Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Refectoire => Discussion démarrée par: Leona le mercredi 21 septembre 2016, 22:00:21

Titre: Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le mercredi 21 septembre 2016, 22:00:21
Lorsqu'on était assez observatrice et solitaire certaines choses qu'ont ne pouvait voir aux premiers abord sauté aux yeux. Cela passait souvent par un comportement devant une situation ou par des mimiques étrange. Dans ce lot, il y avait cette mignonne petite brune qui semblait depuis la rentrée avoir un comportement plutôt étrange, assez pour éveiller ma curiosité dans ma quête d'un nouveau jouet à utiliser. Du coups, j'avais passé de nombreuses heures à effectuer des recherches sur son dossier scolaire, l'autorisation m'ayant été accordé en douce par la secrétaire... que je pouvais manipuler moi même à ma guise en échange de son secret. C'est que je commençais à tirer pas mal de ficelles à force... j'allais bientôt m'attirer les foudres si ça continuait ! Dans tous les cas la lecture du dossier me révélait un point plutôt intéressant, un de ces point que je pourrait facilement exploiter.

* Je vois Pauline, voici donc le secret que tu cache... Avec ça j'en suis sure tu seras ma marionnette *

Retournant en cours après cette petit pause, je décidais d'attendre l'heure du déjeuner pour passer à l'action, scrutant le moindre fait et geste de ma futur proie tel un faucon prêt à planer jusque sur son repas, serres déployées. Durant ces deux longues heures d'observations précédents la sonnerie, je me contentais de penser à la myriade de gages que je pourrais lui infliger, aux nombreux chantages auxquels elle devrait faire face... oh ça oui, j'allais bien m'amuser !

Quand l'heure du déjeuner arriva je ne m'installais pas avec les autres pour manger, me contentant seulement de suivre la petite brune jusqu'aux plateau repas, avant de murmurer à son oreille les mots suivants Ne te retourne pas tout de suite, profite bien de ton déjeuner... car le lycée tout entier va bientôt connaitre ton passé et ton secret si bien gardé... oui, tu vois bien de quoi je parle petite soumise... Soufflant dans sa nuque en riant, j'ajoutais avant de sortir du réfectoire sans même prendre de repas A moins que tu ne m'échange un petit service en échange du silence... si tu as envie d'en parler débrouille toi pour finir de manger un peu avant les autres, et de suivre ces consignes Lui avais-je dit en lui attrapant la main, glissant un petit bout de papier entre ses doigts avant de partir, jouant du claquement de mes bottines sur le sol pour émettre un son mélodieux.

Sur la petite note, on pouvait y lire la petite consigne suivante, abrégée au plus cours pour gagner de la place.

à 13H20 dans les toilettes des garçons au second étage, récupère un petit paquet qu'ont a planqué pour moi, il doit être caché dans l'une de cuves de la chasse d'eau, je ne sais pas laquelle, fait les toutes. Si tu ne le trouves pas avant la sonnerie... tu connais la suite

Un élève avait fait passer des clopes dans l'établissement et avait juger bon de les cacher plutôt que de me les donner en main propre, surement par peur de se faire prendre en flagrant délit. Cependant l'heure n'était pas choisit au hasard... c'était le moment juste après le repas ou tous les garçons se rendaient au toilette pour pisser, juste avant de reprendre les cours... elle pénètrerait donc un toilette masculin loin d'être vides... et aux cabines surement toutes occupées au moment de sa fouille des cuves ! Un petit jeu pour commencer en beauté ma nouvelle attraction, je n'en louperais d'ailleurs pas une seule miette en attendant devant la porte...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 22 septembre 2016, 10:43:23
Pauline était en cours depuis quelques semaines maintenant. Il avait été très difficile de se réhabituer au rythme du lycée après toutes ces années de déscolarisation. Mais le plus difficile à supporter fut le rendez-vous d'inscription. Le directeur avait réclamé des détails sur la raison de son absence sur les bancs des écoles et elle avait dû expliquer en partie ce qui lui était arrivée. Cela ne figurerait que dans son dossier scolaire et aucun élève ne serait au courant. Après cette première étape désagréable, Line avait subit un test pour évaluer son niveau. Autant dire que le test fût une catastrophe. Cette longue absence n'avait pas seulement bloqué son niveau à celui d'une cinquième, elle avait carrément régressé.
Finalement elle avait tout de même été envoyé en seconde et avait de nombreux cours de rattrapage. Elle n'avait pas de vacances, car elle devrait en profiter pour relever son niveau.
Après seulement deux semaines, Pauline était déjà au bout du rouleau.

Alors qu'elle avançait tranquillement en remplissant son plateau de délicieuse nourriture en boîte qui n'avait été chauffée qu'à moitié, une fille vînt lui murmurer à l'oreille. Rien qu'à sa voix Pauline s'imaginait une fille sadique et capricieuse. La mystérieuse inconnue lui déclara qu'elle connaissait son secret. La panique gagna immédiatement la jeune fille. Comment était-ce possible ? Pauline douta un instant mais quand l'inconnue l'appela "petite soumise" elle sut immédiatement qu'elle disait la vérité. Pauline se mit à se poser un million de questions. Comment pouvait elle être au courant ? Finalement la fille lui avoua qu'en échange de son silence, Line devrait lui rendre service. Cela ne lui plaisait pas beaucoup, mais elle n'avait pas le choix. La manipulatrice mit un bout de papier dans sa main avant de s'éclipser.
Pauline s'installa seule à une table pour lire le papier en toute tranquillité.

 "à 13H20 dans les toilettes des garçons au second étage, récupère un petit paquet qu'ont a planqué pour moi, il doit être caché dans l'une de cuves de la chasse d'eau, je ne sais pas laquelle, fait les toutes. Si tu ne le trouves pas avant la sonnerie... tu connais la suite"

Pauline était prise au piège. Elle devait faire ce que cette fille réclamait. Elle mangea rapidement et attendit patiemment l'heure où elle devrait passer à l'action. Elle ne savait pas si c'était fait exprès mais à cette heure les toilettes étaient assez occupés. Pauline prit son courage à deux mains et entra dans les toilettes des garçons.
Il y avait trois cabines et de nombreux garçons étaient entrain de faire leurs besoins dans les installations hors des cabines. Elle fût légèrement soulagée en imaginant les cabines potentiellement vide. Elle entra dans la première et regarda dans la cuve, il n'y avait rien... Elle sortit rapidement de la cabine et entra dans la seconde. Elle trouva dans la cuve un paquet de cigarette. Soulagée elle le prit, quand un garçon l'interpela à l'entrée de la cabine.

 - Je peux t'aider ? proposa t'il gentiment.
 - Non merci, je cherchais juste un truc. Je te laisse la place si tu veux, répondit timidement Pauline.
 - C'est ça sue tu cherchais ? demanda le garçon en agrippant la poitrine de la jeune fille.

Le garçon tripota grossièrement la poitrine de la jeune fille jusqu'à ce sue son genou frappe au meilleur endroit dans pareille circonstance. Line en profita pour sortir rapidement des toilettes des garçons. L'expérience avait été fort désagréable, mais pas forcément pour tout le monde. Une fille fixait Pauline avec un air vicieux. Elle avait de long cheveux noir et un rouge à lèvres éblouissant. Line alla à sa rencontre et lui tendit le paquet.

 - Voici pour toi, déclara la jeune fille en souriant. Si tu as besoin d'un autre service, n'hésite surtout pas à me demander ! Et d'ailleurs c'est quoi ton prénom ?

Line n'était pas stupide, elle savait que cette sadique la ferait encore chanter. Elle avait donc décidé de prendre les devants en lui proposant son aide. Si elle arrivait à s'en faire une amie, elle arrêterait peut-être de l'embêter avec des services gênants. Et au pire elle pourrait la dénoncer avec son prénom si elle allait trop loin.

Pauline attendit sa réponse et en profita pour la regarder de près. Elle était extrêmement jolie. Mais cela ne changeait rien au fait que c'était une peste.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 22 septembre 2016, 12:05:13
Elle n'était pas rester bien longtemps dans les toilettes à mon grand damn, en réalité j'avais espéré qu'un garçon assez en rute ne se jette sur elle, j'espère au moins qu'elle a été prise pour une grosse perverse à pénétrer comme ça dans les toilettes masculins. Au moins, elle avait rapporté le paquet que je lui avait demandé, qui n'avait été qu'un test pour jauger son obéissance... c'est maintenant que la vraie partie commençait.

Merci, c'est parfait, comme ça les autres garçons pourront dire que c'est toi la voleuse de ce paquet de clope si ça tourne mal, il est même pas à moi...

Je savais par habitudes que les garçons se faisaient passer des clopes de cette manières et qu'il y aurait surement un paquet, mais il ne m'était en rien destiné... autrement dit Pauline avait voler pour mon propre compte sans même le savoir. Ca restait pourtant encore bon enfant et j'étais bien heureuse d'entendre qu'elle l'avait déjà compris, puisqu'elle se proposait de m'aider à d'autres taches d'elle même. la brunette avait compris la situation et semblait moins naïve que prévu... On allait pouvoir gagner du temps sur les explications.

Je m'appelle maitresse, mes parents m'ont appelés maitresse c'est mon prénom. Lui dis-je de sur le ton le plus stoïque possible, le regard froid, en tirant une taffe de cigarette que je soufflait généreusement sur son visage. Et il faut dire vous quand on ne connait pas bien quelqu'un, c'est une forme de respect. Moi j'ai le droit de tutoyer puisque je suis ton employeur. Une autre boule de fumée se retrouve sensuellement soufflée hors de mes lèvres rouges sang, fermant à demi les yeux avant de sortir un petit cachet de ma poche, que je lui glissait moi même sur la langue en glissant mes doigts dans sa bouche

Un service ? pas vraiment, on va plutôt dire que tu es ma nouvelle marionnette, j'ai cassé l'ancienne par accident et a fini par craquer en larme dans le bureau de la psy. Je ne fais que remplacer un jouet.

Bien que je ne lui disait rien sur ce cachet, il s'agissait d'un aphrodisiaque naturelle qui faisait facilement pointer les seins et gonfler les lèvres intimes. De quoi la rendre folle d'excitation dans une trentaine de minute, quand le médicament commencerait à faire effet dans son sang. D'ailleurs, ce n'était pas un hasard si le prochain cours était EPS... dans la piscine scolaire couverte en plus ! Inutile de dire qu'il serait difficile de cacher ses formes excitées dans le maillot... et je ne parlais même pas du frottement du lycra mouillé contre la peau... qui la ferait surement jouir 1 ou 2 fois en plein milieu du cours de natation.

On se revoit à la piscine, tu n'as pas intérêt à être absente...  comme j'ai trop d'avance sur les cours de natation j'ai réussit à me faire dispenser la première heure, je prendrais un malin plaisir à te regarder du banc...

Le but du jeu serait donc simple quand elle découvrirait ce que j'ai fait à son corps... elle devrait tenir le coups et surtout arriver à jouir discrètement devant toutes la classe, sans que personne ne s'en rende compte... encore une façon de l'humilier un peu plus surtout que... je n'étais dispenser que la première heure de piscine... pas la deuxième.

Mais t'en fais pas je te donnerais le reste quand je rentrerais dans le bassin... et ce sera plus douloureux quand je m'y mettrais... aller va te préparer maintenant.

Un baiser sur la joue et un regard de petite peste avant de m'éclipser... ce cours de piscine serait surement le plus long de toute sa vie...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 22 septembre 2016, 13:05:46
Le paquet de cigarettes n'était donc pas destiné à cette peste. Pauline aurait du s'en douter. De nombreux garçons l'avaient vu. Le propriétaire du paquet serait rapidement au courant et chercherait à récupérer ce qui lui appartenait. Pauline espérait que lui payer un autre paquet de clope permettrait de calmer cet inconnu...
La jeune sadique voulait se faire appeller maîtresse. Si ça pouvait calmer ses réclamations stupide, alors Line lui donnerait du maîtresse autant qu'elle le désire. Pauline toussa alors que sa nouvelle maîtresse lui envoyait un nuage de fumée dans le visage. Décidément elle ne manquait pas d'assurance... Line se demanda comment elle pourrait résoudre ce problème mais décida qu'il serait plus simple pour elle de lui obéir pour le moment. Elle avait été soumise pendant de nombreuses années, cela ne lui faisait pas peur.

 - Très bien, je vous appellerait donc maîtresse, déclara Pauline juste avant que la fille ne place un cachet sur sa langue.

Pauline garda ce mystérieux cachet en bouche pour ne pas contrarier sa maîtresse. Elle ne savais pas ce que c'était mais elle s'en rendrait compte rapidement. Ainsi cette petite sadique désirait faire de Pauline son jouet car le dernier avait complètement craqué. Qu'elle essaye d'en faire autant avec Pauline, cette dernière avait l'habitude des ordres humiliant, elle ne faiblirait pas facilement !

Il était temps de partir se préparer pour le cours de natation. Pauline se demanda à quoi pensait la jeune manipulatrice. Elle avait eu une lueur sadique dans les yeux au moment de lui dire qu'elle observerait Pauline pendant la première heure.

 - Me donner le reste ? Plus douloureux ? questionna la jeune fille.

Sa maîtresse ne l'avait pas écoutée er s'était sauvée après lui avoir embrassé la joue. Pauline alla récupérer ses affaires de piscine dans son casier puis retrouva ses camarades dans le dortoir. Sa maîtresse l'observait avec un sourire énigmatique. Pauline décida de ne pas y prêter attention. Elle se changea rapidement et mit son maillot une pièce qui était aussi vert que ses yeux. Malgré la tenue légère, Pauline avait un peu chaud. Rien de bien grave, il faisait toujours assez chaud dans les vestiaires.
La classe sortit de la pièce et alla rejoindre le professeur devant la piscine. La sadique n'avait pas mentit, elle était bien dispensé et alla s'installer sur un banc. Le prof de sport envoya les élèves nager tranquillement pour s'échauffer. Ce n'était pas nécessaire car Pauline avait déjà très chaud. Elle qui d'habitude ne supportait pas la température glaciale de l'eau en fût fort soulagé au moment de sauter dedans. Elle nagea pour penser à autre chose mais quelque-chose clochait. Le déclic se produisit dans son esprit quand elle vit ses tétons qui étaient très largement visible malgré le maillot. Elle avait été drogué dans le seul but de se retrouver dans une situation gênante. Elle devait bien s'amuser sur son banc en tout cas. Pauline continua de nager tout en cherchant un moyen pour ne pas sortir de l'eau. Pauline s'arrêta devant un garçon qui lui coupait brusquement le passage.

 - On m'a dit que c'est toi qui avait mes clopes. Tu te prends pour qui pour oser aller fouiller dzns les toilettes des mecs espèce de garce ! grogna le garçon avant de remarquer les tétons de Pauline qui étaient très dur et surtout très visible.
 - Je suis désolée, je ne savais pas qu'elles étaient à toi. Je t'en achèterai, c'est promis ! bredouilla la jeune fille rouge de honte.
 - J'y compte bien, déclara le garçon en pinçant un de ses tétons.

Pauline se sentait honteuse mais elle ne voulait pas attirer l'attention sur elle. Quand le professeur rappela les élèves, la jeune fille en profita pour vite aller le voir et lui demanda si elle pouvait aller prendre l'air car elle ne se sentait pas bien. Il remarqua son visage cramoisi et accepta. Pauline alla rapidement jusqu'au vestiaire. Heureusement elle était seule. Elle ne résista pas plus longtemps et glissa une main sous son maillot. Elle se caressa tendrement le vagin alors qu'elle commençait à mouiller et faillit avoir une attaque en voyant le garçon de tout à  l'heure entrer dans la pièce.

 - C'est le vestiaire des filles, s'exclama Pauline en retirant rapidement sa main.
 - Et alors ? Tu vas bien dans les toilettes des mecs ! répliqua le garçon avant de la plaquer contre le mur et de tripoter ses seins. T'es vraiment chaude toi dis moi...

Il tira sur son maillot pour libérer sa poitrine et la malaxa sans retenue. Pauline était piégée. Si elle criait tout le monde la verrait dans cet état. Le garçon la repoussa sur le sol pour qu'elle se retrouve à genoux et s'avança vers elle.

 - Oublie le paquet de clope. Suce moi la bite et on est quitte, ricana me garçon avant de descendre son maillot et de lui présenter sa verge.

Pauline chercha un moyen de sortir de cette situation mais il ne lui en laissa pas le temps. Il agrippa sa tête et fourra son pénis dans la bouche de la jeune fille. Il remua les hanches en soupirant alors que son sexe était au chaud dans la bouche de Line. Malgré tout le cachet faisait toujours son effet. Pauline commença à sucer docilement le pénis  du garçon et recommença à caresser son vagin.
Line était de plus en plus excitée et sentait le sexe du garçon grossir rapidement. Il ne lui fallut que quelques instants pour éjaculer dans la bouche de la jeune fille. Sans dire un mot il rangea son sexé et partît au pas de course. Pauline avala sa semence sans arrêter de se faire du bien et finit par jouir à son tour. Son excitation un peu calmée, Pauline retourna à la piscine et sauta directement dans l'eau. La deuxième heure de sport allait débuter. Line soupira en pensant à sa maitresse. Elle n'avait pas finit d'être humiliée...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 22 septembre 2016, 14:12:58
Le maillot de bain bleu marine fusionnait parfaitement avec ma peau et était assortie à mon regard aussi perçant que félin. Il était presque difficile à croire que j'étais une peste, au mieux une jeune fille un peu froide comme tant d'autres et pourtant... je scrutais le moindre mouvement de Pauline qui ondulait dans l'eau, connaissant le secret qui envahissait son corps en ce moment. Même du banc, il était facile de deviner ses tétons dressées, qui semblait presque vouloir percer le lycra de son maillot une pièce. Et si on y regardais avec plus d'attention, on pouvait même y voir son intimité former une belle forme de bouche bien moulée... semblant hurler son avidité de caresse. Alors lorsque le jeune homme rencontra sa route je regardais avec une intention toute particulière et un sourire très amusé, en voila un qui l'avait prise en flagrant délit ! Je restais toutefois déçu qu'elle n'ait pas jouit dans la piscine au milieu de tout le monde, de manière incontrôlée... j'aurais peut-être du lui en faire avaler 2 ou 3... bien que ça aurait pu être dangereux.

* Hé non mais elle triche là... attends, je vais aller la récupérer dans les vestiaires et lui faire passer un sale quart d'heure... *

Nul besoin cependant, quand j'entrouvris la porte je pu voir ce même jeune homme, qui se faisait offrir une belle fellation par notre petite soumise. A vouloir outrepasser mes règles elle avait finalement trouvé une punition humiliante et à sa hauteur... ou presque. A la place du jeune homme moi, je n'y aurais pas été de main morte et lui aurait complètement violer la bouche... je ne me serais pas contenter de lui offrir ce petit encas. Bref, comme la deuxième heure de cours arrivait je décidais de me retirais avant la fin de son gouter, et de me jeter à mon tours à l'eau...

Lorsque Pauline revient à son tours je suis seule dans un coin de la piscine, à l'autre bout, avec bien entendu un plan en tête pour l'humilier un peu plus mais aussi pour la punir.

Monsieur le professeur, Pauline m'as avouée ce matin qu'elle n'était pas très à l'aise dans l'eau, c'est pour ça qu'elle a été s'absenter dans les vestiaires. Elle se sentait parfaitement bien mais avait trop honte de l'avouer. Comme j'ai beaucoup d'avance je peux l'aider durant le reste de l'heure ? Je lui ferait travailler à mieux maitriser son souffle et son aisance dans l'eau, pour qu'elle rattrape son retard.... c'est que... j'aimerais beaucoup aider a camarade...

D'abord hésitant, le professeur céda bien vite en pensant tout bêtement que j'étais sérieusement et bienveillante.

Mhh... d'accord Leona, on vous laisse toutes les deux à l'autre bouts de la piscine, occupe toi bien de ta camarade.

Souriant vers Pauline je lui marmonnait entre mes dents Oh oui vous en faites pas monsieur... je vais TRES bien m'occuper de ma camarade...

Mais cet idiot venait de lui dévoiler mon nom à voix haute, j'allais devoir aire en sorte qu'elle oublie vite l'idée de le garder en mémoire, quitte à être rude. Alors une fois assez proche et de l'autre côté du bassin, je passais mes doigts entre ses cuisses, sous le maillot, confirmant un différence de chaleur avec la piscine. Alors comme ça on s'est fait du bien après son petit gouter ? C'est pas très gentille ça... tu ne penses vraiment qu'à toi Pauline... il va falloir te rattraper.

Claquant l'élastique large qui tenait le une pièce au niveau de l'antre jambe, je positionnais mon autre main contre sa petite poitrine, en la regardant dans les yeux.

On va s'échauffer un peu avant de commencer l'exercice principal. Je vais te mettre la tête sous l'eau pour faire croire au prof que je te fais travailler ton souffle, et tu va profiter que personne ne te voit pour me faire du bien sous la surface. Mais comme je déteste les jeux trop facile et que tu as essayé de t'enfuir comme une vilaine dans les vestiaires... je dirais au prof ce que tu es entrain de me faire sous l'eau si tu n'y met pas tout ton coeur. Et ne remonte pas respirer toute les 10 secondes non plus, sinon ça va m'énerver.

Oh non il ne fallait pas qu'elle trouve que c'était trop dur... ce n'était que l'échauffement ! Un échauffement excitant puisque son secret pouvait être découvert à tout moment par la classe s'il n'était pas exécuter avec assez de discrétion à chaque plongées.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 22 septembre 2016, 14:57:12
Pauline nageait dans un coin en restant à l’écart des autres élèves. Elle ne voulait surtout pas qu’ils remarquent à quel point elle était excitée. Elle avait encore furieusement envie de se caresser, mais elle devait se retenir. La jeune fille savait que la peste qui lui servait de maîtresse avait d’autres idées en tête et elle en soupira d’avance. Elle entendit au loin le professeur crier le prénom de cette vilaine manipulatrice. C’est à ce moment que Leona rejoignit son jouet. Elle glissa ses doigts sous le maillot de Pauline comme si c’était un acte banal. Pauline devint toute rouge en sentant les doigts de sa maîtresse frôler son intimité.
Leona avait rapidement compris que Pauline s’était caressée. Cependant le terme petit goûter la surprit. Elle l’avait donc suivit et l’avait vu sucer l’autre garçon ? C’était très humiliant. Leona claqua le maillot sur l’intimité de Pauline et posa une main sur sa poitrine. Allait-elle devenir l’objet de cette fille sadique ? Non, elle l’était déjà…
Sa maîtresse déclara qu’il était temps pour elle de s’échauffer avant de passer aux choses sérieuses. Elle devrait aller sous l’eau pour faire du bien à Leona. Instinctivement la jeune fille regarda tout autour d’elle pour voir si quelqu’un les observait. Heureusement pour elle, personne ne faisait attention aux deux jeunes filles. Maintenant le souci était de réussir à satisfaire sa maîtresse pour ne pas subir sa colère. Pauline n’avait rien d’une fille sportive, et elle avait bien du mal à retenir sa respiration très longtemps. La jeune fille se calma pour réguler sa respiration alors que Leona la regardait avec un petit sourire sournois. Elle était vraiment très belle, quel gâchis !
Pauline inspira doucement et se glissa discrètement sous l’eau. Elle entoura ses jambes autour de celles de sa maitresse et s’agrippa à ses fesses pour ne pas remonter à la surface. D’une main elle écarta le plus possible le maillot de Leona pour découvrir son intimité puis colla sa bouche contre. Line garda sa bouche fermement collée au vagin de Leona pour ne pas avaler d’eau et commença à glisser sa langue entre les lèvres de son intimité. Elle lécha tendrement son vagin alors qu’elle sentit qu’elle ne tiendrait plus très longtemps. Elle résista tout de même tout en léchant le plus sauvagement son vagin en espérant que cela serait plaisant puis avala malencontreusement un peu d’eau de travers. Line remonta rapidement à sa surface puis recracha et toussa quelques instants tout en se tenant aux épaules de Leona.

 - Maîtresse... Je n'en peux plus, bredouilla Pauline en essayant de retrouver son souffle. Je ferai ce que vous voudrez mais je n'ai jamais été douée en apnée.

La jeune fille restait agrippée à sa maîtresse et attendait avec inquiétude de savoir ce qu'elle allait lui demander cette fois ci. Elle espérait seulement qu'elle ne la forcerait plus à mettre la tête sous l'eau...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 22 septembre 2016, 16:05:01
Bien que maladroite la langue allait à son but et la langue trouvait son chemin sous l'eau, me faisant soupirer d'extase, juste assez pour ne pas être entendu des autres élèves au loin. Pauline quant à elle, s'étouffait progressivement sous l'eau sans même se rendre compte que la scène m'amusait, qu'il s'agissait là d'une de mes punitions fétiche. La voir s'agiter progressivement jusqu'à en devenir rouge et supplier chaque secondes l'oxygène était tout bonnement ce qu'il y avait de plus drôle aux yeux d'une sadique comme moi... malheureusement malgré le grand bien qui montait en moi, la brunette remontait à la surface... jusque là rien de choquant il fallait bien qu'elle respire après tout. Mais l'avoeu de ne pas vouloir y retourner quant à lui, me fit sortir de mes gongs.

J'ai dit que tu avais le choix ? Je me fiche que tu sois mauvaise en apnée, tu retourneras faire ton travail peu importe combien de fois tu boiras la tasse...

Comme personne ne nous regardait, après vérification... je lui administrait une gifle avant de lui replonger de force le visage sous l'eau, la maintenant cette fois-ci en appuyant sur le sommet du crâne. Quand on laissai trop de liberté à ces petites soumises voila ce qui arrivait... elles en demandaient toujours plus.

Là... voila, c'est bien... maintenant tu as gagné le gros lot et c'est moi qui décide de quand tu respire. Et quand je parlais d'un échauffement j'étais plus que sérieuse. Mais bon je vais te le répéter de manière plus claire et plus directe si tu l'as pas compris.... Une fois que j'aurais jouit, je vais simplement te violer ici même devant les yeux de tout le monde sans qu'ils ne s'en rendent compte.

Je tire les cheveux une première fois pour lui laisser une inspiration puis plouf, Pauline est de nouveau sous l'eau, visage collé de force à mon intimité. Puisqu'elle semblait ne pas être à l'aise sous l'eau je tirais moi même sa tête dans tous les sens pour obliger ses lèvres à se frotter là ou il fallait, juste sur mes lèvres intimes, gonflées elles aussi comme jusqu'à s'en dessiner sous mon maillot. Comme j'étais une adorable maitresse, j'écartais même mon maillot de l'autre main pour lui remettre l'intimité sur ses lèvres.

Alors on manque de souffle ? ton endurance n'est pas très bonne dis donc. Si tu veux abandonner je peux l'accepter, fait le moi juste savoir que je puisse révéler à tout le monde l'esclave sexuelle que tu était dans ton enfance...

