Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Gymnase en plein air et piscine => Discussion démarrée par: Abies Forthysia le jeudi 29 avril 2010, 16:49:46
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La petite lapine décide de parcourir la partie de la ville qu'elle n'avait jusque là jamais osé explorer, de peur de s'aventurer trop loin et ne plus retrouver son repère. Abies se lasse de voir et revoir sans arrêt les mêmes recoins. Les mêmes bâtiments, les mêmes ambiances. Elle arrive alors à l'une des limites qu'elle s'était fixé. Ketsu-chan dans ses bras, elle le regarde et lui demande doucement:
<< Tu as peur ? Moi aussi, je l'avoue... Mais ne t'inquiète pas, je te protégerai toujours soeurette... >>
L'homoncule se met donc en route, vers l'inconnu. Après quelques minutes de marche, elle tombe sur un grand bâtiment aux couleurs exotiques. Une sorte de dome gigantesque. Intriguée, elle décide d'entrer. A l'intérieur, elle observe attentivement les décors. Il y a beaucoup de verdure, ce qui ne déplait pas à la fillette. Puis, son regard se pose sur une baie vitrée, qui donne sur un long bassin. Des gens y nagent, ce qui donne une soudaine envie de baignade à Abies. Elle passe alors la porte à côté de la caisse, celle qui semble mener tout droit à la piscine.
<< EH !! PETITE ! Tu n'as pas payé, attend deux secondes ! >>
Pourquoi cette femme crie ? Elle ne comprend pas. Affolée, la lapine entame un sprint, passant à travers les cabines d'essayages, arrivant alors au final au niveau d'une multitude de bassins, certains entourés de grandes plantes. Elle se cache dans une de ses plantes, dans le bassin le plus reculé possible. Il n'y a que très peu de monde ce matin, Abies a donc très peu de chance d'avoir été aperçue. Elle aperçoit la caissière qui la recherche une bonne dizaine de minutes avant de retourner à son poste.
Seule dans le petit bassin chauffé, elle enlève alors sans hésiter tous ses vêtements puis pose Ketsu-chan sur sa pile d'affaires. Enfin, la petite peut se détendre sans qu'un quelconque danger la guette. Nue, elle se laisse bercer par les petites vagues crées artificiellement, le sourire aux lèvres.
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Le temps était au beau, la chaleur était au rendez-vous, et Alana n'était pas descendue sur terre depuis quelques temps maintenant. Il était l'heure pour elle d'aller initier certains humains élus aux prouesses de l'amour. Oui Prouesses, et encore, c'est un euphémisme comparé aux talents que pouvaient déployer les prêtresses d'Aphrodite. Elle se demandait, en passant le portail, quels seraient le ou les jeunes élus dont elle partagerait la couche le temps d'un ébat. Ou deux, s'ils étaient particulièrement exceptionnels mais ça...
Une fois sur place, elle passa en revue son terrain de chasse... Arrivée dans le parc, elle demanda à un passant le jour de la semaine qu'ils étaient et l'heure. Il lui répondit environ 14h et un jour de semaine, en grommelant que ces jeunes, quand ils étaient en vacances, ils perdaient la notions du temps et donc de l'argent, blablabla... Pour l'école donc, c'était fichu puisque tous les élèves étaient en vacances. Quelles options lui restait-il? Le centre commercial? Déjà vu et revu. Le parc? Non, visiblement, il n'y avait personne... Et puis bon, comme il faisait chaud, pourquoi ne pas aller à la piscine? Allez, vendu pour la piscine. C'est donc les mains dans les poches de son jean serré qu'Alana se dirigea d'un bon pas vers la piscine. Elle régla sa place, et on ne lui fit aucun commentaire quant au fait qu'elle n'avait pas de maillot de bain. C'était bête non? Enfin, comme elle avait payé, en remarquant une caissière particulièrement essoufflée, elle devrait faire l'amour plus souvent, on ne l'avait pas embêtée. Elle se changea rapidement dans les vestiaires donc, enlevant ses vêtements pour ne garder que de la lingerie fine et gagna les bassins. Elle s'était trompé, il n'y avait personne de vraiment intéressant... Ou plutôt, personne qui fut de son goût. Un peu blasée, elle gagna donc le dernier bassin, le plus en retrait. Quitte à ne pas rencontrer de partenaire sexuel potable, autant prendre du bon temps. Il était déjà occupée par une apparente petite fille, avec des oreilles de lapin. Curieux. Et nue de surcroît. Alana inclina la tête sur le côté, et soupira discrètement avant de rentrer dans le bassin.
"Tu devrais garder quelques vêtements sur toi petite demoiselle, on ne sait jamais quel genre de pervers pourrait te tomber dessus."
La prêtresse adressa un sourire gentil à cette apparente jeune fille, ne pensant qu'à son bien.
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A peine eut-elle le temps de se détendre qu'une inconnue se présente à Abies, soudainement. Surprise, la petite s'agenouille alors dans l'eau, sans réfléchir. Se cachant le plus possible sous l'eau, seule sa tête reste dehors, à moitié cachée par ses oreilles de lapin. Elle se sent toujours autant complexée par son hermaphrodisme. Pourquoi cette jolie jeune femme s'inquiète pour l'homoncule ? Lui voudrait-elle du mal ? Elle jette un coup d'oeil furtif vers sa peluche, s'inquiétant pour sa petite soeur en coton. La voyant toujours à la même place, Abies s'occupe maintenant de sa propre personne.
<< Pourquoi vous me dites ça... ? Que me voulez-vous, madame ? Je suis venue ici pour être tranquille... Non pas que vous me gênez mais votre arrivée si soudaine m'a surprise désagréablement. >>
La fillette en a assez des affrontements. Elle est venu ici simplement pour goûter au plaisir de la tranquillité, la sérénité d'esprit. Analysant avec le plus de précision possible la jeune femme, Abies se rend compte qu'aucun animosité semble animer l'inconnue. Toujours est-il qu'elle a un corps au goût de la lapine, sentant déjà une sorte de chaleur s'emparer d'elle rien qu'en contemplant ses formes. Rougissant soudainement, elle tente tout de même de se ressaisir, la prudence est mère de sureté. L'homoncule recule légèrement, afin de ne pas montrer sa méfiance envers son interlocutrice.
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Un sourire à la fois doux et désolé se hissa sur le visage d'Alana. En souhaitant mettre en garde cette fillette contre les possibles agresseurs qui ne manqueraient pas s'ils avaient l'occasion de croiser un petit corps nu comme le sien, c'était elle qui passait pour la perverse. C'était bien dommage. Néanmoins, elle ne voulait pas effrayer cette petite chose qui semblait douce comme un agneau, et s'empressa donc de dissiper son malaise.
"Je te dis ça par soucis de ton bien-être. Je ne te veux que du bien, petite demoiselle, ne te fâches pas. Pardonne-moi simplement, si tu le peux, de t'avoir surprise."
La prêtresse ne désirait pas contrarier l'enfant, surtout pour quelque chose d'aussi peu dramatique. Et puis elle était adorable avec ses oreilles de lapin cette petite. Vraiment, ça serait dommage que des hommes en mal d'amour ne viennent l'importuner. Alana se promit donc pour elle-même de ne pas laisser cette petite seule, jusqu'à ce qu'elle soit sortie de cette piscine. Habillée, cela va sans dire.
"Comment t'appelles-tu jeune fille? Moi je m'appelle Alana. Tu viens souvent ici?"
