Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Ishikawa Chikako le samedi 28 mai 2011, 08:11:09
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Chikako avait prit une bonne douche et s'était envoyée une bonne bière après le show. Le match de ce soir avait été particulièrement dur, car il s'agissait d'un match en 2 vs 1 où ce fut elle qui était en position de faiblesse. Elle n'avait pas gagnée ce combat, mais ne l'avait pas perdu non plus. Grâce à ses tricheries et à ses ruses, elle était parvenue à se faire disqualifier en même temps que ses adversaires par ring out. Ce qui avait entrainé un no contest. Ce n'était que reculer pour mieux sauter puisqu'un rematch avait alors été décrété, mais cette fois en tag team match, avec sa partenaire de longue date. La victoire lui était alors quasiment assurée. Elle traversait le quartier de la Toussaint pour rentrer chez ses parents, comme le week end elle pouvait y dormir. Elle eut alors la sensation étrange qu'on l'observait...
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Mach avait reçu une demande de contrat quelques jours plus tôt et en demandant d’en apprendre plus, l’homme lui fixa rendez vous devant un salle de Lutte- catch –boxe…. Ainsi, le dit jour, le mercenaire rejoignit son futur employeur, qu’il reconnu grâce aux signes distinctifs qu’ils s’étaient arrangés d’avoir. L’homme l’avait donc invité à participer au spectacle, même si le jeune homme refusa dans un premier temps. Mais, toutes ses demandes d’informations sur le contrat n’obtenaient aucunes réponses, ou au mieux un « Vous le saurez en temps voulu.»
Et d’ailleurs, le combat tarda peu à commencer, alors que manque de pot pour le jeune homme, ce dernier se trouvait au premier rang, près du ring. S’attendant à voir deux hommes entrés sur le ring, il fut tout de même surprit de voir trois femme. Le pire s’est que la salle devint un vrai brouhaha sous les divers encouragements. Et son futur employeur, enfin s’il acceptait le contrat faisait parti de ceux là, puisqu’il s’échinait à encourageait une femme aux cheveux bleus, assez musclée, mais pas trop moche, surtout en comparaison de ces deux adversaires.
Cependant, il fallut attendre la fin du combat, qui fut étrange aux yeux du néophyte, pour apprendre finalement la raison de sa présence. Celui-ci voulait que le jeune homme se charge de lui amener, peu importe la manière, la jeune catcheuse en question. Et au vu de la difficulté qu’il risquait de trouver, surtout pour capturer celle-ci, s’il cherchait à employer la force, il fixa un prix assez élevé. Mais, étrangement, l’homme ne discuta pas le prix et accepta.
Mach décida donc de profiter du jour pour l’accomplir, se disant que la mission pourrait être assez facile dans un sens. Si bien qu’il quitta rapidement l’homme après avoir accepté le contrat, dans le but de rejoindre l’entrée de service du hall. Et il y arriva juste à temps pour voir la catcheuse sortir. Cependant, elle n’était pas encore seule, puisqu’elle était entourée de ses deux adversaires, et de leurs équipes de préparations. Il se mit donc à les suivre dans le quartier de la Toussaint, lieu où se trouvait la salle, et donc pouvait indiquer que ces combats n’étaient pas très légaux.
Finalement, la demoiselle se retrouva rapidement seule, et le jeune homme sourit, tout en la suivant dans une petite rue. Elle s’arrêta soudain, avec une expression que quelqu’un l’observait, ce qu’il déduit de son visage. Et elle était loin d’avoir tord, puisqu’elle était carrément suivit Sans attendre, l décida d’agir, et vint se coller à son dos, passant un bras au niveau du cou tandis que l’autre regroupait les bras de la demoiselle dans le dos de celle-ci. Il ne se priva pas d’y mettre de la force, sachant que la jeune femme en avait pas mal, et aurait pu se défaire de l’emprise aisément sinon.
- Désolé, mais quelqu’un voudrait te rencontrer, et m’a laisser carte blanche sur la façon dont je devait t’amener à lui !
Dit Mach calmement, montrant tout de même qu’il luttait pour maintenir sa prise
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Chikako s'était sentie observée mais était loin de se douter qu'on l'avait prise pour cible. Aussi n'eut-elle pas le temps d'agir et se laissa bêtement attraper en prise du sommeil. Partant de là, elle le savait, elle n'avait plus que 10 secondes pour se dégager de la prise, ou bien elle manquerai d'oxygène et s'endormirait, tout comme elle avait faillie se noyer quelques jours plus tôt à cause des jeux tordus d'une certaine sirène.
-- Désolé, mais quelqu’un voudrait te rencontrer, et m’a laisser carte blanche sur la façon dont je devait t’amener à lui !
Avait annoncé son agresseur... Et puis quoi, encore ? Elle n'allait certainement pas se laisser faire aussi facilement non mais oh ! Ses bras prit par son adversaire, elle envoya d'abord un puissant coup de son dans le tibia de l'agresseur, afin de tenter de libérer ses bras. Une fois qu'elle aurait réussie à libérer ses bras, au moins elle pourrait tenter autre chose pour se défaire de l'individu.
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Ayant accepté le contrat sur la catcheuse, Mach l'avait donc suivi après sa représentation. Mais, il semblerait que cette dernière ait un bon sixième sens, puisqu'elle sentit sa présence. Se rendant compte de cela, le jeune homme décida de passer à l'action et vint immobiliser le corps de la demoiselle dans une position qu'il lui serait difficile de sortir sans force. Chose dont elle ne manquait malheureusement pas, à ce qu'avait vu le mercenaire. D'ailleurs dans cette position, leur corps étaient l'un contre l'autre, et il pouvait le sentir une nouvelle fois
Il lui expliqua donc rapidement la situation, mais n'aurait comme seule réponse qu'un coup de pieds dans les tibia. Cependant, cela ,ne le fit guère broncher. Ce n'était pas la première fois qu'il prenait des coups, et même si cela faisait mal, ce qui était quand même le cas, il avait apprit à y faire face. Maos; cela le fit tout de même reculer, entraînant tout de même la jeune femme avec lui. Cependant, peut être que celle ci aurait le temps de trouver une faille durant ce léger laps de temps où la prise était inéluctablement moins intense
- En tout cas, pour qu'il engage quelqu'un pour t'amener à lui, s'est que tu dois sacrément lui plaire !
Dit-il alors, à la fois pour la distraire pendant qu'il raffermissait sa prise, et lui faire perdre le fil de ses propres plans de contre attaque éventuelle. Mais, dans un sens, et de plus prêt, il fallait avouer que la catcheuse n'était pas moche.
