Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Cordis plumbum le jeudi 05 novembre 2009, 22:37:14
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Je voulais oublier un instant ce qui c'était passé aujourd'hui, aussi je ne fut pas présente en cours, les professeurs, pensaient tous que j'étais encore à l'infirmerie, ce n'était pas inhabituel, surtout quand on savait que mon IMC continuait de baisser, je manquait cruellement de sommeil, n'avait même pas le courage de manger un fruit ou une barre énergétique, j'avais attendu un moment d'inattention des pions et du corps de de l'enseignement. Je passa par un chemin que j'avais repérée depuis mon premier jour dans cet établissement, qui n'avait rien de joyeux, tous le monde se plaisait à draguer ou même faire certaine chose qui me dégoutait à présent, tous cela à cause d'une nuit dans un cimetière et un coup venant de la muse de la malchance. Personne ne semblait me suivre et de toute façon, peu voir aucune personne ne m'aimait, tous cela à cause de coïncidence faisant croire aux élève que le simple fait de les maudirent entrainait des malheurs sur la personne qui était ciblée.
Je me guidait en fonction des odeur, quand on me bousculais, je me laissa repoussée, en espérant à chaque contact de ne pas tomber sur un monstre qui voudrait me violenter, voir pire. je ne voulais pas avoir encore se genre de situation, j'avais bien essayez de me jeter du haut du lycée, mais j'avais des personnes qui me surveillais pour ma sécurité, j'aurais bien aimée pouvoir mourir, pour une fois que j'avais eut le courage de vouloir me suicider, quoi qu'il en soit j'arrivai enfin vers ma destination, le bar le plus discret de la ville et où l'on ne vous demandait rien, hormis de prendre une consommation. je vint voir le patron et me mis à boire de la vodka, le goût fut au début difficile à supporter, mais au fil des verres, cela passa tous seul, continuant toujours de boire, encore et encore, puis vient un moment où mon verre étais vide, je le montra au barman qui dit.
- Allons mademoiselle c'est pas sérieux, c'est déjà un miracle que vous puissiez brandir ce verre, je ne veux pas avoir une morte dans mon établissement.
- M'en fous je veux me saouler jusqu'à ce que mort s'en suive.
- Allons, je doute que vous puissiez payer ce que vous avez bu, de plus il ne faut pas parler de la mort avec autant de légèreté.
- Je vous paierais ce que vous voulez, pourvut que je puisse boire et oublier.
J'étaie complètement ivre, mais cela me faisait un bien fou, Je ne pensais à rien hormis boire jusqu'à ce que mon bras ne puisse plus soulever ce verre. J'étaie tellement saoule que je ne sentit pas une présence approcher.
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Sale journée… depuis qu’il était arrivé sur cette planète il n’avait rien eu à se mettre sous la dent.
Il avait essayé de chercher des tavernes avec une ambiance qu’il lui convenait, c'est-à-dire de la boisson à profusion et des jolies files pour la fin de la nuit, mais il n’avait rien trouvé.
Il avait fini dans ce rade pourri « : Pas une seule gonzesse » se maugréait-il.
Cela faisait de longues heures que Thorfiin était avachi sur sa chaise, le ventre plein, la vue trouble, et l’esprit partiellement déréglé : il avait bu, et beaucoup.
La porte s’ouvrit comme à chaque nouvelle entrée de clients, phénomène rare. Il leva la tête, espérant découvrir une vraie femme, mais à la vue de Cordis, il soupira un grand coup
« : Maigrelette ! »
Le temps passait et Thorfin était toujours sous l’emprise de l’alcool mais il n’était plus le seul. Il entendait la jeune fille ivre se disputer avec le tavernier pour avoir un verre de plus. Elle l’énervait, ne pouvait-elle pas la fermer ?
Thorfin se retourna, la vit le dos courbé sur ses verres vides : « Je devrais lui donner une leçon » pensa-t-il. Elle n’était vraiment pas prudente, on aurait dit qu’elle le cherchait ! Et puis il avait vraiment trop envie.
