Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 10:19:31

Titre: C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 10:19:31
Sous la douche, en rentrant de cette journée vraiment hors norme, Kara était restée immobile, les bras le long du corps, la tête penchée vers le bas en regardant dans le vide. Elle avait du mal à savoir comment elle se sentait, là, maintenant…

Une fois propre, elle avait passé un bon moment à s’observer dans le miroir, se considérant avec une sorte de dégoût. Sa poitrine avait des traces de succion appuyées, sa joue était encore bleutée de la veille, ses genoux écorchés, et elle avait encore l’intérieur des cuisses vifs. Soupir. C’était tellement fou.

Totalement incapable de trouver la motivation pour faire quelque chose de productif, Kara passa une bonne partie de sa soirée sur son smartphone, répondant aux quelques messages, puis chaussa son casque pour faire passer sa frustration, son dégoût d’elle-même et son envie de contrôle en martyrisant des pauvres noobs en ligne. Elle était déchaînée, et ils n’avaient aucune chance !

oOo

- T’as tellement assuré Desco, ce quartier pue et toi t’as fait des ventes.

Pour une fois que Tetsu ne se foutait pas d’elle, Kara jubilait. Devant l’imposante machine à cafés, un gobelet en main, elle replaça une mèche châtain d’un air de diva en ricanant. Il avait prospecté dans un quartier chic, lui, parce qu’il était super bien vu par Phil parce que leurs enfants allaient à la même école, et qu’ils avaient un mode de vie assez proches. Pourtant, Tetsu ne quittait pas le service des Ventes, alors qu’on lui avait plusieurs fois proposé des promotions. Il avait ça dans le sang, il était doué et savait qu’il fallait rester dans un secteur que l’on maîtrise.

- T’as dû encore t’en prendre plein dans la bouche, pour rapporter tous ces BDC, hein ?

Elle sursauta. Merde, il savait ? Comment avait-il su ? Est-ce qu’il était dans le parc hier ? Kara paniqua, balbutia en regardant autour d’elle une sortie de secours, rendant perplexe Tetsu. Son collègue n’avait pas tenu bien longtemps avant de revenir à un mode de dialogue classique entre eux. Globalement, les commerciaux étaient des ordures, elle le savait…

« La ferme, Murakami, sois pas jaloux parce que j’suis meilleure que toi. » Elle n’avait pas su quoi répondre, était rouge, et s’enfuit alors jusqu’à son bureau. Mais la crainte d’avoir était vue la rendait nerveuse. Fort heureusement, elle avait beaucoup de travail et fut happée par les dossiers toute la journée, ce qui avait l’avantage de ne pas lui permettre de repenser à la veille.

Au déjeuner, elle s’était dirigée machinalement vers le petite restaurant et bloqua devant la porte. La serveuse si attentionnée derrière la vitre lui faisait de petits signes en songeant qu’elle hésitait à entrer… Kara déglutit et après un petit sourire désolé, fit demi-tour pour remonter dans son open space.

Un repas équilibré de biscuits et de café devant son ordinateur plus tard, elle se replongeait dans les passionnantes évaluations, préconisations et analyses. Phil passa en personne la féliciter, elle s’inclina face à lui avec respect, mais plutôt fière…

« Merci Phil, je t’avais dit que je gérais. »

C’était arrogant, mais sincère, et Phil lui tapa dans le dos en se marrant, avant de retourner dans son bureau personnel, non sans un petit mot pour Tetsu du style « Ta fille a battu mon fils à la course, revanche ce week-end au stade ». Elle leva les yeux au ciel.

oOo

- On va au karaoke, tu viens Desco ?

Elle releva la tête de son clavier. Hein ? Quoi ? Merde, c’était l’heure ça ?

« Ah non, désolée, j’vais chez un… » Un mec. Sa collègue, toute fraiche, toute jeune, sautillait pour mettre sa veste, s’arrêta et plissa les yeux.

- Hé Murakami, Desco a un rancard !

Kara grogna, referma un peu vite son ordinateur portable et se leva d’un bond pour enfiler son manteau et soupira en leur lançant une grimace qui tordit son visage.

« Dans vos rêves, j’vais jouer chez un gars et boire des bières, c’est pas un date. »

Merde, est-ce que c’était un rancard ? Cela la perturbait à mesure qu’elle marchait jusqu’au métro pour atteindre finalement le bas de l’immeuble de Souta. Levant le nez jusqu’aux fenêtres de son appartement, elle resta les mains dans les poches un petit moment, à se demander si elle devait entrer ou pas. Elle se mordit l’intérieur de la joue. C’était sans doute une erreur. Elle monta l’escalier et frappa à sa porte, encore hésitante.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 24 décembre 2020, 11:20:28
En me levant ce matin un drôle d'état que je croyais appartenir à un lointain passé revient me déranger : celui provoqué par les courbatures. Il n'en faut pas beaucoup pour qu'elles reviennent à la charge ces saloperies. Un passage à vide aux niveau des entraînements sur quelques jours associé à un stress trop important et prolongé des muscles ne font pas des chocapic. Non, ça vous fait chier. Et accessoirement mal si celles-ci sont importantes.

La séance de reprise est donc plus légère et je me contente d'une petite heure de course et d'étirements pour filer ensuite sous la douche. En chemin je tombe sur Lucius et tout le reste de sa famille qui part à l'école. On croirait presque voir un maman canard avec ses petit qui suivent en file indienne avec une démarche des plus singulières.

- Tiens, t'es pas avec ta copine ?
- Non, je m'entraîne toujours seul, tu le sais.
- Ca veut dire que c'est toujours mort ?
- Pour t'entraîner ?
- Ouais !
- Dans quelques années ptète.
- Allez, sois cool !
- J'suis cool. D'ailleurs tu devrais passer cet aprem si t'as pas cours, tu vas en voir des trucs cools.
- Ah ouais ? Même si j'viens avec tout le monde ?
- Ouais, venez tous.


Après deux ou trois autres échanges assez bref, tout le monde reprend son chemin. Faut pas qu'ils arrivent en retard à l'école et moi j'ai un entraînement à boucler. Même si ce quartier est pourri et dangereux on peut s'y sentir chez soi.

En fin de compte je suis resté dehors quasiment une heure et demie. Un bon décrassage en règle comme on dit dans le milieu du sport. Se retrouver seul permet de se vider la tête, se vider le corps en transpirant et en se concentrant sur sa propre respiration tout du long. Ca m'a même fait penser à la veille. Mon but était de pousser Kara à se lâcher. Mais ça se trouve j'ai été trop cash ? Je devrais sans doute changer de stratégie.

De retour à l'appart je tente de filer à la douche... sans me cogner aux meubles. Va me falloir plusieurs jours pour m'habituer vu que suis passé d'une pièce vide où le moindre son résonnait à un endroit complètement meublé. Au moins j'aurais aucune excuse pour ne pas laisser trainer mes saletés au sol maintenant.

|------|

Au milieu de l'après-midi Lucius passe comme prévu avec toute la marmaille. On peut voir immédiatement leurs yeux s'illuminer et pratiquement sauter de leurs orbites en voyant le nombre de cartons de consoles et jeux qui sont entassés les uns sur les autres à côté du meuble télé dans lequel se trouve un écran hyper def de K. Enfin, un truc du genre. J'ai rien capté au charabia du vendeur. J'ai juste vu que l'image était bonne et ça me suffisait largement.

- T'as trouvé ça où ? C'est tombé d'un camion ?
- Nan, ça vient de la boutique ***.
- Sérieux, j'ai jamais vu autant de jeux.
- Justement, je compte sur toi pour installer un truc. Ce que tu veux. Et après vous pourrez jouer.
- N'importe laquelle ?
- Ouais.
- Alors attends...


De toute ma vie je ne crois pas les avoir vu travailler ensemble aussi rapidement et sans se gueuler dessus. Faut croire qu'avoir un but commun permet de voir des miracles se produire. Jusqu'à.... ce que la dispute des manettes arrive. On ne peut jouer qu'à quatre on dirait. Et vu qu'ils sont six...

- Okay, okay, on se calme. Il y n aura quatre qui jouent et les deux premiers qui perdent passent leur manette.
- Ouais, il a raison.
- Mais Lucius il pert jamais !
- Ca c'est votre problème.


Deux ou trois heures passent dans la joie et la bonne humeur. Jeux vidéos, sodas, gateaux et bonbons. Le paradis des ados visiblement. Il en faut peu pour les contenter en même temps.
Sauf que toutes les bonnes choses ont une fin. Je les renvoie donc logiquement chez eux dans les plaintes et les pleurs pour les deux plus petits. De toute façon ils savent qu'ils peuvent passer quand ils veulent du moment que j'suis dispo.
De toute manière ils ont pas le choix. Même dans les écoles publiques des quartiers populaires il y a des devoirs. Et leurs parents ne se tuent pas à la tâche pour élever des cancres.

Je profite de cette brève période de calme pour ranger, nettoyer en attendant Kara qui arrive plus vite que prévu. Pile à la seconde où je termine. Quel timing, digne d'une série télé.
Je fonce lui ouvrir en la saluant rapidement pour retourner rapidement mettre deux meubles à leur place.

- Salut ! Vas-y, rentre ! J'viens de finir de ranger. Mets tes affaires où tu veux.

Ca doit lui changer d'il y a deux jours. Et au moins, cette fois, elle est pas tombée en entrant. Enfin, je crois. Les meubles à leur place je pars dans la cuisine récupérer deux bières et je lui en tends une directement en déposant la seconde sur la table basse.

- Soirée bouffe et jeux vidéos, ça te va ? Par contre j'suis un... Comment il a dit déjà ? Un moob ?

La console est restée allumée sur un jeu où quatre bonhommes se tapent sur la gueule pour s'éjecter de plusieurs plateformes. Parait que c'est à la mode et qu'on comprend vite comment ça marche. En théorie, car avec moi c'est pas gagné.

- D'ailleurs, si tu veux commander un truc, le téléphone est là.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 13:46:58
Kara entre dans un appartement métamorphosé, se disant encore une fois que d’un jour à l’autre, ce n’était ni le même homme, ni le même lieu. Une faille dimensionnelle comme dans sa série préférée ? Elle fait quelques pas et retire ses escarpins bon marché, avant d’observer tout autour d’elle les changements. C’est le jour et la nuit.

Le salut rapide, naturel, comme s’ils n’avaient pas baisé comme des bêtes sauvages la veille la perturbe ; Mais en réalité, c’est parfaitement logique, du peu qu’elle connait le personnage. Pour lui, c’est peut-être normal, tout ça ? Est-ce que cela lui arrive souvent ? Elle pose immédiatement ses yeux sur les consoles qu’ils ont acheté ensemble et son sourire apparaît enfin, jusqu’alors un peu mal à l’aise. La situation était bizarre, hein ?

Une bière fourrée dans une main, elle caresse le cuir du canapé distraitement, admirant la qualité des meubles qu’il a choisi. C’était un ameublement de luxe, et l’appartement s’était transformé de taudis en foyer témoin.

« Bouffe et jeux-vidéo, ah oui, c’est le programme de toutes mes soirées, donc… » Elle pinça les lèvres.

Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Pourquoi elle avait dit oui, et était venue de son plein gré ? Il était évident que Souta, lui, n’avait aucun cas de conscience, pas de problème, et pas mille questions en tête… Pour se donner un peu de courage, elle ouvrit sa bière et but plusieurs gorgées fraiches.

Mais elle se souvient alors de ce qu’il a dit et ricane d’un air moqueur, c’est plus fort qu’elle. Le naturel de Souta l’aide à se détendre, un peu.

« Noob, t’es un noob, ouais. T’inquiète pas, on a tous commencé un jour. J’vais t’enseigner, petit Padawan. »

Kara se sent un peu mieux, et cela se voit, malgré l’uniforme classique qu’elle porte actuellement, le même que l’avant-veille en réalité. C’est qu’il faut bien être conforme et tout normé dans son travail, après tout. Phil aime bien qu’ils soient tous de bons petits soldats… S’approchant de la console, elle observe le jeu en marche et semble ravie.

« Oh, trop bien, c’est le jeu que je t’ai conseillé ! T’as déjà joué un peu à ce que je vois. » Elle se penche pour regarder les scores des quatre petits avatars. Glousse. « Je parie que t’es le rouge, toi, hein ? » C’était évidemment le plus bas niveau, le plus bas classement. Que ce soit lui ou non, se moquer de lui lui faisait une sorte de bien un peu malsain.

Tout en regardant le téléphone désigné, Kara lève un sourcil interrogateur. Appeler pour commander ? Il vivait à quelle époque ? Elle sortit son smartphone et le secoua bien haut devant lui, en le narguant.

« Tu rigoles, jvais commander sur une appli, déjà que je dois téléphoner à des trous du cul toute la journée au bureau, c’pas pour parler avec des gens en dehors… »

Elle pianota rapidement, les doigts agiles, sachant visiblement parfaitement où aller, que choisir, comment procéder. « Thaï ça te va ? » Elle n’attendait pas vraiment de réponse, car elle songeait que Souta n’était pas un mec difficile, qu’il devait manger environ tout et n’importe quoi, sans se prendre la tête. Un peu le contraire d’elle, en fait. Pourquoi elle était là ?

« Ça arrive dans 15 minutes. » Fit-elle en tournant son écran vers le jeune homme, où s’affichait un plan de la ville, un petit point avançant lentement pour suivre le livreur en temps réel. Une invention horrible, elle espérait que Phil ne les ferait pas suivre par puce GPC bientôt.

Se saisissant de la manette, Kara se sentait toujours assez gênée, sans pouvoir expliquer pourquoi. C’'était très bizarre d’être ici, de causer comme à un pote, vu ce qu’ils avaient fait hier. Et elle ne savait pas dire s’il s’en fichait ou non, c’était perturbant pour elle. Elle se gratta la joue.

« T’as… t’as bien dormi ? » Une méthode maladroite pour tenter de diriger la conversation sur leurs ébats hard de la voiture et du parc. Mais elle ne savait pas comment s’y prendre.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 24 décembre 2020, 14:48:02
Ah oui, les applis. Ces machins carrés sur les écrans de smartphone qui font tout et n'importe quoi. En l’occurrence ça peut être utile ici. Un programme qui permet de commander et payer rapidement sans passer deux heures au téléphone car la personne à l'autre bout du fil n'entend rien à cause du bordel en cuisine est pratique. Mais celle qui reproduit le bruit d'un pet comme me l'ont montré les gosses plus tôt, j'ai des doutes. Ca semble con mais faut le programme le truc. Que ça demande une heure ou une journée, j'suis pas convaincu du truc.

Quand elle me demande si je veux un truc précis en m'indiquant qu'elle optait pour du thaï je me contente d'un rapide "C'est toi la patronne." en terminant de remettre les coussins en place sur les fauteuils.
En me redressant je me retrouve nez à nez avec l'écran de son portable qui affiche une carte et visiblement l'endroit où se trouve le livreur en temps réel.

- C'est aussi flippant que pratique la technologique. En tout cas t'as l'air de gérer.

Je me doute que le mec est suivi par un programme de son propre chef. Une question de sécurité pour lui et le client. Du moins c'est de cette façon qu'ils doivent vendre la chose auprès de leurs employés durant les entretiens. Ce qui est pas faux dans l'absolu. Sans pour autant être entièrement vrai.
Je termine le rangement en réunissant les manettes qui étaient posés un pu partout pour les déposer à leur tour sur la table basse.
Tout me semble bon pour passer une bonne soirée. Tranquille et relaxe.

Je rejoins alors le sofa pour "poser un cul" comme disait un petit vieux que je connaissais. Cette expression a toujours été amusante et étrange à la fois. Et c'est là que Kara engage la conversation.

- Après ce qui s'est passé hier... Ouais, comme un bébé. Faut dire que tu m'as bien fatigué.

La phrase sort tout naturellement avec un petit sourire sincère. Faut dire que je l'imaginais pas comme ça au fond. Dans un coin de ma tête je me dis que j'y suis allé un peu fort. Et dans un autre qu'elle s'est aussi lâchée, du moins en partie. Comme les gifles par exemple. Libérer son côté animal de temps est une excellente chose.

- Et toi, le boulot ? Vu tes fringues t'es venue directement ici.

La soirée commence tranquillement avec une conversation assez banale. Le tout est de la faire se sentir à l'aise. Quand on est de repos on veut s'amuser, passer de bon moment, ne pas se prendre la tête pour quoi que ce soit. Et je compte bien faire ça ce soir.

Quand le livreur arrive je me lève et pars lui ouvrir, récupérer la commande et le payer.

- Euh... La commande est déjà payée monsieur.
- Ah bon ?
- Oui, via l'application.
- Ce sera ton pourboire alors.
- Merci, vous êtes très généreux. N'hésitez pas si vous avez besoin de quelque chose.


Je me saisis des sacs et les dépose sur la table passe en repoussant légèrement les manettes. Puis je file dans la cuisine afin de rapporter deux packs de six qui se trouvaient dans le frigo.

- T'en fais pas, il en reste encore pas mal d'où elle viennent.

Pour le moment j'ai pas très faim. La faute aux saloperies que je me suis enfilé dans l'aprem avec les gosses. De toute façon on est là pour un moment et je peux bien manger plus tard. C'est à ça que servent les micro-ondes.

A la place j'attrape une manette qui n'est... pas celle qui permet de contrôler le jeu. J'en change et la seconde ne fonctionne pas plus. Heureusement je passe moins pour un con avec la troisième.

- J'ai juste regardé les enfants jouer t'à l'heure. Mais je connais les touches... en gros.

Avec un mal évident je parviens à revenir à l'écran de départ. De là je me trompe ou deux fois dans les menus en cherchant à lancer une partie à quatre en ligne. Nous deux et deux inconnus. Mais en mode chacun pour soi.

- On pourrait ajouter un jeu au jeu. Genre, celui qui meurt en premier aura un gage décidé par l'autre. Surtout que tu pars avec un gros avantage vu que c'est ma première partie.

Enfin, en théorie. Même si elle arrivera probablement à se servir de moi comme paillasson 9 fois sur 10, je veux au moins tester un truc.
Pour cette partie je choisis un espèce d'alien rose tout petit et rond. Il a pas l'air super fort, mais de toute façon je cherche pas à gagner car j'y arriverai pas.
Non, j'ai aucune chance de finir vainqueur de ce combat.

Et... J'avais raison. Je termine 3ème. Sauf que Kara s'est faite avoir avant moi. A défaut de balancer des coups j'ai opté pour la célèbre technique du lâche. A force de fuir en permanence les autres joueurs en eu marre et se sont ligués sur Kara qui semblait chercher à m'avoir. Ils l'ont salement prise en traître pour me dégommer dans la foulée.
A moi donc d'imposer le premier gage. Je me retourne alors dans sa direction avec un immense sourire aux lèvres. Le genre à te faire bien flipper car tu vas t'attendre à un truc tordu sorti de nulle part.

- Bon, j'ai un peu triché. Alors au lieu d'un gage j'vais te demander plutôt... Raconte-moi la plus grosse connerie que t'as faite.

Cool et relax, comme j'l'avais dit. C'est juste une question à la con. Rien de bien méchant dans le fond.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 15:49:18
C’est bien ce qu’elle pensait, Souta n’avait aucun problème avec ce qui s’était passé la veille. Il en rigolait, même. Pour Kara, c’était déstabilisant, mais jouer lui fit le plus grand bien. Durant la partie, elle se révéla concentrée, hargneuse, tacticienne et sans pitié. Mais les deux autres étaient clairement plus forts, elle pensait pouvoir gagner facilement, malheureusement à un contre deux, aucune chance. Elle grogna lorsque sont petit personnage trouva la mort, insultant les adversaires avec une bonne dose de mauvaise foi.

Elle n’en revenait pas que Souta ait gagné ce petit jeu supplémentaire pour pimenter les choses… Et elle s’attendait à ce qu’il lui réclame une faveur sexuelle, à vrai dire. Sa demande la surprit, elle cilla en penchant la tête sur le côté comme un gentil cocker, avant de hausser les épaules.

Sa plus grosse connerie… Est-ce que c’était ce qui c’était passé la veille ? Elle ne pouvait pas encore juger, les conneries, les vraies, avaient des conséquences sur le long terme. Enfin, c’était son point de vue. Et en cherchant dans sa mémoire pour répertorier les passages idiots de sa vie, Kara semblait avoir du mal à trouver un seul épisode digne d’être raconté comme étant « le plus gros ».

Parler de cela n’était pas évident pour elle, elle prit plusieurs grandes gorgées de bière pour se donner un minimum de contenance.

« Hm… J’ai voulu me flinguer, ado, et j’suis allée dans un centre glauque pour les dépressifs... » Elle ignorait s’il fallait qu’elle développe, elle ne parlait jamais de ce passage de sa vie, et pinça les lèvres, reposant sa boisson sur la table basse, et voulant immédiatement effacer ce qu’elle venait de dire.

« J’ai couché avec un de mes patrons, c’était une grosse connerie, il m’a virée ensuite. » Petite moue, elle ricana pour effacer la tentative de suicide. Autant parler de choses plus légères, non ? C’était tellement plus facile, elle se sentait plus à l’aise, même si c’était en effet une bêtise conséquente, cet épisode.

« J’ai été bête, il était plus âgé, charismatique, sûr de lui… » Elle soupira en se tapant du poing le crâne. « Je tombe dans le panneau à chaque fois ! C’est tout moi ! Il me faisait des avances depuis des semaines, j’étais comme une folle… Je savais que j’aurais dû poliment refuser ou l’ignorer, mais … la cravate, peut-être, je sais pas. Bref, j’ai craqué, il m’a utilisée, et après bah. Pouf, bye bye Kara. J’ai même pas eu d’indemnités ! Ca devait pas lui avoir plu... »

C’était risible, ou déprimant, elle choisit de rire nerveusement, même si raconter cela lui brisait le cœur et faisait fondre sa dignité, en réalité.

« C’est pathétique, hein ? » Elle ouvrit une seconde bière pour essayer de noyer le poisson, en tendant une à Souta. « Et toi ? Toi t’as dû buter pleins de gens, rouler des cadavres dans des tapis, ou ce genre de choses ? »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 24 décembre 2020, 16:30:41
En lui posant la question je m'attendais à une connerie liée à son boulot. D'une nature moins grave en tout cas. Genre s'être gourée sur une commande en entrant 2000 au lieu de 20. Mais là... Putain, elle a pris cher. Pas étonnant qu'elle ait autant de mal à se lâcher et qu'elle flippe pour un rien. Va y avoir du boulot. Beaucoup de boulot.

On me dit souvent que je suis un peu trop cash, con, incapable de comprendre ce qui m'entoure. Que ce soit en causant quand il faut pas, en rigolant quand il faut pas, en... Bref, de faire un truc quand il faut pas. La majeure du temps quand on est en groupe. Là on est deux, donc c'est plus simple.

Je me contente de la regarder sans rien dire en buvant ma bière tranquillement. La fin du cours, mais lourd, récit arrivé je me contente de répondre.

- Pathétique ? Nan, c'est pas le mot que j'aurais choisi.

Mais je m'arrête là. Des conneries lourdes à porter on en fait tous. Songer à se foutre en l'air durant une période difficile également. Dans mon cas j'étais plus jeune qu'elle. Se retrouver à la rue quand t'es encore gamin avec tous ces tordus qui cherchent à profiter de tes faiblesses peut te pousser à commettre les pires saloperies qui soient.
La peur peut te sauver dans certaines situations lorsqu'elle est maîtrisée. Ou alors devenir la cause de ta perte quand elle domine chacun de tes gestes.

Quand elle va pour me poser une nouvelle question sur mes activités je l'arrête en rigolant doucement. Principalement pour détendre l'atmosphère.

- Tututut ! Il y a des règles. Faut gagner pour avoir le droit de demander.

Et c'est quasiment aussitôt annoncé que je me fais éclater par un certain d4rK_Sas7Ke. J'ignore si Kara voulait prendre les choses en main pour s'assurer de gagner et obtenir une réponse. Mais le destin à décidé que j'aurais pas le choix. Me suis pris un combos de 50 coups dans la gueule sans pouvoir réagir. Et ma manette n'avait aucun problème de batterie ou de boutons.

- Ah ouais, 50 coups quoi.

Tout en gardant la manette en main je laisse Kara finir la partie pour répondre à sa question. Même si elle l'a posée avant de gagner, on peut pas changer un gage. C'est la règle. Une règle cachée, qui n'existe pas, mais qu'on respecte quand même. Parce que !

Mon regard est un peu fuyant et un sourire nerveux se dessine sur mon visage quand je prononce la seconde phrase de ma réponse.

- Pour commencer, non, j'ai encore tué personne à ce jour. Pas directement en tout cas. Pas de mes mains si c'est ce que t'entends par là. Je fais pas non plus dans la dissimulation de cadavres. Ca c'est le boulot des nettoyeurs. Comme pour les scènes de crimes, mais pour les criminels.

Je prends un air plus sérieux en la fixant droit dans les yeux.

- J'ai fait un paquet de trucs dont j'suis pas fier et pour lesquels je pourrais sûrement jamais me rattraper. Ca vient sûrement de mes gênes. Parait que certains comportements peuvent être transmis par les parents si on en croit les scientifiques.

La dernière phrase est accompagnée d'un regard froid, presque haineux. Le fait de repenser à ma mère fait remonter pas mal de choses qui me dérangent. Kara n'est pas du tout responsable de ça. Déjà parce que j'ai lancé le sujet le premier. Et ensuite parce que la seule responsable est celle qui m'a forcé à finir dans les rues.

- C'est clair que j'suis ni un homme d'affaire, ni un sportif, ni un artiste. Ce que je fais est pas toujours légal et je me retrouve presque toujours dans des situations merdiques. Mais t'as rien à craindre de moi si c'est ça le problème.
Tu peux le vérifier en me collant une baffe. On est plus à un près maintenant. Ah ah !


Cette fois je termine ma phrase en me marrant sincèrement.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 17:47:24
Le récit de Souta la fit souffler doucement, elle posa instinctivement la manette, le jeu n’était plus sa priorité. Son attitude semblait tellement différente, avec son regard fuyant d’abord, ses signes de nervosités évidents… Elle est tout de même extrêmement rassurée que ce ne soit pas un meurtrier, un tueur à gage ou une profession horrible comme dans les films de mafieux.

Mais dès qu’il plante un regard froid dans le sien, pénétrant, comme insensible, Kara frissonne, un long frisson le long de sa colonne vertébrale. Il a un regard de fauve sans état d’âme, qui la pétrifie sur place. Elle en a froid dans le dos, il semble ressentir une haine glacée envers ses parents, si elle en croit le passage sur les gênes. Il doit venir d’une famille de psychopathe, et s’en est visiblement prit plein la figure, c’est obligé.

Au fond d’elle, Kara ressent immédiatement de la pitié, en plus de la peur il faut avouer. Il est terrifiant de magnétisme gelé quand il parle, l’air grave et sérieux. Pendant tout son discours, elle fixe ses lèvres qui bougent lentement. Il a l’air d’avoir beaucoup souffert. Sa vie à elle lui semble idyllique d’un coup, alors qu’il n’a pas révélé grand-chose.

Sans l’avouer, la fin de son intervention les sauve un peu d’un silence gênant et lourd. Il finit hilare en voulant la rassurer sur sa dangerosité. Même si elle en doute, parce que Kara n’accorde pas facilement sa confiance par peur de souffrir, il lui semble que Souta est sincère : elle ne l’a jamais encore vu mentir, il faut dire. Il n’a pas l’air d’être quelqu’un de fourbe ou qui falsifie la réalité à sa guise. Son rire est communicatif, elle sautille en riant à son tour pour l’accompagner.

« Une baffe hein ? » C’était l’issue de secours à un échange pesant sur les nombreuses erreurs de leur vie respective, elle allait la saisir au vol. Armant son geste dans un mouvement théâtral, comme si la gifle qui allait suivre allait être monumentale fut l’envergure, elle menaça.

« Attention, t’es prêt ? Tu vas morfler, prépare-toi. »

Elle prend de l’élan et balance sa paume contre sa joue, sans retenir son coup. De toute façon, il faut avouer que Kara a des muscles de chips, elle ne fait pas le poids face à la résistance de Souta. Quand elle le cogne, c’est elle qui grimace, une phalange a heurté trop vivement sa mâchoire carrée.

« Aïe ! Merde ! »

Elle secoue la main vivement en grognant, morte de rire.

« Rah, la vache, même ça je sais pas le faire… » C’est tellement pathétique, elle n’est pas douée dans la vie, voilà tout. « Attends, attends, encore. »

Cette fois, elle souffle sur sa paume avant d’armer à nouveau son bras.

« C’est bon ? Attation misérable, tu ne peux rien contre ma force de mouche ! »

Et sa main part de nouveau dans un grand éclat de rire.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 24 décembre 2020, 18:30:28
- Ouep, une bonne grosse gifle.

Je l'encourage à y aller franco. Les fois précédentes elle avait agis par instinct, rage, voir envie. Mettre un coup est généralement plus simple et efficace quand le geste n'est pas traiter trop longtemps par le cerveau. L'anticipation peut nuire à son efficacité.
Ce qui finit par arriver ici...

- Ah ah, t'es pas censée te faire mal.

Assez rapidement elle va pour retenter sa chance sans me demander mon avis. Il y a pas à dire, je suis en train de former une sériale gifleuse. Je vois son geste partir et je l'évite à la dernière seconde pour remplacer ma tête par ma main dans laquelle elle frappe comme un high five.

- Faut pas abuser des bonnes choses. J'avais dis une gifle, pas deux.
T'aurais sûrement d'autres occasions plus tard. Même ce soir. On sait jamais.


J'attrape la manette et la lui lance pour voir si elle va la rattraper par réflexe tout en rigolant. On a une longue soirée devant nous et laissons celle-ci reprendre son court dans la rigolade.

Nouvelle partie, nouveau personnage et... nouvelle défaite. Le combat a par contre duré bien plus longtemps que prévu. Je suis parvenu à mourir en second pour m'offrir la troisième place devant un FortnikeBouleRoyale à qui j'ai même pu placer une attaque ou deux.
Je ne dois mon salut qu'au second inconnu qui s'est chargé de bien l'allumer vu que Kara ne semble pas intéressée le moins du monde à me venir en aide.
La fourbe, elle veut profiter de son avantage et me refiler un tas de gages ce soir. Ce qui n'est pas volé après les deux derniers jours durant lesquels j'ai mené la danse.

Je dépose ma manette sur la table basse et baisse la tête face à Kara après m'être tourné vers elle.

- Je m'incline. Tu peux me demander ce que tu veux. Enfin, dans les limites du raisonnable.
Et pas de seconde gifle, histoire de pas imposer deux fois de suite le même gag, sinon c'est pas drôle.


Reste à voir ce qu'elle aura en tête cette fois.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 24 décembre 2020, 18:47:23
L’ambiance est bien plus détendue désormais, et Kara ne s’en plaint pas, au contraire. Il évite sa seconde baffe sans mal, il a d’excellents réflexes, en plus d’être baraqué, et elle fronce le nez en lui tirant la langue. Ce doit être les arts martiaux le coupable, c’est sûr. Elle ricane, mais est un peu mouchée par sa petite remarque et surtout sur ‘même ce soir’. Est-ce que c’est une allusion sexuelle ?

Kara se racle la gorge et reprend rapidement la partie, mais pour cela, il faut une manette. Elle relève le nez au moment où l’une d’entre elle se dirige rapidement vers elle, elle essaye en vain de la récupérer au vol, loupe avec brio et le périphérique rebondit sur sa poitrine. Sa dignité est sauvée, elle réussit tout de même à la rattraper avant qu’elle ne tombe sur ses genoux. GG Kara !

Cette fois, Kara est décidée à gagner. Elle s’est trouvée bête d’avoir avoué sa plus grosse bêtise avec cet enfoiré d’Akihiko, et d’autant plus en ne réussissant ni à le baffer convenablement, ni à attraper la manette. Alors elle va se venger lâchement. Tant pis pour l’honneur. Elle laisse les deux adversaires s’occuper de lui, même qu’il tient plutôt bien, le bougre ! Kara se contente alors de se réserver pour la fin, attaque sournoisement les deux autres joueurs qui était focalisés sur Souta, avant de s’occuper d’eux avec hargne, tirant la langue tant elle était concentrée.

Dès qu’elle joue sérieusement, c’est-à-dire tout le temps, Kara semble totalement happée par l’enjeux, les yeux fixes, sans ciller, gigotant et commentant. Une boule de nerfs.

Quand elle gagne la partie, un cri dément sort de sa gorge, elle se lève d’un bond en hurlant à la télé :

« Tiens ! Aller ! Prends-ça connard, fallait pas t’attaquer à moi ! »

Se rendant compte de son accès d’orgueil, elle sourit un peu et se rassoit pour accueillir la petite courbette de Souta. Après la séance d’hier où il a été aussi brutal, Kara songe que le voir à sa merci est assez agréable… Des tonnes d’idées lui viennent en tête, qu’elle ne peut évidemment pas demander. Son regard s’illumine d’une petite lueur brillante, et elle penche en avant vers lui, le désignant de l’index.

« Chante-moi une chanson d’amour. »
Elle ricana d’un air narquois.

« Aller, sois doux et tendre, casanova, je veux vibrer comme une ado boutonneuse devant son chanteur pubère préféré. » 
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 24 décembre 2020, 19:18:26
A cette nouvelle demande des plus étrange je ne trouve qu'une seule réponse.

- J'avais dis "dans les limites du raisonnable" pourtant. T'étais prévenue, alors viens pas te plaindre après.
Tu peux mettre de la musique avec ton téléphone, non ?


Après une minute ou deux à chercher comment lancer une chanson rétro avec les paroles à côté je me lève au milieu du salon. Du tibia je repousse légèrement la table basse pour ne pas renverser ce qui est dessus en plus d'un des fauteuils.
Mais les préparatifs ne sont pas terminés, oh non. J'attrape ma bière et la descend d'une traite pour reposer la bouteille vite aussi rapidement que je l'ai récupéré.

La musique démarre enfin et je me lance :
♫ Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer ♫
♫ Et la Terre peut bien s'écrouler ♫
♫ Peu m'importe si tu m'aimes ♫
♫ Je me fous du monde entier ♫


La chanson dure trois longues minutes durant lesquelles je ne me défile pas. Chaque syllabe sort de la mauvaise manière. Je chante horriblement faux et ce n'est pas volontaire une seule seconde.

Au milieu de mon interprétation je pose un pied sur le fauteuil en levant une main en l'air, comme pour implorer le ciel. Elle voulait la totale, non ? Sans fleur à portée de main pour jouer au casanova, j'improvise et ramasse une bouteille de bière pour me tourner ensuite d'un geste fluide et doux vers Kara pour me retrouver sur les deux genoux face à elle.

♫ Nous aurons pour nous l'éternité ♫
♫ Dans le bleu de toute l'immensité ♫
♫ Dans le ciel, plus de problème ♫
♫ Mon amour, crois-tu qu'on s'aime? ♫
♫ Dieu réunit ceux qui s'aiment ♫


Je lui tend la bouteille du bout des bras en prolongeant volontairement la dernière phrase de la chanson avant de lui saisir la main droite et de la baiser comme dans les films.

- Je t'avais prévenue. Alors inutile de m'envoyer la facture si t'as perdu l'audition ce soir.

Sans attendre plus longtemps je me prends une autre bière et la descend d'une traite pour la faire claquer légèrement sur la table basse en annonçant que cette fois je vais gagner. Ce qui... n'arrive pas. J'étais super motivé, remonté, prêt à tout faire péter sur mon passage. Ce que j'avais pas prévu c'est que mon adversaire esquive mon attaque et que je tombe tout seul hors du décor sans avoir faire quoi que ce soit.
La tête baissé, complètement dégoûté par cette partie pourrie je soupire en souriant.

- Bon, j'ai perdu, encore.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 25 décembre 2020, 10:45:23
Kara explose de rire dès que Souta se lance dans une parodie affreuse d’un crooner en mal d’amour, on dirait un matou malheureux qui hurle à la lune, une patte coincée dans un truc rendant sa voix horrible. C’est qu’il chante faux, à chaque note, cela fait vibrer ses tympans et elle grimace dès qu’il monte un peu plus. C’est une torture, mais elle est morte de rire, ça commence à lui faire mal au ventre tellement c’est drôle, il n’est pas crédible une seule seconde.

Plus il surjoue, et plus Kara entre dans son jeu, les mains sur le cœur, elle cille avec force comme une biche de dessin animé, soupire et crie son nom d’une voix aigue à l’image d’une groupie dans un concert d’adolescentes. Cette bière offerte est le comble du romantisme et lorsqu’il baise le dos de sa main, Kara place l’autre sur son front et fait semblant de s’évanouir sous les vapeurs provoquées.

Après un bon moment dans un coma où elle glousse encore, les larmes aux yeux, la jeune femme se relève et frotte son oreille.

« T’es le pire chanteur que j’ai jamais entendu, Souta, le romantisme c’est vraiment pas ton truc ! » Elle se frotte les abdominaux qui brûlent encore sous hilarité, mais les choses redeviennent sérieuses immédiatement !

Pas le temps de s’appesantir sur sa prestation, l’heure est à la lutte, et Kara dégaine à nouveau sa manette, l’œil de nouveau fixe et concentré. Souta semble décidé à tout exploser et gagner, cette fois, et elle compte bien lui mettre des battons dans les roues. C’est un jeu, c’est sérieux, elle se penche en avant sur sa manette pour ne rien laisser au hasard. Elle s’apprête à l’attaquer frontalement mais…

« Euh. »

Le petit personnage vient de tomber lamentablement hors du niveau. Kara a une seconde de battement en silence, avant d’éclater de rire, un grand rire peu élégant, sincère, naturel, très moqueur.

« Oh mais merde, tu sais que le but c’est de rester sur la plateforme ?! »

Mais bien sûr le temps d’être une peste, elle se fait laminer par les deux adversaires, sans aucune pitié pour la vipère. Elle se lève d’un bond. « Putain, les enfoirés, c’est déloyal ! »

Puis tourne la tête pour constater l’état de délabrement de Souta, et immédiatement, se calme, venant se mettre à genoux près de lui. Doucement, elle pose une main sur son épaule, le visage compatissant, l’œil doux, et caresse sa cuisse avec tendresse.

