Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Discussion démarrée par: Mélinda Warren le lundi 09 juillet 2018, 00:40:52

Titre: Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 09 juillet 2018, 00:40:52
C’était une singulière annonce qui avait fleuri dans le journal de l’école de Mishima. Une annonce que les petits protégés de Mélinda Warren avaient vu, et lui avaient reporté. Une annonce inattendue évoquant la recherche d’une « tutrice particulière » pour tous corps d’enseignements. Au sein de Mishima, lycée très particulier, il fallait savoir lire entre les lignes. Le tutorat, qui existait bel et bien, était souvent une excuse officielle dissimulant la volonté de certains élèves d’être asservis. Au lycée, au-delà du rapport élèves/professeurs, il y avait aussi une multitude de clans, de clubs, de grandes familles influentes, qui avaient la mainmise, non seulement sur les élèves, mais aussi sur certains professeurs et membres du personnel administratif. Mishima était un lycée très particulier, car il était le terrain de chasse de plusieurs esclavagistes comme Mélinda Warren. La vampire, qui se faisait passer pour une lycéenne à Mishima, habitait à Seikusu dans un grand manoir de style victorien bâti dans les hauteurs de la ville. Aussi riche que belle, elle était toujours en quête de nouveaux esclaves pour enrichir son harem. Quand elle avait vu l’annonce, elle s’était renseignée sur l’élève.

Elizabeth Ostwick... Son dossier scolaire mentionnait qu’elle était, comme une bonne partie d’élèves, une « étrangère », sans renseignements sur le pays natal. Autrement dit, une femme qui venait de Terra, et qui, grâce à la complicité de l’administration du lycée, disposait d’un dossier scolaire en bonne et due forme. Une lycéenne avec un corps incroyablement bien proportionné, des seins monstrueusement épais, et qui cherchait donc une Maîtresse.

« Très bien... Je vais répondre à son annonce. »

La jeune Elizabeth avait reçu dans son casier scolaire un petit papier, l’invitant à appeler un numéro de téléphone. Parallèlement, Mélinda avait mené son enquête, et avait découvert qu’Elizabeth se rendait à divers clubs échangistes et axés sadomasochisme au sein de la ville. Des activités théoriquement illégales pour son âge, mais, vu son corps, elle ne devait avoir aucune difficulté à se faire passer pour une adulte. Elle avait également assisté à des démonstrations de kinbaku, cet art particulier des cordes japonaises. Tout cela amenait donc Mélinda à lui proposer un rendez-vous en personne dans l’un des clubs qu’Elizabeth fréquentait.

Le club organisait, outre des spectacles au rez-de-chaussée, des séances particulières aux étages, dans des chambres. Des célibataires et des couples s’y rendaient particulièrement, soit pour entretenir une relation adultérine, soit pour coucher avec des hôtesses. Tout était axé BDSM, et Mélinda avait proposé de passer une nuit avec elle. Un « test », tout simplement, pour vérifier si cette Elizabeth était une fanfaronne, ou si elle voulait vraiment devenir une esclave. Elle avait reçu sur son téléphone portable un code à montrer au club pour organiser la soirée.

Et, le soir venu, Elizabeth vint. Les videurs obéirent aux instructions reçues, et mirent un bandeau autour des yeux d’Elizabeth, après lui avoir demandé de se changer dans un vestiaire à l’étage. Elizabeth avait ainsi troqué ses vêtements pour un sling bikini noir (http://img110.xooimage.com/files/f/6/1/410fmftvtnl-54c4e86.jpg), et, toujours les yeux bandés, avait ensuite été guidée rapidement dans une chambre.

Une chambre avec un grand lit rouge en forme de cœur, et divers instruments pour le sadomasochisme : chevalet, croix de Saint-André, pilori, et des placards abritant un nombre très élevé de sex toys... Elizabeth fut agenouillée au sol, les mains jointes derrière son crâne, et les agents sortirent ensuite, refermant la porte derrière eux. Quelques secondes passèrent ensuite avant qu’Elizabeth ne surprenne, sur le sol, le bruit de talons, et le crissement du latex, tandis qu’une femme, visiblement, marchait doucement vers elle.

« Elizabeth Ostwick... Tes seins sont encore plus gros que ce que les photos montrent. C’est très impressionnant, ma belle... Et, puisque tu as accepté mon invitation, j’en déduis que ton offre n’était pas de la pure vantardise. »

C’était une voix forte, mais aussi chaleureuse, sensuelle, qui se rapprochait d’elle. Finalement, une paire de mains gantées se posa sur son visage, et, d’un coup sec, Mélinda retira le bandeau obstruant la vision d’Elizabeth. Celle-ci put ainsi voir, devant elle, sa belle Maîtresse, dans une tenue adaptée (http://img110.xooimage.com/files/1/3/6/melinda_suit-54c4e73.jpg) pour leur soirée. Elle lui sourit doucement, avant de se présenter :

« Je suis ta Maîtresse pour ce soir, Elizabeth... Au moins. Es-tu prête à devenir une bonne chienne, ma beauté ? »
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 09 juillet 2018, 01:47:58
L'annonce qu'avait déposée Elizabeth était claire : Elle recherchait une maîtresse pour une relation ou les limites de la moralité étaient repoussées. Tout était permis, surtout la débauche et la luxure. La jeune femme avait également posté bon nombre de photos d'elle et de son corps défiant toute concurrence, mettant en valeur sa poitrine exceptionnelle et son fessier qui n'était pas en reste. La jeune femme avait déjà refusé nombre de réponses, toutes des joueuses ou des hommes n'ayant même pas compris la demande qu'elle faisait. Dans tous les clubs ou elle allait, la jeune femme était devenue connue pour être aussi désirable qu'inaccessible, refusant systématiquement toutes les avances qui lui étaient faites. Son pouvoir dangereux suffisait à décourager quiconque tentait de l'approcher de trop près, ce qui lui octroyait un certain sentiment de supériorité. Quelque chose n'allait pas, ce n'était pas à elle de dominer ! Et bien heureusement, aujourd'hui, Elizabeth avait reçu une réponse intéressante. La première depuis qu'elle s'était enfuie.
 
Une simple lettre, un petit papier placé dans son casier, lui intimant d'appeler un numéro de téléphone. Elizabeth commença par y répondre favorablement, la plupart du temps les gens ne se montraient pas si mystérieux. La jeune femme se devait d'aller plus loin, rien ne l'empêcherait de refuser une fois en face de la personne si celle-ci ne se montrait pas à la hauteur. La personne à l'autre bout du fil lui donna donc rendez-vous dans l'un des nombreux clubs qu'elle fréquentait, et la jeune lycéenne à l'opulente poitrine accepta sans rechigner. Une cliente régulière peut-être ? Amusant. Elizabeth commençait déjà à s'impatienter.

« Je me demande bien à quoi elle ressemble... »

Elizabeth se présenta au club. Elle n'était jamais montée dans l'une des chambres, faute de trouver chaussure à son pied. Pour la première fois, elle présenta le code qu'elle avait reçu sur son téléphone au club, ce qui ne manqua pas de surprendre. Les employés la reconnaissaient, une blonde aux yeux noisettes et à la poitrine d'une arrogance inouïe. Personne ne pouvait passer à côté sans la regarder. De face ou de dos, la vue y était tout aussi plaisante. Elizabeth en retirait une grande satisfaction, être admirée ainsi la gratifiait au plus haut point.

La jeune femme se changea dans un vestiaire à l'étage, délaissant ses vêtements moulants pour une tenue plus révélatrice. Un sling bikini noir, mettant parfaitement en valeur ses formes arrogantes. Sa poitrine rebelle peinait même à tenir à l'intérieur, tandis que son cul rebondit et moelleux recouvrait presque totalement le fin maillot qui lui passait entre les deux fesses. Il était difficile de nier qu'elle avait de l'allure, dans cet accoutrement provocateur. Rapidement après être sortie, on lui banda les yeux, ce qui n'était pas pour lui déplaire, et on la guida à une chambre.

Une fois arrivée dans la pièce, Elizabeth se tût. Il lui sembla un court instant qu'elle était seule, avant qu'un crissement de latex et de légers bruits de pas talonnés ne se firent entendre. Sa potentielle maîtresse était la. Comment allait-elle être ? Petite ? Grande ? Humaine ? Que d'excitation !

« Merci. Vous n'avez encore rien vu. »

Finalement, le bandeau lui fut retiré. La chambre était remplie à ras bord d'instruments en tout genre, qu'Elizabeth reconnu au premier coup d'oeil. Le lit en forme de cœur était particulièrement bienvenu, la jeune femme avait toujours eu envie d'être maltraitée dans ce genre de lit. Allez savoir pourquoi, une envie comme une autre sûrement. Mais ce qui retint son attention, c'était bel et bien la belle créature qui se dressait devant elle. Elle semblait jeune, bien trop, c'était sûrement un leurre. Peut-être une femme capable de rester jeune à tout jamais ? Quelle beauté inhumaine. Et cette tenue délicieuse ! Elizabeth était impressionnée, et surprise. La surprise était le premier élément déclencheur pour elle, elle allait devoir creuser plus loin à présent. Offrir son corps à Mélinda, et voir ce qu'elle pouvait bien lui faire subir...

« Si vous êtes une bonne maîtresse, je serais la meilleure chienne que vous n'aurez jamais soumise. »
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 16 juillet 2018, 01:00:34
Elizabeth avait des formes très impressionnantes. Il y avait ses seins, bien sûr. Monstrueux. Mélinda avait eu l’occasion de les observer, mais son dos n’était pas en reste non plus. Elle avait un délicieux cul rebondi, doux et moelleux, tendre, qui ne demandait qu’à ce qu’on le frappe. Les demandes d’Elizabeth étaient claires. Elle voulait d’une Maîtresse autoritaire, dominante, cruelle et perverse. Mélinda avait d’emblée cerné en elle l’esclave difficile, exigeante... La fille qu’il allait falloir mater, maîtriser rapidement. Avec sa petite taille, Mélinda ne payait pas de mine. On la sous-estimait volontiers, et c’était une grave erreur, sur laquelle, toutefois, elle comptait souvent beaucoup. De cette manière, elle pouvait piéger les femmes qui la mésestimaient, jouant de sa petite taille. Il suffisait pourtant de regarder dans ses yeux pour voir qu’il y avait, chez Mélinda, quelque chose de très particulier, une froide assurance mélangée à un zeste de perversion.

Elle croisa le regard d’Elizabeth, et, d’emblée, celle-ci posa les bases.

Si...

