Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Bureau de la direction et infirmerie => Discussion démarrée par: Saori Kido le lundi 21 juin 2010, 14:45:52
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« Alors nous pouvons voir à travers ces diverses reconstitutions que la Terre est composée de diverses plaques qui coulissent les unes par rapport aux autres. Au tout début de la formation de la Terre, au précambrien, il y avait un continent unique : la Pangée. Ce super continent… »
La nouvelle élève, assise au premier rang, histoire de jouer les élèves zélées, soupira. Les sciences n’étaient pas du tout sa tasse de thé. Elle préférait les matières littéraires. Malheureusement, elle n’avait pas vraiment le choix. Elle voulait jouer les jeunes filles de seize ans normales, elle devait en accepter les contraintes comme elle en voulait les avantages.
Toujours aussi peu motivée, elle replongea son nez dans son livre de biologie et tenta de prendre en notes les explications de son professeur même si cela lui semblait bien complexe. Elle jeta un rapide coup d’œil autour d’elle, tous ses nouveaux camarades ne semblaient pas avoir de difficultés à suivre le rythme du professeur, pour elle s’était différent. Miss Kido avait toujours eu des répétiteurs et des professeurs particuliers. C’était donc ces messieurs qui se calaient sur son rythme et non l’inverse. Et quand un cours l’ennuyait, son précepteur le synthétisait au maximum pour passer le moins de temps dessus. Maintenant que la demoiselle se trouvait dans un lycée public, elle ne pouvait pas vraiment faire ce qu’elle voulait. Elle tenta donc de suivre le cours en notant les informations le plus vite qu’elle le pouvait.
Soudain, un coup retentit à la porte et le directeur du lycée en personne entra dans la salle de classe.
« Excusez-moi d’interrompre le cours, il regarda alors autour de lui, Mademoiselle Kido ? »
L’interpellée se leva tout de suite.
« Oui, monsieur ? »
« Quelqu’un souhaite vous voir dans mon bureau. Vous pouvez prendre vos affaires, mademoiselle »
Surprise, la déesse rassembla son livre et son classeur qu’elle rangea dans son cartable de cuir noir avant de s’incliner devant le professeur et de sortir à la suite du proviseur.
« Excusez-moi monsieur mais qui souhaites me voir ? »
L’homme aux cheveux grisonnants se tourna vers elle, tout sourire. Il fit un signe négatif avec son doigt.
« Ah non, je ne vous dirais rien mais je pense que cela vous fera plaisir. Allez-y, je vous laisse mon bureau car j’ai plusieurs rendez-vous à l’extérieur de l’établissement. Prenez donc tout votre temps, mademoiselle »
Il s’inclina avant de s’avancer vers la sortie. Saori resta perplexe. Même si elle voulait vivre normalement, on lui accordait encore des privilèges. La curiosité supplanta ses considérations. Elle prit alors la direction du bureau directorial en se demandant qui pouvait bien vouloir la voir en pleine journée.
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Depuis quelques temps, je m’étais noyé parmi tous les élèves du lycée de Seikusu, usant de mon pouvoir pour passer inaperçu et profiter de certaines étudiantes, ou effacer un sourire trop prononcée de l’une d’entre elles.
Un évènement un peu particulier à eu lieu, une nouvelle élève a fait son entrée, et déjà de folles rumeurs courent à son sujet. Ce serai une fille de riche, une véritable princesse, en tout cas le genre de personne qu’on touche seulement du regard. C’est donc un défi à ma mesure, et qui plus est c’est une femme vraiment attirante, c’est pourquoi un peu plus tôt je fis en sorte d’approcher assez d’elle pour user de mon pouvoir, et choisir qui pourrais-je incarner.
Mon choix s’arrêta sur une personne qui a eu une relation vraiment particulière avec cette jeune femme, son majordome. Ce monsieur Tatsumi, a abusé sexuellement de Saori à ses 14 ans, étant beaucoup plus vieux que celle-ci, il avait du réussir à avoir une certaine emprise sur elle, vue que la jeune fille prenais du plaisir et avait même souffert que cela s’arrête.
Costume impeccable, visage légèrement ridé, crâne chauve, mon corps était à l’identique de celui du majordome, quand je me présente devant le directeur du lycée. Et je peux bien vite constater de l’influence de la famille de la jeune Saori, quand le directeur me laisse disposer de son bureau pour l’après midi. Et c’est même lui qui va me chercher la jeune femme, pour lui annoncer la visite "surprise" de quelqun. Je pris place sur le fauteuil confortable derrière le bureau, en attendant que la nouvelle élève arrive. La porte s’ouvrit, et tout en refermant celle-ci après être entrée, Saori pose son regard sur moi, et écarquillent les yeux de surprise. Je prends la voix ténébreuse du majordome, et esquisse un léger sourire.
Bonjour ma petite Saori…
Je glisse mon regard sur ses formes appétissantes, et attend avec une impatience dissimulée sa réaction.
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Saori avançait dans les couloirs vides du lycée. Tous les lycéens se trouvaient dans leurs salles de classe. La demoiselle descendit au rez-de-chaussée pour atteindre l’aile où se situait l’administration. Elle passa devant le bureau de la secrétaire qui était absente. Elle se rappela que la dame ne travaillait pas les après-midi sauf si le directeur avait besoin d’elle. Elle toqua à la porte du bureau et entra sans attendre de réponse. Elle ne fit pas attention et referma doucement la porte avant de regarder l’homme qui l’attendait. A sa vue, miss Kido lâcha son cartable de surprise.
« Bonjour ma petite Saori… »
Un immense sourire se dessina sur le visage de poupée de la déesse et elle se jeta dans les bras de son majordome.
« Tatsumi ? Tatsumi ! Je suis si heureuse de vous revoir ! Cela fait si longtemps ! »
Depuis qu’elle avait quitté la demeure familiale, ils ne s’étaient que peu vus, malheureusement. La demoiselle l’aimait beaucoup. Il s’était occupé d’elle depuis sa plus tendre enfance. Il avait toujours été aux petits soins pour elle et même beaucoup plus. Il lui avait fait connaître beaucoup de choses sur le sexe. Les petits déjeuners particuliers qu’ils avaient pratiqués lui avaient beaucoup manqué. Depuis son arrivée à Seikusu, elle avait heureusement pu se faire plaisir de ce côté-là. Elle avait même perdue sa virginité faisant ainsi mentir la légende concernant Athéna.
Elle releva la tête vers le visage de Tatsumi tout en laissant ses bras autour de la taille de l’homme de grande taille, chauve et à la tenue toujours impeccable. Son sourire était magnifique et de petites larmes coulaient aux coins de ses beaux yeux bleus.
« Que faites vous donc ici Tatsumi ? »
*Est-il venu me voir ? Est-ce que je lui ai manqué ? Et s’il voulait qu’on refasse des choses ensembles ?*
Cette idée la fit frémir. Elle n’était pas contre, bien au contraire. Son corps était très loin d’être contre et indifférent à celui qui avait abusé d’elle quand elle était plus jeune. Ses seins pointèrent sous sa robe blanche. Si elle ne portait plus sa robe de déesse qu’elle arborait du temps du sanctuaire, elle l’avait troquée pour une robe blanche à manches courtes et qui lui arrivait juste en dessous des genoux. Elle se fermait avec des boutons tout le long de la robe sur le devant. Des sandales blanches complétaient l’ensemble. Théoriquement, elle aurait du porter l’uniforme du lycée mais il n’était pas encore arrivé. Le directeur lui avait donné l’autorisation de s’habiller comme elle voulait tant que celle-ci reste correcte.
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La surprise laisse place à la joie sur le visage de Saori, elle se jette dans mes bras sans aucune hésitation. Ce que j’aime ce sentiment de force que m’offre mon pouvoir, alors que sous ma vraie forme j’aurais dégoutée cette sublime jeune femme, là j’ai l’impression de pouvoir disposer de ces courbes généreuses comme bon me semble. Il y a quand même quelque chose qui me choque, comment cette jeune femme peut elle être attirée par un homme mûr comme celui dont j’ai la forme et qui abusé de son innocence ?
La voix douce de Saori me sort de mes pensées, elle me demande ce que je fais ici, enfin, ce que Tatsumi fait ici.
Eh bien je suis venu voir comment tu te portais… Ca fait longtemps qu’on ne s’était pas vue, et je dois dire que tu me manquais…
Je termine ma phrase en enlaçant la jeune femme, mes bras musclés et mes larges mains passant le long de son corps frêle.
Alors dis moi… Ton majordome t’as manqué ?...
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*Ainsi, je lui ai manqué !*
Ces mots étaient doux aux oreilles de miss Kido. Elle ne vivait plus au manoir, s’était révélée une déesse, avait durement combattue mais il restait là pour prendre soin d’elle. Les bras massifs de Tatsumi l’entourèrent. Comme la demoiselle s’y sentait. Cela lui rappelait tant de souvenirs.
« Alors dis moi… Ton majordome t’as manqué ?... »
Saori replongea son visage contre le torse de son majordome. Elle fit oui de la tête, le frottant contre la veste de l’homme qui la tenait enlacée.
« Oui… Oui, bien sûr que vous m’avez manqué, terriblement manqué »
La demoiselle sentait l’odeur boisé de l’homme. Une odeur qui l’enivrait. Son corps répondait doucement à ses sensations du passé. Ses seins continuaient de pointer et elle avait la chair de poule. Elle frissonna de plaisir et de joie.
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Je souris alors qu’elle me dit que je lui aie beaucoup manqué, puis une lueur perverse envahit mon regard, lorsque je constate que ces tétons pointent derrière les minces barrières de tissus qui couvrent ses seins. J’approche doucement une main de sa poitrine, et juste du bout de l’index, je viens faire le tour de ces tétons dressés l’un après l’autre. Mon autre main descend le long de son dos pour s’aventurer sur ses petites fesses galbées.
