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« C’est moi qui t’ait ramené à la vie, salope ! Et c’est ainsi que tu me remercies ?!
- Je ne suis pas revenue ici pour être ta pute, j’ai assez donné comme ça de toute mon existence !
- Infâme salope ! On ne me tourne pas le dos impunément ! »
L’Enfer était une dimension à part entière, très vaste, avec de multiples plans astraux différents. Il n’y avait pas qu’un Enfer, il y en avait plusieurs. C’est ainsi que les Grecs parlaient « des » Enfers. Il existait ainsi plusieurs Enfers. Celui qui parlait ainsi à Madelyne s’adressait à elle depuis un Enfer très particulier, « Limbo », un environnement très sauvage, redouté des démons, éloigné des Sept-Cercles. On y trouvait généralement des démons qui avaient fui l’autorité des Grands-Princes, vivant dans cette zone sauvage. Ce démon s’adressait à elle depuis la cheminée de la suite particulière où Madelyne avait provisoirement choisi d’emménager, le temps de se familiariser avec Seikusu.
Il s’appelait N’astirth (http://img110.xooimage.com/files/e/1/4/n-astirh-4f7aa73.jpg), ressemblait à une sorte de grand dragon verdâtre, et disposait de grands pouvoirs. Il pouvait manipuler l’âme des gens pour faire sortir leur noirceur, et disposait, sur Terre, et dans d’autres plans, de fidèles et de cultistes. Quand Madelyne avait été tuée, c’était lui qui avait refaçonné son corps, et avait pu lui permettre de revenir à la vie. N’astirth estimait que Madelyne lui était redevable, et, surtout, il savait que la femme, à l’origine, était le clone de Jean Grye, l’hôte du Phénix, une force cosmique capable de réduire des planètes en poussière. Ce que N’astirth voulait, c’était contrôler Madelyne, et, s’il l’avait renvoyé sur Terre, c’était bien dans l’espoir que sa présence fasse revenir le Phénix, et qu’il dispose de la puissance du Phénix pour renverser les Grands-Princes infernaux, et devenir le nouveau Satan.
N’astirth, autrement dit, était un démon ambitieux et puissant, qui avait fait de Madelyne une sorte de lieutenante. Cependant, la lieutenante se rebellait. Elle refusait de partir sur les traces du Phénix, et voulait au contraire retrouver son créateur, le scientifique fou qui avait décidé de la fabriquer, et qui avait ruiné la vie heureuse qu’elle avait réussi à se faire jadis : Mister Sinistre (http://img22.xooimage.com/files/a/b/2/sinister-a94803.png). De son vrai nom Nathaniel Essex, Sinistre était originaire de l’Angleterre victorienne, où il avait fait partie de tous les scientifiques visionnaires et mégalomanes de l’époque, peu à cheval sur les principes, utilisent les pauvres et les démunis des quartiers populaires de Londres, comme Whitechapel, pour mener des expériences. Il avait fait partie de ces scientifiques expérimentant le gène-X, les mutants, car étant lui-même un mutant. Sa route avait croisé celle du puissant mutant Apocalypse, qui avait amplifié ses pouvoirs, lui donnant la forme grisâtre qu’il avait actuellement.
C’était un homme cruel, impitoyable, qui était aussi intelligent que fourbe et manipulateur. Madelyne ne rêvait que d’une chose : le tuer. Mais il n’y avait, hélas, pas que de lui dont elle devait se méfier. N’astirth devenait un problème de plus en plus préoccupant, car le démon se moquait bien de Sinistre, et voulait qu’elle retrouve le Phénix. Entre eux, les disputes croissaient régulièrement.
Ce soir, elles venaient d’atteindre le point de non-retour.
Madelyne mit fin d’elle-même à la conversation la liant à N’astirth, et, furieux, le démon poussa des rugissements haineux.
« Tu me paieras ça, Madelyne ! »
N’astirth tempête dans son monde, puis entreprit de se calmer, le temps de réfléchir.
« Elle a besoin d’une leçon... »
C’est ainsi que N’astirth se leva, et se rapprocha de plusieurs cristaux situés sur le sol. Dans Limbo, il n’y avait aucun palais à proprement parler, aucune structure, car l’endroit était bien trop dangereux. Tout n’était que soufre, feu, canyons profondes et grottes. C’est justement dans l’une de ces grottes qu’il rejoignit plusieurs sphères, dressées autour d’un complexe sceau magique, et utilisa ce dernier pour pouvoir communiquer avec d’autres démons exilés.
Il se dressa au centre du glyphe, et les sphères s’illuminèrent progressivement, vibrant de magie, des éclairs venant le frapper de part en part, tandis qu’il repéra une silhouette...
C’est ainsi qu’il se projeta, sous forme astrale, vers Seikusu, afin de solliciter l’aide de deux démons : un frère et sa sœur...