Si c'était le cas, peut-être que l'un de ses parents était dans le secteur? Comme à la recherche de cette réponse, Alana détourna la tête et chercha des yeux dans la grande piscine et les bassins successifs des humanoïdes qui auraient pu être les parents de cette petite créature.
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Ainsi donc, cette femme s'appelle Alana. Elle a vraiment l'air de s'inquiéter pour Abies... Rares sont les personnes à se soucier du sort de la petite. Sans même connaitre la jolie dame, l'homoncule sent en elle une sorte d'accroche en cette personne. La fillette n'a plus l'habitude d'être accompagnée, cela lui manque terriblement... Un manque affectif, oui... Alors elle décide de profiter de cette présence, qui sera sûrement trop courte à son goût, et tente de lui montrer qu'elle regrette d'avoir parlé sèchement à Alana. Tentative de dialogue:
<< Vous... Vous avez un joli prénom, j'aime beaucoup... >>
Abies se rapproche alors discrètement de son interlocutrice. Soudainement, une envie de se loger dans ses bras se fait sentir. Elle ne se connaissait pas aussi émotive. Pourtant, elle n'ose pas le faire. Ce serait mal venu de sa part... Se contentant de dévisager le visage de Alana, d'une beauté inégalable dans l'esprit de la lapine, elle rougit de plus en plus, se sentant maintenant gênée face à une personne aussi intimidante de part son physique.
<< Je ne viens pas souvent, non. C'est la première fois que je viens... Je n'avais jusqu'à aujourd'hui jamais osé m'aventurer dans cette partie de la ville. Depuis que je suis livrée à moi-même, j'erre dans les rues, sans objectif... Si ce n'est survivre... Alors, en découvrant ce lieu, j'ai voulu en profiter pour oublier cette vie grotesque... >>
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Le compliment de la fillette ne put que flatter la prêtresse, qui sourit largement de toutes ses belles dents blanches. Cela dit, si elle l'avait complimentée sur son prénom, elle n'avait pas daigné lui donner le sien.
"Merci, c'est gentil à toi. Je suis certaine que le tien est tout aussi joli. Voudrais-tu me le dire?"
Elle tenait à prendre son temps pour appréhender cette apparente petite fille qui s'était tout de suite mise sur la défensive à son arrivée. C'était un signe, signe qu'elle redoutait quelque chose, qu'elle était craintive. L'objective de la prêtresse serait donc de lui montrer que tout dans ce monde n'était pas que violence et que quelques bulles de douceur y subsistaient encore. En la voyant s'approcher, Alana se sentit encouragée et elle osa porter sa main sur la tête de la petite fille et lui caresser doucement la tête. Cela dit, le sourire de la prêtresse ne resta pas figé sur ses lèvres. Elle paru même déroutée en écoutant les paroles d'Abies. Alors, une toute petite créature comme elle vivait seule? Où étaient ses parents? Par tact, Alana ne posa pas la question, craignant d'éveiller quelque souvenir douloureux. Elle afficha une moue sincèrement compréhensive et compatissante.
"C'est horrible qu'une petite jeune fille comme toi se retrouve seule... Je pourrai faire quelque chose pour toi si tu le désires, c'est t'emmener à un orphelinat."
Alana aimait à croire qu'elle avait beaucoup de qualités, mais même si elle était compatissante, elle ne pouvait se fourvoyer au point de proposer à cette enfant sortie de nulle part de l'adopter. Son culte était sa seule et unique vocation pour l'heure et les enfants n'étaient pas permis dans le temps d'Aphrodite, à raison. Ils n'y avaient pas leur place. Cependant, elle ne pouvait abandonner cette petite chose à son triste sort. Peut-être, sur Terra, y aurait-il un couple de personnes prêtes à l'adopter, et un orphelinat dans lequel la placer jusque là? Elle ne vivrait plus seule ainsi et apprendrait à ne pas redouter les autres personnes.
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Dans la précipitation, l'homoncule a omit de donner son nom. Alana a donné le sien, Abies pourrait donc bien le faire elle aussi. Et puis, elle ne risque pas plus en le lui disant.
<< Désolée madame... Je m'appelle Abies. Abies Forthysia. >>
Puis, elle désigne de son doigt la peluche. Avec un large sourire, elle continue les présentations, chose qui n'était pas arrivé depuis bien longtemps maintenant.
<< C'est Ketsu-chan, ma petite soeur ! >>
Au fil de la discussion, la jolie demoiselle propose à la fillette de l'emmener dans un orphelinat. Celle-ci se souvient d'une amie qu'elle s'est faite dans cette ville il y n'y a pas si longtemps. Enfin, une amie qu'elle a aidé le temps d'un après midi. C'était une orpheline, comme elle. Mais elle ne se plaisait pas là où on l'avait placée, alors Abies lui donna un coup de pouce pour qu'elle fuit. La lapine ne sait pas où elle se trouve aujourd'hui. Toujours est-il qu'elle doit être bien plus heureuse qu'à l'orphelinat, l'homoncule lui ayant apprit comment survivre seule.
<< Non... Je ne veux pas aller à l'orphelinat... >>
Il est vrai que la petite serait bien plus en sécurité dans ce genre d'établissement. Mais elle perdrait en liberté. Non, ce qu'elle veut, ce n'est pas un toit, elle en a déjà un en quelque sorte. Elle veut juste un peu de tendresse, de l'attention, que son existence soit importante à quelques personnes... Tout ça, Abies le sent, elle trouvera. Un jour. Elle est du genre patiente, elle saura attendre le temps nécessaire.
Les yeux de la fillette se posent maintenant sur la poitrine généreuse de Alana. Elle recommence alors à rougir et sent ses membres génitaux réagir à cette vue très agréable. Tentant de penser à autre chose, elle essaie de fixer le plus possible les yeux de la jeune femme.
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Soucieuse de ne point contrarier la petite jeune fille qui se tenait à son côté, Alana joua le jeu et inclina légèrement le buste en aimable salutation pour la peluche dénommée Ketsu-Chan. Elle n'entendait pas grand chose aux titres donnés par les nippons, tout ce qui était chan, san et autres suffixes révérencieux, mais cela ne l'empêchait pas de vivre pour autant, n'est-ce pas?
"Enchantée Ketsu-Chan."
Le lapin, ainsi que sa grande soeur Abies eurent tous les deux droit à un sourire avant que la prêtresse ne reprenne brièvement.
"C'est bien ce que je pensais, Abies est un joli prénom et je trouve qu'il te va très bien. Et si tu ne veux pas aller à l'orphelinat, alors tu n'iras pas. Je me contenterai de venir prendre de tes nouvelles aussi souvent que faire se peut, car je ne peux pas faire plus malheureusement. Tu es d'accord?"
La tête de la prêtresse s'inclina légèrement, elle attendait un assentiment ou une dénégation de la part de la petite fille. Petite fille qui semblait troublée. Alana n'était pas étrangère à ce genre de regard timide et lancés en coins. Seulement, c'étaient souvent les jeunes hommes ou femmes timides, attirés par elle charnellement qui la regardaient ainsi. Voir une petite femme d'un âge si modeste la regarder ainsi la mettait quelque peu mal à l'aise. Se pourrait-il qu'elle soit déjà éveillée aux pratiques sexuelles? Ce n'est qu'alors que la prêtresse fit le lien entre son regard, ses oreilles de lapin et la teinture de ses joues. Peut-être était-elle moins humaine qu'Alana l'avait d'abord supposé. Curieuse, la rouquine s'approcha d'Abies et se pencha pour lui murmurer à l'oreille, lui offrant de ce fait une vue imprenable sur sa poitrine qu'elle avait l'air d'apprécier.