« Oh, mon pauvre trésor… C’est pas grave, ce n’est qu’un jeu. » Son regard brille soudain d’une lueur narquoise qui trahit alors ce qui va suivre.

« Tout le monde n’est pas doué pour les jeux vidéo, toi t’es juste pas doué de tes dix doigts, vraiment nul avec une manette dans les mains, c’est pas grave, hein, t’as d’autres qualités, comme celle de chanter comme une casserole et t’habiller comme un sac. »

Son petit visage de fouine avait l’air vraiment pervers à cet instant, fourbe et cruel, mais elle était hilare à ses pieds.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 26 décembre 2020, 08:38:30
Ouais, j'en faisais des caisses pour plaisanter. Mais c'est rien à côté d'elle quand elle vient remuer le couteau dans la plaie en se posant devant moi. Quand elle parle de mes autres qualités je me mets à rire en relevant la tête. Nos visages sont sacrément proches l'un de l'autre. Au point de pouvoir sentir son haleine et sentir son souffle chaud sur ma peau.

Un immense sourire sur le visage je me dis que ça va... que ça doit se payer.

- Ah ouais, tu veux la jouer comme ça ?

Je l'attrape par le poignet pour la faire se relever à mi-hauteur pour ensuite la faire tourner sur elle même afin qu'elle recule ensuite pour atterrir sur mes genoux. On va pimenter la prochaine partie et on verra si elle s'en sortira aussi bien que ça, madame la gameuse.

- Je vais te filer un handicap pour la prochaine partie. On verra si ce sera aussi facile.

Contrairement aux précédentes elle se retrouve seule face à trois joueurs et devra finir dans les deux premiers. Donc interdit d'être dans les deux premiers joueurs à se faire expédier hors de la plateforme de combat.

De mon côté je ne bouge pas, les bras allongé et posés sur le sofa tout en la gardant sur mes genoux. J'attends le moment propice pour la déranger. La partie démarre, chaque joueur commence tranquillement en s'envoyant des attaques de loin.

Alors qu'elle tente de prendre les devants, mes mains se posent alors sur ses cuisses pour remonter en emportant sa jupe avec elles dans le mouvement.

- Aaaah, on reste concentrée sur la partie !

D'abord sur la surface extérieure de ses jambes, je change rapidement de côté pour venir voir si l'intérieur est tout aussi sensible. Ce qui me semble être le cas vu sa façon de gigoter. Elle a du mal à rester sur place. Mais faut voir si c'est de ma faute ou celle du jeu étant donné que les parties précédentes déjà elle ne se retenait pas de jaillir du sofa pour gueuler sur l'écran.

La partie avance et un premier joueur fini par se faire éliminer. Il n'en reste plus qu'un pour que Kara remporte son défi. Ce qui me pousse, logiquement, à augmenter la difficulté. Sinon c'est pas drôle.

- Tu t'en sors bien. Heureusement que je sais pas me servir de mes dix doigts, sinon t'aurais déjà perdu.

Ma main droite reste en bas et s'approche dangereusement de sa culotte en lui caressant l'intérieur de la cuisse doucement. La gauche, elle, remonte le long de ses hanches par-dessus ses fringues pour venir se poser juste en-dessous de sa grosse poitrine. Sans se poser dessus. Non, je préfère jouer avec l'idée que cela pourrait se produire à tout instant. Que cette possibilité lui trotte dans l'esprit durant sa partie. Du bout des doigts j'effleure sa culotte. Le dos de mon autre main, elle, se frotte à ses imposantes jumelles pendant que je caresse le haut de son ventre.

- Ca y est presque, ouais...

La remarque est clairement à double sens. Et au final... Kara parvient à dégager un second joueur et même à remporter la partie. Eh ben, à croire que ça l'a boosté au lieu de la déstabiliser. J'avoue ma défaite. La seconde d'affilée. Je retire mes mains doucement en lui annonçant doucement à l'oreille.

- T'as encore gagné. A toi de me refiler deux gages. Sauf si tu préfères m'en refiler un plus gros.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 27 décembre 2020, 20:37:35
Dès que Souta avait sourit avec une sorte d’expression malsaine dans le regard, Kara avait su qu’elle regretterait sans doute ses excès. Elle avait été blessante et fanfaronne, c’était justice, sans doute… La réaction du jeune homme fut tellement vive qu’elle n’eut pas le temps de répliquer ni même comprendre tout de suite ce qui lui arrivait. Kara se retrouva se retrouvait sur ses genoux.

Bien, elle va donc juste devoir gagner cette partie-là, sans avoir son avatar dans les pattes, songe-t-elle. Elle se dit alors que ça sera facile et qu’il allait faire moins le malin lorsqu’elle serait première. Se laissant immédiatement prendre au jeu, elle avait été déconcentrée une seconde par le fait d’être si proche de lui, contre ses cuisses, mais le démon du jeu la happait vite.

Mais Kara est également une fonceuse dans ce genre de partie, alors les attaques à distance l’agacent rapidement, elle s’avance vivement, convaincue qu’elle va prendre le dessus, sûre d’elle. Souta ne va pas en croire ses yeux ! Elle sursaute dès que ses mains se posent sur ses cuisses, et elle baisse le nez pour constater qu’elle n’a pas rêver, reprise immédiatement par le jeune homme qui lui rappelle qu’elle doit être concentrée.

« Hé ! Mais… »

Elle frémit de sentir le tissu de sa jupe se relever à mesure que les doigts de Souta remontent lentement, et c’est un frisson plus fort qui la parcoure au contact de l’intérieur de ses cuisses, un réflexe les fait se rapprocher l’une de l’autres comme si elle voulait arrêter son mouvement mais… Cela ne sembla pas le cas. Merde, elle a peur de comprendre parfaitement quelle vengeance il opère et… Elle réalise à quel point la situation semble excitante.

Merde, elle se prend un coup, sursaute sur ses genoux, se penche pour tenter d’oublier la chaleur de ses paumes. Allons, allons, elle doit gagner, c’est son honneur qui est en jeu ! Kara fixe l’écran, tire le bout de sa langue, trucide un adversaire et lâche un grognement victorieux.

Souta fait le fanfaron à son tour, elle tente de ne pas l’écouter, mais sa bouche semble très proche de ses cheveux, juste derrière elle. Il faut dire que l’enjeu se corse, elle sait qu’elle a encore un ennemi à éliminer, mais son bassin a un soubresaut, et à cet instant elle sent comme par anticipation les doigts de Souta approcher se son entre-jambe. L’autre main la perturbe aussi, elle a du mal à se concentrer sur ces trois points d’attention… le jeu… son bas-ventre… juste sous ses seins… La frustration la rend nerveuse, elle fait des erreurs, se trompe de boutons, manque de tomber hors du décor.

Elle a beau se dire que tout va bien, qu’il est bien loin de la caresser à des endroits si sensibles, les imaginer la fait légèrement onduler, elle se mord vivement la lèvre, ayant arrêté de ciller depuis un moment, et ses yeux lui piquent. Il faut qu’elle gagne, elle va lui rabattre son caquet. Ce sont juste des mains, rien de bien méchant… Des mains qu’elle meurt d’envie de sentir à quelques centimètres plus haut qu’actuellement. D’autant qu’elle se souvient parfaitement des talents de Souta… Elle se sent défaillir, manque de succomber, ‘Ça y est presque’… et d’un coup, se redresse d’un bond, la jupe remontée et les fesses à hauteur du visage de son tortionnaire.

Elle s’acharne sur la manette, explose totalement le dernier survivant dans un râle, avant de se tourner vers lui en lâchant ce qu’elle tenait. Le périphérique tombe lourdement au sol, mais Kara s’en fiche, tout comme elle semble ne pas avoir entendu ce que vient de dire Souta… Ses bras enlacent son cou et elle vient s’asseoir à califourchon sur lui, avant de plonger pour l’embrasser comme une assoiffée.

« Ça suffit de me torturer. »

Elle se détache de sa bouche puis soupire.

« T’as dit que t’allais te rattraper aujourd’hui, alors ça c’est mon dernier gage. Fais-moi jouir, je repartirai pas avant. » Gronda-t-elle en venant mordre sa lèvre inférieure. C’est lui qui avait cherché la bagarre, il s’était engagé la veille. Il fallait assumer, maintenant.

Elle venait d'oublier ses bonnes résolutions et son impression de s'être faite avoir en quelques minutes, comme par magie. Quelques caresses à peine... Elle était vraiment trop faible. Elle le regretterait plus tard mais, pour l'heure...
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 27 décembre 2020, 22:59:45
Je m'attendais à ce que la soirée finisse plus ou moins de cette façon après ce qui est arrivé hier. Parce qu'elle avait beau tenter de me faire croire le contraire, Kara avait prise son pied dans ce parc. Ce n'est pas pour frimer ou mettre en avant ma façon de faire. La chose s'est simplement produite.

En tout cas l'ordre est lancé et je ne compte pas me défiler. Bien au contraire, la nuit s'annonce folle. Un rictus nerveux m'est même arraché quand elle s'attaque à ma lèvre lorsqu'elle prend les devants en se collant à moi pour m'embrasser sans aucune retenue. La passion et l'envie pourraient prendre être visibles dans ses gestes. Qu'elle est loin la petite vendeuse hésitante.
Avec ses bras autour de ma nuque le message est clair : je n'irai nulle part.

- Les désirs de madame sont des ordres.

Mes mains se posent sur ses cuisses un bref instant pour faire remonter sa jupe au maximum et faire du coup ressortir ce cul bien rebondit. Le fait d'avoir été pris par surprise me force à respirer de façon moins sereine. En associant ça a mon état d'excitation qui grimpe assez rapidement et on obtient un mélange bien salace.
De la main droite je viens foutre une claque sur sa fesse gauche tout en empoignant les deux afin de faire remonter et coller son corps aux formes si généreuses sur le mien.

Sa grosse poitrine est la seule barrière naturelle qui éloigne nos corps l'un de l'autre. Pourtant je peux sentir cette dernière s'écraser contre mon torse. Même déjà comprimée sous son haut et sa veste.
Il fait une chaleur pas possible sur ce sofa. Entre son souffle brûlant quand nos lèvres se séparent quelques secondes pour que l'on puisse respirer, le mélange de nos deux salives chaudes qui coule sur moi, sa peau brûlante quand nos corps se touchent ou encore la friction du tissu de nos habits.

Tout en gardant une main enfoncée dans la chair tendre de son cul, je dirige l'autre sous sa culotte pour constater qu'elle commence déjà à mouiller. Pas de perte de temps inutile pour la chauffer ce soir. Ce n'est clairement pas nécessaire vu qu'elle sait ce dont son corps à besoin.

Mes lèvres échangent un dernier baiser avec les siennes pour plonger et jouer avec son cou au goût salé à cause de la transpiration. Cela me permet de vérifier les zones sensibles de son corps que j'aurais pu négliger la première fois tout en m'ouvrant un meilleur angle qui me permet de glisser trois doigts dans sa fente chaude et humide.

En la repoussant légèrement pour que son dos se redresse, j'attrape un de ses poignets avec la main qui jouait jusque là avec ses fesses pour la glisse sous mon boxer sans chercher à ouvrir mon jean.

- Tu la sens durcir entre tes doigts ? Garde la main dessus jusqu'à ce que je bande complètement pendant que tu repenses à toutes ces sensations d'hier.

Je la lâche aussi tôt pour poser les deux mains sur sa veste et son haut que j'arrache d'un coup pour me saisir de ses seins à pleines mains. Ses deux obus à la peau si douces et élastiques se font presser légèrement pressés l'un contre l'autre pour que leur mamelons se retrouvent collés.
Et là je fonce dessus bouche la première pour les sucer. Les deux petites pointent sensibles rencontrent mes dents dans la foulée.

Jouer avec la poitrine d'une femme m'excite beaucoup car cela les fait souvent gémir de manière assez audible. Dans d'autres situations il s'agit aussi d'un excellent moyen de les plonger dans l'ambiance. Sauf que Kara n'en a pas forcément besoin là. Non, je veux juste que ses gémissements et autres couinements qui résonnent dans mes oreilles fassent remuer ma queue sous mes fringues pour qu'elle sente tout ce qui se passe avec sa main.

La pointe de mes cheveux effleure sa poitrine et viennent parfois s'écraser sur mon front quand je joue plus avec un sein que l'autre maintenant que j'ai recraché de façon volontairement vulgaire ses deux tétons couverts de ma salive. Je m'amuse à alterner entre l'un et l'autre. Traiter le premier de façon agressive en le pinçant ou le mordant tout en caressant ou léchant tendrement l'autre offre une sortie de double traitement opposé amusant et excitant.

Ceci dit, les minutes passent et je suis bientôt en état de m'occuper d'elle directement.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 27 décembre 2020, 23:38:48
Il semblait que Kara n’aurait toléré aucun refus de la part de Souta, et cela ne lui avait même pas effleuré l’esprit. Elle qui doutait quelques minutes auparavant était désormais incapable d’imaginer autre chose que son amant se jetant sur elle. Son imagination travaillait tellement efficacement qu’elle se mit immédiatement à ronronner, dès qu’elle avait senti les mains de Souta peloter ses fesses, électrisée par ses baisers avides.

Il avait fallu une seconde à peine pour qu’il se révèle aussi chaud que la veille, à croire qu’il n’attendait que cela, qu’elle craque, elle lui saute dessus ? Elle se sent si vite brûlante, c’en est presque automatique. Dès qu’il se glisse en elle, la forçant à adapter sa position pour plus de confort et de plaisir, Kara glisse ses mains dans ses cheveux en cherchant à nouveau ses lèvres… Mais elles se dérobent à elle, venant lui dévorer le cou. Elle frémit, vocalise en frissonnant de plaisir. Elle a toujours adoré cela…

C’est à contre-cœur qu’elle sent sa bouche délaisser sa carotide, pour mieux descendre en piquet sur sa poitrine qu’il vient de dévoiler avec brutalité.

Son geste sec et franc la fait sursauter, mais sans doute d’autant plus à cause de son souffle si chaud et de ses lèvres sur ses tétons qui s’érigent immédiatement. Elle se sent déjà fiévreuse, elle se sent déjà bouillante, comment fait-il ? Cette partie handicapante l’a excitée plus qu’elle n’aurait dit… Sa paume serre doucement son sexe qu’elle a été obligée de sentir, orientée avec force par Souta. Sa peau est chaude, douce, le contact l’électrise tellement. Son bassin a déjà commencé à se dandiner pour orienter ses doigts, et désormais, sa respiration est rauque, sonore.

« O… Oui, je la sens… » Essaye-t-elle de lui répondre, mais elle a du mal à parler correctement tant ses dents la font chavirer. Elle en raffole, elle râle de plaisir. « Oh. Oh oui. » Kara couine, se crispant dès que son attention embrase l’un, puis l’autre de ses seins. Il est difficile de savoir où donner de la tête…

Doucement, sa main gigote avec la faible latitude à sa disposition entre son boxer et sa peau bouillante, sentant son sexe durcir de plus en plus, l’excitant d’un coup. L’anticipation sans doute, le sentir grossir dans sa main la fait soupirer d’aise et balancer la tête en arrière avec un frémissement fébrile. Plus il semble s’acharner sur un de ses tétons, et plus il paraît doux avec le suivant, la rendant folle. Elle a l’impression de passer son temps à roucouler tendrement, puis geindre d’une douleur délicieuse, sans savoir sur quel pied danser. C’est délicieux.

C’était le meilleur des gages, elle commençait à se sentir vraiment trempée, et haletante. Lorsqu’elle sent sous sa main son sexe pulser et les soubresauts qui la serre contre son pantalon, elle relève le menton de Souta de sa main libre, et dévore sa bouche avec passion. Les doigts en elle la font onduler de plus en plus, elle se sent mal installée, grogne contre sa bouche, croque sa mâchoire, frustrée. Quelque chose d’insoutenable pulse au fond de ses tripes, comme un rugissement longtemps étouffé, qu’elle contrôle à peine.

Son corps monte en température et Kara glisse sa bouche humide jusqu’à son oreille.

« Baise-moi. » Implore-t-elle, prouvant là encore que la patience n’était pas son fort. Elle avait déjà des frissons le long de la colonne vertébrale, elle en voulait plus, et la sueur collait déjà sa frange à son front comme après des ébats endiablés. Elle était monté si vite dans les tours que la tête lui tournait. Alliant la parole au geste, elle empoigna bien fort ce membre épais pour le caresser du mieux qu’elle pouvait ainsi entravée.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 28 décembre 2020, 08:13:25
Après m'être pris quelques gifles de sa part je m'étais fait une idée de la force de Kara. Pourtant la vendeuse avait encore de la ressource vu la pression que sa petite main vient exercer sur mon sexe là-dessous. A croire qu'elle y met tout ce qu'elle a.

- Kuuuuuh !

Tout en la laissant faire vu que je ne peux pas l'arrêter dans cette position, je me remets à l'embrasser à pleine bouche tout en la forçant à reculer pour se redresser. Voir se relever. La main de nouveau sous sa culotte pour la doigter avec trois doigts.
La vache, ceux-ci se font littéralement aspirer au moindre mouvement. Moi qui cherche à la maintenir en état, je crois que ce n'est même plus nécessaire là.

Je la fais se retourner et la pousse en direction du sofa afin qu'elle se retrouve face au nouveau morceau de mobilier. Un genou sur un des coussins et les mains au niveau du dossier.

Avec ses fringues à moitié arrachées et son état d'excitation je ne sais même pas par où commencer. Son haut d'où ressortent ses gros seins qui n'ont plus nulle part où se cacher et sa jupe remontée dont la culotte doit la collée avec tout ce qui en coule.
Ma main droite revient foutre une claque sur son cul. Puis une seconde. Le bruit de la paume qui claque sur sa peau résonne dans toute la pièce en allant au-dessus de la musique du jeu vidéo qui tourne toujours à l'écran.

Mais assez joué. Mes doigts partent sur ma ceinture et la débouclent en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je me rapproche alors d'elle pour glisser la main gauche entre ses cuisses et commence à faire frotter deux doigts sur sa fente par-dessus sa culotte pendant que je lève chaque jambe afin de virer mon jean que j'envoie voler plus loin.
Puis j'en fais de même avec mon boxer qui offre sa liberté à une bite dans tous ses états. Le prépuce déjà rétracté laisse place à un gland violacé et collant avec les quelques gouttes de pré-sperme qui se mettent à fuir de celui-ci. Le tout trônant au bout d'une tige veineuse et pulsante qui se balance de haut en bas comme la queue d'un toutou prêt à s'amuser comme un fou.

Désormais les deux mains libres, j'arrache un nouveau bout de tissu : sa culotte. J'aurais pu la lui enlever en un clin d'oeil. Mais pas le temps. Non, la chaleur qui m'envahit est trop forte. La seule chose qui pourra me calmer c'est...

- Cette chatte bien trempée !

Je me rapproche de nouveau d'elle avec deux doigts qui prennent sa température une dernière fois. Ca me fera un lubrifiant naturel parfait. D'une main ferme je me saisis de ma queue à sa base et commence à frotter sa hampe veineuse et tremblante contre ses lèvres intimes pour la couvrir de mouille.
L'autre main attrape un de ses gros seins pour le malaxer sans aucune forme de douceur ou de tendresse.
Je me penche alors une dernière fois mon visage de son oreille pour lui glisser.

- La levrette c'est parfait pour baiser une petite chienne en manque.

La main qui tenait se sein l'écrase, le presse comme un citron pour le relâcher aussi vite qu'il s'était attaqué à lui pour refoutre une fessée à Kara. C'est le signal d'une autre attaque plus bas. Sur un dernier retrait de mes hanches je positionne mon gland humide à l'entrée de sa chatte et pousse en force pour écarter ses parois serrées.

- Putain !

L'entrée est aussi résistante et étroite que la veille. Mais ma queue épaisse repousse tous les obstacles qui se trouvent sur son passage. Une main sur son cul et l'autre sur sa hanche pour commencer afin de la maintenir en place. Voir la pousser un peu en avant si ça finit par coincer.

Les râles et autres grognements de plaisir s'échappent de ma bouche au fur et à mesure qu'un centimètre supplémentaire s'enfonce dans ses chairs sensibles. Je sens tous les muscles de mon corps se contracter.
Lorsque les derniers centimètres entrent enfin, mes doigts s'enfoncent davantage dans sa peau alors que je soupire de longues secondes.

- Pfooouuuuu !

La manœuvre inverse me prend aussi plusieurs secondes. Mais contrairement à hier, je sens moins de résistance lorsque je m'enfonce en elle pour la seconde fois. Son corps commence à m'accepter et s'adapter à moi.
Il me faut pas plus de trente secondes pour instaurer une cadence régulière et rapide alors que je lime littéralement sa petite chatte en manque.

- T'attendais que ça depuis le début, avoue ! Je parie que t'en as rêvée toute la nuit hier. Sentir ma grosse bite remplir ta petite chatte étroite.

Tout en parlant avec une respiration lourde et compliquée, j'accélère davantage le rythme de cette levrette brutale.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 28 décembre 2020, 10:27:17
La même sensation que la vieille.
La même impression première que ça ne passera pas, qu’elle va avoir mal. Et puis… Cette fois, ils sont dans un lieu propice à la laisser s’exprimer pleinement, assez pour que Kara lâche un petit hurlement délicieux en sentant ses chairs s’écarter, en forçant pile ce qu’il faut, pour accueillir le gland brûlant de Souta en elle.

Les gifles qu’il fait claquer sur ses fesses lui font écarquiller les yeux, elle se dit qu’elle devrait protester mais… Oh, merde, elle a adoré ça ! Ses mains s’accrochent au coussin avec force à mesure qu’il pénètre son intimité, et même si elle ne peut pas voir son sexe s’insérer puissamment, elle l’imagine très bien, ce qui augmente encore son excitation d’un cran, elle a du mal à ne pas gigoter frénétiquement pour laisser le champ libre à Souta, heureusement maintenue par ses mains qui l’empoigne.

Il dégage d’une telle impression d’assurance qu’elle se sent immédiatement frêle et vulnérable, cette énorme queue qui commence à aller et venir, alliée à ses râles rauques et suaves lui font tourner la tête. Cette position la rend dingue, elle se cambre plus encore pour pouvoir accuser les coups de reins au mieux et accentuer son plaisir.

Est-ce qu’elle est vraiment une petite chienne en manque ? La vieille, elle s’était trouvée un peu vexée qu’il la traite de salope, mais elle était dans un tel état de désir qu’elle ne se souvenait plus trop ce qu’elle avait dit ou fait ; c’était étrange, cela la blessait et en même temps… les mots crus de Souta résonnaient à ses oreilles et aiguillonnaient ses sens, la rendant fiévreuse à chaque fois qu’elle entendait le son de sa voix. Plus il était vulgaire, plus elle gémissait, comme pour lui donner raison…

Enfonçant ses ongles dans le tissu, Kara sentait chaque centimètre entrer et sortir à un rythme fou qui s’accélère encore, la laissant réagir, aller et venir, comme une poupée de chiffon sous les assauts brutaux.

« N… » Parler est compliqué, elle se coupe pour geindre et soupirer. « Non… C’…c’est faux… » Menteuse, la vision de cette énorme queue l’a hantée toute la nuit, même si la colère l’accompagnait.

Comme pour la punir de son mensonge, un violent coup de rein vient l’ébranler et elle tombe la tête la première sur l’accoudoir rembourré, étouffant un juron. Elle tourne la tête difficilement, assez pour respirer, et tenter de l’observer par-dessus son épaule, ses cheveux balayant au rythme des mouvements sauvages son visage.

Elle lui sourit avec une telle adoration dans le regard qu’il ne pouvait ignorer combien elle adorait ce qu’il faisait, et sans lui demander son avis, lui prit la main, celle qui agrippe sa hanche avec force, et tire son bras. Assez pour qu’il la couvre totalement, son ventre contre ses fesses, et pouvoir conduire sa main entre ses cuisses, de l’autre côté, et coller son majeur sur son clitoris. Elle est parcourue d’un frisson dès qu’il l’effleure, et trouve la force de ricaner.

« Bosse au lieu de dire des conneries. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 28 décembre 2020, 12:43:06
Kara est tellement excitée qu'elle continue d'enchaîner les initiatives avant que je m'en occupe. J'attendais de me trouver dans une bonne position pour passer à l'étape suivante. Mais elle est clairement pressée de son côté.
Du doigt je joue légèrement avec son clito gonflé et sensible pendant plusieurs seconde alors que je la pilonne brutalement avec ma bite qui est désormais chez elle dans sa chatte brûlante. Mais je décide de revoir la partition un court moment. Mon doigt humidifié par sa mouille qui coule partout se colle à mon index pour filer droit dans sa bouche légèrement ouverte.

- Avec... plaisir !

Les deux mots sont entrecoupés d'un coup de rein hyper brutal dans lequel je mets toute mon énergie. Mes doigts viennent alors se coller et se frotter à sa langue tout en récupérant un maximum de salive au passage lorsqu'ils trainent jusqu'à son menton en repartant. Je peux même sentir son souffle brûlant s'écraser dessus.
Puis les voilà rapidement revenir sur son clitoris. Avec un petit changement de position. Mon autre main vient la saisir à la gorge pendant que je reste dans son dos. Mon pubis claque et s'écrase sur son cul à chaque coup de rein pendant que je la force à se redresser un peu.

Ma main libre se glisse dans ses cheveux pour la forcer à pencher la tête sur le côté. Je me mets alors à embrasser son cou au début en calmant le rythme des pénétrations. Puis je colle mes dents sur sa peau douce mais couverte de sueur salée pour les faire descendre en les plantant juste ce qu'il faut dans sa peau. Les allez et venues en elle se font plus lente mais aussi profondes que possible. Le but est de lui procurer des sensations en haut et en bas.
Associer les deux à pleine vitesse est presque impossible car chaque coup de rein la fait partir en avant. Je mélange les rythmes, les cadences, les coups plus ou moins profonds, mais sans jamais lâcher son clitoris. Le tout jusqu'à sentir sa chatte se contracter et m'écraser la bite.

Et pourtant je ne m'arrête pas en si bon chemin.
Au bout de cinq minutes de jeu, je repose ma main sur sa gorge et la tire vers moi pour la mettre debout, dos à moi, ma queue logée au fond de cette prison de chair chaude et visqueuse. D'un coup de pied bien placé je repousse le sofa plus loin et j'emmène Kara à se retrouver à genoux sur le tapis, la tête dans un coussin qui vient de tomber. Une énième claque vient s'abattre sur son cul qui va finir par y voir apparaitre la marque de ma main.

- Relève ton cul !

Une main sur sa tête et l'autre sur sa hanche, je repars de plus belle avec ma bite épaisse et toujours aussi demandeuse de caresses pour la baiser sans aucune retenue. C'est ce qu'elle semble vouloir et aimer ce soir. Alors je vais pas la décevoir.
Les gémissements animales qui s'échappent d'entre mes lèvres se font de plus en plus réguliers au fil des minutes qui passent alors que le son de nos chairs qui claquent l'une contre l'autre deviennent les seules bruits que mes oreilles peuvent encore capter.
Il me faut plusieurs secondes pour y parvenir, mais je parviens à balayer ses cheveux trempées qui se collent à son visage dont une joue reste collée au coussin. Je lui tends alors ma langue pour chercher la sienne et l'embrasser de manière baveuse et complètement désordonnée. Nos salives finissent même par rapidement faire changer la couleur du tissu de ce coussin.

La veille je m'étais laissé aller à jouir sans chercher à me retenir. Ce soir ce sera différent, je vais la faire jouir encore et encore avant. Donc quand je sens son corps se contracter et sa chatte me presser la bite comme un vieux torchon trempé je change une troisième fois de position.
Je la soulève après m'être penché sur elle en la tenant par les jambes avec toujours mon torse collé à son dos. Puis je pose mon cul sur le sofa avec elle sur moi et je me mets à remuer les hanches pour soulever son corps et le faire rebondir sur le mien.

Une main revient harceler son clitoris comme lors de la première position, tandis que l'autre joue avec un de ses seins et le téton qui l'accompagne.

- Je crois que je vais te baiser jusqu'au petit matin.

Et pas besoin de gage pour me pousser à le faire.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 28 décembre 2020, 13:40:01
Si elle avait fait la maline en portant les doigts de Souta entre ses cuisses, dès qu’il commença à la caresser, se vengeant par de violents coups de bassin qui explosaient contre ses fesses et résonnaient jusque dans son crâne, Kara désormais ne ricanait plus. Sa voix éraillée de trop gémir, elle se cramponnait pour supporter les assauts, se demandant comment elle arrivait à tenir encore sans chavirer.

Dès qu’elle sent ses doigts percer ses lèvres, elle les lèche et les suce avec férocité, comme une assoiffée, tant cela l’excite, elle sait déjà où ils retourneront et elle frémit en couinant encore d’impatience, avant d’avoir la respiration coupée par la main puissante qui lui entrave la gorge.

Elle se sent défaillir, le plaisir est trop grand, se faire pilonner de la sorte la fait trembler, mais au changement, plus doux, de rythme, ce sont bien les dents de Souta contre son cou qui la rendent folle. L’intensité prend le dessus sur la violence et son corps semble se tendre d’un coup, elle monte petit à petit en vocalise, se tait, se mord la lèvre… Le plaisir monte avec une telle puissance qu’elle se contracte totalement, ses bras peinent à la porter et elle plaque sa tête dans le coussin pour étouffer son gémissement langoureux.

Haletante, Kara s’attend à une remarque salace de la part de son amant, mais au lieu de se rassasier, il la plaque debout d’une main ferme, les entrailles encore parcourues de soubresauts autour de son sexe épais en elle. Se retrouvant à genoux, elle obéit immédiatement dès qu’il ordonne qu’elle se cambre bien pour lui présenter parfaitement son postérieur, qui vient de recevoir une claque bruyante. Elle frémit en jappant, se mordant l’intérieur de la joue. Ça pique, c’est si bon.

 Entendre les feulements rauques et sauvages de Souta la rend encore plus fébrile, et dès qu’elle perçoit cette langue qui cherche sa semblable, elle se contorsionne pour venir la saisir, lapant et suçant, pour l’embrasser avec ardeur. Ce baiser l’embrase, elle sent son entre-jambe se contracter, et elle a l’air d’exploser encore, fermant les paupières si fort qu’elle en a mal, sa mâchoire se crispe, tout son corps se contracte, se détend, pour mieux convulser de nouveau.

« Hmm… S… Sout…a… »

 Kara gémit contre sa bouche, et elle lâche un petit cri de surprise quand Souta la soulève, toujours aussi impressionnée par sa force. Elle suffoque, encore sous le choc de son second orgasme, se sentant de plus en plus détendue et molle… Mais il a l’air d’avoir d’autres projets pour elle, et lorsqu’elle se retrouve assise sur lui, soulevée avec tant de facilité, rebondissant sur son sexe rapidement, s’empalant si aisément… Elle couine de plaisir en sentant son téton se faire de nouveau malmener, et lâche un « oh » guttural quand ses doigts retrouvent le chemin de son clitoris.

« Oh oui… oh oui… » Glousse-t-elle en pinçant les lèvres, elle sent son intimité trempée et gonflée, l’action combinée sur plusieurs endroits si sensibles ne lui laisse pas le temps de réfléchir, elle ne sait plus où donner de la tête, tout est trop bon…

Il semble insatiable et infatigable, il lui semble qu’il la baise depuis des heures. Ballotée de haut en bas, elle arrive tout de même à glisser un main contre celle qui presse son clitoris, pour descendre et effleurer ses bourses, l’autre main empoignant son genou pour éviter de basculer en avant tellement elle est secouée par les coups de bassin.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 28 décembre 2020, 15:44:26
Même avec toute l'endurance du monde, il faut parfois faire des pauses durant un marathon sexuel. Ou alors posséder des facultés spéciales comme certains mercenaires. Dans le milieu des activités illégales on rencontre de tout. Les espèces exotiques ne sont d'ailleurs pas toujours d'origines animales. Je me souviens avoir vu un fois lors d'un spectacle, durant lequel j'escortais une cliente, deux femmes se faire plaisir sur une scène. La première était parfaitement humaine. Alors que l'autre... était en mesure de transformer certaines parties de son corps en tentacules et s'en servait pour lui faire perdre la tête devant une foule adoratrice.

Je me demande pourquoi je repense à ça maintenant. Toujours est-il que mon endurance a bien été drainée jusque là et que je vais devoir me soulager en elle une première fois pour marquer le temps d'une pause bien méritée de chaque côté.

Quand je sens sa main se poser sur la mienne il me parait évident qu'elle veut partir à la recherche d'un autre orgasme. Sauf que je prends la chose tout autrement en sentant que ses doigts fins n'avaient finalement pas terminés leur course.

Désormais plus relâché et plus du tout dans la retenue au niveau de mon orgasme je me mets à sourire tout en continuant de frotter la partie inférieure nue de mon corps sur le cuir du sofa tout en lui lâchant une petite remarque cochonne.

- Moi aussi j'ai envie de te remplir. Et ça va... pas tarder.

Je repars de plus belle mais à un rythme moins élevé qu'avant. Mes gestes se concentrent sur ma main qui malmène sans arrête son clitoris et l'autre qui profite de la douceur de sa poitrine. Chaque pénétration se veut alors plus sensuelle, plus profonde, jusqu'à sentir chaque centimètre venir se loger en elle pour que ses parois douces et humides les caressent à la perfection. Epousant chacune de ses formes et protubérances comme ses veines pulsantes qui l'alimente en sang.

La sueur perle en quantité de plus en plus grande sur mon front. Mon haut me colle à la peau et me démange légèrement au niveau du torse. Surtout quand il se replie tout seul à cause de nos mouvements respectifs. Mais la sensation de vouloir exploser en elle compense largement tout le reste. Ma bite commence même à me faire mal à force de retenir ma jouissance.
Chez un homme les choses ne sont pas toujours roses quand on tire sur la corde. Et là je force un peu trop. Au point de sentir une petite douleur aller et venir.

Dans un dernier élan alors que je sens qu'il ne me reste plus que quelques secondes avant de me soulager, je tire Kara vers moi pour l'empêcher d'aller où que ce soit. Je me laisse aller sur le sofa et enfonce mon dos dans le coussin arrière avec le poids de ma torride partenaire. Nos deux corps se retrouvent dans une position qui limite considérablement ses gestes vu que ses pieds ne sont à bonne distance du sol.

- Putain !

La seconde qui suit voit ma tige écarter ses parfois pour laisser la sperme remonter et jaillir de mon gland pour reprendre la belle et perverse Kara de l'intérieur. Mes doigts martyrisant son petit clito gonflé sans lui laisser une seconde de répit. Ecrasant son sein avec la poigne ferme de mon autre main. Le tout en soulevant les hanches pour que ma bite se loge aussi profondément que possible en elle.

Le premier jet dure deux à trois secondes quand un second arrive, accompagné d'un soupire de plaisir qui termine dans son oreille. Du sperme gélatineux vient se coller à ses parois déjà humides et gluantes alors que mes mains se font cette fois plus douces et mes gestes attentionnés. Je frotte son bas ventre doucement et sa poitrine avec tendresse alors que ma queue continue de se déverser de façon généreuse pour les quinze secondes qui suivent.

Le trop plein commence même à ressortir et dégouliner. Une sorte de gélatine blanche coule très lentement le long de ma tige pour finir par s'accumuler autour de mes couilles qui siègent sur le coussin du sofa et sur l'intérieur de mes cuisses.

Ma respiration est si compliquée, ses cheveux collés sur une partie de mon visage et mon épaule, avec son corps qui se fait soulever par ma poitrine à chaque inspiration, que je termine par respirer avec la bouche désormais. Je laisse plusieurs secondes passer en ressentant la chaleur torride de sa peau sur la mienne, nos corps emboités l'un dans l'autre.

- Et cette fois ? T'as eu le temps de jouir ? Car la soirée commence à peine.

Les idées ne manquent pas pour le reste de la nuit. Mais chaque chose en son temps.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 28 décembre 2020, 17:23:34
Dès que Souta évoque l’extase qui arrive, Kara frémit d’impatience, un long frisson remonte le long de sa colonne vertébrale, où le souffle chaud et rauque de son amant se brise en de courtes et sonores respirations.

Le rythme de nouveau plus lent, plus intense et profond, laisse plus de place à la tendresse et permet de sentir au mieux tous ses mouvements, les effleurements de leurs peaux, les frissons et les bruits de leur étreinte. Elle gémit longuement, ondulant légèrement, comme dans une transe douce, portée par le mouvement naturel, appréciant chaque minute comme hors du temps.

Mais les signes avant-courant ne mentent pas, elle se sent serrée si fort dans ses bras, comprimée à lui, dans une chaleur bouillante et moite, cette emprise la rend folle par anticipation et sent qu’elle ne peut plus bouger. C’est divin, elle se sent pressée et contrainte, emprisonnée avec pour seuls points à penser des zones brûlantes prêtes à exploser… Lorsqu’il jouit puissamment en elle, comme si son corps se laissait lui aussi aller, Kara lâche un profond soupir et se met à trembler, surprise par des soubresauts qui accompagne son orgasme avec intensité.

Chaque mouvement est une source de plaisir, elle a les yeux totalement révulsés et prises de convulsions, la poigne sur son sein est trop délicieuse, ses doigts entre ses cuisses doivent sentir les tremblements anarchiques de son entre-jambe, au point qu’elle ne se contrôle pas et gémit sans discontinuer.

Après les crispations, elle sent le corps de Souta se détendre dans le divan, elle ne peut plus forcer, elle s’effondre sur lui et s’avachit après cette puissante jouissance, la bouche ouverte et le regard fixé au plafond, comme si elle était ailleurs. Il lui semble compliqué de réfléchir et elle a l’impression d’être dans les vapes… La petite pique de Souta parvient difficilement à ses oreilles et quand elle parle, ses lèvres gercées et sa gorge sèches lui donne une voix rocailleuse.

