Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Amy le lundi 18 août 2008, 21:24:55
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Décidément, cette journée prenait une bien mauvaise tournure!
Amy, découvrant en elle des trésors de ténacité, avait décidé de poursuivre ses recherches de petit boulot...
En réalité, c'est sur le chemin du retour vers chez son oncle, quand elle emprunta une ruelle plutôt glauque, que la fillette avait décidé de tenter une ultime fois sa chance...
Etait-ce un scnack? une boulangerie? une épicerie? Difficile à dire, mais il semblait dans cet endroit que l'on pouvait trouver à peu près tout et n'importe quoi, pourvu que ce soit enrobé d'une bonne couche de graisse...
La salle sentait le graillon. Un comptoir occupait l'une des extrêmité, surmonté de mauvais clichés représentant les plats à base de frites que l'on servait ici. 5 tables comblaient l'espace qui séparait le comptoir de la porte. L'autre partie de la salle contenait de longues étagères où l'on vendait des produits divers et (a)variés...
Les regards s'étaient tournés vers Amy quand elle était entrée, avec son uniforme trop petit tendu sur sa poitrine naissante, et dévoilant presque sa petite culotte à chacun de ses pas, mais la gamine les avait bravement ignorés pour s'adresser à l'homme qui semblait tenir ce boui-boui...
Il serait fastidieux de reporter ici l'échange qui se soldat, comme chaque fois, par un refus catégorique, assorti d'une main au panier qui fit battre en retraite notre innocente lycéenne.
Amy quitta l'endroit à petits pas pressés, jetant cette fois des regards furtifs et apeurés autour d'elle. Ce gros type sale qui venait de lui refuser un boulot, mais était prêt à lui accorder "autre chose" lui faisait peur. Elle avait l'impression de sentir encore ses gros doigts boudinés posés juste sur le sillon de ses fesses!
Beurk!
Pressée de quitter les lieux et ce quartier vraiment pourri, Amy ne remarqua pas qu'un client la suivait des yeux, et se mettait à la suivre tout court, quand elle franchit la porte qui donnait sur la rue...
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A vrai dire Don n'était pas dans le coin pour travailler. A la base il s'était posé dans ce bouiboui merdique pour reflechir un instant a ce qu'il allait faire, loin de commander la nourriture infame de cet homme il avait apporté la sienne, et quand le patron avait menacé de le faire sortir si il ne payait pas une consommation il fit craquer ses articulations. Trois fois. Depuis il savourait un moment de tranquilité agréable. Posé là comme il était il allait pouvoir se concentrer sur un de ses buts depuis qu'il était arrivé sur Terre : mettre au point un reseau de vente d'esclave sur Terre. Il savait que les Terriens ne beneficiaient plus de l'esclavage, et c'était bien dommage, vendre quelques Terranides et humaines dociles boosterait son chiffre d'affaire et il pourrait les vendre surement 4 fois plus cher que sur Terra. Joie.
Mais pour le moment il n'avait pas encore les connexions nécéssaires avec le millieu bourgeois. Il devait encore patienter. Puis une jeune lycéenne entra dans le restaurant, Don tendit l'oreille. pour capter un peu ce qui se passait, visiblement le tenancier voulait bien la prendre comme serveuse, mais si elle donnait un peu d'elle même...Quel crétin, cette fille sentait la fraicheur virginale a plein nez, ça n'était pas comme ça qu'il allait l'avoir. Elle partit évidement quelques temps après. Don se leva et la suivit discrètement, prenant son temps si il le fallait, et arrivé a la rue principale il la rattrapa.
"Mademoiselle !Mademoiselle !"
Un homme assez costaud rattrapa Amy, mais après sa course effrenée il s'arrêta quelques secondes pour reprendre son souffle, il avait l'air completement épuisé. Devant Amy se tenait un jeune homme proche de la trentaine, serieux possédant des lunettes carrées et un regard professionel, ses cheveux impécablement coiffés laissaient respirer le professionalisme. Contrairement au cuistot mal débouché qu'elle avait rencontrée.
"Je suis désolé de vous importuner, j'était en train de me désalterer dans ce café et je n'ai pu m'empecher de remarquer que vous étiez a la recherche d'un emploi."
Il se releva d'un air désolé, il faisait bien deux mètres de haut, sinon plus. il sortit de sa manche une carte et la sortit a Amy. Eh oui, quand Don était en repérage il utilisait souvent de fausses identités. Et celle ci était celle de...
"Darian Gorian, Antiquaire."
Il lui tendit une carte serieuse donnant sur une adresse et un numéro de téléphone. Son air pédant ne lui donnait que plus de serieux auprès de la lycéene, rien a voir avec l'autre
"Je recherche justement quelqu'un pour faire le ménage dans ma boutique, est ce que celà vous interesse, pardonnez moi, mademoiselle...?"
Fit il dans le but de s'enquérir de son nom...Le plan était huilé et marchait bien pour le moment
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Amy, en sortant, eut immédiatement l'impression d'être suivie, mais elle ne prit pas cette sensation au sérieux, mettant ça sur le compte de la trouille que venait de lui faire le tenancier.
Cependant, quand elle entendit des pas précipités derrière elle, elle ne prit même pas la peine de se retourner et commença elle aussi à courir, sentant l'affolement la gagner sans qu'elle put faire grand chose pour se raisonner... Elle entendit qu'on l'interpelait, mais se refusa à s'arrêter, certaine que c'était le tenancier ou l'un de ses acolytes...
Une grande main ne tarda pas à se poser sur son épaule, la coupant dans sa fuite. Amy poussa un cri de frayeur, et c'est de grands yeux écarquillés aux pupilles dilatées qu'elle tourna vers son poursuivant.
L'allure de cet homme acheva de la surprendre. Il n'avait rien d'un voyou ni d'un pervers (comme quoi hein... ), les vêtements impeccables, de même que ses cheveux, des lunettes aux angles rassurants, et l'air tout à fait comme-il-faut...
Amy ne décela rien de louche dans le ton qu'il employa pour lui parler, mais elle resta un peu sur sa réserve vus la mauvaise rencontre qu'elle venait de faire. On l'avait suffisamment éduquée pour qu'elle ne se fie pas au premier inconnu venu, même si elle en crevait d'envie! Car on était bel et bien entrain de lui proposer du travail! Elle allait enfin pouvoir être un peu tranquile, seule, un poids pour personne!
*t'emballe pas t'emballe pas... attend de voir!* se sermonna Amy, qui faisait de gros efforts sur elle même pour ne pas sauter de joie dans les bras de cet inconnu.
Elle prit la carte qu'il lui tendait et la contempla comme s'il s'agissait d'un trésor. En fines lettres dorées, le mot Antiquaire se détachait sur le papier glacé. Plongée dans sa contemplation ébahie, Amy faillit ne pas entendre la suite de la phrase, mais le mot "ménage" attira son attention et lui fit relever la tête.
Le ménage? Mais c'était tout à fait dans ses attributions ça!
Un instant la gamine s'imagina le bonheur d'épousseter autre chose que les affaires de personnes qui la méprisaient... chez un antiquaire elle ne nettoierai que de belles choses, des choses de valeur... des choses qui requiéraient un minimum de savoir faire et de confiance, songeait-elle avec une certaine fierté!
Un problème se posait cependant. L'homme avait-il deviné qu'elle était loin d'être majeure? Comment réagirait-il si elle le lui disait? Devait-elle prendre le risque de mentir?
Amy décida de tâter le terrain prudemment...
"Amy, monsieur! Je m'appelle Amy.
Monsieur... ce serait un véritable honneur pour moi de travailler dans votre boutique, mais je me dois de vous dire que je ne suis pas tout à fait majeure..."
Pas du tout aurait été plus juste, mais elle ne voulait pas lui avouer son âge sans être sûre qu'il l'accepterait quand même...
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La vie, toute la vie était un test, un combat pour savoir qui aurait l'ascendant psychologique sur l'autre, et Don était très très fort a ce petit jeu là. Et il allait le prouver a cette jeune fille innocente en continuant a jouer le jeu quoi qu'il arrive. Après tout il avait la tête du patron modèle, très beau, bien fait de lui même, mais d'abord un intellectuel, quelqu'un de discret et distrait qui la paierais surement très cher pour pas grand chose, quelqu'un de gentil, de trop gentil, par ses manières.
Quelqu'un qui dont la seule existence ferait gerber Don, mais qui allait l'aider a mener a bien son plan. Il se frotta un peu le menton d'un air distrait avant de remettre ses lunettes bien au milieu de son visage et après avoir réajusté un peu sa veste après cette folle course.
"Oulà, un peu d'exercice rien de tel pour se remettre en forme."
Murmurra t'il pour lui même en reprenant son souffle en parfait acteur. il était revenu dans la peau de son personnage et ne le trahirais pas. Tout du moins pas avant qu'il soit sur d'avoir sécurisé sa cible.
Sa proie avait l'air de ne pas croire a sa chance. Don sourit, et ce sourire eut l'air bienveillant sur les lèvres de monsieur Darian. Oui, ces lunettes cachant ses yeux étaient une aubaine. Don fit une petite reverence pour rester dans l'âme de son personnage, un être attaché a un passé que tous avait oublié
"Ravi de vous rencontrer mademoiselle."
Elle lui annonça qu'elle n'était pas majeure, Don eut un petit sourire narquois pour lui même, bien sur qu'il le savait, il s'en doutait bien a première vue, mais Darian ne laissa qu'échapper une petite moue surprise
"Vraiment?Mais vous aviez l'air si assidue, je pensais que vous étiez en âge, tout celà est fort facheux, néanmoins je ne puis que vous féliciter de votre honnétée jeune fille, si plus de gens étaient comme vous..."
*Mon travail serait bien plus facile*
Fit il en faisant mine de reflechir avant de taper dans son poing en signe qu'il avait trouvé là une réponse appropriée, il se tourna calmement vers Amy
"Oh, eh bien peut être que je puis vous aider d'une autre manière, n'avez vous pas chez vous quelques vieilleries dont vous souhaiteriez vous débarasser?Je puis vous les acheter a prix d'or."
Avec un langage aussi soutenu Don souhaitait deux choses, qu'Amy le ramène chez elle, un endroit où elle se sentirait en sureté et où il pourrait profiter d'elle sans eveiller les soupçons, mais également avec cette air soutenu, pour pousser Amy elle même a remettre en cause sa sexualité. Certes, elle allait penser qu'il avait tout de l'homosexuel, mais sa proie serait endormie, et qui aurait besoin de honte quand on pouvait avoir du gibier.
Si elle ne voulait pas il trouverais un autre plan(Hj-En gros a toi de voir :) -Hj-)
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L'homme avait l'air sincèrement ravi de l'avoir croisée... Amy n'en croyait pas ses oreilles! Elle, une petite fille insignifiante, intéressait un homme aussi sérieux pour l'aider à s'occuper de sa boutique!? Jamais Amy ne s'était sentie aussi heureuse et fière!