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Le monde des mortels était parfois un endroit bien ennuyeux pour les démons lorsqu’ils ne trouvaient pas un moyen de s’amuser à leur guise. Angéline était venu ici pour se documenter sur les humains de la terre, évidemment elle en savait déjà beaucoup sur eux, mais les humains étaient des créatures si étranges qu’ils la surprenaient toujours même après tant d’années d‘étude. Asmodée se fichait bien de connaitre les habitudes des humains, il était plus intéressé par leurs armes, les pistolets et les fusils l’intriguaient au plus haut point, il se demandait comment il était possible de se battre avec seulement ces armes-là, des armes à munitions limitées, nécessitant de savoir viser pour être efficace, il avait bien un revolver dans son arsenal caché sous sa cape, mais il préférait largement ses lames, bien plus rapides et efficaces selon lui.
Le frère et la sœur se trouvaient dans une petite ruelle de Seikusu en train de s’occuper de manière fort plaisante quand une voix littéralement sortie des enfers entra en contact avec eux. L’un des démons des plans inférieurs, N’astirth voulaient leur donner une mission. Il leur demandait d’aller chasser une femme du nom de Madelyn et qui devait se trouver non loin d’eux. La fratrie avait d’abord refusé, car ils n’avaient pas à recevoir d’ordre de personne, pas même de démons aussi puissants que celui avec qui ils communiquaient. Cependant, il réussit à les faire changer d’avis en leur promettant de leur donner ce qu’ils désiraient, la connaissance universelle pour l’une et une force invincible pour l’autre. À peine la communication coupée que les le frère et la sœur se lancèrent à la recherche de leur cible.
Angeline se déplaçait tranquillement dans la ville à la recherche de la femme dont le démon leur avait fait la description. La sœur semblait se déplacer seul, mais comme toujours le frère était sur ses talons, invisible de tous, caché dans l’ombre de sa sœur. La seule chose qui trahissait la présence d’Asmodée était l’ombre d’Angeline qui était bien trop imposante pour une personne aussi fine qu’elle. Mais bien trop peu de monde regardait les ombres des autres ou alors ne voyait pas lorsqu’il y avait une anomalie avec celle-ci et elle comptait bien là-dessus pour surprendre sa proie qui ne devait plus être très loin.
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Les démons ne pouvaient pas sortir si facilement des Enfers… A fortiori ceux qui, comme N’astirth, étaient dans les Limbes. Dans cet endroit, les Portails étaient plus rares, et, même sans ça, en se rendant dans les Plans Intermédiaires, N’astirth ne disposerait pas du soutien des Grands-Princes. Or, il n’avait guère envie que les Anges lui tombent dessus. Sûrement pas pour Madelyne. Il trouva donc un couple de démons, Angéline et Asmodée. Un frère et une sœur, reliés entre eux. Il les connaissait, car il avait entendu parler d’eux. Le fait qu’ils se rendent dans les Plans Intermédiaires en guise de connaissances n’était pas, en soi, constitutif d’une violation du pacte ancestral qui régissait les relations entre les Anges et les Démons. La connaissance étant ce qu’Angéline recherchait, N’astirth lui proposa donc un pacte : son aide pour capturer Madelyne Pryor, en échange d’enseignements.
«
Je suis peut-être exilé dans les Limbes, mais j’ai eu une longue vie. J’étais là, vois-tu, quand les Romains ont pillé et détruit la bibliothèque d’Alexandrie. J’ai sauvé plusieurs des prestigieux livres qui s’y trouvaient. J’ai de nombreux écrits qui pourraient t’intéresser, sur Aristote, sur la magie, la mythologie… Je suis prêt à t’offrir un droit de regard sur ma collection, et même à t’apporter ces livres, si tu me donnes Madelyne. »
Les pactes étaient fréquents entre démons, qui juraient sur leur honneur, mais il était toujours dangereux de négocier avec un démon exilé En effet, dans le cadre d’un démon appartenant à un Cercle, s’il manquait à sa parole, on pouvait toujours en référer à son supérieur En Enfer, manquer à sa parole,
mentirdélibérément, était très mal vu Mais N’astirth, lui, était inféodé S’il mentait, on ne pourrait s’en prendre qu’à soi-même. Et N’astirth, bien entendu, fit ce qu’il savait faire de mieux : il mentit délibérément.
«
Madelyne est une ancienne concubine qui m’a trahi et m’a spolié. Elle m’a volé plusieurs de mes livres. Je veux me venger, et, en échange, tu récupéras les livres qu’elle a prise. »
Le pacte fut scellé, mais N’astirth n’allait pas se reposer
totalement sur un
outsider. Il faisait surtout confiance à Angéline pour débusquer Madelyne sans attirer l’attention de la femme. Pour le reste… Il avait d’autres soutiens.
*
* *
Madelyne, elle, ne resta pas inerte après son entretien avec N’astirth. Elle quitta sa suite, et sortit dans la rue, en enfilant sa tenue très sensuelle (http://img09.deviantart.net/9b36/i/2015/190/d/b/goblin_queen___pask_colors_by_spiderguile-d90k60s.jpg). La
Goblin Queen ressemblait ainsi à un phénomène de foire, aussi surprenante que sensuelle, comme toujours à la recherche de Sinistre. Ses explorations l’amenaient à fouiller du côté de la Toussaint, repaire de la gangrène de la ville. Elle savait que Sinistre avait des agents, des contacts, et qu’il était terré quelque part. Elle se rapprochait donc des gangs pour essayer de le débusquer.
