Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => L'auberge du Coucher de Lune => Discussion démarrée par: Kohana le vendredi 12 septembre 2008, 20:11:46
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Kohana ne savait toujours pas cuisiné. A son âge, elle avait un peu honte, et n'osait demander à quelqu'un de lui apprendre. La seule solution qu'elle avait trouvé était de manger à l'auberge. D'un pas décidé (pour ne pas montrer sa peur), elle entra dans l'établissement.
Les lieux étaient comme elle se les étaient imaginés. L'auberge était remplit d'hommes soûls qui regardaient d'un oeil lubrique les esclaves nekos qui faisaient le service.
Il n'y avait que très peu de femmes, et cela ne rassura pas la jeune Kohana. Cependant, elle ne se voyait pas faire marche arrière, si quelqu'un se rendait compte qu'elle voulait fuir, il en profiterait. Elle connaissait tout cela à présent...
Kohana ne voulait pas une table dans la lumière, elle ne voulait pas que les gens continuent à fixer sa poitrine pendant qu'elle mangeait. Cependant, elle ne voulait pas non plus être dans un coin sombre, où personne n'aurait pu l'aider s'il lui arrivait malheur.
Elle traversa la salle. Sur son passage, certains hommes tournèrent la tête, d'autres l'interpellèrent, la sifflèrent ou l'invitèrent à danser. Mais Kohana ne leur prêta aucune intention et partit s'asseoir à la table qu'elle venait de repérer.
Cette table était un peu excentrée du reste de la salle, dans un petit coin, mais qui restait éclairé par un halogène accroché au-dessus d'une porte qui se trouvait juste à côté.
*Certainement la porte qui mène aux toilettes*
Soupçonna Kohana en sentant les odeurs qui s'échappaient. Mais cela ne la dérangeait pas. Au moins, personne n'aurait l'audace de venir s'asseoir avec elle. Ou tout du moins, elle l'espérait.
Quelques minutes plus tard, l'aubergiste vint lui demander ce qu'elle voulait. Kohana prit une assiette de poulet et un verre d'eau. Comme elle était encore au lycée, elle n'avait pas le droit à l'alcool, et de toute façon, son maigre porte-monnaie ne le lui permettait pas.
En attendant son repas, Kohana croisa les jambes. Ce qui lui voulut quelques regards en coin supplémentaire.
*Décidément, on ne peut pas faire un mouvements sans attirer l'attention de ces pervers ! Existe-t-il des hommes meilleurs ?*
Troublant ses sombres pensées, l'aubergiste déposa une assiette bien garnie devant Kohana. Celle-ci la remercia et l'aubergiste lui sourit bizarrement.
*Même les femmes ne sont pas fiables dirait-on...*
Kohana commença à manger, essayant de se dépécher sans montrer de signes de précipitations non plus.
*Plus vite je sortirais d'ici, mieux cela vaudra.*
La jeune fille espérait surtout qu'elle ne se laisserait pas piéger par la nuit. Si jamais elle rentrait après le crépuscule, Kohana ne donnait pas cher de sa virginité.
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Les probabilités pour qu'un humain passe du plan de la tere a celui de Terra tout en ignorant completement qu'il avait changé de dimension étaient grandes, la plupart du temps on avait juste, quand on passait un portail, l'impression que le décor changeait de façon étrange, la plupart du temps on ne quittait pas la ville, mais au détour d'une ruelle :surprise, la ruelle continuait dans un autre monde.
Les chances pour qu'en revanche on continue a ne pas comprendre qu'on avait changé de dimension était nulles, après avoir évolué dans un monde médiéval entourré d'espèces inconnues on se posait forcement des questions. Ca n'était pas le cas de la lycéenne qui était entré dans l'auberge.
Les chances qu'une lycéenne de Seikusu ressorte de l'auberge du coucher de lune le tripot le plus mal famé de tout Terra indemne étaient nulles. Cette auberge ou les reglements de comptes de truands se déroulaient, ou les tournantes sur les serveuses étaient des "choses qui arrivent" et ou on venait généralement chercher une bonne baston entre deux bieres. La seule raison pour laquelle Kohana avait survecu aussi longtemps c'était que, tel une boule de neige en enfer, sa présence était le comble de l'incroyable...Et c'était une soirée plutôt calme également. Pour une fois, pas de bagarre ou de viols. Juste des consommateurs fatigués...Mais bientôt en proie a un nouvel interêt.
Don remonta son pantalon et regarda avec mépris la Terranide recroquevillée dans un coin des toilettes, ses vetements déchirés sous ses poings
"La seule raison pour laquelle je ne te vend pas c'est que tu appartiens déjà a quelqu'un. Sois gentille et sers moi a chaque fois que je reviendrais, et je ne te ferais pas mal, pas autant que ce soir là."
Il tourna le dos a sa victime et sortit des sanitaires, un long couloir séparait la sortie et il passa devant la table de Kohana...Tout d'abord sans preter attention et puis...
Que faisait une lycéenne ici?!Il avait presque cru a une illusion de la fatigue quand il l'avait vue assise tranquillement en train de prendre son repas...
Le monde était devenu fou?
En tout cas pas les badauds du tripot, deux hommes s'étaient assis près d'elle un petit nerveux et un gros lard
-Salut ma jolie, tu es toute seule?
Fit le petit nerveux tandis que sa main sale et poisseuse caressait la joue de Kohana, le gros pris sa main et la posa sur sa jambe en riant betement
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Kohana avait presque finit son repas quand elle vit approcher deux badauds du coin des yeux. Elle avait eut l'espoir de ne pas être embêtée, et jusqu'à présent, tout c'était plutôt bien déroulé, mais à présent... Kohana allait devoir s'imposer, et c'était quelque chose qu'elle n'aimait pas du tout faire.
Les deux hommes s'assierent en face d'elle. L'un d'eux était ne devait pas être beaucoup plus grand que Kohana, tandis que l'autre était plus imposant.
*Un petit con et un gros tas de graisse... je suis servie !*
Lorsque les deux hommes n'hésitèrent pas à poser leurs sales pattes sur sa joue et sa jambe, la première réaction fut la peur. Elle recula vivement. Tout ceci lui rappelait de mauvais souvenirs.
Le premier lui demanda si elle était seule.
"Bien sûr que non."
répondit-elle du tac au tac.
*Dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Si je m'enfuis, les autres auront vite fait de me barrer la route, et ça ne sera plus à deux mais à une dizaine de badauds que j'aurais à faire !*
La réponse de Kohana ne surprit pas vraiment le petit nerveux, qui renchérit.
-Et il est où ton protecteur, ma jolie ? Dis-le moi vite, j'irai lui demander s'il veut bien partager !
Le gros lard ricana et le petit nerveux se fendit dans un sourire large jusqu'aux oreilles. Heureusement, Kohana était bien plus vive que les deux badauds, dont l'esprit était embrumé par l'alcool. Les mains n'arrivaient plus à atteindre la peau de la jeune fille, qui esquivait leurs doigts pervers.
"Il est partit au toilettes ! Laissez-moi maintenant !"
Kohana en haussant le ton, venant de commettre une erreur supplémentaire. Les deux habitués de l'auberge échangèrent un regard guauguenard, puis le petit repris la parole.
-Tu aurais dû partir l'aider.... dit-il avec un clin d'oeil compréhensif.
-Maintenant tu es seule ma jolie. Et nous allons te tenir compagnie.
Kohana essayait de réfléchir, mais rien ne lui venait à l'esprit. La panique s'empara d'elle lorsqu'elle vit les deux badauds se rapprocher d'elle. Un de chaque côté, ils prirent place sur le banc à côté d'elle. Leur tactique n'avait rien de subtile, mais elle allait certainement fonctionner. Kohana était une jeune fille qui se portait bien et aux formes avantageuses, les deux soûlards allaient se régaler.
Kohana était tétanisée. Cette scène ne ressemblait que trop bien à celle de son passé. Tout allait recommencer, mais cette fois... elle ne s'en tirerait pas si bien ! La tête de la jeune fille commença à lui tourner, mais il ne fallait surtout pas qu'elle perde conscience sinon elle était foutue !
*J'ai appris à me défendre depuis... je pourrais très bien les envoyer aller voir ailleurs... mais leurs copains de l'auberge ne tarderaient certainement pas à venir les aider...*
Le désespoir menaçait de submerger la lycéenne. Celle-ci leva les yeux et croisa le regard d'un homme. Un colosse gigantesque aux muscles impressionnants.
*Serait-ce un ange ?*
Kohana plongea un regard plein de désespoir, de terreur et d'innocence, dans celui de cet inconnu, dont l'esprit et les membres avaient l'air bien plus alerte que les autres badauds.
*Il n'est pas venu dans cette auberge pour se saoûler lui... peut-être qu'il voulait simplement manger... comme moi*
Voilà, elle l'avait pensé. Elle se dit qu'il lui ressemblait et que comme elle, il n'avait rien à faire dans cet endroit mal famé.
*Il ne devait pas savoir.*
Alors que les deux badauds s'enhadissaient et commençaient à poser leurs mains sur ses cheveux et ses hanches, Kohana ne bougeait plus et fixait toujours le regard de l'inconnu, laissant divaguer ses pensées loin de l'horrible scène qui n'allait pas manquer de se produire.
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Don tourna sa tête vers Kohana et vit son regard suppliant. De mieux en mieux, sa proie lui demandait de l'aide...De l'aide pour se tirer de ce pétrin. Don reflechit. Bien sur, il avait la capacité nécéssaire pour renvoyer ces deux types compter leurs dents. Mais ils n'étaient pas n'importe où, ils étaient a l'auberge du coucher de lune, si il se débarassait de ces types un autre ne tarderais pas a le planter dans le dos. Tout le monde voulait la peau de cette petite, et lui le premier, mais il lui fallait un plan. Les deux sales types se mettaient déjà a baver sur leur trouvaille...Ah si ils savaient. Si il savaient que tous ensemble ils n'étaient que de enfants de coeur comparé a lui...La jeune fille passait d'un guépier incroyable a un guepier insurmontable.
Tant pis pour elle, elle avait fait son choix. Tandis que le gros lard commençait a tripotter la poitrine de la jeune fille dans le but évident de la deshabiller un peu plus Don vint s'asseoir a la table des trois comparses.
"Bonsoir messieurs."
Fit le marchand d'esclave avec un sourire. Le petit nerveux sortit un poignard et le lui plaça sous la gorge
-Casse toi si tu ne veux pas...
Mais Don avait attrapé le bras de l'homme avant que le poignard n'atteigne la gorge et le cassa d'un simple pivotement de poignet, l'homme hurla et se roula a terre là ou Don Tira sa chaise et soudain éclata son talon sur la tête de l'homme.
Il y eut un bruit comique similaire a celui d'une pastèque qu'on explose et il cessa de se débattre. Il jetta un regard de défi a son comparse
"Lache cette fille ou sinon je te taille une bavette, et une saignante."
Don avait bien fait attention de choisir la place dos au mur, celle occupée précédement par le petit nerveux. Un des mecs a une autre table se leva en hurlant.
