Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Dortoirs et douches => Discussion démarrée par: Saori Kido le dimanche 20 juin 2010, 15:44:59
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Il était bien tard quand Saori décida de rejoindre sa chambre. Elle était restée travailler à la bibliothèque jusqu’à sa fermeture. L’heure de la fermeture était un peu retardée pour les élèves du lycée. Bien qu’elle eu un précepteur privé quand elle vivait au manoir de son grand-père, elle devait recoller aux exigences scolaires. Or depuis deux ans, elle avait laissé de côté ses études. Protéger le Terre ça ne laissait guère de temps pour s’instruire. Elle devait donc rattraper son retard.
Fatiguée, elle monta les escaliers menant à sa chambre. D’habitude, les pensionnaires se retrouvaient à quatre par chambre. Mais miss Kido n’était pas n’importe qui. Elle occupait bien une chambre de quatre mais elle s’y trouvait seule. Elle aurait préféré cohabiter avec d’autres jeunes filles mais elle n’osa pas contrarier le directeur qui pensait agir de la meilleure façon qu’il soit. Elle s’était donc abstenue.
Elle avança à pas feutré dans le couloir pour ne pas déranger les autres pensionnaires et ouvrit la porte de sa chambre. Elle déposa son cartable sur son bureau avant de commencer à se déshabiller. Elle ôta sa robe blanche restant en culotte et soutien-gorge de dentelle blanche. Elle déposa sa robe sur le dossier de la chaise de bois et regarda dans son tiroir afin d’attraper une chemise de nuit. Celle-ci était assez simple, blanche comme quasiment tout ses vêtements, en soie cependant. C’était une simple nuisette qui lui arrivait à mi-cuisses et deux fines bretelles la maintenaient sur le corps de la jeune déesse. Elle la jeta sur le lit avant d’ôter ses sous-vêtements qu’elle déposa également sur la chaise. Elle attrapa sa tenue de nuit et l’enfila.
Saori alla éteindre la lumière mais ne ferma pas les volets bénéficiant alors de la lumière de la lune. Elle s’immergea sous le drap de coton blanc et la couverture bleu réglementaire qui recouvrait tous les lits de l’internat. Elle était fatiguée mais avait aussi besoin de se détendre un peu. Elle repensa à Bleiz, le jeune homme avec qui elle avait perdue sa virginité. Il lui avait fait découvrir une nouvelle forme de plaisir. Assez vite le corps de miss Kido réagit aux pensées peu orthodoxes qui traversaient son esprit. Sa petite chatte commençait à s’humidifier. Sans autre forme de procès, elle glissa sa main jusqu’à son sexe et, cuisses écartées, commença à se masturber avec beaucoup de plaisir. Elle gémissait dans le silence de la nuit à chaque fois que ses doigts caressaient son petit bouton ou rentrait dans son vagin pour le caresser.
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Don était assigné aux dortoirs, comme d'habitude, cherchant de la bonne fille a rapter comme on en fait plus pour les revendre sur la place du marché de Nexus...Pour le moment Don soupirait, il n'y avait plus que des boudins, a croire qu'il avait volé toutes les bonnes, ou alors ne les avait pas encore croisé, assis derrière un bureau, un mug de café a la main, celui ci écoutait le foot a la radio, l'équipe française se ridiculisait en faisant la grêve et se prenait une dérouillée sans précédent...Ha ha ha ha, ces français n'étaient bons que pour râler et se cacher. Les japonais en revanche eux étaient plus droits, plus stricts, ce ne serait pas le genre de chose qu'ils feraient. Alors que son esprit était occupé a autre chose, Don vit quelqu'un passer devant l'office du surveillant et il ouvrit la porte pour voir une silhouette féminine, et il ne fallait pas être Legolas pour voir que d'ici elle avait un corps sculptural exceptionnel. Don sourit d'un air lubrique. Il allait s'amuser un peu plus qu'il ne le pensait ce soir, il réunit ses affaires dans un petit sac et monta a la suite de Saori, il regarda la porte se fermer pour repérer la chambre avant de revenir a pas de loup a l'office des surveillants pour consulter son dossier...Alors dans cette chambre...
