Hysella a toujours vécu seul en ermite jusqu’à ses 16 ans, a partir de la elle fut découverte dans sa grotte et ramené en Ashnarad par une expédition en enfer, de fil en aiguille elle se retrouva dans un Orphelinat militaire d'une colonie proche de la frontière de l'empire.
En théorie elle aurait due y être formé pour devenir une membre de l'armée mais évidement la procédure ne fut pas suivi, le directeur de l’orphelinat préférait l'utiliser pour faire du racolage afin de motiver les potentiels recrues a s'engager ou bien elle servait simplement de défouloir a la garnison. Elle n'était pas la seul a bénéficier de ce traitement mais elle était la plus sollicité. Il n'y a pas besoin de préciser que de tels pratiques sont censé être illégale mais l'armée se permet souvent ce genre d'écart, quand on est la loi, on fait la loi.
Le fait est que a 19 ans elle devait intégrer l'armée avec l'entrainement adéquat en principe, un entrainement qu'elle n'a point reçu. Voila donc Hysella affecté aux ressources culturels et de communication du recrutement de l'armée, en somme servir divertissements aux soldats quand ils sont trop loin des bordels de la ville.
Voici notre Hysella dans une tenue plus qu'aguicheuse dans un chariot en route vers Nexus avec une troupe paré pour le pillage! Il ne fallut pas longtemps pour que la troupe, trop occupé a picoler, ne se fasse exterminé par des monstres sur le chemin...
Hysella pris ses jambes a son cou et vola tout droit dans une direction sans s’arrêter.
Hysella ne savait plus depuis combien de temps elle volait quand il fini enfin par voir les murailles d'une ville, elle se posa et tomba de fatigue face a une auberge très luxueuse, dans la nuit, ses fenêtres étaient comme des phares dans la nuit attirant le regard. La façade était coloré et un doux fumet de viande attirait Hysella, dehors la rue pavé était vide de monde et ce bâtiment appelait Hysella a venir se reposer, elle marcha en direction de l'entrée dans sa tenue en cuir noir habituelle et sa cape aux couleurs de l'empire Ashnaradien. Elle ouvrit la porte, fit un pas dans la taverne, désarmée, grelottante avec un air des plus sérieux.
«Est ce que quelqu'un pourrait m'aider?»