Don porta la main a son magnum et tira d'un coup sec dans la poitrine de l'homme. Il savait qu'il n'allait pas aimer ce qui allait se passer. Personne sur Terra n'avait encore vu d'armes a feu. Il braqua le canon sur l'auberge
"D'autres volontaires?"
Les badauds le prenant pour un grand magicien se reculèrent, Don hocha la tête et rengaina son arme. A coté de la jeune fille le gros lard terrifié venait de se pisser dessus.
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Kohana sentait monter en elle une vague de dégoût. Ces alcooliques lui meurtrissait les seins, c'était affreux. Et puis, soudainement, le grand colosse eut l'air d'avoir pris une décision. Il vint s'asseoir avec les deux badauds en les saluant d'une voix grave et suave d'où l'on pouvait entendre qu'il avait l'habitude de donner des ordres.
Pendant une fraction, Kohana crut que s'en était fini pour elle et qu'il allait se joindre à eux. Mais ça n'avait pas l'air d'être l'avis du petit nerveux, qui menaça le colosse avec un poignard... qui n'eut pas le temps de faire des dommages. Avec une agilité et une force bien contrôlées, le jeune homme mit fin aux souffrances de Kohana, en même temps qu'il mettait fin à la vie du badaud.
*Cet homme n'est peut-être pas un ange, mais il a tout d'un héro*
Cependant, tout était loin de se terminer. Comme Kohana l'avait prédit tout à l'heure, les autres hommes de l'auberge vinrent porter secours à leur défunt ami. Mais le premier eut à peine le temps de pousser un cri de rage, qu'il se retrouva face à un magnum.
Kohana n'avait jamais vu d'armes à feu en vrai, auparavent ; et apparemment, les clients de l'auberge non plus. Ce qu'elle ne comprit pas par contre, c'est pourquoi ceux-ci crurent que le colosse était un magicien.
*Une arme n'a rien de magique. Elle est dévastatrice certes, mais pas magique.*
Les gens fréquentant cet endroit perturbait vraiment Kohana, qui n'était jamais sortie de chez elle, à part pour aller au lycée.
La jeune fille tourna la tête vers le gros lard. Celui-ci s'était pissé dessus, mais, appeuré, il n'avait pas lâché la poitrine de la fille. Reprenant un peu d'assurance et se sentat protégée, Kohana jeta un regard noir au badaud, qui s'empressa de retirer sa main et de filer, ventre à terre, vers la sortie.
*Bien. On peut dire que je l'ai échappé belle. Il faudrait tout de même que je pense à remercier mon ange gardien*
Kohana prit son plus beau sourire et se tourna vers le géant, en faisant voleter ses cheveux derrière elle. Elle pencha la tête sur le côté et plongea son regard dans celui du colosse.
"Merci. Je ne sais pas ce que je serais devenue sans vous. Voulez-vous que je vous offre quelque chose ? Ou peut-être vaut-il mieux filer de cet endroit, non ?"
*J'espère qu'il n'a pas l'intention de tuer tous les autres*
Bien que son protecteur est l'air très attentionné avec elle, elle n'avait pas envie d'assister à une tuerie, et la force herculéenne du colosse lui filait des frissons.
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Partir ou rester?Hm, il pourrait l'emmener dans les toilettes et la besogner avant de l'abandonner aux autres badauds, mais aux vues des formes généreuses de la jeune fille il ne pouvait décidement pas l'abandonner, elle valait son pesant d'or, même une fois qu'il l'aurait déniaisée. Hm, il eut une idée. Il se tourna vers Kohana
"Je ne sais pas ce que fait une fille de la Terre ici mais tu aurais plus être plus discrète, en tout cas plus que ça, et ne pas te faufiller dans le pire tripot au monde."
Il se tourna vers la jeune fille et la regarda dans les yeux, l'homme était musclé et puissant, elle en aurait surement eu peur si il ne venait pas de lui sauver la vie, cette pseudo confiance la perdrait.
"Quoi qu'il en soit tu n'a pas a me remercier, j'avais envie de carer une balle de Magnum dans le torse d'un de ces types un jour ou l'autre. Son copain va un peu me coller sous la botte mais je pense que ça devrais aller."
Le marchand d'esclave se leva et souleva la jeune fille par l'aiselle pour lui faire signe de le suivre
"Allez viens, je t'emmene en lieu sur."
Fit il en sortant de l'auberge et en entrainant Kohana avec lui. Un peu plus tard don referma la porte de ses appartements et laissa entrer la lycéenne.
Oui il l'avait emmené dans ses appartements. Une riche maison, et non là où il emmenait généralement ses esclaves. Mais il avait son plan évidement. Il lui montra un large lit et lui fit signe de s'asseoir pendant qu'il allait chercher de quoi boire
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Kohana tomba des nues quand l'homme l'appela "fille de la Terre". Elle ne voyait pas ce qu'elle aurait pu être d'autre ! Mais quand elle regarda à nouveau autour d'elle, elle réalisa qu'il n'y avait pas que des êtres humains ici.
*Je suis donc dans un autre plan ? Serait-ce ça Terra ?*
Kohana n'osa avouer ses doutes devant son protecteur. Elle lui avait déjà parut faible et sans défenses, elle n'allait quand même pas, en plus, lui montrer qu'elle était naïve !
Lorsque le grand colosse lui annonça qu'il avait pris plaisir à tuer les badauds, Kohana frémit de nouveau, à la fois de peur et de fascination. Elle avait beau se dire que cet homme n'était vraiment pas un gentil garçon, elle ne pouvait s'empêcher de l'admirer. A chaque fois qu'elle le voyait esquisser un geste, elle ne pouvait s'empêcher de fixer ses muscles, ou de se laisser envoûtée par son regard profond lorsqu'il la regardait, ou encore de se laisser bercer par sa voix naturellement autoritaire et douce à la fois.
Puis tout d'un coup, Kohana se sentit soulevée du banc. Le géant lui avait pris un bras et l'entraîna vers la sortie, comme il aurait traîné une vulgaire poupée. Kohana se sentit envahir d'une vague de frissons, et la tête lui tourna légèrement. Elle se laissa grisée par cette force qui la guidait vers elle ne savait où, mais qui serait "un lieu sûr". En même temps, les battements de son coeur s'accélèrèrent, la peur commençait à s'emparer de ses entrailles.
*Il n'a besoin de rien et pourtant il m'ammène avec lui. Suis-je donc inconsciente pour me laisser embarquer comme cela ? Mais ses bras sont si puissants, que je n'ai qu'une envie, c'est de m'y blottir*
Kohana soupira.
*Et puis de toute façon, je ne fais pas le poids face à cette montagne de muscles*
Résignée, elle se laissa guider jusque dans une magnifique maison, richement meublée. Il l'emmena dans une chambre où un lit qui aurait pu contenir 4personnes trônait au milieu de la pièce. C'était un lit à baldaquin avec des rideaux de soie et des colonnades en chêne.
Lorsque le colosse partit leur chercher à boire en lui commandant de s'asseoir sur le lit, Kohana, seule, se sentit démunie et toute petite. Devant toute cette magnificence, elle était insignifiante.
*Je ne peux m'asseoir sur ce superbe lit*
Kohana repèra une chaise qui avait l'air moins somptueuse et s'y assis de la pointe des fesses. Elle ne voulait pas salir le mobilier après s'être assise dans cette horrible auberge. De loin, elle entendit le colosse s'affairer et tout d'un coup elle réalisa une chose importante.
"Je ne sais même pas comment tu t'appelles !"
cria-t-elle assez fort pour que Don puisse l'entendre.
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Sur le trajet Don avait eu tout le loisir de contempler la réaction de Kohana...Elle semblait completement subjuguée, peut être était t'elle amoureuse?L'amour...hah, ce genre d'amour là il n'y croyait pas, et il n'était pas assez stupide pour partager des sentiments reciproques pour une lycéenne pour prendre ce qu'il n'avait qu'a tendre la main pour saisir...Mais jouer avait toujours été le passe temps préféré de Don, il allait jouer les princes pas si charmant que ça pour la soirée...
Il la regarda s'asseoir sur une chaise et lui lança avec un air assez bourru
"Peut être mon lit n'est t'il pas assez bien pour toi?"
Fit il avant de partir vers la cuisine. Esperant bien l'avoir génée a un tel point qu'elle ne saurait plus ou se mettre. Hah, les lycéennes étaient si faciles a impressioner. Pauvre Kohana, elle n'avait aucune idée de l'endroit dans lequel elle était...Et Don allait se faire un plaisir de le lui rappeller de manière de plus en plus subtile. Il revint poser un verre a coté de Kohana, entretemps il avait fermé les issues a clef au cas ou elle serait par la suite tentée de s'enfuir. Don était assez vieux comparé a Kohana, la trentaine presque. Alors elle devait surement croire qu'il n'oserait pas lui faire du mal.
"Tes vetements, ils sont salopés."
Fit il en montrant l'uniforme de Kohana maculé de bierre et de sang sur ses bas. Il tandit la main
"File les moi, je vais m'occuper de les laver."
Elle lui demanda son nom et il haussa les épaules
"Avant de demander son nom a quelqu'un on se présente d'habitude."
Il jouait a l'intimider, et regardait si celà marchait.
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Kohana sursauta quand son protecteur lui fit une réflexion sur le fait qu'elle s'était assise sur la chaise.
"Ce n'est pas ce que tu crois..."
bredouilla-t-elle en baissant la tête, mais sans se lever toutefois. Le colosse avait beau être impressionant, Kohana ne se voyait pas du tout s'asseoir sur ce lit. Ses vêtements n'étaient plus très propre, elle ne pouvait pas salir l'endroit où son protecteur dormait, tout de même !
C'est alors que celui-ci lui fit une réflexion sur ses vêtements et lui proposa, un peu sèchement, de s'en occuper si elle les lui donnait. Cette réflexion ne plut pas à Kohana. La voix de l'homme était devenue trop autoritaire et elle se braqua quelque peu. Cependant, elle se leva quand même, sa jupe était vraiment trop sale, même pour s'asseoir sur une chaise.
"Je n'ai pas d'autres vêtements, tu n'aurais pas une serviette que je puisse me couvrir ? Ou un drap ? Ou un linge ? Ou... enfin ce que tu as"
Kohana s'embrouillait dans ses propos. Elle n'avait pas le courage de tenir tête à son protecteur. Mais elle osait encore moins se déshabiller et se montrer devant lui. Homme ou femme, plus personne n'avait pu voir la peau de la poitrine de Kohana depuis deux ans maintenant.
"Je m'appelle Kohana..."
Kohana, perturbée par cet impressionant colosse, et peu habituée à sortir et à parler aux inconnus, avait évidemment oublier les bonnes manières, et il le lui faisait remarquer. Debout au milieu de la pièce, la tête baissée, Kohana attendait de savoir si son protecteur lui donnerait quelque chose pour cacher sa nudité.
Elle ne savait plus où se mettre, et en attendant, elle essaya d'enlever les tâches de graisses de sa jupe.
