Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Sanguilia le vendredi 23 septembre 2016, 15:20:37

Titre: [FINI] Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le vendredi 23 septembre 2016, 15:20:37
Cette odeur... quoi de plus joyeuse comme odeur... le sang, les flammes, la mort... Voici ce qui reste du village de Faines, sept cent âmes pour à peine une trentaine de soldats, un tas de gravas encore fumants et puants le cadavre. Je n'ai pas fait dans la dentelle cette fois-ci, je me suis présentée au milieu du village où le temple religieux était et j'ai demandé qu'ils me vénèrent au plus vite, s'abandonnant à mes désires les plus fous. Mais ce qui semblait être le chef du village n'a rien voulu entendre et a demandé aux gardes de m'arrêter, lorsque le premier soldat m'a touché l'épaule, j'ai vu rouge, un massacre... un carnage... tout le village est mort. Alors que je me trouve à l'entrée du hameau, je me tourne vers le lieu où tout a commencé et je rigole de bon coeur. J'adore voir ce spectacle macabre, rien de plus jouissant à mes yeux et mon coté sanguinaire est appaisé mais pas celui de la succube. J'ai envie de chair fraiche, de sexe et de luxure, je me rends compte que je n'aurais pas dû tuer tout le monde et une vierge m'aurait bien plus mais bon soit.

Je sors du village en pensant à une phrase que j'adore me ressasser dans ma tête: "Il est où votre Dieu maintenant?" et je rigole encore. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche dans cette pleine verdoyante, une heure, trois heures ou plus... Qu'importe, je sens que dans cette direction, il y a la présence d'une ville, grande et très animée. Il fait jour depuis peu et le soleil se lève devant moi, donc je vais vers l'Est alors, pourquoi pas? Au loin, je vois des animaux, des biches je pense, mais elles prirent la fuite à ma vue... Aaaah les animaux, tellement plus réceptifs aux auras des gens extraordinaires, je souris de plus belle.

Le temps passe encore et encore, mais mes pensées sont troublées par l'aura blanche de quelque chose ou quelqu'un de puissant, j'ai l'impression que cette aura est quasi divine, mais la présence d'une aura blanche proche de moi est une chose qui contrarie mes plans de destruction de la région. Cette onde blanche m'enivre, tellement puissante et même mon aura semble troublée par cette force blanche, cela m'oblige a m’arreté pour me concentrer sur cette menace. Cela approche, de plus en plus vite, mais d'où, je n'arrive pas à cerner la direction de sa venue.

- Bordel, comment un être qui n'est pas divin peut me troubler à ce point là?

Je suis troublée et en même temps furieuse, je déteste être en position où je ne maitrise pas totalement les choses, alors pour répondre à cette aura blanche, je me concentre encore plus fort, j'amplifie mon énergie et mon aura noire, je la pousse au plus fort possible sans pour autant tout faire exploser dans une rayon d'un kilomètre. L'énergie en moi bouillonne, j'ai l'impression d'être une cocotte minute qui surchauffe. Je ne sais pas ce qu'est cette chose mais elle va apprendre à me connaitre et je suis pas d'humeur gentille. Grâce à ma concentration, je peux analyser mieux cette arrivée, un ange, mais un ange avec une aura pareille c'est assez rare, je n'ai jamais eu à faire à une telle aura angélique. J'ouvre les yeux et je vois au loin à l'horizon une lumière blanche arriver très rapidement sur moi.

Qu'est ce que c'est que cette chose?
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Yennesä)
Posté par: Vanessa White le vendredi 23 septembre 2016, 17:05:47
D’ordinaire, Yennesä ne se déplaçait nullement pour des affaires concernant directement les mortels. À vrai dire, malgré son statut d’être de lumière, elle avait une philosophie stricte ; elle ne se mêlait guère de ce type d’affaire. Ce n’était pas à son genre de faire la justice dans leur monde, aussi cruel et injuste était-il. Toutefois, si autrefois elle avait servi dans les évènements impliquant la guerre contre les Grands Anciens, aujourd’hui la femme était presque à la retraite, si l’on devait utiliser les mots humains. Il ne fallait pas prendre l’expression au pied de la lettre ; il fallait comprendre par-là que les implications de Yennesä avaient changé, et par conséquent, ce pourquoi elle intervenait ou non.

En ce jour, ce ne fut pas l’ordinaire qui fut de mise. Depuis quelques temps elle cherchait à mettre la main sur une menace qui pesait, certes encore à moindre mesure, mais qui pesait tout de même parmi toutes les menaces peuplant Terra. Une entité maléfique et corrompue, connue sous le nom de Sanguilla. Elle se prétendait être une Déité vivante, et avait sous son joug une armée de Démons … C’était peut-être pour cela que Yennesä se sentait le besoin de la confronter. Les Démons étaient devenus les principaux antagonistes des temps modernes, et les siens luttaient contre eux. La lumière contre les ténèbres, c’était bien connu. Cependant, l’Ange savait que Sanguilla n’était pas une Démone … Elle était autre chose. Si son intention était de la confronter, elle se doutait cependant moins qu’au fond, son intention était aussi de se renseigner à son sujet.

Yennesä en avait connu beaucoup, des créatures puissantes prétendant être des Déités … Que voulait dire ce mot, désormais ? Plus grand-chose, depuis qu’il suffisait d’être extrêmement puissant pour prétendre l’être. Mais, ceci était un autre débat qui ne passait pas vraiment par sa tête en ce moment. La femme fusait à vive allure entre les couches de nuages, ayant repéré l’essence diabolique de cette créature qui venait de se manifester en massacrant tout un village entier. Yennesä trouvait le moment parfait pour la confrontation, et ce fut ainsi qu’elle apparut à Sanguilla, transperçant les nuages, en une lumière blanche éclatante. Elle se posa au sol, créant une légère onde de choc au contact, avant de se relever et faire face à la créature. Yennesä la regarda de son regard froid et aiguisé, s’enterrant dans un étrange silence. Elle la jaugeait, la dévisageait, tentait de percevoir en elle une réaction.

Mais, de toutes évidences, Sanguilla était et resterait un mystère pour encore un moment, puisque Yennesä ne put que sentir son aura maléfique s’accentuer et grandir, bouillonnant en elle. Après quelques instants, elle se décida à rompre le silence. « Sanguilla … Une déité prétendue parmi toutes les autres, s’étant octroyée le droit d’ôter la vie arbitrairement … Devrais-je m’en étonner ? » Dit alors Yennesä de sa voix profonde, sans une émotion particulière. L’Ange était impressionnant, de par l’aura qui la parcourait de part en part, mais de par aussi sa lance magique, qu’elle tenait en main, prête à se battre si jamais cela devait se faire.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Yennesä)
Posté par: Sanguilia le jeudi 29 septembre 2016, 09:33:48
L'être de lumière touche le sol dans un effet de style, l'onde de choc n'étant pas violente mais elle a le mérite de faire voler le bas de mon manteau rouge avec le déplacement de l'air. Lorsque la lumière ne brillait plus, je peux enfin voir l'ange devant moi, froide, pure et sans état d'âme. Je me mets à penser qu'elle me ressemble un peu, comme si j'avais devant moi ma pure Némésis. Elle blonde aux yeux bleus et moi aux cheveux noirs avec les yeux blancs. Elle, pure et moi damnée par des années de tortures et de sévices. Commence alors un round d'observation entre elle et moi. Toisant cette ange de lumière, je remarque son arme déjà en main, note à moi même, elle n'est pas venue que pour discuter cette salope. Continuant mon analyse, elle n'est pas mal foutue pour une ange, à vrai-dire, je n'avais jamais vu un ange comme elle, cela me trouble un peu, je ne connais ni la cause qu'elle défend, ni le Dieu à qui elle a prêté serment.

« Sanguilla … Une déité prétendue parmi toutes les autres, s’étant octroyée le droit d’ôter la vie arbitrairement … Devrais-je m’en étonner ? »

Je souris de toutes mes dents et je commence à tourner doucement autour d'elle afin de la voir entièrement, devant et derrière, gardant un oeil sur sa lance qui dégage une énergie puissante d'expiation. Même si je devais rien à craindre de l'expiation, au moindre contact, je pouvais perdre un peu de ma magie pendant un cours instant, en cas de combat, cela peux s'avérer fatale.

- Alors comme ça, tu connais mon nom petit ange... Bien au moins cela m'évitera la formule de politesse de mon coté...

Après avoir fait le tour de l'ange, je me fixe devant elle, hors porté de sa lance et je la toise encore un peu.

-... Mais toi, qui es tu?

Je tends la main vers elle et fait jaillir une flamme de ma main qui prend la forme d'une épée, lorsque les flammes se dissipent, une épée au métal noir et la garde rouge sang apparait aux yeux de l'ange. Je place l'épée le long de ma cuisse afin de lui faire comprendre que je suis maintenant à arme égale. Mais avant de la tuée, je veux savoir qui elle est exactement...

En plongeant mon regard dans le sien, je me surprends à avoir envie de l'embrasser, rares sont les personnes qui arrivent à me faire envie d'eux et de meurtre de leurs personnes. Mais son regard froid et hautain me laissent penser qu'elle avait déjà vu pas mal de choses horribles dans sa vie et que je suis prête à parier qu'elle était humaine avant d'être l'ange devant moi. De tous les combats, le combat psychologique est le plus difficile à maitriser même pour une Déesse de mon acabits, même si elle prétend que j'en suis pas une, elle n'avait peu être pas tort au fond, qu'est ce qu'une divinités après tout. Je suis née nymphe pour ma mère Déméter, je m'appelais Coré j'ai ensuite été enlevée par Hadès pour devenir sa femme Perséphone. Après des milliers d'années de tortures, Déméter m'a fait cadeau d'une puissance phénoménale afin que je puisse m'échapper des enfers... Mais mon âme en à souffert, je suis devenue Sanguilia Déesse malgré elle...
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Yennesä)
Posté par: Vanessa White le lundi 03 octobre 2016, 12:19:42
Il était évident que son adversaire était puissante et redoutable. Yennesä le sentait. L’aura maléfique se dégageant de Sanguilia était terriblement forte, témoignant d’une grande activité magique. Il ne fallait pas la sous-estimer … Elle ne commettrait pas cette erreur. Toutefois cela n’allait pas l’empêcher de mettre fin à ses actes qui n’avaient aucun lieu d’être. Ainsi, l’être de lumière restait planter là, affrontant la femme dans un duel de regard acerbe. Sanguilia se mit à lentement tourner autour de l’être, le jaugeant, l’analysant, finissant même par lui demander qui était-elle. « Je suis Yennesä, Ange guerrière de la Milice Céleste. J’ai combattu auprès des anciens, contre les Grands Anciens autrefois … Une prétendue déité ne me fait donc guère peur, même si tu es redoutable et puissante, de toute évidence. » Dit-elle, répondant simplement à la question de la femme.