Hélas, quand elle lui avoua qu'elle était mineure, l'homme sembla abandonner toute idée d'embauche... C'était à prévoir, mais Amy était terriblement déçue... elle avait été si heureuse à l'idée d'avoir enfin un travail! Elle prit sur elle autant qu'elle put, mais elle sentit des larmes lui piccotter les yeux... Cela dit, l'homme avait tourné sa phrase en compliment et Amy en ressentit une certaine fierté.
Il lui proposa alors de lui racheter quelques objets afin de lui donner un peu d'argent... à prix d'or même, disait-il...
Amy passa mentalement en revue ce qu'il y avait chez son oncle et sa tante. Nul doute que pour l'appat du gain ils seraient prêts à se débarrasser de leurs vieux bibelots, mais Amy était un peu réticente à retourner là bas en compagnie d'un homme... qui sait ce qu'ils pourraient s'imaginer?
Hésitant un peu, elle dit :
"Hé bien... il y a surement des choses qui pourraient vous intéresser chez mon oncle et ma tante, si vous voulez je peux vous donner leur numéro pour que vous les contactiez... je n'ai moi même aucun effet personnel..."
Elle avait baissé la tête, un peu honteuse, en disant cela. Elle aurait tellement voullu qu'il la laisse travailler pour lui! Jouant le tout pour le tout, elle ajouta :
"Vous savez j'aurais été vraiment honorée d'entretenir votre boutique... Je sais que cela ne se fait pas d'employer des personnes mineures, mais vous m'avez dit que je semblait plus vieille... Peut être que... si je faisais votre ménage en dehors des heures d'ouverture... Je ferai tout mon possible pour vous satisfaire et que vous ne le regrettiez pas..."
Amy était terriblement gênée d'essayer d'inciter cet homme à enfreindre la loi en l'embauchant malgré tout, elle avait peur de le mettre en colère en disant cela, mais elle devait essayer!
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La conversation allait dans son sens et Don ne pouvait donc qu'aimer ce qui se passait a présent. Souriant et toujours radieu, il se mit a imaginer les possibilitées qu'il pourrait engendrer a la suite de cette rencontre...Faire ça chez elle semblait être trop risqué pour le moment si il y avait d'autres personnes. Bien sur, Don ne doutait pas du fait qu'il pourrait leur écraser la tronche d'un coup de poing, mais ne pas se faire remarquer était très important quand on voulait investir ce genre de monde. Non, il fallait une approche plus subtile, plus en délicatesse.
Finalement ce fut Amy qui la lui donna toute seule comme une grande. Don sourit en pensant qu'elle se donnait elle même le baton pour se faire battre, mais soit, elle allait bientôt le regretter.
D'ailleurs un bref regard a travers ses lunettes d'homme serieux lui montrait que la pauvre petite était déjà terriblement déçue a l'idée de ne pas travailler a sa boutique...Et si elle savait que la marchandise ça serait elle. Hah!Don eut un sourire cruel qui passa a nouveau pour de la bienveillance, c'est fou ce qu'une bonne paire de lunettes peut changer sur le physique d'un homme.
"Oh, je serais ravi d'y passer, n'hésitez pas a me donner leur numéro."
Fit il, ca pouvais toujours être utile, après tout peut être avait t'elle une soeur ou une amie qui pourrait tout aussi bien faire l'affaire qu'elle. Mais la proposition d'Amy était la meilleure. En dehors des heures d'ouvertures ça serait parfait!Il n'y aurait personne et celà ne le forcerais pas a faire passer le vieil abri qu'il avait aquéri pour ses entreprises terrestres comme une vraie boutique.
"Eh bien, il est vrai que vous semblez être très motivée, et que je cherche effectivement quelqu'un pour le menage depuis longtemps. Si vous êtes sure que vous ne le regretterez pas..."
Oh dieu qu'il adorait ces double sens
"Vous n'avez qu'a passer a la boutique après 19h, heure de la fermeture, oh, si vous le souhaitez je peux vous préparer un petit quelque chose a manger, c'est toujours mieux de faire connaissance autour d'un repas."
Don se mit a rougir et a se rattrapper
"...Entre employeur et emlployé ça va de soi!"
Là encore il avait fait exprès de faire ce lapsus, pour qu'Amy le regrette encore plus le moment venu.
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(on ouvre un autre topic?)
Amy sentit son coeur défaillir de joie! Finalement l'homme semblait reconsidérer sa proposition et ne plus être choqué par son âge!
Un tas de possibilités futures défilaient dans la tête de notre petite écervelée qui ne put s'empêcher de sauter littéralement de joie... certes, elle essayait de se contenir pour ne pas paraître trop idiote, mais elle fit quelques petits bonds en battant des mains, ce qui eut pour effet de faire danser sur ses cuisses sa jupette trop courte d'écolière, dévoilant par à-coups le coton rose de sa petite culotte.
"Oh non je le regretterait pas Monsieur! Et je ferai tout mon possible pour vous contenter! Merci de me donner ma chance!"
Il lui proposa alors de passer à la boutique à 19 heures. Cela semblait raisonnable et lui laissait le temps d'aller prévenir son oncle et sa tante qu'elle rentrerait plus tard. Si l'affaire se concluait, elle pouvait financer son internat au lycée et ne plus avoir à habiter chez eux! Une aubaine!
L'homme l'invita même à partager son repas, ce qui fit ouvrir de grands yeux à Amy, qui n'avait pas mangé de la journée, faute d'argent. Il prit le soin de justifier qu'il ne s'agissait que d'un repas entre employeur et employée, ce dont Amy, naïve, n'avait pas douté un seul instant!
"C'est trop d'honneur, Monsieur Gorian! Ke ne voudrais pas abuser et vous encombrer... je pourrais peut être vous ramener quelque chose? Ou vous faire la cuisine! Je fais ça tout le temps!"
Puis, prenant un instant pour réfléchir, elle réalisa que si elle voulait cacher son âge en travaillant pour lui, elle ne pouvait se rendre là bas dans sa tenue d'écolière. Ne sachant pas quelle tenue serait la plus appropriée, elle décida de poser la question à son employeur :
"Vous désirez me voir porter une tenue particulière pour la boutique?"
Elle rougit en posant cette question, elle ne voulait pas paraître entreprenante ou irrespectueuse, et elle espérait qu'il saisirait l'à-propos de sa question!
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(Non pas de problème ;))
C'était peut être la prise la plus facile qu'il avait jamais faite. Peut être qu'il devait vraiment faire confiance a cette fausse identitée, les femmes avaient toujours aimé les gentlemens...Don se massa un peu la tempe et pris un air posé et amical. En esperant qu'elle ne se ferait pas agresser en rentrant chez elle, car c'était la seule chose qui l'empecherait de tomber dans ses filets ce soir, du moins a ce qu'il pensait. Don remit un peu ses lunettes d'un air maladroit et répondit avec franchise et gentillesse
"Oh, inutile de me remercier, faites votre travail convenablement et vous me rendrez ce que je vous donne au centuple!"
Et décidement la phrase "Je ferais tout mon possible pour vous contenter" lui plut bien, il allait tacher de faire en sorte que cet état d'esprit reste le même. Il se frotta la nuque avec un air un peu géné qui collait si bien a son personnage, qu'Amy ne suspecterais jamais de lever le doigt sur elle, quelle aubaine.
"Oh ne vous en faites pas, c'est un plaisir pour moi de vous avoir a ma table"
*Vous serez le plat de resistance bien sur...*
Elle lui demanda si elle avait a porter une tenue particulière pour la boutique, Don reflechit, il venait justement d'acheter un costume qu'il allait "offrir" a une de ses esclaves pour la rendre plus vendable mais il semblerait que la chance soit avec lui
"Eh bien figurez vous que je viens de mettre la main sur un costume d'époque qui je pense vous siera a ravir, si celà ne vous fait rien de le porter bien sur!"
Fit il tandis qu'il sortait d'un sac un joli costume de soubrette noire a dentelle blanche, tout était fourni avec, jusqu'aux sous vetements
"Je me disais que ça pourrais être bien pour la boutique, oh et il y a un trou ici"
Fit il en montrant un trou qui a la base devait surement être là pour permettre a la queue d'un Terranide de passer
"Je le ferais recoudre si vous voulez."
Fit il avec politesse, puis il commença a s'éloigner
"Alors je vous attend a 19heures pour un premier entretiens, au revoir!"
Il lui serra la main avec enthousiasme avant de partir. Il avait juste le temps de transformer sa planque en boutique. Et quand les 19 heures furent là, a l'adresse sur la carte d'Amy se trouvait une petite boutique oubliée pleine de poussière et d'objets anciens. A l'interieur de celle ci le plancher craquait et devant elle un vieux comptoir avec une sonette.
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Son futur employeur lui assura qu'il était ravi de l'avoir à sa table ce soir, déclinant sa proposition de cuisiner... Amy aurait voulu lui démontrer l'étendue de ses talents culinaires, elle désirait tant lui montrer qu'elle pouvait lui être utile! Mais visiblement, faire le ménage suffisait amplement, et elle savait qu'elle ne rechignerait pas à la tâche!
A sa question sur sa tenue vestimentaire, il répondit en sortant de son sac une tenue qui semblait parfaitement adéquate!
Amy resta cependant un peu interloquée qu'il se trimbale justement par hasard avec une tenue de soubrette dans son sac. Etait-il parti en quête d'une femme de ménage? Cela paraissait plausible puisqu'il lui avait dit chercher depuis longtemps...
L'idée de porter un costume d'époque ravissait Amy, qui n'était encore guerre plus qu'une fillette, et pour qui l'idée de se déguiser était le comble de l'amusement!
Elle sauta une nouvelle fois en l'air en battant des mains!
"Je vais travailler comme une vraie soubrette d'époque, ainsi je me fondrait vraiment dans l'ambiance de la boutique! C'est une très bonne idée Monsieur Gorian!"
Amy eut un petit rire, et lança une plaisanterie dont elle ignorait à quel point elle se rapprochait de la réalité :
"Ainsi on me prendra peut être moi aussi pour un de ces objets précieux à acheter! Ce serait drôle! J'espère que personne ne voudra acquérir ma tenue, elle est très jolie!"
Amy termina ces mots en examinant attentivement le vêtement tout de noir et blanc, froufroutant comme un tutu, paré de longs rubans et de dentelles. Elle remarqua qu'il contenait même des sous vêtements! Il avait dû être étudié pour une fille plus âgée qu'elle, mais qu'importe!
L'homme lui fit remarquer la présence d'un trou à recoudre, et Amy l'arrêta d'un geste de la main :
"Je m'en chargerai moi même ne vous inquiétez pas! Le raccommodage ça me connais!"
Puis l'homme s'éloigna, laissant Amy seule dans la rue, à contempler sa tenue comme un trésor... c'était ce que cela représentait pour elle : un trésor et sa liberté... elle ne savait pas à quel point elle se trompait!