Saori Kido, petite fille de riche...Un visage a croquer...Et des mensurations également !Il aimait beaucoup les petites riches...Elles étaient généralement aussi ingénues que friquées, et il était du genre a prendre les deux chez une fille quand il lui rendait visite.
Il faut dire qu'ici Don jouait de sa position de surveillant intermitant pour avoir un accès illimité a ces dortoirs, aussi avança t'il jusqu'a la porte de Saori et frappa dessus.
"Miss Kido, puis je m'entretenir avec vous ?"
Lança Don en souriant, elle devait être en pijama, ou équivalent depuis le temps qu'il l'avait laissée là où elle était. Lorsque la porte s'ouvrit il lança
"Vous êtes rentrée bien après le couvre feu mademoiselle, je vais devoir vous demander de signer quelques papiers attestant de votre retard que j'enverrais a votre tuteur."
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Mademoiselle Kido s’apprêtait à jouir quand deux coups raisonnèrent à sa porte. Une voix d’homme se fit alors entendre :
« Miss Kido, puis je m'entretenir avec vous ? »
La jeune fille se redressa dans son lit de pensionnaire.
*Quoi ? A cette heure ? Mais qui est-ce ?*
Pour un peu, la demoiselle bien élevée aurait juré. Être interrompue ainsi, elle n’aimait pas ça du tout mais elle ne pouvait rien dire. Elle souleva drap et couverture et déposa ses petits pieds sur le planchet froid. Elle aurait bien mis quelque chose sur sa nuisette mais elle n’avait pas envie de perdre trop de temps à fouiller dans son armoire. Elle alla jusqu’à la porte et l’entrouvrit.
« Vous êtes rentrée bien après le couvre feu mademoiselle, je vais devoir vous demander de signer quelques papiers attestant de votre retard que j'enverrais a votre tuteur »
Au dire de l’homme, il devait s’agir du surveillant de l’internat. Elle était surprise de voir un homme aussi imposant. Il était très grand et assez massif. Pas vilain d’aspect. Elle lui sourit.
« J’étais simplement à la bibliothèque à travailler, monsieur. Je ne faisais aucun mal. Les papiers ne peuvent attendre demain matin. Il est bien tard et… je suis assez fatiguée »
Son ton n’était pas exigeant ou, à l’inverse, suppliant. Elle formulait juste une demande en bonne forme comme on le lui avait appris. Elle espérait bien ne pas avoir à suivre l’homme dans sa tenue surtout sans sous-vêtement et en état de légère excitation sexuelle.
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Don pouvait parfaitement voir celà, la vision de la jeune fille en nuisette ne sembla pas a première vue créer quoi que ce soit comme changement chez lui, mais en lui il exultait, et bientôt peut être pourrait il exulter EN ELLE. Tiens, il avait mangé un clown aujourd'hui, celle là c'était cadeau. Cette petite était foutrement bien foutue, et il esperait vraiment être le premier...Ca allait être difficile quand il allait s'appercevoir que ce n'était pas le cas. Don regarda les yeux de Saori, elle était surement sortie s'amuser...Ou peut être avait elle un amoureux...Ce qu'il n'aimait pas des masses vu sa jalousie naturelle.
"Vous avez largement dépassé l'heure a laquelle la bibliothèque est ouverte jeune fille."
Ce genre de fille était normalement naïve...Après tout il avait lu sur son dossier qu'elle avait fréquenté peu l'école publique avant Seikusu...Peut être arriverait il a la bluffer. Don la regarda dans les yeux et lui lança d'un air grâve.
"Vous feriez mieux d'obeir, car je sais très bien pourquoi vous êtes en retard jeune fille. J'en suis même parfaitement au courrant et votre statut d'héritière risque d'en prendre un serieux coup si ça se savait."
Mentit il en prenant un air grâve
"Sans parler de la réaction de votre grand père si il l'apprend."
Il esperait que la confiance de Saori la travaillerais assez pour céder...
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Au lieu de répondre à sa demande, l’homme prit un air dur et fachée comme si elle avait quelque chose de mal ce qui n’était pas du tout le cas.
« Vous avez largement dépassé l'heure a laquelle la bibliothèque est ouverte jeune fille »
Miss Kido tenta de se défendre mais n’eut guère le temps de dire quoi que ce soit, l’homme reprit la parole sur un ton toujours aussi dur.