« Oh, putain, ouais… »

Son sexe émet de faibles contractions de manière irrégulières, elle ne veut pas qu’il s’en aille. Elle veut sentir sa queue en elle pour toujours. Mourir comme ça. Elle a soudain faim, pose un œil paresseux sur la bouffe thaï qui doit être froide sur la table basse. N’a pas la force de bouger, soupire longuement.

« Je sais pas si j’ai déjà joui autant. » Souffle-t-elle alors, d’une voix pâteuse. Inévitablement, elle essaye de se redresser, en vain, et retente après avoir soupiré encore.

Ses cuisses lui font mal, elle sent couleur sur sa peau la sueur et en baissant les yeux, constater à quel point ses seins ont prit cher… Un petit ricanement nerveux l’aide à se lever, laissant ressortir tout doucement l’épais membre poisseux de son antre, libérant sur l’intérieur de ses cuisses diverses fluides odorants… Nouveau petit rire nerveux.

Son regard est celui d’une éveillée qu’on a tiré du lit trop tôt, ou d’une femme extrêmement ivre… Elle perd l’équilibre une fois debout, essaye de se tourner, retombe sur Souta, le visage cognant contre son torse. Doucement, comme si cela avait été fait exprès, elle embrasse son sternum et remonte jusqu’à ses lèvres. Il a la bouche salée de transpiration, ça la fait rire en plissant les paupières.

« Hihi… Tu as bon goût. » Elle ronronne, se love contre lui comme une chatte câline, soudainement douce et tendre… A croire qu’être rassasiée la rend gentille et aimable. « J’ai faim. » Murmure-t-elle dans un nouveau rire, naturel. « C’est froid maintenant. » Nouveau baiser qui claque sur ses lèvres de manière assez enfantine. « La soirée ne fait que commencer ? Tu veux m’épuiser jusqu’à ce que je rampe chez moi ? Tututu, Souta, je ne vais pas dormir chez toi, et… »

Elle cille, se détache de lui et fronce les sourcils, soudain lucide, mais vainement menaçante.

« Mais. T’as bousillé mes vêtements ?! » De son poing, elle vient toquer contre son front où collent ses mèches argentées. « Sauvage ! T’es un sauvage. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 28 décembre 2020, 18:38:34
La suite de notre échange est à l'image de sa fin : douce et calme. La fenêtre ouverte dans la cuisine laisse entrer et circuler une brise fraiche et des plus agréables sur nos peaux brûlantes dans le salon. Collés l'un contre l'autre, je peux sentir son coeur battre à cent à l'heure et se poitrine bouger au rythme de sa respiration.

- Qui a parlé de dormir ?

C'est vrai quoi, je ne me souviens pas avoir soumis cette drôle d'idée à un quelconque moment. Dans le pire des cas elle restait jouer un peu à la console autour d'un repas et serait rentrée chez elle en taxi. Et dans le meilleur, j'allais la tenir éveillée jusqu'au petit matin.

- C'est maintenant que tu t'en rends compte ?

Tout en gardant Kara sur moi, je tente de faire bouger le sofa de quelques centimètres en remuant les hanches comme je peux. Là, ça y est ! Un des pieds de la table basse est à portée. Avec mon pied je parviens à rapprocher celle-ci petit à petit et il ne me reste plus qu'à me penchant en gardant un bras autour de la taille de Kara pour chopper une bière.

Je l'ouvre immédiatement et englouti les trois quart de son contenu avant de lui offrir le reste. Mes lèvres repartent de plus belle sur les siennes qui sont moins lisses qu'à son arrivée. Les efforts et autres dépenses d'énergie sont passées par là. Deux doigts viennent alors se glisser dans son dos pour venir caresser ses fesses douces à la peau légèrement rugueuse avec la sueur. Jusqu'à se loger dans la fissure de ce bel abricot mûr sans chercher à aller plus loin. Juste pour jouer un peu.

On reste alors collés comme ça l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Mes mains toujours aussi baladeuses viennent se nicher sur ses cuisses par-dessus sa chair de poule causée par le changement de température dû au vent frais, sur sa poitrine de manière délicate, dans son cou, sur sa joue pour faire remonter son visage.

- Maintenant que j'y pense, je commence à avoir la dalle aussi.

Sur un nouveau baiser baveux et langoureux, je pose une main sur l'épaules de Kara afin qu'elle se redresse et se retourne pour finir à son tour affalée le dos sur le canapé. Je me relève non sans difficulté le temps d'un moment. Rester coincé sur le sofa à remuer les hanches comme un possédé va me demander de bouger et marcher un peu pour récupérer ma mobilité.

J'attrape le téléphone fixe vers le mur et commande trois pizzas avec boissons et glaces en demandant à ce que je sois pas livré avant une bonne demie heure minimum. Le tout payé en ligne avec mon numéro de carte pour être tranquille quand le livreur passera nous ramener notre commande.

En me retournant je jette un oeil au sofa sur lequel se trouve Kara. Outre la petite flaque de sperme sur le coussin, on peut presque voir ma silhouette à force d'avoir suer par sa faute. J'enlève mon haut pour m'aérer la peau et profiter de la brise et je m'affale sur un des fauteuils à côté du sien.

- La bouffe arrive.

Je la regarde droit dans les yeux au départ en lui précisant ça. Puis mes yeux se tournent vers moi, au niveau de ma queue toujours couverte de sperme et désormais en demie molle après cette pause nécessaire.

- Mais si t'es trop pressée, tu peux venir t'occuper la bouche.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 28 décembre 2020, 20:59:52
C’est à regret qu’elle observe Souta s’éloigner d’elle, le suivant d’un regard doux et serein, typique de ces états de détente après l’extase. Plus aucune tension, plus de questions en tête… Ce sera court, mais elle profite de chaque seconde de réelle liberté. Il commande des pizzas, elle se marre en l’entendant… « T’es pas croyable… y avait encore tout ça… » Son index lui désigne les pauvres et malheureux plats sous plastiques qui patientent depuis si longtemps dans l’espoir qu’on les mange.

Il a passé une commande pour un régiment, estime-t-elle, mais elle a pu voir comme il est goinfre… et à tous les niveaux, peut-elle désormais affirmer. Sa tête se penche sur le côté comme un gentil cocker quand il retire son t-shirt trempé de sueur, sans pouvoir se retenir de sourire niaisement. Quelle plastique plaisante… Surtout luisant comme le sont ses muscles saillants…

Le regard qu’il lui lance la fait frémir, il a l’air d’un prédateur, c’est évident. Merde, encore ? Elle est encore sur son petit nuage, mais ses yeux suivent le cheminement des siens jusqu’à son sexe en manque d’attentions. Kara ricane un peu, avant de grimper sur le sofa, à quatre pattes pour s’approcher du fauteuil qui le jouxte, où se trouve Souta.

« T’en as jamais assez ? »

C’est une question rhétorique, elle se doute qu’il est le genre d’homme insatiable. Une seconde, elle doute, se demande si elle est à la hauteur, aimerait se rasseoir pour discuter. Mais dire quoi ? Souta fait les choses naturellement, d’instinct… Il ne se pose pas autant de question. Il a envie qu’elle s’occupe de lui, il s’assoit, il réclame. C’est simple. Sans prise de tête. Kara se mord la lèvre, sentant redescendre son état serein lentement mais surement.

Ils avaient trente minutes.
Elle l’avait entendu réclamer ce délai au livreur.
Mais elle ne voulait pas avoir l’impression d’être une sage et obéissante petite chienne à son service. Il exerçait une sorte de domination latente, même lorsqu’il ne la prenait pas sauvagement… C’était pesant. Elle craignait de regretter.

Stop, il fallait arrêter de penser.
Elle se pencha en avant, appuyée sur l’accoudoir, et colla le plat de sa langue sur son membre un peu mou, pour remonter jusqu’à presser son nez sur son ventre. Juste une fois. Puis, relevant les yeux vers lui, un petit sourire délicieux aux lèvres, Kara murmura.

« Dans ta douche. » Sa voix avait repris quelques timbres habituels. « T’es tout poisseux, je veux quelque chose de bien propre dans ma bouche. Je vais t’aider, tu vas voir. »

Sans attendre, elle attrapa sa main, et le tira jusqu’à sa salle de bain en plaquant son index sur sa bouche pour lui interdire de dire quoi que ce soit. Pas de protestation admise. Elle n’était pas dans un état assez assuré pour se laisser totalement aller, et craignait que quelques moqueries ne la paniquent.

Alors, elle fit couler l’eau, d’abord froide, en tenant Souta des deux mains, se rapprochant pour l’embrasser le temps que la douche se réchauffe. La vapeur envahissant la pièce la renseigna sur la fin de l’attente, et la jeune femme lui offrit un sourire adorable, s’assurant qu’il était bien nu comme un ver… le tirant, puis le poussant sous l’eau, le temps de se débarrasser de ses propres vêtements.

Elle prit une seconde pour l’admirer en entier, se demandant si tout ça c’était bien pour elle… Et le rejoignit en frissonnant. Sans attendre, elle s’accroupit, se penchant pour embrasser son genou, puis le second, et remonter ses baisers humides et dégoulinants jusqu’à son aine, l’os de son bassin qu’elle croque légèrement. Lentement, elle laisse la chaleur envahir la pièce, comme son amant, caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte malaxer ses fesses si musclées. Prenant son temps, l’eau ruisselant sur son visage, Kara passe son nez contre la hampe qui durcit déjà, frotte sa joue jusqu’à se faire légèrement cogner, signe qu’il redevient plein de vigueur…

En ronronnant, elle tire la langue et lève le regard tout là-haut vers Souta… Et se retrouve aveuglée par l’eau qui entrent dans ses yeux. Elle glousse de sa bêtise en collant son visage contre son bas-ventre qui pulse contre sa pommette. Quelle idiote, elle pensait avoir l’air sexy…
Reprenant un peu sérieusement, elle tire de nouveau la langue, sans faire la même erreur cette fois, et lape doucement la base de son sexe, sa langue dépassant de plus en plus bas contre ses bourses, puis remontant très lentement jusqu’à son gland qui se dévoile à mesure de ses coups de langue. Elle prend son temps, il faut qu’il soit bien propre, après-tout.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 28 décembre 2020, 22:35:26
Nos deux regards sont plongés l'un dans l'autre alors qu'elle se penche tout en appuyant son corps sur l'accoudoir du sofa qui doit être légèrement collant à cause de la transpiration pour me demander si j'en ai eu assez.

- Nan, je pourrais continuer encore des heures ce soir.

Il ne lui faut pas longtemps pour venir déposer une léchouille sur ma queue malgré son état. Peut-être que j'ai attendu trop longtemps pour lui proposer de me pomper et nettoyer ma bite avec sa bouche ? Ou, au contraire, lui laisser reprendre ses esprits et décider de s'y mettre par elle-même lui offrira une occasion de se lâcher.

Quand elle me tire de mon fauteuil pour aller en direction de la salle de bain je ne prononce pas un seul mot et me laisse emporter par Kara.

Changement de décor signifie aussi changement d'ambiance dans ce cas précis. Cette fois c'est elle qui mène la danse et je me laisse faire comme un puceau qui suivrait les consignes d'une femme plus âgée qui compte lui montrer toutes les bases des préliminaires.
Ses mains se baladent sur mon corps une nouvelle fois pendant que l'eau se réchauffe pour arriver à la température désirée par ma guide du moment.

Quand elle me pousse des deux mains sous l'eau brûlante, nous nous observons tous les deux sans en perdre une miette. Même si j'avoue que j'ai le meilleur rôle car je peux l'observer retirer ses habits. On a beau être loin d'un strip lascif, cela reste agréable pour les yeux.

Les rôles sont clairement inversés. Kara s'amuse à jouer avec sa bouche sur mes jambes comme je l'avais fait plus tôt avec mes mains sur ses cuisses quand je l'empêchais de jouer correctement. Ma seule envie est de continuer à monter pour venir s'occuper de ma queue. Je ne pense qu'à ça alors qu'elle prend clairement plaisir à me faire attendre. La garce. Et le pire c'est que je le mérite.

Quand elle remonte avec sa langue une première fois pour se prendre l'eau au visage je ne dis rien et lève juste le bras pour tourner légèrement le pommeau afin de dévier le jet de quelques centimètres et lui laisser le champ libre.

Je me contente de la regarder sans agir de la moindre manière pour le moment. En tout cas chaque coup de langue me fait soupirer et je ne retiens aucun son pour lui montrer à quel point j'apprécie et savoure ce qu'elle commence à faire avec brio.

- Depuis notre passage dans la bagnole je crevais d'envie de recommencer.

Je me baisse alors en me penchant légèrement en avant pour remettre ses cheveux en place et retourne dos contre le carrelage de la douche froid vu que l'eau ne tombe pas encore dessus. Le mur glacé et sa langue douce associée à l'eau chaude offre une combinaison dangereuse.

- Je te laisse faire, ma grosse queue est toute à toi.

La seconde qui suit laisse échapper un énorme et long soupir de plaisir d'entre mes lèvres. Putain ce que c'est bon. Certains mecs aiment pas se faire sucer. Tout se qu'ils voient c'est une chatte et un truc à enfoncer dedans comme des brutes. Alors qu'il faut savoir varier les plaisirs dans la vie. Et une fille qui sait vous tailler une pipe ne court pas les rues.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 28 décembre 2020, 23:48:25
Ronronnant, Kara continue un bon moment de lécher la peau douce, tendue et pulsante sous sa langue. A chaque mouvement, à chaque fois qu’il soupire, elle se sent frémir de désir, il monte instantanément, la situation l’excite sans tarder. Elle ne se connait pas aussi cavalière, mais les gestes et vocalises de Souta l’encouragent, et l’une de ses mains vient saisir son sexe tendu, pour le diriger lentement mais sûrement vers ses lèvres.

Elle les garde fermées un instant, louchant sur ce gland luisant où ruisselle l’eau brûlante, comme avant de dévorer un repas appétissant… Son visage s’approche alors doucement, elle sent sur sa paume les veines battre, comme une communication impatiente en morse pour lui ordonner de l’enfourner contre son palais.

L’embout rond cogne contre sa bouche, elle entrouvre les lèvres et le laisse s’y insérer sans trop écarter l’entrée, le comprimant légèrement, sa langue venant titiller la surface qui a eu la chance de pénétrer à l’intérieur. Il a bien meilleur goût maintenant que l’eau l’a nettoyé, Kara inspire le parfum de sa peau à pleines narines alors qu’elle avance encore le visage pour faire entrée centimètre par centimètre cette queue énorme.

Juste passé son gland, elle repart en arrière, reprend ses baisers et ses coups de langue, sa main cette fois le caresse avec poigne, d’avant en arrière, sans accélérer. Ce n’est pas endiablé comme le rythme imposé par Souta, mais c’est son rythme à elle, elle le fait monter en température degré par degré, il va succomber avant qu’elle ait avalé tout son membre épais, il va couiner et gémir.

Son sexe est de nouveau aspiré, plus long, elle suce ce qu’elle trouve à portée, sa tête bougeant dans des mouvements intenses de va et vient lent et profond, où chaque son provenant de la gorge de son amant l’électrise, faisant resserrer ses lèvres autour de lui. Elle se sent elle-même dérailler d’être aussi alanguie et suave. Surtout qu’elle repense à ce qu’il a dit, au sujet de la veille… Il rêvait d’elle ? Qu’elle recommence à le sucer de la sorte ? C’était flatteur… C’était génial. Elle se sentit puissante et assurée, et l’enfonça encore plus jusqu’à sa gorge, sa main continuant de le branler.

Ses propres gémissements étaient devenus irrépressibles, interrompus par la queue qui allait et venait désormais plus vite, l’eau ruisselant sur son dos semblait froide à côté de la chaleur qui se dégageait de l’intérieur de sa bouche, lorsqu’elle faisait glisser son gland sur son palais strié. Sa salive se mêlait aux gouttes du jet de la douche et tombait sous son menton, lorsqu’elle lâcha la fesse à laquelle elle s’agrippait pour venir tâter, caresser et flatter ses testicules.

Kara ne s’arrêtait pas, elle semblait tellement excitée de le sucer avec une telle amplitude et par la puissance que cela lui conférait sur Souta. Elle le tenait fermement contre elle, elle contrôlait les mouvements, il frémissait dans sa bouche. C’était grisant de se sentir toute-puissante !
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mardi 29 décembre 2020, 09:26:47
Contrairement à de la baise pure et dure, voir assez hard dans certains cas, une pipe est largement plus agréable quand la femme en face prend tout son temps. Attraper sa partenaire par les cheveux et faire balancer sa tête dans tous les sens sur sa bite ne rend pas la chose plus excitante.
On peut appuyer sur son crâne pour la faire avaler ou jouer avec sa respiration si on veut l'embêter au pire. Un truc que je fais parfois en fonction de la situation ou de la fille.

Mais là je la laisse faire sans la déranger. Qu'elle continue de découvrir ma queue et joue avec à l'aide de ses petites mains et de sa bouche délicieusement coquine.

- Hmmmmmmm...

La voilà qui se concentre de longues sur mon gland en l'embrassant et l'avalant. Pas forcément dans cet ordre. Ses doigts qui semblent si petits comparé à ma tige ne se laissent pas influencer par la différence de taille.
Chaque fois qu'elle marque une pause avec sa bouche, ceux-ci prennent la relève et viennent me caresser doucement sur toute la longueur en passant par-dessus mes veines.

- OOOOh ! Putain ! Ouais !

Le rythme a beau être assez lent, je continue de grossir et durcir dans sa bouche alors qu'elle m'avale de plus en plus. Et de mieux en mieux. Quand elle place un main sur mes fesses musclées, je la sens m'engloutir comme une affamée alors qu'il y a encore pas mal de marge.
La façon qu'elle a de ma sucer me donne l'impression de fondre dans sa bouche. Comme un chocolat qu'on aurait laissé au soleil.

Me voilà avec le gland coincé entre ses lèvres et un bain de salive chaude et gluante, une main qui me branle en tirant sur ma peau veinée et sensible de manière si sensuelle tout en imposant sa propre cadence... et une main qui termine sur mes couilles encore bien chargée.

Je suis tellement excité que je tends un bras pour venir se poser sur sa tête avant de retenir mon geste et de coller ma main sur le mur en carrelage à côté de moi. Mon autre main, elle, se serre pour former un poing car je n'ai qu'une parole et je lui ai dit juste avant que je suis tout à elle.

- J'suis vraiment con d'avoir demandé que 30 minutes. Parce que je pourrais rester des heures comme ça tellement tu m'excites.

En même temps que je parle, ma bite se met à pulser entre ses petits doigts fins. Les caresses de sa main sur mes boules me font me demander si elle se contentera d'utiliser cette façon de jouer avec ou si elle ira plus loin. Car pour le moment ça reste hyper agréable mais très soft.

Je ne m'attends pas à ce qu'elle se lâche au point de venir se frotter tout le visage avec ma hampe tendue ou de baver sur chaque centimètre de ma trique qui a quasiment retrouvé toute sa vigueur. Mais j'aime les femmes un peu joueuses.

Après, peut-être que ça viendra avec le temps pour Kara. Parce que quelque chose me dit qu'on sera amené à se revoir régulièrement et dans un tas de situations un peu spéciale vu comment notre histoire à commencée.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mardi 29 décembre 2020, 16:16:57
Kara sentait bien la tension qui montait au fur et à mesure de ses délicieuses attentions, le corps de Souta qui se tendait, frémissait, ses râles engloutit par le bruit puissant du jet d’eau. Elle adorait l’effet qu’elle faisait, et le sentir sous pression augmenta son excitation, se lâchant de plus en plus. Il avait l’air de regretter d’avoir donné un délai aussi ‘court’ au livreur, et elle essaya de ricaner, chose peu aisée avec cet énorme membre au fond du gosier…

Elle doutait pouvoir, elle, tenir sur une grande distance, elle n’était ni endurante, ni patiente, en réalité. Et elle se demandait aussi si cela voulait dire qu’elle n’était pas douée. Dans ses souvenirs, parfois avinés, elle avait eu des expériences assez courtes pour ce genre de pratiques, et pour le peu qu’elle se remémorait clairement, ses partenaires ne tenaient pas longtemps. Est-ce qu’elle était nulle ?

Y réfléchir l’empêchait de s’activer correctement, elle perdait le fil de ses mouvements, qui devenaient moins naturels et instinctifs.

Elle ferma les yeux, fichant cette queue jusqu’à sa gorge pour s’interdire de cogiter, et la sensation d’asphyxie grandissante, pendant quelques secondes à peine, lui vrilla le cerveau suffisamment pour avorter ses doutes. Elle repoussa sa frange qui collait à son front et essuya ses yeux en ouvrant les paupières de nouveau, relevant le regard vers Souta d’un air d’adoration.

Elle avait rarement eu un sexe aussi gros dans la bouche et elle se demandait jusqu’où elle pouvait l’enfoncer en elle… Sans le lâcher de son regard bleu délavé, Kara accentua la pression de ses lèvres, circluant avec plus de voracité sa hampe vibrante, qui s’introduisait désormais vivement.

De son front, elle le pousse encore un peu, que ses fesses comme son dos se colle au carrelage devenu chaud et ruisselant, et pose ses paumes bien plaquées de chaque côté de son bassin pour y prendre appui et accroître la profondeur de cette pénétration. Elle veut savoir s’il tiendra vraiment 30 minutes, s’il est particulièrement endurant, ou s’il fanfaronne… A sentir les tressautements contre son palais, elle doute qu’il ait dit la vérité, sa succion devient plus bruyante, elle force sur ses genoux qui commencent à lui faire mal, mais continue avec acharnement.

Kara a beau se dire que, cette fois, elle s’occupe de lui, elle imagine cette queue la prendre à nouveau, et l’intérieur de ses cuisses la pique un peu tant elle est enflammée de désir.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 03 janvier 2021, 08:47:01
Le temps semble presque s'être figé quand je sens Kara forcer sur son propre corps pour engloutir un maximum de centimètres en elle. Sa gorge m'écrase encore plus que sa chatte qui était déjà bien serrée. On n'est clairement plus en train de jouer mais de chercher à aller au bout des choses là. Surtout quand elle pose ses mains brûlantes sur ma peau au niveau de mon bassin, comme pour prendre appui tout en m'empêchant de m'échapper de son emprise.

- Oooouuuf ! Tu déconnais pas quand tu disais avoir faim.

Ma voix est comme ma respiration, plus difficile à contrôler. Et si je suis resté docile jusque là, ce ne sera plus le cas pour la dernière ligne droite. Ma main pars en direction de son visage pour écarter une mèche de cheveux pendant que mon regard reste planté dans le sien. Voir ses yeux se plisser durant cet exercice est extrêmement excitant.
Dans la foulée mes doigts partent se glisser dans sa chevelure pour lui faire reculer la tête de quelques centimètres avant de la tirer de nouveau dans ma direction. Doucement, sans forcer un seul instant. L'objectif est de la guider et non de la forcer dans ses mouvements.

- Continue comme ça, je sens que ça vient.

La belle Kara sera bientôt récompensée de ses efforts car l'orgasme est sur le point de faire son apparition. Mon corps tout entier se crispe et de longs soupirs de plaisir s'échappent de ma bouche à chaque fois que la sienne revient à la charge.
Je lui apprendrais sûrement comment j'aime me faire sucer à une autre occasion. Mais là c'est déjà plus que suffisant pour me faire plaisir. Un vingtaine de secondes passent pendant que je la laisse faire. Puis je pose mes mains sur ses poignets pour lui demander d'apporter la touche finale.

- Branle-moi avec les deux mains ! Comme ça !

Dans un mouvement rapide je lui fais déposer ses mains l'une devant l'autre pour que les deux puissent me branler et sentir ma queue pulser contre ses doigts fins tout en lui faisant  comprendre de reculer la tête et libérer une bonne partie de l'objet logé dans sa gorge.
Des gémissements encore plus longs et rauques s'échappent de mes lèvres quand elle s'acharne sur ma bite comme une furie.

- Ouvre la bouche pour moi !

Ma phrase est à peine terminée que je commence à lui tapisser la visage le visage en retirant mon gland de sa bouche. Mon corps est tellement tendu que j'ai du mal à viser durant les deux premiers jets. Le sperme toujours aussi gélatineux est éjecter de mon gland pour s'abattre sur sa peau douce et trempée par l'eau de la douche.
Ma main se pose sur les siennes qui me branlaient pour continuer de lui étaler ma crème sur le visage et les seins pendant plusieurs secondes. Seule une petite quantité à terminé dans sa bouche.

Vidé un nouvelle fois, je me laisse m'appuyer dos contre le mur en carrelage tout en admirant mon oeuvre. Le souffle lourd, un léger sourire sur les lèvres.

- Faut pas te gâcher l'appétit en te remplissant le ventre avant que la bouffe arrive.

Mais la pause attendra. Je bande toujours aussi dure et en me redressant je lui colle directement l'engin sur son visage. Dure, pulsante, dégoulinante de sperme sur toute la longueur. Qu'elle réalise à quel point elle m'excite et que ce n'est pas terminé.

Je me pense alors pour glisser une main sous un de ses bras et lui faire comprendre de se relever en se retournant pour que je me retrouve sans son dos. Mes mains se mettent alors à caresser son corps tendrement. Les épaules, les bras, ses hanches, son ventre. Ma bite, elle, s'est logée entre ses fesses pour y élire domicile le temps nécessaire.

Je tends ensuite le bras pour attraper une bouteille de gel douche dont j'ôte rapidement le bouchon pour en déverser une jolie quantité sur la poitrine de la belle Kara. La bouteille est alors lâchée pour finir à même le sol afin d'avoir les mains libres et commencer à masser cette superbe paire de nichons.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 03 janvier 2021, 15:15:56
Kara s’était trouvée tellement excitée lorsque Souta avait pris ses mains pour lui imposer d’enserrer son sexe comprimé, qu’elle n’avait émis aucune plainte, frémissant en gémissant enfin de pouvoir émettre des sons.

« Comme ça, trésor ? » Ronronna-t-elle en imposant à ses mouvements de va et vient un rythme intense, sentant pulser sous ses doigts les veines gonflées de sang.

Les gémissements de son amant la rendaient folle, elle adorait l’entendre couiner et se sentir maîtresse de la situation, comme si elle avait un pouvoir particulier entre les mains… Et cette fois, c’était littéralement le cas, ses deux mains passant parfaitement sur la longueur de cette queue imposante.

Sur son ordre, avec un petit sursaut de plaisir, elle ouvrit bien grand la bouche, battant des cils comme par anticipation de ce qui va arriver, frémissante d’impatience. Elle a tôt fait de recevoir une pluie pâteuse au visage, ayant un petit mouvement de recul instinctif, mais ne pouvant s’empêcher de sourire.

De longs jets retombent mollement entre ses seins et dans son cou, elle ricane nerveusement et avale le peu qui venait de gicler sur sa langue. Son gland venant se coller contre sa joue lui fait tourner les yeux, puis la tête, mais aussitôt, Souta l’a attrapée, ne lui laissant pas le temps de se remettre de ses émotions.

La vache, elle se sentait un peu déboussolée par tout ce qui venait de se passer, si bien que, lorsqu’il l’aida à se redresser, la tête lui tournait. Kara chancela un peu, se rattrapa à Souta et vit son regard pétillant d’excitation intense, encore. Il était vraiment insatiable… L’instant plus doux qui suivit la laissa souffler un peu, frémissant sous ses caresses, elle fut même tentée de se tourner pour l’embrasser, mais il était parfaitement calé contre son dos.

Ses mains qui parcourent son corps l’électrisent alors, la douceur semble lui plaire, mais la seconde suivant, dès qu’il s’attarde sur ses seins et que la mousse envahit sa peau, Kara se met à gémir en soupirant.

« Frotte bien, hein… Répare tes bêtises… » Glousse-t-elle alors, en dandinant le bassin pour taquiner son bas-ventre qui se presse entre ses fesses.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 03 janvier 2021, 15:50:44
Demande aussitôt effectuée, demande aussitôt répondue par l'affirmative. Plus tôt j'avais attrapé ses seins à pleine main pour malmener ses tétons pour l'exciter au maximum durant l'acte. Mais cette fois les choses sont différentes.
Avec une femme il est essentiel de découvrir ce dont elle a besoin et de s'adapter à la situation. Dans le cas présent il est bon de profiter sans se précipiter. Surtout qu'elle semble se lâcher petit à petit de son côté au fil des minutes. On est là pour s'amuser et prendre du bon temps. Sans prise de tête, sans jugement de part et d'autre. Il y a personne en dehors de nous deux.
La bouche glissée contre son oreille vu nos positions je lui réponds dans la foulée.

- Je vais essayer.

Du sperme continue encore de fuir de mon gland pendant qu'elle branle légèrement ma bite en tirant sur la peau sensible de cette dernière avec ses fesses. La sentir se frotter le cul contre mon bas ventre et mes cuisses quand elle se dandine par moment est terriblement excitant car je sais que c'est uniquement pour jouer.

Au niveau supérieur, mes mains se placent sous ses deux gros seins pour les caresser et étaler la mousse et le gel qui n'a pas encore pris afin qu'aucun endroit ne reste délaissé. Mes doigts finissent rapidement par se recouvrir de mousse en remontant délicatement sur ses deux monts si doux et sensibles. On catalogue souvent les hommes qui aiment jouer avec la poitrine de leur partenaire comme de gros bébés. Mais certaines femmes sont plus sensibles que d'autres à ce niveau et stimuler leur poitrine leur fait beaucoup d'effet.
Puis même les moins sensibles aiment qu'on les caresse. Peu importe à quel endroit.
Alors que mes doigts continuent de parcourir chaque centimètre de sa poitrine, ils finissent par revenir sur ses tétons pour jouer délicatement avec. Pas de pincement ou de torsion. Juste des petits mouvements circulaires autour de ses aréoles ou de ses mamelons.

- Les mecs doivent loucher en permanence dessus dans ton tailleur serré.

Je commence alors à les malaxer mais de manière douce et sans y mettre vraiment de force. Il s'agit plus d'un massage que d'autre chose pour le moment. La mousse accompagne mes gestes et les rend plus glissant. Du coup je suis plus lent afin de pas voir mes mains s'envoler durant un faux mouvement.
Une fois mes doigts au niveau de ses tétons je repars en arrière pour recommencer.

- Ils ont l'air plus à l'aise entre mes mains, tu trouves pas ?

La seconde suivante on peut entendre la sonnerie à l'entrée de l'appartement. Je tends alors le bras pour me saisir du jet d'eau et l'approcher de sa poitrine pour la rincer tout en continuant de la caresser et la masser avec mon autre main. La chose dure au moins dix bonnes secondes quand une nouvelle sonnerie se fait entendre.
Je fais se retourner Kara en la regardant droit dans les yeux, une mèche ou deux masquant légèrement mon regard. De ma main libre je soulève un de ses seins que je glisse dans ma bouche et le suce légèrement avant de le recracher dans la foulée.

Avec regret je m'écarte d'elle et ouvre la porte en verre de la douche.

- Bouge pas, je reviens.

Sans prendre la peine de récupérer une serviette en chemin je me dirige vers la porte en prenant soin de ramasser ma carte. D'un geste rapide et assuré j'ouvre la porte derrière laquelle se tient une fille dans la vingtaine qui ne sait plus où se mettre.

- Votre sauc... Votre commande, monsieur... Euh...
- Ah merci. C'est du rapide, ça doit pas faire 30 minutes, si ?
- Aucune idée... Je fais que liver.
- Tiens, c'est un pourboire parce que voilà, j'suis un peu à poil.
- Ah, j'avais... Pas remarqué. Pfouuu, il fait chaud chez vous.
- C'est sûrement la douche.
- Quel gros pourboire. Enfin, non ! C'est très généreux, merci !


J'attrape les sacs de bouffe et les boissons pour les déposer sur la table basse pour me retourner en direction de la salle de bain.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 03 janvier 2021, 16:48:23
Kara ronronnait de plaisir, l’eau chaude sur sa peau alliée aux attentions délicates de Souta la détendaient à un point insoupçonné. Ca faisait tellement de bien de tout oublier, se de laisser aller sous son massage sensuel, même si sentir pulser entre ses fesses sa hampe massive lui interdisait de rester immobile, par réflexe.

Elle avait toujours adoré les hommes qui prenaient le temps de parcourir son corps, plutôt que se concentrer comme des bêtes en rut sur ce qu’il y avait entre ses cuisses. Beaucoup ne savaient pas faire monter le plaisir d’une femme, par manque d’éducation on ne pouvait pas les blâmer, par habitude, par égoïsme… On les mettait toujours dans des situations où ils étaient les rois, et à bien des égards, Kara avait été élevée aussi dans une société où elle adulait les hommes puissants, virils, dominateurs…

« Loucher ? Ouais, tout le temps. Faut dire que c’est mon seul atout. »

Elle ricana mais les effleurements des paumes, des doigts et des mains entières sur sa peau l’empêchaient d’être trop fanfaronne, de se la jouer un peu… Elle était trop sensible à ces gestes, et fondait quand elle entendait sa bouche contre son oreille. La chaleur lui paraissait grimper, peut-être même plus que juste avant, quand elle le suçait à genoux. Elle voulait que ça dure des heures…

« Souta… t’es doué… » Susurra la jeune femme en se mordant la lèvres, avant de se tourner face à lui, écarquillant des yeux qui s’enflamment dès qu’elle comprit qu’il dirigeait sa bouche jusqu’à sa poitrine. Elle était dans un tel état, que la sonnerie répétée à la porte ne lui était même pas parvenue aux oreilles. Le voir s’éloigner de son téton est un déchirement, le lui faisant comprendre en gémissant et fronçant les sourcils.

« Hein ? » Oh, merde, la porte. La porte, le livreur. Elle avait totalement oublié. Venant coller son front sur la vitre pour le regarder sortir de la pièce, cul nu, Kara ne put s’empêcher de glousser en pensant à la pauvre personne qui allait découvrir un client à poil. Et pour sûr, un client bien monté, et excité. Ça ressemblait à un mauvais porno.

Mais le temps lui sembla long… Sans doute l’impatience de retrouver ses bras, ou peut-être l’odeur des pizzas… Kara coupa le jet et sortit, manqua de glisser sur le carrelage mouillé, entourée de vapeur, et sautilla sur la pointe des pieds jusqu’au seuil de la porte. Souta était en train de poser sur la table basse la livraison et elle ricana.

« Hé, ça va être froid si on ne mange pas tout de suite. » Elle ajouta un petit clin d’œil, malicieux en s’appuyant contre le chambranle de la porte.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 03 janvier 2021, 18:03:56
Je n'ai pas le temps d'effectuer plus de deux pas que je vois Kara apparaître tel un génie sorti de sa lampe. Ou une stalkeuse qui ne laisse qu'une partie de son corps se montrer tandis que l'autre est masquée par un obstacle. Je pourrais prendre l'exemple de la paparazzi qui cache son appareil photo. Mais ce serait moins amusant. En tout cas l'idée en elle-même me fait rire un court moment.

- C'est de ta faute si on a raté le premier repas. Tu m'as complètement fait oublier qu'on avait commandé à manger.

Je rigole de façon plus évidente cette fois. Mes pas s'interrompent l'espace de quelques secondes pour la regarder avant de reprendre ma marche en tournant légèrement dans le but d'aller dans ma chambre au lieu de la salle de bain que je comptais rejoindre au départ.
Le regard tourné vers Kara je lui demande de rester là.

- Bouge pas, je reviens. Tu peux te servir en attendant, j'en ai pour une seconde.

Je poursuis donc mon court trajet pour me retrouver dans la chambre dont la fenêtre est grande ouverte. La première chose que je fais une fois sur place est de me diriger vers la penderie pour ouvrir un tiroir et y récupérer un des boxers qu'elle avait sélectionné la veille. J'ai pris le temps de tous les laver et ils seront utiles plus vite que prévus.
Une fois enfilé je me redresse pour attraper un t-shirt que je libère de son cintre pour retourner dans le salon. Quand je remarque un truc étrange. Alors que je me retourne, la grand-mère qui habite aussi au premier étage dans l'immeuble d'en face me fait un coucou accompagné d'un clin d'oeil. Aaah... C'est du propre.

De retour dans le salon je me pose sur un des fauteuils vu que le sofa est bon pour un nettoyage en profondeur demain. J'appellerais la femme de ménage qui à son tour préviendra le pressing ou un autre employé de leur boite. Peu importe, c'est leur boulot et ils sont payés encore plus cher dans ce quartier.

En interpellant Kara je vois un bout de garniture lui échapper et tomber sur sa poitrine. Je m'avance alors dans sa direction pour déposer le t-shirt propre à côté d'elle.

- Je viens juste de les nettoyer...

D'un geste qui peut sembler parfaitement naturel vu le manque d'hésitation dans ce dernier, j'attrape son sein et le soulève pour venir déposer mes lèvres sur la partie supérieure et charnue de celui-ci pour avaler ce qui vient de tomber dessus. Et histoire d'être rigoureux, je passe un dernier coup de langue délicatement sur sa peau encore chaude avant de le lâcher doucement et de reculer.

- Fait attention, en plus la pizza est encore chaude.

Contrairement à elle, toute cette activité m'a essentiellement donné soif. Je me prends alors deux bières que je décapsule d'un simple geste et m'en enfile une entière d'une traite. La seconde est juste pour après car j'ai la flemme d'y retourner après.
Le cul vissé sur un fauteuil je me penche en avant pour me servir une part de pizza que je mange tranquillement cette fois. J'ai tout mon temps et la soirée est encore loin d'être terminée.

En regardant l'horloge je vois indiqué 23h17. Je me tourne une nouvelle fois vers Kara pour lui demander ce qui lui ferait envie.

- On a tout le temps pour manger. Mais tu veux faire quoi après ? On se refait une partie ? De jeux-vidéos, j'entends.

Un peu spéciale, mais une partie de jeux vidéos quand même.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 03 janvier 2021, 22:37:01
Kara retint son souffle, voyant Souta fondre sur sa poitrine, alors qu’elle était assise dans un fauteuil en train de manger. Elle avait vraiment, vraiment faim… Mais dès qu’il passe sa langue sur sa peau, elle éclate de rire, sans vouloir paraître moqueuse, mais c’était plus fort qu’elle. Taquine, elle plissa les yeux.

