Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Douros le lundi 20 juin 2022, 23:42:47

Titre: Hijo de la luna [PV]
Posté par: Douros le lundi 20 juin 2022, 23:42:47
Le palais lunaire était un lieu de paix, de douceur, illuminé en permanence et pourtant dans un crépuscule perpétuel. La reine de la lune, la déesse qui était toute les déesse lunaires se trouvait allongée lascivement sur sa couche, la lumière tombant sur elle pour révéler toute ses courbes. En face d'elle se trouvait un plateau de jeu et derrière celui-ci un Anubis qui avait du mal. Ils jouaient à ce jeu depuis plusieurs heures et la déesse avait toujours laissé à Anubis le choix du jeu. Mais quoi qu'il fasse elle était toujours la meilleure. Il ne savait pas pourquoi il s'était laissé embarqué la dedans par Thot, mais c'était toujours comme ça avec Thot, au début tout semblait rationnel et logique, puis dès que le plan se mettait en marche Anubis avait l'impression d'être le dindon de la farce.

_ Tu as perdu Anubis. Encore. Tu veux augmenter les enjeux ? Je possède déjà tes yeux pour une centaine d'année. Que peux tu m'offrir de plus ?

Anubis laissa tomber les tuiles de bambou tressé avec fureur, éparpillant le jeu, il n'avait pas la défaite facile, mais là comment il pourrait faire son travail sans ses yeux, pendant cent ans en plus. Il était allé trop loin et devait continuer mais ne voyait pas comment gagner.

_ Je n'ai aucun désir pour tes yeux. Je peux te les rendre. Mais je veux quelque chose en échange.Elle se mit à sourire, je veux un enfant. Non pas avec toi. Je veux que tu descende sur terre et que tu fasse un enfant là bas et il sera bénit par mes rayons. Il y a longtemps qu'un loup garou n'a pas arpenté le monde et leur fureur me manque.

Le jeu se reposa tout seul, se réarrangeant alors que la déesse de la lune avait écris sa proposition, la tendant à Anubis. Elle sourit et tendis la main. Anubis n'hésita que peu de temps, il n'aurait qu'à descendre, séduire une humaine et repartir. Rien de bien compliqué. Mais quand il serra la main de la lune il sentit ses rayons la transpercer violemment.


_ La bénédiction de la lune n'est pas quelque chose que l'on gagne, elle est versatile.

La déesse rit longuement alors qu'Anubis se sentait tomber, tomber loin sur la Terre, perdant lentement sa forme, la lune était pleine ce soir et Anubis avait été forcé d'adopter la forme du gardien enchaîné, il était un gigantesque loup noir aux trois têtes. Il avait les quatre pattes posés au sol et ses gueules étaient ouvertes, laissant échapper un souffle ardent. Au dessus de lui la lune luisait, baignant sa fourrure de halos de lumière.

Il était dans un parc, en pleine nuit, pourtant il y avait des gens qui se promenaient, il sentait leurs odeurs qui se diffusaient dans l'atmosphère, il sentait des odeurs de femelle humaines, il n'avait plus qu'à se servir et à les prendre toutes, la lune les empêcherait de s'enfuir hors de sa portée.
Titre: Re : Hijo de la luna [PV]
Posté par: Douros le mercredi 03 août 2022, 17:10:57
La pleine lune éclairait le parc d'une lueur spectrale, la lumière qui baignait la ville semblait plus forte ici, plus éclatante. Et le parc semblait la proie d'une activité anormale pour cette heure de la nuit.

