La main de Myumi était posée sur la délicate fesse de son amante à la peau légèrement bronzée, Elianne (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4384), dont le corps nu se reposait contre le sien, également nu. Elles respiraient lourdement, en sueur, la verge de Myumi encore plantée en elle, et, alors qu’Elianne léchait ses seins, dans ce moment entre deux orgasmes, elle lui avait demandé...
« ...Comment j’étais au lycée ? répéta Myumi, en souriant légèrement. Oh, ça... Tu es sûre de vouloir l’entendre ? Je pourrais te choquer, tu sais... »
Elianne insista tout particulièrement, multipliant les baisers. La « choquer », c’était, par excellence, un argument trompeur, elle qui, depuis qu’elle était proche de Myumi, avait connu une véritable chute sans fin vers la lubricité la plus absolue. Orgies, tournantes, zoophilie, sodomies en rafale, séance de sexe avec des Incubes, et même avec des tentacules, Myumi n’avait rien épargné à Elianne, et avait même drogué son corps à l’aide de stimulants magiques, pour renforcer son endurance sexuelle, ainsi que son appétit, faisant d’elle une insatiable nymphomane.
Fouineuse et amoureuse, Elianne savait que Myumi avait grandi à Seikusu, et avait rejoint Mishima, il y a de cela une quinzaine d’années. Elle avait réussi à avoir son dossier scolaire, probablement en couchant avec les secrétaires, mais n’avait pas pu obtenir grand-chose, car ce dernier était... Étonnamment vide. Elianne avait été néanmoins très étonnée d’une chose : elle avait lu que Myumi avait été la Présidente du club social de Mishima ! Dès lors, il lui avait suffi de faire de plus amples recherches pour découvrir que le club social avait été fondé il y a... Quinze ans !
Or, le club social de Mishima était le premier club du campus, présent aussi bien au lycée qu’à l’université. C’était le club des Morimoto, dirigée par la belle et puissante Leona Morimoto (http://img110.xooimage.com/files/b/e/8/leona-morimoto-4d9be51.jpg), petite-sœur de Reina Morimoto (http://img110.xooimage.com/files/4/1/1/reina-morimoto-4d9bdff.jpg), une belle surdouée qui gérait le groupe financier Morimoto. Les Morimoto formaient l’une des plus vieilles familles de la ville, les premiers fondateurs, et étaient alors de riches négociants. Depuis lors, leur influence n’avait jamais cessé de grandir sur la ville, le groupe Morimoto disposant d’un vaste empire immobilier, et ayant pour demeure un gargantuesque manoir (http://img110.xooimage.com/files/8/1/0/morimoto_manor-4fc11fd.jpg). Leona dirigeait donc le club social, et la principale activité de ce club, c’était l’organisation de somptueuses orgies (http://img110.xooimage.com/files/0/0/d/sex_01-4fc0ee9.jpg). Le club avait ainsi pour but de former sexuellement la plupart des nouveaux élèves de Mishima. Elianne aurait pu en faire partie, si Myumi n’avait pas posé sa main sur elle, mais, même malgré ça, elle avait participé à plusieurs des orgies du club.
Depuis lors, sa curiosité n’avait cessé de grandir, jusqu’à ce que, finalement, elle ne lui pose la fatidique question. Myumi et Elianne formaient un couple extrêmement libertin, mais Myu’ ne cachait rien à Elianne, et entreprit donc de lui parler... De ses vertes années.
« J’étais une adolescente, à l’époque... Je savais que j’avais des gènes de succube, mais ma mère n’avait rien fait pour m’aider à les calmer, au contraire. Avant qu’elle ne me prenne toutes mes virginités, elle me forçait à la regarder faire l’amour avec ses multiples amants, et m’initiait sexuellement. Elle me donnait des interrogations érotiques, me demandait d’écrire des rédactions sexuelles, me posait des questions sur des films pornographiques... »
Erelda (http://img110.xooimage.com/files/4/c/5/erelda-1-4dc01e5.jpg) avait offert à Myumi une sacrée éducation.
« Quant aux Morimoto... Tu sais, ce n’est pas un hasard si Seikusu a été fondée vers la fin du 16ème siècle. C’est à cette période que les premiers missionnaires chrétiens, des Jésuites, ont commencé à déferler au Japon, apportant avec eux une morale chrétienne qui s’opposait à l’érotisme japonais, dont les Morimoto étaient de fervents défenseurs. Quand j’ai rejoint le lycée, Mishima était déjà très axée sur le sexe, mais connaissait ses premiers scandales sexuels. De fait, j’ai été l’un des premiers soucis de préoccupation de l’administration de l’époque.
- Pourquoi ça ? demanda Elianne, qui continuait à remuer ses fesses, Myu’ continuant à les palper.
