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Combien de personnes peuvent se vanter d’avoir eu une seconde chance dans la vie ? Il y a quelques mois de cela, Lenn Silvercoat était un esclavagiste nexusien riche et puissant, gérant d’une maison close dans la ville-état, et menait un train de vie plus que confortable. Après une rencontre avec une terranide louve nommée Shad, il s’était lancé dans un incroyable voyage (http://lgj.forum-rpg.net/index.php?topic=16167#top_subject) pour briser sa malédiction lycanthropique. Au terme de ce périple, un ancien dieu lui avait accordé le droit de revenir à la vie sous une nouvelle apparence, un nouveau nom et avec une nouvelle forme de loup-garou. Lenn Silvercoat et son empire disparurent alors en un instant pour laisser la place à un nouvel individu : Matthieu Silvertooth.
Sa renaissance aurait pu se faire en douceur, mais le dieu ne semblait pas avoir envie de lui faciliter la tâche. Après avoir transformé, Matthieu fut envoyé quelque part sur Terra sans avoir la possibilité de décider où ou de quelle façon. Il vit juste une grande lumière blanche devenir de plus en plus éblouissante jusqu'à l'aveugler complètement, et l'instant d'après il se retrouva sur un sol couvert d'herbe, encore étourdi par son voyage soudain. Il lui fallut deux bonnes minutes pour recouvrer assez de coordination pour se relever. Il essaya de marcher, mais retomba immédiatement par terre après. De nouveau au sol, il commença à se relever, puis vit les bottes de deux hommes visiblement en uniforme. Encore en partir aveugle, il ne put distinguer leurs visages.
« Qui... »
Pour seule réponse, les deux hommes le remirent debout et l'aidèrent à marcher jusqu'au manoir. Matthieu venait d'atterrir dans le jardin d'une luxueuse demeure. Les deux hommes, qui étaient des gardes, l'amenèrent devant la propriétaire des lieux. Ce fut à ce moment que le flou de sa vision se dissipa, lui permettant de bien voir qui il avait en face de lui, et il crut défaillir à nouveau en la reconnaissant.
Mé... linda ?
Était-ce une bonne ou une mauvaise chose pour sa première rencontre de sa nouvelle vie ?
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(http://img110.xooimage.com/files/e/f/a/melinda_nexus_house-52aa40c.jpg) (http://img110.xooimage.com/files/b/9/d/4d049810a2a56ad0c...ed8d5fd8-51c7abc.jpg)
Villa de Mélinda à Nexus
Il y a quelques mois, Mélinda avait récupéré de la part de Lenn Silvercoat une très belle demeure, une villa à Nexus. La villa était construite avec vue sur la mer, au sommet d’une falaise, et était entourée par un grand parc comprenant de multiples arbres. C’était une magnifique demeure, que la vampire avait, comme à son habitude, reconverti en harem de luxe. Officiellement, personne ne savait que le manoir était géré par une Ashnardienne. Mélinda disposait d’individus de paille, mais c’était bien elle qui gérait ce commerce, et elle en tirait des profits substantiels.
Le fait est qu’elle avait perdu toute trace de Lenn Silvercoat. Officiellement, ce dernier était mort, et Mélinda s’était adressée à un prestigieux cabinet d’avocat nexusien, Codringer et Fenn. Le cabinet avait géré la succession de Lenn à l’aide de son testament, et Mélinda avait pu récupérer son patrimoine, qui avait intégré le clan Warren. Depuis lors, elle avait transformé le manoir en un club de luxe, attirant de multiples clients, et formait de nombreux esclaves. Une activité très rentable, donc.
Les gardes de la villa savaient que Mélinda ne devait pas être présentée à n’importe quel inconnu, et, quand ils arrêtèrent le rôdeur, ils l’emmenèrent dans les cachots, au sous-sol. Ils agirent rapidement, conscients que des vagabonds étaient mal vus à Nexus. La cité-libre se voulait plus tolérante à leur égard qu’à Ashnard, où le vagabondage était une infraction, mais, derrière cette bienveillance apparente, les vagabonds surpris dans les jardins des grandes propriétés étaient chassés, accusés de vouloir voler des biens. La clientèle n’aimait pas ça, de sorte que les gardes passèrent par une dépendance, descendant des marches, et enchaînèrent le jeune homme à de solides chaînes.
Ce dernier dut attendre un certain temps, reprenant ses esprits, jusqu’à revenir à lui. Il prononça alors le nom de Mélinda, ce qui déclencha un rire à côté de lui.
«
Alors, tu es réveillé, voleur ? »
Ce n’était pas Mélinda, juste un tableau, qui était entreposé ici, dans ce cachot, où aucun invité ne pourrait le voir. La voix venait d’une voix forte, mais qui n’était pas celle de la vampire, et pour cause... C’était l’une des esclaves de Mélinda, une esclave «
supérieure », le titre donné aux esclaves dominatrices, qui agissaient comme de véritables lieutenants, transmettant la volonté de leur Maîtresse, et dominant et formant les jeunes esclaves.
Tenant dans sa main une cravache,
Yukie (http://img110.xooimage.com/files/9/5/8/yukie-52aa408.jpg) réveilla définitivement le jeune homme en abattant sa cravache sur sa tête. Un coup prononcé.
«
Je suis Yukie. Maintenant, dis-moi, voleur... Qui es-tu ?! »
Certes, il avait prononcé le nom de Mélinda, mais... Pour Yukie, ça pouvait être une coïncidence. Maîtresse ne lui avait jamais parlé de cet homme, et elle n’allait pas tomber dans un piège grossier consistant à dire qu’elle était l’esclave de Mélinda Warren. Cet homme pouvait tout à fait être un espion nexusien...
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Matthieu avait cru voir Mélinda, mais ce n’était qu’un tableau. Et c’était sans doute mieux, car il n’avait pas très envie de la revoir. Quand il reprit suffisamment ses esprits pour comprendre ce qui lui arrivait, il réalisa qu’il était enchaîné au fond d’un cachot. Il fut définitivement réveillé quand la femme avec lui dans le cachot lui mit un coup de cravache sur la tête.
« Je suis Yukie. Maintenant, dis-moi, voleur... Qui es-tu ?! »
Matthieu leva les yeux pour bien voir Yukie. C’était une belle jeune femme blonde, vêtue d’une tenue sensuelle en latex, et qui l’observait avec une lueur de dominatrice dans les yeux. Il aurait pu se sentir heureux d’être en compagnie d’une telle créature si ç’avait été dans d’autres circonstances, mais là il devait trouver un moyen de se sortir de ce guêpier.
« Je… je ne suis pas… un voleur. »
Le jeune homme ne savait ni où il était ni comment il avait pu y atterrir, mais il était sûr de ne pas être un voleur.
« Je… je m’appelle… Matthieu. Je… n’ai rien fait… de mal… »
Enchaîné et malmené à coups de cravache, Matthieu répétait encore et encore qu’il n’avait rien fait, qu’il ignorait totalement ce qui se passait, mais il ne semblait pas être pris au sérieux.
« Pitié… je… je ne comprends pas. Pourquoi ? »
Au bout d’un moment, il tenta de rassembler ses forces pour s’échapper, mais les chaînes étaient trop solides. Il essaya de les briser en forçant dessus, bien que cela semblait impossible, mais plus il insistait, plus il sentait ses muscles se renforcer. Finalement, il parvint à arracher les chaînes de leur fixation murale et se leva en tremblant. Sans qu’il s’en rende compte, son corps était en train de se transformer. Sa peau se couvrit d’une épaisse fourrure grise, ses yeux passèrent du rouge au vert, son nez et ses oreilles s’allongèrent, sa bouche se remplit de crocs acérés, ses mains et ses pieds se changèrent en pattes. Ce n’était plus un petit humain fébrile mais un grand et puissant loup-garou.
Cependant, aussi impressionnant qu’il puisse être, cette transformation non contrôlée secoua encore plus Matthieu qu’il ne l’était déjà. Il ne fit qu’un pas avant de s’écrouler lourdement sur le sol, sonné par son soudain changement d’apparence. Alors qu’il sombrait dans l’inconscience, il regarda à nouveau en direction du tableau.
« Mé… linda. »
Ce fut son dernier mot avant de tourner de l’œil.
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« Il s’est... Transformé ?
- Je ne faisais que le titiller un peu, Maîtresse ! »
Connaissant Yukie et son sens de la violence, le mot « titiller » devait relever de l’euphémisme pour décrire ce qu’elle avait fait sur le corps de ce jeune homme. En tout cas, Mélinda était confuse. Le jeune Matthieu, que Mélinda n’avait jamais vu, s’était transformé en Lycan, et avait clairement prononcé son nom, avant de sombrer dans le coma. Mélinda avait ordonné de le sortir des cachots, et il se trouvait dans une belle chambre à l’étage, nu, et allongé dans un lit. Devant le lit, la vampire, qui était venue en personne, l’observait sans rien dire, essayant de comprendre qui il était. Elle arriva rapidement à la conclusion qu’elle ne l’avait jamais vu. Son sang, par ailleurs, ne lui disait absolument rien, ce qui continuait à la troubler.
Qui était-il donc ? Yukie était formelle. Il avait dit son nom, en fixant le tableau d’elle-même.
« Mais je ne comprends pas, je n’ai jamais vu ce jeune homme...
- Alors, que voulez-vous que nous fassions, Maîtresse ? » s’enquit Yukie.
La vampire hésita un peu. Devait-elle le congédier dehors ? Mais ne serait-ce pas risqué de libérer un Lycan qui connaissait son identité ? Après tout, si les Nexusiens apprenaient que ce club de luxe était en réalité géré par une Ashnardienne... La vampire se pinça les lèvres, et se retourna vers Yukie.
« Je vais attendre qu’il se réveille, Yukie.
- Seule ? s’étonna cette dernière.
- Tu as peur pour moi ?
- Euh... »
Yukie rougit légèrement. Mélinda lui sourit en retour, et lui caressa le visage d’une main, avant d’embrasser délicatement sa joue.
« Ne t’en fais pas pour moi. S’il y a un problème, Bran viendra me secourir.
- Oui... Oui, bien sûr ! »
Mélinda se retrouva ainsi seule avec Matthieu. Portant son habituelle robe dorée aux bords verts, elle s’assit confortablement sur un fauteuil rembourré, et attendit donc le réveil de cet homme, tout en se faisant la réflexion qu’elle ne connaissait qu’un seul Lycan... L’ancien propriétaire de cette maison.
*Mais ce Matthieu n’a rien à voir avec Lenn...*
Il n’y avait donc aucune raison pour qu’il y ait un lien entre Lenn Silvercoat et ce mystérieux vaurien...
Du moins, c’est ce que Mélinda pensait en ce moment.
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En s’évanouissant, Mathhieu reprit peu à peu sa forme humaine. Ses vêtements avaient été déchirés lors de sa transformation, il finit donc complètement nu sur le sol froid de sa cellule. Yukie, secouée par ce qu’elle avait vu, était allée demander conseil à sa maîtresse. Mélinda avait ordonné de le sortir des cachots et de l’installer dans une chambre. Le jeune homme, toujours endormi, récupérait doucement ses forces. Son sommeil était lourd et profond, il ne rêvait pas et respirait à peine, tout son corps était concentré sur sa guérison.
Après une bonne demi-heure de repos, Matthieu ouvrit doucement les yeux. Habitué à l’obscurité, la lumière de la chambre l’aveugla brièvement. Le temps qu’il s’y fasse, ses souvenirs lui étaient revenus et il se rappela où il avait atterri. Il comprit donc que quelque chose clochait quand il réalisa qu’il était allongé nu dans un lit et plus enchaîné dans sa cellule. Il se leva rapidement et son regard croisa celui de Mélinda, assise dans un fauteuil et vêtue de son habituelle robe verte et dorée.
« Mélinda ? C’est… c’est vraiment toi ? »
De toutes les connaissances de son ancienne vie, il avait fallu qu’il tombe sur la seule personne dont il était prêt à suivre aveuglément les ordres. Après tout, il lui avait vendu son harem, un acte qui aurait pu lui valoir une condamnation à vie si le gouvernement de Nexus avait été mis au courant. Il ne fallait surtout pas qu’elle découvre qui Matthieu était vraiment. Mais ce ne fut pas sa première problématique. En voyant que son sexe était dressé sous la couette, il s’inquiéta de ce qui s’était passé pendant son évanouissement.
« Pitié… dis moi que tu ne m’as rien fait pendant que j’étais inconscient. »
Connaissant la dame, ce ne serait pas impossible qu’elle soit allée aussi loin.
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Mélinda n’eut pas trop à attendre pour voir son mystérieux invité revenir à lui. Et elle fronça les sourcils quand, en la remarquant, l’homme l’appela par son prénom, et la tutoya.
*Je ne reconnais pas cette voix, ni ce battement sanguin… Mais qui est-ce ?*
Était-elle devenue amnésique ? Avait-elle oublié des éléments de son passé ? Non, non, elle était sûre, absolument et totalement sûre, de ne jamais avoir vu cet individu auparavant ! Silencieuse, la vampire l’observa sans rien dire, et, après quelques instants, le jeune Matthieu reprit, en se demandant si Mélinda lui avait fait quelque chose pendant son sommeil .Elle croisa les bras en fronçant encore les sourcils.
« Je… Hmmm… On se connaît ? »
La vampire cligna encore des yeux. Le feu continuait à crépiter dans l’âtre. Matthieu était nu sous le lit. À quoi bon lui donner des vêtements, s’il les déchirait ? Elle n’avait aucun moyen de repérer en lui Lenn, car, avec son nouveau corps, son rythme cardiaque était nécessairement différent.
« Comment connais-tu mon nom ? Je n’ai jamais entendu parler de toi… »
La surprise promettait d’être de taille !
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Matthieu avait tellement été secoué par cet enchaînement précipité des événements qu’il en avait oublié la prudence la plus élémentaire. Lui qui ne voulait pas que Mélinda le reconnaisse malgré sa nouvelle apparence, voilà qu’il agissait avec elle comme si rien n’avait changé. Heureusement, la vampire ne sembla rien soupçonner. En réalisant son erreur, il se dépêcha de tenter de rattraper le coup.
« Euh… attendez… ah non, vous n’êtes pas Mélinda. »
Pour s’en sortir, une seule solution : jouer les idiots.
« Pardonnez moi madame, je vous ai pris pour quelqu’un d’autre. Vous ressemblez beaucoup à l’une de mes amies qui vit à Nexus. Désolée pour la méprise. Je ne sais pas ce qui m’arrive aujourd’hui, je fais tout de travers. Ahah… »
L’idée pouvait paraître idiote, mais c’était la seule qu’il avait eu pour se sortir de sa situation après sa maladresse.
« Oh, vous vous appelez aussi Mélinda ? Quelle drôle de coïncidence vraiment. En tout cas, encore désolé de vous avoir dérangée. Mais si je peux me permettre, vous devriez apprendre à recevoir. Je sais que je suis entré chez vous sans permission, mais de là à me faire enchaîner dans un donjon, battre à coups de cravache et laissé nu dans un lit…
D’ailleurs, à ce propos… où sont mes vêtements ? »
Quand il était encore Lenn, Matthieu aurait été ravi d’être seul dans une chambre et nu comme un ver en compagnie de Mélinda, mais là ça le gênait plus qu’autre chose, d’autant plus que revoir la vampire lui rappelait des souvenirs qui provoquaient un afflux de sang vers son anatomie basse. La bosse déformait déjà les draps du lit. Tentant de la cacher de son mieux, il répéta sa demande à la dame.
« Mes vêtements… s’il vous plaît. J’aimerais partir. »
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Mélinda fronça lentement les sourcils. Le jeune homme se mit à paniquer, en indiquant qu’il s’était trompé, qu’il avait confondu Mélinda avec une autre Mélinda, qui lui ressemblerait beaucoup. Un rire nerveux, forcé, et il essaya de botter en touche, reprochant à Mélinda ses conditions d’hébergement, et demanda ensuite où étaient ses vêtements.
*C’est vraiment curieux, j’ai l’impression de le connaître, mon instinct me dit que je le connais, mais tous les détails objectifs, tous les signes, me renvoient vers une personne inconnue...*
Surtout, ce qui l’étonnait, c’est que ce jeune homme avait réussi à s’infiltrer en passant les protocoles de sécurité. Il avait été retrouvé errant dans les jardins du manoir, alors qu’il y avait, tout autour de cette dernière, des runes magiques, et des clôtures hautes, empêchant justement les rôdeurs de s’infiltrer. L’endroit était très bien surveillé, et il était donc surprenant que le jeune homme ait pu rentrer. Mélinda ne se l’expliquait pas, surtout que les mages avec qui elle travaillait lui avaient assuré que, peu de temps avant son approche, ils avaient ressenti un pic d’activité magique dans le jardin. Un pic qui n’avait d’ailleurs pas échappé aux autorités, et qui avait amené la vampire à devoir broder une explication auprès des autorités locales pour éviter une inspection des lieux.
Mélinda sentit donc d’emblée que ce Matthieu mentait, et allait lui répondre... Quand elle perçut une activité sanguine prononcée à hauteur de ses cuisses. Il fallait aussi dire qu’elle s’était assise sur le rebord du lit, et s’était légèrement penchée vers lui, adoptant très naturellement une posture sensuelle, et ce d’autant plus que la vampire se parfumait, utilisant un élégant parfum aux aromes sensuelles. Et, même sans ses instincts vampiriques, elle vit clairement la bosse, et sourit alors.
La vampire se redressa donc.
« Eh bien, eh bien, Monsieur Matthieu, il n’est déjà pas très galant de dire à une femme qu’on l’a confondu avec une autre... »
Elle lui tournait le dos, et récupéra un objet situé sur un meuble. Quand elle se retourna, Matthieu put voir une corde.
« Mais me prendre pour une idiote, ça, c’est encore pire ! »
La vampire se rapprocha alors, et s’assit sur lui, à califourchon. Elle sentit rapidement Matthieu perdre son calme, rougissant furieusement devant cette proximité. Mélinda se concentra alors, et commença à user des pouvoirs magiques que sa mère vampirique, Asshaï Warren (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=6429) – que Mélinda avait récemment retrouvé*, lui avait appris.
Ses yeux virèrent au rouge. Si Matthieu avait été, d’une manière ou d’une autre, lié à elle, il ne pourrait pas lutter. Ça, Mélinda l’ignorait, mais elle savait que Matthieu était un Lycan. Or, Asshaï lui avait expliqué que, jadis, les puissants vampires dominaient les Lycans grâce à la magie rouge. Et Mélinda avait en elle le sang d’Asshaï, une vampire très puissante.
« Tends tes mains contre les barreaux du lit. »
Matthieu obtempéra, et Mélinda en profita pour attacher ses poignets, les nouant sur le lit, puis, tout en souriant, s’allongea à côté de lui. Elle glissa sa main sous le lit, tout en étant à moitié vautrée sur son corps, ses lèvres près des siennes. Sa main ne tarda pas à se poser sur son sexe, et elle le caressa doucement.
« Pour un homme nerveux, tu es particulièrement bien équipé, Matthieu... Et, pour quelqu’un qui critique mon hospitalité, tu es bien content d’être avec moi. Tu bandes toujours devant des inconnues comme ça, Matthieu ? »
Elle sourit encore, mais Matthieu allait vite constater que les choses n’étaient pas aussi simples. À chaque fois que Mélinda le sentait approcher de l’orgasme (ce qui était très facile pour elle, car il suffisait de se référer à ses pulsations sanguines), elle retirait ses doigts, et reprenait ensuite.
« Qui es-tu, petit Lycan, hm... ? Dis tout à ta Maîtresse... Comment as-tu pénétré dans ma propriété ? Pourquoi voulais-tu me voir ? Plus de mensonges, petit Lycan, fais confiance à ta Maîtresse... »
Bien sûr, Mélinda aurait pu user de sa magie... Mais le fait est qu’elle ne la maîtrisait pas encore assez pour se lancer dans un interrogatoire détaillé et complet.
Enfin, ce n’était pas grave, car il allait tout lui avouer ! Face à Mélinda, on ne restait jamais silencieux très longtemps...
* : Cf. RP « Les Liens Du Sang (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=20379.0) ».
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Matthieu ne pouvait pas contrôler les élans de son corps, la simple vue de Mélinda éveillait en lui le désir. Malheureusement, son état ne passa pas inaperçu aux yeux de la vampire, et elle décida de s’amuser un peu avec lui. Le jeune homme l’observa prendre une corde puis s’approcher pour s’asseoir à califourchon sur lui. Cette position était déjà trop proche pour lui, mais les choses s’empirèrent quand les yeux de la vampire virèrent au rouge.
Tout à coup, Matthieu ne put plus détacher son regard de celui de Mélinda. Il sentait son corps échapper à son contrôle, et dès que la femme lui donna un ordre, il s’exécuta sans même réfléchir.
Quoi ? Mais… qu’est ce qui m’arrive ?
Il se souvint alors de la façon dont la vampire avait réussi à amadouer ses instincts bestiaux la première fois qu’il s’était transformé devant elle. Selon elle, c’était parce que les loups-garous possédaient en eux une soumission naturelle aux vampires, qui seraient leurs créateurs. Et cette légende tendait à se vérifier vu la facilité avec laquelle elle avait soumis son invité à ses désirs.
Matthieu se retrouva avec Mélinda à moitié allongée sur son corps, ses lèvres toutes proches des siennes, une main sous les draps pour tripoter sa queue en érection. Il aurait voulu crier ou grogner, mais rien ne sortait de sa bouche. Son esprit était en transe, perdu dans le regard rougeoyant de la femme. Il n’eut même pas le plaisir de pouvoir jouir, la vampire cessa de le masturber alors qu’il était tout près de l’orgasme et commença à l’interroger pour savoir qui il était vraiment.
« Tu… n’es pas… ma maîtresse… »
Je ne dois pas céder… Ne pas regarder… ses yeux… Je dois… résister…
C’était ce qu’il se disait dans sa tête. Mais son corps, lui, adoptait un tout autre comportement. Déjà, ses muscles grossissaient et des touffes de poils gris apparaissaient un peu partout sur sa peau.
« Je suis… Matthieu Silvertooth. Je suis… la réincarnation… de Lenn Silvercoat… grâce à la bénédiction… d’un ancien dieu aujourd’hui oublié. Il m’a rendu… mon âme… a levé… la malédiction… du Diable. Il m’a donné… une deuxième chance… et m’a envoyé… ici. Je ne sais pas… pourquoi… »
Matthieu luttait de son mieux, mais la magie de la vampire avait totalement pris possession de lui. Il était redevenu son gentil loup obéissant et soumis. Pourtant, il ne parvenait pas à se transformer, comme si une part de lui-même continuait à combattre l’influence de la femme.
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« Mon petit chéri, quand une femme te tient par la queue, tu es tout ce qu’elle veut que tu sois... »
Joueuse, Mélinda continuait à s’avancer avec Matthieu. Elle le dominait, elle le sentait, autant par sa nature que par la pulsion sexuelle. La vampire le dominait, et, en usant de son contrôle sur son sexe, en faisait littéralement sa chose. Elle était déjà très flattée, et très excitée, de voir qu’elle arrivait à contrôler ses pouvoirs sur lui. Mère serait assurément fière d’elle ! Mélinda continuait donc à jouer sur lui, et voyait bien que le petit Matthieu cherchait à fuir son regard... Mais rien ne put la préparer aux révélations qu’il allait lui fournir. Matthieu expliqua en effet être la réincarnation de Lenn Silvercoat, ramené à la vie par une divinité, et renvoyé ici, sans qu’il ne comprenne pourquoi.
Impossible de mentir, son rythme cardiaque était trop stable pour qu’il mente. Mélinda se redressa donc, cessant même de masturber l’homme, et l’observa, ses pupilles retrouvant leur couleur normale.
« Lenn ?! » répéta-t-elle, étonnée.
Peu de choses pouvaient surprendre à ce point Mélinda, et pourtant... Elle observa encore le jeune homme, comprenant alors d’où venait ce sentiment de le connaître déjà profondément. Il était l’ancien propriétaire des lieux, quelqu’un qui avait juré de la servir, jusqu’à sa mort... Et visiblement même au-delà.
« Co... Mais comment est-ce possible ? Je... Tu as disparu depuis si longtemps ! Tu es mort ? Comment c’est arrivé ? »
Tout en posant ses questions, Mélinda s’était assise à califourchon sur lui, et, sans même le réaliser, elle frottait ses fesses sur sa verge, appuyant légèrement dessus, tout en continuant à vouloir se renseigner sur le jeune homme face à elle.
Comment ce petit adolescent pouvait être Lenn ?! Mélinda avait encore du mal à y croire...
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Il l'avait fait. Matthieu avait tout avoué à Mélinda. Il avait bien tenté de résister, mais la vampire utilisait une étrange magie qui l'avait ramené en un éclair à son statut de louveteau soumis. Et maintenant qu'elle savait tout, elle était bien étonnée et avait des tas de questions à poser. Mais en plus de parler, elle se mit à califourchon sur son corps et le jeune homme put sentir ses fesses frotter contre sa verge, accentuant encore plus sa tension sexuelle.
Aahh... c'est pas vrai.
Cette femme avait un postérieur divin, il pouvait presque en sentir les contours contre sa virilité. Entre son désir pour elle et sa magie, il ne put rien faire pour s'empêcher de parler.
« Je ne suis pas mort. Enfin... pas tout à fait. J'ai eu droit... à une nouvelle vie... mais sans mourir. C'est... c'est très compliqué... à expliquer.
C'est un ancien dieu... qui a fait disparaître... les effets de ma malédiction. J'ai pu avoir... un nouveau corps... de nouveaux pouvoirs... et laisser mon passé... derrière moi. »
Ou plutôt c'était ce qu'il espérait, mais maintenant le passé revenait le hanter. Même si la situation dans laquelle il était n'avait pas que des mauvais côtés, il aurait préféré ne pas commencer sa nouvelle existence en se retrouvant face à la femme qui l'avait dompté.
En réponse à la présence de Mélinda, Matthieu se transformait peu à peu, mais sans parvenir à finaliser sa métamorphose. En plus, il était si près de l'orgasme que ne pas pouvoir l'atteindre lui donnait envie de hurler.
« Ggrraahh... Mélinda... »
Il avait beau lutter de toutes ses forces, il ne se contrôlait plus. La seule vue de cette vampire lui rappelait la façon dont elle avait utilisé sa sauvagerie dans le sexe pour contrôler ses pulsions animales. Des images chargées d'érotisme, qui accroissaient son désir envers la femme et donc l'emprise de cette dernière sur son esprit. Et maintenant qu'il était redevenu son petit louveteau obéissant, qu'allait-elle faire de lui ?
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Surprise, Mélinda en avait oublié son petit jeu de domination. Lenn, ici... Impossible ! Ce petit gringalet n’avait rien à voir avec l’homme qu’elle avait réussi à soumettre. Elle se rappelait encore très bien de cette scène, de la fureur de Lenn, jusqu’à ce qu’elle arrive, par sa nature de vampire, et par l’amour que Lenn lui portait, à le soumettre*. Tout ça avait été assez difficile, en réalité, amis elle avait gagné, et c’était d’ailleurs suite à ça que Mélinda avait pu rejoindre Nexus, en récupérant la nue-propriété du manoir de Lenn. Puis elle avait appris que Lenn Silvercoat était décédé. Un Notaire était venu la voir pour lui rapporter le contenu d’un testament olographe conférant à Mélinda l’intégralité du patrimoine de Lenn. Rien d’illégal, puisque Lenn n’avait aucune descendance connue. Depuis lors, Mélinda avait investi la villa de Lenn, et en avait fait un club de luxe, orienté vers le sexe, le sexe ayant toujours été la marque de fabrique de Mélinda.
Et voilà donc que Lenn se dressait à nouveau devant elle... Mélinda avait envie de ne pas y croire, tout lui disait que cette histoire était hallucinante... Mais, alors qu’elle voyait la fourrure pointer sur le corps de Matthieu, ses pupilles devenir plus sauvages, elle écarquilla les yeux en reconnaissant cette signature. Le sang de Matthieu devint plus sauvage, plus bestial, rappelant alors clairement à Mélinda celui de Lenn.
« Non... C’est impossible ! » s’exclama-t-elle.
Confus, Matthieu lui expliqua qu’il n’était pas mort, mais avait eu droit à une « nouvelle vie ». Sa malédiction avait disparu, lui conférant de nouveaux pouvoirs, une nouvelle identité... Tout ça n’avait aucun sens, et Mélinda se pinça alors les lèvres, avant de cligner des yeux, en essayant de retrouver sa contenance. Elle finit par la retrouver quand elle sentit des poils pousser le long de la verge de Matthieu, et se pinça les lèvres, avant de poser un doigt sur le torse de l’homme, ses yeux redevenant brusquement d’un rouge incandescent.
« Arrête ta transformation. »
Le petit homme s’exécuta intuitivement, et Mélinda se déplaça alors, relevant son bassin, et déplaça sa main, attrapant le sexe tendu de son prisonnier.
« Aussi invraisemblable que ce soit, je suis disposée à te croire, Matthieu... Mais il va falloir que tu m’expliques tout ça... »
Tout en parlant, elle s’était déplacée, et entoura de ses cuisses la verge de son amant... Puis s’empala ensuite dessus. Un léger frisson la traversa, et elle soupira de plaisir, continuant à coulisser le long de ce membre, l’enfonçant totalement en elle, puis reprit ensuite, tout en commençant à lentement se déhancher sur lui :
« ...En détail, hmmm... »
Ça, elle n’allait pas le laisser s’en sortir avec des explications aussi vaseuses, mais, du fait de sa position, il allait peut-être lui être difficile de s’exprimer...
* : Cf. RP « Ma fureur n’a d’égal que sa splendeur (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=15515.0) ».
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Matthieu était sur le point de se transformer, mais Mélinda posa alors un doigt sur son torse couvert de poils gris, ses yeux rougeoyèrent, et elle lui ordonna d'arrêter sur-le-champ. En entendant ces mots, le corps du jeune homme redevint peu à peu normal.
Incroyable. Juste en l'ordonnant...
Cette magie vampirique était décidément très puissante. Matthieu, incapable de parler si Mélinda ne lui posait pas de question, ne put qu'observer impuissant la façon dont la vampire lui astiquait la queue tout en exigeant de plus amples explications, car elle avait encore du mal à croire ce qui lui était arrivé. Seulement ça allait être difficile de parler, car elle ne s'était pas contentée de caresser son sexe avec ses doigts, elle était également venue s'empaler dessus et chevaucher le lycan.
« Aaahhh... Mé... Mélinda... aaahhh ! »
Matthieu avait du mal à s'exprimer, mais la magie de Mélinda l'obligeait à lui répondre de toute façon, alors il le fit du mieux qu'il put.
« Quand nous nous sommes vus... la dernière fois... hhmm... je cherchais déjà... un moyen... de me libérer... haann... de ma malédiction. Finalement... oh ouiii... j'ai découvert... qu'il existait... un médaillon... aahh... capable d'exaucer... n'importe quel souhait. Je me suis mis... à le chercher... huumm... partout... sur Terra... et finalement... aahh... je l'ai trouvé. Alors je suis parti... haann... le chercher. »
Plus le temps passait, plus s'exprimer devenait compliqué pour Matthieu, mais il ne pouvait ni s'arrêter ni demander un peu de répit.
« J'ai voyagé... à travers Terra... aaahhh... j'ai affronté... des dangers... indescriptibles... hhhmmm... fait face à des monstres... et à des sorciers... oohh... mais finalement... j'ai pu trouver... le médaillon. Je suis alors parti... vers le temple... haaannn... du dieu... qui avait crée... cette relique. Quand je l'ai eu... en face de moi... aaahhh... il m'a demandé... ce que je souhaitais... et je lui ai dit... hhhmmm... je lui ai dit... de me reprendre... tout ce que le Diable... m'avait donné.
Mes biens matériels... ooohhh... vous ont été donnés. Mes esclaves... et mes serviteurs... ont été renvoyés chez eux. J'étais libre. J'ai eu droit... à un nouveau corps... un nouveau nom... aahh... et j'ai pu... tout recommencer. En revanche... haaannn... j'ignore pourquoi... je suis ici. »
Quelles manigances l'ancien dieu avait-il en tête en l'envoyant dans son ancienne demeure et en le laissant entre les griffes de la vampire ? Il se serait bien posé la question si son esprit n'était pas obnubilé par la frustration de voir cette femme le torturer sexuellement.
« Aaahhh... Mélinda... pitié... fais moi jouir... ou laisses moi tranquille ! »
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La magie l’aidait, oui. Mélinda était une Warren, et sa mère vampirique, Asshaï, lui avait clairement expliqué que les Warren avaient toujours eu un fort potentiel magique en eux. Mais, au-delà de ça, il y avait surtout le fait qu’elle avait eu une grande influence sur Lenn, et que cette influence se retrouvait maintenant sur le brave Matthieu. Il lui expliqua qu’il avait affronté moult dangers et maints périls, avant de finalement se retrouver face à une divinité, qui l’avait libéré... Mélinda sourit donc.
« Pourtant, tu as toujours conservé ta lycanthropie et tes souvenirs Matthieu... Hmmmm... Mais j’admets que ton nouveau corps est très agréable. Et que tu te réveilles... Hmmm... Juste devant chez moi... »
Simple coïncidence ? Mélinda ne pouvait qu’émettre des hypothèses, pour l’heure. Elle sentait Matthieu se tortiller sous elle, suppliant de pouvoir jouir. La vampire sourit, et caressa avec ses mains le torse du jeune homme, qui se dandinait sous elle. Ses doigts caressèrent son torse glabre, griffant ensuite sa peau avec ses longs ongles, puis continua à remuer, ondulant, s’empalant sur sa verge.
« Haaaa... Mon petit Matthieu, hmmm... Tu es revenu auprès de ta Maîtresse, finalement, haaaaa... »
Pour qu’elle arrive à le contrôler si facilement, Mélinda ne voyait aucune autre explication logique. Il était à ses ordres, incapable de se révolter, car désireux de lui obéir, fidèlement et servilement. La vampire l’avait bien entendu la supplier, mais elle prenait son temps. Elle continuait à sentir ce délicieux chibre remonter en elle, déformant sa chatte, sa mouille glissant dessus. Matthieu pouvait au moins constater que la terrible Mélinda n’avait rien perdu de sa sensualité, ou de l’utilisation de son corps.
Se pinçant les lèvres, elle lui sourit donc, et se pencha vers lui, son visage près du sien, et lécha sa joue, avant d’aller titiller son oreille, la léchant également, puis en en mordillant ensuite le lobe.
« Tu as néanmoins oublié les règles essentielles, petit rebelle... Si tu veux que ta Maîtresse te fasse jouir, il faut me le demander ainsi. Tu me tutoies comme si j’étais ton égal, mais ce n’est pas le cas, sale effronté... Je suis ta Maîtresse ! Appelle-moi comme ça, petit chien ! »
Et elle recommença ensuite à danser sur sa queue, s’empalant joyeusement dessus, poussant de longs gémissements, parfois exagérés, mais l’idée était après tout de stimuler Matthieu...
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Prisonnier des griffes de Mélinda, Matthieu ne pouvait rien faire à part se soumettre. Sous l’influence de sa magie, il était forcé de lui obéir, alors quand elle exigea qu’elle le supplie de le laisser jouir en l’appelant "maîtresse", il ne put que se soumettre.
Non… je ne dois pas… lui céder. Je dois… résister…
« Aahh… maîtresse… je vous supplie… de laisser… haaannn… votre petit chien… jouir… graaah ! »
Matthieu se maudissait intérieurement d’être revenu au même schéma de domination avec Mélinda. Cette réincarnation était censé être l’occasion pour lui de prendre un nouveau départ dans la vie, de corriger les erreurs de son passé et de se bâtir un meilleur avenir. Et maintenant, le voilà piégé par la vampire qui allait à nouveau en faire son esclave.
D’un autre côté, pouvait-on vraiment dire qu’être l’esclave de Mélinda avait été une mauvaise chose pour lui ? Cette femme lui avait permis d’apprivoiser un peu de ses instincts sauvages, lui donnant ainsi un meilleur contrôle sur ses pouvoirs de lycan, elle lui avait offert une séance de sexe incroyable avec l’aide de sa succube Edessa et, d’une certaine façon, l’avait aidé à faire un peu la paix avec lui-même. Est-ce que lui revenir serait une si mauvaise chose ?
Je ne sais pas. Je ne sais plus…
Il y avait tellement de choses à peser, mais le lycan était surtout obnubilée par la sensation de l’orgasme approchant. Il gémissait, grognait, se tortillait sur place, excité par la vue de la femme empalée sur son mandrin. Mélinda avait un superbe corps, rendu encore plus séduisant par ses gémissements et ses ondulations, Matthieu lui aurait déjà sauté dessus s’il n’était pas paralysé par sa magie.
« Maîtresse… haaannn… ça vient… je le sens… aaahhh… GGRRAAHH ! »
L’homme jouit dans le corps de la femme, son éjaculation fut assez normale, ni peu ni trop, puis quand le choc de l’orgasme fut passé, il sentit une grande lassitude l’envahir. Son esprit, auparavant très chaotique, avait été vidé de toutes ses pensées bruyantes, ne lui laissant qu’une seule idée en tête.
Je ne peux pas lutter… sa magie me domine… que je le veuille ou non… pour l’instant… je dois obéir.
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Espérait-il sincèrement pouvoir lutter contre elle ? En un sens, c’en était presque mignon… Si totalement vain. Matthieu était pourtant bien placé pour savoir qu’on ne pouvait espérer lutter indéfiniment contre Mélinda Warren. Facétieuse, joueuse, provocatrice, sensuelle, la vampire avait bien des qualités, bien des éléments. Contre elle, on ne luttait pas vraiment, on s’inclinait poliment devant son talent, devant sa beauté, devant a perversité, devant les formes magnifiques de son corps… Couché sous elle, Matthieu était bouche bée devant tant de splendeur, et, s’il pensait pouvoir mettre cela uniquement sur le compte de la magie utilisée par la vampire, il se trompait lourdement. Il y avait aussi, en cause, tout simplement, le désir naturel que le jeune Lycan éprouvait pour elle… Et, aussi, plus profondément encore, un lien qui avait visiblement survécu à sa mort : son respect naturel envers elle.
Son mandrin planté en elle, il était donc soumis, devant se plier aux conditions de sa Maîtresse, sans possibilité de se renier. Il l’observait donc, yeux écarquillés, le plaisir venant le dominer, s’implanter en lui, le transcender… Et, dans un ultime sursaut, implora rapidement sa « Maîtresse ». Le terme arracha naturellement aux lèvres rouges de la vampire un doucereux sourire, et elle posa brusquement et brutalement ses mains sur son torse, serrant ses doigts sur sa peau, avant de gémir encore, se tortillant sur place.
« T-Très bien, Ma… Matthieu, hmmm… ! C’est… C’est tout ce que je voulais entendre, haaaa… !! »
Elle soupira encore, et relâcha donc la pression. Quelque chose se débloqua alors dans le corps de Matthieu, et Mélinda sentit avec plaisir ce dernier se relâcher en elle, jouissant, envoyant son foutre, sans réaliser qu’il ne faisait que se damner davantage auprès d’elle.
Mélinda se pencha alors lentement vers lui, après lui avoir laissé quelques instants de répit. Ses yeux brillaient de malice, et elle croisa les bras sur son torse, tout en frottant avec ses seins sa peau, la queue de Matthieu toujours nichée en elle. Elle laissa passer plusieurs secondes, avant de doucement sourire… Et avança sa langue, venant lécher les lèvres du jeune homme, remontant sur son nez, puis l’embrassa ensuite sur le bout de ce dernier.
Sensuelle jusqu’au bout… Terriblement dominatrice, et exquise, elle se dandina sur place, et poursuivit :
« Petit Matthieu… Pourquoi donc es-tu revenu ici ? Tu crois que ton Dieu l’a fait pour que tu retrouves ton chez toi ? Ou parce que, au fond de toi, tu sais que le lien que tu as tissé avec moi est plus fort que tout le reste… Et que, finalement, au plus profond de toi, tu rêves d’être mon petit chien ! »
Il pouvait le nier, bien sûr. Ça n’en serait que plus amusant !
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A nouveau entre les griffes de Mélinda, Matthieu réfléchissait à comment s’en sortir, bien qu’ayant reconnu qu’il ne pourrait pas s’enfuir tant que la vampire ne relâcherait pas un peu son attention de lui. Jouant de sa sensualité et de sa nature dominatrice, elle lui demanda ce qui avait pu pousser le dieu l’ayant retransformé à le faire apparaître ici, avançant plusieurs théories.
Qu’est ce que j’en sais moi ? Si je pouvais comprendre les dieux, je ne serais pas ici à baiser avec une vampire qui veut faire de moi son caniche de compagnie.
« Je… je ne sais pas. C’est vrai que… cet endroit… est ma maison… mais il sait… que je l’ai obtenue… grâce à la magie du Diable… et que je voulais… en être débarrassée. Sinon… il a peut-être… voulu m’envoyer… vers quelqu’un… d’amical. »
Même si c’était dur à admettre sur le coup, Mélinda était l’une des personnes de qui il se sentait le plus proche car elle avait su apprivoiser la bête en lui et elle n’était pas gentille avec elle parce qu’elle s’y sentait obligée, juste parce qu’elle en avait envie.
« Mais en tout cas… je suis sûr… que ce n’est pas… pour redevenir… votre chien. »
Mélinda ne devait pas oublier que Matthieu n’était pas à ses pieds par choix, mais parce qu’il était affaibli, sous l’emprise de sa magie vampirique et parce qu’elle le provoquait en utilisant ses attributs physiques. S’il avait eu le choix, il ne s’y serait pas pris comme ça pour leurs retrouvailles.
Je dois trouver un moyen de m’échapper.
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Juchée sur le corps de Matthieu, Mélinda le dominait de toute sa stature. Belle, sensuelle, magnifique, elle était l’incarnation même du vampire romantique. Élégance et sauvagerie animale transpiraient de son corps parfait. Elle se dressait au-dessus du jeune Matthieu, réincarnation de feu Lenn Silvercoat, et posa ses deux mains sur son torse, souriant quand ce dernier, tout en confessant ignorer pourquoi il était revenu ici, lui assura que ce n’était pas pour être son « chien ».
Penchant la tête sur le côté, elle appuya légèrement sur son torse, n’ayant visiblement guère envie de se séparer rapidement de lui.
« Hmmm… Il faut savoir. Suis-je quelqu’un d’amical, ou ne le suis-je pas ? J’ai souvenir d’un homme qui était déchiré par sa lycanthropie, qui était sa malédiction, et qui a voulu me tuer à cause de ça… Avant que je n’arrive à le contrôler, à le retenir, à le calmer, et à ce qu’il accepte de lui-même de m’être soumis, car c’était clairement ce qu’il y avait de mieux pour lui. »
La doucereuse voix de velours de la vampire emplissait l’air, charmante et pesée. Elle se souvenait très bien de cette situation, quand Lenn avait perdu le contrôle, et ravagé une partie de son harem. Les mains de Mélinda pincèrent alors les tétons du jeune homme, comme pour le punir.
« Je me souviens d’un homme qui m’a légué l’intégralité de sa patrimoine, parce qu’il savait que j’étais la mieux placée pour gérer ça. Et, là, ce que je vois, c’est un jeune garçon atteint de la même lycanthropie que jadis. »
Elle continuait à le caresser, et se pencha à nouveau sur lui. Sensuelle, comme d’habitude, elle n’avait toujours pas libéré de ses confortables cuisses la hampe de chair de son amant, semblant au contraire apprécier d’en faire son séant. Elle se dressa au-dessus de lui, s’allongeant contre son corps, ses seins glissant sur sa peau, son souffle sur le sien. Impossible pour lui de voir autre chose que le délicieux visage de la vampire.
« Maintenant, je m’interroge… Que comptes-tu faire, dis-moi ? Quel meilleur avenir pour toi vois-tu que celui de me servir, de lécher mes mollets, de pouvoir fourrer à longueur de journée des femmes à la beauté magnifique dans une ambiance luxueuse ? Être mon petit chien, beaucoup de gens tueraient pour avoir cette chance, tu sais… »
Le pire, c’est sans doute qu’elle était sincère en disant ça…
« Et regarde-moi droit dans les yeux, petit chien, en me parlant… »
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Matthieu n’arrêtait pas d’affirmer qu’il voulait se libérer de l’influence de Mélinda, mais elle ne semblait pas le prendre au sérieux. Elle resta collée contre lui, caressant sa peau, pinçant ses tétons, lui parlant avec sa voix de velours, sa triquée toujours enfoncée dans son antre humide.
