pas conscience de son existence. Quoi qu'elle pouvait paraître aussi innocente qu'elle voulait, elle devait au moins savoir quelques choses? A son âge, elle devait au moins savoir comment avait lieu la fabrication des enfants? Sinon, il n'avait aucun mot pour expliquer à quels point il pourrait être chanceux! Mais ce sont souvent celles qui ont l'air les plus purs qui étaient les plus perverse! Si cela s'avère être une vérité fondé, alléluia! Continuant de profiter de son petit cadeau, cette dernière ouvrait la bouche toujours à demi-consciente pour lui demander de s'arrêter. En si bon chemin? Et puis quoi encore!
« Dieu? Désoler de te décevoir ma jolie mais nous n'avons pas le même dieu. Le mien me permet de profiter de toi, et il me permet bien des choses. Mais tu est bien trop précieuse pour avoir le droit aux restes. »
Le reste était autre chose d'interdit comme le meurtre. Et pour lui, la demoiselle ne méritait pas ça vu qu'elle était drogué. Encore consciente, c'était une possibilité car même un couteau sous la gorge, elle pourrait allez le menacer d'une façon ou d'une autre. Que dieu bénisse cette drogue! Une chose vint lui passer par l'esprit, ce n'était pas très important mais quand même, il ignorait le prénom de sa partenaire? Bof, il n'avait pas besoin de ça pour s'amuser avec elle. Elle pouvait se nommer Sakura comme Jacqueline, peu importe! Continuant de sucer les tétons déjà dur de la jolie jeune fille aux cheveux noir, Justin fini par cesser de s'amuser de cette façon. Se redressant en étant toujours à cheval sur sa victime, il devait passer à la vitesse supérieur. Après tout, elle l'avait assez exciter pour lui faire découvrir de nouvelle choses.
« Bien ma jolie petite, il est temps de s'amuser un peu plus. »
Justin se retira de sur elle quelques instants le temps de baisser sa braguette pour laisser sortir son membre déjà quelques peu raidie par l'envie et l'excitation. Ça sera à la jolie jeune demoiselle de faire en sorte que cela devienne bien plus dur pour leur plaisir commun. Le jeune prêtre se plaça de nouveau au dessus de Fukô bien que son pénis soit bien plus proche qu'auparavant. Un large sourire sadique égayait son visage mais il n'en avait pas encore fini. Son membre était si proche de sa proie qu'il pouvait sentir son souffle dessus, que ce soit par la bouche ou par les narines, il sentait un doux souffle chaud dessus et ça n'avait rien de désagréable.
« Soit une gentille fille et ouvre la bouche, ensuite, laisse ton corps parler, il sait ce qu'il a à faire! Ha j'oubliais... »
Justin sortit quelques chose de sous sa soutane au niveau de la poitrine. Il avait sortit une arme, un révolver pour être précis qu'il présenta gentiment à la jeune femme.
« Je n'aime pas vraiment la douleur donc avise toi de me faire du mal, et j'aurais un cadavre à caché ce soir, si tu vois ou je veux en venir? »
Oui, le jeune prêtre aimait bien parler, beaucoup d'ailleurs. Gardant l'arme dans sa main droite, il attendait qu'elle se mette à faire ce qu'elle avait à faire. Il espérait ne pas avoir à la frapper ou à tout faire lui même. Il va bientôt en connaître la réponse après tout.
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Une partie de l'esprit de Fukô restait conscient de ce qui se passait, mais cette partie de son esprit avait bien du mal à contrôler son corps. Du fait de sa nature, la drogue ne devait pas agir totalement sur la jeune fille, qui comprenait ce qui lui arrivait et ressentait tout. D'ailleurs les caresses que lui prodiguait le jeune prêtre commençait à agir sur cette partie de son esprit encore conscient.
Les mots qu'elle avait prononcé, n'avaient pas eu d'effet sur le jeune prêtre, d'ailleurs ce dernier lui annonça qu'il n'était pas au service du Dieux dont elle avait fait allusion. Malgré le fait que le jeune prêtre avait annoncé ne pas servir Dieux, n'avait pas réveillé Gabrielle, se pouvait il que la drogue agissait aussi sur l'ange qui se trouvait en elle. Fukô essaya encore de ce libérer du poids du jeune prêtre, mais elle n'y parvint pas.
