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Yéntimë venait de dormir un très long moment dans une cabane caché dans les profondeurs du pars, on avait beau dire que c'était un parc, il était suffisamment grand pour cacher un cabanon, de la vue des gens, c'était une de ses résidences, quand il n'y avait pas quelqu'un d'installé avant elle.
Elle prit ses affaires et alla, sans la moindre gêne d'être nu, vers le lac. Il faisait nuit et la lune était déjà loin dans sa course perpétuelle.
Aussi elle passa une bonne heure à nager dans l'eau glaciale du lac en chantonnant des chansons elfiques, cela apaisait son coeur en se disant que son chant serait emprisonné dans chaques branchages des arbres et que la nature transmettrait son chant aux membres du village quo l'a élevé. Elle en profita pour échauffer doucement sa voix et se mouvoir dans l'eau, sentant l'eau frôler sa peau, c'était un moment magique où elle se sentait proche de la nature et loin de la ville, car elle était assez mal à l'aise de la pollution, le bruit et même la violence que les humains font preuve envers leurs égales.
Une fois sa baignade finit et propre, elle enfila les vêtements, qu'elle avait lavé au savon la veille. Elle commença par une culotte noire, un débardeur de la même teinte, ensuite vint un jean sombre, retenue par une ceinture avec comme décoration de l'attache une étoile, une chemise rayé rouge et vert avec des lignes dorée, une veste noire par-dessus et une paire de chaussure basse noire. Elle n'avait rien volée, c'était des passants riches qui avaient eu l'idée de la rendre plus présentable et donc, elle prenait extrêmement soin de ses uniques affaires.
Une fois cela fait, elle partie prendre sa guitare, dont elle vérifia le sons de chaques cordes, changeant légèrement le son pour que l'accord des cordes soient parfaite.
Enfin elle partie vers lee centre commerciale, elle y allait souvent, car les pauvres et les SDF aimaient l'entendre chanter, cela apaisait leurs peines et la douleur de la journée. Elle passa par divers chemins, rendant les salutations que l'on se permettait de la faire.
Elle arriva devant les porte du centre commerciale, qui était fermé, mais c'était l'endroit idéale pour faire de la musique, il n'y avait pas d'autre bâtiment à moins de cinquante mètre, cela permettait de grand rassemblement et offrait au chant de Yéntimë toute la force qu'elle met dans sa voix.
ma demoiselle posa ses fesses sur un des bancs puis se mit à chanter, accompagné de sa guitare.
Il n'y avait pour l'instant personne dans les environs et personne n'appellerait la police, le demoiselle chantait trop bien pour qu'une personne ose briser cette douce mélodie.
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Le don de Yéntimë était fabuleux, et, telle une incarnation divine, personne ne penserais a empecher cette personne de chanter, personne ne penserais a arrêter ce qui était de la musique pure, sans fioriture aux oreilles des gens...C'était tellement beau, pourquoi vouloir faire du mal a quelque chose d'aussi pur, d'aussi doux?
Le mal est présent en tout être depuis le début des temps, et chaque être assez intelligent pour bien servir la cause du mal sait ce qu'il peut tirer de tout avantage. Pourquoi se contenter d'écouter les offrandes de Yéntimë a la chanson l'espace d'une nuit quand on pouvait la posséder a jamais et faire payer les autres pour l'écouter ? Le serpent avait repéré sa proie et s'avançait vers elle silencieusement. Comme le prédateur tapi dans l'herbe observant la biche se désaltérer au ruisseau, Don observait et reflechissait. Le principal défaut du don de Yéntimë était qu'il attirait irrémédiablement les gens par sa beauté. Aussi il attirait également les personnes pleines de mauvaises intentions.
Il avait entendu parler depuis quelques temps d'une jeune fille a la voix d'ange qui chantait parfois dans les quartiers de la toussaint. Pour entendre cette rumeur aussi vite et de manière aussi répétée, il avait lancé immédiatement des recherche et localisé l'endroit de sa prochaine représentation a laquelle il était venu tout naturellement assister. Yéntimë arriva alors et Don sourit, une fille pas encore femme a la voix d'un ange capable de charmer toute une troupe de badauds...Ses affaires allaient en prendre un sacré coup, c'était le genre d'écrin qu'il ne fallait pas hésiter a mettre a son doigt, de peur qu'un autre le fasse. Parmi la foule de badauds et de SDF se trouvait un homme, forcément visiblement parmi tous les japonais se trouvant là par son teint de peau, sombre facilement visible a la lumière des reverbères, montrant qu'il était un occidental, et par le fait que cet occidental mesurait bien deux mètres de haut et semblait plutôt puissament musclé, il portait une chemise, un pantalon et un sac sur son dos. Ses yeux noirs étaient empli d'une puissance qui ne quitta pas des yeux la représentation.