Oui apparemment je t’ai manqué ma petite…
Je viens chercher ses lèvres avec les miennes, et je l’embrasse langoureusement, ma grosse langue s’insinuant dans sa petite bouche.
Ca me manque de ne plus venir te réveiller tu sais… Ton corps à grandit… Et j’ai hâte de connaitre les progrès que tu as fais…
Saori à l'air encore complètement envouté par cet homme, voyons voir jusqu'à quel point...
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La petite fille de feu le grand professeur Kido restait collée à son majordome. Une des mains de l’homme alla s’aventurer sur l’un de ses seins, venant frotter ses doigts contre le téton durcit. La jeune fille en fut surprise. Le geste ne la gênait pas. Par contre, elle ne pensait pas que son corps réagirait aussi vite.
L’autre main alla se perdre sur les douces rondeurs de son fessier. Elle ferma les yeux, repensant aux caresses interdites ainsi qu’aux actes osés qu’ils avaient commis ensembles. N’importe qui dirait que Tatsumi avait abusé de miss Kido sauf miss Kido elle-même. L’emprise du majordome était trop importante pour qu’elle remette son autorité en doute. Du mois dans ce domaine particulier. Même lorsqu’il lui avait fait mal en la sodomisant, elle ne lui en avait pas voulu et puis elle avait fini par y prendre un grand plaisir.
« Oui apparemment je t’ai manqué ma petite… »
Tatsumi descendit alors son visage au niveau du sien et les épaisses lèvres masculines s’emparèrent des siennes, si fines. Elle accueillit la langue de son mentor avec plaisir. Elle la caressa avec sa propre langue et accepta ses caresses. Saori appréciait ce traitement mais il finit par décoller ses lèvres de la bouche de la déesse.
« Ca me manque de ne plus venir te réveiller tu sais… Ton corps à grandit… Et j’ai hâte de connaitre les progrès que tu as fais… »
Elle rougit devant ses paroles mais elle le connaissait depuis si longtemps.
« Oui, ça m’a manqué… terriblement manqué… J’ai eu quelques histoires depuis que je suis dans cette ville et puis… »
Elle rougit un peu plus. La demoiselle devait bien lui avouer qu’elle n’était plus vierge du tout à présent. Elle espérait que Tatsumi ne lui en voudrait pas.
« Je… j’ai eu une histoire avec un jeune homme et je… je ne suis plus… vierge Tatsumi »
Elle grimaça, appréhendant sa réaction. Il le prendrait peut-être mal vu que lui ne l’avait jamais prise ainsi.
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Je la regarde m’avouer comme une petite fille ayant fait une bêtise, qu’elle a perdu sa virginité. Je prends volontairement un air contrarié, resserrant l’étreinte de ma main sur sa fesse droite, puis de mon autre je déboutonne doucement l’ouverture de sa robe.
Je suis vraiment déçu Saori…
Une fois sa robe complètement ouverte, je dévoile sa poitrine enfermée dans son soutient gorge, et je passe ma grosse main dessus, pour profiter de ces globes de chairs généreux.
Je vais devoir te punir…
Je retire ma main de ses fesses, pour venir l’engouffrer sous sa culotte, et caresser doucement son sexe. Mes doigts étaient gros sous cette forme, je les passe d’abord tout autour de sa vulve, sans la toucher, me contentant de stimuler les contours, pour que tout son corps désir que j’aille plus loin. Je repose mes lèvres contre les siennes, pour l’embrasser langoureusement, puis je laisse ma grosse langue glisser le long de son cou, laissant un filet de bave sur sa route.
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Le visage qu’afficha Tatsumi exprimait sa déception et sa contrariété. Il était très déçu par celle qui avait été une si brillante disciple. Sa formation avait été incomplète mais plutôt que de l’attendre, elle avait suivit l’enseignement d’un autre senseï. Il avait toutes les raisons d’être en colère et miss Kido en était très affectée.
Le majordome de la demoiselle lui annonça qu’il était déçu. Une déception qui était déjà visible sur ses traits était maintenant exprimée clairement. La main imposante enserra davantage la fesse déjà prise en otage. Alors que les doigts de l’autre main, malgré leur grosseur, défirent prestement chacun des boutons, ouvrant totalement la robe. Le corps de la demoiselle était presque nu. Son soutien-gorge et sa culotte de dentelle la protégeaient encore. Pas pour longtemps car la main vint chercher le sein par delà le tissu.
« Je vais devoir te punir… »
« Quoi ? Mais je… »
La petite demoiselle stoppa net quand elle sentit l’autre main s’infiltrer dans sa culotte. Elle ferme alors vite les yeux et profitait du plaisir que ces attouchements lui procuraient. Les doigts caressaient ses grandes lèvres mais ne s’infiltrèrent pas plus loin. Saori aimerait bien qu’il aille plus loin. Elle allait le lui dire quand sa bouche fut à nouveau prise d’assaut. Elle accueillit la langue avec plaisir alors que son sexe mouillait. Son jus commençait à couler sur ses grandes lèvres. Son corps était en chaleur à présent et en voulait plus.
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Je sens la cyprine s’écouler de l’intimité de mon « ancienne disciple », elle est déjà toute excitée, alors je décide d’infiltrer doucement mes doigts dans son sexe humide, et de commencer des petits vas et viens. Je laisse mon gros pouce s’appuyer contre son clitoris, et le caresser avec de légers cercles. J’intensifie progressivement mes mouvements, l’extrémité de mes doigts venant stimuler les parois internes de Saori, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je dépose des baisers fiévreux dans son cou, puis viens murmurer contre son oreille.
Ma petite garce de Saori… Combien en as-tu reçu par là ?!
Je retire ma main de son sexe maintenant trempé, et j’agrippe fermement sa croupe, pour soulever son corps, et la faire s’asseoir sur le bureau du directeur. Je lui retire sa robe, puis son soutient gorge, dévoilant sa superbe poitrine, que je viens empoigner de mes grosses mains chaudes avec fermeté. Je me penche pour passer ma grosse langue sur le petit téton dressé de son sein gauche, puis je le capture entre mes lèvres charnus, pour le sucer avec ardeur.
Je délaisse son sein, pour annoncer à Saori la suite des évènements…
Je vais devoir te nettoyer de tous ceux qui t’ont souillé…
Je viens étreindre ses hanches avec mes mains, relevant un peu son bassin, pour me présenter son sexe humide. Je me penche et je l’embrasse sur toute la longueur, puis je commence à déposer des coups de langues grossiers.
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« Ohhhhhh… hummmmmm… »
A peine les doigts s’introduisirent-ils dans son sexe humide que miss Kido se mit à gémir. Les doigts bougeaient dans son antre, la pénétrant avec une grande force. Le pouce du majordome s’appuya fortement sur son bouton provoquant une légère contraction de ses parois internes et un léger flot de mouille vint maculer les doigts et la culotte de Saori. Tatsumi l’embrassait dans le cou.
« Ma petite garce de Saori… Combien en as-tu reçu par là ?! »
Les yeux fermés et la bouche entrouverte, la demoiselle avait du mal à parler.
« Juste un… hummmmm… ohhhh… il n’y en a eu qu’un… »
Mais les doigts finirent par se retirer, dans la petite chatte bien chaude de la jeune fille. Le majordome la souleva et la déposa sur le bureau directorial où il lui retira ses derniers vêtements.
La majordome vint jouer avec ses seins, les malmenant avec ses grosses mains puis avec sa langue mais le petite fille riche aimait ça. Elle avait toujours aimé ça. Son sexe mouillait encore plus et quand il la renversa pour y accéder, elle ouvrit naturellement ses cuisses et avança son bassin.
« Je vais devoir te nettoyer de tous ceux qui t’ont souillé… »
Il se mit alors à la lécher, passant et repassant sa langue épaisse sur ses lèvres mouillées et excitées.
« Hummmm… oh oui, Tatsumi, c’est bon… encore… hummmmmmmmm »
La jeune fille gémissait de plaisir se moquant de l’endroit dans lequel elle se trouvait. Miss Kido prenait un pied terrible à attouchements pervers de son majordome.
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Je l’entends en redemander, en vouloir en plus, ce qui m’excite d’avantage. Avec ma langue je me concentre sur son petit bouton de plaisir, déposant tantôt des caresses vives, tantôt lentes. Puis je reviens la pénétrer des mes gros doigts, les faisant rentrer presque entièrement dans son petit sexe trempée, et j’entame des vas et viens puissants.
Après quelques minutes, je me redresse, et je retire mes mains de son corps pour les porter sur mon pantalon, je dézippe ma braguette, et je sors mon membre dressé et brulant de désir. A en voir la taille je n’ose pas imaginer la sensation de Saori à ses 14 ans quand elle l’a reçu dans sa petite bouche et son anus. J’agrippe fermement ses jambes, et je rabats ses cuisses contre son ventre, pliant ainsi son corps en deux, et m'offrant une position idéale pour une pénétration puissante et profonde. Mais je veux faire durer le plaisir, je pose ma grosse colonne de chaire chaude, contre son sexe humide, et je la frotte doucement contre cette fente. Mes mains sont appuyées sur le dessous de ses cuisses, les gardant ainsi bien plaquées contre son ventre, et m’offrant un appui solide. J’attends qu’elle me supplie de la prendre, et une fois cela fait, avec un coup de rein puissant, je fais pénétrer ma verge imposante dans son petit sexe trempé. Je sens ses parois étroites me comprimer, alors que j’entame un mouvement de bassin fort, la prenant contre le bureau qui bouge sous la puissance de mes mouvements.
MHMM ! Saori ! Tu aimes te faire prendre comme ça ?!
Je fais aller mes mouvements crescendo, mon gland allant taper au fond de son vagin, mes larges mains resserrant leurs étreintes sur ses petites cuisses.