Puis ce dernier arrêta de lui caresser la poitrine ou de la lui sucer, en se relevant. Fukô pensa un instant que le jeune prêtre allait s’arrêter de s’intéresser à elle, mais ce qu'il fit lui fit comprendre que sa situation n'allait pas s'arranger. En effet le jeune prêtre baissa sa braguette libérant son sexe. Fukô n'avait jamais vu de sexe masculin en vrai, mais elle savait à quoi cela ressemblait suite aux quelques livres et films qu'elle avait étudié. Le jeune prêtre avait approché son sexe du visage de Fukô, la jeune fille observait ce sexe voyant fort bien ou ce dernier voulait en venir. De plus, le jeune prêtre ne cacha pas son désir, en demandant à Fukô d'ouvrir sa bouche. Avant qu'elle ne fasse ce qu'il avait en tête, le jeune prêtre prit une arme et la pointa sur la jeune fille, la menaçant.
Fukô ouvrit sa bouche et l'approcha du sexe pointé vers elle. Des larmes apparurent aux coins des yeux de Fukô, lorsqu'elle prit le sexe du jeune prêtre dans sa bouche. Malgré la honte qu'elle ressentait, Fukô sentait aussi un sentiment inconnu naitre en elle, le désir. La jeune femme leva vers son bourreau un regard dans lequel on pouvait lire de la supplication, mais aussi autre chose. Un sentiment qui ne pouvait pas encore être définit, mais qui était bien présent.
Imitant ce qu'elle avait put voir ou lire, Fukô se mis à sucer le sexe du jeune prêtre en rythme. Elle n'avalait pas beaucoup ce sexe qui lui violait la bouche, ne prenant en elle que le gland. Fukô ne faisait rien d'autre que faire venir sa bouche sur une petite longueur du sexe du jeune homme prêtre. Mais plus elle faisait aller et venir sa bouche sur le sexe du jeune homme, Fukô sentait son désir grandir, un désir que la partie de son esprit encore active essayait de réprimer. Mais son corps commençait à la trahir, ses mains vinrent se poser sur les hanches du jeune prêtre et sa langue commençait à lécher la longueur du sexe du jeune prêtre qu'elle avalait.
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Justin avait préférer prendre ses précautions, il ne voulait pas que la jolie demoiselle ne veuille se venger ou gâcher son plaisir en se défendant en mordant son membre. Et l'arme à feu pointer en direction de sa tête était un bon moyens de lui retiré ce genre d'idée. A moins qu'elle ne préfère mourir que d'être violer? Mais même si elle oserait, le jeune européen ferait d'abord ce qu'il avait à faire avant d'entacher un peu plus ses mains de sang. Bien que ce soit avec les larmes aux yeux, la demoiselle avait prit son pénis dans sa bouche. La voir avec ses larmes aux yeux ne rendait que l'acte meilleur. Il aurait aimer lui dire quelques mots gentils vu qu'elle se montrait raisonnable mais il se demandait si ses mots atteignait ses oreilles? Ses remarques et coup de bluff ne marchait pas depuis tout à l'heure mais tant pis. Son regard criait de cesser ça mais pour Justin, ce genre de regard était monnaie courante et puis, c'était toujours un plaisir de voir ça. Un petit bonus en somme.
Bien que pour le moment, elle ne suçait que son gland voir un tout petit peu plus loin, il lui laissait le temps de s'adapter. Ça devait être sa première fois après tout alors autant la laisser faire, il pouvait bien faire ça pour elle. Sa langue avait beau être inexpérimenté, ça n'avait rien de désagréable, bien au contraire. Le fait qu'elle se plonge dans quelques chose de nouveau apportait un sentiment meilleur pour lui comme pour elle. Petit à petit, elle commençait à aller plus loin en se laissant aller donc à son sort. Une brave fille! Son arme ne la pointait plus vraiment, avec, il s'en servait pour lui balayer quelques mèches sur son front. Par contre, chose surprenant, c'était qu'elle aille plus loin! Bien qu'elle allait un peu plus loin lorsqu'elle commençait à le sucer, ses mains prenait appuie sur lui pour mieux faire son travail. Chose étonnante pour une petite vierge. Instinct? A moins qu'elle savait quand même ce qu'était l'amour et tout ce qui allait avec? Sentant sa langue passer le long de sa verge, il ne pu s'empêcher de sourire un peu plus en la regardant. Après tout, ce sont les plus timide qui sont aussi les plus coquine, pour la plupart.
« Hum hum, c'est très bien ma petite... Continue comme ça... »
Tournant la tête en arrière, son arme changea de cible vu qu'elle semblait comprendre ce qui risquait d'arrivée. Et pour la félicité de cette initiative, Justin passa le bout de son calibre sur la culotte de sa victime. Une culotte blanche, il l'aurait parié! Faisant des petits mouvements lent de haut en bas afin de lui faire connaître d'autres nouvelles sensation, il se demandait comme allait régir sa poupée. Mais tout travail mérite salaire donc pour le moment, il laissa sa proie faire comme elle voulait. Alors qu'elle continuait de le sucer et lui de tenter de la faire mouiller un peu, il se sentait d'humeur bavard, comme bien souvent.