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[HRP : J'ai eu une petite idée... ^^ Mais du coup, le post sera aussi très court :S]
Chikako essaya de se débattre comme elle pouvait. Si elle parvenait à lui attraper la tête, elle pourrait au moins tenter de le faire tomber au sol en lui faisant un coup d'arpin, en le faisant passer par dessus son épaule. Cette prise lui aurait permis de se dégager de la prise du sommeil qu'était en train de lui appliquer son adversaire. Mais le peu de pression qu'il avait relâché n'avait pas été assez pour le lui permettre. Pire, il lui avait fait perdre ses moyens en lui parlant de la raison d'une telle agression, et en rajouta une couche.
-- En tout cas, pour qu'il engage quelqu'un pour t'amener à lui, s'est que tu dois sacrément lui plaire !
-- Gllarg... !
*Et merde !
Chikako se débattit de longues minutes durant mais face au style de son adversaire elle ne put résister longtemps, et là : pas d'arbitre ni de cordes pour faire casser la prise... Si bien qu'elle finit par s'évanouir, ce qui était sans doute le but de l'agresseur. A présent, le mercenaire pouvait honorer son contrat...
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Le léger mouvement de Mach ne permit cependant pas à la demoiselle de retourner la situation à son avantage, et cela malgré toutes les tentatives qu'elles tenta encore. Elle ne répondit d'ailleurs que des borborygmes lorsque le jeune homme la lança sur ses charmes. Etait ce le fait d'être troublée qui la rendait impuissante à ce point ou la chance du jeune homme qu'elle soit déjà en partie fatiguée par son combat ? Quoi qu'il en fut réellement, la résistance s'estompa, et le poids de la jeune femme devint un poids mort, signe qu'elle venait de s'évanoui.
- Et bien, cela a été assez facile finalement !
Commenta t il alors qu'il retenait le corps de Chikako pour ne pas non plus qu'elle s'affale sur le sol. Le mercenaire la prit donc en poids et en volume, un peu comme une mariée quand le mari la fait entrée dans la chambre pour la nuit de noce. En effet, la mettre sur son dos aurait été plus délicat. Et si cela aurait été moins fatiguant, et moins remarqué dans les rues, le mercenaire s'en fichait. Il se mit donc à marcher tranquillement, rejoignant vite une rue animée, ou bien entendu, les habitants et passants le regardèrent en se demandant ce qui arrivait à la jeune femme.
- Vous allez bien? Vous voulez qu'on appelle une ambulance pour elle ?
Demanda alors un passant inquiet en se rapprochant de Mach. Ce dernier fut un peu surprit sur le moment avant de réaliser que la façon de porter la jeune femme était aussi celle que les gens avaient de porter les blessés, hormis qu'en général, ils appelaient aussi à l'aide à ce moment là.
- Ne vous inquiétez pas, elle s'est juste endormit !
Répondit il en faisant un sourire rassurant à l'homme, qui apaisa aussi les personnes alentours. Il se remit alors en route, devant faire face par moment au même genre de commentaires. Son itinéraire pour rejoindre la demeure de son commanditaire le fit alors passer devant chez lui, et il s'arrêta alors un moment devant la porte et se mit à se demander s'il ne devait pas monter, pour éviter d'avoir droit de nouveaux à cela sur la suite du parcours, puisque cela devenait ennuyant.
Puis, il décida que cela était inutile, et se dit que plus vite il aurait fini le travail, plus vite il aurait fini avait ces remarques. Il se remit donc en marche pendant de longues minutes avant d'arriver devant le portail d'une grande maison. Celle ci était assez luxueuse, et un petit parc servait de jardin entre le portail et la demeure.
- Suis sur qu'il va s'a jouer les Prince charmant réveillant la belle aux bois dormant !
Dit Mach amusé en regardant la jeune femme avant de sonner à la porte. En effet, quelque chose lui disait que son employeur actuel était du genre à user de cela pour avoir une femme. Sinon pourquoi employer un mercenaire pour lui en ramener une, aussi célèbre soit elle ?
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Inconsciente, Chikako n'entendit pas les remarques du mercenaire et des badauds qu'il croisait. Ils arrivèrent enfin à la demeure de son commanditaire et celui-ci vint ouvrir à son employé.
-- Elle est endormie !? Voila qui est parfait !!
Il fit entrer Mach dans sa maison et l'invita à le suivre dans une sorte de laboratoire.
-- Vous avez fait du bon travail !!! Venez ! Allongez là sur la table là.
Une fois que Chikako fut allongée, il l'attacha au lit avec des sangles. Il alla ensuite chercher une mallette pleine de billets de banque.
-- Voila le reste de votre paiement, et un bonus si vous acceptez un autre job... Que diriez vous d'être mon assistant. Rien de bien sorcier, rassurez vous !
Il fit alors une piqure à Chikako pendant qu'il parlait.
-- Vous êtes jeune et en parfaite santé... Vous serez le donneur idéal !!
L'homme, assez âgé, tenait plus du savant fou que du psychopathe pourtant sa façon de parler et de se dandiner en s'extasiant, alors qu'il caraissait le visage de la lutteuse, faisait un peu peur à voir.
-- Elle aussi, elle est parfaite ! Robuste ! Deux génomes parfaits ! Aucun risque de rejet, ha ha !! Oh s'il vous plait dites oui ! Je vous ai déjà payé la moitié !
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Mach arriva donc rapidement, enfin il ne vit pas passer le temps, donc ne put le confirmer, chez son commanditaire.. Ce dernier vint lui ouvrir directement, et sembla se montrer ravi de découvrir la jeune femme inconsciente. Décidément, le comportement étrange de son employeur exaspérait le mercenaire, qui se demandait pourquoi il se réjouissait. Craignit-il des coups si elle avait été réveillée ? Surement. D’ailleurs, il conduisit le jeune homme jusqu’à un laboratoire et fit poser la demoiselle sur une table.
Même si la logique aurait voulu que cela soit dans un lit, le jeune homme ne dit rien, ne cherchant pour le moment pas à savoir ce que l’homme comptait faire de la demoiselle, cela ne le regardait pas. Ainsi, Mach ne réagit pas quand Chikako fut attachée sur celle-ci avec des sangles, laissant simplement son esprit penser, que l’homme allait pouvoir s’amuser sans craindre de représailles ainsi
- Merci !