« Qu’est-ce que tu ferais pas pour venir me lécher, toi. »

C’était tellement bizarre, comme situation.
Elle avait l’habitude de classer les gens en catégorie, et les amis n’étaient pas des amants, pour des raisons évidentes. Elle avait déjà fait de grossières erreurs, notamment avec son colocataire, et avait tendance du coup à privilégier les flirts sans lendemain, et à garder sagement ses copains hors d’une zone sexuelle.

Mais là, elle se sentait à la fois bien avec Souta, lorsqu’il ne lui mettait pas le feu, mais également lorsqu’il avait l’air de vouloir la séduire. Mais il n’avait jamais l’air d’être totalement l’un, ou l’autre. Comme si l’opportunité d’un rapprochement se faisait tout seul, à un moment, mais que quelques secondes après, il soit capable d’avoir comme oublié… Kara se mordit la lèvre en enfilant finalement le t-shirt qu’il avait déposé contre lui.

Le regardant descendre sa bière elle cilla un peu, croquant dans sa part de pizza.

« T’as un problème avec l’alcool, Souta. » Déclara-t-elle d’un ton de reproche, un peu. Tout était assez disproportionné et bizarre, chez lui, à bien y réfléchir. Un immense miteux dans un quartier dégueu, avec à l’intérieur des meubles luxueux, aucun goût pour la mode, mais il avait claqué un paquet d’argent pour se faire une garde-robe sympa. Il avait l’air mal aimable, et pourtant…

« Comment ça se fait que tu fais ces genres de boulot ? J’veux dire, y a pleins d’entreprises respectables qui recrutent. Tu te dis pas qu’un jour, t’auras des ennuis ? »

Elle ignorait pourquoi elle pensait à ça, le cul à l’air sur son fauteuil, en regardant un mec avec qui c’était vraiment très très chaud quelques minutes juste avant. Kara s’essuya la bouche de la main, le plus élégamment possible.

« T’es nul aux jeux vidéo, on va pas se mentir. » Petit ricanement. « T’as envie de perdre toute la soirée ? Un jeu à boire, c’est mieux, tu vas mieux gérer. »

Une petite moue fendit ses lèvres cependant en regardant l’heure sur son téléphone. « Faut pas que je reste longtemps. Et faut pas que je sois malade demain. »

Kara soupira. Rentrer l’agaçait déjà, elle finit sa part de pizza, suça ses doigts.

« Bon, bon. Apprends-moi une prise de …. Je sais pas ce que tu fais comme art martial. » Elle venait de se mettre debout, plia les genoux et sautilla de manière assez ridicule. « Aller, aller, viens, comme ça, je vais latter le cul des frotteurs dans le métro ce soir. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 03 janvier 2021, 23:13:59
- Des emmerdes ? On finit tous par en avoir un jour ou l'autre. Au moins dans ce boulot je suis quasiment libre de faire ce que je veux quand je le veux. J'ai pas de patron, sauf quand je décide de bosser pour quelqu'un de précis.

Ce qui est vrai. Même si la majorité des magouilleurs en tout genre sont des emmerdeurs de première à l'égo aussi vaste que leur porte-feuille, il reste des exceptions. Puis on les voit quasiment jamais. Ce sont souvent leur bras-droit ou des sous-fifres qui font le sale boulot en servant d'intermédiaire. Et il peut arriver que ces connards abusent de la minuscule pseudo autorité temporaire qui leur est confié.

Autre chose me parait étrange... Elle préfère changer et opter pour un jeu dans lequel je partirai avec un avantage ? A croire que c'est elle qui souhaite perdre. Par pitié ou alors pour s'amuser réellement ? En tout cas elle ressemble à une boule d'énergie à gesticuler dans tous les sens tout en me demandant cinquante choses à la fois.
A croire que tout ce qui vient de s'enchaîner depuis son arrivée lui ont procuré un regain d'énergie conséquent.

- Okay, okay...

Je me lève en m'appuyant sur l'accoudoir du fauteuil pour effectuer quelques pas et me retrouver face à elle. Et elle a beau imiter les mouvements de manière approximative qu'elle a dû voir dans un film de kung-fu... Bah elle en mène pas large. Disons que le degré d'intimidation qu'elle dégage est même pas faible. Il est presque négatif, si tant est que ce soit possible.

- Essaie de m'attaquer pour voir. Ou de faire comme les pervers du métro, tiens.

J'attends qu'elle se positionne et se lancer pour lui saisir le poignet fermement sans y mettre trop de force et j'effectue une torsion légère de celui-ci pour lui faire comprendre le fonctionnement de la chose. Dans ce genre de cas il est privilégié de bloquer le mouvement de l'agresseur plutôt que de lui "latter le cul". Pourquoi ? Parce qu'un mec sera généralement humilier par le fait d'être battu par une femme. Alors si en plus elle le fout KO devant témoin c'est l'escalade assurée.
J'ai déjà vu plusieurs personnes se faire attaquer plusieurs jours après par le type qu'elles avaient neutralisés. Moralité, ne jamais sous-estimé la haine d'un pervers bafoué.

- Vas-y, on recommence. Encore une fois ! Puis on échangera les rôles.

Les exercices du genre se poursuivent pendant une grosse demie heure. Ponctués de pauses pour picoler et manger car les pizzas ne survivront pas à cette soirée. En tout cas une chose est sûre, elle commence à prendre la main pour cette technique. On ne la fera pas devenir une ceinture noire, mais elle pourra apprendre à se défendre correctement avec le temps si elle le souhaite.

Après une énième pause je décide de clarifier un peu les choses car je compte pas la laisser partir vu la situation.

- Pour ce soir vaut mieux que tu restes là. C'est pas un heure pour prendre le métro, surtout avec ton haut qui a été arraché par un grand malade tout à l'heure.

C'est vrai, on se demande bien ce qui a pu lui prendre à ce mec pour faire un truc pareil. La pauvre est bonne pour se faire agresser et violer dans les transports si elle se balade avec des fringues déchirées. Déjà que certains prennent une jupe pour un appel au crime, alors là, n'en parlons même pas.

- Je demanderai à un contact de me prêter sa bagnole si tu me promets de pas avoir les mains baladeuses comme hier. Comme ça je te dépose chez toi directement demain.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 04 janvier 2021, 20:55:26
Même si elle n’était pas très douée pour ce qui est des sports de contact, Kara s’amusa énormément ! Souta n’était pas un excellent professeur non plus, il fallait l’avouer, et parfois elle se demandait s’il ne plaçait pas une main ou une jambe à un endroit volontairement sans équivoque, pour l’aguicher… Mais elle se rendait compte ensuite qu’elle se faisait des idées. Jouer les frotteurs du métro la fit rire, à vrai dire, mais quand ce fut lui qui s’y colla, véritablement, l’impression était aussi désagréable que séduisante.

Pourtant, elle se sentait de plus en plus fatiguée. Déjà, parce que se bouger autant dans une journée n’était pas habituel pour elle, et puis, il était tard. Bien qu’elle soit chaque nuit bien trop happée par son écran d’ordinateur pour aller se coucher à une heure décente pour avoir le minimum requis de sommeil, les circonstances étaient assez exceptionnelles depuis deux jours.

Kara était en train de se dire qu’elle devrait sans doute se rhabiller maintenant, faire mentalement le chemin du retour lorsqu’il lui exposa son plan pour la nuit, et le lendemain matin. Elle fronça le nez, eut une moue gênée. Ce n’était pas son genre de dormir chez les gens, et encore moins chez un mec. Ca avait quelque chose de trop solennel, ou officiel.

« J’suis une grande fille hein, tu sais, je peux vraiment rentrer… » Mais, touchée ! Ses vêtements n’étaient pas vraiment en état. Elle éclata de rire.

« Oui, bon. Un grand malade. On va dire ça. Juste un mec en rut ouais ! » Gloussa-t-elle, moqueuse. Mais il avait raison, le bougre… Et mine de rien, l’idée de ne pas se taper le trajet en métro, seule, la nuit, la rassura un peu. Elle ne le dirait pas, cependant, trop orgueilleuse.

Mais Souta semble de nouveau vouloir désacraliser le fait qu’elle reste dormir chez lui… Et elle éclata de rire à nouveau, presque reconnaissante qu’il soit aussi prévenant. C’était sans doute involontaire, mais elle le prit pour intentionnel.

« Ça va, ca va, tu as gagné, je dors ici. Je bois du café le matin, j'espère que tu sais le préparer correctement... »

Elle leva les mains en se rendant. En se tournant, elle avisa le salon, puis pencha la tête vers sa chambre.

« Je dors sur le canapé, comme ça, pas de mains baladeuses. » Et elle leva l’index sur la bouche du jeune homme pour lui interdire toute protestation. « STOP, non, ne discute pas, on va mettre un drap sur les tâches. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 04 janvier 2021, 21:24:02
L'idée de départ de passer une nuit blanche semblait un peu ambitieuse après plusieurs heures passées. Au moins on aura pris de bon temps de diverses façons et la situation est bien plus légère désormais. De mon côté je continue de manger tranquillement, part après part vu combien de calories elle m'a fait éliminer depuis tout à l'heure.

- Le café ? Bah... Un filtre, du café, de la flotte et voilà. Au pire on prendra un truc en route.

Je suis pas un barista, moi. Faut dire que tant que ça se recrache pas, le café c'est juste un truc amer pour te tenir éveillé ou t'aider à te bouger plus vite au réveil. Faut dire que j'en bois pas des masses vu qu'en me levant c'est surtout l'entrainement qui m'aide à démarrer la journée.

- Je vois ce que tu veux dire. T'es un peu trop tactile, mais faut pas te dévaloriser autant.

Alors qu'elle s'approche et pose un doigt gras à cause de la pizza sur ma bouche pour me dire de ne pas prononcer un mot je me contente de faire remonter un sourcil sur mon front. Déjà que je suis pas du genre à laisser dormir quelqu'un sur le canapé quand il y a de la place dans le lit. Alors en plus dans l'état dans lequel on l'a laissé en plus de la bouffe qui traîne sur la table basse et les odeurs qui vont s'en dégager couplées à celle de l'alcool.
Je commence à me demander qui de nous deux a une plus grande tolérance aux environnements dégueulasses. Une tolérance développée à force de vivre dans ce genre de situations de façon régulière.

Sans discuter je la soulève pour la poser sur mon épaule et l'emmène dans la chambre pour la déposer sur le lit en évitant de la balancer trop fort dessus. C'est elle qui a demandé de ne pas causer après tout.
Dans la seconde qui suit je fais demi tour pour retourner dans le salon histoire de ranger un peu. J'éteins la console qui tournait encore depuis tout à l'heure. Les manettes retournent elles aussi derrière la vitrine du meuble tv.

La fatigue commence un peu à me rattraper maintenant que la tension est retombée. Heureusement qu'une dernière bière est là pour m'accompagner dans mon périple ménager. Je pousse les deux fauteuils dans un coin en plus du canapé pour que l'entreprise qui passera demain matin s'en occupe sans toucher au reste.

Une dernière part de pizza engloutie, je réunie le tout dans un seul et même sac qui part terminer la soirée au frigo. J'aurais tout le temps de trier la chose demain quand je rentrerai après l'avoir déposée.
Le dernier arrêt avant de me pieuter se déroule dans la salle de bain pour un brossage de dents en règle. L'hygiène c'est important après tout. Même si je préfère éviter de le dire à voix haute compte tenu de l'état des lieux après nos petites folies.

En me regardant quelques instants dans le miroir je peux percevoir quelques traces laissées sur mes épaules et mon torse par ses ongles. La vache, elle s'est pas retenue. A croire qu'elle n'est pas spécialisée en gifles au bout du compte.

De retour dans la chambre après avoir éteint toutes les lumières je récupère un oreiller supplémentaire dans la penderie et file me glisser sous la couverture. Je jette un coup d'oeil à travers la fenêtre semi ouverte et soupire pour m'endormir rapidement.

|------|

Le lendemain, 6h, je me lève automatiquement comme chaque jour. Pas besoin d'appareil car mon horloge interne est bien plus au point que tout autre gadget électronique. Kara semble dormir encore tandis que je me lève et enfile un survêtement pour sortir courir.

Avant de quitter l'appartement je vérifie mes messages et découvre que mon contact m'a bien laissé la voiture promise en bas. Et malgré le quartier pourri, tout le monde sait à qui elle appartient. Personne ne serait assez fou, ou con, pour oser mettre la main dessus si il veut la conserver.

Une bouteille d'eau à la main et une serviette autour du cou, je me sauve pour une petite heure.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mardi 05 janvier 2021, 20:05:36
Visiblement, Souta n’avait aucune intention de laisser dormir sur des tâches dégoutantes… Et se ficha pas mal de son opinion pour l’embarquer dans son lit. Elle aurait bien été furieuse, mais la fatigue, et peut-être juste parce qu’elle savait pertinemment qu’elle n’avait aucune chance de lui faire entendre raison, eurent raison de sa résistance.

Son lit était étrangement confortable et elle ne mit pas cinq minutes à sombrer.

Souta l’avait roulée dans un tapis qu’il scotchait et grognait à son oreille « Ma poubelle Desco, ma poubelle ! » pendant qu’elle suffoquait lentement mais surement, se sentant mourir de panique avant que l’asphyxie ne la termine. Ça dura des heures, autour d’elle rien n’avait de sens, elle cilla.
Et s’éveilla en sursaut, le réveil de son téléphone la glaçant le sang. Elle était en travers du lit, constata qu’elle n’était pas dans sa chambre, et angoissa une seconde, avant de se rappeler la nuit passée. Merde. Elle était chez Souta, la respiration haletante, mais aucune trace de lui.

Empoignant son smartphone, elle se leva au radar, se cogna le genou dans un meuble, siffla un juron avant de se frotter les yeux en marchant lentement jusqu’à la salle de bain. Sans réfléchir une seule semaine, Kara retira le t-shirt emprunté et resta de longues minutes dans la douche… Avant de penser à l’allumer, hurler parce que c’était froid, sortir en glissant et grelottant. Et finalement, s’y engouffrer de nouveau dès qu’elle aperçut la vapeur se former.

Propre et sèche, elle se permit de voler un nouveau tshirt à Souta, farfouillant dans ses affaires, avant de sentir comme un regard pesant sur elle… En levant le nez sur la fenêtre qu’elle avait ouverte, une vieille dame lui fit un petit salut, l’air malicieux… Auquel elle répondit machinalement, mais estimant que d’ici trente minutes, tout l’immeuble en face saurait que « le jeune homme a ramené une fille à la maison ». Kara ricana toute seule en passant sa jupe et essayant de se voir dans le miroir de la salle d’eau… C’était clairement pas la fashion week, mais ça ferait l’affaire pour rentrer chez elle.

Toujours sans trace de Souta, Kara commença à s’inquiéter, et évidemment cet idiot avait la bonne idée de ne pas avoir de portable. Est-ce que c’était un plan nul pour la foutre dehors ? Vu comme elle peinait à le comprendre, cela lui semblait crédible… Mais elle prit le temps de fouiller dans les placards de la cuisine, horriblement mal rangés, avant de réussir à trouver de quoi faire du café. Il fallut encore partir à al recherche d’une tasse, mug, d’un bol ou n’importe quel contenant qui pourrait lui permettre de recevoir le précieux breuvage, mais Souta était vraiment bordélique ! Rien ne semblait logique dans cette organisation. Elle était penchée dans un placard en jurant comme une poissonnière lorsque la porte d’entrée s’ouvrit.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mardi 05 janvier 2021, 20:45:11
Dès que je pousse la porte de l'appart je me fais littéralement agresser par une sale odeur. En plus de ce qui a souillé le fauteuil il reste encore un parfum de toute la bouffe et alcool mélangé. Va pas falloir que je traine pour demander à ce qu'on vienne nettoyer tout ça. Et à peine quelques pas d'effectués que je fais déjà où est Kara sans même la chercher.
Ma tête se tourne dans sa direction et je ne peux m'empêcher d'admirer son super look.

- Sympa l'ensemble. J'sais pas ce que tu cherches mais si c'est de la vaisselle elle est dans le buffet du salon. J'pas encore eu le temps de tout ranger. Et la flemme surtout. C'est pas le plus important.

Je me saisis de ma serviette pour m'essuyer le front et repousser mes cheveux qui collent à mon front à cause de la sueur. Puis j'enchaîne en retirant mon t-shirt tout en me dirigeant vers la salle de bain. Une douche rapide et je suis prêt pour la journée qui m'attend. Cependant je m'arrête rapidement pour lui préciser ce que je compte faire.

- Je file à la douche fissa et on y va ?

Quand il s'agit de me doucher je vais à l'essentiel. Je me faufile à l'intérieur avant même d'allumer l'eau et je règle la température tout en me savonnant. Parfois il m'arrive de terminer sans parvenir à trouver la bonne température. Et raison de plus pour ne pas traîner aujourd'hui car faudrait pas que Kara se retrouve en retard par ma faute. La ponctualité est primordiale au boulot, qu'on fasse un travail valorisant ou non.

Une fois propre, puis sec de la tête aux pieds, je traverse l'appartement à poil pour aller à la chambre et m'habiller en enfilant des fringues qu'elle m'avait aidé à choisir la veille. Rien de bien extraordinaire en soit car j'aime pas attirer l'attention inutilement. Pas que je sois rechercher par les flics ou un concurrent. Mais rester prudent ne peut jamais faire de mal.

Fin prêt, direction le salon pour récupérer Kara et la déposer chez elle.

- J'suis prêt, on y va quand tu veux.

Tout en lui indiquant que je suis paré à y aller je récupère mes affaires. Clés de l'appart, portefeuille, mouchoirs. Ouais, c'est hyper important les mouchoirs dans la vie. On sait jamais quand on en aura besoin, ni pourquoi.

J'ignore ce qui m'attend aujourd'hui car j'ai rien prévu de particulier. Pas de shopping à faire, personne à retrouver et un appart à éviter tant qu'il est pas nettoyé. Merde, le nettoyage !
J'attrape mon téléphone portable qui fait tout juste appels et sms pour contacter l'entreprise de nettoyage et leur dire de passer.
Le fait d'avoir déjà un compte chez eux accélère les choses. J'imagine pas la surprise quand les employées verront le boulot qui les attende. Même si ça doit être bien pire ailleurs.

On traverse le hall rapidement dans lequel se trouvent les trois couillons de la laverie automatique. L'un d'eux me jette un regard neutre rapidement avant qu'ils ne flashent tous les trois sur Kara sans comprendre ce qui se passe. On peut voir dans leur regard qu'ils l'ont déjà vu avant mais sans vraiment la reconnaître.

Cela me soustrait un léger ricanement alors que j'avance en direction de la voiture pour me rendre à la portière du siège conducteur. La bagnole est déjà déverrouillée et les clés sont sur le contact. Personne n'a osé toucher à la bagnole, comme je m'y attendais.

- Le carrosse de madame est arrivé. Où dois-je vous conduire ?

Je me penche légèrement dans sa direction sans trop abuser non plus.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mardi 05 janvier 2021, 23:30:48
Kara sursauta quand elle entendit Souta lui parler, se cogna contre le haut du placard et pesta en se frottant la tête. Une fois son café finalement avalé, elle nettoya sa tasse pendant que Souta frottait de son côté, et elle ne put s’empêcher de tendre le cou pour le regarder passer, nu, jusqu’à la chambre.

En passant dans le hall, sans savoir qui étaient ces trois mecs, Kara sentit leurs regards appuyés, et ne put s’empêcher de leur lancer une œillade sombre, suivant cependant Souta comme si c’était son ombre. Elle ne se sentait pas des plus à l’aise dans le quartier, mais avec son chauffeur personnel, elle estimait que personne ne voudrait, ou ne pourrait, lui faire de mal. Et puis, elle savait se défendre maintenant ! Bon… Elle aurait été incapable de remettre en pratique les quelques rapides enseignements d’hier, d’autant dans le feu de l’action.

La même voiture que pour leur virée shopping… Etrange, tout de même, ces amis qu’il a et qui peuvent lui prêter des voitures de sport si facilement. Pourquoi elle n’avait pas des copains comme lui ? Kara se mit à glousser en entrant dans le carrosse, se pavanant un peu en jouant le jeu.

« A mon Manoir, mon Brave. »

Elle essayait de ne pas trop rire, mais c’était impossible en voyant la mine de Souta qui s’approchait. Ne sachant pas comment réagir, la jeune femme tapota sa joue du plat de main avec un sourire sarcastique.

« C’est un bon chauffeur, ça. »

Elle le trouvait drôle, et admirait sa façon de se foutre de tout. Comment faisait-il ? Ça aussi elle avait envie qu’il lui enseigne. En plus de se débarrasser des pervers en tous genres qui se croyaient tout permis.

En pinçant les lèvres, elle se sentit idiote, alors, se disant qu’ensuite, elle irait au bureau, et… Et quoi ? Pour lui, ça devait être simple, il ne devait se poser aucune question existentielle. Mais Kara, elle avait la tête farcie d’interrogations. Est-ce qu’il voudrait bien la revoir, une prochaine fois ? Est-ce que c’était bizarre ?

Tout en l’observant conduire, elle lui indiqua la route à prendre, et profita qu’il était occupé à regarder la route pour parler.

« Tu… ça te dirait d’aller boire un verre, un de ces quatre ? »

C’était une approche assez neutre, comme ça, s’il disait non, elle n’aurait pas l’air trop humiliée. Mais Kara se dépêcha d’ajouter :

« Ou, euh, ou que tu m’apprennes à me défendre un peu ? »

Arrivés avant son immeuble, elle fut tentée de lui indiquer, de nouveau, de la déposer pour finir à pieds... Et finalement, désigna l'avenue suivante.

« C'est à l'angle de l'avenue, là, l'immeuble ocre. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 06 janvier 2021, 07:48:03
Installés dans la voiture tous les deux, nous voilà parti en direction de chez elle pour qu'elle puisse se changer et aller à son boulot. Le trajets est assez calme dans l'ensemble. Mais pas dans le genre silence gênant comme ça peut arriver. Après, je vois bien qu'elle est pas hyper à l'aise non plus quand je tourne la tête pour la regarder. Sans doute qu'elle pense encore à des trucs inutiles pour se tourner la tête dans tous les sens.

En tout cas c'est elle qui rompt le silence la première.

- Et pourquoi pas les deux en même temps ? T'as l'air trop tendue au naturel. Par contre on pourra pas faire les deux dans un bar ou un club. On risquerait de se faire foutre dehors.

On commence à se connaître un peu mieux et je pense ça ira qu'en s'améliorant avec le temps. Le fait de s'amuser et se lâcher sans prise de tête pour décompresser est essentiel quand on veut faire autre chose que de se laisser bouffer par le boulot. Ce qui semblait lui arriver ces derniers temps.

Nous voilà juste à côté de chez elle vu qu'elle m'indique du doigt le bâtiment en question. Je me gare devant directement car je compte pas rester trop longtemps planté devant l'entrée. Et je le lui dis directement car cette fois je ne sors pas pour lui ouvrir la portière.

- Je te laisse monter te changer et je repasse dans vingt minutes, ça te va ? Et inutile de me rendre le t-shirt. Ca te fera un souvenir.

La question n'en est pas vraiment une. Ou plutôt, ma phrase est tournée de cette façon dans le sens où je veux surtout lui demander dans combien de temps je reviens la chercher pour la déposer au boulot dans la foulée. Ca se voit que ses collègues ou son patron sont des emmerdeurs de première. La voir débouler dans un bolide leur fera les pieds. Même le temps d'une journée ou deux.

Une fois qu'elle est descendue et qu'elle fait redescendre la portière je la regarde s'éloigner et entrer dans le bâtiment pour repartir de plus belle en direction d'une boulangerie pour acheter de quoi manger vu qu'on n'a pas eu le temps de prendre quoi que ce soit ce matin. La faute à ds évènements qui se sont enchaînés bien plus rapidement que prévu.

En tournant la tête à droite et à gauche tout en roulant je constate que son quartier n'est pas si pourri que le mien. Par contre il m'a l'air sans vie. C'est gris, neutre, les gens regardent tous leurs pompes en soupirant. Même les animaux sont déprimés alors que leur maître les sortent pour faire leurs affaires. On se croirait dans un film de zombies. Seuls les bruitages et les costumes diffèrent.

Au bout du compte il ne me faudra que 10 minutes pour faire l'aller-retour pour me retrouver devant chez Kara. Un sac plein de cochonneries en tout genre et un café. Moi je me suis pris un jus d'orange. Le tout posé sur le toit de la bagnole avec une serviette en dessous pour éviter tout accident.

Une fois qu'on aura manger, direction boulot pour elle et... glandage pour bibi.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 06 janvier 2021, 22:19:14
En montant chez elle, puisque son ascenseur fonctionnaire, elle, Kara se regardait sans se voir dans le miroir un peu sale aux nombreuses traces de doigts… Souta avait accepté d’aller boire un verre, et également de continuer à être son prof d’auto-défense. Evidemment, il n’avait pas pu s’empêcher de faire de l’humour, ce qui l’avait fait, bien sûr, rire. Là, elle se demandait encore si c’était une bonne idée d’avoir proposé cela, si ça voulait dire des choses, où ça mènerait…

 Elle avait acquiescé quand il avait parlé timing, vingt minutes c’était suffisant, assurément, parce que Kara n’était pas vraiment une femme des plus sophistiquées, ou alors, elle allait au plus urgent : une chemise un peu repassée, sa veste, elle changea de jupe et de sous-vêtements aussi. Maquillage rapide, le minimum d’hygiène évidemment.

Comme il l’avait demandé, Kara avait replié le t-shirt d’un air bizarre, avant de le laisser dans sa chambre, ne sachant pas vraiment ce qu’il convenait d’en faire… Le garder, c’était pas un peu… too much ? Quel intérêt de conserver un vêtement d’un mec, si c’était pas « son » mec ? Un frisson la glaça, elle se dépêcha de remettre ses chaussures et descendit, pile à l’heure !

Elle sursauta en voyant Souta l’attendre, de délicates attentions en main. Merde… C’est assez surprenant. Pinçant les lèvres, elle s’avança vers lui en ricanant, se sauvant d’un air moqueur pour éviter de montrer qu’elle était assez touchée.

« Ah, carrément, toi tu me sors le grand jeu, dis donc ! »

Elle prit le café qu’il lui tendait et inspira l’arôme, les yeux pétillants. « Han, j’adore le café ! » Elle sautilla à peine et but une gorgée, oui, en se brûlant. Ah, c’était celui de la boutique américaine deux rues plus loin, elle reconnaissait son goût particulier. Après consultation de son smartphone, Kara soupira avec une petite moue.

« Désolée de te presser, mais je vais être à bourre, Don Juan. »

Elle piocha dans le sac une viennoiserie grasse qu’elle croqua en deux bouchées, s’installant les joues rondes dans la voiture. En machant, elle lui indiquait la route à prendre, des fois qu’il ne sache pas forcément relier son appartement au quartier de son entreprise.

Arrivés devant l’immense immeuble, Kara avait pratiquement fini sa boisson chaude et avalé assez de trucs pleins de sucre et de calories pour tenir deux heures de réunion intense d’équipe. Elle se racla la gorge, moins empotée depuis que Souta avait accepté de la revoir.

« Bon. Euh… Merci. » Plusieurs de ses collègues marchaient sur le trottoir où la voiture de sport était stationnée, et en la voyant sortir, ils avaient l’air de hiboux interloqués, les yeux ronds, visiblement persuadées que jamais Kara ne pourrait rouler dans pareil coupé.

- Descoooo, ton mac’ paye bien !

Elle tendit son majeur bien tendu en direction d’un grand type en costume crème, qui fumait avant d’entrer, proche d’eux, avant de se pencher dans l’habitacle.

« Appelle-moi, t’as ma carte. » Sourit-elle à Souta, avant de se tordre complètement pour faire claquer un baiser sur sa joue, et s’enfuir, disparaissant dans l’imposant bâtiment gris. Avant qu’il n’entre le fameux collègue pencha la tête pour apercevoir qui conduisait, leva un sourcil en mimant vulgairement deux énormes obus en guise de seins.

- Belle prise, camarade.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 07 janvier 2021, 08:09:33
En la voyant revenir je constate qu'elle a rapidement enfilé son uniforme. Même si ses fringues semblent un poil différentes elles ne changent pas complètement de ce qu'elle doit porter tous les jours pour aller bosser. Voilà un truc qu'elle devra sûrement changer plus tard aussi pour se sentir mieux.
De toute façon il est clair qu'elle est moins coincée et soucieuse qu'il y a quelques jours quand on s'est rencontré pour la première fois.

- Ouais, je les fait toutes craquer avec mes croissants. Le sucre et le gras ça marche à tous les coups.

Sauf quand on tombe sur une anorexique ou une nana qui calcule chaque calorie de ce qu'elle avale. Pourtant les maigrichonnes sont pas sexy une seconde. Après il existe des femmes qui ont un problème psychologique et qui peuvent aller jusqu'à s'exploser la tête car elles supportent pas l'idée de manger un truc sucré. Elles se sentent grosses en permanence alors qu'on pourrait les soulever avec deux doigts tellement elles sont légères.

Alors qu'on reprend la voiture en direction de son boulot, je scrute ses faits et ses gestes dès qu'une occasion se présente. "Gaffe aux miettes, gaffe aux miettes !" que je hurle dans ma tête. Le gars a qui appartient cette tire y tient plus qu'à tout autre chose. Heureusement il y a un petit aspirateur à main dans le coffre et j'en passerai un coup avant de la lui rendre. Pas besoin d'être costaud ou de posséder une collection d'armes exotiques pour être craint. Et je préfère éviter de savoir ce qu'il me réserve si je salope sa bagnole.

D'un simple sourire en coin pour répondre à son remerciement, je me penche pour déposer la bouffe et le gobelet vite sur le tapis qui se trouve devant son siège une fois qu'elle l'a quitté. Faudrait pas que quelque chose tombe en repartant. Ce serait con.

En les voyant s'envoyer des amabilités je me demande si ils s'entendent bien ou si ils sont juste qu'une bande de vautours sans scrupules cherchant la moindre faiblesse chez leur collègue. Ce serait bien triste dans ce cas-là car on est loin d'être dans une grande boite ici. Les gens qui se pourrissent la vie au boulot sont généralement ceux qui veulent évacuer trop de stress.
Dans le cas présent ce serait probablement quelque chose de différent. Comme de vouloir écraser les autres si on le peut pour se sentir un poil plus fort ? En tout cas je dis rien pour pas la foutre plus dans la merde si elle l'est déjà.

- Ca marche !

Je la laisse s'éloigner et me contente de pas calculer son collègue dans la rue d'en face qui semble aimer jouer au con. A croire que je suis pas si loin de la vérité en pensant qu'ils aiment essayer de se sentir plus fort en crachant sur les autres dans cette boite.
De toute façon on trouve ce genre de guignol dans chaque secteur, même le mien.

La main sur la boite de vitesse, je réenclenche la bagnole pour démarrer en trombe et repartir.
Le reste de la journée sera calme et je la passe dehors pour laisser le temps de nettoyer mon appart et gérer quelques trucs de boulot à l'avance. Idem pour la bagnole que je ramène à mon contact après l'avoir nettoyée comme il faut par précaution.

Sous les coups de 19h j'envoie un message à Kara :
Citer
Pas dispo ce soir. Des trucs à régler.
J'passe demain !

Il me reste encore deux jours de tranquillité et je compte bien en profiter au max.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 08 janvier 2021, 22:46:51
 Dire que Kara avait espéré un sms était exagéré. Mais elle s’était rendu compte qu’inconsciemment, elle avait regardé plus souvent son smartphone, des fois qu’elle aurait loupé des notifications… Ca arrive ce genre de chose, des fois. Non ?

En rentrant chez elle, dans le métro, regardant un stream dans un petit siège qui sentait l’urine, le message de Souta la fit sursauter en pleine partie. Oh, il n’était pas dispo ce soir… Peut-être était-elle un peu déçue, avant de se reprendre. Comme cela se faisait, elle ne répondit pas immédiatement, attendit d’être chez elle, d’avoir enfilé un legging informe et retiré son soutien-gorge, pour taper un rapide :

Citer
OK, on va au stade demain après le taf.

C’était bien ça non ? Il ne s’encombrait pas de petits mots, elle s’était calquée sur lui. Le pire étant que pour écrire ce sms, elle avait dû beaucoup réfléchir, là où Souta, lui, avait juste dû taper ce qui lui venait en tête… Elle soupira, mangea des nouilles, s’endormit devant un film.

Le lendemain, dans son canapé peu confortable, des courbatures lui indiquèrent qu’elle aurait dû s’endormir convenablement dans son lit, plutôt qu’être flemmarde… La journée de travail était longue, mais elle devait surtout appeler des prospects, ce qui était facile et calme ; elle restait les pieds sur son bureau à se balancer sur son siège en sirotant des cafés, et enchaînait les « Oui bonjour Madame, je m’appelle Kara Desco et c’est votre jour de chance… »

Dans son open space, cinq autres commerciaux semblaient être ses clones, en beaucoup moins sexy évidemment. A la pause de midi, un collègue décida que la coupe de cheveux d’un autre était à chier, et les paris, défis et autres joyeusetés égayèrent son sandwiche. Les voir tous partir fumer la mettait toujours mal à l’aise, la rendant nerveuse, elle remonta rapidement à son bureau, prendre de l’avance.

Ce qui lui permit de quitter tôt, et partir à cinq heures de l’après-midi était un peu comme faire l’école buissonnière, en fait ! Kara rentra chez elle, vira sa tenue de bon petit soldat du capitalisme, et enfila un short et un débardeur. Elle avait des baskets, c’est sûr, mais où… ? Elle fouillait dans un placard rempli d’escarpins noirs, identiques, quand elle entendit sonner à sa porte. Ah ! Son coach était arrivé !
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 11:55:04
La journée suivante se déroulait jusque là à merveille. Les histoires de la veille au soir se sont passées dans trop de bobos et j'ai pu faire la grasse matinée comme un putain de glandeur. J'ai même poussé le vice jusqu'à jouer quelques heures sur la console pour prendre ma revanche le plus tôt possible, même si ce ne sera pas pour demain.

En voyant l'heure avancer je m'engloutis une petite bière et file en prenant soin de ramasser un petit sac de sports que j'ai préparé ce mati-... Cet après-midi en me levant. Le matin, l'après-midi, ce ne sont que des concepts vagues quand on décide de glandouiller à la maison.
Le contenu du sac est assez sommaire : bouteilles d'eau, serviettes, fringues de rechange.

On sait jamais ce qui peut arriver dans une salle de sport. J'en connais quelques unes en ville qui sont gérées par des amis. Du coup j'ai réservé un petit coin pour quelques heures en fin d'après-midi.

Cette fois j'ai décidé de louer une bagnole classique pour deux jours. En grande partie parce que j'ignore dans quel état on sortira des lieux et qu'il faudrait pas que la caisse de sport qu'on m'a prêté avant finisse par puer la transpiration. On pourrait bien rester ce doucher là-bas et se changer. Mais dans le doute... Je sais pas encore quel visage prendra Kara.

Enfin bon, c'est l'heure d'y aller !

|------|

Après quelques échanges de sms, je connais son code d'interphone, l'étage et le numéro de son appart. Je me fais pas chier et entre directement une fois garé en bas vu qu'il y a aucune autre voiture et personne ne semble passer par le même chemin.

Il ne lui faut pas longtemps pour venir ouvrir la porte après avoir sonné à celle-ci. L'ouvrir à coup de pied aurait été mal venue. Même si ça aurait pas été si cher payé vu qu'elle a agressé la mienne lors de notre première rencontre.

- Salut ma belle, prête ?

Tout en posant ma question je laisse mon regard parcourir sa tenue de la tête aux pieds. Les fringues qu'elle porte, aussi basique qu'elles puissent être, me hurlent aux oreilles "débutante !". Le fait qu'elle ne fasse pas des masses de sport me semble assez évident. Et si je devais faire une supposition je penserais même qu'elle a enfilé les deux premiers trucs qui lui sont tombés sous le nez. Comme moi la majorité du temps.

- Non, attends, ça va pas le faire là.

Mes mains se saisissent de son débardeur au niveau des hanches pour tirer légèrement dessus et voir si il va s'étirer. Ce qui se produit. Puis on sent que le truc est pas assez moulant. Je le vérifie directement en lui attrapant les seins pour les soulever un chouïa et confirmer ce que je pensais.
Je me saisis du bout de tissu par le bout et le remonte pour le lui faire enlever.

- Faut que tu mettes autre chose. Un truc qui colle plus au corps sinon tu vas te faire mal.

Avec les mouvements répétés et compact, sa poitrine risque de ballotter dans tous les sens. Ca fait kiffer les puceaux qui regardent les blondes en maillot rouge sur les plages américaine. Mais dans la vraie vie, bah... c'est différent.

Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 09 janvier 2021, 14:52:59
Elle avait trouvé une basket, c’était déjà une bonne avancée, lorsqu’elle se tourna vers Souta avec un large sourire, enthousiaste bien qu’un peu nerveuse en le voyant.

« Salut Coach Souta ! Oui je suis… »

Elle s’interrompit dès qu’il s’approche, voyant bien à sa tête que quelque chose clochait. Il la reluqua des pieds à la tête, et même si c’était assez familier, désormais qu’elle connaissait un peu l’animal, ce geste ne la surprit même pas. Pourtant, ce n’était pas un regard lubrique qu’il faisait passer sur son corps, mais … un jugement ?

« Quoi ? »

Grogna-t-elle un peu, renfrognée par son attitude qui paraissait clairement annoncer qu’il avait un truc méchant à lui dire. Ce qui ne tarda pas, confirmant qu’en effet, il désapprouvait sa tenue. Alors voilà, Monsieur Souta n’était pas convaincu par son short, c’est ça ? Encore une fois, il allait se permettre de critiquer son apparence, et elle s’apprêta évidemment à lui rétorquer quelques insultes, soucieuse de lui rappeler qu’une femme peut bien s’habiller comme elle veut, qu’elle était adulte et qu’elle ne l’avait pas attendu pour choisir ses fringues comme elle …

Les mains de Souta venaient de se poser sur ses hanches. Non, bon, son t-shirt, mais c’était suffisant pour lui faire ravaler la morgue et la laisser bouche bée. Ses mouvements ont l’air très assurés et il semble vérifier quelque chose rapidement, la laissant perplexe, et Kara sursaute quand ses paumes remontent sur sa poitrine, écarquillant les yeux.