« Tu vois, quand tu est sage, tout se passe bien ma jolie. Continue comme ça et tu sera bien récompensé... »
Que voulait il dire? Seul lui le savait vraiment...
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Fukô ne faisait que refaire ce qu'elle avait put lire ou voir dans les divers magazine ou vidéo hentai qu'elle avait trouver. Le jeune prête devait peut être la prendre pour une jeune étudiante vicieuse, mais il n'en était rien. Fukô s'était intéressée au sexe par simple curiosité, de la même manière qu'elle s'était intéressée à la cuisine. Il était certains qu'il y avait une différence entre ces deux activités, la principale pour l'instant que personne ne l'avait encore menacé d'une arme afin qu'elle lui fasse la cuisine.
Fukô faisait de son mieux afin de satisfaire le jeune homme, elle ne voulait pas expérimenter ses capacités de régénération, en recevant une balle dans la tête. Mais il y avait d'autres raisons au fait qu'elle avait accepter de réaliser une fellation au jeune prêtre. La première est la plus importante était qu'une partie d'elle était comme inconsciente de ce qu'elle faisait et semblait accepter la situation, l'autre raison était la curiosité, Fukô avait l'opportunité de tester ce qu'elle n'avait jusqu'à présent fait qu'observer. Mais il y avait autre chose, en elle, quelque chose qui voulait se rebeller contre ce que cet homme la forçait à faire et qui devant son impuissance à réagir laissait échapper sa colère au travers les larmes qui coulaient sur ses joues. C'était peut être cette partie d'elle même qui faisait que Fukô sucer le sexe de son agresseur de manière timide. Ce dernier semblait se satisfaire de ce traitement et laissait Fukô faire comme elle entendait, mais quelque chose changea.
Le jeune prêtre ne pointait plus son arme sur la tête de Fukô, mais ce n'était pas pour autant qu'il avait décidé de laisser la jeune fille tranquille. En effet, si il ne pointait plus son arme sur la tête de la jeune fille, il venait de le pointer ailleurs. Lorsque Fukô sentit le contact du canon métallique de l'arme sur son sexe, elle ne put s’empêcher de montrer une certaine inquiétude et arrêta sa fellation. Le jeune prêtre commençait à lui caresser son sexe au travers sa culotte blanche. Sous l'effet de ces caresses, Fukô commença à ressentir une nouvelle sensation. Sensation qui intensifia sa gêne et sa colère, mais qui n'était pas si désagréable. Même si la jeune fille n'avait aucune expérience pratique, elle savait ce qu'essayait de faire le jeune prêtre et le sens des paroles qu'il prononça devinrent limpide pour l'esprit de la jeune fille. Mais cela ne la surprenait nullement, du fait de sa nature détachée à tout ce qui arrivait, lui avait fait comprendre que cela allait arriver un moment ou un autre. Mais ce qu'elle n'avait pas prévue était le fait qu'une partie de son esprit se révoltait de la sorte à cette idée. Mais une chose était certaine, si les caresses continuaient, le corps de la jeune femme allait commencer à réagir à celles-ci.
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Pour le moment, ça allait parfaitement bien! Certes, elle s'y prenait doucement, voir timidement mais cela faisait partie de son charme, comme pour les Larmes qui coulaient le long de ses joues. Ainsi, Justin laissa la jeune femme y aller doucement avec son sexe, le principale était qu'elle fasse ce qu'il lui disait et qu'elle ne reçoive pas de balle en pleine tête! Alors qu'il pointa son arme autre que sur sa tête, cette action avait fait qu'elle cessa la fellation, comme intrigué par ce qui allait se passer? Le jeune prêtre caressa le sexe de sa proie à travers son sous-vêtement mais rien. Il s'attendait à un petit gémissement ou une réflexion mais rien! Elle n'agissait plus. Pourtant, il ne lui avait pas dit de s'arrêter à ce qu'il sache?