Elle rentra finalement chez elle, prévînt son oncle et sa tante qu'elle avait trouvé un emploi, ce à quoi ils répondirent en la sommant de dégager les lieux dans une semaine au plus tard. C'était suffisant pour s'inscrire à l'internat, mais elle devait s'assurer que Monsieur Gorian ne changerait pas d'avis! Ce serait catastrophique!
En s'apprêtant à recoudre le trou à l'arrière du vêtement, elle remarqua qu'il ne s'agissait nullement d'un accroc ou d'une déchirure, mais d'un orifice circulaire parfaitement cousu en vue de laisser dépasser quelque chose... Amy ne savait pas quoi, mais elle ne désirait pas abîmer le précieux vêtement et renonça à faire la couture.
Elle l'enfila alors, et fut heureuse de constater qu'il lui allait comme un gant!
Elle fut un peu gênée par les sous vêtements qui n'étaient pas adaptés à une fille de son âge, mais elle les enfla quand même, désireuse de se fondre dans son nouveau rôle.
Le soutien gorge de fine dentelle noire était un peu grand, mais en serrant les bretelles à fond, c'était correct.
De même la tenue était assez décolletée et baillait un peu à la poitrine. Cela ne se remarquait pas trop quand elle était debout, mais beaucoup plus si elle se penchait.
La jupe s'évasait en une large et ravissante corolle noire surmontée d'un petit tablier blanc. Une dentelle blanche en tapissait le dessous, à mi-cuisse, laissant apparaître le haut des jarretelles fournies avec les sous-vêtements...
Elle compléta enfin la tenue par le petit serre-tête assorti et les gants, enfila ses plus jolis souliers vernis, puis se mit en route pour son rendez vous...
Les têtes se tournaient sur son passage, et bientôt Amy se sentit très gênée par les regards insistants posés sur elle.
Elle se mit à marcher de plus en plus vite, ce qui faisait voler les dentelles de son jupon et dévoilaient plus encore ses jarretelles...
Elle se rendit compte que sa tenue était beaucoup plus osée qu'elle ne l'avait cru, et pensa que son employeur ne s'y attendrait pas... Peut être allait-il être finalement gêné de la voir habillée comme ça?
Elle arriva finalement dans une boutique bien plus miteuse qu'elle ne l'avait espéré.
La porte n'était pas verrouillé malgré l'écriteau "fermé" posé sur la vitre. Elle poussa le battant vitré et pénétra à l'intérieur de la pièce plongée dans la pénombre.
Le sol poussiéreux craquait à chacun de ses pas. Des objets entassés partout indiquaient bien qu'il s'agissait d'un antiquaire, et formaient des monticules sombres aux formes un peu inquiétantes.
"Monsieur Gorian? Vous êtes là? C'est moi, Amy..."
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Don n'avait pas vraiment eu le temps de se reposer pendant les quelques heures qu'il avait eu pour lui. Il était retourné a la boutique de Cosplay et avait redemandé un costume de la même sorte pour l'esclave qu'il devait doter puis était repassé par le plan de Terra grâce a un portail bien connu de lui pour conclure une affaire avec un noble avant de revenir, le tout en se changeant plusieur fois pour ne pas évoquer les soupçons.
Finalement il était arrivé une petite heure avant juste a temps pour transformer une boutique vétuste qui lui servait de planque en une boutique d'antiquaire agrée, bien sur il y avait des tonnes de poussières, mais ça ne ferais que justifier encore plus la présence de la jeune fille.
La boutique semblait a première vue être un vieux appartement derrière le comptoir il y avait une porte fermée et sur sa droite une autre menant visiblement aux appartements, Don se ramena illico pour venir acceuillir son affaire du jour et prit un air vaguement embarassé quand il la vit venir
"Bonsoir !Ah, je...Vois que vous avez essayé le costume, oui peut être qu'il est disons un peu inadapté, si vous voulez porter autre chose n'hésitez pas. Il s'agit juste d'un costume d'époque et je me suis dit...Enfin sans reflechir..."
A vrai dire il s'agissait d'un vulgaire cospplay comme on en vendait dans certaines boutiques, il n'est pas rare de croiser des filles se baladant avec ce genre de trucs parfois. Mais bref, il lui indiqua une table dans la salle d'a coté ou se trouvait un superbe repas très organisé. Il fallait bien lui offrir un bon diner avant ce qu'elle allait endurer n'est ce pas?
"J'espère que ces plats sont a votre convenance."
Fit il en s'asseyant.
"Très bien, mademoiselle Amy, ravi de faire votre connaissance, pourriez vous me parler un peu de vous?Puisque je dois vous employer il me semble euh...Souhaitable de réaliser un entretiens d'embauche même très court."
Là encore il faisait mine de chercher ses mots pour endormir sa confiance, si il avait l'air trop assuré elle se serait sentie nerveuse
"Vous êtes donc scolarisée?Quelles genres d'études faites vous?Avec qui vivez vous?"
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Son employeur ne tarda pas à arriver pour l'accueillir et se montra un peu embarrassé face à la tenue d'Amy. Cette réaction rassura beaucoup notre petite adolescente, qui avait eu le temps d'étudier la réaction des gens pendant son trajet jusqu'à la boutique! Si cet homme avait eu des intentions malhonnêtes il aurait saisi l'occasion pour lui faire des avances, ou lui jeter des regards insistants, ce qui n'était pas le cas.
Il avoua même que le vêtement n'était pas très adapté et l'autorisa à porter autre chose à l'avenir... Amy le trouva attendrissant dans sa façon de se justifier et elle le regarda en souriant, la tête légèrement penchée vers l'épaule, comme si elle l'étudiait.
"J'aime beaucoup ce costume en fait!" Avoua Amy en faisant une sorte de courbette pour illustrer ses propos ou le rôle que lui conférait la tenue. "Il n'y aura personne que vous et moi ici quand je viendrait travailler, je pense que ce n'est pas gênant après tout!"
C'était avant tout l'idée du costume qui lui plaisait. Si Don en avait sorti un autre de son chapeau, sans doute l'aurait-elle troqué sans plus de cérémonie.
Rapidement, comme pour passer à autre chose, il la conduisit vers la table qui était déjà chargée de mets plus odorants les uns que les autres! Un régal pour les narines et, elle l'espérait, pour les papilles!
Il prit place à table et Amy s'assit sur l'autre chaise libre, à côté de la sienne mais sur l'autre bord de la table.
L'homme engagea alors la conversation et l'orienta tout de suite sur Amy, dans ce qu'il appela un petit entretien d'embauche.
Amy prit une inspiration, se demandant un instant si elle devait raconter la vérité - pas très reluisante - ou inventer une histoire...
Elle jugea qu'elle risquait de s'emmêler les pinceaux et qu'il ne serait pas bon de trahir la confiance de cet homme qui avait la bonté de lui proposer un emploi, et opta pour la réalité de sa situaiton.
"Hé bien en fait... je vis chez l'honorable frère de mon père, qui a la bonté de m'héberger le temps que je sois capable de subvenir à mes besoins. Je ne veux pas abuser de son hospitalité, c'est pourquoi je me suis mise à rechercher un emploi dès que je l'ai pu. Je commence l'école dans quelques jours, mon oncle et ma tante ayant eu la gentillesse de bien vouloir m'inscrire. Avec cet emploi, je pourrais payer le pensionnat et la cantine de l'école, ce qui me permettra de décharger mon honorable famille de mon encombrante présence."
Elle ponctuait son récit de petites salutations rituelle qui soulignait l'emploi scrupuleusement choisi de tournures de politesse. Elle choisissait scrupuleusement ses mots pour ne pas salir l'honneur de sa famille, ce qui était tout à fait normal dans l'éducation traditionnelle qu'elle avait reçu.
En d'autres termes, sa description voulait dire que son oncle et sa tante avaient été contraints pour une raison ou une autre de l'héberger et n'en étaient pas ravis. Le fait qu'elle doive subvenir seule à ses études signifiait soit que ses parents étaient morts, soit qu'ils l'avaient déshonorée.
Elle espérait que son employeur ne l'interrogerait pas là dessus, c'était assez embarrassant!
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Oui, il voyait très bien le deal. Et en était satisfait. Une etudiante dont ses parents ne se souciaient plus était une etudiante perdue, ils devraient faire attention a l'avenir car ça n'était pas lui qui le la leur rendrait...Après tout n'était t'il pas antiquaire ?N'aidait t'il pas les gens a se débarasser de ce qu'ils ne jugeaient plus utile?Il était sur de lui trouver une utilité, lui, a cette petite demoiselle. Souriant il pris le temps d'écouter ce qu'il avait a dire avec une certaine sincérité qui collait plutôt bien a son personnage. Perfidement il s'approchait de plus en plus de son but premier.
Evidement il aurait été tout aussi facile d'assomer Amy d'un coup sec et de la trainer dans une ruelle pour lui faire son affaire, mais n'était t'il pas un homme?C'était ça qui distinguait l'homme de la bête, la tenue, il allait donc lui faire son affaire, mais tout d'abord, il y avait des scrupules, savoir a qui il avait affaire était le plus important, comprendre sa victime pour savoir ce qui la ferait hurler. Car il se fichait bien de ce qu'elle pouvait éprouver, si elle avait fait preuve de plus d'intelligence elle ne serait pas dans ce cas. Soupirant d'aise il la laissa donc prendre les siennes et écouter avec un air interessé ce qu'elle avait a dire.
De son petit entretiens plusieurs choses ressortit
-Ses oncles et tante l'hebergeaient mais aimeraient bien se débarasser d'elle et c'était reciproque
-Cette fille n'avait plus aucun rapport avec ses parents, quels qu'ils soient.
-Elle était un peu trop coincée, il allait falloir s'occuper de ça.
"Oui, je vois celà. Eh bien je ferais mon possible pour vous donner votre loyer a temps comme ça vous pourrez subvenir a vos besoins"
Sauf que tu ne seras jamais payée, au contraire je tirerais bénéfice de cette affaire...Mais pour le moment réfléchit, si elle n'a pas de logis elle retournera chez ses parents...Oui voilà la solution!
Le repas s'acheva quelques minutes plus tard. Il se tourna vers Amy et lui lança avec gentillesse.
"Eh bien, je vous laisse faire le menage, vous pouvez vous occuper de cette piece entièrement, je vous donnerais votre premier avancement après que ça soit fini."
Il commença a partir dans la reserve et s'arrêta avant de se retourner
"Oh, et vous voyez cette porte?"
Fit il en désignant la porte fermée derrière le comptoir
"Vous ne devez entrer dans cette chambre sous aucun pretexte, c'est ma condition, si vous le faites ça aura des conséquences dramatiques."
Lança t'il, peut être gardait t'il des objets sensibles a la lumière là dedans?Quoi qu'il en soit Don partit et se cacha rapidement derrière la porte de l'autre piece pour voir a travers la serrure...Il savait que montrer quelque chose en faisant les gros yeux serait un moyen pour pousser Amy d'ouvrir la porte. Il connaissait la psychologie de ce genre de filles...Bien qu'il se soit déjà trompé elle le ferait surement...Surtout qu'elle risquait d'être surprise...
