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Fille de bonne famille, Aya avait quitté le Royaume terranide à l’aube de ses dix-huit ans. Ses parents ne s’étaient pas montrés très enjoués face à cette décision spontanée de leur fille mais sous sa persévérance, ils furent obligés de l’accepter. Cependant, pour assurer sa sécurité, une seule condition fut posée à la lapine : emmener avec elle son ami d’enfance. Un terranide lion, un guerrier plutôt bien bâti, qui ferait pâlir lesquels que les gredins qui oseraient s’en prendre à la jolie demoiselle. Il avait plutôt une fonction de garde du corps alors que son amie gérait l’argent, les provisions et décidait des voyages et des routes à prendre.
Pour survivre, quand son ami se contentait du strict minimum, Aya dansait sur les places de petits villages. Elle divertissait les foules et recevait quelques pièces et invitations. Ainsi, elle assurait la bonne tenue de leur budget et leur permettait de s'approvisionner régulièrement. Par ce même biais, la lapine avait entendu parler de Nexus, la cité-état. Tout de suite, sa curiosité s’était éveillée à son égard. Pour elle qui rêvait de découvrir le monde, toutes les cultures qu’il renfermait, c’était devenu presque logique d’en faire la prochaine étape.
Après un voyage bien pénible, de nombreux dangers les avaient guettés au point que sa route fut séparée de celle de son compagnon d’infortune. Aya arrivait donc seule et un peu désemparée à Nexus. En fin de journée, après un bref tour, elle pouvait aisément remarquer que peu d’activités animaient les rues qu’elle avait été si impatiente de découvrir. Tous étaient rentrés chez eux auprès de leur famille ou peuplaient les tavernes de la ville : un lieu idéal pour faire des rencontres.
Ainsi, un peu par hasard, Aya entra dans la première trouvée pour s’installer au fond. Elle commanda un verre, trop cher pour la médiocre boisson. Elle se rendait d’ailleurs compte que sa bourse avait fondu comme neige au soleil et qu’il serait bien difficile de trouver une auberge sans ruiner ses dernières économies.
Mais la terranide avait toujours été débrouillarde et lui fallut peu de temps pour trouver une solution. Elle séduirait un homme, ainsi plus de problèmes pour se loger, n’est-ce pas ? Il fut encore plus rapide d’en trouver un à son goût.
Il semblait plutôt grognon cela dit. Mais cela n’arrêta pas la lapine qui s’assit juste à ses côtés. Armée de son plus beau sourire et décolleté, elle tenta une approche plutôt simple :
« Tu sembles contrarié ? Puis-je rendre ta soirée un peu gaie ? »
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Assise de côté, la lapine était tournée vers son interlocuteur, un coude posé sur le bar et la tête reposant dedans sa paume. Un charmant sourire égayait son visage alors qu’elle écoutait son honnête réponse.
Certes, Aya aurait préféré tomber sur un jeune noble fortuné à dépouiller mais celui-ci lui conviendrait parfaitement pour la nuit. Après tout, la danseuse avait surtout besoin de trouver un logement pour la nuit ; le jeune homme semblait déjà sensible à son charme naturel.
D’un signe de la main, la terranide se décida à commander la même boisson. Elle la porta à ses lèvres mais le goût fortement alcoolisé lui arracha une petite grimace.
« Je viens d’ailleurs, je suis en voyage. Mais dans ce cas… Tu peux peut-être me protéger de ces dangers ? »
La lapine n’était pas la dernière des cruches, non plus. Elle avait bien remarqué en entrant le regard que certains vieux pervers lui avaient lancé, commentant de quelques mots à peine compréhensibles sa poitrine. Mais Aya avait connu bien pire au cours de son voyage, capable de se défendre, elle n’avait guère peur du danger.
Son attention était ainsi focalisée sur son interlocuteur. Un de ses pieds rejoignit le sol et la voyageuse se pencha vers le jeune homme. Sa main droite se posa sur son genou et remonta sur sa cuisse.
« Je suis sûre qu’on peut trouver un marché équitable ! »
Elle se coupa et se reprit place sur son tabouret pour prendre une nouvelle gorgée. Décidément, ce n’était pas fait pour elle.