Alors que Yéntimë commençait a chanter de nouveaux indices vinrent a l'esclavagiste, premièrement cette langue, il ne la reconnaissait pas, il en déduit donc immédiatement, comme il l'avait alors jusque là supposé, que Yéntimë était une Terrane, voire une ESper disposant d'un pouvoir de fascination, car effectivement sa musique était fascinante, il ne pourrait agir avant qu'elle aie fini. Mais il n'avais jamais prévu d'agir avant qu'elle aie fini de toute façon...
Assis en tailleur, il écouta la sérénade sans mot dire, attendant que Yéntimë eut fini son chant pour finalement se lever et se diriger vers elle, comme surement certains de ses admirateurs avant lui, attendant patiement son tour pour tendre une grosse main vers l'humaine.
"Bonsoir mademoiselle, je me nomme Dorian Garan, j'ai écouté votre représentation et je dois avouer que les question que j'aimerais vous poser a propos de celle ci se bousculent dans mon esprit les unes après les autres. Je suis producteur pour Universal actuellement en visite au japon, puis je vous offrir un verre?"
Il pensait qu'il lui parlerais chinois avec ce qu'il lui disait a propos d'un producteur d'universal, néanmoins si Yéntimë avait des connaissances dans le monde de la Terre, ce qui était arrivé plus d'une fois lors de ses chasses, elle pourrait alors comprendre pourquoi un occidental, chose assez rare, se trouvait au japon pour une de ses représentations.
Le piege avait été posé et la perdrix était dans les environs...Allait elle mordre?
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Elle continua de chanter un long moment, voyant de plus en plus de gens affluer pour entendre sa voix, pour Yéntimë c'était un moment magnifique, car elle chassait la peine des gens, ainsi que leurs envies de vengeance.
Elle constata aussi la présence d'une droguée qui était en cure actuellement et qui était souvent présente à ses représentations, sans doute pour tenir le coups et sortir de l'enfer. Elle chanta dans l'ancien langage des elfes, chose que tout elfe se devait d'apprendre en premier.
Yéntimë laissa parler son coeur et son chant atteint son apogée, Elle vit certaine personne avoir des larmes de joie. Il était vrai que son chant aurait put arrêter une armée partant en guerre. Mais vint un moment où sa voix donna quelque signe de faiblesse, le son ne changea pas, mais la demoiselle sentait en elle qu'elle atteignait sa limite.
Elle regarda le ciel et vit qu'il y avait bien eu deux heures de passé depuis le début de la chanson, elle avait fait plus long que d'habitude, mais sourit à ses interlocuteur
Il y eut près d'une dizaine de personne qui vint voir la chanteuse pour la remercier de se moment magique, certain voulurent donner de l'argent, mais Yéntimë refusa de se faire payer pour se genre de chose, certain donnèrent des aiguilles et une bobine de fil noire, chose que la chanteuse accepta.
La demoiselle vivait des moyens du bord et non de l'argent, c'était un mode de vie peu banale.
"Bonsoir mademoiselle, je me nomme Dorian Garan, j'ai écouté votre représentation et je dois avouer que les question que j'aimerais vous poser a propos de celle ci se bousculent dans mon esprit les unes après les autres. Je suis producteur pour Universal actuellement en visite au japon, puis je vous offrir un verre?"
Yéntimë regarda le producteur et vit tous de suit qu'il n'était pas du pays, un étrangers ? sans doute, par contre il n'était pas le premier à avoir voulut acheter sa voix. Mais elle se montra courtoise.
- J'accepte volontiers de répondre à vos questions, par contre je vous le dit maintenant, je ne vendrais ma voix et mes chansons à aucun prix.
Yéntimë prit sa guitare et se leva, attendant d'être conduit à un bar, un restaurant ou tout autre endroit. La simple phrase qu'elle avait dit donnait des indices pour comprendre qu'elle était altruiste et ne pensait pas à elle ou très peu.
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Vendre ? Qui parlais de vendre ? Ah, oui. Sa propre vente lui ferait gagner des milliers de pieces d'or mais elle ne toucherais rien. Il esperait que les badauds avaient apprecié le spectacle, ce serait le dernier qu'ils entendraient avant un moment, si quelqu'un devait vendre la voix de Yéntimë, ça serait lui, et ça serait lui qui en tirerais les bénéfices. Don eut un sourire entendu quand il entendit la réponse de la jeune femme, il se fichait bien de ses raisons ou de son code de conduite, tout ce qu'il voulait c'était qu'elle le suive, et pour le moment elle le suivait, donc il pouvait toujours trouver un moyen de l'entourlouper, tant qu'il parlait, il pourrait la bluffer, c'était là sa grande force.
"Je peux comprendre celà, vu la qualitée de votre prestation, mais peut être pourrions nous trouver un arangement ? Vous savez, organiser des concerts pour que celle ci se répende ou peut être déverser les bénéfices éventuel d'un disque a des associations carritatives, quoi qu'il en soit ma maison est a quelques pas d'ici, je vous en prie suivez moi."