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Les gémissements de la jeune fille encourageaient Tatsumi. Elle le ressentait dans les coups de langue de plus en plus vifs et précis. De sa petite chatte, il passa à son petit bouton ce qui ne fit qu’accroître son plaisir et son excitation. Les doigts prirent enfin le relais de la langue. Les doigts épais s’infiltrèrent dans le sexe déjà stimulé de miss Kido. Les parois étaient encore serrées mais elles se dilataient sous l’action de va-et-vient des doigts qui la travaillaient.
« Hummmmmmmm… Oui, oh oui… »
La stimulation dura un certain temps mais finit par s’arrêter. La demoiselle ne put s’empêcher de protester devant cet abandon cependant elle se calma en entendant le bruit très reconnaissable de la fermeture éclair d’une braguette. Elle jeta un rapide coup d’œil pour s’assurer de la véracité de son hypothèse. Elle sourit en voyant le membre à la proportion immense qu’elle avait si longtemps côtoyé à l’âge de 14 ans.
Tatsumi lui agrippa les cuisses et les replia sur son ventre. Miss Kido en fut surprise mais elle était encore assez novice dans les différentes positions du Kama sutra en ce qui concernait les positions liées à la pénétration vaginale. La queue du majordome vint se frotter contre la petite chatte trempée de la jeune fille. Celle-ci apprécia le contact et elle n’attendait qu’une chose, qu’il fasse entrer son membre en elle mais il ne semblait pas vouloir le faire.
« Hummmmm… Tastumi… Prends-moi !... J’en ai envie… très envie… »
Visiblement, ce dernier n’attendait que ça. Il agrippa alors ses cuisses et appuya fortement dessus alors qu’il la pénétra avec force.
« Arghhh… Oh… Oh oui…hummmmm… ! »
Il commença alors des mouvements puissants de va-et-vient faisant trembler le bureau sous la déesse. La position permettait au sexe de Tatsumi de s’enfoncer un maximum en elle, lui donnant un plaisir intense et merveilleux qui la faisait crier et gémir.
« MHMM ! Saori ! Tu aimes te faire prendre comme ça ?! »
Miss Kido hocha la tête alors que ses mains partirent s’agripper aux rebords du bureau afin de ne pas glisser sur le plateau devant les assauts violents du majordome.
« Hummmm… Oh oui, c’est bon… tellement bon… ! »
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Mes mouvements de bassins vont toujours de plus en plus vite, ma verge s’enfonçant le plus profondément possible dans le vagin de Saori. Mes gémissement sont de moins en moins espacés, jusqu'à ce que je casse d’un coup le rythme, inculquant à un mouvement lent à ma verge, prenant le temps de la faire coulisser en elle, lui faisant sentir toute sa grosseur. Je souris en soufflant, je sens tout son corps vouloir que je recommence mes coups de reins puissants, j’attends qu’elle me supplie comme une véritable nympho.
C’est ça que tu veux ma petite Saori ?!
Je recommence à la prendre dans un mouvement effréné, remontant mes grosses mains chaudes sur son corps pour empoigner ses seins, et je les étreints en pinçant ses tétons. Puis d’un coup mon corps se crispe sous le plaisir, je me cambre, plaquant mon membre profondément dans son sexe, puis je libère de longs jets de sperme chaud, inondant son petit vagin.
MHMMM ! SAORI !
Je reprends doucement mon souffle, relâchant l’étreinte que j’avais sur son corps, puis je retire mon membre maintenant à moitié rigide, de son sexe emplit de ma semence. Je me laisse retomber sur le fauteuil du directeur, ma verge luisante de nos semences communes. Je pose mon regard sombre sur le corps de Saori, après cet ébat très intense, j'espère bien avoir l'occasion de profiter encore d'elle...
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Les mouvements de celui qu’elle prenait pour son majordome devenaient de plus en plus intenses. Qu’est-ce qu’elle aimait ça ! Ce n’était que la deuxième fois qu’elle se faisait prendre vaginalement mais elle était déjà accro. Le sexe lui avait tellement manqué. Deux ans à ne se contenter que de masturbation, c’est long. Maintenant elle en voulait plus.
Tatsumi ralentit soudain les mouvements faisant gémir de protestation la jeune demoiselle qui n’avait qu’une envie celle de se faire prendre intensément.
« C’est ça que tu veux ma petite Saori ?! »
Se tortillant sur le bureau, miss Kido cherchait à bouger son bassin plus vite pour que les mouvements deviennent plus rapides mais son majordome en avait décidé autrement.
« Oui, je veux ça ! Je veux que tu me prennes fort ! »
Sa chatte mouillait terriblement et fut ravie, comme sa propriétaire, de voir l’homme reprendre ses mouvements rapides et profonds. Ses mains vinrent pincer ses tétons la faisant tressaillir sous ses assauts.
« Oh oui… oh oui, je vais bientôt jouir mon Tatsumi… hummm… j’aime quand tu me baises ! »
On n’imaginerait pas telles paroles dans la bouche d’une jeune fille bien née, déesse de surcroit, mais les mots crus l’excitaient d’autant plus. Cela la faisait revenir à un niveau très bas du genre humain et elle aimait ça.
Elle sentit soudain le majordome giclé dans sa chatte. Elle-même finit, dans un dernier mouvement de queue du type sur elle, par jouir. Le sexe bloquait l’écoulement de cyprine mais les spasmes la secouèrent violement.
« Ohhhhhhhhhhhhhh… hummmmmm… »
Saori était exténuée mais heureuse. Tatsumi se retira de son corps, le sperme et la mouille s’échappèrent alors de son vagin et coulèrent sur le bureau avant d’aller goûter sur le sol. Le sourire aux lèvres, les cuisses indécemment écartées, elle reprenait doucement son souffle.
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Je reprends mon souffle alors que Saori m’offre une magnifique vue sur son sexe dont commence à s’écouler le sperme que j’y aie déversé. J’étire un sourire pervers, puis je me redresse, pour mieux regarder cette petite fille de riche qui m’est complètement soumise. Je pose mes grosses mains sur ces petites jambes, et je les remonte contre sa peau, tout le long de son corps, jusqu’à atteindre ses seins que j’empoigne avant de jouer avec. Les pressants l’un contre l’autre, mes pouces appuyant contre ses tétons. Puis je me penche contre son corps frêle, et vient l’embrasser à pleine bouche, ma langue épaisse venant chercher la sienne.
Je me redresse, mon corps baraqué, et assez impressionnant lui faisant face, je remet en place mes vêtements, puis repose mon attention sur elle.
Allez habilles toi. On rentre chez toi, et je vais reprendre ma place de majordome.
Alors qu’elle se redresse, et veut commencer à s’habiller, je pose ma main sur sa culotte, et la range dans la poche de mon costume.
Ça… Je le garde.
En effet j’ai une petite idée dernière la tête… Une fois qu’elle est habillée, je lui tends mon bras pour qu’elle puisse s’y accrocher, en parfait majordome. Nous sortons du bureau du directeur, puis de l’enceinte du lycée. Et alors qu’elle pourrait penser que je puisse appeler un taxi, pour nous ramener tranquillement chez elle, je l’entraine à la station de métro la plus proche.
Si tu veux vivre comme une fille normale… Il faut prendre les transports en commun.
A cette heure-ci les métros sont bondés, quand les premiers wagons arrivent, les gens se bousculent pour y entrer et nous nous retrouvons au fond de la voiture. Saori se retrouve plaquée par mon corps, dos à la paroi. Je la regarde avec une lueur perverse, puis juste du bout de l’index, je passe mon doigt au niveau de son sexe, à travers sa robe. Pendant ce temps, le métro commence à avancer.
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Toujours à récupérer de son orgasme, elle frissonna tandis que les mains épaisses du majordome remontaient sur son corps humide de sueur avant de s’emparer de ses seins et de jouer avec. Les yeux mi-clos, la déesse profitait simplement du moment de plaisir qu’il lui offrait. Deux ans sans son majordome, ça lui avait paru si long. Maintenant, elle savourait sa présence. La bouche vint à nouveau chercher la sienne qui se laissa faire sans aucunes réserves. Puis Tatsumi se redressa, la toisant de toute sa hauteur.
« Allez habilles toi. On rentre chez toi, et je vais reprendre ma place de majordome »
Miss Kido hocha simplement la tête, un grand sourire aux lèvres. Visiblement il n’en avait pas finit avec elle. Elle était heureuse d’être avec lui. Son majordome lui avait fait découvrir tout un monde deux ans auparavant. Il la voyait comme une fille comme les autres. Il la traitait de la même manière. La jeune fille était bien sûr inconsciente du fait qu’il abusait d’elle et ne l’aimait pas vraiment.
La jeune déesse laissa ses pieds atteindre le sol et fit suivre le reste de sa personne. Alors qu’elle se mettait debout, la cyprine et le sperme coulèrent le long de ses jambes fuselées. Du regard, elle chercha quelque chose pour se nettoyer et avisa une serviette qui trainait dans un coin. La demoiselle s’essuya comme elle put mais lorsqu’elle voulu attraper sa culotte, l’homme l’en empêcha, préférant la garder. Saori ne chercha pas à le contredire et continua simplement à se rhabiller.
*Libre à lui de la garder ! J’aurai un peu d’air frais sur mes parties intimes*
Elle rit pour elle-même de cette idée. Même si elle avait été élevée pour être une jeune fille parfaite, les notions d’interdits étaient très tentantes. Et l’idée de se promener sans sous-vêtements l’excitait beaucoup. C’était un pied de nez de plus à son éducation trop stricte et à son rôle de déesse intouchable.
Une fois « convenablement » vêtue, elle prit le bras tendu par son majordome pervers. Elle fut un peu déroutée de ne pas voir la berline noire de la famille Kido devant le lycée mais suivit docilement Tatsumi dans la rue. L’idée de rébellion face à lui était inexistante. Quoiqu’il fasse ou lui demande, miss Kido s’y plierait comme une enfant bien sage. Ils atteignirent alors uns station de métro, un endroit jamais fréquenté par la jeune fille de bonne famille qu’elle était.