« Au fait, je m’appelle Aya et toi ? Tu es un habitué de la taverne ? chercha la voyageuse à faire plus ample connaissance. »
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Ses réactions étaient un peu difficiles à comprendre. Pourtant, Aya sentait le jeune homme réceptif, à la conversation et sa proximité. Peut-être était-il juste pudique ? Ou timide ? Difficile à savoir sans trouver un endroit plus intime pour discuter.
La lapine connaissait bien trop mal la ville pour savoir où ils pourraient se rendre. Après tout, si elle avait été parfaitement à son aise ici, elle l’aurait peut-être pas approché ou sans ce but impérieux. Elle doit avouer qu’il est tout à fait à son goût.
« Enchantée Griff ! Oui, c’était un rêve d’enfant de découvrir le monde, l’aventure est tellement excitante ! »
Un grand sourire fleurissait sur ses lèvres ; voyager était la concrétisation de son but. Elle changerait de vie pour rien au monde malgré les nombreuses galères qui pouvaient la peupler.
« Tu peux peut-être me faire visiter la ville ? C’est la première fois que je mets les pieds ici… »
Il serait plus facile de discuter avec lui dans un endroit moins peuplé… Les regards devenaient pesants comme si c’était la première fois qu’ils voyaient une femme dans cette taverne. Seul celui de Griff lui paraissait agréable, à cet instant précis.
« Il doit y avoir des belles choses à voir, non ? Comme par exemple où tu vis ! »
Peut-être, Aya était un peu trop direct avec cette dernière phrase. Mais quand seul son interlocuteur l'intéressait dans cette taverne moisie, il lui était difficile de vouloir rester sur place.
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Griff semble avoir un avis bien tranché sur l’endroit mais Aya ne peut que le comprendre. A force de vivre, d’être enfermée dans la demeure familiale, elle avait fini par détester l’endroit, à n’y voir que le pire…
Mais si aujourd’hui, la jeune femme retourne chez elle, son regard changerait sûrement. Elle apprécierait retrouver ses parents et la maison de son enfance.
Enfin, loin d’être découragée, elle se contente d’adresser un sourire au jeune homme. Le pire…Elle a commencé à l’apercevoir avec la clientèle odieuse du bar !
Un petit tour dehors ne leur ferait pas de mal, la terranide en était convaincue. Il accepte même de lui faire visiter sa demeure. La lapine trépigne d’impatience, poussée par sa curiosité insatiable.
« Ca me va ! »
Prenant exemple sur Griff, elle paye sa consommation avant de quitter le bar en sa compagnie. La nuit noire hante les rues, illuminés par quelques bougies et autres artifices. Difficile de profiter de la ville. Cependant, la lapine ne se décourage pas et se tourne vers son interlocuteur à sa question.
« Pas en-... »
La soudaine pluie battante l’arrête nette dans sa réponse. Dans le ciel obscur se cache les nuages engorgés et… Aya n’a clairement pas prévu un tel scénario.
« Allons nous abriter avant de finir malade. »
Avec sa bien courte tenue, la lapine sera vite trempée et ne connaissant que trop peu la ville, elle attend de suivre Griff… Surtout s’il lui évite de rentrer de nouveau dans cette taverne malfamée.
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La pluie soudaine les a pris de court. Mais elle les emmène juste au domicile de Griff, un peu vite… Étant donné qu’ils sont obligés de courir afin d’éviter de se faire surprendre par un orage grondant. La menace se fait sentir un peu plus forte, au fil de leurs routes. Le tonnerre éclate et résonne entre les murs de la ville.
Aya suit l’humain sans trop de mal à travers les petites ruelles. La qualité du chemin ne la dérange guère tant certains sentiers l’ont fait passer par de terribles chemins en montagne. La ville lui paraît presque plus facile à explorer mais pour les riverains, un tel chemin doit être bien pénible à emprunter.
Plus endurante qu’il n’y paraît, la lapine arrive à bon port sans ressentir de réelle fatigue. Seul son souffle se fait saccader, une fois l’abri arrêté. Elle découvre l’intérieur modeste, un peu trop curieuse.