Je ne la remontait à aucune seconde, jusqu'à ce que ses joues soient gonflées et rouge comme une tomate bien mure. Tant qu'elle ne perdait pas connaissance il n'y avait aucune raison de ne pas pousser un peu ses limites à son paroxysme, il suffisait juste de faire attention et de la relever au bon moment. D'ailleurs, elle eu le droit à une nouvelle gorgée d'air, avant de retourner sous l'eau aussitôt. C'était un avertissement... maintenant fini toi même le travail fait en sorte que je jouisse dans ta bouche, elle sera enfin utile à quelque chose comme ça... Retirant la main de dessus sa tête, je lui laisse désormais de nouveau le quartier libre pour respirer et recommencer ses apnées, qui seraient assurément de plus en plus épuisante... Et si elle recommençait à se plaindre.. et bien... pauvre Pauline...

Prends toi y comme tu veux, fait le juste bien. Lui dis-je en commençant à me masturber la poitrine, sensuellement et surtout d'un geste ample et lent pour espérer ne pas me faire voir... même avec le dos tourné.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 22 septembre 2016, 16:49:01
Pauline continuait de reprendre son souffle alors que Leona lui donna une claque et lui plongea le visage sous l’eau de force. Elle ne lui laissait pas le choix et décida de l’utiliser comme un objet. Pauline tenta de calmer sa maîtresse en lui léchant tendrement le vagin mais cela ne changea pas du tout la façon dont elle se comportait avec son nouveau jouet. Elle la tira par les cheveux pour lui laisser respirer quelques instants, avant de la replonger sans avertissement entre ses cuisses. Sa maîtresse la tenait fermement par les cheveux et faisait frotter la bouche de Pauline contre son intimité alors que son autre main écartait son maillot. Pauline avait donc moins d’effort à fournir, tout ce qu’elle avait à faire c’est lécher, lécher et encore lécher. Sa maîtresse attendait toujours l’extrême limite pour remonter sa soumise à la surface.
Pauline avait fait une belle erreur en comparant Leona avec son ancienne maîtresse. Leona était cruelle et poussait le vice à son maximum. Elle était bien pire que sa première maîtresse. Pauline avait peur de finir par perdre connaissance mais la violence de Leona l’avait rendu extrêmement docile. Malgré son état, Line continua de lécher le vagin de sa maîtresse. Elle désirait lui faire autant de bien que cette dernière lui faisait du mal. Sa maîtresse la remonta une énième fois en la tirant sans retenue par les cheveux puis lui déclara qu’elle devrait finir par elle-même.
Elle avait été avertie et maintenant elle devait tout faire pour éviter de mettre Leona en colère une nouvelle fois. Elle reprit difficilement son souffle puis plongea une nouvelle fois entre les jambes de sa maîtresse. Elle écartait toujours son maillot, ce qui permit à Pauline de s’occuper de son intimité plus facilement. Elle plaqua de toutes ses forces sa bouche sur le vagin de la jeune sadique et la lécha furieusement. Line sentait que sa maîtresse n’en avait plus pour longtemps avant de finalement jouir mais elle dût remonter à la surface respirer un peu. Devant le regard froid de Leona, Pauline replongea rapidement dévorer son vagin. Pauline sentit de léger mouvements de hanches chez sa maîtresse et agrippa fermement ses fesses pour pouvoir la lécher passionnément jusqu’à ce qu’elle finisse par déverser sa cyprine dans la bouche de son jouet. La jeune fille remonta à la surface et avala la mouille de sa maîtresse. Elle avait finalement réussi à la faire jouir, et elle espérait qu’elle serait reconnaissante, même si elle en doutait fortement.

 - J'espère que ça vous avez apprécié maîtresse, murmura Pauline tout en respirant fortement.

Elle n'avait qu'une hâte, c'était d'échapper à sa maîtresse à la fin des cours et d'aller se reposer après cette éprouvante journée. Cependant Pauline avait entendu Leona dire qu'elle allait la violer, et elle savait qu'elle ne pourrait pas y échapper...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 22 septembre 2016, 21:11:27
Sous la surface, là ou l'air était absent, notre petite secret était bien gardé et chaque plaintes étouffées ne seraient jamais découvertes. C'était comme un autre monde, une autre dimension dans laquelle Pauline était plongée pour travailler en toute sécurité. Ce qui marchait d'ailleurs bien à en juger par mon intimité, qui se réchauffait dans l'eau froide de la piscine scolaire. Peu à peu, je perdais mes moyens au point de ne plus savoir comment retenir mes gémissements, qui se faisaient plus présent. Certains élèves regardez même en notre direction en se demandant s'il ne s'agissait pas d'autre chose qu'un simple cours d'apnée... Heureusement, je pu garder mon calme lors de l'orgasme en empoignant ma poitrine à pleine main, et en mordant ma lèvre inférieur, le regard vague en me concentrant sur une seule pensée * Ne pas crier... ne pas gémir... mais surtout ne pas crier ! * Et avant même de m'en rendre compte je déversais mon nectar entre ses lèvres en serrant les cuisses, dandinant mes hanches de droite à gauche pour garder un appuis stable.

Lorsque ce fut fini, je ne lâchais qu'un petit gémissement ainsi qu'un soupire d'aise, expirant une bouffée chaude en prenant Pauline contre mon corps, tête contre ma poitrine... Mais au loin déjà le professeur appelait les élèves à se rassembler au vestiaires, pour une petite pause de 10 minute. Après une bonne heure dans l'eau quoi de mieux qu'une entracte après tout..

Elle a bien travailler monsieur, mais nous allons faire l'impasse sur la pause, Pauline veut encore travailler, elle me dit qu'elle est sur la bonne voie.

Une fois tout le monde sorti de la salle, je la regarde d'un air carnassier avant de sortir de la piscine, sortant de mon sac à coté du banc un long gode ceinture, d'un calibre long. Lorsque j'avais dit que j'allais la violer je ne mentais pas,, et je comptais bien prendre son derrière dans la piscine, après avoir enfiler l'instrument autours de la taille.

Ne t'en fais pas, personne ne t'entendra crier sous l'eau... et ça devrait être rapide vu ton excitation...

D'un coups net, je plaque ma main dans sa chevelure et lui plonge la tête sous l'eau d'un geste en avant, penchant son corps fesses bien en arrières. Et effectivement, elle pouvait toujours crier maintenant qu'elle était sous l'eau, avec ses fesses en offrande à mon bassin qui pilonnait déjà son derrière. D'abord par de petits mouvements à l'entrée de son anus, puis plus sauvagement, sans ménagement... Après tout, un viol ne devait pas être doux...

T'en jouiras, même si tu dois t'en noyer et finir à l'infirmerie...

Des mots bien cruels alors que ma poigne sauvage resserrait encore sa chevelure... je voulais clairement l'entendre crier à plein poumon sous les assauts ravageurs qui irritaient son derrière. Et j'y allait de bon coeur, son corps se faisait maltraiter et je commençais à avoir du mal à pousser plus loin. Qu'importe, je continuas à utiliser son derrière comme une porte sens unique qui ne pouvait qu'être enfoncé. Il ne fallait cependant pas oublier le but de ce viol sous-marin et ma main libre passait sous son maillot pour aller masturber du bout de l'index, son intimité encore chaude. J'espérais un orgasme haut en couleur pendant qu'elle s'étouffait, avant de la laisser ensuite tranquille pour un petit moment...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le vendredi 23 septembre 2016, 09:51:26
Quand son calvaire fût finit, Leona enlaça Pauline et plaqua le visage de la jeune fille sur sa poitrine. Line ferma les yeux et reprit son souffle en savourant cet instant de repos contre sa maîtresse. Mais le repos n'allait pas durer. Alors que les élèves étaient rappelés, la peste déclara au professeur qu'elles resteraient encore dans l'eau. Comme si Pauline voulait encore travailler. Elle n'en pouvait plus et savait qu'elle allait maintenant se faire violer. Cependant elle ne dit rien et se prépara mentalement à ce qui allait se passer. Leona était sadique et ne supportait pas qu'on la contrarie. Line devrait être soumise pour ne pas subir de choses encore plus douloureuses et humiliantes.
La jeune fille vit sa maîtresse sortir de l'eau et revenir avec un énorme god ceinture. Il était extrêmement long. Beaucoup trop à son goût. Leona agrippa les cheveux de son esclave et plongea sa tête dans l'eau avant d'enfoncer l'immense god dans son anus. Line lâcha un profond gémissement qui eût pour effet de vider ses poumons de tout l'air qu'elle avait inspiré avant d'être mise sous l'eau. Très rapidement Leona maltraita le cul de la jeune fille en lui défonçant l'anus et en enfonçant toute la longueur du god en elle. Pauline avait l'impression que son cul allait se déchirer et gesticulait dans tous les sens sous l'eau alors qu'elle n'avait plus d'air. Sa maîtresse ne semblait pas y porter beaucoup d'importance car elle préféra jouer avec son index sur l'intimité de son jouet. Pauline se sentait vraiment humiliée par ce que lui faisait Leona. Même un chien était mieux traité que ça. Finalement la jeune soumise ne pût s'empêcher de jouir alors que le god lui violait une énième fois le cul. Pauline gémit de plaisir et de douleur alors qu'elle commençait à sérieusement s'étouffer et qu'elle avalait de plus en plus d'eau.

Pauline n'avait qu'un souhait, que tout ceci se termine et qu'elle puisse rentrer chez elle. Heureusement elle ne vivait pas dans l'internat du lycée. Ses parents voulaient l'avoir auprès d'elle après sa disparition. Cependant Line ne souhaitait pas que cette peste sadique sache où elle habite. Elle devrait faire attention à ne pas être suivie quand elle rentrerait.

Elle n'en pouvait plus et sentant que sa maîtresse n'était pas pressée de la libérer, Pauline se dégagea violement de la prise de cette dernière. Une fois hors de l'eau, elle recracha beaucoup d'eau et toussa. Elle avait eu très peur de mourir noyer. Sa peur avait dépassé son caractère de soumise, Pauline gifla le visage de Leona et la regardait avec dégoût.

 - Espèce de sale peste sadique ! Tu voulais me tuer ou quoi ? cria la jeune fille. J'étais entrain d'étouffer bon sang ! Qu'est ce qui ne va pas chez toi !

Elle avait parlé sous le coup de la colère, et elle savait que Leona allait lui faire payer cet affront. Mais elle s'en moquait, elle était soulagée d'avoir pu lui dire ce qu'elle pensait.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 24 septembre 2016, 10:44:20
Je croyais devenir folle de rage... Tout prenait pourtant une tournure parfaite. Les bulles d'airs étaient légions et ses cris freinés par l'eau restaient parfaitement inaudible à la surface. Elle avait même fini par jouir sous mes doigts, juste par quelques caresse sur son intimité et quelques " petits " coups dans son derrière. Sa paire de fesses devait d'ailleurs être en feu, elle avait surement la sensation de s'être faite dévaster par cet antre si tabou, et par un gode aux dimensions plus que douteuses. Il suffisait simplement d'être lucide pour savoir qu'un élève de lycée ne pouvait en aucun-cas en avoir une aussi grosse dans le pantalon, le jouet était donc peu adapter aux paires de fesses d'une jeune fille comme Pauline... d'ailleurs était-il adapté à une quelconque paire de fesses ?

Dans tous les cas j'étais heureuse de savoir qu'elle venait de jouir, même si la brune était à demi consciente sous l'eau derrière sa longue chevelure ondulant, comme une pieuvre. Non jusque là tout allait vraiment bien jusqu'à ce que cette peste décide de me gifler en haussant le ton. Sous la surprise je ne ripostais même pas, écarquillant dans un premier temps les yeux en touchant ma joue, choquée par le geste. Aussi loin que remontait ma mémoire c'était la première fois que je recevais une gifle... même mes parents jadis, n'avaient jamais oser porter la main sur moi dans mon enfance... Là pourtant cette brunette au passé de soumise pourtant bien prononcé, venait de m'en foutre une avec agressivité...

Tu... Sa... salope de soumise... tu as vraiment...

Passé l'étonnement c'est le froid glacial qui se dessine dans mes yeux, un froid qui aurait été capable de geler n'importe qui sur place dans un long frisson dorsale.

Putain... je vais te noyer... je vais vraiment te noyer...

Ne sachant pas comment réagir et portée par mon instinct je lui fou la tête sous l'eau une fois encore mais dans le but de ne pas la laisser remonter cette fois. Par delà la surface, je la fixe d'un regard froid, et ses gesticulation et son visage apeuré m'énerve tellement que je redouble d'effort pour lui faire du mal, profitant d'un petit cri de détresse pour lui enfoncer d'un violent coups sec le gode ceinture au fond de ses lèvres. " Noie toi en silence " avais-je penser sur le coups, mais est-ce que je n'en faisait pas trop ? Le corps de Pauline se faisait bientôt faible et l'eau se frayait un chemin vers son nez, noyant bientôt ses narines du liquide chloré. Oui, elle était à deux doigts de se noyer pour de bon, qu'était-je en train de faire ? Non, ce n'était pas le chemin que je voulais emprunter, je devais reprendre mes esprit et passer la colère... j'avais juste eu une réaction surdimensionner à cette gifle car je n'avais pas su comment réagir... les premières fois étaient souvent douloureuse comme on le disait si bien.

Merde... t'as de la chance que je me suis reprise. Lui dis-je un peu moins sèchement en tirant son corps hors de l'eau, toussant par coups nets et espacé l'eau qui gorgeait ses poumons.

Mais la colère persistait, elle persistait tellement que je la laissait allongée sur le rebord de la piscine en prenant la direction de la sortie.

Ca te feras un bon prétexte pour aller à l'infirmerie et sécher le reste du cours... quand le prof te trouvera dans cet état. Mais n'oublie pas que je connais ton secret... alors, tu as faillit te noyer toute seule en voulant trop en faire c'est compris ? Sinon même l'épicier du coin et la petite commère de 85 ans de ton quartier connaitrons ton secret...

Et je m'éclipsais, tremblant encore de colère mais préférant prendre une petite pause loin d'elle pour le moment, dans le cas contraire je risquais vraiment de la tuer sous l'impulsion... Au moins, je savais qu'elle n'allait pas y rester et qu'elle avait juste besoin de repos pour reprendre son souffle... j'étais déjà soulager même si je ne le montrait pas ouvertement
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 24 septembre 2016, 11:14:01
Pauline savait qu'elle avait été trop loin en frappant Leona. Son visage rouge de colère en était la preuve. Pauline avait presque envie de pleurer en pensant aux souffrances qu'elle allait subir.

 -Je suis vraiment désolée maîtresse, je n'aurai pas dû faire ça. S'il vous plait pardonnez moi je ferai tout ce que... bredouilla Pauline avant que Leona ne la plonge sous l'eau.

La jeune fille se débattait pour remonter à la surface mais sa maîtresse avait fermement agrippé ses cheveux et lui maintenait facilement la tête sous l'eau. Pauline était paniquée et pensait que cette peste allait la tuer. Elle enfonça violement le god dans sa bouche ce qui lui fit avaler de travers un peu d'eau. Elle était terrifié à l'idée de mourir et continuait de se débattre même si elle sentait ses forces l'abandonner peu à peu. Allait-elle mourir avec un god en bouche pour satisfaire une malade mentale ? De l'eau s'infiltrait par son nez et sa bouche alors que son corps réclamait de l'air. Finalement Leona tira son jouet hors de l'eau et la coucha sur le bord de la piscine. Pauline cracha une belle quantité d'eau en pleurant et respirant avec difficulté. Leona l'abandonna à son sort après une dernière menace et lui avoir conseillé d'aller à l'infirmerie. C'est ce qu'elle fit après avoir raconté s'être noyée au professeur de sport. Ce dernier était en colère après Leona mais la jeune fille lui expliqua que c'était entièrement sa faute et que sa camarade n'y était pour rien.
Pauline alla au vestiaire remettre son uniforme du lycée puis alla à l'infirmerie. L'infirmière lui déclara que du repos suffirait pour qu'elle se remette de cette épreuve. Elle s'allongea sur un des lits de l'infirmerie et ferma les yeux. La cloche sonna la recréation et l'infirmière quitta la pièce pour aller à la salle des professeurs.
Line était encore choquée par sa mésaventure. La prochaine fois qu'elle verrait Leona, elle s'excuserait et lui promettrait une obéissance sans faille. Elle devait se racheter à tout prix.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 24 septembre 2016, 11:54:46
Il me fallut un bon moment pour complètement me calmer, mais aussi deux bonnes cigarette, cachée sous un escalier à souffler longuement la fumée. Les images de mon excès de colère parcouraient encore mon cerveau à plein régime, si je n'avais pas repris mon calme il ne lui aurait surement fallut pas plus de 10 secondes pour réellement s'étouffer. Hors de question de s'excuser cependant... elle avait été elle aussi beaucoup trop loin après tout, et je restais assez en pétard pour le lui faire payer. Mais comment ? il n'y aurait jamais une seule punition à la hauteur pour laver l'affront de cet acte odieux. Non jamais.

* Putain... elle m'as pas fait mal mais de quel droit... attends un peu... *

La deuxième cigarette finit cruellement écrasée sous le talon de ma bottine alors que je me relève pour aller lui rendre " visite " à l'infirmerie. Comme je le pensais Pauline était seule derrière un rideau, encore allongée dans le petit lit. Elle ne pouvait donc pas voir qui était rentré et devait surement penser que c'était l'infirmière. A cette heure-ci c'était pourtant improbable, je savais de source sure qu'elle prenait toujours une pause de 40 minutes et deux cafés long avant de bouquiner dans la salle des profs, ce qui laissait donc une marge.

J'en riais presque sadiquement en enfilant une des tenues d'infirmière dans le placard, même si la poitrine était compressée et me faisait déjà presque suer une fois le reste enfiler... Au final, j'étais une super infirmière sexy, au décolleté trop ouvert et maintenant très mal mon tours de poitrine ! La jupe rose qui allait avec était quant à elle à ma taille, et j'avais garder mes propres bottines par soucis d'une différence de pointure... dommage, les talons m'auraient bien fait envies... Mais qu'importe puisque je rendrais en plus dans mon rôle d'infirmière en enfilant de long gant blanc, d'une matière entre le latex et le caoutchou. Pour les cheveux une super queue de cheval vint rajouté une touche de charme faussement sage... Je pouvais transpercer Pauline de mon regard bleu océan en tirant le rideau désormais.

Bonjour mademoiselle Pauline, je suis l'infirmière assistante en stage. Selon votre dossier vous avez quelque difficulté à respirer correctement suite à un effort trop prolongé.

Bien évidement qu'elle m'avait tout de suite reconnue,je n'avais rien fait pour dissimuler mon identité après tout. Seulement, je m'amusais à rentrer dans le rôle de la véritable infirmière. Je prenais même la température une première fois en posant mes lèvres sur son front.

Je crois que vous avez de la fièvre, on va vérifier ça.

Juste un prétexte, elle n'avait pas plus de fièvre que j'étais une assistante infirmière pour de vrai, mais ça me permettais de jouer un peu avec elle pour préparer ma vengeance dont je n'avais pas encore l'idée moi même. Pourquoi ne pas commencer par l'humilier un peu alors ? En faisant semblant par exemple d'avoir perdu le thermomètre rectal... et remplacer l'instrument par deux doigts bien glissant dans son anus. Les gants moulant produisaient d'ailleurs un agréable sons de glissement ressemblant presque au latex, et je prenais un malin plaisir à les agiter dans tous les sens en caressant bien le fond de cet antre interdite, durant une bonne minute et demi sans bouger.

Non pas de fièvres, mais je trouve votre anus bien ouvert pour une jeune fille de votre age, dites moi en détails ce qui a pu l'écarter comme ça... en tant qu'infirmière je me dois de veiller à la santé des élèves. Je vais aussi vous demander de vous lever un moment et de vous mettre toute nue... je veux en profiter pour faire un check up de votre état. Lui ordonnais-je avec une voix si douce qu'ont aurait presque pu me croire excellente comédienne.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 24 septembre 2016, 12:26:07
Pauline s'était presque endormie sur le lit de l'infirmerie, et un peu de sommeil ne lui aurait certainement pas fait de mal, bien au contraire. Mais la jeune fille entendit quelqu'un entrer. Ses sens furent immédiatement aux aguets. La personne semblait se changer et Line ne pouvait pas voir qui c'était à travers le rideau. Mais le silence l'avait directement mise mal à l'aise. L'infirmière aurait déjà prit de ses nouvelles si c'était elle. Il était évident que c'était Leona et qu'elle revenait à la charge. Pauline respira profondément et se prépara à s'excuser quand sa camarade tira le rideau et se montra en tenue d'infirmière. Elle était terriblement sexy et la jeune fille se perdit sans le décolleté de la vilaine peste.

 - Bonjour mademoiselle, déclara Pauline en décidant de jouer son jeu.

Pauline fut surprise par la douceur des lèvres de Leona sur son front et se sentait honteuse de vouloir sentir ses belles lèvres rouge sur sa bouche. Leona déclara vouloir prendre la température de Pauline. Elle passa sa main sous la jupe de la jeune fille, la passa sous sa culotte et enfonça deux doigts dans son anus. Ce n'était pas désagréable même si elle aurait préféré qu'elle ne porte pas de gants. Elle remua ses doigts sans retenue et en les enfonçant profondément. Pauline poussa plusieurs petits gémissements. Finalement après un bon moment à jouer dans son anus, l'infirmière pour une aprèm lui déclara qu'elle souhaitait prendre soin des élèves et qu'elle voulait que Pauline se déshabille. Elle allait jouer son jeu sans rouspéter. Si elle faisait absolument tout ce qu'elle désirait, peut-être serait elle un peu plus douce.

 - Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à ma santé déclara Pauline en se mettant debout et en retirant un à un ses habits. Pour mon anus c'est tout à fait normal. J'ai été enculé par un god ceinture qui était non seulement très long, mais aussi très large.

Pauline continua de se déshabiller en retirant son soutien-gorge qui dévoila sa poitrine menue, puis termina en retirant sa culotte et ses chaussettes.

 - Je veux être certaine d'être en bonne santé mademoiselle, avoua Line. Faites tous les tests que vous jugez nécessaire pour vérifier que je vais bien. Je vous en remercie d'avance.

La jeune fille savait que de toute façon elle subirait tout ce que l'esprit pervers de Leona pouvait inventer. Mais elle était prête à tout tant qu'elles étaient entre elles deux.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 24 septembre 2016, 14:06:03
Pauline était adorable toute nue malgré ses petites formes et ses seins qui ressemblaient d'avantage à deux jolies fruits en plus pousse qu'à de gros agrumes. Ca avait son charme, et je pue les prendre une première fois à pleine main sans mal, prétextant que c'était pour les peser, pour le dossier médical. Mhhh un peu petit, ils ne se développent pas très bien. Palpant sa petite poitrine presque avec amour et avec un peu d'insistance, je termine par deux petites tapes bien fermes dessus, dans un agréable sons de claquement de chaire. Il ne me fallait pas plus de quelques secondes pour en faire de même avec ses fesses, les gratifiants de quelques fessées douces en la fixant dans les yeux.

Mais tout d'abord nous allons soigner ce joli petit cul bien écarté, tu dois avoir mal.

Fouillant pour trouver une crème hydratante, j'en saisis un flacon blanc et épais que j'étale sur mes mains, et au bord de son anus. Commence alors un massage circulaire au bord de son gouffre, d'un frottement agréable et appuyé avant d'y entrer. Là, c'est le même traitement, un massage profond et appuyé durant de longues minutes avec une crème chauffante, qui en plus de soulager ses brûlures fait agréablement chauffer son anus. la température de ses parois maintenant bien rehaussées et le fonde de son trou meurtri apaisé, je peux retirer mes doigts dans un agréable sons de glissement.

C'est agréable non ? C'est tout chaud ? Mais fait attention maintenant, éviter de te prendre quoi que ce soit si tu ne veut pas déchirer les parois anales et te faire un mal de chien.

J'en profitais également pour réellement lire son dossier médicale, et tomber sur des choses plutôt intéressante... comme son adresse par exemple... Un large sourire se dessinait sur mes lèvres pendant que je préparais le prochain exercice de ce check-up.

Je vais devoir analyser certains de tes fluides pour analyse aussi. il va falloir que tu te masturbe et que tu remplisse ce flacon, d'accord ? Pour te rassurer, tu n'auras qu'à me regarder pendant que tu le fais.

Pour la rassurer ? Mais bien sure ! c'était surtout pour l'humilier complètement ! Et rien que d'imaginer la scène... mhhh... Pauline se masturbant avidement pour un soit disant examen, toute nue, en regardant droit dans les yeux son infirmière comme une petite soumise toute mignonne... ça devrait vraiment faire son petit effet sans soucis ! D'autant plus que la porte, même pas fermé à clef... était un risque supplémentaire qu'elle soit surprise en plein action. Pour limiter ces risques je l'incitais à faire rapidement en titillant le bout du stylo sur son clitoris, l'appuyant un moment dessus avant de reprendre la route sur son bas ventre, pressant désormais ses tétons... Ce qui me donna une idée alors que j'abandonnais le stylo... Un autre prétexte médical pour l'humilier encore

Il faut aussi que je puisse mesurer tes tétons quand ils poussent, que je puisse m'assurer de leur fermeté...

Et ça, c'était le boulot des deux petites pinces métallique et froide que je venais lui attacher aux bout des tétons. En plus de l'acier glacial il y avait aussi le poids, un peu lourd... Pour le moment ce petit jeu infirmière / patiente restait plutôt soft, ce qui me laissait le temps de préparer une véritable punition pour ce soir... Oui, je n'allais pas lui laisser un seul moment de répit, pas même après les cours !
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 24 septembre 2016, 14:46:32
Pauline était soulagée de voir que Leona semblait de bien meilleure humeur qu’à la piscine. La jeune fille était donc conforté dans son idée que plus elle était soumise et obéissante, et plus sa maîtresse serait gentille avec elle. Leona commença par tripoter doucement les seins de sa petite esclave. Elle trouvait qu’ils étaient un peu petits mais semblait apprécier de pouvoir jouer avec. Elle termina par y mettre de petites tapes. Pauline remarqua qu’ils commençaient déjà légèrement à pointer. Même si sa maîtresse était sadique et cruelle, elle était obligée de constater qu’elle était extrêmement douée quand il était question de procurer du plaisir. Elle glissa ensuite ses mains sur le petit cul de Pauline et lui mit la fessée, comme à une vilaine fille ayant fait une bêtise.
Pauline accepta avec joie que Leona s’occupe de soigner son anus et la remercia. Elle n’était pas certaine que cette dernière chercherait vraiment à la soulager de sa douleur, mais elle lui laissa le bénéfice du doute. Leona prit une crème hydratante et lui caressa doucement la raie, ce qui la fit pousser un petit soupir de soulagement. Line savoura cet instant et  lâcha un profond gémissement en sentant les doigts de la jeune peste se glisser dans son anus. Elle remua ses doigts en profondeur et soulagea grandement le cul de son esclave. Après avoir été violée par un god bien trop gros pour son petit trou, cette crème faisait des miracles.