« Vous feriez mieux d'obeir, car je sais très bien pourquoi vous êtes en retard jeune fille. J'en suis même parfaitement au courrant et votre statut d'héritière risque d'en prendre un serieux coup si ça se savait. Sans parler de la réaction de votre grand père si il l'apprend »
Là, la demoiselle était franchement interloquée.
*Pour qui me prend-t-il ?*
L’armoire à glace semblait sous-entendre qu’elle était sortie faire des bêtises ce qui était faux. Si l’occasion s’était présentée, elle n’aurait peut-être pas dit non, surtout si le garçon lui plaisait mais là, ce n’était pas du tout ça.
Elle ouvrit plus largement la porte, se tenant bien droite. Sa posture évoquait toute sa blesse. Ses yeux comme son visage étaient devenus beaucoup plus fermés. Il la traitait tout simplement de menteuse. Une honte pour elle !
« J’étais à la bibliothèque, monsieur ! Elle reste ouverte beaucoup plus tard pour les pensionnaires du lycée, vous devriez le savoir. Quand à mon grand-père, vous devriez savoir qu’il est décédé, il y a quelques années maintenant ! »
De doux, son timbre de voix était devenu ferme sauf pour les derniers où transparaissait la tristesse pour la mort de son grand-père.
*Il ne me croit pas ! Très bien ! S’il faut lui prouver mes dires !*
Sans faire plus cas de sa tenue ou de l’homme, elle sortit de sa chambre. Le fait d’être prise pour une affabulatrice était choquant pour elle. Elle referma la porte et tourna son joli visage vers son interlocuteur.
« Je veux bien signer tous les papiers que vous voulez mais je voudrais, avant que vous alliez vérifier la bibliothèque et ses horaires. De plus, j’ai signé avant de la quitter. Vous verrez donc l’heure sur la fiche, monsieur. Je ne mens pas, je ne mens jamais ! »
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Ca ne lui ressemblait pas de faire ce genre d'erreurs de débutant, il avait cru confondre cette petite idiote friquée mais il n'avait pas vu (surement distrait par ses miches) qu'il s'enfonçait en faisant celà...Un peu et il éclatait sa couverture. Don réfléchit pendant qu'elle lui répondait a une façon de retomber sur ses pieds. La jeune femme avait l'air outrée qu'il puisse sous entendre qu'elle ne soit pas a la bibliothèque, alors que ça avait été effectivement le cas...Malédiction. Cette erreur était vraiment trop bête, il venait de se donner un serieux handicap mais eh, on ne peut pas avoir de la chance a tous les coups, Don aux mots de Saori baissa un peu la tête. Il allait jouer le répertoire du coeur, celui qu'il détestait aborder.
"Oh, je suis navré. Je voulais simplement vous faire un peu peur pour que vous n'arriviez plus aussi en retard, je ne suis que surveillant intermitant vous savez. Il est important que je remplisse des quotas."
Lança l'esclavagiste qui allait se retracter avec élégance.
"Vous avez parfaitement raison, votre retard est justifié, je ne fais que débuter dans le métier, je vous prie de m'excuser."
Malédiction, au rythme ou ça allait il n'allait jamais se la faire...Il allait devoir trouver une solution rapide...
"Venez donc au bureau signer et je vous laisserais partir."
Il trouverais bien une solution là bas, il tourna le dos et s'en alla vers le bureau en reflechissant a un plan...
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Devant l’attitude de miss Kido, l’homme se rétracta et lui fit des excuses. Il semblait embarrassé et très mal. La jeune femme était bien loin d’être indifférente à ce type de repentir. Vu ce qu’elle avait fait pour la planète pendant deux ans, l’empathie et la compassion étaient deux sentiments bien connus d’elle. Elle se radoucit très vite et sourit au surveillant qui n’était vraiment pas à l’aise.
*Pauvre de lui ! J’ai été peut-être un peu dur ? Je n’aurai pas dû*
« Ce n’est rien. Tout le monde fait des erreurs, vous comme moi ! »
Toujours le sourire affichée sur ses lèvres fines et son visage de porcelaine, elle suivit l’homme au travers du couloir.