« Si tu veux vivre comme une fille normale… Il faut prendre les transports en commun »
Les yeux grands ouverts devant la foule énorme qui courrait sur les quais, elle resserra sa main sur le bras de son majordome par crainte de se faire happer par les mouvements de foule. Par chance, ils restèrent bien ensemble mais se retrouvèrent complètement coincés au fond du wagon. Les gens étaient entassés pire que s’il avait s’agit de sardines en boites.
Compressée contre le corps de Tatsumi, les mouvements de la jeune fille étaient plus que limités. C’est alors qu’elle sentit un doigt venir caresser son intimité au travers de sa robe. Elle leva des yeux interrogateurs vers l’homme au regard pervers. Le visage empourprée par la situation, elle ne l’en empêcha cependant pas, appréciant même l’indécente caresse. Elle jeta des regards autour d’elle, observant les gens en se demandant s’ils voyaient quelque chose ou non. Une partie d’elle, la plus sage, souhaitait que non mais une autre partie trouvait l’idée plus qu’intéressante d’être regardée par des inconnus dans une situation plus qu’indécente et gênante.
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Totalement sous mon influence, elle accepte mes caresses particulièrement indécentes dans un lieu public, et surtout dans ce wagon bondé. Je descends ma main le long de sa cuisse, pour mieux la remonter sous sa robe, glissant contre l’intérieur de sa cuisse, avant que mes gros doigts ne viennent retrouver son sexe. Deux de mes doigts se pressent de chaque côté de sa vulve, pour mieux l’offrir à deux autres qui commence à s’y aventurer. Je caresse ses lèvres intimes avec un certains doigtés, et vient peu à peu à la rencontre de son clitoris, que je stimule du bout de l’index.
De part ma stature imposante, seuls les personnes assez proche de nous, peuvent voir ce qui est entrain de se passer, pour les autres, le spectacle est caché par la grandeur de mon corps. Les regards autour de nous se posent sur Saori, certains sont choqués, d’autres interrogateurs, et certains… intéressés.
Je passe ma main libre sur sa poitrine, avant de la remonter vers son visage, pour saisir son menton afin de mieux l’embrasser langoureusement, mes lèvres charnues capturant la finesse des siennes. J’écarte légèrement la tête pour mieux la regarder avec un air pervers, puis je dis à voix basse :
Tu es toute excitée ma petite Saori… Tu aimerais que je te prenne ici et maintenant ? A côté de tous ces gens qui te regardent c’est ça ?
Ce majordome à tellement d’influence sur elle, que j’ai l’impression que si je lui disais de sauter d’une falaise, elle le ferait. Comme quoi, plus on s’occupe d’elles jeunes, plus l’emprise que l’on a est forte. Peut être que je devrai m’en inspirer à l’avenir…
J’accentue mes caresses, un de mes gros doigts s’engouffre dans son intimité, et commence à y aller venir, tandis que la paume de ma main frotte contre le reste de son sexe. Peu à peu, je rajoute un autre doigt à la danse, alors que de mon pouce je viens à nouveau caresser son clitoris. Je caresse ses parois internes avec fermeté, pénétrant une phalange supplémentaire de mes doigts dans son vagin.
Je peux sentir des personnes choquées devant cette scène murmurer dans leur barbe. Je ne sais pas si c'est l'action en elle même qui les choque, ou bien la différence d'age importante entre Saori et moi. Dans tous les cas, je crois bien que ma carrure imposante les dissuade d'interférer dans ce qui est entrain de se passer.
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Avec une docilité surprenante, miss Kido se laissait faire par celui qu’elle percevait comme étant son majordome. L’homme qui s’était occupé d’elle durant quasiment toute sa vie avait sa totale confiance et même davantage. Elle se sentait partagée entre son envie d’obéir mais aussi le désir de refuser. Les regards désapprobateurs qui les fixaient la rendaient anxieuse et honteuse d’elle-même. Un instant son esprit reparti vers le sanctuaire et ses chevaliers. Que diraient-ils en la voyant ainsi ? Celle qui avait combattu pour sauver la Terre en train de se faire doigter dans un wagon de métro par un simple domestique ?
Le rouge se répandit davantage sur ses jolies joues de poupée. La demoiselle serra un peu les cuisses emprisonnant la main dont les doigts inquisiteurs s’étaient infiltrés dans son intimité. Mais c’était mal calculé, la pression ne fit qu’accentuer l’intensité des caresses indécentes que Tatsumi lui imposait. La double stimulation, clitoridienne et vaginale, commençait à faire effet sur la jolie jeune fille aux cheveux mauves. La cyprine humidifiait déjà largement sa petite chatte et commençait à mouiller ses cuisses serrées. Toujours écarlate, elle frissonnait doucement sous les mouvements de doigt en elle.
Le désir finit, après quelques minutes de ce traitement, par prendre le dessus. Un coup d’œil circulaire lui fit voir des personnes aux visages choqués mais aussi plusieurs regards lubriques. Leurs possesseurs essayaient de regarder par-dessus les épaules des gens plus proches du couple ou ils jouaient carrément des coudes pour venir auprès d’eux. Un homme en costume sombre réussit d’ailleurs à se glisser sur leur droite et ne quittait pas Saori des yeux. Celle-ci, mal à l’aise, baissa son regard sur le personnage et ne put que voir l’effet produit sur le bas-ventre du type. Le tissu du pantalon était totalement tendu par l’érection imposante qu’il avait.
Un peu effrayée, elle posa ses mains blanches sur les épaules du majordome pour se rapprocher de lui et se rassurer. Elle repensa alors au spectacle auquel elle avait assisté avec Clara dans un bar. Une fille s’était dévêtue en dansant sous les applaudissements et encouragements des hommes présents dans la salle. Elle avait bien appréciée le spectacle et aujourd’hui c’était elle le point de mire. Cette idée lui plaisait bien et ne faisait que l’exciter davantage. Elle cessa de se défendre et écarta un peu plus les cuisses laissant la main de Tatsumi faire ce qu’elle voulait. Elle ne répondit cependant pas à la question du majordome. Sa honte était toujours présente, répondre affirmativement et surtout à voix haute lui donnerait l’impression de n’être qu’une prostituée de bas-étage ou pire.
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Saori est de plus en plus excité par mes caresses, son sexe s’humidifie de plus en plus alors que le rouge lui monte aux joues. Elle se colle un peu plus contre ma carrure rassurante, sans doute gêné par les regards pervers qui la fixe. Je viens l’embrasser dans le cou, et après avoir mordillé le lobe de son oreille je murmure :
Ne sois pas gêné… Il te regarde parce que tu es belle, ils t’admirent…
De ma main libre, je viens saisir son poignet droit, pour amener sa main sur la grosse bosse formé par ma verge sur mon pantalon. Je fais doucement aller et venir sa main le long de mon barreau dur et chaud, puis murmure à nouveau à son oreille :
Tu m’excites toujours autant ma petite Saori… Regardes dans l’état que tu me mets…
Je relâche la pression sur son poignet, et je stoppe les caresses sur son sexe, pour venir ouvrir ma braguette, et sortir mon membre jusqu’à lors prisonnier de ses couches de tissu. Je viens reporter mes mains sur ses cuisses pour en prendre possession, et ainsi amener mon gland à se poser contre sa fente humide, sous sa robe. Je commence à la pénétrer doucement, mon phallus entrant lentement dans son vagin, pressant et déformant ses parois au passage. Je soupire de plaisir au fur et à mesure que j’avance dans cette étroite et chaud cavité, vue son étroitesse, je dois tirer de mes mains sur ses cuisses, pour amener mon gland à toucher le fond de son sexe. Quel pied de pouvoir abuser de cette superbe adolescente dans ce wagon bondé…
Alors Saori… C’est ça que tu voulais ?...
Le bruit des rails est pour l’instant assez fort pour étouffer ses premiers gémissements, alors que je commence un mouvement lent de bassin, ma verge coulissant dans son vagin avec force. J’accélère le rythme, cherchant à frotter d’avantage contre ses parois vaginales, à plaquer mon gland toujours plus profondément et fort en elle.
Certains des voyeurs passe une main à l’intérieur de leur pantalon, en fixant Saori, et on peut facilement deviner ce qu’ils sont entrain de faire.
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Doucement, il vint chercher la main de la demoiselle pour la poser sur son entrejambe gonflée. Le majordome bandait comme un taureau et c’était le cas de le dire. Le membre tendait terriblement le tissu du pantalon. Guidée par la main de Tatsumi, celle de miss Kido frottait son sexe.
« Oui, je… je vois que je te fais du bien… »
Elle n’ajouta pas que lui aussi lui en faisait. Elle émit une légère protestation quand la main cessa de caresser sa petite chatte humide mais elle vit que ce n’était que pour libérer la grosse queue du majordome. Elle se mordit la lèvre et mouilla un peu plus devant le membre gonflé et prometteur.
Les mains imposantes vinrent se poser sur ses fines cuisses blanches qu’elle écarta pour le laisser venir et entrer en elle. Elle soupira de plaisir alors qu’il s’enfonçait en elle en forçant un peu vu son étroitesse mais sans aucune douleur.
« Oui, oui, c’est ça que je veux… vas-y… hummmmmmm c’est bon… »
La jeune déesse soupirait et gémissait. La honte s’effaçant devant le plaisir qu’elle prenait. Ouvrant les yeux, elle revit le type en costume qui, lui aussi, avait fait sortir son barreau de chair et se masturbait éhontément devant elle. Elle sourit. Au final, Tatsumi avait raison, il se branlait parce qu’il al trouvait jolie et certainement pas envie d’elle alors pourquoi s’en offusquer. Elle entendit d’autres bruits de braguettes et se dit que ce type n’était probablement pas le seul à se masturber en les regardants faires. C’était excitant. Sa mouille, qui ressortait sous les coups de reins de Tatsumi, inondait ses jambes. Elle prenait son pied et encore ce n’était que le début.