Son aura était si puissante et si corruptrice qu’elle venait à avoir des éclairs de … mauvaises pensées rien qu’en restant là. Yennesä regardait ses yeux, mais elle ne pouvait s’empêcher de regarder furtivement ailleurs, contre son gré. En dehors de toutes considérations, elle ne pouvait qu’admettre que le Mal qu’elle était possédait une enveloppe désirable, réunissant tous les attributs pour faire succomber le plus chaste des prêtres. Ses courbes, sa voix, tout y était. Est-ce que cela troublait la créature de lumière pour autant ? Pas encore, mais elle ne réprimandait sévèrement, intérieurement, à avoir des pulsions, à ressentir des émotions qui n’avaient pas lieu d’être. À ressentir l’envie de régler ce conflit par la luxure que par la justice et l’équité. Ce qui ne serait pas vraiment une bonne chose à vrai dire, puisque le rôle de Yennesä était d’arrêter les méfaits de Sanguilia.

Elle fit légèrement tourner sa lance, défiant ainsi la pseudo-déité en face d’elle. « Comptes-tu te battre, Sanguilia ? Je suis une guerrière, mais je suis avant tout une Ange … Nous ne sommes pas obligés de recourir à la violence pour résoudre ce problème. Rends-toi, abdiques pour faire face à tes actes. Aucun mal ne te sera fait, si ce n’est le propre poids de tes méfaits qui pèsera sur tes épaules. » Déclara-t-elle toujours de sa voix forte, mais assez peu émotionnelle. Si elle proposait à Sanguilia cette approche pacifique, c’était pour éviter un affrontement qui, s’il avait lieu, serait très certainement tendu et difficile. Le combat ne fait pas peur à Yennesä, bien au contraire c’est dans son sang, mais elle savait que cette femme donnerait tout. Libre à elle de décider de la suite.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Yennesä)
Posté par: Sanguilia le mardi 25 octobre 2016, 18:18:46
- Me rendre???

Je pose ma main de libre sur mon ventre et me plis en deux pour rire.

- Aaah... Ahahahahah... Mais, il n'en n'est pas question ange...

Je reprends une posture plus classique et plus proche d'une Déesse mais, un cours instant, j'ai senti son aura se corrompre, la mienne ne dégage pas que des ténèbres mais quelques ondes de concupiscence grâce à mon coté succube. Je surprends mon adversaire à regarder mes courbes et mes formes, elle n'est pas si de marbre que ça et c'est tant mieux pour moi. De toute évidence, Yennesä éprouve des désirs qu'il en soit ainsi.

- Tu sais ange, j'ai déjà, par le passé, affronté des anges de toute sorte...

Je passe ma main libre sur la lame de mon épée.

- ... des bons, des moins...

Je la fixe

- ... bons...

Je m'avance doucement vers, roulant des fesses et des épaules, je n'ai plus une posture de combat mais bien une autre, plus langoureuse.

- ... vingt anges sont venus à moi, avec des intentions divers. Certain voulaient se battre avec moi, d'autre me faire des requêtes ou d'autres encore qui se sont perdus sur terre...

Je prends une pose très ouverte, mon manteau ne couvre plus mes seins que j’exhibe bien.

- ... mais tous ont un point en commun...

Sortant ma langue de serpent sur mes lèvres.

- ... ils ont tous jouit au moins une fois de mes assauts et de mes coups de buttoirs pour les femmes.

Ouvrant les bras légèrement, un pentacle de feu se forme sur le sol, entourant l'ange et moi, mais ce n'était pas tout, des flammèches se forment aux pieds de l'ange pour l'entraver et la fixer au sol, car après tout, je reste une peste dans mon genre et de plus, Yennesä a toujours sa lance pure en main. L'air chaud remonte du sol vers les airs ce qui entraine le soulèvement de mes cheveux noirs, mon manteau se soulève lui aussi et quitte mon corps pour tomber plus loin, mais je ne voulais pas rester nue, noooon, loin de là, des flammes m'entourent et tatouèrent ma peau d'un noir, formant une armure de chaire brulée et aussi dure que du métal.

- Maintenant, négocions mon arrestation ange!!!
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le lundi 14 novembre 2016, 18:00:17
Cette entité ne semblait pas prompte à conciliation. En d’autres termes, Sanguilia désirait l’affrontement malgré la main tendue par Yenessä. Le combat était inévitable et la créature angélique savait désormais qu’elle allait devoir se battre contre elle. Sa prise sur sa lance se raffermit au moment où son interlocutrice lui fit clairement part qu’il était hors de question qu’elle se rende. Le regard de Yenessä se durcit, alors que Sanguilia s’approcha, d’une démarche voluptueuse et souple, digne d’une succube. Elle sentait en elle une aura à la fois corruptrice et de luxure. Une aura si puissante et si forte qu’elle venait à éclabousser la créature blonde, qui malgré elle sentait le désir se manifester. De toutes évidences Yenessä n’était pas au plus top de sa forme depuis quelques temps et cela commençait à se voir.

Elle succombait lentement à l’influence néfaste de cette femme qui, si elle continuait, allait corrompre au moins temporairement sa bourrelle. Elle lui déclara par ailleurs qu’elle n’était pas la première et que les autres avaient fini par succomber … Ce qui ne rassurait pas vraiment Yenessä qui grinça des dents, alors qu’elle se fit prendre par surprise au moment où elle se fit entraver au sol. Tentant de se débattre, son regard fut absorbé par la transformation de la créature, qui revêtit une armure noire, prenant alors une pose de combat plus sérieuse. La créature angélique se concentra alors, et ses pouvoirs parlèrent. Des arcs électriques jaillirent de ses ailes et vinrent calciner l’entrave qui la maintenait au sol. Elle recula brusquement et pointa sa lance en direction de sa rivale.

« Pourquoi toujours choisir la solution la plus compliquée … » Commenta Yenessä. Après un moment, elle usa à nouveau de ses capacités pour se propulser à vive allure vers son ennemie, lance en main, tentant de lui porter un premier coup. Idéalement elle la frapperait du bout de sa lance pour la planter, mais elle se doutait que Sanguilia n’allait pas rester sans rien faire. Un combat rude s’engagea donc, opposant deux déterminées et puissantes femmes …
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le mardi 15 novembre 2016, 12:11:56
Alors l'ange a choisis le chemin de la violence, dommage pour elle, je n'aime pas abimer mes jouets avant même de l'avoir essayé... Yenessä use des ses pouvoirs angéliques et plusieurs arcs d'éclair se forme autour d'elle m'obligeant à me protéger le visage avec mon avant bras gauche. Grâce à cela, elle se dégage de mon emprise et elle recule en dehors du pentacle de feu.

- Tu n'es pas si bête que ça...

Mais la séraphin venait aussi de comprendre que je ne veux pas me soumettre à elle et elle décide de charger tête baissée vers moi, lance en avant, je suis surprise mais je parviens à esquiver le coup de justesse. Elle continue sa course quelques mètres plus loin posant pied à terre.

- Pourquoi toujours choisir la solution la plus compliquée, hein, je vais te le dire petit ange d'amour.

Je prends une posture guerrière et de ma main gauche, je lance une salve de trois boules de feu, sachant que l'ange pourra esquiver facilement mais j'ai une autre idée en tête. La salve arrive à hauteur de Yenessä qui esquive sans problème l'obligeant à s'éloigner de moi. Profitant de la distance, je concentre mon aura au maximum afin de détruire les dernières parcelles de courage en elle.

- Par ce que ma vie n'a jamais été facile, quoi que je fasse, ma vie est compliquée.

Mon armure disparait de mon corps mais laissant nue aux yeux de l'ange blonde, le combat ne devait pas trop durée afin que ni elle et ni moi soyons blessées. Mais l'ange a une volonté plus forte que mes précédentes rencontres angélique. Mais cette petite salope va craquer et elle sera à mes pieds...

- Regarde moi, regarde moi, concentre toi sur moi et uniquement sur moi, tu sens le désir à plein nez, ne résiste pas cela fera que retarder l'inévitable...

Les plantes et l'herbes autours de nous commencent à mourir sous mon aura, l'air devient chaud et le temps est lourd et humide. Je m'avance doucement vers elle, roulant du cul et des épaules, une démarche de succube pour la voir de plus près et plus je m'approche d'elle, plus je sens la cyprine venant d'elle.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le mercredi 16 novembre 2016, 13:57:30
Yenessä était venue pour mettre fin au règne de terreur de cette fausse idole qu’était Sanguilia, et elle s’était faite la promesse de ne repartir que lorsque l’une ou l’autre aura abdiqué. Dans la mesure où elle était sûre d’elle, la créature ne s’était pas imaginée un seul instant mourir face à cette femme. Cependant, force était de constater que Sanguilia était puissante, extrêmement puissante. Le genre d’adversaire où la seule chance pour le vaincre était le combat long et fastidieux. Sauf que la Séraphine ne désirait pas tuer Sanguilia, mais bien l’amener devant les siens pour qu’elle se fasse juger. La tuer était la dernière option envisageable ! De ce fait, le combat devait se faire d’une certaine façon, afin de ne pas réellement la blesser ou lui porter un coup fatal.

C’était sur ce créneau que Yenessä était partie, et qu’elle avait lancé la première attaque. Sanguilia l’esquiva de peu, laissant alors la Séraphine finir sa course un peu plus loin, atterrissant sur ses pieds. Elle s’en retourna immédiatement vers son adversaire, et fut alors presque horrifiée par ce qu’elle vit et sentit. Sanguilia était en train de concentrer son aura, à un tel niveau, à une telle force que la nature, sous ses pieds, mourrait. Son armure s’était envolée la laissant nue et sans défense physique. Une aubaine pour Yenessä qui aurait dû en profiter pour tenter de la blesser, mais … Elle était en train de lutter contre la corruption, contre cette violente force qui tentait de s’immiscer en elle alors que Sanguilia s’approchait à pas lent de son être.

Le désir, ce poison que la fausse idole tentait d’infuser en elle était réellement en train d’altérer son jugement. Les paroles viciées de la femme parvinrent aux oreilles de Yenessä qui grinça des dents, alors qu’effectivement, elle sentait contre son gré le désir s’éprendre de son être. Petit à petit, luttant corps et âme pour chasser ce poison, elle ne pouvait s’empêcher de penser au corps de Sanguilia, à sa démarche, à sa voix envoutante … Le corps d’une déité. Non ! Elle ne devait pas penser ça. Yenessä se surprenait à éprouver encore plus de désir, mais ses efforts firent qu’elle ne succomba pas à l’emprise de Sanguilia pour autant, même si son aura la bloquait. Elle raffermit sa main sur la lance et la brandit, même si la conviction y était moindre. Elle comprit alors ce que tentait de faire son ennemie, surtout en la voyant rouler des hanches et des épaules ainsi en venant près d’elle. « Sors de mon corps, impie ! Tu ne parviendras pas à me faire plier à tes fantasmes … » Clama alors Yenessä qui pourtant, suait, et était incapable d’empêcher Sanguilia d’approcher.