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Le ton bourru devrait rassurer Kohana, au contraire, au moins ça voulait dire qu'il n'allait pas la violer. C'était ce qu'il voulait lui faire croire pour le tout début. Don haussa les épaules et la regarda faire ce qu'elle voulait. il voulait juste lui donner l'impression d'être un peu carractériel, comme ces héros qui venaient et qui ne demandaient rien...Pour qu'elle y crois un peu. Don se fit un peu plus doux et la fixa dans les yeux, conscient que son regard devait être assez intense pour elle pour qu'elle y croie véritablement.
"Bah, si tu n'a rien pour t'habiller je peux te procurer quelques vetements. Mais ça va prendre du temps."
Il se tourna vers la porte de sortie et regarda le verre qu'elle n'avait pas touché. Bah.
"Je vais sortir te trouver de quoi t'habiller, il y a une salle de bain plus loin, si tu veux prend une douche et file moi tes affaires pendant que je vais te chercher ça, je t'emmenerais des vetements neufs a la sortie"
Fit Don en lui montrant la salle de bain, assez rustique puisqu'on était a Terra. Elle se trouvait dans une piece ou se trouvait une grande bassine pleine d'eau au centre ainsi que divers savons qui y trainaient, c'était absolument tout.. La piece était propre et il y avait une fenètre située en haut sur une étagère, bien trop haut pour qu'on puisse se rincer l'oeil.
"Je serais de retour dans 20 minutes"
Fit Don en partant
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Finalement, son protecteur ne lui avait pas donné son prénom, mais ce n'était pas si important. Kohana avait eu peur, quelques secondes plus tôt, en entendant le ton si autoritaire du colosse. Elle avait l'impression de mal faire, alors qu'elle ne voulait que faire plaisir à son protecteur.
Lorsque celui-ci la regarda dans les yeux, avec un regard si intense... Kohana se sentit fondre de l'intérieur. Ce qu'elle ressentait n'avait rien à voir avec de l'amour, mais elle se sentait... bien.
Quand Don lui parla à nouveau, il avait repris sa voix douce et grave. Il la laissait seule, chez lui, pendant qu'il lui achèterait des vêtements et qu'elle se lavait. Kohana écarquilla les yeux de surprise !
*Il a confiance en moi ! Et il me le montre. Il a l'impression que je n'ai pas confiance en lui, alors il me montre ses bonnes intentions*
Kohana sourit et rejeta ses cheveux en arrière.
"Lorsque tu reviendras, je serais toute belle et toute propre, tu verras !"
Kohana fila dans la salle de bain, après avoir but, au passage, le verre que Don lui avait proposé.
*J'ai bien vu à quel point cela le gênait que je n'accepte pas son hospitalité. Il était tant que je revois mes bonnes manières ! Un inconnu me sauve, m'ouvre son appartement et m'offre à boire ! Et moi... je me comporte mal !*
Kohana était bien décidée à montrer le meilleur d'elle même à présent.
Avant d'entrer dans la salle de bain, elle se déshabilla, plia ses habits sales soigneusement, et les mis en pile dans le couloir. Ensuite elle entra dans la salle de bain.
Elle s'approcha de la bassine et des savons. Elle trempa un doigt dans l'eau et constata avec plaisir que, bien qu'un peu fraîche, l'eau était encore tiède.
Kohana entra dans l'eau. Le contact avec le liquide légèrement frais lui donna la chair de poule. Ses seins se durcirent et ses tétons pointèrent.
Elle empoigna un savon et l'approcha de son nez. Il sentait bon la lavande.
Kohana se baissa et le trempa dans l'eau. Ensuite elle le fit parcourir son corps, lentement, et en frottant bien.
*Je dois être toute propre et toute belle. Cela sera ma façon de le remercier, puisqu'il ne veut rien d'autre.*
Kohana s'appliqua et se lava mieux que jamais, sans oublier une seule parcelle de son corps. Ensuite elle s'assit dans la bassine et se cambra en arrière pour que ses cheveux soient sous l'eau. Cette position aurait donné une vue imprenable sur sa poitrine plantureuse et ses hanches bien évasées à un voyeur. Mais Kohana était seule et elle en profitait pour se laisser aller.
Une fois ses cheveux mouillés, elle releva lentement la tête, repris le savon et se le passa dans les cheveux. Afin de se masser abondamment le crâne, Kohana leva les bras, ce qui remonta sa poitrine, et elle pencha la tête en arrière, pour ne pas se mettre de savon dans les yeux.
Une fois sa toilette finie, Kohana se rinça. Puis, comme son protecteur n'était pas encore revenu, elle décida de profiter de l'eau, encore un peu tiède. Elle s'allongea comme elle put, écartant et repliant les jambes pour avoir plus de place, et ferma les yeux.
*Lorsqu'il reviendra avec de beaux habits, mon sauveur verra une belle jeune fille toute propre, et il sera ravi que j'ai honnoré sa proposition de toilette. Puis, quand j'enfilerai les habits, je serais sublime, et je sentirai bon la lavande. S'il n'était pas si vieux et si gentil, il aurait eu envie de me manger toute crue !*
Kohana sourit à cette pensée et gloussa légèrement.
*Heureusement, ce n'est pas lui qui se comporteraient comme ces malautrus de l'auberge ou de mon précédent lycée !*
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Quelle idiote, elle se retrouvait nue dans la maison d'un parfait inconnu et semblait s'y complaire. Elle ne se doutait de rien et demeurait désesperement innocente, pauvre fille. Elle n'allait pas croire ce qui allait lui tomber dessus. Amour ou pas Don prendrais ce qu'il voulait, et une fois qu'il l'aurait il laisserait cette gamine au plus offrant, c'était comme ça que marchait le bisness. Il avait confiance dans sa crédulitée et savait qu'elle n'allait pas rester vierge encore longtemps...C'était d'ailleurs un miracle qu'elle le reste aussi longtemps.
Don attendit qu'elle s'enferme dans la sale de bain pour prendre ses vetements et les jetter. Elle n'en aurait pas besoin. Pas là où elle allait. Elle allait donc devoir s'occuper de lui ou sinon ça risquait de très mal se passer. Pour elle. Don regarda le verre vide sur la table. La drogue allait pas tarder a faire son effet...Quelle fille gentille, elle lui simplifiait le travail a un point inimaginable et en plus il allait l'avoir fraiche et dispo en sortant de la douche.
Dans l'eau tiède Kohana avait l'impression de somnoler un peu, la drogue de Don, disposée en très petite quantitée allait drainer ses forces, oh bien sur elle serait completement consciente et capable de se débattre, mais incapable de lui mettre un coup efficace. Bref
En attendant Don sortit tranquillement comme prévu et acheta un collier, des menottes, des chaines, de quoi dotter sa nouvelle prise. Puis il rentra comme prevu et se deshabilla, la jeune fille était encore dans son bain. Il entra discrètement sans faire de bruit.
Il était sur qu'elle apprecierais la surprise.
Une main se posa sur l'épaule de Kohana alors qu'elle gloussait
"Et qu'est ce qui t'excite comme ça?"
Fit Don avec sarcasme
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Kohana sentait que la chaleur du bain l'engourdissait. Ses paupières étaient plus lourdes que tout à l'heure et cela lui fit du bien de fermer les yeux quelques instants.
Tout à coup, elle sentit une main sur son épaule. Etrangement, elle ne sursauta pas. Etait-ce la confiance de la jeune fille ou les drogues de Don qui avait ralenti ses réflexes ?
Kohana détourna la tête, un sourire sur les lèvres. Elle avait reconnu la poigne de Don et voulait remercier son protecteur du plus beau sourire qu'elle pouvait. Mais lorsqu'elle se retourna, son visage changeant complètement d'expression et marqua la surprise.
Le colosse était entièrement... nu !
Kohana put voir un homme nu, pour la première fois de sa vie. Cette vision ne l'appeura pas, parce qu'il s'agissait de son sauveur ; mais elle lui donna tout de même des frissons. Elle savait que le sexe des hommes était bien différent de celui des femmes, mais elle n'imaginait pas un seul instant qu'un tel engin pouvait permettre d'enfanter !
Les yeux écarquillés, après avoir observé la bête, Kohana remonta lentement jusqu'à la tête de Don. Celui-ci arborait un sourire sarcastique qui fit frémir Kohana.
*Cet homme est magnifique, mais ses attitudes me font parfois un peu peur...*
Cependant, Kohana se rappelait qu'elle avait eu l'impolitesse de déshonorer les offres de son protecteur, une demi-heure plus tôt, à peine. Ne voulant pas réitérer sa bêtise, elle répondit simplement.
"Toi"
Aussitôt, Kohana se demanda si elle avait bien fait d'ouvrir sa bouche pour dire une pareille idiotie.
*En même temps, je n'ai fait que dire la vérité...*
C'est alors, et seulement à ce moment-là, que Kohana se rappela sa nudité. Elle se cacha alors rapidement les seins d'une main et le sexe de l'autre, puis elle baissa la tête en rougissant. Mais ses yeux rencontrèrent à nouveau le sexe de Don.
Kohana rougit plus encore et tourna la tête sur le côté, avant de bredouiller d'une voix timide et chétive :
"Tu m'as rapporté des... habits ?"
Malheureusement, pour elle, la jeune fille était loin de se douter que les accessoires prévus par Don étaient loin de ressembler à des habits !
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Oh, ça allait être une partie de plaisir. Parfois il tombait sur des esclaves dont la capture étaient facile, mais rien en comparaison avec ce qu'était Kohana, pas de brusquerie, ni rien, il allait pouvoir faire tranquillement sa besogne sans qu'on le dérange. Don eut un sourire démoniaque. La fatigue avait différent effets sur les gens. Mais dans le cas de Kohana c'était tout dans son bénéfice. Le premier effet était certes une certaine fatigue, et il comptait lui donner un second verre pour l'exciter, mais vu l'état de fatigue et sa poitrine, il n'y aurait pas besoin de faire ça, sinon ça deviendrais rapidement une torture.
"Je vois"
Fit il, evidement il voyait, comment pouvait t'elle rester indifférente?Indifférent de sa nuditée Don se leva et lui fit signe de le suivre, s'avançant dans les couloirs. Il n'y avait pas de serviette pour s'essuyer dans la piece. Ils revinrent rapidement dans la salle du lit. Don était assis dessus.
"Donc je t'excite?"
Fit il avec un sourire en se levant avant de faire basculer la lycéenne sur le lit et de tomber sur celle ci, non en l'écrasant, mais en plaçant ses bras de chaque coté de sa tête pour ne pas qu'elle fuie
"Et ça te met dans des états pareils?"
Fit il en caressant les hanches de la lycéenne et en prenant soudain un de ses seins pour le presser. Contre ses jambes elle sentait son membre lourd et immense battre contre ses jambes
"Des vetements?je pense que tu n'en aura plus jamais besoin..."