« Continue… Baise-moi encore Tatsumi… hummm… C’est si bon… »
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Quel plaisir de prendre ce corps d’adolescente contre le mur d’un wagon bondé, et ce plaisir semble partagé. La rougeur qui envahit ses joues n’est sans doute plus causé par la gêne, mais par le plaisir qu’elle prend, et l’excitation de voir tous ces mâles se masturber pour elle. Alors que ma grosse verge continue d’aller et venir dans son vagin, elle m’en demande d’avantage, de continuer à la prendre comme ça. Elle va être exaucée…
Ah… Hhmm.. Saori… Ne cachons pas ta si jolie poitrine à ces messieurs…
J’accélère mes coups de reins, alors que je monte mes mains le long de son corps. Elle est maintenant tenue hors du sol par la seule force de mon bassin, et l’appui de son dos sur la paroi. Mes larges mains passent sur son buste pour venir déboutonner l’ouverture centrale de sa robe, et dévoilée sa délicieuse poitrine emprisonnée par un soutient gorge. Mon index passe sous l’élastique entre les deux bonnets, et tire, puis soulève le tissu afin libérer les seins de Saori. Je peux entendre quelques réactions enthousiastes autour de nous, alors que mes grosses paluches viennent empoigner ses globes de chaire pour les masser vigoureusement.
Tu peux être fière MHm… Ma petite… Ca te plait t’exciter tous ces mâles ?
Mes mouvements de bassin sont plus lents, mais commence à prendre beaucoup plus de puissance, mon membre coulissant avec force entre ses parois interne, et s’engouffrant le plus profondément possible. Il reste encore quelques stations, nous avons encore du temps devant nous, et je compte bien faire durer le plaisir. Au bout d’un moment sous ce traitement intense, je retire mon phallus de sexe de Saori, puis à l’aide de mes mains je la fais tourner pour qu’elle soit dos à moi. J’entends des gémissements de mécontentement autour de moi, mais je m’en fiche, après tout ils n’ont pas payé pour le spectacle…
Je soulève le bas de la robe de la ma petite adolescente, pour dévoiler sa croupe galbée. Mes mains viennent s’en emparer, mes doigts arachnéens pressant contre ses fesses. Mon gland vient appuyer contre sa fente humide, et après un léger frottement contre son clitoris, il pénètre son sexe sans ménagement. Ma hampe passe à nouveau contre ses parois intimes dans un coup de rein puissant, qui vient plaquer la poitrine nue de Saori contre la vitre de la paroi. Et alors que je me remets à la prendre sauvagement dans le coin du wagon, le métro s’arrête à une station, et l’adolescente, plaquée contre la vitre, est offerte aux yeux des passants.
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Le plaisir montait et se diffusait au travers de tout le corps de la déesse qui se faisait prendre dans le wagon du métro. Une vraie honte, un vrai plaisir, un pur délice. Miss Kido sentait le membre de Tatsumi s’enfoncer en elle et aller jusqu’au fond d’elle. Chaque coup de reins la faisait frémir et gémir. Elle se tortillait pour aider son majordome à la baiser plus fort.
Il voulut alors révéler sa poitrine aux yeux de tous et elle se laissa faire. Le soutien-gorge finit par libérer sa belle poitrine aux pointes dressées. Les soupirs d’aise émis par les spectateurs la firent sourire. Oui, elle aimait être regardée alors qu’elle se faisait prendre. Les mains immenses vinrent tripoter ses mamelons aux belles dimensions.
« Tu peux être fière MHm… Ma petite… Ca te plait t’exciter tous ces mâles ? »
La jeune fille sourit de manière insolente et provocatrice. Elle tranchait avec l’image de fille un peu timide et de bonne famille.
« Hummmm… oh oui… hummmm… c’est bon… oui, j’aime…j’aime qu’ils me regardent… ça… ça m’excite hummm… »
Tatsumi allait plus doucement mais plus profondément, lui arrachant de vrais cris à chaque fois qu’il enfonçait à nouveau sa queue en elle. C’était horrible comme s’était bon. Si elle avait su ça, elle aurait fait ce genre de choses bien avant. Le pénis finit par se séparer de sa chatte en chaleur la faisant protester alors que sa mouille coulait au sol.
« Non, non, ne t’arrêtes pas… j’en veux encore… »
Les mains imposantes la firent pivoter et elle se retrouva les seins écrasés contre la vitre, à la vue de tous. L’homme souleva sa robe et inséra brutalement sa verge en elle lui arrachant un nouveau cri de plaisir. Il n’avait donc pas l’intention d’arrêter. Saori sentit alors le wagon ralentir et s’arrêter à une station la présentant à tous les passants qui la regardait, choqués. Elle ferma les yeux pour ne pas les voir, ni voir leur indignation. Son excitation était intense alors que les bourses de Tatsumi claquaient contre ses chairs. Elle se mit à remuer son petit cul excité lui aussi.
« Prend-moi aussi par là ! J’aime ça, tu sais ! Hummm… encore… »
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Alors que mes coups de reins ramonent le vagin de Saori, elle est sans doute entrain de découvrir à quel point le sexe peut être bon. J’espère qu’elle va tellement prendre son pied, qu’elle en deviendra accroc. D’ailleurs lorsque j’ai arrêté mes pénétrations pour la changer de positions, ses suppliques étaient proches d’une fille en manque. Sa poitrine écrasée sous les assauts de ma verge, qui s’engouffrent toujours plus fort et profondément dans son sexe, elle commence à remuer sa croupe, me demandant de la prendre par son autre trou. Entre deux gémissements, j’affiche un sourire pervers. La relation entre Saori et son majordome, était principalement basé sur leur « rituel » du matin, où la petite à pu très vite prendre goût à la sodomie.
Je referme d’avantage mes mains sur ses petites fesses, les pressant, les malaxant, étirant et stimulant ainsi son anus. Tout en continuant mes puissantes pénétrations, je me penche un peu contre elle, pour murmurer à son oreille, alors que je commence à passer le bout de mes doigts sur son anus.
Ne t’en fais pas Saori… Je n’ai pas oublié à quel point tu aimais cet endroit… Mais ce n’est pas pour tout de suite… Je réserve ça pour notre petit rituel du matin… J’espère que tu ne l’as pas oublié ?...
Je me redresse pour mieux reprendre des coups de reins énergiques, mon barreau de chaire allant et venant entre ses étroites parois vaginales. Mes bourses claquent contre ses lèvres humides, alors que le temps défile, de station à station. Puis juste avant d’atteindre la notre, je sens la jouissance m’envahir, je presse avec force ses fesses entre mes grosses mains, et je plaque profondément mon phallus dans son sexe étroit et trempée. Je libère ma jouissance, inondant son antre de longs jets de spermes.
AHHMH ! Saori !
Mon éjaculation dure de longues secondes, avant que je ne retire mon gros membre de son vagin. Je souffle quelques instants puis remet en ordre mes vêtements. Saori à juste le temps de faire la même chose, que le métro s’arrête à notre station. Je passe un bras autour de la taille de l’adolescente, et nous traversons le wagon. Tous les regards se posent sur elle, et vue que le plaisir est maintenant retombé, cela doit la mettre très mal à l’aise. Une fois sortit du wagon, nous nous dirigeons vers la demeure des Kido, où je vais pouvoir prendre ma place de « majordome ».
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Les doigts de Tatsumi caressaient son anus mais ne le pénétraient pas au grand malheur de la demoiselle qui en avait très envie. Le majordome alla lui murmurer qu’il gardait ça pour un autre moment. Saori avait envie de se plaindre un peu mais le plaisir qu’il lui donnait dans sa chatte qu’elle oublia vite ce léger désagrément.
« Hummmm… ohhhh…ohhhh… non… non, je n’ai pas oublié… ahhhhh… »
Miss Kido criait encore plus fort alors que les mouvements de son majordome s’accentuaient. Elle allait bientôt jouir. Ses muscles se contractaient de plus en plus et la tension n’allait pas tarder à se libérer. Leur station apparut au loin et Tatsumi jouit en elle alors qu’elle poussa un cri énorme.
« ARGHHHHHHHHHHHHHHHHH…. »
Tout le wagon se retourna vers elle, alors que son corps secoué de spasmes se relâchait après l’orgasme. A ce moment, elle entendit plusieurs râles de tous côtés. Les hommes qui s’étaient masturbés en la regardant, jouissaient à leur tour. Certains giclèrent carrément sur ses jambes ou ses cuisses.
Son majordome la remit sur ses pieds et elle reboutonna en hâte son corsage. Les portes alors s’ouvrirent, déversant le flot humain sur le quai. Un flot qui se faisait que commenter les prouesses de la jeune fille dans le métro. Celle-ci était d’ailleurs totalement rouge de honte et sur le point de pleurer. Le plaisir retombé, elle se rendait compte de ce qui venait de se passer. Et elle n’avait vraiment pas de quoi être fière. Docile, elle suivit Tatsumi en essayant de se cacher un peu des gens derrière sa grande stature.