« Venez donc au bureau signer et je vous laisserais partir »
Toujours pieds nus, elle trottinait derrière lui. Ses pas étant plus grand que les siens et son allure plus pressée.
« Je vous suis monsieur »
Elle aurait bien voulue attendre demain mais inutile de contrarier encore cet homme. Il semblait assez honteux comme ça.
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Don n'allait pas aussi vite qu'il le pourrait, il se donnait du temps pour réfléchir. Evidement, il pouvait pousser Saori dans sa chambre, lui plaquer la tête dans ses draps et la violer jusqu'a ce qu'il en ait assez, mais déjà ce n'était pas son style, de un, de deux eh bien...Il voulait en faire son esclave, elle serait plus difficilement déplaçable une fois qu'il aurait fini de faire sa besogne...Malédiction il fallait trouver une façon de faire et vite...Il voulait...Il voulait s'amuser avec elle...Serrant les dents, il se dit que Saori était le genre d'étudiante a ne jamais avoir de problème avec l'administration...Peut être pourra t'il utiliser ça a son avantage...Souriant a nouveau ils passèrent devant l'office des surveillants ou Don entra, et se mit a fouiller dans ses tiroirs.
"C'est l'affaire d'une minute."
Fit il en faisant mine de chercher...Il grinça des dents...Cette petite garce avait eu pitié de lui, elle allait le lui payer, il pouvait voir qu'elle ne portait rien là dessous...Et il allait se venger...Finalement au bout de cinq minutes il lança
"Ah, je suis navré, il semblerais que le dernier surveillant de garde avant moi ait oublié le dossier des absence au lycée..."
Lança Don, le lycée n'était qu'a 500 mètres de l'annexe, dans une cour interieure, pas question de sortir donc dans la rue ni quoi que ce soit.
"Venez donc avec moi là bas..."
En théorie ça ne prendrais que quelques minutes...En pratique...Don fermerais la porte juste après la sortie de saori, pour ne pas que des étudiants en profitent pour une sortie nocturne dirait il...En réalité pour l'empecher d'aller plus loin, il fermerait aussi la porte du lycée a l'interieur de celui ci...Et là il commencerais le jeu
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Arrivée devant le bureau des surveillants, miss Kido s’arrêta juste après l’entrée. L’homme se mit à farfouiller dans une armoire métallique où devait être entreposé une grande partie des documents administratifs du lycée. Il lui demanda de patienter quelques minutes, le temps de retrouver le document nécessaire.
*Et bien ! Il n’a pas l’air bien dégourdit !*
Elle émit un léger rire cela n’avait rien d’une insulte. C’était juste une manière de dédramatiser la situation.
« Ahahahah… Ce n’est rien, prenez votre temps. Etant intérimaire, vous ne pouvez pas tout connaître surtout si vous débutez ! »
Quelque part, elle le trouvait assez attendrissant cette espèce de grand géant un peu maladroit. Il lui rappelait le chevalier du taureau. Ils avaient presque le même gabarit. Bien qu’Aldébaran soit une montagne de muscles, il était gentil et parfois un peu gauche, tout comme cet homme qui se retourna alors vers elle, toujours aussi gêné.
« Ah, je suis navré, il semblerais que le dernier surveillant de garde avant moi ait oublié le dossier des absence au lycée... Venez donc avec moi là bas... »
Les yeux de la demoiselle s’agrandir de surprise mais son sourire revint bien vite.
« Bien sûr, monsieur. Si cela peut vous aider, je vous suis ! »
Miss Kido ne se préoccupait plus ni de sa tenue, ni de son absence de chaussures. Elle voulait juste aider quelqu’un qui semblait en difficulté.