« Tut tut tut, qui ta dit que tu devait t'arrêter? Continue ou on passe à la suite plus vite que prévu. »
Pour placer les gestes avec ses mots, le canon de son arme appuya un peu sur cette zone sensible. Pas trop mais juste assez pour la faire réagir un peu pour qu'elle prenne conscience qu'elle devait obéir. Même s'il ne voulait pas se débarrasser d'elle, il y serait obliger si la situation devenait délicate. Même si elle aurait quelques souvenirs et que les excuses basique ne marcherait pas, là, il devra se débarrasser d'elle vu que ça pourrait devenir dangereux pour lui. Mais pour l'heure, il attendait la suite, allait elle continuer ou non? Cela ne dépendait que d'elle. Si ça se trouve, elle le faisait exprès pour pouvoir passer à la suite et que Justin lui ôte sa virginité? A la voir, il était évident qu'elle était encore vierge! Même si l'habit ne fait pas le prêtre, il y mettrait sa main à couper qu'elle était encore vierge.
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Sous la menace non cachée dans les mots du jeune prêtre, Fukô recommença lécher le sexe dressé de ce dernier. Toujours aussi timide dans l’exécution de ces caresses linguales, la jeune femme ressentait de plus en plus, son corps réagir aux frottements du canon de l’arme du prêtre sur son sexe au travers sa culotte sur laquelle les preuves du plaisir naissant de la jeune femme apparaissaient. Gabrielle essayait de se manifester, révolté par la soumission de son hôte et par le désir qu’elle sentait naitre aussi en elle. Même si elle était un être totalement indépendant, de la jeune Fukô, Gabrielle avait un lien avec cette dernière et ce que celle-ci ressentait, l’ange le ressentait aussi. C’était contre cela, que Gabrielle se révoltait, car elle savait que Fukô se laisserait faire et n’opposerait aucune résistance devant le désir de celui qui allait la violer.
Fukô sembla un instant hésiter, comme si elle avait perçu la révolte de l’être qu’elle abritait, mais les effets de la drogue que lui avait fait avaler le jeune prêtre eurent raison de sa volonté. Comme pour confirmer la victoire de la drogue sur la volonté de la jeune femme, celle-ci avala complètement le sexe du jeune prêtre au fond de sa gorge et commença un va et vient profond. Le jeune prêtre aurait pu croire que la volonté de la jeune femme était totalement sous l’emprise de la drogue, mais le regard qu’elle lui lança gardait une trace de lucidité qui peu à peu devint de la colère mêlait à un désir et plaisir de plus en plus présent.
Engourdit par la drogue, l’esprit de Fukô avait partiellement laissé place à celui de Gabrielle qui devant son impuissance éprouvait une colère des plus sombre. Au bout de quelques secondes durant lesquelles Fukô sembla défier du regard le jeune prêtre, tout en lui prodiguant une fellation, ce dernier perçut une autre émotion apparaitre, de la peur. Gabrielle venait de se rendre compte qu’elle n’avait aucun contrôle sur le corps de Fukô et que ce dernier mût par le désir qui l’envahissait et par la parcelle d’esprit de Fukô qui était encore présente, continuait de s’offrir au désir du jeune homme et qu’elle était au première loge pour ressentir les effets que la situation et les caresses, avaient sur le corps qui l’abritait, un plaisir que l’ange ne désirait pas. Par le jeux du hasard et de la chimie, le jeune prêtre allait commettre un double viol, celui de Fukô et celui de l’ange si ce n’est physiquement, mais spirituellement.
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Comment un faux prêtre qui jouait les jeunes compatissants et sympathiques pouvait cacher un vrai démon psychopathe, tueur et violeur? Une bonne question mais là, ce n'était pas le moment de répondre. Non, il était plutôt occupé avec sa proie. La jeune demoiselle si pure et innocente était si belle, si inculte que ça en était touchant! Et c'est là, que le geste de Justin était beau! L'église lui apprenait la luxure! Elle se débrouillait bien en plus, il ignorait si c'était une face cachée de sa personnalité de jeunes innocentes ou le flingue qui ne cessait de jouer avec elle et la menacer mais ça marchait bien pour le moment! Toujours au-dessus d'elle, son pénis était toujours au chaud dans sa bouche qui, étonnamment venait de l'enfoncer plus loin que ce qu'il ne l'aurait cru! Son visage était jouissif, un vrai psychopathe ce prêtre! Un long sourire hautain surtout en voyant son regard. Ce n'était pas celui d'une nymphomane déguiser en mouton, non, le loup avait des crocs mais dans cette situation, le méchant loup avait une patte prise entre ses dents en métal acérer!
