S’il y a une chose que j’aime beaucoup, c’est bien ce genre d’endroit. Qu’importe la musique trop forte, ces jeunes corps sont pleins de cette envie d’assouvir leurs désirs charnels. S’il y en a qui l’assume, d’autre moins. Mais c’est toujours un plaisir de me jeter dans cette mêlé et de tirer le maximum de plaisir. Homme ou femme, qu’importe tant que je me vide. J’ai quelques lieux en têtes, certains sont plus fréquentable que d’autre mais ici il n’y a que peu de limite. Alcool, drogue, sexe, tout est à profusion quand on sait où aller, dans quel recoin, quelle alcôve.
Cela fait un moment que je bouge au rythme des sons qui, pour moi, ne sont pas de la « musique ». Mais qu’importe, leur usage n’est certainement pas dédié à la culture musicale, mais plutôt à l’épanouissement charnel.
Je caresse les femelles avec qui je bouge, je me colle et je respire leurs envies. Je leur donne un aperçu du miens et bien souvent ça fait mouche. Puis je me retire dans un coin avec ma conquête et je le besogne. Puis j’y retourne, encore et encore. Mais là soudainement c’est différent, je sens une odeur particulière. Une femelle pas comme les autres. Toujours en train de bouger, je scrute et je cherche cette chatte en chaleur qui me titille. Puis je trouve quelqu’un de très appétissant. Je me glisse à côté et elle vient se coller à moi.
Je suis habillé d’une chemise fine et en partie ouverte. J’ai un pantalon noir et des chaussures mais aucun sous vêtement. Je sens le désir et j’ai très envie d’elle. Mes mains viennent glisser le long de sa hanche tandis que je n’hésite pas à lui faire sentir à quel point elle me plait. Je plonge mon regard dans le siens et je ne la quitte plus des yeux. Elle n’est pas humaine, mais moi non plus. Mon nez collé à sa nuque, je la lèche sans me gêner. Rien qu’au goût je sais ce qu’elle est.
Mes mains glissent sur elle sans aucune crainte, un corps à corps malsain qui n’a rien de distingué. Mon langage corporel est très clair sur ce que j’attends et sur l’énergie qui va s’en dégager.