Car en effet derrière cette porte se trouvait une panoplie de sextoy et d'accessoires a faire palir un producteur de film X.
Alors, ouvrira?Ouvrira pas?
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L'homme qui lui faisait face l'écoutait avec la plus grande attention. Une attention qui n'était pas coutumière pour Amy et lui faisait monter le rouge aux joues. Elle faisait son possible pour être à la hauteur de l'attention qu'il lui portait, et s'emmêlait dans un langage châtié d'un autre âge...
Ses révélations ne semblèrent pas choquer l'antiquaire, ni constituer un frein à son embauche. Il ne la questionna pas sur les raisons de son placement, mais saisit d'emblée la nécessité de payer Amy en temps et en heure. Tout cela semblait extrêmement professionnel! Amy en était toute intimidée!
Le repas s'acheva avec leur discussion. Amy se sentait grisée et repue par toutes ces bonnes choses. Elle avait néanmoins conservé son énergie pour lui démontrer l'étendue de ses talents de jeune fille d'intérieur, et elle sauta de sa chaise quand il l'invita à nettoyer la pièce.
Elle fronça les sourcil quand il lui interdit de pénétrer la pièce adjacente dont la porte était fermée. Après cette dernière recommandation, il laissa Amy faire son travail.
La gamine resta quelques instants perplexe à regarder la porte derrière laquelle son patron avait disparu, puis celle qu'il lui était interdit de franchir.
Si Amy était naturellement curieuse, elle n'aurait rien fait qui risquait de compromettre son nouvel emploi. Elle aurait bien voullu savoir, tout de même, ce que cette pièce avait de si important. Elle haussa les épaules : de toutes façons elle était probablement fermée à clé.
Sans plus s'en préoccuper, la jeune fille passa l'heure suivante à astiquer l'endroit. Elle n'avait pas tardé à dénicher tout le matériel nécessaire dans un placard, et au bout d'une heure, la pièce reluisait de propreté, du sol au plafond. Elle noua le sac poubelle dans lequel elle avait jeté toute la poussière qu'elle avait balayée et épousseté et alla le poser dehors.
Quand elle revînt, elle posa ses mains sur ses hanches d'un air satisfait et parcourut des yeux l'endroit. Rien n'avait été oublié, Monsieur Gorian serait certainement satisfait de son travail!
Pressée de le lui faire découvrir, et un peu inquiète de l'heure tardive à laquelle elle allait rentrer chez elle, elle se dirigea vers la porte derrière laquelle son employeur avait disparu.
Elle resta un instant immobile devant, écoutant si elle l'entendait, mais aucun son ne lui parvenait de l'autre côté du panneau. Timidement, elle toqua quelques coups et attendit.
Rien ne se produisit.
Elle écouta encore, collant son oreille au bois, mais elle n'entendit toujours rien.
Un peu ennuyée, Amy décida qu'il serait inconvenant d'ouvrir, et qu'elle ferait mieux de prendre son mal en patience. Elle s'adossa alors à la table sur laquelle ils avaient dîné un peu plus tôt, et observa une nouvelle fois les objets qu'elle avait nettoyés un à un. Il lui semblait déjà les connaître tous par coeur.
Rapidement, son regard se posa sur la porte mystérieuse. Que pouvait-elle bien dissimuler? Monsieur Gorian avait-il peur qu'elle ne soit pas assez compétente pour s'en occuper? Ou bien dissimulait-elle un secret qu'il voulait lui cacher?
Avec un petit sourire, Amy se dit que ce serait une bonne chose de partager un secret avec Monsieur Gorian, cela l'inciterait certainement à ne pas se séparer d'elle de sitôt...
Mais tout de même... il lui avait interdit d'y pénétrer. S'il la surprenait à le faire, il la licencierait certainement sur le champ!
Avec hésitation, Amy retourna à la porte où elle avait toqué un peu plus tôt. De nouveau, elle y colla son oreille dans l'espoir d'entendre quelque chose, mais en vain. C'était comme s'il était parti. Peut être dormait-il?
Que devait-elle faire?
En tous cas s'il ne l'avait pas entendue frapper, il ne l'entendrait surement pas si...
Elle s'approcha comme malgré elle de la porte interdite. Jetant de fréquents regards par dessus son épaule, elle se pencha sur le trou de la serrure pour essayer de distinguer ce qu'il se trouvait derrière. Mais il faisait trop sombre pour qu'elle y voit quoi que ce soit.
Lentement, le plus silencieusement possible, elle fit jouer la poignée. Son coeur battait la chamade dans sa poitrine, et elle se maudissait intérieurement de désobéir à son nouveau patron. Mais c'était plus fort qu'elle, elle voulait juste jeter un petit coup d'oeil, rien de plus!
A sa surprise, elle découvrit que la porte n'était pas verrouillée.
Le panneau glissa sans bruits sur un sol poussiéreux plongé dans la pénombre.
La fillette plissa les yeux pour essayer de distinguer des formes et des contours, mais elle dut se résoudre à chercher à tatons sur le mur un interrupteur pour éclairer la pièce.
Ses doigts palpaient fébrilement la surface lisse du mur, quand tout à coup, une main se posa sur la sienne et la fit appuyer sur ce qu'elle cherchait.
Amy eut un sursaut et un cri. Elle allait se retourner pour voir qui était derrière elle, mais le spectacle qui s'étalait sous ses yeux était plus surprenant encore... Il lui semblait ne pas avoir assez d'yeux pour tout voir. Et son cerveau, pendant quelques secondes, refusa d'admettre ce qui se trouvait devant elle...
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C'était fini, dans tous les sens du terme. Devant Amy se trouvait une table parcourue de lanières de cuir, celles ci servant surement a attacher certaines jeunes filles qui entreraient dans la piece, sur les murs tout un tat d'objets dont il était pluôt évident même pour quelqu'un qui avait une connaissance minime dans le sexe, que ceux ci servaient a de bien sombres dessins. Le sol était carrelé, un peu poussiéreux certes car depuis que Don avait amménagé ici il avait installé son "cabinet personnel" ici et pour l'instant il n'en avait fait bénéficier personne.
Jusqu'a aujourd'hui.
Don avait vu la jeune fille venir régulièrement voir a la porte pour vérifier si il était là, voire même toquer a celle ci mais il n'avait pas répondu, faisant mine de ne pas avoir entendu, il croyait qu'elle allait finir par mettre son oeil dans la serrure ou a ce moment là ils auraient pu se croiser, mais non, elle ne le fit pas, et elle continua a epier a droite comme a gauche avant finalement de trouver le courrage d'ouvrir la porte. Don le savait, elle n'avait pas pu résister et c'était tant mieux car a présent elle allait devoir affronter les conséquences de son acte.
Un aspect qu'il préférait dans son métier, faire croire a ses victimes que le petrin dans lequel elles se trouvaient étaient entierement de leur faute, et il y contribuait largement en leur donnant régulièrement de larges chances de quitter la piece. Dans le cas d'Amy c'était aussi le cas, une boite de pandore qu'elle avait finalement ouverte et dont a présent elle subissait les conséquences directes. Le marchand d'esclave était sorti de sa cachette directement au moment où elle avait ouvert la porte et s'était glissé sans bruit derrière pour observer la progression de sa petite protéger jusqu'au moment d'allumer la lumière et de découvrir ce qui s'y trouvait.
Elle poussa même un cri, pauvre enfant, ce ne serait surement pas le dernier qu'elle pousserait dans cette soirée, oh non...Don la laissa être choqué par l'ampleur de sa collection, sa véritable collection puisque l'antiquaire n'était qu'une vulgaire couverture. A présent il avança derrière Amy sans qu'elle ne le sente revenir et remonta ses lunettes avec un air intellectuel
"Je vois, vous ne pouviez pas vous en empecher..."
Fit Don derrière Amy, l'informant donc de sa présence, il lui présenta son sourire le plus amical, comme ce qu'il lui présentait depuis le début de l'entretien, il continua donc, avançant vers elle pour la faire reculer dans la piece avec un sourire, il lui lança
"J'ai deux bonnes nouvelles pour vous Amy"
Commença Don d'un ton guilleret en lançant
"Vous n'aurez plus a vivre chez votre oncle et votre tante."
Fit il alors qu'il fermerait la porte derrière lui du pied et que le colosse enlevait ses lunettes avant de sourire d'une manière bien plus vicieuse, voire démoniaque.
"Et vous allez a présent enrichir ma collection personnelle."
Fit il tandis que la porte se verouillait derrière eux...Enfermant Amy prise au piege avec lui.
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Amy avait le plus grand mal à détacher ses yeux des divers objets que la lumière lui avait dévoilé. Bien entendu, la gamine n'était pas une experte en sex toys, et elle n'aurait jamais reconnu l'utilité de l'un de ces objets de façon séparée. Mais pris dans son ensemble, cet étalage était suffisamment explicite pour que même une petite gourde comme elle comprenne de quoi il s'agissait.
Ses joues s'étaient violemment empourprées et elle sentait le sang battre à ses oreilles.
"Oh-mon-dieu!" Lâcha-t-elle enfin dans un souffle.
Elle se retourna à la voix de Don, un instant elle avait presque oublié sa présence. Son ton était amical. Son regard et son sourire aussi. Amy espérait encore que son intrusion n'aurait pas de conséquences fâcheuses. Elle espérait même encore croire au sérieux de son employeur. Peut être que dans leur domaine, ces objets étaient aussi précieux? Qu'il les collectionnait pour leur valeur? Et qu'il les lui avait cachés pour préserver sa pudeur?
Cela collait bien avec le personnage en tous cas, et Amy poussa un petit soupir de soulagement, satisfaite de son propre raisonnement.
Don avançait résolument vers elle, et Amy recula de quelques pas, par réflexe. Il fallait croire qu'au fond elle n'était pas si rassurée que ça...
D'un ton joyeux, il lui annonça qu'il avait deux bonnes nouvelles pour elle. Elle n'aurait plus à vivre chez son oncle et sa tante...
Amy eut un sourire reconnaissant en entendant cela. C'était bien pour cette raison qu'elle avait décidé de travailler ici, et le fait qu'il revienne sur le sujet signifiait qu'il souhaitait toujours être son employeur. Il ne lui en voulait donc pas!
*J'ai vraiment de la chance! Jamais je n'ai rencontré quelqu'un d'aussi génér...*
Sa dernière phrase accompagnée du claquement de la porte coupa court à ses pensées. Amy resta immobile, les pupilles écarquillées de stupeur, cherchant frénétiquement dans sa tête à donner un sens plausible à ce qu'il venait de se passer.
Sa collection personnelle...
Amy, malgré elle, jeta un regard aux objets qui l'entouraient, puis sur elle même. Son costume de soubrette prenait tout à coup un tout autre aspect dans cet endroit. Elle remarqua à nouveau à quel point son décolleté baillait, combien son jupon était court et dévoilait ses jarretelles à chacun de ses mouvements. Elle pensa aux sous vêtements qu'elle avait enfilés sans se poser de questions...