Réveillée par la lueur de la lune, Cindy avait décidé de sortir et de faire son jogging, tant pis pour l'heure. Dans le parc en lui même elle n'avait pas fait attention aux autres personnes, elle était juste là pour se dépenser, pour se vider l'esprit, elle avait eut des rêves étranges et voulait les sortir de sa tête. Au début elle ne fit pas attention au petit pressentiment qu'elle était suivit, mais quand elle le suivit, sa nuque la picota d’appréhension et quand elle osa enfin tourner la tête, son corps fut paralysé par la peur. La créature qui la suivait avait une vague correspondance avec un chien, mais avec une taille terrifiante, qui mettait sa gueule au niveau de la tête de la jeune femme. Et plutôt ses gueules puisque c'était trois paire d'yeux terrifiants qui la regardait. Son corps tétanisé et son cerveau tournant en boucle sur l'impossibilité de la chose, elle ne résista pas quand il la poussa violemment au sol. Elle ne cria pas, mais geignit en sentant la chose qui s’insérait en elle, qui la prenait sans aucune pitié, qui la remplissait d'un liquide chaud et détestable.

Lorsque la chose eut finit, elle se releva, encore sous le choc, puis une partie de son instinct de survie se réveilla et elle courut de toute ses forces vers la sortie du parc. Elle risqua un œil en arrière, mais la chose ne l'avait pas suivit. Elle passa la sortie et … Qu'est-ce qu'elle faisait exactement ? Pourquoi elle était sortie a une telle heure de la nuit ? Heureusement que sa séance de jogging c'était bien passée, elle n'avait rien sur elle pour se protéger, si un violeur l'avait attaqué elle n'aurait rien pu faire. Heureusement qu'elle n'habitait pas très loin.

Emma discutait tranquillement avec ses amies en marchant dans le parc. C'était étrange qu'elles aient toutes décidés de se promener dans le parc mais elles n'avait pas relevé la chose, elles discutaient, s'extasiaient, riaient. Emma sortit son téléphone et montra une photo de son petit copain pour le montrer à ses amies, mais l'une d'elle ne se joignit pas au chorus d'exclamations. Elle tendait le doigts vers quelque chose. Emma n'eut pas le temps d'enregistrer l'image que lui envoyait ses yeux, elle avait seulement vu des griffes et des pattes qui semblaient bouger trop vite. Elle avait déjà fait demi-tour et courait avec ses amies, son portable lui échappant des mains. Mais la peur qui emballait son corps semblait brumeuse, elle s'arrêta au bout de quelques pas et se retourna pour aller chercher son portable a terre. C'était important ! La brume qui engourdissait le cerveau lui cacha la créature jusqu'à ce qu'elle ait pris le téléphone et voit trois tête en face d'elle.

Emma se reposait sur un des bancs, épuisée et sonnée par sa rencontre avec la bête. Elle vit une de ses amie, une fille brune aux cheveux élégamment bouclé, qui s'avançait vers elle, avant de se poser à coté d'elle, retenant un sanglot. Ses cheveux étaient maintenant en désordre et remplis de feuilles et d'herbe. Elle portait un petit sac à la main. Sans dire un mot de plus, elle tendit le sac à Emma qui entrepris de piocher des vêtements dedans pour remplacer les siens déchirés et ravagés. Tous avaient le même logo, un cercle qui selon l'éclairage montrait des phases différentes de la lune. Emma secoua la tête et sourit à son amie qui avait finit de s'habiller. Elle ne savait plus de quoi elle parlait avant, mais ce n'était pas important. Dommage qu'il n'y ait pas de marchand de glace ouvert à cette heure, elle avait chaud !

Les voix rendaient presque fou Anubis. Les deux têtes qui étaient sur ses épaules semblaient prendre autant le contrôle de son corps que lui. Il entendait directement la voix de la déesse qui lui indiquait ses futures cibles. Il en était à la combientième, huitième ? En un soir ? Il avait beau être un dieu, il avait tout de même des limites. Mais les odeurs se faisaient insistantes, il n'avait qu'à se baisser pour attraper les femelles et se servir. Pourtant il sentait quelque chose, une autre influence que la lune, quelque chose sur lequel il pouvait se raccrocher. Ses têtes semblaient redevenir une seule et ses pattes semblaient prendre la forme de mains, mais la lune insista, il y avait une autre qu'elle voulait.