Ils marchèrent jusqu’à la demeure des Kido. Ce n’était pas le manoir principal mais une résidence secondaire. Néanmoins, la taille et le confort n’avait rien à envié à la propriété de Tokyo. Saori franchit le portail après avoir tapé le code, traversa la cour pour aller jusqu’à l’entrée. Elle franchit le seuil et vit deux personnes dans le salon, une bonne et un agent de sécurité. Miss Kido ne leur laissa pas le temps de trop la regarder. Elle jeta simplement :
« Je vais prendre une douche »
Sans attendre davantage, elle monta l’escalier rapidement et fonça vers sa chambre. Elle n’était plus revenue ici depuis ses huit ou dix ans et sa chambre était restée la même. Une vraie chambre de princesse rose et blanche avec un lit blanc à baldaquin et aux draps de satin rose, le tout couvert de peluche. Le reste de la pièce avait une commode, un bureau, une grande armoire, des tas de peluches et de coussins partout. Une vraie chambre de petite fille pourrie gâtée comme l’avait été la demoiselle. Elle poursuivit son chemin vers la salle de bain attenante et jeta un rapide coup d’œil dans la glace. Sa robe était tâchée par le sperme des différents hommes du métro, ses jambes et ses cuisses étaient recouvertes de mouilles et de sperme. Elle enleva rapidement sa tenue et fila sous la douche. Elle prit le gel douche à la rose et se frotta vigoureusement la peau avec. Une fois lavée, elle passa le jet d’eau tiède sur s petite chatte, ouvrant doucement ses grandes lèvres. La jeune déesse appréciait de sentir l’eau sur son clitoris et ses petites lèvres. Un vrai bonheur.
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Nous voilà donc au manoir Kido, et Saori m’en ouvre les portes pensant y faire entrer son majordome. Je la laisse passer devant, jouissant du mal aise qu’elle ressent, le corps souillé par différentes semences masculines.
Une fois à l’intérieur, elle doit sans doute prendre peur en voyant deux membres du personnel, et fuit en invoquant le fait qu’elle doit prendre une douche. Vous imaginez le scandale si l’on voit le corps de la sage et douce Saori dans cet état ?
En d’autres circonstances je l’aurai suivit, et ne me serai pas privé pour abuser d’elle dans la douche, mais je vais la laisser mariner sur ce qui vient de se passer. Je veux lui laisser le temps d’en trouver le manque, et de vouloir recommencer.
Je la laisse délibérément seule toute la soirée, je me suis enfermé dans une chambre à clé, afin de ne pas être tenté de reprendre possession de son corps durant la nuit.
Au petit matin, je quitte ma chambre pour rejoindre celle de Saori, les différents hommes de sécurités que je croise me laissent passer, pensant voir le majordome attentionné de la jeune femme, venant la réveiller. Dans les grandes lignes c’est bien ça… C’est la méthode qui risque d’être un peu plus complexe.
Une fois dans la chambre, je peux voir le corps de rêve de l’adolescente, recouvert d’un tissu fin qui épouse ses formes. Elle dort nue la petite garce… Je souris alors que je retire un à un mes vêtements, dévoilant mon corps nu de colosse grec. Je tire doucement sur le drap, la dévoilant à son tour, d’abord sa poitrine ronde et ferme, très développée pour une fille de son âge, puis doucement c’est son intimité encore un peu rouge qui s’offre à mes yeux.
Je monte sur le lit et passe mes grosses mains chaudes le long de ses jambes, je l’entends soupirer dans son sommeil, alors que je les remonte vers ses seins pour les malaxer doucement. Puis je m’installe sur les genoux à cheval au dessus de sa poitrine, je descends l’une de mes mains vers se son sexe pour commencer à le caresser du bout des doigts, tandis que de l’autre je caresse son visage pour la réveiller.
Allez ma petite Saori… C’est l’heure de ton petit déjeuner…
Je souris en la regardant avec une lueur perverse, quand elle ouvrira les yeux, la première chose qu’elle verra c’est mon gros sexe à moitié tendu qui n’attend plus qu’elle.
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Lorsqu’elle sortit de sa douche, la demoiselle ne vit personne et c’était tant mieux. La séance au lycée puis dans le métro l’avaient épuisée tant physiquement que psychologiquement. Entourée d’une serviette, elle alla fouiller dans les tiroirs mais tout ce qui s’y trouvait était deux fois trop petit pour elle. Sa garde robe n’avait pas été renouvelée ici depuis trois ou quatre ans. Et sa robe était trop tachée, comme ses sous-vêtements, pour être portée. Elle soupira et se glissa donc nue sous le drap de soie rose en renversant les peluches qui s’y trouvaient sur le sol. Curieusement, elle s’endormit rapidement.
Le lendemain, elle sentit une douce chaleur sur elle. Quelque chose d’agréable et de… connu. Un poids se fit alors sentir et une caresse sur sa joie lui fit entrouvrir les yeux. Le drap ne le recouvrait plus et Tatsumi se trouvait à califourchon sur elle, son sexe pointait à moitié vers elle. Une chaleur bien connue de la demoiselle naquit au creux de ses reins.
Elle s’étira, le sourire aux lèvres. Oui, ce rituel lui avait beaucoup manqué. Sans hésitation, elle commença à donner de petits coups de langue sur le gland qui lui était présenté afin de durcir un peu plus la queue de son domestique. Celle-ci était d’ailleurs en bonne position et juste à porté de bouche. Saori ne devait que redresser un tout petit peu la tête pour l’atteindre.
Ses mains entrèrent alors dans la danse et frottèrent la verge qui se gonflait de sang et devenait de plus en plus dure. La langue passa le relais à la bouche tout entière. La jeune fille se mit à sucer avec délice le gourdin de Tatsumi. Elle mettait tout son cœur dans cette fellation matinale.
Son corps, encore peu sollicité, s’excitait quand même terriblement devant cette scène. Sa petite chatte mouillait et son anus frémissait d’envie. Si le rituel était totalement respecté, il aurait le droit à la queue dont-il avait été privé la veille. Miss Kido l’espérait rien bien. Son petit cul lui procurait autant de plaisir que sa chatte. Son ardeur redoubla sur le sexe devenu énorme dans sa bouche.
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Enfin Saori ouvre doucement les yeux, et je vois un sourire s’étirer sur ses lèvres en voyant ma verge face à elle, comme si elle découvrait une belle glace. Sans demander son reste elle commence à me faire une fellation, s’y appliquant avec délice.
Je sens déjà sa cyprine s’écouler sur mes doigts qui n’ont pour le moment fait qu’effleurer son sexe, je les fait donc s’aventurer plus fortement sur sa vulve. Mes doigts viennent caresser puis écarter ses lèvres vaginales, avant de s’engouffrer à l’intérieur et d’entamer des vas et viens forts et profonds, laissant mon pouce frotter contre son clitoris.
Ma verge est maintenant complètement dure et gonflée sous le passage de la langue de Saori, elle est devenue maintenant bien grosse pour sa petite bouche d’adolescente.
Vas-y Saori… MMMH ! Dis moi elle a l’air de t’avoir manqué…
Je remplace mes doigts par la paume de ma main qui vient frotter contre l’ensemble de son sexe, ainsi ils peuvent aller à la rencontrer de son anus, et commencent à le masser doucement. Je gémis de plus en plus fort sous la petite bouche de ma victime qui continue de s’afférer sur mon membre.
Alors… MMH… Tu veux mon lait pour ton petit déjeuner c’est ça ?
Je la regarde avec perversion, alors que mon index s’insinue doucement dans son petit trou, pour commencer à aller et venir en partie à l’intérieur, dilatant doucement cet orifice que je ne vais pas me priver pour prendre, comme le rituel du matin le prévois.
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Miss Kido s’affairait avec plaisir sur la queue de son majordome adoré. L’excitation était à son comble. Cela faisait si longtemps qu’ils n’avaient plus effectués un tel rituel et, en plus, dans la maison familiale, la demoiselle était au comble de la joie.
Quand les doigts pénétrèrent dans sa petite chatte, elle aurait gémit sur la verge de Tatsumi n’avait pas totalement occupé sa cavité buccale. Elle plia ses jambes et remonta un peu son bassin et ses petites fesses afin de mieux sentir la masturbation. Son sexe vibrait d’envie et de désir. Il brulait de se faire défoncer par le membre énorme de son domestique.
Sa bouche s’activait de plus en plus sur le barreau de chair qui prenait des proportions titanesques. Il semblait même plus gros à la jeune fille que dans ses souvenirs mais elle ne s’en plaignait nullement. Elle se contentait de faire ce qu’elle avait toujours en y prenant énormément de plaisir.
Lorsque les doigts vinrent chatouiller son anus, ses yeux s’agrandirent d’envie. Oui, elle voulait qu’il la prenne par là. C’était comme ça qu’il l’avait initié au sexe. Au début, ça lui avait fait mal mais bien vite la sensation avait changé et le plaisir avait remplacé la douleur. La plupart des femmes n’aimaient pas forcément ça mais elle, elle y prenait un pied terrible. La jeune déesse en avait d’autant plus envie que son mentor l’en avait privé la veille.
« Hummmmm…hummmmmm… »
C’était tout ce qu’elle put répondre à la question de son majordome. Oui, elle le voulait lui et sa semence pour son petit déjeuner tout comme elle voulait se faire défoncer par le même membre qui lui remplissait la bouche. Elle se contenta de le supplier avec son regard bleu azur.
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Je fixe les yeux de Saori qui ont l’air de me supplier de lui offrir ma semence, je gémis sous ses coups de langues et sa bouche qui englobe mon membre dur et chaud. Je presse un peu plus la paume de main sur son sexe, alors que maintenant deux doigts viennent caresser l’anus de l’adolescente, et commence à y faire de petits allers et venus pour le dilater toujours plus. Mes bourses frottent légèrement contre ses seins, alors que mes gémissements sont de moins en moins espacé.
MMMMH ! Saori ! Je vais remplir ta petite bouche !
Sans plus attendre ma verge est prise de contractions, et déverse des filets de sperme à l’intérieur de la bouche de Saori, couvrant sa langue, inondant sa cavité buccale de mon foutre, qui commence à gonfler ses joues sous le volume. Je souffle doucement en la laissant s’occuper de toute cette semence, et je la regarde avec un sourire pervers.
Régales toi bien…
Je retire doucement mon sexe de sa bouche, pour venir le placer entre ses seins, et de ma main libre, j’incite Saori à placer ses mains de chaque côté de sa poitrine pour enserrer mon membre avec. Une fois qu’elle s’exécute je commence à aller et venir entre ses globes de chaire doux et fermes, cherchant à ne pas perdre la vigueur de mon membre pour la suite du programme. Mon gland ressort des seins de l’adolescente à chacune de mes venus, jusqu’à s’écraser contre ses lèvres, et ainsi de suite. Mes doigts continuent de pénétrer son anus, l’écartant une fois à l’intérieur, dessinant des petits cercles pour agrandir cet orifice et le préparer à l’entrer de quelque chose de beaucoup plus gros.