Des oeuvres carritatives, ça lui donnait envie de vomir, toute cette mievrerie bienfaisante, si tu veux faire le bien, alors trouve toi même l'argent, c'était son moto, tout ce qu'il avait il avait du travailler pour l'avoir, et si il avait Yentimé ce soir, il l'aurait parce qu'il avait travaillé pour l'avoir, et pour aucune autre raison. La perdrix était férée...Il n'y avait plus qu'a refermer le piege sur elle...Pour ça un peu de patience serait nécessaire. Pendant qu'ils marchaient, il continua a lui parler, c'était très important pour conserver le lien social entre eux et l'empecher de penser.
"Vos chants sont divins, mais je n'ai pas pu reconnaître la langue dans laquelle vous le faisiez, peut être pourriez vous m'en dire plus ?"
Allait elle admettre de pied en cap d'être de Terra ou bien allait elle mentir ? Il était curieux de voir celà
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La demoiselle suivit Don, saluant une dernière fois les personnes et promettant à ses personnes de revenir demains soir près de l''ancien musée. Elle était comme ça, joyeuse et pleine de vie, chose qui manquait à la plupart des auditeurs de ses chansons.
Elle entendit le producteur proposer un arrangement pour avoir sa voix, utilisant l'appât du gain, même si la demoiselle était altruiste, elle n'allait pas tomber dans le panneau, elle savait pertinemment que tout ce qui l'intéressait c'était sa voix et non sa corpulence ou ses désirs personnel, pour peu qu'elle en ai vraiment.
"Vos chants sont divins, mais je n'ai pas pu reconnaître la langue dans laquelle vous le faisiez, peut être pourriez vous m'en dire plus ?"
Elle avait écouté d'une oreille, observant les immeubles, les animaux nocturnes et le ciel, le ciel ne changeait pas énormément entre les bois et une ville, toujours aussi sombre et parsemé d'étoiles. C'était son seul repère dans la ville.
Yéntimë ne supportait pas de devoir rester trop longtemps entouré de construction urbaine, elle appréciait davantage la nature que ce que les humains créait, sans doute son passé auprès des elfes.
- ... Ha .... Excusez moi, j'avais la tête ailleurs. Vous vouliez savoir la langue que j'utilise ? C'est ma famille qui me l'a apprit, mais ils m'ont fait promettre de ne le divulguer à personne. C'est donc un secret que vous ne pourrez pas percer.
Elle n'avait pas mentit, elle respectait le serment de vérité et mentir même envers un oiseau aurait été un sacrilège.
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Entre les bois et la ville le ciel n'est pas pareil du tout. En effet les éclairages urbains et les gaz d'échappement couvraient la voie lactée ce qui faisait qu'on ne pouvait pas voir les étoiles briller dans le ciel...Ce qu'on pouvait parfaitement faire en campagne en revanche...Pour quelqu'un comme une enfant adoptée par les elfes, elle était bien distraite...C'était cette attitude qui allait la plonger droit dans le piege. Elle lui lança qu'il s'agissait d'un secret de famille. Don hocha la tête silencieusement, elle venait de répondre a sa question. Aucune langue, morte ou vivante n'était un "secret de famille", et une consonnance telle que celle ci il n'en avait jamais entendue. Par conséquent elle venait de Terra, peu importe du peuple.
"Je vois."
Fit il laconiquement avant d'ouvrir la porte de son chez soi, ou plus précisement sa base : une boutique d'antiquitées se trouvant dans le quartier de la toussaint, il pourrait sembler étrange pour un producteur de vivre dans une boutique d'antiquité, mais Don avait une explication toute faite, néanmoins il ne la dirait pas a Yéntimë tant qu'elle ne le lui demanderais pas. Se justifier ainsi alors qu'elle n'avait rien demandé le ferait paraître suspect. Il referma naturellement la porte derrière lui et l'invita a s'asseoir sur la table du salon alors qu'il se dirigeait naturellement vers la cuisine
"Que désirez vous boire ?"
Lança t'il, continuant a jouer la comédie pour le moment tandis qu'il se préparait un café
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Yéntimë eut le droit de découvrir le lieu de travaille de Don, bien sûr cela la titilla un peu l'esprit, en quoi un magasin d'antiquité pouvait être un studio de producteur ? Elle décide que la question aurait été trop osé à ce moment là et elle préféra reporter la question pour plus tard.
La chaise où elle posa ses fesse la fit du pied, sentir de ses main le contact du bois était apaisant, sans compter que dans l'air il y avait une très légère sentir végétale que bien des humains n'auraient pas sentit, mais pour une fille ayant côtoyée la nature, il aurait été insultant de passer à côté.
"Que désirez vous boire ?"