Victoria regardait son mari pousser le landau du bébé, souriante, il avait l'air tellement heureux qu'elle lui ait donné un fils. Il commençait tout juste à faire ses nuits mais cette nuit là ils n'avaient pas réussit à dormir tout les trois. Elle ne voulait pas s'arrêter là, elle voulait un autre enfant, elle regarda son mari et eut une lueur de luxure dans ses yeux, lui regardait la poussette et ne faisait pas attention à elle, ce qui lui permit d'enlever sa culotte de sous sa jupe. Elle lui demanda de l'attendre et il lui fit un sourire absent avant de regarder à nouveau son fils, baigné dans la lueur de la lune. Elle s'allongea sur une table, arrangeant son haut pour bien montrer ses seins. Quand il allait la voir il allait tomber. La lune l'aveuglait presque et elle sentit quelque chose de lourd se poser sur la table. Elle ne dit rien, se laissant d'abord faire, puis sentit quelque choses pousser sur son haut. Elle eut un rire en sentant l’extrémité d'une griffe qui dévoilait sa poitrine. Puis elle sentit une morsure, ou plutôt trois, elle gémit en sentant ses deux seins et son cou attaqués, pas méchamment, mais avec fougue. Elle leva la main et caressa doucement ce qu'elle touchait, les cheveux de son maris sûrement, elle ne se souvenait pas qu'il ait une chevelure aussi longue. Puis elle sentit son sexe, ardent et décidé, pénétrer le sien. Elle regarda vers le landau du bébé, prise d'une soudaine peur, mais son mari était là, qui s'en occupait. Elle ne fit pas le lien qu'il ne pouvait pas à la fois s'occuper du bébé à quelque mètres de là et la prendre brutalement comme son amant le faisait, à la place, elle embrassa, caressa, bougea, voulant que l'étreinte soit plus fougueuse encore. Puis elle sentit grossir en elle le nœud du sexe de son amant, la remplissant, la maintenant, avant le jet final, qu'elle accueillit dans un cris de plaisir.

Victoria remit rapidement sa culotte, épousseta doucement ses habits qui était froissés, puis revint prendre la main de son mari, se remettant à sa promenade en souriant.

La lune l'avait forcé à cette dernière étreinte, mais Anubis se contrôlait plus à présent. Il n'était plus sauvage et son corps se modifiait, reprenant lentement sa forme humaine. Ses deux autres têtes finissait de fusionner avec la principale, reprenant le cours normal de ses pensées. Il sentait toujours l'influence de la lune, mais elle ne pouvait plus déchaîner la bête en lui, il y avait une autre force à l’œuvre, moins grande, mais beaucoup plus proche, il se dirigeait vers elle.


_ Bonjour

Sa voix lui semblait rouillée, ressemblant à un jappement plutôt qu'à une voix humaine. Ses yeux détaillèrent la personne devant lui, voyant au delà des simples apparences humaines, c'était une déesse comme lui, mais différente. Il sentait toujours l'influence de la lune sur lui et leva les yeux au ciel en entendant murmurer qu'elle ferait un bon réceptacle pour un enfant. Il fit apparaître ses différents atours égyptiens, plus comme une façon de se présenter à la déesse. une coiffe, un pectoral et des anneaux aux bras, mais rien de plus. Il s'approchait d'elle, empêchant mentalement son long sexe de réagir à la présence d'une femelle.

_ Vous avez interrompu un jeu entre moi et une autre déesse. Je vous remercie, je n'étais pas moi même.