Et plus elle approchait, plus le poison était intense, allant jusqu’à commencer à la rendre humide, malgré sa volonté de fer. Le corps ne suivait pas, car la femme démoniaque avait une certaine emprise sur celui-ci. Il ne faisait aucun doute qu’elle en ferait de même pour son esprit d’ici peu. Cela commençait à se faire sentir quand elle fut réellement proche ; ses pensées étaient brouillées par des pensées perverses, grivoises, où elle ne se focalisait plus sur rien si ce n’était Sanguilia et seulement Sanguilia … Etait-ce la fin pour Yenessä ?
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le jeudi 17 novembre 2016, 15:55:41
J'espérais une réaction de la séraphine mais rien ne se passe, pas un geste si ce n'est qu'elle lève à bout de bras sa lance afin de me faire comprendre de plus bouger. Mais c'était tellement pathétique, que je continue ma marche jusqu'à elle, je suis à moins d'un mètre d'elle. Yenessä est en suer et légèrement tremblante, elle tente tant bien que mal à contenir son corps qui ne répondait plus depuis un moment.

« Sors de mon corps, impie ! Tu ne parviendras pas à me faire plier à tes fantasmes … »

Je suis surprise mais pas déconvenue, je la fixe d'un air moqueur et rigole de bon coeur.

- Mais enfin petit ange, le combat est déjà perdu pour toi, admet le et tu te sentiras soulagée d'un poids énorme sur ton être.

De ma main gauche, je frôle son épaule droite, touchant son armure, et ma main glisse doucement vers son biceps et son avant bras, sa peau frisonne sous ma caresse et lorsque j'atteins sa main, je prends la lance qu'elle me cède sans opposer de grande résistance et la jette plus loin.

- Tu n'as plus besoin de cela et tu pourrais blesser quelqu'un avec ça ma belle.

Maintenant qu'elle est désarmée, je m'approche encore plus fort d'elle, je sens sa respiration saccadée sur mon visage par sa veine lutte entre son corps et son esprit. Ses yeux qui veulent se montrer fermes mais qui crient au secours, le corps de l'ange l'abandonnait doucement malgré tous les efforts qu'elle faisait. Peine perdue, je replace ma main gauche sur son épaule droite et je libère ma main droite de mon épée afin pouvoir la placer contre sa joue gauche. Je la fixe avec un air satisfait de son impuissance à réagir à mes propos. J'approche mon visage du sien pour vraiment sentir son souffle contre ma bouche, j'entrouvre la bouche comme pour feindre un baiser et voir sa réaction qui ne venait pas. Alors je pries les devants et l'embrasse mais Yenessä me mort la lèvre inférieur car le dernier sursaut d'une bête à l'agonie. Je me recule légèrement avant de placer mon front contre le sien afin de pénétrer son esprit et lui envoyer des millions d'images de luxure entre elle et moi. Le visage de la séraphine se fige comme tétanisé, son esprit se brise sous ma volonté et sous mes envies, Yenessä ne contrôle plus rien et j'en profite pour l'embrasser avec passion sa bouche qui m'accueille suavement. Ma langue joue avec la sienne et je sens son corps se crisper sous mes caresses sur son bras et son visage. Je recule mon visage de l'ange et je me place derrière elle, je mets ma tête au dessus de son épaule droite, dégageant ses cheveux blonds, et pétrie de baisers son oreille. Tantôt douce avec ma langue et parfois fougueuse par de petite morsure douce, son lobes se teint d'une couleur rouge sous mes assauts. Je profite de ma position pour défaire l'armure de l'ange qui tombe à ses pieds, enlevant aussi ses brassards et ses jambières, Yenessä ne s'y oppose pas de toutes façons, elle reste figer dos à moi et comme seule protection des sous vêtements de soies blancs. Je la ceinture avec mes mains et, alors que ma main gauche soulève son soutien gorge, celle de droite passe sous la culotte de la séraphine.

- Mais dites donc, on est méticuleuse avec son antre du plaisir, un léger duvet qui réclame la caresse et... ooooooooh...

La confirmation de mon odorat de succube, les grandes lèvres de l'ange sont gonflées et trempées de plaisirs, mais ce n'est pas tout, car Yenessä mouille encore très fort et ma main est déjà recouverte de la cyprine de l'angélique être.

- Tu vois que je peux me montrer douce avec toi et je peux l'être encore plus si tu me cèdes ton corps et ton esprit à mes envies de vices envers toi.

Montrant ma bonne foie, je passe délicatement mon index et mon majeur sur les grandes lèvres de la séraphine qui pousse un petit crie, de surprise ou de plaisir, je ne serais le dire mais un petit son s'est fait entendre. Quand à la main de gauche, elle s'occupa de la poitrine fournie de la séraphine dont les tétons pointes sous mes caresses.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le jeudi 17 novembre 2016, 17:39:21
C’était inexplicable. Ou plutôt inattendu ; Yenessä savait que Sanguilia allait être une redoutable adversaire, mais pas à ce point-là. Avec des siècles d’existence derrière elle, la Séraphine en avait vu des créatures se prétendantes puissantes et invincible. Pour la plupart ce n’était que de la mégalomanie, mais en rien ils ne méritaient un tel statut … Jusqu’à ce jour, où elle était tombée sur cette femme. Cette créature de pure malfaisance, qui usa de ses grands pouvoirs pour plier le bras pourtant solide et aguerri de Yenessä, en usant une force difficilement contournable ; la luxure. Un paradoxe pour des créatures qui ne pratiquaient jamais le sexe ? Pourtant, un corps restait un corps. Et celui de Yenessä commençait alors à la trahir, ne pouvant contenir autant d’énergie et de corruption sexuel.

Cela prit donc la forme d’une paralysie, empêchant la Séraphine de répliquer davantage. La chaleur monta d’un seul coup alors qu’un brasier commença à se déclarer en elle, la tétanisant complètement. Sanguilia s’approcha d’elle sans se faire repousser, et forcément, elle profita de cela pour renforcer son emprise. Yenessä sentait que la créature poussait son aura de corruption au maximum, et peinait à lutter contre. Le désir, la luxure, le plaisir … Tout ceci elle devait lutter contre. Mais, sa fin fut avérée quand la fausse idole parvint à la toucher du bout de ses doigts, posant alors sa main corrompue et viciée sur son épaule. La Séraphine sentit un frisson la parcourir malgré elle quand la main de Sanguilia caressa la sienne, puis grogna d’un seul coup quand elle la désarma. Son regard était meurtrier, et même si elle ne pouvait pas répliquer physiquement à Sanguilia, il lui restait la parole.

« Ta corruption ne suffira pas … À … À m’achever, engeance maléfique. J’ai bien plus de … Haa … Ressources que tu ne le crois. » Peina alors à dire Yenessä qui serra son poing. Sur la durée la Séraphine pourrait repousser la corruption qui s’installait en elle, mais c’était compter sur le fait que son adversaire n’allait pas en rajouter une couche. Ce fut évidement le pire scénario qui advint ; Sanguilia approcha son visage et sortit sa langue, venant chercher de force un baiser chez l’être de pureté, qui naturellement la repoussa en la mordant à vif. Néanmoins même si cela suffit à repousser temporairement la femme, cette dernière rappliqua et acheva les défenses de Yenessä. Elle se colla contre elle, plaquant son front contre le sien et s’introduisit avec force dans son esprit. Elle lui projeta des milliers d’images perverses, à la limite de toute moralité. Sanguilia la submergeait, la noyait dans un flot d’images, de paroles, de poison sexuel mettant en scène les deux femmes …

C’était ce qui tua définitivement les défenses de la Séraphine qui se crispa complètement et allait se mettre à hurler, avant que la fausse idole n’en rajoute une couche en plaquant ses lèvres contre les siennes, venant finalement chercher son baiser forcé. Avec tout ce que prenait Yenessä dans la tête, celle-ci ne put alors qu’accueillir chaudement la langue de Sanguilia qui était à présent maitresse dans sa bouche, et bientôt dans son esprit … Ses muscles se crispèrent, son souffle haleta alors que son ennemie l’embrassa langoureusement, encore et encore, tordant sa langue à la sienne. Après un moment qui parut éternel pour Yenessä, celle-ci sentit le feu en elle devenir incontrôlable, et elle commença alors à céder psychologiquement … Il suffisait de voir comment elle se mit à mouiller pour le deviner. Sanguilia se faufila dans son dos et lui provoqua son lobe d’oreille, avec une douceur qui la troublait grandement. Une fausse douceur et gentillesse qui n’étaient là que pour l’amadouer. Mais dans son état, cela marchait.

Yenessä était paralysée, entièrement, et ne put qu’être spectatrice de sa propre déchéance quand elle sentit sa bourrelle lui retirer son armure, la laissant en sous-vêtement. Elle saisit sa chance et se mit à malaxer la poitrine de la Séraphine tout en faufilant sa main dans sa fine culotte, profanant ce qu’elle avait de plus intime, arrachant un râle et un long soupir trahissant le plaisir que ressentait Yenessä. Elle mouillait, abondamment, et les caresses digitales de Sanguilia l’amenèrent au bord de la folie, alors qu’elle râlait et grognait de plaisir désormais. Et ce n’était pas ce pincement au niveau de ses tétons qui allait arranger les choses. Yenessä était finie, cette créature n’avait plus aucune barrière devant elle pour s’emparer de la Séraphine, dont l’esprit avait commencé à être brisé. Elle grogna une nouvelle fois alors qu’elle sentit un puissant frisson la parcourir, signe avant-coureur que Sanguilia allait la faire jouir … La résignation était désormais son seul salut. « Ach-Haaaaan … Achèves-moi. ACHEVES-MOI !!! » Cria-t-elle, tout en ne sachant pas si c’était un cri de désespoir … Ou de folie, réclamant donc que Sanguilia la fasse jouir encore et encore, tellement c’était bon …
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le vendredi 18 novembre 2016, 16:38:31
Le combat est terminé et Yenessä a perdu sur le terrain de la psychologie contre moi, il y a peu son corps était crispé maintenant il est tout contre le miens, je peux sentir ses fesses contre le bas de mon ventre. L'entendre gémir, quelle victoire pour moi, un ange aussi puissant se soumettre à ma volonté... c'est une sensation très grisante. La séraphine n'en peux plus, elle avait tellement redouté se moment qu'elle est, à présent, ouverte à moi, sans retenue aucune, passant d'une bête à l'agonie à une bête en rute. De temps en temps, son visage se colle au mieux et parfois elle tourne la tête pour déposer un baiser sur ma jour gauche, ses mains tiennent mes hanches m’empêchant de me déplacer sans elle. Yenessä ne voulait plus de guerre avec moi mais ma chaire, ma luxure et mes doigts. Pendant un cours instant, une larme coule sur sa joue et pendant se bref instant, j'ai eu la sensation de me voir auprès d'Hadès lorsqu'il me changea en Perséphone, la vie n'est qu'un éternel recommencement. Alors que sa respiration se fait de plus en plus profonde, Yenessä a signé son abdication totale par une phrase qu'elle est parvenue à extraire de sa gorge entre deux soupirs de plaisir.