Fit Don avant de l'embrasser a pleine bouche
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Kohana, immobile, regarda son protecteur s'éloigner. Allait-il lui chercher des vêtements ? En tout cas, il lui avait fait signe de le suivre, alors, avant qu'il redevienne autoritaire comme il avait pu l'être en arrivant chez lui, Kohana se pressa de lui emboîter le pas, soucieuse de ne pas le vexer.
Lorsque Kohana revit Don, celui-ci était assis sur le lit central, de la première pièce où elle avait été. Elle regarda autour d'elle en s'approchant doucement du lit.
*Où sont mes habits ? Et où sont les nouveaux ?*
Kohana trembla légèrement, de froid, mais aussi de peur. Son protecteur voulait-il s'amuser ? Lui avait-il jouer un petit tour ? Depuis le début, bien qu'elle le trouva attirant, elle lui trouvait un air étrange. Mais Kohana était une lycéenne qui n'était jamais sortie de chez elle, et elle pensait que si elle trouvait tout cela bizarre, c'était parce qu'elle ne connaissait pas les coutumes des gens qui ont l'habitude de sortir.
Lorsque Kohana arriva juste à côté du lit, son sauveur lui rappela qu'elle avait dit qu'il l'excitait. A ce souvenir, Kohana baissa la tête et rougit. Le penser et le dire sans prendre le temps de réfléchir était une chose, mais elle ne se sentait pas capable l'avouer de vive voix.
Soudain, Kohana sentit ses jambes se soulever du sol. Don l'avait attrapé par les épaules pendant qu'elle ne regardait pas, et sans comprendre ce qu'il se passait, Kohana se retrouva étendue sur le lit, en-dessous de Don, coincée.
Kohana écarquilla les yeux de stupeur. Qui était donc réellement son sauveur ? La peur la saisit à la gorge et sa respiration s'accèléra, soulevant sa poitrine à un rythme saccadé. Don jouait de l'ignorance de la jeune fille et commença à lui caresser les hanches.
Le corps de Kohana fut parcourut d'une vague de chaleur interne. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais elle savait que, bien qu'appeurée, la caresse du colosse lui faisait du bien... Elle ferma les yeux et inspira profondément pour se calmer.
"Que veux-tu de moi ?"
réussit-elle à articuler. Son esprit ne dirigeait plus sa pensée. Son corps éprouvait des sensations nouvelles, et son esprit n'avait plus aucun rôle à jouer là-dedans.
Soudain, un éclair traversa la tête de Kohana lorsque Don lui pressa un sein. Les yeux de la jeune fille s'écarquillèrent bien plus et elle regarda son sauveur, pour la première fois, avec une profonde terreur.
Cette scène, bien que totalement différente, lui rappelait tant de souvenirs que des larmes lui montèrent aux yeux. La panique s'empara d'elle. En plus, elle sentait le membre de Don contre ses jambes, elle sentait le sang circuler à l'intérieur et battre contre ses cuisses. Cette sensation était étrange parce qu'elle l'emplissait de désir et de chaleur, mais qu'elle lui procurait aussi la plus grande peur de sa vie.
*Pourquoi faut-il donc qu'ils s'intéressent tous à mes seins ?*
Lorsque le colosse lui apprit que dorénavant, ces vêtements lui serait inutiles, Kohana se raidit. Mais parallèlement, elle commençait à ressentir une sensation bizarre dans son bas ventre, au niveau de son entrejambe. Des petits picotement la démangeaient. Pour s'en débarasser, Kohana ne trouva pas d'autres moyens que d'écarter les jambes. Ce faisant, elle se sentit bien mieux. La chaleur continuait à s'emparer de son corps, et les jambes écartées et légèrement surélevées, son sexe ne la torturait plus.
C'est alors que la bouche de Don rentra en contact avec la sienne. Ce baiser était violent et doux à la fois. Violent parce que le colosse appuyait sur sa bouche avec force, mais doux parce qu'agréable.
Kohana voulut ouvrir la bouche pour protester, mais cela ne fit qu'empirer les choses. Lorsqu'elle entrouvrit les lèvres, une langue étrangère se glissa dans sa bouche, l'étouffant à moitié. Puis, reculant légèrement, elle joua avec la langue de la jeune fille. Cet échange de salive était perturbant pour Kohana. Tout allait trop vite pour elle.
Elle essaya de se débarasser de la langue de l'homme en la repoussant avec la sienne. Mais cela ne fit qu'amuser encore plus Don, qui engouffra encore plus profondément la sienne. Alors, Kohana retira sa langue dans le fond du palet pour que la langue étrangère ne puisse plus l'atteindre. Après, elle resserra les dents d'un coup sec et mordit la langue de Don.
Mais la morsure avait été très légère. Kohana ne voulait pas faire de mal à son sauveur, elle voulait juste lui montrer qu'il devait lui demander son accord avant de faire de pareilles choses.
Attendant la réaction de Don, Kohana sentit le membre de celui-ci frotter contre son sexe. Cette caresse était chaude et redonna des picotements à l'entrejambe de Kohana. Celle-ci ayant fait de la danse durant toute son enfance, put écarter les jambes encore plus. C'est alors qu'elle sentit comme un liquide s'échapper de sa chatte.
*Qu'est-ce que c'est ? Que m'a-t-il fait encore ?*
Kohana regarda le colosse avec méfiance. Il était fort et musclé, bien plus que la jeune fille, et il aurait pu l'écraser s'il le souhaitait, mais il ne le faisait pas. Se pouvait-il qu'il est simplement envie de rendre la jeune fille heureuse en lui faisant découvrir quelque chose qu'elle ne connaissait pas ? Quoiqu'il en soit, Kohana était coincée. Ne pouvant s'enfuir, elle profita de l'occasion qui lui était donné.
Elle leva la main et la posa sur le torse de Don. Puis elle commença à le caresser, sentant sous ses doigts chacun de ses muscles. Cette action lui procura encore plus de picotement et la sensation de liquide au niveau de son sexe devint plus intense.
"Qu'est-ce que j'ai ?"
demanda-t-elle à la seule personne qui se trouvait là : Don.
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Elle le mordit un peu, pas assez pour lui faire véritablement mal. Mais elle semblait être bien plus facile a atteindre que la plupart de ses proies qui se débattaient et gesticulaient tandis que leur inéfable destin les rattrappait au pas de course. Don voyait que Kohana était completement perdue, elle ne comprenait pas ce qui se passait et son cerveau marchait a deux a l'heure...Mais néanmoins assez pour lui donner le temps de reflechir et de se demander ce qui se passe. Encore mieux, décidement il allait pouvoir s'en donner a coeur joie.
Don se dégagea de leur baiser et sussura sur un ton sensuel a son oreille avec un certain délice narquois horrible
"C'est parce que tu es une femme. Et que tu es née pour obeir a notre bon désir."
Fit il avec méchancetée avant d'enchainer
"Ton corps ne peux pas mentir. Il réagit aux caresses que je te procure. Il est simplement biologique pour l'homme de dominer la femme. Tu l'avais simplement oublié."
Fit il tandis qu'il caressait ses cuisses, et de son autre main il passait son index sur ses lèvres avant d'entrer dans sa bouche dans une symbolique evidente
"Avec un corps pareil tu es destinée a devenir un objet de désir auprès de tous. Et c'est le plus grand but que tu pourra atteindre dans ta vie sois en fière...Sois fière de me contenter."
Fit il en enlevant son doigt de sa bouche avant de prendre entre deux doigts le bout d'un de ses seins et de le tordre
"Je vais maintenant te montrer tout ce dont je suis capable. Après quoi je te ramenerais a une existence qui aurait toujours du être la tienne :celle d'une esclave."
Le marchand d'esclave eut un large sourire tandis que son autre main se mettait a caresser son entrejambe
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Kohana se sentait perdue... son corps se laissait porter par des pulsions et son esprit ne semblait plus à même de réagir.
*Comment cela se fait-il ?*
Les yeux de Kohana n'était plus emplis de peur, mais de curiosité. Etait-ce un instinct pervers qui se réveillait en elle ? Elle était bien loin de se douter de toute cela, et de toute ce que Don lui préparait.
D'ailleurs, les paroles de celui-ci, bien que prononcées avec méchancetés, lui parurent... évidentes. Elle était une femme, et elle se rendait compte qu'elle avait toujours su, inconsciemment, qu'elle était faite pour servir. N'avait-elle pas lu des tonnes de tragédies grecques où les hommes tenaient les rôles dominants ? N'avait-elle pas lu des livres d'Histoire disant que le statut de la femme n'avait jamais mieux valut que celui d'esclave ?
A ce stade de ses réfexions, Don prononça justement le mot esclave.
*Vais-je enfin découvrir ce pourquoi nous sommes faites ?*
Kohana était intriguée, et presque impatiente. La drogue avait fait effet sur elle et endormait sa méfiance. Il lui semblait évident qu'une femme devait servir le désir d'un homme.
*Mais qu'est-ce que cela pouvait-il bien être le désir des hommes ?*
Kohana, bonne et studieuse élève, voulut montrer qu'elle avait compris la leçon ; et ne voulait plus que Don ne lui torde le sein, parce que cela lui procurait à la fois de la douleur et des picotements supplémentaires dans le bas ventre. Elle sentait que si Don reprenait à nouveau son sein entre ses puissants doigts, Kohana serait obligée de porter la main vers son entrejambe maintenant humide et démengé par une sensation bien plus importante que celle qu'elle avait pu ressentir avec Hazel.
"Tes désirs sont miens"
Cette phrase venait de sceller son destin, mais Kohana n'en avait pas la moindre conscience. Son esprit, à demi-endormi, croyait être dans le droit chemin.
Lorsque Don lui passa un doigt autour des lèvres, elle entrouvrit légèrement la bouche et celui-ci s'y infiltra, avant de s'en retirer. Kohana n'avait pas la moindre idée de ce que cela voulait dire, mais elle avait compris la leçon, et une fois de plus, elle fit une grossière erreur, pensant qu'elle faisait une bonne action.
Alors que la main de Don s'éloignait de sa bouche, elle la rattrapa. Elle lui prit un doigt et l'introduit entre ses lèvres. Elle commença à faire des vas et viens et à enduire ce doigt de salive. Lorsqu'il fut entièrement recouvert, elle recommença avec un deuxième. Mais pour varier les plaisirs, elle choisit d'introduire sa langue dans le jeu. Car pour Kohana, tout ceci ressemblait à un jeu. Sa langue tourna autour du doigt de Don et donna des légers coups sur le bout du doigt.
Kohana sentait la main de Don caresser ses cuisses. Cela atténuait la sensation de picotement qu'elle ressentait depuis quelques minutes entre ses jambes. Pensant qu'il s'agissait d'une récompense pour sa bonne compréhension, Kohana repartit de plus belle dans son suçage de doigt et se donna à fond.
Elle ne réfléchissait plus, elle introduisait ou ressortait un ou plusieurs doigts de ses lèvres, elle les enfonçait plus ou moins profondément à l'intérieur de sa bouche, elle donna des coups de langues, elle tournait autour des ongles de Don avec sa langue. C'est alors qu'elle sentit le membre de Don devenir encore un peu plus dur. Ce qui lui redonna encore plus de picotements, lui fit écarter les cuisses plus encore, et lui redonna encore plus d'ardeur dans son action de lèchage.