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Et là il la tenait...Même si elle criait dans le lycée le son de sa voix se perdrais au loin...Qui plus est il serait certain de rendre les choses bien plus interessantes...Néanmoins le manque de pudeur de Saori l'intrigua, elle n'était peut être pas finaude, mais quand même...Peut être venait elle de Terra, et possédait des pouvoirs de quoi l'anihiler de la surface de la terre ? Il essayerais de faire de son mieux. Don était grand, légèrement plus petit qu'Aldébaran tout de même, qui était une bonne grosse montagne de muscles comme on en fait plus, mais tout de même grand...Là où Aldé dépassait les gens de deux tête il ne dépassait don que de dix bon centimètres...Et ça ne changeait rien sur la taille de saori qui aurait bientôt a subir ses assauts une fois a l'interieur de l'établissement. Il se déplaça donc avec elle et la fit avancer dans l'école en pleine nuit, sans allumer les lumières qui évidement étaient coupées a cause du compteur d'electricité qui avait sauté. Il l'emmena jusque devant le bureau des surveillants et se tourna vers elle avant de lancer en souriant.
"Dites moi mademoiselle Kido, une question me taraude depuis un moment."
Il n'avait plus grand chose a faire des convenances a présent, il lança avec un fin sourire aux lèvres a l'héritière
"Celà ne vous dérange t'il pas de porter si peu de vetements? A vous promener dans cette tenue il pourrait vous arriver n'importe quoi si vous tombiez sur quelqu'un de mal intentionné."
Fit don en posant sa main sur son épaule d'un air paternel, annulant ainsi tout pouvoir qu'elle pouvait mettre a sa disposition, son sourire se fit alors pervers.
"Comme moi par exemple."
Fit il avant de saisir la nuisette et la tirer d'un seul coup pour l'arracher.
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La jeune fille, qui pouvait passer pour extrêmement naïve, suivit l’homme sans se poser de questions. Arrivés dans le lycée, il n’alluma pas les lumières mais la demoiselle se dit que la nuit, l’électricité était peut-être coupée au lycée afin de faire des économies, l’électricité ou plutôt juste les lumières. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent devant le bureau des surveillants, parfaitement identique à celui de l’internat. L’homme se tourna alors vers elle en souriant.
« Dites moi mademoiselle Kido, une question me taraude depuis un moment. Celà ne vous dérange t'il pas de porter si peu de vetements? A vous promener dans cette tenue il pourrait vous arriver n'importe quoi si vous tombiez sur quelqu'un de mal intentionné »
Miss Kido fronça ses sourcils aux lignes parfaites de la même couleur que sa chevelure particulière.
« Je ne comprend pas ? »
« Comme moi par exemple »
Sans la laisser essayer de comprendre davantage, il posa une main sur son épaule et tira un coup sec sur sa nuisette, la déchirant. Saori se retrouvait totalement nue devant le surveillant au regard bien moins amical. Dans un réflexe de protection, miss Kido croisa ses beaux bras blancs sur sa poitrine laissant son ventre, son pubis et ses jambes fuselées au regard pervers qui ne la quittait pas.
« Qu’est-ce que… Qu’est-ce qui vous prend ? »
Elle n’eut même pas le réflexe de s’enfuir ou plutôt elle ne chercha pas à s’enfuir. Elle restait juste là, toujours aussi droite, toujours aussi en phase avec ce qu’elle était. Elle n’avait pas fuit devant des dieux et la mort, elle n’allait pas fuir devant lui.
« Pourquoi avez-vous fait ça ? »
Elle cherchait à comprendre pourquoi il avait agi ainsi. Pour n’importe qui, la demoiselle passerait pour une personne à l’esprit dérangé pourtant il n’en était rien. Elle cherchait simplement à comprendre l’esprit humain et celui de cet homme en particulier.
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"Pourquoi?"
Lança Don en avançant vers Saori, un sourire étincelant sur la figure. Il savait déjà la réponse a cette question, quand on était dans le métier depuis bien quinze ans, on l'entendait beaucoup, généralement de jeunes filles comme elle, et la réponse était toujours la même, peu importe la victime, peu importe la situation, le regard lubrique de don qui se plaisait a toiser Saori comme on regarde un meuble en solde qu'on était sur le point d'acheter parla de lui même, mais néanmoins la réponse vocale semblait indispensable a la jeune femme, aussi répondit il sur un ton amusé.
"Pourquoi pas ?"