Une proposition de trop. Une réponse immédiate, cinglante. La main de Mélinda fendilla l’air, et gifla la joue droite d’Elizabeth, puis partit en arrière, et gifla la gauche. Et, malgré sa petite taille, la vampire avait une force redoutable, tellement forte qu’elle repoussa Elizabeth, la couchant sur le dos. D’emblée, Mélinda avait posé la balle au milieu du camp, et avait tapé dedans, l’envoyant dans le camp d’Elizabeth. Tandis que la potentielle esclave avait atterri sur le dos, Mélinda marqua son autorité, et posa un pied sur le ventre de la femme, l’étouffant à moitié, puis s’appuya sur ce pied, relevant son pied gauche, et le posa à son tour sur le corps de la femme.

Mélinda la domina ainsi de toute sa hauteur, et avait entre-temps récupéré dans le creux de sa main une cravache.

« Je crois qu’il faut d’emblée poser les bases, petite chienne... S’il y a une personne qui a des exigences ici, c’est moi ! Toi, tu n’es qu’une sale chienne qui devrait se sentir honorée rien que par le fait que je daigne poser mon regard sur toi ! »

Ne rien laisser passer, et surtout pas les mots... Car les mots avaient un poids, ils avaient un sens, et, si on laissait passer les mots, on ouvrait une brèche, une brèche indélébile qui ne se refermerait plus par la suite. Mélinda posa la cravache sur la bouche de la femme, et appuya encore avec ses pieds, restant comme ça pendant quelques secondes... Puis posa ses pieds à gauche et à droite du corps de la femme.

« Nous partons sur une très mauvaise base, petite chienne, tu as besoin d’être dressée ! »

La cravache se releva, puis s’abaissa encore, tapotant les lèvres de la femme.

« Lèche la cravate, salope... Promets que tu seras une bonne chienne... Implore ma pitié ! »

Mélinda, en tout cas, se lançait très rapidement dans le jeu...
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 04:12:23
Du côté d'Elizabeth, celle-ci ne parvint pas à cerner Mélinda au premier coup d'oeil. Elle semblait trop petite pour lui faire du mal et la soumettre, et c'est pourtant ce qu'elle recherchait. D'un autre côté, elle n'aurait sûrement pas répondu à son annonce si elle ne se pensait pas capable de la soumettre. Elle avait reçu beaucoup de propositions, mais celle de Mélinda était... différente. Et enfin, ces yeux, quelque chose dans ce regard la fascinait. Quelque chose lui disait qu'elle avait trouvé ce qu'elle cherchait, en cette femme. Elizabeth avait été violée par de nombreux pervers au cours de son enfance dans la secte, mais aucun d'entre eux ne possédait ce regard. Quelque part, Elizabeth avait toujours désiré être une bonne chienne. Pas un simple sac à foutre que l'on remplit avant de jeter. Une vraie chienne, à qui l'on fait subir moult sévices sexuels sans imposer de limites, une chienne que l'on traite comme une moins que rien. C'est ce qu'Elizabeth voulait, une absence totale de considération pour sa personne, que l'on lui rappelle qu'elle n'existe que pour être maltraitée sexuellement. Et, dans ce regard, la jeune femme espérait y voir la maîtresse qu'elle cherchait.

Une claque cinglante lui arracha un petit gémissement. La jeune femme ne s'y attendait pas. Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait pas traitée ainsi. Si longtemps qu'elle en avait oublié la sensation. Alors qu'elle posa une main sur sa joue pour la masser, une seconde claque vint retentir contre l'autre joue, l'envoyant au sol. Cette femme... elle avait une force incroyable ! Cela devait se montrer sûrement utile pour la violenter ! Ce n'était que le début, et Elizabeth aimait déjà ce qui était en train d'arriver. C'est ça, qu'elle cherchait. De l'autorité, une femme supérieure à elle ! Alors que sa nouvelle maîtresse vint poser un pied sur son ventre en signe de soumission, Elizabeth expira brusquement, le souffle coupé. Le deuxième pied ne vint qu'enfoncer le clou, alors qu'Elizabeth devait la maintenir de tout son poids.

- Hmmgnnn...

Elle n'osait pas protester. Mélinda savait s'y prendre pour trouver les mots justes. Elizabeth aimait cela, pour l'instant. Mais la jeune femme ne voulait assurément pas en rester la, et était convaincue que Mélinda n'avait même pas commencé. Elizabeth ne voulait pas être ménagée, mais rabaissée, avoir honte de ce qu'elle est, une simple chienne en manque d'attention et de dressage. Elle cligna plusieurs fois des yeux en poussant de légers gémissements alors que Mélinda lui tapotait les lèvres à l'aide de sa cravache, l'objet de base pour toute maîtresse qui se respecte.

- Pardon, maîtresse ! Je suis une mauvaise chienne, je ne recommencerai plus ! Je serais à vos pieds, je vous en fait le serment !

Elizabeth s'exécuta, et lécha goulûment la cravache qu'elle lui tendait, comme une vraie petite chienne. Bien qu'elle la regardait d'un air apeuré, Mélinda n'était sûrement pas idiote. Elle avait dû soumettre de nombreuses esclaves par le passé. Par conséquent, elle devait sûrement voir dans le regard d'Elizabeth que la jeune femme adorait ça et en redemandait à mesure qu'elle léchait et suçait la cravache, qu'elle espérait sentir bientôt claquer contre sa peau.

- Huuum... sluurp...
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 22 juillet 2018, 23:14:16
Il y avait le regard d’Elizabeth, oui, qui était limpide, mais Mélinda se fiait à un indicateur absolument infaillible : son sang. Aucun esclave ne ressemblait vraiment à une autre, et Mélinda, qui avait des centaines d’esclaves, le savait pertinemment. Certains étaient douillets, n’aimaient pas se faire battre, mais aimaient juste l’idée d’obéir à quelqu’un d’autre, des timides ayant du mal à assumer leurs pulsions, et qu’il fallait titiller délicatement. Mais d’autres étaient de grands pervers, des individus qui cherchaient du masochisme pur, et de la douleur absolue. Mélinda avait rencontré de tout dans sa profession, et elle savait qu’elle se livrait à un rôle de funambule, à mi-chemin au-dessus des abysses de la folie et de la démence. Le sadomasochisme nageait à mi-chemin de la folie pure, et était en ce sens la quintessence des contradictions humaines. La vampire avait opté pour la manière forte, et sentit le sang d’Elizabeth s’emballer furieusement quand elle la piétina, l’humiliant violemment. Des gifles puissantes avaient rapidement amené Elizabeth à constater que, malgré sa petite taille, Mélinda avait une force terrible.

La vampire sourit donc en voyant la femme lécher sa cravache, et pencha la tête sur le côté.

« Au moins, tu le reconnais... Mais les mauvaises chiennes, ça se dresse. J’ai la nuit pour faire de toi une pure salope. Pour commencer... Je vais te renommer. Elizabeth, c’est le nom de baptême que tu portes en-dehors de ces murs. Est-ce qu’on appelle une chienne Elizabeth, hein ? »

Elizabeth était aussi un nom sacré pour Mélinda. C’était le nom de sa défunte mère, et celui qu’elle avait donné à sa fille biologique*. Une esclave ne pouvait donc décemment pas porter un nom aussi noble. La cravache se releva, et tapota doucement le nez de la femme, comme le calme avant la tempête.

« Dorénavant, tu t’appelleras... Choupette ! Ça te va bien, non ? Car, crois-moi, je vais beaucoup te croquer ce soir, Choupette. »

La cravache s’abattit ensuite sur le nez de « Choupette », et Mélinda sourit encore. Elle était toujours debout sur le corps de la femme, et se déplaça alors, posant ses jambes à droite et à gauche de sa tête.

« Commençons par quelque chose de simple, Choupette. Mets-toi à quatre pattes ! »

Mélinda s’écarta un peu, et laissa Choupette agir. Si jamais la jeune femme faisait mine de vouloir parler, la cravache s’abattait violemment sur son corps, et Mélinda précisa alors :

« Depuis quand une chienne parle, hum ? Tu aboies, mais sache que je n’aime pas les chiennes indisciplinées qui aboient trop fort ! »

La vampire allait commencer tranquillement, car elles avaient toute la nuit pour jouer. Elle récupéra donc un collier à clous rose, et le mit autour du cou de Choupette, avec une laisse en cuir, puis bondit ensuite sur son dos, s’installant à califourchon sur elle. Tenant la laisse d’une main, elle abattit avec l’autre sa cravache sur le cul de la femme.

« Allez, Choupette ! Fais le tour de la pièce, allez ! »

Et, pendant ce temps, la cravache s’abattait régulièrement sur le cul de la chienne de Mélinda.

Le dressage pouvait commencer !



* : Cf. RP « Le rêve de toute une vie (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=19003#top_subject) ».
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 23 juillet 2018, 02:57:26
Et Mélinda n'avait sûrement pas fini de sentir le sang d'Elizabeth s'emballer ainsi. Rien qu'à penser à ce qu'elle allait lui faire ce soir, Elizabeth en mouilla son entrejambe. Cela faisait si longtemps qu'elle se retenait, recherchant la maîtresse parfaite, repoussant systématiquement les avances des autres... parfois à regret. La jeune femme avait besoin de sexe, besoin d'être une chienne, et cette longue année sans rapports avait été tout bonnement interminable. Cette soirée allait marquer le début d'une longue vie d'esclave, c'est bien ce qu'espérait Elizabeth. La jeune femme, désormais chienne, était impatiente de commencer, elle n'en pouvait plus. Mais une bonne chienne ne proteste pas, elle ne parle pas non plus de ses envies. Une bonne chienne obéit ! La jeune femme accepta donc sans broncher son petit surnom, très mignon par ailleurs. Choupette ? Elle allait désormais se nommer ainsi, peut-être pour l'éternité, qui sait. Elizabeth ne savait pas quel rapport entretenait Mélinda avec ce prénom, et cela importait peu. Désormais, Choupette était née.

Et alors qu'elle se redressa pour se mettre à quatre pattes, haletante puisqu'elle pouvait enfin respirer normalement, la jeune femme ouvrit la bouche... et fut stoppée net par Mélinda. Les chiennes ne parlent pas. C'est vrai... et Elizabeth ne savait pas quoi en penser. La jeune femme était très, très expressive lors de ses débats, tant oralement que corporellement. Elle n'était pas certaine de pouvoir contenir ses cris de jouissance, ni ses petites phrases vulgaires en plein coeur de l'action. Elle allait néanmoins essayer ! Une bonne chienne obéit, et elle en était une assurément. Il allait sûrement être difficile de convaincre Mélinda au vu du nombre d'esclaves qu'elle possédait, mais choupette allait faire de son mieux pour devenir une esclave d'exception pour sa maîtresse. Aucune limite, aucune retenue, la luxure et l'humiliation avant tout. C'est donc tout naturellement que la jeune chienne poussa un petit aboiement pour approuver la décision de sa maîtresse.