Elle avait beau mettre toute l'énergie du désespoir à se convaincre que la situation n'était pas telle qu'elle parraissait, tous ces éléments s'imbriquaient inexorablement, et le sourire qu'avait gardé Amy sur ses lèvres jusque là se figea puis s'estompa.
"M... Monsieur Gorian... je m'excuse, je m'excuse humblement! Je n'aurai jamais dû entrer dans cette p-pièce! Je suis dé-désolée! Je... je ne suis pas à la hauteur... je... laissez moi sortir je rentrerai chez moi et je ne vous causerai plus d'ennuis!"
Amy pressentait qu'elle ne s'en tirerait pas si facilement. Ses mains lissaient nerveusement sa jupe et ses yeux s'étaient emplis de larmes qu'elle essayait de contenir.
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Don esquissa un sourire des plus ravis et des plus amicaux qu’il eut jamais eu a cette petite Amy qui avait encore l’innocence de croire qu’il ne lui faisait rien…Ah ces jeunes filles, tellement manipulables…Elle poussa un cri de stupeur quand elle découvrit ce qui se cachait dans cette pièce interdite et Don ne la trouva que plus attirante ainsi. Le marchand d’esclave savourait encore une fois sa victoire qui faisait qu’Amy s’attribuait directement les conséquences de son acte et qu’a présent il allait pouvoir sûrement s’amuser un peu avec elle et faire en sorte que son éducation soit parfaite. Une lycéenne comme Amy se vendrait très bien a Nexus, a vrai dire, il pourrait en tirer des milliers de pieces d’or si il se contentait de la soumettre sans s’occuper de son cas…
Mais où serait le plaisir de faire un métier pareil dans ce cas ?Don aimait son métier, était ce un crime d’aimer son métier au point de bien le faire ?Amy allait sûrement dans quelques minutes être témoin du point auquel Don aimait faire son métier. Il lui répondit donc avec un sourire d’ange.
« Pourquoi faire ?Je ne vous reproche pas d’être entrée dans cette pièce, bien au contraire, vous m’épargnez une comédie tout ce qui est de plus de fatigante pour moi. D’ailleurs vous ne pouvez que vous blâmer vous même pour y être entrée non ? »
Le sourire angelique de Don était a présent déformé par la lumière de la salle lui donnant des airs presque démoniaques. Il enchaina
« Vous saurez a présent qu’il ne faut pas se fier aux apparences, quand je pense que vous auriez pu travailler dans un snack avec un corps pareil, quel gâchis… »
Il était temps de commencer sa leçon du jour, Don toussa un peu avant de continuer.
« Vous allez agrandir ma collection personnelle en effet. Car a partir de maintenant je vais vous dire la vérité vraie. Il n’y a jamais eu d’égalité entre homme et femmes. Les femmes sont faites dans ce monde pour servir le bon plaisir des hommes, cette société pervertie vous ont enseigné des valeurs fausses, je suis là pour que cela rentre dans l’ordre et que nous retrouvions la véritable place qui nous est du, la tienne d’esclave et la mienne de maître. »
Don s’approcha d’elle dangereusement, avançant avec un regard lubrique a présent affiché clairement sur son visage
« Et dès a présent tu es ma possession, ma chose, et je te dresserais pour que tu fasse avec ce que je t’apprendrais le bonheur des hommes. »
Bien sur il savait la vérité, mais en fanatisant ses esclaves il s’assurait leurs bons et loyaux services. Amy avait donc deux choix, résister et lui faire plaisir, ou bien tenter encore de s’enfuir.
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Les explications de Don étaient maintenant sans équivoque. Amy ne pouvait plus se protéger derrière sa naïveté. Les intentions de l'homme étaient très claires et n'avaient rien de rassurant! Dans quel guêpier s'était-elle fourrée???
A mesure qu'il avançait vers elle, la gamine continuait de reculer. Elle finit par heurter l'un des meubles qui reposaient contre le mur, et quelques godemichés bien proportionnés tintèrent et tombèrent de leur socle. Amy eut un hoquet de stupeur, et chercha frénétiquement autour d'elle quelque chose pour se défendre et s'enfuir. Mais elle n'était pas entrainée au combat quel qu'il soit et ces objets si insolites la troublaient trop pour qu'elle ose en saisir un.
"Je... je vous en prie... laissez-moi partir... je ne vous ferai pas d'histoire!"
Gémit-elle en continuant de jeter des regards désespérés de biche aux abois autour d'elle. Lentement, elle se déplaçait latéralement pour éviter le contact et se rapprocher peu à peu de la porte. Elle ne croyait pas une seconde qu'elle réussirait à s'enfuir, mais elle ne pouvait faire autrement qu'essayer. Hélas, Don la serrait de trop près pour que ce fut réalisable.
Dans un sursaut de frayeur, elle bondit de côté et courut vers la porte.
Son pied heurta quelque chose, un obstacle ou peut être bien Don qui lui faisait un croche-pied, toujours est-il qu' Amy trébucha et s'étala de tout son long avant d'avoir pu se raccrocher à quoi que ce soit. Le froufrou de son costume accompagna sa chute, et son jupon s'étala en corolle sur ses reins, dévoilant le string brésilien noir orné de dentelle qu'elle portait en-dessous.
Amy eut un cri de douleur, tenta de ramper, sanglotant de terreur, mais quelque chose, ou plutôt quelqu'un, la retenait.
Don avait raison... pourquoi avait-elle ouvert cette porte? Pourquoi s'était-elle mise dans un tel pétrin?
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Don eut un petit rire mauvais alors qu'il continuait d'avancer vers Amy qui recullait au fur et a mesure qu'il gagnait du terrain. Il n'y croyait pas une seconde. C'était lui le roué après tout, pas elle, il en ferait ce qu'il voudrait, et pas l'inverse, il répondit donc a la demande de la pauvre petite effrayée avec une douceur et une dilligence toute mortelle, renouvellant l'inquiétude avec un sourire d'ange tout droit déchu des cieux
"Tu pense que je vais te croire une seule seconde?Et même si je pensais que tu ne dirais rien, je ne veux pas que tu parte...Parce que je te veux dans mes marchandises, mais aussi parce que je dois t'enseigner cette vérité qui t'échappe."
Don eut un regard lubrique et tendit le bras pour l'attraper
"Bientôt tu en redemandera."
Elle fit mine de partir mais il la fit trébucher sur le sol, puis l'attrapa par le pied avant de la ramener vers lui et attrapa l'elastique du string.
"Tu as même mis ça?Hm. Tu ne pensais qu'a me faire plaisir?C'est gentil, je notte ça."
Fit il en faisant claquer l'elastique avant d'empoigner son posterieur et de le palper...Avant de la pousser sur la table, arrivée là il tira sur le décolleté pour avoir une vue sur la poitrine de l'adolescente
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Amy sombrait dans les affres de l'angoisse. Jamais elle n'aurait imaginé un tel revirement de situation... elle lui avait fait tellement confiance! Elle ne pouvait croire que le gentil antiquaire et le pervers qui se trouvait maintenant devant elle étaient la même personne...
Pourtant il fallait bien se rendre à l'évidence!
Elle sentit qu'il tirait sur son string. Le tissus comprima un instant ses chairs intimes, s'immisçant entre ses lèvres comme un couperet, puis la pression se relâcha et l'élastique claqua sur la peau tendre des ses fesses.
"Tu ne pensais qu'à me faire plaisir" demandait-il. Oui, elle n'avait pensé qu'à lui faire plaisir... elle était mortifiée à cette idée. Jamais elle n'avait songé au côté sexuel de la chose, pourtant. A présent cela semblait pourtant évident. Elle s'était affublée elle même de ces vêtements affriolants. Etait-elle à ce point idiote qu'elle n'avait rien vu venir?
Les grandes mains de Don palpaient à présent son postérieur comme un boulanger pétrissant son pain. Elle eut à peine le temps d'essayer de se dégager qu'il la poussait sur une table, sans ménagement. Elle avait vraiment le sentiment d'être un objet entre ses mains, une poupée. Il ne se souciait aucunement de ses protestations ni de ses vaines tentatives pour s'échapper.
Sans plus de cérémonie, il fit béer son décolleté trop large afin d'apprécier le volume de sa poitrine.
De fait, elle n'était pas très volumineuse. Pas de quoi attirer le regard, sauf peut être celui d'un sadique accroc aux corps nubiles... ce qui semblait être le cas de Don. Là en effet, sa poitrine pouvait alors parraître attirante. Ces deux petits globes de chairs, déjà plus gros qu'un simple renflement, bombés, comme gorgés de sève, prêts à s'épanouir, éclore, mais pas encore ceux d'une femme accomplie. Les globes se bombaient, puis se resseraient comme une poire au sommet de laquelle un nouveau renflement caractéristique des seins d'adolescentes laissait sépanouir de larges aréoles roses aux tétons dardés.
Tout cela se laissait largement dévoiler par le soutien-gorge trop grand qui accompagnait la tenue que lui avait offert Don. La dentelle noire baillait et ne laissait rien cacher de ce petit trésor.
"Je... je vous en prie..." Continuait de sangloter Amy sans plus trop savoir ce qu'elle priait exactement.
Elle se rappelait la fois où son frère avait essayé de la tripoter ainsi. Sa main avait palpé ses fesses presque de la même façon, et même pincé le téton de ses seins qui étaient bien plus petits à l'époque, avant qu'elle ne s'enfuie de sa chambre en hurlant.
Par chance, il n'avait rien pu faire de plus. Elle était toujours vierge, et terrorisée à l'idée qu'on puisse ainsi la déflorer.
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Don aimait plus que tout les filles encores pures a n'avoir jamais ressenti ce qu'il s'appretait a infliger a Amy...Pourquoi?Parce qu'elles étaient les plus faciles a formater, parce qu'elles étaient les plus faciles a convaincre de ce qu'elles devraient faire plus tard, plus il les prenait tôt et mieux cétait, evidement, il ne décrochais pas souvent le fruit avant qu'il ne soit mur. Généralement il préférait laisser murir tout ça, mais a la base des 15 ans, les jeunes filles avaient de serieux soucis a se faire...Car c'était a ce moment qu'il passait faire la récolte et décrochait ce qu'il voulait. Il lui arrivait de capturer des jeunes filles comme Amy par pelle, depuis des années, de leur réserver le même sort, puis de les revendre, récupérant les enfants de celles qui tombaient enceintes pour les revendre dans le cas de mâle, ou les placer au couvent pour les reprendre arrivées a maturité. C'était tout un cercle vicieux que le marchand avait mis au point et qui lui permettait de ne jamais vendre a perte. Une fois qu'il aurait convaincue Amy de sa place dans le monde, il verrait de ce qu'il allait faire d'elle...Pendant ce temps il ne manquait que le plus grand rituel :l'initiation.