 – C’est très agréable mademoiselle. Vos doigts me soulagent énormément ! déclara Pauline en rougissant. Je vais faire attention, je vais laisser mon anus se reposer quelques jours…

Pauline remarqua que Leona lisait son dossier, mais elle se demandait ce qui pouvait être si intéressant. Elle lui demanda ensuite de remplir un flacon avec sa cyprine. Elle devait en plus la regarder pendant qu’elle se ferait du bien. C’était très gênant mais elle le ferait.

 – Très bien, si vous en avez besoin je vais me caresser alors, bredouilla Pauline en prenant le flacon.

Line prit place sur une chaise pour pouvoir se masturber confortablement. L’infirmière décida de l’aider car elle titilla son clitoris avec un stylo, puis appuyant doucement dessus ce qui fit gémir l’esclave. Leona décida de pincer les tétons de Pauline tandis que cette dernière enfonça doucement deux doigts dans son intimité. Elle les remua doucement pour se procurer du plaisir tout en fixant du regard la personne qui avait fait d’elle son jouet. Cela ne semblait pas être assez pour la peste qu’était Leona car elle décida d’appliquer de lourdes pinces métalliques sur les tétons de Line. La douleur était proportionnelle au plaisir qu’elles lui procuraient. Pauline gémissait de plus en plus fort tout en s’inquiétant que quelqu’un ne l’entende en passant dans le couloir. Finalement après quelques minutes, le corps de l’esclave se crispa de plaisir et elle colla le flacon contre son intimité juste à temps pour recueillir sa cyprine alors qu’elle jouissait sans retenir ses cris.

 – J’espère que cet échantillon vous convient mademoiselle, dit Pauline en rougissant et en le tendant à Leona.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 24 septembre 2016, 19:26:23
Pauline y allait de bon coeur et finit par jouir en environs 5 bonne minute devant mes yeux, pour mon plus grand bonheur. Est-ce que la qualité était satisfaisante ? Je ne savais pas vraiment, mais je prenais le flacon d'un air stoïque avant d'y tremper la langue pour gouter, passant la langue sur le contours de mes lèvres rouges et sanguinaire.Pas mauvais... c'est le gout d'une jeune fille en bonne condition... Puis d'un coups sec, je bois le contenu du flacon en une seule gorgée, le faisant tourner dans ma bouche comme un bon vin avant de m'immobiliser en regardant Pauline. Sans prévenir, mes mains saisissent ses épaules avec poigne et mon visage s'approche du sien, lentement.. très lentement avant d'y presser ma bouche légèrement pulpeuse, jouant de ma langue pour écarter ses lèvres de force et y procurer un baiser langoureux. Mais j'en profitais surtout pour transférer sa cyprine d'une bouche à l'autre, poussant avec la langue entre ses douces lèvres pour lui faire gouter son propre nectar...

Tu vois, plutôt gouteux non ? Dis-je en m'essuyant la bouche. Mais maintenant j'ai tout perdu... mince... il va m'en falloir un autre flacon.

Cette fois-ci c'est moi qui prends les devants, l'allongeant sur son lit en profitant de la moitié de temps restante. Les sangles en cuirs au bords du matelas, qui servaient à tenir attaché au lit les élèves qui ne voulaient pas se laisser piquer, ne m'avaient pas échappés, et la belle brune se retrouva vite sanglée sur le lit, aux niveaux des jambes, des cuisses, des bras... de la taille... la pauvre ne pouvais plus bouger. Une position parfaite pour se venger, tout en faisant sembler de rester encore douce, totalement habité par mon rôle de pseudo bienveillance.

Il parait que tu as terminé à l'infirmerie car tu n'as pas pu être assez endurante lors de ton entrainement, pour éviter que ça se reproduise je vais te faire travailler un peu ton rythme cardiaque, ça fait parti de mon boulot après tout de veiller à ce que ça ne t'arrive pas de nouveau...

Je saisis alors un masque d'infirmière blanc, qui se porte sur les voix respiratoires. Bien évidemment celui-ci est vite muselé sur son visage. Pour le moment tout allait pour le mieux, et je me contentais de la masturber en profitant des dernières minutes de la drogue, pour la faire jouir une première fois dans le flacon. Le masque médicale sur le bas de son visage rendait la respiration un peu difficile mais bien évidemment comme j'étais sadique... ce n'était pas assez. Je prix donc le premier produit liquide qui me tombait sous les mains... pas de chance, c'était un liquide qu'ont injectait par seringue en temps normaux pour endormir légèrement les douleurs. Mais là ou je me montrais sadique, c'était en versant le contenu directement sur le tissus du masque, qui recouvrait son nez, sas bouche et donc ses voies respiratoires. Aussitôt, avec le masque mouillé, la respiration était quasi impossible et le tissus épousait les formes, ne laissant pas un seul milligrames d'air...

Et je recommençais ainsi à la doigter, pendant qu'elle étouffait progressivement dans ce petit masque en tissus. En plus d'étouffer il y avait le fait que ce soit un petit calmant, et chaque respiration lourde et asphyxiante à l'intérieur du masque la rendrait au fur et à mesure euphorique... de quoi déclencher un orgasme digne de ce nom, grâce à l'effet qui se combinerait bien avec mon majeur et mon index. Deux doigts synonymes de plaisirs pour la petite soumise, deux doigts qui s'enfonçaient et sortaient aux rythmes de ses gémissements asphyxiés pas le tissu humide... cruel rempart entre l'air frais et sa gorge.

Qu'importe... j'en reversait une belle flopée pour être sure que le masque colle bien et que son état d'étouffement progresse... Soulevant toutefois le masque à l'aide d'un seul doigt, lui permettant de respirer lourdement à s'en faire mal... Surement avec une sensation de trop peu à en juger par le sons mouillé du tissus qui s'écrase de nouveau sur son visage, confirmant qu'il ne laisserait passer aucune molécule d'oxygène. C'est alors seulement après cette épreuves, qu'elle aurait enfin le droit à un peu de répit de ma part ! Juste un peu...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 24 septembre 2016, 20:16:02
Leona attrape le flacon que lui tendait Pauline. Il était plutôt bien rempli, ce qui devait être la conséquence du fameux cachet que lui avait fait avaler sa maîtresse. La jeune fille sadique trempa sa langue dans la cyprine puis se lécha les lèvres. Pauline fut surprise quand elle vit « son infirmière » vider le flacon de cyprine dans sa bouche.  Sa façon d’agir excitait beaucoup son esclave et c’est avec joie qu’elle ouvrit doucement ses lèvres pour embrasser langoureusement Leona. Pauline avala sa mouille et profita de la délicieuse langue de cette fille qu’elle trouvait troublante. Elle avait été horrible avec elle, et se montrait maintenant plutôt tendre et bienveillante.

 – Ce qui m’a le plus plu, c’est votre délicieuse langue, avoua Pauline en rougissant.

Leona désirait remplir à nouveau le flacon de cyprine. Elle attacha solidement Pauline sur le lit à l’aide de nombreuses sangles en cuir. Cela inquiéta un peu la jeune esclave, mais elle se laissa faire docilement, sans poser de questions. Elle devait lui montrer qu’elle était une esclave bien obéissante. Pauline était effrayée lorsque Leona lui déclara qu’elle voulait une nouvelle fois l’entraîner à retenir sa respiration. Elle se revoyait sous dans la piscine avec les poumons se remplissant d’eau et ses yeux se remplirent de larmes. Elle était solidement attachée et elle était véritablement terrorisée. Qu’allait-il se passer si la jeune tortionnaire allait un tout petit peu trop loin ? Allait-elle tuer Pauline sans le vouloir ?

 – Pitié pas ça, mademoiselle. Je ne veux pas mourir étouffée, gémit Pauline alors que les larmes coulaient déjà sur ses joues.


Leona n’écouta pas ses supplications et appliqua un masque d’infirmière sur le visage de Pauline. Pour le moment tout allait bien, même si la respiration était plus compliquée, elle était encore tout à fait régulière. Sa maîtresse commença à la masturber et Pauline ne résista pas longtemps à cause des effets de la drogue. Pauline ferma les yeux alors qu’elle atteignait une nouvelle fois l’extase malgré sa peur.  Comme elle le soupçonnait, sa maîtresse ne s’était pas arrêté là et avait versé le contenu d’un flacon sur le masque, ce qui rendit la respiration extrêmement difficile. L’état de panique de Line n’aidait pas à tenir plus longtemps car sa respiration s’était accélérée depuis qu’elle était attachée. 
La tortionnaire recommença à doigter son esclave tandis qu’elle s’asphyxiait lentement. Cependant la douleur insoutenable qu’elle avait ressentie quand elle se noyait n’arriva pas, mieux elle se sentait de plus en plus légère. Elle se sentait spectatrice de ce qui lui arrivait, comme si ce corps n’était pas vraiment le sien. Un léger sourire se forma sur son visage tandis que le plaisir la gagnait malgré son état délicat. Leona renversa une nouvelle fois du liquide sur le masque pour s’assurer que Pauline ne pouvait pas respirer. Son visage changea peu à peu de couleur et le corps de Pauline ne réagissait plus au manque d’oxygène. Pauline finit par jouir des flots de cyprine qui firent déborder le flacon tandis que Leona permit à un peu d’air de passer sous le masque. Le mélange à base de drogue et de liquide anesthésiant avait fini par totalement assommer Pauline qui perdit connaissance. 
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le dimanche 25 septembre 2016, 21:45:51
Pourquoi s'évanouir maintenant ? Elle avait vraiment mal choisit son moment... on s'amusait si bien avant qu'elle ne compte complètement dans les pommes... Le petit anesthésiant était finalement plus puissant que prévu ? Car à en juger par les mouvements de respiration de sa poitrine elle était toujours bien vivante ! Enfin dans son état impossible de faire quoi que ce soit malheureusement... Je lui retirais donc le masque dans un soupir d'ennuis avant de revêtir ma tenue, sortant de la peau de l'infirmière bienveillante. Je ne perdait tout de même pas l'occasion de la laisser ligotée, rajoutant sa propre culotte en boule dans sa bouche, pour que l'infirmière la trouve dans cette position... Je rajoutais même un petit mot ou il était écrit " Je suis votre cadeau de remerciement, mademoiselle l'infirmière... " J'aurais payé cher pour voir la tête qu'elle tirerais en revenant de sa pause...

Car bien évidemment je ne pouvais pas rester si je ne voulais pas que les soupçons se tournent vers moi, bien que je m'ennuyais très vite en tournant en rond dans les couloirs. Oui, j'avais sécher les cours et je m'ennuyais en tirant une petite taf de cigarette, pendant à Pauline qui devait maintenant avoir été découverte bien sanglée.

Pfff... qu'est-ce que je me fais chier...

Je devais trouver une nouvelle humiliation pour le prochain round, et pour ça quoi de mieux qu'escalader la grille du lycée pour faire l'école buissonnière ? Les boutiques étaient surement ce qu'il y avait de mieux en matières d'inspiration, surtout les boutiques de vêtements... C'est alors que j'eus une idée ! Grâce à ce faux examen médicale, j'avais toutes les mensurations de Pauline, de la pointe des pieds jusqu'à celle des téton ! Je pouvais donc parfaitement lui confectionner une tenue des plus humiliante. Je l'imaginais par exemple être contrainte de porter une tenue trop sexy, se déhancher dans les couloirs dans des vêtements qui n'étaient pas fait pour la vie de lycée... Tiens, une robe en latex ? Pourquoi pas ! Si on rajoutait les longues bottes qui grimpaient jusqu'aux cuisses le prix étaient plutôt grand... Mais qu'importe, j'augmentais même copieusement le prix en achetant la paire de gant qui allait avec.

Emballez la bien, c'est un cadeau !

Mauvaise nouvelle pour Pauline, j'aimais offrir mes cadeaux en personne et comme j'avais son adresse en mémoire je me rendait chez elle 30 minutes avant que les cours ne se terminent. Elle avait eu bien assez de repos comme ça !

Pour ses parents, nulles doutes qu'ils devaient être plutôt content que leurs filles Pauline ait une... "amie"... Du moins c'est comme ça que je me présentais à ses parents en leur demandant de ne pas révéler ma présence à leurs filles, que c'était une surprise. J'attendais donc dans sa chambre, jambes croisées sur son lit en regardant ce plafond... C'était la parfaite chambre d'une ado de mon age, tout ce que je détestais... J'espère qu'elle ferait vite ! J'avais hâte de recommencer à l'humilier !
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 26 septembre 2016, 13:18:53
 – Réveille-toi ! s’exclama l’infirmière en secouant les épaules de Pauline et en lui retirant sa culotte de sa bouche.


Pauline ouvrit lentement les yeux et regarda l’infirmière en se demandant ce qu’il se passait. Après quelques secondes de flottements, les évènements passé lui revinrent à l’esprit. Apparemment Leona avait décidé de laisser son esclave nue et attachée sur le lit. La jeune fille était rouge de honte alors que l’infirmière la détachait. Il était facile de voir sur son visage que la jeune femme était scandalisée.

 – Qui t’a fait ça ? Je te signale qu’avant que tu ne te réveille, j’ai retrouvé ta culotte dans ta bouche ! Alors soit quelqu’un a profité de toi, soit tu te livres à de bien étranges activité dans mon infirmerie !
 – Je suis désolée mademoiselle. S’il vous plait ne me sanctionnez pas. Personne n’a profité de moi, j’étais d’accord…
 – Dans ce cas tu auras quand même des heures de colle, et que je ne te vois plus jamais faire ça ici ! Et qu’est-ce que c’est que ce mot ? questionna la jeune femme avant de lire la note laissée par Leona. 
 – Je ne sais pas mademoiselle…
 – D’après ce mot tu m’es offerte en cadeau, déclara l’infirmière en ne pouvant retenir un petit sourire. Malheureusement les adolescentes tout juste sorti de l’enfance ne m’intéresse pas. Allez habille-toi et file d’ici !

Pauline ne se fit pas prier et s’habilla en vitesse avant de quitter l’infirmerie. La jeune fille aurait droit à de nombreuses heures de colle alors que Leona n’aurait rien. C’était injuste mais Pauline n’allait pas dénoncer sa maîtresse. Si elle le faisait elle risquait de la mettre très en colère et elle en subirait les conséquences. Elle savait que la colère de la jeune tortionnaire était bien plus contraignante que quelques heures de retenue. La jeune fille quitta le lycée tout en essayant de ne pas se faire remarquer. Elle ne voulait surtout pas croiser Leona et être humiliée en public. Elle était soulagée alors qu’elle voyait sa maison au loin. Elle avait bien mérité un peu de repos après cette longue journée qui avait été très éprouvante tant psychologiquement que physiquement. Pauline établirait un plan pour éviter le plus possible de croiser Leona au lycée et tout irait beaucoup mieux. La jeune fille entra chez elle et entendit ses parents discuter dans le salon. Ils ne semblaient pas l’avoir entendu rentrer et c’était sans doute mieux ainsi. Elle pourrait reprendre ses esprits tranquillement une fois dans sa chambre.
Line fut choquée de voir sa maîtresse assise sur son lit, dans sa chambre, alors qu’elle venait d’ouvrir la porte. Elle referma la porte derrière elle et regarda Leona avec de grands yeux. Elle savait donc où habitait son esclave. Pauline n’avait pas fini de souffrir et de se faire humilier. Décidément cette fille était pleine de ressource. Résignée, Pauline alla s’agenouiller devant sa maîtresse.

 – Je suis heureuse de vous voir maîtresse, bredouilla Line en baissant les yeux.

Elle avait été stupide de croire qu’elle pourrait échapper à une telle fille. Jamais elle ne pourrait s’en débarrasser. Elle n’avait plus qu’à se soumettre et à obéir à chacun de ses ordres. La jeune soumise remarqua un paquet à côté de sa maîtresse mais préféra se taire et attendre que cette dernière lui adresse la parole.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le lundi 26 septembre 2016, 14:28:53
La délicieuse petite Pauline avait enfin trouvée d'elle même sa place, à genoux devant le lit, résignée à sa superbe maitresses aux traits sombres et attirant. Quel serait alors sa réaction quand je lui ordonnerait de demander à ses parents de me laisser dormir ici ce soir, en tant que soit disant meilleurs amie... Enfin si on veut, qu'elle en soit bien sure je ferais en sorte que ses parents nous surprennent en train de nous rouler une belle pelle quand je l'aurais décidé. Jusque là, je profitais de sa position pour me lever et lui poser une de mes bottines sur l'épaule, en signe de domination. J'étais debout elle était accroupit, j'avais le talon sur elle et son épaules était écrasées en dessous comme un trophée.

Mon cadeau a plut à l'infirmière ? Ou elle a encore dit une connerie du genre " je n'aime pas les filles trop jeune ? " Elle a l'habitude de dire ça depuis que je l'ai pris en flagrant délit avec une élève... elle a peur de recommencer depuis et se cherche des excuses...

Mon pied glisse le long de son épaule pour la faire tomber dos au sol, s'en suivit le talon de ma chaussure neuve qui écrase un de ses petits sein en le malaxant bien sur le passage. Je ne lui dévoilait pas encore son cadeau, il était prévu pour sa tenue vestimentaire au lycée, demain. Contrairement à la mienne puisque j'avais pris soin d'emmener ma tenue complète de dominatrice. Ce fut bientôt un formidable papillon sombre qui se métamorphosa devant ses yeux, sortant de son cocon en lui ayant offert un fabuleux aperçu de mon corps nue, sans aucune gêne. Maintenant, elle avait le droit de voir sa maitresse dans sa tenue de prédilection, comme si elle avait terminé le premier test dont le but final en était ce droit... celui de me voir dans ma robe de latex d'un moulant hors norme, épousant chacune de mes formes comme une seconde peau collée au millimètre près.

Ca te plait ? t'en fais pas tu va pouvoir te frotter dessus comme une petite soumise...

D'un joli rythme claquant, mon talon sur le sol offre une mélodie sans pareil, attestant de la férocité de mes pas logée dans mes belles et longues cuissardes noires, brillant d'un neuve éclatant. Plus haut, juste une légère parcelle de cuisse reste nue, avant de retourner sous une couche de latex moulant mes cuisses à souhait, sous sa forme de jupe. En dessous ? aucune culotte, seule les soumises en avaient besoin dans ce genre de tenue, pour emprisonner leurs intimités dans une prison de latex à en pleurer de frustration. Encore plus haut, le latex moulait parfaitement mon ventre et plus précisément ma poitrine lourde, qui dévoilait enfin tout son potentiel à Pauline, les tétons légèrement dressés dut au fait que j'affectionnais cette matière plus que tout. Même mes bras n'étaient pas dépourvues de cette matière si glissante et brillante, puisque tout l'avant bras et une partie plus haute que le coude étaient prit dans une paire de gants, bien plus moulant que les petits jouets de l'infirmière qui n'étaient à côté qu'une pâle copie.

A genoux... lèche mes chaussures, frotte ton visage de grosse soumise partout sur mon corps pour en apprécier chaque formes... Et n'oublie pas de sucer mes doigt avec gourmandise ainsi que le bout de mes talons... Comme ça si j'ai envie de violer un de tes orifices ça glissera mieux.

Pour agrémenter le tout une petite laisse fut liée autour de son cou pour dégrader sa condition d'esclave sexuelle... Quant à la porte ? Elle devait bien s'en douter... elle ne serait pas fermer à clef pour que l'excitation de nous faire surprendre joue en notre faveur...

D'ailleurs je ne comprends pas que tu porte encore des vêtements... En ma présence dans l'intimité au mieux, tu peut conserver tes sous-vêtements, mais surement pas en porter autant que moi, nos deux rangs sont différents. Je ne veux voir que ton soutient-gorge et ta culotte, et que ça saute !
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 26 septembre 2016, 15:20:25
Leona assit un peu plus sa domination en se levant et en posant une de ses bottines sur l’épaule de la jeune soumise. Son talon appuyait fermement son l’épaule de Pauline, mais cela ne gênait pas cette dernière. Il était normal que sa maîtresse affirme régulièrement sa supériorité, et Line en avait pris l’habitude quand elle était au service de sa première maîtresse. Leona lui demanda de lui raconter la réaction de l’infirmière et Pauline ne se gêna pas pour s’en plaindre.

 – Quoi ? Elle a abusé d’une élève ? Et elle a osé dire qu’elle me sanctionnerait ! Elle m’a donné l’impression d’être choquée et elle a dit qu’elle n’était pas intéressée par les adolescentes tout juste sortis de l’enfance, répéta Line à sa maîtresse. Elle a voulu savoir qui m’avait attaché, mais je n’ai rien dit.


Leona repoussa Pauline sur le dos à l’aide de pied et écrasa un de ses seins avec le talon de sa bottine. Pauline gémit de douleur en grimaçant alors qu’elle sentait son sein aplatit par la botte. Couchée et la voyant au-dessus d’elle, la jeune fille se sentait encore plus soumise et une partie d’elle aimait ça. Après tout sa maîtresse était une jeune fille extrêmement sexy. Le désir de Pauline grimpa en flèche en observant Leona se changer. Sa peau était magnifique et ses formes donnaient presque l’eau à la bouche à la petite soumise. Elle aurait rampé avec plaisir si ensuite sa maîtresse l’avait autorisée à la lécher tout le long de son corps.
Pauline était un peu déçue que sa maîtresse remette des vêtements mais en voyant cette merveilleuse robe en latex, son désir ne diminua pas, bien au contraire. Le vêtement lui collait à la peau et ne cachait pas ses jolies formes. En relevant la tête, la jeune fille pu admirer la poitrine de sa maîtresse alors que ses tétons dressés étaient eux aussi visible. Pauline avait chaud, très chaud. Leona attacha une laisse autour du cou de son esclave puis lui demanda de frotter son visage contre son corps et de sucer ses talons et ses doigts.

 – Vous êtes terriblement sexy dans cette tenue. Je n’ai jamais vu une femme aussi désirable. Je lècherai et sucerai tout ce que vous voudrez avec plaisir ! s’exclama Pauline en se mettant à genoux devant  Leona.

Elle prit délicatement l’un des pieds de sa maîtresse en main et lécha tendrement la chaussure avant d’enfoncer le talon dans sa bouche pour le sucer. Elle répéta l’opération sur l’autre chaussure puis frotta son visage contre les jambes de sa maîtresse en se disant qu’elle agissait comme une chienne docile réclamant l’attention de sa maîtresse. Elle frotta tendrement son visage contre les fesses de la jeune sadique puis tourna autour d’elle pour se frotter contre son ventre et enfin ses seins. Pauline se rendit compte qu’elle aimait obéir et être soumise de cette façon. Elle se sentait tellement bien quand elle avait une maîtresse à qui obéir. La jeune fille termina en suçant chacun des doigts de Leona avec dévotion. Quand enfin elle eut terminé, elle retira rapidement ses vêtements tout en conservant son soutien-gorge et sa culotte. Pauline attendait maintenant que sa maîtresse lui donne un nouvel ordre…
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le lundi 26 septembre 2016, 16:37:14
En brave petit animal Pauline se frottait à sa maitresse pour réclamer des caresses, que je lui donnait avec joie en frottant le sommet de son crâne. Que dire également de son expertise avide de sucer à en faire dégouliner mes talons de salive, elle les avait si bien fait luire qu'il serait dommage de gâcher ce lubrifiant naturel et que je décidais de la mettre une nouvelle fois allongée sur le sol. Mon talon vint alors trouver son intimité, que j'écrasais comme un mégot de cigarette avec la plante de mes pieds. Je la caressait jusqu'à lui en faire chauffer la peau et la faire souiller sa petite culotte. Je n'allais pas plus loin ceci dit. A la place, je lui remettait de force le talon dans la bouche pour qu'elle le suce un long moment, au moins une vingtaines de secondes !

A quatre pattes maintenant toutou.

La laisse qui était assez longue passa sous son ventre plutôt que derrière son dos, la corde s'ancrant ainsi bien entre ses lèvres intimes déjà punit. A chaque coups sur la laisse, son intimité était frottée par la corde à travers sa culotte, et au vu de sa position fesses penchées en arrière, ça arrivait plutôt souvent ! Pourtant, ce n'était qu'un bonus puisque le but véritable de cette position était de lui enfourner mon talon luisant de salive droit dans son anus !

Oh j'oubliais mais il est plus prudent de museler les vilains toutou.

De mon sac, une de mes mains en sorti un mord, autrement dit un bâillon qui n'était qu'une barre épaisse noire, que la soumise mordait. Le tout fut bien muselé derrière son crâne et nous pouvions reprendre notre petit jeu, talon aiguille posté au fond des fesses meurtries. Par moment, je lui rappelais que je n'étais pas de ces maitresses douces en lui donnant un grand coups de semelle sur les fesses, bottant son cul en avant et tirant donc sur la laisse fièrement tendue dans ma main, brulant encore son intimité avec la corde rêche. Ca paraissait déjà bien pénible mais je n'en avait jamais assez, et la gifle restait encore en mémoire. J'allais lui rendre sans plus attendre ce coups an centuple malgré sa docilité plus prononcé.

Tes fesses vont être jalouses si seulement l'intérieur de ton cul est rouge...

Mon sac a porté encore ouvert fut délesté d'une cravache en cuir, que je claquait sur ses petites fesses d'abord pour jouer, puis pour la marquer plus sévèrement. La vilaine chienne était sodomisée par un talon aiguille et battue par une cinglante cravache en cuir pour la punir... Un toutou ne doit pas porter la main sur sa maitresse ! Et je comptais bien continuer à lui faire de plus en plus mal, d'augmenter le rythme et la puissance des coups jusqu'à ce qu'elle en pleure de honte... Je voulais voir les larmes perler sur son visage jusqu'à se mélanger à sa bave qui allai surement luire le long de son mord et de ses lèvres à force de garder la bouche dans cette position délicate.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 26 septembre 2016, 17:21:49
Pauline rougit en sentant sa maîtresse lui caresser la tête. La jeune fille se laissa faire quand Leona l’allongea à nouveau de force sur le dos et étouffa un cri de douleur en sentant le talon écraser son intimité. Après s’être amusée quelques instants à laminer son intimité, la jeune sadique enfonça une nouvelle fois le talon dans la bouche de son esclave. Pauline sut qu’elle devait sucer et enroula amoureusement sa langue autour du talon et le lécha avec application. Après cela elle se mit à genoux en obéissant docilement à sa maîtresse et gémit en sentant la corde de la laisse glisser entre ses lèvres intime et frotter son vagin.
Leona prenait réellement Pauline pour sa chienne et elle avait décidé de la museler, non pas par excès de prudence comme elle l’affirma mais plutôt pour humilier un peu plus sa chienne. Pauline rougit et la laissa faire. Elle mordit la barre noire sans retenue alors que sa tortionnaire enfonçait son talon dans l’anus de l’adolescente. Leona s’amusa à remuer le talon profondément installé dans son fondement et à lui botter les fesses. La jeune fille sentait son intimité devenir humide alors que la corde n’arrêtait pas de se frotter entre ses lèvres, cependant le frottement devenant de plus en plus fort, Line sentit son vagin devenir brûlant et la douleur allait rapidement remplacer le plaisir.
Le traitement que subissait Pauline était douloureux mais ce n’était apparemment pas assez pour sa camarade. C’est à ce moment que Leona sortit une cravache de son sac. Les coups s’enchainèrent et ils étaient toujours plus violents. Pauline étouffait de profonds gémissements et mordait de toutes ses forces la barre dans sa bouche. Elle bavait de plus en plus mais c’était bien plus à cause de la douleur que du plaisir qui n’était quasiment plus présent. Leona intensifia encore plus ses coups et Pauline se demanda si ses fesses n’allaient tout simplement pas s’ouvrir et commencer à saigner de partout alors que des larmes coulaient abondamment sur son visage. Plus c’était douloureux et plus elle mordait fort pour ne pas avoir à crier alors que la souffrance la submergeait. Intérieurement elle accepta la douleur et ne chercha pas à se révolter. C’est seulement de cette façon qu’elle arriverait à supporter ce que subissait son cul.

