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Hestia .
Age Inestimable .
Jeune Femme Lumineuse .
Déesse du Feu .
Hestia est une Déesse. Et comme toutes les déesses, elle est pour un humain ou une humaine, pour un serranidé ou une créature, une perle rare tombée sur la terre. Personne ne peut égaler la beauté d’Aphrodite, la Déesse de l’Amour, car elle s’en assure personnellement et n’a jamais commis d’erreur. Mais Hestia a été, un jour lointain, l’objet de ses Fantasmes, et elle a ainsi crée une Hestia parfaitement identique à la première : pleine de ce charme et de cette sensualité unique et exceptionnelle.
Sensualité qui provient avant tout de ce visage, ce visage aux traits d’ange, mais qui laisse un arrière-goût de pêché. Hestia a un faciès provocateur, alors que son caractère n’a jamais compté, ne compte et ne comptera jamais ce trait de caractère. Des sourcils fins et noirs, un nez suffisamment marqué, des joues rondes et douces, et puis… ce regard bleu, sous des cils veloutés, regard qui juge, pèse, qui est rempli d’intelligence, et pourtant aussi, d’une pureté et d’un sens de la Justice bien trop souvent reprochée. Le menton gracieux, et le front un peu bombé, s’affirment en dernier. Les mèches de cheveux bien coupés et nettes laissent voir consciencieusement la paire de boucles d’oreilles en forme de serpent dorées, qui n’a jamais quitté la Déesse. Les cheveux noirs contrastent violemment avec le teint spectraux de Hestia, fins fils noirs qui s’attachent amoureusement au dos de la Déesse. Lisses, brillants, soyeux, ils ondulent au rythme de la marche de leur maîtresse, stoppant leur course effréné en bas de ses reins.
La lumière s’égare un peu partout sur ce corps outrageusement formé : elle donne à cette peau de pêche un teint laiteux et pur comme un nouveau-né. Aucune imperfection ne vient gâcher ce frais épiderme, que l’on ose à peine toucher, voire regarder, par peur de le craqueler du bout des doigts ou du regard. Il ne vous sera pas épargnée les quelques parcelles innocemment découvertes, de par la tenue qui couvre la Déesse aux endroits les plus intimes, sans pour autant décourager l’imagination du moins perverti.
Aphrodite a sûrement mis du temps, pour façonner ce corps qui autrefois, l’avait tant fait rêver. Elle a dû se souvenir de chaque détail de l’ancienne Déesse, sculpter lentement cette apparence, peser scrupuleusement chaque partie. Le résultat ne vaudra jamais l’originale, mais elle en vaut tout de même la peine. Ce corps divinement sculpté, est celui dont tous les hommes ont un jour rêvé dans leur sommeil le plus agréable… oui, cette poitrine rebondie, qui n’a jamais eu l’usage d’un soutien-gorge pour tenir, cette taille aussi fine que du papier de soie, ces hanches de fer et ce fessier en amphore… Oui, Aphrodite a dû suer et prendre énormément de temps, pour affiner cette sculpture auquelle elle donna une grande partie de son Amour.
Les vêtements de Hestia sont simples, tout en étant divinement composés. Ils sont faits d’une matière que l’on ne trouve ni sur Terre, ni sur Terra, et qui reste encore à ce jour inconnue. Ils sont ignifuges, bien que la Déesse du Feu ne puisse se brûler, et réellement confortables malgré leur apparent manque d’aisance.
Une tunique cramoisie, largement ouverte au centre, on ne peut plus appeler ça un décolleté. La naissance de cette poitrine ronde et galbée se découvre au grand jour, le col qui orne le vêtement la magnifie encore plus. Serré en haut de la taille, l’habit possède des manches longues, au bout rosés, laissant une image de pétales de fleurs dans certains esprits.
En descendant, on aperçoit, ou plutôt admire, le nombril légèrement creusé, le ventre sculpté par de ravissants abdominaux, la taille mince comme jamais. Les hanches à elles seules soutiennent la jupe qui poursuit l’époustouflante cachette de tissu. Comme la tunique, elle est cramoisie, et d’ailleurs assortie. Divers motifs sont cousus sur la surface, et une ceinture de soie évite les soucis particuliers. Cependant, une cuisse musclée sort presque toujours de la surface de l’habit, se livrant aux regards les plus tenaces, profitant de la fente de tissu sur la gauche de la jupe pour s’évader à l’air libre. Hestia en a rarement quelque chose à faire…
Pourtant, elle devrait. Parfois.
…
Hestia n’a jamais été une femme au caractère entier. Déjà, à l’Époque Originelle, Aphrodite a toujours vu en elle une dominée. C’était la plus douce de l’Olympe, entièrement composée de Vertus. Même lorsqu’elle a refusé ses avances, évoquant la promesse faite à son frère, Aphrodite a vu en elle une douceur inégalable.
Le Passé étant le Passé, la Déesse de l’Amour a construit une Hestia un peu plus confiante, pour son Nouveau Monde. Elle lui a malgré tout laissé cette adorable douceur, qui l’avait tant marqué et avait même déclenché en elle une pointe de jalousie.