« Je crois qu’on va y rester bloquer un petit moment… Annonce-t-elle en observant la fenêtre et la tempête menaçante. Tu as une serviette ? Y a un endroit pour faire sécher mes vêtements ? »
Toute mouillée, ses oreilles sont pendues de chaque côté de son crâne et ses habits lui collent à la peau. Elle ne tarde pas à les retirer afin de se mettre plus à l’aise et éviter un vilain rhume. Tout est retiré de son châle à son porte-jarretelle.. Ou presque, il ne reste qu’à sa culotte.
« C’est déjà mieux ! Tu devrais faire de même. »
Aya est plutôt à l’aise avec son corps.
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Le petit appartement devient plus cosy, une fois la cheminée et les bougies allumées. La chaleur enveloppe délicatement le corps humide de la lapine. Elle se saisit de la serviette quand Griff revient avec.
Elle peut sentir son regard traîné sur elle ; ça en est très flatteur. Pour l’heure, elle glisse le tissu sur sa douce peau pour la sécher puis elle la passe sur ses oreilles et pour terminer sur sa petite queue ronde.
Ses vêtements humides ont été déposés dans un coin, en attendant de trouver où les sécher. Son attention se porte désormais sur le jeune humain à ses côtés qui ôte son armure.
« Tu ne peux pas rester mouillé ! Râle alors la lapine quand elle remarque qui s’arrête en si bon chemin. »
D’un pas, elle réduit la faible distance entre eux pour passer ses mains sous son haut trempé. Elle tire et lui enlève sans vraiment demander son avis. Ensuite, la voyageuse s’attaque à sa ceinture pour faire descendre son pantalon à ses pieds.
Elle récupère la seconde serviette pour commencer à l’essuyer… Une excuse pour créer un contact plus intime.
« Tu dois encore me faire visiter la ville… Malade, tu ne pourras pas aller bien loin ! »
Elle se glisse dans son dos pour continuer de le sécher… Mais pas que. La lapine finit par lâcher le tissu au sol et s’approcher de son hôte pour se plaquer contre lui.
« Tes sous-vêtements sont trempés. Tu devrais aussi les retirer, Griff. »
Aya s'écarte d'un pas et retire sa culotte. Elle la garde en main pour la faire tomber sous les yeux de Griff, à ses pieds.
« Si ça peut te rassurer, on sera à égalité ! »
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Pour le plus grand plaisir d’Aya, l’excitation de Griff est montée tout aussi vite que la sienne. Son regard désireux qui se balade sur son corps lui arrache un frisson d’impatience. Puis, enfin, le dernier rempart protégeant sa virilité tombe. Elle se dévoile prête à l’acte sous les yeux de la terranide qui ne perd une miette du spectacle offert.
Ils sont à égalité. Le jeune humain fait le premier pas ; ses mains découvrent la peau brûlante de sa partenaire et il vient se coller à elle, profiter de sa poitrine.
La lapine ne perd guère de temps. Ses doigts graciles entourent le sexe tendu dans une délicate caresse. De son autre main, elle pousse avec douceur Griff sur la chaise la plus proche, pour qu’il s'assoit.
« Que veux-tu faire Griff ? S’enquit-elle, en s’installant sur ses genoux. » Toujours entre ses mains, gratifié de douces caresses, sa virilité est coincée entre eux…Si proche de l’intimité d’Aya. « Rester ici et profiter de cette position, rejoindre ton lit… J’exaucerais le moindre de tes désirs. »
La terranide se relève, juste au-dessus de lui. Elle le guide habilement vers l’entrée de sa féminité. Son gland s’y heurte, sans y pénétrer… Et sous une légère impulsion, s’y glisse quelques secondes avant que la lapine ne se relève totalement.
Une toute autre idée hante son esprit. Elle s’installe, à genoux, à terre devant la chaise.
« En attendant que tu te décides, je vais m’occuper de toi… Prends le temps de réfléchir. »
A ses mots se joint l’action. La virilité s’enfonce entre ses lèvres ouvertes et elles caressent sa peau dans de lancinants vas-et-viens.
Si le but d’Aya était de le séduire, elle n’a jamais pensé se retrouver si vite, à genoux devant lui. Mais ce n’est pour lui déplaire, au contraire, la lapine devrait même remercier l’orage.