- Ma mère est membre du conseil d’administration. Si on apprenait que la fille d’un membre du conseil était une nymphomane notoire, et qu’on continuait à creuser, on apprendrait aussi que ma mère organisait déjà, dans sa villa, des orgies pour son industrie pornographique. Je te laisse imaginer la teneur du scandale qui aurait résulté... Et moi, j’étais... Extrêmement prolifique. »
Et un léger sourire évasif remua le long des lèvres de Myumi, tandis qu’elle se rappelait, avec joie, et avec un brin de mélancolie, ses vertes années.
Quinze ans plus tôt...
« Tu... Tu es vraiment... Une vilaine fille, haaaa...
- Hmmmm...
- Tu... Haaaa... Tu as provoqué une rixe dans la cantine, My... Myumi, hmmm... Tout ça parce que... Parce que tu... Haaaa...
- Je trouve ça très sexy que des hommes se battent pour moi, même si je préférerais qu’ils utilisent leur énergie pour défoncer mon corps, plutôt que se taper entre eux... »
Vainement, Hitomi (http://orig02.deviantart.net/6275/f/2016/086/c/1/school_prison_by_wan_mei-d9wmv8r.jpg), la secrétaire du Proviseur, essayait de repousser les assauts de Myumi, qui léchait avidement son cou, le mordillant, et l’embrassant aussi, tout en glissant sa main sous son étonnant uniforme en cuir (par dérogation spéciale du Proviseur, Hitomi avait le droit, et presque le devoir, de porter chaque jour une tenue moulante en cuir et/ou en latex), la masturbant. Hitomi retenait difficilement ses couinements, et Myumi n’avait pas hésité à lui piquer sa sucette, la léchant, avant de la lui rendre, pour que la secrétaire la lèche aussi. Si prompte à donner des coups de cravache et des fessées, Hitomi désespérait. Elle avait déjà fessé Myumi, et même abattu sa cravache, mais rien ne calmait cette sulfureuse élève, qui arrivait à chaque fois à inverser les rôles, que ce soit avec elle, les surveillants, ou encore les professeurs.
Le fait est que l’élève avait transformé sa classe. Depuis plusieurs semaines, il n’était plus possible de faire cours quand Myumi arrivait. Elle couchait avec le professeur, et transformait systématiquement chaque classe en terrible orgie, perturbant volontiers les autres cours (à l’époque, Mishima n’avait pas encore insonorisé aussi bien les salles de cours que maintenant). Les caméras cachées glissés permettaient de voir que Myumi n’avait aucun gêne. Que le professeur soit un homme ou une femme, elle se mettait toujours au premier rang, et, peu à peu, faisait sombrer la classe dans la luxure et la perversion.
Myumi ne venait au lycée que pour faire l’amour, et elle allait jusqu’à donner des notes. Sa spécialité, c’était de faire une fellation en s’empalant sur un homme, et, elle attestait de la qualité d’une fellation par une note. Ce matin, pendant la pause, elle avait ainsi sucé plusieurs lycéens, et avait attribué à Ida un piteux 3/10, et lui avait dit, avec dédain, de revenir foutre sa queue en elle quand il serait capable de vraiment lui faire une gorge profonde sans cracher sa semence... Et, dans la foulée, elle avait attribué un 9/10 à Kojiro, qui lui avait tiré les cheveux, en la baisant sèchement.
Furieux et jaloux, Ida avait alors attaqué Kojiro pendant la pause-repas. Hélas, Kojiro était membre de l’équipe de soccer, et Ida un poids plume. Kojiro l’avait violemment repoussé, sous les yeux de Myumi, qui avait ensuite félicité l’homme en le suçant, puis en le laissant la prendre en levrette, au milieu des yeux médusés du réfectoire.
Suite à cet énième incident, le Proviseur, Morimoto-sensei (http://img110.xooimage.com/files/4/c/e/4ce52e49d23133467...5d6f7301-5129bcd.jpg), avait finalement décidé de convoquer Myumi, et elle attendait donc dans le bureau de la secrétaire, qui avait entrepris de vouloir la corriger avec sa cravache... Pour finalement devenir l’assaut des doigts et des lèvres de Myumi.
Les exploits sexuels de Myumi, qui impliquaient beaucoup de sexe public, avaient d’ores et déjà provoqué d’importants incidents. Des parents d’élèves outrés avaient été voir le Proviseur, et, suite à l’épisode de la cantine, le lycée avait reçu une assignation en justice émanant d’un collectif de parents d’élèves, l’association religieuse FOCK, « Fight for Our Childrens’ Kindness », qu’on avait tendance à appeler « FUCK » (surtout Myumi, en fait), réclamant de multiples dommages-intérêts pour préjudice moral, débauche sexuelle, ainsi que la fermeture d’urgence de l’établissement, le tout s’accompagnant d’une lettre au rectorat de Kyoto. Suite à cela, il avait donc été décidé de réagir en haut lieu.