Se contenta t il de répondre quand l’homme lui présenta la mallette ouverte, remplit de billet de banque. Mais, si Mach pensait en avoir fini, il se retrouva bien vite avec une proposition de faite, sans même que l’homme ne le regarde, occuper à droguer, sans doute, la jeune femme en même temps.
- Et si vous demandiez ce que vous attendez de moi plutôt que de tourner autour du pot avant que je ne décide si j’accepte ou non, en fixant un nouveau tarif donc pour le travail supplémentaire ?
Demanda t il un peu froidement. Après tout pourquoi perdrait-il son temps ici, une fois que le contrat était fini hein ? Bien sur, les allusions que firent le vieil homme laissèrent supposer quelques trucs au mercenaire sur sa requête, mais, ce n’était pas suffisant pour que ce dernier accepte aussi facilement.
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-- Merci !
Répondit sobrement le mercenaire après le paiement de sa sale besogne. Quant au nouvel emploi proposé, il demanda plus d'explications.
- Et si vous demandiez ce que vous attendez de moi plutôt que de tourner autour du pot avant que je ne décide si j’accepte ou non, en fixant un nouveau tarif donc pour le travail supplémentaire ?
Le vieux loufedingue sautilla comme une sauterelle, excité.
-- Oh, c'est simple ! Je voudrai un enfant de vous !
S'arrêtant de sautiller après quelques secondes et, se rappelant soudain que ces paroles pouvaient porter à confusion, il précisa :
-- Je veux dire... Je suis un vieil homme seul et défraichit... Je n'ai jamais eu de femme... Ishikawa Chikako est mon idole, et vous... Vous êtes tout les deux robustes et en bonne santé... Je voudrai un enfant de Chikako et vous. D'abord je prélèverai un ovule de ma lutteuse adorée, ensuite je le féconderai avec votre semence et placerai l'embryon dans l'utérus d'une de mes servantes qui sera mère porteuse... Et quand tout sera terminé, vous ramènerai Chikako chez elle... Je l'apprécie trop pour ne plus la voir sur un ring, vous comprenez ? Qu'en dites-vous !?
Le vieux avait tout du savant fou. Il n'était pas bien méchant, mais avait des méthodes peu scrupuleuses des lois...
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Si Mach pensait en avoir fini avec le travail, alors que le riche scientifique attachait Chikako sur une table, il se vit proposé un nouveau contrat. Mais, le fait que l’homme tourne autour du pot l’agaça un minimum et lui coupa le caquet en lui demandant ce qu’il attendait de lui. Mais, lorsque la réponse lui vint, il ne manqua pas d’être surprit. En effet, ‘homme voulait que Mach serve de père à son enfant, ou du moins qu’il en soit le géniteur.
Mais, il fallut dire que la façon dont l’homme l’annonça aurait surprit n’importe qui, puisque s’était en général les propos d’une femme à son époux ou un homme dont elle voulait les gênes. Ainsi, venant d’un homme, les propos auraient de quoi rebuter beaucoup de monde, Mach y comprit. Heureusement pur lui, en voyant l’expression qu’adopta le mercenaire, le vieil homme s’expliqua plus clairement. Mais ? Cela laissait toujours des questions à l’esprit du jeune homme.
- Vous voudriez donc que je me masturbe pour récupérer ma semence pour féconder l’ovule que vous lui prélèverez avant de le mettre dans une mère porteuse !
Il venait en gros de résumer l situation, mais quelque chose clochait dans celle-ci, et cela se voyait bien.
- Mais, je ne vois pas ce qu’il y a d’excitants à se faire plaisir tout seul. Personnellement, je préfèrerai le faire avec une charmante demoiselle, quitte à éjaculer dehors, où l’intéressée….Mais, cela risque de vous déplaire cette seconde option, autant qu’à elle dans ces circonstances..
Dit-il en mettant donc son point de vue sur la chose, sans pour autant accepter, même si cela semblait grandement parti, si le vieil homme venait à se plier à cette idée, ou refuser la proposition de ce dernier.
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[HRP : désolée si c'est un peu court. La reprise est difficile ^^"]
Le mercenaire ne tarda pas à répondre au surprenant contrat.
-- Vous voudriez donc que je me masturbe pour récupérer ma semence pour féconder l’ovule que vous lui prélèverez avant de le mettre dans une mère porteuse !
Le vieux foufou se mit à rire en gesticulant.
-- C'est ça !
- Mais, je ne vois pas ce qu’il y a d’excitants à se faire plaisir tout seul. Personnellement, je préfèrerai le faire avec une charmante demoiselle, quitte à éjaculer dehors, où l’intéressée….Mais, cela risque de vous déplaire cette seconde option, autant qu’à elle dans ces circonstances..
Le vieux riche eut alors une idée :
-- Oh ! Ecoutez jeune homme ! Si vous êtes d'accord pour faire comme ça, après vous pourrez la ramener chez elle et lui faire tout ce que vous voulez ! Sauf lui faire du mal, c'est tout ce que je vous demande... Je veux pouvoir continuer à la voir lutter... Mais avec l'anesthésiant que je lui ai injecté, elle en a pour plusieurs heures à dormir. Quand elle se réveillera, elle sera comme ivre et sans défense. Vous pourrez jouer avec elle !
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Mach avait donc bien comprit le sens du second contrat, mais visiblement le vieil homme ne saisit pas les suggestions de Mach. En effet, ce dernier avait laissé clairement supposer qu’il n’avait guère envie de se masturber simplement, mais plutôt de partager un moment de plaisir charnel. Et il se doutait bien que l’idée de le faire avec Chikako sous ses yeux ne lui plairait guère, s’est pourquoi, même s’il évoqua le sujet, il avait aussi suggéré de le faire avec une autre femme, en éjaculant dehors, pour permettre à ce dernier d’ensuite récupérer sa semence..
La réponse que formula le vieil homme, montra bien son incompréhension visiblement, laissant soupirer Mach. En effet, ce dernier suggérait qu’une fois le travail fait, il pourrait user de la catcheuse comme bon lui semblait, ce qui n’était pas tout à fait la même chose.
- J’ai l’impression que vous n’avez pas totalement saisi le sens de mes paroles. Je voulais dire que je ne suis pas spécialement adepte du plaisir solitaire, et je ne vois pas prendre du plaisir avec la demoiselle dans son état actuel, puisque, même si elle est jolie, elle n’a rien d’excitant en la situation présente…
Dit-il calmement en regardant la jeune femme, allongée, inconsciente et attachée sur la table.