« Voilà! C'est ça que j'aime! Haïe-moi! Déteste-moi! Hahahaha! Regardes-toi ma belle, tu dois surement avoir envie de me tuer et pourtant, tu es si tendre! Si c'est pas merveilleux ça! Enfin, cela mérite une récompense je crois... »
Justin ôta l'arme de son intimité et se retira aussi de sa bouche. La voir allonger sur le banc, la jupe relever, sa culotte surement bien humide, la bouche ouverte, un appel au viol! Le faux prêtre en gloussait de joie! Il se pencha vers elle avec ce même sourire diabolique, ouvrant son chemiser, il observa quelques secondes cette jolie poitrine surement vierge elle aussi? Et il comprit une chose, si cette jeune demoiselle était assez intéressé par l'acte sexuel, elle devait être encore vierge? Oh tiens donc! Une vierge pure qui s'offre au malin, c'est pas mignon ça! Le jeune homme retira sa culotte doucement, la faisant glisser le long de ses jambes en étant l'homme le plus joyeux du monde!
« Gentille petite naïf que tu es, tu vas avoir le précieux honneur de t'offrir à moi... non! À nous! Je ne suis pas égoïste et j'agis pour mon maitre, mon Dieu à moi. Par le biais de mon corps, tu vas t'offrir au plus grand homme qui existe sur les mondes, le seigneur Till! »
Pris dans sa transe divine, il s'approcha d'elle en se plaçant au-dessus, il avait toujours ce petit morceau de tissu blanc dans sa main, son arme dans l'autre à agiter les bras et étant un véritable illuminer. Son visage au-dessus du sien, il était prêt à la prendre dans l'église mais avant ça, son esprit tordu désirait autre chose!
« Je t'autorise à parler. Alors dis-moi quelque chose? »
Que ce soit son coter petite innocente qui lui demande d'arrêter en pleurant ou une véritable petite pute, ça serait que gratifiant pour lui! Même si elle venait à le traiter, ça serait tout aussi drôle! Il frottait son engin sur sa fente humide, bientôt, elle allait peut-être devenir une femme?
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Plaisir, colère, humiliation, désir brulant, quels étaient les ressentis appartenant à Gabrielle et ceux appartenant à Fukô. Pour l’instant, chacune des entités que se partageaient ce corps pouvaient faire la différence. Mais plus le temps passait et plus la drogue brisait le fin voile qui les séparait toutes les deux. L’esprit de Fukô n’arrivait plus à lutter contre l’engourdissement qui lui faisait perdre peu à peu le contrôle sur son corps. Quand à celui de Gabrielle, il commençait à faire surface et c’était ce dernier qui éprouvait de la colère devant l’humiliation qu’elle ressentait.
Lorsque le jeune prêtre retira son sexe de la bouche et arrêta la délicieuse et insoutenable caresse qu’il exerçait sur le sexe de la jeune femme, Gabrielle crut un instant qu’elle allait être libérée de cette torture. Mais n’ayant pas le contrôle du corps de Fukô, l’ange ne put constater que la soumission de cette dernière. Soumission qui se manifesta au moment où le jeune prêtre commença à lui retirer la petite culotte humide. Dans un réflexe inné, les cuisses de Fukô se refermèrent cachant aux yeux du jeune prêtre, son sexe glabre et humide.
-Ne fait pas cela, pour la grâce de Dieux … Si tu vas plus loin je détruirais ton âme.
Si le début de la phrase de la jeune femme était suppliant et plein de pudeur, la deuxième partie elle était pleine de rage et de violence. Mais le regard quant à lui possédait une once de peur devant le spectacle du sexe masculin tendu fièrement attendant de prendre son dû.
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Justin n'éprouvait pas la moindre pitié, pas le moindre remords à être dans cette position avec tout un tas de problèmes qui pourrait gêner le commun des mortels. Violer une fille droguée, se faire passer pour un curé pour mieux la tromper, lui faire croire qu'un instant ou l'autre, il pourrait regretter ou tenter de se faire pardonner. Justin n'avait pas le moindre remords, il avait vendu son âme au diable. Lui demandant un dernier service, il lui demandait un dernier mot, de haine, de pardon, de luxure, ce qu'elle voulait et la réponse l'avait plutôt satisfait. Serait-elle perdue entre la haine et la peur? Prier ce faux dieu était un pas vers la fin, une fin qu'elle ne pouvait stopper et la haine pour avoir conscience que ses actes ne soient pas jamais oubliés et qu'elle se vengerait! Qu'elle en parle d'abord avec la drogue au réveil!
« Tiens donc? Perdue entre deux sentiments facilement associables? À moins que cette douce petite ne cache une schizophrène? Hahaha! Ça serait bien la première fois qu'une proie pareil tombe entre mes pattes! Enfin... tu peux dire adieu à ta virginité ma charmante petite! »
Ni une, ni deux, il enfonça son membre en la jeune femme en forçant un peu à cause de l'hymen qui bloquait l'accès mais qui fut vite rompu grâce au jeune homme qui prenait un malin plaisir à être le premier à passer par ce chemin. Son sourire sadique et victorieux observait les réactions de la jeune femme qui était à présent plus vierge.