« Ach-Haaaaan … Achèves-moi. ACHEVES-MOI !!! »

Je peux le sentir, son corps se prépare à avoir un énorme orgasme... Non, non, non et non, pas encore ma belle.

- Pas maintenant, pas encore, j'ai une dernière chose pour toi...

La poussant en avant, Yenessä se tourne vers moi au moment où je claque des doigts faisant apparaitre un pénis long et dur d'entre mes lèvres vaginales. La séraphine a eu un air de surprise à son visage teinté de peur, elle ne s'attendait pas à cela et, alors qu'elle fixe mon pénis, je m'approche d'elle alors que sans qu'elle le remarque, ma bouche a changé pour une forme proche des vampires. J'attrape ses cheveux pour lui tirer en arrière afin d'ouvrir son cou à mes crocs et je la mords le plus fort possible. Mes canines plongeant dans sa chair meurtrie par la pénétration, son sang coule déjà pas mal par le fait que j'ai mordu au niveau de la carotide. Le liquide écarlate emplie ma bouche rapidement en saccade ce qui a le don de faire monter en moi un sentiment de puissance et de folie pure. Mes yeux se parent d'un jaune brillant et ma bouche secrète un liquide noir qui rentre dans les trous. Ce liquide onyx n'était rien d'autre que ma marque que je voulais apposer sur elle, cette petite salope d'ange devait m'appartenir au plus vite. Cette morsure dur depuis maintenant trente secondes où Yenessä ne réagit plus, ses bras tombent le long de son corps comme amorphe de toute réaction. La séraphine lache quelques soupirs de détresse comme si la vie s'échappe d'elle alors qu'il n'en était rien du tout. Après trente seconde de plus, je relache l'angelot qui affiche un visage déconfit. Ensuite, son corps a commencé à trembler, de légère convulsion qui la fait tomber au sol, à la base de la morsure, une marque noire se forme et ses veines proches de sa peau se teintent d'un noir ténèbres, la transformation a commencé. Yenessä hurle de douleur, se tenant le cou, se tordant et remuant par terre.

- Chuuut, ce n'est rien ma belle, grâce à ça, tu verras le monde différemment, un monde où seul ton avis et tes désirs comptent, tu fais ce que tu veux quand tu veux. Laisse toi aller dans les ténèbres, rejoins moi et sers moi, je ferais de toi la première Grande Séraphine noire de tous les temps.

Alors qu'elle continue de hurler de douleur, mon coté folie me relance dans des pulsions au niveau de ma verge qui se fait encore plus dure, et je ne veux pas me branler comme ça vulgairement... Me vient alors une idée folle, un ange est offert devant, vierge et sans moyen de se défendre contre moi. Mon visage se déforme par un sourire tellement mauvais, tellement diabolique... Je m'approche de ses jambes et force l'ouverture... Je me couche sur elle, bloquant ses mouvements de douleurs, je force la pénétration. Chaque millimètres pénétrés, je sens son vagin craqué sous la pression et la chaleur du sang de l'hymen qui se déchire sous le premier coup de reins. Après quelques va et viens, l'odeur du sang et de la cyprine prirent possession dans mes narines. Aux cris de douleur, Yenessä me supplie d'arrêter car c'était trop pour elle et à plusieurs reprises, elle tente de me repousser mais rien n'y fait, je la pénètre encore et encore. Toujours plus fort et le plus loin possible. Après cinq minutes, toutes ses veines sont d'un noir profond, de la tête aux pieds, même ses yeux sont devenus noir totalement, plus d'iris et plus de pupille.

Après un temps, la séraphine ne réagit plus à nouveau, la douleur de la marque a disparut et sur son nombril le même sceau que moi. Elle est la troisième personne à l'avoir après Asalia et moi. Elle était ailleurs, perdue dans sa tête qui devait reconstituer un esprit après une attaque psychique, une attaque de luxure, une apposition de marque et le viol qui était toujours en cours même si j'ai plus trop de résistance, en effet, le vagin de l'ange étant nouveau et très étroit étranglant ma verge.

- Aaaah putain Yenessä quelle chate que tu as... Je vais jouiiiiir...

Dans la dernière syllabe de jouir, de long traits de sperme s'écoulent en elle, envahissant son utérus bien meurtri...
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le samedi 19 novembre 2016, 13:30:43
Cela allait bien plus loin que ce que s’était imaginée Yenessä. Dans son esprit, dans le peu de lucidité qu’il lui restait à ce moment, elle s’était convaincu que Sanguilia allait en faire son jouet pour un temps. Un temps qui durerait aussi longtemps que la fausse idole trouverait la Séraphine divertissante. Mais, Yenessä ne s’était pas attendue à ce qu’elle allait réellement lui faire … Elle n’avait pas anticipé la possibilité que cette femme la corrompe jusqu’au noyau, de manière à ne pas seulement la faire dévier pour un temps, mais de manière à la transformer. Littéralement. Sanguilia semblait dans l’optique de métamorphoser Yenessä pour en faire une de ses séides, et cette pensée glaça le sang de la créature qui encore une fois, ne pouvait rien faire. Elle lui avait hurlé de l’achever mais, au lieu de ça, sa bourrelle la poussa en avant et se dégagea de son emprise.

Yenessä en profita pour se retourne face à elle, et fut horrifiée en voyant ce qu’elle vit. Un maléfice qu’usa Sanguilia pour se faire pousser un sexe masculin. Cela eut le mérite de faire écarquiller les yeux de l’intéressée, qui savait l’usage dont la propriétaire allait en faire. Elle ne voulait pas … Elle ne voulait pas perdre sa pureté, sa virginité. Ce combat était une catastrophe et Yenessä risquait d’en sortir changée à jamais … Si elle s’en sortait. Si elle revenait auprès des siens. Ce dont elle doutait de plus en plus, et dont elle avait peur. Oui, Yenessä avait peur pour le coup. Peur de se perdre, peur que cette femme se décide de ne pas l’anéantir mais, bien au contraire, la faire renaitre en une autre chose. Une aberration, une monstruosité qui naitrait de sa chair … Elle en eut confirmation peu après. Sanguilia s’approcha d’elle avant qu’elle n’empoigne fermement sa chevelure, et qu’elle fasse pencher sa tête en arrière afin d’exposer son cou.

« N-Non ! NON ! » Hurla alors Yenessä qui sentit soudainement les crocs se planter sauvagement dans sa carotide, lui arrachant un puissant râle de douleur. Son sang coula quelque peu, et passé la douleur de la morsure, une autre douleur commença à s’installer. Une douleur bien plus aigüe et diffuse dont l’épicentre était la morsure. Pendant quelques secondes elle soupira, mais sa voix et sa force quitta peu à peu son corps, la laissant tel une poupée de chiffon inanimée, ses bras retombant le long de son corps. Son sort venait de définitivement se sceller, et elle retomba au sol mollement. Cependant cette période d’inactivité cessa bien vite quand elle sentir une violente douleur la prendre au niveau de la morsure. Elle hurla, encore et encore, tenant son cou au niveau de sa blessure, alors que son corps entier était pris de convulsion. Elle constata avec horreur que ses veines devenaient progressivement noir. Un noir aussi ténébreux et profond que le cœur de cette Sanguilia, qui venait alors de créer une atrocité.

Se tordant de douleur et de hurlements, Yenessä ne put rien faire quand sa bourrelle se jeta sur son être, la plaquant fermement au sol, avant de profaner de force son corps. Elle usa de son sexe fraichement apparu pour la pénétrer de force, lui arrachant d’autres râles de douleur dû au fait qu’elle lui brisa sa fleur de pureté, sans aucune retenue ni pitié. Elle venait de lui prendre sa virginité avec cruauté, lui retirant cette dernière part de pureté résidant en elle. Yenessä devint complètement folle ; entre les hurlements et ses convulsions elle tenta de repousser Sanguilia mais, son emprise était trop forte. La corruption progressa rapidement dans son corps, de manière à ce qu’au bout de cinq minutes, toutes ses veines étaient noires, et ses yeux furent les derniers à changer. Ses globes oculaires devinrent noirs, effaçant pupille et iris pour devenir de ténébreux globes.

À ce moment-là, Yenessä n’était plus. Son esprit se brisa en mille éclats. Des millions d’images traversèrent son esprit, l’enfonçant dans cette corruption qui prit possession d’elle. Violence, sexe, cupidité, débauche … Voilà ce qu’elle vit, par millions en l’espace de quelques secondes. Elle ne le remarqua pas, mais la marque de Sanguilia s’imprima sur sa peau au niveau de son nombril, indiquant clairement sa nouvelle allégeance. Après un temps, une énorme vague de plaisir déferla dans son corps, qui coïncida avec le moment où sa nouvelle maitresse, la magnifique Sanguilia, se mit à jouir en elle. Remplissant son utérus de son précieux nectar, achevant la transformant de Yenessä en Séraphine Noire. « HAAAAAAAAN !!! » Hurla-t-elle de plaisir, accompagné d’un rire presque diabolique. Tout ce à quoi elle pensait désormais était son plaisir, cette queue plantée en elle et qui la tringlait comme la plus vulgaire des putains.

Yenessä jouit et fut frappée d’un puissant orgasme, qui vint conclure sa transformation. Ses cheveux devinrent blancs et sa peau se dépigmenta, devenant aussi blanche que celle d’un cadavre. Le foutre de Sanguilia la remplit joyeusement, mais son sexe fut subitement repoussé en dehors de sa féminité par quelque chose. Un quelque chose qui poussa depuis l’intérieur et qui, quand la voix fut libre, sortit des chairs de Yenessä. Une queue massive et juteuse sortit, accompagnée d’une lourde et imposante paire de testicules qui vinrent effacer à jamais toute trace de ce qui était avant un sexe féminin. Yenessä hurla et se mit même à jouir avec son nouveau sexe, qui cracha sauvagement des furieuses salves de foutre épais, dont la couleur était étrangement noire, et non blanche. Après un moment, tout sembla se calmer la Séraphine noire reprenait longuement son souffle.