Non pas qu'il n'ait pas apprécié de prendre toute ses femmes et la vigueur infernale dont on l'avait béni, mais il aurait préféré le faire lui même, de son propre chef. Bon au moins la lune avait eut la bonne idée d'aveugler suffisamment les gens pour leur faire oublier la présence dans le parc d'un cerbère violeur.
Titre: Re : Hijo de la luna [PV]
Posté par: Douros le vendredi 07 avril 2023, 21:10:49
La lune pulsait au-dessus de lui et sa lumière le baignait de manière presque surnaturelle, son œil laiteux braqué directement sur lui l'entourant d'un halo opalin. Anubis sentait le déplaisir de la déesse, sa contrariété suintait presque de sa lumière autour d'eux. Maintenant qu'il avait retrouvé sa forme, il arrivait totalement à rester sous forme humaine. Ou au moins humanoïde. Il ordonna à ses pattes avant de reprendre la forme de mains qu'elles avaient subrepticement quittées, mettant une grande partie de sa concentration a rester calme.

_ La plupart des jeux entre les dieux font peur aux humains vu que ce sont eux qui en subissent les pénalités.

Il sentit son corps qui résistait à son état de calme, qui voulait repartir dans la sauvagerie induite par la Lune, mais il se contrôlait, résistait, il n'était pas une bête sauvage sans aucune pensée autre que lubriques, même si deux parties de son esprit semblaient vouloir se scinder pour qu'il reprenne sa forme de Cerbère.

Il essaya de paraître poli tout en s'approchant de la déesse, elle se nommait Léo et maintenant qu'elle lui avait dit son nom, il arrivait à la situer dans la hiérarchie, elle contrait l'influence de la lune simplement parce qu'elle était plus proche de lui, mais si la déesse descendait sur Terre, elle les balaierait de sa fureur, heureusement elle n'allait pas le faire. Certains pactes étaient encore établis et les guerres divines devaient être menées dans un cadre privé, pas question de négliger ses attributions.


_ Tu penses être capable de me maîtriser ? Je suis Anubis.

Il ne savait pas si une représentante du Zodiaque serait assez forte pour le vaincre, la différence entre les dieux était subtile et il n'avait pas eu de suivants depuis longtemps, même si des cultes venant de l'égyptologie moderne avaient commencé à renaître. Mais pas assez pour le ramener à ses heures de gloire où il aurait pu souffler la Lune et la forcer à s'éclipser devant lui.

À ses pensées, un grognement se fit entendre et il fut surpris de s’apercevoir qu'il venait de lui. La lune se servait de sa colère contre lui, pour le faire régresser à nouveau à un état animal. Mais il était un dieu, pas une chose dont on se sert.


_ Notre jeu était simple, implanter un enfant dans le ventre d'une femelle fertile. Je pense que tu comprends la manière. Mais tu es assez proche pour que son influence ne me touche plus. M'aideras-tu ?

Ses mains s'étaient tendues, l'attrapant dans une étreinte qu'il espérait douce, il rétracta les griffes qu'étaient devenus ses ongles, essayant de ne pas l'effrayer. Bien sûr qu'elle l'aiderait, elle n'allait pas le laisser se faire manipuler comme un pantin, il était bien meilleur que ça.

Avant qu'elle ne puisse réagir, sa gueule se jeta sur elle, attrapant son cou étroitement entre ses crocs. Il ne voulait pas lui faire de mal bien sûr, il la serrait à peine, tout juste suffisamment pour qu'elle ne puisse pas fuir.

Ses pensées étaient pures, il ne lui voulait absolument aucun mal. Maintenant, qu'il la tenait, tout ce qu'il allait faire était de régler les légers détails qui se dressaient en travers de sa route, une de ses mains la lâcha pour frapper délicatement, sans jamais entamer la peau de la déesse, mais déchirant la robe blanche qu'elle portait pour la dénuder.

En même temps le propre pagne d'Anubis descendait tout seul de ses hanches, glissant délicatement pour révéler une virilité qui n'avait rien à envier à celle de sa forme bestiale. Il n'avait pas peur de lui faire du mal, elle était une déesse après tout, elle pouvait supporter bien plus que ça. Il n'essaya pas de lui parler, il la retenait par la gorge, il lui envoya juste directement ses pensées.