Il se leva lentement et laborieusement de sa chaise en s’appuyant douloureusement sur sa table. Il alla directement vers Cordis et lui fit un sourire :
« Alors p’tite , on est une rebelle ? On veut boire mais on n’a pas l’droit ? Bon allez j’ch’ui de bonne humeur aujourd’hui, j’m’occupe de tout ! »
Ce ton sympathique n’allait pas à la voix de Thorfin, on sentait qu’il y avait anguille sous roche, il n’était pas convaincant pour un sou.
Il remarqua à ce moment là la cécité de son interlocutrice et se gaussa intérieurement « Ca sera encore plus marrant, haha ! »
Il se dirigea vers le zinc et commença à parler avec le tavernier. Les hommes ne discutaient pas fort, Cordis ne pouvait presque rien entendre, surtout avec les cris des autres clients. Elle parvenait juste à entendre des bribes de mots, ainsi qu’un grand rire entre les deux hommes à la fin de la discussion.
Le géant revient au rythme de ses lourds pas vers Cordis, il posa sa main sur son épaule :
« Allez viens, on a pas l’droit d’boire ici, mais j’ai réglé ta note et ach’té d’l’alcool, on va s’amuser..hin hin.. j’ai pris une chambre c’est juste en haut.. on pourra euuh.. faire des jeux .. haha ! »
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Je ne fut nullement surprit d'entendre un vieux croulant me faire la remarque de mon âge, aussi je en dis rien, attendant qu'il dise un mot de trop pour le remette à sa place, l'alcool me faisait du bien et j'étaie un peu plus causante, mais pour faire du mal par les mots, personne en me retirera la joie que j'ai en étant saoule, encore moins un vioque qui est lui aussi un habitué de l'alcool.
Je perçu des mots, rien de bien rassurant, mais au moins le tavernier me fera pas chier avec ces remarques qui sont bon pour une gamine normale, une enfant violée est plus mature qu'une autre n'ayant pas eut de rapport sexuel, en tous cas pour moi, cela me donnait juste une raison de plus de vouloir crever.
Aussi il recommença à parler et ces intentions était clair, ces "jeux" n'allaient en aucun cas être sensuel ou doux, aussi je me leva de la chaise et lui mit une baffe, les larmes aux yeux devant cet être immonde et lui criant dessus;
- Vous ... Vous croyez que je vais encore me laisser faire par un chantage de ce genre ?! Allez en Enfer, après vous verrez si vous feriez la même chose.
Je voulut partir, mais une horrible douleur me parcourut le ventre, là où ce monstre m'avait violée, je me trouva à genoux au sol, gémissant de douleur, cela faisait terriblement mal. Je me releva avec peine et tenta de fuir ce lieu qui était devenue une bergerie, où c'était moi le mouton et les autres des loups affamé. En continuant à me trainer vers la sortie, je dit à ce maître chanteur.
- Je préfère crever que de vous laisser me toucher.
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Le barbare encaissa la claque sans rien dire. Il avait été surpris par l'audace de la gamine, et il allait lui faire payer.
Généralement il aimait que ses victimes se rebellent et tentent de résister, mais il avait horreur qu'on ose s'attaquer physiquement à lui.
Il avança vers la petite qui se trainait par terre et l'attrapa par les cheveux
"Où est ce que tu vas? J't'ai dit qu'on allait s'amuser ensemble ! "
Se moque de sa douleur qu'il croit causée par l'alcool
"Hehe les gonzesses c'est pas fait pour boir' ! J'arrête pas d'le dire !"
La soulève et la balance sur son épaule, les fesses en l'air puis se dirige vers l'escalier donnant sur l'étage et ses chambres.
Arrivé devant les marches il se retourne, et provoque un rire général chez les soulards en leur criant
"Bonne nuit la compagnie ! Si vous entendez des cris, ça s'ra d'ma faute , haha !"
Il monte alors, en faisant un rire sombre et malsain et en chuchotant à la pauvre Cordis
"On va bien s'amuser hin hin !"