Elle regarda des sculpture en bois et répondit avec sa voix douce de manière naturelle.
- De l'eau ou du thé si vous avez de vrais feuilles à infuser et non les feuilles vendues en super marché.
Elle savait pertinemment que cela était plus cher du fait que cela était naturel. Yéntimë observa les objets dans le salon, étant beaucoup plus intéressée par tous ce qui touchait à la nature, par la représentation ou le matériaux, elle se leva et s'approcha d'une peinture représentant une danse des elfes, cherchant les défaut de la peinture, les oreilles étaient trop caricaturées, tous comme la danse manquait de vie, ce n'était pas une danse elfique, juste une danse que les humains prenaient pour elfique. Elle murmura.
- Les bras sont trop raide et le dos des femmes ne montre pas la souplesse d'une elfe.
Elle n'avait pour l'heure pas fait la moindre attention à Don, dès le moment où elle avait regardée la peinture, elle c'était retrouvée dans une bulle où rien ne pouvait pénétrer.
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Mouais. De ce qu'il pouvait en voir depuis la cuisine, la jeune fille semblait très facilement être une elfe, sous déguisement humain surement, une sorcière qui pensait que son comportement importait peu puisqu'elle ressemblait a une humaine. Il allait lui faire payer son arrogance un peu plus tard, néanmoins il se dit qu'il n'allait pas droguer la boisson, ce n'était pas nécessaire puisque Yéntimë était déjà chez lui et qu'en plus elle risquait de le sentir. Il avait effectivement du thé, mais en sachet de supermarché et rien d'autre, ses clients n'étaient en règle général pas trop regardants là dessus. Il lui servit donc un verre d'eau comme elle le lui avait demandé et vint s'asseoir, son café devant lui. Il allait passer a une de ses phases préférées dans la capture : la parlotte avec la proie qui ignore qu'elle en est une. C'était un des instant les plus importants dans la capture, car pendant sa captivité, la proie se remémorera cet instant et se demandera pourquoi elle ne s'est pas enfuie a ce moment là, ajoutant un peu de saveur a l'enfermement.
Don se posta devant l'elfe, lui tendit son verre d'eau et lança
"Ma foi je n'en sais rien a vrai dire, il s'agit de la boutique de mon frère, en ce moment en voyage, je l'occupe simplement le temps de ma venue au japon, les frais d'hotels sont outrageux."
Lui lança t'il en portant son café a ses lèvres avant de lancer
"Nous irions peut être plus vite si vous me disiez exactement ce que vous attendiez de moi dans l'optique d'une diffusion a haute échelle de vos chants, mais tout d'abord, quel est votre nom mademoiselle ?"
Aurait elle le culot de donner son nom elfique ou bien un pseudonyme?
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Yéntimë vit sa bulle exploser au moment où le verre se montra en face d'elle en plus de Don, autant dire que la demoiselle ne parut pas le moins du monde interloquée. Elle le saisit et se mit sur la chaise qui lui avait été désigné il y a peu.
Elle écouta la remarque de son interlocuteur, sur le pourquoi de ce lieu, cela semblait crédible aux oreilles de la demoiselle.
Yéntimë prit une gorgée l'eau, sentant tous de même la différence avec de l'eau de la rivière bordant sa village natal. Mais boire était important pour tout être vivant, même la plus basique.
"Nous irions peut être plus vite si vous me disiez exactement ce que vous attendiez de moi dans l'optique d'une diffusion a haute échelle de vos chants, mais tout d'abord, quel est votre nom mademoiselle ?"
La demoiselle se mit à réfléchir, une personne classique réfléchirait à la première question de Don, mais l'humaine chercha un moyen de ne pas révéler son identité, elle l'avait fait une fois et cela avait tourné au vinaigre. Aussi elle choisit le silence et changea tout bonnement de sujet.
- Je ne compte pas faire partie d'une de vos stars ou quoi que ce soit d'autre, je vis suffisamment bien pour ne pas avoir à me plaindre. L'argent ne me sert que très peu, juste pour subvenir au minimum vital. La notoriété m'importe peu, je préfère rester comme ça que devenir hautaine et égoïste, en ayant dans mes mains de l'argent que je ne juge pas mien.
La demoiselle but un peu de son verre d'eau pour se calmer, il ne fallait pas qu'elle dérape, elle savait qu'elle n'était pas sur Terra, mais qui ne disait pas que les Terrans n'étaient pas aussi dans se monde. Aussi elle prit les devant en finissant son verre.
- Je dois faire des choses importante, aussi veuillez m'excuser de devoir partir aussi vite.
Elle ne mentait pas, encore une fois, la demoiselle devait effectivement retourner dans les bois pour aller se blottir contre un arbre centenaire et faire un petit somme, en attendant que le jours pointe vraiment et l'horloge solaire indique sept heure.