- Non, ce que je voulais dire, s’est que pour prendre réellement du plaisir, il faut aussi qu’on voit quelqu’un en prendre, autant qu’il nous en donne !
Dit-il, en revenant poser son regard sur le vieil homme pour voir s’il avait saisi. Ainsi donc, il faudrait donc une personne consciente, et plus ou moins consentante, qui accepte de faire cela avec lui aussi. Car pour le moment, par exemple, Mach n’avait pas spécialement envie de se branler, et il faudrait le mettre en condition donc….
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[HRP : T'en fais pas, après ton prochain post elle sera plus éveillée ^^]
Le foufou resta perplexe quelques secondes lorsque le mercenaire répondit :
-- J’ai l’impression que vous n’avez pas totalement saisi le sens de mes paroles. Je voulais dire que je ne suis pas spécialement adepte du plaisir solitaire, et je ne vois pas prendre du plaisir avec la demoiselle dans son état actuel, puisque, même si elle est jolie, elle n’a rien d’excitant en la situation présente Non, ce que je voulais dire, s’est que pour prendre réellement du plaisir, il faut aussi qu’on voit quelqu’un en prendre, autant qu’il nous en donne !
-- .... ?
Il prit quelques longues secondes encore pour réfléchir.
-- Bon, après tout, pourquoi pas ! Vous n'avez qu'à la mettre enceinte quand elle se réveillera, je la rendormirai après pour prélever l'ovule fécondé !
Le vieux sautilla partout comme un cabri, et alla chercher des sels d'ammonium dans son fourbi médical, afin de réveiller Chikako. Après lui avoir fait sentir les sels, Chikako finit par se réveiller. Elle était dans un tel état, similaire à une forte ébriété, qu'elle ne pouvait aller bien loin. Aussi la détacha-t-il.
-- Hummmm...
Gémit plusieurs fois la lutteuse durant son réveil.
-- Hé hé ! A vous de jouer, mon garçon !
Déclara le vieux à Mach. Il sortit de la pièce et les laissa seuls... Ou presque : il y avait des caméras cachées dans la pièce... Chikako regarda partout autour d'elle et finit par voir Mach dans une forme très floue.
-- Hummm... Qui c'est ?...
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Le vieil homme mit du temps avant de se décider, et accepta finalement les propositions de Mach qui le vit chercher dans un placard et en sortir quelque chose qu’il fit respirer à Chikako avant de sortir de la pièce, laissant donc le mercenaire faire son affaire. Pendant, ce temps, la demoiselle gémissait, comme si elle avait fait un rêve érotique, laissant le jeune homme sourire. Ce dernier avait suivi le propriétaire sortir, se disant qu’il aurait put être au moins leur mettre une chambre à disposition, cela aurait sans doute été plus confortable.
Mais bon, on ne pouvait pas tout avoir, et en pensant qu’il y avait probablement des caméras quelques part pour surveiller tout cela, voir en profiter pour prendre du plaisir lui-même derrière l’écran, Mach laissa le vieux de côté. Son regard se porta sur Chikako, qui semblait enfin avoir reprit connaissance, mais ne le reconnut pas au vu de sa question.
- Tu n’en as pas une petite idée ?
Dit-il en esquissant un sourire amusé, en arrivant aux côtés de la jeune femme, toujours allongée sur la table, malgré qu’elle soit libre. Une main du jeune homme vint d’ailleurs se poser sur l’une des cuisses de la demoiselle, sans qu’il ne la bouge pour le moment.
- Que dirais tu de t’amuser avec moi un moment ?
Demanda t il n caressant lentement la cuisse avant de se pencher vers la jeune femme. Il vint se coller joue contre joue, pour mettre sa bouche au niveau de l’oreille de la demoiselle, puisque s’il savait qu’il y avait des caméras, il ne savait pas s’il y avait des micros.
- Et je pourrais peut être t’aider à sortir de la maison de ce vieux sénile qui sait ?
Dit-il dans un murmure. Certes, s’était lui qui l’avait mené ici, mais si elle payait bien, ou lui donnait une raison de retourner sa veste, Mach ne se ferait pas prier pour le faire. Après tout, qui a dit que les mercenaires étaient loyaux. Sul l’attrait du gain semblait les attirer, mais était ce là aussi la motivation de Mach, ou bien n jouait il seulement ?
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La vue floue. L'ouïe brouillée. La tête qui tourne. Chikako ne savait plus où elle était. Elle se sentait lourde, incapable de bouger. Elle n'avait même l'impression que son esprit n'habitait plus son corps qui n'était plus qu'une lourde masse de chair. La forme floue parla donc avec une voix semblant venue d'outre-tombe. Enfin, c'était ainsi que Chikako l'entendait vu son état vaseux. Comme si on lui avait fait gobé un cachet de GHB.
-- Tu n’en as pas une petite idée ?
-- Hein ?
Gémit-elle, ne comprenant rien à ce qui se passait présentement. Elle sentit juste une main se poser sur sa cuisse, qu'elle resserra par réflexe pour protéger son intimité.
-- Non...
-- Que dirais tu de t’amuser avec moi un moment ?
-- Non... Pas avant demain... Je suis fatiguée...
Comatant toujours entre deux mondes, le sommeil et le réveil, le cerveau de Chikako avait beaucoup de mal à décrypter la situation, aussi répondit-elle à côté de la plaque, comme si elle était en train de rêver. Pourtant ce n'était pas le cas et elle sentait bien la caresse sur sa cuisse.
-- Non... Je suis fatiguée...
Mais son corps réagit de lui-même à ce contact sensuel et sa respiration se fit haletante.
- Et je pourrais peut être t’aider à sortir de la maison de ce vieux sénile qui sait ?
-- Hum... Non... Je veux pas aller en ville, fait trop chaud l'été...
Par instinct, elle passa une main sur son front pour s'essuyer, car elle transpirait. Les caresses de Mach sur sa cuisse lui faisait de l'effet, bien qu'elle était encore trop inconsciente pour pleinement les apprécier. Si pendant quelques minutes elle garda les jambes serrées, bien vite, à force d'insister, Chikako finit par laisser sa jambe bouger toute seule, laissant une petite ouverture au mercenaire.
-- Hum... J'ai chaud... Ouvre la fenêtre, s'te plait...
Dit-elle en gémissant de plaisir sous les caresses du mâle.