Don s'avança vers Saori d'un air intimidant, utilisant sa taille pour établir sa supériorité sur la jeune fille, bien sur, il se préparait a toute attaque de la part de Saori, comme un coup de pied ou quelque chose qui l'empecherais de façre ça, le but était de la coller contre un mur et qu'elle soit impuissante...Don eut un sourire
"Vous êtes trop naïve miss Kido, il y a des centaines de raisons pour lesquelles je pourrais faire ça, comme le ton sur lequel vous vous êtes adressée a moi quand nous nous sommes vu, la façon désinvolte que vous avez de vous afficher ainsi, votre fortune...Mais franchement, sur le moment, c'est juste que j'en ai envie."
Lança Don alors qu'il posait ses mains sur ses épaules, raffermissant a nouveau le contact annulateur
"A présent il y a deux choses possibles ma chère, soit vous savez parfaitement ce qui va suivre, soit vous ne le savez pas, et je serais ravi de vous l'apprendre."
Il se plaqua alors sur elle et força un baiser, saisissant ses poignets et les plaquant contre le mur pour la forcer a le prendre
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Le surveillant avançait, avec un sourire mauvais aux lèvres, vers la jeune fille qui instinctivement se mit à reculer.
« Vous êtes trop naïve miss Kido, il y a des centaines de raisons pour lesquelles je pourrais faire ça, comme le ton sur lequel vous vous êtes adressée a moi quand nous nous sommes vu, la façon désinvolte que vous avez de vous afficher ainsi, votre fortune...Mais franchement, sur le moment, c'est juste que j'en ai envie »
Les lourdes mains se posèrent sur les frêles épaules de nacre de la demoiselle la clouant au mur. Un mur de béton, froid, glacial, dans le dos de la jeune fille. La peinture blanche ne le réchauffait pas. Saori sentait des morceaux de textures différentes, des affiches en papier glacé probablement mais cela non plus ne la réchauffait.
Les yeux de l’homme étaient déterminés et elle savait très bien ce qu’il voulait. Bizarrement, elle ne chercha pas à se défendre. Il lui rappelait son majordome. Ils ne se ressemblaient que peu. Leurs seuls points de ressemblance étaient leur taille, leur stature et surtout la manière d’imposer leur autorité sur elle dans le domaine particulier du sexe.
Tatsumi l’avait rendu docile pour ça et lui avait fait aimer le sexe. Du coup, ce n’était plus une contrainte pour elle et l’autorité était alors acceptée naturellement et même avec un certain plaisir.
« A présent il y a deux choses possibles ma chère, soit vous savez parfaitement ce qui va suivre, soit vous ne le savez pas, et je serais ravi de vous l'apprendre »
Il avança encore et s’empara de sa bouche tout en relevant ses poignets. Sa langue la pénétra et elle ressentit la même chose qu’avec Tatsumi, la force brute. Là, il n’y avait aucune douceur alors que le majordome en mettait mais miss Kido ne s’en formalisa pas. Elle se laissa faire pendant quelques secondes avant que sa langue aille caresser celle de son agresseur. Ses seins commencèrent à se tendre alors que son sexe s’excitait. Il était en manque du plaisir qu’elle n’avait pas eu le temps de se donner.
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Don se dégagea après l'échange, elle s'était laissée faire, comme le faisait la plupart de ses victimes lorsqu'elles pensaient qu'il les lacherais une fois qu'il verrait qu'elle n'était plus qu'une poupée de chiffon, ça ou alors...Il sentit la langue répondre a son baiser et il sut tout de suite que cette fille n'était pas vierge, elle ne l'était surement plus depuis un moment si elle répondait au baiser d'un violeur...Il allait être dur de laisser sa marque s'imprégner sur elle définitivement puisqu'il n'était pas le premier. Il ne prendrais jamais completement possession d'elle comme il le voudrais...Mais ce n'était pas si grave. Comme il ne pourrait pas posséder son esprit, il posséderais son corps, puis il posséderais sa richesse. Il en ferait sa chose, soumise et consentante le temps d'accumuler tout ce qu'elle pouvait lui donner, puis, comme une brique de jus de fruit préssée jusqu'a ce qu'elle ne puisse plus rien fournir, il la jetterais...Ou dans le cas présent la vendrais, la jeune femme était plus que prête a fournir une grosse somme d'argent, elle avait été dotée par la nature de beaux atours après tout.
"Je vois."