Elle rouvrit ses yeux, qui étaient ténébreux, puis se redressa lentement sur ses genoux. Elle observa ses mains dont les ongles étaient devenus des griffes, et dont la teinte n’était plus rosée mais noire, absolue. Elle se mit à rire nerveusement, puis redressa son regard vers ce qui était dorénavant sa déité … Puis se jeta sur elle, la plaquant à son tour au sol. Yenessä sortit sa langue qui était à présent reptilienne comme celle de Sanguilia, puis l’enfonça nerveusement dans la bouche de la jeune femme, se mettant à l’embrasser avec force et beaucoup, beaucoup, de passion. Un baiser d’affamée, où les lèvres – noires – se pressèrent l’une à l’autre avec force et rythme, et où les langues filiformes s’enroulaient l’une avec l’autre. Quand elle termina son baiser, elle écarta un peu son visage puis se redressa, finissant à califourchon sur Sanguilia. Son mandrin était blotti contre le sien, et cela lui donna l’idée de les saisir tous les deux d’une seule main, et de se mettre à les branler ensemble, l’un contre l’autre. « Alors Maitresse, je vous plais ? Jamais je n’ai pris un … Haaaan … Un PUTAIN DE PIED PAREIL !!! » Dit-elle de sa nouvelle voix, plus rauque, plus fantomatique, tout en astiquant avec force son mandrin et celui de sa maitresse ensemble.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le jeudi 24 novembre 2016, 16:38:36
Yenessä a un dernier spasme d'orgasme mais la suite est vraiment surprenant, l'ange termine sa transformation devant moi et sous une onde de choc. Elle a maintenant une peau blanche et ses cheveux ont eu le même destin. Quand à ses yeux, ils sont restés d'un profond noir comme ses ongles et à la place d'un vagin accueillant, une verge et un scrotum énormes. Un léger soupir m'échappe tellement Yenessä est devenue magnifique encore plus... Et pour terminer le rituel, la séraphine noire a eu un deuxième orgasme en éjaculant un sperme noir de son nouveau sexe. Puis, pendant un court instant, il se passe plus rien, le silence, Yenessä se met sur ses genoux et pousse un rire de satisfaction, un fois ce moment de joie, elle se tourne vers moi, en un quart de seconde, Yenessä se jette sur moi à une vitesse vertigineuse et elle me plaque au sol avant que je puisse faire quoi que ce soit. Je tombe à la renverse et ma partenaire se place au dessus de moi, elle a eu, avec sa transformation, quelques attributs de moi, elle joue avec sa langue devenue reptilienne et elle enfonce sa langue dans ma bouche afin de me voler un baiser des plus fougueux. Je garde mes yeux ouverts afin de la voir plus près, et je suis pas déçue de la vision que j'ai. Ses lèvres sont noires donnant du relief à un visage froid agrémenté des deux billes noires lui servant d’œil.

« Alors Maitresse, je vous plais ? Jamais je n’ai pris un … Haaaan … Un PUTAIN DE PIED PAREIL !!! »

Alors qu'elle finit sa phrase, Yenessä commence à masturber ma verge avec sa verge, même pour moi c'était nouveau.

- Maitresse, haaaaa... Appelle moi Sanguilia ou Perséphone quand nous sommes que deux... mmmmh... Maitresse ou Déesse devant les hommes... Tu m'excites beaucoup, tu me plait énormément... Je te veux haannnn...

Je retire sa main et claque des doigts afin de faire disparaitre ma verge et laisser la place à mon vagin imberbe. Avec mes jambes, je ceinture la nouvelle acquisition à sa taille et la force à me pénétrer.

- Maintenant ma séraphine noire, baise moi bien fort, laisser parler les milliers d'années de frustration...

Yenessä commence un pilonnage terrible de mon antre intérieur qui mouille de plus en plus fort afin d'accueillir le pieu de l'ange. De ma position, les cheveux de mon amante me frottent le visage ce qui à le don de me faire frissonner et jouir en même temps, après mon bel orgasme, je relâche le haut de mon corps et pose mon dos bien au sol, les bras écartés profitant du moment après une bataille qui aurait pu changer du tout au tout si elle m'avait touchée la première... Mais j'avais gagné se combat de façon traitre mais je suis fière de moi, une séraphine dans mon camp donner encore plus d'ampleur à mon armée, d'ailleurs Yenessä est la première séraphine noire de l'histoire.

- Tu es maintenant une femme libre haaaaaa... Tu peux faire ce que tu veux...

Après cette phrase, j'embrasse cette angélique et lorsque je retire mes lèvres en laissant ma langue dans sa bouche jouant avec la sienne sans l'entraver dans ses mouvements.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le vendredi 25 novembre 2016, 13:17:12
Voir et sentir la satisfaction de sa maitresse provoqua un énorme sentiment de fierté en Yenessä, désormais servante éternelle et dévouée à la puissance Sanguilia. Le simple fait de sentir qu’elle était ravie, satisfaite de sa transformation et de ses agissements suffisamment à la séraphine noire pour redoubler en ardeur, lui donnant de plus en plus envie de tringler avec force cette femme. Cette femme qui était au-dessus de tout désormais. Alors qu’elle astiqua sa verge et la sienne ensemble d’une seule main, Sanguilia gémit et haleta, tout en lui demandant de l’appeler par son prénom en privé, et par son statut en public. Ses souhaits étaient les désirs de Yenessä, et ses ordres étaient ses buts. Obéissante, la femme hocha de la tête et sourit encore plus vicieusement en sentant la puissante femme faire disparaitre sa verge pour retrouver sa féminité.

Puis elle se mit en position et une paire de jambe vint piéger les hanches de Yenessä, la plaquant contre le corps chaud et tendre de la magnifique Perséphone, qui força la pénétration. Elle arracha un râle de plaisir et de virilité à Yenessä qui sentit sa douloureuse trique se faire gober par l’intimité accueillante et terriblement agréable de son amante. Avec force elle plaqua les poignets de Sanguilia au sol, les amenant au-dessus sa tête alors qu’elle apposa son corps contre le sien. Chacune de ses formes épousèrent celles de la déité, ses seins se mirent à se blottir contre les siens, et sa verge s’enfonça lourdement en elle. « Je vous baiserai jusqu’à ce que mes couilles soient aussi vide que ma vie d’antan. » Dit-elle solennellement, avec cette hargne, cette force qui la caractérisait si bien. Joignant le geste à la parole, Yenessä prit appui et s’enfonça chaudement, son bassin montant et descendant pour s’abattre avec férocité.

Sa verge profana ce temple sacré appartenant à Sanguilia, la tringlant de toute ses forces, abattant chaque muscle de ses reins et de son dos contre elle. Yenessä s’enfonça si profondément que ses testicules frappèrent régulièrement contre son amante. Dans sa tête, dans son corps, dans son âme il n’y avait plus qu’une seule et même chose, qui régnait en maitre ; Sanguilia. Yenessä la respirait, en vivait, en mourrait, en désirait. Il n’y avait plus qu’elle qui comptait, et par extension, son plaisir. C’était pour cela qu’elle déploya toute sa force pour la tringler et la prendre férocement, abattant son sexe sans vergogne au fin fond de son intimité. Un long et terrible rodéo qui dura un certain temps, où Yenessä fit varier la puissance et la vitesse de ses coups de butoirs, dans l’unique but de procurer le plus de plaisir à Sanguilia.

Elle ne résista guère longtemps à l’envie dévorante de l’embrasser, et heureusement, sa maitresse assouvit cette soif à sa place. Elle se mit à longuement l’embrasser, les langues se tordants ensemble à nouveau alors que les salives s’échangèrent et coulèrent en abondance, mouillant délicieusement ce baiser acharnée et affamée que les deux femmes entretinrent, sous les puissants et hargneux coups de butoirs de Yenessä. « Hmmrrrrr ! » Rugit-elle de plaisir, se défoulant effectivement de milliers d’années de frustrations sexuelles. Sanguilia la belle, Sanguilia la puissante venait de la libérer, de faire d’elle une femme libre et consciente de ce qu’elle était. Yenessä profitait bien de cette nouvelle liberté pour servir éperdument sa maitresse, qu’elle aimait si profondément et si viscéralement. Un amour si fou et si puissant qu’il en devenait folie pour une personne normale. La hargne et le feu gagna la séraphine noire qui finit par se redresser, rompant le baiser. Toujours en gardant son sexe en elle, elle se mit à genoux et saisit les doucereuses jambes de Sanguilia pour les apposer sur chacune de ses épaules.

De cette manière elle était bien positionnée pour se faire prendre, et Yenessä en étant à genoux, aurait plus de force pour s’enfoncer en elle. La séraphine reprit son labeur sous les râles et les grognements, avec toujours ce plaisir fou, immense qui la possédait. « Ce que je veux … HAAAANNN ! Ce que je veux c’est vous se-servir jusqu’à … Haaaa … Jusqu’à la fin des temps ! De tuer en votre nom … Hmmmmm … De violer, de détruire, de BAISER en votre nom !!! » Rugit-elle, doublant de force et d’ampleur dans ses coups de butoirs, sentant la moutarde remonter dangereusement en elle. Sa verge était gonflée, joufflue, raide et continuait inlassablement de prendre Sanguilia. Au bout d’un certain temps sans jamais s’arrêter, la séraphine ne put se contenir d’avantage et finit par être frappée d’un nouvel orgasme, qui la foudroya sur place, la submergeant de plaisir de partout.

Sa voix s’éleva puissamment, alors que ses doigts s’enfoncèrent dans la chair de sa vénérable maitresse et qu’elle se mit à juter en elle. Sa verge cracha de violentes et épaisses salves de foutre pendant au moins une bonne minute, alors qu’elle continuait de pilonner. Yenessä sentit ses testicules frémir à force de juter encore et encore, remplissant les entrailles de Sanguilia d’un concentré de d’amour, de frustration et de corruption … « HAAAAAAA OUIIII !!! » Hurla-t-elle, ne se retenant plus. Plus jamais elle ne se retiendrait … Plus jamais ne serait-elle frustrée dorénavant. Quand l’ouragan passa, Yenessä haleta fortement et reprit à grande bouffée son souffle. Son buste s’agrandit et s’aplatit au rythme de sa lourde respiration, alors que son regard croisa à nouveau celui de Sanguilia. Ses mains remontèrent le long de ses jambes galbées, caressant avec tendresse et avidité cette peau incroyablement douce et désirable.