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La jeune catcheuse était toujours dans les vapes sur la table, et du moins pas suffisamment consciente pour comprendre réellement ce qu’il se passait. Si bien que même les caresses de Mach sur sa jambe ne lui firent pas d’effets. Ou du moins pas celui qui aurait fait réagir toutes femmes en temps normal. Non, Chikako se croyait visiblement dans sa chambre, subissant les effets de la chaleur sans même se soucier de la personne à ses côté. Pire, elle agissait comme si s’étaient de vieilles connaissances.
Ainsi, le jeune homme se contenta de continuer son affaire, souriant aux divers commentaires, hors de propos de la demoiselle. Même si celle-ci sembla réaliser, de façon inconsciente du moins, les envies de son partenaire en essayant de s’y soustraire en avançant qu’elle était fatiguée. Bien sur, s’était le contexte qui était hors de propos là, puisque le mercenaire comptait en effet, bien s’amuser avec elle.
Le corps de cette dernière réagissait positivement n tout cas, puisque ses cuisses frissonnèrent à ses caresses, et Mach ne manqua pas de remarquer le changement du rythme de la respiration de Chikako.
- Pourtant, tu ne sembles pas avoir envie que je m’arrête ?
Finit par répondre le jeune homme en se penchant pour venir le murmurer à l’oreille de la jeune femme. Puis, il vint lui déposer un simple baiser, collant quelques secondes ses lèvres aux siennes donc, sans que sa mains s’arrêtent. D’ailleurs, les cuisses de la jeune femme s’écartèrent, et Mach sourit, en pensant à une invitation.
- Non, je ne voudrais pas que tu te refroidisses !
Répondit le jeune homme au dernier commentaire de la demoiselle gémissante. Sa main accepta donc l’invitation, et remonta d’une caresse lente et douce sur la cuisse de Chikako. Il arriva donc sur l’intimité d celle-ci, visiblement déjà légèrement humide, ce qui fit sourire Mach, qui voyait qu’elle était au moins réceptive à tout cela. Ainsi, il fit ses caresses sur cette zone, pressant plus ou moins sur celle-ci pour varier l’intensité du contact. Pourtant, même s’il caressait sa vulve et son clitoris, allant quelques fois sur l’anus, Mach conserva pour le moment sa main sur l morceau de tissu, qui s’humidifiait de plus n plus, et donc limitait de moins en moins les sensations ressentit par Chikako.
- A moins que tu ne veuilles réellement que je m’arrête ?
Dit-il pu après, en regardant le visage de la catcheuse, le sin étant toujours à quelques centimètres, puisqu’il ne s’était pas relevé.
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-- Pourtant, tu ne sembles pas avoir envie que je m’arrête ?
Répondit le mercenaire, en le murmurant à son oreille avant de l'embrasser fourbement dans son état de semi-conscience. Sans s'en rendre compte, Chikako répondit volontiers au baiser.
-- Non, je ne voudrais pas que tu te refroidisses !
Répliqua-t-il, quand Chikako demanda de fermer une hypothétique fenêtre que son subconscient lui avait fait imaginer. L'homme lui caressa alors l'entrejambe, ce qui excita encore plus la lutteuse qui, entrouvrant les yeux, enlaça Mach tendrement. Son cerveau n'avait pas encore intégré toutes les données, mais elle savait qu'un beau jeune homme, dans la trentaine, s'évertuait à lui faire du bien. Plutôt mignon... Aussi le laissa-t-elle faire, savourant à moitié le plaisir qu'elle ressentait.
-- A moins que tu ne veuilles réellement que je m’arrête ?
-- Non...
Gémit-elle, implorante. Elle l'embrassa alors, qu'il comprenne qu'elle en désirait plus.
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Chikako à moitié endormi encore, ne refusait pas les attentions qu’étaient en train de lui porter Mach. Et cela, malgré qu’elle soit encore dans le coltard et qu’elle ne savait pas trop ce qui lui arrivait. Enfin, son corps le savait et réagissait bien aux caresses de son partenaire. La demoiselle vint même à participer au baiser de son compagnon avant de finir par l’enlacer et répondre simplement qu’elle n’avait pas envie qu’il s’arrête. Le jeune homme en sourit avant de voir ses lèvres dérobées par la demoiselle dans un fougue baiser.
- Très bien, je ne m’arrête pas….
Dit-il avant de descendre sa bouche dans le cou, puis la nuque de la demoiselle. Une de ses mains continuait toujours de stimuler l’entre jambe de la lutteuse, alors que l’autre vint se placer sur l’un des seins qu’elle commença à malaxer tendrement, pour la stimuler davantage. Mais, visiblement, elle était déjà assez excité puisqu’il découvrit rapidement que son téton était déjà durcit.
- Et même si tu avais répondu que tu voulais arrêter, ton corps semble en vouloir plus….
Continua t il en souriant avant de venir s’emparer du second téton avec sa bouche, où il gratifia ce dernier de coup de langues, mais aussi divers autres jeux de succion avec ses lèvres entre autre. Son regard poser sur le corps de Chikako se relevait parfois pour voir les réactions de son visage, et voir si celle-ci allait prendre réellement conscience de ce qu’il se passait, au lieu de se l’imaginer comme un rêve
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La lutteuse ne pouvait s'empêcher de gémir sous les mains -et la bouche- du mercenaire. Certes, le produit agissait toujours, mais le peu qu'elle avait vue de son visage lui plaisait beaucoup. Il était bel homme, on ne pouvait le nier, aussi se donna-t-elle complètement à lui.
-- Très bien, je ne m’arrête pas….
Elle sourit alors, frémissant et tremblant comme une branche d'arbre sous une rafale de vent. Elle sentait son intimité chaude et humide, stimulée par les mains puissantes du combattant.
- Et même si tu avais répondu que tu voulais arrêter, ton corps semble en vouloir plus….
-- C'est vrai...
Dit-elle, toujours dans son état de semi-conscience, tout en soupirant de plaisir. Elle ajouta sur un ton lascif :
-- Viens...
A présent, Chikako voulait le sentir en elle, dur et vigoureux. Elle voulait que cet inconnu l'honore comme il se devait. Elle l'embrassa à son tour dans le cou, savourant le parfum viril de ce bel étalon.
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Le laboratoire du vieil homme servait actuellement à des activités totalement différentes de son utilisation normale. En effet, Mach était en train de stimuler le plaisir d’une jeune femme à moitié consciente, mais qui se montrait très réceptive à ses caresses. Etait ce de son propre chef ou du à une drogue quelconque, le mercenaire s’en fichait bien, et continuait de passer sa main sur l’intimité, et même l’entrée arrière de Chikako. Celle-ci était d’ailleurs très excité, et bien qu’elle soit libre de ses mouvements, puisque Mach l’avait libéré il y a bien longtemps pour le plaisir qu’ils allaient partager, la demoiselle restait pour le moment immobile.