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Après avoir changé de position, Griff s’enfonce de nouveau en elle. Le rythme s’alterne entre douceur et passion ; la lapine prend son pied. Sa voix sensuelle s’élève vite dans le petit appartement, résonne contre les murs.
Mais la nouvelle position n’était pas idéale et le jeune humain prend le relais. Il se lève avec son amante, sans quitter sa chaude antre et l’amène jusqu’au lit.
Le sentir la guider sans s’éloigner, sans se retirer est particulièrement excitant pour la terranide. Une fois à destination, elle s’installe. Dos à son amant, durant le trajet, la voyageuse se met à quatre pattes devant lui.
Positionné derrière elle, il peut profiter d’une vue imprenable sur ses délicates courbes, son fessier rebondi… Ainsi que sa queue de lapine, au bas de son dos.
Sans crier gare, Aya le sent s’enfoncer plus encore… La position lui permettant de pousser sa virilité jusqu’à sa garde. Sous le plaisir soudain, plus accentué, sa voix s’élève plus forte : « Griff ! Continue… » Sous son souffle se fait irrégulier et ses doigts s’emmêlent dans les draps.
« Tu as… des voisins ? s’enquit-elle, pour ne pas lui causer de tort. »
Elle n’avait guère eu de contrôle sur l’intensité de sa voix… Et elle avait résonné au-delà de l’appartement. Or, Aya préfère savoir tout de suite si elle peut se lâcher ou non… La soirée s’annonce très prometteuse, avec un début particulièrement plaisant.
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Entrée dans le bar avec l’intention de séduire un homme, Griff l’a tout de suite attiré mais elle était loin de s’imaginer à quel point l’humain lui ferait prendre son pied. Elle sent son envie dans ses mouvements et dans sa chaude voix. A chaque fois qu’il prononce son prénom de cette manière, la lapine se sent défaillir…
Être ainsi désirée l’excite au plus haut point. Les vas-et-viens de l’humain sont accompagnés par les siens. Elle ne peut s’empêcher de bouger en rythme avec lui, désireuse de le sentir toujours profondément.
Il ajoute ensuite de sensuelles caresses. Ses doigts brûlants découvrent son corps, la font gémir d’autant plus… Béni soit cette pluie qui a interrompu leur projet.
Quand il lui donne sa permission, Aya s’en donne à coeur joie. Entre bruyants gémissements et le cri de son amant, ses râles de plaisir inondent la pièce, s’élève au-dessus du puissant orage qui cogne à la fenêtre.
« Griff… , supplie-t-elle sans réussir à finir sa phrase. »
Elle sent ses doigts se presser contre ses tétons érigés. Il est un peu maladroit de ses mains mais ça fait son charme… A tel point qu’il est proche de lui faire atteindre l’extase.
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Griff la mène peu à peu au septième ciel. La lapine en oublie la raison de sa venue en ville, son envie d’explorer un peu les environs… Tout ce qu’elle désire, c’est que l’humain l’explore elle. De ses mains maladroites, de sa virilité tendue dans son antre, qu’il continue à lui faire crier son prénom.
Il s’occupe à merveille de ses seins, embrasse son cou et la possède avec toujours plus de passion. Elle est au paradis entre ses mains, si proche de l’extase. Pendant son voyage, Aya a connu quelques amants mais aucun ne l’a désiré avec tant d’ardeur, ne l’a cajolé ainsi.
Sa passion, son désir supplante en tout point son absence d’expérience… La terranide aurait bien du mal à le croire vierge… Enfin, avant qu’ils débutent.
« Continue… Jusqu’à te vider… Griff… »
Son souffle saccadé l'empêche de s’exprimer avec aise. Elle est si proche… et bien incapable de se retenir. Enfouissant sa tête dans le lit pour étouffer un cri bien plus fort, l’orgasme se saisit de son corps. Ses doigts s'agrippent aux draps, les torturent dans sa poigne. Son corps se tétanise alors que la délivrance la possède.
Elle n’a qu’un souhait, sentir Griff la suivre dans ce plaisir innommable.
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Entre l’humain se lâcher, son prénom entre ses lèvres est si excitant… Il vient peu après elle, il la suit
Entendre Griff se lâcher, son prénom entre ses lèvres est si plaisant. Il la suit de près dans l’orgasme, elle peut l’entendre, le sentir s'agripper à son corps, à ses seins.