- Waf !

Suite à cela, Choupette accueillit sa maîtresse sur son dos, et commença à faire le tour de la pièce à quatre pattes. Elle se devait d'être irréprochable, et adopta donc une allure ni trop rapide ni trop lente, essayant de faire au mieux. Sa monstrueuse poitrine traînait d'ailleurs au sol, ce qui la fatiguait considérablement. La jeune femme ne s'était jamais réellement habituée à cette paire de seins qui s'était mise à grandir lorsqu'elle avait atteint ses quinze ans, et ils lui causaient beaucoup de douleurs au dos. Ainsi positionnée, à quatre pattes, les traîner n'était que plus difficile, mais la jeune femme en retira satisfaction. Malgré les douleurs occasionnées, ses seins restaient une fierté, et sentir ses mamelons frotter ainsi contre le sol de la pièce lui procuraient au moins autant de plaisir que de jouer la chienne !

- Wouf wouf !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 23 juillet 2018, 21:57:48
Un premier coup de cravache s’abattit sur la croupe de Choupette. Mélinda savait qu’elle lui imposait un choix difficile, car elle savait combien les masochistes de ce type aimaient s’insulter. La vampire n’était pas idiote, mais, après tout, il fallait bien un motif pour punir sa chienne, non ?

« Allez, salope, on ne se repose pas ! T’ai-je ordonné de t’arrêter, hum ? Allez ! »

Elle la cravachait à chaque fois que Choupette feignait de s’arrêter, ou juste parce qu’elle avait envie de le faire. Choupette marchait donc en faisant traîner ses lourds seins sur le sol. Mélinda était souvent impressionnée par les poitrines de certains individus, très grosses, et naturelles. C’était assez troublant. La Nature réservait son lot de surprises, et Choupette en était une belle ! Mélinda comptait s’occuper d’elle avec soin et attention, et c’est à ce titre que les deux femmes se déplaçaient lentement. La vampire continuait à la battre, se tortillant sur place.

Tout en faisant son petit tour, elle en profitait pour se présenter davantage :

« Je suis une riche femme, Choupette. Très, très riche, car je dirige de nombreux esclaves, qui sont toutes des salopes comme toi. Elles se prostituent pour moi, elles m’offrent même leurs bébés, et leurs enfants sont éduqués pour devenir des esclaves et me servir personnellement. Tu comprends ? Certains naissent dans le seul but de me servir... Alors que toi, sale chienne, je te connais depuis moins d’une heure. Ma simple présence est un honneur exceptionnel pour une salope comme toi. »

Mélinda laisserait Choupette s’interroger sur le fait de savoir comment une fille ressemblant à une adolescente pouvait avoir autant d’esclaves. Parlait-elle de ses parents ? Ou peut-être que Choupette savait déjà que Seikusu était une ville particulière, située à un point de frottement entre deux dimensions ? Quoi qu’il en soit, Mélinda continuait à l’humilier, et à se présenter :

« Si je suis venue en personne, Choupette, c’est parce que j’ai senti en toi le potentiel d’une salope et d’une chienne hors concours. Mon instinct me trompe rarement, alors, nous verrons si c’est le cas. »

Un nouveau coup de cravache s’abattit encore sur elle, puis Mélinda décida de mettre fin à ce petit tour.

« Arrête-toi là. »

Elles étaient contre le mur, et Mélinda se décolla du corps de Choupette. Celle-ci avait maintenant un cul bien rougi, zébré par les coups de cravache de la vampire. De multiples options s’offraient à elle, mais la vampire décida d’emblée de passer à autre chose.

« Ce qui va suivre est très simple, Choupette. Cette nuit va être une longue audition pour toi, et, si tu la réussis, tu gagneras le droit d’être ma chienne. Commençons donc ! »

Sur un ton enjoué, Mélinda tira sur la fermeture Éclair de sa combinaison, à hauteur de son sexe, et se concentra ensuite un peu. Elle ferma les yeux, et soupira alors, avant qu’une verge ne jaillisse de son sexe. Mélinda était en effet une hermaphrodite, et elle comptait bien d’emblée passer aux choses sérieuses avec sa Choupette !

« Je vais commencer par pisser dans ta bouche. Tu peux avaler les premières gorgées, mais je veux que tu conserves ensuite mon urine dans ta bouche. Je vais ensuite te prendre en levrette, et ce n’est que quand j’aurais joui que tu auras le droit de boire ma pisse ! »

Les choses sérieuses pouvaient commencer, tandis que la verge de Mélinda était tendue, dressée vers la bouche de Choupette...
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 24 juillet 2018, 00:22:20
Choupette couinait de sa petite voix aiguë, presque attendrissante, à chaque coup de cravache. La jeune chienne était très réceptive à toute forme de soumission, et la cravache n'était que la première étape. Elle permettait de la mettre en conditions, de lui faire comprendre qu'elle était une bonne petite chienne devant obéir. Bien sûr, de par sa nature de soumise, Choupette obéissait, mais ne pouvait s'empêcher de s'arrêter à quelques reprises pour être punie. Mélinda ne manqua donc pas de la couvrir de coups de cravache, claquant en rythme sur son fessier rebondit qui rougissait à vue d'oeil. Choupette espérait néanmoins avoir droit à la fessée plus tard !

La chienne avançait néanmoins convenablement, il ne faudrait pas décevoir sa maîtresse. Choupette resta silencieuse tout le temps du trajet, poussant quelques petits aboiements ça et là, en prenant garde de ne pas couper la parole à sa maîtresse. Elle était décidément tombée sur la perle rare ! Mélinda était très intéressante pour elle. Une femme fortunée à la tête d'une centaine d'esclaves diverses, possédant un véritable harem. Choupette eut l'espace d'un instant quelques doutes, comment s'occuperait-elle d'elle au milieu de toutes ces esclaves ? Elle s'en lasserait peut-être au final. Mais l'idée de se prostituer, ce serait si sale... Choupette voulait être la chienne de Mélinda, pas d'un autre ! Elle allait devoir s'affirmer pour le lui prouver. Et ses mots la comblèrent de joie, lorsqu'elle affirma voir une potentielle chienne hors concours. Elle fera tout pour y arriver !

La jeune chienne s'arrêta sur les ordres de sa maîtresse, sentant son cul encore douloureux suite aux coups de cravache. Et quelle fut sa surprise lorsqu'elle vit un sexe masculin se former entre les jambes de Mélinda ! La jeune femme connaissait ces pratiques, pouvant elle-même modifier son corps à l'aide de son pouvoir. Mais une femme à l'apparence si jeune... Choupette était agréablement surprise. Et elle le fut davantage quand Mélinda exposa ses intentions. C'était une proposition excitante, qui ne rebuta pas un instant la jeune femme. Choupette aimait la pisse, c'était un fait. En réalité, le goût n'y était pour rien, mais le simple acte de lui uriner dessus avait quelque chose d'incroyablement excitant. Cela reflétait un tel manque de considération qu'elle ne pouvait qu'en être excitée, et ouvrit grand la bouche pour le lui signifier ! Choupette relevait le défi !

- Aaaaaah...

Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 02 août 2018, 10:45:01
Comme elle s’y attendait, Choupette n’hésita pas longtemps. Son sang tambourinait dans sa poitrine, et le regard de Choupette témoignait de son profond plaisir en entendant ce qui allait lui arriver. Elle avait été battue pendant une bonne dizaine de minutes, et ce n’était évidemment que le début de la soirée. Mélinda était une vampire, et savait maîtriser son rythme cardiaque et son adrénaline pour être insatiable, et ce d’autant qu’elle avait des tendances nymphomanes qu’elle ne cherchait pas à refouler. Le sexe de la vampire se dressait ainsi devant le visage de sa chienne, qui ouvrit la bouche, attendant le jet jaune. La vampire sourit donc, et posa sa main sur son sexe, puis s’avança d’un pas, fourrant sa queue dans sa bouche. Son autre main saisit les cheveux de la femme, et la vampire banda les muscles, forçant un peu. Sa queue tressauta sur place, puis l’urine jaillit alors de son sexe, filant dans la bouche de la femme.

Un délicieux jet doré qui fusa pendant plusieurs dizaines de secondes. Sur ce point aussi, Mélinda savait se montrer généreuse, et elle le faisait pleinement. Ses yeux s’illuminèrent pendant quelques instants, et elle soupira même. Sa queue continua à se relâcher, balançant des jets d’urine, avant qu’elle ne s’arrête. Mélinda balança encore quelques jets, puis retira sa queue, légèrement humide, avec des gouttes et des traînées d’urine dessus.

« Nettoie-là avec tes joues, frotte-toi dessus ! » ordonna-t-elle.

Choupette obtempéra, la bouche pleine. Elle avait l’urine en elle, un délicieux jet doré qui allait devoir rester en elle. Mélinda pencha la tête sur le côté, regardant Choupette frotter son visage sur son sexe, puis hocha la tête.

« Allez, ma belle... J’ai très envie de te défoncer la chatte, maintenant. À quatre pattes, vite ! »

La chienne se mit en position, incapable de parler, avec sa bouche pleine. Et Mélinda ne comptait évidemment pas y aller rapidement. Elle commença par récupérer un plug tail, un vibromasseur avec une queue poilue, et se rapprocha ensuite. Le sling bikini choisi disposait de fermetures à des endroits spécifiques, et elle en abaissa une, permettant ainsi d’avoir accès à son fondement. Là, Mélinda fourra sans difficulté le plug tail en elle, et elle gifla ensuite le cul de Choupette. Sa main s’abattit sur sa croupe à plusieurs reprises, permettant à Choupette de voir que sa Maîtresse avait une poigne ferme.

« Voilà... Que serait une chienne sans sa queue, hein ? Ne t’inquiète pas, ce n’est que le début... »

Mélinda parlait d’une voix douce et attendrie, et, après ça, elle approcha son sexe tendu du vagin de la femme, et la planta en elle.

« Ne recrache pas, hmm... Conserve ma pisse dans ta bouche, sale pute... »

La vampire s’enfonça en elle, et fila d’avant en arrière, la prenant en levrette, et posa ses deux mains sur ses fesses, pinçant son cul, et accéléra doucement le rythme.