 – Tu n’es qu’une chienne, tu mérites tout ce qu’elle te fait, se dit Pauline à elle-même dans sa tête.

Ses fesses étaient extrêmement douloureuse et devaient certainement être rouge voire violettes. Son visage était aussi pitoyable que son malheureux derrière, car couvert de larmes et de bave.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le mardi 27 septembre 2016, 11:01:58
Un délicieux mélange de larme et de bave ruisselait sur son menton et s'écrasait dans une superbe flaque au sol, signe de toute la déchéance de la pauvre soumise baignée dans la douleur et l'humiliation. Au contraire de me décider à ralentir, je fut emporté dans un élan malsain et une nouvelle valse de coups s'écrasaient sur son cul rouge, violacé même par certaines parcelles plus visés que d'autre sous la répétition du geste cruel. Finalement, c'est un léger filet de sang perlant le long de son petit cul qui me rappela à l'ordre, elle en avait presque eu assez pour sa gifle, oui presque... car oser porter atteinte à ma personne n'était pas pardonnable aussi aisément.

Si les coups cessaient donc son calvaire lui continuait de plus belle, et un grand coups sur la laisse le lui rappelé, assez grand pour la faire trébucher à plat ventre en filant sur son intimité humide et brûlante comme un volcan. Bien bette était celle qui croyait que je le laisserait rentrer en éruption pour se répandre de son jus sur le sol. Mon but se suffisait en l'excitant d'avantage sans lui accorder la délivrance, jeu qui allait continuer et s'amplifier dans un dernier coups de talon bien crochu dans son fondement, avant de libérer aussi ses petites fesses martyrisées.

Ne pleures pas trop fort, tes parents vont t'entendre... tu imagines s'ils te voyaient comme ça ?

Mon nouveau jeu fut de l'allonger sur le lit, yeux bandés, lâchant la cravache au sol pour une punition moins douloureuse mais... dont j'étais sure qu'elle y voyait là un supplice. Pauline n'étant pas très résistante il était toujours très amusant de la priver de son si précieux oxygène, et de la voir pleurer en me suppliant de ne pas le faire. Mais cette fois-ci pas d'eau, pas de liquide la noyant, juste une de mes main gantée par le latex, qui se plaqua contre sa bouche toujours en proie au mort, ainsi que le pouce et l'index guidés vers les narines pour lui pincer son nez. C'était une sensation délicieuse et la voir se débattre à n'en plus finir était divin. Je ne m'en privais pas un instant et répétais l'opération des dizaines et des dizaines de fois durant de longues et de nombreuses minutes, écartant toujours mes doigts pour lui laisser aspirer 2 à 3 gorgées d'air par le nez. Toujours trop peu lorsque l'ont était avide d'air.

Si ses mains n'étaient cette fois-ci pas ligotées, elle ne pouvait pas y faire grand chose si ce n'est taper sur le lit ou serrer le poing, voir même essayer désespérément d'agripper mon bras... Je m'amusais tellement que je n'en tenais pas compte et que je la poussais à bout, jusqu'à ce que sont visage en devienne aussi rouge qu'une tomate et que sa gorge à l'agonie n'essaye de respirer un air absent... Comme rien ne passait, elle ne pouvait que tousser et s'étouffer sous ma main alors que de l'autre, je m'amusais sans vergogne à pilonner son intimité avec deux doigts bien glissant, eux aussi revêtus par le gant en latex.

Son corps pouvait bien s'affoler et être prit de spasmes d'asphyxie entre chaque courte respirations que je lui cédait mais son corps lui ne mentait pas, et son clitoris sous l'alerte et l'adrénaline que déchargeait son corps sous la sensation d'étouffer, décuplait l'excitation. La pauvre Pauline ne pouvait ni respirer pleinement ni jouir... car je faisais en sorte qu'elle ne puisse jamais jouir... je ne voulais pas qu'elle le fasse. Et je ne la laissais pas non plus s'évanouir comme à l'infirmerie... puisque j'avais déjà eut un aperçu de ses capacités.

Ce petite jeu continuerait ainsi jusqu'à ce que ses parents ne nous appellent pour diner.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le mardi 27 septembre 2016, 12:36:31
La douleur était insoutenable, et Pauline était certaine de ne jamais avoir subi pareil traitement. Elle sanglota doucement tout en se concentrant pour ne pas crier. La jeune fille ne voulait surtout pas alerter ses parents et se montrer dans une situation aussi humiliante. Leona enchaîna de nouveau de nombreux coups sur les fesses de l’adolescente qui devaient avoir une apparence bien différente à celle qu’elles avaient avant de se faire torturer de la sorte. Une chose était certaine, Pauline ne pourrait plus s’asseoir pendant de nombreux jours. Les coups avaient été si violents que son fessier commença à saigner.
Pauline continuait de pleurer alors que les coups avaient cessé. La douleur elle était toujours présente, bien ancrée dans sa chair. Leona tira d’un coup sur la laisse, brûlant l’intimité de la jeune fille qui tomba sur le ventre. Leona donna un dernier coup avec son talon dans l’anus de son esclave avant de retirer son pied. Elle conseilla à Pauline de ne pas trop pleurer, mais comment pouvait-elle faire pour supporter cette douleur. Son vagin était brûlant à cause des frottements de la corde, son anus lui avait été maltraité par le talon et enfin son cul violacé saignait et était extrêmement douloureux.
Leona passa à l’étape suivante et banda les yeux de son esclave qu’elle avait au préalable installée sur le lit. Quand elle sentit la main gantée de sa tortionnaire sur sa bouche, la jeune fille sut immédiatement qu’elle allait être privée d’oxygène. Elle prit une profonde inspiration juste avant que Leona ne lui pince le nez. Elle s’amusa à atteindre les limites de Pauline à de nombreuses reprises alors que cette dernière gesticulait dans tous les sens pour se libérer. La jeune sadique pouvait aisément voir le regard implorant et plein de larmes de Pauline. Cela ne semblait pas la perturber et elle commença à enfoncer violement deux doigts dans le vagin de Pauline. Elle les enfonça sans retenue dans le sexe de son esclave tout en continuant de la priver d’air. Line mouillait énormément mais elle ne supportait plus la douleur dans ses poumons et dans sa gorge alors qu’elle tentait vainement de respirer. La jeune fille était d’accord pour obéir aveuglément à Leona mais ne voulait plus qu’elle continue de s’amuser sans arrêt en l’étouffant. Elle préférait que son secret soit découvert plutôt que de subir ce traitement tous les jours. Pauline se révolta et au lieu de simplement se débattre et taper sur son lit, elle décida d’empoigner les seins de Leona. Elle aimait la douleur, alors elle allait être servie. Line pressa les seins de Leona de toutes ses forces avec comme seule motivation de lui faire mal. Elle savait qu’elle risquait de mettre en colère cette sadique, mais si elle voulait continuer de l’asphyxier alors elle devait se préparer à subir les répliques de sa jeune esclave. C’est à ce moment que le père de Pauline appela les filles.

 – Les filles ! Venez mangez ! s’exclama Anton Catalino.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 29 septembre 2016, 11:07:09
C'est pas vrai elle recommençait à m'attaquer ? Elle n'avait pas compris ? Ok, il fallait donc être plus brutal. La voix qui nous appelait pour manger retentissait dans l'appartement pendant que je ne lâchais pas prises sur le nez de Pauline. Le bandeau qui confinait sa vue était trempé par les larmes et son visage prenait une délicieuse tinte de rouge et de pourpre... j'avais compter la lâcher mais... son agression ne m'en donnait pas envie et je décidais de lui bloquer la respiration 20 longues secondes de plus, en quittant furieusement son vagin pour lui coller une grande gifle... Puis une autre... mais avec la cravache cuisante que je venais de récupérer pour la battre.

Peut-être une seule petite seconde avant qu'elle ne s'évanouisse en suffoquant, je relâche la pression sur son visage et lui envoie une pluie de coups sur son corps. Ses tétons, son ventre, son intimité... tout est marqué de traces rouges, sauf son visage qui ne garde que la marque du précédent coups... si son visage était recouvert de coups, il y aurait trop de soupçons.

Tu préfère vraiment ça à te faire étouffer ? C'est mieux de garder des marques ? Et puis depuis quand c'est la soumise qui décide ? Si tu m'appartiens tout en toi m'appartiens... ça inclus ton oxygène... ton droit de respirer est miens et j'ai le droit de décider des moments ou tu n'as pas le droit à cette denrée, bien trop belle pour toi...

Mais comme nous ne répondons pas le père monte et cogne à la porte, ce à quoi je réponds que nous arrivons tout de suite, dans un petit mouvement de panique... un instant de plus et la porte était entrouverte... Tout finissait au mieux. Sauf bien sure pour Pauline, les yeux bandés au lit et couverte de marques. Le dilemne ? C'est que ces pulsions de sauvageries m'avaient plus... on ne s'imaginait pas vraiment ça de la part de Pauline et elle était la seule à avoir oser me frapper... à deux reprises ! Et je lui roulait un baiser savoureusement gourmand en récompense.

Tiens j'ai une idée... que penserez tes parents si tu embrassais une autre fille ? Quand on descendra pour aller manger, tu mettras tes deux mains bien comme ça... Lui disais-je en guidant ses mains vers ma poitrine rebondit, juste après lui avoir débander les yeux. Puis tu me roulera une jolie pelle devant tes parents.

Bien sure j'avais prévu d'autres choses et elle devait bien en avoir une idée lorsqu'un petit joujou s'introduisait sous sa culotte, que je lui replaçait moi même...

Aller tu as entendu ton papa ? c'est l'heure d'aller manger.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 29 septembre 2016, 12:45:24
Pauline continuait de presser les seins de Leona sans ménagement alors que cette dernière continuait de l’étouffer. La maîtresse décida de se venger en giflant le visage de son esclave et la libéra enfin, la laissant reprendre difficilement son souffle. Pauline relâcha les seins de Leona et respira à plein poumons avant de gémir tout en mordant  la barre toujours présente dans sa bouche au moment où son corps reçu de nombreux coups. Ses tétons, son ventre, son intimité, ses cuisses, rien n’était épargné par la cravache. Pauline constata avec horreur les nombreuses marques rouge sur tout son corps et se doutait que ses fesses devaient être dans un état bien plus lamentable.

 – Je préfère largement être frappée que d’être étouffée et avoir l’impression que d’une seconde à l’autre je pourrais perdre conscience et même mourir. Je ne veux pas que mon secret soit révélé, mais c’est toujours mieux que de finir dans un cercueil ! Je t’obéirai toujours mais si tu continues ce petit jeu, prépare-toi car je ne me laisserai pas faire !

Leona répondit au père de Pauline et lui retira sa muselière avant de l’embrasser sauvagement. Pauline ne comprenait pas comment fonctionnait la tortionnaire. Elle la frappait jusqu’au sang, l’étouffait, puis l’embrassait. Elle était vraiment tordue ! Line répondit à son baiser et captura même la langue de Leona entre ses lèvres pour la suçoter un petit instant. Elle voulait lui montrer qu’elle pouvait lui faire du bien, et qu’il était plus intéressant d’être douce avec elle…

 – J’ai retrouvé mes parents il y a seulement quelques semaines. Je pense qu’ils seraient surprit si je t’embrassais, mais si c’est ce que tu veux, alors je le ferai, déclara Pauline.

Elle voulait se faire tripoter les seins devant les parents de Pauline, une chose ne tournait pas rond dans sa tête. Leona plaça un petit jouet dans la culotte de la jeune fille. Elle n’avait pas eu le temps de voir ce que c’était mais elle ne dit rien et remit sa jupe ainsi que sa chemise. Pauline prit l’initiative et descendit vers la cuisine en tenant la main de Leona. Ses parents virent immédiatement ce contact réservé à deux amoureux et se demandaient ce qu’il se passait.

 – Maman, papa, voici Leona, ma petite amie, déclara Line avant d’embrasser sensuellement les lèvres de sa maîtresse.

Ses parents les regardaient avec de grands yeux choqués mais accueillirent finalement la nouvelle avec bonheur. Pauline avait été une esclave sexuelle, elle avait bien le droit d’avoir une relation normale, même avec une fille. Mais ils ne se doutaient pas que rien n’était normal entre les deux lycéennes.

 – Ne fais pas ta timide, assied-toi ! s’exclama Pauline en pressant doucement les seins de Leona. Tu n’es pas aussi timide d’habitude !

Les parents de Pauline s’étaient rapidement rendu compte que leur fille n’était pas pudique pour un sous, bien au contraire, mais ils lui parleraient de son comportement quand elle serait seule. Il était hors de question qu’elle ne mette sa petite amie dans une situation gênante. Ils s’installèrent à table et commencèrent à manger le rôti de bœuf tout en discutant joyeusement. Pauline regarda Leona assise à sa gauche en se demandant à quoi elle pensait. Pour le moment elle était relativement calme. La jeune esclave par contre n’arrêtait pas de bouger sur sa chaise. Son cul était extrêmement douloureux, et rester assise lui procurait de grandes souffrances. Pauline demanderait à sa maîtresse si elle pourrait lui mettre de la glace sur les fesses une fois qu’elles seraient retournées dans la chambre.  Line espérait que le plus dur était passé et que le reste de la soirée, et la nuit lui permettraient de se reposer. Même si son corps meurtri l’empêcherait de bien dormir…
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 29 septembre 2016, 13:36:00
Mhhh pas mal, si je devais donner une note à ce baiser ce serait un 7/10... Elle aurait pu mieux faire mais était plutôt à l'aise, j'aurais au moins penser que m'embrasser devant ses parents la ferait rougit et stresser... qu'elle serait totalement perdue et perturbée... Dommage. Quant à la suite ? Ah ah ! et bien, si elle n'était pas gênée avec ça ! Je ne savais plus vraiment quoi lui faire ! Qu'elle ne s'attende pas à un repas normal si je suis à la table, oh non surement pas... De toute façon, Pauline le découvre votre dans une petite vibration à peine prononcée, qui n'eut d'autres effets que la faire sursauter... je venais de presser le bouton juste à peine, faisant vibrer le petit oeuf vibrant logé dans son intimité, bien maintenu par la culotte.

Pauline... me toucher la poitrine comme ça devant tes parents est un acte odieux, ce n'est pas une question de timidité, ça ne se fait juste pas...

Là j'essayais de la faire passer pour une perverse ! Gardant une expression froide et faussement étonnée comme pour montrer à ses parents que je n'étais pas garante ni friande de ce qu'elle venait de faire... J'espère qu'elle en aurait bien honte.

Le rôtis est délicieux madame, n'est-ce pas Pauline ?

Avant qu'elle ne réponde mon doigt appuie de nouveau sur la fonction du vibreur... déclenchant un spasme foudroyant dans sa petite culotte rosée. La couleur était annoncée... elle allait jouir à table et sous les yeux de ses parents sans même qu'ils ne s'en rendent compte. Si le vibreur ne suffisait pas mon autre main allait y aider, après tout le rôtis de madame Catalino était si fondant qu'il se coupait à la fourchette avec un peu d'effort. Pas besoin du couteau, contrairement à Pauline qui avait besoin de quelques caresse sous la table. Et si le faire aux yeux de sa famille sans qu'ils ne s'en rendent compte pouvait avoir un côté excitant Pauline devait surement éprouver plutôt de la peur... et de la honte.

Le rouge semblait d'ailleurs lui montait aux lèvres alors que les vibrations se faisaient bien fortes et que ma main poussait l'oeuf vers l'intérieur en pressant sur sa culotte humide.

Pourquoi tu ne raconte pas ta journée à tes parents Pauline ? Il parait que tu as été retrouvée à te balader dans les toilettes des hommes... je me demande ce que tu faisais là bas... tu leur a aussi parler de l'heure de colle qu'ont t'as donné ? C'est arrivé comment ? J'aimerais savoir moi aussi...

Augmentant encore d'un cran les vibrations pour la gêner encore plus et la rendre fiévreuse, mon autre main caresse sensuelle ses cuisses, presque aussi amicalement que le ferait une amante... J'espérais qu'elle trempe sa culotte et qu'une jolie flaque transparente se dessine sur le sol, comme un petit étang de cyprine prouvant sa condition de petite chienne en manque. D'ailleurs, le jouet déjà assez large devait faire mal à une intimité aussi ravagé par les brulures de cordes...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 29 septembre 2016, 14:22:53
Pauline ne s’attendait pas à ce que Leona joue la petite sainte et elle était énervée que cette dernière la fasse passer pour une perverse. Quelle salope ! L’adolescence n’eut pas le temps de ruminer sa colère que l’œuf commença à vibrer dans son vagin.

 – Tu m’as bien tripoté pendant le cours de piscine, et tu n’étais pas très discrète, répondit Pauline malicieusement.

Elle savait qu’elle risquait de le payer mais elle ne laisserait pas Leona l’humilier en présence de ses parents. La sadique ne s'attarda pas sur le sujet et complimenta la mère de la jeune fille pour le repas qui devait être à son goût. Elle avait vicieusement activé l’œuf juste après avoir posé une question à son esclave.

 – Haaaaan oui ! C’est… tellement bon ! bredouilla Pauline alors que son corps se crispait et que son intimité commençait à devenir humide.

Leona semblait vouloir faire jouir sa partenaire devant ses parents, mais la douleur cuisante de ses fesses empêchait le plaisir de prendre le dessus, et l’œuf ne serait pas suffisant. Leona devrait soulager le cul de son esclave ou employer les grands moyens pour la faire jouir. Elle était d’ailleurs légèrement penchée en avant pour ne pas gémir de douleur au contact de ses fesses avec la chaise. La position était très inconfortable et ses jambes seraient vite gagnées par des crampes, mais c’était toujours mieux que de pousser un cri qui alerterait ses parents. Line se crispa et serra de toutes ses forces les couverts dans ses poings alors que l’esclavagiste enfonçait l’œuf dans son intimité en appuyant sans retenue deux doigts contre son intimité.

 – Hum ben oui, j’ai dû aller dans les toilettes des garçons pour récupérer tes cigarettes. Tu sais que je ne peux rien te refuser, et tu en profites beaucoup ! Comme quand tu es venue me tripoter à l’infirmerie. D’ailleurs c’est de ta faute si j’ai des heures de colle, soupira Pauline alors que les parents de cette dernière étaient scandalisés.

 – Jeunes filles, vous feriez bien de suivre vos cours avec plus de sérieux et arrêter de faire des bêtises, déclara froidement Anton. Pauline, si j’ai un seul appel du directeur de ton école, je te garantis que je t’envoie dans un établissement religieux !

 – Je travaillerai sérieusement papa, bafouilla Pauline en baissant les yeux. Nous devrions retourner dans la chambre pour faire nos devoirs…

 – Alors allez-y et travaillez sérieusement ! On s’occupera de la table, ne vous en faites pas. Leona, vous pouvez rester dormir ici ce soir, il est déjà tard. Mais je compte sur vous pour travailler et si vous pouviez aider Pauline ça serait parfait. Elle a pas mal de lacunes en mathématiques.

Pauline se redressa brusquement et attira Leona avec elle dans sa chambre. Elle avait mouillé sa chaise et elle espérait que personne ne remarquerait. Mais à cet instant c’est la colère qui dominait la jeune fille. Leona l’avait fait passer pour une perverse qui allait se balader dans les toilettes des garçons et qui la tripotait contre son gré. Il valait peut-être mieux que son secret soit révélé et qu’elle se débarrasse de cette peste. Line ferma la porte à clef, et s’avança vers Leona en lui offrant un regard plein de haine. Elle comptait bien lui faire comprendre son avis sur son comportement. Elle retira violement l’œuf de sa culotte et le jeta sur le sol avant d’agripper le haut de la robe de sa maîtresse. Elle tira dessus d’un coup sec vers le bas pour libérer sa poitrine et tira sauvagement sur ses tétons. Cette salope aimait la torturer et l’humilier, et son seul moyen de pression était le secret. Si elle parlait, elle ne pourrait plus s’amuser avec Pauline. C’est en y pensant qu’elle malmena les tétons de Leona sans se retenir.

 – Tu m’as fait passer pour une salope devant mes parents, alors que tu sais qu’entre nous deux c’est toi qui a l’esprit tordu ! s’exclama Pauline. Tu m’as humilié, tu m’as étouffé, tu m’as frappé jusqu’au sang, mais maintenant c’est terminé ! Je ne me laisserai plus faire !

Line a toujours été une soumise, mais la crainte d’être humiliée devant ses parents avait surpassé son caractère de petite fille soumise. Quand la colère serait passée, elle serait certainement en mauvaise posture, et Leona lui ferait payer chèrement cet affront, mais pour le moment elle ne s’en soucia pas et tira sur les tétons de sa partenaire pour la tirer vers elle et embrasser sauvagement sa bouche. Après un long baiser d'une quinzaine de secondes, Pauline la repoussa.

 – C’est vraiment dommage que tu sois une salope sadique ! Tu es tellement belle et tu me fais tellement envie, avoua Line en la regardant dans les yeux.

Comment était-il possible qu’elle ait des sentiments qui commencent à naître pour elle alors qu’elle a passé tout son temps à la torturer. C’était réellement frustrant, mais elle savait que même si elle pouvait le faire, elle ne se débarrasserait pas d’elle, et ce même si les prochaines heures et les prochains jours promettaient d’être extrêmement compliqué pour elle.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 29 septembre 2016, 15:26:24
C'était avec une immense colère que je regagnais la chambre, masquant le moindre rictus sur mon visage qui aurait pu en dire trop long à ses parents. Si je voulais humilier Pauline, je ne voulait pas que ses parents soient au courant du petit jeu qui se jouait entre nous, il n'était pas non plus dans mes projets de la frapper devant son père ou sa mère. Mais le plus étonnant fut surement la réaction de la brunette une fois dans la chambre, elle me menaçait ouvertement et m'insultait comme signe de rébellion. Devant ce drôle de spectacle je restais stoïque en attendant que ça passe, croisant bientôt le bras sous ma poitrine... seulement, je fut prise de cours et le haut de ma robe tomba le long de mon corps. Et ben... c'est qu'elle cachait une vraie bestialité de tigresse ma petit Pauline, mais j'étais tellement étonnée par le mouvement et mes tétons empoignée fermement que je pensais surtout à ne pas crier de surprise là... ouvrant de grand yeux, rougissant, et me mordillant la lèvre. Ca... elle allait le payer extrêmement cher.

Pu... putain lâche mes !!!

Pas le temps de finir de parler, elle tire sur mes tétons et la douleur plaisante les fait aussitôt pointer avant qu'un cri ne s'étouffe entre ses lèvres. Elle fait quoi là ? Elle me menace comme la plus mauvaise des soumises le ferait, elle s'indigne et elle m'embrasse maintenant ? Et pas le petit baiser forcé qu'ont a partagé dans la cuisine non, un baiser passionné à en excité la plus prude des vierge. Là, je ne sais plus trop quoi faire, et elle trouve encore le moyen de me traiter de salope par dessus...

Et alors ? Si je veux te faire mal je te fais mal. Si j'ai envie de t'étouffer parce que ça me fait triper je continuerais à t'étouffer par tous les moyens que je veux.

Puis je la gifle, férocement, de toute mes forces dans un élan magistrale avant de lui tirer les cheveux et de... l'embrasser férocement à mon tours. Putain... c'est qu'elle arrivait à m'exciter à faire sa petite féline comme ça... même mon baiser avait été spontané, je n'avais même pas penser à l'embrasser avant de partager cette gifle.

Je fait ce que je veux de ton corps tant que je le décide

Je retire une nouvelle fois ses cheveux vers moi pour l'embrasser à presque nous en cogner la tête sous le choc. Je crois même que je lui mordille la lèvre inférieur à plusieurs reprise dans ma bestialité habituelle, mais ce qui est sure c'est que je la repousse d'un geste violent contre son lit, la noyant dans mon regard bleu et hautain.

Tu nous a fait quoi là comme numéro ? C'était juste un délire devant tes parents, je suis pas ta petite amie alors n'attends pas que je tombe amoureuse de toi. D'ailleurs tu t'es permis beaucoup trop de libertés, tu dormiras attachée cette nuit.

Ne remontant même pas ma robe et au contraire la retirant, je fixait Pauline étalée sur le lit, les cheveux en bataille à cause de ma poigne. C'est que j'avais presque envie de lui sauter dessus et de lui faire l'amour tout de suite, elle m'avait vraiment excitée avec ses conneries... Mais ça ne me plaisait vraiment pas qu'elle prenne tant de libertés, non vraiment pas !

Ah et j'oubliais, ton pyjama est dans l'emballage là bas.

Qui oserait appeler un pyjama une tenue aussi sexy qu'une tenue en latex comprenant une robe des gants et des longues cuissardes ? Il fallait vraiment s'appeler Leona pour avoir de tels idées. En réalité cependant il s'agissait d'une tenue destiné à sa longue journée de demain... mais comme elle avait été punie, elle dormirait attaché et dans cette tenue tellement sexy et moulante qu'elle en serait humiliante...

Quand je sors de la douche je veux te voir avec, il ne faudrait pas que tu commence à prendre ces punitions et mes ordres pour un jeu...

Puis je me dirigeais hors de sa chambre, cherchant la salle de bain en me baladant les seins à l'air sans le couloir, sans aucune gênes !
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 29 septembre 2016, 16:41:26
Pauline avait adoré s'en prendre à la poitrine de Leona, tout comme elle avait aimé l'embrasser. Leona était surprise que son esclave de rebelle mais elle allait devoir s'y habituer. La jeune fille n'allait pas passer sa scolarité à mendier pour respirer et à se faire réduire le cul en charpie.