« Ressens-moi! À présent, tu es une femme... tu as donné ta virginité à mon dieu qui sera bientôt le tien... le vôtre même... »
Décrochant un baiser de force à cette demoiselle, il continuait les mouvements du bassin en elle les parois serrer contre sa verge, cette petite était belle et bien vierge et il était le premier à poser le pied en son territoire inconnu.
« Tu refuses de l'avouer mais... haaa... tu es comme toutes les autres... tu n'es qu'une catin qui... ha putain! Qui n'attendait que ça hein!! »
La provocation, la vérité, qui sait? Mais il avait une vision très simple des femmes en ce monde comme sur Terra. Elles étaient toutes les mêmes et rares étaient les exceptions.
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Gabrielle regardait le sexe du jeune homme s’approcher de l’intimité du jeune corps de son hôte. Quant à Fukô, elle n’était plus véritablement en état de se rendre compte de ce qui lui arrivait. Ce ne fut qu’au moment, où le sexe du jeune prêtre força son hymen, prenant possession de sa cavité virginale.
Fukô se mordit les lèvres afin de ne pas laisser s’échapper le cri qui accompagna ce viol de sa féminité. Mais la jeune femme ne put empêcher son corps de réagir, en se cambrant. Si le corps et l’esprit de Fukô prenait plaisir à ce viol, l’esprit de Gabrielle n’éprouvait que colère et rage. De plus les mots que prononça le jeune prêtre énervèrent encore plus l’ange. Ce dernier pouvait lire la colère de la jeune femme dans son regard et ce malgré le fait que son corps lui réagissait avec plaisir au viol qu’il subissait.
Lorsque son violeur, commença à réaliser des va et vient, le corps de Fukô ne put s’empêcher de répondre. Une légère rougeur apparut sur les joues de la jeune femme et son souffle commença à devenir de plus en plus saccadé. Lorsque le jeune prêtre vint lui voler un baiser, Gabrielle aurait voulu lui mordre et arracher les lèvres, mais à la place elle lui laisser voler ce dernier.
Ce qui énervait Gabrielle était tout autant ce qu’elle subissait, du moins ce que le corps de son hôte subissait, que les mots que prononçaient le violeur. Les derniers ne firent qu’accentuer cette colère, mais si l’ange devait se montrer honnête avec elle. Elle devait reconnaitre qu’il y avait une autre raison à sa colère. Du fait des drogues, elle s’était retrouvée à la première place et un lien s’était créé entre elle et son hôte, la forçant à ressentir ce que ressentait cette dernière. Gabrielle commençait à prendre du plaisir à ce viol et les mots que prononça le jeune prêtre trouvèrent une certaine vérité chez elle.
Malgré tout Gabrielle parvint à répondre aux paroles du jeune homme, entre deux respirations, ou halètements d’un plaisir naissant.
- Tu vas regretter ton geste !
Paroles qui auraient eu surement plus de poids, si ils n’avaient pas été dit, alors que son corps prenait du plaisir et que le regard énervé jusqu’à présent, montrait lui aussi des signes d’un plaisir naissant et nouveau.
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Mission accompli, Justin venait de voler la virginité de cette demoiselle sans nom et il venait de l'offrir non pas à lui, mais à son maitre! C'est ce qu'il pensait en tout cas. Till n'était pas du genre à vouloir que ses camarades violent les femmes pour faire naitre la peur mais ça semblait tant lui faire plaisir qu'il avait dit oui au prêtre, un peu pour se débarrasser de lui, il était plutôt collant! Avec ses mouvements, il se faisait de plus en plus sentir en elle avec un grand sourire. Elle pourrait dire tout ce qu'elle voulait, une petite part d'elle-même approuvait cela et le jeune homme n'avait besoin que de ça pour se satisfaire. Il voulait rendre heureuse cette petite part en elle pour prendre son pied. Il regrettait tout de même l'absence de larmes mais la colère dans ses yeux perdus entre la peur et le plaisir, c'était si adorable! Penché sur elle, il lui embrassait le cou avec envie pour ajouter un petit quelque chose en plus. C'est sur que faire l'amour avec une petite nymphomane qui ne réclamerait que son corps, ça serait mieux mais une petite vierge innocente et droguée, c'était tout aussi bien.
La jeune femme réussissait tout de même à la maudire encore mais il avait de quoi calmer les ardeurs de la petite beauté sous lui. Continuant à donner des coups de reins à sa victime sa bouche près de son oreille, il lui murmurait ses quelques mots, ses précautions plutôt.