Puis, la séraphine noire approcha ses lèvres de son mollet gauche puis se mit à le lécher, avec révérence et appétit. Sa langue reptilienne sortit et s’écrasa contre elle, léchant sa peau, donnant de temps à autre des petits baisers. Progressivement, Yenessä dirigea sa bouche vers le doux et délicat pied de sa maitresse, dont elle se mit finalement à l’embrasser, à le lécher abondamment, le tenant respectueusement dans sa main.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le jeudi 01 décembre 2016, 09:21:58
La nouvelle Yenessä se sent très libérée, décomplexée et dans un état de furie qui la rend encore plus belle qu'elle ne l'est. Elle prend les devants et profite de sa position pour m'imposer son rythme de pénétration. La Séraphine ne me quitte plus des yeux comme obnubilée par moi et rien d'autre, relevant mes bras au dessus de ma tête, mon ange se couche sur moi, cherchant un baiser et la domination de mon corps je l'accueille du mieux possible. Pendant un instant, le rapport maitresse/soumise n'existe plus et Yenessä me possède par la force de son gourdin. Car oui, même si c'est nouveau pour elle, la séraphine a déjà une bonne maitrise de cette lance de chair et de sang qui s'enfonce au plus profond de mon corps m'obligeant à soupirer comme une petite catin. Son sexe ne ménage pas le miens et mes grandes lèvres sont déjà rouges et boursoufflées pas les coups de reins de Yen qui me fixe toujours comme pour me faire comprendre que je devais être fière d'elle. Elle n'a pas besoin de faire ça, mais je trouve l'intention de ma satisfaire tellement honorable que je suis déjà tellement fière d'elle.

« Je vous baiserai jusqu’à ce que mes couilles soient aussi vide que ma vie d’antan. »

Je lui souris, déclaration drôle, mais j'ai compris qu'elle venait à l'instant de tirer un trait sur sa vie passée. Comme réponse, je l'embrasse de plus belle, plongeant ma langue au plus profond de sa bouche pour aller chercher chaque goutte de salive de mon amante et lorsque je relache ses lèvres noires, je descends à son menton que je mordille doucement. Je suis toujours heureuse que quelqu'un tente de satisfaire les moindres désirs et je le suis encore plus quand cette même personne le fait très bien. Yenessä me baise comme une Déesse le mérite, alternant les passages de grandes saccades aux petits coups brefs et rapides qui me fait languir.

« Ce que je veux … HAAAANNN ! Ce que je veux c’est vous se-servir jusqu’à … Haaaa … Jusqu’à la fin des temps ! De tuer en votre nom … Hmmmmm … De violer, de détruire, de BAISER en votre nom !!! »


Tous ses mots sont du miel pour moi, un nectar tellement doux et tendre que je ne peux m'empêcher de l'imaginer en action, toutes ses années en ange pur et blanc lui ont fait manquer tellement de plaisir. La Séraphine noire est réellement à l'image que je voulais avoir lors de la morsure, un être dévoué à ma cause, un être qui va engendrer tellement de victoire sous ma bannière. Mon nom se fera connaitre tellement loin grâce à elle que je ne peux m’empêcher d'avoir un rictus démoniaque qui déforme mon visage, cette femme angélique va faire passer mon règne dans un nouvel ère. Je suis sortie de mes pensées par la respiration profonde de Yenessä qui présager un orgasme, moi aussi, je suis au bord de l'explosion, ma Séraphine me baise tellement bien que je suis moi aussi en train de soupirer entre deux coups de butoirs. Malgré son souffle, Yenessä continue encore et encore à me labourer mon vagin, quand à moi, je me retiens de jouir, je ne veux pas montrer un signe de faiblesse dès le premier corps-à-corps avec elle, mais merde, cela devenait vraiment dur de le contenir.

« HAAAAAAA OUIIII !!! »

Enfin, elle lâche son jus noir et visqueux au plus profond de moi et je libère mon orgasme qui m'oblige à me cambrer comme une pucelle ayant connue sa première étreinte, oui je venais de me faire baiser telle que je le méritais. Mais Yenessä ne me mentait pas quand elle disait qu'elle allait me baiser jusqu'à que ses couilles soient vides, car ses couilles se vide encore et encore dans mon utérus, frappant ma protection magique qui m'empêche de tomber enceinte, une minute que sa verge me remplie sans discontinuer. Il y en a tellement que cela sors de moi et se répand sur le sol. Malgré tout, Yenessä continue encore ses coups de reins qui me font jouir encore et encore.

- PAR LES ENFERS... HAAAA... OUIIIIIIIII... HAAAAAAAAAAN...

Gorge déployée, je crie mon plaisir aux oreilles de la Séraphine qui continue à se vider en moi. Et cela jusqu'à la dernière goute de foutre de ma nouvelle amante. Lorsque ses couilles sont vides, Yenessä relève son buste et place mes cuisses sur ses épaules, je cherche dans son regard une raison à cela mais je la laisse faire, une personne qui vous fait jouir comme cela, on cherche pas à l'arrêter que du contraire. Mais l'ange se montre plus tendre, léchant ma peau tout en parsèment des baisers par ci par là, Yenessä remonte jusqu'à mon pied et le lèche avec un respect qui me rend quelque peu chose.

- Yenessä, comment te sens tu maintenant que tu es maudite? Comment te sens tu libre de tes mouvements? Serais tu prête à te sacrifier pour moi? Serais tu prête à subir tous les outrages de ma part? Je ferais de toi la Séraphine la plus respecter de tout Terra et de la Terre, je ferais de toi un être quasi divine, tu es tellement belle et puissante, que tu seras toujours à mes cotés quand je tuerais les Olympiens.

Je fixe son visage cherchant la moindre réaction qui pourrait me montrer une facette de sa nouvelle personnalité.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le samedi 03 décembre 2016, 13:47:47
Il fallait bien le dire ; Yenessä se sentait vivre désormais. On pouvait accuser la corruption de parler à sa place, ou de biaiser son jugement. Mais les faits étaient là ; jamais elle ne s’était aussi bien de toute sa vie, qui pourtant fut longue. À vrai dire elle avait l’impression qu’elle ne faisait que commencer, maintenant qu’elle avait connu la vérité, et qu’elle avait enfin rencontré sa Maitresse. Sanguilia était là, allongée au sol dans toute sa splendeur et sa magnificence, rayonnante comme mille feux à elle seule. Comment ne pas la prendre au sérieux quand elle clamait haut et fort qu’elle était une Déité ? Comment ne pas s’aplatir devant elle, lui baiser les pieds, implorer sa grâce et ses faveurs. Yenessä trouvait cela impossible à faire, et pourtant elle se souvenait de l’état d’esprit qu’elle avait en venant ici. Un affront impossible à commettre désormais … Elle s’était rendue compte qu’elle n’avait strictement aucune chance face à elle.

Mais, tout ceci était du passé. La Séraphine Noire était plus que jamais heureuse de servir Sanguilia et ce éternellement. À jamais elle pourrait exécuter ses volontés, et à jamais elle pourrait rattraper toute sa frustration sexuelle avec elle. Yenessä était là, à genoux, tenant soigneusement l’un de ses délicat pied entre ses mains. Elle le léchait avec tendresse et grande révérence, comme s’il s’agissait d’une petite pièce de porcelaine toute fragile et délicate. Sa langue parcourait généreusement sa plante et s’appuyait contre, la léchant encore et encore, avant de lentement passer à ses orteils. Mais, les mots de sa maitresse résonnèrent dans sa tête comme un doux nectar intellectuel, et finit par la faire sourire d’avantage. Elle reposa son petit pied à terre puis se glissa entre ses cuisses, tel un félin, contre son corps pour arriver à hauteur de son visage. Elle se plaqua contre elle puis caressa doucement sa joue de par sa main, plongeant son regard dans le sien.

« Maudite ? … Si je fus maudite, c’était bien dans ma vie d’avant. Je serai prête à me faire torturer et ressusciter en boucle par vos mains si l’envie vous en prend … Je serai prête à subir tous les outrages que vous pourrez imaginer … Je serai prête à vous vénérer et à vous chérir jusqu’à la fin des temps … Je suis, et serai à jamais vôtre, ô magnifique Sanguilia … » Dit-elle d’une voix solennelle et langoureuse, ayant regardé sa maitresse droit dans les yeux durant sa déclaration. Il n’y avait aucun doute à avoir ; Yenessä était et serait à jamais la propriété de Sanguilia. Sa plus grande dévote, sa plus grande amante et amoureuse, sa plus grande fidèle et guerrière … Des belles années voire siècles à venir ! « Le plus grand honneur qui puisse m’être fait, c’est de pouvoir satisfaire une femme comme vous, Maitresse, sur tous les points de vue. D’ailleurs, même si je meurs d’envie de vous baiser encore et encore, de suite … J’estime qu’une personne de votre rang mérite un meilleur cadre. » Dit-elle, avant de se relever.

Yenessä se redressa debout en prenant les douces mains de son amante avec elle, pour la relever à son tour. La Séraphine noire esquissa un sourire carnassier et pointa alors le village d’où provenait Sanguilia avant qu’elle ne vienne. « Il est temps que le monde sache en qui il doit croire … Ces sauvages vous vénèreront, et vous serez leur Deité. Ils vous construiront votre premier palais, votre premier temple … Et là, Maitresse … » Dit-elle en se penchant vers elle, se mettant à lui susurrer à l’oreille. « Je vous montrerai réellement ce qu’est le plaisir, dans vos couches et parures d’or … » Murmura-t-elle, mordillant doucement son oreille avant de s’écarter. Pour convaincre ces pécores que Sanguilia était leur maitresse, rien de plus simple ; elle allait user du fait qu’elle ressemblait à une ange pour faire croire à un miracle. Là-dessus, elle leur ordonnerait de vénérer Sanguilia et de faire alors absolument tout ce qu’elle leur dirait. Absolument tout …
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le lundi 05 décembre 2016, 17:16:02
Alors que Yenessä continua ses douceurs à mon pied, elle se sent pousser des ailes et me déclare un serment d’allégeance digne d'une Déesse de mon rang, son coté tendre et dévot la rendait encore plus désirable car je pouvais en faire ce que je voulais, la plus grande terreur des champs de bataille et la plus grande catin dans mon lit. Elle relâche mon pied et s'infiltre entre mes jambes afin de venir se blottir dans mes bras, tant en me fixant, elle me déclare sa flamme, pas une flamme d'amour mais une flamme de passion, son esprit est focalisé sur moi et uniquement moi, quelle joie d'avoir une femme qui sera votre plus grande admiratrice jusqu'à la fin des temps.

« Le plus grand honneur qui puisse m’être fait, c’est de pouvoir satisfaire une femme comme vous, Maitresse, sur tous les points de vue. D’ailleurs, même si je meurs d’envie de vous baiser encore et encore, de suite … J’estime qu’une personne de votre rang mérite un meilleur cadre. »

Elle se lève alors que j'étais encore prête à entendre tant de compliments de sa part mais elle n'a pas fini et m'aide à me relever mais le plus surprenant est le visage de la Séraphine qui change, passant d'un visage doux et attendrissant à un visage peigné de folie et d'envie de sang, ce dernier visage est électrisant pour moi et mon antre intime mouille rien qu'à la vu d'un visage aussi excitant pour moi.