 - Fais ce que tu veux mais ne viens pas te plaindre ensuite ! répliqua Pauline tout en échafaudant un plan tordu dans son esprit.

Leona gifla violement le visage de sa soumise puis l'attrapa par les cheveux pour l'embrasser sauvagement à plusieurs reprises. Pauline était très excitée et adorait ce que lui faisait cette peste.

 - Tu fais ce que tu veux de mon corps ? Ben regarde ce que tu as fais de mon corps en même pas une journée. J'ai le cul en sang et la douleur me fait suer. Tout mon corps porte des marques de ton traitement. J'ai mal à la gorge après avoir avalé de l'eau de travers à la piscine. Si tu vas trop loin je vais finir à l'hôpital ou je vais te sauter dessus et te frapper jusqu'à ce que tu te décides à me laisser tranquille...

Leona l'embrassa sauvagement et la jeta sur le lit. Pauline rigola en l'entendant se plaindre de son petit numéro.

 - Je sais que tu n'es pas ma petite amie, et j'en suis heureuse ! Je cherchais seulement à justifier ce baiser. Si tu en es pas satisfaite je m'en moque. Je supporte de moins en moins tes agissements ! Une maîtresse ça doit prendre soin de son esclave. Tu crois vraiment que je vais accepter de me faire violer, frappée et humiliée indéfiniment ? Je dormirais attachée si tu veux, mais je dormirais nue. Mon corps est beaucoup trop douloureux pour dormir avec des habits.

Leona rêvait si elle s'imaginait que Pauline porterait cette tenue. Elle profita de l'absence de sa tortionnaire pour aller chercher deux verres qu'elle remplit avec du jus de fruit. Elle prit ensuite dans son sac une fiole qu'elle avait piqué à l'infirmerie. Elle contenait le même liquide anesthésiant qui avait faillit l'étouffer pour de bon. Elle le versa dans l'un des verres. Pauline se déshabilla totalement pour ne plus souffrir du contact avec les habits. Elle attendit encore quelques minutes puis Leona arriva dans la chambre. Elle accueillit sa maîtresse avec un sourire et lui tendit le verre.

 - Un petit rafraîchissement maîtresse ?

Si elle buvait ce mélange détonant, elle subirait ensuite le genre de tortures qu'elle avait l'habitude de faire à son esclave. Pauline s'imaginait déjà jouer avec le corps de Leona alors que cette dernière serait consciente mais complètement amorphe.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le jeudi 29 septembre 2016, 17:21:32
En repensant aux mots de Pauline dans ma douche tout semblait si stupide. Mourir étouffée ? Impossible, pour qui elle me prenait ? Une maitresse débutante ? Je connaissais les limites dans ce que j'exerçais si elle est tombée dans les pommes c'est simplement de sa faute pour m'avoir trop énervée. Elle voulait aussi me désobéir et dormir nue ? Qu'elle essaye donc... Et quant à prendre soin d'elle elle n'avait pas encore bien saisit quel genre de personne j'étais... Je n'étais pas une maitresse, juste une autre ado profitant de la situation pour me passer le temps et m'amuser.

Idiote... tu me prends trop à la légère... Disais-je seule dans mon bain.

Une fois propre et les cheveux recoiffées je sortais en me baladant encore une fois nue, repassant par la chambre pour me changer. Avec stupeur, je découvre que Pauline n'as toujours pas enfilée ma tenue... mais me tends à la place un verre de jus de fruit. Bien, au moins elle essaye de s'excuser, je n'ai pas besoin de lui faire la morale et a comprit d'elle même ce que cela signifiait de m'appartenir. C'est donc avec joie que je saisis la boisson pour dessécher ma gorge, sans même me douter de ce qu'il y a à l'intérieur... Comment aurais-je pue deviner qu'elle avait eu la présence d'esprit de préparer un coups en volant un flacon à l'infirmerie...

Je dois avouer que ça fait du bien, mais ne va pas croire que je vais te pardonner pour si peu, tu va dormir attacher ... et porter... ta tenue...

Je commençais à étrangement tanguer sans me rendre compte de ce qu'il se passait et je n'avais toujours pas la présence d'esprit de me dire qu'elle m'avait piégée... A la place, je cherchais plutôt un appuie contre le mur en regardant Pauline, posant le verre sur la table basse pour ne pas le casser accidentellement. C'est qu'en plus, étrangement... je me sentais super bien...

Je commence... à être fatiguée... encore enfile ta tenue tout de suite... sinon

Sinon pas grand chose dans mon état... mais quel était cette étrange sensation euphorique qui m'envahissait jusqu'à m'en embrouiller les sens ? Je me sentais comme... légèrement ailleurs.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le jeudi 29 septembre 2016, 18:19:01
Leona n’avait pas eu la moindre suspicion sur ce que pouvait contenir son verre et elle le vida rapidement. Pauline eut un sourire victorieux alors qu’elle était fébrile et se demandait si son piège allait fonctionner. Les effets de ce merveilleux mélange ne tardèrent pas à se montrer et la jeune fille tanguait tout en parlant avec difficulté.

 – Oh viens, il faut t’allonger, déclara Pauline en guidant sa maîtresse sadique sur le lit. On va voir si ça va te plaire de devenir ma chose et de subir tout ce que j’ai envie de te faire.

Pauline avait subi pendant tellement d’années, et là elle était en position de force, c’était jouissif.  La peste était déjà nue, ce qui faciliterait grandement les choses. La jeune fille s’accroupit au-dessus de Leona et commença à la gifler au visage pour voir si elle était en capacité de se débattre. Après une demi-douzaine de baffes sur les joues, Line en conclut que Leona était officiellement devenue son jouet pendant toute la durée d’effet du produit subtilisé à l’infirmerie. Elle plaqua son vagin sur la bouche de Leona et lui pinça le nez. C’était à son tour d’étouffer, et de sentir l’étau resserrer ses poumons. L’adolescente n’avait jamais montré d’intérêt pour ce genre de choses, mais faire souffrir cette fille était très excitant et son vagin mouilla abondamment les lèvres de la soumise d’un soir. Pauline remua ses hanches pour frotter les lèvres de son intimité contre la bouche de Leona tandis qu’elle devenait rouge. Si son nez était parfaitement bouché, elle pouvait quand même respirer un tout petit peu par la bouche. Pauline continua de remuer son sexe contre la bouche de Leona pour l’humilier pendant un petit moment puis elle s’arrêta. Elle alla ramasser l’œuf vibrant et l’enfonça dans l’anus de la jeune fille et voulant qu’il soit logé profondément en elle, Line décida de continuer de forcer le passage avec sa main. L’anus de Leona n’était pas lubrifié et Pauline dû remuer sa main pour réussir à l’enfoncer jusqu’au poignet.

 – Voilà, ton petit joujou est au fond de ton cul vilaine fille ! Tu n’auras qu’à pousser quand tu voudras qu’il sorte, ricana l’adolescente.

Line prit ensuite la cravache de sa maitresse  et lui frappa les seins avec sans se retenir. Quand elle entendit Leona gémir, elle décida de lui mettre sa culotte pleine de cyprine en bouche. Elle recommença à frapper les seins de Leona et ne s’arrêta que quand ils eurent une jolie teinte violette. Il était maintenant temps de s’en prendre à son intimité. Pauline avait une idée pour lui rendre ce qu’elle avait subi, et lui brûler le vagin, mais elle voulait se faire plaisir avec tant qu’il était encore en état…
L’adolescente releva l’une des jambes de Leona et plaqua son intimité trempée contre celle de sa tortionnaire. Elle remua ses hanches et savoura le frottement de leurs deux sexes, de leurs deux clitoris. Pauline continua de faire l’amour avec Leona tout en tripotant un de ses seins meurtri avec sa main de libre jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir et arroser le vagin de Leona avec sa cyprine.

 – Oups, j’avais oublié que tu étais partie te laver. Quand j’en aurai fini avec toi tu pourras y retourner. Si tu tiens toujours debout. Prête pour la suite, salope ? demanda Line avec un sourire malicieux.

C’était la première fois que Pauline agissait de cette façon avec quelqu’un. Habituellement c’est elle qui avait droit au fouet, aux ordres et aux humiliations. Se retrouver de l’autre côté était extrêmement jouissif. Et humilier une personne aussi détestable que Leona rendait le tout encore plus excitant. Elle comptait bien profiter de sa position de force pour s’amuser autant qu’elle le pourrait avec sa petite soumise.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le vendredi 30 septembre 2016, 11:07:45
Tout était aller si vite que je ne comprenais pas, j'étais passer d'une seconde à l'autre de ma fière position à celle de la misérable soumise... De l'autre côté du mur, celui ou logeait normalement Pauline, tout était beaucoup moins confortable et je ne put que subir malgré mon esprit qui cherchait à combattre la drogue... en vain... je me faisais du mal pour rien et je me retrouvait à mon tours bientôt étouffée. Bien loin des maigres compétences de Pauline en apnée je pu résister un bon moment, même si j'ouvrais de grands yeux ne bougeant de droite à gauche. Sentir l'air manqué prodiguait une extase rare et me faisait mouillé sous le danger inévitable de la situation, bien que je ne lui avouerait pas... Je crut même défaillir dans un orgasme incontrôlée lorsque mes yeux se révulsèrent lentement... j'avais bu la tasse dans sa cyprine en respirant au mauvais moment... envoyant une giclée dans mes poumons qui me fit toussoté. Nul doute que j'aurais recouvert les draps de mon nectar si elle m'avait couper la respiration 5 petites secondes de plus.

D'un côté, heureusement qu'elle n'était pas aller aussi loin, la situation était déjà bien assez humiliante comme ça pour se laisser aller à jouir, surtout lorsqu'elle y rajouta l'oeuf, encore humide de sa propre cyprine.

Ahhhh ... AHHHHHH.. sa... salope de !!! De chienne !

Je n'eus même plus les mots pour décrire quel serait sa punition, mais elle comptait vraiment que j'arrête de l'étouffer après ce qu'elle venait de me faire ? Lorsque je récupèrerais les commandes je m'amuserais à lui couper la respiration jusqu'à lui en faire perdre les pédales ! Cette petite inconsciente allait morfler comme jamais ! Ses années de soumissions allaient vites avoir des allures de paradis...

Je vais te... connasse.... profite bien... profite bien parce que je vais te ... faire morfler comme jamais !

J'avais vraiment du mal à parler avec la colère te les coups qui me faisaient presque hurler... Tiens c'est vrai, j'aurais pu hurler à gorge déployer pour alerter ses parents et la faire passer pour une folle... elle aurait eu une sacré punition de la part de son père et de sa mère... mais ça aurait aussi voulu dire qu'ils m'auraient vu dans cette sale position et ça ... je ne l'aurais jamais permis. Cette situation embarrassante devait rester un secret éternel capturer entre ces draps.

Alors je mordais ma lèvre jusqu'au sang, laissant bientôt un filet rouge perler le long du menton. Mes dents de devants avaient presser si fort la chaire de mes lèvres si rouges que j'en avait légèrement percer la peau. A cela s'ajoutait mes gigotements de droite à gauche et mes spasmes de douleurs sous la cravache. La douleur pourtant n'était rien face aux deux humiliations qui envahissaient ma chaire. La première fut bien évidement Pauline qui souillait mon corps en me jouissant dessus... la deuxième... c'était que malgré moi, malgré tout ce que j'aurais voulu... mon clitoris et mes tétons pointaient furieusement en réponse au traitement.  J'y trouvais une excitation malsaine et mon corps chauffait d'une agréable sensation qui se logea dans mon bas ventre.

Alors quand je me sentais moi aussi venir juste après qu'elle ai frotté trop longtemps son intimité à la mienne, je trouvais la force de lui tirer les cheveux pour lui coller la tête entre mes cuisses, et lui éjaculer toute ma cyprine en plein visage pour la souiller elle aussi... Une fois le visage bien noyé dans mon orgasme féminin, je la poussa hors du lit en lui envoyant un coups de genoux dans le bas ventre... C'était tout ce que je pouvais faire de mieux dans mon état, encore en proie à ses délires d'inverser les rôles et sa merci si elle voulait continuer à se venger... Pourtant, je n'allais ni me laisser faire ni fermer ma gueule, quitte à aggraver mon cas. Je m'offrait même le luxe de la provoquer.

Quoi... t'appelle ça une punition ? Tu devrais retourner à ta place immédiatement et apprendre alors... Tes coups, c'était juste du coton... et t'as vraiment essayé de me couper la respiration là ? J'ai à peine eu le temps de me rendre compte que je ne pouvais plus respirer ! Tu m'as pris pour une enfant de 5 ans ?

Au fond... sans m'en rendre compte... je faisais peut-être exprès pour voir si elle redoublait d'effort et de sadisme... comme pour assouvir un fantasme si profond qu'il m'était moi même inconnu...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le vendredi 30 septembre 2016, 11:53:43
Leona avait réussi à surprendre Pauline et si cette dernière s’était délectée de la délicieuse cyprine de sa camarade, le coup de genou lui avait été bien moins agréable. Pauline lécha ses lèvres trempées en souriant pour montrer à cette peste rebelle qu’elle adorait son jus intime, puis elle donna un violent coup de cravache sur son clitoris. Alors comme ça Line n’avait pas assez puni Leona ? Très bien, elle compenserait son inexpérience par des abus dont cette petite chienne vicieuse se souviendrait longtemps. L’adolescente prit la corde qui lui avait servi de laisse et attacha fermement les mains de Leona dans son dos. Ainsi elle arrêterait peut-être de tenter vainement de se rebeller. Pauline alla ensuite chercher une bougie de décoration qui se trouvait sur son bureau. Elle était un petit peu moins large qu’une canette de soda, et heureusement parce que sinon elle doutait que cette chose n’entre dans son intimité. Le long de la bougie était également aussi décoré par de fausses pierres précieuses et des strass. Certaines de ces fausses pierres précieuses étaient plutôt pointues, c’était parfait pour punir Leona.

 – C’est beau n’est-ce pas ? questionna Pauline en lui collant la bougie devant les yeux. Cette jolie bougie va finir dans ton vagin !

Pauline frotta le bas de la bougie contre l’intimité trempée de Leona pour la lubrifier un peu et ainsi faciliter la pénétration de l’imposante bougie. Quand elle jugea que l’objet était prêt, elle força le passage dans le vagin de la peste. La jeune fille dû forcer pour enfoncer l’épaisse bougie dans le sexe et la poussa le plus possible en elle. Son vagin était ouvert à son maximum et à la grimace que faisait Leona, cette pénétration devait être très douloureuse. Mais ce n’était pas suffisant. Pauline alluma la bougie puis prit en photo cette jolie soumise sous tous les angles possible.

 – Tu m’as brûlé le vagin avec la corde, alors je vais te brûler le tien avec cette bougie. Je ne l’enlèverais pas avant que tes lèvres intimes ne soient recouvertes de cire, déclara Line avec un sourire cruel.

Leona avait fait la fière en brayant qu’elle avait trouvé sa façon de l’étouffer pitoyable. L’adolescente n’avait pas apprécié et enfonça profondément sa culotte dans la bouche de Leona et y garda sa main pour être certaine qu’elle ne respire pas. Sa gorge était à présent bouchée par la culotte trempée. Pauline regarda Leona  tenter de respirer en vain pendant de longues secondes. Tant que son corps ne convulserait pas pour protester contre ce traitement, Line resterait là à l’observer s’étouffer. Elle regarda aussi la bougie alors que de la cire commençait à couler et qu’une première goutte brûlante toucha son intimité.

 – Alors ça te plait ? Tu aimes sentir ton sexe devenir brûlant ? questionna Pauline en tirant violement un de ses tétons et en le pinçant de toutes ses forces.

Torturer ainsi Leona était jouissif. Jamais la jeune fille ne s’était imaginée capable de faire ça, mais plus cette peste était cruelle avec elle, et plus elle avait envie de l’être également. Après tout elle sentait encore son cul lui faire mal. Elle lui ferait bien pire ! D’ailleurs elle se rappela que l’œuf était toujours profondément ancré dans le cul de Leona. Pauline prit la commande et l’activa pour rappeler à sa soumise que chacun de ses orifices lui appartenaient.

 – Tu as de la chance qu’on soit chez moi salope. Si on avait été chez toi ou ailleurs et que tu avais jouis sur mon visage, je te garantis que j’aurais aussi arrosé ton visage, mais pas avec de la cyprine ! dit Pauline en regardant sévèrement Leona.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le vendredi 30 septembre 2016, 13:34:53
Je n'aurais peut-être pas du la provoquer, Pauline ne semblait plus la même depuis qu'elle avait prit les commandes et la bougie enfoncée dans mon vagin me faisant déjà mal même sans la chaleur. A cela se rajoutait le stress de la flamme qui réchauffait la cire et la faisait couler. Me faisant écarquiller de grands yeux derrière les sons étouffées de la culotte. Culotte qui s'enfonça dans ma gorge quand Pauline eut la fabuleuse idée de me couper toute retraite et... mon oxygénation par la même occasion. Aussitôt mes bras gesticulaient dans tous les sens comme des serpents excités, cherchant à se débattre pour se défaire de cette cruelle entrave. Le pincement sur les tétons n'aidait en rien et je poussais un grand gémissement de plainte à travers la culotte qui en plus d'étouffer mes voix respiratoire étouffait mes cris.

* Putain, je peux vraiment plus respirer cette fois... *

Mes poumons chauffaient vite, mais bien plus lentement que mon intimité qui était un vrai volcan. La flamme se rapprochait des lèvres intimes et la cire chaude coulait en me brûlant à m'en faire hurler... Mes cuisses bougeaient dans tous les sens pitoyablement. Je ne savais plus vraiment ce qui était le pire, le fait de commencer à m'étouffer pour de bon ou d'avoir le vagin bruler et irradié par la chaleur insoutenable ? Tours à tours les deux se bousculaient et passaient au premier plans de mes priorités... dans une savoureuse sensation d'abandon. Mon corps commençait à tressauter de quelques spasmes et mes yeux commençaient à partir en arrière dans une quinte de toux...

* Respirer... je dois respirer... *

Mais l'oeuf me réveilla et me fit ouvrir en grand les yeux une fois de plus, me faisant hurler dans la culotte maintenant trempée de salive au fond de ma gorge. Mon bas ventre en recherche d'air poussait de grand coups comme pour appeler avec pitié un peu d'air... Je commençais sérieusement à y voir flou et à nager dans une extase malsaine.. une excitation que le manque d'oxygène accentuait honteusement en me faisant déborder de bonheur. Mes joues d'un rouge plus vif qu'une tomate auraient pourtant tendances à prouver le contraire et mon corps parcouru de spasme comme une anguille électrique montre que j'atteins mes limites. Même en étant résistante, je ne pouvais tout bonnement pas tenir des lustres sans respirer non plus...

A 2 doigts de m'évanouir encore une fois, c'est la chaleur de la cire cette fois qui me réveille dans une douleur à en faire perler le bord de mes yeux de petites larmes, qui font couler un long sillage noirs autours en se mêlant à mon maquillage. Mon intimité est brûlée d'une chaleur intense et indescriptible, la cire chaude et fondue coule sur et dans mon intimité. Ele allait vraiment payer pour de bon... c'était ma dernière pensé clair en jouissant encore à en faire trembler mes jambes... mes muscles étant eux tout contractés à cause du manque d'air trop avancé. J'essayais même de pousser de petits cris qui ne ressortaient de ma gorge qu'en de petites plaintes asphyxiées, dont le sons s'échappaient dans un sifflement de suffocation. C'est qu'en plus, elle me déclenchait un putain d'orgasme cette salope de grosse soumise, en me coupant l'air si longtemps...

Mais qu'elle n'y prenne pas trop gout, j'allais pas la remercier pour autant.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 01 octobre 2016, 11:16:24
Pauline remarqua que Leona venait de jouir et surtout que cette dernière semblait atteindre ses limites. Line avait beau lui en vouloir, elle ne voulait pas se retrouver dans une situation délicate et devoir appeler les pompiers. Que diraient-ils en voyant ses seins recouverts de marques, la cire sur son intimité ? Non il valait mieux éviter d’en arriver là. L’adolescente retira sa culotte de la gorge de cette peste, la laissant enfin respirer. Elle n’eut droit qu’à une ou deux inspirations car la jeune fille l’embrassa sauvagement tout en lui pinçant le nez.

 – Tu as jouis, je ne m’y attendais pas. Mon but n’est pas de te faire du bien, déclara Pauline avec une pointe de frustration.

Pauline retira brutalement la bougie du vagin de son esclave. Elle observa son intimité avec satisfaction. La cire chaude avait recouvert son sexe et il y en avait certainement aussi en elle. La jeune fille retourna Leona et déversa la cire brûlante qui s’était accumulée au sommet de la bougie le long de la raie de sa camarade. Elle éteignit finalement la bougie en plaquant le bout brûlant contre son anus. Il était temps de passer à la suite. Pauline ne pourrait plus s’asseoir pendant plusieurs jours, il était donc normal que Leona subisse le même sort. Elle agrippa fermement la cravache et commença à frapper férocement ses fesses avec. Elle ne s’arrêterait pas tant que son cul ne serait pas en sang. Le claquement de la cravache sur les fesses de la soumise d’un soir résonnait dans toute la chambre, et Line espérait que ses parents n’entendaient rien. Elle devait avoir moins de force que Leona car son cul ne saignait toujours pas malgré les belles marques qui recouvraient chaque parcelles de son magnifique fessier. Frustrée, Pauline prit la grosse bougie et força l’entrée de son anus avec. Si ses fesses se refusaient à saigner, alors ça serait son petit trou qui serait en sang. Elle força pour enfoncer une partie de la bougie qui était bien trop grande pour ce cul. Elle le remarqua aussi au corps de Leona qui se tordait de douleur. En faisant de petit va et viens avec la bougie, la jeune fille se rendit compte qu’une des strass les plus pointues était recouverte de sang.

 – On dirait que tu saignes ma pauvre, j’espère que ça ne fait pas trop mal, dit Pauline en violant encore plus fortement l’anus de Leona avec l’énorme objet.

Malgré tout Pauline s’en voulait un peu. D’accord Leona était la pire des salopes, mais était-ce une raison pour qu’elle se rabaisse à agir comme elle ? La jeune fille retira la bougie du son petit cul et remarqua qu’elle saignait bien plus qu’elle ne l’avait prévu. Il était plus de 22 heures et il était temps de dormir. La lycéenne abandonna sa vengeance et embrassa tendrement les lèvres de Leona avant de se coucher contre elle. Il était difficile de dire combien de temps l’anesthésiant ferait effet, mais elle espérait que ça durerait assez longtemps pour que les deux filles s’endorment. 
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 01 octobre 2016, 12:08:55
J'ouvre lentement les yeux dans la pénombre de la chambre, seule une petite lumière fuse entre les volets pour offrir un brun de vision. A en juger par Pauline qui s'est endormi sur ma poitrine il doit se faire déjà tard... quand me suis-je endormie d'ailleurs ? Pendant que mon esprit embrumé essaye de se rappeler tous les détails une douleur vive se réveille dans mes fesses lorsque je me tourne pour regarder l'heure. Outch... oui, la bougie... je m'en souviens maintenant... Comment cette garce ose dormir paisiblement contre moi ? Tête contre ma poitrine comme un oreiller ? La douleur dans mon anus est déchirante et je suis contrainte de me mordre la lèvre pour ne pas pousser de petits cris quand je me déplace dans le lit. Finalement, le petit réveil électrique posé sur le bureau indique 2H du matin... j'ai donc du dormir un peu près 4 heures... je pense même que je me suis évanouie sous le manque d'air, la douleur et la drogue... Tiens... de la drogue ?  J'avais encore ces petits cachets blanc et stimulant sexuellement que je lui avait donné à la piscine.. j'avais presque oublier... Parfait pour une petite vengeance nocturne pendant que Pauline est plongée dans son petit rêve. Elle croyait quand même pas que j'allais dormir comme une gentille petite fille non ? J'allais lui passer l'envie de me faire ce genre de coups ! j'allais lui offrir une punition à la note salée en attendant l'humiliation poussée que j'avais prévu demain...

C'est ça dors bien petite garde... Dis-je à voix basse en affichant un rictus sadique au coin des lèvres, agrippant d'une façon violente sa tête pour l'enfouir dans ma poitrine et l'étouffer avec.

Bien évidemment au bout d'une petite minute, le manque d'oxygène qu'elle rencontre en étant fermement plaquée contre ma poitrine doit s'initier dans son rêve et la réveiller... Elle veut se dégager ? Pas de soucis... qu'elle attende juste d'être un peu étourdie la garce ! Et quand c'est le cas, que je la libère ! Je profite de son essoufflement pour la bourrer de ces cachets blancs ! Maintenant son visage en arrière, bouche bien fermé et nez pincé pour l'obliger à avaler ! 5 ? 7 ? Impossible de dire combien de cachets glissent dans sa gorge cette fois, mais le cocktail sera détonnant et la transformera en vrai fontaine dans une poignet de minute.

T'en fais pas je vais te laisser dormir... tu dois être en forme pour demain je ne suis pas un monstre... je te souhaite juste bon courage pour y parvenir.

Lui empoignant seichement les cheveux, je pousse Pauline contre le mur de l'autre côté, profitant de la surprise pour lui ligoter fermement les poignets au dessus de la tête. A semi immobilisé, je lui laisse deviner la suite de ce que son serait son supplice en saisissant un petit sachet en plastique, qui accueillait à la base mes divers maquillage. Ce sachet en plastique pas très grand, je venait le lui enfilé autours de son visage, prenant soin qu'elle ne puisse pas le retirer en le serrant avec une corde au niveau du cou. Sans l'étrangler bien sure, le but était de la faire étouffer lentement et progressivement dans ce sachet en plastique, durant toute la nuit. Enfin, elle n'allait pas en mourir... mais si elle respirait à 100% de ses capacités normalement, on va dire qu'avec ce sachet, elle ne pouvait respirer qu'à 20% de ses capacités... de quoi la rendre folle et légèrement suffocante au fil de la nuit, surtout avec le plastique qui viendrait se coller à la peau à chaque inspiration.

Tu va bien dormir non ? Etouffée, droguée .. et suspendu dans la chambre.

Suspendu ? oui elle avait bien entendu ! Je liais les cordes qui maintenaient ses poignets attachées vers le haut à une autre corde, pour la maintenir debout et qu'elle ne puisse pas s'échapper. L'autre bout de la corde était en effet reliée au lustre sur le plafond et l'obligeait à rester de bout, sur la pointe des pieds.... Elle ne pouvait pas s'échapper. Si en plus de cette position inconfortable et du sac plastique qui bridait fortement sa respiration on y ajoutait la drogue qui allait la faire jouir toute la nuit comme une chienne au moindre contact... elle allait passé une bien salle soirée ! et aurait bien du mal à dormir comme ça... D'ailleurs pour augmenter sa sensibilité à jouir je lui enfilait soigneusement une de mes culottes en latex, moulant parfaitement son sexe en feu qui commençait déjà à être tout excité ! Elle allait jouir, jouir.. et encore jouir à s'en épuisé... à en souiller la culotte en latex imperméable qui serait remplis de cyprine jusqu'à en déborder partout... elle deviendrait toute collante !