C’est pire encore lorsqu’il la déshabille habilement. La tension dans son corps la crispe et machinalement, elle lève les bras pour permettre au débardeur de se retirer facilement, la laissant le buste nu.

« … Autre chose. » Ah oui, des vêtements ! Il parle des vêtements de sport, en fait. Kara semble se réveiller d’un bond et hoche la tête avec énergie.

« Ah oui, ben. Oui, bien sûr, je vais… »

Elle désigne maladroitement la porte de sa chambre, et fait un pas de côté pour s’éloigner. Merde, quelle idiote, elle sent déjà ses pommettes chauffer, sans raison. Sans raison ? Avec un petit sourire, elle s’esquive dans l’autre pièce en parlant plus fort.

« Je vais voir ce que j’ai, mais tu sais, je fais pas vraiment d’exercice moi hein… Déjà faut que j’arrive à trouver ma deuxième pompe ! »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 15:18:07
Les rôles semblent complètement inversés quand je me rappelle de la session shopping. A son pas de côté et le fait qu'elle change de pièce j'en déduis qu'elle veut que je trouve quelque chose de plus approprié pour elle. Par contre cette histoire de chaussure est une perte de temps et je me prive pas pour la prévenir.

- T'emmerdes pas pour les chaussures. Trouve juste de quoi marcher dehors, même si t'enfiles des claquettes. On peut rester en chaussettes dans le gymnase. Viens plutôt te trouver un haut.

Je me rattrape rapidement et ajoute dans la foulée.

- Par contre attention aux tongs avec des chaussettes. Ca fait pire que touriste.

Je ramasse tout ce qui ressemble à un t-shirt de près de loin et je les tends devant elle une fois qu'elle est dans la pièce. On se croirait dans cette étrange émission où les femmes passent toutes leurs fringues en revue pour défiler devant des inconnues. Sauf qu'elles seraient pas forcément diffusées à moitié à poil.
Au bout d'une minute ou deux je trouve un truc plus ou moins passable que je lui fais enfiler rapidement en finissant par le fermer au niveau du ventre grâce à un noeud improvisé sous sa poitrine. Au point même de le coller sous ses seins pour éviter qu'ils bougent trop plus tard.

Pour confirmer la chose je lui demande de se tourner rapidement sur la droite et la gauche avant de revenir à sa position initiale afin que je tâte le problème en le prenant littéralement en main.

- Mouais, ça fera l'affaire pour cette fois. Par contre faudra qu'on t'achète des trucs plus appropriés si tu veux qu'on remette ça.

Un air plus léger et amusé je lui place une petite claque sur le cul comme on le fait tous si bien dans le monde du sport pour lui faire comprendre qu'il faut enchaîner.

- Allez, on y go ! T'as de quoi te changer pour après ? Parce qu'on rentrera pas trop tôt. Je t'attends en bas, traine pas.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je file aussi vite que je suis arrivé pour l'attendre dans la voiture en bas. Cette fois on a droit à un bagnole quatre places. J'en ai profité pour laisser mon sac sur la banquette arrière car il dérangera personne là-bas.

Une fois qu'elle arrivera on partira en direction d'un gymnase assez grand qui est utilisé par pas mal d'athlètes professionnels. Heureusement pour nous la bonne majorité est en déplacement et il ne devrait pas y avoir grand monde pour le reste de la journée. Ca nous permettra de transpirer et se détendre sans avoir à regarder dernière notre épaule si machin veut utiliser tel appareil ou faire des zig zag entre les allées et venues d'un groupe de personnes.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 09 janvier 2021, 16:11:17
 A l’évocation des chaussettes dans les tongs, Kara pouffe de rire, se demandant de quelle planète il débarque, avant de passer en revue les quelques tshirts qu’elle possède qui pourraient convenir. Evidemment, vu son manque d’attrait pour les efforts physiques, elle en possède peu, et c’est assez rapide. Et comme de toute façon, Souta a l’air d’avoir encore une fois une idée très claire de ce qu’il veut, elle le laisse décider… Y a pas, ce mec aime diriger et ne s’encombre vraiment pas de fioritures pour faire passer la franchise de ses paroles…

Exactement comme les jours précédents, leurs retrouvailles sonnent étranges, lui, détendu sans y voir de problème et elle… plutôt gênée. Gênée par l’attitude si naturelle de Souta qui sans aucun problème vient faire un nœud avec son haut et palpe sa poitrine avec fermeté. Ce contact la fait buguer, encore, elle reste la bouche ouverte avant de se reprendre.

Il ne se rend vraiment pas compte que ses gestes sont provoquants, ou alors il fait vraiment vraiment bien semblant. Non, elle y réfléchit non-stop depuis trois jours, il n’est ni menteur ni capable de duperie, en réalité. Il est assez binaire, en fait. Et premier degré. Quoi que. Kara soupire le plus discrètement possible pour ne pas montrer son trouble, mais Souta est vite passé à autre chose.

« Si je suis pas morte après la séance d’aujourd’hui, oui, j’achèterai une brassière ou un truc du genre. »

Affirma-t-elle sans grande conviction : encore fallait-il qu’elle soit motivée pour faire du sport plus d’une fois en six mois.

Mais elle sursaute à la claque légère, écarquillant les yeux, un peu choquée et … un peu effrayée d’avoir apprécié le contact.

« Hé ! »

Elle lui lève magistralement son majeur en réponse, loin d’être habituée aux petits bizutages du monde sportif, avant de le laisser descendre, se dépêchant de constituer un sac de voyage qui n’a jamais servi, virant les peluches qui s’y trouvaient depuis de très nombreuses années.

« Désolée les filles, promis je vous aime. »

Elle les laisse en plan, les abandonnant encore une fois comme ce fameux jour adolescent où elle avait décidé qu’il était temps qu’elles dorment ailleurs que dans son lit. En descendant sur le trottoir, elle s’étonne de voir le bolide transformé en citadine et ricane en montant dedans.

« Ah ça y est, j’ai droit à la voiture de merde, t’estimes que j’suis déjà dans ta poche… »

Mais sa pique n’appelle aucune réponse et lorsqu’ils pénètrent dans le gymnase, Kara s’arrête un moment pour regarder autour d’elle, l’air… traumatisé. Merde. Pourquoi avoir dit qu’elle voulait faire du sport ? C’était une mauvaise idée, elle allait avoir mal, qui faisait ça ?! Qui s’infligeait une torture pareille pour pas grand-chose ? Les calories ? Elle aurait besoin de mille séances, estimait-elle. La bonne santé ? Rah, fallait mourir de quelque chose, et elle préférait que ce soit de cholestérol que d’épuisement sur une de ces machines de torture.

« Bon bah… »

Elle soupira, lançant un regard énigmatique à Souta. Il avait sans doute déjà un programme en tête.

« Ah, par contre, faut que t’arrêtes vraiment de me peloter, hein. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 16:35:01
A bien y repenser je n'ai pas foutu les pieds dans un gymnase depuis plusieurs mois. La faute à trop de boulot mélangé à une flemme de voir trop de monde avec leur mentalité de merde et cette envie irrépressible de vouloir tout faire trop vite. Comme si patienter 30s allait les tuer ou leur faire manquer une occasion unique.

En entrant sur les lieux je sens comme un parfum de nostalgie. L'odeur des tapis, du cuir et de l'acier des machines. Ce genre d'endroit est bien entretenu. Même rempli à 80% on ne sent pas la transpiration qui devrait en temps normal vous boucher les narines. A moins de se coller à quelqu'un. Les miracles n'existent pas, faut pas pousser mémé dans les hautes herbes.

Mais Kara me brise ce joli moment en soupirant comme une âme en peine que l'on vient de faire entrer dans la cour d'une prison pour aller des cailloux avec une pioche comme c'était le cas il y a bien longtemps.

- Pourquoi ? Il y a rien que j'ai pas déjà touché avant.

La phrase est lâché avec un léger rire, détendu. C'est vrai dans le fond. Après tout ce qu'on a déjà fait ensemble je suis surpris qu'un ou deux contacts assez classiques puissent la déranger. Je ne me suis donc pas trompé, elle a encore du mal à se lâcher et garde sûrement un tas de trucs pour elle.

- Surtout que je vais te toucher souvent lors de la prochaine heure. Parce que tu vois toutes ces machines là ? Tu t'en approcheras pas. On va faire autre chose.

La remarque est accompagné d'un geste de l'index pour lui désigner une air légèrement à l'écart des machines en question qui sont utilisées par une quinzaine de personnes environ. L'endroit où je l'emmène est couvert de tapis assez épais, une table qui sert à faire des abdos et des exercices pour le dos en fonction de la façon dont elle est dépliée en plus de nombreux petits appareils qui servent pour les boxers. En plus de sacs de frappe.

Bien souvent un ring y est installé quand un groupe de boxers pro vient s'entraîner dans le coin. On tombe donc au meilleur moment pour venir initier madame aux exercices physiques.

- Pour commencer on va faire des échauffements. Parc que t'auras l'air fine si tu froisses un muscle d'entrée. Et pour ça...

Ouais, faut toucher madame. Montrer l'exemple à une débutante c'est se risquer à la voir gratter du temps en faisant n'importe quoi. On me la fait pas à moi.
Je lui montre alors comment on s'étire les bras. Que ce soit en les tenant droit au-dessus de la tête, en en posant un derrière la nuque tout en pliant cette dernière sur le bras qui est au-dessus. Comment se remuer les poignets sans aller trop vite. Plier le genou et se tenir en équilibre sur une jambe avant de relâcher et recommencer à plusieurs reprises avant de passer à la suivante.

La chose nous prendra quand même la bagatelle de vingt minutes.

- Je pense que c'est bon. Et pour être sympa je te laisse décider. Qu'est-ce que tu veux faire ?
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 09 janvier 2021, 17:34:43
« Oui, non mais… »

Il marquait un point. Certes, ils avaient suffisamment expérimenté des rapports plus poussés pour ne pas s’offusquer de quelques pelotages, mais c’était pas pareil ! Visiblement, Souta n’avait pas remarqué qu’il pouvait la troubler en la touchant et finalement, ce n’était pas étonnant. Kara garda cette réflexion pour elle, refoulant encore, préférant ne pas se ridiculiser en abordant ce sujet.

Il devait être détesté des personnes en insécurité constante et psychotiques, qui ne supportaient pas les contacts physiques. Et même lorsqu’elle le lui avait signifié, il semblait ne pas avoir l’intention de le prendre en compte. Une fois encore, Kara ravala une remarque, d’autant qu’elle était assez intriguée, et assurément terrifiée, à l’idée de ne pas rester dans un cadre bien propre et bien défini que représentaient les machines.

Ah, et qu’avait-il en tête ?! Elle le suivit et constata qu’il devait vouloir rester sur cette notion de self-défense, du moins pensa-t-elle.

Et il n’avait pas menti, puisqu’il passait près d’une demi-heure à la coller, l’effleurer, la toucher… Kara essayait vraiment de se concentrer sur les mouvements, elle y réussit de temps en temps même, mais au début, sa proximité était perturbante.

D’autant lorsqu’il se collait contre elle et contractait ses muscles, cette sensation de puissance faisait chauffer ses joues.

Lorsqu’il annonça la trêve, mine de rien, Kara avait fait plus d’efforts en peu de temps qu’en plusieurs mois…

« Ohlala, qu’est-ce que tu es sympa, ouais… »

Elle haussa une épaule en se tournant pour regarder autour d’elle, essayant de trouver une échappatoire acceptable à sa question. Puis qu’elle avait le choix des armes, elle ricana un peu et fanfaronna.

« J’veux te coller des pains, trouve un exercice où j’ai une chance de te cogner. »

Elle leva même ses petits poings pour avoir l’air puissante, lui adressant un clin d’œil. Quitte à faire du sport, autant y trouver une petite revanche.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 17:57:11
Alors... D'un côté j'ai une femme qui réagit bizarrement dès qu'on la touche et de l'autre une puce surexcitée dès qu'il s'agit de latter les mecs dans le métro ou de me taper dessus. Sans mentionner les précédentes baffes, griffures et autres plantages d'ongles dans la peau. J'en arrive à me demander si je fais vraiment bien de poursuivre la chose. Malheureusement pour moi je n'ai qu'une parole.

- Je sais pas si je dois le prendre personnellement.

En parcourant les lieux du regard je ne vois rien de spécial, ni même ne serait-ce qu'utile pour ce qu'elle m'a demandé. Utiliser un sac de frappe pour simuler le faire de frapper quelque chose. Mais la connaissant désormais un peu je pense que ça ne fera pas l'affaire. Reste bien une alternative.

- J'ai une idée. Bouge pas, je reviens. Et quand je dis de pas bouger ça veut dire rester debout.

Le principe est le même que pour les couleurs. On les voit marcher plusieurs secondes ou minutes même en terminant une courte très longue car le fait de s'assoir après autant d'efforts est mauvais pour le corps. Après... elle s'est juste étirée. Mais dans le doute je préfère rester prudent.

Cinq minutes plus tard et me voilà de retour avec des pattes d'ours. Les espèces de gants arrondis que portent les entraîneurs des boxeurs sur chaque main en plus d'un masque et une paire de gants de boxe pour elle. Plus fins et bien rembourrés pour les débutants. Ils s'enfilent facilement et ne lui feront pas mal aux mains tant qu'elle ne s'acharnera pas.

- Quand je lève la main, tu frapperas dedans. Essaie pour voir !

Okay ! Il y a du boulot, beaucoup de boulot. Heureusement pour elle que le titre olympique n'est pas dans ses objectifs, même à très long terme.
Je lui laisse quelques secondes pour s'habituer et faire comme elle l'entend. Notre présence ici a pour unique but de se défouler.

- On va essayer autre chose. Essaie de frapper mon gant en croisant ton coup. Par exemple, si je lève la main droite, tu me frappe dedans avec ta main droite. Et inversement.

Les exercices en question peuvent sembler stupides vu de l'extérieur. Pourtant les pros les effectuent chaque jour pour vérifier leurs automatismes, leur coordination cerveau/muscles et un tas d'autres raisons.
Cette fois encore, je la laisse faire durant cinq bonnes minutes avant de passer à ce qui devrait lui plaire le plus.

- Pour finir je vais te laisser frapper comme tu le veux en bloquant tes coups. Certains passeront, d'autres non. Tu peux viser où tu veux... sauf sous la ceinture. Je préfère le préciser, au cas où.
Tu peux y aller fort, les gants sont là pour te protéger.


Le défi est lancé et je crois déceler des étoiles dans son regard avant même qu'elle ne commence à s'approcher. En tout cas cela devrait suffire à la vider en terme d'énergie et ce sera déjà une bonne session de départ si jamais elle décide de remettre ça plus tard. Parce que vu son état de forme je la vois mal poursuivre après.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 09 janvier 2021, 20:49:44
Kara avait enfilé les gants avec une excitation enthousiaste, impatiente de boxer. Finalement, cette séance allait être vraiment chouette, songea-t-elle, et elle s’appliqua du mieux qu’elle put. Souta avait l’air de clairement penser qu’elle était à chier, et c’est vrai qu’il n’avait pas tort.

Elle essayait hein, mais cette fois elle n’avait même pas l’excuse de la fatigue pour justifier qu’elle n’arrive pas bien à coordonner ses mouvements, la droite et la gauche se mélangeait un peu, mais… Frapper était vraiment jouissif.  Pourtant, elle était trop perturbée par la nécessité de réfléchir avant d’armer son bras, se rappeler les instructions, c’était loin d’être instinctif chez elle. Rapidement, Kara eu la nette impression ne n’arriver à rien et d’être, encore dans ce domaine, vraiment nulle.

Souta avait dû s’en rendre compte, car au moment où elle allait râler qu’il avait des exercices à la con, il la fit s’arrêter. Elle lui adressa sans le vouloir un regard de remerciement silencieux, alors qu’il lui proposait quelque chose qui lui sembla immédiatement plus attirant.

« Ah ouais ! »

Cela devait confirmer ce que pensait son Coach. Relevant les poings, Kara exaltait déjà, le regard pétillant de malice, d’une sorte de rage de défi qu’il avait sans doute déjà lu lors d’ébats qui nécessitaient plus de … contact.

« J’vais te défoncer, monsieur ‘tu peux y aller fort’ »

Nianiania les gants vont la protéger. C’est toi qui devrais avoir besoin de protection, Loser ! Instantanément, la jeune femme s’était transformée en tigresse et toute l’ironie résidait toujours dans son attitude frêle avec des mains de Mickey Mouse, en sautillant comme une puce sous drogue.

Un premier coup, elle donna le ton : elle visait la tête. Après tout, elle l’avait dit, elle voulait lui coller des pains, et il était prêt à encaisser. Bon, Souta ne serait pas vraiment effrayé par sa technique ni sa puissance, mais elle retrouva immédiatement ce plaisir fou de castagner.

Elle n’y mit d’abord pas toute sa force, comme si elle n’osait pas ou n’en avait pas conscience, mais au fur et à mesure, même en faisant n’importe quoi, elle se laissa prendre au jeu. Désormais, à chaque élan, elle poussait un grognement, et son visage se crispa dans une expression de colère pure. Le visage de Souta était flou dans son regard, elle ne se souvenait presque plus qui il était. En vérité, dans son crâne bourré d’adrénaline et peu habitué à ce genre de chose, à bout de souffle et en manque d’oxygène, Kara voyait en lui tous ces faciès masculins tant détestés.

 Ce père absent qui les avait abandonnées, cet amour de jeunesse qui l’avait trahir, une longue et triste séries de visages plus ou moins connus qui l’avaient fait souffrir.

Elle était clairement au bout de ses forces, mais continuait avec acharnement, touchant rarement, mais faisant preuve de pugnacité et presque de fourberie pour tenter de faire mouche. Kara chancela alors, les jambes faibles, le souffle court et la gorge qui brûlait. Elle voulut donner un dernier coup, mais trébucha misérablement.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 21:24:19
A défaut de technique et de précision il y a de l'énergie et de la détermination dans chacun de ses mouvements. Qu'il atteigne sa cible ou non. J'ai l'impression de voir un enfant se battre dans la cour de récréation pour la première fois de sa vie. Et même si j'ignore ce qui lui passe par la tête je vois clairement qu'elle ne fait pas semblant comme elle aurait pu le laisser croire avec sa dernière phrase.

Par moments je baisse et rapproche ma tête volontairement pour qu'elle puisse frapper dessus. Et elle a beau être un poids plume qui frappe avec des gants rembourré dans mon visage qui est protégé par un casque, les dégats peuvent s'accumuler sous l'effet de la répétition.
Pas au moins de me laisser des marques ou une douleur sur la durée, mais quand même. En laissant les JO de côté, avec un peu d'entraînement et de maîtrise dans ses gestes elle pourrait bien latter des cons dans le métro.

Si on voit peu de boxeurs roués de coups leur adversaire comme elle le fait là c'est uniquement parce que cela les crèverait tout de suite. Et il est évident que son corps va finir par le réaliser avant son cerveau. Cela se remarque d'abord dans l'enchaînement des coups qui se veut plus fragile et moins précis. La puissance et la rapidité baissent ensuite progressivement.

Dans un dernier swing mal maîtrisé je la rattrape du bout du bras avant qu'elle ne vienne encore maltraiter un sol. A croire qu'ils figurent en seconde place sur sa liste après les mecs aux valeurs douteuses. Un problème pour lequel je ne peux rien. Faudra qu'elle le gère toute seule comme une grande.

- Hop hop hop !

Je pose mon autre main dans son dos pour l'aider à se tenir droite alors que ses jambes semblent aussi sur le point d'abandonner. Des deux bras je la soulève pour venir près du mur le plus proche afin qu'elle puisse y souffler tout en s'y appuyant avec le dos.

- Attends.... bois doucement.

Tout en lui demandant d'attendre je me tourne vers mon sac pour y récupérer une gourde d'eau dont j'ouvre le bouchon pour la guider vers ses lèvres sans attendre de vérifier si elle peut boire toute seule.
Je m'assure juste de tenir la gourde quelques secondes seulement pour la forcer à ne pas trop boire, ni trop vite. Après un effort intense il faut faire attention de ne pas s'étouffer en s'hydratant.

- Ca fait du bien de se défouler, non ?

J'enlève alors mon casque en bouclant ma phrase et je me masse un peu la mâchoire pour la forme. La douleur que je ressens est assez légère mais à le mérite d'exister. Tout en rigolant en la fixant dans les yeux, je poursuis.

- On va prendre une minute ou deux pour souffler et ensuite la douche. En général on refait des étirements après l'effort, mais t'es clairement pas en état. L'eau t'aidera à te détendre doucement.

Ma voix reste légèrement rompu par l’essoufflement. Mine de rien elle m'a fait dépenser plus d'énergie que je le pensais.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 09 janvier 2021, 23:05:59
Heureusement que Souta avait été là pour qu’elle évite de s’écraser lamentablement au sol. Ses jambes avaient l’air d’être du coton, et peinaient à la soutenir. La tête lui tournait un peu, mais étrangement, elle n’avait aucune envie de s’arrêter.

Il fallut que son Coach personnel insiste un peu et finalement la porte carrément pour qu’elle accepte enfin de cesser de bouger comme une forcenée. Elle a envie de s’asseoir mais n’a pas le temps de réfléchir et sans doute pas trop les moyens non plus actuellement. Sa bouche s’ouvre instinctivement pour boire, elle tousse un peu et se frotte le visage, en haletant.

Elle veut boire de grandes rasades, mais Souta le lui interdit, pourtant Kara lâche l’affaire sans broncher, elle a juste assez d’énergie pour planter son regard dans le sien pendant qu’il retire son casque et a l’air de vérifier qu’il ne s’est pas foulé la mâchoire. Son sourire est moqueur quand elle arrive à articuler.

« La vache, mes poumons me brûlent. » Ce n’est pas exactement la bonne réponse à sa question, mais Kara a l’air déjà à bout de souffle.

Mais étrangement, elle se sent bien. Etonnamment bien pour quelqu’un dont le cœur va exploser sous peu. Sa frange colle à son front et elle tente de défaire ses gants seule, en vain. Souta, lui, était mort de rire, ce qui était sans doute de bonne guerre. Pour un peu, elle aurait bien aimé lui foutre sa main dans la figure, mais il aurait esquivé aussi facilement que tous les autres.

« Hé, mais des fois, je t’ai touché ! »

Protesta-t-elle comme si elle se répondait à elle-même, avec une petite moue en plissant les yeux sournoisement.

Dans un état un peu particulier, elle laissa son dos glisser contre le mur pour venir s’asseoir, ses jambes douloureuses. Ses épaules aussi. Ses bras. Ses hanches. Même ses abdos, pour ce qu’elle en avait !

Débarrassée des gants, encore essoufflée, elle vola la gourde d’eau pour boire de nouveau, et s’essuya le front. Son visage était rouge par l’effort mais rayonnait, bizarrement. Elle se redressa, aidée par son Professeur du jour, et le suivit dans les douches en grimaçant.

« Oh merde, j’ai des crampes. Je vais mettre dix jours à m’en remettre, c’est sûr… Je savais même pas que j'avais des abdos. J'ai mal à des endroits où y a pas de muscles... »

Et, comme pour lui renvoyer la balle dans la figure, ricana nerveusement.

« T’as vu, finalement, ils ont pas trop bougé ! » Elle venait de serrer ses seins l’un contre l’autre pour lui prouver qu’elle pouvait très bien se débrouiller sans ces brassières moches de sport. C’était de la pure mauvaise foi, oui.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 09 janvier 2021, 23:36:39
Tous les gymnases ne possèdent pas de douches pour ses membres. Dans certains cas, comme le notre, on peut y trouver des douches pour tout le monde en plus de certaines plus grandes et mieux équipées destinées aux athlètes qui veulent profiter d'un certain confort. Un confort dont on ne jouira pas aujourd'hui car on se contentera d'être traité comme n'importe qui d'autre ici. Le gros plus est que l'endroit est parfaitement entretenu.

On pourrait presque manger à même le sol. Si on n'a aucune manière et des idées étranges. Ou alors qu'on perde un pari. Assez rapidement nous arrivons aux vestiaires et aux douches qui sont logiquement séparés en deux catégories. Fumeurs et... Non, hommes et femmes. Après une très courte réflexion je me dis qu'on sera plus à l'aise chez les femmes.
Un mec trop excité qui nous verrait pourrait laisser son imagination prendre le dessus et s'imaginer que nous rejoindre serait normal. Et on va éviter ça.

- Ouais... Et t'imagines pas encore ce qui va t'attendre demain au réveil. Ce sera bien pire. Et ça te suivra toute la journée, comme un ex dans le déni.

Lorsque sa petite pique est lâchée, je pousse la porte des vestiaires pour l'entraîner gentiment dedans tout en lui répondant en rigolant.

- C'est pas faux. Mais ça peut s'arranger.

Une fois dans la pièce je pose mes mains sur le noeud bien serré au-dessus de son ventre pour le défaire et laisser apparaître une partie de son haut froissée et écrasée. Puis je lui enlève son haut rapidement avant de l'emmener sous la douche avec juste son short sur elle. Sont t-shirt s'envolant pour finir sur un des bancs.

Ici pas besoin de régler la température. Il suffit juste d'enclencher l'allumage en tournant un petit levier qui contrôle l'arrivée d'eau. On put augmenter ou diminuer le débit, c'est tout. Je ne perds pas de temps et commence à faire couler l'eau avant de retourner m'asseoir lentement par terre en tenant un poignet de Kara pour qu'elle fasse pareil. Le sol est froid pour le moment. Offrant une fraîcheur agréable et douce sur notre peau brûlante.

Positionné dans son dos, je commence par poser mes mains sur ses épaules pour les masser doucement. Prenant soin d'appuyer où il faut avec mes pouces à certains endroits. Puis je descends très lentement en laissant mes doigts vagabonder sur sa peau transpirante pour reprendre le massage en bas de son dos et sur ses hanches.

- Ca m'a l'air tendu tout ça. Heureusement que je t'ai amené ici pour te détendre.

Après quelques minutes à remonter sur ses épaules pour redescendre sur ses reins en alternant régulièrement entre les deux, je pose mes lèvres sur sa nuque pour embrasser sa peau encore salée malgré l'eau qui coule sur nos deux corps pendant que mes mains remontent sur son ventre pour venir jouer avec sa grosse poitrine dont les pointes semblent déjà dressés telles les armes de soldats parés à partir au front.

- Ou alors tu préfères ce genre de massage.

Je commence par laisser mes mains les caresser sur toute leur surface. Faut dire qu'il y a de quoi s'occuper pour un bon moment. Puis je change stratégie pour les pincer et les presser un peu plus fort en lui posant une question.

- T'aimes mieux quand on les caresse ou quand on les prend bien en main ? Comme ça !

Mes mains mettent légèrement plus de poigne dans le malaxage de cette paire de nichons moelleux que je commence à bien connaître désormais. Je sais qu'elle est plus sensible que la majorité à ce niveau et je suis curieux de vérifier à quel point.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 10 janvier 2021, 12:36:24
Le massage est salvateur, Kara se détend instantanément et tout son corps devient plus mou dès qu’elle sent les doigts de Souta rouler sur ses muscles brûlants. Elle ne savait même pas qu’on pouvait avoir mal à ces endroits-là. Elle acquiesce quand il fait remarquer comme elle est tendue encore… Et rit un peu.

« Le sport ça détend ? »

Mais rapidement, les mains de son coach glissent de ses épaules à ses reins, et remontent le long de son ventre jusqu’à sa poitrine. La température de la pièce semble grimper d’un cran, en une seconde, dans l’esprit de Kara. Elle a déjà des sueurs froides, c’est presque instantané, et Souta a dû s’en rendre compte.

En frissonnant, elle ferme légèrement les yeux pour profiter des caresses douces qui l’électrisent et rendent sa respiration plus bruyante.

« Ah… oui. Ce genre de massage… »

L’eau aurait pu être froide qu’elle ne s’en serait même plus soucié. Tout avait un peu disparu autour d’elle, dans son esprit désormais embrouillé après cette séance intense de mouvements, et la tension qui revenait d’un bond pour parcourir son corps. Elle tressauta dans une décharge électrique dès que ses doigts pincèrent pour contraster avec les effleurements délicats précédents.

Tout près de son oreille, la voix de Souta la transporte loin, ses attentions sont vraiment vraiment délicieuses, elle se sent défaillir rapidement, malgré le lieu.

« Tu fais monter la tension comme ça… » Kara remonta ses mains pour les placer sur celles de son professeur lui imposant un rythme lent et presque tendre sur l’ensemble de la surface chaude. Puis elle impulsa plus d’intensité dans ses mouvements, gémissant en basculant la tête en arrière pour poser son crâne contre son épaule.

« … Et plus fort. Encore. »

Elle miaulait presque, son bassin ondulant légèrement avec un instinct bien rôdé. Ses mains quittèrent les siennes pour le laisser faire, mais vinrent se poser sur les jambes de son coach d’un jour, c’était trop bon pour ne pas s’accrocher à quelque chose de puissant.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 10 janvier 2021, 13:03:54
Qu'est-ce qu'on est bien ici, maintenant. Coupé de tout et de tout le monde dans cette pièce qui doit voir circuler des personnes par groupes entiers en temps normal. On ne pourrait d'ailleurs pas faire plus simple qu'une douche pour s'isoler et voir le temps s'arrêter pour quelques instants.

Quand elle s'appuie sur mon torse en collant sa tête sur mon épaule je sens comme un chatouillement dans un premier temps à cause de ses cheveux. Un geste anodin qui me procure une sensation si banale quand on y pense, mais si délicate et agréable. Le haut de mon bras gauche se trouve sous son dos sans y voir aucune gêne dans la poursuite de cette séance de massage sensuelle.

A sa demande je mets plus de force dans mes doigts qui ne font pas que malaxer sa poitrine comme le ferait un puceau obnubilé par sa première grosse poitrine. Non, je préfère appuyer délicatement mais fermement tout en effectuant des gestes circulaires qui suivent un même schéma.  En commençant par partir de l'extérieur pour revenir vers l'intérieur.

- Tes seins sont vraiment parfaits.

La phrase lui est glissé doucement à l'oreille. Surtout que je le pense vraiment. Chaque femme est différente et il faut savoir en prendre compte. Me sentir respirer fort près d'elle semble lui faire aussi de l'effet. En tout cas je continue sur ma lancée en venant cette fois presser ses seins l'un contre l'autre en enfonçant légèrement mes doigts dans la chair tendre de sa poitrine.

- Ils sont si doux... Et assez moelleux pour que je peux les masser comme je veux en y plongeant mes doigts comme ça. Je pourrais faire ça durant des heures sans jamais m'ennuyer.

Je me décale ensuite de quelques centimètres pour me dégager et parvenir à me mettre dans une position qui me permet d'être en mesure de l'embrasser si elle tourne la tête dans ma direction. Ce que je lui demande de faire une fois qu'on est bien calé tout en m'attaquant à ses mamelons avec toujours autant de délicatesse.

- Regarde-moi.

Bon, je joue surtout sur l'effet de surprise en me penchant légèrement vers elle pour lui voler un premier baiser sans l'avertir à l'avance. Je pars même chercher sa langue immédiatement tout en poursuivant mon massage qui revient sur la totalité de sa poitrine. Mes mains n'ont plus de cible précise. Elles jouent avec tout ce qui est à leur portée.
Une minute, deux, trois... Ma bouche ne quitte plus la sienne jusqu'à ce que le manque d'air ne m'y oblige. Laissant apparaître un long et épais filet de salive rompu par l'eau. Le fait d'avoir mes cheveux collés sur les yeux ne me dérangeait pas le moins du monde.

- Ca va être dur de tenir, mais il va bien falloir.

Oui, jouer avec elle m'a forcément excité. Plus que je l'avais prévu d'ailleurs. Il y a de l'action sous mes fringues et je suis tenté de céder à la tentation. Mais d'un autre côté je sais que la suite sera bien plus amusante et excitante.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 10 janvier 2021, 20:55:30
Souta est réceptif à ses instructions et elle le sent clairement prendre son temps et un plaisir certain à la caresser, gardant un moment sa tête contre son épaule en gémissant légèrement. Elle essaye de ne pas trop couiner, mais n’a jamais été très douée pour se retenir et gérer la frustration, Souta l’a déjà remarqué…

Quand il parle, sa voix vrombit dans son tympan et elle sent des frissons parcourir son échine, des frissons brûlants, d’autant qu’il n’est pas avare de compliments… En temps normal, Kara ne sait jamais comment les accueillir et rétorque assez souvent des insultes quand on se montrer trop gentil avec elle, ne sachant pas comment réagir. Mais dans l’état de transe où elle se trouve, l’excitation monte d’un cran, le plaisir la rend plus magnanime.

« Hmmm… Souta… »

Elle aimerait bien lui répondre quelque chose d’aussi sympa, mais sa gorge est sèche et elle n’arrive pas à mobiliser assez de cerveau pour y réfléchir clairement. Ses cuisses se serrent et elle se contracte, son entre-jambe est en feu, mais il détourne une seconde son attention en lui volant un baiser.

C’est divin, Kara se contorsionne autant qu’elle peut pour approfondir leur étreinte, elle l’embrasse avec une passion soudaine, sa bouche et la langue aussi inquisitrice la rendent folle, d’autant que ses mains ne sont pas en reste.

Elle étouffe mais s’en fiche, et lorsqu’il se détache d’elle en manque d’air, la jeune femme lève la main maladroitement pour glisser ses doigts sur sa joue, l’obligeant à revenir l’embrasser dès qu’il a fini de parler. Dans le bas de son dos, elle sent parfaitement combien il est lui aussi excité par cette situation et c’est assez normal… Peu d’hommes peuvent rester de marbre lorsqu’ils ont entre les mains une paire de seins.

Presqu’à contre-cœur, Kara lui rend ses lèvres et se penche en avant pour que ses doigts s’accrochent dans un dernier espoir à sa poitrine, avant de pouvoir se tourner, à quatre pattes, et lui faire face. Un mélange de désir bouillant et de plaisir extatique imprègne son regard quand elle le plonge dans les yeux d’ambre de son professeur.

« Tu vas me rendre folle… »

Son murmure est presque étouffé par le bruit de l’eau, et elle se dresse pour venir se coller à lui, marchant sur ses genoux jusqu’à présenter juste sous son nez ses deux seins luisants déjà marqués par ses mains. Elle va jusqu’à plisser ses yeux en amande de manière malicieuse pour l’encourager, et de ses mains soulève sa poitrine lourde jusqu’à son menton.

« Encore… coach. »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 10 janvier 2021, 21:29:32
Inutile de mentir en racontant que les gestes et les formes d'une femme à moitié nue ne m'excitent pas davantage. Pourtant dans le cas présent c'est surtout son regard perçant et plein de luxure qui me donne envie de poursuivre et de faire tout ce qu'elle me demande. Ses cheveux trempés qu'elle ne prend pas la peine de repousser de ses doigts tellement son attention est portée sur moi et que son propre désir est plus important que tout le reste.
Un peu à l'image de tout à l'heure quand elle donnait des coups. Une fois que Kara se lâche il est pratiquement impossible de la pousser à s'arrêter. Et où serait l'intérêt de faire une connerie pareille ?

Elle pousse même le vice jusqu'à soulever sa lourde poitrine pour me la donner en offrande. Nos regards sont plongés l'un dans l'autre et je ne romps pas le contact alors que mes lèvres viennent se poser  dans un premier temps sur la partie supérieure de sa poitrine pour déposer un baiser. Puis un second et un troisième plus baveux avant de passer à l'autre sein en prenant soin de ne pas les toucher. Je veux qu'elle garde cette position quelques instants encore.

Son corps tremble quand j'aspire légèrement sur sa peau sensible et déjà plus douce maintenant que l'eau a fait son travail en évacuant une bonne partie de sa transpiration. J'en profite donc pour laisser ma langue vagabonder sur sa poitrine sans véritable but en dehors de celui de la faire languir un maximum.

Une langue qui vient rompre le contact de sa peau pour revenir chercher ses lèvres pendant que je lui tiens le visage de la main droite. Le baiser en question se veut bien plus bâclé et baveux que le précédent.

J'en profite pour lui saisir la poitrine de mes deux mains pour dégager les siennes et apporter ses deux mamelons en même temps entre mes lèvres. Ses petites pointes durcies finissent rapidement par sentir le contact de ma langue alors que ma bouche alterne entre aspirations et léchages habiles en faisant volontairement un maximum de bruit.

- Srrrrrrrrrrrrp ! Pwaaaaaa !

Le son qui accompagne la libération baveuse de ses tétons est tout aussi vulgaire que bruyante. Ma respiration se fait logiquement plus lourde car je tire sur mes poumons entre mes attentions sur son corps et l'eau qui ne me facilite pas la chose pour mieux respirer. Quelques gouttes me rentrent dans la gorge ou les narines ici et là après tout. Mais ce n'est pas une raison pour abandonner ce véritable festin.

- Tu vas devoir...

Ma main empoigne son sein gauche alors que j'entame ma phrase en respirant fort au contact de sa peau qui n'est qu'à quelques millimètres de mon visage. Phrase interrompue par ma langue qui se tend pour venir donner quelques coups et léchouilles sur son mamelon sensible pendant une quinzaine de secondes.

- ... me laisser les masser tous les jours...

Même chose mais sur sa soeur jumelle maintenant. De façon plus appuyée quand je termine par une forte aspiration qui fait s'étendre son sein dans ma direction pour le remettre à sa place tel un élastique quand je le recrache.

- ... à partir d'aujourd'hui. Car je vais plus pouvoir passer une journée sans cette poitrine parfaite.

Je me remets alors à l'embrasser en venant placer mes mains sur ses fesses et son dos pour la plaquer encore plus fort contre moi en espérant que le tissu de mon t-shirt n'irrite pas trop sa peau. La chaleur de son corps qui se mélange à la mienne, nos cheveux qui s'entremêlent sur nos deux visages. Je sens mon coeur battre à cent à l'heure et l'excitation monter en flèche au point de me demander si mon boxer ne va pas se trouer d'une seconde à l'autre.
Il faut que je calme le jeu, d'une façon ou d'une autre.