Et, de fait, si le Proviseur prenait son temps, c’était parce que, de l’autre côté de la porte menant à son bureau, il était en grande conversation avec un autre membre du conseil d’administration : Erelda, la mère de Myumi...
Difficile de faire entendre raison à Myumi. Erelda écoutait religieusement Morimoto lui expliquer la situation, ce dont elle était déjà au courant. Il fallait agir, et faire quelque chose pour museler sa fille. Erelda, en réalité, n’aimait guère ça, et fronça les sourcils quand le Proviseur envisagea sérieusement l’idée de l’exclure.
« Mishima est le seul endroit qui convienne à ma fille, Morimoto. L’exclure n’est pas une option envisageable. »
Les Ichtora faisaient partie du conseil d’administration, et, si jamais une demande d’exclusion était présentée à l’établissement, Erelda appuierait de tout son poids pour l’interdire. Sur ce point, elle était catégorique. Ses talons se mirent à claquer sur le sol. Elle portait, comme à son habitude, une tenue extrêmement sensuelle, faite d’un long pantalon noir moulant en cuir, d’un corset mettant en valeur sa généreuse poitrine, et de longues bottes lubrifiées à force de sentir la langue de ses esclaves dessus. Quand on voyait une telle mère, on ne pouvait que comprendre l’ardeur de la fille, et Erelda était très fière d’elle.
Pour autant, elle n’était pas aveugle, et reconnaissait l’existence d’un problème. Les avocats se succédaient, ainsi que les journalistes, réveillant les vieux démons de Mishima. Ce n’était pas le premier scandale, ni même le premier procès, que l’établissement affrontait, et, comme à chaque fois, Morimoto était nerveux.
« Tu ne pourras pas contenir l’ardeur sexuelle de ma fille. Sa nature hybride la rend encore plus assoiffée qu’une succube normale, car elle a l’énergie d’une succube et la frustration normale d’un être humain. Un cocktail redoutable... »
Erelda était bien placée pour le savoir, mais, pour autant, elle était incapable de sérieusement en vouloir à sa fille. Si Myumi était ainsi, c’était en grande partie grâce à Erelda, qui ne lui avait jamais appris à brimer ses pulsions. Dès qu’elle avait eu seize ans, elle avait enchaîné les orgies avec les esclaves d’Erelda, et, bien entendu, avec sa propre mère. Myu’ était ainsi, une femme plein d’appétit, énergique à souhait. Comment le lui reprocher ça ? Bien sûr, Erelda s’aveuglait un peu, mais quelle mère ne le ferait pas ? Mère aimante, Erelda pardonnait toujours à sa fille.
Et, au-delà de ça, elle savait surtout combien il serait vain de vouloir décourager sa fille de faire l’amour. C’était donc une autre approche qu’il fallait tenter, et la femme se rapprocha de Morimoto, avant de s’asseoir sur le rebord de son bureau, croisant élégamment les jambes.
« Le meilleur moyen, c’est de la dresser. De l’éduquer à travers le sexe. Il n’y a que ça que ma fille comprenne... Elle tient de moi, après tout. »
La femme se retourna sur le bureau, en pivotant sur place, de telle sorte qu’elle se retrouva face à l’homme,e t posa ses jambes à gauche et à droite de lui, tout en partant vers l’arrière, redressant ainsi ses seins, ses pieds heurtant les cuisses de l’homme.
« Et je crois que tu as tout à fait les capacités de faire ça. Après tout, dresser des adolescentes en chaleur, c’est ton rayon, non ? Myumi n’a jamais connu de père, elle manque d’une autorité masculine... »
C’était la solution qui lui venait à l’esprit, et qui lui semblait être la plus efficace.
Erelda pencha la tête sur le côté devant les options qui s’offraient à elle. Comme on pouvait s’en douter, la mère de Myumi et le Proviseur étaient de très vieilles connaissances, et elle ne pouvait qu’adhérer à la philosophie très libertine de Morimoto. Il était l’héritier de l’une des plus riches familles de Seikusu, faisant partie des familles fondatrices de la ville. Sa philosophie était celle de sa famille, qui avait toujours mélangé luxe et luxure. Erelda, étant une démone, ne subissait pas l’influence du temps comme les humains, de sorte que, avant même de connaître Morimoto, elle couchait avec ses parents. Elle avait vu ces derniers former sexuellement leur fils avec un grand talent, et lui en faisait de même pour ses filles, Erelda y participant volontiers. Outre la passion pour le sexe, Erelda avait aussi transmis à Myumi autre chose, sa passion pour l’éducation sexuelle.