Bonne nuit... si j'ose le dire ainsi...

Et je m'allongeais dans son lit d'un air fière bien que la douleur au postérieur me faisait grimacé... j'avais encore du sang et un mal de chien... Mais sa position satisfaisante m'offrait une belle vision pour m'endormir paisiblement...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 01 octobre 2016, 13:09:46
Respirer, il faut respirer. Pourquoi était-ce si difficile pour la jeune fille de respirer ? Pauline ne comprend pas ce qui lui arrive, tout ce qu’elle sait c’est qu’elle étouffe. Puis subitement elle comprend ce qui se passe. Leona l’étouffe contre sa poitrine. La jeune fille se rend compte qu’elle aurait dû laisser cette peste solidement attachée toute la nuit. Elle tenta de se débattre pendant un long moment. Quand la panique commença à la gagner, Leona la libéra, la laissant aspirer de grandes goulées d’air, mais elle en profita pour lui enfourner un nombre conséquent de cachet. Nez pincé et bouche fermée par une main, la jeune fille ne tenta même pas de la gruger et avala les nombreux cachets sans protester. Leona avait repris le dessus sur sa situation et ligota lui attacha les poignets avant de placer un petit sachet sur sa tête qu’elle noua avec une corde autour de son cou. Mais qu’est-ce qu’elle se trouvait conne, il était évident que Leona allait lui faire payer chèrement ce qu’elle lui avait fait. Elle avait été stupide de ne pas la ligoter fermement. Affolée, la lycéenne respirait rapidement et remarqua que le sachet venait se plaquer contre sa bouche. Elle devait se calmer et respirer tout doucement. Très peu d’air arrivait à se glisser dans le sachet.

 – S’il te plaît, ne fais pas ça, gémit la jeune fille. Fais tout ce que tu veux mais retire ce sachet !

Pour seule réponse, Leona lui déclara qu’elle allait la suspendre au lustre pour qu’elle passe la nuit debout. Elle tira un peu trop sur la corde et Pauline dû même se mettre sur la pointe des pieds. Pour conclure son plan machiavélique, cette salope lui avait mis une culotte en latex. Cette dernière réveilla immédiatement la douleur de son fessier meurtri. Pauline ne tenta plus de faire changer d’avis Leona, car elle savait que c’était inutile. Elle devrait passer le reste de la nuit comme ça, à étouffer et à jouir alors que son cul était très douloureux. Cependant la douleur ne dura pas, car les nombreux cachets faisaient de plus en plus effet. Pauline devenait folle et désirait plus que tout pouvoir se caresser, ou sentir une grosse bite la prendre sauvagement. C’était la pire des tortures. Sa respiration s’accéléra alors qu’elle était de plus en plus excitée et le sachet épousa les contours de son visage. Elle ne pouvait pas calmer sa respiration à cause du plaisir qui la submergeait, et à cause de cela elle étouffait et poussa de tout gémissement. Pauline finit par jouir et remplir sa culotte en latex de cyprine, mais son envie ne diminua absolument pas, bien au contraire. Elle désirait tellement se faire prendre qu’elle accepterait n’importe quelle verge en elle, pourvut qu’elle la baise brutalement. Si elle pouvait parler, Pauline aurait certainement suppliée sa maîtresse de lui offrir une grosse verge qui la pénètrerait comme un animal. Au lieu de cela elle sentit son plaisir atteindre un nouveau pic alors qu’elle venait de jouir une nouvelle fois.
Les nombreux cachets avaient totalement endormi son cerveau et ses envies de rébellions. Elle n’était plus qu’une esclave docile qui obéirait à tous les ordres de sa maîtresse. Pauline ne se sentait absolument pas humiliée par sa situation, et elle doutait de pouvoir se sentir humiliée peu importe la situation dans laquelle elle pourrait bien se trouver tant qu’elle serait submergée par le plaisir.
La nuit passa trop rapidement au goût de Pauline qui aurait préféré jouir encore plus. Elle avait arrêté de compter après avoir dépassé la dizaine de jouissance. Sa culotte était pleine de cyprine et elle avait l’impression qu’elle finirait par exploser tellement son sexe était brûlant de désir. C’était extrêmement frustrant de ne pas se faire baiser dans une telle situation. Line vit que le soleil commençait à se lever et qu’il serait bientôt temps d’aller en cours. Elle aurait dû penser à se doucher, mais elle se moquait d’être sale, elle pensait uniquement aux nombreux pénis qui se trouvaient au lycée et qui pourraient la baiser.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 01 octobre 2016, 14:35:31
Lors le matin se lève c'est une Pauline différente qui se présente à moi. Attachée et le plastique autours du visage humidifié de salive, je ne l'entendais qu'à peine respirer à l'intérieur. Quoi de plus normal, après 5 heure sous un tel traitement elle devait avoir un mal de chien à respirer, et l'air qu'elle s'efforçait de prendre, chargé en carbone était le même qu'elle avait rejeté toute la nuit, l'usant... encore et encore en le réutilisant à outrance. Mais que dire de sa culotte qui débordait comme un verre d'eau trop plein, ses cuisses ruisselait de cyprine et une petite tape contre le revêtement en latex suffisait à comprendre le nombre incalculable de jouissance qu'elle avait dut subir. Un son d'éclaboussement comme lorsque l'ont marchait dans une flaque d'eau s'en ressenti en faisant jaillir de belles giclées sur les bords.

Brave toutou...

Je retire enfin le sac en plastique pour lui glisser immédiatement un autre cachet dans sa bouche. Elle allait devenir folle ? Surement, ça lui passerait au moins l'envie de faire n'importe quoi. Je lui déliais aussi les mains et la poussa à terre, la tirant jusque dans la cuisine en m'assurant qu'il n'y avait personne. Bingo, comme je pensais ses parents s'était levés tôt pour aller travailler et la maison était vide. Je pus alors forcé Pauline à rester à quatre pattes comme un animal avant de lui apporter une gamelle de lait.

Tu bois comme une chienne avec ta langue, sinon je t'enfonce la tête dans ta gamelle et tu connais la suite

Quant à moi bien sure ce fut un parfait petit déjeuner avant de passer à l'habillage de ma soumise, qui n'était autre que le reste de sa tenue en latex. Longue cuissardes à haut talons, paires de gants, robes moulante... la belle pouvait maintenant se dandiner dans une tenue excitante qui moulait ses formes et ses tétons pointant à en exploser la tenue... qui ne céderait pourtant pas si facilement. Contente ou non, c'est dans cette tenue que je l'obligeait à se balader dans la ville, la giflant chaque fois qu'elle essayait de se toucher. Sa culotte encore totalement souillée était restée sur elle et je ne lui avait pas prit de douche... ça commençait vraiment à sentir la luxure et à puer la cyprine entre ses cuisses souillées.

Voila petite chienne... je te laisse faire ta journée mais je te surveillerait... j'interviendrais peut-être même de temps en temps qui sait. Mais je vais te dicter deux consignes importantes. La première c'est que tu ne dois pas retirer cette tenue quoi qu'il arrive et quoi qu'ont te dise... elle sied parfaitement à la salope que tu es. Ensuite ce soir, tu dormira au pensionnat, dans ma chambre... Et ce n'est pas négociable... Ah, et j'oubliais.

Il me restait encore 6 cachets, et je lui en glissait 2 dans la bouche. A ce rythme, elle allait juste faire une overdose si ce ne serait pas déjà le cas avec ces deux médicament de plus... qui allait faire perdre les pédales à son corps...

Bonne journée salope... Lui disais-je d'un ton amusé et à la fois sadique en la faisant tomber au sol d'un grand coups de pied au cul... devant tous les élèves qui rentraient en cours... tête la première dans une flaque de boue.

C'était le début d'une belle journée !
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le samedi 01 octobre 2016, 18:09:01
Leona retira enfin le sachet de la tête de sa petite esclave qui put enfin respirer à plein poumons. C’était une délivrance et une merveilleuse sensation que de sentir autant d’air en elle. Sa tortionnaire lui glissa immédiatement un nouveau cachet en bouche alors qu’elle était toujours dans un grand état d’excitation. Un seul cachet durait plusieurs heures, et cette nuit elle en avait avalé une demi-douzaine. Il était évident que Pauline serait folle de désir pendant toute la journée. Leona poussa sa chienne sur le sol et l’obligea à la suivre jusqu’à la cuisine à quatre pattes. Dans un tel état d’excitation, la jeune fille n’avait plus du tout d’amour propre, et elle s’en moquait. Tout ce qui comptait c’était avoir du plaisir, toujours du plaisir, énormément de plaisir !
Elle lui apporta une gamelle avec du lait et sa soumise ne se fit pas prier et commença à boire en lapant le liquide jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus du tout. Sa maîtresse l’habilla ensuite avec la tenue en latex qu’elle lui avait acheté. Pauline ne fit pas d’histoire et se laissa faire docilement. Ses tétons pointaient et étaient largement visible. Les deux lycéennes partirent donc en direction de l’établissement scolaire. Line ressemblait à une salope faisant les trottoirs mais elle s’en fichait et tentait de se caresser quelques fois mais Leona la gifla à chaque fois.

 – Je ferai de mon mieux pour obéir à vos ordres maîtresse, déclara Line alors que Leona venait de lui interdire de retirer sa tenue, et l’avait obligé à la rejoindre dans sa chambre le soir.

Pauline espérait pouvoir se faire baiser par un étudiant mais elle devait obligatoirement garder sa tenue. Leona vérifierait surement le soir si sa culotte était encore pleine de cyprine. Cette dernière enfourna encore deux autres cachets dans la bouche de sa soumise qui les avala sans protester. Elle finit par la jeter dans une flaque de boue. Elle aurait pu être extrêmement gênée mais ce n’était pas le cas. Elle décida quand même d’aller se nettoyer dans les toilettes. Elle entra dans ceux des garçons en espérant que l’un d’eux voudrait bien caresser son intimité par-dessus la culotte en latex. Malheureusement la pièce était vide et Pauline se décida à aller nettoyer son visage au lavabo. Les nombreux cachets avalés avaient fait d’elle une chienne en chaleur, et elle savait qu’elle allait encore jouir plusieurs fois aujourd’hui. Quand elle se retourna elle vit un lycéen choqué de la voir dans cette tenue.

 – Caresse-moi… S’il te plaît, il faut que je jouisse, avoua Pauline en s’approchant du jeune homme.
 – Qu’est-ce qu’une pute fait dans un lycée ? J’ai une heure de libre, tu as de la chance, déclara le garçon en l’attirant dans une cabine. Met toi à genoux et suce-moi si tu veux que je te caresse.

Le garçon n’attendit pas qu’elle se mette en action et appuya sur sa tête pour la placer entre ses jambes. Il déboutonna son pantalon et sortit une verge tendue qui pointait vers le visage de Pauline. Folle d’excitation, la jeune fille n’hésita pas et glissa le pénis dans sa bouche puis commença à le sucer tout en caressant son vagin par-dessus la culotte. L’adolescent était très vite excité par cette fellation et agrippa la tête de la jeune fille. Il commença à baiser sauvagement sa bouche et continua pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il déverse des flots de sperme dans sa bouche. Maintenant qu’il avait jouit, il allait certainement la caresser comme il l’avait dit. Mais ce dernier ricana et essuya son gland sur la joue de Pauline avant de partir. Frustrée la jeune fille avala son sperme et continua de se caresser jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour. Un peu de cyprine coula le long de ses cuisses. Line se releva et prit la direction de la salle de cours. Elle était en retard, mais ce n’était pas très important. Si elle tombait sur un autre garçon, elle le supplierait en espérant qu’il accepte de la caresser. Pauline était frustrée et désirait une bite dans son vagin, c’était son désir le plus cher. Peu importe à qui appartenait le sexe…
Leona avait transformé sa jeune esclave en chienne avide de sexe, et dans son état d’excitation elle ne pouvait pas lui en vouloir. Elle voulait même la remercier.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le dimanche 02 octobre 2016, 12:15:15
Surveillant mon esclave de temps à autre avant les cours, je la vit rentrée dans les toilettes des hommes, surement pas par maladresse. La petite soumise voulait sa ration de verges en elle et était prête à tout pour y avoir droit, même à s'humilier en s'exhibant dans les toilettes des garçons. Lorsqu'elle ressorti, je pu comprendre à sa frustration qu'elle n'avait pas trouvé preneur, et puis de toute façon elle n'avait pas le droit de retirer sa tenue, ce qui incluait la culotte. Si l'élève lui aurait retirer pour jouir en elle, il aurait été lui aussi sauvagement puni... Je lui aurait même offert l'ultime humiliation de se faire tabasser par Pauline en la désignant comme sa maitresse.... sa maitresse... une soumise de bas étage comme elle, de la pire espèce et des plus avides de sexe.

Pendant le cours puisque je séchais comme à mes habitudes, je m'amusais à regarder par les petites lucarnes vitrées près du plafond, sur le haut des murs de la salle de classe. Je pouvais donc observer Pauline pendant une heure complète, se frottant les cuisses dans un agréable sons faisant grincer le latex. Un coup d'oeuil vers sa culotte laissait facilement deviner là aussi toute l'excitation qui logeait encore au fond d'elle. Mais croyait-elle vraiment que la journée de cours allait s'arrêter à jouir dans sa belle culotte noire ? Souillée de litres de cyprine ? Avec ce qu'elle l'avait fait la vieille l'envoyer en salle de classe dans cette tenue de salope n'était pas assez, et la droguer à lui en faire perdre les pédales non plus... Et puis j'étais mal luné aujourd'hui, j'avais vu ce superbe soutient-gorge hier soir en boutique et je m'étais dit que je l'achèterais avec ma carte bleu aujourd'hui pendant que je séchais les cours... Mais mon père après ma fugue avait eu la bonne idée de la couper... n'ayant encore que 17 ans, je ne pouvais rien y faire et il m'était impossible de débloquer mon argent en banque.

Tiens... ça me donnait une bonne idée, avec une telle tenue de prostitué je savais ce que j'allais faire d'elle ce soir... J'allais me servir de son corps pour me faire un peu d'argent de poche. Il me faudrait juste de quoi imprimer un message en boucle et à le distribuer aux élèves... ou à quelques adultes du lycée comme mademoiselle l'infirmière qui voudrait surement se lâcher dans l'anonyma après l'avoir vue nue et ligotée sur son lit.

Enfin, une heure plus tard lorsque la cloche sonna j'attrapais directement Pauline par les cheveux pour la balancer dans le toilette des filles, qui était vide pour l'instant.

Tu n'iras pas au prochain cours Pauline, j'ai d'autres projets pour toi pendant une heure. Tu vois, je t'ai trouvé une utilité, tu seras ma prostitué personnel. Ca te plait ? Même si c'est pas le cas tu n'as pas le choix, tu va te faire prendre dans tous les positions et de partout... toute la nuit ! Pour me rapporter de l'argent de poche. Et tu ne dormiras pas tant qu'il y aura des clients. Filles, garçons... professeurs... Ils feront ce qu'ils veulent de toi pour seulement 1000 yens... oui, 1000 yens... c'est seulement ce que vaux ton misérable corps... c'est décevant n'est-ce pas ?

Plaquant ma bottine contre sa culotte en latex pour faire jaillir le jus, 3 filles rentrent dans les toilettes. Ce n'était pas un hasard et elles faisaient parties de la classe de Pauline. Elles avaient elles même sécher le cours et m'avait surprises en train de photocopier mes invitations. Comme elles n'aiment pas trop les élèves calmes comme Pauline et que la passion de ces pestes étaient de rabaisser les autres filles de leurs ages, elles avaient trouvés l'idée intéressante et m'avaient louer Pauline pour une heure complète. Nul besoin de dire que Pauline allait morflée entre les mains de ces deux blonde et de cette plantureuses brunes, qui étaient le parfait clichés des pierres conasses qu'ont puisse faire dans un lycée. Il suffisait de les regarder pour comprendre que leurs discutions tournaient autours du dernier sac à main à la mode, et qu'elles vouaient une passion à pourrir la scolarité des filles plus faibles qu'elles.

Une heure comme convenu, vous avez le droit à tout sauf aux lésions irréversibles.

J'avais laissé un peu de mon propre matériel sexuel parfait pour punir une vilaine élève... mais j'étais étonnées de voir qu'elles étaient elle même déjà bien équipées...

Quant à moi je restais devant la porte des toilettes pour être sure que personne ne rentre. Un ennuie d'une heure total à monter la garde... mais qui valait tout de même 3 fois 1000 yens...

[HRP] 1000 yens = un peu moins de 10 euros [HRP]
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le dimanche 02 octobre 2016, 14:02:31
Pauline alla à son cours et inventa un prétexte bidon pour excuser son retard. Les professeurs savaient que la jeune fille avait eu une adolescence particulièrement éprouvante, même s’ils n’étaient pas au courant des détails sordides. La prof d’anglais indiqua à la lycéenne d’aller s’asseoir tout en se disant qu’avec une tenue de ce genre, elle avait plus l’air d’une prostituée que d’une élève. Il restait une demi-heure de cours et elle passa affreusement lentement. Pauline se tortillait sur sa chaise. Elle avait toujours mal au cul et elle voulait toujours se toucher. Combien de fois son corps était-il capable de jouir ? La dizaine de pilules avalées en moins de 24 heures avaient transformé son vagin en un volcan dont les éruptions étaient violentes et extrêmement fréquentes.
Quand enfin la fin du cours d’anglais sonna, la jeune fille sortit rapidement en se demandant si elle devait retenter sa chance dans les toilettes des garçons. Malheureusement elle n’en eut pas l’opportunité car Leona l’attrapa par les cheveux et la tira avec elle jusque dans les toilettes des filles. Sa tortionnaire lui déclara qu’elle serait à présent sa prostituée et qu’elle devrait lui rapporter de l’argent en se faisant prendre par toutes les personnes qui en auraient envie. Pauline répondit à sa maîtresse sans  croire à ce qu’elle disait. Les cachets avaient vraiment fait d’elle une chienne en chaleur bien docile…

 – Je serai heureuse de vous apporter de l’argent maîtresse. Je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et ce même si mon corps n’est pas très attirant et ne vaut pas une belle somme, avoua Pauline en baissant les yeux.

Line espérait surtout se faire prendre par de nombreux lycéens, et trouvait presque que l’idée de sa maîtresse était un merveilleux cadeau. Mais elle changea rapidement d’avis en voyant Juliette, Marie et Inès entrer dans les toilettes. C’était des pisseuses qui adoraient faire circuler des ragots dégueulasse sur les personnes qu’elles n’aimaient pas, et elles étaient loin d’aimer Pauline. Cependant la jeune fille voulait satisfaire sa maîtresse pour que cette dernière continue de lui donner des cachets et qui sait, si elle était sage, elle aurait peut-être droit à plein de lycéen ce soir.

 – Regardez les filles ! Pauline fait vraiment la pute ! s’exclama Marie avant de rire.
 – Je savais que c’était une pute, je ne suis pas étonnée. Et si on s’amusait un peu ? questionna Inès tout en sortant son téléphone de la poche. On va la filmer pendant qu’elle fait des trucs dégueulasses ! Très bien retire ta culotte !
 – Non, je ne peux pas. Leona ne veut pas que je la retire avant ce soir, bredouilla Pauline.
 – Tu n’as pas l’air de comprendre, on paie pour faire ce qu’on veut de toi ! Leona a été claire, il vaut juste éviter de te faire trop mal. Alors retire ta culotte ou ta maîtresse ne sera pas contente !

Pauline gémit mais finit par accepter et retire sa culotte, déversant des flots de cyprine qui se répandent sur ses jambes et sur le sol carrelé. Inès avait filmé toute la scène avec délectation puis fit un gros plan sur le visage de la prostituée.

 – Ben dis donc ! Tu as mouillé comme une vraie salope ! Mais quelqu’un risque de tomber et se casser le cou. Met toi à quatre pattes et lèche la flaque de cyprine ! Et toi Inès filme bien, qu’on voit que c’est Pauline qui lèche, déclara Marie avec un sourire vicieux.

La jeune fille se mit à quatre pattes et commença à lécher sa cyprine comme une petite chienne et mit un bon quart d’heure pour tout lécher. Les filles regardaient en riant et en la filmant. Quand elle avait enfin fini, elles la forcèrent à s’asseoir sur les toilettes dans une cabine et elle dû faire pipi devant elles. Pauline détourna les yeux pour qu’elle ne soit pas filmée en train de faire ses besoins mais Juliette la gifla et lui ordonna de fixer la caméra et de faire ce qu’elles avaient demandé. Line écarta légèrement les cuisses et urina tout en regardant la caméra. C’était humiliant mais elle devait faire tout ce qu’on lui demandait. Au moins les pestes ne désiraient que l’humilier et ne semblaient pas intéressées par les tortures physiques. La lycéenne finit par embrasser et lécher la cuvette des toilettes pour satisfaire un dernier caprice écœurant du trio et remercia intérieurement les femmes de ménage qui nettoyaient tous les soirs les toilettes. Les trois salopes quittèrent finalement la pièce et donnèrent 3000 yens à Leona. La prostituée quant à elle préféra attendre que sa maîtresse vienne la rejoindre pour lui donner de nouveaux ordres, et se contenta de remettre sa culotte en latex encore trempée.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le dimanche 02 octobre 2016, 16:09:28
Les 3 garces semblaient bien satisfaites de leur coups et je recomptais la monnaie non sans un sourire... j'avais trouvé la vraie poule aux oeuf d'or et bien que Pauline était assez mignonne pour augmenter le prix la somme très basse attirait facilement les clients et les étudiants qui n'avaient qu'un peu d'argent de poche. 1000 yens pour faire ce qu'ont voulait d'une charmante jeune fille... c'était quoi après tout ? Pas grand chose...

Mais alors que je comptais laisser sa pause déjeuner à ma petite vache à fric un surveillant vint à moi avec un regard hautain. Oh mince... un élève avait du parler de ma combine, encore un lèche botte qui voulait bien se faire voir du corps enseignant. Mais je ne me démontais pas et croisais les bras en soutenant le regard, bloquant toujours la porte des toilettes. Quel fut la surprise quand l'homme d'une vingtaines d'années, costaud, cheveux bruns rasés, et barbes bien taillée tendit une liasse de billet... exactement 1000 yens. Bon ok, Pauline aurait du se reposer mais je jouais avec le feu si je refusais ce service à un surveillant...

Jn'en ai pas pour longtemps, j'veux juste salir un peu sa bouche en m'vidant

Sa façon de rouler les mots me faisait presque marrer, je dut me retenir pour ne pas me moquer de l'homme à la carrure impressionnante... Lui, il n'était pas japonnais !

Bon ok... je vais la préparer, mais juste 30 minute elle doit prendre son repas après.

Ah ah pas b'soin qu'tu t'inquiète ! j'vais lui donner son repas moi !!

Poussant la porte pour voir l'état de Pauline, je prends ses poignets et je les attache au robinet du lavabo, Lui donnant un autre de mes 6 cachets, faisant descendre ma réserve à 5. Pour être sure qu'elle l'avale, je lui fait boire quelques gorgées d'eau tout en vérifiant sa culotte d'un grand coups de bâton dans son intimité. Ca giclait beaucoup moins... elle avait retirer sa culotte, mais ça avait du être l'ordre des 3 pestes. J'aurais aussi du leurs préciser de pas retirer sa culotte.

Ce n'était pas prévu mais tu as un autre client, un surveillant qui a l'air d'avoir un tas d'idée tordu en tête cette fois-ci... alors ne fais pas de vagues et fait tout ce qu'il te dit même si tu n'aime pas.

Sortant, je laisse la place au jeune homme qui se met vulgairement nu devant moi en baissant sa braguette avec un sourire. Gros pervers dégoutant... je su tout de suite ce qu'il allait faire quand il parlait de lui donner son repas, et le doute n'était plus permis lorsqu je le vit saisir un bâillon à anneau avant de sortir. Une forme de bâillon bien pratique avec un anneau qui allait directement se caler entre les lèvres pour maintenir la bouche ouverte dans un grand O... Elle devrait avaler tout ce qu'ont lui donner sans possibilité de refus.

Ah ah ! p'tain j'ai envie d'faire ça depuis que j'tai vu dans cette tenue d'salope ce matin ! t'as beau être une élève tu m'fou vraiment la trique habillé comme ça ! une vraie catin !

Sans plus de cérémonie les cheveux de Pauline sont saisit avec une poigne à en faire hurler de douleur, annonçant le mental de l'homme musclé qui n'irait pas faire dans la finesse. D'ailleurs, sa grosse verge un peu trop épaisse pour le petit cou de Pauline s'enfonça d'un coups violent, percutant le fond de sa gorge dans de longues pénétration à en faire tousser la brunette. A chaque percée, sa bite chaude et suante déformait ce cou gracieux en dessinant une grosse bosse. La pauvre Pauline devait ressentir une douleur indescriptible en se faisant violer ainsi sa bouche, et elle qui n'aimait pas étouffé pour me l'avoir reprochée était gratifié d'une gorge profonde qui ne laissait que peu de temps morts pour respirer un peu d'air. L'homme lui semblait aimer ça et la regardait dans les yeux pendant son désarroi, lui donnant des coups de genoux dans l'abdomen à chaque fois qu'elle essayait de fermer les yeux pour ne pas le regarder...

Ahhhhhhhhhh, Houuuuuuuuuuuuuu, c'si étroit !!! tiens toi prête à r'cevoir ton gouter !!!

Ce malotru lui enfonça totalement la verge sans retrait en ne faisant même pas attention aux haut le coeur de la brunette, il s'était ancrée si profond qu'ont devinait facilement à l'oeuil nue les sursauts de la verge dans la gorge, qui palpitaient alors que les bourses étaient collés sur le menton de Pauline, lui offrant cette odeur virile et bestiale. Il ne fallut que quelque seconde pour que le fond de sa gorge ne se noie dans de grosses goulées chaudes et épaisses... Voila donc ou il avait voulu en venir par lui donner son repas...

Le problème, c'est qu'il y en avait tant qu'elle ne pouvait simplement pas tout avaler, ses joues rouges montraient déjà clairement ses difficultés à retenir sa respiration avec ce mandrin coincé dans la gorge. La semence qu'elle ne put avalé devait bien aller quelques part et ne put que remonter pour jaillir des narines de Pauline, lui faisant boire la tasse avec la semence. Quant il se retira enfin, il n'attendit pas des heures avant de finir son travail en profitant du bâillon à anneau pour uriner dans son gosier... soit disant pour laver la semence qui était restée dans la bouche alors qu'il l'utilisait juste comme urinoir, sans en soucier d'en mettre à côté, sur son jolie visage.