La femme s’avançait ainsi vers un immeuble situé dans la Toussaint, un immeuble un peu délabré, qui était le refuge d’une bande de délinquants et de criminels notoires, travaillant pour un clan yakuza. Alors qu’elle avançait le long de petites ruelles japonaises typiques (https://emmagoestojapan.files.wordpress.com/2012/07/img_3329.jpg), érigées de panneaux publicitaires et de magasins ayant fermé, elle fronça les sourcils en percevant une silhouette qui se rapprochait d’elle.
«
Que… ? »
Elle sentait clairement une forme démoniaque, mais, ne sentant pas l’empreinte de N’astirth, elle décida de laisser la silhouette s’approcher, tous les sens étant néanmoins aux aguets. C’est ainsi qu’elle vit une très belle femme s’approcher, et fronça les sourcils.
«
Qui es-tu, toi ? »
-
S’il y avait bien une chose que les deux démons détestaient, c’était de recevoir des ordres, ils arpentaient les différents mondes librement afin de réaliser leurs objectifs et jamais ils ne s’étaient pliés à la volonté de démon plus puissant sans avoir de contrepartie en retour. Mais acquérir une telle source de connaissance pour une simple chasse à l’homme ne pouvait pas se refuser. On lui avait indiqué où sa proie se situait et elle était donc allée à sa rencontre, une ruelle était un endroit tout à fait déplaisant pour faire une rencontre, tout le monde le savait alors si en plus cette rencontre était avec deux démons qui en avaient après vous, ça ne pouvait que mal finir.
Angeline marchait tranquillement les yeux rivés dans la direction où sa proie était censée arriver, juste en face d’elle. Elle décida d’avancer aussi, ce serait bien trop suspect si elle restait là, plantée au milieu de la ruelle en attendant sa cible. Cette Madelyn arriva peu de temps après et à juger le physique c’était bien elle que le démon voulait.
Cependant, la réaction de sa cible lui fit comprendre qu’elle avait senti qu’elle n’était pas un être lambda, elle lui avait demandé qui elle était. Angeline sourit et arrivé à sa hauteur lui décrocha un violent coup de poing dans l’estomac, un coup de poing qui n’était pas que le sien d’ailleurs pour accueillir Madelyne :
« Je suis celle qu’on envoie pour récupérer ce que tu as volé. Et il serait préférable pour toi d’être coopérative si tu ne veux pas trop souffrir »
Elle sourit en portant une main à sa ceinture où se trouvaient deux dagues.
-
Madelyne savait que des démons comme N’astirth pouvaient se montrer irascibles et cruels, mais elle ne pensait pas que leur altercation l’aurait énervée au point qu’il engage si rapidement des mercenaires pour la tuer. La femme face à elle l’accueillit par un coup de poing, témoignant de sa puissance surnaturelle, car le coup repoussa Madelyne sur plusieurs mètres, soulevant sa robe. Elle écarta les jambes, et posa sa main sur le sol, comme pour ralentir sa vitesse, et fronça lentement les sourcils, mécontente. Elle ne voyait pas qui, à part N’astirth, pouvait lui envoyer une tueuse. Ce ne serait sûrement pas Sinistre, il ne fonctionnait pas comme ça.
« Ce que j’ai volé ? Que sont-ce encore ces accusations grotesques ? Si tu t’en prends à moi, jeune femme, il faudra le faire avec autre chose que tes petits doigts. »
Les yeux de Madelyne s’illuminèrent alors. Étant le clone de Jean Grey, elle disposait des pouvoirs redoutables de la mutante, à savoir, outre la télépathie, la télékinésie, et les attaques psioniques. Elle tendit donc la main, et l’un des multiples panneaux publicitaires fixés tout autour de la ruelle se détacha rapidement, et frappa son attaquant sur la tête. Madelyne tendit alors la main, et une onde de choc en jaillit, remontant le long de la ruelle, pour frapper la démone, l’envoyant s’étaler sur le sol.
Pendant ce temps, Madelyne invoqua ses mignons, et, le long des murs, plusieurs créatures verdâtres et longues, avec des yeux jaunâtres, des oreilles pointues, et des queues, apparurent, grognant dangereusement. Les gobelins de Madelyne étaient toujours là pour l’aider, et se rapprochaient de l’attaquante. Un sourire malicieux ornait alors les lèvres de Madelyne.
« Viens, petite femme, viens… La Goblin Queen a envie de jouer avec toi ! »
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Asmodée avait pu contrer la chute du panneau publicitaire, mais il ne pouvait rien faire contre l’onde de choc qui le projeta lui et sa sœur quelque mètre en arrière. Angeline se releva en s’époussetant, elle aimait les défis, mais si cela se gâtait, elle partirait avant d’être réellement blessée, elle n‘allait pas mettre sa vie en danger pour quelqu’un d’autre, mais cela n’allait pas l’empêcher de jouer avec la femme qu’elle avait en face d’elle. Angeline regardait donc des gobelins se faire invoque par celle qui se disait être la reine des gobelins, cela ne lui faisait pas peur, elle avait elle aussi un frère qui pouvait se dédoubler et qui en plus était invisible tant qu’il le voulait.