Bref, Don jouait avec Amy, il regarda sa poitrine et la toucha du doigt, enfonçant celui ci du peu qu'il pouvait avant de faire a la jeune fille
"C'est mignon, beaucoup de choses chez toi le sont ma chère Amy. Tu va faire fureur."
Fit Don tandis qu'il prenait un des seins de la jeune fille entre son index et son pouce, le frottant et le pinçant, lui rappellant sans le vouloir de mauvais souvenir. Il rit et lança a la jeune fille terrorisée
"Soit heureuse, tu serais surement tombée entre les mains d'un petit imbécile un jour ou l'autre. Quel gachis. Grâce a moi tu ne reverra plus jamais ton oncle et ta tante...Tu devrais m'être plus reconnaissante que ça."
Fit Don tandis qu'il approchait sa bouche de sa poitrine sans aucune honte...Il se mit a la suçotter et a la mordiller pendant quelques secondes...Il attendait les reactions de la jeune fille, il se leva et sortit un martinet accroché au mur
"Tu va me raconter tout, tout ce que tu ressent a partir de maintenant dans les moindres détails. Sinon, je te punierais, c'est bien clair?"
Don se dégagea de la poitrine puis il fit tomber son pantalon, arborant alors devant Amy un membre d'une taille impressionante, il le cola a la joue de l'adolescente
"Allez, prend le en bouche."
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L'homme enfonça son doigt dans la chair tendre de son sein comme il aurait tâté de la viande. Son compliment cynique et froid n'avait rien de réconfortant. Elle n'avait pas du tout envie de faire fureur, si elle avait pu disparaître dans un trou de souris, elle l'aurait fait!
La main de Don se fit alors plus caressante sur le sein d'Amy, son geste ne ressemblait plus à la palpation d'un objet mais à une véritable caresse. La gamine ne put s'empêcher de frémir, même si c'était plus de peur que de volupté. Un drôle d'élancement la traversa et sa peau se couvrit de chair de poule.
L'homme eut alors un rire, et lui dit qu'elle aurait dû s'estimer heureuse et reconnaissante.
Hélas Amy était loin de partager ce point de vue, bien au contraire!
Elle n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit qu'un hoquet de surprise la souleva. Don avait posé ses lèvres sur son téton qu'il se mit à suçotter puis à mordiller sans violence. Cela dura un court instant, mais la jeune fille eut à nouveau une étrange sensation qui la paniqua un peu. Elle avait l'impression qu'il avait le contrôle de ses sens, sans qu'elle put rien y faire...
Très vite pourtant, il cessa son manège, au soulagement d'Amy. Soulagement qui fut de courte durée quand elle vit qu'il saisissait un martinet.
Aussitôt elle se recula sur la table, remontant ses genoux contre sa poitrine, avec un cri d'effroi. Elle pensait qu'il allait la battre sans préavis.
Au moins était-elle plus coutumière des coups que des caresses, elle ne les en redoutait pourtant pas moins...
Il lui ordonna alors de lui décrire la moindre de ses sensations, sans quoi elle serait punie. Amy, la gorge trop nouée pour parler, répondit d'un signe de tête affirmatif, les yeux agrandis par la peur. Il ne lui vînt pas à l'esprit que cela fut valable pour ce qu'il venait de faire à ses seins. D'ailleurs son attention fut détournée par son mouvement pour se déshabiller.
La verge qui se tendait devant elle était tout simplement énorme. Elle n'avait pas vraiment de moyen de comparaison. Elle avait dû apercevoir en une ou deux occasions celle de son père, très furtivement, et celle de son frère, plus modeste. Elle avait détourné précipitamment les yeux et ne se rappelait plus bien leur aspect. Malgré tout il lui semblait que celle-ci était hors norme...
Aussitôt le membre chaud à la peau douce se plaqua contre sa joue. Don lui ordonna de le prendre en bouche.
Les lèvres d'Amy tremblaient tandis que ses yeux ne pouvaient se détacher de la verge. Emboucher ça? Si elle arrivait seulement à enfourner le gland, ce serait déjà beaucoup, mais cette idée lui inspirait la plus vive répulsion.
Incapable de s'exécuter, une larme roulant sur sa joue, elle gémit à nouveau :
"je vous en prie..."
-
C'était ce qu'il préférait dans cette situation. Voir la cible de ses caresses au bout du rouleau supplier pour la grace avant de supplier pour en avoir encore...C'était une étape captivante, interessante même. Il allait la faire bientôt grimper au rideau.
Elle se contortionna presque quand il sortit a peine le martinet, aussi bien que si il l'avait déjà battue avec, parfait, il n'aurait pas besoin de l'utiliser alors...Elle avait suffisament peur...Il allait profiter un maximum de la jeune fille. Et il comptait bien savourer chaque seconde de cet entretiens privé.
Bientôt Amy mangerais dans sa main et il n'aurait même plus a donner d'ordre pour qu'elle se fasse entreprenante...Tout était une question de patience, elle le supplia donc, et Don lui montra le martinet avec conviction
"Tu veux avoir mal?"
Fit il avec sadisme, il tendit un peu les cordes de cuir du martinet et lança
"Ca peut se passer bien,et ça peut se passer mal. Pour toi, dans tous les cas moi je prendrais mon pied."
Et avant même de chercher a avoir de réponse, il saisit le nez d'Amy et le boucha, la forçant a ouvrir la bouche. A ce moment là il fit entrer sa verge dans celle ci sans douceur...Une fois qu'il y était, il lui ordonna
"Très bien, a présent tu as deux options, soit tu t'occupe bien de moi et tu as une récompense, soit tu mord, et je te tue."
Lança t'il sans rire. Il commença alors ses va et vien, posant ses mains sur les cotés de la tête d'Amy. Ceux ci durèrent bien pendant 15 longues minutes après quoi il accellera les pulsions et finit par venir dans sa bouche. Relachant un flot de semence. Il se retira et montra le fouet.
"Alors?Quel gout ça a?"
-
Don lui demandait si elle voulait avoir mal. Amy fit un signe de dénégation, les yeux rivés sur le martinet dont son bourreau s'amusait à tendre et détendre les lanières. Il lui expliqua alors que quelle que soit la manière dont cela se passerait, lui aurait du plaisir. Amy baissa les yeux. Que pouvait-elle bien dire? Elle n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit, de toutes façons, qu'il lui boucha le nez.
Surprise, Amy, secoua sa tête pour essayer de se débarrasser de la pression, mais il tînt bon. Bientôt elle n'eut plus assez d'air et sa bouche s'ouvrit d'elle même, comme celle d'un poisson hors de l'eau, pour respirer. Aussitôt l'extrêmité de la verge de Don s'engouffra dans sa bouche et il la menaça si elle s'avisait de le mordre. L'idée ne lui était pas venue, mais elle comprit qu'il devait avoir l'habitude des situations similaires. Elle n'était pas la première à qui il faisait cela.
Une larme de dépit tomba de ses cils tandis que le membre gonflé envahissait sa bouche, l'empêchant à nouveau de respirer.
Avec peine, elle inspirait de l'air par ses narines qui se pinçaient sous l'effort, tandis que la verge entrait toujours plus loin, jusqu'à toucher sa glotte, lui provoquant des hauts le coeur qu'elle eut beaucoup de mal à réprimer.
Il avait posé ses mains sur sa tête pour la maintenir et, au moment où elle crut étouffer, la verge coulissa dans l'autre sens. Elle l'envahit à nouveau, puis repartir, et à chaque va et vien, l'énorme gland buttait plus violemment dans sa gorge, lui provoquant des spasmes. Sa respiration s'accélérait, elle tremblait de peur et de répulsion, les narines pincées, le souffle sifflant, les larmes innondant ses joues, Amy crut que ce calvaire ne finirait jamais.
Si la queue, au départ, n'avait presque aucun goût particulier, elle ne tarda pas à sentir les premières gouttes de liquide séminale, fluide et salé, se répandre sur son palais.
Quelques minutes plus tard, alors que le gland se fichait au plus profond de sa gorge, de longues giclées de sperme chaud et acre déferlèrent directement dans son œsophage.
Amy se débattait comme une furie, dans des mouvements désordonnés uniquement provoqués par son instinct de survie. L'eut-elle voulu qu'elle n'aurait pas pu s'en empêcher. Elle manquait d'air et son corps essayait d'expulser cette intrusion violente, écœurante, sans y parvenir.
Quand il se retira enfin, la laissant pantelante, le visage penché vers le sol, reprenant son souffle dans de grands son rauques, déversant sur son menton et dans son corsage de longs filaments de salive et de sperme, des spasmes soulevant sa poitrine sans parvenir à la faire vomir, il secoua le fouet devant ses yeux en lui demandant quel goût cela avait.
Amy eut besoin d'un bon moment avant d'arriver à parler. Elle eut un sanglot et répondit, humiliée :
"C'est... c'est écoeurant... c'est..."
Elle dut s'interrompre. Le seul souvenir de ce goût, qui tapissait encore ses muqueuses comme s'il ne devait plus jamais la quitter, lui donnait des nausées.
"Ne m'obligez pas... laissez-moi..." Termina-t-elle en sanglottant.
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Don n'allait pas s'arrêter en si bon point. Alors qu'il s'amusait?Impensable. Inconcevable. Et puis surtout il n'allait pas laisser partir Amy comme ça, alors qu'elle venait a peine de connaître le gout d'un homme...Ce serait cruel de sa part. Elle serait venue, elle aurait fait tout ce chemin pour avoir seulement un petit verre de lait et repartir?Il se savait plus généreux que ça, il allait lui faire faire le tour du propriétaire et bientôt cette gamine n'aurait plus rien a envier a une femme experimentée. Don aimait beaucoup cette innocence sur le visage de sa victime...Généralement elles ne duraient pas. Oh bien sur, il était très démagogue dans son travail. Quand les esclaves étaient présentées elles étaient rutilantes, franches, vétues, et prêtes a la vente, même si ça n'était que d'un pagne on ne pourrait l'accuser d'indecence comme ses collègues qui arboraient leurs esclaves nus sur scène, lui avait le mérite d'entretenir le suspens. En revanche, quand ils n'étaient pas sur scène, c'était l'orgie carractérisée permanente dans les prisons, après tout il ne fallait pas perdre la main.
Quand Don ne se sentait pas d'humeur il laissait la tache a quelques terranides masculins qui décidement avaient tiré la bonne pioche avec ce maître. Don était prêt a leur laisser les jeunes femmes et a les nourir a l'oeil tant qu'ils ne venaient pas le géner dans ses plans. Certains avaient essayé, leur corps empallé sur des piques avaient pourris quelques mois et dissuadés les autres de recommencer. Pour ce qui était des femmes Don était "Doux" bien qu'Amy ne pouvait considérer ça comme doux. Pour les hommes il était sans pitié. Après tout il n'avait rien fait a la fillette même quand elle avait tenté de fuir...Il passa ses mains sur ses collants et les descendit pour caresser doucement ses jambes. Il aimait beaucoup le costume de soubrette qu'elle portait. Vraiment parfais pour stimuler la libido d'un homme, même si il était un peu a plat maintenant qu'il avait joui dans sa bouche...Mais qu'importe, les grandes mains rudes de l'homme caressaient la peau blanche et lisse d'Amy, comme une main sombre sur de la lumière pure...Il aimait voir ces anges déchoirs...