- Et que me proposes tu, sublime Séraphine noire?

Elle pointe du doigt le village de mon départ avec fierté et ambition.

« Il est temps que le monde sache en qui il doit croire … Ces sauvages vous vénèreront, et vous serez leur Déité. Ils vous construiront votre premier palais, votre premier temple … Et là, Maitresse … »

Et alors qu'elle termine sa phrase avec une voix suave, Yen se penche sur moi et me susurre à l'oreille.

« Je vous montrerai réellement ce qu’est le plaisir, dans vos couches et parures d’or … »

Un ronronnement bestial s'échappe de moi me faisant avouer mon attirance sexuelle pour cette angélique personne, Yenessä a éveillé en moi un volcan qui demander qu'à exploser dans un torrent de débauche de luxure avec son corps et le mien.

- Yenessä, ma belle, ton plan est chouette mais il y a quelques petites erreurs, en faite deux, la première, ma chérie, c'est que le village là est décimé et plus personne n'est vivante là bas, par contre vers l'Est, il y une petite ville de cinq milles habitants qui demande qu'à te voir dans tes prouesses d'ange.

Je m'approche de ma propriété et l'embrasse comme une sauvageonne en rûte, passant ma main gauche sur sa verge encore un peu droite mais tellement attirante.

- Et deuxièmement, certains ne se laisseront pas convaincre comme ça, faudra un peu improviser...

Je relâche ma prise sur elle et sur son pilum de chair et lui tourne le dos, marchant en remuant du cul et des épaules, jetant un regard mesquin par dessus mon épaule, je voulais voir sa réaction.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le lundi 05 décembre 2016, 20:27:09
Yenessä était prête à embrasser sa nouvelle vie à bras ouverts. Si aucune marche arrière n’était à présent possible – et envisageable – il lui manquait un quelque pour être définitivement Déchue. Un méfait, un acte profondément mauvais pour terminer à jamais son changement de bord. Et cet acte était d’ores et déjà tout trouvé ; convertir un village entier au culte de Sanguilia. Sa maitresse l’informa que ce village se trouvait non loin d’ici et comportant pas moins de cinq milles habitants, ce qui n’était pas rien. Cinq milles potentielles fidèles, ceci n’était qu’un début mais c’était déjà très bien. Evidemment, tous n’allaient pas se convertir car même si Yenessä tablait sur le fait qu’elle ressemblait toujours à une créature angélique, pour faire croire à un miracle, il y en aurait beaucoup qui ne tomberait pas dans le piège.

Ceux-là se feront chassés et répudiés par leurs propres frères et sœurs qui eux plieront le genou devant la puissance et la gloire de Sanguilia, qui n’aura qu’à entrer et se présenter. Un plan simple mais qui convenait à de simples paysans vivant en région éloignée. Yenessä avait un sourire carnassier et ne pouvait s’empêcher de frissonner face au nouveau baiser que lui offrit sa maitresse. De manière au moins aussi affamée qu’elle, Yenessä répondit et plongea sa langue dans sa bouche, l’embrassant sans aucune gêne et retenue. Sa langue essora la sienne, raclant sa salive et le miellé de ses lèvres en un balais très frénétique et passionné. Cerise sur le gâteau, Sanguilia se mit à caresser sa virilité qui certes n’était pas aussi raide qu’avant, mais qui était tout de même bien gorgée.  La Séraphine Noire ronronna férocement et serra les dents, tentant de résister à la tentation de prendre brutalement sa maitresse et de la faire hurler de plaisir jusqu’à ce qu’elle s’en brise les cordes vocales.

Chaque chose en son temps, comme on disait. Sanguilia s’écarta en roulant des hanches et des fesses, se mettant alors en route vers le village mentionné. Yenessä lorgna sans retenue sur son merveilleux fessier, s’imaginant lui faire des tas de choses peu orthodoxes. Elle remarqua son regard mesquin, ce qui fit sourire Yenessä de plus belle. « Je vous mettrait très cher, Maitresse … » Dit-elle du bout de ses lèvres. Cependant, pour en revenir au plan qu’elles allaient mettre en place, Yenessä s’approcha d’elle puis la serra contre son être. « Vous avez une paire d’ailes à présent, mieux vaut s’en servir, n’est-ce pas ? » Dit-elle, la prenant sur ses bras, à la manière que l’on portait la Princesse dans les contes féeriques. La Séraphine s’envola puis, gardant chaudement sa maitresse contre elle pour lui éviter tout danger, elle s’élança à pleine vitesse vers le village indiqué.

Quelques temps après, Yenessä gagna les alentours du village. Elle atterrit au sol et déposa sa chère maitresse, la déposant en douceur, jusqu’à ce que ses doucereuses pattes touchent l’herbe du sol. « Maintenant, Maitresse, laissez-moi jouer … J’espère que le spectacle vous plaira ! » Dit-elle en étant sûre d’elle. Yenessä s’envola à nouveau, elle savait comment faire pour susciter l’attention des villageois. Elle avait encore l’apparence d’une Séraphine, donc il lui suffirait de faire parler ses pouvoirs, de se suspendre au-dessus de la ville et faire croire à une apparition miraculeuse. À ce moment-là, elle appellerait les gens … La Séraphine fonça donc vers le ciel, puis fit parler ses capacités. Se concentrant, elle canalisa son énergie dans tout son être, faisant rapidement attirer des nuages ténébreux et chargé électriquement dans la zone. Puis, le tonnerre retentit, parfaitement contrôlé et maitrisé par Yenessä qui précipita les éclats lumineux, avant de faire semblant d’apparaitre au-dessus du village, après une bouffée de lumière électrique.

« Ô PEUPLE D’ICI BAS, ENTENDEZ L’APPEL ! »
S’écria Yenessä de sa puissante voix, bras écartés et tendu vers le ciel. Son corps était enveloppé d’une aura lumineuse, cachant sa nudité n’ayant pas eu le temps de revêtir quoique ce soit. Elle sentait les villageois prendre peur et sortir la tête dehors, la levant vers le ciel pour voir ce véritable miracle se produire.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le jeudi 08 décembre 2016, 15:27:29
Yenessä était devenue une dévote tellement sous mon emprise qu'elle respirait, parlait et régissait à travers moi. C'était parfois un peu dommage qu'elle ne prenait pas encore la mesure du libre arbitre mais à sa décharge, c'était un début d'une nouvelle ère pour elle. Alors qu'elle me souleva pour décoller du sol, je passai ma main sur sa joue afin d'explorer tous ses souvenirs et maintenant qu'elle était ouverte à moi, la pénétration de son esprit fut tellement facile qu'elle ne garda qu'un léger frisson de mon envahissement de sa tête. Des tonnes et des tonnes d'images de son ancienne vie, lorsqu'elle était encore vivante, les batailles, combats et autres lutes pour un roi tellement con qu'il voulait toujours plus de territoire. Ensuite sa mort au combat, telle une héroïne de légende mourant dans une dernière bataille telle une valkyrie annonçant le Ragnarök, même au moment de mourir, elle était très belle, magnifique... Ensuite vint sa vie d'ange et après plusieurs batailles, elle monta en puissance: ange, archange, principauté, vertus, domination, trône, chérubin et pour finir Séraphin... (HJ: Ce sont les vrais grades des anges selon le judaïsme, un peu de culture dans la luxure). Le grade de Séraphin était un grade inestimable pour les anges, les guerriers ultimes d'une divinité, les guerriers qui étaient censés dissiper le doute et le chaos, malheureusement pour Yenessä, elle était tombée sur moi et après une morsure, le doute et le chaos avaient pris possession d'elle pour toujours. Les images continuaient de défiler dans ma tête, ses combats contre les démons et enfin le combat contre... Au début, je la dégoutais, lorsqu'elle m'avait vu, elle me désirait un peu... Mais lorsque je commençais à saper son aura, elle voulait me violer... Enfin de compte, c'était moi qui la violer pour qu'elle devienne Yenessä la Séraphine noire de Sanguilia.

Lorsque je retirai ma main, Yen me lâcha un sourire comme si elle savait ce que je venais de faire, elle était encore plus belle vu de très prêt avec ses yeux onyx et ses lèvres d'un rouge sang. Après dix minutes de voyage, on arriva près de la ville de Eidacra, elle me posa doucement à vingt mètres du mur de la ville.

« Maintenant, Maitresse, laissez-moi jouer … J’espère que le spectacle vous plaira ! »

Je lui fis un clin d'oeil avec un air très coquin et Yenessä décolla direction le ciel, elle fit parler de sa magie faisant venir des nuages noirs au dessus de la ville et des éclairs commença à se faire entendre. Et puis soudain, un allo de lumière apparut, si je connaissais pas l'histoire, même moi j'aurais cru au miracle. Mais Yenessä était devenue perfide comme moi, et enfin elle apparût aux yeux des villageois médusés. De ma position, je pouvais entendre des cris de certains, entre les cris de miracles et les cris de peur, il y en avait pour tous les gouts. Je m'avançai vers l'entrée de la ville qui était non gardée car les gardes s'étaient rassemblés sur la grande place afin de protéger les têtes pensantes de la ville.
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le dimanche 11 décembre 2016, 14:57:46
L’heure était venue pour le peuple de Eidacra de se convertir, de gré ou de force. À la fin de ces évènements, le village entier ne sera plus composé que de fidèles envers la cause de Sanguilia. Soit ils pliaient l’échine devant sa grâce, soit ils mourraient. Cela allait être aussi simple que cela, c’était du moins ce qu’envisageait Yenessä qui flottait au-dessus d’eux. Il y avait des cris d’espoir, de miracle, d’apparition surnaturelle. Mais il y avait aussi de l’effroi, de la terreur et du doute. La Séraphine noire voyait tout cela et en souriait, alors qu’elle laissa un petit moment de silence, jaugeait chaque villageois. « L’heure de votre rédemption est arrivée, peuple d’Eidacra ! » S’écria-t-elle, alors qu’elle se déplaça lentement, finissant par poser pied sur le plus haut beffroi de la ville, qui donnait un large plan sur la place centrale où tout le monde s’était agglutiné.

« Personne n’a entendu vos soupirs. Personne n’a exaucé vos souhaits ; vos idoles de l’Ordre Immaculé ne sont que mirages et fantaisies. » À ces simples mots qu’elle prononça, une vague de colère s’éleva. Elle venait de profaner le culte principal de Nexus, ce n’était pas rien. Mais, dans un village aussi reculé l’Ordre n’avait pas autant d’influence qu’à la capitale. De ce fait, la majeure partie resta silencieuse et écouta, troublée par ces propos qui pour le moment, étaient pertinents. Leurs récoltes était infructueuse ces derniers temps, et les maladies, non guéries. On ne pouvait pas dire que les promesses de l’Ordre Immaculé étaient viables. Est-ce que cela serait meilleur sous l’égide de Sanguilia ? Cela, elle seule pouvait en décider. Le rôle de Yenessä était de les enrôler, de les convertir de la même manière qu’elle fut convertie elle-même.