Elle commença à se lever et salua Don en courbant l'échine, mettant bien à vue la nuque de la demoiselle.
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Don sourit doucement alors qu'il finissait de boire son café et posait délicatement la tasse dans la soucoupe, les jambes croisées, ses yeux noirs comme la nuit dans ceux de Yéntimë semblaient l'écouter avec attention mais également la fixer de manière intense, comme si elle était le centre de son attention pour le moment, ce qui était normal quand on avait une conversation, une personne bien éduquée regarde l'autre dans les yeux. Et son léger sourire montrait qu'il voulait se faire concilliant. Sa question se retrouva sans réponse, et Don sentit qu'elle reflechissait a un moyen de ne pas se trahir, finalement elle détourna la question et répondit a coté, ce que Don continua a argumenter de son coté.
"Vous vous faites une vision un peu négative du domaine de l'industrie musicale non ? Les petits commerces sont ils forcement plus francs que les gros ? Ce n'est pas parce qu'on est pauvre qu'on est honnète, mademoiselle. Et nous sommes avant tout des mélomanes, vous remarquerez que vous êtes la seule a ramener toujours la question de l'argent et de la célébrité sur le tapis. Ne trouvez vous pas celà quelque peu présomptuex ? Vous attendez vous a ce point que votre disque soit un succès ?"
Don venait de la remettre a sa place en lui disant très clairement ceci : Elle se prenait trop pour une star. Si ça se trouve personne n'acheterais ni place de concert ni disques et elle resterait dans l'anonymat.
"Je vous parle de diffuser votre art a travers d'autres vecteurs, pour atteindre plus de personnes, il serait criminel de ne pas faire profiter de votre voix d'autres personnes, pourquoi ne pas le prendre de cette façon là ? Tout n'est pas blanc et noir vous savez..."
Après tout ce n'était pas parce qu'il représentait une sociétée connue dans le monde entier qu'il était forcement un salaud malhonnete et corroumpu a première vue. Elle lui lança qu'elle devait s'éclipser. Don avait déjà vérouillé la porte, si il le souhaitait il pouvait déjà commencer a prendre possession de Yéntimë et la faire sienne. Il eut néanmoins une idée plus originale : La suivre jusqu'a sa forêt. Comme pour Don, Yéntimë était une elfe elle allait retourner près des siennes dans peu de temps, et donc il l'attraperais a ce moment là avec ses congénaires.
"Naturellement, permettez vous que je vous raccompagne ? Les rue ne sont pas sures a cette heure."
Cette question était plus une formalité qu'autre chose, si elle refusait il la suivrait discrètement, son nez et ses sens elfes seraient brouillés par la pollution et le bruit de la rue, il pourrait donc la prendre en filature
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La demoiselle hocha négativement la tête.
- Je vous remercie de votre offre, mais ma maison n'est pas loin, aussi je n'aurais pas à rencontrer de mauvaise personne.
Elle attendit que Don se prenne la peine d'ouvrir la porte, cela fit comprendre à la demoiselle que l'esclavagiste était quelqu'un de prudent. Mais toute personne importante se devait des e protéger, l'humaine faisait ce qu'elle avait à faire et ne se prenait pas pour une personne importante, loin de là, seul le moment présent l'intéressait et non l'avenir.
Elle partie donc vers d'étroite ruelle pour regagner le parc et s'enfoncer dans le sous-bois, évitant les pièges à loup que certaine personne mettaient au sol.
Une fois un certain temps écoulée à tournée en rond pour brouiller les pistes, elle se dirigea vers l'arbre où elle allait dormir.
Elle utilisa le ruban de sa guitare, pour l'accrocher sur son dos et entreprit l'escalade du chêne centenaire, puis prit une branche assez solide comme lit, les jambes pendantes dans le vide, la guitare était mit dans un creux de l'arbre et la demoiselle posa son dos contre l'écorce et ferme les yeux, pour se trouver dix secondes plus tard dans un long et agréable rêve.
La demoiselle se trouvait à près de 18 mètre du sol, on sait qu'un chêne du Japon peut atteindre jusqu'à 25 mètre de hauteur, c'était le cas de ce chêne.
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Don ouvrit la porte et laissa la jeune fille passer avant lui avec galanterie...Naturellement elle n'avait pas répondu a sa question a propos de son arrogance, éviter de reconnaitre ses fautes était typique de la gente féminine. Quoi qu'il en soit comme il restait un gentlemen il ne ramena pas celà sur le tapis et se contenta d'ouvrir pour la laisser passer et la regarder partir...Bientôt ce corps et cette voix serait a lui, et il avait vraiment hate de voir ce moment arriver. Dès qu'elle tourna il se mit a la suivre, au final ce n'était pas compliqué, il savait bien où elle se rendait. Une elfe qui veut retourner auprès des siens va vers la forêt, et au pire si il la perdait, eh bien il la retrouverais plus tard. Elle faisait des représentations tous les soirs non ?