[HRP : juste un petit rajout parce que ça me manque d'écrire et pour te donner plus d'inspiration... peut-être]
Don lui porta alors la main à l'entrejambe. Cette main si puissante et à la poigne si impressionnante, se montrait affectueuse et caressait le petit bois intime de la jeune fille. Celle-ci écarquilla les yeux de surprise, parce qu'au lieu de calmer sa sensation de démangeaison, cela ne fit que l'agravée encore et encore.
*Mais que faut-il pour calmer cette impression si agréable et déséquilibrante à la fois ?*
Quand le doigt de Don longea la fente naturelle de la jeune fille, Kohana dut lâcher la main qu'elle léchait pour se mordiller les lèvres. Instinctivement elle souleva légèrement son bassin, qui rentra en contact avec le membre dur et imposant du marchand d'esclave.
A cet instant, Kohana renversa sa tête en arrière. Ce contact brûlant assouvissait légèrement les picottements qui la tiraillait. Alors elle souleva encore un peu plus son bassin. La main de Don se retrouvait coincée entre les sexes des deux individus et ne pouvait plus caresser les lèvres de Kohana ; par contre, le majeur du géant se trouvait à l'entrée d'une grotte humide et béante, malgré qu'elle soit un peu étroite par manque de passages.
Kohana sentait qu'elle en avait besoin et ne put s'empêcher de supplier son mentor.
"Donne-le moi..."
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Don eut un rire éclatant. Bien, celle là il n'aurait pas a la dresser bien longtemps. Le marchand d'esclave allait lui montrer et lui apprendre les rudiments de la vie, et il n'allait pas y aller de main morte. Elle s'affairait déjà avec ses doigts...Elle était prédestinée a le servir!Il le savait!Don lui flatta les jambes et les hanches tandis qu'elle suçait ses doigts...Encore un peu et il allait l'initier a autre chose.
Completement soumise a son ravisseur, Don lui sussura a l'oreille
"C'est bien, tu comprend vite, tu ira loin, et moi pour t'en remercier je t'y amenerais."
Il sortit de sous le lit la chaine et le collier qu'il tendit a Kohana. Avec un sourire narquois il lui lança
"Si tu es mienne, alors deviens ma propriété, passe toi même le collier qui scellera ton destin autour de ton cou et les chaines qui t'entraverons a tes poignets. Alors a ce moment là tu sera mienne, et je consentirais a te le donner."
Il voyait qu'elle bouillonait d'excitation et avait du mal a se retenir, le géant avança sa main vers sa poitrine et pétrit ses seins comme de la patte, tirant les tétons, les mordillant, les suçottants. Puis, que Kohana se soit excécutée ou pas, il lui retira sa main et s'avança sur le lit, écartant les jambes pour présenter son membre lourd et durci par le désir.
"Comme tu me sers bien, je vais te donner mieux que ces doigts."
Il saisit alors les seins de Kohana et les plaça autour de son sexe comme pour en faire un sandwich et le lui présenta
"Allez, tu sais ce que tu as a faire."
Fit il en relachant ceux ci, laissant la jeune fille libre de choisir sa perte
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Kohana tremblait. Elle n'arrivait plus à contenir son désir et les réactions de Don n'assouvissait en rien cette sensation de picottements. Torturée, Kohana ne savait plus que faire.
Le rire de Don résonnait aux oreilles de la pauvre enfant. Elle se sentait inférieur à tout, démunie, nue jusqu'au plus profond de son être. Elle n'avait plus la force de rien. Son esprit ne répondait plus, il avait abandonné son corps douloureux et souffrant le désir. Parce que, plus le temps s'écoulait, et plus le désir qui grandissait en elle devenait une souffrance. Elle aurait tout donné pour que tout ceci s'arrête.
Des larmes perlèrent au coin de ses yeux. Le rouge ne quittait plus ses joues. Sa poitrine ne se soulevait plus à un rythme régulier, elle était au contraire, prise d'une agitation folle. Kohana bougeait la tête en tout sens. Elle n'essayait pas de se débattre, mais de chasser d'elle cette torture, de redevenir elle même... mais rien y faisait.
C'est alors que le marchand d'esclave lui présenta ce qui signerait sa perte : un collier relié à des chaînes, symbole de sa soumission.
Don ne cherchait même plus à masquer ces propos sous des sous-entendus, mais la jeune fille n'était plus à même de comprendre la menace qui planait sur elle. La drogue embrouillait ses pensées et la rendait incapable du moindre raisonnement.
Comme un automate, Kohana saisit l'instrument que Don lui présentait. Mais elle n'eut pas le temps de s'enchaîner que déjà, l'homme qu'elle avait sur elle changeait de position, et rapprochait son membre dur et puissant, de l'intimité innocente de la jeune fille. Puis, bougeant encore, il rapprocha le membre de la poitrine meurtrie de Kohana.
Les seins de celle-ci lui étaient douloureux, à force d'être mal-menés par les mains expertes du marchand d'esclave. Cependant, ils continuait d'être fermes et excités : la douleur se mêmant au plaisir.
Lorsque Don se redressa à demi de façon à s'avancer vers la poitrine de Kohana, la jeune fille se sentit abandonnée. La chaleur du corps de son futur maître s'était enfuie et Kohana se retrouvait déboussolée. Les picottements s'étaient estompés. Mais contrairement à ce qu'elle pensait, ce repos ne la consola pas. Les larmes roulèrent sur ces joues.
Don n'avait pas répondu à sa requête. Elle n'avait pas été assez bien pour lui. Il l'avait rejettée. Il s'était écarté d'elle plutôt que de lui offrir ce dont elle avait besoin.
Alors Kohana sombra dans une espèce de folie. Elle n'était plus un automate, elle n'avait plus aucune volonté, elle était devenue jouet. Un jouet vivant.
Elle resserra ses petites paumes sur le métal du collier et le passa autour de son cou. D'elle-même, elle le cadenassa et rendit la clé à son propriétaire. Des chaînes pendaient le long de ses épaules. Docile, elle plaça ses poignets à côté. Ne pouvant refermer les chaînes autour de ses bras dans la position où elle était, elle attendit que Don fasse son travail.
Mais le voici posant son membre entre les seins de la jeune fille. Paniquée, celle-ci eut un mouvement de recul qui lui fit percuter le haut du lit. Le marchand d'esclave laissait Kohana libre de faire ce qu'elle devait.
*Mais que dois-je faire ?*
La pauvre jeune fille ne savait plus où elle en était. Appeurée de décevoir donne, elle replia les jambes, les serrant l'une contre l'autre. Elle laissa ses bras étendus en croix, ne sachant toujours que faire. De grosses larmes roulaient à présent sur ses joues et coulaient dans son cou, éclatant lorsqu'elles retombaient sur la gorge de Kohana.
Perdue, dans tous les sens du terme, la gorge nouée, au bord de la folie, l'adolescente releva des yeux vidés de leur substance vers Don. Son regard n'avait plus aucune profondeur. L'adolescente était redevenue fillette. Inexpérimentée de tout, attendant de son mentor qu'il lui apprenne la vie.
"Je ne sais pas... maître"
Ce mot lui était sorti des lèvres, elle n'avait pu le retenir, c'était dit. Mais Kohana n'en avait même plus conscience.
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Oh, pauvre petite fille innocente qui allait violement se faire prendre par un monstre dénué d'émotion et de compassion. Il allait la devergonder un peu, lui apprendre comment faire pour lui plaire, déjà Don souriait de toute ses dents devant sa proie car aujourd'hui allait être le jour ou Kohana allait connaître sa perte pour de bon, il allait l'entacher, la souiller a jamais par sa prise et serait le premier a s'immiscer. C'était tout l'honneur que le marchand se souhaitait a lui même. Il approcha donc son imposant sexe de la bouche de Kohana
"Comment?Eh bien c'est simple, tu va gater celà avec ta bouche et faire de ton mieux pour lui plaire."
Fit Don avec une douceur toute sadique tandis qu'il se dégageait de Kohana et s'asseyait sur le lit, là il tira la chaine de la jeune fille pour la faire venir comme un vulgaire chien a lui et lui présenter son membre dressé.
"Tu verra, c'est a ça que tu sera la meilleure, j'en suis presque sur."
Le marchand d'esclave passa une main le long du dos de Kohana et lui caressa les fesses avant de la fesser et de prendre celle ci en main, bien rond et ferme...Elle allait faire un malheur...Il la regardait, avec cette poitrine enorme, ces mains expertes et cette bouche ne désirant que le contenter, il avait enormement envie d'en finir...Elle avait tout les avantage d'une esclave expérimentée tout en étant ingénue. Un fantasme parfait, et Don était bien décidé a en profiter jusqu'a la dernière goutte.
"C'est ainsi que celà se passe ici bas, a présent contente moi mon esclave, et peut être te contenterais je."
Répondit l'imposant marchand
-HJ-Désolé j'ai l'impression que mes posts sont de plus en plus petits ^^" -Hj-
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[pas de problème ! c'est pas la longueur le plus important^^]
Kohana vit s'approcher l'imposant membre de Don. Sa bouche n'était plus qu'à quelques centimètres de la peau de celui-ci et son nez était aux premières loges pour sentir cette odeur particulière que seuls les hommes possède. Toutefois, mais elle ne pouvait pas le savoir, cette odeur était très peu présente chez Don, car pour qu'un homme dégage une telle odeur il fallait que le bâton de celui-ci reste trop souvent enfermé dans un caleçon, et ce n'était pas le cas de celui du marchand d'esclave.
Avant qu'elle n'ait le temps de comprendre ce qu'elle devait entreprendre, Kohana se sentit tirer par le cou. Don s'était éloigné d'elle et avait saisi les chaînes avec lesquelles la jeune fille s'était entravé. Il l'a fit venir à elle comme on fait avancer un chien qui ne veut pas aller où on le souhaite. Cependant l'adolescente ne résista que très peu car son maître lui promis de la gâtée si elle lui offrait ce qu'il désirait.
Elle savait maintenant comment tout cela marchait : elle donnait et en échange on lui donnait. Ce n'était pas plus compliqué ! Et ainsi tout le monde trouvait son compte ! Mais que fallait-il donner au maître ? Que fallait-il faire avec la bouche ?
Lorsque le marchand d'esclave lui remit son engin sous les yeux, Kohana trembla. Cet appendice réveillait en elle toute sorte de sensations et elle désirait plus que tout offrir le contentement à cet homme. Alors, n'ayant pas d'autres solutions, elle décida de faire la première chose qui lui passait par la tête.