"Aurais-tu certains secrets à me révéler?"
Alana n'était pas très friande de surprise dans ce genre et respectait énormément les jeunes enfants. Elle s'adressait à eux avec un langage et une gestuelle bien particulière, si elle se retrouvait en face d'une créature qui n'avait rien d'un enfant si ce n'était l'enveloppe charnelle, l'accord serait caduc et Abies aurait droit au même traitement que les personnes que la prêtresse croisait habituellement. Elle chercherait en eux les partenaires sexuels indispensables à tout hommage à la déesse de l'amour.
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Voyant Alana saluer sa peluche, la fillette sourit une nouvelle fois. Enfin une personne qui fait aussi attention à sa petite soeur ! Abies dit alors avec entrain:
<< Ketsu-chan est elle aussi très enchantée de rencontrer une gentille madame comme vous ! >>
De plus, la jeune femme en disant qu'elle apprécie le nom de la lapine, gagne un peu plus encore la sympathie de celle-ci. Et puis, si Alana oublie l'idée d'amener la petite dans un orphelinat, alors Abies ne s'en fait plus à ce propos. Quand la jolie rousse lui dit qu'elle fera tout son possible pour prendre de ses nouvelles, la lapine ne sait pas comment réagir. Elle se sent troublée par cette proposition. Si cela se passe réellement comme prévu, elle ne serait plus tout à fait seule et son existence aurait au moins un minimum d'importance pour une personne.
<< M... Merci beaucoup... C'est vraiment gentil de votre part madame Alana ! >>
Soudainement, la femme se penche vers la fillette, lui laissant apprécier à sa juste valeur la générosité de sa poitrine, ce qui a pour effet d'exciter subitement Abies comme jamais elle n'a été jusqu'ici. Un secret... ? La lapine se dit qu'elle peut bien lui avouer ce qu'elle est, après toutes ces attentions envers la frêle magicienne.
<< Je ne suis pas une petite fille normale... Je ne suis même pas une petite fille pour tout vous dire, même si j'aimerai que l'on me considère ainsi... Je suis un être artificiel créé par un alchimiste-sorcier. Un homoncule plus précisément. Je suis le fantasme vivant de mon propre père créateur. Une experte en magie noire, la première qui devait précéder une longue liste de semblable afin de former une armée imbattable. Et... Je... Je suis hermaphrodite... >>
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La prêtresse comprenait mieux maintenant. Abies n'était pas une vraie petite fille mais une créature qui se donnait l'illusion d'en être une. A ces deux choses, Alana ne trouvait rien à redire. Elle était pour que chaque créature née d'Aphrodite vive sa vie en accord avec sa nature, et donc si Abies voulait qu'on la prenne pour une petite fille malgré sa nature, la prêtresse n'y voyait aucune objection. Quant à son hermaphrodisme, ça n'était pas un problème non plus. Du moins tant que la "petite" s'en accommodait. Une chose, plutôt décalée cependant, troublait la jeune femme. C'était plus de l'ordre de la morale.
"Tu veux bien me parler un peu de tes pratiques sexuelles? Je vois bien que ma poitrine ne te laisse pas indifférente...? Préfères-tu que je conjugue au masculin ou au féminin? Mais tu as un corps d'enfant et souhaite que l'on te traite comme tel. Ce qui, pour moi, équivaut à ne pas avoir de relations... On ne touche pas aux enfants, du moins si on a un tant soit peu de bon sens. Alors je m'interroge... Et aussi sur tes préférences. Tu es hermaphrodite, c'est une chance non? Mais as-tu des préférences vis à vis d'un sexe ou d'un autre? J'avoue que tu es la première créature Homoncule que je croise... Pardonne mon inexpérience, mais mes questions sont nombreuses."
Alana reprit tranquillement sa place dans la piscine, le visage toujours ouvert et souriant.
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Alana n'a pas mal réagit aux révélations faites par l'homoncule mais lui pose maintenant une multitude de questions. Certaines plus difficiles que d'autres, n'ayant pas forcément réfléchis dans le passé à ce genre d'interrogation. Cependant, la lapine essaie d'être la plus précise possible quant aux réponse qu'elle apporte à la jolie rouquine.
<< Mes pratiques sexuelles... ? Mon père me violait de son vivant... Depuis toute petite. Je ne sais pas si c'est en partie à cause de ça, mais j'aime beaucoup le sexe maintenant. Simplement, je ne veux plus le faire avec les hommes, l'image de mon créateur me revient sans cesse... Je veux que l'on me voit comme une petite fille seulement pour être vue comme un être qui peut aussi aimer et être aimée et non pas un être de guerre... Alors, ne vous inquiétez pas sur le fait qu'une jeune création comme moi aie parfois des relations sexuelles, je ne suis au final qu'une fille factice. Quant à mon hermaphrodisme, c'est une chance seulement quand ma partenaire apprécie cette particularité, dans le cas contraire, c'est une honte... Ainsi, je peux pénétrer à l'aide de mon sexe masculin tout en me faisant caresser mon sexe féminin. >>
Tout ce qu'elle vient de dire est sorti spontanément. En y réfléchissant, Abies a parlé ouvertement de sa vie privée. Peut-être a t-elle fait une erreur et qu'elle repousse dorénavant Alana sans le vouloir... Toujours est-il que ce genre de conversation maintien au maximum son envie pour la demoiselle.
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Et bien et bien... Le moins que l'on puisse dire c'est que la vie n'avait pas été rose pour cette pauvre petite créature. La tête d'Alana s'inclina, elle se prenait d'affection pour ce petit bout de chair qui avait dû surmonter beaucoup d'épreuves pour en arriver là. La vie était parfois injuste... La prêtresse allait essayer de corriger tout cela. Elle glissa donc ses doigts le long de la petite taille de l'Homoncule et la souleva pour l'installer sur ses genoux, écartant des mèches de cheveux de son visage pour fixer ses yeux violines dans les siens.
"Tous les hommes ne sont pas comme ça, je te rassure. Beaucoup sont doux et d'excellents amants. Ne te fermes pas à un sexe à cause d'une seule expérience. Prends plutôt ton temps, choisis un homme et teste-le. S'il reste constant et doux, peut-être pourra-t-il te réconcilier avec le sexe avec un homme? Quant à nous deux, voudrais-tu que nous passions un moment agréable comme cela ou est-ce que tu préfèrerais que nous nous en tenions à la piscine? Tu as le choix."
Les mains en simples barrières de sécurité, au cas où Abies manquerait de tomber de ses genoux, Alana ne pressait pas l'Homoncule, loin s'en fallait. Elle lui laissait des milliers de possibilités.
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Tous les hommes ne sont pas comme le père de Abies. C'est sûrement vrai... Seulement, le passé douloureux rattrape la magicienne chaque fois qu'elle s'attarde trop avec un homme. Peut-être qu'un jour, l'homoncule tentera de nouvelles approches avec la gent masculine... Mais pour le moment, c'est en face de Alana et de son corps qu'elle se retrouve, sur ses genoux plus précisément. Cela l'intimide tout d'abord et surtout la gêne, son membre dur à la vue de la jeune femme. Cette dernière propose ensuite soit de profiter simplement de la piscine ou bien de passer à l'acte.