« Hmmm… Il faut savoir. Suis-je quelqu’un d’amical, ou ne le suis-je pas ? J’ai souvenir d’un homme qui était déchiré par sa lycanthropie, qui était sa malédiction, et qui a voulu me tuer à cause de ça… Avant que je n’arrive à le contrôler, à le retenir, à le calmer, et à ce qu’il accepte de lui-même de m’être soumis, car c’était clairement ce qu’il y avait de mieux pour lui.
Je me souviens d’un homme qui m’a légué l’intégralité de sa patrimoine, parce qu’il savait que j’étais la mieux placée pour gérer ça. Et, là, ce que je vois, c’est un jeune garçon atteint de la même lycanthropie que jadis.
Maintenant, je m’interroge… Que comptes-tu faire, dis-moi ? Quel meilleur avenir pour toi vois-tu que celui de me servir, de lécher mes mollets, de pouvoir fourrer à longueur de journée des femmes à la beauté magnifique dans une ambiance luxueuse ? Être mon petit chien, beaucoup de gens tueraient pour avoir cette chance, tu sais… »
Le pire pour Matthieu dans tout ce que disait la vampire… c’était qu’elle avait raison. Sans elle, il n’aurait jamais compris comment amadouer sa part d’animalité. Il s’était soumis à elle de son plein gré, il lui avait cédé son domaine et ce malgré le fait que ça aurait pu l’envoyer tout droit en prison, et même maintenant il continuait de lui obéir, même si sa magie y était aussi pour quelque chose.
Le jeune homme avait envie de répondre, mais il craignait de devoir la regarder dans les yeux. Il tenta de les fuir, mais au final, la vampire l’obligea à les regarder. Son esprit se perdit dans l’éclat rougeoyant de ses yeux tandis qu’il essayait encore de lutter.
« Non… maîtresse… pitié… »
Mais rien à faire, il finit totalement hypnotisé et sous l’emprise de la femme. Son corps se relâcha, de même que son esprit. Il avait abandonné l’idée de lutter.
« Maîtresse… je… je ne voulais pas… redevenir… votre petit chien… mais… je ne peux pas… vous résister. Vous êtes… ma maîtresse… et je dois… vous obéir. »
Qu’allait-il faire maintenant ? En tout cas, peu importe ce que Mélinda lui demanderait, il le ferait. Et s’il pouvait profiter de tous les avantages dont il avait parlé plus tôt, il ne dirait pas non.
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D’aucuns auraient pu croire que Mélinda cherchait encore à l’hypnotiser, à user de ses récents pouvoirs vampiriques sur lui... Mais, si elle le faisait, c’était bien de manière inconsciente. Sa mère était beaucoup plus friande de magie qu’elle. Mélinda avait toujours préféré contrôler les autres en utilisant son talent naturel, sa plastique, et sa verve redoutable. Ses yeux étaient certes rouges par moments, mais c’était, pour elle, parce qu’elle était excitée. En revanche, Asshaï lui avait souvent répété qu’un vampire pouvait user de magie sans même le réaliser. Mélinda sourit en tout cas en voyant Matthieu avouer sa défaite, indiquant qu’il voulait lui obéir, et elle enfonça le clou :
« Tu as tout perdu de ton ancienne existence, Matthieu, mais le Dieu qui t’a libéré ne t’aurait pas laissé tes dons de Lycan si ce n’est en te renvoyant auprès de moi. Je suis la seule qui ai réussi à les contrôler. Tu ne comprends pas ? Tes Dieux ont estimé que tes pouvoirs lycanthropiques n’étaient plus une malédiction, puisque je t’ai appris à les dompter. »
En réalité, elle n’en savait rien, elle s’était toujours méfiée des divinités, mais ça ne l’empêchait pas de faire comme si. Elle se pencha donc encore vers lui, et l’embrassa tendrement sur les lèvres, tout en détachant ses mains des barreaux du lit, sentant dans le timbre de sa voix qu’il était sincère.
« Et puis, c’est agréable d’être mon petit chien, non ? Au fond de toi, je suis sûre que ça t’excite, quand je t’appelle comme ça... Mon petit chien. »
Mélinda glissa ces trois derniers mots dans le creux de l’oreille de l’homme, et poursuivit ensuite son baiser, plus longuement, tout en remuant légèrement des hanches, ondulant son corps, le déplaçant le long du sien, pour l’exciter davantage. Sa main se serra sur le torse de Matthieu, et elle sentit le pouls de ce dernier finir par battre, surtout quand elle coupa ce long baiser pour l’inviter à venir palper ses fesses :
« Caresse-moi le cul, Matthieu. »
Elle soupira de nouveau en sentant rapidement les mains de l’homme caresser son corps, et, surtout, cette zone sensible que constituaient ses fesses. Matthieu devait sûrement se rappeler que sa Maîtresse avait toujours aimé qu’on joue avec ses fesses, et, quand ses doigts palpèrent son postérieur, la vampire frémit. Sa main griffa légèrement le torse de Matthieu, et sa langue joua avec sa bouche, glissant dedans, remuant longuement, se mélangeant à la sienne.
« Laisse-toi aller, mon beau... Fais l’amour avec ta Maîtresse, n’est-ce pas là tout ce que tu désires ? »
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Matthieu avait abandonné l’envie de lutter, et Mélinda comptait bien en profiter. Elle détacha ses mains des barreaux du lit, l’embrassa à pleine bouche, et continua de le séduire en lui rappelant comme il était bon d’être son petit chien.
« Oui maîtresse… je suis… votre petit chien… aagghh… et j’adore ça. »
Cette vampire était trop excitante pour qu’il lui résiste. Même sans magie, elle aurait bien fini par le séduire et en faire son serviteur à nouveau. Avec son corps remuant contre le sien, le jeune homme était trop excité pour penser à autre chose. Alors quand elle cessa ce baiser pour lui ordonner de lui caresser le cul, il n’hésita pas une seconde.
« Tout de suite maîtresse. »
Les deux mains sur son cul, il palpa ses fesses avec bonheur, la faisant couiner de joie, et lui aussi était heureux. La chair moelleuse de ces deux bosses fondait sous ses doigts, et comme en plus elle lui griffait le torse, le plaisir le gagna rapidement.
« Hhmm… maîtresse… »
Incité par Mélinda à se laisser aller, Matthieu empoigna les fesses de la femme plus fermement et commença à remuer son bassin pour la pénétrer plus profondément. Le plaisir montait vite en lui, sa verge grossissait dans le corps de la vampire, il se mettait même à grogner.
« Aahh… ggrraa… oh oui… oui… »
Mélinda avait raison : tout ce que désirait Matthieu, à présent, était de lui faire l’amour, longuement et passionnément, jusqu’à retrouver ce sentiment de plaisir qu’il avait eu en s’abandonnant à elle lorsqu’il était Lenn Silvercoat.
Ondulant du bassin frénétiquement, le jeune homme gémissait et soupirait, savourant ces sensations de plaisir dans son corps. Sa verge dans l’intimité chaude de la vampire, ses doigts contre son cul, les griffes de la femme attaquant son torse… Avec tout ça, il ne fallut pas longtemps à ce jeune corps vigoureux et plein d’énergie pour se lâcher complètement.
« Aaahhh… ouiii… GGRRAAHH ! »
Les ongles de Matthieu s’enfoncèrent dans la peau de Mélinda, et il expulsa sa semence en elle. Après cet orgasme, son esprit était encore plus sensible à la sensualité de la femme, et il lécha la peau de son cou pour goûter sa chair.
« Aahh… maîtresse… vous êtes si belle… et vous sentez… si bon… »
En tant que lycan, il en savait quelque chose.
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Quand il était Lenn Silvercoat, Matthieu Silvertooth avait appris cette dure et fondamentale leçon : on ne lutte pas contre sa Maîtresse. Dès le début, Mélinda avait su user au mieux de l’amour que Lenn lui vouait, et de sa nature de Lycan, pour le soumettre et le dominer. Avec elle, il avait trouvé ce dont il avait toujours eu besoin, et nul ne lui ôterait de l’idée que, s’il était revenu à la vie près de son ancienne villa, c’était précisément pour la servir à nouveau. Mélinda était un peu sceptique, car elle avait toujours eu du mal à croire à l’influence des Dieux, mais elle n’était pas non plus totalement idiote. Il était arrivé quelque chose à Lenn, et il venait de renaître sous une nouvelle forme. L’idée, toutefois, que son serment de soumission survive après sa mort, comme s’il transcendait sa vie et son existence. C’était là, mine de rien, la plus magnifique des preuves d’amour, et ce fait ne manquait pas de contribuer à exciter Mélinda… Ça, et sentir les mains de Matthieu palper ses fesses, se crispant dessus, la griffant même.
« Hmmm… Matthieu, haaa… »
Les mains du jeune homme se crispaient sur les fesses moelleuses de Mélinda. Matthieu ne pouvait qu’en apprécier le contact, le confort, malaxant son cul. Ce faisant, sous le plaisir conjugué à la douleur, la vampire griffait le corps du jeune homme, frottant son torse, gémissant et soupirant au passage. Elle le sentait se tortiller contre elle, le jeune Matthieu savourant le corps de la femme. On ne pouvait que le comprendre, après tout, vu avec qui il couchait. Se dressant contre lui, Mélinda mordilla son cou, lécha sa peau, et, tandis qu’il grognait, elle le sentit finalement jouir en elle.
Matthieu vint plutôt vite, ce qui trahissait l’inexpérience de ce nouveau corps, couplée à un désir fort et immense. Souriant malicieusement, Mélinda se tortilla un peu sur place, et se releva encore, non sans embrasser longuement le jeune homme au passage, collant son corps au sien, appuyant dessus, faisant claquer la chair contre la chair. Sa langue se faufila dans sa bouche, jouant avec la sienne. La vampire n’avait pas encore joui, et se redressa ensuite, après ce long baiser. À nouveau, elle se remit à califourchon, souriant tendrement, puis se redressa encore, libérant finalement le sexe de Matthieu de son con délicieux et humide. Sa main caressa distraitement son ventre.
« Tu as joui en moi, petit pervers... Mais je suis une bonne Maîtresse, comme tu le sais... Et je récompense fidèlement mes petits chiens loyaux ! »
La vampire se déplaça donc, et fléchit les genoux, avant de se mettre à quatre pattes, tout en tournant le dos à Matthieu, de sorte qu’il avait une belle vue sur son intimité et sur son bassin, juste au-dessus de son visage... Puis Mélinda caressa son sexe d’une main, et lécha ensuite son phallus, sa bouche se déposant dessus, titillant son organe.
« Mmmhmm... J’aime les bonnes glaces trempées comme la tienne, mon petit chien... »
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Après que Matthieu ait joui, Mélinda fit sortir son sexe de son intimité humide et lui dit qu’elle allait le récompenser parce qu’il était son loyal petit chien. Déjà très excité, le jeune homme le fut encore plus lorsque la vampire se mit à quatre pattes au-dessus de lui, lui présentant son entrejambe pendant qu’elle léchait sa belle sucette trempée.
« Aahh… oui… »
Matthieu ne voulait pas redevenir le serviteur de Mélinda, mais cette dernière savait comment attiser le désir et soumettre les autres à sa volonté. De plus, cela n’aidait pas que sa magie vampirique lui donne un contrôle accru sur les lycans. Le jeune homme avait les yeux fixés sur le sexe de la dame, et se doutant qu’elle aimerait se faire rendre la pareille, il se mit à la lécher tout en pelotant ses fesses. Il s’était rendu compte qu’elle aimait bien se faire masser le cul, et lui donner du plaisir était le meilleur moyen de se faire récompenser en échange. Bien que soumis et hypnotisé par la magie rouge, il n’avait pas cessé de réfléchir.
« Hhhmmm… haaannn… ouuuiii… ça vient… AAHH ! »
Vu la jeunesse et l’inexpérience de son nouveau corps, Matthieu ne mit pas longtemps à jouir dans la bouche de Mélinda. A l’inverse, la femme résistait. Sa chatte mouillait bien et un mélange de mouille et de sperme coulait vers l’extérieur, atterrissant sur la langue du lycan. Ce mélange intime réveilla les instincts sauvages du jeune homme, qui sentait sa bête intérieure se secouer. Pour l’instant, la magie rouge l’empêchait de se transformer, mais il sentait que ça n’allait pas durer longtemps. Il se mit à lécher l’entrejambe de sa maîtresse plus vite et plus fort, pressant son cul avec fermeté, y mettant une ou deux claques.
« Aahh… Mélinda… ggrraahh ! »
La puissance lycane commençait à s’exprimer chez Matthieu. Son corps prenait plus de volume, il était plus audacieux, et donnait à Mélinda de quoi s’amuser : un sexe plus gros et une langue plus forte. Si elle ne faisait rien pour le calmer, d’ici quelques minutes, elle aurait un loup à gérer.
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Face à Mélinda, Matthieu n’était pas en position favorable. Il avait beau tenté de résister, il n’en était que plus mignon encore. Pensait*il sérieusement pouvoir repousser sa Maîtresse ? C’était mignon, en tout cas… Mais, maintenant que Mélinda avait sa queue en bouche et entre ses doigts, elle savait que Matthieu était de nouveau dans ses griffes. Et, cette fois, elle ne comptait pas le laisser partir de nouveau à l’aventure, et prendre le risque de mourir. Le plus ironique, là-dedans, c’est que Lenn Silvercoat avait entrepris toute cette quête uniquement pour mettre fin à sa lycanthropie… Or, cette dernière était toujours là ! Il y avait vraiment quelque chose de profondément ironique là-dedans, comme si l’humour des Dieux ne devait pas connaître de limites. Souriant lentement, Mélinda retourna à sa succion, enfonçant cette queue dans sa bouche, tout en déplaçant ses doigts, massant et caressant les testicules de Matthieu, tout en multipliant les gorges profondes.
« Hmmm… Hmmm… !! »
Elle mouillait sur son visage, se tortillant d’avant en arrière, sentant la langue et les mains de l’homme explorer son corps, palper sa peau, pénétrant et meurtrissant sa chair. Le plaisir affluait dans tous les sens, et, chez Matthieu, Mélinda perçut une curieuse poussée sanguine. Elle savait ce que cela signifiait, et ne fit évidemment rien pour le retenir. Elle sentit Matthieu pousser des grondements, et sa verge grossit, enfla. Ses testicules grossirent, et ses poils aussi, recouvrant également la base de sa verge. La fourrure continua ensuite rapidement à se répandre, et la langue de Matthieu devint plus longue, tandis que son museau s’étirait.
Mélinda se redressa alors, et se retourna. Restant à califourchon, elle posa ses mains sur le torse de Matthieu, et pinça ses tétons, faisant couiner Matthieu, un couinement qui devint un grondement, tandis que son corps s’allongeait, s’étirait, gagnant en bestialité et en férocité. Les yeux de la vampire brillaient de malice, et elle se mordilla les lèvres. Mélinda allait jouer avec le feu, mais, la dernière fois, c’était précisément comme ça qu’elle avait réussi à dompter Lenn… Et elle en avait conservé un excellent souvenir ! Autant dire qu’elle avait très hâte de recommencer, et qu’elle motivait Lenn en ce sens, pinçant encore sa peau poilue.
« Vas-y, ordonna-t-elle, bien consciente que Matthieu devait encore, inconsciemment, attendre l’ordre de sa Maîtresse. Transforme-toi… TRANSFORME-TOI ET BAISE-MOI !! »
Difficile de faire plus clair, non ?
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Matthieu pensait que Mélinda ferait tout pour endiguer sa transformation, comme n’importe quelle personne normale le ferait, mais elle aurait du se rappeler qu’il n’y avait rien de normal chez cette femme. Le jeune homme regarda sa maîtresse se retourner, il grogna quand elle lui pinça les tétons, et quand elle lui donna l’ordre de se transformer et de la baiser, il ne put plus se retenir.
« GGRRAAHH ! »
Quelque chose en lui venait de se décoincer. Son corps était déjà mi-chemin de sa forme de bête, mais en entendant la vampire lui donner l’autorisation de changer de forme, sa fourrure recouvrit totalement sa peau, son museau s’allongea, sa bouche se remplit de dents acérés comme des rasoirs, ses muscles continuèrent de grossir, des oreilles et une queue lui poussèrent et ses yeux virèrent du rouge au vert. Sous l’augmentation de sa masse musculaire, ses attaches aux poignets sautèrent.
Une fois sa transformation fini, Matthieu était détaché, et s’il l’avait voulu, il aurait pu s’enfuir ou tuer Mélinda, mais l’influence de cette dernière sur son esprit était déjà totale, il ne pouvait pas la défier.
« Aahh… maîtresse… je sens… que j’ai envie… de vous. »
Il la regarda se déplacer pour venir caresser sa verge, devenue bien plus grosse grâce à sa transformation, et après un peu de mise en bouche, elle s’empala sur son sexe.
« Hhhmmm ! Ooouuuiii ! »
Sentir sa queue se faire serrer entre les chairs humides de la vampire lui procurait beaucoup de plaisir, il grognait et couinait sans cesse, ses griffes plantés dans le matelas pour éviter de les planter dans la chair de sa maîtresse.
« Aahh… aaggghhh… ça… ça vient… ggrraahh ! »
Avec sa nature sauvage libérée et sa frustration déjà bien embrasée, il ne fallut pas grand-chose avant qu’il n’atteigne l’orgasme.
« RRRAAAHHH ! »
Matthieu relâcha un geyser de foutre dans le corps de Mélinda, lui dilatant l’intérieur du vagin avec un bon paquet de sperme, de quoi la faire hurler de plaisir. Le lycan était heureux d’avoir pu jouir sous cette forme, cela lui rappela tout un tas de bons souvenirs.
« Aahh… maîtresse… c’était… si bon… »
Définitivement, la femme savait comment faire de ce gros loup un gentil petit chiot.
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Mélinda aimait jouer avec le feu. Matthieu l’avait déjà vu quand il était Lenn Silvercoat, elle n’avait pas peur de sa transformation en Lycan. Les quelques mots de la vampire achevèrent de convaincre Matthieu, brisant en lui tout blocage qui aurait pu l’amener à stopper sa mutation. Avec plaisir, se mordillant les lèvres, Mélinda le vit se transformer. Le corps de Matthieu gagna en intensité sanguine, et tout son corps se mit à grossir, devenant plus poilu, plus puissant, plus... Plus sauvage, plus bestial. Se pinçant doucement les lèvres, Mélinda observa avec appétit ce fascinant spectacle, crispant ses doigts sur le torse de Matthieu. Elle sentit son sexe grossir également, un épais mandrin qui se mit à taper contre ses cuisses, remontant dans l’ourlet de ses fesses. Mélinda n’aurait su expliquer pourquoi, mais, en voyant ce gros monstre poilu, elle était furieusement excitée. Se pinçant les lèvres, elle remua sur place, voyant Matthieu grogner et hurler.
Sous sa forme lycanthropique, il était indéniablement bien plus impressionnant, et Mélinda, sans plus attendre, approcha son sexe du sien.
« Allez, mon gros loup, fais-moi couiner ! »
Très sérieuse dans son approche, Mélinda s’empala sur ce sexe, et frémit en sentant cette grosse queue poilue lui perforer le vagin, déformant ses parois, lui arrachant un long soupir, ses yeux venant se révulser dans ses orbites pendant quelques instants. Damn, cette bite ! Mélinda en avait mal dans tout le corps, des frissons la traversant de part en part, et grogna encore, relâchant même un peu de salive de ses lèvres. La salive coula le long des seins, et elle soupira encore en sentant les mains du puissant Lycan sur ses cuisses, ses doigts épais se serrant sur sa fine peau.
« Hnnnnnn... !! Ma... Matthieu, haaaa... HAAAAAAAAA... !! »
Un hurlement finit par s’échapper des lèvres, et elle se dandina ensuite, légèrement, de gauche à droite, en sentant les doigts griffus du monstre titiller ses fesses, lui arrachant des soupirs supplémentaires. Mélinda se pinça les lèvres, encore, et continua à danser sur lui, prise dans une spirale incroyable, très intense. Son corps se soulevait de haut et en bas, et elle sentait les mains du Lycan continuer à se crisper sur ses fesses, serrant sa peau, tout en évitant toutefois, presque à regret pour la vampire, de la faire saigner.
Un puissant orgasme traversa le corps de Matthieu. Mélinda le sentit venir, et de multiples projections de foutre fusèrent en elle. Un orgasme puissant, qui la fit également jouir, dans un ultime cri, ses mains griffant son torse poilu. Il se relâcha en elle, jouissant furieusement, sans devoir jamais s’arrêter, et termina finalement dans un ultime soupir, long et guttural, et remercia ensuite sa Maîtresse. Cette dernière, qui reprenait son souffle, secoua alors la tête, et pinça son torse.
« Ce... Ce n’est pas encore fini, Matthieu... Baise-moi encore ! Relève-toi, serre-moi dans tes bras, baise-moi fort !! »
Elle savait que ce fier Lycan en avait encore à revendre sous le coude, et elle comptait bien le pousser dans ses derniers retranchements !
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A peine venait-il de jouir que Matthieu fut à nouveau sollicité par Mélinda, qui lui ordonna de la prendre dans ses bras pour la baiser à nouveau. Cela impliquait qu'il devait maintenant jouer un rôle plus actif dans leurs ébats.
« Maîtresse... je... je ne veux pas vous blesser. »
Il craignait surtout de planter ses griffes dans sa chair et de la blesser profondément ou de lui briser les os avec ses muscles puissants. Mais puisqu'elle avait ordonné, il devait obéir. Le lycan se redressa, s'asseyant sur le lit, et prit la vampire dans ses bras. Elle était toujours empalée sur sa queue, et ils se retrouvèrent face à face, bien qu'il la dominait en hauteur. Son odeur lui titilla les narines, et vu la sensibilité de son odorat, il ne remarqua vite plus que ça. Il plongea sa truffe dans son cou, respirant son odeur en haletant.
« Ggrraahh... maîtresse... vous sentiez si bon. »
Pour un lycan, une amante avec une bonne odeur était toujours plus désirable. La truffe collée contre son cou, léchant sa peau, il commença à onduler du bassin, sa verge énorme étirant les parois internes de la femme.
« Aahh... oui... rraahh... »
Matthieu assurait une prise ferme mais néanmoins délicate sur le corps de Mélinda. Il la tenait dans ses bras et serrait ses mains griffues contre ses fesses sans entailler sa chair. Néanmoins, plus le temps passait, plus il avait du mal à se contrôler. Le parfum de la femme et le plaisir d'être logé en elle le rendirent plus fougueux. Il appuya si fort contre ses fesses qu'il perça sa peau, faisant couler du sang sur le bout de ses griffes, et il la mordit dans le cou du bout des crocs, laissant quelques gouttes de son sang tomber sur sa langue.
« Aahh ! »
En sentant le liquide dans sa bouche, Matthieu eut comme une poussée de virilité, sa queue gonfla dans le corps de Mélinda, et il se mit à la prendre plus vigoureusement, tapant jusqu'au fond de son antre humide.
« Haaannn... ooohhh... ooouuuiii... GGGRRRAAAHHH ! »
Cette fois, il réussit à tenir la distance et à jouir après s'être bien dépensé. Son foutre remplit le corps de la vampire, puis il arrêta de bouger pendant quelques secondes, fixant son amante en respirant fort.
« Aahh... aahh... maîtresse... aahh... »
Matthieu réalisa qu'il avait mordu et griffé sa maîtresse jusqu'au sang, mais ne craignait pas une punition pour autant. Si elle avait voulu le voir se lâcher, ce n'était sûrement pas pour le réprimander à la première blessure. Il porta ses griffes à sa bouche et lécha le sang qui coulait dessus.
« Ggrraahh... votre sang... est délicieux. »
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Matthieu aurait en effet pu la tuer. Sous sa forme de Lycan, il venait considérablement de gagner en masse musculaire, et, même avec sa constitution vampirique améliorée, Mélinda pouvait sentir ses bras massifs la serrer, la plaquant contre son corps énorme et osseux. Se tortillant sur place, Mélinda couinait, et même hurlait, sentant les muscles de Matthieu tirer sur son corps, l’écrasant sous ses poils. Hurlant encore, la vampire gémissait longuement, tout le corps empli d’un mélange savoureux et incroyable de sensations multiples. Outre les puissants bras de Matthieu, sa gueule léchant et mordillant son cou, reniflant son odeur et titillant son sang, elle sentait surtout son épaisse trique, une verge impériale qui s’enfonçait en elle. Oh ! Oh ! Quelle force ! Mélinda se dandinait sur place, le corps en feu, et, tandis qu’elle remuait lentement, elle sentit la queue de Matthieu enfler encore, formant comme un nœud, de sorte que sa queue devenait impossible à retirer sans qu’il ne se relâche en elle.
« Haaaa... Ma... Matthieu, haaaaa... !! »
Couinant longuement, Mélinda ne pouvait que suivre les mouvements impérieux du Lycan, qui griffa alors son cul. Elle hurla plus fort encore, et pinça à son tour le torse de Matthieu, griffant ce dernier. Avec lui, elle pouvait se lâcher sans crainte de le tuer, contrairement au sexe avec des humains.
« MA-MATTHIEU, HAAAAAAAAAAAAAA... !! »
La vampire continua à hurler, versant même quelques larmes... Mais des larmes de joie. Oh, certes, certes, elle avait très mal, mais, chez les vampires, et, là aussi, contrairement aux humains, elle appréciait la douleur. Souffrir en jouissant l’excitait terriblement, et c’était typiquement ce qui se passait ici. La vampire sentit le sang couler le long de son torse, depuis son cou, mais aussi sur ses cuisses, tombant à terre. Tout ça l’excitait fortement, et ses canines pointèrent également, ses pupilles se nimbant de rouge. Gémissant et couinant à nouveau, Mélinda se serra contre le corps de l’homme, et sentit alors la queue du Lycan exploser en elle.
Dans un long frisson, elle-même eut un orgasme, et se relâcha contre le corps du puissant loup-garou. Ses griffes restèrent plantées dans son torse pendant quelques secondes, pendant toute la durée de cet orgasme, puis elle relâcha ensuite la pression, et se reprit lentement, clignant des yeux, le corps en feu. Matthieu la complimenta ensuite sur son sang, et elle sourit, sentant son sperme en elle, dégoulinant lentement de ses cuisses, et retira délicatement ses griffes de son torse, puis alla l’embrasser.
« Dit comme ça, on dirait presque un vampire, Matthieu... Mais c’est ça que j’aime avec toi. Sous cette forme, tu peux vraiment me baiser comme les vampires l’aiment, dans le sang, dans la souffrance, et dans la jouissance... »
Mélinda lécha également son cou.
« Mais, tu sais, c’est moi la mordeuse, petit chien rebelle... »
Et, joignant le geste à la parole, Mélinda planta ses crocs dans son cou, venant aspirer son sang...
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L'attraction de Matthieu pour le sang de sa maître l'amusa, elle aimait le voir se lâcher et la baiser comme une bête. Mais elle lui rendit quand même la pareille, et vint planter ses crocs dans son cou.
« Aahh ! »
Le lycan ressentit une légère douleur quand les canines de Mélinda transpercèrent sa peau, mais ce picotement disparut très vite. Il ressentit un plaisir intense au niveau de son cou, qui descendit jusqu'à s'étendre à tout son corps. Sa fourrure se hérissa, il grogna de délice et son érection prit encore plus de volume. L’Étreinte était vraiment une sensation délicieuse.
Après avoir été mordu, Matthieu se sentait un peu désorientée, mais ne manquait pas d'énergie, et son excitation était au plus haut. Il attrapa Mélinda entre ses bras puissants et l'empala à nouveau sur son sexe.
« Ggrraahh ! »
Au vu de sa frustration, le lycan se fichait bien de savoir si la vampire était d'accord pour se faire prendre ou pas, il avait juste envie de se soulager. Et tandis qu'il bougeait en faisant aller et venir sa verge colossale dans le corps de sa maîtresse, il posa une de ses mains griffues sur sa poitrine et l'autre contre ses fesses. Cette fois, il n'hésitait plus à la griffer jusqu'au sang, et il recueillait le précieux liquide au bout de ses doigts.
« Hhhmmm... alors... ça vous plaît ? »
Elle voulait coucher avec une bête, elle allait avoir son compte. Matthieu se mit à lécher son visage, insistant particulièrement sur ses lèvres et ses joues, répandant sa salive sur sa peau. Avec l'odeur de la femme lui arrivant au museau, il était encore plus déchaîné, et ne faisait presque plus preuve de retenue. Il faisait juste attention de ne pas trop forcer et de la blesser gravement.
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Le sang du Lycan était puissant, et très important. Matthieu était bien fourni, bien plus que sous sa forme humaine. Là, il lui rappelait clairement Lenn Silvercoat, qui avait à peu près les mêmes proportions sous sa forme lycanthropique. Un grand fauve poilu et édenté, musclé et redoutable. Vouloir faire l’amour avec une telle créature relevait sans doute d’une forme de folie, vu la puissance du monstre, sa taille considérable, et son énergie surhumaine, mais Mélinda était prête à prendre ce risque. C’est d’ailleurs aussi pour ça qu’elle but un peu de son sang, se galvanisant ainsi, tout en crispant ses mains sur son torse musclé. Elle sentait sa force sous les poils, sous sa chaude fourrure, mais perçut soudain l’épaisseur horrible de sa virilité. Une trique immense qui la labourait de part en part, la déchirait sans ménagement, et lui arrachait des frissons et des hurlements.
« Le-Lenn... !! »
Mélinda sentit le corps de Lenn se serrer contre elle. Il était si grand qu’il la baisait à même debout. S’ils s’étaient allongés, il aurait d’ailleurs sûrement brisé le lit. Mélinda couinait longuement, les joues rougies, sans pouvoir rien faire d’autre que subir... Et, tandis qu’il la griffait, maltraitait son corps, elle-même faisait de même. Ses griffes s’enfoncèrent dans sa poitrine, tailladant sa chair. Elle pouvait le griffer fortement, car il avait une peau très résistante, à travers sa fourrure, mais aussi à travers ses muscles.
Grognant encore, le Lycan se déplaça, et Mélinda heurta violemment le mur. Elle hurla sur place, relevant les jambes, et, sous le choc, son pied heurta une lampe de chevet à proximité, la brisant sur le sol. Elle ne s’en moqua guère, et posa sa main sur la nuque de Lenn, griffant sa peau, s’y plantant avec appui, gémissant contre lui, et sentit un orgasme la traverser. Elle gémit longuement, les yeux perdus dans le vague, tant et si bien que de la bave coula brusquement de ses lèvres.
Les coups de reins de Lenn continuèrent à la prendre, provoquant des vibrations sur le mur, qui firent également tomber un tableau accroché au mur. Le cadre tomba au sol, mais sans se briser. Mélinda hurla alors, poussant un grand cri, en sentant la trique de l’homme enfler en elle. Sa queue se dota, comme le sexe de bien des animaux, d’une sorte de nœud à se base, en gonflant en elle. Impossible, dès lors, de la retirer sans qu’il ne jouisse, et Mélinda prenait clairement son pied, délicieusement écrasée par le corps de son amant, le sang de Lenn ruisselant sur son torse, heurtant les seins et le ventre de Mélinda, décorant également ses cuisses. Tout ça devenait très intense, très explosif, et elle adorait ça. Ce plaisir sanguin, cette bestialité sexuelle...
« HAAAAAAAAAAAANNN... !! LE-LEEEENNNN, HAAAAAAAAAAAA... !! » s’égosillait-elle.
Avec tout ce sang, les pupilles de Mélinda avaient viré au rouge, et, quand elle ouvrait ses lèvres, on pouvait voir ses belles canines, rendant ses baisers très tranchants. Elle-même n’hésitait pas à couper sa langue sur les crocs pointus de Lenn, savourant encore le contact de cet homme contre elle...
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Matthieu aurait du savoir que coucher avec Mélinda ne se ferait pas sans quelques blessures. Ses griffes entaillaient la chair de la vampire, et elle en faisait de même avec ses ongles. Mais pour lui, cette douleur était comme des piqûres de moustiques tant sa peau et ses muscles étaient épais.
« Rraahh... Mélinda... »
Le lycan plaqua son amante contre un mur, continuant de la pénétrer avec sa verge monstrueuse, brisant une lampe au passage. Il continua ses assauts furieux jusqu'à sentir la vampire jouir contre lui en gémissant. La faire jouir le satisfit au plus haut point, mais il n'avait pas encore joui, donc pas question d'arrêter les assauts. Quelques secondes après la jouissance de la femme, il recommença à la pénétrer bien fort, à tel point qu'ils en firent tomber un tableau du mur.
« Ggrraahh ! »
Matthieu sentit son sexe enfler encore dans le corps de Mélinda, formant une sorte de nœud semblable à celui des chiens quand ils pénètrent les femelles, une sensation délicieuse. Il mit encore plus de vigueur dans ses mouvements, cherchant la satisfaction totale.
Les deux amants s'embrassèrent sauvagement, la vampire n'hésitant pas à venir se couper la langue sur les crocs du lycan, laissant son sang couler dans la gorge de ce dernier, de quoi le rendre plus fougueux. Sa grosse langue parcourait la bouche de la femme, sentant ses canines pointues proches de lui couper la langue. Le sexe était devenu totalement bestial entre eux : ils baisaient contre un mur, le corps couvert par un mélange de leurs sangs, prenant leur pied dans la douleur. Et ça continua jusqu'à ce que le jeune homme sente l'orgasme arriver.
« RRRAAAHHH !!! »
Matthieu poussa un terrible grognement, puis sa semence jaillit, remplissant l'intimité de Mélinda jusqu'à la faire déborder. Son éjaculation durant presque une minute, puis il se retira du corps de la femme et s'assit par terre, lui offrant ses cuisses comme siège.
« Ggrr... les fesses de ma maîtresse... sont trop parfaites... pour toucher le sol. »
Sa fascination pour la femme était complètement revenue, il n'était plus seulement son petit chiot, il était son serviteur dévoué. Mais malgré ça, il n'en restait pas moins une bête en chaleur, et devant la vue d'une si belle nudité, sa verge ne mit pas longtemps à retrouver sa vigueur. Pelotant doucement l'un des seins de la femme, il n'attendait qu'un mot ou un geste de sa part pour lui faire l'amour à nouveau.
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Mélinda se tortillait sur place, sévèrement prise par Matthieu. Le puissant Lycan la bourrait énergiquement, sans relâche, et elle continuait à hurler, crispant ses griffes sur son torse, sentant son redoutable amant la perforer encore. Ses fesses rebondissaient contre le mur, et la vampire hurla encore, avant de sentir Matthieu l’embrasser encore. Leurs langues se mélangèrent, et elle se coupa volontiers sur ses dents pointues, faisant couler son sang.
« Hmmm... !! »
Rien n’arrêtait Matthieu, rien ne semblait devoir le calmer. Il continuait à la bourrer, méchamment, puissamment, écartelant ses lèvres intimes, arrachant à Mélinda de nouveaux cris, des frissons supplémentaires. Elle en pleurait presque, tant l’exercice était intense, dur et épuisant. Mine de rien, Matthieu était un impressionnant amant, exigeant et lourd, massif et terrible. Il la baisait sans méchamment, et... Dieu, ce qu’elle aimait ça ! Leurs gabarits respectifs ne correspondaient pas du tout, et ce que Mélinda faisait était clairement suicidaire, mais, pour rien au monde, elle ne serait revenue là-dessus ! Tout ça était juste... Trop bon !
Matthieu la bourrait donc, et plusieurs éléments de décor étaient déjà tombés. De la salive coula même le long de la poitrine de Mélinda, qui n’arrivait même plus à retenir son souffle, sentant son esprit partir au loin, se figeant dans une expression d’ahegao. Un puissant orgasme la traversa de part en part, autant celui de Matthieu que le sien... Ou les siens. Le fait est que Matthieu jouit tellement en elle qu’elle enchaîna avec un second orgasme, sentant le plaisir atteindre un nouveau point culminant au bout de quelques instants. Son hurlement mourut également dans sa gorge, tandis que le sperme de Matthieu continuait à affluer en elle. Sa queue dégrossit ensuite, alors qu’il venait de la marquer copieusement.
« Haaaaa... Pffffttt... »
Éreintée, Mélinda se laissa glisser avec Matthieu, et se retrouva ainsi sur le sol. Elle sourit ensuite, revenant peu à peu à elle, quand il expliqua que sa Maîtresse ne méritait pas de toucher le sol... Ou, plutôt, ses fesses. Respirant lourdement, Mélinda s’appuyait sur les épaules massives du Lycan, sentant sa verge caresser ses cuisses. Elle était en sueur, le corps décoré ici et là de zébrures rouges, et croisa son regard.
Mélinda sourit à ce dernier, et caressa son visage d’une main.
« Le cul de ta Maîtresse te plaît, mon beau ? » demanda-t-elle alors.
Elle avait tout le corps en feu, mais elle était debout, encore en état, et se dandina sur place. Mélinda approcha son visage du sien, et l’embrassa encore, goûtant à ses puissantes lèvres, sentant, contre elle, le puissant sang de Matthieu, qui tambourinait dans sa poitrine. Se pinçant ensuite les lèvres, elle crispa ses doigts sur sa poitrine, et reprit :
« Alors, qu’est-ce que tu attends pour venir t’en occuper, hm ? »
-
Matthieu était si dévoué à Mélinda qu'il voulait même empêcher ses fesses de toucher le sol. Charmée par cette attention, la vampire caressa son museau en lui demandant s'il aimait le cul de sa maîtresse.
« Ggrr... le cul de ma maîtresse... est splendide... et je l'adore. »
S'il n'avait pas peur de mettre sa chair en pièces, il aurait déjà empoigné ces deux belles bosses à pleines griffes. Mais la femme, après un autre baiser, l'incita à venir satisfaire ses pulsions.
« Aahh... vraiment... j'ai le droit ? »
Puisqu'elle avait fait la proposition, il n'allait pas se gêner. Il la prit par les hanches, la souleva, puis empala son anus sur sa verge colossale. Elle poussa un cri sur le coup, et il poussa un rugissement.
« RRAAHH ! »
Ce râle était autant un bruit de douleur que de plaisir. Le cul de Mélinda, malgré le nombre impressionnant de verges qui avaient du le ramoner, restait bien plus étroit que son intimité, et Matthieu sentit immédiatement son sexe être compressé. Mais dans sa situation, même cette douleur était plaisante. Il commença à secouer le corps de la vampire avec son bassin musclé, de sorte qu'elle n'avait rien à faire, juste se laisser porter par la vague de plaisir. Et de toute façon, à moins de donner un ordre contraire, elle ne pourrait pas s'échapper de la prise du lycan.
Tandis qu'il bourrait et dilatait ce cul avec bonheur, Matthieu se dit que finalement, être l'esclave de Mélinda n'avait pas que des désavantages. En la servant, il s'assurait d'avoir toujours de belles femmes, et en demandant gentiment à sa maîtresse, il pourrait coucher avec plusieurs d'entre elles. Maintenant qu'il arrivait à mieux se contrôler, il pourrait faire en sorte de ne pas les tuer pendant l'amour.
Très vite, le plaisir de la sodomie s'empara du lycan, et il changea sa maîtresse de position. Le visage contre le sol, le dos creusé et le cul en l'air, Mélinda était devenue la proie de la bête. Bien sûr, un seul mot de sa part et Matthieu aurait tout arrêté. Mais il avait le pressentiment que la vampire aimait se faire baiser de la sorte, et qu'elle ne chercherait pas à l'en empêcher malgré sa nouvelle position.
« Aahh... gggrrraaahhh... oh oui... maîtresse... RRAAHH ! »
-
Mélinda n’avait pas peur de Matthieu, de sentir sa grosse queue lui labourer le fondement, bien au contraire. L’image l’excitait fortement, et elle se dandinait sur place, se pinçant les lèvres, toute excitée en sentant l’épaisse virilité de Matthieu, et son énergie. Le Lycan était encore plein de ressources, et la vampire savait qu’il n’en avait pas encore terminé avec elle. Elle le laissa donc se rapprocher, s’attaquant à une autre partie de son corps : son fondement. C’était sa cible, et Mélinda lui donnait carte blanche pour le faire. Elle se mordilla doucement les lèvres en sentant sa grosse queue glisser sur ses fesses, s’appuyant sur sa chair, puis Matthieu la souleva, et commença à la prendre.
« Gnnnn... !! »
Comme elle s’y attendait, sa verge monstrueuse peinait à rentrer en elle. Certes, Mélinda était une grande sodomite, mais cette situation ne changeait rien, en soi, au fait qu’elle aimait se faire sodomiser, a fortiori par de grosses verges assoiffées. Et, en l’occurrence, Matthieu était clairement bien équipé pour ça. Il ne tarda d’ailleurs pas à la déplacer, la mettant dans une position plus simple pour pouvoir la prendre, sa grosse verge venant pilonner son délicieux cul, arrachant à Mélinda moult soupirs et couinements de plaisir. Ses griffes labourèrent le sol, et elle se mit à gémir profondément, et elle couina encore, la tête à terre.
« Mmmmhmmm... Ma... Matthieu, haaaaa... »
La vampire ferma les yeux en sentant le plaisir remonter furieusement en elle. Elle se tortilla encore sur place, gémissant une nouvelle fois, et laissa le Lycan la sodomiser, enfonçant sa trique de plus en plus profondément en elle. C’était... Eh bien, c’était dantesque ! Autant le dire clairement, elle adorait ça, cette sensation, le goût de cette verge qui la pilonnait généreusement et énergiquement.
« Hmmmmm... !! »
-
Matthieu pilonnait sans pitié le cul de Mélinda, lui arrachant couinements et soupirs à répétition, tandis qu'il grognait et gémissait de plaisir.
« Aahh... ggrraahh... ooouuuiii... haaannn... »
Comment ne pas avoir envie d'elle ? Tout était parfait chez cette vampire, ou du moins tout ce que le lycan pouvait voir. Son corps était une incitation au pêché, un plaisir auquel il était plus que ravi de se laisser aller. Allant et venant dans ce fondement bien dilaté, il prenait autant son pied avec sa queue qu'en voyant sa maîtresse face contre terre, les fesses bombées, ses cris remplissant la pièce.
« Gggrrr... ça vient... oui... GGGRRRAAAHHH ! »
Quand Matthieu éjacula dans le fondement de Mélinda, il ne fit pas dans la demi-mesure. Son sexe expulsa un geyser de sperme, qui remplit complètement l'anus de la vampire, et il serra ses griffes si fort qu'il perça la peau de son cul jusqu'au sang. Cette éjaculation lui éclaircit encore un peu plus les idées, et il fit à nouveau asseoir sa maîtresse contre lui.
« Aahh... ma maîtresse... est magnifique. »
Il passa sa truffe dans ses cheveux et son cou, reniflant son parfum.
« Et... ggrroouu... elle sent très bon. »
En clair, elle avait tout pour être une parfaite amante. Mais le lycan savait très bien que s'il restait avec elle, ce serait en tant que serviteur soumis. Et alors qu'il avait tou fait pour éviter que ça n'arrive, voilà que l'idée l'enthousiasmait au plus haut point.
« Maîtresse... est-ce que... votre gentil petit chien... pourra voir... vos autres servantes ? »
Encore un avantage de servir Mélinda : tout un tas de jolies filles à portée.
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Matthieu la sodomisait avec hargne, il la besognait avec énergie. Mélinda hurlait furieusement, couinait énergiquement, ses griffes se plantant dans la moquette. Quelle énergie ! Quelle force ! Quelle puissance ! Prise sans ménagement par son amant, Mélinda continuait à hurler, ne pouvant rien faire d’autre. Matthieu continuait à la bourrer énergiquement, son puissant corps soulevant le corps de la vampire, manquant de la renverser à chaque fois. Il s’appuyait sur ses hanches, griffant son petit corps. Plus que jamais, la petitesse de Mélinda ressortait par rapport à la masse immense de Matthieu. Le Lycan continuait à la bourrer sans relâche, et des larmes coulaient le long des joues de la femme. Elle en avait mal, bien entendu, car le Lycan lui pilonnait le cul sans la moindre pitié, avec une rage bestiale délicieuse, jouissive !