Elle entrouvrit les lèvres suffisament pour pouvoir laisser passer sa nouvelle sucette, la glissa dans sa bouche puis reposa les lèvres sur le bâton. Celui-ci avait un goût étrange, légèrement sucré au début, avec un arrière goût amer. Kohana déglutit. Ses lèvres enserraient le membre de Don telle une proie. Mais l'homme n'avait aucune réaction. Alors, l'adolescente posa sa main sur la base du membre, à l'endroit où celui-ci se rattache au corps, et entreprit de faire glisser ses lèvres, tout doucement, jusqu'à sa main. Mais l'entreprise se révèla impossible. Après avoir gravit quelques centimètres, la pointe extrême du membre de Don toucha le fond de sa gorge et cela lui donna envie de vomir.
Kohana se retira précipitament. Elle leva la tête et vit que le maître l'observait avec un regard lubrique. Elle avait donc trouver ce qu'il fallait faire... Elle recommença l'expérience, mais sans réitérer sa mésaventure. Elle engloutit une partie de la sucette mais ne chercha pas à la rentrer entièrement. Elle remarqua alors que le goût étrange c'était atténué. Elle réfléchit quelques instants, puis comprenant que cela était du à sa salive, elle lècha consciencieusement le gland puis le reste du bâton.
A présent, la sucette avait un goût sucré et agréable, mais elle glissait. Les lèvres de Kohana commencèrent à se rapprocher dangeureusement du tronc alors la jeune fille retourna en arrière, du côté de l'extrémité.
A cet instant, l'adolescente sentit le membre se durcir légèrement plus.
*Voilà donc le secret*
Ravie de sa découverte, Kohana commença à faire des vas et vients de la tête afin d'enfoncer plus ou moins profondément la sucette dans sa bouche. La jeune fille y prenait du plaisir et elle sentait les picottements revenir en elle. Se souvenant de Hazel et de sa façon de calmer les picottements, Kohana avança son autre main vers son bas ventre et commença à tremper son doigt dans le liquide vaginal. Puis, elle l'introduisit à l'intérieur d'elle même.
Etrangement, cette action lui procura bien moins de plaisir que ce qu'avait fait Hazel. C'était la première fois qu'elle osait se toucher elle même. Cela la remplit de courage et lui donna plus d'ardeur dans ce qu'elle faisait à Don. Entraînée par le mouvement de son doigt à l'intérieur d'elle même, elle commença à bouger la main qui tenait la sucette et sa bouche au même rythme. Cependant, le rythme n'avait rien de régulier. Kohana répondait à ce qu'elle ressentait : parfois elle allait doucement et en profondeur, parfois elle restait proche de l'extrémité de la grotte et du bâton mais elle allait bien plus vite.
Lorsqu'il n'y avait plus assez de mouillé autour du membre de Don, elle redonnait un coup de langue, mais son plaisir la faisait tellement saliver qu'elle n'en eut presque plus besoin. Ses cheveux, lâchés, venaient parfois se coller à la bouche de la jeune fille, mais elle les écartaient rapidement et continuait ce pourquoi elle était faite.
Petit à petit, elle sentait la sucette de Don grossir et grossir. Contrairement à une sucette traditionnelle qui s'amenuisait, celle-ci offrait de plus en plus de surface à lécher et à sucer. La petite fille en fut ravie et eut envie de mordre joyeusement....
Mais heureusement, elle se retint au dernier moment.
A ce moment-là, Kohana s'arrêta, leva les yeux vers le maître et lui sourit d'un air innocent et enfantin.
[dsl : il n'y a pas de parole j'espère que ça te convient quand même^^]
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-Hj-Un peu que ça conviens XD je me sens ridicule XD-HJ-
La fillette apprenait vite et en très peu de temps, deux avantages qui sautèrent au yeux de Don. Il n'était jamais allé aussi vite avec une de ses esclaves. C'était très inquiétant et celui ci commença tout de même a se poser des questions...Etait t'il sur qu'elle était humaine et non pas une succube a la recherche de plaisirs?Après tout le fait qu'elle se tienne dans l'auberge tenait de l'inconscience...Et sans son intervention celà ferait longtemps que de nombreux badauds se bousculeraient pour être le suivant a la prendre. Les sourcils du marchand d'esclave se froncèrent mais il n'arrivait pas a se concentrer sous les coups de langues de Kohana. Elle semblait débutante mais pourtant gagnait de la connaissance en un clin d'oeil.
*Peut être est t'elle vraiment prédestinée a être une esclave...*
Pensa le marchand d'esclave tandis que Kohana tentait a nouveau de prendre son sexe entre ses lèvres avec plus de succès cette fois que la première. De toute façon en la touchant Don supprimait les pouvoirs éventuels qu'elle aurait pu employer. Donc celà ne le derangeait pas qu'elle soit humaine ou démone, il prenait son pied c'était le principal
"Tu as saisi l'idée, c'est très bien ma petite, tu ira loin..."
Fit il en passant sa main dans ses cheveux, lorsqu'il fut assez échauffé il voulut lui dire de stopper maintenant, car si il jouissait dès a présent il ne pourrait pas passer au plus interessant, mais Kohana stoppa d'elle même l'action et le regarda avec tendresse, tendresse qu'il lui renvoya. Pauvre petite qui avait sacrifié toute sa vie pour le plaisir...
"A présent venons au plat principal."
Il saisit Kohana par dessous les bras et la plaça sur ses genoux, son sexe juste au dessus du sien et lorsqu'il fut sur qu'il était bien en place, introduisit son extrémitée avant de lacher Kohana et de poser ses mains sur ses hanches
"Je vais t'aider."
D'un coup sec il la rabatit contre lui et pénétra en elle avec violence et puissance
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[HRP : pardon pour la longueur... surtout qu'il n'y a pas d'action effectuée... :$ enfin pas vraiment... j'espère que ton expérience avec Don t'aidera à trouver de quoi écrire une suite^^]
Le visage de Don semblait empli de bonheur et cela se reflétait sur la figure de la jeune fille. Son travail avait satisfait le maître, il était fière d'elle et elle allait être récompensée. Le sourire du marchand d'esclave en disait long sur ses intentions, mais Kohana n'y vit que de la gratitude, de la reconnaissance et de la complaisance.
Ce regard que Don lui portait finissait de la mettre en transe. Son corps désirait plus. Il avait appris à donner, il voulait maintenant apprendre à recevoir. Elle n'aurait su expliquer ce qui se passait en elle... la seule chose qu'elle savait c'était que son intérieur la brûlait d'un feu que seul l'impressionant homme savait éteindre.
Il la souleva alors sans aucune difficulté, la saisissant sous les bras, comme on aurait porté un chat ou un bébé. Ce geste n'avait rien de maternel pourtant. Don la rapprocha de lui, la mettant à la même hauteur que lui. Leurs deux sexes se frôlaient.
La respiration de Kohana commença à s'accélérer. La récompense était proche elle le sentait, elle le savait. La tête commençait à lui tourner : était-ce la drogue dont la dose avait été trop forte ? Ou bien le désir insupportable qui avait raison de son esprit ? Ou son corps qui ne pouvait en supporter plus de cette attente ?
Le plat principal arrivait et Don le lui servait bien chaud. Il posa ses mains sur les hanches de la jeune fille. L'extrémité de la sucette s'était ouvert un passage. La tête de l'adolescente lui tournait de plus en plus. Elle se sentait défaillir à demi. Elle avait besoin du reste. Son corps avait faim.
L'entrée lui avait donné l'eau à la bouche et la mouille aux lèvres. Le bâton était humide et chaud, bien dur... Kohana ne savait pas à quoi il servait. Pourtant, le peu qui était en elle, la brûlait d'un désir inassouvi, et elle savait qu'avaler un peu plus la sucette pourrait l'aider à se sentir mieux.
*Mais comment pourrait-il entrer ?*
Pour ce qu'elle en savait, ce petit trou n'était pas bien large, et pas suffisant pour laisser passer quelque chose d'aussi gros que le sexe du marchand d'esclave. Les doigts de Hazel étaient entrés sans trop de difficulté, mais ils étaient tout fins en comparaison. Mais son désir était tellement fort que cela glisserait peut-être tout seul ?
Don lui promit de l'aider.
Kohana commença à esquisser un sourire... qui n'abouti jamais.
Un mur s'écroula à l'intérieur de la petite fille. L'arme en fer avait brisé les parois internes de Kohana.
La douleur provoquée par cette prise brutale faisait exploser les nerfs de l'adolescente, son coeur implosait, son sang battait à ses tempes, la tête lui tournait de plus en plus. Des larmes et des cris jaillirent de sa gorge, de ses yeux et de ses poumons. Elle essayait d'exulter tout ce qui était en elle.
Malheureusement, il y avait une chose qui n'avait pas l'intention de s'en aller et sur laquelle la jeune n'avait aucune maîtrise : cette chose qui appartenait à Don.
L'arme avait tiré un coup de feu et les entrailles de l'adolescente partaient en lambeaux incandescents. La douleur ressera évidement les parois de la jeune fille et s'accentua au fur et à mesure que le bâton s'insunait en elle. Bien que l'action eut été très rapide, Kohana la voyait se dérouler au ralentit et son mal être n'en était que décuplé.
Quand le bout de fer atteint le fond, il ne semblait pas vouloir ralentir sa course. Un pic de douleur traversa le corps de la fillette de bas en haut, à la vitesse de la foudre, déflagrant tout sur son passage.
"Ah !"
Ce cri était le symbole que Kohana avait atteint la limite du supportable. L'acte que Don avait osé faire était indéfinissable. La jeune fille secoua la tête pour éviter de sombrer dans l'inconscience, puis se laissa retomber contre la poitrine du violeur. Toutes ces forces s'étaient évaporées et son esprit avait quitté son corps...
Dans dernier sursaut de lucidité et de courage, elle tenta de s'extraire. Elle souleva ses fesses et glissa lentement vers l'extrémité du sexe du marchand d'esclave.
C'est alors qu'un sentiment tout autre l'envahit. Tout aussi violent. Des centaines et des centaines d'influs nerveux s'éparpillaient dans tous les sens au travers de son corps. Eteignant et ravivant l'incidie qui était en elle.
"Ah..."
Elle se laissa retomber dans un soupir de plaisir. La douleur était toujours présente, mais plus sourde, comme un arrière-plan ineffaçable. Le héro principal était maintenant des crépitements lui donnant des frissons et des petits convulsions. Elle ferma les yeux et entoura la poitrine de Don de ses bras. Elle la serra de toute ses forces pour calmer ses sensations.
Elle soupira de nouveau, essayant de calmer son coeur qui semblait vouloir s'échapper de sa poitrine. Ses pleurs s'étaient arrêtés sans même qu'elle ne s'en rende compte. Des larmes séchées tiraient ses joues. Ayant serré ses dents contre ses lèvres lorsqu'elle avait souffert le martyr, et s'étant entrouvert la bouche. Un mince filet de sang coulait le long de son menton et gouttait contre la poitrine de l'homme introduit en elle.