- On dirait que t'es plus détendue. Ca en fait au moins une sur deux.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 11 janvier 2021, 20:46:59
Qu’est-ce qu’il est doué… Qu’est-ce que c’est bon…
Souta semble parfaitement savoir y faire avec elle, la laissant pantoise et frémissante de plaisir. Chacune de ses caresses, chaque coup de langue, à chaque succion de ses lèvres divines sur sa peau si sensible était une explosion enflammée qui lui donnait des sueurs froides, à descendre des tempes pour rouler sur la nuque et glisser le long de sa colonne vertébrale pour l’obliger à se dandiner avec envie.

C’est instinctif, elle n’y peut rien après tout ! Son professeur d’un jour est bien trop attentif à ses mouvements et ses réactions, il s’adapte à merveille, anticipe ses sensations pour les décupler et appuyer pile où il faut au bon moment.

Dans sa tête, c’est un feu d’artifices, d’autant plus que Souta a l’air d’avoir parfaitement bien capté qu’elle était assez réceptive. L’une de ses mains vint se faufiler dans ses cheveux mouillés avec ardeur, pour l’encourager.

Oh, ses paroles la font vibrer, autant que d’alterner avec une stratégie imparable entre les murmures et ses attentions appuyées sur ses seins qui subissent avec délice leur torture. Kara laisse sa tête basculer en arrière et ne peut s’empêcher de glousser comme une midinette. C’est carrément mignon ce qu’il lui dit, à croire que depuis le début, pour être sympa, il suffisait de lui faire lécher ses tétons !

Tous les jours ? oh, tous les jours ce traitement de faveur !

« Hmmmm… Tous les jours … ?! »

Elle se met à rire alors, pendant que Souta la ramène à lui pour l’embrasser et la serrer encore plus contre lui. Son corps est chaud, l’eau produit un son bizarre, créée comme une bulle autour d’eux. Kara se sent vraiment bien, là, maintenant. Vraiment. Plus de problème. Plus de stress.

Sa bouche s’ouvre pour venir caresser sa langue et son baiser s’intensifie, elle lui mord légèrement la lèvre inférieure, ricane en plissant les yeux quand il se décroche d’elle, et penche la tête sur le côté à sa remarque. Il a l’air de vouloir faire retomber la tension sexuelle qui les lie fatalement, quoi qu’ils fassent.

« Han, ouais. »

Elle baisse les yeux alors pour constater par elle-même l’étendue des dégâts plus bas, entre ses jambes, et confirmer qu’il parlait bien de cela… Son sourire se transforme en rire jovial. Naturel. Pas moqueur, juste … instinctif et sans fard. Kara s’amuse, elle se sent bien, il n’y a plus de pression…

« Ca peut s’arranger ça, tu sais… T’as pas un petit endroit plus intime ? Tu devrais me baiser. »

Elle avait parlé tellement naturellement qu’elle ne se rendait pas compte des énormités qu’elle sortait, venant ponctuer sa phrase d’un baiser sonore qui claqua sur sa joue en cillant.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 11 janvier 2021, 21:19:12
Cette séance de massage prolongée pourrait déraper à tout moment. Surtout vu l'état d'excitation dans lequel je suis alors qu'elle me propose directement de passer à l'étape supérieure. Sa suggestion est aussi soudaine qu'excitante. Des images bien salaces de ce que j'ai envie de lui faire m’inonde l'esprit alors que mes doigts viennent se resserrer sur son petit short.

- Si je m'écoutais je te prendrais ici et maintenant.

Dans le prolongement de mon geste précédent je viens faire frotter ma bosse contre son bas ventre. Tout doucement, qu'elle puisse sentir la chose qui est prisonnière en dessous pulser. Dure comme elle ne l'a rarement été.

- Mais ce serait con de pas profiter de la surprise que j'ai réservé pour l'occasion.

Mes deux mains sur ses fesses, je me redresse comme je peux en m'appuyer contre le mur de la douche tout en l'emportant avec moi. Nos lèvres revenant danser de façon sensuelle et vulgaire dans un échange de salive encore plus prononcé que les précédents. Je vais même jusqu'à lui offrir ma langue pour qu'elle la suce avec ses lèvres douces et sucrées.

Toujours accrochés l'un à l'autre, nous quittons tranquillement les douches pour nous retrouver dans les vestiaires quand je la repose comme je peux au sol. M'éloigner est compliqué car l'attirance entre nos deux corps devient de plus en plus forte à chaque fois qu'on se lance dans ces échanges.

C'est là qu'une inconnue pousse la porte et nous surprend avant de se fondre en excuse, le visage tout rouge. Nous encourageant même à continuer en faisant comme si elle n'était pas là alors qu'elle fille dans les douches avec sa serviette.

- Oups...

Amusé pour la scène je me mets à rigoler avant d'échanger un dernier baiser avec Kara pour filer. Cette surprise aura au moins eu pour effet de me forcer à aller de l'avant et retourner dans les vestiaires pour hommes me sécher et me changer rapidement.

- Je t'attends devant.

La phrase est courte et précise alors que je sors faire ce qu'il faut pour finir par l'attendre dehors sur le parking du gymnase où j'avais garé la voiture plus tôt. Toutes mes fringues mouillées finissent dans un sac plastique qui, à son tour, termine dans mon sac de sport.
Heureusement cette courte séparation m'aide à me calmer et me détendre car ça aurait été assez étrange de me balader dehors avec la trique.

Assis au volant de la voiture je l'attends tranquillement et démarre à la seconde où elle enfile sa ceinture. Direction un hôtel plutôt classe qui est à 5 minutes de là. A croire qu'il a été érigé à cet endroit dans un but bien précis. Une sorte de seconde salle de sport pour des pratiques plus poussées et intimes.

Je ne semble pas être le seul à vouloir arriver au plus vite à destination en tout cas. Même avec le volant entre les mains je peux encore sentir le contact de sa peau sur mes doigts. Le feu qui brûle en moi ne s'est pas calmé une seule seconde.

En arrivant dans le parking sous-terrain de l'hôtel je bondis hors de la voiture et l'attire avec moi en direction de l'ascenseur en verrouillant la bagnole pendant qu'on s'éloigne. Alors que les portes de celui-ci s'ouvre, je relance la machine en revenant l'embrasser fougueusement tout en venant la plaquer contre un des murs de l'appareil en appuyant sur le bouton de l'étage où se trouve la suite que j'ai réservé. J'ai décidé de faire les choses en grand pour l'occasion. L'espace ne sera pas un problème pour ce qui va suivre.

- Hmmmmnnn !

Les bruits de succion et de respiration se mettent à remplir rapidement la petite zone dans laquelle on se trouve. J'espère que personne ne viendra nous déranger sur le chemin.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mardi 12 janvier 2021, 21:07:51
L’attendre devant ? Une surprise ?
Kara était restée bloquée quelques instants lorsque Souta l’avait quittée en pleine passion, devenue rouge dès qu’elle avait entendu l’intrusion les ayant surpris dans une position embarrassante.

Elle avait stressé d’un coup, et cela avait un peu fait retomber son excitation, mais très vite la perspective de cette surprise qui l’attendait et la vision des petites fesses bien dessinées de Souta qui s’éloignaient la ragaillardirent.

Elle s’était alors changée le plus vite possible, ce qui n’était pas des plus faciles, avec maladresse et un short vraiment trempé. Par les douches. Elle enfila son jean et le débardeur qu’elle avait jadis prévu de porter pour faire du sport, n’en déplaise à son coach ! Un ridicule petit miroir de poche lui permet de constater à quel point ses cheveux étaient ébouriffés et trempés, et son visage bizarrement marqué, après les efforts et le réconfort qui allait avec.

Pourtant, il faudrait bien se contenter de cela, et elle sortit enfin après peu de temps, il fallait l’avouer. Elle s’était dépêchée, impatiente de savoir ce que lui réservait Souta, et dans la voiture, ne put s’empêcher de le questionner.

« On va où ? C’est loin ? On va chez toi ? C’est une surprise qui coûte cher ? Est-ce que ça se mange ? »

Elle lui tira la langue dès qu’il refusa de lui dire quoi que ce soit, et dû donc patienter, ce qui c’était pas son fort… Malicieuse, Kara tenta même de l’amadouer en tirant sur son décolleté, pour le perturber, mais Souta avait l’air concentré. Quel menteur, elle voyait dans son regard un brasier… Il roulait vite, était-il pressé lui aussi ?

Ses yeux s’écarquillent en voyant le grand bâtiment, quand elle comprend qu’il prend la direction du parking. Oh merde ! Elle connait cet hôtel de réputation, c’est pas un vulgaire B&B ! Totalement subjuguée par avance à ce qu’elle se prépare à voir, et vivre sans doute, la jeune femme court presque derrière Souta qui l’entraîne avec impatience jusque dans l’ascenseur.

Son professeur est torride, et les portes n’ont même pas le temps de complètement se refermer qu’il lui saute dessus. Le dos contre la parois froide, Kara glisse ses mains le long de ses côtes pour descendre sur ses fesses musclées et le serrer contre son bassin. Il l’enflamme à nouveau si vite qu’elle manque d’air, il fait aussi chaud dans la cage en métal que dans les douches, c’est pas possible.

« Merde, Souta, tu me sors le grand jeu ?! »

Elle ronronne contre sa bouche, mordille ses lèvres pour les aspirer et ricaner contre sa peau. Comment un mec aussi nonchalant peut se montrer ce soir aussi attentionné ? Chaque jour il est différent, c’est tellement perturbant. Et pourtant, Kara se sent irrésistiblement attirée par lui, quoi qu’il arrive. Il la perturbe, oui.

Ses mains remontent assez pour pouvoir glisser sous l’élastique de son boxer, et caresser sa peau, elle le sent se contracter à son contact et frémit à son tour. Il a un cul vraiment divin… Ca a du bon de coucher avec des sportifs, finalement.

Continuant de l’embrasser avec une fougue de plus en plus assoiffée, Kara lève un œil pour voir à quel étage ils sont censés s’arrêter, estimant si elle a le temps de se laisser brûler ou s’il convient d’avoir l’air presque respectable en sortant… Malheureusement pour eux, ils arrivent bientôt, et elle relève délicatement ses mains jusqu’à lui rendre ce postérieur provoquant et continuer cependant jusqu’à son dos pour s’y accrocher.

« Pourquoi tu fais tout ça ? »

Souffle-t-elle alors que la secousse et le bip distinctif indiquent qu’ils ne vont pas tarder à voir les portes s’ouvrir. Elle tourne les yeux vers le cadran lumineux et sursaute. Merde, c’est pas leur étage ça ! D’un coup, elle pousse Souta et se place à côté de lui, se recoiffant.

Un homme d’affaire très élégant et hautain entre alors, sa main où trône une chevalière brillante est posée sur la taille d’une jeune fille qui doit être au mieux majeur. Sa tenue est terriblement courte, et le sourire qu’elle décoche à Souta est à tomber. Immédiatement, Kara se raidit, assez honteuse qu’on sache juste à les voir qu’ils étaient à la limite de baiser dans l’ascenseur quelques secondes avant, et plutôt mal à l’aise par cette vision dérangeante.

L’homme ressemble à un mafieux, elle échange un regard avec Souta comme si elle s’attendait à ce qu’ils se connaissent. Si c’est le cas, le caïd n’en montre rien, entre avec sa poule, ne s’excuse pas quand il pousse légèrement la jeune femme aux cheveux encore mouillés et emmêlés. Mais à vrai dire, elle n’ose pas non plus lui faire remarquer qu’il est quand même un gros connard malpoli… Ce mec fait peur, il est carré, et il appuie sur l’étage au-dessous du leur.

Pinçant les lèvres, la respiration encore haletante d’excitation qu’elle tente de cacher, Kara lance un regard à Souta.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mardi 12 janvier 2021, 22:04:29
- "Pourquoi" ? J'ai besoin d'une raison ?

C'est vrai en même temps. On peut très bien faire quelque chose par envie, sur un coup de tête. Et pour le cas actuel j'avais juste envie. C'est aussi simple que ça. Et la situation est sur le point d'évoluer contre toute attente.

Tout le monde dit souvent que parler d'une chose ou penser qu'elle risque de se produire à de grande chances d'attirer la malchance. C'est ce qui nous arrive quand l'ascenseur s'arrête quelques secondes plus tard pour voir un couple assez particulier y entrer.

Kara se précipite pour me pousser et se rendre présentable aux yeux de deux parfaits inconnus. Pour elle seulement. La scène est assez amusante de mon point de vue et je ne peux m'empêcher de ricaner légèrement quand celle qui m'accompagne se tourne dans ma direction, toute gênée.

Je relève le visage pour regarder la femme aux cheveux verts clairs et engage la conversation.

- Je savais pas que tu trainais encore avec les simples mortels, Jess.
- Qu'est-ce que tu veux ? Quand on s'ennuie...
- Et toi aussi, Nathan.
- Oooh, je reconnais cette voix.
- Ouais, c'est celle de l'idiot qui a fait perdre un petit paquet à Nitro.
- Ah ah ah, je devrais le remercier. Le pauvre ne s'en est toujours pas remis.


Nathan est un marchand d'arts et un collectionneur à ses heures. Tandis que Jessica est une des maîtresse de l'homme à l'âge légèrement avancé et à la particularité physique assez spéciale. La situation actuelle me donne une idée assez saugrenue et je crois, à la lueur dans son regard, que Jess a la même.
La jeune femme tire légèrement sur le bras de son amant pour le tirer vers elle et le faire se tourner de quelques degrés sur le côté en soulevant son haut tout en nous regardant.

De mon côté j'en fais presque de même en amenant Kara vers moi tout en me mettant à glisser une main sous son haut pour caresser sa poitrine alors qu'elle se retrouve le visage face au couple qui est venu nous interrompre. Je lui glisse rapidement à l'oreille de quoi la rassurer.

- Il est aveugle, t'en fais pas.

Ma main se lance alors dans une petite exploration sous son haut et sa poitrine toujours aussi douce et sans protection. A croise qu'elle n'a pas jugée utile de prendre un soutif avec elle vu que ça n'aurait été qu'une perte de temps inutile. Le fait de savoir que quelqu'un est présent et pourrait la voir doit la perturber. Vu la non réaction de Nathan, elle sait que je dis la vérité. Mais cela doit forcément la travailler intérieurement.

Malheureusement le petit jeu ne sera que de courte durée vu que l'ascenseur s'arrête rapidement à notre étage.

- Oups, on dirait que c'est là que vous descendez. Essayez de pas faire trop de bruit.
- On n'en fera jamais autant que toi.
- Pardon d'être un femme passionnée.
- Ah, c'est comme ça qu'on dit de nos jours ?


Les portes se referment aussitôt et je me tourne vers Kara en la poussant contre le premier mur à portée en lui souriant.

- Désolé, j'ai pas pu m'en empêcher. T'étais tellement sexy... Et ce genre de truc se produit jamais.

Je reviens alors l'embrasser en posant mes mains sur ses hanches pour le tirer dans ma direction en partant vers la porte de notre suite. Cette interlude ne devrait pas la gêner trop longtemps avant de relancer son moteur. C'est pourquoi je la garde contre moi jusqu'à ce qu'on arrive devant la grande porte en métal et sa serrure magnétique dans laquelle je glisse la clé pour découvrir une suite immense et radieuse.

Mes lèvres quittent les siennes le temps qu'elle puisse admirer l'endroit. Dans son dos je plie mes bras autour de son ventre en approchant ma bouche de son oreille sur la droite.

- C'est assez intime pour toi ? Car je compte bien te faire visiter... et te baiser dans chaque pièce comme tu me l'as demandé.

Je tire alors sur son haut immédiatement ma phrase terminée pour ensuite glisser une main entre ses cuisses. Pourquoi elle serait la seule à visiter ce que j'ai sous mes fringues après tout ? La petite coquine ne s'était pas privée pendant qu'on montait les étages.

- On est tous seuls ici, alors inutile de te retenir. Dis-moi de quoi t'as envie. Je veux te l'entendre dire avec tes propres mots.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 13 janvier 2021, 15:03:54
Dès que les portes se referment pour les isoler à nouveau de ce drôle de couple, Kara a envie de coller une mémorable baffe à ce petit con de Souta. Pas pu s’en empêcher ? Il aurait pu lui demander son avis, tout de même, avant de la tripoter devant des gens. Oui, d’accord, l’un d’eux est aveugle, mais l’autre ? Et en plus, cette jeune femme vraiment très belle a l’air d’être une amie à lui. Assez perturbée, Kara allait râler lorsque le baiser passionné adoucit largement son trouble.

Pas facile de se déplacer en se roulant des pelles, elle tente de se laisser aller, mais l’épisode de l’ascenseur est encore bien présent. Le spectacle de la Suite que Souta a loué suffit pourtant, en un quart de seconde, à la laisser bouche-bée. C’est comme dans les films… Elle n’a évidemment jamais eu les moyens de se payer une nuit dans un hôtel de luxe, et en prend plein la vue. C’est démentiel.

Un sourire admiratif ne peut quitter ses lèvres alors que son professeur d’un jour vient lui susurrer à l’oreille quelques mots qui électrisent ses sens, un frisson la parcourant immédiatement.

Les mots crus qu’il vient d’utiliser, elle se souvient les avoir prononcés et a presque honte d’avoir été aussi vulgaire et franche, mais elle devine combien elle peut être naturelle lorsqu’elle est excitée, avec le temps. Pendant qu’il s’assure qu’elle ne soit pas encombrée par son débardeur, Kara gémit déjà… « Intime… ouais… mieux qu’un ascenseur… »

Elle pince les lèvres en frémissant d’impatience à peine a-t-il glissé sa main entre ses cuisses, se contractant par réflexe, puis se détendant derechef pour les écarter. Ses yeux cherchent les siens, lisent le désir qu’il ressent et elle s’enflamme.

« Ce dont j’ai envie ? »

Un sourcil taquin semble se redresser, Kara enlève son jean en perturbant l’inquisitrice exploration des mains de son coach personnel, le pousse quelques instant pour pouvoir retirer son jean à la hâte. Elle peste même lorsque ça bloque au niveau des talons, foutus slim.

Jambes nues, elle se tourne un peu à droite et à gauche comme si elle cherchait quelque chose… En réalité, elle veut un endroit où poser ses petites fesses, qu’elle trouve facilement, puisque la première partie de la suite de luxe est constitué d’une sorte de salon bureau, surement pour ces riches hommes d’affaires qui viennent ‘travailler’ ici… Ses mains enserrent les poignets de Souta pour le tirer à elle, l’embrassant en rigolant un peu, parce qu’elle a légèrement froid, puis en tirer jusqu’au bureau.

Elle retire doucement sa culotte en essayant d’être sexy, mais l’effeuillage est une science qu’elle ne maîtrise pas du tout. Pour quoi faire après tout, qui voulez-vous qu’elle impressionne en temps normal ? Le verre du meuble est super glacé. Elle y pose juste un bout de fesse en grimaçant, et écarte les jambes largement, revenant emprisonner les mains de Souta, pour en coller une sur son intimité sans prévenir.

« Je veux tes doigts, là. » Accompagnant sa paume contre sa peau déjà humide et chaude, Kara lui impose une caresse lente, parce qu’on les connait les petits malins trop empressés… Enfin, elle fait remonter ses doigts jusqu’à son clitoris et frissonne en ronronnant.

« . » Répète-t-elle comme si c’était utile, ou juste pour avoir une excuse à un gémissement.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le jeudi 14 janvier 2021, 07:35:17
Amusé je la suis sans broncher pendant qu'elle retire le reste de ses fringues tout en me tirant vers un meuble sur lequel elle se pose en écartant les cuisses. La main qu'elle tient entre en contact avec une vulve déjà humide et prête à l'emploi. Mais pourquoi se précipiter quand on peut jouer un peu avant ? L'attente rend la chose plus excitante après tout.

Histoire de pimenter le jeu davantage je la laisse remonter et lui pose une question quand mes doigts titillent son clito déjà bien gonflé et clairement sensible.

- Là ? C'est où là ? Je dois toucher quoi exactement ? Faut me le dire plus précisément.

Je me penche en avant vers son visage pour donner un coup de langue sur ses lèvres dans un premier temps. La seconde suivante j'ouvre la bouche pour lui offrir cette même langue tout en utilisant le bout de plusieurs doigts pour caresser doucement son clitoris. Allant même jusqu'à le coincer entre eux par moments pour voir ses réactions.

- Tu veux que je joue avec ton clito ?

La question posée, je change rapidement de cible pour lui en poser une suivante. Mes doigts se glissent sur toute la longueur contre ses lèvres intimes qui commencent à baver dessus. Sans les pénétrer. Je me contente de jouer pour le moment.
Ma bouche s'éloigne de la sienne, de quelques centimètres  seulement. De quoi laisser le souffle de mon haleine venir s'écraser sur ses lèvres alors que je lui pose une seconde question en la fixant du regard tout en souriant.

- Ou avec les lèvres de ta petite chatte ? Voir...

Tout en terminer ma phrase je lâche un soupir exprès alors qu'une phalange de mon majeur s'insère en en elle sans aller très loin. Ceci dit, mon doigt ne se gêne pas pour remuer un peu. Mon pouce venant même le suppléer en repartant à la charge sur son petit bouton.

Je l'observe en éloignant mon visage du sien pendant quelques minutes en gardant un grand sourire amusé. L'excitation dans son regard est évidente.

- Et si je fais ça ?

Là, je me tourne légèrement pour pouvoir user de mes deux mains. Puis je me penche de nouveau sur elle. Non, je plonge, tel un aigle sur sa proie. D'abord avec une feinte. Oui, je fais semblant de venir l'embrasser pour déposer un baiser dans son cou et descendre rapidement sur sa poitrine sur laquelle je bave en laissant ma langue tendue la lécher. Sans m'arrêter une seconde.

Jusqu'à arriver entre ses cuisses. Toujours sans m'enfoncer entre ses lèvres, je commence à lécher et sucer son clitoris avec ma bouche pendant qu'une main joue avec sa poitrine et l'autre avec sa vulve. Son bouton m'a l'air déjà gonflé à bloc. A croire qu'elle ne s'est pas calmée depuis la douche. L'attente a probablement exacerbée son envie.

Je continue tranquillement mon office en attendant de voir si elle me demandera autre chose.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 14 janvier 2021, 17:41:54
A peine les doigts de Souta avaient-il commencé à bouger sur les chairs tendres et sensibles de son intimité, que Kara gémissait déjà. Le feu qui l’avait envahie dans les douches avait juste été un peu endormi par l’ascenseur, mais le corps a une très bonne mémoire. La chaleur remonte de ses cuisses jusqu’à sa poitrine, et fait vrombir ses tympans aux mots de son professeur de sport.

Il réclamait des précisions, et la jeune femme se mordit la lèvre, trouvant encore le moyen d’être embarrassée, légèrement, se permettant de retarder le moment où elle devra lui répondre en sentant le bout de sa langue qui lui paru étrangement désirable, d’un coup. Un électrochoc la submergea, un râle rauque venant se briser sur sa bouche.

« Oui ! » Il fallait avouer que sa voix était aigue, alors, se reprenant du mieux qu’elle pouvait, pour espérer paraître moins en fièvre, alors qu’ils avaient à peine commencé à jouer.

« Oui, voilà, tes doigts, passe-les dessus. Plus doucement. Oh. »

La main qui dirige la sienne reste pour la forme, mais Souta contrôle parfaitement la situation, pourtant, elle l’encourage et l’aide à bouger. Kara a à peine le temps d’apprécier qu’il semble avoir une autre idée en tête, la caresse langoureuse descend et se fait suave, insistante, et pourtant juste ce qu’il faut de frustrante…

« Oui… Comme ça… »

Le regard qu’il lui offre est clairement espiègle, il s’amuse, ce petit enfoiré, et il doit voir comme elle fond sous ses doigts, se dandine, frissonne, est réceptive au moindre changement et effleurement… Pire, elle a l’impression qu’il l’analyse : qu’est ce que cela fait si j’appuie ici ? Et là ? Kara souffle fort, son bassin accompagne ses attentions au millimètre.

« Hmmmmph… »

Oh bon dieu, il est entré. Kara se mord la lèvre en lui lançant un regard d’adoration, percevant parfaitement comme il semble apprécier ce petit jeu, mais incapable de lui donner tort, d’autant que son soupir l’a rendu folle de désir. Pourquoi les hommes sont trop souvent silencieux ? L’action conjuguée de ses doigts la fait trembler et lui tire un sourire délicieux, elle veut qu’il continue pour toujours…

Comment ça ‘si je fais ça ?’ Elle se redresse un peu, ne comprenant d’abord pas, piquée par son commentaire, puis tend la bouche pour recevoir un baiser passionné mais… Où part-il ? Elle voulait l’embrasser elle ! Reviens…

« Oh. »

Elle écarquille les yeux en le regardant descendre, elle suit sa langue tracer une marque luisant sur son ventre, son aine. Par anticipation, Kara tremble un peu, consciente déjà de ce qu’elle va ressentir. Impatiente au possible, elle plaque une main dans ses cheveux sans le diriger, trop désireuse qu’il agisse seul cette fois. Elle ne peut détourner son regard de sa tignasse argentée entre ses cuisses, et en sentant sa langue sur ses lèvres, lâche un râle de soulagement.

Contre les joues de Souta, ses cuisses se serrent machinalement et désormais ses doigts parcourent la jungle de ses cheveux encore mouillés, profitant de ses attentions sans plus se retenir, ni de bouger, ni de gémir. C’est si bon elle se baisse s’allonger en arrière, le dos contre la vitre froide du bureau, en ondulant le bassin pour accompagner ses coups de langues.

« Hmmmm Souta…. »

La main dans ses cheveux se fait plus insistante, elle enfonce son visage entre ses cuisses en haletant.

« Enfonce tes doigts à l’intérieur, aller, me fais pas languir. J’ai tellement envie que tu les rentres. Oh, lèche encore oui, là. Là ! »

Sa voix est presque plaintive, comme si elle le suppliait.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 15 janvier 2021, 08:26:09
Les demandes de Kara se font, plus naturellement, même si elles restent un peu gentilles et presque innocentes pour le moment. Ceci étant, je m'exécute sans rechigner et m'attaque à son corps à l'aide de mes doigts et de ma bouche comme elle me l'a demandé avec une voix particulièrement enveloppée d'envie. Mon majeur et mon index viennent explorer de nouveau son antre chaude et humide en s'enfonçant de manière bien plus évidente cette fois. Ma langue, elle, s'acharne sur son clito en venant le laper encore et encore, sans laisser le moindre répit à la petit partie sensible de son corps.
Plus je l'entends gémir et plus j'y vais fort. Aspirant même son bouton gonflé de façon a ce qu'on puisse l'entendre dans les étages voisins.

Je descends encore d'un niveau pour laisser mon pouce stimuler l'ancienne cible de ma bouche pour lécher et sucer ses lèvres intimes alors qu'un troisième doigt vient rejoindre les deux autres. Quand ma langue vient s'amuser avec sa peau sensible, je suis presque surpris de la voir glisser si facilement. Trop facilement même. Kara est visiblement surexcitée vu toute la mouille qui coule d'entre ses cuisses.

Ce petit jeu va continuer encore un peu. Dans un mouvement ample je me redresse en repoussant sa main qui est restée dans mes cheveux pour remonter vers son visage en la doigtant cette fois plus fort. Plus profondément. Grattant et frottant sur les parties sensibles de sa chatte que je commence à mieux connaître.
Une fois arrivé à la hauteur désirée je me mets à la regarder en soupirant bien fort en même temps que mes doigts se plient en elle.

- J'ai envie de te baiser. Là, tout de suite. Mais...

Me revoilà encore à couper mes phrases en les associant à un geste. Mon pouce vient s'écraser sur son clito alors que mes doigts se mettent à l'étirer pour mieux la préparer à la suite tout en s'enfonçant aussi profondément possible en elle. A ce rythme je vais avoir la main recouverte de mouille.

- ... je veux te voir jouir comme une petite cochonne au bout de mes doigts.

A partir de là, je ne retiens plus rien. Ma main s'agite comme si elle était vivante et prête à s'approprier le corps de la pauvre Kara. Mon regard reste plongé dans le sien pendant que je fais exprès de soupirer et gémir face à elle dès que je pousse un peu ou frotte plus fort son bouton avec mon pouce. Je l'encourage même à se lâcher davantage.

- Hmmmm ! Laisse-toi faire ! Personne te jugera ici. Tu peux être aussi salope que tu veux.

La chose continue encore plusieurs minutes, jusqu'à ce qu'elle finisse par jouir. C'est aussi beau qu'excitant de voir une femme en plein orgasme. Et comme le salaud que je suis, je continue de la stimuler avec mes doigts pendant qu'elle se lâche. Histoire de la pousser jusqu'au bout et voir ce que ça donnera.

Merde, ce petit plaisir m'a quand même bien fatigué. Au point de ne presque plus sentir mon bras tant j'ai tiré sur les muscles en les contractant pour m'en servir de sextoys sur elle. Rien de bien alarmant, mais je vais devoir le reposer quelques minutes pour que ça passe.
Enfin, pas avant de ramener ma main trempée vers ma bouche pour m'en lécher les doigts couverts de son jus. Comme on se lècherait les doigts gras après avoir mangé une cuisses de poulet.

Sans rompre le contact visuel j'effectue un pas en arrière pour déboucler ma ceinture tout en retirant mes chaussures. Puis le pantalon vient rejoindre les pompes pour se faire envoyer à quelques mètres par un coup de pied bien maîtrisé. Très rapidement je reviens à ma position initiale pour lui présenter un boxer déformé qui menace de craquer sous la pression de ce qui se trouve en-dessous.

- Tu la veux ?

D'un mouvement lent et maîtrisé à l'aide de mon pouce je tire légèrement sur l'élastique pour lui laisser entrevoir la bête. Je prends tout mon temps pour attirer son attention. Mon désir est de faire grossir le sien. Que ses yeux impriment la chose dans son esprit, que l'odeur qui est libéré du tissu vienne prendre d'assaut ses narines. Le vice est même poussé jusqu'à libérer ma queue pour approcher encore plus mon gland de son nez quand une seconde question arrive.

- Tu veux cette grosse bite ?

J'insiste sur la chose de manière crue et directe pour qu'elle se lâche encore plus. Comme je le lui ait fait remarquer avant, nous sommes seuls ici et j'ai envie de voir comment elle peut devenir si plus rien ne la retient. Après le nez, je m'approche un peu pour frotter mon gland, qui commence à s'humidifier avec le présperme qui en dégouline, sur son menton et sa joue.

- Tu la veux où ? Dans ta petite chatte étroite ? Allez, je veux te l'entendre dire. Sinon...

Je fais semblant de reculer et pars même pour la ranger. Un coup de bluff, mais qui devrait fonctionner vu son état d'excitation.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 15 janvier 2021, 21:48:43
Le feu la dévorait de l’intérieur, il dévastait ses chairs en grignotant chaque parcelle de peau, l’épicentre au cœur de de ses entrailles insufflait un flot croissant qui remontait dans son ventre, irradiait sa colonne vertébrale, engourdissait ses mains. Il brûlait sa gorge devenue aride à force de gémir de plus en plus fort à s’en casser la voix. Il teintait sa peau de rouge, ses pommettes carmin comme deux phares, et faisait bourdonner ses oreilles en entendant les paroles vulgaires de Souta.

Il savait y faire, et surjouait pile comme il fallait pour la pousser dans ses retranchements, elle tremblait sur la vitre glacée du bureau, se convulsant soudain avec violence comme une démente, et hurlant de plaisir en lui tirant les cheveux sans ménagement.

En s’arcboutant et se penchant longuement, les yeux fous, un sourire de furie aux lèvres, elle se laisse soudainement retomber sur le bureau dans un bruit sec, les bras en croix. Son regard fixe le plafond aux jolies moulures, elle est en sueur, elle goutte de partout, son cœur bat trop vite.

Il lui semble que ça dure des heures, tremblante, presque misérable comme une bienheureuse béate, avant qu’elle ne suive des yeux la main de Souta qui quitte son entrejambe et constater son geste obscène. Ça lui arrache un rire sarcastique, ses pupilles se mettant à briller d’une lueur carnassière, quand elle se redresse sur ses coudes en haletant, ruisselante.

Kara penche la tête sur le côté en l’admirant se dénuer presque totalement, elle louche presque sur la belle bosse de son boxer, ses cuisses frémissant en se remettant rapidement des émois de l’extase. Est-ce qu’elle la veut ? Un son guttural ressemble à un râle quand elle se rassoit.

« Oui je la veux. »

Elle confirme évidemment ses pensées, et Souta joue, le pervers, il joue avec elle et ses nerfs, elle suit du regard chaque mouvement théâtral, qu’il maîtrise à merveille. Ça l’agace. Ça l’excite. Il se montre si lent qu’elle reprend de légers mouvements de bassin, comme si son corps le réclamait impérieusement, d’autant que le parfum de sa peau crue lui vrille les sinus. Cette odeur la rend folle, elle a envie de lui arracher ce boxer inutile, mais il semble tout contrôler.

« Oui. Oui je la veux. Je la veux ta bite ! »

S’impatiente Kara alors qu’il jubile, d’autant qu’elle a désormais son gland luisant et chaud tout près de la bouche, qu’elle entrouvre en pensant qu’il s’en approche, et qu’il … Quoi ? Il s’en va ? S’en est trop, la jeune femme se met à genoux sur le bureau et lui saute dessus. Evidemment maladroite, et encore plus sous le coup de l’excitation qui la fait partie en vrille, elle lui tombe lourdement dessus, l’entraîne dans sa chute et fort heureusement, Souta sait parfaitement se réceptionner le dos sur le tapis qui doit coûter une blinde.

Mais peu importe où ils ont atterri, ses mains sont déjà sur l’élastique du sous-vêtement qu’elle tire en faisant crisser les fibres du tissu. Elle n’a heureusement pas assez de force, et surtout pas après l’épuisement de l’orgasme, pour l’arracher, mais le faire glisser, rouler, tout ce qu’on veut mais qu’il descende le long de ses jambes ! Kara est à genoux pour retirer son boxer et en remontant, ses lèvres brulent ses tibias, sa rotule, ses cuisses jusqu’à coller son visage sur son sexe dur et chaud, inspirant au maximum cette effluve fascinante.

« Oh, putain. »

Elle se souvient de ses mots, et même si elle est déjà en train de marcher à quatre pattes au-dessus de lui en croquant la peau qui passe à porter de sa bouche, jusqu’à son menton, Kara paraît tenir à lui répondre, tout bas.

« Je veux ta grosse queue bien profondément dans ma chatte, je veux que tu cries mon nom, et que tu gicles sur mon visage. »

Le regard fou, voyant d’ailleurs flou tellement elle était hors d’elle, elle s’assoit doucement sur son gland en ondulant assez pour qu’il frotte d’abord contre ses chairs trempées, puis plie un peu plus les jambes, appuyée sur son torse, pour qu’il force l’entrée. 
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 16 janvier 2021, 10:30:32
La vache ! Je m'attendais à ce qu'elle soit réceptive. Mais autant ? Non ! Pas aussi rapidement du moins. Surtout que jusque là elle aimait que je prenne mon temps pour la chauffer. La femme que j'ai devant... Au-dessus de moi semble complètement différente. Une tigresse qui veut dévorer sa proie. Mon boxer vole comme son haut un peu plus tôt.
Bien allongé sur ce tapis divinement doux j'admire son regard de braise alors que je m'imagine presque voir de la fumée quitter ses lèvres pendant qu'elle vient me rejoindre. Elle semble perdue entre venir au plus vite ou me dévorer tout entier. Ca m'excite terriblement de la voir comme ça, mais je prends sur moi le temps qu'elle arrive à la bonne hauteur. Me concentrant plutôt sur ses obus qui pendent et se balancent en fonction de ses mouvements tel un pendule.

L'insertion aussi je la lui laisse. L'espace de quelques secondes seulement. Qu'elle croit pouvoir contrôler la chose à son rythme. Mon gland s'abreuve de son propre breuvage le temps d'un instant quand je la regarde en ricanant pour répondre à sa demande. Je relève les hanches d'un coup alors qu'elle entame sa descente pour lui enfoncer de force la moitié de l'objet qu'elle convoitait tant.

Je l'amène ensuite vers moi en glissant une main dans son dos. Assez pour pouvoir me remettre à l'embrasser tout en sentant ses gros seins s'écraser et se frotter sur mon torse musclé qui commence à s'humidifier grâce à la transpiration de la belle vendeuse.

Le regard plongé dans le sien dès que nos visages se retrouvent face à l'autre je lui souris avec les yeux remplis de malice et d'envie.

- Voilà ce que je voulais entendre... Kara !

Je venais de retirer ma bite de quelques centimètres en lui racontant ça. Pour finir par lui enfoncer de nouveau mon chibre gonflé pour percer les parois sensibles et humides de sa petite chatte en citant son nom de façon plus vive.
Mon bras reste collé dans son dos tandis que mon autre vient lui foutre une claque sur le cul comme pour s'y agripper et ne plus le lâcher. Il n'y aura aucune retenue de ma part durant cette première manche. Les doigts enfoncés dans les chairs de son petit cul sont là pour la faire remonter et descendre plus facilement et rapidement sur mon sexe au rythme effréné de ses hanches à elle.

Les échanges de salive sont impossibles pour le moment car nos corps remuent dans tous les sens pour s'offrir un plaisir intense et rapide. Par moment je reviens lui claquer le cul comme pour lui faire signe qu'une poussée plus profonde va arriver. Des poussées destinées à l'aider à s'habituer à ce qu'elle s'est déjà prise plusieurs fois déjà.

- Ca va prendre le temps qu'il faudra mais tu te la prendras jusqu'au dernière centimètre, ma belle.