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J'avais eus mal en sentant mes cheveux se faire prendre sans ménagement, c'est alors que mon corps tremblait, pourquoi devais-je tomber sur des bêtes voulant abuser de moi, qu'avais-je donc fais aux dieux ou à mon étoile pour avoir un destin aussi tragique, avant j'étaie une humaine, qui avait une vie, des amis, une famille sans doute, des amants et amantes, pourquoi aujourd'hui ne suis-je plus qu'un objet de débauche.
quand il commença à monter les escalier, je me mit à demander de l'aide aux autres clients, qui se mirent à rire de mon malheur, mon instinct de survie se mit en route quand j'entendis le gros lard me dire qu'il allait bien s'amuser, avec l'énergie du desespoir, je mordit un morceau de sa chair en y mettant autant de force que possible, le résultat fut le suivant.
Je me libéra mais dévala tous les escaliers dans une chute interminable, un fois tout en bas, je souffrais énormément, mais je pus, grâce à de la chance, trouver un couteau et me le plaça sous la gorge, près à mettre fin à ma vie. Je en voulait pas mourir, mais pas non plus être un objet sexuel, mon couteau tremblait, signe que j'avais peur de ce que je faisais, les client sifflait et tapait sur leurs table, en rythme en disant.
- Fais-le ! Fais-le !
J'entendait le tortionnaire approcher et plaqua davantage la lame sous ma gorge, faisant une légère entaille, mais je en vit pas la baffe arriver et me la prit de plein fouet, ma tête cognant contre le bar et m'assommant au passage. Le réveil promettait d'être désagréable.
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"Quelle petite salope !" Se disait Thorfin en balançant Cordis sur le lit de la chambre qu'il avait loué.
Celle-ci avait failli mettre fin à ses jours pour lui échapper et cela l'avait fait sortir de ses gonds. Quand il voulait une fille, il l'avait ! Aucune n'était parvenu à fuir, ce dont il n'était pas peu fier.
Il ferma bien la porte à double tour et cacha la clef "On ne sait jamais !" pensait-il.
Il vérifia après en ouvrant la bouche de Cordis que celle ci n'était pas une vampire ou une toute autre créature qui pourrait s'avérer dangereuse. La gamine était bien humaine, il pouvait donc s'en donner à cœur joie.
Il était temps de passer à l'action, Thorfin lui donna une grande baffe, puis une autre pour la réveiller.
Lorsque ce fut le cas il rit un grand coup en voyant la tête effarée de la pauvre fille.
"Tu croyais p'tete que c'était un mauvais rêve? Haha !"
Il lui fit un regard pervers en la prenant par le menton puisil ouvrit sa braguette, sorti son (énorme) sexe et dit sombrement :
"Maintenant suce la ! Et je te préviens si tu mords... tu passeras le pire moment de ta vie !"
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J'avais eut raison en disant que le réveil serait peu agréable, ramassez-vous deux bonne baffe par une main de bucherons, si après ça vous êtes pas réveillé, c'est que vous êtes en roc. Ce n'était pas mon cas, la première me sortit de ma torpeur, la seconde me réveilla bin, avec la sensation que ma joue était en feu.
rien que le fait d'entendre sa braguette s'ouvrir, cela eut comme effet automatique de fermer ma bouche et me mordre de l'intérieur, la lèvre inférieur, je n'allais pas me laisser faire, un viol était déjà traumatisant, mais deux, je n'osait pas savoir comment j'en ressortirait, peut être à l'état de servante bien docile, peut être dans un état proche des zombies.
Quoi qu'il en soit je voulut me débattre, une baffe m'accueillit à la place, je ne cria pas de douleur, retenant ma bouche le plus fermé possible, des larmes remplacèrent mon cris de douleur, cela eut au moins le mérite de refroidir mes joues rouge et chauffées.
Il fallait tenir, peut être qu'il se lassera de moi et me dira de partir, quoi qu'il en soit, s'il osait me la mettre dans le gosier, je mordrait jusqu'au sang son membre, même si je dois y passer, je ne me ferais pas violer une nouvelle fois. Mon esprit aurait trop de mal à supporter encore un viol.