Don se déplaça jusqu'au parc, et, a cause des détours de Yéntimë arriva bien longtemps avant elle. Il se dirigea immédiatement vers un massif de Thym et se frotta avec celles ci pour supprimer son odeur. Le Thym était une plante qu'on utilisait pour saisir des animaux sauvage, celle ci ayant la particularité de ne pas imprimer l'odeur de l'humain dans les lieux et ainsi, que la mère de l'animal ou sa meute le reconnaisse toujours comme l'un des leurs, ainsi, il était totalement camouflé au nez de Yéntimë
Il la suivit par la suite au loin, essayant de garder une certaine distance avec elle, observant des reflets metalliques dans les herbes...Des pieges a loup?! Quel malade mental foutrait des pieges a loup dans un parc japonais ?! Il se mit a prudement les retirer de là. il serait ballot que pendant une course poursuite ses jambes ou celles de sa proie tombe dans l'un d'entre eux. Sans un bruit, il arriva a la hauteur du chène...Hmm. Ce lit primitif était en fait redoutable...Il risquait d'allerter l'elfe de sa présence...
Soudain il eut une meilleure idée.
De l'odeur de fumée reveilla Yéntimë de son sommeil, l'arbre où elle se trouvait avait commencé a prendre feu. En effet Don avait balancé son briquet a travers les branches de celui ci avant de partir se cacher pour observer sa réaction. Le feu avait déjà bien pris, impossible de l'etouffer maintenant.
Si elle était une vraie elfe, elle se précipiterais pour éteindre le feu vers le lac...
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La demoiselle sentit des cauchemars arriver et une horrible odeur d'arbre brulé, elle en avait déjà sentit et se réveilla en sursaut, sur le qui vive, elle constata avec horreur que l'arbre brulait, mais la question qui se posa aussi dans sa tête c'était ce qui avait bien put mettre le feu au chêne. Il était clair que par cette nuit ce n'était pas la nature elle même qui est jugé par les flammes le centenaire.
Cela ne pouvait être que par l'action d'une créature, mais l'heure était avant tout de sauver l'arbre, elle mit sa guitare sur son dos et sauta de branche en branche pour atterrir au pied du chêne, puis elle se précipita vers le lac.
Une fois devant le lac, elle se mit à chantonner un air qui avait pour but de demander à la nymphe chargée de se lac, d'aider la demoiselle à protéger un arbre sage et vieux.
Seulement Don était aussi là et n'allait sans doute par permettre à la demoiselle d'avoir du renfort.
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Don avança dans le dos de Yéntimë et se contenta de faire ce qu'il aurait du depuis longtemps. Arrivée devant le lac il lui donna une petite pousse dans le dos, histoire de la faire tomber au lac, mais également de lui retirer ses pouvoirs potentiels si elle en avait, sa fascination ne marcherais donc plus...Si sa voix était bien un pouvoir magique.
"J'ai bien peur que chanter devant un lac ne serve a rien, Elfe."
Fit il avant de plonger la main dans l'eau et de tirer Yéntimë de celle ci
"En revanche le temps que tu fasse celà tu aurais pu prendre un sceau et éteindre l'incendit toi même tssk. Les elfes, des êtres si...Si peu pratiques au final. Mais ils ont un grand aventage."
En soulevant Yéntimë, Don remarqua qu'aucun changement n'avait eu lieu quand il l'avait touché, signe qu'il s'agissait de sa véritable apparence
"...Une humaine ?"
Lança l'esclavagiste qui fronça les sourcils. Oubliant l'arbre en train de cramer sur le coup
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Elle était tellement concentrée sur l'appel qu'elle ne vit pas venir le geste et tomba tête la première dans l'eau, elle avait poussée un léger cris de surprise avant le "plouf". Elle retint sa respiration, au cas où l'agresseur viendrait à maintenir sa tête dans l'eau glaciale.
Elle se sentit tirer et relâcha doucement son air, pour pouvoir être moins essoufflée, écoutant les remarque de l'agresseur, dont le timbre de voix semblait familier, elle tourna sa tête et vit le producteur.
La demoiselle se rappelait des recommandation envers les humains, ne pas leur divulguer une seule information sur le village et elle eut une mine plus confiante en voyant Don froncer les sourcilles, semblant quelque peu surprit d'avoir en face de lui une simple humaine.
- Erdë sancë. (individu haineux)
Elle disait la vérité, Don était un humain abjecte, empêcher un être d'en sauver un autre était considérer pour le village comme une faute impardonnable.
La demoiselle vit l'arbre craquer et se pencher dangereusement vers eux, aussi elle tenta de frapper les parties génitales de l'esclavagiste d'un coup de pied du droit. Car Don la tenait au poignet droit.