Une nouvelle poussée est accompagnée de cette déclaration faite entre plusieurs gémissements d'excitation. Sportif ou non, les efforts intenses sur de courtes périodes épuiseront même le plus endurant des hommes. La bite logée aux trois-quart dans son trou qui me l'écrase comme on essore un vieux torchon humide pour en libéré toute l'eau qu'il a absorbé, je marque une courte pause pour relever son visage vers moi et l'embrasser. Une langue vivace et désireuse de retrouver la sienne est le déclenchement d'un échange de salive qui finit vite par me dégouliner dessus.

Et là je reprends de plus belle pour la pilonner en la pressant encore plus fort contre moi. On se croirait presque dans les pornos super hard où les deux acteurs veulent en finir au plus vite. Un schéma que l'on semble répéter à chacun de nos rendez-vous coquins. Une première fois assez fougueuse qui permet de se détendre et d'en profiter ensuite.

- Putain ! Kara ! Je...

Nos lèvres de nouveau libres je lui parle avant de m'interrompre moi-même pour nous retourner et la mettre sur le dos. Une main sur sa cuisse que je fais se relever pour la caresser dans le but de me détendre. Mais impossible, je sens la sauce monter et rapidement. La faute à tous ces gémissements et jeux auxquels on s'est adonné plus tôt.

- J'en peux plus... Je vais...

Mes hanches continuent de se mouvoir avec une intensité folle alors que je transpire et gémis de plus fort devant son visage. Chaque soupir me fait limite grincer des dents et l'explosion est vraiment proche. Elle voulait que je lui en foute plein le visage ? Eh ben elle va être servie.
Ma bite continue d'aller et venir. Gonflée, dure, mise au supplice de cet étau tendre et humide, sadique et caressant. Sa chatte m'écrase comme un étau de velours. Chaque visite dans celui-ci est un régal dont j'ai de plus en plus de mal à me passer.

- Kara ! Karaaaaa !

Au bord de l'implosion je me retire pour me placer au-niveau de son ventre. Ma queue au gland violacé et à la tige trempée par le jus de ma partenaire se glisse sans difficulté au creux de ses seins que j'attrape pour me branler quelques secondes seulement avant de commencer à envoyer la purée pâteuse et visqueuse sur son visage.

Je ne m'arrête pas là pour autant. Mes genoux se plient en rassemblant toutes mes forces pour que je puisse me rapprocher de son visage avec un peu de hauteur.

- Urrrrrrgggggh ! Putain ! Reste comme ça !

Les deux premiers jets étaient venus éclabousser son menton et sa bouche essentiellement. Mais en me tenant au-dessus d'elle, je peux lui en foutre partout sur le visage et je ne m'en prive pas. Elle voulait un facial ? Madame est servie.
La main logée sur la base de ma bite, je me branle de façon frénétique en libérant des râles rauques à chaque jet qui s'échappe de mon gland. Ma bite en vient presque à me faire mal tellement je jouis.

Au bout de dix secondes le débit fini par se tarir et je me laisse tomber sur les genoux à côté d'elle. Épuisé pour au moins cinq bonnes minutes. Le gland toujours légèrement fuyant qui laisse couler quelques colonnes de liquide blanc le long de ma hampe toujours dressée et pulsante. Prête à remettre ça, contrairement à mes muscles qui demandent un temps mort.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 16 janvier 2021, 14:22:08
Elle avait eu tout ce qu’elle voulait.
Tout.
Et plus encore, même.

Entendre les gémissements de Souta, et surtout l’entendre se plaindre de ne pas pouvoir se retenir, de ne plus en pouvoir, c’était pour Kara un ravissement qui la faisait exploser de plaisir. L’excitation était telle, qu’elle bougeait sur lui comme une forcenée, dans des mouvements incontrôlables, toujours plus, pourvu qu’il ne puisse plus se retenir de jouir, le mener loin, aussi loin qu’il l’avait amené juste avant !

« Oui… oui, viens ! Viens ! »

Et plus ils s’embrassaient, leurs dents se choquant dans l’étreinte enragée, les mouvements maladroits, brutaux, qui glissaient ou ripaient, plus ils semblaient fusionner. L’entendre souffler son nom l’avait rendu dingue, elle y répondait en hurlant également, se déhanchant et luttant dans une valse endiablée.

Elle avait été tellement prise dans leur transe, qu’elle en avait oublié sa précédente de demande qu’il jouisse sur son visage, et Kara fronça les sourcils en s’apprêtant à l’engueuler, mais il lui suffit de voir son sexe énorme s’approcher de sa poitrine pour lui faire oublier toute hostilité.
Le concert de ses couinements reprit alors, elle accompagne même de ses mains, contre les siennes, le mouvement lourd de ses seins pour donner le coup de grâce à un Souta autant en sueur qu’elle. Au premier jet, surprise, elle ferme un œil et ouvre la bouche par réflexe, un sourire pervers aux lèvres à l’idée de le voir dans cet état.

Tremblante, elle plie bien le cou pour se placer au mieux entre ses cuisses et cille trop vite, à chaque giclée, de petits sursauts la faisant bouger, elle a même l’air de se marrer.

« Je bouge pas, je bouge pas, je bouge pas. »

Lui répond-elle sans réussir à réfléchir à ce qu’elle dit, ou fait, dans un état second. Une main enserre son sexe pour l’aider à continuer de lui en foutre partout, elle sent une coulée sur sa frange déjà collée à son front, et grimace.

Quand elle le sent tremblant et pantelant, dans cet état misérable que sont les hommes après l’orgasme, Kara qui n’a pas l’air en meilleure forme, souillée, dégoûtante, dégoulinante, se redresse sur ses coudes, tourne sur le côté et vient caresser sa joue d’un œil vitreux. Du foutre coule de son visage sur le tapis hors de prix. Elle passe la langue sur ses lèvres qui ont un goût immonde, elle déglutit en souriant.

« J’ai jamais joui comme ça… »

Elle peine à reprendre son souffle, et perçoit nettement ses muscles protester d’autant d’efforts physiques. Impossible pour elle de se lever pour le moment. Mais bon, ils sont bien, là, sur le tapis moelleux.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 16 janvier 2021, 16:25:43
La fatigue est bel et bien présente et risque de faire des ravages sur nos deux corps pour un petit moment encore. En la voyant se tourner et se lécher les lèvres, cela fait trembler ma bite qui est toujours au garde à vous entre mes jambes pliées désormais car je me suis mis sur le cul à même le tapis. Payer le supplément de garantie pour la casse et dégradation était clairement une bonne idée car j'avais le pressentiment que rien ne se déroulerait de façon conventionnelle ici.

Une pause me semble aussi évidente que nécessaire là. Excepté que j'ai envie de continuer, de profiter de la situation au maximum pendant que je le peux. Les mains de chaque côté, presque en arrière, je me crapahute en direction de Kara à l'aide de mes pieds également, tel une araignée ou un pantin désarticulé.

Plusieurs secondes se sont écoulées depuis sa remarque à laquelle je réponds en rigolant avec un sourire pervers au coin des lèvres.

- Et c'est que le début.

Je continue de me rapprocher d'elle pour me mettre ensuite à genoux et me servir de ma bite comme d'un essuie glace improvisé et racle le sperme pour le ramener vers sa bouche dans laquelle je glisse mon gland au passage. C'est pas la première fois qu'elle avale mon sperme vu ce qui s'est passé durant l'épisode du dessert dans la voiture lors de notre soirée shopping.

Et pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Je continue pour gagner quelques centimètres afin de caler mon gland dans le creux de sa joue qui se gonfle sur le léger mouvement de va et vient.

- Ma bite est sale par ta faute, après tout. C'est normal que tu la nettoies.

Ma main gauche vient ensuite se glisser dans une partie pas trop poisseuse de ses cheveux pour guider la chose. Sans forcer un seul instant vu que je souhaite juste en profiter un peu en me détendant. Un premier long soupir s'échappe d'ailleurs rapidement de mes lèvres dès la première insertion.
Il s'agit là que d'un petit jeu car je ne lui fais pas complètement nettoyer ma queue. En grande partie parce qu'elle n'est pas en état. L'autre raison est que je veux prendre mon temps pour avoir une pipe digne de ce nom quand on sera dans la grande baignoire.

Après une trentaine de seconde je ressors mon sexe en partie enduit de salive de ses lèvres pour reculer et retourner à ma place en la regardant.

- On est bons pour une vraie douche cette fois.

Je me relève comme je peux pour me retrouver debout avec le sexe tendu et toujours aussi demandeur d'attention. A croire que je viens de consommer assez de viagra pour tenir une journée entière. Mon regard se fixe sur ma propre queue avant de se tourner vers Kara.

- Regarde dans quel état tu me mets. Va falloir assurer car tu ne ressortiras pas d'ici tant que je bande.

Étrangement, je sens mes forces revenir plus rapidement maintenant que je suis sur mes pieds. Et l'avantage de la douche est que cela nous en rendra encore plus rapidement tout en nous permettant de nous détendre comme tout à l'heure. Surtout que celle d'ici est assez grande pour accueillir trois ou quatre personnes en plus d'avoir deux bancs en marbre pour s'y poser.

Je me baisse très brièvement pour venir la porter et l'emmener avec moi dans la salle de bain. Frottant ma tige pulsante contre ses hanches et son ventre au passage.
Direction la salle de bain pour la suite des festivités.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 17 janvier 2021, 11:09:04
Que le début ? Oh la vache, elle soupire en l’entendant souffler ces quelques mots, d’autant que connaissant désormais un peu Souta, il ne plaisante pas là-dessus. Il est sérieux.

Le visage dégoulinant, Kara accueille son sexe avec un sourire fatigué mais excité, ouvrant la bouche et le léchant peu importe quel fluide pâteux il transporte jusqu’à sa langue. Il ne peut pas s’empêcher de parler de nettoyage, comme lorsqu’ils se trouvaient dans ce parc, mais cette fois, étrangement, cela ne la dérange pas. Les choses ont un peu changé, et il se montre beaucoup moins salopard depuis…

Le suçant consciencieusement, bien que sans doute un peu trop mollement pour en faire une bonne fellation en règle, vu le niveau d’épuisement, Kara se trouve pourtant ragaillardie par ses soupirs. C’est fou, dès qu’il s’exprime ainsi, elle se sent pleine d’énergie.

Le visage crasseux, elle sent goutter le foutre à chaque mouvement, en fermant une paupière parfois pour s’éviter d’en prendre dans l’œil, grimaçant autant qu’elle peut avec une queue dans la bouche, avant d’avoir un répit lorsqu’il se retire. Elle le regarde s’éloigner, les yeux fixés sur cette hampe encore dure… Ce mec est pas humain. Il doit avoir des besoins sexuels vraiment hallucinants… Kara déglutit, mi effrayée, mi excitée.

« Ouais je vois ça… » Elle ricane, la pâte sur son visage commence à sécher par endroit, ça gratte. « Hey, me mets pas la pression, okay, c’est pas de ma faute si t’es un gros pervers. »

Cela aurait pu être un reproche, mais la jeune femme éclate de rire, avant de regretter un peu d’être aussi enthousiaste, quand ses abdos qu’elle pensait ne pas avoir se réveillent sous les contractions de ses muscles.

Quand il se penche vers elle, Kara écarte les bras et l’enlace pour se laisser porter. Tout près de lui, elle colle sa joue dégoûtante contre le sienne en ricanant.

« Oups, pardon, pas fait exprès. »

Comme pour se faire faussement pardonner, un baiser claque immédiatement sur sa mâchoire carrée avec un rire qui trahit qu’elle est fatiguée, mais la malice atteste combien qu’elle détesterait aller dormir maintenant.

« T’aimes bien me porter, toi, hein ? A chaque fois qu’on se voit, je finis dans tes bras comme une princesse. »

Bon, et après, il défonce la Princesse.
Mais c’était sans doute un Conte de Fées bien plus sympa à vivre.

La salle de bain est immense. Elle se demande si elle ne fait pas la taille de son appartement, même… La douche est assez grande pour être un sauna, Kara écarquille les yeux face à autant de luxe, c’est le rêve ! Souta la dépose sur le carrelage luisant, on se voit dedans tellement c’est beau et propre… Et on peut visiblement la suivre à la trace, par petites gouttes. Merde, elle se mord la lèvre, un peu coupable, mais oublie assez vite ce sentiment en voyant l’immense miroir lui renvoyait son reflet.

« Oh merde… » Elle avait l’air…
L’air de ces filles dans les films pornos.
Un mélange de dégoût et d’excitation la gagna et pour éviter de sortir de cette humeur d’ivresse sexuelle, Kara se détourne vite, pour aller ouvrir le jet de la douche. Les jets de la douche, même. Ils sont plusieurs, diverses pressions, diverses directions, et même que le pommeau principal est lumineux. Elle sautille en riant.

« Oh la vache, regarde, mais c’est trop beau ! »

Comme une gamine, elle sautille jusqu’à Souta et l’embrasse, furtivement, pour lui souffler en plissant les yeux. « Merci. Merci pour cette soirée. C’est le pied. »

Ah ça, c’était vrai… Lui prenant les mains, elle le tire en marchant à reculons jusqu’à l’immense douche, le fait asseoir sur un des blancs en marbre, en marbre putain ! La température est idéale, ils sont sous de nombreux jets d’eau et rapidement, debout, elle lève la tête pour recevoir tout le liquide sur le visage, le frottant de ses mains.

La sensation de propreté, c’est quand même assez agréable… Kara revient alors vers Souta pour fondre sur son cou, le léchant et de mordillant, ses mains de leur côté caressent ses épaules, puis ses bras. En gémissant immédiatement, de nouveau excitée par le corps de son coach sous l’eau chaude, et par la vision de son sexe bien tendu et offert, elle procède à un nettoyage délicat de ses lèvres sur sa peau. Sa clavicule, qu’elle croque en rigolant, son torse où elle s’attarde longuement, tant il est excitant d’embrasser et laper un buste aussi musclé !

« T'es tellement bien gaulé... »

Ses doigts descendent jusqu’à son ventre avant sa bouche, et s’emparent de son membre pulsant, pour le branler avec vigueur, contrastant avec la douceur de ses baisers. Les deux rythmes s’opposent et n’aident pas à se concentrer sur l’une ou l’autre des sensations.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 17 janvier 2021, 12:17:00
Sans avoir visité l'endroit avant d'y mettre les pieds, je m'attendais à quelque chose de grand. Ils ne se foutent pas de la gueule de leurs clients dans ce genre d'endroit. On a tout ce qu'on veut, et même des trucs probablement inutiles au passage pour couvrir toutes les bases. La lumière et les sons ont toujours eu un effet stimulant chez l'être humain. Et on peut le constater de manière assez évidente chez Kara quand on voit son visage briller en examinant les lieux. C'est assez drôle à dire "examiner une douche". Faut vraiment que l'endroit soit particulier pour en avoir l'occasion.

- Ca me fait plaisir. Autant en profiter quand on le peut.

Lorsqu'on a du fric c'est pour le claquer en s'amusant. Que ce soit en réservant une suite, en achetant des jeux vidéos ou même en finançant d'autres projets à long terme. On peut aussi l'économiser dans un but précis. Mais le garder juste parce qu'on aime amasser les billets, bof. Attention aussi à ne pas venir le claquer sous le nez des gens si on ne peut pas voir arriver le retour de manivelle.

L'avantage avec Kara c'est qu'on s'amuse sans se prendre la tête. D'autres femmes auraient tout gâché en venant réclamer ci ou ça en échange d'autre faveur. On se découvre, petit à petit, pour voir jusqu'où on peut aller. Que ce soit d'un point de vue personnel ou ensemble.

La preuve de cette évolution est le fait qu'elle prenne littéralement les choses en main. Après les demandes, la voici qui me tire et me pousse pour me mettre dans une position idéale pour ce qu'elle cherche à faire avec moi. Une fois assis de force sur un des bancs en marbre je me contente de l'observer en souriant devant ce spectacle. L'eau vient s'abattre sur sa peau dans de multiples angles. Du mien je peux voir son visage et ses gros seins remuer au rythme des gestes de ses mains qui évacuent ce qui restait de l'éjac faciale de tout à l'heure.

Sentir ses mains douces sur mon corps est tellement agréable car je peux sentir sa faim dans chacun de ses gestes. Je laisse sortir quelques soupirs quand elle joue avec moi pour la motiver à poursuivre sur cette voix. Pour le moment je ne fais aucune remarque alors que sa langue et ses doigts viennent dessiner les contours de mes muscles saillants et luisants sous l'effet de la sueur et de l'eau.

A son tour de jouer à la tortionnaire du sexe quand elle s'empare de ma bite pour la branler avec agressivité tout en m'embrassant doucement la poitrine.

- Tu peux pas t'empêcher de sauter sur ma bite dès que tu la vois en tout cas. Et c'est moi le gros pervers ?

Je laisse ses doigts coulisser le long de ma tige qui reste aussi dure et brûlante pour elle. Beaucoup considèrent la masturbation comme une perte de temps. Or il faut savoir varier les plaisirs pour profiter encore plus de l'autre. Et comme on vient juste d'entrer dans la douche, il doit rester encore un peu de sperme dessus qu'elle va se faire un plaisir de nettoyer et évacuer pour la suite. A mon tour de profiter un peu, non ?
Mais pas tout de suite.

Je me redresse sans la bousculer et l'arrêter dans ses léchouilles et caresses. Mais il va falloir céder du terrain pour qu'on puisse se laver.

- Continues de me branler, mais doucement. Garde-là bien dure pour après pendant que je nous lave.

J'attrape rapidement deux bouteilles de gel douche et en déverse une bonne dose sur nous deux en me collant contre elle en laissant mes mains venir palper et frotter chaque centimètre de son corps pour faire mousser le savon. C'est la deuxième fois qu'on pratique cet exercice et je m'en lasse pas.
Alors que je joue avec son corps en le rinçant aussi lentement que je peux pour admirer la mousse se faire évacuer sur sa peau, je finis par relever la tête pour l'embrasser en lui annonçant la suite.

- T'as bien profité jusque là.

Je me remets à l'embrasser de façon plus vulgaire et bâclée pour la remettre dans l'ambiance en me tournant vers la double porte de la douche.

- Cette fois la princesse va me traiter comme un roi.

Je lui montre du doigt l'immense baignoire qui ressemble à une petite piscine dans laquelle baignent déjà quelques pétales de rose et autres sels qui se déversent automatiquement dedans quand on enclenche son remplissage. Pour se faire il suffit d'appuyer sur un bouton qui la remplit d'eau jusqu'à un certain niveau et qui la garde chauffée à la bonne température pour être utilisée n'importe quand.

Toujours lié à elle par la main qui me tient la queue, je nous libère en la prenant par le poignet pour me suivre dans l'eau. Là, je me pose sur le rebord en ouvrant les jambes. Le geste ne laisse aucune place au doute.

- Viens t'occuper de ma bite, Kara.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 17 janvier 2021, 22:49:39
Kara ricana, lorsqu’il fit cette petite remarque au sujet de l’attraction de sa queue, et elle haussa une épaule d’un air mutin, sachant pourtant très bien qu’il avait raison… Mais ce n’était pas sa faute, à elle, s’il avait tendance à la lui présenter, bien dressée et prête à l’emploi ? Résister à la tentation était une force qu’elle n’avait jamais eue, de toute façon, à voir comme elle fonçait au-devant des ennuis, tout le temps.

Toujours active en dévorant sa peau nue, elle écouta ses conseils et même si évidemment en général elle était piquée par ces remarques-là, dans son orgueil, ou pas manque de confiance en elle, Kara cette fois hocha la tête en glissant sa langue longuement, avant d’être repoussée doucement, ralentissant le mouvement de sa main à sa demande.

C’est agréable de se faire laver, c’est la seconde fois que Souta s’y attache, et Kara semble apprécier, lui souriant en soufflant un peu de mousse sur son visage. Ses baisers sont passionnés, sales, obscènes, et elle se lâche contre lui, avant de se détacher et de suivre son doigt jusqu’à poser les yeux sur la grande baignoire. C’est même plus une baignoire, comment des gens peuvent vivre dans des endroits pareils, à l’année ? Quel pied…

« Ah ah, un Roi… carrément. » On aura tout vu, ce mec est tellement imbu de lui-même, même si elle sait qu’il plaisante, il y a un fond très sérieux dans sa voix. Elle se laisse guider jusque dans la petite piscine luxueuse, qui paraît presque romantique…

Heureusement, Souta brise une petite seconde idyllique en s’installant, jambes écartées, sur le rebord alors qu’elle le rejoint à quatre pattes. Kara se mord la lèvre, lève les yeux sur son sexe tendu qui l’appelle. Qu’on ne dise pas qu’elle se jette dessus après ça, elle ne fait que répondre à ses demandes après tout. Elle caresse ses mollets et ses tibias, jusqu’à ses cuisses en remontant, agenouillée dans l’eau, en se dandinant déjà par anticipation.

« Oui Majesté ! »

Il faut avouer que son visage est taquin, et affamé. Elle se sent propre, pas trop moche, et elle voit dans le regard de son Coach combien il a envie d’elle. C’est suffisant pour l’exciter, rendre l’atmosphère autour d’elle électrique, la pousser à tirer la langue, et venir lécher de bas en haut son membre qui pulse et cogne contre son nez. Elle y frotte la joue, le menton, l’embrasse presque chastement, l’œil pétillant.

Enfin, elle le prend en bouche, englobe son gland en écartant bien les lèvres, ouvre en grand sa mâchoire, souffle et inspire par le nez. Les sels de bains et les savons sentent vraiment bon, elle se sent un peu partir, encore un peu, ses mains remontent sur ses hanches et caressent son ventre. Il est tellement musclé… C’est un rêve.

Elle continue, suce en l’enfonçant un peu plus dès que sa bouche s’est habituée à davantage, en soupirant comme elle peut. Ca dure longtemps, elle ne veut pas s’arrêter, prenant un plaisir fou à l’entendre gémir.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le lundi 18 janvier 2021, 07:54:17
Un nouveau petit jeu commence entre nous. Un jeu auquel Kara semble très heureuse et pressée de jouer vu qu'elle entre dans la peau de son personnage très rapidement. Si pressée qu'elle vient rapidement engloutir mon gland et une partie de mon membre en remuant la tête de façon horizontale sous mes yeux tout en me caressant les abdos avec ses mains. Le début parfait pour faire monter la pression tranquillement sans s'acharner sur moi comme pourraient le faire certaines femmes trop pressées de se débarrasser de ce qu'elles considèrent comme une corvée.

Ma main se glisse dans ses cheveux pour la guider et garder un certain contrôle pour la suite. Pour le moment je ne la force à rien. Je me contente de profiter en attendant qu'elle relève les yeux dans ma direction de temps en temps lorsque je soupire plus fort que les autres fois.

- Hmmmm... Continue comme ça, j'adore.

La pipe a toujours été une de mes faiblesses. Je pense que c'est pareil pour les femmes qui aiment voir un homme prendre leur temps pour leur faire plaisir sans penser à eux le temps d'un instant. Que la chose soit un mélange de sensualité et de vulgarité aussi me plaît beaucoup. Pomper son partenaire ce n'est pas juste enfoncer sa trique dans sa bouche et se gorge pour remuer comme une possédée dans tous les sens. Oh non, il faut savoir faire mieux que ça. Et je vais me faire un plaisir de le lui apprendre car pour les rares fois où elle s'est essayée à la chose avec moi elle s'est presque contentée de ça.

Durant deux à trois minutes je la laisse faire en poursuivant ses caresses fraîches et délicates sur mes abdos parfaitement taillés en remuant parfois le bassin pour l'encourager. Je lui fait ensuite comprendre de reculer la tête avec ma main dont les doigts se sont entremêlés dans ses cheveux humides.

- Kara, je vais t'apprendre à sucer un mec pour le rendre fou.

C'est vrai quoi. Vu sa personnalité, je pense que c'est quelque chose qui va forcément l'intéresser. Ma petite vendeuse semble être particulièrement réactive à chacune de mes réactions quand on se retrouve ensemble. Si elle peut m'exciter un maximum plutôt que de chercher un record de rapidité pour me faire éjaculer, elle prendra la première option.

- Tourne la tête sur le côté pour faire passer tes lèvres et ta langue sur le long de ma tige.

A l'aide de ma main je la guide pour qu'elle se retrouve dans un angle différent mais avec les yeux libres pour me regarder tout en faisant ce que je lui indique. La voilà en mesure de bouger sa tête sur sa gauche et sa droite pour remonter et descendre sur ma peau veineuse. Venant frotter sa joue sur mes couilles quand elle est tout en bas en plus de ses cheveux sur mes cuisses pour m'offrir une sensation de douceur et de fraicheur à la fois. Tout est dans le détail quand on veut exciter l'autre.
Mes gémissements se veulent plus prononcer quand elle utilise sa langue et ses lèvres à la fois sur mon bâton brûlant et veiné.

- C'est parfait... Maintenant descend encore d'un niveau et occupe-toi de mes couilles. Je veux que tu les lèches, les suces, les aspires et les recraches pendant que tu me branles doucement avec les deux mains. Prends ton temps pour les savourer.

Alors qu'elle descend comme je le lui ordonne, je pose mes mains sur les siennes pour lui faire plaquer ma trique sur mon pubis afin qu'elle caresse tranquillement le dessous de ma queue qui se retrouve à découvert. Le gland au niveau de mon nombril.
Des frissons me parcourent la colonne vertébrale et je me tord légèrement dès qu'elle se lance à l'attaque de mes burnes rasées qui adorent le début de ce traitement. Je veux qu'elle y mette du coeur et qu'elle prenne son temps pour s'y habituer. Que leur parfum devienne familier avec ses narines. Que leur texture goûtée par sa langue et sa bouche finissent par lui plaire et l'exciter à l'avenir.

Au bout de plusieurs minutes à la voir faire ce que je lui ai demandé, je passe à quelque chose de plus vicieux et sale.

- Pompe mes couilles sans avaler ta salive. Puis viens cracher le trop plein sur ma bite pour mieux me branler.

Les consignes sont données et je savoure avec un plaisir non dissimulé cette nouvelle pratique que je vais lui graver dans la tête au fil du temps. Je lui exprime à quel point je suis fier d'elle et combien c'est bon entre deux grognements quand elle me gober les couilles qui trempent dans un petit bac de bave avant qu'elle recrache sur ma bite pour la seconde fois.
Là je repousse ses mains pour me saisir de ma bite à la base et je me mets à la bifler pour étaler sur son visage la salive avec laquelle elle venait de l'enduire à l'instant. Sa bouche trop occupée pour répondre.

Plus pour longtemps...

- Reviens pomper ma queue comme une bonne salope.

Mon autre main repart se glisser dans ses cheveux pour maintenir sa tête en place quand elle lâche mes couilles et me permettre de continuer l'enchaînement de coups légers et autres frottages baveux sur son visage. Je guide ensuite mon gland sur ses lèvres et la fait descendre d'un coup jusqu'à la moitié de ma queue gonflée à bloc. L'excitation est tellement forte que seul mon plaisir compte désormais. Sa santé passe au second plan.

- Pose tes mains sur le rebord et avale ! Allez ! Bouffe ma grosse queue ! Princesse...

La remarque est volontairement destinée à servir de pique. Et la suite est un mélange d'abus et de sensualité. J'aime pas sentir une bouche aller trop vite sur mon sexe. Par contre je prends plaisir à la pousser à dépasser ses limites en la guidant à avancer et reculer à mon rythme. Je la fais aller de haut en bas en évitant sa glotte au mieux possible pour entrer dans sa gorge qui se déforme légèrement au passage d'une grande partie de mon chibre épais.
Pour finir cette petite session j'appuie sur sa tête que je garde coincée comme la fois dans le parc et attend qu'elle soit en manque d'air en se débattant pour la libérer. Je veux l'entendre suffoquer et voir son visage marqué par mon traitement quand je la relâche.

Une fois devant moi, haletante, prise d'une toux forte, je la regarde droit dans les yeux en souriant de façon perverse.

- C'est un bon début maintenant que tu connais les bases.

Je pose mes mains sur ses coudes pour la faire revenir vers moi sans perdre trop de temps en lui lâchant un dernier ordre.

- Fais-moi cracher avec tes gros seins. Je veux les voir se déformer en branlant ma bite. Et lésine pas sur la salive, je veux que ça glisse.

Voilà qui devrait enfin lancer cette soirée sur de bons rails. Car la suite sera aussi hot que hard pour ma petite vendeuse.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le lundi 18 janvier 2021, 23:36:43
 Kara avait bien suivi toutes les consignes, consciencieusement, prenant son rôle très à cœur. Visiblement, ses prestations étaient perfectibles, et elle tentait de se raccrocher à cette idée pour éviter de mal prendre toute cette petite leçon… Après tout, si elle était médiocre, il n’aurait sans doute pas envie de la revoir, tout le temps ? Il n’aurait aucun désir pour elle, ou éventuellement, juste histoire de la baiser rapidement… Kara essayait, vraiment, de ne songer qu’à cela, alors qu’elle effectuait les instructions comme une bonne élève.

Elle ne voulait pas que Souta pense qu’elle était un mauvais coup, étrangement, cela la touchait beaucoup, elle avait à cœur de bien faire. De lui faire plaisir, autant qu’il lui en avait fait. Car il fallait avouer qu’il était doué, et elle avait, sans doute naïvement, espéré l’être aussi pour lui. Ce sentiment d’infériorité déjà présent dans leurs jeux de domination s’était étendu au-delà du physique, jusqu’à son mental, et elle avait tout de même de la peine à éviter d’y réfléchir.

Elle se tenait devant lui, au milieu des pétales de roses romantiques à souhait, le visage luisant et la gorge en feu, reprenant difficilement sa respiration après cette séance un peu hard, en lui souriant finalement avec malice. Il avait gémi, et plus il gémissait, plus Kara était rassurée.

« Un bon début ? Je suis flattée, Ta Majesté, pas trop de compliment, je risquerais d’apprécier. »

Elle fronça le nez et lui adressa un clin d’œil, choisissant d’être taquine en se relevant vers lui, s’essuyant la bouche d’un revers de main rapidement, baissant les yeux vers cet épais membre qu’elle avait goûté sous toutes les coutures désormais. Ses mains se plaquèrent sur sa poitrine lourde puisque le Roi avait ordonné, et en plantant son regard dans le sien, écarta ses seins pour venir enserrer de chaque côté sa queue qui pulsait.

Un long filet de salive coula alors d’entre ses lèvres, pour venir tomber mollement sur son gland dépassant d’entre ces deux obus tendres. Elle recommença l’opération, puisqu’il voulait que ce soit bien glissant… Inutile ne lésiner dans ce cas, Kara prit un malin plaisir à le faire patienter le temps de bien cracher dessus, ses doigts venant se caler de chaque côté de ses tétons qui durcissaient à vue d’œil.

Quand elle jugea qu’il y en avait assez, elle minauda.

« C’est suffisant, Ta Majesté ? »

Mais n’attendit pas sa réponse pour imposer à ses seins une pression et un mouvement langoureux, se remettant finalement très vite sur les rails, se sentant excitée de nouveau de voir son sexe disparaître et réapparaître entre sa chair, la peau luisante qui glissait, les bruits et suintements… Sa respiration s’accéléra, louchant sur la scène qui lui faisait un effet bœuf.

En continuant, elle laissait de nouveau goutter de sa bouche de la salive dès qu’elle estimait que le contact frottait un peu, serrant de divers façon ses seins autour de lui. Souta voulait jouir ainsi, elle donnait tout ce qu’elle avait, il ne serait pas déçu.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mardi 19 janvier 2021, 14:57:28
Je ne sais pas encore si ma façon de faire plus tôt est efficace car elle semble avoir la fâcheuse tendance de trembler et hésiter. Mais la partie la plus intéressante arrive, celle où elle prend les devants pour venir me branler avec soin. Oui, soin. C'est le terme le plus approprié pour l'instant. Au contact de la douce peau de sa poitrine sur ma trique chaude et sensible, un long soupir m'échappe.

Elle y va doucement et suis ma consigne concernant la salive. De façon peu subtile et perverse, encore comme j'aime. Et je ne me retiens pas de le lui dire. Au bout de quelques secondes vu qu'elle s'est mise en marche pour me masser à la perfection.

- Ouais, j'adore. A croire que tes seins sont fait pour me branler.

Les mains posées derrière moi, ma tête se lève pour fixer le plafond afin de profiter au maximum des sensations qu'elle me procure. Entre les sons humides de l'eau quand son corps remue, ceux de sa salive quand nos peaux se frottent l'une contre l'autre ou la tendresse et le moelleux de ses seins au contact direct avec ma tige veiné et sensible. Ma peau qui se rétracte quand elle descend ou la sienne qui frotte sur mon gland en remontant quand sa langue ne vient pas le harceler.

- Mon premier décret en tant que roi sera de demander un branlette espagnole journalière.

Je me mets alors à soupire bien fort de plaisir tant l'excitation qui me gagne est grande. Il s'agit d'un tout dans le cas actuel. Les odeurs qui règnent dans la pièce, le grand bain, elle si dévouée à mon plaisir. Mon regard, habité par une lueur perverse, vient se planter dans le sien quand je lui déclare...

- T'es irrésistible quand tu te lâches, tu sais.

L'orgasme arrive à grand pas, je peux le sentir car je me retiens du mieux possible pour prolonger la chose. Surtout que la soirée ne fait que commencer et que je veux en profiter un maximum tant que je le peux et qu'on remette le couvert plus tard. Cela pourrait d'ailleurs être une occasion de vérifier si elle se lâche et si mes remarques de tout à l'heure ne l'ont pas trop perturbée.

- Attends... Tu vas me faire jouir ! Retourne me sucer pour faire durer le plaisir encore un peu. Lâche-toi encore plus.

J'espère que cette interlude et cette nouvelle occasion lui permettra de se détendre et de finir moins crispée que lors de l'essai précédent.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 20 janvier 2021, 14:36:09
Les râles rauques, les regards pervers et les encouragements de Souta sont bien plus efficaces que ses tentatives de leçons sur Kara. Continuant toujours ce massage intense, prolongeant chaque mouvement, ne s’arrêtant plus tant elle est submergée par l’énergie érotique de la situation.

Tout ce qu’elle veut, tout ce qu’il lui faut, c’est donner un maximum de plaisir à son partenaire, lui faire oublier qu’il l’a jugée médiocre juste avant, lui faire regretter, peut-être… Son regard est animé par un désir qu’elle ne cache pas, le branler ainsi lui plait, l’excite, la fait frémir quand elle agrippe ses tétons pour entourer complètement son membre énorme qui luit sous sa salive, sa sueur.

Kara empoigne ses deux seins d’une main, suffoquante, quand il édicte son décret, en la faisant rire, puis sourire d’un petit air malicieux.

« Ah ouais ? » Elle ricane entre deux coups de langue. « C’est bon d’être le Roi, hein ? »

A vrai dire, c’était bon aussi d’être son humble Princesse. Kara sentait son membre durcit et pulser de plus en plus, la rendant dingue, impatiente sans doute, et plutôt fière, il fallait l’avouer. Elle avait toujours ressenti cela lorsqu’elle voyait un visage d’homme se crisper un peu, signe annonciateur entre autres, qu’il se retenait de jouir. Son corps entier se dandina de manière ravie, en jubilant, quand Souta lui réclama de faire en sorte de calmer le jeu.

Encore une fois, Kara eu un ricanement, comme pour se moquer de lui, de cette petite faiblesse. C’était bien mérité, il l’avait blessée peu avant, elle avait besoin de reprendre confiance en elle… En lâchant ses seins qui retombèrent mollement, libérant sa trique sur le point d’exploser, la jeune femme se releva jusqu’à sa bouche, l’embrassa avec un air espiègle, mais ses lèvres chaudes, assoiffées, attestaient de son désir brûlant.

« Je vais te faire penser à autre chose. Un peu. »

D’une main sur son torse, elle lui intima de s’allonger contre le carrelage luisant, le contraste de chaleur devait être poignant, dans son dos, mais elle ne lui laissa pas le temps de protester.
Langoureusement, elle le surplomba, à quatre pattes au-dessus de lui, ses petits yeux en amandes plissés de manière angélique, terriblement faux, avant de se tourner complètement. Ainsi, elle lui présenter sa croupe qui ruisselait encore de l’eau de la baignoire, cuisses écartées autour de sa tête, et descendit pour s’asseoir sur son visage.

Après un instant de frisson, son intimité rencontrant son nez puis sa bouche, Kara plongea elle-même son visage entre les cuisses de Souta, passant ses lèvres ouvertes et sa langue le long de son sexe tellement dur, épais, juste pour elle. Cette fois, elle appliquait les recommandations avec de bonnes grâces, l’insérant de côté après un bon moment de ce traitement, le faisant gonfler sa joue, jouant et gémissant contre sa peau, pendant qu’une de ses mains revenait l’empoigner pour accompagner ses mouvements.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 20 janvier 2021, 15:24:49
Sans aucune remarque ou geste, je laisse faire Kara qui veut prendre les devants en changeant de position. Cette prise d'initiative me fera même gagner un peu de temps pour plus tard car j'avais dans l'idée de me lancer dans une petite mission d'exploration surprise le moment venu.

La pause offerte le temps qu'elle vienne se positionner au-dessus de moi est bien trop courte pour que je puisse me calmer étant donné qu'elle repart de plus belle avec l'aide de ses douces et habiles mains en plus de sa bouche pour jouer avec ma queue. Notre différence de taille me pousse à me contracter légèrement pour me donner accès à son clito que je biens léchouiller légèrement pour m'amuser et voir quelle réaction cela provoquera de son côté.

A chaque fois qu'elle plonge un peu trop entre mes cuisses je me mets à soupirer plus fort car j'ai droit à une double attaque. Celle se sa bouche et de ses seins qui s'écrasent et se frottent sur mon bas-ventre à cause, non, grâce à la gravité. Aaaaah, quelle belle chose.

Chaque coup de langue, chaque aspiration, chaque mouvement de main qui me masse est une agression supplémentaire qui pourrait me faire lâcher prise.

- J'ai du mal à penser à autre chose tellement tu m'excites.

Pour changer légèrement la donne je me saisis de son petit cul pour le placer à hauteur de mon visage et me permettre de mordiller légèrement dedans. Et en prenant soin de faire glisser deux doigts dans sa fente par la même occasion. Je les fais entrer et sortir tout doucement, mimant une pénétration lente et délicate pour en récupérer le plus de cyprine possible.