Allez viens par là…
A ces mots je m’écarte de son corps, et l’a fait s’installer à 4 pattes dos à moi, pour mieux m’offrir sa croupe, et son anus dilaté. Je prends appui de mes mains sur ses petites fesses pâles, et je viens appuyer mon gland contre son petit trou.
C’est ça que tu veux ma petite chienne de Saori ?
Sans plus attendre, d’un coup de rein puissant mon gros gourdin vient pénétrer son anus étroit, m’extirpant un râle de plaisir, alors que je commence à la prendre en levrette, resserrant mes grosses mains sur ses fesses.
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Saori se tortillait alors que les doigts de son majordome s’insinuaient de plus en plus dans son petit trou ce qui l’excitait à mort. Elle voulait plus. Sa chatte dégoulinait de cyprine et mouillait ses draps roses de petite fille. Elle bougeait sa langue sur le membre qui emplissait sa bouche quand soudain le flot déferla à l’intérieur surprenant et contentant dans le même temps l’adolescente. Celle-ci se mit à avaler la substance blanche et laiteuse comme elle l’avait toujours fait.
Se dégageant alors d’elle, Tatsumi vint poster sa queue entre ses seins plus développés que ceux d’une adolescente de son âge aurait du avoir. D’un encouragement de son mentor en matière de sexe, elle écrasa sa poitrine sur le membre et se mit à le frotter vigoureusement alors que les doigts continuaient leur office. La verge redevint droite et bien ferme contentant à la fois son propriétaire et miss Kido qui voulait la suite.
« Hummm… mon Tatsumi… fait moi comme avant ! »
Comme s’il n’attendait que ça, il se recula et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, chose que la jeune fille s’empressa de faire. Dans cette position, sa mouille coula un peu plus sur les draps, elle gouttait de sa petite minette excitée.
« Prend-moi vite ! »
Le majordome s’exécuta en s’enfonçant dans ses intestins, dilatant ses sphincters avec délice la faisant gémir et crier. La compression de son petit trou par le chibre immense entraina une nouvelle coulée de cyprine sur le lit. Il n’y a pas à dire, elle coulait comme une fontaine. Les mouvements de bassin commencèrent faisant frissonner de plaisir la jeune déesse.
« Hummmmm… oh oui…. C’est si bon… défonce-moi bien mon Tatsumi adoré ! »
Elle prenait un pied terrible à cet exercice matinal qu’elle avait tellement aimé par le passé et qui lui rappelait tant de souvenirs. Que du bonheur, du plaisir et de l’indécence !
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Incroyable… C’est le mot qui me vient à l’esprit en voyant cette jeune adolescente mouiller comme jamais en se faisant prendre par un homme du triple de son âge. Les allers et venus de mon gros gourdin dans son petit trou étroit continue de plus belle, alors que je commence à déposer des petites claques sur ses fesses, ce qui les fait rougir.
Alors t’aime ça ma petite Saori ?! Ca te plait de te faire défoncer comme une chienne ?!
Mes bourses commencent à claquer contre sa peau à chaque mouvement de bassin, alors que je décide de laisser un reposer un peu ses fesses, pour venir agripper ses seins qui ballottent sous mes coups de buttoir. Je les presse avec fermeté entre mes mains, pinçant ses tétons par moments.
MHMM ! Allez dis moi que tu es ma petite esclave ! Et que tu en veux plus ?!
Je viens plaquer son dos contre mon torse musclé et imposant, alors que j’augmente à nouveau la cadence du passage de mon gros gourdin dans son petit trou. Je descends une de mes grandes mains le long de son corps, pour venir enfoncer deux doigts à l’intérieur du vagin dégoulinant de cyprine de Saori. Je la pénètre sauvagement avec mes doigts, tandis que la paume de ma main frotte contre son clitoris.
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« Aïe…. Hummm… »
Léger cri de protestation lorsque le majordome lui infligea une première claque sur son délicat postérieur à la peau rosée. Mais une protestation bien vite remplacée par des soupirs de plaisir intenses. La peau rose devint plus rouge mais les fessée ne faisait que concourir à son plaisir. Tatsumi l’avait toujours fait alors cela ne l’étonnait guère à ce qu’il s’y remette.
Il la prenait avec force et vigueur comme elle aimait. Elle en bavait presque de plaisir sur les draps roses.les mains du majordome s’aventurèrent alors sur ses seins ronds et fermes. Il se mit à les triturer et pincer les tétons durcit par l’excitation.
« Aïe… Hummmmm… oui…. Encore… Baise-moi bien ! »
La douleur se conjuguait avec le plaisir. Les deux se mêlant pour créer un cocktail détonnant. Sa petite chatte se contractait à chaque fois que la queue immense s’enfonçait dans son petit trou. Les flux de cyprine s’accentuaient encore donnant une idée de qui serait libéré pendant l’orgasme.
Elle se redressa sous l’impulsion de son amant expert et sentit les doigts aller titiller son clitoris avant de la pénétrer la faisant pousser un cri strident de plaisir. Inquiète, elle jeta un coup d’œil à la porte craignant de voir débarquer serviteurs et gardes. Mais elle ne demanda nullement à son cher Tatsumi d’arrêter. Non, elle avait trop envie de jouir et tant pis pour les conséquences. Sans compter que l’inquiétude de se faire découvrir ainsi rajoutait encore de l’excitation à l’acte interdit.
« Oui… je suis… oui, je suis… ta petite esclave… hummmm… t’as petite pute… ta chienne en chaleur… défonce-moi… Fais-moi jouir ! »
Elle était bien ce qu’elle venait de dire, une vraie petite chienne en chaleur qui voulait prendre son pied avec celui qui l’avait initié à ce type de plaisir.
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La cyprine s’écoule comme un ruisseau du vagin de Saori que je pénètre avec mes deux gros doigts, je n’ose pas imaginer ce qui va se dégager lors de l’orgasme. Elle crie de plaisir à chaque passage de ma verge qui étire et déforme les parois de son anus, nul doute qu’elle se fait entendre d’une bonne partie du manoir de la famille. Elle commence à répondre favorablement à mes invectives, me disant qu’elle est ma petite pute et qu’elle veut que je la fasse jouir. Je retire mes doigts de son sexe, alors que je viens plaquer profondément mon membre dans son anus, sentant ses parois comprimer mon gourdin imposant, puis je reste ainsi, et je viens pincer son clitoris entre mon pouce et mon index., pour la rendre folle de désir et de frustration.
A ce moment là, un garde sans doute interpellé par les cries de plaisir, vient frapper à la porte de la chambre.
Garde : Mademoiselle Kido ? Tout va bien ?
J’étire un sourire pervers, et je me redresse tout en gardant Saori contre moi, afin que mon sexe dur ne bouge pas d’un pouce de son petit trou, et je l’entraine avec moi vers la porte. Je la plaque contre celle-ci, écrasant sa poitrine contre le bois, et je viens reprendre possession de ses fesses avec fermeté. Puis sans plus attendre, je reprends un mouvement de bassin forts et rapides, lâchant de râles de plaisr, alors que mes bourses claquent contre sa vulve dégoulinante de cyprine, ma hampe frottant durement contre les parois de son anus. Vue la force des mouvements, et l’excitation de la situation, nul doute que Saori ne devrait pas tarder à subir un très violent orgasme comme elle en a rarement eu.
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Miss Kido devient folle de désir alors que Tatsumi s’enfonce le plus profondément qu’il peut dans son petit trou et vient exciter son clitoris, la faisant crier davantage encore. Elle n’arrive pas à réprimer ses cris, c’est si bon tout ce qu’il lui fait. Cela lui avait tant manqué. A l’heure d’aujourd’hui, c’est encore meilleur que par le passé parce que ça faisait longtemps, trop longtemps d’ailleurs.
« Mademoiselle Kido ? Tout va bien ? »
La voix qui sort de derrière la porte est inattendue et fait couler une sueur froide dans le dos de la jeune fille qui est alors morte de peur et de honte qu’on puisse la découvrir ainsi. Saori essaye alors de se dégager de Tatsumi mais celui-ci ne l’entend visiblement pas de cette oreille.
« Tatsumi, laisse-moi ou ils vont se rendre compte de quelque chose… »
Elle murmura ces mots mais le majordome n’en fit aucun cas. Bien au contraire, il s’empare d’elle et l’emmène, horrifiée, jusqu’à la porte où il la plaque.
« Non Tatsumi, non… ahhhh… »
Mais ses supplications ne servent à rien. Tatsumi poursuit son travail et la ramone comme jamais, redonnant le premier rôle au plaisir. C’était si bon. La pauvre demoiselle ne peut que subir ses assauts, totalement honteuse. Elle tente de retenir ses cris en se mordant les lèvres mais l’excitation est à son comble alors qu’il la défonce violemment avec sa queue.
« Oh… hummmmmmm… oui… oh oui… encore… »
La jouissance était proche et ne pourrait plus être arrêtée. Sa mouille coulait le long de ses jambes flageolantes et son petit cul pénétré avec force lui faisait prendre un pied terrible. Soudain, elle n’y tint plus. L’orgasme éclata en elles, violent, la faisant crier comme jamais.
« AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH… »
Tout son jeune corps se contracte violemment alors que sa chatte délivre une quantité astronomique de mouille par petits jets, inondant ses jambes et créant une flaque sur le sol. Une vraie fille fontaine ou presque. Saori s’appuie, épuisée contre la porte de bois sans se souvenir que quelqu’un se trouve derrière !