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il aurait été un amateur si il s'était mis a tenir ainsi la jeune humaine pour qu'elle puisse le frapper a cet endroit, endroit dont il avait besoin pour faire sa profession. Elle lui parla a nouveau dans une langue qu'il ne compris pas, et soupira. Surement de l'elfique, ça ressemblait a des petits piou piou d'oiseaux, ça devait donc être ça. il se frotta la nuque avant de la balancer negligement au sol, et quand une montagne de muscle vous balance négligement au sol, vous ne vous relevez pas deux minutes après, Don saisit Yèntimë sur son dos comme un sac a patates et lança
"J'aurais aimé que ça se passe de manière différente tu sais, tu vois ce qui arrive quand on est associable ? Tu devrais être a l'écoute de tous les êtres vivants, pas seulement ces cons d'arbres."
Don se tourna vers l'Arbre et le vit plonger vers lui, immédiatement il se dégagea de la zone d'impact, le marathonien était bien assz puissant pour faire ça avec ses simples jambes. Il soupira et lança a la demoiselle sur son épaule
"Ca sera ta punition. Si tu n'avais pas élu domicile ici je n'aurais pas eu a bruler cet arbre tu sais ?"
Fit Don avant de se diriger vers la souche, les flammes s'éteignant peu a peu grâce a l'eau et a l'humidité ambiante, attrapant son briquet et le rangeant dans sa poche pour limiter les preuves.
"Allez suis moi bien gentiment."
Elle n'aurait de toute façon pas le choix, il se dirigea vers la sortie nord du parc, la police allant arriver par la partie sud
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Elle sentit le dur contact du sol, mais aussi un léger goût écoeurant de sang, en effet la demoiselle s'était mordu la lèvre en anticipant le choc qu'elle allait recevoir lors du contact brutale avec une surface dure, malgré l'humidité de l'air.
C'est alors que l'humaine vit Don reprendre son briquet, tout était devenu clair dans sa tête, même si elle était un peu grogis par le choc qui avait été tous sauf doux.
Yéntimë pouvait sentir un vent, pour une personne normal cela n'était qu'une brise, mais pour la demoiselle, elle entendait l'appel de la nature qui demandait vengeance du crime que le colosse venait de commettre. Aussi elle ne bougea pas d'un poil quand l'esclavagiste demanda de le suivre sans faire d'histoire.
Même si le parce ne contenait que deux entrée pour les humains de la ville, une fille de la forêt n'aurait aucun mal pour sortir par les arbres ou en escaladant le mur entourant le parc.
- Feuya. (Je suis dégoutée)
Puis elle ne laissa à Don pas le temps de réagir et courut très vite dans le sous-bois, profitant de son agilité pour prendre de l'avance et escalader le mur, une fois de l'autre côté, elle poussa un long soupir, elle jugeait que sa musculature ne pourrais pas l'aider à passer un mur de quatre mètre de haut. il ne pourrait pas utiliser les branches des arbres comme elle, c'était déjà miraculeux que sous le poids ils n'aient pas cédées.
Elle fit attention aux alentour et partie dans un cul-de-sac. Elle entreprit de prendre une bar de faire qui trainait dans le coin et tenta tant bien que mal à faire bouger une bouche d'égout, ce n'était pas un lieu ragoutant, mais au moins elle sera à l'abri un moment.
-
Don éclata de rire en la voyant courir comme ça et se jetta a sa chasse immédiatement. Elle était peut être agile, mais tous ses muscles depuis sa plus tendre enfance avaient été entrainés aux arts du marathon, peu de gens pouvaient l'arrêter quand il était lancé, ses muscles étaient ceux d'un coureur de 100 mètres haies, elle se fatiguerais avant lui. Il était un marathonien après tout, tout en lui courant après il lui cria
"Où cours tu comme ça ?! Petite fille qui se prend pour une elfe ?"
Le mur que Yéntimë escalada Don fonça droit dessus avant d'utiliser la vitesse qu'il avait acquise pour bondir dans les airs et saisir le rebord avant de se hisser d'un seul coup et de tomber a sa suite dans la rue. Il avait fait ça par la force brute, sauter des obstacles en courrant n'avait aucun obstacle pour lui...Il était après tout un marathonien...Néanmoins les pas de la jeune fille finirent par s'éteindre a ses oreilles derrière les bruits de la ville. Don fronça les sourcils et avança dans les rues et suivit plus ou moins les bruits de metal qu'il entendait. Il finit par trouver Yéntimë et sa bouche d'égout. Prise au piege, il lui lança
"Qu'est ce que tu fais ?!"
Entre deux éclats de rire
"Tu crois qu'avec tes petits bras en ficelle tu va pouvoir soulever une plaque d'égout vissée nécessitant deux hommes forts pour être soulevée? Tu surestime ta force petite elfe. Et tu as asses courru. Pose cette barre avant de te blesser."
Lança Don qui posa la main dans sa poche, prêt a réagir en cas de besoin.