La lapine hésite. Elle a beaucoup de respect pour la rouquine. Aussi loin qu'elle s'en rappelle, personne n'a autant eut d'affection pour elle et surtout personne ne l'a autant manifestée. D'un autre côté, et impossible qu'elle puisse se le cacher, Abies a énormément envie de Alana. Ce corps aux formes attrayantes... Elle le désire tant... Elle peut déjà sentir sa parfaite poitrine s'étaler délicatement sur son corps... Et si, en découvrant sa personnalité sexuelle, la jeune femme n'a plus autant d'accroche pour la fillette ? Peut-être qu'elle n'en ferait rien après tout...
<< J'ai envie de vous, madame Alana... Je... J'ai même énormément envie de vous. >>
Voilà qui est dit, il n'y a plus qu'à espérer que la suite se déroulera sans encombre. La lapine veut profiter pleinement de ce moment qui s'annonce intense en plaisir charnel en cette charmante et irrésistible compagnie.
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La réponse d'Abies fit sourire Alana, et incita cette dernière à lancer ses mains déjà quémandeuses à l'assaut des deux sexes de l'Homoncule. Une main se chargerait de son sexe masculin, l'autre de son féminin. Mais avant tout, elle invita Abies à se rapprocher d'elle afin que leurs deux corps soient étroitement serrés l'un contre l'autre. Avec douceur, les doigts de la prêtresse rencontrèrent finalement le membre déjà tendu de la pseudo fillette, ainsi que ses lèvres, qu'ils se mirent à caresser ce concert tandis que la rouquine approchait ses lèvres de l'oreille de l'Homoncule pour la rassurer.
"Alana suffit amplement... Ne sois pas intimidée, prends-y du plaisir également, montre-moi ce que tu aimes."
Elle acheva sa phrase ainsi alors que ses phalanges continuaient de s'activer auprès des deux sexes d'Abies. Soit ils caressaient la verge sur toute sa longueur, soit ils titillaient son clitoris et ses lèvres exerçant de douces pressions sur ces dernières sans la pénétrer pour autant.
"Dis moi ce que tu préfères."
Pour l'heure, elle tentait de s'activer à stimuler le plaisir d'Abies, mais elle espérait bien que son tour viendrait en temps et en heure.
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A la demande de la sulfureuse jeune femme, Abies se colle le plus possible à son corps. Ne s'attendant pas à ce que commence aussi rapidement les caresses, ce qui ne lui déplait pas pour autant, son excitation grimpe encore d'un cran. Sentant les doigts de Alana commencer à s'occuper de ses deux sexes, la lapine ferme les yeux et se laisse totalement faire. La rouquine, d'une voix entreprenante et sensuelle à la fois, lui demande ce qu'elle préfère.
<< Vous vous occupé si bien de moi... Que... Que je n'ai aucune préférence... Quoique vous fassiez, je ressens du plaisir et mon désir pour vous s'accroit à chaque instant... >>
Afin de ne pas rester seule à se faire chauffer, la fillette commence par dé-greffer le soutien gorge de Alana, tout doucement, libérant ainsi la forte poitrine de cette dernière. Ses seins sont magnifiques. En les regardant, qui pourrait résister à l'envie de les toucher ? Pas l'homoncule en tout cas, qui commence déjà à déposer une multitude de baisers sur le sein gauche, tout en massant légèrement le sein droite. Dès cet instant, Abies peut sentir les tétons de la jeune femme se durcir, ce qui devrait être plutôt bon signe pour la suite des évènements. Elle continue en léchant lentement, du bout de la langue, tout autour du téton gauche, espérant ainsi exciter sa partenaire pour la remercier pour tout ce qui vient de se passer. Le pénis de la petite grossit de plus en plus, ce qui étonne la lapine elle-même.
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C'était excellent jusqu'à présent, Abies semblait réceptive, disait même l'être, aux caresses sur ses deux sexes, ce qui encouragea la prêtresse à poursuivre. Et en effet, elle pu sentir le sexe masculin de l'Homoncule gonfler ainsi que son sexe féminin sécréter un peu de ce liquide qui facilitait les pénétrations et montrait l'excitation. Néanmoins, Alana n'avait rien pour pénétrer Abies, si ce n'était ses doigts. Ce qui ne saurait tarder, mais pas encore.
"Tutoie-moi s'il te plaît Abies... C'est plus intime."
Ces quelques mots soufflés au creux de l'oreille de l'Homoncule, Alana pu à son tour goûter aux caresses de cette dernière, cessant ses propres mouvements le temps de lui laisser l'occasion de lui ôter sa lingerie, pour les reprendre tout de suite après. Comme Abies avait pu le constater, elle était effectivement sensible aux baisers et attentions de sa bouche sur sa poitrine, et ferma les yeux à son tour. Pendant quelques secondes du moins. Elle laissa Abies se divertir quelques minutes avec sa poitrine, mais n'aimant pas voir les choses stagner, Alana ne tarda pas à l'interrompre pour la faire descendre de ses genoux. Elle l'assit sur le rebord de la piscine, lui écarta les cuisses, non sans lui sourire, et s'installa entre elle. Après un coup d'oeil lancé au visage de l'Homoncule, la prêtresse lança sa bouche à l'asseau du sexe turgescent, membre viril, de la lapine. Sans complexes, elle commença par en lécher l'extrémité, inserrant doucement le bout de sa langue pour lui en titiller la fente, puis elle le prit en bouche, entamant des mouvements de va et vient et aspirant afin de recréer l'illusion d'une pénétration, en amélioré. Sa main joignit ses efforts à sa bouche alors que son autre main retournait s'occuper du sexe féminin d'Abies. Ses doigts jouèrent un peu avec son clitoris, l'agaçant en le caressant, en caressant également ses lèvres tout en restant à l'extérieur de son être, pour finir par enfin glisser un premier doigt, unique, son index, en elle et se mettre à doucement flatter l'intérieur de son sexe.
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Après quelques minutes passées sur les genoux de Alana, la petite se retrouve assise sur le bord du bassin. La jeune femme écarte ensuite les cuisses de la lapine pour s'occuper de sa verge à l'aide de sa délicieuse bouche. Les va et vient commencent alors. Abies gémit faiblement, sentant son plaisir monter encore plus à chaque mouvement de la belle rousse. Puis, cette dernière saisit d'une main son pénis, tout en continuant de le lui sucer telle une déesse. En même temps, elle commence à s'amuser avec son clitoris, qu'elle caresse de façon à augmenter le désir de l'homoncule et finit par insérer doucement l'index dans son intimité.
<< Hmm... Continue... Alana... C'est si bon... >>
Malgré qu'elle soit gênée par le fait d'être la seule à profiter de ce moment intime, Abies se laisse totalement submerger par la quantité impressionnantes d'émotions qu'elle ressent pendant les gâteries de sa partenaire. Elle ne saurait même pas expliquer tout ce qu'elle ressent... Une seule chose est sûre: c'est une source d'excitation incroyable. Sous l'emprise du plaisir, la lapine agrippe l'arrière de la tête de Alana, sans être pour autant violente, afin d'accélérer les aller retour de la jeune femme
<< Haa... J'aime tant... Tu... Tu suces si bien, Alana... Et ce doigt en moi... >>
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La prêtresse savait qu'elle était douée, en même temps, c'était sa vocation que de donner du plaisir aux autres et que d'en recevoir. Elle continua donc caresses et sucions sur les différents sexes de l'Homoncule, jusqu'à ce qu'Abies agrémente les mouvements de sa tête à l'aide de ses mains. Alors, Alana prit l'une d'entre elle pour la porter sur le sexe viril de la lapine, la guidant afin que ses doigts se referment sur son membre et, la main d'Alana se superposant à la sienne, elle lui enseigna comment se masturber. Ainsi, la prêtresse pourrait se retrouver avec une main de libre. Main libre qui commença par toucher à la poitrine d'Abies, lui stimulant les extrêmités, avant de descendre sur ses propres seins, qu'elle caressa brièvement, pour finir sa course sur son propre sexe auquel elle infligea les mêmes traitements qu'au sexe féminin de l'Homoncule. Et tout cela sans cesser de faire jouer langue et bouche le long de la verge d'Abies.