L’invisibilité est un pouvoir qui revêt de nombreuses formes et celle qu’utilisait Asmodée était une des plus puissantes. Le démon existait invisible tant qu’il voulait, bouger ne le rendait pas visible, se battre ne le rendait pas visible non plus, la seule condition était qu’il se situe dans l’ombre de quelque chose pour demeurer invisible, que ce soit l’ombre de sa sœur, l’ombre des toits ou celles des gobelins invoqués par l’autre femme. Angeline souriait donc pendant que les gobelins s’approchaient d’elle :
« Regarde dons ce qui arrive à tes amis »
Elle claqua des doigts et son ombre se déforma, signe qu’Asmodée bougeait et les lames de son frère découpèrent tous les gobelins un à un avant de revenir près de sa sœur en un temps record :
« Ne sois pas idiote et rend toi, je n’ai guère envie de m’épuiser à combattre pour quelqu’un d’autre que moi-même, aussi alléchante soit la récompense. »
-
Madelyne comprit alors l’origine du trouble qu’elle ressentait au sujet de cette femme. Il ne fallait pas oublier que, étant télépathe, l’invisibilité d’un corps ne l’empêchait pas de ressentir son esprit.
*Bien sûr, quelle idiote, ils sont deux !*
Une sœur et un frère. Ils étaient probablement liés ensemble, par une sorte de relation magique complexe, ce qui expliquait davantage pourquoi, sur le coup, la Goblin Queen n’avait rien remarqué. En tout cas, elle sentit clairement l’aura du frère d’Angéline quand des espèces de lames d’air jaillirent, tranchant les gobelins, les faisant exploser, repoussant sans difficulté la première attaque de Madelyne.
Guère perturbée, la mutante esquissa un léger sourire, et s’avança un peu.
« Oh, je vois que la frêle jeune fille que tu es dispose d’un protecteur… Mais ne te méprends pas, ces créatures ne sont pas mes amis, ce sont mes esclaves. Et, si tu crois que je n’ai qu’eux en stock, ma chérie, tu me sous-estimes grandement. »
Madelyne se concentra alors davantage, et l’air se mit à vibrer autour d’elle. Il était important de préciser que la belle rousse maîtrisait la magie noire, et des arcs électriques crépitèrent au bout de ses doigts. Par la suite, de violents éclairs se mirent à fuser, et remontèrent la ruelle, filant tout droit vers la jeune femme.
Comme elle s’y attendait, son frère para les attaques, qui rebondirent principalement, heurtant les parois, puis Madelyne disparut alors, se volatilisant, pour atterrir dans le dos du couple. Des tentacules noirâtres jaillirent alors de l’ombre, Madelyne utilisant la magie noire à outrance, pour tenter de retenir le puissant frère d’Angéline.
« J’ignore pourquoi tu t’es décidée à accomplir les sales besognes de N’astirth, ma chérie, mais sache qu’on ne me défie pas impunément ! »
-
Tout cela l’ennuyait déjà, on ne pouvait pas dire qu’Angéline aime se battre, elle laissait ça à son frère la plupart du temps, mais il ne fallait pas la sous-estimé, Asmodée avait la force, mais elle avait l’esprit et c’était là son terrain de jeu. Si le frère et la sœur n’avaient jamais dû avoir recours à leur forme démoniaque en dehors des enfers, ce n’était pas pour rien, c’est qu’ils étaient assez puissants pour ne pas en avoir besoin.
Leur adversaire du jour était plutôt intéressante, elle utilisait des esclaves pour se battre et aussi de la magie, mais tous ses coups avaient été parés par Asmodée. Elle était ensuite passée au niveau supérieur en voulant utiliser la magie noire contre eux et en particulier contre Asmodée, mais ce serait loin de suffire. L’ombre d’Angéline se déforma de nouveau pour indiquer qu’Asmodée allait apparaitre, après tout cette Madelyn avait remarqué sa présence alors cela ne servait plus à rien qu’il reste caché. Les ombres se regroupèrent pour faire apparaitre un être massif encapuchonné de la tête au pied et dont les seuls traits visibles étaient ses dents acérées :
« Je te présente mon frère, Asmodée. Et malheureusement pour toi, il n’a rien à envier à son illustre homonyme. »
D’un geste extrêmement rapide, le démon décocha un violent coup de paume au niveau du poitrail de son opposante pour la faire valser en arrière de quelques mètres :
« Je ne sais pas quelles sont tes relations avec N’astirth ni ce qui pourrait pousser une concubine à trahir un tel démon. Et je me fiche bien que tu sortes de notre affrontement, vivante ou morte. Tant que j’ai ce qu’on m’a promis, je me fiche de qui me le donne. Je ne suis liée à personne et ne dois fidélité à personne non plus. »
Elle sourit doucement pendant qu’elle laissait son frère créer des doubles d’ombre de lui-même, après tout c’était vrai, elle se fichait bien que Madelyn vive ou meurt, rien ne la liait au démon qui l’avait engagé et elle n’avait accepté que parce que la récompense était alléchante.