- C'est pas de l'eau du bain qui en coule.

Les deux doigts repartent de plus belle en elle entre deux soupirs pendant qu'elle poursuit ses attentions durant une vingtaine de secondes. C'est le moment que je choisis pour venir me lancer dans une aventure exploratrice des plus téméraires.
Le duo qui a visité sa première caverne remonte tout doucement pour venir se frotter contre l'entrée de la seconde. Jusque là on a essayé plusieurs positions et autres situations un peu loufoques. Mais pas d'anal. La question n'est même jamais venue sur le tapis. Tout en posant la question qui suit, je place mes deux doigts à l'entrée de son oeillet pour le stimuler sans pousser pour le moment.

- Dis-moi, Kara, t'aimes aussi quand on passe par là ? Parce que ton petit cul me donne envie. Je pourrais... le dévorer.

Ce que je fais dans la foulée en plantant très légèrement mes dents dedans tout en le tenant fermement d'un côté et en gardant deux doigts en stand-by de l'autre.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le jeudi 21 janvier 2021, 22:17:04
Kara ne pouvait pas ricaner à sa remarque au sujet de sa concentration, bien qu’elle en eu envie, puisqu’elle avait la bouche légèrement occupée à autre chose. C’était grisant de l’entendre gémir et soupirer à chaque fois qu’elle faisait un mouvement différent, même si elle-même, elle devait l’avouer était sacrément déconcentrée par les attentions de Souta à son égard. Elle se mettait à frémir à chaque coup de langue, morsure et puis ses doigts, oh oui ses doigts !

Il devait avoir raison, elle était tellement excitée que ce n’était pas l’eau de la baignoire à blâmer pour avoir trempé l’intérieur de ses cuisses, mais penser à autre chose que s’affairer passionnément en respectant les leçons du Professeur Souta sur sa queue était une torture lorsqu’il faisait glisser sa main. Kara soupira, la bouche pleine, en sentant ses doigts s’enfoncer dans son intimité humide et impatiente. Bordel, c’était trop bon, le sucer et le lécher autant tout en sentant au même rythme la pénétration… Elle se serait mise à couiner plus fort, si elle n’avait pas été bâillonnée par cet épais membre.

Un frisson parcourut sa colonne vertébrale, longuement, du bas, entre ses fesses, là où Souta désormais posait le bout de ses deux doigts huileux, jusqu’à sa nuque qui se raidit. Ses lèvres pressèrent davantage son sexe qui pulsa contre son palais comme en réaction, et elle le recracha pour tourner la tête le plus possible, tournant les yeux pour le regarder par-dessus son épaule. Le sourire de Kara était malicieux, mais ses yeux semblaient exprimer une sorte d’appréhension.

« Sois pas une grosse brute, hein ?! »

Elle lui tira la langue, sa main prenant le relai de sa bouche pour que cette pauvre tige brûlante ne s’ennuie pas pendant qu’elle causait. Ce serait dommage de la laisser seule, hein ? La jeune femme n’avait connu que de gros lourdauds s’étant intéressé à son cul, et connaissant comme Souta pouvait être déchaîné, elle se doutait qu’il aurait du mal à être un tendre amant une fois lâché. Taquine, elle ronronna légèrement et avec un clin d’œil le provoqua :

« Et lésine pas sur la salive, je veux que ça glisse. »

Ses petits yeux en amandes le bouffèrent du regard, elle donna un violent coup de langue sur son gland, et minauda, lâchant un gémissement lorsqu’elle sent les dents sur sa fesse qui rebondi. La vache, c’est trop bon ! Elle écarquille les yeux en lui lançant un regard furieux et passionné.

« Bouffe-moi, putain. »

Et son visage replongea de plus belle se jeter sur sa queue avec un appétit décuplé.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 22 janvier 2021, 08:40:39
La partie reprend de plus belle avec une Kara déchaînée qui ne plaisante plus en se déchaînant sur ma bite alors qu'on venait de changer de position pour calmer le jeu. Du coup elle n'aura pas à se plaindre si je décide de surenchérir pour lui rappeler la situation.

Durant plusieurs secondes je me contente de la doigter tranquillement pendant qu'elle s'étouffe sur mon chibre en attendant le moment où elle ira chercher de l'air pour passer à l'attaque. Dès que l'occasion se présente je me redresse légèrement pour la repousser légèrement sur le côté afin de me procurer une bonne prise qui me permet de la soulever légèrement et de l'envoyer dans le bain.

A peine son corps remonté à la surface, je me jette sur ma proie et lui écarte les cuisses pour enfoncer mon pouce droit dans son oeillet tout en croquant dans son petit cul de façon plus évidente. Ma main gauche, elle, vient attraper un de ses gros seins pou le malaxer sous l'eau.

La position est loin d'être idéale... pour elle. Du coup je m'amuse en le voyant se débattre pendant que je la pousse afin qu'elle puisse se rattraper au rebord opposé au bout de plusieurs secondes. En tout cas j'y vais clairement plus fort sur les dents en prenant soin de ne pas lui faire mal. Mais je veux qu'elle les sente et que cette sensation lui reste toute la soirée.

Une fois qu'elle arrive à destination, je lâche sa poitrine pour lui choper le cul à deux mains et mordre une dernière fois dans chaque fesse avant de les écarter légèrement pour m'offrir une vue parfaite sur son petit trou. Petit... Oui, en attendant que je décide d'y passer un jour. Cela va demander du temps et le préparation pour ne pas qu'elle déguste trop. Car, ouais, elle va déguster le moment venu.

Je crache alors sur son oeillet pour y enfoncer doucement mon majeur jusqu'au fond en soupirant bien fort.

- C'est hyper serré là-dedans. J'peux à peine y foutre un doigt.

Mon doigt se met alors à remuer légèrement au fond de son trou hyper étroit avant d'en ressortir pour mieux y replonger dans la foulée. Ca y est, le premier contact avec cette terre étrangère vient d'être établi. Il restera cependant de nombreuses étapes à suivre désormais. Visiter les lieux, vérifier si ils sont habitables et finir par s'y installer progressivement.

Les pénétrations anales légères s'enchaînent avec douceurs et quelques gestes de torsion pour y ajouter un peu de piment. Je veux l'entendre gémir et se plier sous mes caresses le temps de me détendre. Ce qui n'est pas gagné vu que ma bite remue dans tous les sens comme le ferait la queue d'un toutou qui attend que son maître vienne le sortir.

Mon doigt finit par me brûler et me faire légèrement mal à force d'insister avec quand je décide de mettre fin au petit jeu.

D'une petite fessée je lui fait comprendre qu'elle va devoir finir sa tâche précédente en revenant au milieu du bain.

- T'aurais pas oublié un truc, princesse ?

Je me tiens debout sur place, les jambes légèrement écartée en attendant qu'elle vienne me rejoindre. Une fois fait, la bite complètement tendue et dressée, je lui présente mes couilles pleines à craquer qui viennent rapidement se plaquer contre ses narines.

- Elles vont exploser si tu fais rien.

Elle doit encore me finir avec ses énormes seins. Mais ça ne m'empêche pas de jouer quelques secondes avec elle avant.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le vendredi 22 janvier 2021, 17:32:42
Impossible de rester impassible en sentant les dents de Souta la croquer, et ce fut pire encore, en sentant qu’il s’introduisait en elle. Kara essaya pourtant de ne pas trop gigoter de désir, inspirant longuement par le nez, pour se détendre. Elle tentait de bien se tenir au rebord, se cambrant suffisamment, et sursauta quand elle l’entendit cracher, avant de soupirer langoureusement. Son corps et son esprit anticipaient déjà ce qui allait venir, elle ferma les yeux pour accentuer les sensations.

A le sentir au fond d’elle, Kara accompagne immédiatement le long soupir de son amant, ils vibrent ensembles, elle sourit à sa remarque.

« Tout doux, chaton. »

Et à sa grande surprise, Souta se montre assez doux ! Et par ses gestes habiles, oscillant parfaitement entre légèreté et pression, ce contact était vraiment délicieux. Elle creusa le dos, de plus en plus détendue, alternant de long gémissement et des marques plus sourdes, se mordant la lèvre, réactive à chaque micro-mouvement. Elle prend son pied, caresse presque le carrelage, ondule avec ferveur.

La fessée la réveille d’un rêve langoureux, et elle grogne avant de sourire, puis même rire, et se tourner vers lui. Kara lève les yeux jusqu’à son visage, son regard exprime combien il lui a fait du bien… Et elle pige bien le message.

« Ah oui, pardon, j’ai été déconcentrée. »

Elle tire la langue, lèche ses bourses avec un petit air espiègle, inspirant le parfum fort de sa peau avec délice. En le provoquant, levant les sourcils, Kara applique les savantes leçons de son maître en la matière, elle les suce et des bruits obscènes remontent à ses oreilles. Sa main droite remonte le long de sa cuisse pour venir empoigner son sexe en manque d’attention, qu’elle caresse plus doucement, sans s’acharner.

Les avalant en souriant d’un air sarcastique, elle les recrache en cillant et minaudant. C’est une bonne élève. Elle aura surement une récompense. Elle continue son traitement de faveur aussi longtemps qu’il le faut, avant de remonter sa langue le long de sa queue pour sucer l’embout.

Elle l’avale du mieux qu’elle peut, cette épaisse tige qui bat sous sa langue, s’en délecte, soupire par le nez, continuant ses mouvements de va et vient d’une main, et l’autre ne délaissant pas ses couilles pour autant. Il allait jouir, elle le savait, elle le sentait pulser et taper contre ses joues, son palais, contre sa gorge… Sa respiration s’accéléra sous l’excitation.

Kara le recracha alors, se redressant suffisamment pour emprisonner sa queue entre ses seins lourds aux tétons dressés, qu’elle pince pour entourer et compresser. Ses mouvements rapides sont nets et efficaces, il est au bord de l’explosion, il veut cracher grâce à sa poitrine ? Il ne sera pas déçu !
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le vendredi 22 janvier 2021, 18:27:50
Chaque rencontre, chaque échange, chaque position avec Kara évolue et termine avec une passion certaine pour nous deux. Là encore j'ai la sensation qu'elle se donne sans réfléchir pour profiter un maximum du plaisir dégagé par nos corps enflammés.
Elle réagit mieux aux gestes qu'aux paroles. Beaucoup mieux même. C'est comme si elle n'avait plus aucune barrière pour la protéger des conséquences lorsqu'elle voit l'effet qu'elle fait aux autres.

Ses actions étaient hésitantes quand je lui ai expliqué et détaillé ce qui me plaît. Alors que là, en lui présentant la chose tout en laissant libre court à son imagination et sa perversité, ma vendeuse coquine se jette sur mes boules pour les dévorer avec soin.

- Uggh... Putain... Ce que c'est bon.

Je risque d'avoir trop de décret à instaurer en même temps au rythme où avancent les choses. Les changements de températures entre l'eau chaude qui vient s'abattre sur mes mollets, le froid qui vient s'abattre dessus au bout de plusieurs secondes pour ensuite sentir son souffle chaud et sa langue humide sur chaque centimètre de mon service trois pièces me font trembler.

Ma façon de soupirer se fait plus difficile et les gémissements qui fuient mes lèvres sèches deviennent longs et lourds. Elle le remarque sans difficulté car elle commence à me connaître. Détecter mes failles ou mes moments de faiblesse est plus simple pour elle désormais vu qu'elle recrache ma queue vulgairement pour la loger entre ses seins moelleux qu'elle manie avec une précision et une expertise létale.

La manoeuvre qui suit est si mortelle que je me rattrape à une épaule et sa tête alors que mon gland lui explose sous le visage pour revenir le tapisser de sperme une seconde fois pour le soirée. Ma bite lutte pour se délivrer de cette douce et oppressante emprise tout en tirant plusieurs rafales de suite sur Kara qui est bloquée par mes propres mains sans que je le fasse exprès. Bien trop occupé à gémir en profitant du spectacle et des sensations qui y sont associées.

- J'arrive plus à m'arrêter ! Merde !

Lui repeindre son beau minois et son regard provocateur de mes fluides est une sensation impossible à décrire. Un truc purement masculin et qui semblait probablement lui plaire étant donné qu'elle l'avait elle-même suggéré plus tôt.

Le débit diminue petit à petit pendant que je me calme en respirant difficilement. J'enlève mes mains de sur son corps en restant dans la même position avant de lui demander un dernier petit quelque chose.

- J'ai envie de te voir l'avaler, jusqu'à la dernière goutte. Comme tout à l'heure.

Je recule d'un pas pour qu'elle libère mon sexe d'entre ses seins si parfaits afin de lui montrer celui-ci qui remue à l'idée de la voir faire. Voir une femme avaler son sperme est toujours excitant. Alors si elle va le chercher elle-même sur le visage...

- Regarde ! T'as encore rien fait que ça m'excite déjà.

Ce qui est vrai et nullement exagéré. Le fait d'accepter et d'obéir à ma demande me motivera sûrement à aller encore plus loin après. Même si j'ai déjà une idée qui devrait lui plaire plus qu'elle ne le pense.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le samedi 23 janvier 2021, 18:00:53
Inutile de dire que Kara adorait quand elle entendait Souta s’exprimer, avouer son plaisir, la mettant reflétant beaucoup sur le sien, et sa capacité à se dépasser. Bloquée par ses mains, c’est pire encore, contrainte, forcée sans qu’il n’ait besoin d’être brutal, juste ferme, la jeune femme se sentait transpirer et s’exciter davantage, accentuant ses mouvements sensiblement, ça avait un effet du tonnerre sur elle !

Et sans surprise, le feu d’artifice atterrit directement sur son visage, en longs jets frénétiques, abondants. Impossible de fuir, de reculer le crâne, même de tourner la tête, il l’emprisonne à merveille. Elle se mange tout, ferme les yeux en fronçant le nez, et fait même l’erreur de rire. Un spasme lui en envoie dans la gorge, elle ne s’y attendait pas et tousse, puis ricane de nouveau.

« Oh, merde ! »

Et Souta ne mentant, il avait l’air d’avoir du mal à s’arrêter, alors même qu’il avait déjà craché une première fois dans la soirée. Elle tire la langue comme un cliché en se marrant, ouvrant les yeux pour le fixer d’un air malicieux, victorieux, même. Elle se sent tellement dégoûtante et ça dégouline dans son cou…

« Ah ouais ? Encore ? T’aimes ça me nourrir toi. »

Essoufflée, mais dans un état second assez indécent, elle ne réfléchit pas et Kara lève la main pour racler de son pouce une couche blanchâtre épaisse, de sa mâchoire jusqu’à ses lèvres, et de l’index, en minaudant, elle le glisse contre sa langue.

« Ça t’excite, ça ? »

Elle recommence l’opération encore, et encore, en se dandinant, provoquante à souhait, s’amusant de son état, se sentant pousser des ailes.

« Et ça ? »

Sa langue se tend pour recevoir encore son pouce qu’elle suce outrageusement et avec un bruit obscène. La vache, elle adorait le titiller, elle prenait conscience du pouvoir qu’elle pouvait avoir, celui de l’exciter, et cela boostait sa confiance en elle.

Impossible de savoir si elle était plus ou moins ‘propre’ ou non, mais elle se pencha de nouveau et son index longea toute la hauteur de cette belle queue, se penchant en avant pour le lécher.

« T’as vu, j’ai retenu la leçon, je te nettoie sans que t’aies besoin de demander. »

Gloussa-t-elle avant de s’affairer quelques instants à sa tâche ménagère.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le samedi 23 janvier 2021, 18:44:40
Ma réflexion s'avère exacte sur sa façon de se comporter avec les hommes. Ou plutôt avec moi vu que j'ai aucun véritable point de comparaison. La voir jouer avec mon sperme épais et crémeux qui coule sur ses doigts ou s'amasse au bord de ses lèvres avant qu'elle ne vienne le recueillir, le lécher ou l'engloutir de façon aussi vulgaire est un spectacle hypnotisant.

Quand elle me demande si ça me plaît je me sens obligé de lui lâcher une réponse un poil perverse et sarcastique. Le tout en lui présentant ma queue pour illustrer le propos.

- A toi de me le dire. Ma bite ne remue pas assez pour toi ?

C'est anormal d'être aussi excité par tout ce qu'on fait elle et moi. Et les mouvements en question ne dépendent pas de mon contrôle. Certains hommes peuvent se toucher le nez avec la langue, remuer les oreilles sans les toucher et faire aller leur bite de haut en bas. Dans mon cas c'est instinctif.

La voilà ensuite qui revient jouer avec ma bite à l'aide de sa langue avide et clairement insatiable. J'aurais bien voulu la laisser faire car elle semble s'amuser comme une petite folle en me titillant. Mais l'envie est trop forte pour que je tienne plus longtemps. Sans la prévenir, ma main droite vient se poser sur sa tête alors que j'enfonce de nouveau ma bite dure et pulsante dans sa bouche pour la lui faire bouffer.

- Putain, regarde ce que tu me forces à faire quand tu te transformes en salope.

L'orgasme qu'elle vient de me procurer ne m'a pas calmé, bien au contraire. Il vient d'allumer une mèche qui risque de faire exploser de quelque chose encore plus gros qu'avant. Une main dans ses cheveux, l'autre sur la base de mon chibre, je lui fais avaler en profondeur jusqu'à  la sentir s'étouffer légèrement pour le ressortir entièrement et le replonger.
Encore une fois, jusqu'à ce que je trouve le bon timing qui me permet de ressortir une seconde avant qu'elle ne manque d'air et repartir de plus belle une fois que ses poumons se sont rechargés pile ce qu'il faut pour tenir. La salive commence rapidement à s'empiler sur son visage alors que je grogne comme un ours sauvage en la faisant aller et venir sur ma bite sans instaurer de rythme rapide ou en appuyant fort sur son crâne.

Après un énième passage jusqu'aux trois quarts de ma bite dans sa gorge, je viens la bifler légèrement en dégageant ses mèches rebelles à l'aide de mon gland lorsqu'elles ne s'y collent pas à cause de toute cette salive qui rend la scène dégradante pour la jolie Kara.

- Regarde l'état de ma bite. Elle a jamais été aussi dure avant. Et c'est de ta faute.

Je la fais se relever et plaque mon autre main sur sa chatte pour commencer à la doigter tout en jouant avec son clitoris tout en la guidant hors du bain. Mon autre main se détache de sa chevelure humide pour lui saisir un sein que j'amène à ma bouche pour l'aspirer fort avant de le recracher vulgairement en laissant une nouvelle trainée de salive dessus. A mon tour de venir jouer avec son corps.

Le déplacement se fait lent au début pour ne pas qu'on se casse la gueule sur les marches en quittant la baignoire piscine. Viens ensuite le tapis de bain, la moquette, la porte de la  salle de bain contre laquelle je la plaque brièvement pour lui faire sentir une attaque surprise de la part de trois de mes doigts dans sa chatte trempée et brûlante.

Aucun mot, aucune remarque. Ma seule façon de m'exprimer se fait avec mes gestes et mes soupirs en plus des bruits de succions générés par ma bouche sur sa peau douce.
Une fois revenus, tous les deux nus comme des vers, dans le salon, je parcours la pièce du regard rapidement avant de sourire de façon perverse en trouvant l'endroit parfait pour la prochaine étape.

- J'ai envie de te baiser ! Si fort ! Là...

A l'aide de mes doigts je l'empêche de réfléchir et de pouvoir me répondre trop facilement alors que je continue de la faire reculer en gagnant les derniers précieux mètres pour pouvoir finir ma phrase.
D'un geste d'une rapidité folle j'enlève mes doigts de son intimité pour la faire se retourner et me saisir de mon sexe en lui ouvrant les jambes pile ce qu'il faut en la plaquant...

- Contre cette fenêtre !

Double sentence pour ma vendeuse préférée. Je la force à se plaquer visage et seins contre l'immense mur en verre tout en enfonçant ma queue en elle jusqu'aux couilles. Au risque de buter au fond avec mon gland dans un cri de soulagement encore plus puissant que les précédents.

A la hauteur où on se trouve personne ne peut nous voir. Mais la peut d'être découvert reste forcément ancrée quelque part dans un coin de notre cerveau dans ce genre de situation. C'est humain. On aime imaginer le pire en permanence quand le danger pointe le bout de son nez.

Je viens me coller contre elle rapidement en plaçant ma bouche près de son oreille pour qu'elle puisse m'entendre respirer de plus près.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 24 janvier 2021, 14:51:44
Oh, elle l’adore ! Elle l’adore lorsqu’il se montre aussi passionné, qu’ils sont collés l’un à l’autre et qu’elle peut le sentir perdre pied. Leur marche dure un temps infini, mais c’est le chemin le plus délicieux du monde, tant Kara le vit intensément. Elle n’est pas en reste, caresse ses cheveux, les tire, glisse ses mains sur ses épaules musclées, soupire langoureusement. Ce simple échange fait palpiter son cœur, monter son désir à chaque nouveau pas.

Et visiblement, Souta aussi était dans un état second, il la dévore, c’est trop bon ! Quand il lui déclare qu’il veut la baiser, et pas doucement, c’est le coup de grâce, Kara gémit plus fort encore et elle se fait retourner à une vitesse folle. Frémissante d’impatience, en transe, elle sursaute au contact de la vitre froide mais de ses mains, écarte ses fesses pour souhaiter la bienvenue à son sexe qui vient rapidement la pénétrer sans ménagement.

On peut dire que c’est instinctif et vif, elle cogne un peu contre la fenêtre et plisse les yeux, mais c’est bien trop agréable pour se plaindre du traitement, le contracte entre la paroi froide et le feu qui la brûle de partout est extatique ! Electrisée, Kara se cambre bien pour amplifier le mouvement, ses mains restant sur son postérieur pour permettre des coups de reins plus profonds.

« Et si on nous voit ? »

Etrangement, il n’y a pas vraiment de crainte dans sa voix, et même si elle y pense, évidemment, cette situation l’excite encore plus. Elle imagine des gens se rincer l’œil sur leurs ébats passionnés et bestiaux, et frémit de plus belle. La sensation de cette queue épaisse, toujours en forme, qui la pilonne est trop forte pour réussir à y voir un inconvénient, même s’ils sont épiés.

Le souffle chaud de Souta lui envahit l’oreille et ça lui donne la fièvre, elle transpire déjà, sentant ses mains qui lui serrent les hanches et qui remontent sur son ventre et ses côtes. Il a les paumes brûlantes, et Kara tourne la tête, quitte à se faire mal, pour chercher à l’embrasser comme une assoiffée.

« Putain, Souta. Souta c’est trop bon. »

Ses propres mains viennent superposer les siennes avec adoration, les forçant à remonter encore, jusqu’à sa poitrine, accompagnant ses gestes, le guidant, gémissant contre sa bouche, criant à moitié aux mouvements de bassins plus puissants.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 24 janvier 2021, 16:00:12
Faut sacrément qu'elle en veuille pour écarter elle-même le cul afin de me libérer le passage pour venir remplir sa chatte bien serrée contre ce mur en verre. On appelle ça un mur ou une fenêtre d'ailleurs ? C'est con de se poser la question à un moment pareil et pourtant ça veut pas s'en aller. Jusqu'à ce que Kara intervienne du moins.

- Laisse-les profiter du spectacle.

Je la martèle aussi fort et aussi vite que je dois bien faire plus d'un aller-retour par seconde dans cette fente qui voit le jus qui en sort me gicler sur les cuisses dans des sons humides et terriblement excitants.
Mes mains parcourent ses formes généreuses sans avoir de cible précise car mon cerveau n'est orienté que dans une direction. Celle qui mène au chemin de la baise brutale et sauvage.

Les secondes défilent rapidement quand je le vois tenter de se tourner tout en posant ses mains sur les miennes pour que je puisse de nouveau jouer avec ses grosses mamelles. Elle ne doit même pas se rendre compte qu'à force de garder la bouche ouverte pour gémir, sa salive s'accumule contre la paroi en verre.

- Donne ta langue !

La phrase pourrait laissé penser que je vais venir l'embrasser. Alors que pas du tout. Une main toujours à malaxer et maltraiter un de ses seins, j'enfonce mon pouce dans sa bouche pour la forcer à le sucer un peu plus d'une minute en continuant de percer et creuser les parties les plus intimes et sensibles de son corps.

Tout en retirant de façon progressive mon doigt de sa bouche qui se retrouve lié à ses lèvres par un long et épais filet de salive, je m'amuse à venir faire claquer mon pubis contre ses fesses en la pénétrant lentement mais jusqu'au dernier centimètre. Le temps de placer le pouce en question contre l'oeillet de la belle Kara en forçant le passage tout en me remettant à la pilonner comme une bute. Cette fois il n'y a plus de place pour venir chercher sa poitrine qui doit s'écraser sur le mur de verre en plus de son visage.

- Il y a sûrement un tas d'ados avec des jumelles ou un télescope qui se branlent en te regardant te faire baiser comme la dernière des salopes.

Chaque coup de rein, chaque soupir qui s'écrase sur son visage ou ses cheveux, fais appuyer son corps sur l'immense vitre qui nous sépare du vide. Mon propre bras me fait mal car je le presse contre elle en tordant et poussant mon pouce dans son cul pour le travailler autant que possible et la stimuler de tous les côtés.

Le traitement dégradant se poursuit durant cinq bonnes minutes quand je ralenti quelques instants pour retirer mon pouce que je ne sens même plus. Il risque de rester endolorit quelques minutes, mais ça valait le coup.
J'espère qu'elle ne pense pas qu'il s'agisse d'une pause car je m'humidifie rapidement l'index et le majeur droit qui viennent remplacer leur frangin dans le cul de la vilaine vendeuse sur laquelle je m'appuie de mon autre main posée sur mon épaule histoire de poursuivre à la plaquer et bloquer ses mouvements.

Les coups de bite se mettent à pleuvoir avec une intensité folle. Peu importe de finir crevé et couvert de sueur. De ne plus pouvoir respirer quitte à en crever.

- Sauf que cette salope est à moi. Dis-leur, Kara ! Gueule-le assez fort pour qu'ils t'entendent de chez eux !

Mes deux doigts s'enfoncent alors encore plus profondément dans son cul pendant que je tourne le poignet pour les faire bouger dans des mouvements circulaires tout en continuant de faire claquer nos chairs l'une contre l'autre en gémissent comme un animal en chaleur.

L'orgasme et la libération ne vont plus tarder désormais. C'est plus une question de secondes que de minutes vu mon état.

- Urgh... Et mes salopes... Je leur rempli... la chaaaa-

Je n'ai même pas le temps de terminer ma phrase que ce qui devait se produire arrive.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le dimanche 24 janvier 2021, 17:27:37
C’était si fort et intense, que la trouille d’être vue par quelqu’un en devenait excitante. Elle avait une image désormais tellement excellente d’elle-même, magnifiée par les compliments et les actes de Souta, que Kara se sentait aussi divine que ses nanas ultra belles des magazines. En se cambrant de plus en plus, elle accentuait le creux de son dos et les coups de butoir sauvage contre ses fesses.

Elle y avait vraiment cru, pourtant, quand il avait réclamé sa langue, soupirant langoureusement pour avoir son baiser, et se retrouvant, dans un hoquet, avec un pouce au fond du gosier.

« Hmmmmmmph… ! »

Mais elle le suce comme une démente, creuse ses joues, gémit de plus en plus, tellement il s’acharne derrière elle, c’est trop bon, c’est trop bon ! Elle sent le plaisir rendre ses yeux humides, ses pommettes sont déjà en feu, et sans parler de son bas-ventre qui se consume et se liquéfie. Elle est tellement trempée que l’énorme membre glisse facilement, c’en devient insoutenable tellement c’est intense. Son crâne va exploser, il la rend totalement folle.

La température corporelle déjà élevée gagne plusieurs degrés lorsqu’elle sent le pouce de Souta, qu’elle a elle-même bien trempé, s’enfoncer entre ses fesses, et la sueur qui perlait à son front goutte lentement. Elle couine encore plus, ça devient impossible de se faire, ses vocalises s’accentuent et couvrent presque les encouragements de son amant.

Lorsqu’il se retire son corps entier tremble de plaisir, se sentant au bord de l’orgasme, et ses jambes ayant désormais du mal à se tenir correctement, supporter son poids, supporter les assauts de plus en plus prodigieux. Kara ne sait plus réfléchir, hurle lorsqu’il enfonce deux doigts, se mord la lèvres violement.

« NNNNNNNNNNNNNNNN….. »

Son bassin ondule et essaye d’encaisser les coups, mais elle s’écrase à chaque élan et crie contre la paroi vitrée, créant de la buée et salivant à grosses gouttes.

« Oui ! Oui Souta ! J’suis à toi ! J’suis ta salope, la tienne, la tienne !! »

Elle cri tellement que ça lui vrille les tympans, d’autant qu’elle perçoit les gémissements rauques de Souta derrière elle, il éructe, il s’acharne sur elle, la sensation d’être prise totalement, contrainte, forcée, tenue contre la vitre où ses formes se compressent.

« Souta ! Souta ! Oui ! »

C’est trop ! C’est trop ! Une vague violente de plaisir la submerge d’un coup, alors qu’elle se fait ravager les entrailles, d’un coup sec. Une extase immense la convulse totalement, elle sent les spasmes de Souta en elle, jouit de plus belle en se lâchant en de longs râles, les yeux révulsés.

Kara tremble tellement, ses genoux flanchent, et si Souta ne la retenait pas, sans doute serait-elle déjà par terre. Ses contractions durent longtemps, c’est intense, insensé, elle n’en finit plus de soupirer sa voix en un long filet continu. Tiraillée par de longues sueurs froides et des coups de chauds phénoménaux, la jeune femme saisit une seconde d’énergie restante pour repousser doucement son partenaire en sueur, s’écarter de lui pour briser cette communion extatique, et lui sauter au cou.

Cette fois, totalement euphorique après cet orgasme, elle l’enserre entre ses bras luisants, la peau poisseuse, exaltée et nimbée d’une aura de félicité immense. Sa bouche vient à la rencontre de la sienne, elle la cueille avec ferveur, transportée et en liesse. Son baiser est fiévreux et presque mystique, ivre de ses lèvres. Elle soupire, par les narines, contre sa peau sans vouloir le lâcher. Elle n’a jamais ressenti ça. C’est comme être sur un nuage.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le dimanche 24 janvier 2021, 17:56:50
Comme une explosion, mon sperme se met à jaillir entre ses cuisses pour suivre le même schéma qui sa mouille plus tôt alors que je donne les derniers coups de rein avant de me faire repousser et sauter dessus par la désormais plus du tout timide Kara.

En plus de la flaque qu'on a dû laissé sur place entre nos jambes devant le mur en verre renforcé, une seconde va rapidement se former plus loin car je me suis laissé tomber exprès pour l'avoir sur moi le temps de souffler un peu car on y est encore allé fort. Il serait plus juste de dire que j'y suis allé fort avec elle. Mais bon, détail...

Joueur, je glisse de nouveau mes deux doigts dans son anus qui offre cette fois plus de résistance. Même si elle doit se sentir beaucoup plus détendu, son corps subit encore les retombées de ce déferlement de jouissance et de brutalité.

- Pfoouu... Je crois que je vais rester comme ça une minute.

Chaque fois que mes poumons se remplissent d'air je peux voir le corps de Kara se surélever et son visage s'éloigner de quelques centimètres. Pour faire le chemin retour juste après.
Amusé, le visage couvert de sueur et éprouvant une difficulté certaine de formuler et terminer mes phrases d'une traite, j'ajoute...

- Tu m'as vidé. Que ce soit mes couilles ou mon énergie.

Je crois qu'on s'est plutôt bien trouvé et une alchimie certaine fait son effet lorsqu'on se fréquente. Quelque chose de fort, d'électrisant nous force à rester au contact l'un de l'autre. Tous ces efforts continus m'ont vraiment crevé. Lorsqu'on est en plein mouvement on ne ressent pas la fatigue. Celle-ci ne vous rattrape que lorsqu'on relâche son attention. Comme moi dans le cas présent.

Alors que l'idée de commander un truc au room service pour me rendre de l'énergie vu que je crève le dalle, mon estomac produit un son énorme qui résonne dans le salon.

- Oups, faut croire que manger ton petit cul suffira pas à me remplir le ventre.

J'éclate alors de rire pendant plusieurs secondes avant de m'arrêter pour fixer le plafond. A en juger par l'état actuel des choses je ne pense pas faire le moindre mouvement avant un long moment. Faim ou pas. La flemme prédomine et elle semble bien installée.
Même le sperme qui quittait ses cuisses pour couler ma queue ne me dérange pas et c'est à peine si je le sens.

La fatigue a ce don de faciliter les choses et de rendre tout et n'importe quoi presque insignifiant.
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Kara Desco le mercredi 27 janvier 2021, 09:41:59
Il fallait avouer qu’ils ressemblaient à deux loques, au sol, dans cette suite luxueuse qu’ils avaient bien contribué à dégueulasser par quelques touches. L’équipe d’entretien devait avoir l’habitude… Hm, commencer à songer à cela signifiait que Kara redescendait doucement de son petit nuage. Dans un état d’euphorie toujours délicieux, elle le garde entre ses bras en refusant catégoriquement de le laisser partir. Même si, évidemment, d’une pichenette, il aurait eu la capacité de la virer, il semblait que Souta était dans un état d’épuisement proche du sien.

Les yeux comme une junkie au nirvana, la jeune femme ricana en frottant son nez contre le sien, lorsqu’il évoqua le fameux repas du soir. Elle ne l’avait jamais vu aussi fatigué et sans énergie, et se dire qu’elle en était responsable, c’était assez agréable… Elle-même n’avait jamais connu une séance de sexe aussi intense, longue, étrange… Et bien sûr, pas dans ce contexte !

« C’est plutôt moi qui suis remplie… »

Elle plissa ses petits yeux fatigués avec malice, gloussant en enfouissant son visage dans son cou. Il était encore bouillant et le parfum de sa transpiration envahissait ses narines. Cette odeur si marquante après des ébats torrides la mettait toujours dans une sorte de transe rêveuse, espérant s’en imprégner durablement, pour s’en souvenir plus tard.

Sa main caressait nonchalamment ses cheveux collés à son front, en se perdant dans ses yeux, ayant à peine à force de relever la tête.

« T’es vraiment pas croyable… » Soupir. « Tu caches bien ton jeu… Tu peux être une vraie brute, et aussi très doux. » Kara ronronna un peu en lui souriant, elle n’avait pas la foi de rire comme lui, secouée par les soubresauts de son corps lorsqu’il parlait.

« J’suis bien dans tes bras, Souta. Viens, on habite ici, on travaille pas, on mange des pizzas et on les emmerde tous. »

On en dit, des conneries, quand on est comblée, hein ?
Bon, évidemment, l’idée de vivre avec quelqu’un lui déplaisait un peu, et d’autant plus, vivre aux crochets d’un homme. Ça, jamais ! Mais, en y réfléchissant, est-ce que ce n’était pas déjà ce qu’elle faisait depuis quelques jours ? Souta payait tout rubis sur l’ongle, et cette pensée fit naître une moue sur son visage luisant.

 « La prochaine fois qu’on se voit, c’est moi qui paye. J’suis pas une escort’ ou un truc du genre. T’arrêtes pas de m’offrir des trucs. »

Son index vint appuyer sur le bout de son nez comme si elle le réprimandait, mais souriait un peu trop pour que cela sonne véritablement pour un reproche. Kara le trouvait bien plus charmant, lorsqu’il n’avait plus d’énergie par sa faute. Il était presque attendrissant ! Sa bouche revint sur la sienne pendant que sa paume caressait sa joue et le serra à nouveau contre elle en soupirant.

« Par contre, ce sera pas un cinq étoiles, hein, j’ai pas les même moyens que toi ! »
Titre: Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]
Posté par: Souta et Janus le mercredi 27 janvier 2021, 10:21:39
Passés les échanges bestiaux et autres tirades bien pensées dans la chaleur de l'action, voilà que Kara retrouve un semblant de calme en revenant presque à ses anciennes habitudes en terme de réflexion. On peut facilement voir revenir la jeune femme hésitante qui a envie de tout plaquer et reprendre la vie depuis le début.

- C'est une idée. Mais j'pense que même moi j'en aurais marre de bouffer des pizzas à tous les repas.

Il existe certaines choses dont on peut abuser encore et encore. Et d'autres moins. Surtout qu'emmerder le monde et envoyer chier les cons je le fais au quotidien. On peut pas vraiment parler de nouveauté à ce niveau.
Après je peux comprendre. Kara est trop lisse, voir légèrement bonne poire. L'aider à se forger le caractère ne pourrait pas lui faire de mal. Sans la transformer en une personne complètement différente.

- Le pognon c'est pour fait pour être dépensé. Mais si c'est ce que tu veux, suffi de demander. Du moment que tout le monde est d'accord.

Je me laisse faire en rigolant et souriant à ses remarques suivantes. Surtout que ce qu'elle a dit est vrai : on est bien là. Pas de prise de tête, pas de responsabilité, pas de complexe. Juste du fun et de la détente entre deux personnes qui semblent bien coller.

On est bien resté allongé l'un sur l'autre pendant une bonne demie-heure avant de reprendre tranquillement des papouilles et autres caresses plus ou moins subtiles avant de se décider à commander à manger pour un régiment au room service.

Certains choses ne sont d'ailleurs pas utiliser dans le but de nous remplir l'estomac. Les parents demandent toujours à leur progéniture de ne pas jouer avec la bouffe. Si seulement ces coincés de la vie savaient ce qu'on pouvait faire avec du chocolat et de la chantilly. Même le miel et autres tapisseries se sont vues exploités et souillés de façons déconcertantes qu'on ne verrait pas dans un film pour adultes.

Ce n'est que vers les 4h du matin que le sommeil a fini par nous foutre tous les deux KO de manière quasiment synchrone. La journée suivante a été longue et compliquée pour nous deux je pense. En particulier pour moi vu que je reprends le boulot de nuit et qu'on va, du coup, moins pouvoir se voir.

Si tout se passe bien je passerai la prendre à son boulot dans trois jours. A défaut d'avoir plusieurs heures en tête-à-tête, on pourra au moins savourer le voyage.