Mélinda hurlait encore, et sentit un nouvel orgasme la traverser. Ses yeux se révulsaient, sa bave coula au sol, et elle sentit finalement, au bout de plusieurs minutes, le Lycan se relâcher énergiquement en elle. Il la griffa douloureusement, et Mélinda hurla en sentant sa chair se déchirer sous les griffes du monstre, son sang coulant le long de ses cuisses. Comme quoi, heureusement qu’il couchait avec une vampire ! Une humaine normale aurait été sévèrement blessée, et il aurait fallu de nombreuses semaines pour la guérir. Mélinda sentit son ventre se remplir, tandis que le nœud de Matthieu, à hauteur de son cul, se retirait progressivement, au fur et à mesure que sa queue dégrossissait en la fourrant bien.
« Hoooo... Haaaaaa... »
La respiration lourde, Mélinda cligna des yeux, et sentit le Lycan l’attraper à nouveau, venant serrer contre son torse son petit corps de poupée. La vampire était en sueur, et elle se frotta contre le corps poilu de l’homme. Son cul lui faisait mal, frissonnant sur place, et elle se pinça les lèvres, gémissant longuement, restant collée au corps de Matthieu. Heureux, le Lycan se pressait contre elle, et sourit quand elle sentit sa truffe se frotter contre son visage, la reniflant, la léchant même.
« Humm... Je ne sais pas si je peux encore dire que tu es ‘‘petit’’, vu comment tu m’as explosé le cul, Matthieu, hmmm... »
Mélinda respirait encore lourdement, se dandinant sur place.
« Je veux bien, mais... Il ne faut pas que tu les abîmes, Matthieu... Mes servantes sont bien plus fragiles que moi, tu sais... »
Une précision utile à fournir, car, au vu de l’énergie massive du Lycan, Mélinda ne voulait pas qu’il saigne ses petites protégées...
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Matthieu venait de baiser Mélinda presque sans retenue, mettant le corps de la femme à rude épreuve, mais il était encore plein d'énergie. Et en voyant l'état dans lequel était sa maîtresse, il préféra lui demander si d'autres filles étaient disponibles. La vampire accepta qu'il voit ses protégées, à condition qu'il ne les abîme pas.
« C'est promis maîtresse... j'irai doucement. »
Ce qui, pour lui, voulait dire ne pas les griffer, ne pas les mordre, ne pas les faire saigner et ne pas les démonter comme il venait de le faire. Heureusement, sous sa nouvelle forme de lycan, il contrôlait mieux sa rage bestiale.
« Si vous êtes d'accord... gggrrr... j'aimerais commencer... avec... aahhh... Catherine. »
Catherine (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/16/3/1524065128-catherine-catherine-game-drawn-by-znz-cb0295df621b479c097ed4c6d48a4b34.jpg) était l'une des filles du harem, et l'une des raisons pour laquelle la dernière rencontre (http://lgj.forum-rpg.net/index.php?topic=15515#top_subject) de Matthieu avec Mélinda, quand il était encore Lenn, avait quelque peu dégénérée. L'image de cette séduisante et plantureuse jeune femme était un souvenir persistant chez le lycan, qui ne pouvait pas s'empêcher d'éprouver du désir à son égard. A l'époque, il s'était retenu, jugeant que coucher avec elle ne serait pas une bonne chose, mais maintenant qu'il avait récupéré un corps plus jeune et qu'il se maîtrisait mieux, il voulait en profiter pour satisfaire cette envie refoulée.
« Ou sinon... hhhmmm... il y a aussi... Edessa. »
Edessa (http://img98.xooimage.com/files/2/b/4/edessa-4265072.jpg), une succube au service de Mélinda, qu'elle voyait presque comme sa mère. En plus d'avoir un corps pulpeux et de susciter facilement le désir, elle pouvait très bien supporter les assauts d'une bête, donc Matthieu n'aurait pas besoin de se retenir avec elle.
« Rrraaahhh... ce sont... mes préférées... mais je prendrai... ce que vous me donnerez... maîtresse. »
Il ne faisait que parler de ses désirs, mais en bon petit chien, il se plierait aux choix de sa maîtresse. De toute façon, vu la perversion de cette dernière, ce ne serait pas étonnant qu'elle lui amène Catherine.
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Catherine... Mélinda sourit à l’évocation de ce nom. Visiblement, Matthieu avait de bons souvenirs de l’époque où il était encore Lenn. Assise sur lui, elle l’écouta parler. Outre Catherine, il se rappelait aussi d’Edessa, ce qui ne manqua pas d’arracher un nouveau sourire sur les lèvres de la belle vampire.
« Eh bien, tu as de bons souvenirs, Matthieu, mais tu ne dois pas oublier que nous sommes à Nexus, ici, pas à Ashnard... Pour commencer, reprends ta forme humaine, tu seras moins effrayant comme ça. »
Pendant que Matthieu se transformait, Mélinda s’extirpa finalement de son corps. Ses articulations lui firent silencieusement mal, le temps que son corps se rétablisse. Matthieu l’avait plutôt bien baisé, après tout, et elle se déplaça lentement, remettant ses affaires.
« Quant à Catherine... Elle est ici, à Nexus. Je suis sûre qu’elle sera ravie de te revoir. Je pourrais faire venir Edessa, mais elle viendra après. Et Catherine... Je crois qu’elle est occupée avec un client. Fort heureusement, j’ai d’autres merveilles à te présenter. »
Sur ce point, on pouvait indéniablement faire confiance à Mélinda. Elle avait d’ailleurs un sourire légèrement énigmatique aux lèvres, avec une lueur amusée dans les yeux. Mélinda et Matthieu sortirent dans le couloir, et la vampire rejoignit une chambre. Elle toqua à cette dernière, et, quand elle l’ouvrit, une délicieuse odeur sensuelle en émana.
« Maîtresse ?
- Maîtresse ! »
Deux délicieuses voix résonnèrent, appartenant à des femmes que Matthieu n’avait encore jamais vu. Mélinda laissa Matthieu passer. C’était une chambre de repos, avec un grand lit à baldaquin, et deux femmes étaient à l’intérieur. Visiblement, l’une des deux avait été à califourchon sur l’autre, et les deux beautés les observèrent.
« Vous nous présentez un nouveau client, Maîtresse ? Il est mignon... »
Mélinda les lui présenta rapidement. L’une était une très belle Terranide, Heles (https://img00.deviantart.net/1f9a/i/2017/219/5/c/heles__summer____granblue_fantasy_by_sciamano240-dbj3wnu.jpg), et l’autre une neko très bien habillée, une belle blonde répondant au nom de Katya (https://orig00.deviantart.net/b7db/f/2018/067/c/a/cat_dva_by_sakimichan-dc5cb4e.jpg). La vampire rapprocha Matthieu des deux femmes, et ferma la porte derrière elle, s’enfermant avec le trio.
« Les filles, je vous présente votre nouveau compagnon, Matthieu Silvertooth. Matthieu, je te présente Heles et Katya, deux belles Terranides vagabondes que j’ai récupéré dans les rues de Nexus, et que j’ai recueillie. Comme tu peux le voir, elles sont très câlines... »
Et encore, il n’avait rien vu !
-
Mélinda était prête à satisfaire les envies de Matthieu, mais seulement sous quelques conditions. D'abord, il reprit sa forme humaine, redevenant ce beau et doux garçon qui avait débarqué sur le domaine de la vampire. Ensuite, cette dernière lui expliqua que Catherine était occupé avec un client et qu'Edessa était à Ashnard, alors en attendant, il allait s'occuper avec d'autres merveilles. Le jeune homme enfila juste de quoi couvrir ses parties génitales, puis il suivit sa maîtresse jusqu'à une autre chambre. Dès que la porte s'ouvrit, l'odorat du lycan fut stimulé par une délicieuse odeur s'échappant de la pièce, une odeur si agréable que ses pupilles virèrent à nouveau au vert, comme s'il allait se transformer de nouveau. Il entra le premier et vit deux superbes femmes allongées sur un grand lit à baldaquin. L'une était une terranide aux cheveux blancs, coiffés en une longue tresse, et l'autre était une neko blonde avec des couettes. Les deux avaient des corps somptueux et portaient une lingerie sensuelle. La neko déclara que Matthieu était mignon, puis Mélinda fit les présentations.
« Les filles, je vous présente votre nouveau compagnon, Matthieu Silvertooth. Matthieu, je te présente Heles et Katya, deux belles Terranides vagabondes que j’ai récupéré dans les rues de Nexus, et que j’ai recueillie. Comme tu peux le voir, elles sont très câlines... »
« Je... je n'en doute pas... maîtresse. »
Rien que de les voir, le jeune homme se sentait déjà troublé.
« Bonjour... Heles et Katya. Je... je m'appelle Matthieu. C'est... un plaisir de vous connaître. »
Dire qu'il avait suffi de deux jolis minions pour le déstabiliser aussi vite. En proie à une belle érection facilement visible pour les deux filles, il ne savait plus trop quoi faire. Elles lui firent signe d'approcher, ce qu'il fit sur-le-champ. Allongé entre les deux terranides, il hésitait à bouger alors que tout ce qu'il voyait et sentait lui donnait envie. Ces deux femmes avaient tout pour être tentantes : des décolletés plongeants, de belles fesses, un parfum enivrant, et un caractère très joueur. Elles débarrassèrent le lycan du peu de tissu le couvrant encore, et elles se réjouirent en voyant sa belle érection, s'amusant à le caresser tout en jouant avec lui.
« Aahh... je... je n'y peux rien... vous êtes... si belles... et vous sentez... si bon. »
Matthieu reniflait fort pour bien capter l'odeur de la pièce, essayant de comprendre de quoi il s'agissait.
« Hhhmmm... ce sont... de bougies... ou c'est... votre parfum... ou votre odeur naturelle ? »
Si elles sentaient aussi bon sans avoir à utiliser de parfum ou de bougies d'ambiance, alors Matthieu n'allait pas pouvoir leur résister longtemps. D'ailleurs, il faisait déjà des efforts pour ne pas se transformer malgré son envie grandissante. Mais il sentait le regard de sa maîtresse sur lui, alors il se retenait, craignant la punition en cas de désobéissance.
-
« Nyaaaahh, il est trop mignon !! On peut jouer avec lui, Maîtresse ?
- S’il-vous-plaît !!
- Les filles, je l’ai précisément invité ici pour que vous vous occupiez de lui bien comme il faut... »
Heles et Katya poussèrent des cris de joie, avant que chacune n’attrape l’une des mains de Matthieu, l’amenant sur le lit. Les deux nekos avaient souffert dans leur vie. Elles avaient erré dans les bas-fonds de Nexus, fuyant les soldats, les criminels, manquant d’amour. Elles avaient appris à vagabonder, jusqu’à ce qu’elles ne soient finalement capturées, et vendues aux enchères. Mélinda avait récupéré les deux, et, s’il avait fallu du temps pour qu’elles sortent de leur coquille, le résultat final était admirable. Loin d’être farouches, elles avaient vite développé un fort attrait pour les câlins, précisément parce qu’elles en avaient manqué pendant des années. Elles étaient avant d’être à la rue dans la demeure d’une Nexusienne âgée, qui avait fini par mourir de vieillesse. Cependant, ses héritiers n’étaient nullement intéressés par des nekos de compagnie, et elles avaient été chassées du manoir. C’est comme ça qu’elles avaient erré dans la rue, avant de finir par retrouver une nouvelle propriétaire, qui leur offrait autant de câlins que leur ancienne propriétaire, si ce n’est plus.
Sur le lit, il sentit les mains des Terranides le déshabiller, lui enlevant sa culotte. Une belle verge se dressa devant les deux femmes, qui gloussèrent joyeusement, avant de le caresser. Elles approchèrent ensuite chacune leur visage de son sexe, et le reniflèrent, en le léchant l’une après l’autre, ou en même temps. C’était un agréable spectacle, car, avec leurs têtes baissées, leur cul s’était relevé, leurs queues caudales remuant de gauche à droite. Matthieu, nerveux, leur demanda alors si l’odeur qu’il sentait était naturelle, ce qui les fit glousser.
« Nous nous parfumons, précisa Katya.
- Il est important que nous sentions bons, tu ne crois pas, Matthieu ? »
Mélinda restait ici, souriant doucement. Non seulement elle en profitait pour se rincer l’œil, mais elle voulait aussi éviter que Matthieu ne se transforme involontairement. Comme elle le lui avait expliqué, ses Terranides n’étaient pas aussi résistantes qu’elle, et elle n’avait guère envie qu’on abîme de si jolies poupées. Katya et Heles étaient somptueuses, et, rapidement, Katya bondit sur le sexe de l’homme, le prenant entre ses mains, et le lécha tendrement, avant de le parcourir de baisers. Heles, de son côté, posa ses petites mains sur le torse de Matthieu, et le renversa, le couchant sur le lit, puis alla lui voler un long baiser, plaquant sa bouche contre la sienne.
Ses seins s’enfoncèrent contre son torse glabre, et elle griffa légèrement sa peau, sa langue filant dans sa bouche pour jouer avec la sienne.
« Hmmmm... »
Heles jouait avec sa langue, frottant son corps contre le sien, et sa queue caudale se déplaça, venant caresser doucement le visage de Katya, glissant sur ses cheveux et sur ses joues. Un délicat geste d’attention, mais qui montrait combien les deux nekos étaient proches l’une de l’autre. Face à elles, Matthieu ne pouvait rien faire d’autre que succomber...
-
Piégée entre les mains de deux nekos très joueuses et sous le regard de sa maîtresse, Matthieu ne pouvait rien faire d'autre que se laisser aller. Le parfum des deux femmes lui montait aux narines, il les regardait approcher leur visage de son sexe en érection, leur cul bien en l'air et leurs queues caudales s'agitant de gauche à droite.
« Aahh... »
Difficile de contrôler ses pulsions dans ces conditions, heureusement que Mélinda était là pour veiller au grain. Rapidement, Katya et Hélès changèrent de position : la première alla s'attaquer au sexe du jeune homme, le léchant et l'embrassant, et la deuxième grimpa sur son corps, plaquant ses seins contre son torse, et l'embrassa passionnément, sa langue s'agitant dans sa bouche.
« Hhhmmm... »
Matthieu essayait de réagir, mais face à tant de fougue et de passion, sa forme humaine récemment recrée ne faisait pas le poids. Il n'était qu'un jouet entre les mains de ces femmes, et ce n'était pas pour lui déplaire. Mélinda l'avait sûrement amené ici pour renforcer son désir de soumission, et quoi de mieux que deux belles nekos coquines à l'odeur succulente pour dresser un loup ?
« Aagghh ! Ooohhh... oui... »
Rapidement, Matthieu sentit Katya prendre sa verge en bouche, le suçant avec talent et amusement. Entre cette fellation, les seins de Hélès sur son torse et sa langue dans sa bouche, le lycan ne put résister très longtemps. Ce fut un ultime baiser de la neko entre ses jambes qui le fit craquer.
« Rrraaahhh ! »
Matthieu éjacula avec bonheur, son sperme allant remplir la bouche et maculer le visage de la neko. Cet orgasme l'avait conduit près de sa transformation, mais la seule présence de Mélinda semblait suffire à le contrôler. Après avoir bien joui, il regarda Hélès et Katya, se pourléchant les babines sur les formes voluptueuse de leurs corps, et sans même réfléchir, il posa une main sur la poitrine de chaque femme. Leurs seins étaient doux et moelleux au toucher, de même que la lingerie fine qu'elles portaient.
« Aahh... vous êtes... très jolies... »
Après les seins, il comptait bien s'attaquer aux fesses.
-
Mélinda aimait bien que Matthieu se transforme pour la prendre, mais il devait aussi apprendre à contrôler au mieux sa lycanthropie. Pour l’heure, il était inenvisageable de le laisser seul avec des femmes aussi fragiles que Katya. C’était une petite poupée, et, si elle aimait les fessées, les gifles, les pincements et les morsures, il fallait aussi retenir qu’elle était fragile. Mélinda veillait donc sur Matthieu, tout en satisfaisant aussi ses penchants voyeuristes. Bien sûr, il était certain que, tôt ou tard, elle allait intervenir, et rejoindre ce trio de petits pervers, mais, pour l’heure, assise sur le fauteuil, elle observait la scène avec envie. Katya suçait la queue de Matthieu avec appétit, pendant qu’Heles l’embrassait, écrasait sa poitrine sur son torse, et frottait son corps. Toutefois, Katya et Heles jouaient aussi entre elles. Ainsi, la queue caudale d’Heles s’était déplacée pour caresser le visage de Katya, ses cheveux, et même pour s’enrouler autour de sa nuque. Évidemment, elle ne cherchait pas à l’étrangler, mais juste à lui témoigner sa présence. Si certains clients les prenaient parfois séparément, souvent, Heles & Katya allaient ensemble. Les deux étaient terriblement mignonnes, et étaient véritablement de petites coqueluches au sein du manoir.
Souriant malicieusement, Mélinda sentit le plaisir exploser dans le corps de Matthieu. Dans un dernier soupir, celui-ci se mit à jouir, et Katya papillonna des yeux. Sa bouche se remplit de son sperme, tout comme son visage, qui se retrouva maculé de tâches blanches.
« Nyyyuu… Il a joui sur moi, grande sœur ! s’exclama Katya.
- Oui, je vois ça… Tu es toute sale ! »
Katya continuait à ronronner de plaisir. Les deux nekos délaissèrent le corps de Matthieu, qui se redressa. Mélinda put voir que son corps était toujours aussi imberbe. Pourtant, au moment de l’orgasme, elle avait vu ses jambes se recouvrir d’une pilosité sombre, avant de se rétracter.
*C’est très bien… Si tu arrives à garder le contrôle au moment de l’orgasme, Matthieu, alors c’est que tu contrôles déjà très bien la lycanthropie.*
Mélinda n’était pas aveugle. Après avoir rencontré Lenn Silvercoat, elle s’était renseignée, notamment auprès de Samara, sur la lycanthropie. Il n’était pas aisé d’en guérir, et, même aujourd’hui, alors que quantité d’études et de thèses avaient été réalisées sur cette mutation, elle restait encore très méconnue. Mélinda y allait donc avec prudence, et elle sourit en voyant Matthieu jouer avec les seins des deux Terranides. Celles-ci gloussèrent.
« Vraiment ? Je suis jolie avec tout ce sperme sur le visage ? Tu m’as joui dessus, petit cochon !
- Normalement, c’est moi qui la nettoie sous les yeux du client… Mais toi, Matthieu, tu n’es pas un client, alors… Va la nettoyer ! »
Et puis, lécher les belles joues douces et tendres de Katya, c’était toujours un bonheur, non ? Celle-ci était extrêmement agréable, et Matthieu s’y attaqua donc, bien conscient qu’il ne pouvait rien réclamer. Il lécha donc le visage de Katya, la faisant glousser et ronronner. Une fois ceci fait, Katya repoussa Matthieu, et ce dernier se coucha sur le lit. Les deux nekos se mirent à quatre pattes, à droite et à gauche de lui, sensuelles, vénéneuses, et leurs queues caudales se mirent à caresser son phallus.
« Tu as déjà senti une queue de neko autour de ta bite, Matthieu ? C’est doux, c’est agréable…
- C’est notre spécialité ! » renchérit Heles.
Et les deux queues s’enroulèrent alors autour de son sexe, et commencèrent à le masturber, remuant dessus d’avant en arrière. Les deux filles y allaient avec harmonie, avec un synchronisme impressionnant, presque surnaturel. Elles étaient faites l’une pour l’autre, et on pouvait mieux comprendre, maintenant, pourquoi elles se considéraient comme des sœurs. Face à ce traitement, Matthieu ne pouvait rien faire d’autre que subir, et elles n’hésitaient pas à ronronner, ou à s’embrasser entre elles sous son nez.
Un spectacle magique, non ?
-
En caressant le corps des deux nekos, Matthieu retrouva son érection en un rien de temps. Il avait un fort désir sexuel à satisfaire, mais savait aussi qu'il ne pourrait jamais être totalement rassasié, car cela impliquerait qu'il puisse se transformer, ce que Mélinda lui avait interdit de faire. Après avoir joui, il s'attendait à enchaîner tout de suite, mais Katya lui demanda alors de lui nettoyer le visage. Le lycan n'était pas très emballée par cette idée, mais savait qu'il ne pouvait rien refuser, alors il obéit.
Le jeune homme se redressa et s'assit sur le lit avant d'aller lécher les belles joues de la neko. Nettoyer la semence de son visage ne fut pas des plus plaisants, mais sentir sa peau douce sous sa langue et entendre ses ronronnements le fut assez pour qu'il y prenne un peu de plaisir. Une fois Katya bien propre, Matthieu fut repoussé en arrière et allongée à nouveau sur le lit. Les nekos l'encerclèrent, marchant sensuellement à quatre pattes, si tentatrices que le jeune homme se sentait comme prisonnier de leur charme. Chacune enroula sa queue caudale autour de son phallus, lui expliquant que leur spécialité était de masturber les clients avec. Et quand elles commencèrent à le faire avec lui, il comprit vite pourquoi c'était leur spécialité.
« Aahh... ooohhh... ooouuuiii... oh que c'est bon. »
Les deux nekos caressaient son sexe avec une grande synchronisation, si grande qu'elle semblait irréelle. Tout en le caressant, elles ronronnaient et s'embrassaient sous son nez, de quoi l'exciter encore plus. Il ne pouvait rien faire d'autre que recevoir les caresses de ces diablesses à oreilles pointues et prendre son pied. Et peu à peu, il comprenait que Mélinda ne l'avait pas amené ici par hasard. Il pensait qu'il aurait droit au même traitement que n'importe quel client, mais plus le temps passait, plus il réalisait que ces nekos étaient là pour le dresser. Il était leur jouet, et elles profitaient de lui en offrant un beau spectacle à leur maîtresse.
Maudite Mélinda... elle est vraiment maligne.
Comment pouvait-il espérer résister à une femme pareille ? Plutôt que d'y réfléchir, il préféra lever les mains pour essayer d'atteindre les seins de Hélès et Katya. Leurs corps étaient si alléchants, il avait au moins envie de les caresser un peu, ne serait-ce que du bout des doigts, pour ne pas avoir l'impression d'être un vulgaire sextoy entre leurs mains.
-
Jambes sensuellement croisées, Mélinda profitait très largement de la situation, du spectacle de Matthieu coincé par Katya et par Heles. Elle s’amusait encore plus de l’imaginer leur résister. Après tout, il n’avait pas dû totalement oublier son ancienne vie. Lenn Silvercoat avait été un esclavagiste, quelqu’un qui dominait les autres, et Matthieu restait un Lycan, donc un prédateur. Autrement dit, sa situation n’en était que plus humiliante encore, et ce pour le plus grand plaisir de Mélinda, qui se délectait clairement de ce moment. Un sourire joueur éclairait ses lèvres tandis que Katya et Heles masturbaient ensemble sa queue, usant de leur technique fétiche. Effectivement, elles étaient très douées avec leurs queue caudale. Mélinda était bien placée pour le savoir, car elle s’était très souvent retrouvée à la place de Matthieu, et en conservait d’excellents souvenirs.
*Et c’est également très excitant d’être une simple spectatrice...*
Inutile de le nier, Mélinda était doucement excitée par cette scène. Elle voyait les deux petits culs des nekos se dandiner de gauche à droite, tandis que, inlassablement, elles continuaient à jouer avec Matthieu, étouffant son sexe, relâchant la pression, et serrant encore, maintenant continuellement son sexe dans un cocon de chaleur et de fourrure. Il devait certainement sentir sur son torse leurs petites griffes, suintant de leurs doigts au fur et à mesure qu’elles ronronnaient de plaisir. Les mains de Matthieu remontèrent timidement pour palper leurs seins, et Katya sourit doucement.
Les deux Terranides se faisaient clairement plaisir avec leur jeune amant. Matthieu était comblé, et n’arrivait pas à lutter. Les voir ainsi était vraiment exquis pour Mélinda. Un sourire malicieux sur les lèvres, elle se les pinça ensuite doucement. Matthieu palpa les seins des deux Terranides.
« Nyaaaaawww, Petit-Matthieu est très excité... !
- Hihi, oui, tu sens comme sa queue est bien dure, non ? »
Évidemment ! Les deux beautés continuaient à ronronner, et Katya se pencha finalement vers Matthieu, venant l’embrasser. Les lèvres de Katya étaient généralement un pur régal, empreintes de douceur, avec un délicieux goût fruité. Matthieu n’avait aucune chance contre elle, et, pendant qu’elle l’embrassait, Heles se pencha à son tour. Elle posa une main sur les cheveux de Katya, comme pour prendre appui sur elle, et s’écarta un peu, afin de permettre à Katya de mieux se lover contre le corps de l’homme. Un choix normal, car, des deux, Katya avait toujours préféré les petits garçons timides comme Matthieu.
Katya embrassa donc goulûment son amant, et, pendant ce temps, Heles murmura quelques conseils dans le creux de l’oreille de Matthieu :
« Palpe les fesses de Katya, Matthieu, elle adore qu’on s’occupe de son beau petit cul... »
C’était là un fort précieux conseil !
-
Matthieu faisait tout ce qu'il pouvait pour ne pas se laisser complètement dominer, mais Heles et Katya étaient trop joueuses pour qu'il puisse avoir plus que quelques miettes de liberté. Elles s'amusaient avec lui, griffant son torse et caressant sa verge avec leurs queues poilues, le piégeant dans un cocon de chaleur et de plaisir. Le lycan palpa doucement leurs seins, et en réponse, Katya s'allongea sur son corps pour venir l'embrasser. Ses lèvres étaient douces et délicieuses, impossible pour le jeune homme d'y résister ou d'avoir envie de s'en décoller. Heles se décala un peu sur le côté pour laisser de la place à sa camarade, et appuya sur sa tête pour coller son corps le plus près possible de celui de leur amant. Elle s'approcha ensuite pour murmurer ses conseils à l'oreille du lycan.
« Palpe les fesses de Katya, Matthieu, elle adore qu’on s’occupe de son beau petit cul... »
Matthieu mit immédiatement ce conseil en application, dirigea ses mains jusqu'aux fesses de la neko et les empoigna doucement. Il fut presque surpris de voir à quel point la chair de la femme était ferme et moelleuse dans cette zone. Il palpait, caressait et pinçait son cul, se régalant des miaulements de son amante. Et plus il était audacieux, plus elle miaulait et sa queue caudale branlait son sexe. Dès qu'il le comprit, il se fit plaisir avec son postérieur et son string, tirant sur les bords du sous-vêtement. Lui aussi avait un petit côté joueur.
Entre deux petites claques sur le cul de Katya, Matthieu sentit son plaisir monter jusqu'au point culminant, et son sexe tressaillit en balançant des chapelets de foutre sur la queue poilue de la femme. Après ce nouvel orgasme, la neko se retira pour laisser à son amant le temps de souffler, mais pas longtemps, car elle et sa camarade repartirent vite à l'assaut.
« Hhhmmm... ooouuuiii... »
Recevoir des baisers, des caresses, et se faire baiser comme un gentil chiot... c'était tout ce que Matthieu pouvait espérer à présent.
-
Entre Katya et Heles, il était difficile de s’imposer. Petit-Matthieu n’en avait clairement pas les moyens, mais il n’était pas le seul en la matière. Elles étaient douces, voluptueuses, terriblement belles... Et bien plus dominatrices que ce qu’on pouvait croire de prime abord. Avec les clients, Katya et Heles s’amusaient beaucoup. Elles avaient une manière très douce, très sensuelle, très tendre, de dominer leurs partenaires. Matthieu ne pouvait guère y résister. Couché sur le lit, il était sous l’assaut de Katya, qui le fit jouir avec sa queue caudale. L’homme se relâcha contre ses poils, et, en souriant malicieusement, Katya s’écarta un peu. Sous les yeux de Matthieu, elle approcha sa queue caudale de son propre visage.
« Il ne t’a pas loupé, Katya, nyuu... commenta Heles.
- Oui... Petit-Matthieu a beaucoup joui. »
Sa langue lécha alors ses poils, comme pour nettoyer sa queue caudale. Matthieu ne pouvait guère que les observer, et Heles remplaça ensuite Katya, venant se lover contre Matthieu, et l’embrassa goulûment. Les baisers d’Heles étaient plus appuyés que ceux de Katya, plus directifs, mais empreints de la même passion que ceux de Katya. Heles l’embrassa donc, et Katya se déplaça à nouveau, posant ses mains sur le corps de sa sœur, et venant lécher sa peau, avant de mordiller le creux de son cou.
« Hnnnn...
- Nyuuuu...
- Ka-Katya...
- Je trouve que le Petit-Matthieu est un très bel éphèbe, pas toi ? »
De son côté, Mélinda sourit devant cette question. Heles devait sans aucun doute se faire la même réflexion, et c’était là un signe de mauvais augure pour la virilité de Matthieu. Mais, après tout, il était effectivement revenu sous une forme bien plus efféminée que celle qu’il avait eu jadis, sous les traits de Lenn Silvercoat. Heles se déplaça alors, et souleva Matthieu avec elle. Elle se retrouva sous le corps du jeune homme, et lui sourit encore. Sa main remonta pour caresser le visage de Matthieu, et, au bout de quelques instants, Katya se rapprocha à son tour.
Elle se glissa sur le dos de Matthieu, et posa ses mains sur ses épaules, venant lécher son cou, mordillant ensuite sa peau.
« Hihi, je sens la marque de Maîtresse sur ton cou, Petit-Matthieu... Mais est-ce qu’elle t’a vraiment marqué partout ? »
Que voulait-elle dire par là ? Matthieu devrait rapidement avoir une bonne idée de ce que Katya sous-entendait, car, après avoir posé sa question, l’une de ses mains descendit le long du corps du jeune homme, et s’approcha de son fessier. Ses mains caressèrent son cul, et l’un de ses doigts glissa contre sa croupe, ayant visiblement une cible tout à fait trouvée, même si Katya faisait exprès de prendre son temps.
Heles, qui savait très bien ce que sa sœur avait en tête, sourit à Matthieu, et frotta son nez contre le sien.
« Allez, Petit-Matthieu, il est temps d’accepter la part de féminité qui sommeille en toi, nyuuu... »
-
Matthieu servait de jouet sexuel à Heles et Katya, et ce n'était pas pour lui déplaire. Et de toute façon, il ne pouvait rien faire pour se libérer de cette situation. Après un autre orgasme, il regarda Katya lécher les poils de sa queue caudale pour les nettoyer du sperme du jeune homme, puis Heles remplaça sa camarade sur son corps, l'embrassant goulûment et de façon plus appuyée. Et pendant ce temps, l'autre neko caressait le corps de son amie, et au milieu de ses câlins, elle souleva un point intéressant : leur amant était un très bel éphèbe.
« Hhhmmm... »
Matthieu avait bien eu le temps de se rendre compte que son nouveau corps n'était pas aussi bien bâti que son ancien, mais de là à passer pour une femme... Hélas, cette petite réflexion allait avoir bien plus de conséquences qu'il ne l'imaginait.
Heles changea de position et l'entraîna avec elle. Il se retrouva au-dessus d'elle, et Katya arriva dans son dos, caressant ses épaules et léchant son cou. Elle remarqua la trace de morsure qu'avait laissé Mélinda, et lui demanda s'il était vraiment marqué de partout.
« De quoi tu parles ? »
La neko gloussa et fit glisser l'une de ses mains le long de son dos, jusqu'à atteindre son cul, qu'elle palpa et caressa tendrement avant de s'approcher dangereusement de l'entrée cachée entre ses fesses.
« Eh... éloigne toi de là. »
Mais Katya ne l'écoutait pas. Pire encore, Heles lui confirma que ce qu'il craignait allait arriver.
« Allez, Petit-Matthieu, il est temps d’accepter la part de féminité qui sommeille en toi, nyuuu... »
« Aahh... je n'ai pas... de part... de féminité. »
Pour lui, tout ça n'était qu'un jeu étrange qui se pratiquait sans son consentement. Pris en sandwich entre Heles et Katya, ce dernier ne put rien faire pour empêcher cette dernière de glisser un doigt dans son anus.
« Aaahhh ! »
Au début, cette sensation fut assez inconfortable. Il avait l'impression que ce doigt n'avait rien à faire là, qu'il était plus une gêne qu'autre chose. Mais plus le temps passait, plus cette intrusion devenait supportable, et même agréable. Sans compter que les nekos faisaient tout pour que le jeune homme se détende et apprécie ce qu'on lui faisait. Avec ce traitement, le lycan aurait beau affirmer haut et clair qu'il ne voulait pas de ce genre d'attention, personne ne le croirait.
« Hhhmmm... non... aaahhh... »
Matthieu avait beau tout tenter pour résister et ne pas se laisser faire, son cerveau était en train d'associer le plaisir ressenti par les caresses et les ronrons des nekos à ce doigt qui explorait son anus. Et après plusieurs minutes, il ne put contrôler sa jouissance.
« AAAHHH ! »
Matthieu expulsa sa semence sur le corps de Heles, et après cet orgasme, il se sentit très chamboulé. La façon dont il avait joui lui donnait l'impression que quelque chose en lui n'allait pas, et qu'il était en train de basculer entre les mains vicieuses des nekos.
« Haann... qu'est ce que... vous m'avez fait ? Pourquoi... oohh... est-ce que j'ai... joui comme ça ? »
Il ne pouvait pas aimer l'anal. C'était impossible.
-
Matthieu essaya bien de résister, mais, tant que Mélinda n’intervenait pas, Katya et Heles savaient qu’elles pourraient faire ce qu’elles voulaient. C’était la règle applicable au sein du harem, une règle que tout le monde respectait, que ce soit à Ashnard ou à Nexus. Tant qu’elle ne claquait pas des doigts, elle approuvait. Et, en fait, elle trouvait l’idée de « féminiser » Matthieu très amusante, surtout quand elle savait qu’il pouvait se transformer en un Lycan sauvage et incontrôlable. De fait, elle devait surtout s’assurer que les petits jeux de Katya et d’Heles n’amènent pas à une transformation subite. Là, il y aurait clairement de quoi paniquer ses deux poupées. Fort heureusement, Katya avait un doigté rectal implacable, et en fit volontiers la démonstration, enfonçant son doigt dans le fondement de Matthieu. Elle sentit les muscles de ce dernier se crisper, et rougit en comprenant que sa Maîtresse ne l’avait pas encore sodomisé. Il y eut un bref moment de panique dans les yeux de la petite neko, qui s’empressa de regarder sa Maîtresse en rougissant nerveusement, sachant combien sa Maîtresse tenait à dépuceler en personne ses esclaves. En retour, Mélinda lui sourit doucement, et fit signe de la main qu’elle pouvait y aller, ce qui amena Katya à se mordiller joyeusement les lèvres, et à enfoncer davantage son doigt, faisant gémir Matthieu.
Heles, de son côté, vint en soutien à sa sœur, léchant le visage de l’homme, embrassant ses joues, caressant ses épaules. Elle sentait la nervosité du jeune homme, et l’embrassa donc sur les lèvres, pendant que Katya, dans le dos de Matthieu, enfonçait plus profondément son doigt, et descendit son autre main, venant masturber son sexe, relevant sa queue, qui se retrouvait serrée entre son corps et celui d’Heles.
« Nyyyyuuu, pourquoi résister, Petit-Matthieu ?
- Accepte... Tu es notre Petite-Matthieu, maintenant ! »
Sa résistance était amusante, mais assez vaine. Et, à la réflexion, il est vrai que Matthieu avait une apparence assez efféminée. Ce corps svelte, fin, cette longue chevelure argentée... Le menton était aussi assez ovale, et sa carrure, assez carrée, restait tout de même assez bien proportionnée pour que, avec le bon degré de maquillage et les vêtements appropriés, on se laisse avoir. Il se tortillait encore sur place, et Mélinda sourit plus franchement en voyant que le plaisir se mit à exploser en lui. Ses joues rosirent, et Heles se mordilla les lèvres... Avant de sentir le jeune homme jouir copieusement sur elle. Un magnifique orgasme, car Katya avait commencé à glisser un second doigt, et avait presque cessé de le masturber, laissant la queue de Matthieu frotter contre le ventre de sa sœur, un contact entièrement suffisant pour le faire énergiquement jouir.
Une belle purée blanche jaillit donc de sa trompe, et s’étala sur le ventre d’Heles, remontant jusqu’à son cou. Surpris, Matthieu la contempla, et Katya gloussa alors, pouffant en mettant sa main devant sa bouche... Et fouetta avec sa queue caudale le cul de Matthieu.
« Tu croyais pouvoir résister à mes doigts de fée ? Même Maîtresse adore que je la sodomise ! » fanfaronna Katya.
La vampire, jambes sensuellement croisées, enchaîna :
« Je crois que, suite à ton retour, Matthieu, tu refoules inconsciemment ta part de masculinité... Tu la concentres dans ton autre personnalité. »
Katya regarda sa Maîtresse, interloquée. Que voulait-elle dire par là ? Mais tout cela devrait nécessairement être plus clair pour Matthieu. Heles se racla alors la gorge, et fronça les sourcils, mécontente :
« Hey, tu vas pas rester planté là ! Tu m’as sali de partout, petit pervers ! Nettoie ! Avec ta langue ! »
Mélinda se racla alors la gorge :
« Katya, tu vas me préparer son petit cul... Montre-lui que ta langue est aussi magique que tes doigts... »
Le préparer ? Matthieu aurait sans doute aimé en savoir plus, mais Heles s’impatienta :
« Allez, au boulot, petit rebelle ! »
Une chose était sûre : elles ne faisaient qu’explorer sa part de féminité...
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Matthieu savait que quelque chose n'allait pas. Heles et Katya jouaient avec son corps, elles lui faisaient des choses qui le mettaient mal à l'aise, mais il prenait quand même du plaisir. Après son dernier orgasme, il entendit Mélinda lui expliquer qu'il devait sûrement refouler inconsciemment sa part de masculinité, qu'il concentrait dans son autre personnalité.
« Vous... vous croyez vraiment que c'est ça ? »
Le jeune homme ne voulait pas y croire, mais il ne pouvait pas s'empêcher de croire aux paroles de sa maîtresse. Seul le loup à l'intérieur avait envie de se rebeller, mais tant que la vampire serait présente, il n'aurait pas le droit à la parole.
Alors que Matthieu essayait de faire le tri dans ses pensées, Heles lui ordonna d'une voix forte de la nettoyer du sperme qui zébrait son corps en utilisant sa langue.
« Quoi ? Mais... »
Et pour en rajouter, Mélinda ordonna à Katya de préparer le cul du garçon en le léchant. Il ne savait plus où donner de la tête.
« Attendez je... »
Mais impossible de résister à ces trois femmes. De plus en plus énervée, la neko lui attrapa la tête d'une main pour l'obliger à venir la lécher. Ne pouvant rien faire d'autre, Matthieu commença à ramasser sa propre semence sur la peau de la femme avec sa langue, et ce n'était pas des plus agréables pour lui. Cependant, quand il sentit l'autre neko écarter ses fesses pour venir lubrifier son entrée arrière, là il sentit le plaisir arriver.
« Aahh ! »
Sentir le muscle buccal de la demoiselle passer sur sa rondelle encore sensible était étrangement plaisant. Il était toujours tendu à cause de sa position, mais il aimait quand même ça. Et avec le plaisir ressenti, il était plus docile, et léchait Heles avec plus d'enthousiasme, bien que toujours mal à l'aise de ramasser son fluide sexuel, et pas toujours ravi d'avoir la langue de Katya entre ses fesses.
« Hhhmmm... Katya... doucement... haaannn... »
La neko n'était pas très douce, mais elle lubrifiait parfaitement la rondelle du jeune homme pour Mélinda. Après plusieurs minutes de préparation, la vampire prit finalement la place de sa servante, qui pouffa de rire en la voyant approcher. Matthieu se tourna vers sa maîtresse, et vit qu'elle avait fait apparaître une verge épaisse et veineuse entre ses jambes. Pas de doute possible, elle allait visiter l'intérieur de son petit chien.
« Aahh... maîtresse... pitié... pas ça... »
Mais elle ne lui laissait guère le choix. Pire encore, Heles et Katya immobilisèrent le garçon pour qu'il ne puisse pas s'échapper. Il ne put donc rien faire quand la queue de la futa entra dans son anus, écartant les parois sur son passage.
« AAAHHH ! »
La seule chose qui empêcha Matthieu de se transformer sur le coup fut la présence de Mélinda. Cependant, plusieurs touffes de poils gris apparurent sur sa peau, ses dents s'aiguisèrent et sa voix se mêla de grognements. A mi-chemin entre l'homme et la bête, il se faisait sodomiser sans pouvoir rien faire à part crier et savourer.
« Aahh... non... non... Aaahhh ! »
La douleur le tiraillait, mais elle était contrastée par la douceur dont pouvait faire preuve les nekos, qui le câlinaient et frottaient leurs poils doux contre sa peau nue. Au bout d'un moment, au milieu de la douleur, il perçut une petite onde de plaisir, et à mesure que les pénétrations s'enchaînaient, elle était de plus en plus forte. Rapidement, ce qui était pour lui une torture se transforma en joie, mais il ne pouvait pas le reconnaître.
« Hhhmmm... haaannn... gggaaahhh... »
A force de se faire enculer, Matthieu ne put retenir son plaisir, et même s'il ne le voulait pas, il eut un orgasme.
« Aaahhh... nooonnnn... GGGRRRAAAHHH ! »
A moitié transformé en lycan, il expulsa sa semence avec sa verge, qui avait pris une belle taille, puis il redevint peu à peu humain après avoir éjaculé. Prendre du plaisir de cette façon lui semblait impossible, mais pourtant c'était arrivé pour la deuxième fois.
« Haaannn... maîtresse... pourquoi... est-ce que j'ai joui ? »
Devait-il explorer plus profondément cette part de féminité en lui, au risque de ne plus pouvoir revenir en arrière ?
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Il était temps pour Matthieu d’explorer cette pratique sexuelle très particulière qu’on appelait le pegging... Une pratique sexuelle consistant à ce qu’une femme sodomise un homme, généralement à l’aide d’un sex toy... Ou à l’aide des pilules d’hermaphrodisme. Confus, Matthieu n’arrivait pas à comprendre ce qui lui arrivait, d’où venait le plaisir qu’il ressentait en étant ainsi humilié. Souriant lentement, malicieusement, Mélinda les rejoignit donc. Katya et Heles se mirent à droite et à gauche du jeune homme, caressant son corps, Katya imaginant déjà toutes les tenues qu’elle pourrait mettre à Matthieu. La vampire craignait toutefois de pousser le bouchon trop loin, et de voir la lycanthropie de Matthieu revenir... Mais elle savait aussi que le jeune homme était très excité. Qu’il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, et, plus simplement, Mélinda ne pouvait plus faire marche arrière. Elle rejoignit donc le lit, et posa ses deux mains sur les fesses de Matthieu. Elle les serra en souriant, et approcha ensuite sa queue. Sa trique glissa sur le fondement du jeune homme, et elle se pinça doucement les lèvres.
« Un vrai cul de fille, Matthieu... »
Katya sourit à Matthieu, caressant son visage d’une main, les cheveux de l’autre.
« Allons, Matthieu, tu n’as pas à avoir peur, nyyyuuu... Tu aimes sûrement enfoncer ta queue dans un joli cul, non ? Il faut aimer subir ce qu’on fait subir aux autres, meeeooww... ! »
C’était, somme toute, aussi simple que ça ! Mélinda enfonça ensuite sa verge, et soupira doucement, un sourire sur le coin des lèvres. Oui, elle aimait vraiment ça ! Être la première à sodomiser quelqu’un... Et un homme, en plus ! Elle sentit une tension se former le long de sa queue, remontant sur cette dernière, lui arrachant des soupirs supplémentaires. Sa queue grossit lentement, tout en déformant tout aussi lentement les parois anales de Matthieu. Les hurlements du jeune homme emplirent l’air, tandis que les douces mains de Katya et Heles continuaient à caresser son corps, pinçant régulièrement ses tétons.
Mélinda le prenait donc, et serra ses mains sur ses fesses, griffant sa peau en s’appuyant dessus. Elle soupira encore, les joues rougissant de plaisir, et se redressa légèrement, avant de se pencher en avant, accompagnant avec son corps les mouvements de sa queue, s’enfouissant profondément en lui. Matthieu hurla encore, la salive coulant de ses lèvres, tandis que de vagues ondes de douleur le traversaient... Mais la dureté de sa queue ne mentait pas, elle.