Kohana ne se sentait plus capable de faire le moindre mouvement. Si elle tentait quelque chose, elle sentait qu'elle tomberait dans les pommes. Alors elle sortit la langue et lécha doucement la poitrine de Don. Elle l'embrassa de milliers de baisers et lui donna des coups de langues plus ou moins longs. Elle n'espérait qu'une chose, c'était que celui-ci lui laisserait le temps de se reposer. Or, lorsqu'elle s'occupait de lui, il ne cherchait pas à lui faire des choses, alors elle s'appliquait du mieux qu'elle pouvait à lécher le torse de ce violeur.
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Don regardait le visage de Kohana se tordre de douleur, peut être que la raison allait revenir a la jeune lycéenne et qu'ainsi elle allait comprendre dans quel pétrin elle s'était fourrée, et effectivement, elle était dans de beaux draps.
Le Marchand d'esclave sourit en la regardant passer de l'extase et de l'envie a la douleur et a la repulsion. Ah, on dirait bien qu'elle revenait peu a peu sur terre, lentement il s'approcha de son oreille et lança avec un délice a peine contenu
"Bienvenu dans le monde réel."
Fit il tandis qu'il observait l'adolescente se cabrer et essayer même de le repousser, stupide, il la tenait très bien, et a cet instant rien au monde n'aurait pu le retirer d'elle. Mais ce sursaut de rebellion plu au marchand qui se retrouvait a peu près en territoire connu. il allait donc lui faire connaître des longs et langoureux plaisirs, autant que de douleurs. Il passa sa main sur un de ses seins alors qu'elle s'appliquait a repartir, il ne prit pas compte de celà et se mit a lui suçotter un peu la poitrine.
Elle savait a présent a quoi ce baton allait servir. Son innocence a présent prise il sentait qu'elle était presque sur le point de defaillir et ce sentiment l'emplissait d'une puissance carractéristique qu'il aimait établir sur les femmes qu'il dominait.
Pour l'instant le sexe de Kohana était bien trop petit, et il n'était pas entré entier en elle, mais petit a petit il allait creuser ces parois et se faufiller tant bien que mal.
Finalement la jeune fille cessa de le repousser et se mit a l'embrasser. Au comble de sa joie Don eut un petit rire et lança a Kohana
"Voilà ce a quoi tu es destinée et voilà ta récompense pour tes bons et loyaux services. J'espère que tu l'apprecie a ta juste valeur."
Lança Don tandis qu'il se laissait faire, commençant a créer un mouvement pour s'enfoncer plus profondement en elle avec force a coup de sursaut de plus en plus poussés
"Que pense tu de ta nouvelle vie?En vaux t'elle la peine?"
Demanda le marchand d'esclave a Kohana alors qu'il approchait sa bouche de la sienne et l'embrassait longuement, passant ses mains sur son dos, des mains puissantes capables de briser des os
"Est ce que je remplit la part de mon marché, petite esclave?"
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Malgré tout ses maigres efforts pour arrêter Don et qu'elle puisse se reposer, le marchand d'esclave semblait loin d'en avoir fini. Ses lèvres dessinaient un sourire malveillant et l'homme semblait se réjouir du malheur de la jeune fille, jusqu'ici plutôt naïve.
Le monde réel s'ouvrait devant elle et ce n'était qu'un vaste champ de terre battue où des mines se cachaient et pouvaient sauter sous les pas de la jeune fille, la faisant grimacer de douleur. Par moment, elle sentait monter en elle des crépitements de plaisir, qui la faisait s'envoler dans les airs, mais bien vite elle retombait et sombrait dans la douleur. Mais il faut souffrir pour être belle dit-on, peut-être faut-il aussi souffrir pour être une bonne femme ?
Kohana n'essayait même plus de retenir ses larmes dont l'eau salée se mêlait à sa salive et se déposait sur la poitrine de Don. A ce moment-là, il décida qu'il en avait marre d'attendre et de contempler cette adolescente complètement perdue. Avec sa pioche, il commença à creuser un trou dans les parois de la jeune fille. Des petits cris s'échappaient de sa gorge comme le tintement du métal contre la pierre.
Sa récompense lui était servie sur un plateau. Pourtant, elle n'arrivait pas à l'apprécier. Que faisait-elle mal ?
"J'ai mal... je ne comprends pas... pourquoi dois-je avoir mal ? Cela vous fait-il plaisir maître ?"
Après réflexion, l'humaine avait conclut que le plaisir de son maître devait devenir son plaisir, et que si celui-ci était heureux de cette situation alors elle aurait trouvé le moyen de passer outre cette douleur fulgurante qui se propageait jusqu'en dans ses doigts de pieds à chaque soubressauts du colosse.
La jeune fille ferma les yeux et posa ses mains sur Don. Elle essayait de se concentrer et de trouver le plaisir. Elle n'avait pas besoin de chercher bien loin, le plaisir était là, il la faisait gémir, il la faisait frémir ; mais pourquoi cette douleur persistait-elle et l'aveuglait, l'empêchant d'avoir du plaisir ?
"Maître, ça fait trop mal... je n'arrive pas à chasser la douleur... pourtant... ah !... c'est si bon maître !"
Kohana s'agrippait à l'homme comme un chat s'agripperait à une branche d'arbre si un chien le poursuivait. Ses ongles étaient bien coupés, mais ils commençaient à entailler la peau du marchand d'esclave, s'enfonçant un peu plus à chaque sursaut.
Les petits cris qui sortaient de la bouche de l'adolescente était devenu normaux pour elle. Ils avaient un rythme réguliers et commençaient à la bercer doucement.
Contrairement à ce qu'elle aurait pu penser, la douleur s'évanouissait petit à petit. Elle était toujours présente mais plus en sourdine. Le plaisir, lui, par contre, grandissait. Mais plus elle en recevait et plus elle en voulait. Elle voulait que tout ceci aille plus vite, elle voulait atteindre... elle ne savait quoi, mais son corps avait besoin d'augmenter la dose de plaisir.
Alors, Don posa ses lèvres sur les siennes et l'embrassa longuement. Leurs langues partageant des moments d'intimité. Cela ne faisait qu'aviver le désir de Kohana. Elle gémissait à présent, parce qu'elle en voulait plus. Mais comment faire ?
Ces langues qui tournaient et s'enfonçaient, étaient un écho de ce qui se passait dans son bas ventre. Alors, elle mit tout son coeur dans ce baiser. Elle enfonça sa langue si loin dans la bouche du géant qu'elle aurait pu l'étouffer. Mais ce qu'elle voulait, c'était recevoir la même chose, d'une autre manière.
"Vous êtes doué maître... montrez m'en plus je vous en supplie..."
Kohana se mit à lécher l'oreille du maître, lui soufflant de l'air chaud. Sa bouche ne pouvait plus se refermer sur le bâton en fer qui était en elle, alors elle s'attaquait à d'autres parties du corps de Don : les oreilles, le nez, les tétons... tout passait entre ses lèvres et se faisait sucer avec passion.
Pendant ce temps, l'homme continuait ses mouvements. Kohana sentait que l'arme glissait de mieux en mieux dans son fourreau, l'agrandissant petit à petit, tout en procurant des sensations inconnues, qui n'avait plus rien à voir avec de la douleur. Les larmes séchèrent sur les joues de la jeune fille.
Elle sentait les mains du maître dans son dos. Elles avaient quitté ses hanches, mais Kohana ne savait pourquoi. Elle posa ses mains sur les bras du maître et commença à se soulever. Elle ne cherchait pas à résister, mais à accentuer les mouvements effectués par l'homme. Elle prit un rythme plus rapide que celui du violeur, et bascula la tête en arrière. Dans cette position, sa poitrine était offerte au maître. Son corps, légèrement penché en arrière, changeait la position de sa grotte. A présent, le plaisir montait de plus en plus car l'arme de Don pouvait frotter contre l'avant de sa paroi, là où se trouve le point le plus érogène des femmes.
C'est alors qu'un frisson plus puissant que tous les autes parcourut tout le corps de la jeune fille, comme une décharge électrique, il se répandit partout en elle. Il électrisa tout ses membres qui se tétanisèrent une fraction de seconde. Puis sa bouche esquissa la forme d'un <o> et laissa échapper un soupir, se rapprochant du grognement. L'adolescente arrêta tout mouvement et sembla figée sur place.
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Don commençait a pouvoir faire des va et viens confortables en elle. L'ouverture avait été dure, mais a présent il profitait pleinement du corps de Kohana sans une once de honte. Il n'avait vraiment aucun problème a prendre l'innocence d'une pauvre petite lycéenne ici et maintenant et comme celà lui convenait parfaitement alors tout était reglé, les coups de reins de Don étaient dévastateurs et Kohana souffrait de plus en plus de l'objet de son désir
Mais pour son propre bien. Car après tout il était sur que Kohana allait lui être utile, elle était belle, elle était a ses ordres et lui obeissait au doigt et a l'oeil. Toutes les qualitées nécéssaires étaient là et quoi de mieux que de savoir qu'une femme serait là pour le satisfaire quand il voulait?Non pas qu'il puisse se procurer une femme quand il en avait envie mais il était sur que le futur maître de Kohana, si elle se vendait car il mettrait le prix assez haut, apprecierais de telles choses.
Car oui, pour le moment Kohana était heureuse, mais la réalité était que Don se fichait d'elle comme de son pucellage perdu depuis longtemps. Il ne faisait que son travail, et qu'il y avait t'il de mal que d'aimer son travail?Là Kohana était droguée transportée par sa découverte du sexe et par ses capacitées en temps qu'amant, mais allait t'elle demeurer ainsi a son prochain maître?Nous allons bien voir celà
"Celà me fait plaisir que tu souffre, car te voir souffrir sous moi me donne du plaisir. Mais ce n'est que le début je te promet qu'après ces longs champs de souffrance tu atteindra les cimes..."
Fit il tandis qu'il accellerait ses coups de reins de plus en plus. Il la sentait crier, et plus il criait plus il se sentait revivre et plus il lui faisait mal. Don se fichait bien du plaisir de Kohana, ce qui comptait c'était que lui prenne son pied, mais une fois qu'on avait experimenté Don on pouvait prendre n'importe quel autre amant avec l'esprit leger...Il n'était vraiment pas délicat avec ce genre de choses.
Alors que le colosse exultait il enchaina pour galvaniser Kohana dans son acte et lui permettre de se dépasser a nouveau
"Ne chasse pas la douleur, invite la au contraire, invite la et ainsi tu t'ouvrira au plaisir ultime."
Ils s'embrassèrent et il sentit que Kohana mettait vraiment de l'âme dans son baiser, c'était bon, meilleur que les baisers a la dérobée qu'il prenait, tandis qu'il l'embrassait et continuait ses coups de reins il sentait que la jeune fille passait de la douleur au plaisir et le comblait en l'embrassant de part et d'autre.
Elle se cabra en arrière et Don posa une main sur son sein droit pour le pétrir sans douceur tandis qu'elle se donnait du plaisir, reprenant les vieux instincts pour l'alimenter a nouveau, il se sentait transporté et soudain son corps connu une décharge electrique et se stopa. Elle avait atteint l'orgasme, avant lui. Ce n'était pas inhabituel pour une jeune fille faisant ses débuts, mais l'acte avait quand même de quoi frustrer Don qui décida de se jouer un peu de l'autorité qu'il avait sur Kohana en tirant celle ci vers lui par la chaine
"Comment ose tu venir avant moi?"