Joueuse, elle immisça un deuxième doigt dans le sexe féminin de cette dernière, cherchant cette fois non plus à stimuler son plaisir mais bel et bien à la conduire au paroxysme. Elle voulait la faire jouir, et plutôt deux fois qu'une vu que cette dernière possédait deux sexes. Quant à elle, elle prenait une partie de son plaisir en se touchant mais ça n'équivalait en rien les caresses d'une tierce personne ou encore la pénétration du membre dressé d'Abies qu'elle désirait de plus en plus ardemment.
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Abies sent qu'elle va bientôt jouir et ce, des deux sexes. Sa propre main sur son propre manche guidée par celle de Alana lui ajoute une nouvelle vague de plaisir. Quand la jeune femme s'occupe des petits seins de la lapine, elle ressent une intense chaleur envahir tout son corps, annonçant une suite plus que prometteuse.
<< Haa ! Ouii... J'aime ça... ! Ca... Ca va bientôt... Sortir... Continue... >>
Un deuxième doigt pénètre le vagin de la petite magicienne, pour son plus grand plaisir. Elle accélère ensuite bien plus les mouvements de la tête de sa partenaire, lui enfonçant profondément son long membre jusqu'à l'entrée de la gorge de Alana, compressant bien plus encore le gland de la lapine. De ses deux mains, elle se met à pincer sans faire mal les tétons qui la tentent depuis le début. Tout en faisant ça, elle malaxe avec insistance les seins de façon circulaire. L'envie de la jolie rouquine se fait sentir de plus en plus, ce qui fait accroitre le plaisir de la fillette qui lance sa tête vers l'arrière, de part les caresses qui lui sont prodiguées.
Le moment est arrivé de jouir une première fois pour Abies. Sans se rendre forcément compte de ce qu'elle fait, alors que sa verge libère sa sève et que son vagin en fasse de même, elle plaque de ses deux mains la tête de Alana sur son pieux, l'enfonçant loin dans la gorge. Prise de spasmes, elle tente tant bien que mal d'annoncer ce qui va s'ensuivre:
<< A... Ala... Na... Je... Gicle... ! >>
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Heureusement qu'Alana était habituée à se genre de pratique, les résultats dans le cas contraire auraient été désastreux. Elle continua donc sur sa lancée, redoublant d'ardeur dans ses caresses et masturbations afin de donner la pleine mesure de son plaisir à Abies. Elle la voit se toucher, forçant à Alana à accélérer les mouvements de ses propres doigts en elle pour s'exciter d'avantage, alors qu'elle savait la délivrance proche pour la petite Homoncule. Il arriva même plus tôt que prévu, et Alana la laissa appuyer sa tête contre son membre, recueillant le sperme de cette étrange créature au fond de sa gorge. Elle l'avala, attendant patiemment que toutes les gouttes se soient écoulées, pour finir par se retirer de ce membre, non sans terminer de lui en lécher l'extrémité afin de recueillir les dernières goutes de sperme.
Elle avait sentit également son sexe féminin se contracter autour de ses doigts, mais elle se demandait, si en continuant à la masturber à cet endroit, elle verrait sa virilité faiblir quand même ou bien se redresser directement, prête à d'autres ébats. Alana n'avait pas prit son plaisir. Elle comptait se faire jouir à l'aide de ce membre fabuleux qu'avait Abies, si cette dernière le désirait évidemment.
Attentionnée, la jeune femme donna quelques coups de langue supplémentaires sur le sexe masculin de l'Homoncule.
"Je suis contente de t'avoir fait plaisir Abies. Voudrais-tu me faire plaisir à moi maintenant?"
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Elle prit un plaisir indescriptible en ayant jouit dans la gorge de Alana. Cette dernière continue ensuite de s'occuper de son bâton, avalant son sperm jusqu'à la dernière goutte. Cependant, en se retirant, elle remarque avec plaisir que son membre supérieur est toujours aussi dur. C'est alors avec un grand sourire que Abies répond à sa partenaire:
<< Je te donnerai autant de plaisir que tu le souhaite. Pour être honnête, j'espérais bien que tu me le demandes. Ton corps... Il me donne tellement envie, Alana... >>
Abies passe alors sa tête sous l'eau, tout en caressant sensuellement le bas ventre de la jeune femme. Ses mains arrivées au dernier sous-vêtement porté, elle l'abaisse jusqu'aux pieds. Puis, Alana levant ses pieds à tour de rôle, elle retire entièrement la culotte. La rousse entièrement nue, la petite n'en peut plus d'attendre pour rentrer en elle. La lapine demande alors, en faisant un regard coquin:
<< Met-toi dans la position que tu veux, je me chargerai de te prendre une fois prête... >>
Son envie n'a jamais été aussi énorme. Abies espère simplement que son côté perverse ne rebutera pas Alana, car elle espère bien garder contact avec elle par la suite. Pas seulement pour le sexe... Mais aussi pour le réconfort qu'elle a su lui apporter en si peu de temps grâce à l'attention particulière à son égard.
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Alana avait très envie de se faire prendre, et fut très satisfaite d'entendre Abies lui assurer que son désir était intact, ainsi que de voir son membre toujours aussi dur, même après une éjaculation. Elle prit le temps de réfléchir aux possibilités qui s'offraient à elle, temps qu'Abies saisit pour finir de la déshabiller, et la prêtresse put enfin arrêter son choix. Pour des raisons de commodité, en raison surtout de la taille d'Abies, Alana choisit de sortir de l'eau et de se mettre à quatre pattes, prête à ce qu'Abies la prenne. De bout derrière elle, l'Homoncule aurait une meilleure stabilité, et une meilleure maîtrise de ses mouvements. En plus, Alana adorait les rapports un peu... Bestiaux. Elle prit le soin de rassembler ses cheveux d'un seul et même côté de sa nuque, prenant appuis sur ses coudes. Les cuisses légèrement écartées et offerte, sa poitrine laissée à l'abandon pour l'heure, Alana cherchait un signe d'assentiment de la part de sa partenaire.
"Cette position te semble bonne?"
L'homoncule s'inquiétait pour rien. Il n'y avait que les pervers dangereux pour rebuter Alana. Les pervers comme Abies, elle se faisait un plaisir que d'honorer Aphrodite en leur compagnie. Et pour l'heure, elle avait excessivement envie de son membre en elle.
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Enfin le moment tant attendu de pénétrer Alana arrive bientôt... La lapine ne peut attendre plus, malgré sa première éjaculation dans la bouche de la jolie rousse. Une fois la culotte de celle-ci retirée, elle sort du bassin, se mettant à quatre pattes sur le bord. Abies regarde avec impatience. Quel plaisir pour les yeux de la voir se positionner ainsi, offrant une vue imprenable sur l'arrière de sa partenaire. Une fois bien en place, Alana demande l'avis de l'homoncule sur la position qu'elle lui propose dorénavant.