« Là, voilà, hmmm... Ma salope, tu as une si belle chatte, hmmm... !! »
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 02 août 2018, 12:12:54
Choupette avala goulûment les premiers jets de l'urine dorée de sa maîtresse, un sourire satisfait aux lèvres. La jeune chienne n'en gâcha pas une goutte, alors que la queue de Mélinda était enfoncée dans sa bouche. La belle blonde garda ensuite en bouche les derniers jets d'urines comme lui avait demandé sa maîtresse, gonflant les joues pour lui faciliter la tâche mais surtout pour en garder plus. Choupette voulait la pisse et le sperme de sa maîtresse Mélinda, et devait pour cela le mériter. Elle comptait donc bien garder cette urine en bouche jusqu'à ce que sa maîtresse ne jouisse en elle. Peu importe combien de temps cela prendrait, Choupette avait elle aussi une endurance conséquente. Surtout de par son pouvoir, qui lui permettait techniquement de se "réinitialiser" à l'infini.

Choupette regarda Mélinda, les yeux brillants, soumise. Il ne lui fallut pas lui demander deux fois pour qu'elle n'essuie la queue de sa maîtresse avec son visage, recouvrant ses joues de quelques gouttes de pisse. Qu'il était bon d'être traitée ainsi !

- Hm !

Choupette acquiesça à la demande de Mélinda, elle aussi avait très envie de se faire défoncer la chatte par la queue de sa maîtresse. Ainsi, elle se plaça à quatre pattes, donnant une belle vue sur son fessier rebondit et sur sa chatte que l'on devinait ruisselante à travers la combinaison. Elle poussa un léger gémissement en sentant le plug entrer en son fondement, sans aucune difficulté cependant. Son anus avait eu le temps de s'élargir avec les nombreux viols qu'elle avait subit, tout comme son intimité. Choupette remarqua avec plaisir la poigne ferme de sa belle maîtresse, qui fit rebondir le fessier de la jeune chienne à chaque coup. Celui-ci claquait, se déformait même, pour revenir ensuite à son état initial. Une vraie guimauve.

Vint ensuite le meilleur moment : La pénétration ! Choupette accueillit avec joie la queue de Mélinda en elle, appuyant le bassin contre elle pour la prendre jusqu'au dernier centimètre. La chatte de la jeune chienne était déjà ruisselante de mouille, et tremblait de plaisir à chaque nouveau va et viens.

Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 08 août 2018, 18:00:25
Mélinda allait vite faire comprendre à Choupette que, dans le rayon de la perversion, la vampire n’avait rien à envier au reste. Si Choupette était une grande coquine en quête d’une Maîtresse suffisamment perverse pour lui permettre d’exprimer ses fantasmes, elle était bien tombée ! La bouche pleine d’urine, elle ne pouvait que subir pendant que Mélinda s’amusa à marteler son cul, le gratifiant de plusieurs fessées. Les fesses de Choupette rebondissaient à chaque claque, provoquant d’agréables bruits de claquements sonores. Un sourire moqueur sur les lèvres, Mélinda les pétrit ensuite doucement, les malaxant, avant de retourner les gifler. Elle aimait la sentir, cette délicieuse chair moelleuse qui se crispait sous ses doigts. C’était un contact exquis, très agréable, et Mélinda se plaisait à y revenir régulièrement, retournant gifler le délicieux cul de la femme.

Entre plusieurs claques, elle pénétra la femme, enfonçant sa belle verge tendue dans son con. Choupette couina sur place, mais parvint à ne pas recracher l’urine, et Mélinda commença par la bourrer, sèchement, furieusement, pinçant son cul. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes, le temps qu’elle se familiarise bien avec le con de Choupette, qui ruisselait abondamment, qu’elle la gifla de nouveau. Une main pinçait le cul de Choupette, et l’autre la giflait énergiquement, s’abattant dessus à plusieurs reprises.

« Tu as vraiment un cul bien rebondi, ma Choupette ! J’adore le gifler, et ta chatte, hmmm… Une bonne petite chatte de salope !! »

La vampire gloussa alors, et la gifla à nouveau, fortement, imprimant l’empreinte de ses doigts et de ses griffes sur la chair de la femme. Tout en la giflant, son autre main attrapa la laisse, et elle tira dessus, soulevant le visage de Choupette, faisant remuer l’urine dans sa bouche. Mélinda ricana encore, enfonçant sa trique en elle, et se recula, avant de plonger de nouveau furieusement dessus, arrachant à Choupette de nouveaux couinements. Difficile pour la jeune femme, au vu de sa position, de s’exprimer ! Mélinda ne comptait pas y aller par le dos de la cuiller. D’entrée de jeu, les deux femmes avaient souhaité imposer à leur jeu un rythme soutenu et intensif, hard et énergique.

Sa main se serra sur la laisse, et elle ne pouvait qu’imaginer la frustration de cette jeune perverse, qui aurait sans doute aimé hurler à sa nouvelle Maîtresse le plaisir pervers qu’elle ressentait en ce moment. Las, Choupette ne pouvait que subir, bouche close, dans une posture qui était sans doute encore plus pernicieuse que celle qu’elle aurait ressenti en lui faisant l’amour de façon plus conventionnelle… Si tant est que ce soit dans leur situation puisse être qualifiée de conventionnelle.

« Là, ma belle, hmmm… N’oublie pas, ne lâche rien, haaaa… ! »

Et une nouvelle claque jaillit sur le cul de Choupette, rebondissant dans la pièce. Mélinda n’était clairement pas pressée de jouir en elle, et réciproquement.

Sa Choupette devait même être ravie de cette situation…
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 08 août 2018, 19:14:12
Effectivement, la chair de choupette était si tendre et moelleuse qu'elle en épousait la forme des mains de Mélinda sans problèmes, comme si elle tentait de l'avaler. La jeune chienne ne pouvait que pousser de petits gémissements, bridée par l'urine remplissant sa bouche qu'elle tentait, avec succès, de conserver. Sa maîtresse lui avait donné une consigne et elle se devait de la suivre, surtout que cela ne faisait que renforcer son plaisir ! Son cul claquait régulièrement au rythme des coups de reins de Mélinda, tout comme ses seins remuant comme deux bouées de leur côté. Un vrai garage à bites.

Ses fesses devenaient de plus en plus rouges au fil des fessées de sa maîtresse, sans parler de son entrejambe qui alla jusqu'à éjaculer plusieurs fois, envoyant des jets de cyprine sur les cuisses de Mélinda inévitablement. Choupette tremblotait, la chatte ruisselante, comme étant sous l'effet d'une drogue.

- Hmm ! Hm ! Hm hm hm hm ! Hmmmmmm !

Chaque coup de queue était plus délicieux et violent que le précédent, plus plaisant encore que la pisse maintenue dans sa bouche. Il fut d'autant plus difficile de la retenir lorsque sa maîtresse tirait sur la laisse, avec la ferme intention de ne pas la ménager. C'est ce qu'elle recherchait après tout ! Pourvu qu'elle ne s'arrête jamais, pourvu qu'elle trouve toujours pire dans la perversion et la soumission qu'elle lui infligerait. Choupette était prête à accepter toutes les sentences possibles et imaginables, tant que le sexe était de la partie. Pour l'éternité.

La jeune chienne était d'ailleurs très endurante, parvenant malgré tout à tenir le coup. L'extase monta tant qu'elle fut même surprise de littéralement pisser chaque fois que Mélinda retirait son chibre d'elle. Il était très dur de se retenir de pisser sur sa maîtresse pendant la pénétration, et elle s'y serait bien laissée aller, si la femme qui était en train de lui refaire la chatte ne lui était pas supérieure.

- Glllglglglg....

La chienne continua de maintenir la pisse comme elle le pouvait, toujours capable d'encaisser. Elle n'était pas si pressée de jouir, malgré les liquides s'échappant de son entrejambe !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 08 août 2018, 21:02:38
Choupette avait droit à un sacré traitement. À la réflexion, Mélinda aurait peut-être pu y aller plus doucement au début, mais elle avait d’emblée vu en elle une grosse perverse, une masochiste en quête de sensations fortes. Au moins, tout ça n’irait pas jusqu’à la mutilation ! Pour l’heure, la vampire la bourrait furieusement, provoquant une série de claquements spongieux, tant la salope devant elle mouillait. Sa chienne avait eu plusieurs orgasmes, et, preuve de sa maîtrise et de son talent en matière de soumission, Choupette conservait encore en elle la pisse de sa Maîtresse ! Une tâche qui devait sans aucun doute être très difficile, car Mélinda la tringlait maintenant depuis plus d’une vingtaine de minutes, et Choupette devait conserver l’urine en elle, ne pas l’avaler dans un profond soupir, ou, inversement, la recracher brusquement sans le réaliser. Elle était donc contrainte de suivre le rythme, et s’en sortait admirablement bien.

Mélinda remuait donc dans son vagin, guère pressée de jouir, car soucieuse de voir jusqu’où Choupette était capable d’aller. Arriverait-elle encore à tenir ? Curieusement, elle ne sentait nul dégoût chez elle, mais, au contraire, une forte adrénaline, qui trahissait la profonde excitation qu’elle ressentait. La vampire en ricana encore, et gifla une nouvelle fois le cul rougi de sa chienne.

« Hmmm, ma petite Choupette, tu aimes vraiment ça, hein ? Sentir ma pisse en toi... Un acte si dégradant, hmmm... Si humiliant ! Sale chienne, haaaa... ! Petite pute ! »

La vampire se pinça les lèvres, sentant sa queue lui faire mal. Son sexe était bien gros, et il était tout serré dans la chatte de Choupette, de telle sorte qu’elle commençait effectivement à avoir mal ici, d’autant qu’elle avait sérieusement envie de jouir. Le désir était en train d’exploser en elle, et ses ongles ressortaient le long de ses doigts, griffant Choupette en s’appuyant à elle. Mélinda soupira encore, longuement, et ferma les yeux, son corps partant en arrière, puis en avant. Les coups de reins s’accentuaient, se prolongeaient, sans que rien ne semble devoir restreindre la passion de Mélinda, son énergie, son envie.

Inlassablement, elle baisait cette femme, y allant sans relâche, et plusieurs minutes passèrent encore. La vampire ignorait alors que Choupette avait une vessie pleine à craquer, et, quand la vampire se relâcha enfin, soit au bout d’une grosse demi-heure, elle poussa un long soupir... Avant de sentir Choupette pisser sur elle. La vessie de la femme se relâcha, et Mélinda cligna des yeux en sentant un liquide chaud couler su son sexe et sur ses jambes.

« Ohhh... Tu m’as pissé dessus ! »

Surprise, elle se retira. Elle avait joui, et même plutôt bien joui, mais observa sa queue, couverte d’urine, ainsi que ses collants et ses bottes.