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Les suppliques de Saori redeviennent bien vite des encouragements à la prendre plus fort encore, alors qu’elle sait qu’un de ses gardes et juste derrière la porte. Ma grosse verge continue de ramoner avec ardeur son petit trou, jusqu’à faire crier de jouissance l’adolescente, de petits jets de cyprine se dégageant de son vagin sous la violence de son orgasme. Puis, sous la contraction de ses orifices la jouissance m’emporte à mon tour, mon gourdin bien plaquer dans son anus commence à libérer une quantité volumineuse de sperme, alors que mes mains se referment sur ses petites fesses, les griffant au passage.
AHMMHMH ! Oui petite putin, prend donc tout ce foutre…
Sous la pression de ma semence qui s’accumulent, mon membre est repoussé du petit trou de Saori, et c’est avec quelques mouvements masturbatoire de ma main droite que je viens finir mon éjaculation sur le visage de la déesse. Je la regarde avec un sourire satisfait, alors que je veux pousser la perversité plus loin. J’entrouvre la porte de la chambre, pour ne passer que mon visage par l’ouverture de celle-ci.
Mademoiselle Saori va bien… On répétait pour une pièce de théâtre qu’elle va jouer.
Et alors que je discute avec le garde, j’amène le visage de Saori, qui est dissimulé par la porte, près de ma verge pour qu’elle puisse la nettoyer comme il se doit.
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Essoufflée et épuisée par le rapport, Saori sent quand même le majordome jouir en elle et son sperme se déverser dans ses intestins. Au bord de l’évanouissement, miss Kido se laisse tomber au sol et Tatsumi en profite pour finir son éjaculation sur son petit minois de poupée.
La belle reçut tout en s’en pourlécha les babines comme un chat. Tatsumi entrouvrit alors la perte mettant une nouvelle fois le cœur de la demoiselle à rude épreuve. Et c’était d’ailleurs une chose voulue par le majordome pervers. D’ailleurs, tout en discutant avec son collègue, il lui tendit sa queue pleine de sperme.
Obéissante comme toujours face à lui, elle se mit en devoir de lécher consciencieusement le membre, appréciant le goût du foutre et l’avalant avec plaisir comme s’il s’agissait de crème dessert.
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La discussion avec le garde se poursuit, alors que celui-ci est loin d’imaginer que sa maitresse est à mes pieds le visage couvert de ma semence et s’attelant à lécher ce qu’il en reste sur ma verge. Un peu après, je referme la porte et je baisse mes yeux vers Saori avec un air satisfait. Je dois dire que j’admire assez son majordome, d’avoir réussit à faire de cette adolescente, de cette fille de riche, une vraie nymphomane. Je compte bien m’amuser encore avec elle, exacerber ses désirs pervers, pour qu’elle n’ait plus goût qu’à la luxure. Mais pour le moment, je pense en avoir assez fait sous la forme de son majordome, et il y a des formes bien plus intéressantes que je pourrais prendre désormais. Je pense à ses chevaliers… Les chevaliers d’Athéna.
Mais maintenant que j’ai réveillé son appétit sexuel endormit depuis qu’elle avait quitté son majordome, c’est elle qui va devoir agir désormais. Je vais frustrer son corps, jusqu’à ce qu’elle n’en tienne plus, et c’est à ce moment là que je referai mon apparition sous la forme d’un chevalier, pour une rencontre qui risque de montrer la grande et pure Athéna sous un autre jour.
Pour que mon plan fonctionne j’ai l’outil idéal : Une ceinture de chasteté. Enfin pas exactement une ceinture de chasteté, on va dire que je l’ai fait quelque peu « améliorer », en effet à certains endroits stratégiques, autour de sa vulve, sur son clitoris, et son anus, de petits vibromasseurs sont disposés. Ils s’activent grâce à une commande, qui permet aussi de verrouiller et de déverrouiller la ceinture, je serai donc le seul à pouvoir l’enlever.
Je caresse doucement les cheveux de Saori, alors qu’elle finit de recueillir avec sa langue les derniers filets de spermes qui parcourent ma hampe.
C’est très bien ma petite Saori… Tu sais… Je vais devoir m’absenter quelques jours, mais j’ai un petit cadeau pour toi.
Remettant correctement en place mon pantalon, je m’écarte pour aller chercher la ceinture dans mes affaires, et je souris devant le regard interrogateur de l’adolescente. Je m’accroupis face à elle, et lui fait enfiler la ceinture, que je m’empresse de verrouiller.
Ca te protégera durant mon absence…
Je ne précise pas les autres fonctionnalités de la ceinture, ce sera bien plus intéressant de lui laisser la surprise. Je passe une dernière fois mes grandes mains sur le corps nu de Saori, longeant ses cuisses, puis ses hanches pour venir presser ses seins, avant de l’embrasser à pleine bouche. Heureusement pour moi qu’elle a bien recueillit tout le sperme dont j’ai couvert son visage pour l’avaler. Mettant un terme au baiser je me redresse avec un large sourire.
A très bientôt Saori…
Sans plus d’explications, je sors de la chambre puis fait semblant de quitter le manoir en taxi, mais pour mieux revenir quelques minutes plus tard sous la forme d’une simple servante. Ce qui va me permettre d’espionner Saori, et d’actionner les vibromasseurs de sa ceinture en toute discrétion.
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J’attends le soir venu pour frapper à la porte de Saori, dans l’uniforme obligatoire de soubrette (http://fc03.deviantart.net/fs40/i/2009/051/7/9/Kurenai_by_Marine_De_Sade.jpg) que doivent porter les employées du manoir Kido. J'ai dans mes mains le pateau sur lequel se trouve une tasse, quelques gateaux et une théière de thé que Saori prend régulièrement le soir, puis d'une voix fluette je l'informe de ma venue.
Mademoiselle Kido ? J’apporte votre thé.
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Le cœur de miss Kido battit à tout rompre tout le temps que son majordome poursuivit sa discussion avec son collègue. Pourtant, malgré son stress et son inquiétude, la jeune fille poursuivit son ouvrage et nettoya totalement le membre. Se saisissant d’un vêtement qui trainait, elle s’essuya le visage du reste de sperme qui s’y trouvait. Finalement, Tatsumi finit par congédier l’homme à la porte et se retrouva de nouveau seul avec la jeune fille.
Sous les yeux bleus, il alla chercher ses vêtements et commença à se rhabiller, lui indiquant qu’il allait devoir s’absenter. Saori s’en attrista.
« J’espérai… j’espérai que nous nous revoyons plus… régulièrement »
Elle espérait même qu’ils referaient tout comme avant, que les séances matinales reviendraient totalement et se verrait ponctuer de nouveautés vu que la demoiselle n’était plus vierge.
Elle releva la tête alors qu’il revenait vers elle, tenant un bien étrange objet. Une sorte de ceinture mais avec une bande rigide au milieu. Elle lui jeta un regard interrogateur auquel il répondit, lui expliquant de quoi il s’agissait. Il la fit se lever et lui passa la ceinture de chasteté, la bouclant sur elle.
Conditionnée comme il le fallait la jeune fille ne protesta pas et le laissa faire comme il l’entendait. Malgré tout, elle aurait préféré être libre de faire ce qu’elle voulait avec qui elle voulait mais Tatsumi l’avait trop bien conditionnée pour qu’elle refuse. Il la caressa une dernière fois avant de l’embrasser et de finir par s’en aller laissant la demoiselle bien triste de le voir la quitter.
Le jeune déesse alla vers la salle de bain et se nettoya du mieux qu’elle put avec la ceinture. Une fois lavée, elle demanda, par téléphone, à ce qu’on aille lui chercher des vêtements propres et à sa taille. Elle s’enveloppa d’une serviette blanche et attendît qu’on lui apporte ses nouveaux vêtements. Elle passa ensuite sa journée dans la demeure, ne retournant pas tout de suite au lycée. Elle y retournerait le lendemain matin.
Le soir venu, alors qu’elle lisait dans sa chambre d’enfant, un coup retentit à la porte.
« Entrez ! »
C’était une des servantes de la maison qui lui apportait son thé du soir. Sans faire plus cas de la nouvelle venue, elle lui indiqua un petit guéridon.
« Vous poserez ça là, merci ! »
Elle se replongea alors dans son livre.
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J’ente dans la chambre de Saori sous ma forme de servante, alors qu’elle m’indique de poser son thé sur un petit guéridon, j’acquiesce en inclinant respectueusement la tête.
Bien Mademoiselle Kido.
Je viens poser le plateau sur le meuble, et je me retrouve dos à Saori, donc tout en préparant le thé, j’ai tout le loisir de prendre la télécommande de sa ceinture et d’activer d’abord à faible vitesse les vibros se trouvant autour de sa vulve.
Quel genre de thé voulez vous ce soir maitresse ?
Je fais comme si de rien était, le jeu ne faisait que commencer, et Saori allait pouvoir constater que ce n’était que les prémisses de ce que pouvait faire sa ceinture.
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La demoiselle ne faisait pas attention à la domestique. Enfant, elle était une peste. En grandissant, elle s’était améliorée mais elle considérait toujours les domestiques comme des… domestiques, des personnes négligeables et facilement remplaçables qui ont un intérêt mineur pour elle.
Soudain, miss Kido se redressa. Quelque chose se passait et c’était à la fois agréable et inattendue. La ceinture semblait vivante. Des choses, comme des petits picots semblaient se mettre en mouvement contre son intimité et venaient doucement, mais surement, l’exciter.
« Quel genre de thé voulez vous ce soir maitresse ? »
La servante ramena la jeune fille à la réalité avec sa question et la fit sursauter.
« Euh… darjeeling… se… se sera très bien, merci… »
Saori ravala sa salive alors que son excitation commençait à monter en elle. Elle tenait toujours son livre devant elle mais ne lisait plus vraiment. Tout son esprit était tourné vers les activités peu catholiques de la ceinture que lui avait imposé de porter son majordome et amant, Tatsumi.