<< Tu es parfaite comme cela... Vraiment parfaite... Mon envie est à son comble. L'excitation qui en découle m'emportera bien plus que tu ne puisses espérer. >>
La petite fille sort alors de l'eau à son tour, comme guidée par son gourdin réveillé comme jamais. Abies a connu quelques partenaires sexuelles, mais jusqu'ici, jamais aucune ne lui procura autant de désir. Est-ce l'intérêt que la jeune femme porte à son égard qui lui donne confiance et donc lui permet de totalement se lâcher ? Aucune idée. Toujours est-il que la lapine se place maintenant à genoux derrière le fessier bombé qui lui est présenté. Une main sur la hanche à la courbe parfaite, l'autre tenant son long phallus, elle place délicatement son gland à l'entrée de l'intimité de Alana. Mieux vaut être douce pour commencer, même si la suite s'annonce bien plus bestiale. Après un léger coup de reins, le manche de la magicienne rentre dans le chaud vagin de sa partenaire, entamant dorénavant de lents va et vient. Serré comme pas possible, l'homoncule prend déjà son pied, n'étant qu'au commencement.
<< Hmm... Ca... Ca te va... Comme ça... ? Tu es si bonne... Tu sais... Alana... >>
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C'allait bientôt être au tour d'Alana de prendre du plaisir, et quel plaisir! La taille de ce sexe masculin était vraiment surprenante pour une aussi petite fille, mais il promettait d'emmener la rouquine tout droit jusqu'à l'orgasme. En cela, l'Homoncule et la prêtresse étaient parfaitement synchronisées.
La petite main d'Abies près de ses fesses lui assure de l'imminence de la pénétration. Alana se cambra donc, prêtre à accueillir ce sexe qu'elle connaissait dorénavant par coeur pour l'avoir longuement eu en bouche, ainsi que ses proportions qui la laissaient rêveuse. Et puis tout s'enchaîne. D'abord arrive le gland, presque timide, mais qui pressait de plus en plus l'envie de la prêtresse, et enfin, les coups de reins synchronisés des deux jeunes femmes qui firent pénétrer la stribe dressée et dure dans le plus profond du fondement de la rouquine, alors que cette dernière poussait un gémissement de plaisir. Les premiers coups de reins tintèrent comme une délivrance, faisant perdre de son intensité au désir d'Alana. C'était voulu, et préparé, afin que les ébats durent le plus longtemps possible. Lentement, la prêtresse contracta les muscles de son vagin afin d'augmenter l'étroitesse du conduit emprunté par le chibre d'Abies et d'augmenter le plaisir de cette dernière. C'était si bon...
"Mmmm... Oui! Encore! C'est tellement bon...! Encore Abies, encore! Plus fort!"
Elle gémissait bien plus fort qu'elle ne parlait, ses mots lui échappaient tout juste entre deux souffles alors qu'elle accompagnait les mouvements d'Abies de son bassin, cherchant à faire entrer encore plus profondément le membre d'Abies en elle. Elle n'accélérait pas cependant, afin de retarder au maximum l'orgasme et de prolonger la présence d'Abies en elle.
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Une fois en Alana, la lapine sent sa verge compressée comme jamais. Elle le sent, sa partenaire contracte son vagin, ce qui a un effet des plus plaisants pour la fillette. La rouquine demande à aller plus fort. C'est donc avec plaisir que la lapine se lâche un peu plus, butant comme il se doit le fond de l'intimité de Alana. Au fil de la relation, la petite se sent de plus en plus confiante, laissant émerger son côté bestial qui lui gênait tant. Mais pourrait-elle vraiment enfiler l'intimité avec autant de violence qu'à son habitude ? Dans le doute, elle préfère se brider pour le moment, tout en continuant bien entendu de monter en intensité dans ses actes.
<< Haa... !! Oui ! Tu es... Tellement serrée... Accroche-toi bien car... Au... Au fil des secondes, je te prendrai... Hmmm... Avec plus de force... ! >>
Entendre le claquement qui se produit à chaque aller entre le bas ventre de l'homoncule et les fesses de la jeune femme met la magicienne dans un état second, une sorte de transe sexuelle jamais connue jusqu'ici. Et les gémissements de sa partenaire l'encouragent à continuer d'augmenter la cadence de ses coups de reins. Elle s'accroche maintenant aux fesses, en les massant sans retenue. Cette chair se trouvant entre ses mains... Elle est d'une douceur et d'une chaleur déconcertante. Impossible de ne pas en profiter. La petite écarte largement les fesses et les referme, de façon circulaire, ce qui lui laisse tout le loisir de regarder à sa guise cette partie du corps tout simplement parfaite chez Alana.
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La prêtresse respirait lentement, à raison de grande goulées d'air, et tâchait de faire redescendre du mieux qu'elle pouvait la vague de plaisir qui l'emportait, toujours plus loin. L'imposant membre d'Abies lui procurait bien trop d'agréables sensations pour qu'elle accepte si tôt de la laisser se retirer. Elle ondulait donc lentement son bassin, poussant gémissements sur gémissements à chaque poussée de reins de la petite Homoncule.
"Mmmm... Oui...! Vas-y...! Fais-toi plaisir Abies..."
D'une part, elle tenait absolument à ce que la petite créature prenne son pied, raison pour laquelle elle gardait son intimité serrée contre son membre, mais aussi et surtout parce que, puisqu'elle ne risquait rien, si Abies se faisait plaisir, il y avait une probabilité énorme qu'elle procure tout autant de plaisir à la prêtresse. Prêtresse qui d'ailleurs, malgré ses efforts pour refouler son désir, est de plus en plus excitée. Avec les mains d'Abies qui s'occupent de ses fesses, elle aurait aimé avoir une main de libre pour se caresser elle-même, mais elle devait user de ses deux mains pour ne pas chuter sous les coups de butoir de l'Homoncule. Ce serait pour un petit peu plus tard.
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Alana entame maintenant des ondulations de bassin. La lapine sent alors son phallus frotter avec insistance les parois vaginales de sa partenaire. Tout simplement merveilleux. Elle sent alors son souffle s'accélérer, la chaleur s'emparer de son corps devenant soudainement brûlant. A partir de ce moment, gémissent à son tour, la petite s'appuie sur les épaules de la rouquine, afin d'empaler avec plus de puissance l'intimité qu'elle pénètre depuis maintenant quelques longues et délicieuses minutes. Alana demande maintenant à ce que la magicienne se fasse plaisir. Abies se dit alors qu'après tout, si elle va trop loin au goût de la jeune femme, cette dernière saura le lui dire.
<< Très bien... Ha... Ha... Je vais te... Hmmm... Han... Faire voir... Ce qu'est se faire plaisir... Hoo... Chez moi... ! >>
A partir de maintenant, Abies va se lâcher. Même si elle voulait vraiment se retenir, elle ne le pourrait pas, elle est bien trop excitée pour ça. Appuyant de toutes ses forces sur les épaules de Alana, elle tape avec violence le fond du vagin. La violence est telle qu'a chaque fois qu'elle bourre la jolie femme rousse, celle-ci se retrouve projetée vers l'avant. Les claquements au niveau des fesses résonnent fortement, aussi bien que n'importe qui pourrait les entendre si il se trouvait dans les alentours. La fillette râle de sa petite de voix, se laissant envahir par le plaisir cumulé depuis le début.
Une de ses mains vient légèrement griffer le fessier, puis la lapine le claque sans le faire trop fortement. Ayant des tendances sadiques légères, elle ne veut pas non plus faire plus que ça, de risque de rebuter Alana plutôt que de lui faire grimper son désir déjà bien ardent. Elle a toujours eut pour but de réussir à faire crier de plaisir ses partenaires sexuels, y arrivera t-elle aujourd'hui ?
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"Mmmm!"