« Sale chienne rebelle... Bois ma pisse, et viens nettoyer avec ta langue ! »

Ensuite... Ensuite, Mélinda la punirait tout de même très fort pour ce qu’elle venait de faire !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 08 août 2018, 22:53:23
Choupette parvint à tenir le rythme tant bien que mal, gardant précieusement l'urine de sa maîtresse en bouche, tout en pissant elle-même. Ce qui, inévitablement, éclaboussa Mélinda au grand dam de Choupette. Elle n'avait pas pu se retenir, sa vessie s'étant littéralement relâchée en pleine extase contre son gré. Les draps étaient désormais trempés de cyprine et de pisse, embaumant la pièce dans une puanteur sexuelle caractéristique. La jeune chienne se dépêcha d'ailleurs de s'excuser du regard, se doutant bien que cela ne changerait rien à son méfait. La chienne avala donc la pisse de sa maîtresse avec langueur et extase, délicieusement excitée par ce liquide qui coulait désormais dans sa gorge.

- Aaaaaahh hmmmm...

Choupette s'avança ensuite vers Mélinda à quatre pattes, comme une bonne chienne, et s'affaira à la nettoyer. Elle commença par ses collants, les léchant longuement, aspirant chaque goutte de pisse, avant d'enchaîner sur ses bottes pour ensuite finir par sa queue. Une si belle queue, toujours dressée, sur laquelle se jeta Choupette. La belle blonde suçait, aspirait, s'empalait littéralement la gorge sur ce membre jusqu'à en avoir des relents.

- Gargl garrggllggl gurp gargl gargl...

En réalité, la chienne continua même une fois sa queue bien nettoyée, les yeux rouges et humides, tandis qu'elle effectuait une gorge profonde toujours plus profonde... et alors qu'elle arrivait au firmament, la chienne décala la tête sur le côté du lit pour laisser s'échapper de longs filets de bave, à bout de souffle. Elle mit plusieurs secondes à pouvoir reprendre entièrement sa respiration, avant de relever la tête vers Mélinda, un petit sourire fier aux lèvres.

- Waf !

Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 09 août 2018, 01:26:07
Il fallait croire que cette femme avait été à bout de force, avec la vessie pleine. Sans doute était-elle aussi une ondiniste. Enfin, Mélinda avait déjà eu l’occasion de le remarquer. En effet, comment expliquer autrement qu’elle puisse tenir aussi longtemps ? Elle avait passé plus d’une demi-heure avec ce liquide jaunâtre en bouche. Mélinda était sûre que Choupette s’était relâchée presque volontairement, ou, en tout cas, que l’idée n’était pas d’offenser sa Maîtresse, mais clairement de lui montrer qu’elles étaient sur la même longueur d’onde. Avec sa queue trempée, Mélinda était assez répugnante, et Choupette s’empressa de la nettoyer.

Elle se précipita contre sa queue, et vint la pomper goulûment. Mélinda posa ses mains gantées sur les cheveux de sa Choupette, serrant sa chevelure, savourant le contact de sa bouche, de ses lèvres onctueuses qui se pressèrent sur son sexe, avalant son chibre.

« Oh, oh, mais quelle affamée, ma salope... ! » s’exclama-t-elle en sentant Choupette gober son sexe le plus profondément possible, optant pour une savoureuse gorge profonde.

Choupette était douée, clairement... Et insatiable ! Mélinda ferma les yeux pendant quelques secondes, puis l’observa ensuite. Elle vit la bouche de Choupette s’arquer sur son sexe, jusqu’à approcher de la régurgitation. Choupette retirait alors ce sexe, reprenant ses esprits, puis recommença à le pomper. Elle l’avait rapidement nettoyé en profondeur, le recouvrant de sa salive, puis s’écarta ensuite, estimant sa tâche remplie, et fit la belle, aboyant devant sa Maîtresse, comme pour montrer sa satisfaction et son contentement.

Toutefois, il allait falloir en faire plus pour que Mélinda oublie et pardonne ce qu’elle lui avait fait.

« Tu m’as pissé dessus, sale chienne, lui rappela-t-elle. Une bonne chienne NE PISSE PAS SUR SA MAÎTRESSE ! »

Malgré sa petite taille et sa bouille d’ange, Mélinda pouvait passer d’une voix fluette et séductrice à une voix plus grave et plus sourde. Sa main s’empara brusquement des cheveux de Choupette, et elle tira sèchement dessus, arrachant à la femme plusieurs hurlements, avant de la traîner au sol. Elle la jeta ensuite sur un tapis, près d’une croix de Saint-André, où elle attacha ensuite ses poignets et ses chevilles, ordonnant à sa chienne de se redresser pour cela, l’attachant avec le dos tourné face à elle.

Choupette se retrouva ainsi attachée à la croix en bois, bras et jambes écartés.

« Bon, commençons par ta correction, Choupette. Exceptionnellement, tu as le droit de parler en langage humain pendant que je vais te fouetter le cul. »

Mélinda avait récupéré un fouet, et fouetta l’air dans le vide, juste pour le plaisir d’entendre le son si caractéristique du fouet, ce sifflement suraigu qui déchirait l’air.

« Je veux que tu t’insultes, Choupette, que tu t’excuses d’être une aussi mauvaise esclave, une esclave sale, impudique, qui pisse partout comme une grosse chienne en rut. »

Le fouet se leva, et s’abattit alors brusquement sur son cul.

« PRENDS ÇA, SALE CHIENNE !! C’EST QUI LA SALOPE DE CHIENNE, HEIN ?! QUI EST-CE ?!! »

La nuit promettait d’être très longue !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 09 août 2018, 19:05:31
Choupette se fit traîner par les cheveux comme une pute, hurlant dans la pièce de sa voix suraiguë. Choupette prenait du plaisir à se faire maltraiter, et voulait que Mélinda se sente puissante. C'est pourquoi elle se laissa attacher sur la croix sans discuter, le cul tourné vers sa maîtresse. Son entrejambe ruisselait encore en continu, clairement assoiffée de sexe et de domination. La nuit s'annonçait délicieusement longue. Elle sursauta même en entendant le fouet claquer l'air, signe qu'elle allait être punie comme il se doit. Au moins pouvait-elle s'exprimer à présent.

- Hmmm... oui maîtresse ! Je suis une pute, une chienne qui aime pisser comme une sale !

Lui dit-elle, avant d'être assaillie de violents coups de fouet, lui déchirant le dos. Elizabeth se mit à hurler des insanités vis à vis d'elle même, essayant au mieux de se rabaisser plus bas que terre, après tout c'est ce qui l'excitait. Mélinda la comblait de bonheur.

- AAAAAAAAH ! JE SUIS UNE PUTE, UNE GROSSE SALOPE DE CHIENNE ! UN TROU A BITES QUI N'EXISTE QUE POUR SE FAIRE REMPLIR, UNE GROSSE PUTE BONNE QU'A PISSER, MON CUL ET MA CHATTE NE SERVENT QU'A SE FAIRE ÉLARGIR PAR VOTRE QUEUE MAÎTRESSE !

Comme pour illustrer ses propos, Elizabeth pissa sur le sol, laissant le liquide jaunâtre couler sur la croix de saint André. Oui, Elle était une ondiniste convaincue, de par son passé. Uriner était pour elle une preuve de déshumanisation, un acte digne d'un animal, une preuve de saleté. C'est ce que la jeune femme aimait, car si elle voulait être belle et désirable hors du sexe, une fois en pleine acte, la jeune femme devenait un objet.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 13 août 2018, 01:03:21
*TCHAC ! TCHAC !!*

Le son du fouet était toujours un régal pour Mélinda, surtout quand il s’abattait sur de la bonne chair, fraiche, moelleuse, et tendre à souhait. Heureusement, le fouet n’était pas tranchant, il était émoussé, et les coups qui s’abattaient, s’ils étaient bien évidemment douloureux et laissaient des marques rouges, ne tailladaient pas la chair comme l’aurait fait un vrai fouet. Après tout, Mélinda ne voulait pas mutiler Choupette, juste la corriger et l’humilier. Elle abattit donc le fouet, entendant à chaque fois Choupette hurler, s’insulter elle-même, le faisant sans aucune difficulté. Le fouet mordait sur ses fesses, les fouettant régulièrement, avant de se déplacer sur ses cuisses, le sommet de ses jambes, puis son dos.

Clairement, Mélinda avait une bonne maîtrise là-dedans, rabattant à chaque fois le fouet pour l’abattre encore. Elle distribuait parfois plusieurs coups de fouet d’affilée, et, parfois, se retenait, pour abattre le fouet après quelques instants, laissant le temps à Choupette de reprendre son souffle, et à la douleur de se diffuser.

*Et dire que ce n’est que ma première session avec elle… Que vais-je bien pouvoir faire d’elle à la longue ?*

Dans l’esprit de Mélinda, il était désormais clair qu’Elizabeth ne cesserait pas d’être Choupette à l’aube. Mélinda comptait bien faire d’elle une esclave à temps complet, l’emmener avec elle à son manoir, et lui offrir une vie de servitude et de stupre. Il ne faisait alors aucun doute, aux yeux de Mélinda, que c’était là tout ce que Choupette voulait : une Maîtresse pour la servir, pour exprimer toute sa luxure… Et visiblement tout son ondinisme.

Mélinda arrêta le fouet quand elle vit Choupette uriner à nouveau, la pisse dégoulinant le long de ses cuisses. Quelques secondes passèrent avant que Mélinda ne commente ça :

« Ma parole, Choupette, mais tu es une vraie chienne, à pisser partout ! Je crois que je vais faire de toi l’urinoir personnel de tout mon manoir. Des dizaines et des dizaines de filles et de garçons qui te pisseront régulièrement dessus, qu’en dis-tu ? »

Elle avait relâché le fouet pour se rapprocher de la femme, faisant claquer ses talons tout en parlant, et termina en giflant le cul de Choupette. Avec sa force surnaturelle de vampire, ses claques pouvaient être aussi douloureuses que des coups de fouet, ce que Choupette dut sentir avec ce coup appuyé.

« Ça te plairait, hein, Choupette ? Petite traînée vicieuse, sale salope, depuis combien de temps espères-tu rencontrer une Maîtresse qui soit à la hauteur de ta perversion de grosse pute en manque ? »
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 13 août 2018, 15:40:44
Choupette était heureuse ainsi, et le faisait bien assez savoir. La jeune femme en voulait toujours plus, tremblante, l'intimité ruisselante de mouille et de pisse. Beaucoup auraient été dégoûtés par ceci, mais pas sa maîtresse. Ce qui la conforta davantage dans sa conviction d'avoir trouvé la maîtresse qu'il lui fallait, une femme prête à lui faire subir tous les sévices possibles sans aucun remords.