-
Les tentacules noirs se brisèrent en heurtant Asmodée. Le frère d’Angéline venait d’apparaître, une sorte de grand échalas recouvert d’un sombre manteau, qui ne laissait transparaître que des dents acérées. Une force terrifiante s’échappait de lui. Madelyne, bien malgré elle, en ressentit un frisson d’excitation, une dose d’adrénaline qui se mit à monter en elle. Comment N’astirth avait bien pu faire pour obtenir l’aide d’un couple pareil, la Goblin Queen n’en avait aucune idée, mais elle était bien décidée à ne pas se laisser faire. Néanmoins, avant de pouvoir faire quoi que ce soit, elle vit Asmodée fondre sur elle, et eut tout juste le temps de comprimer l’air autour de son estomac, pour atténuer un peu l’attaque… Autrement, le coup l’aurait sans doute tué, Madelyne ayant, après tout, une constitution humaine.
Elle s’envola sur plusieurs mètres, avant de rouler sur le sol, et se redressa lentement, en grommelant, du sang s’échappant de ses lèvres. Angéline se mit alors à la haranguer, et Madelyne sentit la colère monter en s’entendant traiter de « concubine »… Or, chez elle, la colère était souvent très dangereuse, car elle était le récipiendaire de la Force Phénix. Et, même si, suite à sa mort, la force Phénix l’avait quittée, il en restait néanmoins un substrat.
Tandis qu’elle se relevait, des ondes vibrèrent autour d’elle, signe de sa puissance télépathique, et, quand elle regarda le frère et la sœur, ils purent voir que ses yeux étaient devenus translucides. Elle leva alors les mains, et des fissures filèrent le long du sol.
« Moi, la concubine de ce démon ? Ha ! Non contents de m’attaquer sans raison, voilà en plus que vous m’insultez ! »
Des doubles d’Asmodée venaient d’apparaître, et s’élancèrent vers elle, lançant, à leur tour, des liens d’ombre, ainsi que des attaques magiques. Madelyne créa un bouclier psychique, qui amena les attaques à se heurter dessus, puis laissa le bouclier éclater en une onde de choc, tout en en s’attaquant aux objets situés dans la ruelle… Comme la canalisation située dessous. Elle se concentra un peu, et fit éclater la vanne retenant la pression… Ce qui amena une bouche d’égout à s’envoler à côté d’Angéline, tout en répandant de l’eau et de la fumée partout autour des deux démons.
Immédiatement, Madelyne fusa vers la femme, et l’attrapa à la gorge, puis la plaqua contre un mur, enfonçant ses griffes dans sa chair. Elle sentit rapidement Asmodée réagir, et tendit une main vers lui.
« Tu es plus fort que moi, démon, je le sens… Mais elle, si j’enfonce mes griffes dans sa belle gorge, elle meurt. »
Madleyne ne plaisantait pas, et un peu de sang glissait déjà le long des ongles de la femme.
« Maintenant, vous allez me dire pourquoi vous vous en prenez à moi… Depuis quand faites-vous les sales besognes de N’astirth, tous les deux ? J’ignorais qu’il avait de nouveaux larbins, ce vieux salopard… »
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Au cours de leur vie, les deux démons avaient rencontré d’innombrables ennemis qui avaient tous fait la même erreur : sous-estimer les pouvoirs de la succube. Il était si facile de penser que si Asmodée était aussi fort c’était pour pallier à la faiblesse de sa sœur que seul le colossal incube savait se battre et que la belle demoiselle était une cible sans défense. Il est vrai que la carrure d’Angeline la faisait passer pour une frêle jeune femme se cachant derrière son frère pour se battre. Mais il ne fallait pas oublier qu’Angeline était tout de même une démone, pas des plus puissantes peut être, mais elle n’était pas à sous-estimer, elle était bien plus puissante que la plupart des démons même sans son frère. Et tant qu’Asmodée était près d’elle, sa force en était démultipliée, leur lien étant si puissant qu’ils partageaient la même force et les mêmes pouvoirs lorsqu’ils étaient l’un près de l’autre.