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"Qu'est ce que tu fais ?!"
La demoiselle finit par tourner la tête vers le "producteur", sa tête ne semblait pas effrayé, elle avait peur, mais la demoiselle savait que si on montrait sa peur à un animal, il te sauterais dessus. elle avait entendue la remarque de Don bien avant et eut un léger mine de dégoût, elle n'était pas certes une elfe, mais elle avait les capacités pour en être une.
"Tu crois qu'avec tes petits bras en ficelle tu va pouvoir soulever une plaque d'égout vissée nécessitant deux hommes forts pour être soulevée? Tu surestime ta force petite elfe. Et tu as asses courru. Pose cette barre avant de te blesser."
L'humaine, ferma les yeux l'espace de deux secondes, pour chasser toute ses peurs, elle se savait prise au piège et n'allait pas se rendre sans combattre. Elle raffermit donc sa prise sur la barre de fer, qu'elle positionna, comme l'on prend un claymore.
- Analelya ! (Approche !)
Elle était légèrement pliée sur ses jambes pour utiliser toute l'agilité qu'elle possède dans le but de fuir, elle devait fuir pour trouver un endroit où il ne pourrait pas la retrouver, comme une rue très étroite.
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Don poussa un soupir exaspéré et leva les yeux au ciel d'un air attéré. Elle croyait vraiment qu'elle allait lui faire mal avec cette petite barre de fer? Elle était peut être une épéiste de renom, il n'en savait rien, mais celà n'avait aucune espèce d'importance dans le moment présent. L'esclavagiste avait un avantage sur l'elfe : il savait parfaitement ce qu'il voulait, et elle ne le savait pas. Don mis les mains dans ses poches et ressortit un de ses deux pistolets magnum, en un tour de main il l'arma avant de le pointer sur Yéntimë. La terrane ne reconnaitrait peut être pas l'arme a feu.
Don tira dans une des poubelles a coté de Yéntimé, l'impact transperça la carlingue tout en la tordant vers l'interieur avant de la traverser de part en part, la faisant tomber au sol, elle pouvait voir que le calibre de la balle l'avait pratiquement pliée en deux. En gros, il lui montrait que si il voulait, il n'aurais aucun mal a la descendre. Pointant a nouveau son arme sur elle, il lui fit signe avec avant de lancer.
"Allez, laisse tomber ça, fillette."
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L'humaine vit Don sortir les deux armes, elle en avait vue de similaire dans des magasins et des stand de tir, aussi elle savait le bruit déchirant que cela émettait à chaque tire, ainsi que les dégât que cela pouvait occasionner. Puis le coup partie, les yeux de la demoiselle se plissèrent, elle n'aimait pas bruit de la détonation, le son mécanique et explosif était agressif à ses oreilles, qui étaient habituées au son de la nature.
Elle jeta un coup d'oeil furtif vers la poubelle et constata que l'arme était encore plus dangereux que les modèles qu'elle avait aperçu avant. Aussi elle raffermit sa prise jusqu'à se faire daigner les mains sur les bout d'échardes de métal.
L'humaine respecterait les principes de son village, lors d'un duel à mort il faut savoir utiliser son environnement à son profit pour déstabiliser son adversaire et prendre l'avantage pour montrer que le combat était finit. Elle n'était pas folle au point de foncer tête baissé vers le colosse, elle n'aurait aucune chance, il y avait bien derrière elle un "petit" muret qu'elle aurait put, sans doute escaladé, mais elle risquerait de se faire tirer dans le dos.
Elle posa un genoux à terre, tendant le bout de fer au sol, comme pour lâcher l'arme et de l'autre mains elle saisit avec vivacité le couvercle de la poubelle pour le jeter, comme un freesbee vers Don, visant le visage et plus précisément la mâchoire
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Malheureusement il aurait été bien stupide de croire que Don allait gober aussi facilement la feinte de Yéntimë, ses victimes étaients innombrables, et il avait vu que celle ci était du genre combattive, il savait que c'était une feinte. Et la première chose qu'elle utiliserait serait celle a portée. Une attaque comme celle ci aurait pu sonner Don, néanmoins il s'y attendait. Par conséquent les chances étaient nulles. Le disque vollant vrilla vers lui et l'esclavagiste l'arrêta avec une main, s'éccorchant un peu avant de sourire.
"Tout ce que j'attendais, merci."
Fit il avant de charger brusquement Yéntimë, le bouclier improvisé qu'il possédait a présent dans sa main libre lui permettrait de parer les eventuels coups de barre de fer donnés par Yéntimë, le but de Don n'était pas de la parrer pour arriver au corps a corps néanmoins, son gabarit étant supérieur a celui de l'elfe, il encaissa le coup avant de la charger purement et simplement dans le but de lui rentrer dedans et de la percuter contre le mur pour la sonner.