« Je ne vais pas te faire de mal, je ne suis pas un monstre, je veux simplement te caresser. Te donner des marques d'affection me restreindra de l'influence de la lune. Je n'irais pas plus loin que de simples caresses. »

A mesure qu'il pensait, il sentait la bête se détacher de lui, il l'avait maté, il n'était pas un monstre, simplement un dieu poli et clair.

« Je mords seulement ta gorge pour te retenir, pour que tu sentes mes crocs dans ton cou, te pénétrer, te prendre, que tu sentes ton corps s'ouvrir à moi quand je grifferais tes seins, ton dos, ta nuque, pour te préparer à recevoir mon vit en toi, je pourrais même te rendre ta virginité pour que tu la sentes se déchirer à nouveau à chaque coup de rein. Puis tu sentiras mon sexe grandir en toi, pour t'emplit totalement et te remplir de ma semence jusqu'à ce que ton ventre enfle. »

Il était calme, ses pensées étaient claires et simples, il n'était pas du tout contrôlé par la lune. Il lui faisait la cours avec tendresse, il aurait pu la violer, mais il ne lui proposait que de douces caresses. Sa main libre vint tâter les fesses de la déesse et la souleva par là.
Titre: Re : Hijo de la luna [PV]
Posté par: Douros le jeudi 13 avril 2023, 00:01:36
Non, il ne se contredisait pas …

Il sentait la bête en lui qui prenait le contrôle, elle l'avait fait d'abord subtilement, mais maintenant même ses pensées commençait à patauger dans la luxure la plus pure, ralentissant encore sa réflexions. Il devait résister, il voulait juste … la toucher, la prendre, la dévorer.

Il relâcha sa prise sur son cou et s’aperçut qu'elle avait été marquée durement par ses crocs, si elle était mortelle il lui aurait transpercé la gorge. Vu comme il la tenait il n'en était plus du tout aux caresses, même si elle se refusait à lui, il l'aurait prise.


_ Je vais te prendre complètement, sans aucune retenue. Je peux éviter un peu de te faire mal, mais je vais vouloir être entièrement en toi.

Sa voix était rauque de désir contenu. Il pouvait tenir a distance la bête en lui, momentanément, maintenant qu'elle savait qu'il allait la laisser se déchaîner. Elle était une déesse, mais est-ce qu'elle allait pouvoir recevoir son sexe en entier. Avec les humaines il avait réduit sa taille pour ne pas les déchirer entièrement. Là il n'allait pas du tout se restreindre face à quelqu'un qui pouvait complètement le satisfaire.

Il vint prendre un sein dans sa gueule, essayant de ne pas mordre trop fort, venant jouer avec le téton du bout de sa langue, il la plaçait doucement sur sa virilité, se retenant de modifier le corps de sa partenaire pour lui donner la virginité que la bête avait promis, l'envie restait, de l'entendre crier de douleur, de désir, de plaisir, des trois en même temps.

Son sexe monta, venant écarter ses lèvres sans douceur, entrant sans difficulté malgré sa taille. Les griffes d'Anubis se plantèrent dans son corps, il se retenait de la pénétrer d'un coup, sans la préparer plus. Il avait besoin qu'elle l'enveloppe entièrement. Il avançait, encore, se retenant de se lancer comme une brute. Il avait dépassé la capacité d'une humaine normale et montait encore en elle.

Doucement, le petit renflement à la base de son sexe écarta encore ses lèvres intimes et il resta ainsi, pour qu'elle sente bien sa taille. Puis il ne put plus se retenir, la bête pris le relais. Il retira la moitié de son sexe d'elle, puis donna un coup de rein violent en elle. Il se retira de plus que son coup de rein avait fait rentrer, continuant, sortant de plus en plus d'elle a mesure qu'il faisait ses mouvements, jusqu'à sortir entièrement, son long sexe venant doucement passer entre ses jambes. Puis la virilité se réaligna seule avec le vagin et d'un coup de rein violent il la pénétra entièrement.