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"Ce qu'elle m'agace !" Se disait Thorfin en violentant la petite pour la calmer :"Et voilà qu'elle commence à chialer !"
Thorfin voyait bien dans ses yeux qu'elle ne se laisserait pas faire, il le sentait. Pour ces cas là il avait des outils, malgré le fait qu'il n'aimait pas les utiliser, ça gâchait un peu le plaisir.
Il se pencha et prit un petit objet qui grâce à un mécanisme forçait la personne à garder la bouche grande ouverte.
Il attrapa Cordis, la balança sur une chaise, et lui lia les mains dans le dos bien que la jeune fille se défendent comme une tigresse. Il aimait ça, la voir se débattre sans pouvoir échapper à son destin.
Il attrapa sa tête en serrant fort ses joues, collant sa grosse tête contre la sienne, et lécha et embrassa le visage d'ange en pleurs, qui lui faisait face.
Il pris alors sa mâchoire qu'il serra fort pour l'obliger à ouvrir sa bouche.
Après quelques secondes de manipulation il parvient enfin, non sans mal, à placer l'objet dans la bouche de la petite.
"Haha tu vas aimer ça tu vas voir !" S'exclama-t-il, avant d'enfoncer son sexe encore mou dans sa bouche.
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Je me fis jeter, et encore jeter c'est assez gentil, vers la chaise, la faisant tomber en même temps que moi, en voulant me relever, je constate que mon corps n'est pas guéris de ma dégringolade de l'escalier. Aussi fut-il facile pour lui de me lever, mais je n'hésitais pas à tenter de le griffer ou de le mordre, mais malheureusement tous cela ne fit pas grand chose et il me mit un drôle de truc qui me bloquait la bouche ouverte.
J'avais bien sur essayée de l'empêcher de mettre ce machin, mais la force de sa poigne était de loin supérieur à celui de ma mâchoire. Devant ce constat je continuai à essayer de me libérer, bougeant dans tous les sens, puis j'entendis le tortionnaire me dire que j'allais apprécier, je ne pouvait pas crier, la peur m'entravait la voix.
Aussi en sentant quelque chose entrer dans ma bouche, je ne prit même pas le temps de savoir ce que c'était, tentant de bouger la tête pour le faire sortir de ma gorge, après dix seconde de réflexion, je put tourner suffisamment la tête pour que la chose sorte complètement, non en sentant avec dégout que j'avais bavée dessus, l'ennuie c'est que ma tête était à sa limite de rotation et donc c'était douloureux de le maintenir, sans compter qu'il aurait suffit d'une petite pression du bourreaux pour que ma colonne vertébrale en prenne un coup. Mes yeux continuait d'humidifier mon visage, je en voulait as qu'il continu, mais personne et surtout pas moi ne pouvait arrêter ce monstre de s'amuser avec moi;
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"Aaah !" Un soupire gras fut lâché lorsqu'il enfonça son sexe au fond de sa bouche. Alors qu'il était encore mou et voyant que Cordis parvenait à échapper à son membre par un effort extrême, il prit fermement la tête de la petite entre ses grosses mains :
"Bah alors p'tite salope tu veux pas sucer? Alors moi j'vais t'aider, haha !"
Il plaça à nouveau son pénis au fond de sa gorge "Allez suce, t'vas voir, t'vas aimer ça!", dit-il alors qu'il commençait à donner des coups de bassin pour se donner du plaisir.
"Tu vas voir ce que c'est de le faire avec un vrai mâle, pas comme tes p'tits copains ces taffioles !"
Alors qu'il continuait ses vas et viens en maintenant la tête de la pauvre aveugle bien en place, il pose une main lourde sur ses cheveux la forçant à reste droite alors que l'autre caressait son visage.