Hé c'est terminé, on avait dit juste un quart d'heure pour qu'elle se repose... c'est fini depuis 5 minutes là. Si tu veux t'amuser repasse ce soir avec de l'argent

C'va on s'en fiche de son état non ! jte paye 2000 yens ! ouai 2000 juste pour encore 30 minute stu veux !

Je te laisserais pas bousiller ce qui m'appartiens... on avait dit 15 minutes, va t'en avant que je dise aux autres enseignant quels sont tes petits penchants dégoutant !

Bien qu'ont aurait pu croire que ce n'était vraiment qu'une question de business, c'était un instinct de protection envers Pauline que j'affichais clairement. Il l'avait mise à bout et j'avais décidé que ça suffisait ainsi pour le moment. Alors une fois qu'il avait fini son petit besoin je détachais la brune en prenant sa tête contre ma poitrine, caressant ses cheveux malgré la forte odeur d'urine présente sur elle...

Tu va te reposer un peu dans ma chambre maintenant.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le dimanche 02 octobre 2016, 17:00:31
Pauline était certaine que les trois pestes allaient diffuser la vidéo humiliante qu’elles avaient faite d’elle. Mais pour l’instant elle s’en moquait, elle était trop excitée pour prêter attention à ce genre de détails mineur, même si ça deviendrait plus qu’un détails quand elle retrouverait ses esprits. Line profita que sa maîtresse ne soit pas revenue immédiatement la chercher pour se caresser le vagin par-dessus la culotte. Elle voulait jouir rapidement et peut-être qu’une fois le soir venu, la culotte serait de nouveau débordante de cyprine.
C’était fou de constater à quel points quelques cachets avaient transformé cette ancienne esclave timide en une catin en manque et voulant se faire prendre par une bite. Ce pouvait être n’importe qui, tant que sa verge était de belle taille, Pauline serait heureuse de lui servir de jouet. Leona entra dans la pièce et interrompit le flot de pensées sexuelles qui hantaient l’esprit de sa prostituée. Elle l’attacha au lavabo et lui fit avaler un nouveau cachet avec de l’eau. Elle n’avait pas besoin de douter, Pauline aurait avalé cette drogue sans protester, après tout l’adolescente en était devenue totalement accroc. Pauline allait avoir un autre client, et c’était un homme. La jeune fille en était heureuse et espérait sentir sa grosse queue en elle.

 – Ne vous en faites surtout pas maîtresse, j’obéirai, c’est promis, déclara Pauline en imaginant déjà un énorme sexe la prendre violemment.

Un homme nu entra dans les toilettes. Instinctivement, la lycéenne observa son membre et ne pouvait qu’être satisfaite par sa taille. Mais son fantasme pouvait tout de suite être oublié alors que ce dernier lui plaça un bâillon en forme d’anneau entre les lèvres. Elle avait la bouche grande ouverte et ne pouvait plus la refermer. Il était évident qu’elle n’allait pas se faire baiser, quoique si, elle se ferait baiser la bouche. Pauline rougit en l’entendant déclarer qu’elle le faisait bander grâce à son apparence de salope. Le pervers empoigna ses cheveux et enfonça sa grosse verge jusque dans la gorge de la jeune fille. Son membre était trop gros et lui bloquait totalement la respiration. Un gonflement était largement visible dans le cou de la lycéenne à chaque pénétration. Elle devait inspirer au moment où l’énorme sexe se reculait quelque-peu mais ce n’était pas suffisant. L’homme la frappa fortement dans le ventre avec son genou quand elle fermait les yeux et elle fut obligée de regarder dans les yeux l’homme qui violait sa bouche et harcelait sa gorge avec sa verge qui tout compte fait était bien trop grosse. Il enfonça profondément son membre dans la gorge de Pauline et éjacula de nombreux jets de sperme. Elle en avala le plus possible mais ce n’était pas suffisant pour réduire les flots qui remplissaient sa gorge et sa bouche. Finalement le sperme remonta dans son nez et sortit par ses narines. Line mit une vingtaine de secondes à avaler toute la semence tandis que l’homme avait retiré son membre et à peine avait-elle terminé qu’il se mit à uriner dans sa bouche. Elle était obligée d’avaler la pisse de ce pervers dégueulasse pour ne pas finir étouffer et ferma les yeux alors qu’il venait également d’arroser son visage. Elle était passée de pute à toilette humain. Pauline espérait que sa docilité permettrait à Leona de soutirer un peu plus d’argent à ce client…
Sa maîtresse entra alors dans la pièce et exigea qu’il parte car il avait déjà dépassé le temps prévu. Leona voulait que sa chienne se repose  mais même si elle sentait que son corps était fatigué, son esprit lui était à moitié éteint à cause des cachets qui lui dictaient une seule chose : du sexe. Tout ce qu’elle désirait était d’avoir des pénis en elle, mais elle n’allait pas protester et espéra qu’elle pourrait se nettoyer la bouche pour s’enlever cet horrible goût d’urine. Leona la détacha et la prit contre elle. Pauline enlaça timidement sa maîtresse et fit un bisou sur sa poitrine.

 – Je vous suis maîtresse, bafouilla Line alors qu’elle avait du mal à reprendre son souffle après ce que lui avait fait subir le dernier client.

Leona montrait tout de même de l’intérêt envers la santé de son esclave, et cela emplissait la jeune fille de bonheur.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le dimanche 02 octobre 2016, 17:36:35
Pauline puait l'urine et j'aurais du la rejeter à terre en lui criant dessus de se laver, mais voir ce qui m'appartenait dans cet état me donnait plutôt envie de lui apporter un peu de tendresse pour le moment, malgré ce qu'elle avait osé faire. Je la portait donc dans mes bras jusque dans la chambre et commençais à lui retirer un par un les vêtements qu'elle portait. A commencer par la culotte toute souillée. Comme certaines privilégiées possédaient des chambre avec une salle de bain, je l'aidais à monter dans la baignoire une fois nue, en allumant l'eau chaude. A mon tours je retirais mes vêtements pour entrer dans la baignoires, laissant l'eau circuler sur tout mon corps et celui de Pauline, un peu plus menue. Avec mes mains, je passe le savon avec tendresse contre tout son corps, à commencer par son visage pour laver l'odeur. Je pouvais également voir qu'elle avait encore mal à la gorge lorsque je nettoyais sa poitrine et que ça la fit gémir.

Repose toi jusqu'à ce soir, il y a beaucoup de client qui vont se succéder et certains ont des idées bien tordues à assouvir...

Est-ce que je culpabilisais ? non, pas le moins du monde, mais je me prenais quand même d'une légère forme d'affection pour ma petite prostitué en intérim. Je lui frottais bien tout le corps avec tendresse en passant doucement sur les marque qu'elle avait aux fesses, que je lui avait moi même infligée, tout en la regardant gémir et soupirer. Dans un léger bruit sourd, le savon tombait au fond de la baignoire pendant que je saisissais le menton de Pauline, approchant mes lèvres pour l'embrasser tendrement et sensuellement sous le jet d'eau. J'en venais à l'enlacer très vite dans une étreinte plutôt tendre, remuant les lèvres avec passion et enroulant ma langue autours de la sienne, fermant les yeux. Nos poitrines ballotaient l'une sur l'autre et une des mains ancrée dans son dos descendait progressivement vers ses fesses, pour passer entre ses cuisses et doigter Pauline, pour la soulager. La pauvre en avait tellement envie... et même si ça ne valait pas un pénis je la fit jouir une fois en enfonçant mes doigts de manière très plaisante.

Ca commencera à 22H. Dis-je en rompant le baiser pendait qu'elle jouissait, portant mes doigts pleins de cyprines sur ses lèvres pour les lui faire sucer avant de commencer à essuyer l'eau sur son corps.

Une fois séchée, j'allais prendre un des 5 cachets restants et le mis sur ma langue, pour le lui faire manger en venant l'embrasser. Ainsi, je nouais encore ma langue dans la sienne en profitant du baiser pour transférer la drogue d'une bouche à l'autre, ne reculant que lorsqu'elle l'avait bien avalé.

Si le lit était déjà prêt pour qu'elle puise confortablement dormir dans des draps d'une chaleur réconfortante, je replaçais tout de même sa culotte en latex contre son intimité, déposant même un petit baiser par dessus pour stimuler son sexe au travers. Elle pouvait la souiller autant qu'elle le voulait et ça en serait même mieux pour lubrifier ses parois vaginales au vu du nombres de clients ce soir... Mais hors de question qu'elle se doigte...

Pour être sure que ses mains resteraient tranquilles je les ligotas derrière son dos à l'aide d'un monogant bien lacé (https://fr.wiktionary.org/wiki/monogant)

Essaye vraiment de dormir la nuit sera rude. Dis-je en sortant de ma chambre après un brève baiser sur les lèvres.

Lorsqu'elle dormirait, je passerais surement en douce pour lui mettre sur la table un des billets de 1000 yens, au moins en signe de récompense...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le dimanche 02 octobre 2016, 19:14:28
La jeune esclave suivit sa maîtresse jusqu’à sa chambre. Elle aurait donc droit à un peu de repos, à défaut de grosse verge. Leona l’avait porté jusqu’à sa salle de bain privative. Vicieuse et sportive donc. Quoique ce n’était pas un exploit non plus. Pauline dépassait péniblement la barre des cinquante kilos et le chemin menant à la chambre de la tortionnaire n’était pas très long. Leona déshabilla son esclave et l’installa dans la baignoire avant de faire de même pour elle. L’eau chaude fit un bien fou à la lycéenne, même si ce bain ravivait légèrement la douleur cuisante de ses fesses. La jeune fille ferma les yeux et laissa sa maîtresse la nettoyer. C’était certainement le moment le plus agréable de sa journée et comme elle venait de l’entendre, la soirée serait longue, avec de nombreux clients plus dérangés les uns que les autres. Sentir les caresses sur son corps fit mouiller la jeune fille.

 – Aie, aie, aie, ça fait toujours autant mal depuis hier, gémit Line alors que sa camarade lui frottait doucement les fesses.

Leona embrassa son esclave et la prit contre elle. Le contact avec la délicieuse peau de sa maîtresse l’excitait énormément et alors que Pauline allait la supplier, sa tortionnaire se mit à la doigter tendrement. Il ne fallut même pas une minute à la lycéenne pour jouir en gémissant fortement. Pauline remercia sa maîtresse en léchant ses lèvres puis en suçotant quelques secondes sa délicieuse langue. Même si elle était souvent cruelle avec elle, cette fois elle avait décidé d’être affectueuse et de lui faire du bien. Leona déclara que son travail de prostituée commencerait à 22 heures tout en glissant ses doigts pleins de cyprine dans la bouche de son esclave. Elle suça tendrement ses doigts et avala sa mouille docilement.
Les deux jeunes filles se séchèrent puis la peste transmit un cachet à sa prostituée en l’embrassant. Pauline profita de la délicieuse langue de la dominatrice et avala le cachet. Leona remit la culotte à son esclave et déposa un baiser dessus.

 – Han maîtresse, j’ai tellement envie d’un pénis en moi, gémit la jeune fille en manque. J’ai réellement besoin de me faire baiser…

La tortionnaire ne fit pas attention aux paroles de sa chienne et lui attacha les mains dans le dos à l’aide d’un monogant. Cet accessoire portait bien son nom car Pauline était solidement attachée et n’arrivait pas à se libérer. Elle laissa donc tomber et se coucha pour dormir. Son état d’excitation l’en empêcha un long moment mais quand elle finit par s’endormir, elle sombra dans un profond sommeil. Après tout elle n’avait quasiment pas dormi la nuit dernière.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le lundi 03 octobre 2016, 11:51:17
Le réveil sonnait dans la fraicheur de la nuit et son voile sombre comme une mer de pétrole. Il était 22H, il était l'heure de passer une nuit enrichissante pour mon compte, et une nuit de débauche pour Pauline. Si la brune avait jouit sans s'en rendre compte pendant son sommeil en souillant encore plus sa culotte ça me m'empêchait pas de lui enfourner dans sa bouche les 4 derniers cachets restant d'un coups. Un petit verre d'eau et 10 minutes plus tard lorsque je finissais de lui remettre sa tenues comprenant toujours une robe en latex, des cuissardes et ses longs gants, je pouvais commencer à observer des spasmes de plaisirs parcourir son corps comme de petites décharges. Le cocktail de drogue soutenu depuis hier matin l'avait placé en état d'overdose et avait rendue son corps hyper sensible, rien que le fait de l'habiller soigneusement avait fait trembler son corps comme si elle était sur le point de jouir. Ca tombait bien, le premier client était surement le plus soft de la soirée et ne demandait qu'à se vider là ou Pauline le supplier tant.

En route maintenant. Dis-je en lui passant une laisse autour du cou

Nous trainions ainsi dans les couloirs quelques instants avant que je ne l'abandonne devant les portes des dortoirs masculin, un bandeau se glissant autours des yeux pour la prise d'un de ses sens, et de ses repaire. Le client étant un jeune homme du collège habituellement renfermé voulait surement éviter de se faire reconnaitre par Pauline après ce petit épisode. D'ailleurs le jeune homme brun aux cheveux mis long ne tarda plus, sous sa carrure d'adolescent timide et surement encore totalement puceau du haut de son 16 eme anniversaire.

Sa marche était hésitante et il ne dit pas un mot, s'approchant de la petite chienne perdue et saisissait finalement la laisse comme un témoin. Une fois la laisse en main, il était le nouveau maitre de cette bestiole avide de sexe. Et il ne se fit pas prier pour sortir son braquemart de la braguette, fixant la tenue de Pauline non sans un petit filet de bave au bord des lèvres.

Au plus simplement possible, il caressait son pénis contre sa culotte en latex, poussant de petits gémissement qui étaient bel et bien ceux d'un petit puceau qui frottait pour la première fois son service trois pièce contre autre chose que sa main. Très vite, la culotte tomba sur les cuisses de la brunette et laisse couler une grosse flaque de cyprine au sol. Le reste qui était encore dans sa culotte fut frotter avidement sur le mandrin du jeune homme qui dégoulinait du nectar de Pauline pour bien se lubrifier. D'une petite voix, il osa à peine dire qu'il allait venir, avant de la plaquer contre le mur en soulevant ses cuisses, pour que les pieds de la soumise ne touche même plus le sol.

La scène était ridicule si on se concentrait sur le jeune garçon qui semblait au bord des larmes de pouvoir faire crier une autre fille de son age, pour la première fois. Mais il y allait au moins de bon coeur et ne semblait plus si soucieux que ça du confort de sa partenaire. Il s'engouffrait plutôt aussi loin qu'il le pouvait ne pilonnant de violent coups le fond de son vagin, faisant buter les fesses contre le mur et laissant Pauline hurler son plaisir... elle était enfin prise et avait jouit en l'espace d'un rien de temps, éclaboussant même le ventre du jeune homme qui me regarda l'air de dire " mais je n'ai même pas encore assez profiter... "

Bon je vais faire une exception, je t'offre un nouveau tours... mais tu va devoir partager le prochain client arrive et je ne le ferais pas attendre, c'est pas bon pour le business.

Un autre élève, lui plus virile et venant tout droit du club de sport, décolla Pauline du mur avec plus de violence pour se mettre derrière elle, ne semblant pas du tout perturber à l'idée de partager la demoiselle, qui se fit prendre par une double pénétration. Lorsque le premier élève poussait dans son vagin pour s'y enfoncer, le corps de Pauline basculait en arrière comme pour renvoyer la balle au deuxième élève, qui poussait à son tours un grand coups dans son anus pour faire butter le bassin de Pauline vers l'avant... et ainsi de suite comme deux coéquipiers se faisant des passes avec le corps de la soumise.

Le rythme devenait vite très rapide et le corps de Pauline se faisait plier d'avant en arrière à une vitesse folle alors que le premier élève venait de jouir en elle, en poussant de petits gémissements de brebis égaré...
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 03 octobre 2016, 13:30:37
Leona réveilla Pauline à 22 heures pour qu’elle se prépare à travailler. La jeune fille avait l’impression qu’elle venait tout juste de se réveiller et elle ne put s’empêcher de bailler bruyamment. Les deux derniers jours avaient été très éprouvant et cette nuit le serait certainement tout autant, voir plus encore. Elle constata qu’elle avait jouit dans son sommeil car sa culotte était de nouveau bien pleine de cyprine. Mais elle sentait tout de même que l’effet des cachets avait commencé à se dissipé, et au fur et à mesure que son envie diminuait, sa honte augmentait. Leona avait fait d’elle une pute et tout le lycée devait penser qu’elle en était une. Sa maîtresse enfonça ses quatre derniers cachets dans la bouche de sa soumise qui malgré sa honte avala sans protester. Elle se souvenait encore du désir qui l’avait submergée et elle n’était pas contre retrouver cet état. Même si ça faisait d’elle une chienne en chaleur prête à faire toutes les cochonneries qu’on lui ordonnerait de faire. Leona habilla sa prostituée avec la tenue en latex puis lui mit une laisse. Il était temps de remplir les poches de la peste d’argent et les orifices de la soumise de semence. Pauline sentait déjà le désir envahir son corps, et tout amour propre disparu de l’esprit de la jeune fille. Maintenant tout ce qu’elle souhaitait, c’était de se faire baiser par tout le lycée.
Les deux lycéennes avancèrent dans les couloirs sombres et déserts. Elles arrivèrent finalement dans le couloir abritant les dortoirs des garçons. Leona passa un bandeau sur les yeux de Pauline, ce qui voulait dire que les clients voulaient sans doute garder l’anonymat, à moins que ça ne soit qu’un jeu pervers de sa maîtresse. Une personne s’approchait et agrippa sa laisse. Elle ne pouvait pas le voir, mais Line supposa que c’était un garçon, sinon être venu ici n’aurait pas eu beaucoup d’intérêt. C’est alors qu’elle sentit un membre se frotter contre sa culotte en latex. Son plaisir se décupla et Pauline dû se retenir pour ne pas le supplier de la baiser. Il était son maître et il le ferait quand il le déciderait. Le garçon retira la culotte qui déversa des flots de cyprine à leurs pieds. Sentir le gland chaud de cet inconnu caresser sa fente la rendait complètement folle. Elle était vraiment devenue une salope…

 – Baisez-moi s’il vous plait, bredouilla Pauline alors qu’elle mouillait énormément.

Le garçon plaqua la prostituée contre le mur et souleva ses cuisses avant de la pénétrer. Le désir du jeune homme était de plus en plus fort et il la baisa violemment sans se soucier du confort de la soumise.  Sa verge gonfla dans le vagin étroit et la jeune fille finit par jouir rapidement. Son désir n’était pas calmé pour autant et elle était heureuse d’entendre sa maîtresse autoriser le jeune homme à continuer de pilonner son intimité. À force de gémir de plaisir, l’esclave sexuelle n’avait pas entendu le second garçon arriver. Il l’écarta du mur et l’encula brutalement comme si Pauline n’était plus qu’un trou à fourrer. La lycéenne bavait de plaisir et mouillait comme une salope alors qu’elle subissait une double pénétration et que son corps était balancé d’avant en arrière comme une poupée de chiffon. Finalement le premier garçon éjacula dans son vagin et se retira. Il essuya son gland plein de sperme sur les lèvres intimes de l’esclave puis rangea son pénis dans son pantalon avant de payer Leona et de partir.
Le second garçon poussa Pauline sur le sol, la força à se mettre à quatre pattes dans sa flaque de cyprine et recommença à enfoncer son long membre brûlant dans son fondement. Il agrippa les cheveux de la chienne et tira doucement sa tête en arrière tout en défonçant son anus. Il tirait tellement sur la chevelure de la jeune fille qu’elle aurait pu voir le plafond si elle n’avait pas les yeux bandé. Il éjacula à son tour dans le cul de Pauline et la força à lécher son gland plein de sperme pour le nettoyer. La jeune lycéenne tourna tendrement sa langue autour du gland chaud et humide et avala toute la semence. À peine avait-elle terminé avec son second client qu’un troisième arriva et tira gentiment sur sa laisse pour qu’elle se mette à genoux.

 – Je veux que tu me masturbes jusqu’à ce que j’éjacule, déclara le garçon en ouvrant sa braguette et en sortant sa verge.
 – Très bien maître, déclara la jeune fille en agrippant le sexe du garçon.

Le pénis du garçon était plutôt petit mais il gonfla rapidement sous les caresses de Pauline. En l’entendant gémir si fort et si rapidement, la jeune fille savait qu’elle avait à faire à un puceau et qu’il ne lui faudrait pas beaucoup de temps pour faire cracher son jus à son petit pénis. Line le masturba tendrement tout en caressant ses testicules du bout des doigts. Elle se demandait dans quel état elle serait à la fin de la nuit, car elle sentait la semence de ses premiers clients dégouliner le long de ses cuisses. La soumise avait eu raison et le garçon éjacula alors que cela ne faisait même pas une minute qu’elle le branlait. Son pénis avait beau être de taille modeste, il recouvra une bonne partie du visage de Pauline de sa semence. La jeune fille était un peu déçue de ne pas avoir pu voir ce petit sexe recouvrir son visage de sperme. Cette vision aurait certainement été très excitante. Le garçon semblait très gêné par ce qu’il avait fait et était rapidement parti payer Leona pour le temps passé avec sa pute.
Une autre personne entra dans le couloir juste après le départ du garçon, et Pauline en vint à se demander s’il n’y avait pas une file d’attente derrière la porte du couloir. La personne n’était pas seule et quand elle entendit un chien grogner elle comprit qu’il s’agissait du surveillant qui avait uriné dans sa bouche dans les toilettes. Ce pervers dégueulasse en manque d’autorité se promenait souvent dans la cours du lycée avec son molosse en prenant un air de tyran qu’il ne fallait pas embêter. Qu’est-ce qu’il faisait ici avec son clébard ? Etant externe, Pauline ne savait pas que cet idiot passait régulièrement dans les couloirs avec son chien en fin de soirée pour surveiller que tout le monde dormait.

 – Salut Leona, s’exclama le surveillant. Je viens m’amuser avec la petite salope. Cette fois j’aimerai ne pas être dérangé, alors je te paie cinq fois le tarif normal.

Depuis quand les surveillants roulaient sur l’or ? Pauline espérait que Leona refuserait le deal du surveillant mais elle avait de sérieux doutes. Après tout ce pervers lui proposait une très belle somme…
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le lundi 03 octobre 2016, 15:18:17
Pauline avait été utilisé sans retenue devant mes yeux attentif mais comme je lui avait si bien dit, les premiers clients n'étaient que le menu fretin. Arrivant d'un pas décidé, le surveillant de l'école arriva avec son chien... enfin... j'avais toujours pensé qu'il n'en avait qu'un à la base mais en réalité c'était 3 de ces clébards qui étaient fermement tenus en laisse dans sa main. A vu d'oeuil même si je ne m'y connaissais pas très bien en race canine, il s'agissait de deux dauberman et d'un boxer bien en forme. Bon, je me disais qu'au départ ça dérapait peut-être un peu et que ce n'était pas ce qui était prévu mais la somme était vraiment TRES alléchante... Alors je retirais simplement le bandeau des yeux de Pauline pour lui faire découvrir quels seraient ses nouveaux compagnons de jeu. Et dire qu'i me payait une telle somme pour finalement ne rien faire lui même et juste observer Pauline au milieu des 3 chiens.

Ils ont intérêt à être bien dressés, ou tu passe par la fenêtre.

Un simple petit rire mesquin émane de l'homme qui lâche d'abord un seul des chiens, dans un ordre d'attaque sur Pauline. Le boxer se jette alors sur elle et grogne en montrant toute ses dents comme un avertissement auquel il fallait mieux prêter attention. Jusque là rien de bien surnaturel... mais c'était sous estimé les viles vices d'un gros porc pareil, qui avait été jusqu'à dresser son chien à " violer " une femme. Répugnant... quel homme pouvait avoir l'idée d'un tel dressage... Il ne lui fallait qu'un appel et quelque geste pour que le chien n'étale ses bourses sur le visage de la brune comme pour réclamer une gâterie.

Rah non putain ! pas par là... il va vraiment falloir reprendre le dressage du début !

L'homme intervient finalement pour obliger Pauline à se mettre à quatre pattes, plaçant ensuite le chien de manière à ce qu'il soit bien entre ses fesses.. là ou il faut.

Voila c'est par là qu'ont commence !!

Poussant des cris de chien en chaleur entre quelques aboiement, l'être canin s'y donne à coeur joie et y va comme s'il s'agissait d'une femelle de son espèce... jusqu'à y déverser très vite sa semence... ce genre d'animaux ne tenaient pas très vite... de vrais petits lapin.

Tout aurait pu s'arrêter là mais non, l'homme arrosa Pauline d'une odeur très malodorante, qui étaient en réalité des phéromones animales pour exciter ses chiens, qui une fois l'odeur parvenus à leurs museau essayaient déjà de soustraire la laisse à leur maitres. Il ne fallait qu'un instant avant que les 3 canidés ne se jettent sur elle en grognant et en la léchant, tout en se frottant à elle comme s'il s'agissait d'une vraie femelle chienne...

Aller soulage mes compagnons ! Et vide les bien je veux qu'ils soient en forme ! J'ai payé le prix fort alors tu ne t'arrêtes pas tant qu'ils réclament encore !