Alana poussa un gémissement de plaisir plus sonore que les autres lorsqu'Abies la saisit par les épaules pour la pénétrer avec plus de force. C'était ainsi qu'elle aimait les rapports avec pénétration, brutes, sauvages... Tellement excitants. L'Homoncule donnait vraiment beaucoup de plaisir à la prêtresse, c'était plus que visible. Plaisir, qui ne faisait que s'accroître alors que les mouvements d'Abies gagnaient en force et en intensité. Quand cette dernière commença à vraiment y aller pour son plaisir, Alana perdit quelque peu l'équilibre. Ne voulant pas gâcher ce moment de plaisir pur, elle s'accrocha au mur juste à côté d'elle, s'empêchant ainsi de partir en avant aux coups de reins d'Homoncule et de pouvoir l'accueillir à chaque fois au plus profond d'elle-même. Alana prend tellement de plaisir à sentir la stribe d'Abies aller et venir en elle qu'elle sent à peine la griffure, ainsi que la claque. Tout ce qu'elle sentait, c'était ce membre imposant qui lui faisait passer un moment sexuel des plus mémorable et qui, elle le savait, lui apporterait un orgasme des plus intenses. Elle n'en était pas encore là cependant, et elle trouva bon d'encourager l'Homoncule à prendre encore plus de libertés.
"Han Oui Abies! C'est bon...! J'aime comme tu me prends! Vas-y... Oui! Fais ce que tu aimes! C'est si... Bon!"
La prêtresse tentait comme elle le pouvait de participer aux mouvements de bassins, cherchant à aider Abies à l'empaller de tout son long sur sa stribe. Elle se retirait, afin que le sexe de l'Homoncule se retrouve à peine en elle, et le hapait de nouveau avec force, poussant force gémissements à chaque entrée.
"Mmm... Oui... Oui... Oui... Abies...!"
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Quel bonheur de voir celle avec qui la petite partage un tel moment de partage charnel prendre autant son pied. Malgré ses violents coups de batte, Alana réussit à suivre la cadence et gober avec son intimité la verge de la lapine. Les sensations se font de plus en plus grandes. L'orifice vaginal de Abies n'arrête pas de couler depuis maintenant un bon moment, la cyprin allant même jusqu'à s'écraser au sol sous forme de nombreuses gouttes. L'ébat n'est pas encore terminé que l'homoncule est déjà certain d'une chose: cette jeune femme et bel et bien la meilleure partenaire qu'il n'est jamais eut. Réceptive, communicative, douée, magnifiquement formée... Aucun doute, Alana est la meilleure.
<< Han... Han... !! Hmmm ouii... ! Tu es vraiment... Parfaite... ! >>
Abies se colle maintenant au dos de sa partenaire, écrasant sa petite poitrine contre la chaude peau de la jeune femme. Là, elle saisit un des tétons bien durs, estimant que ces seins ballotent depuis trop longtemps sans que l'on prenne la peine de s'en occuper. La lapine pince, tout en tirant, ne laissant maintenant qu'un seul sein bouger dans tous les sens, dans le vide. L'homoncule colle le plus possible le haut de son corps au dos de Alana, tout en faisant un mouvement circulaire afin de frotter ses minuscules mamelons enflés. La deuxième main de la magicienne s'empare à ce moment de la nuque de la rouquine, le serrant sans que ça soit douloureux à sa propriétaire. Abies sent son côté sauvage de nouveau présent, ce qui annonce une suite toujours plus torride...
La petite fille décide de passer à une autre position, afin de laisser la possibilité à Alana de s'occuper elle aussi de sa partenaire. Elle retourne alors la jeune femme sur le dos et se place entre les jambes. Elle lui écarte largement les cuisses, se mettant en bonne posture pour passer à nouveau les lèvres boursoufflée de la jolie partenaire. Se tenant sur les bras, au dessus du superbe corps, elle pénètre sans attendre et avec une férocité sans égale le vagin humide de la rousse.
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Parfaite non, formée pour ce genre d'activités, oui. Alors que certaines ont des doigts de fée à force de coudre, Alana elle, les avait eu à force de jeux sexuels. Chacun ses talents. Mais, quand bien même elle l'aurait voulu, Alana ne contredit pas l'Homoncule. Elle était, du reste, bien trop focalisée sur le plaisir qu'elle prenait en sa compagnie. Elle se laissa pourtant surprendre par la prise de contact, dans son dos, d'Abies. Jamais elle n'aurait cru que le petit Homoncule aurait un corps suffisamment long pour lui permettre ce genre de mouvement, mais après tout, sentir le corps de sa partenaire serré contre le sien ne gâchait en rien leurs ébats, au contraire. Ce contact les rendait plus... Humains. Presque.
Alana haletait tant les soins d'Abies étaient efficaces. Les tétons sur lesquels la lapine s'amusaient étaient plus durs que jamais, tendus dans l'attente ou la réception d'attentions. Attentions qui lui durent données, rendant plus difficile encore la respiration de la prêtresse.
Mais voilà que bientôt les si délicieuses pénétrations s'arrêtent. Pour le coup, la prêtresse en aurait pleuré. Pas déjà? Pas maintenant? C'est décontenancée qu'elle laissa Abies la retourner, et le regard se rallumant d'excitation en la voyant lui écarter les cuisses. Cuisses qui lui restèrent ouvertes, pour leur plus grand plaisir. C'est un nouveau gémissement de délectation que pousse Alana en sentant Abies la pénétrer à nouveau. Cette nouvelle position stimulant d'autres zones de son intimité, c'est tout aussi bon que leur position précédente. Les mouvements de bassin de la prêtresse reprirent, épousant ceux de l'Homoncule, alors que les doigts de la rouquine filèrent d'abord caresser brièvement la petite poitrine de la "petite fille", avant qu'une main ne se glisse à son intimité, commençant par quelques caresses sur son clitoris avant qu'elle ne se voit introduire un doigt en elle pour caresser ses paroi en de lents mouvements de va et vient. L'autre main d'Alana quant à elle descendit se crisper sur les fesses d'Abies, la griffant légèrement, alors qu'elle donnait sa force au bassin de l'Homoncule pour la prendre avec plus de véhémence encore.
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Dans cette position, les mouvements de bassin de Alana sont encore meilleurs. Que ça soit visuellement ou au niveau des sensations, la petite apprécie énormément. De plus, Abies peut prendre bien plus d'élan pour pénétrer férocement le vagin de sa partenaire. Cette dernière se met à caresser avec délicatesse sa petite poitrine, brièvement, avant de glisser jusqu'à l'entre jambe de la magicienne. Là, la rouquine commence à taquiner le clitoris qui était jusqu'alors en manque de gâterie. L'homoncule aime beaucoup sentir son clitoris se faire lentement tourner dans tous les sens de cette façon. Abies plonge son visage dans la poitrine de Alana et suce avec appétit l'un des durs mamelons. Des forts bruits de succion se font dès ce moment entendre. Parfois, elle sort sa langue pour rapidement lécher de son bout les auréoles, puis retourne sucer avec insistance.
La jeune femme place sa deuxième main baladeuse au niveau des fesses de la fillette, pour la griffer et s'enfourner encore plus loin le manche de la bestiale magicienne. Elle comprend alors tout de suite ce qu'attend la rouquine.