En harmonie avec lui, Aya continue de gémir sous l’acte délicieux. Il est au plus profond quand son souhait est réalisé, il se laisse complètement aller à la remplir pour son plus grand plaisir.
C’est si bon que la terranide peine à concentrer ses pensées, choisir ses mots… Quand sa bouche s’ouvre, seuls quelques bruits obscènes osent dépasser ses lèvres. Pourtant, elle rêve de lui dire combien elle a apprécié, combien elle désire recommencer…
Il ne la lâche pas, la faisant frémir sous sa langue. Son bassin bouge de nouveau, sa virilité s’enfonce dans sa féminité chaude et sensible.
« Griff… T’arrêtes… Pas… Arrive-t-elle à peu près à s’exprimer d’une voix sensuelle et haletante, au prix de maintes efforts. Mais… On peut… Changer de position… »
Aya désire profiter de lui, le sentir sous tous les angles. Et ses envies ne s'arrêtent pas là, son esprit est rempli d’idées perverses qu’elle rêve de réaliser avec lui… Comme d’user de sa bouche pour le satisfaire.
Incapable de se refuser à lui, son bassin se remet à bouger en rythme.
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Griff se relève et la lapine suit le mouvement afin que sa virilité ne quitte son antre. Il lui demande ce qu’elle désire… Difficile de s’arrêter à un choix quand son amant est aussi délicieux et fougueux. Aya l’emmènerait même dans son périple, s’il est d’accord, pour faire un bout de chemin à ses côtés… Profiter de chaque pause de la plus exquise des manières.
Elle est obligée de s’éloigner un peu de lui, de laisser son engin sortir pour pouvoir passer à la position suivante. Une fois libre mais frustrée, la terranide se tourne vers lui pour s’emparer avec fougue de ses lèvres, sa langue se glissant dans sa bouche pour rejoindre sa comparse. Elle l’oblige à bouger pour que cette fois-ci, il s’allonge sur le dos et elle vient le chevaucher.
« Tu l’as déjà fait dehors, Griff? En pleine nature ? »
Pour être sûre de commettre un faux pas, la lapine s’enquiert de ses désirs. Elle se saisit de sa virilité pour la guider jusqu’à sa place… Et s’empale dessus, impatiente de la sentir à nouveau dans un bruyant gémissement.
Trop concentré sur lui, sur leurs plaisirs, Aya ne remarque même pas la fin de l’orage. Sa voix continue de se laisser aller aussi fort qu’avant pendant qu’elle entame d’amples vas-et-viens.
Elle se relève presque à le faire sortir pour l’enfoncer jusqu’à sa garde, dans une délicieuse sensation. La lapine attrape les mains de Griff pour les poser sur sa poitrine.
« Tu aimes… L’anal? continue Aya de l’interroger pour connaître ses goûts. »
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« V-vraiment ? »
Sa première fois ? Aya a bien compris qu’il n’était pas très expérimenté et un peu timide mais de là, à ce que ce soit sa première fois… Elle en est vraiment surprise. Il est si fougueux, si affectueux. Malgré son innocence, il la comble de plaisir et elle ne risque pas de le laisser partir si vite.
« Tu… Tu aimerais… Faire un bout de chemin… Avec moi? Tente-t-elle d’articuler, essoufflée. » Son bassin descend de haut en bas, de plus en plus vite pour satisfaire au mieux son amant. Il lui est un peu difficile de parler mais elle ne peut s’empêcher de lui poser cette question.
« Je te… Promets qu’on… S'amusera bien. »
Il pourra découvrir autre chose que la cité, un vaste monde aux multiples paysages… Tout en profitant du corps chaud et de la grosse libido de la lapine.
Ses mains maladroites caressent avec douceur sa poitrine, la comblant de plaisir. Elle se penche sur lui pour venir posséder ses délicieuses lèvres, dans un baiser fiévreux.
« Griff… susurre-t-elle contre ses lèvres. Tu es exquis aussi… »
Ses mouvements ont ralenti pour lui laisser le temps d’apprécier les frottements obscènes de sa virilité tendue. Elle en gémit de plus belle, oubliant que l’orage ne couvre plus leur débauche.