Il descendit ensuite sa main sur la poitrine encore naissante de Cordis "Hmmpff planche à pain" s'exclama-t-il. Il prit alors un couteau avec lequel il taillada la robe en lambeaux. "Hmm mignonne la petite, hin hin" dit-il en admirant Cordis totalement nue mis à part sa culotte.
En continuant de se prendre le sexe de géant de Thorfin dans la bouche, celle ci pouvait sentir qu'il grossissait petit à petit. Elle entendait aussi le souffle du vieux pervers s'accélérer et s'amplifier.
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Je ne pouvais rien faire, hormis gémir de dégout, mo visage montrant aussi ce sentiment, essayant de ne rien faire pour ne pas faciliter la tâche de ce porc.
* Je n'ai pas de petit copains et je n'en aurait sans doute jamais*
Rien que le fais d'avoir ce membre dans ma gorge me faisait saliver, non pas que j'aimais, mais c'est un mécanisme automatique où je n'ai aucun contrôle. J'eus des frissons de peurs à chaque fois que je sentais ces affreuses patte me toucher le visage, qui continuait à verser des larme de lamentation.
J'eus un cris de peur en sentant la lame froide du couteau m'effleurer et mettre en charpie mes vêtements, j'aurais le droit de devoir trouver un vêtement de rechange ou courir en petite culotte pour m'enfermer dans le dortoir.
Le fond de ma gorge déglutissait à chaque fois que j'avais trop de salive, ce qui stimulais aussi l'engin de ce vieux croulant, j'avais d'ailleurs de plus en plus de mal à supporter ce pénis qui grossissait et commençais à allez plus loin que le fond de ma gorge, non sans que je me mette à montrer des signes qui montre que son membre allait trop loin dans ma gorge qui se contractais pour tenter de rejeter le membre, mais en faisait que le stimuler encore plus.
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"Mais c'est que tu l'tète, p'tite suceuse, Haha" Dit-il en sentant les mouvement de bouche de la petite, obligée de déglutir.
Les vas et viens s'accentuaient, le souffle du vieux dégueulasse s'emballait, et Cordis pouvait sentir que ses gestes étaient de plus en plus saccadés. Il empoigna alors fermement la tête rousse de la jeune fille et enfonça son sexe au plus profond de sa gorge, et d'un coup éjacula dans un long râle "Aaahh haha ! Salope va !"
En retirant son sexe de sa bouche, il lui fit lever la tête pour la forcer à avaler. "Goutu n'est ce pas hein?!"
Lorsqu'elle l'eut fait, il lui retira, non sans mal, le petit objet qui lui maintenait la bouche ouverte et le mit dans sa poche.
"On va passer aux choses sérieuses maintenant hinhin.." formula-t-il en jetant un regard sur la culotte de Cordis.
Il se déshabilla complètement et arracha la culotte de la petite, puis la détacha et avant qu'elle ne puisse se rebeller l'envoya sur le lit trop mou. Il la plaça sur le dos et vint directement sur elle, son gros sexe encore collant se tenant contre le ventre de la fille.
Elle pouvait sentir toute la puanteur, la sueur, ainsi que les gros poil long du vieux pervers.
Il commença à l'embrasser, la suçoter, la lécha sur tout le corps en s'attardant sur ses petits seins et ses cuisses. Il lâchait des grognement immonde tout en la caressant, sa main enfin se dirigea vers la féminité de Cordis.
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Je sentit ce barbare prendre sont pied à me faire cela, j'eus aussi un cris étouffé quand il m'enfonça son membre le plus loin possible, j'avais l'impression qu'il aurait put éjaculer directement dans mon estomac, tellement cela allait loin, mes yeux était grand ouvert devant la douleur que cela engendrait et je devais en plus subir l'humiliation de devoir boire sa semence.
Au début je me débattait contre moi même pour ne pas boire, puis sentant que j'allais perdre cette bataille je retenu ma respiration et bu aussi vite que possible, non sans tousser tellement c'était dégueulasse.
Bien sur que quand je sentais mes liens détachés, je voulais partir, mais le matelas complètement défoncé et donc mou, m'entrava tout mouvement de fuite, je sentit l'odeur de se type, mon odorat était un peu plus développé, je sentais encore plus son odeur répugnante.