« La seule chose que je risque de regretter.... Haaaa... c'est de planquer ton corps... une fois que je t'aurais zigouillé! Enfin... si tu continues à me les casser. »
Observant sa proie, il pensait savoir le pourquoi de ses menaces, la pauvre était toujours dans la même position! Autant changer un peu! Il se retira doucement de la jeune femme avec son même sourire pas net et se décida à la porter dans ses bras comme une princesse avant qu'il ne s'assoie sur le banc et mette quelques instants à la placer sur ses genoux avant de replacer son membre en elle, par le même trou. Avec un nouveau gémissement de plaisir, il reprenait son petit jeu alors qu'une de ses mains était sous sa chemise pour lui caresser la poitrine et la seconde caressait sa cuisse. Celle-là, elle sera dans son top trois des meilleures proies!
« Allez beauté... ose dire que tu détestes cela de tout... ton être... je suis le mieux placé... pour savoir que tu adores ça... Alors laisse sortir la salope qui est en toi... et fait moi entendre ta douce voix de cochonne! »
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Les va et vient du jeune prêtre mettait l’âme de Gabrielle au supplice, elle ressentait le plaisir que prenait ce corps qui n’était pas le sien et elle ne pouvait rien faire. L’ange aurait voulu arracher le visage de ce jeune homme, le détruire, mais elle ne pouvait subir les réactions purement animal de ce corps sans personne au commande. En effet l’esprit de Fukô était totalement embrumé et s’était presque mis en sommeil, comme lorsque l’ange se manifestait. La jeune femme ressentait aussi le plaisir que prenait son corps, mais ne pouvait rien faire. Le baiser presque doux, rendait Gabrielle encore plus énervée, mais elle sentait aussi qu’elle commençait à ressentir du plaisir.
Les mots que prononça le jeune prêtre, firent réagir Gabrielle, mais surement pas comme devait s’attendre ce dernier. Elle avait presque sourit, si elle n’avait nullement répondu, c’était du fait qu’elle craignait qu’au lieu de mots ce ne soit un gémissement qui sorte de la bouche du corps de Fûko. Lorsqu’il se retira d’elle en douceur, Gabrielle compris qu’il n’en avait pas encore finit avec elles.
Il la prit dans ses bras, comme c’était romantique, mais la situation donnait ce geste une toute autre signification. Puis il s’assit sur le banc al gardant dans ses bras un instant. Mais le jeune prêtre avait d’autres idées que de garder la jeune fille dans ses bras. Il la fit s’assoir sur ses genoux, s’enfonçant une nouvelle fois en elle. Lorsque le sexe du jeune prêtre la pénétra, Gabrielle ne put retenir un hochet de plaisir. Si il continuait, Gabrielle savait qu’elle finirait par prendre elle aussi du plaisir, plaisir qu’elle sentait s’immiscer en elle de plus en plus. Ce fut les caresses combinait à cette pénétration qui fit jaillir un léger gémissement de la bouche de la jeune femme. Gabrielle baissa la tête essayant de cacher ainsi son plaisir qui venait de prendre possession d’elle. Ce fut d’une voie suppliante, dans laquelle on sentait le plaisir naissant.
- Tue moi, s’il te plait, pour l’amour de Dieux arrête cela.
La mort, temporaire, était plus souhaitable pour Gabrielle que le fait de se laisser submerger par ce plaisir qu’elle ne savait comment maitriser.
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Ayant changé de position, Justin avait du mal à voir le visage de la jeune étudiante. Il ne pouvait plus voir son visage torturé par le plaisir et la honte, c'était dommage mais pour rien il n'aurait voulu mettre fin à ce plaisir d'avoir retiré sa virginité, lui avait fait connaître ses premières expériences sexuelles. En théorie, elle pourrait le haïr et même le dénoncer et bien qu'elle restait encore assez consciente sur le coup, la drogue lui ferait perdre ses derniers souvenirs avec lui, ne gardant de lui que l'image de ce jeune prêtre qu'elle aura connue, gentil et sympathique. Une chance que cette drogue que les violeurs appeler G.H.B. étaient plus puissants que celle sur Terre. Avec d'autres ingrédients ou un peu de magie, ça restera une arme redoutable pour les prédateurs sexuels comme lui! La main posée sur ce doux sein continuait de la caresser avec passion alors qu'il continuait de remuer pour bien faire sentir son membre en elle. Les quelques mots que prononçait sa victime ne le rendaient que plus heureux en sentant cette envie, ce plaisir refoulé refaire un peu surface.