Fit il en se relachant d'elle alors que d'un coup sec il passait une main entre ses jambes et y inserrait un de ses gros doigts. Prenant sa température tout en empoignant de son autre main un de ses seins et se mettant a le pétrir puissament.
"Tu apprécie surement d'offrir ton corps au moindre garçon que tu croise Miss Kido. Eh bien sache une chose, les garces dans ton genre ne méritent qu'une seule place dans la société : Celle d'esclaves dévouées a satisfaire leur maître, nous les hommes. A partir de ce moment tu vivra pour servir le sexe fort, et tu obéira aveuglement a chacun de mes ordres. Sinon je serais parfaitement capable de te briser la nuque, mais ça sera trop doux comparé a tout ce que je te ferais subir. Est ce clair ?"
Il avait abandonné le vouvoiement pour bien montré qu'elle ne méritait plus un tel traitement de faveur et s'aventura a entrer un second doigt dans son intimité sans prévenir.
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Le surveillant finit par la relâcher et la darda de son regard terrible. Il fit alors descendre sa main, la faisant passer sous sa nuisette et enfonça un doigt en elle, la laissant osciller entre plaisir et surprise. Sa sœur jumelle alla palper un des seins tendus rajoutant au plaisir qu’elle prenait.
Par contre, elle n’apprécia pas le discours. Elle ne s’était pas offerte au premier venu jusqu’à présent. Là, elle s’était laissé faire parce qu’il représentait l’autorité que lui avait imposé Tatsumi mais elle n’était pas prête à se laisser faire par tous les hommes. Du moins c’est ce que la demoiselle pensait.
« Je ne… je ne suis… pas une esclave ! »
La déesse avait du mal à parler et tentait de réprimer un gémissement alors qu’un deuxième doigt venait pénétrer son sexe trempée. La cyprine devenait abondante sous l’excitation qu’il provoquait.
*Je ne suis pas une esclave… non, je ne… ne suis pas comme ça !*
Miss Kido tentait de se convaincre de ça alors que le plaisir devenait plus intense, plus présent et l’envie, impérieuse.
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Don sourit tristement. Le travail était déjà fait, il doutait que la personne qui soit passée avant lui lui ait inculqué une telle addiction au sexe. Saori devait l'être de manière toute naturelle. Il était juste arrivé au bon moment pour s'emparer de cette petite idiote et s'approprier tout ce qu'elle avait, la sucer jusqu'a la moelle. L'esclavagiste décida qu'il devait faire quelque chose de Saori...Et il sut exactement quoi.
"Oh, vraiment ? Tu n'es pas une esclave ? Excuse moi j'ai un peu de mal a le croire vu que tu ne semble pas réticente a te faire violer ici et maintenant par un inconnu bien plus agé que toi."
Il saisit Saori par les cheveux de manière brutale et l'attira a lui avant de la placer sur son épaule, la portant comme un sac a patattes. Il savait exactement où aller. Poussant une porte il déposa Saori dans une salle noire sur ce qui devait être une sorte de canapé, il se tourna alors vers les ténèbres et se mit a chercher quelque chose.
"Ah, le voilà."
Fit il avant de se tourner vers Saori et d'ôter son pantalon, laissant appercevoir une imposante verge qu'il prit en main pour la tendre au niveau de la bouche de la déesse.
"Je ne devrais pas avoir a te faire de déssin Miss Kido."
Fit il en titillant la joue de la jeune femme avec son extrémitée.
"Fait "Aaaaaaaa"."
Lança Don qui s'improvisait Médecin
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L’homme n’était pas d’accord avec elle et miss Kido ne pouvait lui donner totalement tort.
« Aiiiiiiiiiie !!!! ahhhhhh, vous me faites mal ! »
Il la tirait par ses longs cheveux mauves sans aucune délicatesse avant de la flanquer sur son épaule de rugbyman.
« Laissez-moi descendre »
Elle agitait ses petites jambes mais elle n’avait aucune chance face à lui. Sans compter qu’elle n’y mettait pas beaucoup de volonté. La demoiselle se doutait bien de ce que ce sale type comptait faire et ça l’excitait. Il entra dans une salle sombre et elle se sentit être lâchée sur une sorte de canapé. Elle se recroquevilla un peu avant d’entendre le bruit d’une fermeture éclair et de boutons. Envoyant la verge tendue vers elle, la demoiselle se doutait bien de ce qu’il avait fait.