Les deux démons regardaient Madelyn déchainer ses pouvoirs sans bouger, ils avaient vu bien plus dangereux et Angeline de bougea pas lorsqu’elle lui sauta dessus pour l’attraper et la plaquer contre le mur. Elle la regardait tranquillement en la fixant dans les yeux, même pour une femme c’était dangereux de se trouver aussi proche d’une succube. Angeline s’amusa même à bouger la tête pour embrasser les lèvres de la femme qui la tenait avant de répondre :
« Larbins ? Non, nous ne recevons d’ordre de personnes. Disons, que tout service est monnayable et il suffit de mettre le bon prix pour nous engager. Ton ami nous a demandé de retrouver son ancienne concubine l’ayant spolié en échange de quoi il me permettrait d’approfondir mes connaissances du monde. »
Elle parlait tranquillement comme si de rien n’était et ne faisant même pas attention à la main qui était sur sa gorge, cela ne la gênait même pas et elle se mit même à sourire avant de continuer :
« Maintenant que j’ai répondu peux-tu retirer ta main de mon cou ? Ce serait dommage que tu perdes un bras en essayant de m’étouffer. »
Elle ne bluffait pas et son regard, toujours plongé dans celui de Madelyne lui montrait bien qu’elle n’était pas la seule à posséder certaines capacités et qu’elle n’avait pas besoin de son frère pour se libérer de son emprise.
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Si proche de la femme, Madelyne put sentir des sortes d’émanations magiques s’échapper de ses lèvres. Des vagues roses qui s’insinuèrent dans son esprit, et la firent fermer les yeux pendant quelques instants.
*Succube...*
La Goblin Queen esquissa un léger sourire, en sentant cette vague rose. Heureusement, elle était une puissante télépathe, et put donc retenir cette vague... Ce qui, au demeurant, ne l’empêcha pas d’être presque tentée par l’idée d’embrasser cette femme. Néanmoins, le fait qu’Angéline et Asmodée travaillent pour N’astirth suffisait à tuer dans l’œuf toute tentative de séduction. Maintenant cette femme, Angéline lui expliqua alors que N’astirth les avait embauchés parce qu’elle lui avait volé quelque chose. Cette explication renforça la colère de Madelyne.
« Quoi ?! »
Ce sale vaurien..
*Comment peut-il oser... ? MOI, m’accuser de... M’accuser de l’avoir volée ?!*
La femme relâcha alors Angéline, tandis que, autour d’elle, une sorte d’halo enflammé entourait son corps. La température, de fait, était en train de graduellement monter. Mais, outre cela, les deux démons puissent sentir une terrible énergie qui semblait être en train de croître dans le corps de Madelyne, faisant même vibrer l’air. Puis la femme ferma les yeux, et cette énergie se calma alors. Elle regarda ensuite Angéline, tout en sachant qu’Asmodée, dans son dos, était prêt à l’attaquer.
« C’est lui le voleur. Il m’a volé mon bébé. N’astirth s’est joué de vous, comme il l’a toujours fait, et comme il le fera toujours. »
Elle secoua la tête, en songeant à son bébé... Et, malgré la noirceur de son âme, une vague de tristesse la saisit brièvement. Nate... Son petit Nate, enlevé par ceux qui avaient toujours voulu se servir d’elle, qui avaient toujours vu en elle un faire-valoir, un objet à utiliser, que ce soit pour servir de réceptacle à la force Phénix, ou d’amante en remplacement de Jean Grey. Nathan était la seule chose que Madelyne puisse prétendre être fière, et N’astirth lui avait volé son bébé, aidé par Sinistre, qui avait amené son fils à fuir dans le temps.
Madelyne rouvrit alors les yeux.
« Peu importe ce que N’astirth t’a dit, tout ce qu’il sait faire, c’est prendre, et voler... Donner est un concept qui lui est inconnu. »
Penser à son bébé avait visiblement ému Madelyne, qui tourna la tête, et s’écarta du couple.
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Asmodée était resté là, immobile à les regarder complètement stoïque comme s’il ne bougeait que lorsqu’il recevait des ordres de sa sœur, c’était un démon assez étrange, mais on se faisait vite à son caractère peu bavard et peu démonstratif, même lorsqu’il se battait il ne faisait pas dans le spectacle, il détruisait ses adversaires le plus vite possible. S’il n’agissait pas, c’est qu’il savait que sa sœur ne risquait rien, il savait mieux que personne de quoi elle était vraiment capable et même si cela se gâtait, il était assez rapide pour intervenir en un éclair.
Angeline souriait lorsque Madelyne la lâcha et la regarda réagir et l’écouta parler. Vu sa réaction, ce qu’elle devait dire pouvait être exact, mais la succube n’était pas vraiment du genre à faire confiance alors elle passa une main dans son dos pour prendre un instrument bien étrange qu’elle mettait à sa ceinture, une baguette à la tête en forme de cercle munie de pointe. Ce n’était pas une arme, mais un puissant artefact qu’elle avait récupéré pour aller plus vite dans sa soif de connaissance. Elle l’utilisait très peu, car elle préférait apprendre d’elle-même, mais parfois, il était utile d’aller s’approprier l’esprit des autres. Et chose fabuleuse, l’artefact était si puissant que même le plus grand des télépathes ne pouvait contrer son pouvoir d’extraction du savoir. Elle s’approcha de Madelyne qui s’était un peu écarté après avoir parlé de ce qui lui était arrivé:
« Bien, il n’y a qu’un moyen de savoir si ce que tu dis est vrai ou si toi aussi tu essayes de nous embobiner. Ça risque de piquer un peu »
La démone brandit sa baguette et la pointe supérieure toucha le crâne de Madelyn, Angeline avait appris à maitriser les pouvoirs de cet objet et elle savait comment faire ressortir ce qu’elle voulait sans endommager la psyché de l’autre. Elle revivait les souvenirs de Madelyn en même temps qu’elle, ne s’intéressant qu’à ceux impliquant N’astirth. Elle avait dit juste et Angeline mit fin à cette liaison psychique et tendit l’objet à son frère qui le rangea dans sa cape :
« Je te crois, nous n’avons donc plus rien à faire ici… pas contre toi du moins. Cependant, nous n’aimons pas ne pas être payés. Et encore moins devoir dépenser de l’énergie qui aurait pu être utilisée à quelque chose de bien plus productif »
Si le démon qui les avaient engagés pour rien n’était pas exilé dans les plans les bas de l’enfer, elle serait sans doute allée le détruire elle-même, mais ce n’était pas envisageable. Il fallait donc qu’ils trouvent un moyen de dédommagement.