Et, pour le dire simplement, elle couchait régulièrement avec Morimoto. Myumi le savait, bien entendu, car il arrivait souvent qu’elles se rendent au manoir de l’homme, ou que lui vienne dans la villa d’Erelda. Il évoqua donc Hitomi, ce qui fit sourire Erelda. Elle pencha la tête sur le côté, entendant encore les soupirs de la femme.
« Connaissant ta secrétaire, je crois qu’elle adore ce moment... »
Elle en était même sûre. Hitomi n’était pas la secrétaire du Proviseur pour rien, et son fantasme était notamment, lorsque Morimoto participait à des réunions ou à des rendez-vous, d’être sous le bureau, et de le sucer pendant la durée de l’entretien. Erelda déplaça alors son pied, et le glissa entre les cuisses de l’homme, l’extrémité s’appuyant sur son pantalon, là où il y avait son sexe. Pour s’orienter plus facilement, ses mains s’étaient appuyées sur le rebord du bureau, aidant ainsi Erelda à guider ses pieds. Elle caressa son sexe en esquissant un léger sourire, malicieux.
« Et je dois bien m’assurer que tu es à la hauteur pour t’occuper de ma fille, c’est qu’elle est très endurante... »
Telle mère, telle fille, après tout. Si Hitomi portait une combinaison en cuir moulante, ce n’était pas sans raison, et elle soupira en sentant les lèvres de l’homme remonter le long de sa jambe, sentant son érection croître. Elle en ferma les yeux, soupirant légèrement. Pour un simple humain, Morimoto disposait d’une vigueur exceptionnelle. La femme aurait été bien idiote de ne pas vouloir en profiter.
« Làààà... Dis-moi ce que tu vas lui faire, mon chéri... Excite-moi... »
Sur ce point, elle lui offrait sa confiance absolue.
Erelda allait donc « goûter » au talent de Morimoto avant de le laisser s’occuper de sa fille. Un choix logique, vu qu’ils étaient des amants de longue date, eux deux. Morimoto la souleva donc, et la plaqua contre le mur, tout en lui expliquant ce qui allait arriver à sa fille. Erelda se pinça les lèvres, avant de frémir en sentant la virilité de l’homme caresser son corps, onduler contre ses fesses. Elle se pinça encore les lèvres, gémissant en sentant les doigts du Proviseur glisser sur son intimité, la déshabillant. Elle sentait son calme, ainsi que sa furieuse érection. Morimoto avait une expérience sexuelle qui défiait toute concurrence, de sorte qu’il pouvait se contrôler, tout en étant terriblement excité. Sur ce point, Erelda l’avait bien formé, et était, en conséquence, toujours fière de coucher avec lui.
« O-Oui, hmmm... Elle... Elle doit rencontrer un homme, un vrai mâle, quelqu’un qui saura la dresser... »
Ses mains se crispèrent contre le mur, tandis que la virilité de l’homme s’enfonçait dans le creux de ses fesses, caressant sa peau, ses doigts venant ensuite s’enfoncer en elle. Pour un homme, il fallait reconnaître qu’il était très doué en la matière.
« Haaaa... Hmmmm... »
Il avait appris, bien entendu. Erelda se souvenait encore de leurs séances, où il était nu, et devait, les yeux bandés, lécher et titiller son sexe avec ses doigts, la jouissance d’Erelda lui permettant ensuite de pouvoir faire quelque chose de sa queue. Cette capacité à contrôler ses nerfs en matière sexuelle, Morimoto avait appris à la gérer. Ses parents avaient veillé à lui fournir une éducation sexuelle complète, et Morimoto partageait cette philosophie familiale qui était de placer le sexe comme le moteur de l’existence, et d’apprendre à le maîtriser pour pouvoir mener une vie heureuse et épanouie.
Erelda soupira donc, jambes bien écartées, et se dandina un peu.
« Allez... Fourre-là en moi... Montre-moi.... Comment tu vas la baiser ! »
La main de Morimoto se crispa à nouveau sur ses cheveux, et il la plaqua contre le mur, avant de s’enfoncer plus longuement en elle. Erelda émit un soupir, puis un gémissement, avant de sentir la virilité de l’homme taper contre son anus. Erelda avait été tellement sodomisée ici que le membre de l’homme s’y glissa sans trop de difficulté. Elle gémit une nouvelle fois, le cuir venant se mêler à ses soupirs, ses mains grattant le mur. Dans son dos, Morimoto s’enfonçait en elle, remuant activement.
« Haaaaa... Ouiiii... Entre toi, ma fille est... Entre des mains sûres, hmmm... »
Ce n’est pas comme si elle avait encore des soupçons sur ses capacités, après tout... Ce quickie contre le mur, c’était le genre de trucs qu’elle avait toujours aimé.
Et ce n’était pas aujourd’hui que la donne allait changer !