« C’est… Très différent… Plus serré… On peut essayer. Si tu n'aimes pas… On s’arrête… Lui propose-t-elle alors. »
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Leurs langues dansent ensemble dans un ballet des plus sensuelles. Griff se fait toujours un peu maladroit mais se laisse guider à merveille par la lapine.
Son ingénuité fait partie de son charme, attise le désir de la terranide à son égard, déjà bien en peine de lui résister… Elle n’arrive à quitter ses lèvres que quand son souffle saccadé lui oblige à reprendre sa respiration.
« Tu en as… Pour combien de temps ? »
Des obligations. Elle peut comprendre qu’il ne peut s’y déroger… Mais suivant sa réponse, Aya trouvera des solutions ; dans le pire des cas, la lapine reviendra le trouver à Nexus pour de chaudes retrouvailles.
Là, la terranide le sent gonfler, être plus serré dans son antre à la description donnée. Elle sent son excitation, presque son impatience.
Elle se relève pour le libérer, l’aide à se mettre debout pour s’allonger à sa place. « Viens… » A ses mots, se joignent l’action. Elle le guide entre ses jambes écartées.
Sa virilité peut se frotter contre son intimité et le contact s’accentue quand ses jambes enlacent sa taille. Aya, souple lapine, se contorsionne un peu pour guider son engin contre sa seconde entrée.
« C’est très serré et tu es un peu… Imposant… Donc force un peu pour rentrer, ne t’en fais pas pour moi… »
Son gland se frotte contre l’orifice ; il va falloir un peu d’efforts pour qu’il s’enfonce entièrement. Pour lui donner du courage, elle saisit son visage et l’embrasse de nouveau.
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Deux ans. Aya ne s’imagine pas rester une telle durée à Nexus. Cependant, elle peut très bien revenir à sa rencontre, à la fin de son service pour débuter ensemble le voyage… Et profiter de retrouvailles explosives. Mais les deux amants auront l’occasion d’en parler. La lapine s’occupe alors de le guider vers une nouvelle expérience qui, elle l’espère, lui plaira autant qu’à elle.
Son corps réagit quand il débute la pénétration. Mais il peine à trouver sa place dans l’antre serrée de la terranide. Pour lui donner un peu de courage et profiter de ces délicieuses lèvres, elle l’embrasse encore. Ses baisers fonctionnent car il réussit à s’enfoncer progressivement. La lapine s’agrippe à sa nuque, glapissant déjà sous son intrusion délicieuse.
« Griff… Continue… L’encourage-t-elle. »
L’humain ne s’arrête qu’une fois sa virilité entièrement rentrée. La sensation est incroyable à tel point que son amante ne peut retenir sa voix gémissante.
« Griff…Griff… »
Elle se sent défaillir sous le plaisir alors qu’il n’a commencé à bouger. Si la terranide a eu quelques amants au cours de ses voyages, c’est bien la première fois qu’elle s’abandonne ainsi dans les bras d’un homme, incapable de se contenir…
« C’est bon ? »
Au prix de quelques efforts, Aya, haletante sous le corps brûlant de son amant, réussit à lui poser cette question qui lui brûle les lèvres. C’est elle qui a décidé de lui faire découvrir ce passage… Peut-être que le plaisir n'est pas à la hauteur de ses espérances ? Il est difficile d'interpréter ses précédentes paroles.
« Si oui... Commence à bouger... »
Sinon, elle accepterait qu'il s'arrête là et reprenne par un chemin plus classique. Après tout, qu'importe la manière tant que Griff continue de la combler...
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Avec la lapine, Griff s’essaie à de nouvelles expériences ; Aya découvre un véritable extase. Le milicien est pourtant maladroit, explorant pour la première fois les plaisirs de la chair. Mais son innocence l’a charmé. Ses efforts la comblent… A cet instant précis, ses mouvements la font défaillir. Encore. Il se montre si délicat dans son lent retrait. Il lui laisse le temps de s’habituer à la présence imposante de sa virilité.
La terranide n’en désire que davantage.