« Ma-Matthieu, haaaaannn... !! »
Elle vit des poils se former le long du corps de l’homme, sentant le sang de Matthieu s’emballer encore. Et, quand il atteignit l’orgasme, tout comme elle, elle avait pu voir les poils pousser le long de ses bras, des crocs jaillissant de ses lèvres... Ce qui fit paniquer Katya. Mais ça, Mélinda ne le vit pas sur le coup, et serra le fin duvet recouvrant le cul de Matthieu, agrippant ses poils naissants, une lueur perverse dans les yeux, accroissant le rythme en bourrant sèchement le cul de Matthieu. Elle se relâcha copieusement en lui, jouissant outrageusement du plaisir de sodomiser un Lycan, et celui-ci jouit également furieusement.
Le lit se forma de belles tâches de sperme, et les poils repartirent ensuite. Mélinda, qui avait joui copieusement dans son cul, retira son sexe. Son membre se frotta contre la peau en sueur de Matthieu avant que ce dernier, surpris, ne se retourne vers sa Maîtresse, essayant de comprendre le plaisir qu’il avait ressenti.
« Parce que tu aimes ça, Matthieu... Que les femmes te dominent. Est-ce si surprenant ? Regarde en toi... Tu es revenu près de ta Maîtresse, comme si la seule chose qui restait digne de toi était ta servitude. Ne crois pas que ce soit bizarre, Matthieu, bien des hommes aiment obéir à des femmes fortes. C’est normal, non ? Les femmes sont après tout les mères de tous les hommes. »
Mélinda se racla ensuite la gorge. Katya avait toujours aussi peur, et s’était d’ailleurs cachée derrière sa sœur.
« Tu as fait peur à Katya, Matthieu... Je te l’ai dit, elles ont grandi dans les bas-fonds de Nexus. Elles ont connu des hommes forts, violents, brutaux, qui aimaient les humilier et les battre. Katya a peur des hommes dangereux, et... Bref, excuse-toi auprès d’elle, Matthieu, dis-lui que tu es un gentil garçon, et que tu ne lui feras jamais mal... »
Comme quoi, quand Mélinda disait que Katya était une petite fleur fragile, elle ne mentait pas...
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Matthieu avait joui d'une façon qui lui paraissait impossible, mais pour Mélinda, il était évident que le jeune homme aimait être soumis par des femmes autoritaires. N'ayant pas de meilleure théorie, il se dit qu'elle devait sûrement avoir raison, et que son plaisir devait sûrement être influencé par l'autorité de la vampire sur son esprit.
« Je... je vous crois maîtresse. »
Mais après cette explication, Matthieu dut s'occuper d'une tâche moins amusante. Sa semi-transformation lors de l'orgasme avait effrayé Katya, qui se cachait derrière sa sœur. Mélinda expliqua que les deux nekos avaient grandi dans la rue, et connu des hommes violents qui les battaient. Depuis, elles avaient une certaine peur des hommes trop forts, et voir le jeune homme en partie transformé avait terrorisé la neko. Maintenant, il devait s'excuser.
« Bien maîtresse. »
Matthieu approcha de Katya, toujours blottie dans le dos de sa sœur, qui observait le lycan avec des yeux inquiets.
« Je suis désolée Katya, je ne voulais pas te faire peur. Parfois, quand le plaisir est trop grand, je perds une partie de mon contrôle sur... mon autre moi. Mais je peux te promettre que jamais je ne m'en prendrai à l'une des esclaves de ma maîtresse, et que jamais je ne me transformerai sans qu'elle m'y autorise. Je suis un gentil garçon. »
Il était même tellement gentil qu'il poussa les choses encore plus loin.
« Et... si tu veux... je serai même... une gentille fille. »
Ça y est, il l'avait fait. Il avait fait un pas dans le sens de l'étrange lubie des nekos. Il avait admis qu'il y avait, quelque part au fond de lui, une part de féminité qui pourrait être exposée au grand jour. Et il n'allait pas s'arrêter là.
« Tu... tu pourrais m'aider... à devenir une gentille fille. Par exemple... tu pourrais m'habiller. »
Il ne faisait pas ça seulement pour se faire pardonner son élan de bestialité, mais aussi pour faire face à ces pensées bizarres qui lui tournaient dans la tête. Depuis qu'il s'était fait sodomiser et que les nekos lui parlaient de sa ''part de féminité'', il était curieux de comprendre. Il prenait du plaisir avec des choses qui, pour lui, étaient clairement des plaisirs de femme. Alors peut-être qu'il devait accepter que sa virilité était plus présente sous son autre forme et que, en tant qu'humain, il pourrait être plus efféminé.
« Qu'est ce que tu en dis ? Tu veux aider... ton petit Matthieu... à devenir... ta petite Matthieu ? »
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Katya était très fragile, et il avait fallu beaucoup de temps et de persuasion à Mélinda pour la convaincre de ne pas fuir devant les hommes. Elle l’avait formé consciencieusement, jusqu’à ce qu’elle arrive à pouvoir leur faire l’amour. Mais, même malgré ça, il arrivait encore que, quand un homme parle fort, avec une voix très grave, elle ne panique. Alors, forcément, cette transformation surprise, et le grognement bestial de Matthieu... Mélinda allait devoir s’expliquer. Nerveusement, Matthieu présenta ses excuses à Katya, et alla jusqu’à proposer de se travestir, ce qui ne manqua pas de faire sourire la vampire. Étonnamment, Matthieu avait une forme assez efféminée, bien différente de ce qu’il avait été jadis. Mélinda vit ensuite Katya la regarder, et se racla la gorge.
« J’aurais sans doute dû vous prévenir avant, mes petits trésors, mais... Matthieu est un Lycan.
- Oh...
- Et, bien qu’il arrive à contrôler sa lycanthropie, je me suis dit que le montrer à deux adorables peluches comme vous l’aiderait à mieux gérer davantage ses transformations. »
Katya rougit encore, et Heles intervint alors, se retournant vers sa sœur.
« Allons, Katya, tu fais confiance à Maîtresse, non ? »
La jeune neko cligna des yeux, et hocha vigoureusement la tête.
« Maîtresse est la plus parfaite des Maîtresses !
- Alors, si Maîtresse dit qu’on peut faire confiance en Matthieu, c’est que c’est vrai, foi de neko ! »
La belle Katya se pinça les lèvres. Impossible de dire le contraire, car elle aurait été une bien mauvaise esclave, mais... Katya hocha alors la tête, et se rapprocha de Matthieu. Elle rougissait légèrement, prenant une mine basse en se tassant sur place, ce qui ne la rendait que plus mignonne encore, en donnant envie de la serrer immédiatement dans ses bras ! Une délicieuse neko en porcelaine, qui se pinça donc les lèvres, puis releva la tête en se rapprochant de Matthieu... Et se jeta alors à son cou, avant de l’embrasser sur la joue.
« Nyyyuuu... Désolée, Matthieu ! Je... Je suis très timide !! »
C’était une manière de voir les choses, qui ne manqua pas de faire doucement sourire Mélinda. Katya se mit à ronronner, semblant aller mieux, et embrassa Matthieu sur les lèvres, ses seins s’enfonçant contre son torse.
« Oui, Matthieu... Je vais faire de toi une fille, nyaaaaww... »
Sa langue glissa sur sa joue, et elle continua à se frotter contre lui. Katya sentait bon, et elle était douce, très douce. Face à elle, on se laissait volontiers faire. Difficile de lutter contre Katya, ou de vouloir la dominer cruellement, car elle avait un talent inné pour vous faire fondre sur place. Même Mélinda s’y était laissée prendre, à vrai dire.
Katya sourit donc à Matthieu, puis se blottit contre lui, frottant son visage contre son torse tout en regardant sa Maîtresse :
« Maîtresse... Je vais vous emprunter Matthieu pendant plusieurs heures ! Et, quand je vous le rendrais ce soir, elle vous apportera un joli bouquet de fleurs ! »
Un léger gloussement s’échappa des lèvres de Mélinda.
« Ma foi... Je crois que vous ne craignez rien avec Matthieu, même si la réciproque n’est pas totalement exacte. Je vous le confie, les filles ! »
Elle se rapprocha à nouveau de Matthieu, comme pour s’assurer que tout irait bien :
« Ce plan te va, Matthieu ? » s’enquit-elle.
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Matthieu avait effrayé Katya, et il avait fait de son mieux pour s'excusr, mais Mélinda dut quand même intervenir pour que la neko soit parfaitement calmée. Elle pouvait douter du jeune homme, mais pas de sa maîtresse. Du coup, après l'avoir entendu, Katya approcha timidement de Matthieu avant de se jeter sur lui d'un seul coup, s'excusant de sa timidité.
« Ce... ce n'est rien Katya. Je comprends que... tu aies pu... avoir peur. »
Sous sa forme de lycan, il était bien plus impressionnant qu'en tant qu'humain, et pouvait facilement effrayer les gens. Heureusement, cette apparence de bête cachait quelqu'un de gentil, qui ne se servait de sa force qu'en cas d'absolue nécessité.
Une fois calmée, Katya annonça fièrement qu'elle allait faire de Matthieu une fille, ce qui donna des sueurs froides au jeune homme. A moins que ce ne soit à cause du corps de la neko frottant contre le sien, et de sa délicieuse odeur qui glissait jusqu'à ses narines. Difficile de résister à une aussi jolie neko.
« Je... je compte sur toi... Katya. »
A présent, plus question de reculer. Katya demanda la permission à Mélinda d'emprunter son esclave pendant quelques heures, et la vampire demanda à son petit chien si ce plan lui convenait.
Est-ce que j'ai encore le choix ?
« Bien sûr maîtresse. »
Matthieu eut juste le temps de se rhabiller avant que Heles et Katya ne l'entraînent avec elle jusqu'à une autre pièce de la villa. Dans cette pièce se trouvaient des tas de dressings et de meubles de rangements contenant des vêtements féminins. Il y avait également une coiffeuse avec du maquillage. Avec tout ça, le jeune homme savait qu'il allait se transformer de la tête aux pieds. Les nekos commencèrent à sortir toutes sortes de vêtements et de dessous de fille plus ou moins sexy, en discutant avec enthousiasme de la façon dont elles allaient transformer leur petit Matthieu.
« Euh... les filles ? Je sais que j'ai dit que j'étais d'accord pour... que vous fassiez de moi une... une fille... mais... n'en faites pas trop... d'accord ? »
Finir avec un short moulant, un haut transparent et un string dès la première fois lui semblait un peu trop extrême, mais peut-être était-ce ce que sa maîtresse voulait.
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Katya avait beau être la plus timide des deux sœurs, c’était concrètement elle qui dirigeait le duo, elle qui proposait les idées. Heles ne faisait que la protéger. Mélinda avait pu le constater en les trouvant dans les bas-fonds de Nexus. C’est Heles qui sortait de leur refuge pour voler de la nourriture, et qui la ramenait ensuite à Katya. Contrairement à la capitale ashnardienne, Nexus était une ville bien plus pauvre. Elle était bien plus grande en même temps, et avait connu un afflux massif de réfugiés fuyant la guerre. Tout ça avait déséquilibré la ville, et certains quartiers s’étaient considérablement paupérisés, servant de refuges aux criminels, aux esclaves en fuite, et à ces deux délicieuses créatures. Mélinda les avait obtenu par hasard et par chance, et avait eu du mal à se rapprocher d’elles. Elles avaient été très craintives, mais, fort heureusement, quand Mélinda était arrivée, Katya était malade. Heles avait donc fini par laisser la vampire filer dans leur antre, tant elle était inquiète pour Katya. Elle avait d’ailleurs bien fait, car Katya souffrait d’une forte fièvre. Mélinda avait pu, grâce à cela, les amener dans sa villa, où Katya avait été soignée et nourrie.
Ensuite, les deux nekos avaient choisi de rester sur place. Ici, elles s’épanouissaient pleinement. En ce sens, Matthieu pouvait être heureux de voir que Mélinda n’avait pas détruit sa maison, mais en avait fait un refuge, un peu comme son manoir sur Ashnard. Il se retrouva donc seul en compagnie des deux terreurs, qui l’amenèrent dans une grande salle d’essayage et d’habillage. Mélinda profitait de la position géographique de la villa pour organiser régulièrement des shows, des danses... Mine de rien, elle avait vite compris que la règlementation nexusienne était bien plus stricte, et que les mœurs nexusiennes n’étaient pas les mœurs ashnardiennes. Elle avait pu obtenir l’autorisation d’organiser des spectacles sensuels, et cette grande pièce servait donc pour l’habillage.
« Assieds-toi sur ce fauteuil, Matthieu, on va trouver quoi te mettre ! »
Elles commencèrent à déballer quelques vêtements, jusqu’à trouver un mètre, puis Matthieu dut se relever. Katya et Heles le déshabillèrent sans vergogne, et commencèrent à prendre ses mesures : taille, tour de poitrine, les jambes... Katya avait déjà une idée bien précise en tête. Matthieu put voir des robes d’infirmière en latex, des catsuits, mais Katya sortit des vêtements différents, plus précieux... Une paire de longs gants blancs en soie qu’elles mirent le long de ses bras, avant de faire la même chose avec un porte-jarretelles blanc, très joli. Matthieu était leur petite poupée, et il se retrouva donc avec ses gants et collants.
« Ne t’inquiète pas, Matthieu, on va te rendre toute belle ! Mais... Il lui faut un bouquet de fleurs ! »
Tandis que Matthieu se faisait à la présence des gants, les deux filles discutaient entre elles. Elles connaissaient un fleuriste à proximité de la villa, et Heles proposa d’y aller.
« Je vais m’occuper de Matthieu en attendant... »
Heles s’en alla donc, et Katya récupéra un élégant chapeau violet avec un nœud papillon dessus, et le posa sur la tête du jeune homme.
« Bon, il manque encore ta robe et du maquillage, Matthieu... Et la culotte ! Mais, le temps qu’Heles aille chercher le bouquet que tu offriras à Maîtresse ce soir, dans ta nouvelle tenue ! »
Oui, Katya avait effectivement pensé à tout. Une organisation impressionnante ! Elle se rapprocha de Matthieu, et s’assit sur lui. À califourchon sur son corps, le dos de Matthieu contre le dossier du fauteuil, elle l’embrassa ensuite, caressant avec ses mains ses épaules.
« Hmmm... Tu as des lèvres magnifiques, Matthieu... »
Les fesses de Katya se frottèrent en même temps sur la verge de Matthieu, et la neko se mordilla les lèvres.
« Et une très belle queue ! » rajouta-t-elle ensuite.
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Assis dans un fauteuil, Matthieu attendait patiemment que les nekos trouvent de quoi l'habiller. Elles étaient très enthousiastes, et après avoir pris ses mesures, elles commencèrent à sortir différentes tenues, toutes extrêmement sexy, mais le lycan paniquait un peu en les voyant. Allait-il finir en infirmière de latex dès ce soir ? Mais Katya préféra sortir des gants, un porte-jarretelles et des collants, le tout en soie blanche. Le jeune homme se sentit très mal à l'aise quand la neko lui enfila les gants et les collants, mais reconnut quand même que le tissu était très doux sur sa peau. Habillé ainsi, il faisait déjà plus féminin.
« C'est... c'est étrange à porter mais... je me sens bien... dedans. »
Et ce n'était que le début. Réalisant qu'elles n'avaient pas le bouquet de fleurs promis à Mélinda pour le retour de sa petite Matthieu, Heles partit l'acheter et Katya resta avec le jeune homme, lui enfilant sur la tête un élégant chapeau violet avec un nœud papillon dessus. A présent, il ne lui manquait plus grand-chose pour que la transformation soit complète : une jolie robe, un peu de maquillage... et la culotte. Il tressaillit en entendant ce mot.
« Une... une culotte. Vraiment ? Je... je suis obligé ? Je veux dire... je vais déjà m'habiller... et me maquiller... comme une fille. Peut-être que... les sous-vêtements... ne sont pas nécessaires. »
Connaissant Mélinda, il était possible qu'elle apprécie d'avoir sa nouvelle poupée sans culotte, ce serait encore plus excitant. Mais Katya ne semblait pas du même avis.
« Mais... si je dois mettre une... culotte... ça veut dire que je dois aussi... mettre un... un soutien-gorge ? »
Il regretta cette phrase immédiatement après l'avoir prononcée. Tout ce qu'il faisait, c'était donner des idées aux nekos pour le féminiser encore plus. Mais pour l'instant, Katya était plus occupée à caresser son corps, en attendant que Heles revienne avec le bouquet de fleurs.
« Aaahhh... Katya... »
A califourchon sur son corps, la demoiselle l'embrassa tendrement, le tenant par les épaules, et frottant ses fesses contre sa verge.
« Haaannn... »
La neko complimentait la beauté de sa bouche et de sa trique en se mordillant les lèvres, tandis que le jeune homme essayait de comprendre ce qui lui arrivait. Dans peu de temps, il allait se retrouver en robe, lingerie et collants, le visage maquillé, et serait offert à une vampire qui allait probablement lui faire l'amour pendant des heures sans retenue. Et en attendant, une neko le chevauchait, dont le charme et les courbes généreuses le faisait terriblement bander. Il hésita un moment avant de poser ses mains sur ses hanches, et même avec les gants, il pouvait sentir la douceur de sa peau sous ses doigts.
« Katya... tu es... très belle... toi aussi. »
La neko continuait à frotter son fessier contre sa queue, et plus le jeune homme bandait, plus elle avait envie de baiser la femme. Mais à part la tenir par les hanches, il n'osait rien faire. Sans la présence de Mélinda, il craignait de laisser parler ses pulsions et de se transformer subitement, ce qui aurait terrorisé la demoiselle. Il la laissa donc jouer avec sa queue comme elle l'entendait, sentant l'excitation monter peu à peu dans son corps.
« Ooohhh... Katya... aaahhh... »
Matthieu n'était qu'un jouet entre les mains de Katya, qui en profitait pour bien s'amuser avec. Plus son érection était dure, plus il entendait le rugissement de la bête au fond de lui. Heureusement, il parvenait à la maintenir sous contrôle et à garder son corps humain efféminé, une forme qui rassurait bien plus la neko. Et il garda le contrôle jusqu'à l'orgasme.
« Oui... oui ! AAAHHH ! »
La neko parvint à le faire jouir, et son jus jaillit de sa queue, allant tâcher le sol et les fesses de la femme. Heureusement, les gants et les collants n'avaient rien.
« Aaahhh... Katya... »
Matthieu avait beau avoir joui, il était toujours aussi timide, et ne touchait pas beaucoup le corps de la neko. Peu de temps après, Heles revint dans la chambre avec le bouquet de fleurs, et elle et Katya continuèrent de préparer la tenue de Matthieu. Ce dernier, toujours nerveux, tremblait sur place en regardant les nekos choisir des robes et des culottes, mais un doute le perturbait : ces frissons étaient-ils des frissons d'inquiétude... ou de plaisir ?
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Katya allait bien s’occuper de Matthieu. Se transformer en fille le perturbait certes, mais il pouvait faire confiance à la jeune neko pour le préparer bien comme il faut ! Ce soir, Matthieu serait merveilleuse devant leur Maîtresse ! Oh oui, sur ce point, on pouvait largement faire confiance à Katya et à Heles pour s’occuper bien de Matthieu. Perturbé à l’idée de porter des sous-vêtements féminins, ce dernier se calma bien vite en sentant le plaisir monter en lui. L’appel irrésistible du sexe, tout simplement... Le tout servi par une magnifique neko joueuse ! Katya se dandina sur son corps, sentant sa verge s’enfoncer lourdement en elle, jusqu’à sentir le jeune homme se répandre en elle.
« Là, voilà... Hihi, tu es un très bon amant, Matthieu. »
La jeune neko, qui avait visiblement tout oublié de sa précédente peur, lui lécha le visage, sa langue glissant sur sa peau, puis elle se déplaça légèrement.
« Bon, alors... Je vais finir de t’habiller, maintenant ! »
De quoi sans doute donner de nouvelles sueurs froides à Matthieu, mais Katya n’allait pas s’arrêter en si bon chemin ! Toutefois, elle ne comptait pas lui mettre un soutien-gorge, car, comme elle le lui expliqua ensuite, Matthieu avait la taille parfaite pour porter un corset. Elle lui présenta ainsi un magnifique corset noir et rose (http://img110.xooimage.com/files/4/9/e/vetcor059b-54af388.jpg). Encore une fois, Katya ne supporta aucune critique, et ordonna à Matthieu de se mettre devant le miroir, puis posa le corset sur son corps, et noua les lacets dans son dos, faisant de solides nœuds. Visiblement, sa Maîtresse avait bien formé Katya à la lingerie.
Elle attacha donc bien le corset, viellant à ne pas trop étouffer Matthieu, puis Heles revint ensuite. Elle apportait avec elle un joli bouquet de fleurs, qu’elle posa dans un vase, puis sourit en observant Matthieu.
« Oh, il est si mignon !
- Mais je n’ai pas encore fini ! Il n’a pas sa culotte !
- Et il bande bien, il a l’air d’aimer ça...
- Oui... Son sexe ne rentrera jamais dans la culotte, nyyuuu... !! »
Katya avait récupéré une délicieuse culotte rose avec de la fine dentelle, et la fit remonter le long des jambes de Matthieu. Las, elle ne put que constater que la verge de l’homme dépassait.
« Arrête de bander ! » s’énerva alors la neko.
Elle soupira donc, puis prit alors ce membre en bouche, et le pompa. Sa langue roula dessus, et elle se mit à soupirer, gémissant longuement tout en continuant à prendre son sexe, jusqu’à ce que Matthieu ne jouisse encore. Katya put ensuite mettre la culotte, et sourit, ravie, avant de donner une petite tape sur ce sexe, puis un bisou sur sa queue, recouverte par la culotte.
Entre-temps, Heles avait récupéré une belle robe violette avec de la fourrure, mais, avant de la mettre sur Matthieu, le jeune homme se retrouva devant un miroir, où les deux nekos le maquillèrent et le coiffèrent, donnant à sa longue chevelure une touche plus sauvage, plus féminine, avant de mettre du teint sur ses joues, puis du rouge à lèvres. Dans la foulée, Heles mit un bandeau sur les yeux du jeune homme, afin qu’il ne voie que le résultat final, puis reçut sa robe.
« Pffffiouhh... Voilà !!
- Tu es prêt, Matthieu ?
- Hihihi !! » gloussa Katya.
Heles tira alors sur le bandeau, et, devant lui, Matthieu put se voir à travers un miroir...
Le résultat final était magnifique (https://orig00.deviantart.net/894c/f/2013/211/d/e/parasol_by_tsuaii-d6fto51.jpg) !
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Si Matthieu était encore nerveux, ce n'était plus le cas de Katya, qui avait complètement oublié sa frayeur de tout à l'heure. Après avoir fait juter le jeune homme dans son corps, elle lui lécha un peu le visage puis se déplaça pour continuer son travail d'habillement. Et le lycan eut des sueurs froides en voyant ce qu'elle voulait lui faire porter : un corset noir et rose.
Oh mon dieu.
Déjà que l'idée du soutien-gorge ne l'emballait pas, alors ça... Selon la neko, il avait la taille parfaite pour porter un corset, et de toute façon elle ne lui laissait pas vraiment le choix. Debout devant le miroir, Matthieu regarda le corset être passé autour de son torse, et sentait dans son dos Katya qui nouait les lacets. Elle savait très bien ce qu'elle faisait.
« Aahh... doucement... ne serre pas trop. »
Une fois enfilé, le corset s'adaptait parfaitement à la carrure du jeune homme, pour le plus grand bonheur de la neko. Quant à lui, il se demandait jusqu'où tout ça allait l'amener. Heles arriva avec son bouquet de fleurs, qu'elle déposa dans un vase, et contempla Matthieu dans son nouvel habit, souriant autant que Katya. Après le corset, il était temps de passer à la culotte. Une belle culotte rose avec de la dentelle fine, que la neko remonta le long des jambes de Matthieu, mais malheureusement, le pauvre était en érection et son sexe ne rentrait pas dans le sous-vêtement, ce qui agaça Katya. Il n'osa pas contester le fait qu'il bandait à cause de l'excitation d'être habillé en fille car il n'était même pas sûr lui-même que c'était la vérité.
« Hhhmmm... Katya... haaannn... »
Pour calmer son érection, la neko prit son membre en bouche et le pompa avec énergie. Elle jouait de sa bouche et de sa langue avec un talent incroyable, et le jeune homme pris dans cette étreinte se régalait à sentir son sexe flatté de cette façon et à écouter les soupirs de la demoiselle. Dans son état, il ne mit pas longtemps à jouir et à balancer sa crème dans la gorge de son amante.
« Aaahhh... »
Après ce délicieux orgasme, sa queue perdit en volume, et la neko put la rentrer dans la culotte facilement. Heles arriva avec une jolie robe violette avec de la fourrure, mais avant de se la faire enfiler, Matthieu se retrouva assis devant un miroir. Les nekos lui passèrent un bandeau sur les yeux, et ensuite il se fia à son odorat et à son toucher pour comprendre ce qui lui arrivait.
Cette odeur... on dirait... du maquillage... et du parfum. Et sur mes cheveux... c'est une brosse. Oh non... ça veut dire qu'elles sont en train de me...
Eh oui, Matthieu recevait un relookage complet par Heles et Katya, avec maquillage et coiffure. Puis il se fit lever et passer la robe, qu'il sentit glisser sur les zones de son corps encore nues. Une fois qu'elles eurent terminé, elles gloussèrent un peu avant de lui retirer le bandeau, pour qu'il admire le résultat final.
Pendant un instant, Matthieu ne réagit pas, ayant du mal à croire à ce qu'il voyait. Mais peu à peu, l'idée faisait son chemin dans sa tête.
Incroyable. C'est... c'est vraiment moi ?
Le reflet qu'il avait devant les yeux était celui d'une belle jeune femme, coiffée et maquillée, vêtue d'une magnifique robe violette, d'un chapeau et de longs gants blancs. Au niveau de la poitrine, la robe laissait voir les bords de bonnets de lingerie. Tout ce que Matthieu et cette femme avaient en commun, c'était leurs couleurs d'yeux et de cheveux. S'il n'avait pas été sûr de bien être dans son corps, il aurait cru être devenu une autre personne. Il posa une de ses mains gantées sur le miroir pour être convaincu à 100%.
« Je n'en reviens pas. C'est... incroyable. Je suis tellement belle. »
Il avait dit « belle » sans même le réaliser. Le choc de se voir ainsi dans le miroir, habillé, coiffé et maquillé comme une femme, l'avait complètement retourné. Sans aller jusqu'à croire qu'il en était bien devenu une, il était quand même plus à l'aise que lorsque l'idée avait été proposée, et se sentait bien dans sa nouvelle tenue. Il était également convaincu que les frissons qu'il avait ressenti pendant sa préparation étaient des frissons de plaisir. D'ailleurs, il bandait à nouveau sous sa robe, formant une belle bosse à la surface de sa culotte.
« Heles, Katya... merci à vous. Merci de m'avoir rendue aussi jolie. »
Il déposa un baiser sur la joue de chaque neko.
« Bon... maintenant je dois aller voir maîtresse, c'est ça ? »
-
Honnêtement, il fallait bien admettre que le résultat final était fascinant. Katya et Heles étaient habitués à travestir des garçons, mais le résultat final avait rarement été aussi excitant ! En fait, Katya se demandait même si celui-là n’était pas son record. Très réticent au début, Matthieu ne pouvait que s’observer avec consternation devant le miroir. Évidemment, il était très beau, et peinait aussi à en croire ses yeux. Était-ce bien lui qui se tenait là ? Il dut même toucher le miroir, avant palper ses joues, observant silencieusement son corps... Puis se retourna vers elles, et les embrassa chacune sur la joue.
« Hey ! C’est comme ça qu’il faut embrasser ! » protesta soudain Katya.
Elle bondit alors sur l’homme, et plaqua sa bouche sur la sienne, venant lui voler un baiser. Avec le léger gloss mis sur ses lèvres, la bouche de Matthieu faisait très féminine, et Katya inhiba son délicieux parfum. Bien sûr, elle sentit aussi, contre sa culotte, et avec un léger sourire, l’érection de Matthieu. Celui-ci bandait de plus en plus fort, mais, cette fois-ci, la jeune neko ne viendrait pas le soulager ! Elle fourra au contraire sa langue dans la bouche de Matthieu, et joua tendrement avec, frottant doucement son corps contre le sien, ses seins rebondissant sur son torse.
Après ce baiser, Heles remplaça Katya, en collant son corps contre celui de Matthieu, et l’embrassa à son tour, aussi passionnément que sa sœur. Comme quoi, même si Heles était un peu plus réservée, elle n’en était pas moins une femme pleine de passion aussi, qui s’amusa à tourner sa langue dans la bouche de Matthieu, et même à mordiller sa lèvre intérieure. Fort heureusement, son maquillage tint bon, et les deux nekos en profitèrent pour caresser son sexe à travers sa robe.
« Tu bandes encore, vilain garnement...
- Il faut lui trouver un prénom de fille, maintenant ! renchérit Katya.
- Oui... »
Elles réfléchirent pensivement à un nom tout indiqué, l’équivalent féminin de « Matthieu »... Ce qui ne venait pas tout de suite à l’esprit !
« Pourquoi pas... Mathilde ?
- C’est le prénom le plus proche... Sauf si tu préfères autre chose... » déclara-t-elle en reportant son attention sur Matthieu.
Heles reprit ensuite :
« Quoi qu’il en soit, pour la suite, Maîtresse organise généralement des séances de doléances en début de soirée. Tu iras te présenter avec le bouquet de fleurs, et tu lui diras combien tu l’aimes, et combien tu es ravie d’être sa belle petite esclave. Maîtresse aime bien les déclarations d’amour, alors tu as intérêt à l’émouvoir ! »
Le programme était en tout cas bien tracé, et sans recours possible pour le jeune homme...
-
Bien que surpris par sa nouvelle apparence, Matthieu s'y faisait plutôt vite. Il portait une robe, un chapeau, des gants, des collants, un porte-jarretelles et de la lingerie, et pourtant il ne se sentait pas mal à l'aise, ou en tout cas pas autant qu'au début. Katya lui arracha un baiser passionné, dans lequel leurs langues se mêlèrent fougueusement, et où les seins de la neko rebondissaient contre son torse enfermé dans le corset, ce qui durcit encore l'érection sous sa culotte. Après elle, ce fut Heles qui vint goûter aux lèvres du jeune homme, dans un baiser aussi passionné mais plus maîtrisé, tandis que sa main se posa à la surface de sa robe pour palper son sexe.
« Aaahhh... »
« Tu bandes encore, vilain garnement... »
« Je... hhhmmm... je suis désolé... »
Katya déclara ensuite qu'il fallait lui trouver un prénom de fille, et Heles proposa de l'appeler Mathilde.
« Ça... ça me va. »
Maintenant que tout était réglé, il fallait qu'il attende le début de soirée, là où Mélinda le recevrait en séance de doléances et où elle pourrait découvrir son petit chiot devenu une très mignonne demoiselle. Et il avait plutôt intérêt à bien se préparer.
« Et est-ce que... vous pouvez m'y aider ? »
Comment faire une déclaration d'amour convaincante à une femme aussi belle et puissante que leur maîtresse ? Elle avait sûrement déjà entendu des tas d'hommes et de femmes se prêter au même jeu, alors pour se démarquer, il devait être au top. Et puisque les nekos l'avaient déjà aidé à devenir une fille, peut-être pourraient-elles l'aider à s'exprimer comme il faut.
Pendant que Heles allait réserver une place à Matthieu pour qu'il passe en doléances dans la soirée, Katya et lui s'entraînaient pour choisir les bons mots à dire à Mélinda, et surtout la façon de le faire pour que la vampire tombe sous le charme de sa nouvelle esclave. Le jeune homme devait lutter contre tous ses instincts d'homme et agir d'une façon qui lui était nouvelle, devenir une femme jusque dans sa manière de parler et de bouger. La neko lui montrait comment bien remuer des hanches, bomber la poitrine et parler plus sensuellement pour que ses charmes féminins ressortent. Le début fut difficile, mais il y parvenait peu à peu. En une heure, son attitude était assez féminine pour qu'une personne ne l'ayant jamais vu en tant qu'homme s'y laisse prendre tant qu'il ne regardait pas de trop près.
« Bon... je crois que c'est l'heure. »
Il fit un dernier câlin aux nekos, qui lui assurèrent que tout allait bien se passer, puis il sortit de la chambre pour se rendre en salle de doléances. En chemin, il croisa plusieurs filles qui se mordillèrent les lèvres en le voyant, certaines avaient même un début d'érection visible. Mais alors qu'il était perdu dans ses pensées et en train de s'appliquer pour rentrer dans son personnage, il percuta un homme (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/3/1530728804-e7d02e023fe0121d23e50da37db42da1-sexy-anime-guys-hot-anime-boy.jpg) au détour d'un couloir et tomba.
« Ah ! »
Étourdi par le choc, il releva la tête et vit l'homme lui tendre la main pour l'aider à se relever en s'excusant.
« Mes excuses mademoiselle, je ne vous avais pas vu. »
« Non non, c'est ma faute. Je ne regardais pas où j'allais et... »
L'homme le releva avec une telle force qu'il se retrouva plaqué contre son torse. A cet instant, son cœur fit un bond dans sa poitrine.
« Vous êtes une jeune femme magnifique. »
« Euh... »
Cet homme avait un physique extrêmement plaisant, et un regard dont il n'arrivait pas à se détacher. Et l'odeur qu'il sentait s'échapper de lui, c'était l'odeur du désir. Apparemment, il croyait avoir à faire à une femme, preuve que le relooking et l'entraînement d'Heles et Katya étaient efficaces. Pendant plusieurs secondes, personne ne dit rien. Puis quand le lycan réalisa que cet homme raffermissait sa prise sur son corps tout en descendant sa main le long de son dos, il se dépêcha de calmer le jeu.
« Excusez moi mais... j'ai un rendez-vous important. »
Matthieu usa un peu de sa force de loup-garou pour s'échapper, et se mit à courir vers la salle de doléances sans se retourner, le rouge aux joues et le souffle lourd.
Mais qu'est-ce qui m'est arrivé ?
D'abord il prend plaisir à être travesti, ensuite il se sent troublé parce qu'un homme semblait le désirer ? Décidément, cette journée était celle de toutes les découvertes.
Arrivé en salle de doléances, Matthieu se présenta devant Mélinda, son bouquet de fleurs à la main, et sortit tout ce que les nekos lui avaient aidé à préparer.
« Bonsoir maîtresse Mélinda. Je suis Mathilde, votre nouvelle esclave. »
Il approcha la poitrine haute, remuant des fesses autant que possible, et lui tendit humblement le bouquet.
« Ces quelques fleurs sont un cadeau pour vous. Un symbole de ma gratitude envers vous. »
Une fois que la vampire eut les fleurs en main, Matthieu se tourna une seconde pour la laisser admirer le balancement de ses hanches, mais comme il était impoli de tourner le dos à sa maîtresse, il se retourna rapidement.
« Je suis ici, ce soir, devant vous, pour vous jurer mon amour et ma fidélité totale. Je vous offre mon cœur, et surtout mon corps. Je serai votre esclave. Je serai... votre chienne. »
-
Katya passa le reste de la journée à apprendre à Matthieu à être Mathilde, et donc à se comporter comme une fille. Une tâche difficile, car elle nécessitait, non seulement de moduler sa voix, mais surtout sa posture. Les hommes n’avaient pas les mêmes mouvements que les femmes, et, pendant l’après-midi, Katya travailla donc sur ses intonations, sa marche. Matthieu avait fort heureusement un timbre de voix assez aigu, de sorte qu’il n’était pas difficile de l’amener à prendre une voix plus féminine. Pendant ce temps, Katya expliqua à Matthieu que, pour marquer son autorité ici, Mélinda organisait des séances de doléances, où elle côtoyait des esclaves, mais aussi des clients, et bien d’autres personnes. C’était un phénomène assez particulier, et même clairement atypique, mais qui rencontrait son petit succès ici. Suite à cela, Matthieu se rejoignit dans la salle des doléances, qui avait lieu dans l’un des grands salons, là où, jadis, Lenn Silvercoat organisait des réceptions.
En chemin, Matthieu put voir que l’intérieur de la villa était très libertine. Le sexe n’était pas caché, et il tomba même sur un prostitué, très beau, torse nu, qui palpa doucement le corps de Mathilde, avant que celle-ci ne file. Mathilde n’eut ensuite pas long à attendre avant de rejoindre la salle des doléances. Dissimulée derrière un épais bouquet de fleurs, la jeune « femme » s’avança vers Mélinda, qui reconnut immédiatement Matthieu... Essentiellement, et même presque exclusivement, grâce à son sang. Ses yeux s’écarquillèrent sous la surprise, et, de fait, elle se tut pendant quelques secondes, peinant à croire la vision qu’elle avait sous son regard.
*Incroyable, Katya et Heles sont vraiment stupéfiantes !*
Mathilde s’approcha donc, sous les regards amusés de la « cour » de Mélinda, une étrange assemblée composée de femmes en élégantes robes, d’hommes en costumes, mais aussi de soubrettes, et d’individus en combinaisons de latex moulantes. Un excellent conglomérat, pendant que Mathilde, sous ses yeux, jura d’être son esclave, et même... Sa chienne. Mélinda sourit alors, de toutes ses dents, et pencha doucement la tête sur le côté. Du pied, elle défit la sandale de son autre pied.
« Voilà un serment d’allégeance qui me va droit au cœur, Mathilde. Je déduis à votre parfum et à vos vêtements que vous n’êtes pas une personne du bas peuple. Je suis d’autant plus ravie de te voir agenouillée devant moi, ta Maîtresse. »
Elle tenait les fleurs, et les renifla doucement. Un bel assortiment de roses, qu’elle entreposa ensuite dans un vase avec un fond d’eau, puis leva ensuite doucement son pied, l’approchant des lèvres de Mathilde. La transformation était tout simplement incroyable, et Mélinda comptait bien donner le change auprès des autres. Ainsi, mis à part Katya et Heles, personne d’autre ne saurait que cette Mathilde était en réalité un garçon. N’était-ce pas là le plus parfait des pièges ? De quoi fortement amuser Mélinda, qui gloussa légèrement, les yeux brillant de malice.
« Des mots aux actes, petite Mathilde. Baise le pied de ta Maîtresse. »
Mélinda lui sourit malicieusement, et laissa Mathilde embrasser tendrement son pied, le léchant aussi, ses délicieuses lèvres se posant régulièrement sur sa tendre peau. Une femme s’approcha alors de Mélinda, et murmura quelques mots dans le creux de son oreille, arrachant à celle-ci un redoutable sourire. Elle se racla alors la gorge.
« Tu as croisé quelqu’un en route, non, Mathilde ? Mon beau Jonas, je crois... Jonas ! »
Un jeune homme s’avança alors, et s’agenouilla à côté de Mélinda. Un homme reconnaissable pour Mathilde, puisqu’il s’agissait de l’homme qu’elle avait croisé tout à l’heure. Mélinda sourit malicieusement, et reprit ses explications :
« Jonas est un orphelin, un petit vaurien qui multipliait les larcins et les petites infractions pour survivre. Je l’ai recueilli, comme tu le vois, et il vit très heureux ici... Mais, surtout, Jonas aime beaucoup les femmes qui sont très bien habillées comme toi. Je crois qu’il a toujours aimé sodomiser des nobles, surtout quand elles aiment se faire passer pour des chiennes. N’est-ce pas, Jonas ?
- Maî-Maîtresse... » soupira-t-il doucement en acquiesçant.
De fait, à l’idée de sodomiser Mathilde, une belle érection déformait le pantalon du jeune homme...
-
Matthieu venait à nouveau de jurer allégeance à Mélinda sous sa nouvelle tenue. La vampire le regarda un temps, amusée, faisant semblant de ne pas le connaître et en lui parlant comme s'il était une femme qu'elle voyait pour la première fois, puis se déchaussa et lui demanda de venir lui baiser le pied.
« Avec plaisir maîtresse. »
Le jeune homme savait très bien ce qu'il avait à faire : obéir à sa maîtresse jusqu'à ce qu'elle l'emmène dans sa chambre pour lui faire l'amour. Il se mit à quatre pattes devant elle et se mit à embrasser et lécher le pied et les orteils de la femme. Il se sentait observée par tout les membres de la cour de Mélinda, qui s'amusaient de sa situation.
J'ai encore du mal à comprendre comment j'ai pu en arriver là. Tout ces efforts pour renaître, et me revoilà au point de départ, sauf qu'en plus je suis habillé en fille.
Sans avoir de regrets, Matthieu se posait quand même des questions. Au milieu de son travail, il vit une femme s'approcher et lui murmurer quelque chose à l'oreille, puis un dangereux sourire se dessina sur ses lèvres. On venait de lui dire que ''Mathilde'' avait croisé quelqu'un en venant. Un des esclaves du harem nommé Jonas. Un ancien délinquant que la vampire avait recueilli et repris en main pour en faire un beau prostitué et faire la joie des dames. Ce dernier se présenta ensuite dans la pièce, à genoux à côté de Mélinda, qui expliqua ensuite à son autre esclave que Jonas aimait beaucoup sodomiser les femmes bien habillées, surtout lorsqu'elles se considèrent comme des chiennes. Cette phrase angoissa le jeune homme.
« Mais... maîtresse... s'il me... sodomise... il verra... enfin... vous savez. »
Matthieu commençait à angoisser à l'idée de ce que la vampire allait lui demander de faire, mais ne pouvait pas s'y opposer de toute façon. Déjà, une érection était visible sous le pantalon du jeune homme, qui observait le corps de cette ''femme'' avec envie. Le lycan tenta de rattraper ce qu'il pouvait.
« Au moins... pourrait-on... se rendre dans une chambre... s'il vous plaît ? »
Se faire sodomiser par un homme, c'était déjà beaucoup à encaisser, alors le faire devant la cour de Mélinda, c'était trop pour lui.
-
Mélinda allait devoir féliciter en personne Katya et Heles. Les deux beautés aimaient beaucoup travestir les garçons, et, dans ce domaine, il fallait bien admettre qu’elles étaient particulièrement efficaces. Quel changement ! Une véritable métamorphose ! Mélinda observait encore « Mathilde » avec une profonde fascination, peinant encore à croire qu’il avait suffi d’une seule journée pour faire à ce point sortir en lui sa polarité féminine ! La vampire s’humecta doucement les lèvres. Jonas s’était laissé prendre au piège, lui aussi, car il ne se doutait pas que Mathilde était un garçon. Cette idée amusait beaucoup Mélinda, qui souriait donc malicieusement. De son côté, Matthieu paniqua, mais comprit vite qu’il n’arriverait pas à faire changer d’avis Mélinda. Après tout, il connaissait suffisamment la vampire pour savoir que, quand celle-ci avait une idée derrière la tête, elle la mettait toujours en application. La vampire souffrait rarement la contradiction, et Matthieu proposa alors de coucher avec Jonas en privé.
Cette seconde proposition fit doucement réfléchir la vampire. Celle-ci n’oubliait pas que Matthieu était un Lycan, et qu’il était susceptible de se transformer sous l’effet de fortes émotions… Et aussi que, après tout, ce manoir était initialement le sien. Mélinda avait tout récupéré, elle avait fait de Matthieu son esclave, il avait été travesti en fille…
*Je ne dois pas abuser de ma bonne chance…* songea Mélinda.
La vampire sourit affectueusement, et hocha la tête.
« Très bien ! Jonas, Mathilde, nous montons dans ma chambre ! »
Comme quoi, Mélinda pouvait se montrer magnanime. Jonas acquiesça doucement, et observa brièvement Mathilde. Mélinda les rejoignit ensuite, et les embrassa l’un après l’autre, avant d’aller dans un couloir, partant vers sa chambre.
« Tu n’as pas idée d’à quel point Jonas était rebelle quand je l’ai pris. Il a fallu des semaines et des semaines pour en faire un bon petit esclave.
- J’ai été un prisonnier, je ne voulais pas vous servir initialement, Maîtresse, avoua Jonas.