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Madelyne n’avait plus envie de se battre. Ce combat était stupide, uniquement motivé par la colère de N’astirth, furieux de voir son petit jouet lui échapper. La Goblin Queen s’écarta donc, avant de sentir Angéline se rapprocher... Et, quand elle tourna la tête, elle vit une baguette la heurter au front.
« Ah ! »
Des images affluèrent alors dans son esprit, la déstabilisant. Et, si Angéline vit certaines images de son passé, Madelyne, elle, par ses fonctions de télépathe, perçut également quelques images... Elle vit ainsi la femme en train de faire l’amour, soupirant et gémissant, dans des images floues et intenses, des souvenirs de plaisirs sexuels. Des souvenirs largement préférables à ceux de son fils, Nathan Summers. Nate, qui avait été séparée d’elle à cause des Maraudeurs de Mister Sinistre, avant d’être manipulée par N’astirh et les démons des Limbes pour qu’elle sacrifie son propre enfant. Nate était par la suite devenu un instrument de lutte entre Sinistre et son ancien mentor, Apocalypse, et le puissant mutant avait infesté Nathan par un virus techno-organique. Il avait été sauvé par les Askani, une peuplade venant du futur, et, depuis lors, Nathan était devenu un voyageur temporel, connu sous le surnom de « Cable ». Et elle, Madelyne, avait tout simplement perdu son enfant. Elle avait été jusqu’à tenter de le tuer dans un accès de folie, sous l’influence de S’ym et de N’astirth.
Plus jamais les démons ne la manipuleraient, plus jamais ! Les images disparurent rapidement, mais Madelyne, curieusement, s’était adoucie... Adoucie en voyant Angéline faire l’amour, et en comprenant rapidement à quoi elle faisait allusion en lui indiquant qu’elle voulait un paiement pour son labeur.
« Hum... C’est typiquement démoniaque, ça. Tu m’attaques, et c’est à moi de me sentir redevable ? »
Madelyne se contenta d’un léger sourire moqueur, amusé, et se rapprocha alors de la femme, venant alors caresser l’une de ses joues.
« Ceci étant dit... Je pense avoir un moyen de nous faire oublier ce moment... »
De la joue, sa main fila sur le menton de la femme, le saisissant entre ses doigts, et ses seins se heurtèrent à ceux de la femme, tandis que le dos d’Angéline heurtait le mur. La femme rousse se rapprocha alors davantage, et l’embrassa doucement. Un tendre et bref baiser, qui resta très court, car elle le rompit alors, en s’écartant.
« Mais pas dans cette ruelle minable... Retrouve-moi au Grand Hotel, Angéline. Je suis dans la suite Kōgon. »
Madelyne s’envola alors, et lui sourit à nouveau.
Pour deux belles beautés, une suite royale, c’était tout de même un minimum... Elle fila alors, rejoignant son hôtel, en espérant bien qu’Angéline viendrait la suivre.
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L’objet était puissant et s’il permettait de créer un lien direct entre l’esprit de l’utilisateur et de celui de la personne se faisant toucher par la pointe, le lien fonctionnait dans les deux sens. La « victime » pouvait, s’il était suffisamment puissant voir certaines images provenant de l’esprit de celui utilisant le sceptre, le contrôle mental était quant à lui impossible, pour cela il fallait se trouver du bon côté du manche, mais c’était tout de même un objet à utiliser avec précaution.
Madelyne semblait s’être calmée après le contact de l’objet, sans doute avait-elle eu accès à des images relaxantes, mais Angeline ne savait pas lesquelles et elle s’en fichait un peu. La démone sourit à la remarque de l’humaine concernant le raisonnement purement démoniaque du fait que c’était le premier à attaquer qui devait être dédommagé. Le couple n’aimait pas se déplacer pour rien alors qu’ils auraient pu faire des choses bien plus intéressantes et rentables.