Il la titillait un peu avec les réponses qu’il apportait à l’ancien objet de son contrat, et d’une certaine façon, toujours celui du dernier passé avec le vieil homme. Mais, encore une fois, la jeune femme ne montrait que des signes d’envie, et d’en avoir plus. Elle se montra d’ailleurs bien rapide d’avoir le sexe du jeune homme en elle, et la demande de Chikako fit sourire Mach.
- On est bien pressé dis donc….
Dit-il avant de se saisir de nouveau des lèvres de la jeune femme, sans changer les choses dans les caresses qu’il faisait avec ses mains sur les lèvres intimes pour l’une et un sein sur l’autre.
- Moi, j’ai tout mon temps, et il serait égoïste que tu ne soit la seule à en profiter pleinement de ce moment, tu ne crois pas ?
Ajouta t il quand le baiser fut rompu, mais laissant ses lèvres à quelques centimètres de celles de la jeune femme pendant un moment, avant qu’il ne descende progressivement, les remettant en contact avec le corps de la demoiselle, jusqu’à arriver sur sa poitrine, et commencer à sucer l’un des tétons de la jeune femme.
- Mais, si tu veux quelque chose, voilà…
Dit-il avant de faire entrer un doigt dans l’intimité, bien humide, de sa partenaire. Il commença par aller bien profondément avec celui-ci, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus avancer donc, avant de commencer de lents vas et viens. Mais, il ne comptait pas répondre aux envies de Chikako tout de suite, même s’il aurait pu le faire, puisque son pénis était quand même déjà suffisamment en érection pour se le permettre. Mais, il avait décidé que la demoiselle devrait tout de même le répêter, et donc ne plus se laisser simplement faire et profiter toute seule du plaisir qu’elle recevait. Si bien que si on pouvait penser que s’était Mach qui se servait d’elle comme jouet, l’inverse pourrait aussi être vrai, surtout s’il se contentait de répondre favorablement à chaque envie formuler par la belle.
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La pénétration de son intimité par les doigts du mâle électrisa Chikako, si bien qu'elle reprit un peu ses esprits. Le produit anesthésiant commençait à perdre de son efficacité, et cela ferai surement les affaires du mercenaire.
-- Oooohhh... !
La lutteuse gémit alors, les joues rougies par le plaisir et une excitation grandissante. Sa main alla chercher alors le service trois pièces cuisine du mâle en rut. Encore un peu groggy, seuls les bouts de ses doigts effleurèrent les bijoux de famille et le gland du membre en érection. Sentir ainsi cette belle perche toute dure la mit dans un état de désir ardent.
Elle saisit alors le poignet de l'homme et le força à retirer ses doigts, avant de le retourner de force. Une fois l'homme allongé sur le dos, elle l'embrassa sur le torse, jouant même de sa langue sur les mamelons de ce parfait inconnu, jusqu'à descendre à l'objet de son envie, qu'elle mit en bouche, le suçant brièvement avant de s'interrompre aussi tôt.
-- Quand j'ordonne, on obéit !
Elle s'empala alors sur le sexe en érection et commença à remuer son bassin pour se faire elle-même plaisir. Ainsi était Chikako : quand elle voulait quelque chose, elle l'obtenait, point.
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Les festivités avaient commencé, et malgré la réaction positive de Chikako face aux attouchements de Mach, du fait qu’elle soit groggui, le jeune homme savait que cela ne durerait pas. Cela ne l’empêchait pourtant pas de profiter de la situation et faire languir la demoiselle qui réclamait déjà son sexe en érection. Décidément, elle ne semblait pas trop aimée prendre son temps ou aimer les préliminaires. Or, le mercenaire avait décidé de ne pas répondre à ses attentes tout de suite, même s’il combla une partie du manque de la jeune femme en la doigtant tout simplement. Certes, l’engin qui la pénétrait était de diamètre et longueur moins imposante que son membre, mais, procurait quand même du plaisir à la jeune femme si on se fiait à ses gémissements.
Mais, elle montra bien vite son impatience, lorsqu’une main vint s’emparer du sexe de l’homme pour le branler légèrement. Le fait qu’elle semblait avoir du mal montrait qu’elle était encore dans le coltard. Mais, elle n’y resta pas bien longtemps, puisqu’au moment où Mach accéléra le rythme de ses vas et viens avec son doigt, Chikako ne tarda pas à lui agripper le poignet et sortir ses doigts de son antre chaude et humide.
Mach n’eut pas trop le temps de réagir, alors que la lutteuse se redressait brusquement et enchaina les mouvements jusqu’au moment où le mercenaire se retrouva sur le dos, à la place de la demoiselle. Elle l’embrassa alors passionnément avant de rapidement délaissé sa bouche pour son torse, puis son sexe.
- Hmmmm….
Fut la seule chose qu’il parvint à sortir alors que la jeune femme lui faisait une fellation. En effet, elle ne lui laissa guère le temps de l’apprécier qu’elle se redressait déjà et se mettait à califourchon pour guider le sexe dur de Mach dans sa propre intimité. Il apprécia tout de même la position confortable de son sexe, dans le fourreau chaud de sa partenaire, qui commençait déjà à se mouvoir sur son pieu, laissant é échapper son plaisir.
- Mais, tu n’es pas mon employeur que je sache ? Je n’ai donc pas d’ordre à recevoir de toi ma belle !
Répondit Mach au dernier commentaire de la jeune femme. Il se redressa alors, sans que cela ne gêne Chikako, bien que leur torse vienne se presser l’un contre l’autre. Mach s’empara alors des lèvres de la jeune femme pour un nouveau baiser passionné, jouant de sa langue avec celle de la jeune femme, qui maintenant était pleinement consciente de ce qu’il se passait, mais ne s’y opposait finalement pas, bien au contraire.
Ses mains vinrent alors se placer sur les fesses de sa compagne, alors qu’il se mit à les malaxer. Mais, il finit par les presser simplement, alors qu’il prenait appui sur ses jambes. Si bien que son sexe se campa bien au fond de la chatte de sa partenaire, alors qu’il était désormais debout, portant la demoiselle. Il se mit alors à avancer avant de plaquer Chikako contre un mur, et commencer à donner des coups de reins pour continuer la pénétration.