"Ne t'inquiète pas, tu finira par adorer ça et en redemander."
Répondit t'il a l'interjonction d'Amy quand elle sanglota il s'approcha d'elle et l'embrassa pour la dégouter encore plus.
"Oh, ne pleure pas non. Ne pleure pas. Tu dois passer par là. Ce n'est que comme ça que tu atteindra le bonheur ultime."
Répondit Don en léchant un peu la poitrine d'Amy avec un sourire délicieux puis de lui tendre son sexe
"Tu va me faire plaisir et le prendre en main pour le faire grandir et que nous puissions avancer?Fais plaisir a ton maître et il te fera plaisir. Tel est la voie que tu va aborder maintenant. Résigne toi."
Conclut le marchand d'esclave.
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Si son aggresseur s'était montré ferme quand il l'avait jugé nécessaire, il n'était pas particulièrement brutal. Cela dit Amy prenait les menaces qu'il avait proférées un peu plus tôt, et qui se matérialisaient sous la forme du martinet dont les lanières se balançaient non loin d'elle, très au sérieu.
IL ne la blama pas du peu de détails qu'elle donnait à sa réponse. Au contraire, d'un ton doux, il lui dit de ne pas s'inquiéter, que bientôt elle allait adorer et en redemander.
Il s'approcha même d'elle pour l'embrasser.
La gamine frémit au contact des lèvres qu'il posa sur elle. C'était la toute première fois qu'on l'embrassait, et elle n'aurait jamais imaginé vivre son premier baiser dans de telles circonstances!
De la même voix caressante, il lui dit de ne pas pleurer, qu'elle devait passer par là pour atteindre le bonheur ultime. Pourtant Amy ne s'était jamais sentie aussi loin du bonheur qu'en cet instant! Il se mit alors à lécher sa poitrine. Sa langue agaçait ses tétons qui ne tardèrent pas à se dresser, dans un réflexe purement mécanique. Amy, morte de honte, aurait bien voullu les empêcher de réagir!
Heureusement, la caresse ne dura pas longtemps. Il lui présenta à nouveau son sexe, qui avait perdu la moitié de sa longueur, et lui demanda de lui "faire plaisir".
Amy n'avait jamais fait ça, et elle n'en avait aucune envie. Peut être que son manque d'expérience finirait par le lasser? Et qu'il la laisserait alors partir? La gamine décida de tenter l'expérience...
"Je... je n'ai jamais fait ça... je ne veux pas! Et puis... c'est dégoûtant!" Lâcha-t-elle en fixant des yeux le gland encore macculé de sperme et de salive. La peau parraissait collante et poisseuse.
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Amy faisait encore de la résistance après qu'il l'ait forcé a faire ce qu'elle avait du faire...Qu'a celà ne tienne...Elle serait bientôt stimulée et répondrait d'elle même a l'appel de son corps. Elle trouvait ça dégoutant, mais ne le repoussait pas avec violence. Peut être parce qu'elle n'avait pas de force, mais également parce qu'elle savait que ça ne servirait a rien. Et que son destin était imminent. Don n'avait pas de raison a la forcer par la violence. Parce qu'elle ne lui posait pas de problème et qu'il n'était pas un homme violent et qu'elle ne faisait pas preuve de volonté pour se dégager de cet état d'esclavage. Au contraire...Don la voyait sombrer faiblement de plus en plus de son coté de la force. Pour son plus grand plaisir...
Ce que préférait le marchand d'esclave, c'était les ingénues comme Amy qu'il pouvait dévergonder...Il était sur qu'elle n'avait jamais vu un sexe de sa vie avant aujourd'hui et maintenant elle était obligée de faire face a celui de Don...Celui ci lui saisit la main et la posa délicatement sur sa virilité...Il savait qu'avec Amy il n'aurait pas a être trop violent, au contraire il allait jouer sur la seduction.
"Ne t'en fais pas. Tu y arrivera...Et ce n'est pas dégoutant ma chère. Tout celà n'est que l'ordre le plus naturel des choses. Comment crois tu que tu sois venue au monde?Et pour quoi crois tu l'avoir été?Pour te retrouver un jour dans cette situation. L'amour que tu cherchais surement et auquel tu te reservait, le voilà. Voilà l'amour. Et il vaut mieux que tu fasse ça avec moi plutôt que de te gacher auprès d'un petit cretin qui fera tout de travers..."
Il accompagna la main d'Amy pendant quelques instant et vint lui lécher la nuque avec sa langue avant de lui ouvrir la bouche pour l'embrasser a nouveau
"Est ce que tu n'aime pas ça?Est ce que tu ne m'aime pas, moi ?"
Lança le marchand d'esclave avec un sourire
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L'homme en face d'elle était tout sauf brutal, ce qui surprenait Amy et la rassurait. Non pas qu'elle se sentit en sécurité dans la situation dans laquelle elle se trouvait, mais elle ne voulait pas souffrir...
Il ne se mit pas en colère face à son refus, mais l'encouragea gentiment, d'une voix suave et caressante.
Ce n'était pas le premier sexe masculin qu'elle voyait, puisque son frère avait essayé d'abuser d'elle, sans y parvenir. Mais c'était la première fois qu'elle prenait autant de temps pour le voir, et bientôt le toucher.
Pour l'encourager, Don posa sa main sur la sienne et lui fit faire un mouvement lent de va et viens.
La peau était collante de secrétions, mais coulissait avec facilité sur le gland. Elle sentait la moindre des aspérités sous ses doigts, et l'étrange phénomène qui la faisait gonfleur peu à peu.
Sous sa main, le sang affluait dans les milliers de petits vaisseaux. La peau se tendait, devenait plus souple, plus douce. La verge dans sa main devenait plus dure, se tendait, comme par magie.
Malgré elle, Amy était fascinée par cette métamorphose qu'elle voyait sous ses yeux et sentait sous ses doigts.
Don avait retiré sa main et lui léchait la nuque. Amy frissonna. Elle ne savait pas si c'était de dégoût ou d'autre chose... autre chose qu'elle ne pouvait qualifier. Un instant après, sa langue pénétrait sa bouche et l'embrassait doucement, langoureusement. Quelque chose de chaud sembla se glisser dans ses veines et couler dans ton son corps. Il lui fallut un effort de volonté pour ne pas se laisser aller à gémir.
Il lui demanda ensuite si elle aimait ça, si elle l'aimait lui...
Amy aurait voulut nier avec véhémence, mais déjà comme un poison la vérité de ce qu'elle ressentait s'insinuait en elle. Elle n'était pas encore prête à l'accepter, mais elle ne pouvait ignorer que cette question avait tout à coup un sens.
La gorge nouée, les larmes aux yeux, elle se contenta de secouer la tête négativement, dans un mouvement qui manquait cruellement de conviction...
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Don n'avait aucune raison d'être tendre avec Amy. Mais il sentait qu'elle ressentirait bien mieux ce genre de pression que si il la violentait ici et maintenant. C'était clair. Amy était forcée de lui obeir, et tant qu'elle resterais "Gentille", alors tout irait bien pour elle...Après tout c'était cette soumission que Don voulait atteindre, il enjoignit la jeune fille de poser les deux mains sur sa rampe de chair et tandis qu'il faisait celà il parcourait de sa langue rapeuse et de ses doigts indiscrets le corps d'Amy, le frottant contre lui, pinçant ses seins avec le bout de ses doigts. Ils étaient encore bien petit mais Don n'avait pas de soucis avec ça. Ils finiraient surement par grossir. Et si ce n'était pas le cas les petites poitrines étaient mignones aussi...Il allait en faire une esclave dévouée qui ne serait plus génée par les tabous que lui mettaient la société...Il lui mordit l'oreille comme un signe avant coureur du fait qu'il allait bientôt la dévorer et Don plaça Amy contre lui, son dos contre son torse, seul son sexe dressé passait contre l'entrejambe d'Amy, se frottant contre allors qu'il s'amusait avec sa petite poitrine.
"Comment est ce?Je veux savoir ces sentiments qui te parcourent...Le moindre des petits frissons que tu éprouve en ce moment..."
Il allait la pervertir une bonne fois pour toute et en faire un pantin a son service...Il allait l'effrayer...Et bientôt elle ne demanderais qu'a être effrayée encore plus que ça. Lentement il se mit a faire des va et viens contre le sexe d'Amy, excitant celle ci par son frotement, il lui suça la poitrine en passant sa tête sous son bras avant de lui demander
"Regarde, ne trouve tu pas celà beau?Ne trouve tu pas celà grandiose?Le but de ta vie. Le but de ta mère avant toi et le but de ta fille qui viendra après."
Il laissa passer un soupir d'excitation palpable qui lui balaya la nuque avant de lancer avec un sourire sadique
"Ta fille après toi oui, qu'est ce que tu dirais de porter mon enfant, ma chère?"
Fit il alors que son glan se frottait contre elle, prêt a entrer...Mais plus que tout il voulait voir la réaction d'Amy a cette question
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Amy eut bientôt l'impression que les mains et la langue de Don étaient sur elle partout à la fois. Elle avait beau essayer de prémunir son corps contre les sensations qu'il essayait de faire naître en elle, chaque fois qu'elle en réprimait une, il en faisait jaillir une nouvelle...
Sa langue chaude traçait des sillons humides partout sur sa peau qui se couvrait de chair de poule. Son corps entier se frottait contre elle, déclenchant des réactions en chaîne sur son épiderme. Pire que tout, ses mains vinrent bientôt trouver ses seins dont il pinça doucement les tétons. Amy eut un hoquet, essaya vainement de se dégager, mais chaque mouvement qu'elle faisait offrait une nouvelle parcelle de son corps à ses caresses.
Ses seins d'adolescente à peine formés était hyper réactifs... ses tétons s'étaient dressés entre les doigts de Don comme s'ils cherchaient malgré elle à faciliter le contact. Des élancements incontrôlables partaient de la pointe de ses seins, vifs, pour se perdre dans son bas ventre qui commençait à bouillir d'une chaleur inconnue.
Amy pleurait de dépit, elle n'arrivait pas à lutter contre ces sensations qui naissaient en elle, il y en avait trop, elle avait peur...
Bientôt, Don passa sa tête sous son aisselle et se mit à sucer sa poitrine. La sensation était si vive que la gamine poussa un gémissement malgré elle et ferma les yeux.
Les paroles de l'homme susurrés à son oreille semblaient l'envouter. Ses mouvements pour fuir le contact étaient de moins en moins prononcés. Elle se rendit à peine compte qu'il la soulevait pour l'asseoir sur lui, elle sentait maintenant toute la peau chaude et douce du torse de Don contre son dos. Elle commençait malgré elle à se laisser aller contre lui, les yeux clos, pleurant encore mais ne pouvant s'empêcher d'accompagner ses mouvements de va et viens entre ses cuisses.