C’est un long torture que ses frottements lui font subir. Il la dépossède peu à peu de sa présence et nourrit sa frustration… Pour mieux la combler. Quand Griff revient en elle, les lèvres suspendues à son téton, Aya s'agrippe à son dos, gémissante. Seul son prénom hante ses lèvres, bien incapable de décrire ce plaisir ineffable.
Ses jambes ont emprisonné son bassin et l’invite à la posséder sans retenue. Elle peut le sentir, accélérer et trouver son rythme. A chaque fois, son pieu ravit. Ensemble, ils expriment leur plaisir : la voix fluette d’Aya s’élève… L’orage passé, les voisins n’ont guère fini d’entendre leur langoureux ébat. L’adage « baiser comme des lapins » leur convient parfaitement.
A ses mots, la lapine dépose la main sur la joue de l’humain pour amener ses lèvres aux siennes. Elle l’embrasse, inlassable, mêlant sa langue à la sienne. Elle susurre contre ses lèvres : « Tu es tellement bon… » Malgré leurs cris emplissant l’appartement, on peut entendre une nuisance… Les coups de balais du voisin du dessous, qui au contraire des deux amants insatiables, ne désirait que dormir.
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Les coups de balais se font peu gênants pour Aya… Au contraire, ils se montrent généreux de permettre aux voisins de Griff d’assister à ce spectacle voluptueux. La lapine ne se plaint pas non plus quand sa main s’écrase sur ses lèvres rosées. Son amant vient étouffer ses gémissements, qui se font à peine audibles et seulement pour lui… Un geste terriblement excitant.
Lui-même étouffe son souffle brûlant contre sa peau laiteuse. Il lui arrache un délicieux frisson. Il double d’efforts dans ses mouvements toujours plus intenses. Le plaisir qu’il lui procure est innommable ; si sa voix était libre, ses cris se heurteraient aux murs du petit appartement.
Aya ne se lasse pas de cette sensation incroyable que sa queue lui procure. Il la possède si bien, en profondeur… Qu’il la mène vers l’extase absolue. Elle s'agrippe à son dos, le griffant maladroitement. Le fruit de sa jouissance se manifeste aux portes de sa féminité luisante. La lapine ne désire plus que le sentir se déverser en elle et la combler de sa semence…
Griff la comble si bien, peut-être trop bien qu’il éveille à chaque fois un désir ardent aux creux de ses entrailles. Aya peine à se passer du magnifique corps de son amant… Elle rêve de le faire succomber dans les plaisirs de la chair dans un voyage érotique.
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Aya désire hurler son plaisir, son prénom mais la main l’en empêche. L’expression de son plaisir est étouffée contre sa peau brûlante. Il s’occupe si bien d’elle ; sa langue taquine à merveille le sommet de ses seins, dressé pour lui. Elle a déjà connu la jouissance mais il pourrait l’y amener une seconde fois par ses mouvements délicieux.
Le plaisir n’en perd sa saveur quand, à son tour, il se déverse. Sans l’ombre d’une hésitation, elle peut le sentir la remplir et combler ses chairs de sa chaude semence… La lapine se tortille de plaisir, tant la sensation est conclue parfaitement cet instant privilégié. Sur ses fesses perlent les dernières gouttes blanchâtres.
Aya profite de sa sortie pour se blottir contre lui. Ils se retrouvent allongés, épuisés par d’intenses ébats. Sa poitrine se soulève sous le rythme effréné de son souffle. La main de Griff se fait taquine entre ses cuisses luisantes de sueur et de cyprine.
« Griff… Tu es incroyable ! » Elle se relève à peine pour s’emparer de ses lèvres. Le baiser se fait plus doux, presque romantique. « Tu devrais te reposer un peu… Ou peut-être même dormir. Demain sera aussi intense que cette nuit. »
Aya lui en fait la promesse. Pour reprendre de plus belle, les deux amants ont clairement besoin de repos.
« Je vais me laver un peu et je te rejoins, si ça te convient. »
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« Comme tu préfères, ça relève plus de l’habitude et du confort. »
Chaque fois, avant de trouver le sommeil, Aya prend le temps de se laver dans une cascade ou une rivière. L’eau froide la berce et l’amène vers des songes heureux. Avec tous leurs exercices, nul doute que la lapine va trouver le sommeil mais elle a du mal à enfreindre ses habitudes. Toutefois, elle ne désire rien imposer de tel à son amant.