<< Haa... ! Hmmmmmm... !! Tu veux te faire... Encore plus... Défoncer... ? C'est ça... ? >>
Elle accélère alors bien plus, tout en mordillant légèrement le téton de Alana pour ne pas lui faire mal. L'une de ses deux mains s'agrippe aux cheveux rouges de cette dernière, portée par l'excitation qui est à son comble. Sa verge cogne violemment au fond de l'intimité à chaque aller à grande vitesse, limant totalement les parois de plus en plus inondées de mouille.
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Cette position, ce membre si dur, si imposant qui lui donne tant de plaisir et Abies, qui malgré son petit corps sait se montrer suffisamment forte pour exciter Alana au maximum... C'était une expérience sans précédent pour la prêtresse. Elle offrit sa poitrine en pâture à l'Homoncule, se cambrant afin de rehausser sa poitrine, alors que ses doigts, suivant le rythme de l'excitation qui grandissait en elle, se faisait plus pressants dans le vagin d'Abies. Bientôt, son index ne fut plu seul, mais ils furent plusieurs à titiller le sexe féminin du corps chétif de la magicienne, de plus en plus rapides, de plus en plus profonds alors qu'Alana poussait des cris de plus en plus aigus.
"Han... Oh oui Abies...! Si fort...! Plus! Encore...! Encore!!"
Alana commençait à perdre la tête, elle n'allait pas tarder à jouir à force des coups de butoir que lui prodiguait Abies. C'était tellement bon qu'elle en avait oublié le cadre, la présence d'autres personnes ou pas. Tout ce qui comptait c'était son corps et celui de l'Homoncule. Les mouvements de ses doigts dans le vagin d'Abies s'accélérèrent.
"Tu sens que ça vient...?"
Elle ne voulait pas jouir seule, elle voulait qu'Abies l'accompagne et qu'elles partagent cet instant de plaisirs intenses ensemble, jusqu'au bout.
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Alana rehaussant du mieux qu'elle le puisse sa généreuse poitrine, la fillette se fait un plaisir de s'acharner sur le mamelon en bouche. Tout en continuant de le lécher et de le mordiller telle une délicieuse friandise, elle tire dessus en faisant attention de ne pas la blesser. Quel bonheur que de voir ce sein s'étirer sur toute sa longueur. La main qui agrippait les cheveux de la rousse glisse jusqu'au clitoris qu'elle malmène dans tous les sens, le plus rapidement possible, afin de faire atteindre à sa merveilleuse partenaire l'orgasme tant attendu. L'autre main de la lapine empoigne subitement la gorge de la jeune femme, son envie de rapport sauvage étant à son maximum dorénavant.
<< Ha ! Haaa ! Ca... Ca va bientôt venir Al... Alanaa ! Profite bien... De ces dernières... Haan ! Minutes avec... Mon... Hmmm ouiii ! Mon poteau... !! Je vais... T'exploser... L'orifice ! >>
La magicienne se lâche totalement, sentant la jouissance arriver, elle profite alors pleinement de sa partenaire fétiche. Elle veut la défoncer. oui, c'est exactement le mot. La fillette en temps normal s'en veut pourtant d'avoir ce genre de comportement pendant une relation, mais avec la jeune femme, tout est différent. Plus aucune facette n'est cachée, Abies lui fait étalage de sa personnalité sexuelle en toute confiance.
Sa main se sert de plus en plus autour du cou de la rousse, sans pour autant l'étouffer, ses fluides arrivant déjà. Emportée par l'émotion, la lapine plante Alana vers le haut, afin de lui râper l'intérieur comme jamais elle ne l'a fait jusqu'ici. Les dernières secondes, la force de pénétration est telle que la jeune femme se retrouve secouée de partout, le sein libre ayant un mal fou à suivre la cadence. Enfin, le moment tant attendu arrive. L'homoncule enfourne alors le plus loin possible sa verge, s'écrasant complètement sous le choc arrivé au fond de l'intimité.
<< Ca sort... !! Prépare-toi... Je sens qu'il... Haaaa ! Qu'il va y avoir... Haan... La dose ! Hmmmm ouiiii !! >>
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Les derniers instants de tensions sont si bons qu'ils qu'ils font gémir Alana, encore et encore. Finalement, elle se laisse aller et la vague du plaisir l'emporte, déferlant sur ses sens et l'entraînant avec elle. Son souffle, qui était déjà court sous les doigts d'Abies, se bloqua complètement alors qu'elle jouissait et que son corps était traversé de spasmes de plaisir. Autour de son membre, l'Homoncule pu sentir les parois vaginales de la prêtresse agitées de soubresauts. Le corps de la rouquine resta tendu encore un instant, son dos cambré, ses yeux fermés et son visage arborant un doux d'hébétude avant qu'elle ne se relâche complètement, d'un coup. Son dos rejoignit le carrelage de la piscine, son souffle revint, du moins il tenta de revenir. Elle n'acceptait cependant pas l'idée qu'Abies se retire tout de suite, elle enserra donc la petite taille de l'Homoncule entre ses cuisses et l'attira à elle, passant doucement sa main dans ses cheveux.
"C'était fantastique Abies..."
En effet, l'orgasme qu'elle venait de lui offrir était des plus agréables, des plus dévastateurs. Quoique ce genre de satisfaction sexuelle pouvait très vite la rendre accro.
"J'espère que ça a été aussi bon pour toi que pour moi..."
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Déjà terminé... Les meilleurs moments sont malheureusement les plus courts, comme on dit. Court, oui, mais d'une intensité que Abies n'avait jusqu'à aujourd'hui jamais connu. C'était tout simplement magnifique, et encore, le mot est faible. Comment expliquer ce qu'a ressenti la lapine pendant ce rapport sans précédent ? Il est tout simplement impossible de définir avec exactitude.
<< Alana... M... Merci... C'était fantastique... Divin... >>
Alana sert la lapine contre son corps. A bout de souffle, l'homoncule puise dans ses dernières forces pour se serrer fortement contre sa partenaire. Les mains de cette dernière passent dans les cheveux argentés de la magicienne, ressentant à ce moment une vague de frissons parcourir tout son corps. Elle se sent bien, ici, dans les bras de la jeune femme. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas eut le droit à un câlin aussi doux. Elle ferme alors les yeux, récupérant son souffle peu à peu, et cale son visage dans la poitrine de la jeune rouquine, tel un chaton. Leur chaleur ne faisant qu'un, Abies aimerait que ce moment soit éternel.
<< Alana... Est-ce que je te reverrai... De temps en temps ? >>
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La prêtresse gardait les yeux baissés sur Abies, regardant ses doigts faire de lents passages le long de sa colonne vertébrale. La question de la petite la fit un peu rire, il fallait l'avouer.
"Bien sûr Abies. Je t'ai promis tout à l'heure de venir prendre de tes nouvelles dès que je pourrai."
Et, Homoncule ou pas, sexe ou pas, Alana tiendrait parole. Elle n'était pas du genre à donner sa parole comme on passe le sel à quelqu'un à table. Ce genre de personnes qui juraient par monts et par vaux sans jamais se soucier de qui les prendrait au sérieux ou pas avait le don d'agacer Alana, qui il fallait l'avouer croyait souvent aux fables qu'on lui chantait. La vérité étant qu'elle était à la fois très désabusée des intentions d'autrui concernant son corps mais aussi très naïve en ce qui concernait leurs soit disant aventures. Elle avait été abusée quelques fois, en avait souffert, et elle ne tenait pas à faire souffrir à son tour. Surtout pas Abies qui venait de la combler sexuellement parlant.
"Par contre, je ne te promets pas de pouvoir passer tous les jours. Mon emplois du temps est très instable, mais je t'assure que dès que j'en aurai la possibilité, je viendrai te voir si tu veux."