- Je l’ai dompté en brisant sa fierté. Jonas se félicitait de pouvoir faire l’amour avec des femmes jusqu’à les épuiser totalement… C’est moi qui ai fini par le chevaucher alors qu’il n’en pouvait plus. Il n’en fallait pas plus pour que Jonas change de comportement. Mais il y a quelque chose chez lui qui est resté… Il adore toujours autant épuiser les femmes en les baisant énergiquement. »
Jonas sourit légèrement en regardant Mathilde. Si Matthieu avait une érection, c’était aussi le cas de Jonas, et une belle bosse déformait son pantalon. Très musclé, Jonas avait été élevé dans la rue, où il avait été un combattant, menant divers petits boulots pour des gangs et autres criminels locaux. Sur ce point, Nexus était bien plus dangereuse qu’Ashnard, et Jonas continuait à s’entraîner régulièrement. Tout ça faisait donc de lui un homme très beau, musclé et solide.
La chambre de Mélinda était assez grande, agréable, avec un grand lit rouge en forme de cœur. Dès qu’ils furent à l’intérieur, Jonas commença par se rapprocher de la jeune Mathilde, et l’embrassa longuement sur les lèvres.
« Tu es vraiment magnifique, tu sais… »
-
En maîtresse compréhensive, Mélinda accepta que la suite de la fête ait lieu dans sa chambre. Matthieu et Jonas emboîtèrent le pas à leur maîtresse, la suivant dans un couloir qui partait vers sa chambre. En chemin, la vampire les embrassa chacun leur tour, expliquant à sa nouvelle servante le traitement qu'elle avait fait suivre à Jonas pour en faire le beau petit esclave qu'il était aujourd'hui. Tout ce que le jeune homme comprenait en entendant ça, c'était que cette femme avait la manie de toujours vouloir dompter ses nouveaux serviteurs, quels que soient les moyens employés. Pour Jonas, c'était la baise intensive. Pour Matthieu, c'était de le transformer en Mathilde.
Cette femme est incroyable.
En chemin, Matthieu put sentir le regard de Jonas le parcourir, détaillant ce qu'il croyait être ses courbes féminines. Son corps dégageait une forte odeur d'excitation, ce qui avait de quoi inquiéter le jeune homme.
Le pauvre... il va tomber sur un sacré os.
Arrivé dans la chambre de Mélinda, Matthieu commença par admirer le décor, riche et luxueux, ainsi que le lit rouge en forme de cœur. Mais très vite, Jonas le ramena à la réalité et se rapprocha de lui pour l'embrasser sur les lèvres. Il le trouvait magnifique, mais ne savait pas ce qu'il avait en face de lui.
« Merci... Jonas. Toi aussi... tu es très beau. »
Ah ! Mais pourquoi j'ai dit ça ?
Sous les déferlantes d'hormones, le jeune homme ne réfléchissait plus à ce qu'il disait, il se laissait porter par l'ambiance. Et même s'il avait du mal à l'admettre, embrasser ce garçon était assez plaisant. Cependant, il ne fallait pas perdre de vue l'essentiel : Jonas pensait pouvoir coucher avec une femme, mais ''Mathilde'' n'en était pas une malgré les apparences.
« Jonas... je... je suis désolée mais... je ne peux pas faire l'amour avec toi. »
Le lycan se tourna vers la vampire.
« Maîtresse... vous voulez le lui dire... ou je le fais ? »
Matthieu était persuadé qu'il ne voulait pas faire l'amour avec cet homme, mais pourtant l'érection sous sa culotte ne diminuait pas. Et parmi toutes les hormones qui embaumaient la pièce, il devait bien aussi y avoir les siennes. En plus, Mélinda n'allait sûrement pas le laisser s'en sortir aussi facilement.
-
Ils étaient dans une très belle chambre, et, comme tantôt avec Katya et Heles, elle s’assit en souriant sur un fauteuil, et croisa ses magnifiques jambes. Elle observa la scène avec un sourire malicieux sur le coin des lèvres. Dès la porte fermée, Jonas se rapprocha de « Mathilde », qui protesta, et expliqua qu’ils ne pouvaient pas faire l’amour. Surpris, Jonas écarquilla les yeux, parlant ensuite, de sa voix grave et précipitée.
« Hein ? Mais pourquoi ? »
Mélinda sourit joyeusement, et gloussa même quand les deux garçons la regardèrent. « Mathilde » était confus, et proposa d’expliquer la supercherie à Mélinda. Celle-ci se pinça alors les lèvres, et brisa le dernier espoir de Matthieu de préserver encore un peu sa dignité masculine, en ajoutant :
« Jonas est bisexuel, Matthieu.
- Hein ? Matthieu ? »
Jonas se rapprocha alors de son amant, et posa sa main entre ses cuisses, puis fronça les sourcils en sentant un sexe tendu.
« Jonas a appris à aimer l’autre sexe en couchant avec des hermaphrodites... Tu n’imagines pas comment il pouvait être... Macho auparavant. Il m’a fallu le mater, le dresser, et j’ai fait de lui un bisexuel... Tout comme toi, Matthieu. Tu dois maintenant comprendre que rien ni personne ne me résiste quand je vous tiens entre mes griffes. »
Mélinda pouvait se montrer terrible dans son genre. Irrésistible. Comment lutter contre une telle femme ? Jonas caressa le visage de Matthieu, et l’embrassa.
« Tu te travestis en femme, hein ? Petit pervers... Mais tu as l’air d’avoir une belle queue... »
Jonas l’embrassa à nouveau, et le masturba à travers sa robe. Il y allait lentement, délicatement, et remonta ensuite ses mains, caressa ses épaules, puis les passa derrière Matthieu... Et appuya sur ses fesses, serrant ses muscles contre son corps. Et le fait est que Jonas savait embrasser ! Il avait sûrement été formé par leur Maîtresse là-dessus, car ses lèvres étaient un vrai régal.
« On va y aller tranquillement, hein, Mathilde ? Occupe-toi de ma queue, ma chérie... Prends-là en bouche, entre tes mains, montre-moi comment tu aimes sucer de belles bites bien grosses... »
Mélinda avait beau l’avoir éduqué, Jonas conservait quand même toujours un vocabulaire très familier...
-
D'une certaine façon, Matthieu espérait échapper au programme que lui avait prévu Mélinda, mais il l'avait sous-estimée une fois de plus. La vampire lui expliqua que Jonas était bisexuel, et ce dernier réalisa ensuite qu'il n'avait pas à faire à une vraie fille. Comme elle l'avait dit, Mélinda les tenait tous les deux entre ses griffes, et rien ni personne ne pouvait l'arrêter. Jonas commença à se montrer plus audacieux, embrassant tendrement Matthieu et se moquant de sa perversion.
« Aaahhh... Jonas... pas si fort... haaannn... »
Le jeune homme ne pouvait rien faire face au talent de son amant. Il embrassait terriblement bien, et ses mains avaient une prise à la fois ferme et douce. Il les sentit passer sur son corps, en commençant par sa queue en train de bander sous sa culotte, puis sur ses épaules, et enfin sur ses fesses. Se faire empoigner le cul de la sorte le fit délicieusement frémir, et il ne put retenir ses gémissements.
« Hhhmmm ! »
Jonas regarda Mathilde droit dans les yeux et lui demanda de venir s'occuper de sa queue. Il ne ménagea pas ses mots, de quoi donner des sueurs froides au travesti.
« Jonas, je... je ne suis pas bisexuel... comme toi. »
Mais Mélinda avait un tout autre avis sur la question. Elle fit comprendre à son petit choit qu'il n'avait pas le choix, et qu'il devait faire ce que l'homme lui avait demandé. En comprenant ça, il ne put que se mettre à genoux devant son amant, retirer sa ceinture et baisser son pantalon, non sans nervosité. Il se retrouva face à un caleçon avec une bosse bien marqué, qu'il observa en déglutissant avant d'enlever le sous-vêtement pour libérer la queue de l'homme.
« Ouah... »
C'était la première fois qu'il se retrouvait nez à nez avec une verge qui n'était pas la sienne. Elle était grosse, veineuse, et pointait vers le ciel. Un magnifique bâton de chair qui semblait être un appel à la luxure. Mathilde s'en approcha timidement, intimidé par la taille de l'engin, même si le sien était bien plus gros quand il se transformait.
« Je... je n'ai encore jamais... fait ça... donc... sois gentil s'il te plaît. »
De toute façon, leur maîtresse ne les quittait pas des yeux. Mathilde posa sa main sur la queue de Jonas et se mit à la branler. Il la tenait fermement pour être sûr que ses gestes procureraient un maximum de plaisir, agitant ses doigts de haut en bas, d'abord lentement puis de plus en plus vite. Il pensait pouvoir le faire jouir ainsi, mais cela ne suffisait pas à son amant. Au bout d'un moment, il exigea de se faire sucer.
« Quoi ? »
Et encore une fois, Mathilde comprit qu'elle n'avait pas son mot à dire, qu'elle devait juste s'exécuter. Du coup, il avança timidement son visage, jusqu'à être assez près. Il couvrit ce sexe de baisers sur toute sa longueur, puis le lécha de haut en bas comme une grosse glace, jusqu'à finalement trouver le courage de faire le plus dur : il ouvrit les lèvres et prit ce sexe en bouche.
Pour lui, tout ça n'était pas naturel. Habillé en fille ou pas, il n'en était pas une, et il n'avait pas à faire le genre de choses que les filles font lorsqu'elles couchent avec un garçon. Les fellations, les cravates de notaires, se faire peloter le cul, les sodomies... son esprit voulait échapper à tout ça, mais son corps était partagé. En effet, il avait aimé se faire prendre le cul par Heles et Katya, et maintenant qu'il avait une bite dans la bouche, il ressentait une sensation nouvelle et pour le moins grisante. Ce sexe veineux et chaud qui lui remplissait la bouche le calmait, et sans s'en rendre compte, il commença à bouger. Sa bouche allait d'avant en arrière avec la queue de Jonas dedans, lui faisant une fellation certes un peu maladroite mais bonne quand même. Peu à peu, Mathilde prenait du plaisir à agir de la sorte, exactement comme ce qui lui était arrivé plus tôt avec les nekos. De temps en temps, il parvenait à faire passer sa langue le long de sa hampe de chair au rythme de ses mouvements de tête. Et pendant qu'il comblait Jonas, il sentait sa propre queue devenir de plus en plus dure sous sa culotte. Une fois l'homme satisfait, il espérait avoir droit à la même chose.
-
Mélinda était très sérieuse dans son approche. Matthieu n’avait plus aucun moyen de lui échapper, aucune façon d’inverser le cours des choses, ou de s’imposer au fait de devenir un homme bisexuel. Elle allait remodeler ses goûts et ses préférences sexuelles, et, surtout, elle semblait le faire avec une étonnante facilité, ce qui témoignait du fait que Mélinda savait comment y faire, et, surtout, que, fondamentalement, Matthieu avait en lui une polarité féminine qui ne demandait qu’à émerger. Mélinda les observait donc avec envie. Jonas, comme à son habitude, prit rapidement ses marques, ordonnant à Matthieu de s’occuper de son sexe. Nerveux, le jeune homme ne pouvait pas vraiment refuser. Ce n’était pas Mélinda qui allait le secourir. Au contraire, la vampire se régalait, un sourire moqueur sur les lèvres, et une lueur enjouée dans le coin du regard.
« Ne t’inquiète pas, Mathilde, tout va bien se passer ! »
Autant le rassurer un peu, non ? En tout cas, obéissant sagement, Matthieu tira sur le pantalon de Jonas, révélant sa belle érection. Une verge qui se dressait joyeusement devant lui. Indéniablement, Jonas était aussi un homme bien membré, et il n’y avait plus qu’à s’y attaquer. Matthieu lécha donc ce membre, avant d’y frotter doucement son visage, et finit, nerveusement, par le prendre en bouche. Un soupir traversa les lèvres de Jonas, qui posa ses mains sur le visage du jeune homme, serrant ses cheveux, défaisant au passage son élégant chapeau, révélant sa soyeuse chevelure, agrémentée de quelques nœuds papillons. Autant dire que Katya et Heles avaient fait les choses très proprement !
Mélinda ne se privait donc pas d’observer la scène, se pinçant doucement les lèvres, tout en voyant Matthieu se mettre à pomper ce dard. Et, comme elle s’y attendait, cette scène ne manqua pas d’exciter le jeune homme. Elle sentit son sang pulser dans son corps, se concentrant à hauteur de ses cuisses, amenant son sexe à former une belle bosse, une queue qui se redressa fièrement, le trahissant sans aucun doute… Et, probablement sans que Matthieu ne le réalise, Mélinda se retrouva brusquement dans son dos.
« Alors, tu vois ? Il faut toujours faire confiance à sa Maîtresse, Mathilde, car je sais mieux que mes esclaves ce qui est bon pour eux. »
La main de Mélinda caressa volontiers le sexe du jeune homme, et elle l’embrassa ensuite dans le creux du cou.
« C’est bon, hein ? Sentir cette belle queue dans ta bouche… Je ne t’aurais pas confié à Katya et à Heles, Matthieu, si je n’avais pas eu le sentiment qu’elles seraient en mesure de faire sortir cette polarité féminine qui sommeille en toi… »
Et, visiblement, Mélinda ne s’était pas trompée du tout, vu ce qui se passait en ce moment.
« Ne cherche pas à lutter contre ça, Matthieu, admets juste que ces pulsions font partie de toi, mon joli… »
-
Comment en était-on arrivé là ? Pour Matthieu, cette nouvelle vie était censé lui donner l'occasion de tout recommencer à zéro et de mieux faire les choses. Et après tout ça, la seule chose qui avait changé par rapport à son ancienne vie était la façon dont il était habillé et le genre de partenaire qu'il avait pour faire l'amour. Il lui avait suffi de se retrouver au contact de Mélinda pendant à peine une heure, et il avait fini travesti en fille à faire une fellation à un homme. Mais malgré tout, il ne se plaignait pas, car les choses commençaient à lui plaire, même s'il ne voulait pas l'admettre. Pendant qu'il était occupé à satisfaire son amant, sa maîtresse glissa sans un bruit dans son dos et l'une de ses mains alla caresser son sexe, qui bandait fort sous sa culotte.
« C’est bon, hein ? Sentir cette belle queue dans ta bouche… Je ne t’aurais pas confié à Katya et à Heles, Matthieu, si je n’avais pas eu le sentiment qu’elles seraient en mesure de faire sortir cette polarité féminine qui sommeille en toi… »
Il ne voulait pas lui donner raison, mais vu la situation, il ne pouvait pas non plus se voiler la face. Mélinda l'entraînait peu à peu vers la bisexualité en utilisant son emprise sur lui et certaines de ses pulsions cachées. Sa part de féminité était en train de surgir au grand jour.
« Ne cherche pas à lutter contre ça, Matthieu, admets juste que ces pulsions font partie de toi, mon joli… »
Là, il se sentit obligé de répondre et d'interrompre son travail sur Jonas.
« Aahh... maîtresse... je ferai ce que vous m'ordonnerez... mais jamais je ne dirai... que j'aime ça. »
Et pourtant, il se dépêcha de remettre la verge de son amant dans sa bouche aussitôt sa protestation finie. C'était presque comme s'il ne supportait pas d'avoir la bouche vide, et sentir cette queue veineuse pulser contre sa langue l'excitait. Il continua son œuvre, s'appliquant du mieux qu'il pouvait, jusqu'à ce que finalement, il ne parvienne à faire jouir son amant. A ce moment, il tenta de se retirer, mais Jonas lui prit la tête à deux mains pour la plaquer contre son bassin, obligeant Mathilde à rester en place quand sa semence commença à jaillir.
Au début, sentir cette substance gluante et poisseuse dans sa bouche l’écœura, mais comme pour le reste, il lui fallut juste un peu de temps pour vraiment apprécier. Ce sperme lui chauffa agréablement la gorge, et son plaisir continua à grimper. Une fois l'éjaculation finie, il put se retirer, et même s'il ne disait rien, Mélinda voyait bien qu'il avait aimé ça.
« Haaannn... voilà... j'ai été une bonne fille. »
Il se leva et fit face à Jonas, savourant un autre délicieux baiser avec lui, se laissant palper avec bonheur.
« Jonas... maintenant que tu as eu... ce que tu voulais... »
L'excitation commençait vraiment à être insoutenable.
« …tu veux bien... me rendre la pareille ? »
-
Matthieu fit preuve d’insubordination, en certifiant à sa Maîtresse qu’il n’avouerait jamais aimer ça. Celle-ci sourit en retour, gloussant légèrement. Avait-il vraiment besoin de le préciser ? Son corps parlait pour lui. Ce rythme sanguin effréné était infiniment plus parlant que n’importe quel mot que le jeune homme pourrait prononcer. Mélinda le regarda donc gober un chibre dans sa bouche. Matthieu pompa doucement dessus, et les mains de Jonas se serrèrent sur ses cheveux. La vampire se pinça doucement les lèvres, bien plus excitée qu’elle ne l’aurait cru par cette scène homosexuelle. Travestie en fille, Matthieu libérait sa polarité féminine, et pouvait désormais craindre, pour sa virilité, tout ce que sa Maîtresse pouvait envisager. Après tout, Matthieu devait maintenant avoir bien compris combien sa Maîtresse pouvait se montrer perverse, et celle-ci comptait bien le mettre durablement à l’épreuve, et continuer à le tourmenter ensuite. Elle voulait que la forme humaine de Matthieu soit Mathilde, et que sa masculinité ne ressorte que quand il se transformait en Lycan.
Jonas, de son côté, soupirait doucement, et remuait son corps d’avant en arrière. Comme Matthieu, il avait été un hétérosexuel convaincu jadis, un jeune homme rebelle, effronté. Pour le dresser, Mélinda s’était amusée à le sodomiser longuement, et, à sa grande surprise, Jonas avait fini par aimer ça. Pendant plusieurs semaines, sa virilité avait été humiliée par de multiples sodomies et des moqueries de femmes. Il avait ainsi appris l’humilité, l’obéissance et la discipline, mais conservait toujours en lui ce côté garçon rebelle qui plaisait aux filles. Sa main pinça les cheveux de Matthieu, serrant fortement, arrachant au jeune homme des couinements.
« Mmmmm... Pu-Putain... !! »
Dans un ultime grognement, Jonas se relâcha en lui. Après plusieurs minutes de succion, allant jusqu’à la gorge profonde, il se relâcha en lui. Matthieu tenta in extremis de se retirer, mais Jonas l’immobilisa avec ses deux mains, et jouit généreusement en lui. Le foutre afflua dans la bouche de Mathilde.
« Putain !! »
Mélinda se tortilla encore sur place, et donna à Mathilde ses instructions :
« Avale bien tout, ma chérie, sois une gentille fille... »
Même si elle était une spectatrice, Mélinda en profitait pour donner ses instructions, avec toujours, comme finalité, de pleinement former Mathilde. Son jeune esclave avala donc ce sperme, puis se redressa, et demanda à Jonas de lui rendre la praille. Le jeune homme regarda en biais Mélinda, qui hocha doucement la tête, signe qu’elle acquiesçait à cette demande. Jonas sourit ensuite, et caressa le visage de Mathilde, sa main se posant sur ses cheveux, puis il l’embrassa tendrement.
« Okay, ma chérie. Voyons voir ce que tu caches sous ta robe... »
Jonas se déplaça alors, et commença à dégrafer la robe. Au bout de quelques instants, celle-ci tomba au sol, révélant les dessous affriolants de Mathilde, sa fine lingerie comprenant des jarretelles, un corset, et une courte culotte avec son sexe qui débordait. En voyant ça, Jonas, qui se tenait dans le dos de Mathilde pour lui avoir ôté sa robe, esquissa un léger sourire, et approcha sa main du sexe de Mathilde, venant la masturber doucement. Ses doigts glissèrent plus fermement ensuite sur sa queue, et il la secoua, arrachant à Mathilde de délicieux soupirs et autres couinements.
« Comme ça, hein ? Tu aimes ça, hein, ma chérie ? »
Difficile pour Mathilde de le nier, vu son érection grandissante.
« Tu veux que je te suce, hein ? Petite catin... »
Il décolla ses doigts de son sexe, et caressa encore le corps de Mathilde, la palpant, pinçant sans hésitation ses fesses, puis lui ordonna de se mettre sur le lit, afin qu’il puisse la sucer, et ce sous les yeux de leur Maîtresse mutuelle.
Une scène qui ne perdait pas en piquant pour Mélinda...
-
Mathilde sourit quand Jonas accepta de lui rendre la pareille et de s'occuper de lui. L'homme passa dans son dos et dégrafa sa robe, qui tomba le long de son corps, dévoilant la lingerie très séduisante de Mathilde, ainsi que son sexe qui débordait de sa culotte. Dans son dos, Jonas glissa sa main le long de son ventre jusqu'à atteindre son entrejambe et sortit sa queue turgescente du délicat sous-vêtement pour pouvoir la caresser.
« Comme ça, hein ? Tu aimes ça, hein, ma chérie ? »
« Aaahhh... oui... j'aime ça... ooouuuiii... »
Mathilde ne pouvait plus retenir ses gémissements. Il avait passé de longues minutes qui lui avaient semblé être des heures à devoir supporter son érection sous sa culotte, et maintenant qu'on le branlait enfin, son corps se laissait aller au plaisir.
« Tu veux que je te suce, hein ? Petite catin... »
« Oh oui... Jonas... je t'en prie... haaannn... suce moi... »
Après encore quelques caresses sur son corps, et surtout sur ses fesses, qui le firent rougir de plaisir, Mathilde se coucha sur le lit pour que Jonas puisse venir le sucer. Dans son coin, Mélinda ne ratait pas une miette du spectacle, le jeune homme pouvait sentir son regard sur lui.
Maîtresse... vous êtes vraiment... diabolique.
Comment résister à une telle femme ? Pour Matthieu en tout cas, cela paraissait impossible. La vampire avait réussi à le convaincre de se travestir et à coucher avec un autre homme, et en plus il y prenait du plaisir. Vu comme c'était parti, Matthieu était amené à disparaître pour laisser la place à Mathilde, et il ne pourrait rien faire pour l'empêcher. Et au fond, le voulait-il vraiment ? Quand Jonas commença à lui pomper la queue, il se mit à crier.
« Aaahhh ! »
Le plaisir noyait son corps, il aurait voulu que cette sensation n'arrête jamais, mais il était très excité et la technique de succion de son amant était incroyable. Contrairement à lui, il ne devait pas en être à sa première pipe.
« Ooouuuiii... Jonas... encore... encore... haaannn... »
Il n'en revenait pas du talent de son amant. Il posa ses mains sur ses cheveux, le poussant le plus loin possible pour avaler son sexe, lui donnant encore plus de plaisir. Cet homme avait les cheveux si soyeux et un tel talent pour utiliser sa bouche et sa langue que, si le lycan fermait les yeux, il était sûr de se croire au lit avec une fille. Quoi que Mélinda avait fait avec lui, elle avait réussi son coup, et la même chose attendait sûrement son petit chiot.
« Hhhmmm... Jonas... ça vient... je sens... aaahhh... OOOUUUIII ! »
Mathilde poussa un couinement presque féminin lorsqu'il jouit, éjaculant joyeusement son sperme dans la bouche de Jonas. Pouvoir enfin jouir lui avait fait le plus grand bien, et pendant qu'il reprenait son souffle, Jonas s'allongea au-dessus dessus de lui et vint l'embrasser. Un tendre baiser, au cours duquel le lycan alla palper les fesses fermes et musclées de son amant.
« Ouah... tu as vraiment de belles fesses... mon chéri. »
Mathilde commençait vraiment à s'abandonner à sa part féminine, se mettant de plus en plus dans son rôle de fille, à tel point qu'il vint de lui-même proposer la suite en présentant son joli petit derrière à Jonas.
« Dis moi Jonas... puisque je suis une fille... je dois te laisser me pénétrer... c'est bien ça ? »
Il avait déjà goûté à la sodomie grâce aux doigts de Katya, et il avait plutôt apprécié, alors avec un vrai sexe d'homme ce serait sans doute encore meilleur.
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Moqueuse, Mélinda s’amusait fortement de cette situation. Elle se dandinait sur son fauteuil, croisant régulièrement les jambes en observant le duo. Jonas allait montrer à Matthieu qu’il pouvait se montrer aussi hétérosexuel qu’homosexuel. Un véritable bisexuel, formé en ce sens, qui se mit à genoux devant la belle Mathilde, et pompa son dard. Il ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de lécher son sexe, et l’orna de plusieurs baisers. La vampire, elle, se pinça encore les lèvres, serrant doucement les cuisses sur place, et regarda Jonas le lécher, puis prendre la queue du bel homme en bouche. Matthieu était vraiment magnifique, tout comme lui, et elle ne pouvait que les regarder en se pourléchant les babines.
*C’est dingue, j’adore vraiment ça, ce voyeurisme ambiant...* songea-t-elle, une lueur amusée dans le firmament de ses yeux.
À ce moment, Mélinda ressemblait vraiment à une sorte de gamine, de jeune enfant qui s’extasierait devant un magnifique cadeau. Jonas pompait son dard, posant ses mains sur les cuisses de Matthieu, serrant sa culotte, n’hésitant pas à glisser ses doigts sous le sous-vêtement pour caresser également ses testicules. Plus le temps passait, et plus Jonas se concentrait, prenant ce membre de plus en plus profondément, soupirant longuement. Ses yeux se redressèrent lentement, et il continua à jouer avec son chibre, en soupirant longuement.
Jonas prenait vraiment son pied. Qui aurait cru qu’il puisse apprécier à ce point la sensation d’avoir une verge en lui ? Il se concentrait, s’appliquant pleinement, sa tête filant d’avant en arrière, ses lèvres s’arquant dessus. Il se concentrait, s’appliquant longuement, et continuait à le regarder. Les gémissements de Mathilde témoignaient néanmoins très naturellement du bonheur immense que ce dernier ressentait. Pour Mélinda, il devenait de plus en plus dur de ne pas intervenir, mais elle voulait graver chaque instant dans ses yeux.
« Hmmm... »
Finalement, Matthieu poussa un énième hurlement, et se mit à jouir. Avec plaisir, Jonas sentit le sperme affluer en lui. C’était, là encore, quelque chose d’assez inédit pour lui. Il aimait maintenant le goût du sperme, et le prenait donc avec plaisir, avant de finir par se relever. Souriant lentement, Jonas entendit Matthieu lui dire qu’il était temps de passer à quelque chose de plus fessier, pendant que les deux s’embrassèrent tendrement. Leurs queues se caressaient doucement, et Jonas soupirait de plaisir, embrassant longuement le jeune homme, puis Matthieu se mit à quatre pattes, lui présentant ses fesses.
Jonas esquissa un léger sourire. Cette fellation avait renforcé son érection, et il se rapprocha doucement, s’humectant les doigts avec ses lèvres, puis commença à caresser son fondement.
« Oui, mon beau... Mais je vais préparer ton petit cul avant de te défoncer. Mais... Pense bien à te positionner face à notre Maîtresse, montre-lui ton visage de petite salope pendant que je vais te baiser... »
Mais, avant de le sodomiser, il humidifiait son petit cul, puis Jonas ferait rentrer en lui son gros sexe pour le faire hurler...
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Matthieu jouait avec la fille avec plaisir en tendant son petit cul à Jonas pour se faire sodomiser. Ce dernier accepta de jouer le jeu, mais avant il voulait préparer un peu son anus. Le jeune homme se tourna vers Mélinda pour qu'elle puisse bien voir son visage pendant que son amant lui léchait la rondelle pour bien humidifier le passage.
« Haaannn... ooohhh... »
Si ce n'était que sa langue, alors Matthieu avait du mal à s'imaginer à quel point ce serait bon de se faire prendre par son sexe. Leur maîtresse était visiblement très contente de les regarder copuler comme des pédales, et la voir heureuse rendait le lycan heureux. Encore une fois, sa soumission était démontrée.
Après quelques minutes à se faire préparer, Matthieu sentit les mains puissantes de Jonas agripper ses hanches, mais avant de le sodomiser, il voulut s'amuser un peu avec lui en tâtant ses jolies petites fesses. Il lui mit donc une fessée, et le jeune homme sursauta.
« Aahh ! »
Il n'en revenait pas d'avoir gémi aussi fort, mais ne pouvait pas nier qu'il avait aimé ça. Son amant et sa maîtresse l'avaient bien compris, du coup il eut droit à une autre claque sur le cul, et il gémit encore.
« Kkyyaahh... Jonas... »
Matthieu ne savait pas s'il devait lui demander d'arrêter, de continuer, ou d'y aller plus fort. Et de toute façon, personne ne l'aurait écouté. Son amant continua donc à le fesser, faisant rougir ses petites fesses avec ses mains fermes, lui arrachant couinement sur couinement. Après quelques minutes, il arrêta et se moqua de mon goût pour les fessées.
« Hhhmmm... ne sois pas méchant... »
Après cette petite distraction, Jonas donna enfin à Matthieu ce qu'il attendait et enfonça sa queue dans son fondement, de quoi le faire crier.
« Aaahhh ! Ooouuuiii ! »
Effectivement, le plaisir était là. Comparé à la langue ou aux doigts, se faire sodomiser par une verge était infiniment meilleur. Son visage illuminé de joie était bien visible pour Mélinda, qui devait probablement jubiler intérieurement de voir son chiot servile devenir peu à peu une demoiselle.
-
Se pinçant les lèvres, Mélinda observait la scène avec fascination. Elle se disait souvent que, si les hommes aimaient regarder des femmes se faire l’amour, l’inverse devait être tout aussi vrai. Et, même si Matthieu était déguisée en femme, Mélinda savait pertinemment que c’était un homme. Il existait différentes manières de calmer la lycanthropie, et, honnêtement, Mélinda doutait que cette méthode soit recommandée par les mages vampires ayant travaillé sur cette mutation. Elle cherchait à limiter la lycanthropie de Matthieu à sa polarité masculine, et elle pouvait remercier Katya et Heles, qui avaient réussi à faire ressortir la polarité féminine du jeune homme, à voir une faille à exploiter. C’est ce que Mélinda faisait avec l’aide de Jonas, et ce petit freluquet était vraiment doué. Mais, surtout, Mélinda commençait à doucement rougir. Son corps trahissait son excitation croissante, que ce soit la manière dont elle était en train de remuer sur le fauteuil, dont ses griffes caressaient les accoudoirs, ou dont elle frémissait.
Elle avait de plus en plus envie d’intervenir, mais la vampire savait aussi les vertus du voyeurisme, et elle se faisait donc violence contre elle-même, afin de mieux observer la situation. Lentement, passionnément, Jonas préparait le jeune homme, donnant de profonds coups de langue. Qui aurait cru que ce jeune freluquet puisse se montrer aussi doué là-dedans ? Il avait fallu que Mélinda le forme, qu’elle l’entraîne, qu’elle le prépare, et elle se félicitait du résultat final, de la bisexualité totalement avouée de Jonas. Le jeune mercenaire se redressa ensuite lentement, une fois le cul de Matthieu prêt... Et s’amusa à le gifler, faisant couiner Matthieu. Jonas s’esclaffa quand le jeune homme protesta, le narguant comme à son habitude :
« Je croyais que tu aimais ça, quand j’étais méchant. Avec toi en gentille fille, il faut bien un vil gredin pour te souiller, non ? »
Puis, après cela, Jonas s’enfonça finalement en lui. Sa belle queue perfora le cul de Matthieu, qui poussa des couinements de plaisir. La douleur éclata dans le corps de Matthieu, mais s’accompagna d’une vague de plaisir encore plus importante. Le jeune homme hurlait sa joie, son plaisir, poussant de grands cris, des cris qui devenaient de plus en plus aigus, comme si son corps accompagnait cette transformation mentale. Mélinda ne pouvait qu’observer le duo avec joie, voyant encore Jonas gifler le cul de Matthieu, y allant plus fortement, et l’insultant aussi.
Tout en sodomisant Mathilde, il se lâchait en effet :
« Tiens, salope ! Prends ça dans ton petit cul de sale pute, hmmm... !! Tu aimes, hein ? Être ma CHIENNE ?! Salope !! »
Jonas y allait vigoureusement, ponctuant ses coups de reins de jurons bien sentis, continuant à exciter Mélinda, qui avait de plus en plus de mal à se retenir. Elle commençait d’ailleurs à mouiller, et sentait bien que, après les avoir vu jouer ensemble si longtemps, la vampire allait également devoir intervenir, afin de soulager cette soif grandissante qu’ils faisaient naître en elle...
-
Pour sa première fois dans le rôle de la fille, Matthieu espérait que Jonas serait gentil, mais ce dernier lui répondit que puisque Mathilde était une gentille fille, il fallait bien que celui qui la souille soit un peu agressif. Il planta donc son vit dans son cul sans ménagement, perforant sa rondelle et inondant son corps d'une puissante onde de douleur. Mais au milieu de la douleur, le jeune homme prenait aussi du plaisir. Il criait, couinait, et montrait son visage déformé de plaisir à Mélinda. Et sans s'en rendre compte, ses cris devenaient de plus en plus aigus, comme si son changement de mentalité s'accompagnait de changements physiques.
Mathilde se faisait sodomiser sans ménagement par Jonas, qui n'hésitait pas à accompagner sa pénétration de fessées et d'insultes pour bien rabaisser sa chienne. La demoiselle aurait préféré que son amant soit plus doux, mais à mesure que les secondes défilaient, elle commençait à prendre goût à ce traitement, ce que son cerveau n'arrivait pas à comprendre.
Non... pourquoi est-ce que j'aime ça ? Je ne suis pas une chienne... je suis une gentille fille...
Il n'avait même pas remarqué qu'il s'était lui-même qualifié de fille. Le dire c'est une chose, mais le penser... Sa transformation était vraiment en train de prendre. Et il avait beau essayer de résister, Jonas était en train de le faire sombrer.
« Aaahhh... Jonas... haaannn... »
Oui, Matthieu aimait ce qu'on lui faisait. Et il aimait aussi que son amant l'insulte et le malmène. Mais il refusait de l'admettre. Son cerveau continuait à bloquer l'idée qu'il puisse autant aimer jouer le rôle de la fille, mais son corps était en train d'accepter pleinement ce concept.
« Tiens, salope ! Prends ça dans ton petit cul de sale pute, hmmm... !! Tu aimes, hein ? Être ma CHIENNE ?! Salope !! »
Non, non, non...
« Ooouuuiii ! Oui... aaahhh... Jonas. J'adore... être ta chienne. Alors vas-y... haaannn... remplis mon cul... de salope... hhhmmm... »
Il l'avait fait. Il avait crié haut et fort qu'il aimait être traitée comme une pute par son amant et se faire prendre par le cul sans retenue. Et après avoir fait ça, Jonas mit plus de vigueur dans ses coups de reins, baisant sèchement Matthieu jusqu'à le faire jouir.
« Ooouuuiii ! AAAHHH ! »
Dans un cri suraigu, le jeune homme sentit sa queue expulser son jus gluant tandis que celle de son amant lui remplissait le fondement avec sa semence. C'était son premier orgasme par sodomie avec un autre homme, et il avait adoré. Quand Jonas se délogea de lui, il se retourna pour pouvoir l'embrasser, profitant de son talent pour les baisers.
« Hhhmmm... Jonas... mon chéri... tu as été un vilain garçon. »
Il posa sa main sur son sexe, la caressant doucement pour faire revenir son érection.
« Je suis peut-être une chienne... mais toi... tu es encore pire. »
Mais au final, il le relâcha pour plutôt aller voir Mélinda. Matthieu avait bien vu que sa maîtresse avait envie de se mêler à la fête, et il alla la voir pour la provoquer un peu.
« Et vous maîtresse... qu'en pensez-vous ? Je suis une chienne... mais Jonas... qu'est-ce qu'il est ? »
A genoux devant la vampire, il avait une irrépressible envie de lui lécher les jambes, mais en bon soumis, il ne faisait rien sans en recevoir l'ordre.
-
Si un homme aimait voir deux femmes s’embrasser, une femme aimait souvent voir l’inverse. En tout cas, le voyeurisme était quelque chose que Mélinda appréciait beaucoup, mais, à force de voir ces deux pervers s’enfiler régulièrement, elle commençait à avoir très chaud. Tandis que Jonas enculait Mathilde, giflant sèchement le petit trap’, se délectant des couinements de Mathilde, Mélinda, elle, se pinçait doucement les lèvres. Ses ongles se plantaient dans les accoudoirs de son fauteuil, et elle commençait à avoir chaud, réalisant qu’elle était en train de mouiller sous sa robe. Cette scène l’excitait donc furieusement, et elle s’en pinçait les lèvres régulièrement, se dandinant doucement sur place, tout en entendant Mathilde se mettre à hurler. Des cris exquis, très féminins, qui faisaient rebondir le cœur de la vampire, excitant doucement cette dernière. Les deux amants jouirent donc, Jonas se répandant dans le fondement de Mathilde, Mathilde se relâchant également.
Mathilde se mit ensuite à ramper, tout en reconnaissant être une « chienne ». Jonas, lui, respirait lourdement, des lignes de sueur glissant le long de son torse nu. Mélinda les observa doucement, lentement, toutes les deux, avant de sourire légèrement. Elle voyait le regard de Mathilde vers ses jambes. Celles-ci étaient mises à nues, non recouvertes par sa robe, et, comme si la vampire comprenait ce que Mathilde voulait, comme si elle lisait dans son esprit, elle croisa lentement les jambes, mettant ainsi ces dernières en valeur, et pencha la tête sur le côté.
« Commence par lécher mes pieds, petite chienne, puisque tel est ton rôle… »
Tandis que Mathilde s’appliquait, Mélinda observa de nouveau Jonas.
« Quant à Jonas… Oui, il est… Très méchant. Un vilain garnement, un scélérat qui aime faire des bêtises… »
Ce dernier s’était rapproché d’elle en souriant légèrement, un sourire insolent sur le coin des lèvres, comme pour la narguer. Elle soupira encore, sentant la langue de Mathilde remonter le long de sa jambe, et Jonas se pencha vers elle, embrassant Mélinda sur les lèvres.
« Oui, Maîtresse, je suis vilain… Un méchant garçon qui… Hmmm… Qui vous aime profondément, et… Haaa… Qui a une trique de tous les diables grâce à vous, Maîtresse…
- Hmmm… »
Elle soupira longuement, et Jonas rompit le baiser, conservant toujours son léger sourire sur le visage.
« Tu sais, pourtant, que je n’aime pas l’insolence…
- Mmmmh… Vraiment ?
- Haaa… Sale peste…
- Hihi…
- Tu aimes un peu trop me provoquer, Jonas… »
Le jeune homme sourit encore, et l’embrassa alors à nouveau. Mélinda soupira encore, tout en continuant à mouiller, quelques gouttes de cyprine venant d’ailleurs tomber sur la tête de Mathilde…
-
Matthieu n'eut qu'à regarder les jambes de Mélinda avec ses yeux de chienne soumise pour que sa maîtresse lui ordonne de venir lui lécher les pieds, ce qu'il s'empressa de faire avec bonheur.
« Oui maîtresse, j'y vais tout de suite. »
Et pour rajouter à son bonheur, la vampire abonda dans son sens en disant que Jonas était un vilain garnement. Le jeune homme s'attendait à ce que son amant s'excuse, mais au lieu de ça il aggrava encore son cas en venant voler un baiser à leur maîtresse. Matthieu l'observait du coin de l'œil pendant qu'il remontait sa langue le long des jambes fuselées de Mélinda. Pour que quelque chose d'aussi simple l'excite à ce point, c'était qu'il avait vraiment le cœur d'un soumis.
Mélinda n'aimait pas l'insolence de Jonas, et pourtant il continuait à la provoquer en souriant. Plutôt que d'essayer de calmer le jeu, le petit trap' tenta de profiter de la situation.
« Maîtresse... Jonas est un vilain garçon. Il faut peut-être... qu'il soit puni. »
L'homme lui répondit tout de suite avec une claque sur le cul qui le fit sursauter en couinant.
« Aahh ! »
« Mêle-toi de tes fesses petite salope. »
« Vous voyez ? Il est méchant avec moi... il vous manque de respect... il doit être puni. »
Il réalisa ensuite qu'il avait presque donné un ordre à Mélinda, ce qui était une grave faute pour laquelle il se confondit en excuses.
« Pardon maîtresse... je n'aurai pas dû hausser la voix. »
Il continua à lui lécher les jambes, mais il pensait toujours que le comportement de Jonas méritait une sanction. Et puisque Mélinda ne lui interdisait pas de parler, il lui fit part de ses idées.
« Si vous le punissez... vous pourriez lui faire mettre une culotte... que ce soit lui la fille... qu'il voit ce que ça fait... quand on est méchant avec les filles. »
La tête basse, Mathilde sentait des gouttes de cyprine lui tomber sur la tête, signe que la vampire était malgré tout excitée. En bonne chienne, elle se proposa vite pour combler l'envie de la femme.
« Maîtresse... voulez-vous que je vous nettoie ? Vous êtes toute mouillée... sous votre culotte. »
-
Mélinda soupirait doucement au contact de la langue de Matthieu. Ce dernier remontait doucement le long de ses jambes, se frottant contre elle, tout en essayant de profiter de la situation pour punir Jonas, relevant l’insolence du jeune homme... Tout en se montrant lui-même un peu trop insistant, ce dont il prit conscience, l’amenant à rétropédaler, tout en retournant la lécher. Jonas, de son côté, avait un petit sourire en coin sur les lèvres.
« Bien sûr que je suis un vilain garçon... C’est ce que Maîtresse aime chez moi.
- Ce n’est nullement une raison pour abuser de ma patience...
- Je n’oserai jamais ! » sourit-il, avant de l’embrasser encore.
La vampire gémit encore, savourant ses délicieuses lèvres, et sentit la main de l’homme caresser son sein, le pinçant à travers la robe. Ses griffes s’enfoncèrent alors doucement dans les accoudoirs de son fauteuil, tandis que Jonas mordilla sa lèvre inférieure, tirant dessus, fourrant sa langue dans sa bouche. Conséquemment, Mélinda mouillait sur place, ce que le petit Matthieu nota, en proposant de lécher l’intimité de sa Maîtresse. Celle-ci sourit encore, inhabituellement silencieuse sur le traitement qu’elle leur réservait. Elle regarda alors Matthieu, après le baiser avec Jonas terminé, et lui sourit doucement, une lueur malicieuse dans les yeux.
Sa culotte était légèrement trempée, et Mélinda hocha doucement la tête.
« Si tu veux, Mathilde... Et tu as raison, Jonas doit être puni, alors... Commence par prendre ma culotte, et mets-là sur lui. »
Difficile de dire s’il s’agissait d’une punition... Ou d’une récompense ! Mais Mélinda n’avait pas encore fini, et, tandis que les délicates mains de Mathilde s’emparaient de la culotte, Mélinda désigna du regard une table de chevet.
« Va récupérer dans le tiroir une espèce d’anneau noir. Tu le poseras à la base de la verge de Jonas avant de lui mettre ma culotte.
- Maî-Maîtresse... »
C’était avec ce genre d’instruments que Mélinda avait dressé Jonas. En apparence inoffensif, l’anneau était un cockring qui empêchait les hommes de jouir. Ils pouvaient avoir une trique d’enfer, mais sans avoir d’orgasme. Un outil très efficace pour soumettre les garçons rebelles, que Mélinda devait à sa consœur vampirique, Décatis Cryptinna. Mathilde alla donc ouvrir la table de chevet, et trouva plusieurs flacons abritant des pilules très particulières, ainsi que les anneaux noirs en cuir.
Jonas serra les doigts tandis que Mathilde posait l’anneau sur lui, devant tirer sur ce dernier pour bien le poser à la base de sa queue.
« Raaahh... Maîtresse...
- Là, là... La culotte, maintenant ! »
Mathilde hocha doucement la tête, et se pinça les lèvres en voyant Mathilde la mettre sur le corps du jeune homme.
« Bon, maintenant... Retourne me lécher, Mathilde... Goûte à la délicieuse mouille de ta Maîtresse... »
Et peut-être, à force de lécher, goûterait-il à autre chose, quelque chose de plus pointu...
-
Non seulement Jonas savait qu'il était un vilain garçon, mais en plus il s'en vantait. Mélinda finit par abonder dans le sens de Matthieu comme quoi son esclave méritait une punition, alors il lui ordonna de lui prendre sa culotte et de l'enfiler au jeune homme.