Don avança sa queue imposante vers la bouche de la jeune fille de bonne famille qui avait son sexe trempée d’envie pour un parfait inconnu qui voulait juste abuser d’elle. Elle regarda un instant le gland à quelques millimètres de ses lèvres fines. Elle se mordit la lèvre mais il agita un peu son membre devant elle comme un sucre devant un chien, une chienne là bien sûr. Et, comme une chienne bien dressée, elle capitula sans même combattre. Son envie était trop forte. Elle ouvrit prestement sa bouche et avala la queue au plus loin qu’elle pouvait aller. La déesse se mit à faire des va-et-vient lent et profond. Parfois, elle sortait totalement le phallus pour venir lui donner des coups de langue. Une de ses mains vint caresser les bourses du surveillant alors que l’autre se glissait sous sa nuisette pour aller caresser son sexe excité et humide.
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Sans surprise, elle le pris en bouche et se mit a le lécher, il n'avait rien a lui dire, une vrai professionnelle de la fellation. Don lança avec un sourire amusé a sa captive
"Tu n'est pas une esclave, et pourtant tu obeis alors que rien ne t'empeche de me désobeir ? Tu es déjà completement accroc au sexe ma petite, tu sais que tu aime ça, et que tu en mourrait si je ne te donnait pas ce que tu veux maintenant. Alors le reste est il important ? L'important n'est il pas de satisfaire ton propre plaisir et être heureuse? Deviens une esclave, deviens une chienne a mon service, je t'offrirais un bonheur qui ne se finira jamais, dans la servitude et la soumission."
Il saisit alors sa tête des deux cotés et se mit a l'enfoncer sur son sexe, commençant a lui imposer son rythme en lui baisant littéralement la bouche, a chaque fois qu'il enfonçait son sexe en elle elle avait l'impression que des flash explosaient dans sa tête. Finalement Don se cambra un peu et accellera le rythme, d'un coup il jouit dans sa bouche, remplissant celle ci d'une large coulée de sperme
"Avale tout et dis moi ce que tu pense du gout de ton maître, esclave."
Don se retira, son sexe pendait a présent, vidé de sa vitalité. Il était du devoir de Saori de faire quelque chose...
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Concentrée sur le membre de Don, la jeune fille ne prêtait que peu d’attention à ce qu’il disait ; Tout ce qui l’intéressait était dans sa bouche. C’était certainement navrant pour une déesse mais, sortit de ses obligations divines, elle avait le droit de faire ce qu’elle voulait et si elle aimait le sexe qui est-ce que ça pouvait gêner ? Ses chevaliers, oui, ils risquaient d’être choqués mais bon, il y avait peu de chance qu’ils soient au courant quand aux autres personnes de son entourage, il n’y avait que Tatsumi. Son majordome ne se plaiderait pas de ça et en profiterai aussi vu que c’est lui qui l’avait initié à tout ça, lui qui lui avait fait aimer le sexe. Alors pourquoi s’en priver ?
Miss Kido accentua ses mouvements mais Don s’empara de son petit crâne et lui imposa son rythme, faisant aller son phallus jusqu’au fond de sa gorge. Cela lui faisait un peu mal mais elle se plia à ses exigences comme elle l’aurait fait avec Tatsumi. La bave coulait de sa bouche à chaque que la verge coulissait dans sa cavité buccale. Son sexe lui aussi relâchait un peu de cyprine sur le tissu du canapé et tressaillait d’envie à chaque mouvement de bassin du faux surveillant.
Le rythme s’accentua et l’homme éjacula dans sa bouche, lui ordonnant de tout avaler. Saori s’exécuta et avala le liquide séminal. Ses doigts recueillirent le jus d’homme qui avait réussi à s’échapper de sa bouche pour l’y remettre. Une fois tout bien avalé, elle se pourlécha les lèvres comme une chatte, ses babines pleines de lait. Le membre était à présent au repos mais couvert de sperme. La jeune fille en nuisette se pencha et la langue reprit son ouvrage de nettoyage alors que sa mouille continuait de tâcher le canapé.