- Aaaaaah oui... de la pisse, du foutre et de la mouille... s'il vous plaît maîtresse !

Son fessier rebondit se déformait sous les claques de Mélinda à mesure que celle-ci frappait, émettant de petites vagues. Choupette n'avait même pas eu besoin de faire de sport pour acquérir un corps pareil, puisque son pouvoir lui permettait de le modifier à volonté. En outre, la jeune chienne en jouait sans arrêt, peut-être allait-elle même intéresser Mélinda avec cette capacité. La jeune femme ne manqua d'ailleurs pas de remplir ses seins de lait pour pouvoir mieux exprimer son amour des fluides corporels, laissant le liquide blanc s'échapper de ses tétons sans même qu'ils ne soient pressés par quoi que ce soit. Choupette aimait la pisse, certes, mais le délicieux lait qu'elle pouvait produire comme une vache la satisfaisait tout autant.

- Hmmm... j'attends de puis trop longtemps... Choupette veut être une bonne pute depuis toujours !

La chienne se cambra du mieux qu'elle put pour pouvoir présenter son cul à Mélinda, prouvant son besoin de sexe inconditionnel. Elle voulait être remplie, par tous les trous, à l'infini. Être exhibée devant une centaine de personnes comme une bête de foire, et se faire pisser dessus comme la dernière des chiennes.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 19 août 2018, 22:15:06
Choupette semblait assez incroyable. Mélinda sentit du sang remuer à hauteur de ses seins, et, surprise, vit du lait en tomber. Du lait ?

*Hum...*

Tout ça n’était pas naturel ! Pour Mélinda, c’était la preuve que cette femme, avec sa poitrine monstrueuse, disposait de pouvoirs magiques cachés. Elle s’humecta les lèvres en la regardant, voyant Choupette tendre son cul vers elle. Il fallait admettre que Mélinda avait très envie de la sodomiser... Mais la vampire pouvait se montrer également très gourmande, et le lait dégoulinant de cette ondiniste créature n’était pas sans l’attirer également.

Elle entendit Choupette lui dire qu’elle attendait depuis longtemps, et voulait être « une bonne pute ». Mélinda sourit, et se rapprocha de ses seins, venant en masser un, et le pinça à hauteur du téton entre deux doigts. Le lait afflua, puis elle approcha ensuite sa bouche.

« Choupette n’est plus qu’une pute, maintenant... Jusqu’à ta mort. »

Mélinda posa ses lèvres sur son sein, et le téta donc, frémissant en sentant le lait remuer en elle. Son sexe caressa les cuisses de la femme, se redressant légèrement, tandis qu’elle continuait à boire son lait, sentant ce dernier filer par gorgées entières. Choupette produisait beaucoup de lait avec ses seins. Avant de la sodomiser, Mélinda comptait bien s’offrir un petit interlude maternel, et, entre deux lippées de lait, tenta de satisfaire sa curiosité :

« Comment ma petite Choupette fait-elle pour produire tout ce lait ? »

Il y avait là-dessous un mystère que Mélinda comptait bien résoudre !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 21 août 2018, 19:24:36
- Hmmm... Haaaan... maîtresse...

Choupette fut subjuguée par les lippées de Mélinda, honorée qu'elle boive son délicieux lait. Ainsi avait-elle la confirmation d'être à la hauteur ! Quel privilège d'être tétée ainsi, comme une maman ! Mais Choupette n'en restait pas moins une chienne. Aussi, lorsque Mélinda la questionna, elle lui révéla naturellement son pouvoir. Un pouvoir pouvant sembler effrayant, mais qu'elle n'utilisait jamais contre les gens. Du moins en temps normal. De toute manière, les créatures magiques puissantes n'avaient rien à en craindre.

- Choupette peut modifier son corps et tout ce qu'elle touche !

Dit-elle, grand sourire, les joues roses. Choupette était fière de ce pouvoir que la nature lui avait donné, et elle comptait bien le mettre à profit. La jeune femme pouvait ainsi livrer des performances sexuelles époustouflantes, n'ayant pas de limites. Les désirs de Mélinda étaient la seule chose qui lui importait en ce bas monde, avec le sexe.

- Baisez moi le cul maîtresse !

La supplia t-elle, bavant au passage, avide de sa queue.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 27 août 2018, 00:51:58
Choupette lui expliqua avoir, visiblement, des pouvoirs surnaturels. Tout cela restait toutefois assez vague. Modifier son corps et tout ce qu’elle touche... Est-ce que sa poitrine monstrueuse venait de là ? Une modification inconsciente de son propre corps pour se mettre en valeur ? Après tout, le fantasme d’une grosse poitrine était assez répandu, a fortiori au Japon, où les gros seins étaient très prisés... Mélinda l’observa donc, silencieuse. En soi, elle ne doutait pas de la sincérité de Choupette. Le simple fait qu’elle puisse produire autant de lait était, en soi, la preuve de ce qu’elle avançait... D’autant que ce lait, très revigorant, devait avoir quelques vertus aphrodisiaques, puisqu’il brûlait dans la gorge de la vampire, et se répandait dans le reste de son organisme. Mélinda sentit d’ailleurs sa queue se redresser doucement, ses joues se mettant à rougir sur place, tandis qu’elle observait encore le corps de Choupette. Se dandinant sur place, celle-ci finit par lui demander de lui défoncer le cul... Donnant lieu à une réaction immédiate.

La vampire récupéra sa cravache, et gifla le visage de Choupette avec, frappant une joue, puis l’autre joue, avant de revenir sur la première joue, tout en la sermonnant :

« Vilaine esclave ! C’est ta Maîtresse qui décide, pas toi qui te propose ! Vilaine, vilaine, vilaine ! »

En soi, la sodomiser faisait justement partie des envies de Mélinda... Mais il fallait que l’ordre vienne d’elle ! Et puis, chaque occasion était bonne pour rappeler son autorité sur cette femme. Pour l’heure, Mélinda devait voir quoi voir de cette information, et comment l’utiliser au mieux pour satisfaire ses propres pulsions, mais aussi ses désirs profonds. Elle avait bien retenu que Choupette disposait de capacités paranormales, mais, pour l’heure... Place au spectacle !

Mélinda reposa ensuite sa cravache, et sourit doucement à l’intéressée, un sourire pervers.

« Mais bon... Puisque tu es une chienne rebelle, je vais t’enculer à sec ! »

C’était aussi une bonne manière de tester l’étendue de ses pouvoirs, puisque, si Choupette pouvait modifier les propriétés de son organisme, elle devrait alors réussir à supporter la douleur terrible que cette scène allait engendrer. Son lait avait de plus bien durci la queue de Mélinda, qui devenait un mandrin assez douloureux, douleur que Mélinda ressentait à chaque pas qu’elle faisait. Elle libéra donc Choupette, et se racla doucement la gorge.

« Mets-toi à quatre pattes, Choupette, que je te défonce le cul... Aboie et hurle bien fort, ma petite salope en manque... »

Car Mélinda ne comptait pas l’épargner !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 29 août 2018, 18:43:43
Choupette appréciait être soumise, il lui arrivait donc de désobéir un peu pour mériter un rappel à l'ordre... bien que cette fois-ci, cette petite bourde n'était pas volontaire ! La jeune chienne avait simplement réclamé sans réfléchir, et se délectait des claques de Mélinda sans s'en plaindre. Chaque acte de violence et de mépris envers sa personne l'emplissait de joie, jusqu'à humidifier son entrejambe à n'en plus pouvoir. Ainsi, Choupette prévoyait de mériter quelques punitions de plus à l'avenir, sans aller trop loin bien sûr. Elle ne voulait pas manquer de respect à sa merveilleuse maîtresse !

- Ouille, aïe, ouille ! Pardon maîtresse, choupette est une vilaine chienne !

Gémit-elle, les joues rouges et les yeux humides. Mélinda put néanmoins remarquer la cyprine s'échappant de l'entrejambe de la chienne, signe que cette petite punition avait son effet. La belle blonde plaqua ensuite le torse au sol, laissant son imposante poitrine se plier, et releva le bassin pour lui présenter son magnifique cul bombé, presque né pour être sodomisé. Ses deux fesses faisaient de magnifiques poignées, idéales pour les agripper pendant l'acte.

- Baiser, baiser, baiser !

Gémit elle en tournant la tête vers Mélinda, bavant au sol, le visage euphorique. Elizabeth pissa même une nouvelle fois au sol comme la sale traînée qu'elle était, trempée, complètement possédée. Ce n'était pas une femme qui lui présentait son cul, mais une véritable chienne.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 08 septembre 2018, 15:35:00
Le concept de punition était très particulier dans le sadomasochisme. Personne n’aimait être puni, et pourtant… La punition était ce qu’on recherchait dans ce genre de relations, ou, plutôt, une certaine forme de punition. Le sadomasochisme était un jeu de rôles, une sorte de théâtre érotique et pervers où on jouait des rôles. On campait celui du soumis, du dominateur, mais chaque pièce avait ses propres protagonistes, et chacun fonctionnait différemment. Certains soumis n’appréciaient pas trop la violence, mais simplement le fait d’être sous les ordres d’un dominateur. D’autres avaient des envies plus osées, plus poussées… Avec Choupette, Mélinda avait rapidement atteint un degré assez poussé. Cette femme aux seins dithyrambiques se pavanait devant elle, et se remit à uriner, tout en mouillant, lui présentant son gros cul sous le nez. Mélinda l’observa silencieusement, après l’avoir puni, en la giflant à plusieurs reprises. De grosses claques qui avaient résonné sur son cul, puis Mélinda sourit…

…Et la frappa encore. Sa cravache s’abattit à nouveau sur le fondement de Choupette, comme pour manifester la contrariété de la vampire.

« Je t’ai dit d’ABOYER, salope ! Tu es une CHIENNEMA CHIENNE ! Alors… Comporte-toi comme tel ! »

Évidemment, tout en l’insultant, elle la frappait, la cravache meurtrissant son cul, jusqu’à entendre une série d’aboiements. Mélinda sourit alors. Animaliser son partenaire, c’était une méthode classique dans ce type de relations. Et, avec une ondiniste qui avait régulièrement des fuites, la chose était d’autant plus appropriée. Là-dessus aussi, Mélinda avait de l’équipement, des techniques à utiliser… Mais chez elle. Pour l’heure, les deux femmes en étaient encore à se rencontrer, mais il semblait maintenant évident qu’elles continueraient à se voir après. Choupette avait trouvé sa Maîtresse, et Mélinda avait trouvé sa chienne.