« Bien maîtresse. »
Il obéit à sa maîtresse, mais désapprouvait totalement sa décision. Enfiler la culotte de la vampire, ce n'était pas une punition, c'était un grand honneur. Hommes comme femmes devraient se battre pour avoir ce privilège. Rien que l'enlever de son corps était déjà une expérience fabuleuse. Il tenait le précieux morceau de tissu entre les mains, hésitant à le donner à ce garnement de Jonas, heureusement Mélinda lui facilita la tâche en lui demandant, avant de passer son sous-vêtement sur le corps de l'homme, d'aller chercher une espèce d'anneau noir dans une table de chevet et de le passer à la base de la verge de Jonas avant de lui mettre sa culotte.
« Tout de suite maîtresse. »
Cette décision semblait déplaire à son amant, ce qui suffit à Matthieu pour retrouver le sourire. Dans le tiroir, il trouva plusieurs fioles contenant des pilules ainsi que les fameux anneau noirs en cuir. Il en prit un, puis alla se mettre à genoux devant l'homme et lui donna un dernier bisou sur la verge avant de lui passer l'anneau. Une fois en place, il lui enfila la culotte.
« Et voilà. Maintenant... toi aussi tu es une fille. »
Une belle bosse était visible sous la fine culotte, signe évident que Jonas devait être très excité. Matthieu devina facilement l'anneau posé à la base de son sexe était là pour l'empêcher de jouir, ce qui voulait dire qu'il allait être très frustré pendant les prochaines minutes.
Bien fait.
Matthieu retourna ensuite entre les cuisses de Mélinda pour la lécher. Ses lèvres intimes étaient à nu, de la mouille en dégoulinant déjà. Une bonne odeur de sexe se dégageait de cette petite fente, de quoi bien exciter sa partie lycane. Il se dépêcha de coller sa bouche sur son entrejambe pour lécher avidement, passant sa langue sur toute la surface de sa vulve, appuyant parfois sur son bouton à plaisir qui gonflait peu à peu. Et si la vampire prenait du plaisir à se faire lécher, Matthieu en prenait tout autant en la léchant et en récoltant sa délicieuse mouille sur sa langue. Sa queue redevenait dure et formait une bosse bien visible sous sa culotte.
Oui maîtresse... savourez... plus vous êtes heureuse, plus je le suis.
Et ce qui rendait le tout encore meilleur, c'était de savoir que Jonas l'observait en train de satisfaire leur maîtresse sans pouvoir intervenir ou se soulager de la tension entre ses cuisses. Une punition bien méritée pour un vilain garçon comme lui.
Matthieu continua à faire son œuvre, alternant entre léchouilles sur la vulve et succions du clitoris jusqu'à ce que Mélinda ne finisse par jouir, et que sa cyprine ne gicle dans sa bouche. Mais en plus, elle était si contente que son sexe masculin avait jailli de son intimité. Pour Matthieu, c'était le signe qu'il avait bien fait son travail.
« Oohh. Maîtresse... vous voulez que je m'occupe... de ça aussi ? »
Il avait appris à faire une fellation avec Jonas, il allait s'améliorer avec Mélinda.
-
L’ajout de cet anneau suffisait à transformer l’apparente récompense consistant à porter la culotte de Mélinda en une véritable punition. Comme Matthieu le supposait, porter les propres vêtements de Mélinda était un immense honneur, qu’elle ne réservait qu’à quelques rares esclaves. Matthieu y aurait sûrement droit aussi, mais, avec cet anneau, la culotte ne contribuerait qu’à exciter davantage Jonas, tout en le privant de l’orgasme. La vampire s’en amusait déjà. En soi, elle aimait bien le côté « garçon rebelle » chez Jonas, mais elle devait aussi veiller à ce qu’il ne dépasse pas les bornes. Or, il lui arrivait souvent de flirter avec la limite, d’approcher du point où la patience de sa Maîtresse serait à bout. Et puis, elle se devait tout de même de respecter une certaine égalité de traitement entre ses esclaves. Elle ne pouvait pas ordonner à Mathilde une soumission sans faille et tolérer un électron libre à côté. La vampire avait surtout une étonnante capacité de réaction et d’adaptation, comme elle le faisait en ce moment.
Sous les coups de langue de Mathilde, Mélinda frissonnait sur place. Elle ferma les yeux en se pinçant les lèvres en approchant de l’orgasme, ses ongles griffus s’enfonçant dans les accoudoirs, et observa encore le jeune Jonas. Celui-ci restait dressé sur place, avec une belle érection, qui déformait la culotte de sa Maîtresse. Elle soupira encore en regardant Mathilde, mouillant de plus en plus abondamment.
« Oh... Ma-Mathilde, hmmm... »
Mélinda ferma les yeux à nouveau, et un bel orgasme la traversa. Elle se relâcha contre la bouche de Mathilde, et laissa ensuite sa verge apparaître. Son phallus se dressa fièrement, et elle sourit encore. Mathilde demanda alors l’autorisation de s’attaquer à son sexe, et elle hocha doucement la tête.
« Mais bien sûr, ma chérie... Tu es très douée de ta langue, tu sais... »
La vampire voulait encore le sentir sur elle, et, pendant ce temps, l’une de ses mains caressa les cheveux de Mathilde, accompagnant ainsi sa fellation, et l’autre caressa le sexe de Jonas. Ce dernier soupira encore, serrant fermement les poings, et la vampire remua ses doigts dessus, filant de haut en bas. Jonas se mit à soupirer encore, ayant visiblement du mal à se retenir. Tout comme Mathilde, Jonas appréciait fortement le fait de porter la culotte de sa Maîtresse, mais celle-ci continua à le torturer, le masturbant longuement. Le jeune homme se dandina donc sur place, regardant sa délicieuse Maîtresse, le corps lentement en sueur.
Son membre l’élançait douloureusement, et il observa encore sa Maîtresse.
« Maî-Maîtresse, je... Vos doigts sont si doux...
- Ce n’est pas la flatterie qui t’aidera, Jonas... »
Mélinda réfléchissait encore à un moyen de punir au mieux Jonas, mais... Pour l’heure, elle était surtout concentrée par la bouche de Mathilde remuant sur sa queue, faisant gonfler cette dernière.
« Oh, ma belle Mathilde, hmmm... Tu aimes ça, hein ? Me sucer avec appétit, frénétiquement... »
Oh oui, Mélinda se régalait fortement ! Qui sait ? Après sa mouille, Mathilde allait sans doute goûter au sperme de sa Maîtresse...
-
Après avoir complimenté pour le talent dont il faisait preuve avec sa langue, Matthieu fut autorisé à venir s'occuper du mandrin de Mélinda. Tout heureux de combler sa maîtresse, il se dépêcha de retourner loger sa tête entre ses cuisses pour lécher sa queue toute dure. Sur sa tête, il sentait les doigts de la vampire passer dans ses cheveux, ce qui le fit frémir de plaisir. Son corps commençait à assimiler que la simple présence de cette femme près de lui devait le ravir et le combler. Après plusieurs léchouilles le long de ce vit turgescent, il embrassa le gland enflé de sa maîtresse avant de rentrer cette queue peu à peu dans sa bouche.
Pendant qu'il suçait Mélinda avec gourmandise, Matthieu jubilait de savoir Jonas en train de souffrir de frustration. Leur maîtresse caressait sa verge tendue, le masturbant longuement sans qu'il ait la moindre chance de jouir, alors que tout était fait pour l'exciter. Une punition bien méritée pour un vilain garçon insolent qui aimait flirter avec les limites et avait un peu trop profité du corps de Mathilde.
C'est bien fait pour lui.
De son côté, le jeune homme avalait la queue de la vampire avec grand plaisir. Il prenait peu à peu goût à ces pratiques de femme, et même s'il n'avait pas beaucoup d'expérience en fellation, il faisait le bonheur de sa maîtresse. Cette dernière lui demanda s'il aimait avaler sa queue avec appétit, et il sortit son sexe de sa bouche pour lui répondre.
« Oui maîtresse... j'adore vous sucer. Quand je n'ai pas... votre queue dans la bouche... aaahhh... j'ai l'impression... d'être vide. »
Matthieu avait bien l'intention de pomper ce vit jusqu'à ce que le sperme de Mélinda ne gicle. Il reprit vite sa queue en bouche pour combler cette impression de vide, et se remit à aspirer son membre avec gourmandise. Plus il suçait, plus il en avait envie. Tout son corps s'agitait sous l'effet du plaisir, son érection enflait encore sous sa culotte, et son bassin s'agitait comme s'il anticipait déjà d'avoir la trique de la vampire logée dans son anus. Manque de chance pour Jonas, il avait l'angle de vue parfait pour regarder se trémousser les petites fesses de Mathilde dans sa jolie petite culotte rose, de quoi le frustrer encore plus. Le petit trap ne se rendait même pas compte qu'il participait à la punition de son amant.
A force de jouer de sa bouche et de sa langue sur le sexe de la vampire, Matthieu réussit à la faire éjaculer, et son sperme crémeux se répandit dans sa bouche et sa gorge. Comme lors de la fellation précédente, il ressentit une agréable chaleur dans tout son corps, mais surtout dans sa petite bouche de suceuse. Il pouvait encore s'améliorer, mais Mélinda était contente de sa performance actuelle.
« Haaa... merci maîtresse. »
Mais maintenant que la femme avait eu droit à sa petite gâterie, elle allait devoir gérer son petit chiot, dont la queue était devenue bien raide et qui était prête à émerger de sa fine prison de tissu à la première occasion. En bon serviteur, il savait comment demander quelque chose.
« Maîtresse... hhhmmm... votre petite chienne... a grand besoin d'amour. Vous voulez bien... vous occuper d'elle... s'il vous plaît ? »
Que ce soit en le branlant, en le suçant, ou en lui rentrant son mandrin dans le cul, peu importe. Matthieu voulait juste jouir.
-
Mélinda frémit de plaisir en sentant la langue de Mathilde s’attaquer à son sexe. Son membre tendu était assoiffé, il n’attendait plus qu’on s’occupe de lui, ce que Mathilde se mit à faire, avec un indéniable talent. À force, son jeune esclave commençait à prendre goût, confirmant, aux yeux de Mélinda, que Matthieu était revenu à la vie pour être proche d’elle… Comme si, de son ancienne existence, de sa vie en tant que Lenn Silvercoat, il n’avait conservé que sa dévotion envers sa Maîtresse. Une dévotion, une adoration qui survivait à la mort, qui imprégnait tant l’esprit qu’elle en marquait l’âme… Mélinda avait entendu parler de ce genre de choses, de ces théories métapsychiques sur la survivance de l’âme lors de la déchéance du corps. L’idée amusait beaucoup Mélinda, tout en la touchant également. Elle n’aurait jamais cru être si importante aux yeux de Lenn…
*Quoique, il m’avait tout de même remis tout son patrimoine immobilier sans hésitation…*
La vampire se devait donc d’être à la hauteur, d’être une bonne Maîtresse pour Mathilde, et c’était aussi pour ça qu’elle punissait Jonas. D’une main, elle continuait à le masturber, et, dans ce domaine, Mélinda avait l’habitude. Elle avait branlé et masturbé des milliers de queues au cours de ses plusieurs siècles d’existence. De plus, Jonas portait sur lui la culotte de sa Maîtresse, et, aussi insolent soit-il, ce geste ne pouvait que l’exciter.
« Maî-Maîtresse, je vous en prie, je… »
Mathilde commençait à sucer Mélinda, à pomper son dard, et celle-ci soupira encore, avant de regarder Jonas… Et pinça alors sa queue. L’homme poussa un hurlement de douleur, tandis que la vampire fronçait les sourcils. Elle avait en effet vu Jonas détourner le regard, peinant à soutenir ce spectacle.
« Je veux que tu regardes Mathilde me sucer, Jonas, hmmm… Que tu regardes le plaisir sur le corps de ta Maîtresse. Qu’est-ce qui pourrait être plus beau à regarder que ta Maîtresse en train de jouir, hein ?
- Maî-Maîtresse, je…
- Réponds ! »
Elle serra de nouveau sa queue, et Jonas gémit encore, tremblant sur place.
« R-Rien, Maîtresse, mais… Je… J’ai…
- Je me moque de tes excuses, Jonas ! Je veux que tu regardes Mathilde me sucer, et que tu me regardes jouir en elle ! »
Même en plein milieu d’un acte sexuel, Mélinda pouvait faire preuve d’une redoutable autorité. Face à elle, il était difficile de lutter, difficile de vouloir s’imposer. Jonas ne pouvait que subir, et rougit donc, se forçant à ouvrir les yeux, et à voir… À voir le visage de sa Maîtresse se tordre lentement de plaisir. Elle caressait d’une main les cheveux de Mathilde, et, de l’autre, retournait masturber Jonas. C’était comme ça qu’elle avait dressé l’impertinent jeune homme, mais, aujourd’hui, Jonas savait que Mélinda le punissait à cause de Mathilde, parce que Mathilde avait souhaité qu’il soit puni.
La vampire allait devoir en prendre compte, car il était assez fréquent qu’il y ait des rivalités et des jalousies entre ses esclaves. Elle se devait donc de régler le problème, mais, avec Mathilde, la chose était particulière, compte tenu de son passé et de ses pouvoirs particuliers. Pour l’heure, Mélinda savourait le plaisir que le jeune travesti lui procurait. Sa queue continuait à grossir, à enfler, et, sur sa magnifique figure à la peau pâle, ses rougeurs n’en ressortaient que davantage. Mathilde continuait à pomper son dard, et… Mélinda finit par gémir une nouvelle fois, avant de se relâcher brusquement, ses doigts pinçant fortement les cheveux de la femme. Elle se relâcha contre elle, jouissant généreusement, dans un long soupir.
« Hmmmm… Ohhh, Mathilde, haaaa… !! »
Elle continua à jouir dans sa belle bouche, sentant le plaisir exploser autour d’elle, formant de délicieux appels sanguins. Ses canines pointèrent même pendant son orgasme, et, ensuite, Mathilde demanda à ce que sa Maîtresse s’occupe d’elle. Celle-ci lui sourit alors, faisant mine de réfléchir, et relâcha sa main sur la queue de Jonas.
« Bon… Voilà ce qu’on va faire, mes beautés, car je ne veux pas que vous vous disputiez. Jonas, assieds-toi devant Mathilde. Toi, Mathilde, comme tu es très douée de tes lèvres, tu vas pomper son dard, pendant que je vais t’enculer. Ensuite… »
Un sourire malicieux éclaira ses lèvres. Elle avait déjà une idée de la suite, bien sûr, mais elle choisit de maintenir le suspens
« Hmmm… Nous verrons ensuite ! »
Pour l’heure, elle attendait qu’ils se mettent en position avant de retourner explorer le fondement de Mathilde…
-
Matthieu avait pris son pied à sucer Mélinda, et à entendre Jonas supplier pour la clémence de leur maîtresse, qui l'obligeait à bien regarder la nouvelle esclave faire son œuvre. Maintenant, il espérait bien avoir droit à une récompense et pouvoir jouir à son tour. La vampire en profita pour saisir une occasion de réconcilier ses deux esclaves, qui semblaient partis du mauvais pied ensemble.
« Bon… Voilà ce qu’on va faire, mes beautés, car je ne veux pas que vous vous disputiez. Jonas, assieds-toi devant Mathilde. Toi, Mathilde, comme tu es très douée de tes lèvres, tu vas pomper son dard, pendant que je vais t’enculer. Ensuite… Hmmm… Nous verrons ensuite ! »
« Bien maîtresse. »
Matthieu n'avait pas très envie de faire ce plaisir à Jonas, mais il restait un bon serviteur, alors il obéirait à sa maîtresse. A genoux devant le mâle, il prit son vit turgescent entre ses lèvres pour venir le sucer, et il bomba ses fesses pour inviter Mélinda à venir le prendre. Il sentit les mains de la vampire se poser sur sa croupe, masser et écarter ses deux bosses, parfois les pincer ou les griffer, et même les fesser.
« Hhhmmm... »
Les gémissements de Matthieu étaient étouffés par la verge qui lui remplissait la bouche, mais aucun doute qu'il aimait ce que sa maîtresse lui faisait. Quand il sentit sa verge juteuse taper contre son cul, un frisson le parcourut. Tout ça était délicieux pour lui, mais pour Jonas, ce devait être une torture. Voir sa superbe maîtresse sur le point de sodomiser le trap pendant que ce dernier lui faisait une belle gâterie alors que l'anneau entourant la base de sa verge l'empêchait de jouir... le lycan tremblait rien qu'à l'idée d'être à sa place. C'était pour ça qu'il restait gentil et ne défiait pas la parole de la vampire. Et aussi parce qu'elle savait comment le faire couiner.
« HHHMMM ! »
Matthieu sentit la queue de Mélinda s'enfoncer dans son fondement d'un seul coup. La femme avait choisi de l'enculer sans ménagement, de lui faire goûter à un terrible mélange de douleur et de plaisir. Le jeune homme savourait tout en continuant à avaler la bite de Jonas avec gourmandise. Il était en train de perdre complètement sa masculinité, pris en sandwich entre deux sexes masculins, la culotte sur les chevilles. Mais il aimait tellement ça. Et peu à peu, son esprit associait la féminité au plaisir. Bientôt, il risquait de ne plus vouloir faire l'amour autrement qu'en tant que fille.
A mesure que Mélinda se montrait plus agressive dans sa sodomie, Matthieu se montrait plus assoiffé dans sa façon de pomper le dard de Jonas. Le trap couinait et tremblait en sentant ses parois internes se dilater sous les vas-et-viens de ce vit turgescent et les claques sur son petit cul, et se régalait avec une belle saucisse. La seule personne malheureuse ici, c'était son amant. Le pauvre ne pouvait pas jouir à cause du cockting, seulement accumuler la frustration et supplier. A force, même Matthieu avait de la peine pour lui, mais pas question de l'avouer de crainte de finir dans le même état. Il préféra jouer son rôle, prenant du plaisir jusqu'à en jouir.
« HHHMMM !!! »
Matthieu couina de toutes ses forces quand sa queue expulsa son foutre sur le sol et les jambes de Jonas. En libérant toute la tension qu'il avait emmagasiné, le jeune homme se sentit libérée d'un sacré poids, mais comme Mélinda n'avait pas joui, il continua à se faire besogner et à sucer Jonas. Tout ça ne s'arrêta que lorsque la vampire jouit à son tour. Elle poussa un cri, serra ses griffes contre les fesses de son serviteur et jouit en lui. Sentir son cul se remplir de sperme fut un tel plaisir pour le trap qu'il en jouit encore, mais cette fois il sortit le sexe de Jonas de sa bouche.
« OOOUUUIII ! »
Il cria de plaisir et fit gicler son sperme à nouveau. Enchaîner deux orgasmes aussi vite l'avait bien calmé. Il renfila sa culotte et se tourna vers sa maîtresse, attendant avec impatience ses prochains ordres.
-
Mélinda s’amusait beaucoup de cette situation. Jonas était dans une situation délicate, et les choses n’allaient pas s’arranger, car Mathilde était très douée avec ses lèvres. Il pompa le dard de Jonas, qui se mit à soupirer, serrant nerveusement les poings. Il aurait bien voulu regarder ailleurs, mais, à chaque fois, Mélinda le reprenait, lui ordonnant de mieux regarder, d’observer Mathilde en train de le sucer, ou elle en train de lui bourrer le cul. Jadis, la sodomie était quelque chose qui avait profondément rebuté Jonas. Il n’aurait jamais cru pouvoir aimer ça, mais, face à sa Maîtresse, Jonas n’avait pu que succomber. Et il déglutit quand la solide trique de la vampire rentra en lui. Le jeune soumis se mit à gémir, ses couinements étouffés par la queue de Jonas. Sa main se serra nerveusement sur les cheveux de Mathilde, et il se mit à gémir, les joues rouges. Ce maudit anneau retenait son orgasme, et il se rappelait les longues heures de frustration, à subir les assauts sexuels de sa Maîtresse. Rebelle et violent, Jonas avait été maté ainsi, pleurant silencieusement, le corps de la vampire se frottant sur le sien. Il avait subi ça pendant des heures, avant d’assister, impuissant, à de longues séances d’orgie, un gag ball sur les lèvres, jusqu’à ce qu’il dise tout ce que sa Maîtresse voulait qu’il dise. Une telle torture l’avait durablement marqué, et, même s’il était souvent provocant, Mélinda avait su le dresser. Et là, Jonas craignait à nouveau ce schéma.
« Oh non, Maî-Maîtresse...
- Hihi... Haaaa... Tu as un si beau cul, ma Mathilde... »
La vampire en profitait volontiers, continuant à bourrer l’agréable petit cul de Mathilde. Elle commençait à s’y habituer, et, en retour, Mélinda sentait le cul de la jeune femme s’adapter à son membre. Les parois anales se dilataient facilement, et le petit trap couinait son bonheur. Un bonheur vorace, qui se témoigna à travers son sang. Matthieu eut un premier orgasme, tandis que Mélinda continuait encore à le bourrer. Jonas, quant à lui, maintenait aussi Matthieu en place en luis errant la tête. Sa queue lui faisait mal, et les minutes continuèrent à défiler.
Le membre de la vampire enflait dans le canal arrière de Matthieu, continuant à le bourrer énergiquement. Elle n’y allait pas de main morte, griffant le cul de Matthieu, pinçant sa chair, jusqu’à approcher du point culminant.
« Ohh... Mathilde, ma salope !! »
L’humiliant, Mélinda donna encore de grosses fessées sur le cul de Mathilde, jusqu’à se relâcher en elle. Un magnifique orgasme, jouissif et libérateur, tandis qu’elle se répandait dans les entrailles de son jeune esclave, s’abandonnant copieusement en lui. Elle balança des filaments de foutre en soupirant lentement, reprenant ensuite progressivement ses esprits. Matthieu venait de jouir une seconde fois, deux orgasmes anaux ! Un sacré pied pour le jeune homme !
Mélinda gloussa alors, maintenant sa queue dans le cul de l’homme, massant tendrement son cul, donnant quelques légères tapes dessus.
« Là, voilà, c’est très bien, hmmm... »
La vampire se retira finalement du cul de Matthieu, notant que la queue de Jonas était trempée, et sourit.
« Enfile ma culotte, Mathilde... Prends-là à Jonas, et mets-lui la tienne à la place. Ensuite... »
Mélinda n’était jamais inutilement cruelle, et elle aimait beaucoup jouer. Or, il suffisait de voir la lueur dans ses yeux pour constater qu’elle avait justement en tête une idée sournoise de jeu. Nul ne restait jamais vraiment longtemps à l’abri avec elle tandis qu’elle proposa son idée :
« Ensuite, Jonas va t’enculer. Si tu tiens cinq minutes sans jouir, il conservera son anneau. Sinon... Il pourra jouir en toi. »
Jonas déglutit lentement, les joues rouges, commençant à avoir très mal à la queue.
« Maî-Maîtresse, je vous en prie...
- À toi de faire tes preuves, Jonas ! Estime-toi heureux, le cul de Jonas est tout prêt, il est bien chaud, et tu sentiras même mon foutre en te perdant dedans ! »
Jonas serra les dents, puis acquiesça.
« Me-Merci, Maîtresse... »
Autant dire que le petit cul de Mathilde n’était pas encore sur le point de se reposer !
-
Matthieu venait de savourer une délicieuse sodomie de la part de Mélinda, tout en servant à cette dernière d'instrument de torture pour punir Jonas. Alors qu'il venait juste de jouir, sa maîtresse lui ordonna de prendre sa culotte sur Jonas et de l'enfiler, pour ensuite enfiler la sienne sur son amant. Mais le jeu ne s'arrêta pas là, puisqu'elle exigea ensuite que le vilain garçon vienne enculer le trap, et si ce dernier tenait moins de cinq minutes, alors Jonas pourrait enfin se soulager.
« Maîtresse... »
La punition était dure pour Jonas, mais Matthieu, lui, trépignait d'impatience. Il retira la culotte de Mélinda sur le corps de Jonas, puis il enleva la sienne pour la passer à son amant, avant de finalement prendre en main le sous-vêtement de la vampire. Rien qu'en la regardant, le jeune homme frémissait et son érection revenait peu à peu. C'était une fine culotte avec de la dentelle soigneusement ouvragée, le genre de pièce de lingerie réservée aux femmes riches et sophistiquées. En plus d'être très belle à regarder, cette culotte avait touché les parties intimes de sa maîtresse, ainsi que celles de son amant, et elle portait encore la bonne odeur de mouille de la femme. C'était un vrai trésor, et le trap avait les mains qui tremblaient en l'enfilant. Il la remonta lentement le long de ses jambes, et quand il la lâcha sur ses hanches, un terrible frisson de plaisir le parcourut. La culotte était un peu large sur lui, preuve que sa maîtresse avait des hanches généreuses, mais la présence de sa queue remplissait bien l'espace vide.
« Oh maîtresse... merci. Votre culotte... est fabuleuse. »
Jamais Matthieu n'avait porté un tel intérêt aux sous-vêtements, que ce soit dans cette vie ou la précédente, mais sa transformation en fille semblait lui ouvrir de nouveaux centres d'intérêt. Une fois habillé, il se présenta à quatre pattes devant Jonas, embrassa son sexe du bout des lèvres en souriant puis lui tourna le dos, bombant ses jolies petites fesses.
« Viens mon chéri. Mon cul est tout à toi. Et dépêche toi, je sens le sperme de maîtresse qui essaie de ressortir. »
Le jeune homme sentit vite son amant l'attraper par les hanches et lui baisser sa culotte pour pouvoir écarter ses fesses et révéler son anus encore dilaté. Des filets de sperme commençaient à s'échapper de sa rondelle. Jonas ne se fit pas prier pour lui rentrer sa verge dans le fondement, lui arrachant un cri.
« Aaahhh ! »
Après le passage de Mélinda, Matthieu avait le cul assez élargi pour ne plus avoir trop mal avec la queue de son amant logée en elle. En revanche, le plaisir était bien présent. Le trap sentait bien que l'homme exprimait sa frustration à travers cette pénétration, allant et venant avec force, claquant furieusement sa chair contre la sienne, mettant toute son énergie dans ce qui était sa chance de pouvoir enfin se libérer de ce cockring. Quant à Mathilde, elle se comportait comme une gentille fille bien salope pour l'encourager.
« Oui... hhhmmm... Jonas... mon chéri... lâche toi. Baise moi... comme une grosse pute. Montre moi... ooohhh... ta puissance... de mâle. »
Matthieu et Jonas avaient eu leurs différents, mais maintenant que le petit trap avait vu son amant souffrir de sa frustration, il l'encourageait à tout donner pour se libérer, lui offrant avec plaisir son corps à cette fin. De plus, il se sentait très excitée par le fait de se faire dominer par un amant fort et vigoureux, qui le fessait et l'insultait copieusement en lui fourrant son sexe dans l'anus.
« Allez mon beau... plus fort... ooouuuiii... comme ça ! »
Jonas faisait de son mieux, mais Matthieu ne savait pas si cela allait suffire. Son amant avait beaucoup de puissance et de volonté, mais le trap avait déjà joui deux fois quelques minutes plus tôt, et peut-être que cinq minutes n'allaient pas suffire. Heureusement, que ce soit grâce aux encouragements de Mathilde ou parce qu'il y avait beaucoup d'enjeux, Jonas réussit à faire jouir son amant.
« Allez... plus fort... oui... ça vient... OOOUUUIII ! »
Dans un délicieux cri presque féminin, Matthieu expulsa sa semence sur le sol. Ce nouvel orgasme le secoua encore plus qu'il ne l'était déjà, mais une interrogation lui traversa quand même l'esprit : combien de temps avait-il tenu ?
-
Mélinda n’avait clairement pas épargné Mathilde, et le jeune trap était encore loin d’être au bout de ses peines. Jonas était en transe, et sa queue était bien grosse, tendue au maximum, car il avait désespérément envie de jouir. Tout le monde était content, car Mathilde avait la culotte de sa Maîtresse, qu’il avait porté en la vénérant, presque comme une relique sacrée (ce qui n’avait pas manqué de satisfaire énormément la vampire), et Jonas avait enfin une occasion de sortir de cet enfer. Le priver de jouissance était une punition terrible, que les Tekhanes utilisaient pour dresser les mâles récalcitrants. C’était une souffrance que Mélinda infligeait à Jonas, et Mathilde put goûter à une conséquence de cette situation : une terrible érection. Jonas crispa ses mains sur Mathilde, serrant son cul, et s’enfonça violemment dans ce dernier.
« Ah, bo... Bordel, haaaa... !! »
Jonas en aurait presque pleuré ! Il continuait à le pénétrer, sentant un plaisir immense le traverser, mais également très frustrant. Dieu, que sa queue lui faisait mal ! Cette douleur était terrible, et le motivait. Il grognait sur place, bourrant méchamment le cul de Mathilde, conscient qu’il devait la faire jouir rapidement ! Intelligemment, il n’avait baissé que très légèrement la culotte de Maîtresse, afin qu’elle continue à frotter contre sa queue. C’était une aide non négligeable, surtout au vu de la fascination que Mathilde avait porté à ce sous-vêtement.
Pendant ce temps, Mélidna s’était sagement rassise. Jambes croisées sur le fauteuil, elle les observait en souriant, ses griffes s’égrenant sur l’accoudoir, tapant régulièrement dessus, tandis que Jonas continuait, encore et encore.
« Sa-Salope, PUTAIN... ! Vas-y, bordel, j... J-Jouis, bordel, salope... !! »
Jonas grognait encore, et gifla Mathilde, faisant hurler le trap. Mélinda, elle, se félicitait de ça. Difficile d’imaginer que ce petit trap soumis et mignon pouvait se transformer en un monstrueux Lycan surpuissant, et doté d’une verge monstrueuse. Elle se pinça les lèvres, se régalant des hurlements des deux hommes. Jonas continuait à y aller, yeux clos, ayant une furieuse envie de jouir... Puis Mathilde hurla, et le sperme éclata, jaillissant le long de son ventre. Un puissant orgasme, amenant des traînées blanchâtres qui allèrent jusqu’à éclabousser les pieds de Mélinda.
Celle-ci sourit encore, et vit Jonas se retirer, les joues rouges. Sa queue lui faisait terriblement mal, et il finit à genoux. Yeux clos, le jeune homme rebelle alla même jusqu’à verser des larmes, serrant sa queue avec sa main.
« Pi... Pitié, Maîtresse, je n’en peux plus... Pitié... ! »
Il s’écrasait sur place. Mléinda sourit encore, et se redressa alors. Elle se déshabilla totalement, et contourna Mathilde, un sourire sur les lèvres. Elle se rapprocha de Jonas, posa une main sur son épaule, et le renversa. Le jeune homme tomba au sol, et sentit la main de Mélinda se poser sur son sexe, le masturbant tendrement.
« Oui, mon chéri, tu n’en peux plus... Ton sang bat furieusement dans tes veines, petit rebelle... Tu regrettes, hein ?
- O-OUI, MAÎTRESSE, PITIÉ !!!
- Ah, les hommes... Si grandes gueules, mais, finalement, vous vous écrasez si facilement... »
Mélinda serra alors sa queue, et Jonas poussa un long couinement en se tortillant sur place... Et le doigt de Mélinda glissa alors sur sa verge. Sa griffe caressa sa queue, puis... Trancha le cockring. Jonas écarquilla alors les yeux, et Mélinda se releva, puis tourna la tête vers Mathilde.
« Ne te repose pas trop vite, Mathilde, je veux que tu me défonces le cul bien fort... »
Pendant ce temps, elle-même s’assit brusquement sur Jonas, s’empalant sur son sexe, et poussa un long gémissement de plaisir.
« Haaaaannn, Jonas, hhaaaaa... !! »
Yeux clos, l’homme se mit à jouir presque instantanément, pleurant de plaisir en ayant un fantastique orgasme, premier d’une longue série, puis Mélinda se mit à attendre que Mathilde le rejoigne pour la sodomiser...
-
Matthieu était content d'avoir pu jouir, mais il attendait encore de voir ce que Mélinda allait décider pour Jonas. Leur maîtresse se déshabilla complètement, contourna le trap et alla se mettre face à Jonas, qu'elle renversa au sol avant de prendre sa verge en main, la masturbant tendrement. Elle prenait clairement plaisir à le torturer, à lui faire comprendre qu'il avait commis une erreur et à lui faire regretter son comportement. Heureusement pour l'homme, la vampire se décida finalement à lui retirer son cockring pour qu'il puisse enfin se soulager. Ensuite, elle ordonna à Mathilde de venir lui défoncer le cul avec force et alla s'empaler sur la queue de son amant, qui jouit presque instantanément.
« J'arrive... maîtresse. »
Matthieu était encore secoué après son dernier orgasme, mais pas assez pour ne pas obéir aux ordres de Mélinda. En plus, il allait avoir la chance de visiter son fondement. Il approcha du corps de la vampire, qui bombait les fesses pour l'inviter à venir loger son sexe masculin dans son fondement. La culotte sur les chevilles, le petit trap posa ses mains sur les hanches de la femme, savourant leur douceur et leur courbure parfaite, approchant son sexe de son entrée arrière.
« Maîtresse... vous avez des hanches vraiment magnifiques. »
En bon petit soumis, le lycan obéissait sagement aux ordres, mais quelques chose aurait du lui sembler bizarre. Après tous les efforts qu'avait fait Mélinda pour transformer ce garçon en fille et lui faire aimer le sexe au féminin, pourquoi lui demander de faire quelque chose qui était typiquement lié au plaisir masculin ? Il aurait pu se poser la question, mais à la place, il rentra son vit dans le cul de la femme jusqu'à la garde.
« Aaahhh ! »
Tout son sexe avait pu rentrer dans l'anus de Mélinda, et une fois à l'intérieur, il se mit à bouger pour aller et venir dans ce passage si serré mais si agréable. Non seulement il prenait du plaisir à sodomiser la femme, mais en plus il était heureux de voir à nouveau Jonas pouvoir prendre son pied. Les deux amants pouvaient enfin cesser de se disputer et savourer le plaisir que leur donnait leur maîtresse. Cependant, les choses n'allaient peut-être pas rester aussi calmes indéfiniment.
Plus Matthieu sodomisait Mélinda, plus il sentait son sexe enfler dans son cul, et plus l'appel de la bête au fond de lui se faisait pressant. Il était tout à fait capable de maîtriser ses transformations, mais il commençait à être de plus en plus affamé, sa vitesse et sa force de pénétration augmentaient en conséquence. Et plus il poursuivait dans cette voie, plus il avait envie de déchirer sa robe et sa lingerie et de défaire ses cheveux pour réaffirmer sa masculinité.
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Mélinda invitait Mathilde à se lâcher, au risque de perturber cette dernière. La vampire était en train de jouer avec l’ambiguïté sexuelle du jeune homme, à lui faire ressortir sa polarité féminine, et de réserver sa polarité masculine à ses transformations en Lycan. Dès lors, en invitant Mathilde à venir lui défoncer le cul, Mélinda n’invitait-elle pas, finalement, Mathilde à laisser Matthieu se réveiller, à se transformer en un puissant Lycan, et à la besogner ainsi ? En tout cas, Matthieu se rapprocha rapidement, et Jonas, couché sur le sol, soupirait doucement. Dans l’idéal, Mélinda aurait voulu être prise en sandwich entre ces puissants torses. Délicieusement nue, la femme exhibait son magnifique corps à Matthieu, en étant penchée en avant. Il pouvait voir sa chute de reins somptueuse, sa chevelure interminable, ses hanches agréables, et son délicieux cul. Le jeune homme retrouva rapidement son excitation naturelle en posant ses mains sur le corps parfait de sa Maîtresse, un corps d’une douceur extrême, d’une beauté incroyable. Mélinda était très belle, ce dont elle avait conscience, et dont elle usait sans vergogne.
Le jeune Lycan l’observa donc un peu, avant d’approcher sa verge turgescente de son cul, et s’y glissa.
« Hmmmm... !! » gémit alors Mléinda.
Ah, la délectable sensation d’une sodomie ! Elle sentit son second trou se faire remplir, et ses ongles, qui s’appuyaient sur le torse de Jonas, s’enfoncèrent sur sa peau, faisant gémir ce dernier. Elle sentit le vit de Matthieu se glisser en elle, et lui s’y enfonça sans difficulté. Les parois anales de Mélinda se dilatèrent en effet assez rapidement, et elle ferma les yeux pendant plusieurs secondes, afin de savourer au mieux cette sensation de complétude, d’être joyeusement remplie et fourrée.
Mélinda frémit donc sur place. Autant dire clairement que la vampire appréciait beaucoup les sodomies. C’était son gros fantasme, après tout, ce que tous ses esclaves savaient, ou découvraient vite. Mélinda gémit encore, et sentit Matthieu insister. Le jeune homme avait bien enfoncé sa trique, posant ensuite ses mains sur le bassin de sa Maîtresse. La vampire gémit à nouveau, et sentit les mains de Jonas palper également son cul. Ses joues se mirent à rougir, et elle embrassa le jeune homme, goûtant à ses lèvres. Lui répondit avec passion. Même si Jonas avait déjà joui, il était toujours autant excité, mais Mélinda savait qu’ils pouvaient faire mieux.
Elle avait déjà fait l’amour avec des amants disproportionnés. Elle était une zoophile qui avait goûté à des chiens affamés, même à des verges de chevaux, ou encore à des Terranides massivement bâtis, comme des Minotaures. Et elle sentait le sang de Matthieu gonfler dans ses veines. Il grondait plus profondément, commençant à frémir, sa queue se durcissant, et gonflant surtout, arrachant à Mélinda des gémissements supplémentaires.
« Vas-y, Ma-Matthieu, hmmm... Fais parler l’homme qui est en toi, mon beau, DÉFONCE LE CUL DE TA MAÎTRESSE !! »
C’était le dernier signal dont Matthieu avait besoin. Katya et Heles lui reprocheraient sûrement ensuite d’avoir déchiré leur tenue, mais le Lycan se transforma. Mélinda sentit alors sa queue grossir, et écarquilla les yeux, en comprenant que ce rodéo allait prendre un tournant clairement bestial...
...Ce qui, dans le fond, ne faisait que l’exciter furieusement !
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Alors que Matthieu s'attendait à ce que Mélinda essaie de contenir son élan de virilité pour qu'il reste dans son état d'esprit de gentille fille soumise, elle lui donna l'ordre de laisser parler l'homme qui était en lui et de venir lui défoncer le cul.
« GGRRAAHH ! »
En entendant ces mots, la bête au fond de lui se déchaîna. Son corps se mit à grandir et à grossir à tel point que sa fine lingerie fut déchirée, notamment la culotte que lui avait donné sa maîtresse, ce si précieux trésor qu'il avait porté fièrement. Mais dans sa tête, plus rien n'avait d'importance hormis l'ordre qu'on lui avait donné. Comme le reste de ses muscles, sa bite avait pris du volume, à tel point qu'elle avait du mal à trouver de la place dans le cul de la vampire.
« Aaahhh... maîtresse... »
Matthieu serra plus fermement les hanches de Mélinda entre ses mains, allant jusqu'à tailler sa chair avec le bout de ses griffes, du sang dégoulinant le long de ses doigts. En bonne amatrice de douleur et de sexe bestial, la femme ne devait sûrement pas être mécontente de ce traitement, et le lycan était heureux de pouvoir loger sa queue dans un trou si étroit que le moindre mouvement de sa part lui donnait de multiples frissons de plaisir.
« Gggrrr... ooouuuiii... »
Sous l'effet du plaisir, la bête ne parlait pas beaucoup, mais compensait avec la puissance de ses allées et venues dans le fondement de son amante, lui arrachant de multiples cris de plaisir. Sachant de quoi sa maîtresse était capable, il la baisait sans retenue, quitte à lui dilater le cul et à lui faire des plaies dans la peau, par lesquelles s'écoulait son merveilleux sang vampirique. Il continua à la sauter avec force pendant de longues minutes, se faisant autant plaisir qu'il devait lui en donner, jusqu'à ce qu'il voit la femme jouir sous ses assauts bestiaux et relâcher un mélange de sperme et de mouille depuis sa chatte. Mais la voir jouir ne fut qu'un bref temps mort dans l'action du lycan, qui reprit de plus belle sa sodomie sur le corps de sa maîtresse.
« Aaahhh... Ggrraahh ! »
Matthieu continua à se faire plaisir avec Mélinda sans s'arrêter pendant de longues minutes avant de jouir à son tour. Dans un cri bestial, ses griffes déchirèrent la peau de la femme en formant de longues entailles sanglantes, et son énorme queue fit jaillir un torrent de foutre qui la remplit à tel point que son ventre s'arrondit sous le poids de tout ce liquide. Pas de doute, cela avait été une baise bien bestiale. Le lycan sortit sa bite du corps de sa maîtresse, se mit à genoux devant elle et porta ses griffes à son museau. Il les renfila, et quand il sentit la bonne odeur du sang vampirique, il les lécha goulûment pour avaler la moindre goutte du liquide rouge. Il y avait quelque chose dans ce sang qui le rendait dingue, comme les chats avec la cataire. Et pendant qu'il savourait son festin, il attendait les prochains ordres de sa maîtresse.
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Mélinda s’attendait à souffrir, et c’était ce qu’elle voulait ! Matthieu avait déjà pu comprendre combien sa Maîtresse était perverse, et combien celle-ci aimait le sexe sauvage et débridé. Elle avait humilié Matthieu, l’avait féminisé, le travestissant, et elle s’attendait donc à ce que, logiquement, la part masculine de sa personnalité s’exprime avec fureur et fracas. Jonas, qui était bien loin de s’attendre à ça, continuait à baiser sa Maîtresse avec énergie quand Matthieu se transforma. Mélinda frémit en entendant des bruits de déchirures. Les collants, la culotte, le corset, les gants... Les tissus finement brodés que Matthieu portait ne tinrent plus, et une épaisse fourrure se mit à pointer. Jonas écarquilla les yeux en atteignant un nouvel orgasme, tout en voyant Matthieu grossir sur place. Mélinda, elle, hurla alors, hurla à s’en casser la voix quand elle sentit la queue de Matthieu gonfler sur place, doublant de volume en s’étalant dans son cul.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN... !!!!!!! »
Un hurlement puissant, suraigu, qui s’imposa dans toute la pièce, tandis que Matthieu hurla à son tour. Jonas, qui venait de jouir, écarquilla donc les yeux sous la surprise, peinant à croire ce qu’il voyait. La queue du Lycan s’enfonça violemment et profondément dans le corps de Mélinda, qui en cracha même de la salive, avant de frémir en sentant les mains griffues du Lycan se serrer sur ses cuisses, faisant parler son sang.
« SAINT BORDEL DE CUL DE DIEU !! » hurla Jonas.
La tentation était grande pour lui de partir, mais... Sa queue était bien plantée dans le corps de sa Maîtresse, et, d’ailleurs, celle-ci posa sa main sur la nuque de Jonas, le griffant. Le jeune homme couina sur place, avant de sentir sa Maîtresse s’aplatir contre lui, poussée par le corps du monstrueux Lycan, qui se recula ensuite, et recommença à la prendre. La bave de sa Maîtresse éclaboussa son épaule, et il recommença, doucement à remuer, l’appel du sexe étant le plus fort. Et, somme toute, il comprit que sa Maîtresse n’était pas opposée à ce qui lui arrivait, qu’elle était sans aucun doute au courant... Et qu’elle prenait un sacré pied.
Et, effectivement, Mélinda prenait en ce moment un pied d’enfer. Matthieu était devenu une belle bête furieuse, un Lycan affamé qui lui défonçait joyeusement le cul. La vampire en avait les joues rougies, et, même si elle avait terriblement mal, c’était une lueur de joie qui traversait son visage, des cris de plaisir, tandis qu’elle se mettait à mouiller frénétiquement sur la queue de Jonas. Elle eut d’ailleurs un nouvel orgasme, les yeux dans le vague, tout en sentant encore Matthieu la bourrer.
« Ma-MA... MATTHIEU, HMMMMM... !! »
Elle entendait le Lycan grogner, hurler de plaisir, poussant des soupirs gutturaux et très graves, continuant à la ramoner. Peu à peu, il était le seul à remuer, Jonas se continuant de suivre. Bien qu’impressionné, le jeune homme était en confiance, car il savait que sa Maîtresse était là, et il avait appris à lui faire aveuglément confiance. Tout cela devait donc, d’une manière ou d’une autre, faire partie de son plan, de sa stratégie. Jonas n’avait donc rien à craindre, et il se fiait à cette idée, tout en continuant à remuer en elle. L’orgasme délicieux de sa Maîtresse l’amena même à jouir une troisième fois, tandis que Mélinda contracta un nouvel orgasme.