Ca allait donc être à elle de les purger de toutes les manières possibles, prise au milieu de cette meute comme un morceau de viande jeté aux loups.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 03 octobre 2016, 16:23:17
Leona retira le bandeau des yeux de Pauline et cette dernière fut dégoûtée de voir trois chiens fermement tenu en laisse par le surveillant. Il n’allait quand même pas exiger qu’elle fasse l’amour avec des clébards ? Si elle n’avait pas été droguée par de nombreux cachets, Line aurait sûrement crié et serait partie en courant. Cependant les quatre cachets récemment avalé dictaient sa conduite. Le pervers lâcha un premier chien qui la plaqua sur le sol en grognant. Il était trop tard pour se défiler, car la bête lui faisait clairement savoir que si elle se débattait elle se ferait certainement mordre. Le clébard frotta ses bourses et son horrible pénis puant contre le visage de la jeune fille qui ferma les yeux et arrêta de respirer. Le pervers ne semblait pas satisfait de ce que faisait son chien. Il l’avait dressé pour violer des femmes ? Etait-ce possible ? Certainement avec un maître aussi dégueulasse…
Il attrapa la laisse qui était accrochée autour du cou de la jeune fille et tira dessus pour la mettre à quatre pattes, puis il indiqua à son molosse de se mettre derrière elle. Pauline ne voulait pas se faire baiser par un chien mais quand elle sentit sa verge se frotter entre ses fesses, elle ne put s’empêcher de vouloir qu’il la prenne. Line gémit fortement alors que le chien venait d’enfoncer son pénis dans l’anus de l’esclave. Cette bête dégueulasse devait apprécier les trous étroits. Il ne fallut que quelques secondes avant qu’il l’éjacule dans son cul. Pauline ne ressemblait plus du tout à une jeune lycéenne. Du foutre de chien remplissait son anus et elle savait qu’elle en aurait certainement bientôt plein la bouche et le vagin. Son vagin était encore recouvert de semence et elle avait apprécié de se faire enculer par un animal. Leur maître aspergea l’esclave avec des phéromones animales et très vite les trois chiens lui sautèrent dessus, la plaquant sur le dos. N’était-elle plus que bonne à ça ? Se faire baiser par des molosses ? Ils la léchèrent tout partout puis l’un deux s’assit sur le visage de la prostituée et remua sa queue et ses bourses contre les lèvres et le nez de Pauline. Malgré son état d’excitation, la jeune fille refusait de lécher ou de sucer cette chose qui avait une odeur écœurante. Pendant que le chien continuait de se frotter contre le visage de l’esclave, un second se plaça entre ses jambes et lui pénétra d’un coup le vagin. Line cria mais sa voix fut rapidement étouffée par la bite du premier chien qui se glissa entre ses lèvres. Les deux clébards baisèrent sa bouche et son vagin brutalement et Pauline était obligée de s’avouer qu’elle aimait ça. Elle voulait tellement se faire baiser. De toute façon elle était devait obéir aux ordres, alors autant qu’elle y prenne du plaisir. Elle mouillait déjà énormément et commença à sucer amoureusement la bite du chien. Les phéromones avaient dû rendre les bêtes complètement folles de désir car les deux venaient d’éjaculer en elle. La prostituée avala le sperme du chien et savourait la chaleur de la semence de l’autre chien qui remplissait son intimité.
Même s’ils avaient jouit, ils ne s’arrêtaient pas pour autant de la violer. Le troisième chien repoussa celui entre ses jambes pour pénétrer son vagin à son tour tandis que Pauline continuait de sucer la bite qui pilonnait sa bouche. Les animaux baisèrent cette chienne en manque pendant près d’une demi-heure avant d’être satisfait. Quand ils la laissèrent, Pauline était toujours couchée sur le dos, la bouche grande ouverte à reprendre son souffle alors que son vagin débordait de semence animale et qu’elle en avait avalé tout autant. La jeune soumise espérait seulement que ce porc de surveillant en avait fini avec elle et qu’il n’avait pas d’autres idées tordues en tête. Quand Pauline tourna les yeux vers sa maîtresse elle vit que ses yeux brillaient en tenant de nombreux billets. Elle savait qu’elle laisserait les clients faire tout ce qu’ils voudraient de sa chienne, tant qu’ils allongeraient les billets.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le lundi 03 octobre 2016, 17:41:56
La horde composée de trois chiens féroces y allaient de bon coeurs et recouvraient non seulement l'intérieur mais aussi l'extérieur du corps de Pauline, qui fut très vite gratifiée tours à tours de plusieurs jets maculant sa peau... et ses pauvres orifices profondément souillés. La scène était presque répugnante à voir pour n'importe quel esprit assez sain, ce que ne possédait visiblement pas le surveillant qui admirait la scène main au pantalon. Ma main à moi était quant à elle pourvue de billets que je recomptais. Ca faisait déjà un jolie paquet...

Bon les chiens se sont bien assez amusés non ? Maintenant il est temps de laisser son tours aux autres. Et inutile de revenir la prochaine fois.

En réalité même si je ne le montrais que peu, je n'aimais pas vraiment que cette homme touche Pauline, pour son bien être physique et mental. La pauvre était encore tremblante d'excitation alors que de la semence coulait hors des lèvres buccales et vaginales... En temps normaux la petite brune aurait surement pleurer de peur et de dégout... mais pas sous la drogue.

On dirait que je tombe bien pour nettoyer tout ça, je n'ai pas osé en profiter la dernière fois mais puisque c'est contre de l'argent tu n'utiliseras pas ce fait pour faire encore chanter, n'est-ce pas Leona ?

Il s'agissait de l'infirmière scolaire, cette même jeune demoiselle très sexy d'une vingtaines d'années qui lui avait affirmé la dernière fois ne pas s'intéresser aux adolescente dans son genre. Elle était pourtant bien là, dans sa sublime tenue d'infirmière pour remettre Pauline sur ses deux jambes. Qu'elle n'aille pourtant pas croire qu'elle était un havre de bienveillance, l'infirmière dans l'intimité bien que restant en toute circonstance calme et adorable, n'était pas un havre de paix dans ses petits jeux sexuels, et faisaient passer les pires tortures possibles pour de soit disant actes de sympathie fondamentales pour soigner ses élèves, ou les garder en forme. Alors quand elle parlait de nettoyer, c'était en direction des toilettes que Pauline se rendait avec l'infirmière, qui musela le visage de la brune contre le robinet, bouche suçant le tuyau d'arrivé d'eau.

C'est pour ton bien Pauline, il faut nettoyer toute cette semence de chien pleine de bactéries nocives... Dit l'infirmière en affichant un regard malsain et excitée envers Pauline, une main dans sa culotte déjà mouillé, l'autre caressant le robinet d'eau.

Pauline devait comprendre avec effroi ce qui allait se passer et ne put que le confirmer lorsque le robinet tourna pour laisser couler un long filet d'eau froide qui ne s'interrompait jamais. Elle fut bien contrainte d'avaler l'eau qui déferlait dans sa bouche par grandes gorgées, en continue. Forcée d'avaler pour ne pas boire la tasse devant l'infirmière qui se doigtait furieusement, elle eu le droit à une petite pause après un litre d'eau ingurgité de force.

Pourquoi ce regard ma mignonne petite biche ? tu n'as bu qu'un tier du traitement.

Ce n'était même pas la moitié pour la pauvre Pauline qui se retrouvait de nouveau gavée d'eau comme une oie, jusqu'à en éprouver d'énormes difficultés à avaler chaque gorgées. Au bout du deuxième litre, les difficultés à avaler se faisaient sentir, et de longues bosses déferlaient avec un rythme moins soutenue dans un gorge, dans des sons de déglutissement semblant implorer la pitié. Chaque bouffée d'eau était un vraie supplice maintenant elle n'arrivait tout simplement plus à avaler assez vite. L'infirmière s'en fichait pas mal et allait même jusqu'à laisser Pauline convulser légèrement en gémissant d'urgence. L'eau était obligée de s'échapper en grande partie par le bord des lèvres... je dut interrompre moi même ce jeu dangereux avant sa fin.

Mais.. Leona.. le traitement n'est pas fini... il lui reste encore un litre à ... Bon ok j'ai compris... je vais faire autrement...

Elle coupait enfin le robinet alors que le ventre de Pauline était remplis d'eau et avait gonflé comme celui d'une femme à enceinte de quelques mois. Mais l'infirmière appréciant peu de ne pas avoir terminer son petit jeu la fit basculer sur le ventre dans un sons raisonnant, comme si un ballon plein d'eau avait brutalement percuter le sol. Pour finir de la remplir, elle enfila un tuyau qu'elle glissa loin dans son anus après en avoir sucer le bout pour le lubrifier. Et ainsi continuer à la remplir d'eau ainsi, par l'autre côté.

Entre ce qu'elle avait bu et l'eau qui remplissait son ventre par l'anus, c'était pas moins de presque 4 litres qui gigotaient dans son ventre pleins, soit 1 litre à peine sous la limite que pouvait supporter un être humain.

Et maintenant un peu d'exercice pour ton bien, pour garder la forme !

Un sourie bienveillant se dessinait encore alors que je me disais que c'était bien plus malsain que mes méthodes. Moi au moins, j'affichais clairement mon désir d'être sadique quand je l'étais... je ne faisais pas semblant d'être douce. Comment on pouvait croire une seule seconde à son rôle quand on se retrouvait comme Pauline remplis de 4 litre d'eau, le ventre gros et à demi écrasé sous le sol avec un gros bouchon en liège dans le derrière, pour être sure que rien en sorte... Ou du moins, que rien ne ressorte par ailleurs que par sa vessie qui serait bientôt en feu.

L'infirmière l'avait bien compris puisqu'elle pressa sur son gros ventre avec son pieds avant de lui attacher une laisse et de commencer une petite balade à quatre pattes dans le grand établissement.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le lundi 03 octobre 2016, 18:43:48
Malgré l’humiliation que cela aurait pu être, Pauline avait adoré se faire baiser par ces trois chiens. Elle était recouverte de sperme et en avait aussi qui coulait de chacun de ses orifices. Elle n’était plus qu’une chose qu’on s’amusait à fourrer et à remplir. Line n’avait rien contre ça acceptait volontiers son sort. Après tout se faire baiser toute la nuit n’avait rien de si désagréable, même si les bites des trois chiens avaient une odeur horrible et un goût qui en temps normal l’aurait certainement faite vomir. Leona chassa le surveillant et ses trois chiens tandis que l’infirmière arrivait en souriant. Cette salope avait donné des heures de colle à Pauline, et maintenant elle voulait s’amuser avec elle ? Si elle n’avait pas peur de mettre en colère sa maîtresse, la lycéenne aurait certainement giflé cette femme. Elle voulait nettoyer la jeune fille, et cette dernière crût stupidement qu’elle allait prendre un bain. L’infirmière emmena Pauline à quatre pattes jusqu’aux toilettes et l’obligea à mettre un robinet d’eau en bouche. Il n’y avait pas besoin d’être très intelligente pour savoir ce qui allait suivre et l’esclave se prépara à ce qui allait suivre. L’infirmière ouvrit le robinet avec un débit soutenu d’eau glacé qui remplit la bouche de la soumise en quelques secondes. Elle avala de grandes gorgées d’eau et fit du mieux qu’elle pût pour ne pas se noyer. Ses mains se crispaient sur le lavabo et elle tenta vainement de retirer sa bouche du robinet. L’infirmière la bloquait et se caressait en la regardant se noyer à moitié. Quand enfin elle coupa l’eau, la jeune fille en recracha une belle quantité avant de tousser et de respirer avec difficulté.

 – Pi…. Pitié… Stop… articula Line avec difficulté. Je peux plus… avaler…

La femme ouvrit à nouveau le robinet et la torture recommença. Pauline avalait de son mieux tandis que son ventre se gonflait lentement. Après une vingtaine de seconde de l’eau commença à ressortir par sa bouche et par ses narines alors que son ventre était lourd et que sa gorge était en feu. L’infirmière coupa l’eau sur ordre de Leona mais n’était pas contente du tout. Elle décida de terminer le « traitement » en enfonçant profondément un tuyau dans l’anus de l’esclave et recommença à la remplir d’eau. Pauline frissonna en sentant l’eau glacée remonter le long de ses intestins et de son ventre. Elle se sentait de plus en plus lourde et baissa les yeux et regarda avec stupeur son abdomen prendre une forme ronde et gonflée.
L’infirmière enfonça un bouchon dans son anus et pressa le ventre de la prostituée avec son pied. C’était extrêmement douloureux et Pauline commença à gémir. Elle reprit la laisse et commença à promener la petite chienne dans l’établissement. La jeune fille se demanda pour combien de temps la femme avait payé car faire le tour de l’établissement allait prendre du temps. Finalement l’infirmière conduisit Pauline dans le petit espace vert qui se situait dans la cours du lycée. Marcher à quatre pattes aussi longtemps avait rendu ses genoux douloureux et lui avait surtout donné envie de faire pipi.

 – Il faut que j’aille aux toilettes et rapidement, gémit Pauline en tentant de se retenir.
 – Oh mais tu y es petite chienne, déclara l’infirmière en souriant.

Pauline ferma les yeux et commença à uriner comme une chienne que l’on promenait dans un parc. La jeune fille urina un long moment et vit qu’une énorme flaque se formait entre ses jambes. C’était tellement bon de pouvoir se soulager après avoir été forcé d’avaler autant d’eau. Pauline ne s’arrêtait pas de pisser alors que de l’urine recouvrait ses cuisses et elle se promit intérieurement qu’elle n’avalerait plus le moindre liquide de force. Même si elle était excitée à l’extrême, elle ne voulait plus subir ce genre de torture.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le samedi 08 octobre 2016, 15:43:34
Le ventre bien remplis devait être à première vue douloureux mais parfait aux yeux de l'infirmière qui en profitait pour une petite balade longue en galère. Le ventre ballotait au rythme des pas de la chienne, docilisée au point de ne marcher plus qu'à quatre pattes dans les couloirs, et même jusque dans la cours ou elle est forcée d'y vider sa vessie. La pauvre Pauline urinait contre un arbre comme un vulgaire toutou, déversant son liquide chaud dans un soupir de soulagement qui dégonflait un peu son ventre. Le liquide se répendait au sol et l'infirmière d'un coups de pieds aux fesses envoya son visage valsé dans la flaque, et son ventre s'écraser sur le sol dans un sons ressemblant à celui d'un ballon plein d'eau, s'écrasant sur le sol avec élasticité. La pression avait été si forte que le bouchon en liège fut expulsé et que de l'eau sortit par son anus.

Oui c'est bien, il faut tout faire sortir maintenant que tu es bien nettoyée !

Toujours du même pied l'infirmière sadique retourne son corps comme une crêpe et vient presser son pied contre le gros ventre, faisant pression pour faire sortir l'eau de la manière la plus humiliante, par l'anus et par la vessie. Tout se répendait sur le sol en une belle flaque et la belle brune fut vidée d'un bon litre au moins, soit à peine le tier. Il fallait au moins conserver un peu de flotte en elle pour le chemin du retour, le cas contraire n'aurait pas été amusant ! D'ailleurs, ses tétons furent pincés par de lourdes pinces métallique, faisant pendre sa poitrine douloureusement vers le bas grâces aux petits poids au bout des pinces, de 50 grammes de chaque côtés. De quoi alourdir encore son corps vers le bas pendant qu'elle marchait, et faire frotter son ventre sur le parquet.

Mais tu n'es pas encore une vraie chienne, je t'ai encore entendu parler tout à l'heure... les chiens, ça doit aboyer tu sais ?

De retour au point de départ, l'infirmière avait encore un peu de temps devant elle pour préparer sa soumise. Elle décidait donc de sortir quelques affaires de son sac et offrit un plug anale à son cul encore bien écarté. Le plug était un anneau en métal plutôt froid, qui maintenait son cul férocement ouvert. Pour améliorer sa condition de chienne il y avait même une petite queue de canidé sur le bout, qui la fit vite ressembler à un petit cocker. Sa bouche et son vagin eurent aussi le droit au même traitement, maintenues bien ouvert par des anneaux en métal, sans la queue cette fois bien sure. Pour couronner le tout, ce fut une cagoule en latex qui fut placée sur le visage de Pauline, dont la chevelure qui avait été soigneusement coiffée en queue de cheval ressortait par un petit trou destiné à cela à l'arrière du crane. C'était la seule ouverture de cette cagoule en latex qui recouvrait même ses yeux et son nez. Ne laissant que l'ouverture au niveau de la bouche pour respirer et être en proie à tout ce qu'ont voudrait y mettre.

Elle était transformée en une petite chienne qui ne pouvait se mouvoir mais plus voir ce qu'il se passait autours d'elle, les pinces métalliques pendantes toujours et le ventre bien remplie. Le tours suivant était un groupe d'élève masculin qui ne devrait pas tarder.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le dimanche 09 octobre 2016, 11:29:50
Uriner procurrait beaucoup de plaisir à la jeune fille. Elle continua un bon moment mais son ventre restait tout de même bien rond. La flaque en dessous de Pauline était devenue énorme et l’infirmière en profita pour donner un coup de pied dans ses fesses pour la propulser tête la première dans l’urine. Sur le coup le bouchon fut expulsé de son cul et de l’eau coula abondament. Même quand elle était esclave chez sa première maîtresse, elle n’avait jamais été autant humiliée. Line releva lentement la tête alors que son visage était trempé par l’urine. L’infirmière retourna Pauline avec son pied et l’écrasa sur le ventre arrondi de la jeune fille. L’effet ne se fit pas attendre et l’eau s’échappa rapidement de son anus tandis qu’elle pissait fortement sans pouvoir s’arrêter.

 – Haaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!! cria Line alors qu’elle se vidait en offrant un spectacle des plus dégradant.

L’adolescente avait le vagin en feu à force d’autant uriner, mais elle était satisfaite en voyant son ventre devenir moins imposant. Elle n’avait même pas expulsé la moitiée mais c’était déjà pas mal. L’infirmière plaça des pinces métalliques sur ses tétons et tira sur la laisse pour la remettre à quatre pattes. Ses tétons étaient tiré par le bas par des poids, ce qui stimula encore son plaisir alors qu’elle recommençait à mouiller. Pauline entendait l’eau remuer dans son ventre qui touchait régulièrement le sol alors qu’elle avançait aux pieds de la femme. Cette dernière poussa le vice jusqu’à réclamer de la jeune fille qu’elle aboye comme une chienne. Il était plus prudent d’obéir pour ne pas subir de sanctions.

 – Wouaf, wouaf, wouaf, commença à aboyer timidement Pauline.

L’infirmière plaça un anneau métallique dans chacun de ses orifices et Line remarqua qu’elle avait maintenant une queue, comme une vraie petite chienne. Son visage sentait encore l’urine mais son excitation était bien trop grande pour qu’elle se sente humiliée. La femme termina en plaçant une cagoule en latex sur la tête de la chienne. Il n’y avait que deux trous, l’un pour sa queue de cheval et l’autre pour sa bouche grande ouverte. Pauline respira donc par la bouche en profitant qu’elle ne soit pas encore obstruée par une bite.
Ce fut au tour des membres du club de baseball de venir s’amuser avec la petite chienne. Ils étaient trois et l’un d’eux semblait dégouté par l’odeur que dégageait l’esclave.

 – Hey Leona ! Nous on voulait se taper une jeune fille, pas une chienne qui sent la pisse ! déclara le garçon qui tenait une batte à la mains.
 – Dans cet état elle peut tout juste nous servir de chiotte, ricana un autre garçon. Bon allez on peut quand même rigoler un peu les gars…

L’es des garçons retira brutalement l’anneau métallique de son cul et appuya la batte contre l’anus de la chienne. L’objet était très gros et en bois, si il voulait vraiment forcer petit trou avec ça, il était évident qu’elle allait crier et réveiller tout le monde dans le lycée.

 – Que l’un de vous la tienne et lui occupe la bouche pendant que je teste quelque-chose, déclara le garçon à la batte avec un sourire sadique.
 – T’en fais pas je m’en occupe ! s’exclama un de ses camarades qui rentra son gland dans la bouche de la chienne et qui commença à pisser.

Satisfait par ce que faisait son ami, le joueur de baseball poussa violemment l’extrémité de la batte contre l’anus de l’esclave. Pauline aurait voulu pousser un cri de douleur mais se retint de son mieux pour avaler l’urine du garçon qui était en face d’elle. Ce n’était pas évident car son nez était recouvert par la cagoule en latex et que par conséquent elle avait énormément de mal à respirer. Le bout de la batte commença à entrer lentement dans le cul de la chienne qui avala un peu d’urine de travers et en expulsa par le nez. Il vallait mieux qu’il finisse vite de faire ses besoins pour la laisser respirer. Être torturée et éttouffée était extrêmement difficile à supporter…
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Leona le mardi 11 octobre 2016, 17:06:23
Désormais plus qu'une chienne Pauline est prise par la bouche et pas son derrière, une batte en bois dure et à l'extrémité large pour combler l'anus et un gland entre les lèvres en guise de bâillon. Le ventre déjà amplement remplie était de nouveau gavé de liquide, généreusement distribué par la verge chaude d'un des deux élèves. qui bouchait par la même occasion son souffle. Pauline avait d'ailleurs rejeté un peu d'urine par le nez en buvant la tasse en criant... mais comme le nez était lui aussi pris au piège ça n'avait fait qu'imbiber la cagoule en latex avec le liquide chaud et odorant.

- Et regarde ça rentre vraiment ah ah !!!

Un coups de batte plus puissant s'enfonça loin en faisant trembler les jambes de Pauline qui était à bout de souffle, sur le point de s'écrouler sur son gros ventre tant elle devait respirer. Le gland sortait donc mais pour mieux entrer de nouveau et faire taire la bruyante jeune fille, qui se fit retirer la batte de base-ball avant de la voir de nouveau bien ancrée en elle ! le nouvel objet de son martyre écartait son cul à outrance mais glisser étonemment bien à cause de sa forme arrondit et qui devenait moins large au fur et à mesure bien que le bout forçait jusqu'à cogner bien au fond de son anus, en laissant son bas ventre plein de liquide rebondir à chaque poussée en avant. Un des coups de batte fut enfoncé avec tellement de hargne que la brunette déjà suffocante perdit son appuie et tomba sur le ventre dans un bruit sourd très stimulant.

Moins pour Pauline qui en convulsait alors que la verge se retira pour la laisser crier... visiblement trop fort puis qu'une lampe torche au loin dans le couloir se fit voir. Un surveillant ou un professeur avait du entendre la scène.

Aidez là à se relever on fonce au gymnase dans l'autre bâtiment.

Après une petite course pour être bien sure de l'avoir semée nous étions tous les 4 dans le grand gymnase, composé de cages de handball, de panier de basket-ball et de matériel scolaire.

- Putain la séance est gâchée maintenant !
- tss on a qu'à se venger, c'est la faute de cette chienne qui a aboyée trop fort !

Sans retirer la cagoule l'une des deux attache Pauline les mains suspendues en l'air, au filet de basket. Les pieds touchaient encore le sol mais Pauline ne voyait rien et ne pouvais pas bouger de toute façon puisque les liens la retenaient sur place.

- Hé tu as déjà jouer à la balle au prisonnier ?

Riant aux éclat le premier élève jette avec violence une balle sur ses cuisses. Comme il devait y en avoir une bonne trentaine dans le panier ils en lancèrent sur la cible qu'était Pauline à tours de rôle comme pour se venger. Ils en avaient plus rien à faire de l'abuser sexuellement pour l'instant et cherchaient juste à lui faire mordre le poussière. Au bout d'une petites dizaines de balles un peu partout une percuta avec plus de violence son bas ventre toujours remplie d'eau, dans ce bruit sourd toujours très lourd qui lui d'ailleurs évacué sans se faire prier une belle flaque d'eau sur le sol.

- Hé bonne idée ça, touchons plutôt son ventre !

La pauvre se retrouva vite avec le bas ventre mitraillée de balle lancé avec force dont plus de la moitié avait réussit à atteindre leurs but. De nombreuses marques rouges décoraient son corps puis soudainement, c'est un ballon en pleine joue qui s'écrasa avec une force terrible qui avait surement dut faire siffler ses oreilles. Sous le choc le bâillon à anneau s'envola sur le sol, libérant la bouche de Pauline.

- Plus de balle ! Bon on va tout ramasser et refaire un tours d'accord ? Et cette fois on veut t'entendre supplier sinon ce sera reparti pour un troisième round ensuite !

Le cauchemar de la pauvre Pauline qui ne pouvaient voir les ballons venir sur elle à l'avance ne faisait que commencer.
Titre: Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]
Posté par: Pauline Catalino le mercredi 12 octobre 2016, 11:07:56
Pauline faillit s’écrouler quand le garçon enfonça la batte dans son anus d’un coup sec. La douleur était insoutenable et la jeune fille aurait crié si elle n’avait pas une verge en bouche et un bâillon en forme d’anneau qui l’empêchait d’articuler normalement. Après s’être amusé à faire de petits va et viens, le garçon décida d’empaler la chienne avec la batte. Il l’enfonça le plus possible en elle d’un coup violent qui éjecta la soumise sur le sol alors que son ventre fit un énorme bruit de liquide que l’on secouait. La verge n’était plus dans sa bouche et l’adolescente put crier de toutes ses forces  alors que la batte était presque entièrement logée dans son cul. Il était difficile de faire plus douloureux que ça. Son cri avait alerté quelqu’un car les garçons l’attrapèrent et partir au pas de course en direction du gymnase. Ils étaient frustrés d’avoir du quitter le couloir ? Tant mieux ! Pauline ne supportait pas ces imbéciles qui la torturait sans raison. Elle ne leur avait rien fait de mal…
Ses bras furent attachés au filet d’un panier de basket et elle devait se tenir sur la pointe des pieds pour ne pas être tout simplement pendue par les mains. Pauline poussa un petit cri quand l’un des garçons lança une balle sur ses cuisses. Les tirs sur la cible vivante s’enchainaient suivi par ses gémissements de douleur. L’un d’eux visa son énorme ventre rempli d’eau, et la violence du coup fit uriner la jeune fille sans qu’elle ne le désire. Elle était encore pleine d’eau et il y avait plusieurs litres à évacuer. À chaque tir qui toucha l’estomac de la jeune fille, de nouveaux jets d’urine se déversèrent sur le sol. Ces porcs devaient trouver drôle de la faire souffrir et pisser en même temps. L’une des balles frappa son visage et la fit recracher le bâillon anneau sur le sol. Line avait mal partout et voulait que sa maîtresse vienne la libérer rapidement.

 – S’il vous plait… J’ai mal… Je n’en peux plus… bredouilla la petite chienne.
 – Mais il nous reste encore près d’une demi-heure avec toi. Il faut bien qu’on s’amuse un peu, non ? questionna le garçon en riant tout en tirant en plein dans le visage de Line. Allez on est sympa ! On te donne le choix. On continue à dégommer ton ventre pour que tu te pisses dessus, ou on t’emmène dans les toilettes du gymnase pour nettoyer les trônes avec ta langue ?
 – Je ne vais pas lécher ça ! s’exclama la lycéenne. Ma maîtresse ne voudrait pas que je fasse ça !
 – Ta maîtresse veut juste récupérer des billets et elle laisserait tout le lycée faire ses besoins dans ta bouche contre une liasse bien épaisse !

Pauline ne savait pas quoi répondre car le garçon avait raison. Elle n’était qu’un objet pour Leona et si elle pouvait l’enrichir, alors elle ne s’en priverait pas. Les trois joueurs de baseball continuèrent de bombarder son ventre pour la faire uriner jusqu’à ce qu’elle n’arrive plus à tenir sur ses jambes et ne tienne debout plus que grâce à ses mains attachées au filet. Quand ils finirent par se lasser alors que le ventre de Line était rouge et douloureux, ils la détachèrent et se dirigèrent dans les toilettes avec elle.

 – J’en ai marre que les chiottes soient dégueulasse ici ! Ils le sont tellement que plus personne ne vient pour nettoyer. Mais toi et ta merveilleuse langue vous allez faire des miracles, n’est ce pas ?
 – Je… non… bredouilla Line alors qu’elle était à genoux devant un chiotte sale et à l’odeur nauséabonde tandis que Leona arriva dans la pièce. Maîtresse ! Je ne veux pas leur obéir, s’il vous plait…
 – Il nous reste dix minutes Leona ! Et je peux rajouter 2000 yens que j’ai volé ce matin, déclara un des garçons en riant.

Pauline attendait en regardant sa maîtresse avec espoir. Il y avait peut-être un autre client à satisfaire. La jeune fille se raccrocha à cette pensée alors que Leona la regardait avec son sourire vicieux habituel.