Il l'étala sur le lit de dos et sortit son sexe d'elle tandis qu'il souriait a nouveau
"Voilà ce que je donne a celles qui se laissent porter par leurs propres désirs egoistes plutôt que de satisfaire ceux de leur maîtres!"
Lança t'il avec ironie, egoisme?Il pouvait parler, en attendant les mains de Don se posèrent sur ses hanches et celui ci commença a entrer dans le posterieur de Kohana
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Le plaisir montait en Kohana et elle ne se préoccupait plus du maître. Son plaisir était devenu premier et elle ne s'apercevait même pas qu'elle ne correspondait plus aux attentes du marchand d'esclave. Et puis voilà qu'elle atteignait ce point si sensible et indéfinissable que toutes les femmes pouvaient connaître lorsqu'elles étaient en totale confiance avec leur partenaire.
L'adolescente se trouva plongée dans une espèce de monde parallèle, exactement identique au sien mais où la douleur n'avait plus sa place, où seul le plaisir avait lieu d'être. Elle souriait béatement, et même lorsque Don l'attrapa par la chaîne qui pendait à son cou, elle ne réagit pas. Rien ne pouvait la faire sortir de son illusion.
Le marchand d'esclave n'attendit pas que la jeune fille prenne conscience de ce qui lui arrivait. Il jouait de son autorité et la jeta sur le lit. Kohana souriait toujours. Elle voyait à travers son nuage drogué que le maître n'avait pas l'air satisfait, mais elle ne comprenait pas pourquoi. Elle était tellement heureuse, qu'il ne pouvait pas en être autrement de celui qui lui avait procuré tant de plaisir !
Alors il la retourna et l'enfer se déchaîna.
Le tonnerre rugit et la foudre s'abattie sur le corps de la pauvre humaine, la transperçant de toute part. Elle hurlait à la mort et se sentait éventrée par un obus. L'arme qu'utilisait Don avait explosé à l'intérieur d'elle même et la déflagration avait anéanti ses intestins. L'arme était en elle, mais elle ne trouvait pas dans le bon conduit.
La douleur n'était en rien comparable à la précédente. Si l'autre lui avait donné envie de pleurer, elle n'avait pourtant été que piqûre de moustique face à celle qui l'assaillait à présent. Le plaisir qu'elle avait ressenti s'était totalement effacé de sa mémoire et ce qui restait en elle n'était plus qu'un champ de ruine.
Son corps, révolté par cette prise d'otage, essayait de s'accrocher aux draps du lit comme on s'accroche à la vie. Ses bras tremblaient, sa vision s'était troublée... elle ne ressentait plus rien d'autre que son postérieur en feu.
Après un long et horrible cri de porc qu'on égorge, Kohana eut la voix cassée. Plus un son ne sortait de sa bouche, mais l'effet qu'elle ressentait ne s'était pour rien dissipé. Elle s'étranglait à moitié entre ses sanglots et n'arrivait plus à respirer.
Elle essaya de ramper pour extirper cet obus plongé en elle, mais les mains qui maintenaient ses hanches étaient trop fortes. Elle essaya de crier, mais ce ne fut qu'un cri de muet qui put franchir ses cordes vocales. Finalement, elle réussit tout de même à articuler quelques mots.
"Maître... lâchez-moi... je vous en supplie... il faut que j'aille... chier"
Elle acheva sa phrase sur un souffle d'air, n'osant exprimer haut et fort cet aspect dégoûtant d'un corps humain. Les parois de sa grotte interdite se refermaient doucement, enserrant leur proie et essayant de l'expulser comme elles l'auraient fait avec tout autre corps étranger, et qui, normalement, devait se retrouver dans les toilettes.
Mais rien en semblait pouvoir désarçonné Don. Il n'avait aucune pitié et les pleurs de la jeune fille semblait l'exciter plus qu'autre chose.
Alors elle se laissa retomber sur le lit, désemparée. Elle se recroquevilla sur elle même, protégeant ce qu'elle pouvait de cet affreux homme qui la martyrisait. Elle n'avait plus aucune envie, plus aucun désir... elle espérait juste que cela se finirait vite.
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Don se foutait de ce que ressentait Kohana comme de sa dernière chemise, il la prit en levrette et continua ses mouvements pour élargir le second orifice, restand sourd aux protestations de la jeune fille, essayant d'entrer en elle comme dans un tunnel trop étroit pour lui, il prit une inspiration suplémentaire, se retira légerement pour revenir avec bien plus de force tandis qu'il riait aux éclats...Dieux qu'il aimait le visage de Kohana en ce moment, il se pencha vers elle et lui sussura
"Tu n'ira nulle part tant que je ne serais pas satisfait ma petite"
Fit il alors qu'il reprenait les mouvements de bassin de plus en plus fort, il commençait a pouvoir s'enfoncer avec plus de facilité en elle, alors autant continuer dans cette voie. Il aimait déjà beaucoup Kohana et était sur qu'elle ferait une esclave idéalle pour lui. Elle était soumise et se laissait faire, si elle ne se vendait pas bien il serait ravi de l'engrosser et de donner naissance a une nouvelle génération...
Il se mit a imaginer la pauvre Kohana portant son enfant et se mit a en rire de plus belle en activant les mouvements...
"Prépare toi a recevoir tout ce que j'ai. Remercie moi."
La commanda t'il alors qu'il s'enfonçait en elle pour la dernière fois avant de se retirer et de placer son sexe a nouveau dans le bon trou et de continuer ses va et vien alors qu'il petrissait ses seins comme de la patte...Il la prit contre lui et lui lécha le cou
"Dis moi ce que tu ressent, je veux savoir chaque instant..."
Il accellera alors la pulsion et sentit bientôt venir lui aussi, accellerant les mouvements de bassin de plus en plus vite, il se sentait arriver a ses limites. Soudainement il vint en elle dans un long râle expiateur, la remplissant avec sa semence avant de la laisser tomber sur le lit...Il se leva et lui gifla les fesses pour la feliciter
"Bravo Kohana, tu es une excellente élève...Il ne te manque plus que mon approbation finale...Et tu sera mon esclave, le désire tu toujours?Peut être t'honnorerais je de mon enfant, qui sait."
Fit Don avant de partir dans la piece d'a coté, il revint avec en main une longue tige de fer rouge...Portant un sceau
"Ne bouge pas."
Fit il, plus un ordre qu'un désir, il la plaqua par le coup et lui appliqua son sceau sur la fesse droite
"Tu m'appartiens officiellement, soit fiere, remercie ton maître Kohana."
Fit Don avec sadisme, alors qu'il relevait le fer, et que Kohana arborait une marque ressemblant a celle des vaches.
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-HRP : mince alors j'ai mis trop de temps pour écrire... ma session s'était terminée, faut tout que je réécrive^^ faut que j'arrête de faire des longs posts !-
La jeune fille était tétanisée. Ses dents étaient plantées dans ses lèvres, ses yeux s'assèchaient parce que Kohana n'avait plus de larmes en réserve, une boule se logeait dans sa gorge. La violence dont Don faisait preuve était abominable.
Elle avait la nausée cependant elle n'arrivait pas à vomir. Son corps la dégoûtait. Alors que la douleur était insoutenable, son autre trou laissé béant s'humidifiait. Ses fesses se resserrèrent accentuant l'étroitesse du passage, mais les coups de reins du colosse continuaient de s'intensifier.
L'adolescente n'était plus vraiment consciente. Sa main descendit le long de son corps et atteignit son clitoris. Elle se mit à le frotter vigoureusement, s'apportant encore plus de plaisir.
Derrière elle, son maître jubilait tellement qu'il en éclata de rire. Ses yeux étaient amplis de sadisme pur.
Alors que chaque coup lui retournait l'estomac, les sensations qu'elles avaient connu précédemment commençaient à s'emparer à nouveau d'elle. des frissons la parcourait et elle sentait la jouissance revenir.
Au moment où elle s'y attendait le moins, elle se sentit retournée. Elle eut alors un sursaut de panique. Ses muscles se contractèrent dans un moment de panique. Malgré cela, l'engin du colosse n'eut aucune peine à s'enfoncer dans le premier orifice tellement les parois étaient glissantes. L'adolescente ne put retenir un soupir de soulagement. Don lui donnait la possibilité d'atteindre le septième ciel une seconde fois. Il accentua encore le rythme, grisant la jeune fille.
Les muscles de Kohana ne purent s'empêcher de participer à l'action du maître. Son bassin se soulevait au rythme imposé, ses muscles se resserraient, ses mains s'aggripaient au croupier du géant, l'invitant à s'enfoncer plus profondément encore.
La bestialité de la scène avait tout du viol, mais la jeune fille le ressentait à présent comme un remerciement, comme un cadeau. Elle prenait ce qu'on lui donnait. La violence qu'elle recevait se transformait en jouissance grâce aux frottements incensants qui se produisait en elle.
L'homme choisit cet instant précis pour se libérer de sa mixture blanchâtre. Kohana l'accueillit avec un petit cri, rejetant la tête en arrière et soulevant sa poitrine meurtrie par les mains de l'homme. Elle se sentait en transe et comblée.
Alors qu'elle profitait du moment, Don se retira précipitament. Elle eut soudainement froid, se sentant seule et abandonnée. Elle s'était attachée à son tortionnaire et n'avait qu'un suel besoin : un câlin. Mais celui-ci ne l'attendait pas ainsi. Il la gratifia d'une claque sur les fesses et lui promit son approbation.
A ces mots, la jeune fille ne put s'empêcher de sourire et de fermer les yeux. Son apprentissage arrivait à son terme et le maître la félicitait. C'était un rêve qui se réalisait !
Pourtant, la réalité la rattrapa bien vite lorsqu'elle vit le colosse s'approcher avec un tisonnier à la main. Elle aurait voulut s'enfuir mais les forces lui manquaient. Elle avait tout donné dans ses ébats et toute son énergie s'était volatilisée lors de son extase. La panique la saisit à la gorge et ses yeux s'exhorbitèrent, tel ceux d'un supplicié.
Mais Don était insensible à tout cela. Il saisit l'adolescente au cou, l'étranglant à moitié par la même occasion. Celle-ci aurait voulut se débattre mais ses jambes restaient flasques et inactives.
C'est alors que le fer s'abattit sur sa peau, lui arrachant un cri venu tout droit des enfers. Ce cri n'avait rien d'humain, il n'était même pas vivant.
L'odeur de la chair brûlée s'empara alors du nez de la jeune fille qui ne put en supporter plus.
Alors que son maître la lâchait, elle tomba sur le lit, ayant perdue connaissance. Dans sa douleur, elle s'était lacérée la poitrine à coups d'ongles. A présent, les griffures s'emprégnaient de sang et commençaient à tâcher les draps du lit.
-HRP : tant pis pour toi, je trouve ce jet moins bon, j'espère qu'il te conviendra après tout ce temps d'absence-