Matthieu se rechargea ensuite copieusement en elle, et la relâcha ensuite. Mélinda tomba au sol, un peu pantoise, et Jonas, qui avait copieusement joui en sa Maîtresse, lui servit de coussin tandis qu’elle tombait au sol. Elle se redressa ensuite, le cul fortement endolori, et se retourna vers Matthieu. Le jeune Lycan s’était respectueusement agenouillé, léchant ses griffes, pour goûter le sang de sa Maîtresse.
« C’est... C’est dingue, c’est... C’est un Lycan ?! »
La respiration lourde, et le corps légèrement en sueur, Mélinda acquiesça lentement, les cheveux en bataille.
« Oui... Un sacré Lycan, hein ? Mais ne t’inquiète pas, je le dresse... »
Jonas déglutit doucement. Mélinda se rapprocha ensuite du Lycan, et caressa son visage, glissant ses doigts près de ses oreilles pointues, grattant sa fourrure.
« Ne me dis pas que tu n’en peux déjà plus, Matthieu... Tu ne veux pas montrer à Jonas que tu es le mâle-Alpha sous cette forme ? N’as-tu pas encore envie de me saillir ? De me baiser furieusement contre le mur ? »
Mélinda n’en avait pas encore fini avec lui, loin s’en faut...
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Fini le gentil petit trap, Matthieu avait laissé libre cours à sa puissance. Après avoir bien sodomisé Mélinda, il s'était assis sur les genoux pour goûter à son sang, et très vite sa maîtresse revint vers lui pour lui demander de la saillir à nouveau.
« Bien sûr que j'ai envie. Je faisais juste une pause pour goûter votre sang. »
Il prit la femme dans ses bras et la souleva avec facilité avant d'aller rentrer sa queue dans son vagin humide, puis il alla la plaquer contre un mur. La femme lui ceintura la taille avec ses jambes et enroula ses bras autour de son cou, lui libérant les mains pour qu'il aille planter ses griffes dans le mur devant lui, lui donnant plus de puissance pour faire des allées et venues dans le corps de la femme.
« Aaahhh... maîtresse ! »
Qu'il était bon de baiser cette femme. En plus, Matthieu pouvait y aller de toutes ses forces, en prenant quand même garde de ne pas lui briser les os dans un élan de passion. Les seules douleurs qu'elle devait ressentir à ce moment-là étaient les douleurs dans son bassin dues aux mouvements de la grosse queue de lycan qui la labourait. Et nul doute qu'elle adorait avoir mal de cette façon.
« Ggrraahh... c'est si bon... ooohhh... »
Mélinda enchaînait les orgasmes mais Matthieu, lui, continuait de la pilonner sans relâche. Rien ne semblait suffire à le calmer, et il continuait d'aller et venir dans son corps tout en s'enivrant du délicieux parfum qu'il renfilait dans son cou. C'était l'odeur raffinée d'une femme, mélangée à la fragrance unique du sexe. Et il adorait renifler ça.
« Rrraaahhh... maîtresse... merveilleuse... GGGRRRAAAHHH ! »
Enfonçant ses griffes jusqu'à faire des trous dans le mur, Matthieu jouit abondamment dans le corps de Mélinda, faisant déborder son antre intime de son sperme chaud et épais. Après ça, il la prit dans ses bras et s'assit sur le sol, calant ses fesses entre ses jambes et la retenant entre ses bras, calant son visage contre la fourrure de son torse.
« Êtes-vous heureuse... maîtresse ? »
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Jonas se reculait prudemment, bien conscient qu’il ne jouait pas dans la même cour. Sa Maîtresse était face à un Lycan monstrueux ! Qui aurait cru que ce jeune trap’ pouvait se transformer comme ça ? Jonas en était encore pantois, mais il était au moins soulagé. Il avait copieusement joui dans le corps de sa Maîtresse, et Mélinda, de son côté, en avait presque oublié Jonas. Elle ne pensait plus qu’à cette bête monstrueuse devant elle, ce puissant Lycan qui allait venir la saillir, et qui allait lui offrir un rodéo d’enfer. Mélinda avait déjà couché avec des Minotaures, avec des créatures dotées de verges monstrueux, mais... Ce Lycan était d’un tout autre niveau ! Matthieu se redressa alors, et Mélinda se recula un peu, se pinçant les lèvres en voyant sa queue. Matthieu était si grand que la tête de Mélinda n’atteignait même pas sa poitrine !
Et sa queue ! Par tous les vampires ! Un monstrueux phallus se dressait devant elle, vit tendu et assoiffé, une queue qui ne semblait demander qu’à venir s’enfoncer en elle, qu’à venir la saillir et la baiser dans tous les sens, en lui ramonant le corps dans tous les sens.
« J’espère que ce sang t’a requinqué, alors... Ne commets pas l’erreur de vouloir m’épargner, Matthieu ! Baise ta Maîtresse avec toute la force dont tu es capable ! »
Devait-elle être folle pour formuler une telle demande... Mais Mélinda fonctionnait comme ça ! La vampire tremblait d’excitation, et Matthieu s’empressa de la rejoindre, la soulevant sur place. Une force colossale, terrifiante. Face à lui, Mélinda n’était qu’une vulgaire poupée de chiffon, qui se retrouva rapidement contre le mur. Elle heurta violemment ce dernier, et poussa un soupir, avant de sentir le Lycan la saillir.
Sa queue massive se heurta à ses lèvres intimes, et s’enfonça en elle d’un coup sec. Le choc fut terrible, et la douleur explosa littéralement dans le corps de Mélinda, dont les griffes vinrent se crisper sur la fourrure du loup-garou.
« Huuuu... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
Un hurlement terrible s’échappa de ses lèvres, tandis que son estomac même semblait se déformer sous les mouvements puissants de l’homme, des coups si puissants, si terribles, que son corps en était marqué. Mélinda en recracha sa salive, incapable de l’avaler, tout son corps s’enflammant sur place, tandis que, imperturbablement, Matthieu continuait à la bourrer. Quelle force, quelle puissance ! Mélinda hurla encore, et sa tête heurta le mur, Matthieu la besognant furieusement. Son corps s’écrasait joyeusement contre le sien, l’étouffant à moitié sous une forêt de poils et de muscles solides...
...Et elle adorait ça ! Oh, que c’était bon ! Délicieux, délicieux !! Elle en perdait toute logique, et eut un orgasme au bout de quelques minutes, qui ne fut que le premier d’une longue série. Son corps rebondissait violemment contre le mur, et le sang de Matthieu coulait depuis ses griffes, Mélinda serrant ce dernier.
« Ma-MATTHIEU !! MATTHIEU !! HAAAAAAAAANNN... !!! »
Ne pouvant rien faire d’autre, elle répétait inlassablement son nom, et le Lycan continuait encore à la prendre, défonçant le mur à droite et à gauche de sa Maîtresse. Les minutes étaient rythmés par les orgasmes successifs de Mélinda, jusqu’à ce que, dans un grondement, le Lycan ne jouisse. Une véritable explosion de sperme qui sonna Mélinda, son ventre gonflant exponentiellement devant tout ce sperme. Il y en avait bien trop, et des lignes blanchâtres s’écoulèrent autour du vit massif de Matthieu, qui se décala lentement.
Sonnée, Mélinda resta contre lui, jusqu’à le sentir s’asseoir. Sa queue était toujours en elle, et il la serrait tendrement. Soupirant lourdement, Mélinda redressa son visage. En sueur, les joues rouges, elle lui sourit, et embrassa alors le Lycan, sa main caressant son torse, le griffant encore de temps en temps.
« J’adcore tellement quand tu me défonces comme ça, mon gros Loup... Han, c’est si bon... »
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Sous sa forme bestiale, Matthieu pouvait baiser Mélinda avec une telle puissance qu'elle en restait sonnée après que son amant ait fini de la besogner. La gardant près de lui, le lycan savourait les baisers et les caresses de la vampire, qui le complimentait sur son talent pour lui faire l'amour.
« Je suis heureux... de vous savoir heureuse... maîtresse. »
Matthieu attendit que Mélinda retrouve ses forces avant de la soulever et d'aller la plaquer à nouveau contre un mur. Sa grosse langue sortit de sa bouche pour aller lécher le cou de la femme, savourant la douceur de sa peau et le goût salé de sa sueur. En même temps, il reniflait son parfum féminin dans son cou, une délicieuse odeur malgré la forte senteur de transpiration.
« Ggrraahh... maîtresse... sent si bon. »
Après son cou, il alla s'attaquer à ses seins, léchant chaque recoin de peau de ces deux délicieux globes, insistant surtout sur les tétons. Chaque soupir et gémissement de la vampire était une récompense pour lui, même les griffures sur son épaisse fourrure étaient plaisantes tant qu'elles venaient de cette femme.
« Maîtresse... hhhmmm... me donne chaud. »
En quelques minutes de léchouilles, Matthieu avait retrouvé son érection, et il pouvait sentir la cyprine humide de Mélinda couler à nouveau sur son vit. Il ne lui en fallut pas plus pour avoir encore envie de la pénétrer, mais pas par le vagin. Puisqu'elle lui avait dit adorer quand il la défonçait, alors il voulut aussi en faire profiter son autre trou. Il attrapa la femme et la coucha sur le sol, redressant son bassin pour lui faire bomber son magnifique cul. Il posa ses mains griffues sur ces deux bosses bien fermes, les malaxant fermement avant de guider sa verge vers son entrée secrète, qu'il pénétra avec peu de ménagement.
« AAAHHH ! »
La queue de Matthieu était très à l'étroit dans l'anus de Mélinda, mais cela ne l'empêcha pas de commencer à lui prendre son étroit mais délicieux petit cul avec force. Et quand il en aurait fini avec elle, elle allait avoir du mal à s'asseoir.
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Il y avait sûrement quelque chose de masochiste et de profondément fou à vouloir ainsi s’envoyer en l’air avec un monstre pareil. C’était en tout cas la réflexion que se faisait Jonas. Il s’était pudiquement éloigné, espérant bien que, ni Matthieu, ni sa Maîtresse, ne viendraient lui demander d’intervenir ! Le Lycan finit par se redresser, et écrasa à nouveau Mélinda contre le mur. Et, si Matthieu la griffait, Mélinda lui rendait volontiers la pareille, enfonçant ses doigts griffus dans sa fourrure, sentant, sous les poils, une musculature épaisse, en acier trempé. Affectueusement, Matthieu commença par lécher ses seins, faisant doucement frémir Mélinda, qui sentait surtout sa queue grossir en tapant contre ses cuisses.
« Ooohhh, Matthieu, hmmm… Matthieu, haaaaa… »
Elle mouillait en sentant ce gros vit tendu, cette queue monstrueuse et massive. Le changement entre Mathilde et Matthieu était clairement radical, ne faisant que renforcer l’idée de Mélinda de travestir Matthieu en femme sous forme humaine. Le contraste n’en était que plus saisissant encore, et la grosse bête grogna encore avant de déplacer encore Mélinda. Telle une poupée de chiffon, celle-ci hurla, gémissant en étant posée sur le sol. Elle atterrit sur un tapis rembourré, et Jonas vit, ahuri, le Lycan se poster derrière elle, puis enfourner sa grosse verge dans le cul de Mélinda.
Ses mains griffues s’appuyaient sur le cul de Mélinda, qui hurla furieusement à ce contact, une douleur inouïe se répandant en elle. Elle avait déjà eu la chance de sentir la bite du Lycan se planter en elle, s’enfoncer douloureusement dans son cul, mais ce n’était pas pour autant que son corps pouvait s’habituer à un tel bracquemart. Une douleur diffuse et intense déferla en elle, conséquence logique de cette sodomie massive.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »
Elle avait du mal à se maintenir sur ses bras, et, dans un nouveau coup de reins, Matthieu la coucha au sol. Le Lycan s’abattit ensuite sur elle, et Mélinda frémit en sentant l’une des mains du loup-garou empoigner ses cheveux, tirant dessus, la faisant encore hurler, avant d’attraper ses poignets, et de la besogner par l’arrière (image d’illustration de leurs positions (https://rule34.xxx/index.php?page=post&s=view&id=1227503)). Mélinda se tortillait sur place, son corps se soulevant et s’abaissant au gré des puissants mouvements du Lycan.
« Ma-MATTHIEU, HMMMMMM… MAAAATHIEU-HAAAAAAAAA… !! »
Ses hurlements se taisaient parfois, tant ce qu’elle ressentait était intense, l’écrasant sur place. Matthieu la déchirait, la broyait, lui explosait le corps avec violence, avec fureur et fracas.
Et c’était… C’était… C’était tout simplement DÉLICIEUX !
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Difficile de croire qu'un petit travesti soumis et tout timide cachait en lui une bête avec une telle puissance. Désormais, Matthieu avait assez de puissance pour faire l'amour à Mélinda sans que cette dernière ne puisse lui résister. Bien sûr, il aurait suffi d'un ordre de sa part pour que tout s'arrête, mais le lycan connaissait maintenant assez bien sa maîtresse pour savoir que, dans une situation pareille, elle préférait s'abandonner à la luxure plutôt que d'agir prudemment. Elle devait sûrement être consciente que cette bête pouvait lui broyer les os juste en la serrant un peu trop fort, mais elle savait aussi que son contrôle sur elle était absolue. Quant à la bête en question, elle se laissait guider par son instinct et ses envies, ne cherchant pas à s'interroger sur les conséquences de ses actes.
Pour affirmer encore plus sa domination sur Mélinda, Matthieu attrapa ses poignets entre ses griffes et les plaqua au sol, l'empêchant ainsi de bouger. Son corps frêle, comparé à celui de la bête, se soulevait et s'abaissait au rythme des pénétrations. Aucun doute, elle prenait son pied à se faire baiser de la sorte.
« Aaahhh... maîtresse... si bonne... GGRRAAHH ! »
Qu'il soit humain ou lycan, Matthieu adorait coucher avec Mélinda. Dans le premier cas, il était surtout dans une posture de soumis avec la femme, quand celle-ci ne se contentait pas tout bonnement de le laisser entre les mains d'une autre personne pour qu'elle lui fasse l'amour pendant qu'elle regardait avec ses yeux de perverse. Mais dans le cas présent, il avait clairement l'ascendant sur elle et pouvait la sauter comme ça lui chantait. Le sexe était intense, brutal, mais délicieux. Ils faisaient l'amour comme des bêtes.
Le lycan continua de pilonner inlassablement le fondement de la vampire, même lorsque cette dernière jouissait avec fracas, balançant allègrement des flots de mouille et de sperme sur le sol. Il ne s'arrêta que lorsqu'il jouit à son tour, faisant déborder son anus avec une véritable tempête de sperme épais et gluant.
« GGGRRRAAAHHH ! »
Après cet orgasme, Matthieu délogea son sexe du corps de Mélinda et la regarda reprendre son souffle, étalée par terre, encore pantelante après ce qui venait de lui arriver.
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C’était une chance que les murs de la villa soient insonorisées. Quand Matthieu était encore le propriétaire des lieux, il avait veillé à insonoriser les pièces, afin que ses transformations en Lycan, induisant des hurlements et des rugissements, ne se fassent pas entendre par les autres. Il ne fallait pas effrayer les autres, après tout, et, quand on voyait ce que Mélinda subissait, on pouvait le comprendre. Elle hurla en effet, et elle hurla même très fort, hurla à s’en casser la voix, à se briser les cordes vocales. Matthieu était un amant terrible, et cette sodomie était... Particulièrement violente, et extrêmement douloureuse. Ses hurlements se cassaient dans sa gorge, et Jonas, surpris, les yeux écarquillés, vit Matthieu finir par soulever Mélinda. Il agrippa les poignets de sa Maîtresse, et se redressa alors, la maintenant en l’air, tout en venant la besogner.
« HAAAAAAAA... MATTHIEU... !! »
La vampire hurlait encore, poussant des rugissements impressionnants, tandis que le Lycan continuait à lui défoncer le cul. Sa verge monstrueuse infligeait en elle de terribles douleurs, l’amenant à trembler sur place, sous un spectateur placide et très impressionné. Jonas ne s’était clairement pas attendu à ce que la situation évolue ainsi, et avait peur que le trap’, devenu une sorte de monstre poilu monstrueux, ne lui arrache la colonne vertébrale. Quant à Mélinda, malgré la douleur atroce qui se diluait dans son corps, elle prenait un pied d’enfer. Elle adorait cette douleur excessive, ce déchirement interne, cette violence jouissive, vive, qui avait pour elle de réveiller Mélinda, agissant comme un délicieux coup de fouet.
Elle gémit encore, sa salive coulant de ses lèvres, sa tête filant vers le bas, avant que Matthieu ne la redresse. Il continuait à la prendre en la tirant en arrière, lui faisant mal aux bras. Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, qui s’accompagna d’autres jouissances, tout son corps se mettant à trembler au fur et à mesure que le Lycan la prenait, la besognant furieusement... Jusqu’à jouir à son tour très largement en elle.
« Haaaaaa... »
Matthieu jouit copieusement en elle, et le ventre de Mélinda gonfla sur place, tandis qu’elle cracha encore de la salive, avant de tomber au sol. Son ventre s’était bien arrondi, donnant l’impression qu’elle était enceinte. Elle ressemblait à une poupée désarticulée, les cheveux en bataille barrant à moitié son visage, baignant dans une flaque de sperme, de mouille, et de sueur.
« Oh la vache, bordel... Haaaa... »
Épuisée, Mélinda releva doucement la tête. Ses poignets étaient endoloris, tout comme le reste de son corps, et elle soupira à nouveau, son ventre ne se dégonflant pas, et posa sa main dessus.
« J’avais oublié... À quel point tu étais intense sous cette forme, Matthieu... »
Et, même si elle était fatiguée, et même si elle avait encore mal au corps, elle disait cela avec un plaisir évident, confirmant bien, s’il pouvait encore y avoir un doute là-dessus, qu’elle était une belle masochiste !
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Matthieu regarda sa maîtresse reprendre tranquillement ses forces tandis qu'elle était allongée par terre, baignant au milieu d'une flaque de sperme, de mouille et de sueur, le ventre tellement gonflé par l'afflux de semence qu'on l'aurait cru enceinte. Quand elle eut repris suffisamment d'énergie, Mélinda releva la tête et se tourna vers Matthieu en lui disant qu'elle avait oublié à quel point il pouvait être intense sous cette forme. Et le lycan voyait bien qu'elle disait cela avec plaisir.
« Merci maîtresse. »
Alors qu'il attendait les instructions pour la suite, Matthieu jeta un coup d'œil en direction de Jonas. Le pauvre garçon n'avait été qu'un spectateur impuissant et médusé depuis le début de cette baise sauvage, et il n'avait plus osé faire quoi que ce soit depuis la transformation de Matthieu en loup-garou. Après l'avoir vu, la part humaine du lycan réagit. Il se souvenait de la façon dont l'homme l'avait baisé et des punitions qui lui avaient été infligées par la suite par leur maîtresse. Ensuite, il regarda en direction des dessous qu'il avait déchiré lors de sa transformation, et d'autres souvenirs lui revinrent. Il se souvint de la façon dont Heles et Katya l'avaient travesti et rapidement éduqué pour qu'il passe vraiment pour une fille. Il se souvint du plaisir étrange qu'il avait ressenti à ce moment, et de comment il avait peu à peu basculé dans la féminité jusqu'à vraiment devenir Mathilde. Et si sa part bestiale rejetait en bloc ces sentiments étranges, sa part humaine avait à nouveau envie de les ressentir. Donc quand Mélinda finit par se relever, il alla la voir pour lui demander une faveur.
« Maîtresse... Mathilde demande à revenir. Est-ce que vous êtes d'accord ? »
Matthieu savait que sa maîtresse aimait faire l'amour avec sa forme bestiale, mais peut-être avait-elle eu son compte après le dernier orgasme.
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Avec son ventre arrondi (http://img110.xooimage.com/files/a/1/1/pregnant_woman-556ffcd.png), Mélinda était dans un triste état... Mais ce gros ventre arrondi avec sa chevelure en état déplorable, des mèches partant tout autour de son visage, lui donnant un look ravagé, mais non moins dénué d’intérêt. En sueur, elle avait des traînées de foutre sur le corps, et caressa fugacement son ventre, s’imaginant encore pouvoir un jour porter la vie... Le plus grand rêve de Mélinda était de pouvoir un jour porter la vie, d’enfanter un enfant, mais elle savait la chose impossible. Son sang de vampirique lui offrait bien des avantages, mais il l’avait aussi rendu stérile, et ce malgré tous ses efforts pour guérir de cette infécondité. Et, depuis toujours, Mélinda caressait le rêve d’avoir un petit bébé dans son ventre, ce qui expliquait aussi pourquoi elle n’avait jamais interdit à ses propres esclaves d’avoir des enfants.
Perdue dans ses pensées, elle en ressortit quand Matthieu demanda à faire revenir Mathilde. Mélinda releva la tête vers lui, et, d’une main, écarta plusieurs mèches de ses cheveux, avant d’entreprendre de se relever. Son ventre était bien lourd, et elle dut d’ailleurs s’appuyer contre le mur pour se hisser sur ses jambes, puis acquiesça, son corps dégoulinant de sueur et de fluides sexuels :
« Fais donc, Matthieu... »
La vampire était ravie de voir qu’elle avait réussi à dompter la lycanthropie de Matthieu, et que ce dernier pouvait ainsi changer de forme sans les difficultés initiales, quand, sous sa nature de Lycan, il devenait incontrôlable. Jonas, toujours aussi surpris, ne savait toujours pas sur quel pied danser, et même le spectacle du corps nu de sa Maîtresse ne suffisait pas à lui donner une érection. Tandis que le Lycan se recroquevillait sur place, Jonas se rapprocha pesamment. Mélinda entreprit ensuite de se décoller du mur, et tituba sur place, avant de rester debout. Son ventre n’allait pas se désemplir rapidement, et, pendant ce temps, Matthieu perdait ses poils, beaucoup tombant au sol, jusqu’à ce que Mathilde n’apparaisse, agenouillée devant elle.
« Te revoilà parmi nous, ma chérie... On peut dire que tu ne m’as pas loupé... Et tu as ravagé les beaux vêtements de Katya et de Heles, elles vont être furieuses. »
Il n’en restait plus grand-chose, et aucun cordonnier au monde ne pourrait les rafistoler.
« Ne perds pas ton temps à t’apitoyer, nettoie mes jambes et mon sexe avec ta langue, ton sperme dégouline de partout sur moi... »
Et, tandis que le jeune homme s’exécutait, Mélinda caressa son visage d’une main, serrant ses cheveux, et se retourna vers Jonas.
« Il ne faut dire à personne que Matthieu est un Lycan...
- Mais, Maîtresse...
- Katya et Heles auraient peur de lui, et je ne veux pas que ça arrive. Matthieu contrôle parfaitement sa lycanthropie grâce à moi, et je compte sur toi pour dire à Katya et à Heles que nous avons déchiré mutuellement ses beaux vêtements.
- Mais...
- Mais, mais, tu ne sais dire que ça ?! Je t’ai connu avec de meilleures réparties, Jonas ! »
Le jeune homme rougit en baissant la tête. Il venait de voir sa Maîtresse se faire baiser par un monstre qui aurait pu lui rompre les os en quelques secondes. Il y avait tout de même de quoi être sous le choc ! Mélinda soupira encore, tandis que Jonas hocha doucement la tête.
« Bien, Maîtresse, mais... »
Nouveau soupir de l’intéressée.
« Bon... Mathilde, je crois que tu as fait peur à Jonas... Montre-lui comme tu es un gentil petit garçon. Va sucer sa queue, surtout que ça me perturbe, je n’ai pas l’habitude de voir Jonas avec une bite aussi ramollie... »
Le côté forte tête de Jonas faisait aussi partie de son charme, mais ce Lycan l’avait vraiment inquiété, sans compter les hurlements déchirants que sa Maîtresse avait poussé. Et Mélinda savait que, sous son air de brute, Jonas avait aussi ses propres fragilités. Il appartenait donc à leur Maîtresse de les réconcilier tous les deux...
-
Dès qu'il eut l'autorisation de Mélinda, Matthieu ferma les yeux et se concentra pour trouver sa part d'humanité au fond de lui. Dès qu'il parvint à se connecter à cette voix douce et chaleureuse, il commença à changer de forme. Sa fourrure disparut, ses muscles perdirent du volume, ses crocs redevinrent des dents... Bref, il reprit son apparence humaine. Et le retour de son corps humain signifait aussi le retour de Mathilde.
« Maîtresse... je suis contente de vous revoir. »
Après être passé sous sa forme bestiale, Matthieu se sentait comme s'il avait évacué sa masculinité en même temps que sa semence. Il avait déjà parlé de lui au féminin sans s'en rendre compte, et ça n'allait que continuer dans ce sens. Après s'être brièvement apitoyé sur ses jolis dessous déchirés, sa maîtresse lui ordonna de venir nettoyer ses jambes, ce qu'il fit avec plaisir. Le mélange de sperme et de sueur n'était pas des plus agréables à avaler, mais pour lui, lécher sa maîtresse était déjà très plaisant. Et tandis qu'il s'exécutait, il pouvait sentir la vampire lui caresser les cheveux. Cette dernière expliqua à Jonas qu'il était important que personne ne soit au courant de son ''côté sauvage'', sans ça tout le monde aurait peur de lui. Bien que réticent, Jonas obéit car il était un bon esclave. Leur maîtresse demanda ensuite à Mathilde d'aller sucer la queue de l'homme, qu'il voit à quel point ce grand méchant loup pouvait être un bon petit garçon.
« D'accord maîtresse. Mais vous vous êtes trompée, je ne suis pas un bon garçon. Je suis une bonne fille. »
Matthieu se leva pour aller vers Jonas. L'homme semblait vraiment inquiet, il ne le regardait plus de la même façon. Le trap passa ses bras autour de ses épaules et vint l'embrasser. Et tandis que leurs langues dansaient sensuellement ensemble, ses mains descendirent lentement le long de son dos jusqu'à atteindre ses fesses, qu'il palpa à pleines mains. Deux belles bosses fermes et musclées, un délice.
« Hhhmmm... Jonas... n'aie pas peur de moi. Je ne te ferai pas de mal... je suis une gentille fille. »
Le jeune homme s'agenouilla devant son chéri jusqu'à avoir le visage devant son sexe. Ce dernier avait retrouvé un peu de vigueur après ce baiser et ces caresses, mais pas encore assez.
« Je ne peux pas sucer ça, il est encore mou. Attends. »
Matthieu attrapa la queue de Jonas entre ses doigts et se mit à la branler. Il voulait juste la rendre assez dure pour qu'elle soit plus agréable à gober. En même temps qu'il le caressait, le petit trap s'amusait à écouter son amant gémir. Pour une fois, il pouvait lui imposer le respect et ne plus être juste son jouet sexuel.
Une fois bien tendu, la queue de Jonas était à nouveau très appétissante. Matthieu la lécha un peu pour lui donner un avant-goût, puis finit par ouvrir la bouche pour accueillir cette lance de chair entre ses lèvres. Dire qu'il n'avait jamais sucé de queue avant aujourd'hui, et que maintenant il y prenait autant de plaisir. C'était comme avoir une délicieuse saucisse chaude dans la bouche, qui pulsait au rythme des allées et venues. En plus, ce petit cochon de Jonas soupirait et couinait d'une façon extrêmement plaisante à écouter. Le trap s'amusait de le voir ainsi, et entrecoupait cette gâterie de quelques commentaires bien sentis.
« Alors mon beau... ma bouche t'a manqué ? »
Il ne l'avait pas laissé très longtemps, mais ça avait suffi à changer radicalement l'image qu'il se faisait de lui. Et cela avait aussi dû le frustrer un peu, puisqu'il ne tint pas plus de quelques minutes avant de jouir et de remplir la bouche de Matthieu avec son sperme.
« Hhhmmm ! »
Le trap avala docilement le jus qui lui était donné, puis nettoya le sexe de son amant avec sa langue avant de se retirer pour de bon. Ce petit moment lui avait encore une fois donné l'impression d'être vraiment devenu une fille, alors qu'il n'y avait plus rien de féminin sur lui. Ses dessous étaient déchirés, sa robe était tassée dans un coin, ses cheveux avaient repris leur forme normale. Désormais, il n'était plus qu'un garçon faisant l'amour avec un autre garçon. Et il avait satisfait ce dernier, mais avait-il satisfait sa maîtresse ?
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« C’est vrai... Excuse-moi, ma chérie. »
Mélinda sourit doucement tout en se redressant un peu. Mathilde, donc, avait consciencieusement léché ses belles jambes, et elle reprenait ses esprits. Nue, elle réussit à se relever, et sentit ses articulations la faire souffrir. Son dos lui faisait encore mal, ce qui était, somme toute, assez normal, après l’intensité de la pénétration du Lycan. Mathilde alla embrasser Jonas, donnant clairement à cette scène une allure homosexuelle, car Mathilde n’avait de « Mathilde » que le nom. C’était l’apparence d’un jeune garçon, un bel éphèbe, qui se pressa contre le corps de Jonas, et lui palpa les fesses, avant de s’agenouiller devant lui. Une telle spontanéité était très excitante à voir, et Mélinda, de son côté, était retourné s’asseoir sur un fauteuil rembourré, soulageant ainsi son corps meurtri, tout en regardant Mathilde prendre en bouche la queue de Jonas, venant doucement pomper son dard.
Elle avait masturbé l’homme pour que son sexe se retrouve de sa superbe. Debout comme un pic, Jonas soupira doucement en regardant son partenaire, troublé par ce changement de comportement.
« Ma-Mathilde, je... Hmmm... »
Sa main se crispa sur les cheveux de Mathilde, tandis qu’elle allait pomper son sexe. Une belle érection se fit bientôt ressentir, sa queue venant fièrement se redresser, et il remua instinctivement son bassin d’avant en arrière, sentant une agréable tension entre ses cuisses. Un plaisir vif et fort, qui témoignait de la situation présente. Mélinda aimait bien ça. Voir des hommes s’embrasser, se faire l’amour... C’était l’occasion de se rincer l’œil, et elle en profitait pour reprendre son souffle. Finalement, Jonas y prenait goût, retrouvant peu à peu de sa vigueur, ce qui l’amena alors à jouir dans la bouche de Mathilde.
Il soupirait alors profondément, peinant à conserver son calme, laissant la passion s’exprimer en lui, faisant rougir son corps, jusqu’à l’amener au point de chute.
« Ma-MATHILDE ! »
Le jeune homme se relâcha alors dans la bouche de Mathilde, qui dut accueillir tout ce filament de sperme. Un plaisir sincère pour Jonas, qui s’abandonna copieusement en elle, avant de reporter son attention, tout comme Mathilde, sur leur Maîtresse. Ayant retrouvé de sa superbe, Jonas avait de nouveau son petit sourire insolent sur les lèvres, et posa sa main sur les fesses de Mathilde, venant ainsi serrer le corps de sa partenaire contre lui.
Mélinda vit les deux s’approcher d’elle, et leur sourit doucement.
« Oh... Qu’allez-vous bien encore me faire ?
- Maîtresse... Je crois que Mathilde aimerait beaucoup que vous lui montriez toute votre affection...
- Oh, vraiment ? »
L’intéressée ne chercha pas à nier, et la vampire sourit encore, avant de hocher doucement la tête. Elle se redressa alors, et rejoignit le plus proche lit.
« Je vais te faire une fleur, Mathilde... Que veux-tu que je fasse avec ta queue ? Me pénétrer avec ? Que je te suce ? Qu’elle se frotte contre mes seins, ou entre mes pieds ? Je te laisse choisir, mon petit ange... »
Elle lui fit ensuite un sourire ravi, charmant. C’était une offre rare qu’elle lui faisait ! Mais restait la question essentielle, fondamentale...
...Quelle partie du corps de Mélinda choisir ?
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Matthieu avait bien joué son rôle en pompant le dard de Jonas, et ce dernier avait retrouvé son assurance envers lui. Après un autre baiser, il lui palpa amoureusement les fesses puis ils allèrent ensemble vers Mélinda. Jonas lui dit que le petit trap avait très envie de recevoir l'affection de sa maîtresse, et cette dernière décida de lui faire une fleur. Il pouvait choisir n'importe quelle partie de son corps pour y mettre sa queue.
« Vraiment ? »
C'était vraiment un beau cadeau qu'elle lui faisait là. Mais le problème maintenant était de faire un choix. Chaque partie du merveilleux corps de sa maîtresse méritait d'être explorée de fond en comble, et il n'avait droit qu'à un seul endroit. Il commença par exclure la chatte et le cul, qu'il avait largement assez visités, ce qui lui laissa à choisir entre la bouche, les seins et les pieds. Son côté soumis l'encourageait plutôt à essayer de se faire branler par les pieds de la vampire, mais savourer une bonne fellation ou une cravate de notaire fait par cette femme était aussi très appétissant. Rien que de se l'imaginer, il redevenait dur.
« Oh maîtresse... c'est si difficile de choisir. »
Il avait tellement de mal à se décider qu'il lui fallut presque une minute avant d'arriver à un choix. Malheureusement, choisir c'est renoncer, et il était déçu de ce qu'il allait perdre.
« Je vais opter pour... vos seins. Si vous êtes d'accord bien sûr. »
Du coup, pas de fellation ou de branlette avec les orteils, peut-être y aura-t-il droit un autre jour.
Matthieu couina quand Mélinda entoura sa verge avec ses deux orbes de chair ronds et moelleux, qui glissaient sur son vit veineux avec une douceur tenant presque du supplice.
« Aaahhh... maîtresse... hhhmmm... »
Pendant ce temps, dans son dos, Jonas profitait que le trap soit sans défense pour venir jouer avec lui. Pendant que sa langue allait se perdre dans son cou, ses mains caressaient son torse et sa queue tendue frottait contre ses fesses. Matthieu était désormais pris en sandwich entre deux délicieux amants qui lui apportaient du plaisir.
« Haaannn... quel délice. »
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Le choix était difficile, en effet ! Quelle partie du voluptueux corps de sa Maîtresse choisir ? Devant elle, Mathilde hésitait. Mélinda, lascivement allongée, s’amusait à se dandiner doucement sur place. Elle avait posé sa tête sur l’une de ses mains, repliée vers l’arrière, et le regarda donc. Ses beaux seins pointés vers l’avant, sa chatte trempée, sa belle bouche, son corps parfait... Mélinda était d’une beauté incroyable, surnaturelle, une beauté qui ne pouvait pas vous laisser de marbre. Face à elle, le petit esclave ne pouvait pas choisir, ce qui fit glousser la vampire. D’une main, elle s’humectait les lèvres, triturant son doigt avec sa bouche
« Si tu ne sais pas quoi choisir, ma belle, je vais choisir pour toi... »
C’était en tout cas la preuve supplémentaire que Mathilde lui appartenait pleinement. L’absence de choix, l’impossibilité de prendre une décision, c’est ce qui faisait de vous un esclave, non ? Et, à voir Mathilde, le doute n’était clairement pas permis ! En tout cas, le jeune trap’ hésita longuement, avant de regarder fixement la poitrine de la vampire. Elle hocha doucement la tête, une lueur brillant malicieusement dans les yeux. Mathilde grimpa donc sur le lit, et se mit à califourchon sur le corps de sa Maîtresse, avant de pencher sa queue vers l’espace entre ses seins. La vampire se redressa alors légèrement, et posa ses mains sur ses seins, s’en servant pour attraper cette matraque de chair, la coinçant entre ses obus, et commença à presser la verge de Mathilde.
Mélinda sourit en voyant le visage de Mathilde se couvrir de plaisir, et continua à appuyer sur la queue de l’homme. Jonas intervint alors, se lovant dans le dos de Mathilde.
« Je te préfère sous cette forme-là, Mathilde... »
Jonas avait bien compris ce que sa Maîtresse cherchait à faire avec Mathilde, le rendre encore plus terrifiant sous sa forme de Lycan, et plus docile sous sa forme humaine. C’était indéniablement jouer avec le feu quand on connaissait l’agressivité naturelle des Lycans, mais il faisait confiance en sa Maîtresse. En tout cas, Jonas frottait son membre tendu contre les fesses de Mathilde, tout en caressant son corps avec ses mains, mordillant son cou, glissant sur sa peau.
Mélinda acquiesça doucement, continuant sa cravate de notaire, et Jonas finit par poser sa main sur son chibre, puis orienta sa queue, et l’enfonça alors dans les fesses de Mathilde, s’appuyant avec son autre main sur son corps pour se soutenir, et le pénétra ainsi doucement.
« Hmmmm... Ouiii, là, ton cul est... Si étroit, haaaa...
- Hihi, c’est mieux comme ça, non ? Plus c’est étroit, et plus c’est intense ! »
Elle se pinça doucement les lèvres, continuant à malaxer la belle verge de Mathilde, attendant avec impatience de sentir le sperme exploser sur ses seins et sur son visage...
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Matthieu savait que Jonas ne pourrait pas se tenir éternellement, il ne fut donc pas surpris quand l'homme lui rentra sa verge entre les fesses, une main en appui sur son corps. Il lui fit remarquer que son cul était très étroit, et la vampire rappela que le plaisir était plus grand quand c'était étroit.
« Ooohhh... je... aaahhh... quel pied... »
Le petit trap, pris ainsi entre Mélinda et Jonas, sentait son corps se noyer dans le plaisir. La vampire lui faisait une délicieuse cravate de notaire, piégeant sa verge tendue et sensible entre ses deux globes de chairs tendres, et l'humain lui montrait sa force et sa fougue en lui remplissant l'anus avec sa queue. Et dire que le lycan était encore hétéro un jour plus tôt... A présent, il s'abandonnait aux joies d'être traitée comme une fille et de faire l'amour avec des garçons. Mais un tel changement n'aurait pas pu arriver si sa maîtresse n'avait pas décelé quelque chose en lui. Il ne s'était pas tout à coup découvert un goût pour le travestissement et l'homosexualité. C'était sûrement quelque chose qui dormait sans qu'il en soit conscient, et qui avait fini par émerger grâce aux petits jeux pervers de la vampire. Et maintenant, il embrassait cette facette de lui avec bonheur, sans regret ni envie de revenir en arrière.
En seulement quelques minutes, Matthieu atteignit l'orgasme et sa semence jaillit de sa verge, se répandant sur le corps de Mélinda. Mais s'il avait bien joui, ce n'était pas le cas de Jonas, qui avait encore envie de s'amuser avec son amant. Il l'attrapa donc pour le dégager de l'emprise de leur maîtresse et bien le tenir pour pouvoir le sodomiser. Il ne se retenait plus et y allait avec toute son énergie, remplissant le corps du petit trap pour le faire hurler.
« AAAHHH ! Jonas... hhhmmm... baise moi ! Je suis ta salope... ooohhh... alors fais moi l'amour... encore et encore ! »
Pendant un instant, Matthieu oublia complètement sa maîtresse pour se concentrer sur Jonas. Il aimait se sentir désiré, se faire baiser avec force et se rabaisser en se qualifiant de salope. Il en avait assez de refouler ce qu'il ressentait sous prétexte qu'il trouvait ça honteux. Il aimait faire l'amour comme une fille et il avait bien l'intention d'en profiter à partir de maintenant. Il se laissa donc joyeusement prendre par son amant, qui s'amusait à l'insulter, à le traiter de pute et à lui faire rougir le derrière en multipliant les fessées. Tout ça continua jusqu'à ce que le plaisir de l'homme atteigne son paroxysme, et qu'il ne vide ses bourses de leur foutre juteux dans l'anus de sa petite cochonne.
« GGGAAAHHH ! »
Après ça, Matthieu fut relâché et se laissa tomber au sol. Son cul débordiat de semence, ses joues étaient aussi rouges que ses fesses, il était essoufflé mais heureux. Dans sa tête, il s'imaginait enfiler de la lingerie sexy et aller draguer d'autres beaux garçons qui lui feraient goûter à leurs queues juteuses de mâles. Mais comme Mélinda était encore avec lui, c'était à elle de donner les ordres.
-
Mélinda frissonnait sur place devant ses deux amants. La belle vampire avait vraiment une passion immodérée pour le sexe. Comme elle aimait ça ! Et ce n’était clairement pas ici qu’elle allait se calmer. Les Nexusiens, contrairement à ce qu’elle avait initialement pensé, s’avéraient être des amants aussi endiablés et aussi énergiques que les Ashnardiens. Et Mathilde se surpassait volontiers, frottant sa belle queue contre les seins de la vampire. Et, avec Jonas qui le sodomisait, le besognant furieusement, son jeune trap’ ne put éternellement se réduire. Un orgasme le traversa, et sa queue se mit à expulser des filaments de foutre, venant éclabousser les seins de Mélinda, mais également son cou et une partie de son visage. Un délicieux orgasme, mais le reste était à l’avenant !
En effet, Jonas n’en avait pas encore fini avec Mathilde, et, plutôt que de trop s’éloigner, il bascula Mathilde en avant. Le jeune homme se retrouva ainsi à quatre pattes au-dessus de sa Maîtresse, qui était aux premières loges pour voir Jonas se déchaîner pleinement. Après la peur intense que le jeune homme avait eu en voyant le Lycan se transformer, Jonas avait une forte frustration à décharger, et était particulièrement ravi de voir Mathilde retrouver un comportement bien plus normal. Jonas le pénétrait donc lourdement, défonçant son joli petit cul, faisant hurler de plaisir le jeune homme. Aux premières loges, Mélinda l’observait avec les yeux brillants de malice, contente de voir que ses travaux sur la personnalité de Mathilde avaient fini par payer. Le résultat final était en effet saisissant de beauté ! Mathilde ne cherchait pas à se rebeller, mais admettait au contraire pleinement son homosexualité, ce qu’il exprima à travers une série de jouissifs hurlements.
*Oh oui !*
Les mains du jeune homme se crispaient nerveusement sur ses épaules, et il continuait à remuer, sa salive coulant parfois malencontreusement de ses lèvres pour tomber sur le visage de la vampire. Elle était aux premières loges pour ce superbe spectacle, entendant les claquements des mains de Jonas sur le cul de la femme. L’homme se relâcha alors copieusement dans le cul de Mathilde, après de nombreuses minutes à le torturer ainsi. Épuisé, Mathilde s’écroula alors, sa tête s’affaissant sur les seins de la vampire, encore recouvertes du sperme du jeune homme.
N’ayant jusqu’à présent rien dit, Mélinda recouvrit doucement le corps de Mathilde de ses mains. Elle caressa son visage tendrement, presque de manière maternelle, et sourit ensuite :
« Il y a une soirée mondaine prévue ce soir, Mathilde… Une excellente occasion pour toi de te faire bien voir, non ? Les dames de compagnie sont très appréciées par les clients. Mais il va falloir que Katya te rhabille. Il serait plus sage que nous retournions la voir ensemble, elle risque de t’en vouloir si tu y vas toute seule… »
-
Matthieu s'était bien amusé avec Jonas, mais maintenant Mélinda avait d'autres projets pour lui. Elle lui annonça qu'une soirée mondaine allait se tenir ce soir, et qu'elle tenait à ce qu'il l'y accompagne en tant que dame de compagnie. L'occasion pour lui de se faire bien voir et de rencontrer des clients.
« Oh... ce serait un honneur... d'être votre dame de compagnie... maîtresse. »
Mais il allait d'abord falloir lui trouver une tenue élégante pour la soirée, et donc retourner voir Katya. Cependant, la vampire décida qu'il serait plus sage qu'elle accompagne le trap, sinon la neko risquait de lui en vouloir d'avoir déchirée ses jolis vêtements.
« Vous avez raison. Je vous suis, maîtresse. »
Mais avant de s'en aller, il voulut quand même dire au revoir à Jonas proprement, avec un baiser et quelques caresses sur son corps musclé.
« A plus tard mon beau. Je suis sûr qu'on se recroisera bientôt pour jouer. »
Il conclut sa phrase en donnant une petite tape sur le cul de l'homme, puis enfila un peignoir pour couvrir sa nudité avant de suivre sa maîtresse, direction la chambre de Katya.
Une fois arrivé, il laissa Mélinda entrer la première pour qu'elle reçoive les affections de la neko, toujours heureuse de voir sa maîtresse et de pouvoir lui faire des câlins, une affection qui lui était toujours bien rendue par la vampire. Puis Matthieu approcha doucement, sans trop oser y aller à cause de la réaction qu'il appréhendait un peu. Et effectivement, quand la demoiselle le vit, elle commença à s'énerver du fait qu'il ne portait plus sa jolie robe, que sa coiffure était complètement chamboulée et qu'il n'avait plus de chapeau.