- Mais, je ne compte pas me défiler sur le plaisir que tu demandes hein ! Je compte bien en profiter un long moment !
Reprit il alors que Chikako ne touchait plus le sol pour le moment. Il avait donc bien laissé sous entendre qu’il comptait bien s’amuser des heures, d’où le fait qu’il ait commencé plus lentement. Il retenait bien ses pulsions pour faire durer le plaisir de sa compagne plus longtemps.
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- Mais, tu n’es pas mon employeur que je sache ? Je n’ai donc pas d’ordre à recevoir de toi ma belle !
Chikako avait visiblement un peu trop titillée la virilité du mâle puisqu'il se se redressa afin de se relever avec elle dans ses bras. Il était très fort pour être capable de la soulever, elle qui était une grande gigue. Se faisant, son sexe pénétra l'intimité de la lutteuse jusqu'à son fond, ce qui lui fit un peu mal et elle se vengea en le griffant aux omoplates. Le rapport était sur le coup un peu de brutalité mêlé à de la douceur lorsque leur bouches se touchaient, la langue de l'un caressant celle de l'autre. Chikako se sentit plaquée contre un mur, les pieds dans le vide. Elle n'avait jamais essayée cette position et devait avouer qu'elle procurait de bien agréables sensations.
-- Mais, je ne compte pas me défiler sur le plaisir que tu demandes hein ! Je compte bien en profiter un long moment !
-- Oui, mon beau guerrier sans nom. Baises moi bien !
Elle gémissait à chaque nouveau coup de rein du mercenaire. Son noeud titillait comme il fallait son point G et cela la mettait dans un état d'excitation tel qu'elle n'en avait encore jamais connue.
-- Continue, mon bel étalon !
Chikako était ivre de plaisir et griffait le dos de l'homme à la fois tendrement et sauvagement, au rythme des assauts du mâle dans son bas-ventre. Elle se laissa prendre ainsi jusqu'à n'en plus pouvoir, puis elle lui demanda :
-- Poses moi, j'en peux plus ! Je voudrais que tu me fasses le petit...
Son antre commençait à lui faire mal et, pour la première fois de sa vie, Chikako voulait connaitre les sensations de la sodomie.
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Chikako avait tenté de retourné les choses en sa faveur, mais, Mach était bien déterminé à lui montrait qui commandait. Cependant, s’était tout de même assez relatif, puisque quoi qu’il faisait, cela convenir à la jeune femme, et allait donc dans le sens que celle-ci recherchait. Par conséquent, il se retrouvait à la plaquer contre le mur en la pénétrant de façon assez sauvage. Ses coups de reins n’étaient pas doux en effet, tout comme sa façon d’embrasser la jeune femme. Pourtant, celle-ci en demandait toujours plus, et le mercenaire accélérait donc son rythme à chaque fois.
Et pourtant, ses mains ne faisaient pas grand-chose, hormis malaxer les fesses de la jeune femme. Et pour cause, puisqu’elles devaient supporter la majorité du poids de cette dernière. Et ce dernier était conséquent d’une certaine façon, mais pas dans le mauvais sens du terme, juste que la demoiselle avait un corps assez musclé tout de même. Si bien que si Mach ne la voyait pas dans cette situation, il ferait probablement comme tous les hommes la considérer comme un garçon manqué. Mais, la voir gémir et crier de plaisir, tout en griffant le corps de son amant était plus féminin.
- Hmmm….. Tu es si étroite…..
A croire que peu d’hommes avaient pu s’amuser avec ce corps. Il était vrai que cela devait en rebuter plus un, surtout pour des hommes qui se sentiraient plus faibles physiquement. Mais, Mach n’était pas arrêté par ce genre de détail, surtout que la demoiselle prenait son plaisir, et participait activement à la tâche. Ne serait ce que parce qu’elle parvenait par moment à contracter ses membrane interne pour bien enfermer le pénis du jeune homme, accentuant le plaisir de chacun.
- Hihi…s’est si mignon, une lutteuse qui semble géner de ce qu’elle demande….
Dit-il avec un léger rire avant d’accéder à la demande de Chikako en la reposant délicatement au sol, pour qu’elle s’appui bien sur ses pieds. Il la fit alors se retourner pour qu’elle prenne appui de ses mains contre le mur, alors qu’il lui faisait écarter les jambes avec les siennes.
- Alors tu veux que je te prennes par là ?
Demandas le mercenaire alors que ses mains écartaient les fesses de sa compagne, révélant l’anus de cette dernière à tous yeux indiscrets. L’idée était donc assez tentante, mais, il comptait bien attendre qu’elle le supplie, ou le demande plus clairement. Il se demanda d’ailleurs s’il allait être le premier à s’immiscer dans ce joli petit trou. Il ne se montra cependant pas si tortionnaire en la faisant trop languir. Car s’il ne la pénétra cependant pas, il fit tout de même frotter son sexe durcit dessus, montant de haut en bas, pour passer sur les lèvres vaginales de Chikako, qui étaient trempées de cyprine. Si bien qu’il humectait l’anneau rectal de celle-ci quand son sexe repassait dessus, ce qui faciliterait probablement un tout petit peu la pénétration le moment venu. Mais, le ferait il rapidement ou continuerait il à la faire attendre pour accroitre son envie ?
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[HRP : Erf... Je préfère ton ancien avatar, celui de Big Boss / Naked Snake... Lui je le trouve vraiment pas beau :( Mon post va être un peu courte désolée. Je manque d'inspi' ce matin :/]
Chikako n'en pouvait plus d'attendre. Elle voulait le sentir en elle, dans son petit orifice. Le mec prenait un malin plaisir à la faire languir, frottant son membre contre son anus, sans toutefois lui offrir ce qu'elle réclamait.
-- Vas-y, bordel ! T'attends quoi !?
De sa main elle chercha le mandrin du mâle afin de le guider en son fondement. Elle s'empala dessus sans plus de formalités. Chikako était le genre de femme à savoir ce qu'elle voulait et pas du genre à tourner trois plombes autour du pot. Une fois le membre inséré en elle, elle commença à remuer son bassin pour inciter le mâle à faire de même. Cette sensation était si agréable !
-- Bouges, beau mec ! Fais moi jouir ou ça va être ta fête !
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Décidément, la jeune femme était loin d’être patiente et voulait tout tout de suite. Alors qu’elle devait très bien se doutait qu’au point où ils en étaient, le jeune homme ne comptait pas s’arrêter au milieu du chemin. Mais, il était vrai qu’il faisait exprès de ralentir la chose, au lieu de répondre directement au demande de Chikako. Après tout l’attente, était aussi un facteur d’excitation dans ce genre de situation, et il ne se privait donc pas pour la faire languir, puisque lui avait tout son temps pour prendre du plaisir.