Le gland dur et lisse se frayait un chemin entre ses lèvres déjà complètement humides. La verge dure épousait toute sa fente, frottait impitoyablement chacune des terminaisons nerveuses hypersensibles de son intimité, endroit inexploré, vierge de tout contact, de tout plaisir jusqu'alors...
Amy était tout prête à se laisser aller... ça semblait si facile...
Et pourtant, brutalement, elle fut ramenée à la réalité par la dernière phrase de Don. Il parlait de sa fille, de son enfant, son enfant qu'elle allait porter après qu'il...
Elle poussa un cri d'effroi, rouvrant grand les yeux, comme si elle se réveillait d'un rêve. Son corps devînt dur tout à coup, la peur soudaine changeait totalement les réactions de son épiderme, transformant les caresses en agression.
Amy bondit comme un chat, d'un mouvement purement instinctif, elle prit appui de ses pieds sur la table et se projeta au sol.
"NON!!!"
Cria-t-elle, affolée en courant vers la porte. Fermée.
"NON! LAISSEZ MOI!"
Cria-t-elle à nouveau en tambourinant vainement sur le panneau de bois.
Quand elle comprit qu'elle ne pourrait pas sortir, elle se retourna, ses petits poings serrés sur ses hanches, et fit face à l'homme qui la regardait d'un air narquois.
"Je ne me laisserai pas faire!"
Prévînt elle avec toute la conviction qu'elle pouvait. C'était dérisoire. Elle ne faisait pas le poids. Mais elle avait soudain décidé de se défendre. Ce qu'il venait de lui proposer était tout bonnement inconcevable! Non seulement il voulait lui prendre sa virginité, mais en plus lui faire un enfant!
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Il était allé trop loin là, il le savait. C'était toujours bien de savoir quelles étaient les limites de son nouveau jouet. Don eut un sourire et ne put la retenir contre lui, puisqu'elle se trouvait là de son propre chef et s'excitait depuis un petit moment, résignée a sa cause. Il l'avait laissée dans cette position et se préparait pour attaquer le plat principal mais la viande n'était pas encore a point et le poulet était parti de son assiette, sautant avec véhémence pour essayer de retrouver la liberté plutot que de passer a la casserole. Acte futile, car le four était déjà fermé a double tour et qu'elle était presque a point. Il n'allait pas rater la cuisson. Il était un cuisinier et un expert dans ce genre de cuisines...Bientôt sa peau tendre fondrait sous sa langue et sous ses coups de reins il ferait de cette fille une femme...Et qui sait peut être une mère?Don se releva, arborant a nouveau sa figure d'ange, faisant a présent un constraste notable avec sa tenue d'adam, ses muscles saillants ainsi que son membre dressé qu'il arborait sans honte devant la pauvre Amy qui rempait et tambourinait contre la porte...Il soupira et eut un sourire divin avant de poser une main sur sa hanche et de lancer avec une voix mielleuse
"Qu'est ce qui ne va pas Amy?"
Fit il, prononçant son nom comme si il en détenait a présent la propriétée exclusive, ce qui n'était pas faux pour lui. Il eut un sourire et lança un petit rire espiègle
"Tu ne pensais quand même pas que ce genre de chose ne puisse pas arriver?Et dire que tu te dandinais sur moi il y a quelques secondes...Tu n'es bien qu'une enfant...Ne me dis pas que tu ne désire pas aller plus loin, tu ne serais qu'une menteuse..."
Don s'approchait d'Amy avec un pas ferme et décidé, un sourire sur son visage comme toujours il tendit la main vers elle avec insistance
"Je me doute bien. Mais comme je te l'ai dit tu n'a pas le choix. C'est ta destinée. Je pensais que tu l'avais compris. Je te le répète. Ca peut se passer comme tu le veux, bien, ou mal. Mais ça se passera. Et crois moi, tu as aimé ça, tu aimera ça."
Fit Don avec un sourire, en tendant cette main
"Allez, fait moi confiance, est ce que tu ne m'aime pas?"
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Qu'est ce qui n'allait pas? Il osait le lui demander?
Tout à coup, son sourire n'inspirait plus aucune confiance à Amy! Même si d'une certaine manière, son attitude à lui laissait sous entendre que la situation n'était pas si anormale qu'elle le ressentait. Une sorte de doute s'insinuait en elle... est ce qu'ici ce genre de choses se passaient couramment?
Cette idée allait totalement à l'encontre de toute son éducation.
Il argua alors la façon dont elle avait accompagné ses caresses un peu plus tôt et Amy rougit jusqu'aux oreilles. Ellle ne pouvait le nier... elle ne pouvait non plus l'affirmer. Qu'il la traite de petite fille la vexa. En même temps, cela lui rappela que ce n'était pas loin de la vérité. Elle n'était pas beaucoup plus qu'une enfant, bien jeune pour cette expérience, et beaucoup trop pour l'éventualité de devenir mère!
Cela raviva la colère et la peur qu'elle avait éprouvé.
Il lui rappela qu'elle n'avait pas le choix. Cet argument visait juste. C'était la triste réalité. Mais allait-elle se rendre pour autant?
Fais-moi confiance, lui dit-il... il lui demanda à nouveau si elle l'aimait. Cette demande lui paraissait totalement incongrue, surréaliste. Même dans un autre contexte elle l'aurait été. Comment pouvait-on affirmer aimer quelqu'un qu'on connaissait depuis quelques heures à peine? A fortiori quelqu'un qui vous séquestrait dans une pièce emplie d'objets pornographiques et affirmait vouloir vous mettre enceinte!
"Vous êtes fou..." Souffla Amy en même temps qu'elle arrivait à cette conclusion.
"Comment pourrais-je vous aimer? Comment pourrais-je vous laisser me faire... ce que vous m'avez dit que vous me ferez?"
Dit-elle comme si prononcer ces mots lui était impossible.
"Vous m'avez menti! Et maintenant vous me forcez à... à... Et vous me demandez de vous faire confiance!?"
Elle se remit à sangloter, elle savait qu'elle ne pouvait rien faire, quoi qu'elle dise elle était coincée. Elle n'arrivait pourtant pas à se résoudre à se laisser faire de son plein gré, c'était au-delà de ses capacités.
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Don soupira et haussa les épaules avec sarcasme, ne se départissant pas de son sourire d'ange. Il regarda Amy rougir avec plaisir lorsqu'il lui fit remarquer qu'elle avait pris du plaisir a ce qu'il lui avait fait ressentir. Cette petite allait être une esclave parfaite, il le sentait déjà de là où il était, et il n'aurait aucun mal a la faire rejoindre sa doctrine. Elle était jeune, naïve, façonnable, et bientôt elle serait un produit de luxe qu'on s'arracherait. Sauf si Don considérait garder la fillette sous sa houlette pour lui faire donner naissance...Ah, tant de possibilité. Il était sur qu'Amy serait parfaite dans son rôle, celle de l'esclave.
Don eut un petit rire mesquin au refut de la jeune fille et se redressa pour lancer a Amy avec stature, s'imposant par sa taille.
"Moi fou?Je suis surement l'homme le plus sain d'esprit que tu as rencontré jusque là. Je détiens la vérité et c'est comme ça que tu me remercie d'essayer de te l'apprendre?"
Lança Don avec un sadisme dépassant les 9000 facilement. Il croisa les bras et regarda la pauvre fille se ratacher encore un peu a la douce illusion que les femmes étaient faites pour autre chose que de le servir dans ce monde. Evidement, il connaissait la vérité, il savait que les deux sexes étaient égaux en tout point...Mais si il arrivait a convaincre du contraire, alors c'était bien plus amusant pour lui.
Don s'avança vers Amy et lui balança
"Mais cette question était réthorique. Si tu ne m'aime pas maintenant, tu m'aimeras une fois que j'en aurais fini avec toi. Il serait bien plus profitable pour toi de me faire confiance."
Il se rua soudainement sur elle et l'attrapa par le bras avant de l'attirer contre lui avec force...La plaquant contre son torse, passant ses main sur ses hanches avant d'empoigner sa poitrine naissante.
"Je t'ai peut être menti pour t'attirer ici, mais mes mots sont la vérité pure."
Mentit t'il encore
"Tu es faite pour ça."
Fit il alors qu'il caressait le corps d'Amy et que son sexe passait encore sur l'entrejambe d'Amy pour l'exciter a nouveau
"Alors?Ne ressent tu pas toutes ces sensations?Est ce que je les invente?Je vais te montrer si je les invente..."
Fit il alors que son extremitait se collait a celle d'Amy et commençait a entrouvrir les lèvres de celle ci...
Et d'un seul coup il la pénétra avec force, abattant son corps en appuyant sur ses hanches et entrainant son bassin pour entrer d'un seul coup violement, de la façon la plus brutale qu'il le pouvait
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Amy se sentait totalement désorientée par ses paroles - on le serait à moins... Elle venait de sa campagne où elle n'avait reçu aucune éducation, elle n'avait aucune idée de ce qui se faisait ou non dans le monde. Mais elle savait une chose, c'est que depuis sa naissance elle avait toujours été là pour servir les autres. Elle s'était même plu dans se rôle, et un peu plus tôt dans la soirée elle se réjouissait de servir le soit disant antiquaire.
La situation était elle tellement différente maintenant qu'il avait déporté ses service dans le domaine du sexe?
Amy ne savait plus très bien ce que sa raison voulait croire.
Ce qu'elle savait, en revanche, c'est qu'elle était choquée et terrifiée...
A ce moment là, l'homme l'attrapa par le bras et la plaqua contre lui. Amy haletait de terreur mais n'osait plus bouger. En son fort intérieur elle se disait que vu qu'elle n'avait pas d'autre choix, que perdrait-elle à essayer de le croire? Au moins pour voir si ce la changeait quelque chose...
Elle se concentra alors sur ses sensations. Un membre incroyablement dur s'insinuait entre ses jambes, tandis que les mains de l'homme pétrissaient ses seins d'adolescente. Ses gestes étaient rudes, violent, elle eut tout d'abord du mal à détecter une once de plaisir dans cet assaut brutal, mais en se concentrant bien, elle réalisa que la sensation sur ses tétons lui provoquait un émois particulier.
Elle se focalisa alors sur ce qu'elle sentait entre ses cuisses, mais n'eut pas le temps de pousser plus loin son exploration sensorielle.
Le monde sembla exploser et son cors s'ouvrir en deux.
La douleur était telle qu'Amy poussa un hurlement dont elle ne se serait jamais cru capable... Une douleur aigue et brûlante à la fois, et la sensation d'être littéralement déchirée, ce qui était très probablement le cas, la transperça.
Son cri se termina en un sanglot de désespoir. Quelque chose au fond d'elle lui prédisait que ce n'était que le début de ses souffrances...
"P... pitié..." Sanglotta-t-elle en s'affaissant entre les bras de l'homme, sans plus aucune force pour lutter ou se débattre.