Hestia est donc belle… et douce. Un véritable cœur d’Or, sans jamais aucune arrière-pensée et méchanceté dans son esprit pleins de qualités. Personne n’a droit à une quelconque discrimination avec cette femme. La Déesse la plus vertueuse de tout l’Olympe, c’est bien elle, pour longtemps. Cependant, elle n’est pas non plus une innocente à qui l’on fait faire ce que l’on veut. Certes, elle cède sous la pression lorsque l’on sait s’y prendre et que l’on insiste, mais elle est avant tout consciente de ses pouvoirs, qu’elle s’efforce de ne jamais perdre, en foulant le moins possible la Terre de ses pieds. Elle n’a pas peur de brûler les doigts de quiconque s’approcherait trop de sa personne. Tuer n’est pas dans ses cordes, mais elle peut blesser gravement un individu gênant en le léchant de ses flammes infernales. La colère ne prend jamais le dessus : Hestia est une personne sereine et pleines de ressources.
Elle en connaît d’ailleurs au moins autant que les prêtresses du temple, et même si ce n’est pas sa spécialité, les potions et les remèdes sont rapidement fabriqués entre ses mains. Avec sa capacité de Maîtresse des Flammes, elle est aussi la Maîtresse des foyers. Une maison ne risquera jamais d’être blessé en quoique ce soit, si elle demeure à l’intérieur. Il faut cependant y faire briller un feu : c’est le seul petit caprice que Hestia exige.
Elle est aussi assez fière de ses liens de famille importants et de son statut de Déesse du Feu et du Foyer, mais son tempérament effacé ne fait pas d’elle une bonne vantarde. A l’époque de l’Olympe, Hestia était l’une des Déesses les moins vénérées pour cela : cette discrétion exagérée et un effacement qui en faisait presque une Déesse de second rang…
Alors que le Feu est l’un des éléments les plus destructeurs que la Nature puisse posséder…
*
Aux temps des Origines…
Hestia fut l’une des déesses comptant parmis les 12 dieux de l’Olympe. Fille aînée de Cronos et Rhéa, ainsi que sœur de Zeus, Hadès, Poséidon, Déméter et Héra, elle y possédait un grade relativement important, et sa beauté n’avait d’égale que sa gentillesse. En inventant l’art de construire des foyers et d’y allumer un feu, son statut n’en fut que plus reconnaissable. Néanmoins, malgré sa popularité qui augmentait de jour en jour chez les mortels, elle ne faisait office de sa présence à l’Olympe que peu souvent : sa réputation se fut discrète en partie à cause de cela, mais c’était entièrement voulu.
Elle n’avait jamais eu le tempérament d’une vraie Déesse, après tout. Jamais elle n’était descendue sur Terre, pour effrayer les mortels ou pour se divertir sous leurs actions pitoyables. Elle était bien trop bonne pour commettre pareils actes…
Il fut pourtant des jours ou Hestia fit preuve de motivation. Lorsque Poséidon la demanda en mariage, elle refusa catégoriquement. Lorsque Apollon en fit de même, ce fut un « non » encore moins hésitant.
Et lorsque Aphrodite se joua à la séduire, elle résista. Difficilement, mais elle résista.
Tout ça parce que Hestia, sœur de Zeus, le Maître des Dieux, lui avait fait cracher la promesse de rester pure à jamais. A jamais, ce n’était pas rien, et surtout, ça ne l’engageait pas à rien, mais…
Elle respecta cette promesse, qui tenait plus lieu de pacte, dans son esprit.
Et ainsi, lorsqu’elle périt, avant la construction du monde d’Aphrodite, elle était aussi pure que possible.
Elle se réveilla près d’une cascade, dans le monde d’Aphrodite. Celle-ci n’avait nullement oublié sa conquête ratée, et lui avait offert une place dans son univers… mais Hestia était déboussolée. Elle possédait encore tout ses souvenirs, son esprit n’était nullement embrumée… mais le monde dans lequel elle avait repris conscience n’avait rien de celui quitté.
Bien sûr, elle ne comprit pas la situation. Ni le fait qu’elle n’était qu’une création de la déesse de l’Amour. Hestia supposa simplement qu’elle s’était fait enlever, et reprit rapidement la route en direction du mont de l’Olympe…
Sans réaliser que, de là-haut, ou d’ailleurs, Aphrodite sentait que le jeu allait pouvoir commencer.
*
Hestia ne connaît de l’amour que les frivolités. Et elle est bien décidée à ne pas en connaître plus, étant donné l’importance de sa promesse… mais il lui faudra bien se rendre compte que le monde dans lequel elle a été faite ne correspond pas à son attente.
Ses pouvoirs sont tournés vers l’axe de la chaleur. Elle peut provoquer une braise comme un incendie, faire périr une armée dans les flammes. La température de son corps est toujours extrêmement élevée, au point d’en arriver à mal supporter le chaleur ambiante qui se dégage de sa peau. Néanmoins, elle en a le contrôle total et peut la baisser.
Elle peut aussi reconstruire une maison d’un simple claquement de doigts, et assurer la protection d’un logis en pénétrant à l’intérieur.
Comment avez-vous connu le forum ?
Compte de Kyuuri Meiko ~
Vous êtes tous des amours~ ♥
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Aphro > Bien sûr, pas de problèmes =) Joyeuses retrouvailles en perspective :,D
On s'arrange comment ?
(Et vive Hebihime-Sama <33)