Cependant, la jeune femme n’était pas de cet avis, et voulait se placer en dominante et imposer ses propres volontés. Il la laissa cependant faire et s’empaler d’elle-même sur son membre en érection. Ce dernier entra en forçant tout de même dans le fondement de la jeune femme, qui ne semblait pas s’en plaindre, ni avoir mal d’ailleurs, puisque l’anus n’avait pas été préparé à une pénétration.
- Rien, mais on a tout notre temps, tu ne penses pas !
Se contenta t il de répondre, alors que son sexe était désormais totalement, entré dans le trou le plus étroit de sa partenaire. En tout cas, pour y aller aussi franco, s’était que la demoiselle était tout de même assez maso, et aimait se faire mal toute seule, même pour avoir du plaisir. Et elle n’attendit pas longtemps pour commencer à coulisser sur le membre de Mach. Celui-ci n’avait d’ailleurs même pas eu le temps de s’y mettre qu’elle lui donnait déjà des ordres.
- Me menacerais tu ?
Dit il d’un ton moins amical, alors qu’il collait son buste à son dos, pénétrant profondément l’anus de Chikako au passage en y restant caler. Tout cela alors que ses mains passèrent sur le buste de la jeune femme et vinrent presser les deux seins, puis leurs tétons, sans douceur. Il songea d’ailleurs un moment se retirer, et le fit presque d’ailleurs, laissant un petit moment son gland seul à la limite de l’œillet. Mais, il donna un puissant coup de rein, écrasant le buste de Chikako contre le mur au passage, pour refaire rentrer d’un coup son sexe dans ce petit trou qui en demandait tant. Et il continua se petit jeu à un rythme plus ou moins rapide, pour varier l’intensité du plaisir tout de même, et ne pas laisser la monotonie d’un rythme régulier s’installer. Ses mains continuèrent de pétrir les seins de la catcheuse, alors que la bouche de Mach jouait de diverses façon sur le cou et l’oreille à portée de sa partenaire.
- Mademoiselle est elle plus satisfaite ?
Demanda t il avant qu’une de ses mains libère un sein pour descendre sur le ventre, puis sur son intimité. Il commença alors à jouer des doigts sur le clitoris, frottant aussi les lèvres vaginales bien humides, jusqu’au moment où il fit pénétrer trois doigts dans sa vulve, et commença à les faire aller et venir dedans. Il y était allé direct avec autant, puisque la jeune femme ne semblait guère aimer prendre son temps.
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[HRP : Oh ouuuuiiiii !!! Mon beau Snake chéri !!! ♥♥♥ J'aime ! ^^]
La lutteuse leva ses bras pour entourer le cou du mâle qui la pénétrait désormais dans son fondement et lui caresser la joue, apportant un soupçon de sensualité à leur rapport brutal. Chikako appréciait ce rapport de force qui lui rappelait plus que jamais que malgré sa passion pour le combat, elle n'en était pas moins femme pour autant. La façon un peu brusque dont le mâle la plaqua contre le mur l'excita un peu plus et elle ne put s'empêcher de pousser un petit cri de plaisir tout en gémissant.
-- Mademoiselle est elle plus satisfaite ?
-- Oh que oui ! Mon bel inconnu... Tu es si gros...
Elle remua son bassin d'avant en arrière, suivant le rythme de son partenaire, afin de ressentir encore plus de plaisir. Tout son corps vibrait de frissons d'extase. Le membre coulissant en elle lui procurait de très agréables sensations et, s'il ne cessait pas de la prendre ainsi, elle serait bientôt à deux doigts de jouir. Perdant pas le nord, Chikako voulut tout de même savoir avec qui elle... baisait...
-- Dis-moi... C'est quoi ton nom, beau mec ?
Un gémissement ponctua sa demande. La lutteuse avait à présent un souffle haletant, preuve de son état de grâce.
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A présent que Mach avait satisfait à la demande de la jeune lutteuse, celle-ci semblait parfaitement comblée, et se laissait pénétrer tranquillement. Et le jeune homme y allait à bon rythme dans l’anus et le vagin de Chikako, qui ne cachait plus son plaisir, comme l’indiquait sa voix. D’ailleurs, elle se montra plus féminine dans ses gestes quand elle vint enlacer le cou de l’homme de ses bras.
- Et toi tu es bien serrée !
Lâcha le jeune homme suite au commentaire de la jeune femme. En effet, l’anus de la belle était loin de s’offrir totalement, et si cela paraissait entrer comme dans du beurre, s’est surtout que Mach y mettait du cœur à l’ouvrage. Mais, la lutteuse voulut augmenter son plaisir et finit par participer au mouvement. A moins qu’elle ne veuille reprendre le contrôle de la situation qui sait ? Quoi qu’il en fût, cela fut à ce moment qu’elle décida de lui demander son nom.
- Est-ce que cela à réellement d’importance ?
Demanda le mercenaire, alors que pour une énième fois son pénis entrait totalement dans le cul de Chikako. Il s’y arrêta d’ailleurs quelques secondes, alors qu’il retirait la main de l’antre très humide se sa partenaire. Comme s’il portait un intérêt à la question.
- A moins que cela ne soit pour ne pas m’oublier peut être, parce que tu prends réellement ton pieds !
Dit-il avec un sourire avant de venir déposer un baiser dans le cou de la lutteuse. Toujours immobile en elle en tout cas, ses mains descendirent sur le corps de Chikako pour venir se placer derrière ses cuisses. Il veilla alors à bien appuyer son torse contre le dos de la jeune femme, avant d’exercer suffisamment de pression sur ses jambes et celles de la jeune femme pour surélever cette dernière. Son sexe sembla d’ailleurs encore plus s’enfoncer dans le fondement de sa belle durant cette manœuvre, alors que Mach portait désormais la jeune femme.
- Mais, je vais te répondre, je m’appelle Mach !
Dit il d’une voix assez essoufflée, puisqu’il faisait quand même un effort physique là. Oh pas qu’elle était lourde, juste que faire deux choses en même temps était difficiles en soit niveau concentration. Ainsi, il se mit à pousser sur ses mains pour soulever, puis laisser redescendre Chikako. Ce qui fit que le mouvement de vas et viens dans son postérieur reprit, lentement, mais surement et de façon bien plus profonde.