Après l’avoir battu, elle se rapprocha encore, et s’empressa de la pénétrer, enfonçant sa verge dans son cul. La vampire gémit doucement, se pinçant les lèvres, et gémit devant l’étroitesse de ce cul, des parois anales fermées.

« Lààà, hmmm… Tu as un… Hmmm… Haaa, quel beau c-cul, Chou-Choupette ! »

Hum, oui, Mélinda allait prendre soin de sa petite chienne ! Quoi de mieux, pour ça, que de commencer par lui défoncer joyeusement le cul ?
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 14 septembre 2018, 21:48:52
Choupette se mit à gémir en sentant la cravache s'abattre sur sa croupe, ce qui ne fit que l'exciter davantage. La petite chienne blonde ne demandait qu'à être punie comme d'habitude, et c'était peut-être dans ce but que la jeune femme avait parlé comme une humaine. Choupette avait beau chercher la soumission, une soumission passive ne l'intéressait pas le moins du monde ! Une esclave obéissante avait vite fait d'être oubliée et rangée sur le côté, alors qu'une petite impertinente comme elle récolterait beaucoup d'attention à n'en point douter...

Mais pour l'heure, lorsque Mélinda décida d'entrer en elle afin de la gratifier de puissants coups de reins, Choupette obéit. Il serait idiot de se rebeller au cours d'un si bon moment, elle ne cherchait absolument pas à gâcher cette sodomie si intense que son anus serré ne pouvait que se dilater progressivement. Son merveilleux fessier bombé semblait avoir été fait pour cela, tout autant que son anus. A chaque va et viens, ses fesses moelleuses s'en allaient claquer contre le bassin de sa maîtresse, alors même que Choupette aboyait de plaisir en bavant tout son bonheur sur le sol.

- Haaaaaan.... haaaan... wouf, wouf ! Wouuuuf !

Choupette n'espérait qu'une chose: que les choses ne s'arrêtent pas là !

Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 24 septembre 2018, 01:21:30
Le proverbe disait de ne pas se fier aux apparences... Et le proverbe avait pleinement raison. Mélinda, malgré son apparence de jeune adolescente, pouvait se transformer en un véritable démon sexuel. Elle devait cela à ses facultés vampiriques, à la capacité qu’elle avait de contrôler son sang, d’en réguler le flux, afin de lui permettre d’augmenter l’intensité de ses coups de reins. Elle pouvait ainsi donner à cette levrette un tournant bien plus intense, et en fit la démonstration, sodomisant brutalement, et sans ménagement aucun, le corps de Choupette. Sa chienne se mit à alterner entre soupirs, hurlements, et délicieux aboiements. Elle jouait pleinement son rôle, celui qui consistait à se déshumaniser, à profiter de l’aliénation de soi que le sexe procurait pour jouer un rôle dégradant et humiliant. Oui, oui, cette traînée aux gros seins recherchait une belle Maîtresse sadique, cruelle et autoritaire ? Ah, on pouvait dire qu’elle était plutôt bien tombée avec Mélinda ! La vampire la pénétrait brutalement, accélérant le rythme, amplifiant l’intensité de ses coups, griffant le cul de Choupette, et le giflant ensuite.

« Là, hmmm... Sa-Salope, hmmm... !! Sale pute, haaaa... Sale pute !! »

Mélinda soupirait longuement. Cette sodomie était douloureuse pour elle, car sa queue s’enfonçait dans un conduit trop étroit pour permettre un passage serein. Sa queue souffrait donc, et cette souffrance participait à un véritable cercle vicieux incitant Mélinda à battre davantage Choupette, à l’insulter pour  se donner du courage. Elle continuait ainsi à la prendre, à la baiser énergiquement, par le biais de puissants coups de reins, qui faisaient remuer le corps de Choupette d’avant en arrière. Ainsi, même malgré la différence de gabarit (car Choupette était un peu plus grande que Mélinda, et avait une poitrine plus épaisse que la sienne), c’était bien la vampire qui dominait la scène... La vampire, qui, nimbée dans sa tenue de latex, la prenait vigoureusement, étalant cela sur la longueur.

Indéniablement, Mélinda était douée, douée et expérimentée, car il le fallait pour tenir ainsi le rythme. Les minutes défilaient, le latex crissait, et la queue de la vampire continuait à pourfendre son amante. Concentrée, Mélinda s’appliquait. Elle la sodomisait bien comme il fallait, motivée par ses hurlements, giflant de nouveau le cul de Choupette quand celle-ci lui semblait être en train de dormir... Ou tirait brusquement sur la laisse de sa chienne, soulevant ainsi son corps, et l’étranglant un peu. Mélinda alternait ainsi les plaisirs, qui se concentraient tous autour de la douleur, de la souffrance que le sexe impliquait, et du plaisir intense et vibrant qui en ressortait.

« Choupette... Oh, Choupette, hmmm... !! Ma délicieuse salope de chienne, hnnn... À moi, rien qu’à moi... ! »

Et le temps filait, les minutes s’absorbant tandis que Mélinda poursuivait cette longue sodomie !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 25 septembre 2018, 21:44:49
Choupette semblait réellement insatiable, de par la nature de son pouvoir et de son expérience. La belle petite chienne à la longue crinière blonde ne demandait qu'à être maltraitée, et espérait mériter son rôle d'esclave dans cette chambre pour ensuite pouvoir finir ses jours au manoir de sa maîtresse Mélinda, en tant que vide couilles favorite. Ses deux fesses claquaient de plus en plus fort contre le bassin de sa belle maîtresse vampirique, qui semblait plus appliquée que jamais à lui détruire l'anus. A un tel point que son sexe, à l'étroit dans l'anus serré de Choupette, agissait progressivement comme une ventouse sur celui-ci. Une scène qui la comblait de joie, en tant que grande fétichiste des rapports brutaux, sales, repoussant jusqu'aux limites de son propre corps. Choupette ne désirait que cela.

- Hmmmmmm ! Hmmmm ! Wouuuuf ! Wouf wouf wouf !

Un liquide commençant à abonder entre ses jambes signala que l'orgasme était proche, Choupette ayant une expression corporelle très prononcée. Cette dernière aimait certes uriner à tout va, mais la quantité de cyprine qu'elle pouvait expulser de sa vulve la rendait tout aussi fière de son corps et de sa perversion. Son opulente poitrine n'était d'ailleurs pas en reste, évacuant les derniers litres de lait contenus dans ses seins, tout comme sa cyprine plus bas. Choupette redoubla d'efforts pour s'empaler d'elle même sur l'engin de sa maîtresse au rythme de ses coups de reins, doublement plus motivée lorsqu'elle tira sur sa laisse pour l'étrangler.  Pourvu que Mélinda redouble d'intensité pour le grand final, de sorte à ce que sa petite chienne ne puisse plus se déplacer qu'avec des béquilles !

- Aaaaah.... aaaaaaaah... Wouuuuuuf !

Choupette était sur le point de jouir, comme elle ne l'avait jamais fait avant !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 01 octobre 2018, 00:59:39
Choupette était en train de se faire détruire l’anus. Mélinda ne lui épargnait rien, et, plus le temps passait, et plus la vampire tâchait de se surpasser. Baiser des femmes majeures, plus voluptueuses qu’elle, ou des hommes plus musclés qu’elle, cela relevait, pour la jeune vampire, d’un profond fantasme. Elle adorait ça, car elle inversait les rôles. Comme quoi, malgré sa petite taille, Mélinda pouvait se montrer très forte, très aventureuse, et incroyablement énergique. Ses coups de reins devenaient de redoutables coups de pilon, et, tandis que l’une de ses mains se crispait sur la laisse maintenant la jeune femme, l’autre allait copieusement et douloureusement marteler le cul de Choupette. Elle lui administrait de grosses claques sur le cul, faisant rougir le postérieur de Choupette.

« Hmmmm... Sa-SALOPE... !! »

Mélinda la prenait d’avant en arrière, retirant presque intégralement sa queue, avant de s’enfoncer brutalement en elle, faisant de nouveau hurler son esclave. Celle-ci était en train de se faire copieusement baiser, par une scène d’une grande violence et d’une profonde bestialité. La vampire grognait longuement, bandant ses muscles, témoignant de sa force surnaturelle de vampire. Elle allait lui labourer le cul, et elle le faisait d’ailleurs, tant et si bien que Choupette mettrait ensuite des jours à s’asseoir normalement !

Le temps passait donc, les coups de reins de la vampire se prolongeant pour le plus grand bonheur mutuel de tous. La vampire gémissait de plus en plus fort, la respiration lourde et profonde. Choupette approchait de l’orgasme, un magnifique orgasme, tout comme Mélinda, qui empêchait la jeune femme de s’effondrer en la retenant par sa laisse, alternant entre des périodes d’étranglement... Jusqu’à ce moment béni où, dans un grand soupir, Mélinda vint à se relâcher copieusement.

« Hmmmmmm... !! »

Un long orgasme traversa le corps de la vampire, qui se relâcha généreusement en elle, balançant des filaments de foutre, expulsant d’épaisses quantités de sperme dans le cul de Choupette, plantant son pieu de chair le plus profondément possible en elle en se relâchant. De longs soupirs s’échappaient de ses lèvres, et Mélinda se relâchait généreusement, et longuement, dans son corps.

C’était là le plaisir insondable et immense de l’orgasme !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 01 octobre 2018, 12:50:29
Choupette, en plus d'être effectivement plus voluptueuse que sa maîtresse, n'avait rien à lui envier en terme d'endurance. La jeune femme était née ainsi, capable de se "recharger" sans cesse, en faisant une véritable machine dédiée à l'assouvissement des désirs sexuels les plus profonds. Cependant, si la jeune femme pouvait effacer la fatigue en quelques secondes, elle la ressentait bel et bien à mesure que ce rapport bestial approchait de sa conclusion. Mélinda semblait incroyablement violente et énergique, déchaînée tout autant qu'elle. La douleur mêlée au plaisir que ressentait Elizabeth la fit hurler de plus belle, alors que le point d'orgue fut atteint lorsque la vampire déchargea son foutre en elle.

- Aaaaah... aaaah... aahouuuuuuuuu !