« Katya, je... »
Heureusement, Mélinda arriva à la rescousse pour remettre les choses en ordre. Elle expliqua la situation à la neko, et les circonstances dans lequel le jeune trap avait perdu ses vêtements. Une fois amadouée, Katya redevint gentille et demanda ce qui amenait sa maîtresse et sa jeune esclave.
« Je... je dois accompagner maîtresse... à une soirée. J'espérais... que tu pourrais me trouver... une jolie tenue. »
Mais ce n'était pas tout, et Matthieu attendit la bonne occasion pour éloigner un peu Katya de leur maîtresse et lui murmurer une requête un peu spéciale.
« Je voudrais aussi... faire une surprise à maîtresse. J'aurais besoin... d'un... d'un plug... pour mes fesses. Comme ça... quand maîtresse voudra... me sodomiser... je serai prête.
Tu... tu pourrais me trouver ça ? Mais surtout ne lui dis rien. C'est une surprise. »
-
La somptueuse Katya (https://orig00.deviantart.net/b7db/f/2018/067/c/a/cat_dva_by_sakimichan-dc5cb4e.jpg) était assurément l’une des nekos les plus populaires du manoir de Mélinda à Nexus. Les clients adoraient lui faire l’amour, ou juste l’avoir avec eux. Certains se contentaient juste de lui faire des câlins, ou de la promener dehors. Cette ancienne neko de rue goûtait maintenant à une vie beaucoup plus épanouie au manoir. Elle ne volait plus, et elle n’avait plus à craindre la garde, tout en mangeant à satiété, en dormant dans des lits impeccables aux draps soyeux. Nexus était sur ce point un vecteur important de souffrance sociale, bien plus qu’à Ashnard. Les bas-fonds croulaient de criminels, de mendiants, soit autant d’esclaves potentiels pour la vampire, qui développait ainsi son activité. Elle rejoignit donc Katya en compagnie de Matthieu, qui portait un peignoir, ce qui lui permit de traverser le manoir sans susciter trop de regards.
En chemin, Matthieu dut encore une fois constater à quel point Mélinda s’était appropriée les lieux. Il y avait de multiples tableaux le long des murs, quasiment tous étant de nature érotiques. Toute la tapisserie avait été refaite, ainsi que l’éclairage de bien des pièces. Il y avait de nombreux courtisans, on s’embrassait volontiers dans les salons. Autant dire qu’un jour, Mélinda risquait d’avoir des soucis avec l’Ordre Immaculé, mais, pour l’heure, elle s’en sortait bien. Le manoir resplendissait de vie. Matthieu, sous son ancienne vie, avait confié ce manoir à la vampire, et il pouvait être rassuré en voyant que l’endroit n’était pas devenu une ruine.
Mélinda apprit que Katya était retournée dans sa chambre après une promenade dans l’un des jardins en compagnie d’une cliente, une noble dame, une duchesse qui aimait les chats et les nekos. Mélinda toqua doucement à la porte, et, en la voyant, Katya bondit de joie.
« Maîtresse-Warren !! »
Katya bondit dans ses bras, heureuse, et Mélinda alla évidemment l’embrasser. Katya avait remis son corset et ses collants noirs, un superbe ensemble, avec un collier finement brodé surmonté d’un nœud papillon rose et d’une clochette qui carillonnait à chaque déplacement dessous. Elle était légèrement parfumée, et expliqua qu’elle avait eu droit à des biscuits de la part de la Duchesse, avant que la femme ne la sodomise à l’aide d’une ceinture avec un gode. Mélinda sourit doucement, mais la situation se compliqua un peu quand Matthieu expliqua qu’il n’avait plus sa belle tenue.
Les yeux de Katya s’écarquillèrent dans leurs orbites.
« Mais que s’est-il passé ?! »
Mélinda prit sur elle, expliquant qu’elle avait été tellement excitée par Mathilde qu’elle avait déchiré sa tenue avec ses griffes. Katya rougit à cette idée.
« Je te présente mes excuses, Katya, pour avoir ruiné ta tenue…
- Huuu… Ce… Ce n’est pas grave, Maîtresse !
- Je t’offrirai d’autres robes pour me faire pardonner !
- Nyyyuuu, Maîtresse… ! »
Et, sans plus attendre, Katya se jeta contre elle. Les deux femmes s’enlacèrent, se câlinant doucement, puis Mélinda les laissa ensuite. Katya allait un peu mieux, et écouta donc ce que Matthieu souhaitait. Elle hocha la tête, et sourit ensuite quand il évoqua le plug anal.
« Hihi, évidemment que j’ai ça, Petit-Matthieu ! »
Katya bondit sur le sol, et rejoignit l’un de ses placards, puis sortit une belle culotte rose. Elle était en latex, avec un plug anal intégré à l’intérieur. Elle la prit dans sa bouche, et la déposa sur le lit. Avançant à quatre pattes, Katya se déplaçait de manière fluette, sa queue caudale se déplaçant de droite à gauche.
« Hmmm… On va opter pour un style plus moderne, Petit-Matthieu ! »
Elle lui ordonna de mettre un bandeau autour de ses yeux, tout en lui mettant la culotte en latex, et veilla à ce que le [i)plug[/i] s’enfonce bien entre ses fesses, puis l’habilla ensuite. Il fallut bien un bon quart d’heure pour tout trouver et tout enfiler sur le corps de Matthieu : les collants, les gants, et un long corset faisant aussi office de robe. Une fois la tenue prête, Katya approcha Matthieu d’un miroir, et lui retira alors le bandeau…
…Ce qui lui permit d’observer son nouveau look (https://cdnb.artstation.com/p/assets/images/images/000/533/019/large/c-munin-0309.jpg?1443930672) !
-
Avec Mélinda partie, Matthieu allait pouvoir préparer sa surprise pour quand sa maîtresse voudrait venir visiter son petit cul. Katya était toute joyeuse de pouvoir l'aider, et elle sortit d'un de ses placards une petite culotte rose en latex avec un plug intégré à l'intérieur. Malheureusement, le petit trap n'eut pas le plaisir de l'enfiler lui-même car la neko décida de lui passer un bandeau sur les yeux avant de lui passer la culotte. Il sentit la protubérance en latex lui rentrer dans l'anus, écartant ses parois serrées en lui procurant un certain plaisir.
« Aaahhh ! »
Après cela, il se laissa sagement faire par Katya pendant qu'elle lui enfilait sa nouvelle tenue sur le corps. Il bougeait sur ses consignes, se levant et s'asseyant à de multiples reprises. En sentant le contact du tissu, il pouvait se faire une image approximative de sa tenue : des gants, des collants, et un corset qui descendait jusqu'à ses hanches. Mais pas de jupe ? Rien pour couvrir ses cuisses ? Il passa un bon quart d'heure à se faire habiller avant que la neko ne lui retire son bandeau des yeux. Le petit trap vit alors son reflet dans le miroir.
« Oohh... »
Ce look changeait effectivement de sa première tenue. Ici, pas de longue robe, de lingerie fine ou de chapeau. Un long corset faisait office de robe et était complété par des gants et des collants. Les vêtements étaient rouges, bleus et noirs avec des chaînes en or un peu partout.
« C'est très joli. »
En tout cas, il trouvait que ça lui allait très bien. Katya lui remit ensuite le bandeau sur les yeux et le fit asseoir pour pouvoir le coiffer et le maquiller. Encore une fois, Matthieu ne put que supposer ce que la neko faisait à son visage et à ses cheveux, mais il savait qu'il était entre de bonnes mains. Après quelques minutes, le bandeau tomba à nouveau et il se retrouva à nouveau avec une belle coiffure et un élégant maquillage qui faisaient ressortir sa féminité. Il sourit en s'admirant dans le miroir.
« Merci Katya. Grâce à toi, je me sens... magnifique à nouveau. »
Le petit trap et la neko s'embrassèrent passionnément, leurs langues jouant ensemble. Il avait beau s'être éveillé au plaisir de l'homosexualité, il n'en restait pas moins attiré par les femmes, surtout quand elles étaient aussi belles et joueuse que la neko. Une fois le baiser fini, ils restèrent un instant dans les bras l'un de l'autre pour pouvoir se faire des caresses.
« Un jour, j'aimerais bien que tu m'apprennes... à me coiffer et à me maquiller seule. »
Matthieu commençait vraiment à se considérer lui-même comme une fille, il était donc normal qu'il veuille apprendre à faire ce que toutes les filles de son âge savaient faire. Mais en attendant, sa maîtresse avait besoin de lui pour l'accompagner à sa fête.
« Encore merci Katya. Je vais rejoindre maîtresse. »
Entré en tant que Matthieu, il ressortit habillé et pomponné en tant que Mathilde. Mélinda semblait contente de voir l'allure de son petit trap et ne se priva pas de palper la marchandise.
« Aaahhh... maîtresse... hhhmmm. »
C'était toujours un plaisir de sentir les mains de la femme sur son corps.
« Dites-moi maîtresse... ooohhh... quel sera mon rôle... à cette fête ? »
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Pour Katya, qui avait grandi dans les bas-fonds, en portant des haillons, porter de beaux vêtements et de bonnes odeurs était fondamental pour elle. Au vu de ses traumatismes passés, Mélinda n’avait eu aucune difficulté à faire d’elle une excellente styliste. Elle disposait ainsi d’un grand garde-robes, ainsi que de multiples produits de beauté, qu’elle utilisait régulièrement sur les autres esclaves du harem. Elle en était devenue une neko très populaire, aussi bien appréciée de la clientèle que du reste du personnel présent dans la villa. On aimait la câliner, lui donner à manger, ou juste la promener, et les gens se fiaient sans hésitation à elle pour s’habiller proprement. Tendrement, elle s’était occupée de Matthieu, patiemment, avec amour et professionnalisme, et le jeune homme était revenu de son nouveau look. Un look qui était inspiré des Vaporéens, un peuple vivant dans une machine flottante, et qui était plutôt proche de Nexus. Katya avait déjà eu la chance de croiser quelques Vaporéens chez elle, et avait pris soin d’eux, en apprenant aussi sur leurs tenues, ce qui lui avait permis d’en avoir plusieurs chez elle. Elle avait essayé ce look avec Matthieu, et était très fière du résultat obtenu !
Matthieu était également ravie, et ne tarda pas à le faire savoir, en embrassant Katya, la couchant sur le lit. Celle-ci se mit à gémir doucement, appréciant fortement ce contact, et remonta sa main pour caresser les cheveux du jeune homme. Ils s’embrassèrent donc, et Katya gémit longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, frottant ses beaux cheveux.
« Hmmmm... »
L’autre avantage de cette tenue, c’est que le sexe de Matthieu pouvait être sorti facilement. En effet, sa jupe était très courte, et il suffisait donc d’ouvrir la fermeture Éclair de la culotte en latex pour libérer sa verge. Katya devait bien admettre qu’elle avait très envie de profiter de son sexe, mais Matthieu était pressé d’aller se présenter à leur Maîtresse. La jeune neko hocha doucement la tête, en restant allongée dans le lit, et caressa son dos doucement.
« Comme tu veux, mon chéri, mais, tôt ou tard, il faudra quand même que tu viennes payer ta facture auprès de moi pour le temps que je passe à t’habiller, nyuu... »
Elle l’embrassa une ultime fois sur la joue, puis Matthieu rejoignit ensuite sa Maîtresse. Celle-ci se trouvait dans un salon, où elle était occupée à finaliser les préparatifs en vue de la soirée. Le salon avait en effet un balcon donnant sur le jardin, où des banquets avaient été dressés. Mélinda organisait une fête avec de l’alcool, de la nourriture... Et des courtisanes à loison. En chemin, Matthieu avait d’ailleurs pu voir que bien des esclaves portaient des tenues de maids, se préparant, tandis que d’autres étaient couchés sur des canapés, des divans, ou des fauteuils, afin d’être mises à disposition des convives.
La vampire parlait avec un intendant sur le stock de fûts d ebière quand Matthieu entra. Elle le regarda alors, et sourit légèrement devant ce style.
« Et bien, je vois que ma Mathilde est revenue, ma belle... Avec un charme typiquement vaporéen ! »
C’était une bonne chose, car il y avait justement plusieurs Vaporéens prévus à la réception. Ils étaient moins stricts que les Nexusiens, l’Ordre Immaculé ayant moins d’influence à Vapeur que dans la cité-État. Une clientèle qui était donc précieuse pour Mélinda. La vampire se rapprocha de Mathilde, et palpa son corps, avant de descendre sur ses fesses. Elle sourit alors en sentant une pointe contre ses doigts, et se pinça les lèvres ensuite.
« Je vois, tu prépares ton petit cul, ma Mathilde... »
Ce fut pour Mélinda l’occasion de l’embrasser tendrement, sa bouche se plaquant sensuellement à la sienne. Le baiser s’éternisa ensuite, puis elle le rompit, et guida Mathilde vers le balcon. Celle-ci put ainsi voir, dehors, les grandes tables de banquet, ainsi que des troubadours et musiciens s’affairant dans un kiosque. Dans son dos, Mélinda caressait le corps de Mathilde, et ouvrit la fermeture Éclair située à l’arrière de sa culotte, ce qui eut pour effet de retirer son plug de ses fesses.
« Tu n’es pas encore prête pour être servante, Mathilde, et, vu que tu prépares ton petit cul, je crois que ton rôle est tout trouvé... »
Mélinda se concentra, et écarta sa robe dorée pour laisser poindre une verge, qui jaillit de ses cuisses, et tapa le postérieur de Mathilde. Elle força ensuite le passage, et la pénétra doucement, la sodomisant en s’écrasant lentement contre elle.
« Tu seras l’une de mes courtisanes, beaucoup de clients aiment les hommes comme toi, si efféminés qu’ils se font passer pour des filles, hmmm... »
Elle lui laissait observer les préparatifs, tout en la sodomisant tendrement...
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Matthieu était parti en laissant visiblement Katya sur sa faim, mais la neko lui avait bien fait comprendre qu'elle le reverrait bientôt, et qu'il devrait la remercier pour le temps qu'elle avait passé à l'habiller. Mais pour l'instant, le petit trap devait surtout se consacrer à sa maîtresse. Mélinda complimenta sa tenue et commença à palper son corps, le faisant soupirer d'aise. Dès qu'elle sentit le plug niché entre ses fesses, elle le récompensa avec un baiser tendre et sensuel, qui dura pendant de longues minutes. Matthieu savoura la moindre seconde de ce délicieux contact entre ses lèvres et celles de la vampire, à la fois doux et puissant, et quand le baiser se rompit, il le laissa essoufflé et les joues rouges avec un début d'érection au fond de sa culotte en latex. Il suivit gentiment sa maîtresse jusqu'à un balcon, depuis lequel il put observer les préparatifs de la fête qu'allait donner la vampire. De grandes tables de banquet garnies de nourriture et d'alcool, des musiciens, des femmes en tenues de maid et des courtisanes allongées sur les divans, fauteuils et canapés de la salle.
« Je sens que ce sera une superbe fête maîtresse. »
Mais il savait aussi que Mélinda prenait un risque. Le harem se trouvait en plein milieu de Nexus, et une fête risquait d'attirer l'attention des autorités locales. Nul doute que la reine ferait une jaunisse si elle découvrait qu'une esclavagiste ashnardienne organisait une réception juste sous son nez. Mais Mélinda devait sûrement avoir prévu tout ça, elle était loin d'être bête.
« Dites moi maîtresse... que devrais-je faire pendant cette soirée ? »
A ce moment, Matthieu sentit les mains de la vampire se poser sur ses fesses et ouvrir la fermeture éclair à l'arrière de sa culotte, sortant le plug logé dans son entrée arrière. Puis il sentit quelque chose de dur taper contre son postérieur et comprit où les choses allaient.
« Ooohhh... »
Mélinda lui expliqua qu'il n'était pas encore prêt à être une bonne servante, et puisque son cul était déjà préparé, il lui servirait de courtisane pour cette soirée. En même temps, elle commença à le sodomiser en s'écrasant lentement contre lui.
« Aaahhh... ce sera... un plaisir. »
Depuis sa position, Matthieu pouvait voir la fête se préparer, et il s'imaginait déjà aller faire du charme aux invités ou bien rester dans un divan en attendant qu'une personne intéressée ne vienne à lui. Que ce soit un homme désireux de lui faire goûter sa queue ou une femme voulant découvrir le talent d'un petit trap, il avait hâte de s'y mettre. Même s'il aurait été curieux de voir comment un uniforme de soubrette lui allait, il était quand même content de sa place.
« Maîtresse... haaannn... votre bite... est si bonne... dans mon cul ! »
Il essaya de ne pas crier trop fort pour ne pas perturber les employés qui travaillaient, mais ses couinements attirèrent quand même les regards de plusieurs servantes et courtisanes, qui se léchaient les babines en observant la façon dont leur maîtresse ramonait le fessier du petit trap. Savaient-elles que Matthieu était un garçon ou étaient-elles trompées par le travail de Katya ?
« Aaahhh... ooouuuiii... »
Le jeune homme sentait le sexe puissant de la vampire taper au fond de son anus, lui procurant un plaisir délicieux. Jamais il n'aurait cru que faire l'amour de cette façon lui plairait autant, mais il ne pouvait pas nier ce que son corps ressentait. La sodomie le poussa jusqu'à l'orgasme, et il souilla sa petite culotte avec son sperme, mais la femme n'en avait pas encore fini avec lui. Elle continua à lui fourrer le cul jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour, remplissant son anus de son foutre chaud.
« AAAHHH ! »
Ce dernier cri était si fort qu'il savait que tous les regards allaient se tourner vers lui pour le regarder prendre son pied. Quand sa maîtresse se délogea de lui, il tomba à genoux et se mit à reprendre son souffle.
« Aaahhh... aaahhh... maîtresse... j'ai hâte... d'être à la fête. »
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Il était évident qu’elle prenait des risques. Mélinda le savait, et, à la vérité, elle prenait des risques depuis le début de son entreprise. Elle se reposait beaucoup sur le fait que le nom de « Mélinda Warren » n’évoquait pas grand-chose en-dehors du microcosme de la capitale impériale, mais, indéniablement, on ne pouvait écarter totalement l’hypothèse selon laquelle son nom serait connu, ici, à Nexus. Officiellement, la villa n’était pas gérée par elle, mais par l’une de ses esclaves, une femme au nom insoupçonnable. Mélinda avait longuement hésité, quand Lenn lui avait fait son legs, à exploiter à ce point la villa nexusienne. En réalité, que Mélinda soit là précisément au moment où Matthieu revenait tenait quelque peu du miracle, car elle ne venait pas tout le temps à la villa de Nexus, et, pour éviter que les mages nexusiens ne repèrent une connexion entre Nexus et Ashnard, elle avait installé dans la villa un Portail de téléportation menant à la Terre. Une petite astuce qui était plus discrète. Pouvait-on toutefois toujours parler de « hasard » à ce stade ? Sans être fataliste ou déterministe, Mélinda ne pouvait qu’admettre que les coïncidences étaient un peu trop élevées, comme si, quelque part, là-haut, une quelconque divinité avait souhaité la mettre en relation avec Matthieu. Un souhait que Mélinda avait accompli avec son zèle habituel.
Dans le dos de Matthieu, elle le sodomisait tendrement, tout en le laissant observer les jardins de son ancienne propriété. Quand Mélinda avait récupéré le titre, la villa commençait à dépérir, et les jardins étaient dans un triste état, avec une prolifération de mauvaises herbes. Elle avait tout refait, et l’ensemble était maintenant très élégant, surtout pour ce soir, avec des banderoles, des lanternes, et des banquets. Bien entendu, Matthieu n’était pas encore très discret, et, tandis que Mélinda enfonçait sa verge en lui, continuant à perturber les attributions naturelles du sexe, certains esclaves tournaient la tête, gloussant ensuite entre eux. Que ce soit la propriété d’Ashnard ou celle de Nexus, les informations circulaient ici vite, et tout le monde savait que leur Maîtresse avait un nouvel esclave. Les traps étaient étrangement souvent assez appréciés, et Mélinda sourit en entendant Matthieu gémir brusquement.
« Qu-Quel pervers, hmmm... Tu couines comme une petite fille, haaa... Hmmm... »
Il n’y avait aucune raison particulière à cette sodomie, juste... La perversion naturelle de Mélinda. La vampire était vicieuse jusqu’au bout de ses ongles manucurés, une amante redoutable et déterminée, qui ne laissait rien passer, et dont on ne se lassait pas. Ah, comme c’était agréable ! Elle pénétrait le jeune Matthieu avec une passion lente et dévorante, se délectant de son fondement, encouragée par ses couinements et par ses soupirs. Les deux amants se laissaient ainsi progressivement aller, faisant l’amour l’un contre l’autre, la queue de Matthieu frottant contre la balustrade. Il haletait de plus en plus fort, tandis que Mélinda, de son côté, s’enfonçait de plus en plus profondément en lui. Vu leur position, la sodomie était lente, mais non moins prononcée, les mains de la vampire se crispant sur ses hanches. Elle se pinça les lèvres, sentant le sang de Matthieu battre furieusement dans ses veines.
Mélinda alla titiller le creux de son cou, comme pour le mordre et pour ponctionner son sang, mais resta contre lui, léchant sa peau en gloussant. Elle soupira alors, et, au bout de plusieurs minutes... Elle mordilla quand même la peau de Matthieu, tout en jouissant, sa queue venant se relâcher dans son fondement, lui-même allant jouir dans sa culotte, le sperme remontant ensuite sur son ventre, sous son corset.
« Hmmm... »
C’était décidément une chose dont Mélinda ne se lassait pas. Elle alla ensuite tendrement sourire à Matthieu, libérant son fondement, puis l’embrassa ensuite délicatement sur les lèvres.
« Ce soir, ma belle, tu vas briller comme jamais... »
Avant de le laisser partir, elle remit toutefois son plug anal, et caressa sa culotte avec sa main, un sourire moqueur sur les lèvres.
« Tu as sali ta culotte... À vrai dire, j’ignore s’il faut que tu la changes, ou que tu la conserves ainsi. Je te laisse choisir... » conclut-elle finalement, en retirant ensuite la main.
Qui sait ce qu’il préférerait ?
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Matthieu ne s'attendait pas à se faire sodomiser si vite par Mélinda, mais la vampire n'avait pas su attendre la fête avant de goûter à sa nouvelle courtisane. Après avoir joui en elle, elle remit son plug en place et lui fit remarquer qu'il avait sali sa culotte avec son sperme.
« Oh... en effet. »
Elle lui proposa d'aller la changer et ajouta qu'il pouvait aussi garder celle-ci. Mais il y vit une bonne occasion de retourner voir la neko qui l'avait habillée.
« Je vais aller me changer. Je dois être parfaite pour cette soirée... pour vous faire honneur, maîtresse. »
Et surtout, il avait très envie de revoir Katya. Cette neko lui avait fait forte impression, et il devait encore la remercier pour le temps qu'il lui avait accordé. Il salua donc respectueusement sa maîtresse et se dépêcha de retourner dans la pièce d'habillage de la neko. Cette dernière l'accueillit avec plaisir dans son sanctuaire même si elle était un peu surprise de le revoir aussi vite.
« Eh bien, maîtresse m'a laissé quartier-libre jusqu'au début de la fête, alors je me suis dit que j'allais revenir te voir. Je dois toujours payer ma facture auprès de toi pour le temps que tu as passé à m'habiller. »
La terranide se réjouit d'apprendre qu'elle allait pouvoir s'amuser avec le petit trap pendant un moment, mais la suite risquait de ne pas lui plaire.
« Et aussi... ça me gêne un peu mais... j'aurais besoin... d'une nouvelle culotte... parce que j'ai... sali la mienne. »
Un peu honteux, Matthieu souleva le bas de son corset pour lui montrer l'étendu des dégâts.
« Maîtresse m'a sodomisé et... elle m'a fait jouir... dans ma culotte. »
La neko était fâchée de voir que la demoiselle n'avait pas pris soin de ses affaires, mais elle comprenait que ce n'était pas complètement sa faute. Elle était d'accord pour lui trouver une nouvelle culotte, mais le petit trap savait que les choses n'allaient pas se passer aussi facilement. Joueuse comme elle était, Katya allait sûrement trouver un moyen de s'amuser avec lui avant de le rendre à Mélinda.
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Katya (https://images-wixmp-ed30a86b8c4ca887773594c2.wixmp.com/intermediary/f/9ad8fbc8-aee8-4e92-a04b-6abf7a036a51/dc5cb4e-8a31f30b-0dd2-4c61-9046-a6d6d8f7bde2.jpg) aimait beaucoup les soirées. Outre les beaux vêtements et les bonnes odeurs, elle recevait aussi quantité de cadeaux et de câlins de la part des convives. Elle aimait se frotter contre eux, miauler contre leurs jambes, pour finir ensuite dans leurs bras. Elle ronronnait tandis qu’ils la câlinaient, et lui glissaient de la nourriture dans la bouche. Katya était en effet une neko assez gourmande, qui aimait autant les câlins que la bonne nourriture. Elle se préparait donc dans la chambre d’essayage, et venait de terminer de mettre un léger gloss sur ses lèvres quand Mathilde revint.
Les oreilles de Katya remuèrent doucement, puis elle le salua, avant de comprendre qu’il avait sali sa culotte.
« Encore ?! »
Certes, il n’avait pas déchiré sa culotte, mais il allait falloir la nettoyer! Néanmoins, Matthieu lui expliqua que cela venait de sa Maîtresse, qui l’avait sodomisé. Katya sourit doucement.
« Tu manques encore d’endurance avec notre Maîtresse, Mathilde, mais c’est normal... Maîtresse fait tout le temps jouir Katya aussi, et elle aime me faire jouir dans mes vêtements... »
Katya pouvait donc comprendre la situation de Matthieu, et retira sa culotte. Celle-ci finirait désormais au lavage, dans la lessive, et elle la jeta dans le panier à linges, puis se retourna ensuite vers Matthieu. Posant un doigt sur ses lèvres, Katya pencha la tête sur le côté, et se rapprocha encore.
« Mais, avant que tu ne portes une nouvelle culotte... »
Sa queue caudale glissa de son corps pour filer contre le corps de Matthieu, et caressa sa queue, tandis que ses deux mains se posèrent sur son torse, caressant doucement sa peau. Elle l’embrassa ensuite, et enroula encore sa queue caudale sur son membre, pressant son sexe. Elle sourit en sentant la verge de Matthieu se gonfler rapidement, enflant entre ses cuisses, et prolongea le baiser, se collant à lui.
« ...Il faut encore que je m’assure que tu ne saliras pas trop vite la nouvelle ! »
Et elle l’embrassa encore, serrant sa queue sur son membre.
« Nyyyuuu... »
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Matthieu eut de la chance que Katya ne l'incendie pas quand il lui demanda une nouvelle culotte. La neko se contenta de pester un peu avant de sourire et d'envoyer le sous-vêtement sali au lavage. Cependant, elle ne se contenta pas d'aller prendre une nouvelle culotte pour lui, elle se rapprocha et entoura son sexe avec sa queue caudale tandis que ses deux mains allèrent se poser sur son torse.
« Aaahhh ! »
Matthieu vit ensuite Katya coller ses lèvres à les siennes. Les deux partagèrent un tendre baiser. Le petit trap sentit sa verge gonfler rapidement sous les douces caresses poilues de la queue caudale de la neko, qui sourit en lui expliquant qu'elle ne pouvait pas lui donner une nouvelle culotte sans s'assurer qu'il ne salirait pas trop vite la nouvelle.
« Ooohhh... Ka... tya... »
Il était totalement sans défense face à cette délicieuse femme. Il écoutait ses délicieux miaulements, savourait la douceur de ses lèvres, le contact de sa peau contre la sienne et de ses poils sur son intimité. Son corps s'enfonçait dans le plaisir tandis qu'il laissait cette beauté ensorcelante jouer avec son corps.
« Hhhmmm... »
Matthieu aurait voulu couiner, mais Katya ne laissait pas ses lèvres à l'air libre une seule seconde. Elle l'étouffait dans une série de baisers délicieux et passionnés, où leurs langues dansaient dans un intense ballet. Inactif pendant les premières minutes, le petit trap se décida finalement à bouger. Puisque la neko avait les mains sur son torse, alors il alla mettre les siennes... sur son cul. Il n'avait pas tellement réfléchi, c'était une action poussée par son instinct. Quelques secondes après, les caresses sur son sexe le menèrent à la jouissance et il libéra son sperme sur la queue caudale et les jambes de la neko.
« HHHMMM ! »
Sans qu'il le réalise, il serra les fesses de la femme entre ses doigts au moment de l'orgasme. Quand son éjaculation fut finie, il lâcha les deux bosses de la neko immédiatement.
« Aahh... pardon... Katya. Je... je n'ai pas fait... aahh... attention. »
Restait à savoir si elle était fâchée ou contente de cette initiative de la part de son amant.
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Comment résister à Katya, qui était la beauté incarnée ? Elle sentait bon, car elle se parfumait sans excès... Et elle était très belle, très bien habillée. Tout était chez elle une réussite, une incitation à la dépravation, et Mélinda avait veillé à faire d’elle une neko extrêmement mignonne, tout en étant aussi très perverse. Il était fréquent qu’elle fasse l’amour avec sa Maîtresse, qui la considérait comme sa « petite peluche poilue ». Mélinda aimait jouer avec elle, par exemple en lui faisant manger des cookies, en la fessant, ou encore en lui faisant régulièrement l’amour. Mélinda aimait aussi jouer avec des peluches, ou la regardait jouer à la dînette. Kitty avait indéniablement un comportement très enfantin, quelque chose que la vampire appréciait beaucoup... Et Matthieu aussi, visiblement. Kitty l’embrassait ainsi goulûment, caressant son torse, griffant sa peau à travers son tissu, et sa langue continua à jouer avec la sienne.
Avec sa Maîtresse, Kitty avait embrassé à faire de très longs baisers. Mélinda aimait s’asseoir sur un fauteuil, et elle laissait Kitty s’asseoir sur ses jambes, la pénétrant pendant toute la durée d’un long et interminable baiser. Elle avait appris à le faire, et Matthieu pouvait donc prendre connaissance de tout cela. Il avait l’occasion de savourer la bouche sucrée de la neko, qui en profitait volontiers, tout en continuant à le masturber avec délice en usant de sa queue. Un contact très tendre, très agréable, sa queue caudale se pressant sur son sexe. Elle appuyait dessus, longuement, tendrement, avec une douceur infinie, ce qui avait toujours été la marque de fabrique de Kitty. Impossible de lui résister quand elle s’y mettait comme ça, et Matthieu était progressivement en train de fondre.
« Hmmm... »
Kitty continua donc, respirant un peu, rompant le baiser pour mieux le reprendre... Et appuya tellement que Matthieu finit par jouir. Le jeune homme se crispa sur place, et se relâcha joyeusement, avant de s’excuser. Kitty gloussa doucement, et remua sa queue, observant les traînées de sperme, qui plaquaient les poils de sa queue caudale.
« Hihi, Petit-Matthieu a encore joui... »
La belle neko se mordilla doucement les lèvres, et s’écarta un peu.
« Le problème, c’est que tu ne m’as pas soulagé, Petit-Matthieu... Alors, je ne peux pas te laisser partir comme ça ! » s’exclama-t-elle alors.
C’était tout de même le minimum qu’il puisse faire pour elle !
Il n’y avait qu’à espérer qu’il soit encore en mesure de tenir...
-
Matthieu avait joui, et Katya ne lui en voulait pas de lui avoir ardemment peloté les fesses au moment de son orgasme. Cependant, le petit trap devait maintenant rendre la pareille à la neko et la faire jouir à son tour.
« Euh... d'accord. Qu'est-ce que je fais alors ? »
Katya commença par lui tendre sa queue caudale en lui demandant de nettoyer ses poils. En bon soumis, le jeune homme s'exécuta, même s'il n'aimait pas trop lécher du sperme. Une fois la queue de la femme bien propre, elle alla s'installer sur un fauteuil et demanda à son invité de venir lui lécher le minou.
« Tout de suite. »
Et cette fois, il allait s'exécuter avec bien plus de plaisir. A genoux devant Katya, Matthieu approcha son visage de sa petite culotte noire, dont la semi-transparence permettait de deviner le contour de ses lèvres intimes déjà humides. N'ayant pas reçu la consigne de lui enlever sa culotte, le petit trap en conclut qu'il devait la laisser en place et se mit à lécher par-dessus. Il appuya sa langue sur les lèvres intimes de la demoiselle jusqu'à l'entendre miauler, puis il se mit à lécher passionnément le sexe féminin qui lui était offert.
« Hhhmmm... »
Matthieu avait beau s'être ouvert à l'homosexualité, il préférait quand même lécher des minous plutôt que d'avaler des verges. Et s'ébattre avec une amante aussi joueuse que Katya était vraiment un régal. Il lui léchait l'entrejambe et récoltait la moindre goutte de mouille qui passait sa culotte tout en se régalant du doux son de ses ronronnements. Il était un bon petit soumis, mais y trouvait aussi son plaisir.
« Aaahhh... »
Matthieu lécha jusqu'à entendre Katya pousser un ultime miaulement de plaisir et se relâcher dans sa petite culotte. Il avait réussi à faire jouir la neko et à avaler une partie de la mouille qu'elle avait giclée lors de son orgasme. Mais ce n'était que le début des réjouissances, Katya en voulait encore. Et surtout, elle voulait s'assurer que le vilain garçon ne salisse plus sa culotte avant un moment.
Qu'est-ce qu'elle compte me faire ?
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Plus Matthieu restait ici, au manoir de Mélinda, et plus il découvrait les joies des plaisirs simples, comme le sexe à outrance, et surtout le fétichisme. Car, malgré la diversité des visages et des goûts, il existait entre les esclaves de Mélinda certaines similitudes, un terreau de plaisirs communs. La vampire avait un certain talent pour faire partager son plaisir aux autres, et il était en réalité assez difficile de lui résister. Matthieu en avait fait l’expérience, et, face à Katya, il se couchait également. Comme une paire de deux face à un flush royal, il était incapable de lutter. Comment le lui reprocher ? Avec sa bonne humeur naturelle, sa délicieuse odeur, et son corps de poupée qui semblait être taillé dans le meilleur diamant, Katya était irrésistible. Une petite coqueluche qui recevait continuellement des cadeaux et des gâteaux de la part des convives et des clients venant passer du temps avec elle, à tel point qu’on aimait autant la câliner que la pénétrer. À ce stade, Mélinda aurait volontiers pu en faire une sorte de mascotte du manoir. Katya l’aurait mérité, d’ailleurs !
Mais, pour l’heure, elle laissait Matthieu lécher son petit minou, à travers sa fine culotte. Le contact était très agréable, et ne tarda pas à provoquer chez elle moult gémissements et délicieux ronronnements, de tendres vibrations qui se mirent à résonner dans la pièce. Un spectacle très attendrissant, tandis que le corps agréable et svelte de Katya remuait sur place, se frottant d’avant en arrière.
« Haaaa... Nyyyuuuu... !! »
Elle se dandina encore sur place, jusqu’à offrir à Matthieu un beau petit orgasme. Sa culotte se remplit de mouille, et Katya se relâcha joyeusement. Pendant toute la durée de ce cuni’, elle avait fini par enrouler ses jambes autour du cou de Matthieu, accompagnant ainsi à sa manière cette sensuelle séance. Matthieu commençait à devenir très doué, mais Katya pouvait aussi se montrer insatiable... Et cette séance n’avait, somme toute, fait qu’accroître sa propre soif, qui remontait à présent en elle comme un torrent ardent et assoiffé.
Katya repoussa alors Matthieu, l’allongea sur le sol, puis se redressa ensuite. La verge de son amant s’était elle aussi bien tendue, et Katya abaissa sa culotte, puis, sans plus attendre, s’empala sur lui, poussant un long soupir de plaisir, et se tortilla sur place. Elle s’empala sur sa verge, et gémit longuement, sentant une vague furieuse remonter en elle.
« Nyyyaaaaawwww, Matthieu... !! »
Et de nouveaux ronronnements se mirent à résonner furieusement dans la pièce !
-
Matthieu savait que retourner voir Katya allait conduire à du sexe endiablé, et il n'était pas déçu du voyage pour le moment. Après avoir léché l'entrejmabe de la neko jusqu'à la faire jouir, cette dernière le fit s'allonger sur le sol et retira sa culotte avant de s'empaler sur sa verge tendue.
« Hhhmmm... Katya... »
Le petit trap couina de joie en sentant sa queue se loger dans le minou chaud et humide de la femme et en la voyant le chevaucher. Un délicieux rodéo, qui avait de quoi le faire grimper aux rideaux. Allongé sur le sol, il était dominé physiquement par le corps de la neko mais se sentait aussi dominé mentalement. Il n'arrivait pas à lutter contre elle, sa fougue et son côté joueur la rendait trop forte pour lui. Il se laissa donc faire, ce qui de toute façon allait dans son sens.
« Aaahhh... oui... ggrraahh... »
Une partie de sa fureur bestiale essaya de sortir, mais elle était refrénée par l'influence inconsciente de Mélinda sur son esprit. Matthieu avait bien compris qu'il ne devait pas se transformer sans qu'on lui en donne l'autorisation, et il n'allait pas désobéir alors qu'il allait bientôt participer à une fête. Il se contenta donc du plaisir que pouvait lui donner sa condition d'humain, regardant Katya onduler du bassin sur sa queue bien dure sans oser lever les mains pour toucher son magnifique corps.
« Ooohhh... AAAHHH ! »
Matthieu atteignit l'orgasme et son sperme gicla dans le corps de Katya. Cette nouvelle éjaculation avait suffi à calmer son sexe, qui perdit rapidement sa vigueur. La neko se délogea après avoir joui à son tour, laissant le petit trap dans un état second de plaisir.
« Haaannn... Katya... maintenant que... j'ai bien joui... hhhmmm... je peux essayer... de nouvelles petites culottes ? »
Matthieu avait hâte de faire un nouvel essayage de lingerie fine pour trouver de jolies choses à porter pour la soirée.
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Mélinda n’avait à aucun moment menti sur Katya. La jeune neko était une véritable poupée en porcelaine. Elle aimait le sexe, et elle aimait même la violence... Mais sans la paniquer. On pouvait la fesser, on pouvait lui pincer les seins, évidemment la sodomiser... Mais sans la heurter ! Katya était paradoxale, certes, mais c’était là le lot de tout être humain, non ? Elle était en tout cas une fragile peluche, très belle, mais dont il fallait prendre soin. Et il suffisait de voir sa confiance et son naturel pour constater que Mélinda l’appréciait beaucoup. Autrement dit, laisser Matthieu s’en approcher sans surveillance était aussi le signe de la confiance que Mélinda portait au jeune homme, car, s’il se transformait en Lycan, Katya risquait bel et bien de paniquer, et de déchirer les cœurs en pleurant !
Fort heureusement, Katya ne fit pas attention au subit grognement de son partenaire. Yeux clos, elle ronronnait délicieusement, se transformant en une petite turbine à réaction. Le potentiel de sympathie et de mignonnerie qu’elle dégageait en ce moment crevait le plafond ! Ronronnant, elle griffait involontairement le torse de Matthieu en s’appuyant dessus, même si ses gants fins et délicats atténuaient un peu l’effet de ses petites griffes... Griffes qui étaient d’ailleurs régulièrement limées pour être les moins tranchantes possibles.
« Nyyyyuuuu... Mrrraaaaawwww... Haaaaaaaannn... Nyyyyuuuu... !! »
De longs et aigus miaulements de plaisir s’échappaient des lèvres de Katya, entrecoupant ses cris et ses gémissements. Elle mouillait abondamment, continuant à danser sur sa queue, sur cette délicieuse verge qui remontait joyeusement en elle. Nyu ! Nyu ! Quel plaisir ! Foi de neko, Katya débordait de plaisir en ce moment ! là, oui, comme ça, haaa... Très spontanée, et très sincère dans son approche, Katya adorait profondément le sexe, elle adorait sentir une verge en elle, presque autant que les câlins, si ce n’est plus ! Il fallait bien avouer que, avec l’éducation de sa Maîtresse, Katya avait vite appris à adorer ce que sa Maîtresse appelait les « gros câlins ».
Et un gros câlin, c’était très précisément ce que Katya voulait ! C’était tout ce qu’elle souhaitait, et elle ronronnait doucement sur place, mouillant avidement sur la queue de son partenaire. Mathilde n’osait même pas la toucher, et Katya n’hésita pas à se pencher en avant, venant embrasser copieusement sur les lèvres son partenaire, faisant durer le plaisir.
« Nyaaaaawwww, c’est si booon, mraaaawww... »
Katya continuait à ronronner furieusement, jusqu’à atteindre, à son tour, l’orgasme... Elle expulsa de belles quantités de mouille en fermant les yeux, et se pinça les lèvres, rougissant fortement en se relâchant. Et... Et... Oh, oh, quel plaisir ! Elle jouit copieusement, sombra pendant quelques secondes, avant de reprendre peu à peu ses esprits. Katya sentait en elle un long frisson de plaisir la traverser, remontant le long de son échine.
C’était une sensation très agréable, qui l’amena à planer un peu, frétillant des oreilles, avant que Matthieu ne se rappelle à elle, lui demandant si elle n’avait pas un sous-vêtement
« Hmm... J’ai la tenue idéale pour toi ! »
Et Katya s’empressa d’aller chercher un nouveau sous-vêtement, qu’elle récupéra dans ses affaires : une belle culotte rose (http://img110.xooimage.com/files/8/b/2/390274gvh_om_f-55d2df4.jpg) à dentelle, mais dont la surprise était le dos de la culotte, puisqu’il y avait... Une belle ouverture en forme de cœur (http://img110.xooimage.com/files/4/9/4/390274gvh_om_b-55d2df6.jpg).
« Regarde ! C’est parfait, non ? Comme ça, tu pourras garder ta culotte devant Maîtresse... Chaque fois que je l’enfile, je sens qu’elle me fera un gros câlin, comme ce qu’on vient de faire tous les deux ! »
Et c’était là une fantastique nouvelle, non ?
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Matthieu espérait faire une longue séance d'essayage où il pourrait se parer de plusieurs magnifiques pièces de lingerie, mais Katya lui proposa d'entrée une seule culotte. Une jolie petite culotte en dentelle rose, qui avait comme particularité la présence d'une ouverture en forme de cœur dans le dos. Selon la neko, c'était la tenue idéale pour lui, une culotte qu'elle pourrait garder quand leur maîtresse voudrait jouer avec lui. Elle précisa aussi que, chaque fois qu'elle avait porté cette petite culotte, Mélinda lui avait fait un gros câlin, comme celui qu'ils venaient de faire tous les deux.
« Hhmm... oui, tu as raison. Avec cette culotte, je pourrais montrer mon plug à maîtresse et à ses invités sans qu'ils aient à me déshabiller. »
Tout impatient, Matthieu prit la culotte et l'enfila avant d'aller s'observer dans le miroir. Ses jolies petites fesses étaient bien mises en valeur par ce sous-vêtement si élégant, et sa queue était assez calmée pour ne pas prendre trop de place.
« Ouah... c'est trop joli. »
Et comme il s'y attendait, le trou en forme de cœur était pile au niveau de son anus, laissant voir le joli plug qu'il portait pour préparer son derrière.
« Oui, c'est parfait. Elle est fabuleuse. »
Mais sentir cette douce dentelle envelopper sa peau le titilla rapidement, au point que sa verge retrouvait peu à peu sa dureté. Il savait que Katya allait s'en rendre compte, alors il essaya de profiter encore un peu d'elle avant qu'elle ne vienne à nouveau jouer avec sa saucisse.
« Dis Katya, tu n'aurais pas d'autres culottes que je pourrais essayer ? Je voudrais être sûre d'être la plus jolie pour maîtresse ce soir. »
Et quitte à se lancer là-dedans, il voulut aussi se risquer dans des choses plus osées.
« Et aussi... si tu es d'accord... hhmm... j'aimerais bien essayer... un string. »
Matthieu rougissait comme une adolescente, tout honteux d'avoir demandé quelque chose d'aussi osé. Comme quoi, il avait beau s'être fait plaisir avec un autre homme, il y avait encore des choses qui pouvaient le gêner. Restait à savoir si la neko allait accepter de le laisser faire.