Quand il commença à me toucher et poser sa langue très rappeuse sur mon corps, je me mis à crier de toute mes force, à défaut de ne pas pouvoir me battre, je pouvais essayer de le rendre sourd.
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"Mais ta gueule !" Dit il en lui envoyant un coup de poing particulièrement appuyé.
'Hmm ravissante" pensa t-il en enfonçant deux gros doigts dans la partie intime de Cordis "Et c'est pas ta première, hein? Cochonne !"
Il ne s'attarde pas aux caresses, prend une de tes mains et la pose autour de son sexe "Fais moi bander alors ! Et si t'es gentille j'te l'enfoncerai pas dans l'fion !"
Se lèche les babines d'un air dégueulasse et pervers. La main de la petite semble minuscule à côté du gros membre du géant. Il prend l'autre main "Et avec celle ci tu vas m'tater les bourses, hinhin .."
Le gros porc se laisse faire, le poing serré et levé prêt à frapper au moindre faux mouvement de la part de Cordis.
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Je poussa un bref cris de douleur, il avait une grande force, ce qui ne me rassura pas du tout. Mais je me tut en sentant ces doigts entrer en moi, j'avais trop peur de me ramasser encore un de ces coup de poing. Mais sa remarque sur mon manque de virginité ce fit accueillir par une phrase que je dit en sanglotant, ma voix haussa de ton sans que je le veuille.
- Je me suis fais violer il n'y a pas longtemps, voue êtes content !
J'eus le droit de lui prendre le sexe avec ma mains droite, la plus douce et la plus vive, j'étaie droitière et donc de ce fait la mains gauche était plus pour des actions lente. Mes doigts euret d'ailleurs du mal à faire complètement le tour du sexe, sa menace me faisai de l'effet, en effet je ne voulais pas qu'il me viole, pour l'instant je n'avais pas eus de sévisses trop grave, mais rien que le fait de ressentir encore une fois un membre violer mon vagin me rendait malade.
aussi je fit tous ce qu'il me dit, en sanglotant certes, mais en faisant de mon mieux pour qu'il soit content de moi et me laisse tranquille. Je m'appliquait à ce que mes caresses soient douce et offre un maximum d'effets, tout en branlant ce membre qui semblait ne pas avoir de limite pour grandir.
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Il caressait les cheveux de la petite, en effet il était très fier d'elle et vraiment content qu'elle lui obéissent véritablement.
"Haha t'as tout compris avec moi, si tu veux qu'j'sois doux, faut qu'tu sois douce avec moi !" Dit il avec un ton plus calme que tout à l'heure.
Quand il apprit que Cordis venait de se faire violer il éclata de rire
"Hoho ! Mais tu les attires les merdes !
Bon j'suis quand même pas sans cœur bondieu, alors je vais t'laisser un choix.
Faut que j'me vide, là c'est pas fini, alors tu choisis entre l'devant et l'derrière. Si tu prends pas d'décision alors ça s'ra les deux !"
Il caressait, tordait, et pinçait les tétons de la petite en attendant sa réponse
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Au moins j'avais le choix, je me demandais d'ailleurs s'il ne me tendait pas un piège, mais je me dit qu'il devait avoir une certaine parole, ma preuve étant qu'il semblait plus calme et décontracté, chose qui pouvait tourner à mon avantage.
L'ennui fut que je ne voulais pas me faire violer, mais que devoir encore boire son sperme, en me tentais pas non plus. Un choix qui avait plus un penchant pour la seconde option, car je pourrait plus tard vomir son liquide dégueulasse dans les wc du lycée, c'était quelque chose que je faisait souvent et donc personne ne serait étonné.
Le temps passa un peu, j'esperait qu'il ne prenait pas mon temps de réflexion pour une indécisions, aussi je prit la parole, non sans montrer que l'idée ne me plaisait guère.
- Si j'ai le choix alors je préfère par devant.