Qu’ils connaissent et goûtent à la vérité ultime. Au plaisir de vivre et respirer pour la seule gloire de Sanguilia ! Elle était là pour parvenir à cela. Perchée sur son beffroi, Yenessä continua sa tirade et bien qu’elle essuyât des cris de fervents croyants en l’Ordre Immaculé, la majorité l’écouta. Une petite émeute commença même à avoir lieu entre ceux qui défendaient l’Ordre, et ceux qui se mirent à la critiquer et à donner raison à Yenessä. « Mortels, je ne désire pas vous voir vous entretuer de suite … Je ne viens pas vous prendre votre croyance sans rien vous apporter en retour. Je vous apporte la Vérité, celle en qui vous pourrez vous reposer, et vous dévouer corps et âme. Votre seule et unique Maitresse … Perséphone. » Dit-elle d’un ton solennel, tendant son bras vers la foule où Sanguilia devait, normalement, se dissimuler.

Il était maintenant à elle de s’introduire, et de finir la conversion de ces gueux !
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le mardi 13 décembre 2016, 15:19:35
On avait beau dire, l'entrée des anges faisait toujours son petit effet et sans mentir, quatre-vingt cinq pourcents de la foule nous était acquise, reste que les quinze pourcents qui criaient à l'infamie et à la mort de l'ange. Plusieurs bagarres commencèrent à naitre à plusieurs endroit entre les pros Yenessä et les anti-anges. Mais ma Séraphine continua son discours mettant en exergue la non-assistance de leur divinité du lumière depuis quelques temps déjà. Elle était une oratrice tellement douée que même moi, je la croyais sur parole alors que je connaissais la vérité. Et soudain, Yenessä braqua son bras dans la direction de la porte.

« Mortels, je ne désire pas vous voir vous entretuer de suite … Je ne viens pas vous prendre votre croyance sans rien vous apporter en retour. Je vous apporte la Vérité, celle en qui vous pourrez vous reposer, et vous dévouer corps et âme. Votre seule et unique Maitresse … Perséphone. »


Pour marquer mon entrée, je fis apparaitre un cercle de feu autour de moi, au sol, les flammes qui s'échappées du cercle montèrent jusqu'à mes hanches, j'avançais doucement et naturellement, la foule s'ouvrit devant moi, me laissant le passage vers la place où s'était rassemblée la population. Dans la foule à mon passage, certaines personnes se prosternèrent devant moi, d'autres restèrent de marbres, d'autres me huèrent et quelques uns me voulurent comme catin. Mais, je fixais devant moi, vers le magistrat qui gère la cité, si il pliait, une bonne partie de la ville se joindra à moi.

Après deux minutes de marche, j'étais devant le chef de la bourgade et ce dernier me fixa, cachant un malaise tellement visible que cela devenait gênant pour son statut. Je coupais le cercle de feu et me tournais vers la foule.

- Peuple de la cité d'Eidacra, je suis la Déesse Perséphone, Déesse du Chaos et des Ténèbres...

La foule au premier rang s'étouffèrent dans leur stupéfaction.

-... mais je ne suis pas une Déesse colérique et hautaine comme votre Dieu qui n'est pas présent pour vous protéger...

Certains se décrispèrent.

... je suis ici devant vous en personne, c'est pour que vous puissiez vous joindre à ma bannière en me vénérant comme une Déesse le mérite, je ne demande aucuns sacrifices humains ou animal mais seulement de prier pour moi. Vos maisons ne seront pas brulées, vos champs ne seront pas détruits et vos vies ne seront pas dictées par la folie de Dieux qui pensent qu'aux offrandes.

Un prêtre s'avança rapidement sur moi.

- Harpie... Vous êtes une harpie et l'ancienne catin d'Hadès, la fille corrompue de Démeter Déesse de la Terre, vous jetez la honte sur votre mère et sur ce qu'elle représente. Partez d'ici!!!

En un claquement de doigt, la bouche du prêtre disparut et un souffle de murmure embrasa la foule.

- Y-a-t'il quelqu'un d'autre qui veut encore m'insulter, j'ai d'autre sort plus néfaste à lui donner...

Le sacristain se retira dans la foule et les murmures reprirent de plus belle.

-... comme je le disais, je ne veux pas de cadeau, juste une prière, qu'elle soit pour une demande, un reproche ou une demande d'aide. J'y répondrais en temps voulu et par mérite. Quand aux soldats, ils resteront ici si je n'ai pas besoin d'eux car chaque soldat est un fils, un père ou un frère avant tout.

Je levai le bras gauche et Yenessä descendit de la tour où elle était perchée.

- Cette superbe ange est une Séraphine et mon Générale, Yenessä est son nom, vous lui devrez le même respect à elle qu'à moi.

La foule s'avança légèrement et quasi la totalité des villageois se prosternèrent devant Yen et moi.

- Et voilà le travail...
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Vanessa White le dimanche 18 décembre 2016, 14:26:48
Yenessä était si fière de servir une telle femme. Sa dévotion, sa passion, son amour pour Sanguilia était si puissante, si forte, que même Sanguilia elle-même ne pouvait mesurer son niveau. Elle ne s’imaginait pas à quel point elle avait converti Yenessä, à quel niveau de profondeur sa corruption l’avait atteinte. Jusqu’au fin fond noyau de son âme, cette corruption s’était installée et avait transformé chaque atome de son être, tant physique que spirituel, en cette glorieuse et puissante Séraphine noire qui, à jamais, respirerait et vivrait au travers la grâce et la satisfaction de Sanguilia. Autant dire qu’en sachant tout ceci, il lui était impossible de revirer de bord, même avec la plus grande des magies. En d’autres termes, plus personne ne pourrait corrompre Yenessä autrement, même si c’était Sanguilia qui faisait cela … C’était ça, de s’approprier une Ange.

Tout ceci étant dit, la Séraphine noire souriait de manière carnassière au moment où sa maitresse fit son entrée, et qu’elle commença sa tirade à son tour. La foule n’y voyait que du feu et elle se faisait séduire à grande majorité. Yenessä le sentait ; la croyance s’installait dans le cœur des Hommes présents ici. Femmes, hommes, vieux, enfants, tous se mettaient à croire au miracle et au fait que Sanguilia était effectivement leur Déité. De quoi raviver le cœur de Yenessä qui resta silencieuse durant tout ce temps, même lorsqu’un vieux con alla défier Sanguilia. Vite fait bien fait elle le recadra et regagna l’attention de la foule. Elle finit par lever son bas et invita sa Générale à la rejoindre. Yenessä obéit au doigt et à l’œil, descendant de son beffroi, rejoignant les côtés de sa magnifique maitresse.

La foule finit par se prosterner devant les deux femmes, qui désormais étaient les maitresses ici, à Eidacra. Enfin, Sanguilia était la seule maitresse réelle, Yenessä n’étant que sa subordonnée. Pour prouver cela, elle attendit un peu se plaça en face de la Déité, et s’agenouilla devant elle, inclinant sa tête de manière soumise, mais fière. Les autres étaient à terre, elle était à genoux. « Gloire à Perséphone, notre Salvatrice et Maitresse … » Dit-elle de sa voix fière et forte, d’un ton des plus convaincu. Puis, sans qu’elle ne l’ait spécialement voulu, la foule derrière elle répéta de concert ces quelques mots, achevant leur conversion au culte de Sanguilia. Après quelques temps, Yenessä se releva puis regagna les côtés de sa maitresse, regardant la foule avec joie. Elle finit par tourner sa tête vers Sanguilia puis s’adressa à elle. « Il faut que tes nouveaux fidèles te construisent un Temple, ici, à Eidacra … » Dit-elle d’un ton fier, proposant alors à sa maitresse de faire appliquer cette idée aux nouveaux fidèles.

Une Déité n’en est pas une si elle ne possède pas de temple !
Titre: Re : Quand les opposées s'opposent. (PV: Vanessa White)
Posté par: Sanguilia le mardi 20 décembre 2016, 18:50:58
L'histoire fut réglée tellement rapidement que je m'étais dit que Yenessä était un miracle pour moi, un général tel que cette Séraphine était un atout que les autres me jalouseraient, j'en parlerais à Sha à notre prochaine rencontre. Ma Séraphine avait tué les derniers espoirs de ceux qui doutaient encore de mon essence divine.

« Gloire à Perséphone, notre Salvatrice et Maitresse … »

Même ceux qui avaient encore des réticences vis-à-vis de moi, répétèrent en coeur la phrase de Yenessä. La ville était mienne et voilà qu'en une journée, j'avais fait l'acquisition d'une Séraphine et d'une ville de cinq milles âmes. Mais, l'ange m'avait fait une remarque qui fit mouche dans mon cerveau, un temple!!! Je m'étais surprise à faire une mouille d'étonnement, comme diable prièrent les gens et alors que me regard balayait les alentours, je remarquai un bâtiment gris, plus haut que les autres avec un tour en pointe. Je pouvais sentir que cette endroit est un lieu spécial.

- Toi!!!

Montrant un jeune homme qui sursauta à ma vue.

- Dis moi jeune homme, qu'est ce que ce bâtiment?

Le jeune homme regarda le bâtiment et échangea un regard avec d'autres citoyens présents sur place.

- Maitresse, c'est la chapelle, c'est là que nous prions...

Regardant Yenessä avec un air hautaine et satisfaite comme pour lui dire "tu vois, j'obtiens toujours ce que je veux" et l'ange me fit le même sourire, victoire totale, écrasante victoire...

- Et bien Générale, pour votre première mission, c'est une victoire totale pour vous, pas une fausse note de votre part. Excellent!!! Je vous récompenserais en temps voulu Générale!!!

Je tendis les bras vers les citoyens de la ville.

- Maintenant que nous avons terminé, vous pouvez retourner à vos occupations et vos vies. Si vous avez la moindre question, veuillez me les dires plus tard lors des séances de doléance.

Je me retire de la place avec ma Séraphine qui avait l'air fière d'elle et elle le pouvait, j'étais satisfaite d'elle.

- Quand à toi Yenessä, j'ai une dernière mission...

Faisant apparaitre un message sur papier dans une flammèche.

- Tu vas aller vers le Sud-Ouest en longeant les montagnes, tu y trouveras un camp de huit milles hommes et tu donneras ce message à Asalia, ma nymphe noire. C'est une ordre de marche pour venir ici. Une fois fait, tu as auras une récompense de choix, moi!!!.