Il la tire et l’accompagne jusqu’à la salle d’eau où Griff se montre adorable, préparant le nécessaire à ce que la terranide se sente bien. Elle est habituée à un strict minimum alors la simplicité du milicien lui convient parfaitement. Mais avant d’entrer dans la douche, la danseuse l’attrape et l’attire contre elle pour l’enlacer. Ses lèvres se perdent sur son cou.
« Si tu restes… Je peux pas te garantir de rester sage. »
Sa peau douce se colle à Griff. Ses seins, aux sommets rosés et durcies, s’écrasent contre son torse. Sa virilité s’égare contre ses cuisses. Se reposer est la meilleure perspective pour mieux reprendre le lendemain. Mais à le voir si prévenant, la lapine est bien incapable de résister. Rester pour se laver à ses côtés serait une invitation évidente à une dernière chevauchée.
Aya attend sa réponse, avant de décider de la suite.
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Malgré la fatigue induite par leurs ébats précédents, Griff les pousse sous l’eau délicieusement chaude. Sa voix résonne contre ses grandes oreilles. Ses doigts lui arrachent des frissons. Elle n’est peu habituée à laisser libre court aux caresses sur ses attributs animaliers mais la douceur du milicien la ravit.
Ils se retrouvent ainsi nus, sous l’eau délicieusement chaude. L'excitation n’a disparu du corps bouillant de la terranide. Pour aider son amant à retrouver sa vigueur, elle vient se mettre à genoux devant lui. Ses doigts entourent sa virilité et ses lèvres la cajolent d’un premier baiser.
« Mmh… Je te laisserais jamais t’ennuyer. »
Or, la lapine est destinée à retrouver la route. Mais elle est loin d’être contre l’idée de prolonger son séjour de quelques jours pour profiter du milicien. Elle comprend bien que ses impératifs lui empêchent de quitter son poste, qu’il ne peut déserter pour partir dans un voyage voluptueux à ses côtés. A ce problème, des solutions existent… Revenir le voir, par exemple.
L’hybride n’y a que brièvement pensé. A cet instant précis, une autre tâche l’attend. Ses lèvres s'entrouvrent que le sexe de Griff y trouve sa place dans sa bouche. Sa langue tournoie autour de sa peau. Peu à peu, il disparaît enfoncé jusqu’à sa garde. Seule la tête d’Aya demeure au niveau de son entrejambe, le cajolant de gratifications buccales. Douée dans ce domaine, elle laisse l’inexpérimenté apprécié son adresse lors de ses premiers mouvements le long de sa chair tendue.
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Aya s’efforce de le recevoir entièrement dans sa bouche, jusqu’à ce qu’il disparaisse et que son gland cogne contre le fond de sa gorge. Ses pupilles se relèvent vers lui ; un chaud désir danse dans son regard. Encouragée par les gémissements de son amant, elle prend à cœur de s’appliquer à sa tâche et lui donner autant de plaisir qu’il lui serait permis. Sa langue caresse habillement sa peau tendue. Sa tête bouge, accompagnée par le bassin du milicien.
Elle se recule jusqu’à ce que le bout de son érection frotte contre l'extrémité de ses lèvres. « Bouge autant que tu veux… Lâche-toi. » Sa voix sonne comme une invitation à ce qu’il laisse tomber toutes ses limites. Il n’a pas à avoir peur de blesser la jolie terranide. Ses mouvements peuvent commencer. Ses lèvres longent son pieu pour lui permettre de prendre possession de sa bouche.
Ses mains le quittent pour saisir celles de Griff. Aya la dépose elle-même sur ses longues oreilles. Le contact lui est très agréable et éveille son propre plaisir, à défaut de pouvoir avoir plus.
Si la lapine compte le guider jusqu’au septième ciel, elle espère bien qu’il viendra la récompenser encore une fois pour son cadeau.
Pour l’heure, seul le plaisir de son partenaire l’intéresse. Son érection s’enfonce toujours aussi profondément mais de plus en plus vite. Son regard soutient celui du milicien. Elle apprécie qu’il l’observe ainsi s'atteler à sa tâche, à genoux devant lui.
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