Restait à savoir qu'elle entourloupe il allait me faire, en espérant surtout qu'il ne me viole pas.
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Le géant semblait même gêné maintenant qu'il savait qu'elle venait de se faire violer. Il ne sent rendait pas du tout compte mais il s'était véritablement adouci. Mais si jamais il n'en venait qu'à supposer qu'il faisait preuve de culpabilité, alors il redeviendrai une furie, prête à tout pour assouvir ses envies.
"Haha euuh.. bon bah ma p'tite je vais y aller doucement, comme ça t'auras qu'à imaginer qu't'es avec ton amoureux, haha.."
Maintenant il était dur, son gland était redevenu rouge, presque violet et de grosses veines parcourait sa verge. Il se plaça entre les jambes de la petite, les écartant méticuleusement et enfonça doucement son sexe dans son vagin. Il laissa échapper un grogne
"Hmmpf"
Il trouvait ça vraiment serré, et ça lui plaisait, toujours inconsciemment il se contrôlait, il n'effectuait pas ses vas et viens comme un phoque, il veillait à ne pas s'enfoncer trop profond et caressait calmement les cuisses de la jeune fille. Il demanda alors d'un tout troublé
"Ca va?"
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Je sentais au son de sa voix et à sa façon serrer ce mains, qu'il avait changé, comme-ci le simple fait de lui avoir dit que j'avais été violée, avait adoucis le côté bestial de cet être, cela me fit sourire intérieurement, tous les hommes n'étaient donc pas mauvais ?
Sa remarque sur mon amoureux me rappela un de mes souvenirs, j'en avais avant, deux et du sexe opposé, mais maintenant je doute qu'ils se rappellent encore de moi, sans doute sont-ils auprès d'une femme qui les a acceptés, j'eus un sursaut en sentant son sexe entrer dans mon vagin. Je mettait trompée dans ma traduction, quand il disait devant ou derrière il parlait en fait de mon vagin et de mon anus, je ne pouvait rentenir un petit cris de peur, mais le mal était fait, d'un autre côté j'étais contente, car son membre aurais fait beaucoup plus de ravage et puis si mon vagin s'en trouvait martyrisé, cela permettrait sans doute de ne plus être violée.
Aussi avec certaine larmes coulant sur ma joue j'attendis qu'il fasse ce qu'il avait à faire, mais une question me turlupinais et je me devais de le dire. Ausssi quand il me demanda si j'allais bien, je lui répondis.
- Moi oui, mais vous semblez avoir de la pitié, est-ce parce que je vous ai dit que j'ai été violée que vous vous montrer plus gentil envers moi ou cherchez-vous encore à me faire du mal en jouant une comédie ?
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Le géant devient tout rouge et fout une énorme baffe à Cordis avant d'hurler tel un fou furieux
"Qu'est-ce tu racontes p'tite gueuse ! Moi, éprouver d'la pitié? J'connais pas ça, ch'ui pas une taffiole !"
Lui donne un gros coup d'poing dans le ventre
"Tu te fous de moi hein salope ! J'vais t'apprendre à me respecter, j'vais t'faire souffrire, te prendre de partout ! Et tu vas aimer ça, haha ça va t'plaire !"
Son ton de voix et ses gestes donnent l'impression qu'il est complètement fou. Et c'est ce qu'il est, fou de rage.
Il attrape sa ceinture à côté du lit et l'enroule autour de la bouche de la petite pour lui garder ouverte et qu'elle ne puisse parler
"J'vais t'faire crier tu vas voir, on s'moque pas du grand Thorfin !"
Il retourne sur le ventre violemment, et balance loin du lit tous les oreiller et les draps. Puis il attrape fermement les fesses de Cordis, alors qu'au même moment il enfonce son sexe dans son vagin.
Il enfonce 1, puis 2, puis 3 doigt dans l'anus de Cordis en continuant de bougonner et de hurler.
Il met tout sa force dans la pénétration et dans ses attouchement, elle peut l'entendre souffler comme un porc
"hmppf..haha.. hmmpf !"