« Foutaise! Tu adores ça! Je le sais mieux que toi, mieux que vous toutes! »
Justin haletait en donnant de plus en plus de cœur à l'ouvrage pour rendre sa petite lycéenne heureuse. Après de longs gémissements heureux en donnant ses derniers coups plus fort et plus lent, le jeune prêtre pressa le sein de la jeune femme alors qu'il éjaculait en elle pour libérer tout ce fluide blanc et satisfaire sa petite demoiselle. Restant dans la même position, sa bouche embrassait cette jolie nuque, Justin était satisfait de pouvoir faire ce genre de chose pour se changer les idées. Hélas, il regarda rapidement sa montre pour voir que ses collègues ne tarderaient pas à revenir. De sa poche, il sortit une seringue et planta l'aiguille dans la nuque pour y injecter une autre petite dose de cette drogue pour complément l'endormir et lui faire perdre ses derniers instants. Laissant la jeune femme s'endormir sur le banc, il se rhabilla pour le peu qu'il s'était dévêtit en en fit de même pour sa proie, essuyant son antre à plaisir. Le peu de sang de la déchirure de l'hymen, son fluide qui coulait doucement.
Il replaçait les pièces du puzzle pour que tout ait l'air comme avant qu'il ne la drogue. Bien habiller, la jeune femme avait juste l'air d'avoir eu un coup de fatigue et lui aussi. Il aurait pu la tuer pour être sûr mais ça ferait trop de travail. Ouvrant de nouveau les portes de son église, Justin ne laissait rien paraître de suspect. Une fois quelqu'un de ses frères arrivés, il laissait croire que la jeune femme s'était assoupi car elle avait eu des vertiges puis il prétexta avoir du boulot dans l'église en laissant ses frères gérer le réveil de la lycéenne. Si elle ne voyait pas son visage, c'était un risque en moins à ne pas essayer? Qui sait, ça pourrait réveiller les anciennes cicatrices encore fraiches?
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Son bourreau ne prêta nul attention à la supplique de la jeune femme, du moins à celle de la créature qui se cachait dans le corps de la jeune étudiante. D'ailleurs dans la forme c'était cette dernière qui se faisait violer et qui prenait du plaisir de ce qui lui arrivait. Mais pour une raison inconnue de l'ange, la nature de la drogue, c'était elle qui ressentait ce plaisir, qui réagissait aux mouvements de ce sexe qui s'enfonçait dans le corps de son hôte. Gabrielle avait le sentiment, la sensation que c'était son corps qui subissait cet outrage et le plaisir qu'elle sentait monter en elle devenait de plus en plus puissant.
Gabrielle se mordit les lèvres afin de retenir la râle de plaisir qui montait dans la gorge de la jeune Fukô, mais elle n'avait aucun contrôle sur ce corps et ne put rien faire. La supplique, les mots qu'elle avait prononcé, n'avait fait qu'accroitre le désir du jeune prêtre qui mettait plus de cœur à l'ouvrage, ravageant par ce fait l'esprit de l'ange qui céda sous les vagues de plaisir qui déferlaient en elle. Gabrielle n'était plus à cet instant l'instrument de la colère et de la volonté divine, elle n'était plus que l'instrument du plaisir de son violeur, de son corps. La jeune femme ne retenait plus son plaisir, laissant échapper une râle à chaque coup de rien.
Lorsque le jeune prêtre vint lui serrer la poitrine, tout en donnant ces dernier coups de riens, l'esprit de Gabrielle baignait totalement dans une mer de plaisir. Elle connut un orgasme lorsqu'il éjacula en elle, ce dernier avait pour source l'était psychologique de la jeune femme, plus qu'une raison physique. Toujours à son plaisir, l'ange ne sentit l'aiguille s'enfoncer dans son coup. Ce ne fut qu'au moment où elle se sentit partir qu'elle comprit qu'elle venait une nouvelle fois d'être drogué.
Lorsque Fukô se réveilla, elle sentait son esprit embrouillé et n'avait que d'étranges brides du souvenir d'un plaisir physique. La jeune étudiante regarda autours d'elle et aperçut le jeune prêtre , ce dernier devait s'en être retourné à ses affaires la laisser dormir. Mais il y avait quelque chose d'étrange, qu'elle ne parvenait pas à identifié, surement un rêve, un bien étrange rêve en ce lieu.
* je devrais peut être arrêter de lire ces hentai et doujinshi.*
Puis Fukô, se leva, salua le jeune prêtre, ne voulant pas plus le déranger et se dirigea vers la sortie. Elle ne put s’empêcher de regarder derrière elle, vers ce banc puis ce jeune prêtre. Puis haussant les épaules, elle quitta la protection de l'église et alla affronter la chaleur de cet été.