Hurla t-elle comme une bonne chienne, toujours impliquée dans son rôle malgré l'euphorie intense qui s'était emparée d'elle. Choupette apprécia particulièrement le fait que sa maîtresse ne la laissa pas s'effondrer, maintenant fermement la laisse pour son plus grand plaisir. Les filaments de foutre venant remplir son anus s'accumulèrent au fond de celui-ci, Choupette comptait d'ailleurs bien garder la semence de Mélinda au chaud en elle jusqu'à nouvel ordre. Pour la jeune chienne, ce sperme était un véritable cadeau !

- Haaa... hmm.... hihihihihi !

Possédée, Choupette se cambra un peu plus en arrière jusqu'à sentir la poitrine de Mélinda dans son dos, dans une position plus qu'obscène et effectua quelques va et viens dans son intimité pour pouvoir éjaculer une quantité importante de cyprine, voulant exposer l'étendue de sa luxure aux yeux de sa maîtresse.

- Wouf !

Sans discontinuer, Choupette retourna sur ses quatre pattes et fixa Mélinda en souriant, comme si elle attendait la suite. Cette femme était véritablement insatiable.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 08 octobre 2018, 01:12:16
Mélinda ne comptait évidemment pas l’épargner. Ses coups de reins profonds, ses grognements, ses muscles qui se bandaient... Oui, elle y allait à fond, bourrant furieusement le cul de Choupette. Elle sentit cette dernière se redresser, prenant appui sur le dos de Mélinda. Celle-ci la suivit, appuyant sa main sur le sein de Choupette, meurtrissant son téton, et l’aida ainsi à la soutenir. Encore une fois, Mélinda témoignait ici de sa force surnaturelle, réussissant à maintenir Choupette contre elle, tout en continuant à la bourrer. La vampire la baisait énergiquement, et elle laissa volontiers Choupette se caresser elle-même. Pour Mélinda, le messe était clairement dite avec elle, et elle savait désormais ce qu’elle allait faire avec elle.

La vampire, dans un ultime râle, se relâcha en elle, venant jouir copieusement. Une flopée de foutre alla se répandre dans le cul de Choupette, qui jouit également. Mélinda l’observa ensuite silencieusement, la respiration lourde, ses doigts écartés, tandis que Choupette, couchée sur le sol, l’observait silencieusement, attendant la suite. Plusieurs secondes passèrent ensuite. Mélinda avait la respiration lourde, du sperme maculant son sexe, et laissa donc passer un peu de temps, afin de mettre de l’ordre dans son esprit.

« Très bien, Choupette. »

Mélinda se pencha vers elle, et s’assit en califourchon sur son corps. Elle caressa distraitement le corps de la femme, avant de sourire malicieusement encore, révélant toutes ses belles dents.

« Tu as passé les tests, ma chérie. Je te félicite, Choupette, tu es une vraie salope... Je te prends comme ma chienne personnelle, ma chérie. »

Voilà qui devait sans doute être, aux oreilles de Choupette, une merveilleuse nouvelle !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 08 octobre 2018, 21:24:57
A l'entente de sa récompense pour ses durs efforts, Choupette sauta de joie. Avoir trouvé une maîtresse digne d'elle était déjà une grande satisfaction, devenir sa chienne personnelle était la consécration. Choupette s'imaginait déjà parader aux côtés de Mélinda au sein de son manoir, à quatre pattes comme la chienne qu'elle aimait être. Choupette avait besoin d'être enviée, admirée, et reconnue tel qu'elle aimait l'être. Comme la dernière des marchandises, luxueuse certes, mais indigne d'un quelconque traitement humain. Et devenir la marchandise d'une maîtresse aussi belle qu'énergique était un rêve qu'elle poursuivait depuis de nombreuses années. Choupette ne put retenir sa réjouissance davantage, et s'exprima et frottant la tête contre la cuisse de Mélinda.

- Hmmm... maîtresse...

La chienne s'autorisa à parler, peut-être allait-elle être punie pour cela, mais elle n'en avait cure. Choupette aimait parfois s'exprimer avec des mots, en dépit de son comportement animal. Peut-être était-ce la petite part d'humanité qu'elle gardait en elle depuis toujours, depuis que cette secte satanique lui avait volé son corps et sa vie. Choupette, anciennement Elizabeth, en gardait des séquelles irréversibles avec lesquelles elle avait appris à vivre malgré elle. Devenir une chienne, un objet sexuel, un simple trou bon à accueillir n'importe quoi était pour elle sa seule manière de se sentir vivre, en plus d'avoir développé une très forte libido. Après tout, cette envie permanente de sexe ne pouvait pas qu'être une simple conséquence de son passé. Choupette aimait réellement le sexe, et tout ce qui y touchait. Et par extension, elle aimait Mélinda. La jeune chienne était bien entendu incapable d'éprouver un réel amour, n'aimant Mélinda que comme un chien ou un esclave aimerait son maître.

- Choupette sera toujours la pour votre queue !

Lui lança t-elle alors qu'elle s'enfonça un doigt dans l'anus pour en ressortir un filament de semence, qu'elle avala goulûment. Choupette accordait beaucoup d'importance à ce genre de geste, signifiant qu'elle appartenait désormais corps et âme à sa maîtresse, et rien qu'à elle. Si Mélinda décidait de partager Choupette avec les autres, celle-ci accepterait sans rechigner, mais n'oublierait jamais sa véritable maîtresse, la plus belle des vampires de ce monde. Désormais, une nouvelle vie commençait pour elle, une vie ou elle pourrait enfin se sentir épanouie.
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 15 octobre 2018, 00:55:07
Mélinda sourit doucement devant le comportement soumis de Choupette. Celle-ci se remit à parler, annonçant le bonheur qu’elle avait d’avoir été choisie. La vampire sourit brièvement, et hocha doucement la tête, avant de voir cette dernière se livrer à un geste des plus obscènes. Elle posa ses mains sur ses hanches, laissant passer quelques secondes, puis alla récupérer son téléphone portable, et demanda à ce que sa voiture soit prête. En attendant, elle regarda encore Choupette, et lui sourit à nouveau, tendrement, mais non moins avec une certaine malice.

« Je suis loin d’en avoir fini avec toi, ma chérie... Mais nous allons poursuivre chez moi. »

Cette chambre d’hôtel ne lui convenait plus, et, maintenant que Mélinda avait une chienne, elle comptait bien la récupérer, et la garder pour elle. Elle alla récupérer une culotte spéciale, comprenant deux vibromasseurs orientés vers l’intérieur ainsi qu’une queue poilue, et la mit sur le corps de Choupette, tout en lui intimant de se mettre à quatre pattes. La vampire enclencha ensuite les vibromasseurs, et sourit brièvement.

« Cette culotte spéciale est dotée de capteurs très précis, tu sais... Ils me permettront de savoir combien de fois tu vas jouir. »

Cet appareil venait tout droit des laboratoires tekhans. Mélinda était après tout une friande cliente des sex toys tekhans. Tout en l’équipant ainsi, Mélinda attrapa la laisse, et, dans sa robe en latex avec ses bas résilles (http://img110.xooimage.com/files/1/3/6/melinda_suit-54c4e73.jpg), posa sa main sur la poignée de la porte.

« Allez, ma chienne... Fais la belle, montre à tout le monde combien tu es belle et heureuse, aboie fort ! »

En plus de tout le reste, Mélinda n’était jamais contre le sexe public. L’exhibitionnisme était l’un des petits plaisirs de Mélinda. La vampire ne se refusait rien, et elle s’aventura donc dans le couloir, conduisant avec elle la belle Choupette. Il y avait des clients dans le couloir, ainsi que des gardes, et d’autres prostituées. Des regards concupiscents filèrent sur les deux femmes, mais surtout sur le corps de Choupette, qui aboyait régulièrement, recevant en retour des caresses, des tapotes, ou même de brèves fessées. Les clients semblaient plutôt bien connaître Mélinda, qui leur souriait.

La vampire s’arrêta même à plusieurs reprises pour partager des baisers ou des câlins. De tendres mains gantées de femmes caressaient les longs cheveux soyeux de la vampire, qui finit par se retrouver dehors. Une belle limousine les attendait, et Mélinda grimpa à l’intérieur, puis s’assit sur un fauteuil. La voiture démarra doucement, et Mélinda regarda brièvement Choupette, avant d’écarter les jambes.

« Lèche mes jambes, Choupette, et, puisque nous sommes proches, maintenant, dis-moi en plus sur toi... Je suis curieuse de connaître le parcours de ma petite salope... »

Sans doute aurait-elle dû se renseigner avant, mais... Mélinda fonctionnait comme ça !
Titre: Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 15 mars 2019, 08:54:57
Choupette se laissa guider par sa maîtresse, poussant un long gémissement quand cette dernière lui enfila une culotte pour le moins spéciale. Choupette était certaine de jouir plusieurs fois avec une pareille installation entre les cuisses ! Sans parler du fait qu'elle se rendait au manoir de sa nouvelle maîtresse, ce qui ne fit que renforcer son excitation. La jeune esper s'imaginait déjà maltraitée de toutes sortes, humiliée, réduite à l'état d'une simple chienne. Choupette était née pour cela après tout. C'est donc à quatre pattes qu'elle traversa le couloir, laissant couler derrière elle une longue traînée de mouille et de cyprine coulant de sa culotte.

- Hmmm... waf! waf !

Gémit-elle dans les couloirs comme sa maîtresse le lui avait ordonné. La belle esper était fière d'être soumise à Mélinda, et fière de s'exposer ainsi, repoussant les limites de la perversité. La chienne se contorsionna plusieurs fois, tremblante, signe qu'elle atteignit l'orgasme plusieurs fois grâce aux vibromasseurs insérés dans sa chatte. Elle se laissa caresser, accepta même les fessées en souriant, heureuse que l'on ne la traite que comme ce qu'elle était: une simple chienne en manque de soumission hardcore.

Une fois entrée dans la limousine, choupette s'installa sur le sol entre les jambes de sa maîtresse pour pouvoir la lécher avec plus d'aisance, exécutant alors son ordre en partant d'en bas pour remonter lentement vers le haut, laissant glisser sa langue le long des jambes de sa belle maitresse alors qu'elle inondait lentement le sol du véhicule avec la quantité de cyprine s'écoulant de sa vulve.

- Hmmmm.... j'ai été vendue à une secte sataniste quand j'étais petite ! On m'a violée, battue... hmmmm... humiliée, j'étais un déchet à leurs yeux. Même si j'ai réussi à m'enfuir et à me venger, je dois admettre que je me suis bien ennuyée une fois libre ! La liberté ne m'a rien apportée, wouf !

Choupette ne semblait pas peinée par son récit, elle n'en avait pas honte. Mélinda pu relever que le corps de Choupette n'avait pourtant aucune séquelle, sans doute était-ce dû à son étrange pouvoir