La demoiselle fût cependant surprise lorsque Madelyne lui caressa la joue jusqu’au menton et se pressa contre elle pour l’embrasser brièvement, en déclarant avoir trouvé un moyen d’oublier ce fâcheux incident. La nature de ce moyen ne faisait aucun doute et cela faisait sourire Angeline qui n’avait même pas pensé à ça sur le coup, mais elle n’allait pas refuser, c’était une succube après tout et la succube qui refuserait une telle proposition ne devait pas encore avoir été créer. Lorsque Madelyne s’en alla, Asmodée retourna se dissimule dans l’ombre de sa sœur, il ne fallait pas l’oublier, l’incube et ses doubles pouvaient se montrer très plaisant.
Le frère et la sœur se rendirent donc au dît hôtel et Angeline demanda qu’on la mène jusqu’à la suite que Madelyn lui avait indiquée. Ne frappant pas à la porte, elle entra directement dans la suite et Asmodée réapparut lorsqu’elle se referma, l’humaine était au courant de sa présence auprès de sa sœur il n’avait donc aucun intérêt à rester dissimuler.
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Grâce à ses pouvoirs télépathiques, Madelyne n’avait eu aucune difficulté pour obtenir la plus grande suite de ce riche et prestigieux hôtel. On disait que cette suite avait abrité le général MacArthur quand les États-Unis avaient occupé le Japon, après la Seconde Guerre Mondiale. Que ce soit vrai ou non, la suite était très agréable. Elle comprenait plusieurs pièces, un grand balcon, un jacuzzi, une chambre avec un immense lit et un écran plat géant, et d’autres pièces. Madelyne n’aurait jamais eu les moyens de se payer cette suite, qui, pourtant, était encore bien loin des chambres extravagantes qu’on trouvait à Dubaï. Cette suite était grande, très agréable, très confortable, et, régulièrement, Madelyne y faisait monter des prostituées. Le Grand Hotel appartenait à un clan yakuza, et il était de coutume que l’hôtel offre à ses clients des prestations spéciales.
Quand Madelyne était retournée à l’hôtel, on l’avait à nouveau accueilli comme une Reine, mais elle n’avait demandé, cette fois, aucune fille. Au lieu de ça, elle était directement montée dans sa suite, et avait attendu, un brin fébrile. Angéline et Asmodée étaient des démons de Luxure, voilà ce que la Goblin Queen avait ressenti quand Angéline avait utilisé son bâton sur elle. Ils n’avaient rien à voir avec N’astirth ou S’ym, mais, pour autant, elle comptait bien, par la suite, s’occuper plus sérieusement de N’astirth. En envoyant sur elle ce couple incestueux, N’astirth avait clairement montré à Madelyne qu’il entendait récupérer ses Gobelins.
*Sans doute sa position est-elle en train de se précariser…*
Dans tous les cas, Madelyne n’avait pas peur de lui. Elle dut attendre un peu, méditant silencieusement, dans sa chambre, quand la porte s’ouvrit sans crier gare.
Elle releva la tête en voyant Angéline entrer. Une cheminée crépitait dans un coin, et Madelyne leur parla à distance.
« Hum… Tu n’as pas traîné… Enfin… Vous n’avez pas traîné, plutôt. »
La femme était cruelle et dure, mais elle pouvait aussi se montrer sensuelle et câline. Cependant, elle n’était pas face à Angéline et Asmodée. Sa voix résonna depuis une pièce à côté, et, pour donner à l’ensemble un ton un peu plus romantique, Madelyne avait répandu, avec sa magie, des pétales de rose sur le sol, formant un chemin menant vers sa chambre. Il n’y avait qu’à le suivre pour la rejoindre.
Elle était là, assise sur le rebord du lit, jambes élégamment croisées, et leur fit un sourire des plus ravageurs.
« Quand tu m’as touché avec ton bâton, j’ai vu avec qui tu aimais faire l’amour, Angéline… Alors, j’espère que votre duo est du genre ouvert, car il y a en moi un feu qui, continuellement, bouillonne et gronde… Et je compte sur vous deux pour le tarir. »
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Un couple composé d’une succube et d’un incube, voilà ce qui pouvait potentiellement faire d’eux les démons les plus puissants des plans inférieurs, Angeline devenait de plus ne plus puissante en s’abreuvant du plaisir des hommes tandis qu’Asmodée faisait de même avec les femmes, leur relation incestueuse leur permettait donc d’augmenter leur puissance de manière perpétuelle et de manière potentiellement infinie. Cependant c’était le fait que c’était potentiellement et non pas réellement le cas, les créateurs avaient été conscients de cette possibilité et donc les relations entre incube et succube ne leur accordaient pas autant de pouvoir qu’une relation « normale », ça leur en accordait, mais très peu. Alors pour palier à cela, le couple de démons s’était fait spécialiste des lieux de débauche comme les clubs libertins, échangiste ou encore d’orgie, le fait qu’Asmodée puisse se dédoubler lui permettait de satisfaire plusieurs partenaires en même temps et donc d’absorber leur énergie en plus grande quantité. Madelyn ne serait sans doute pas déçu d’eux.
D’ailleurs Angeline avait souri lorsqu’elle était entrée dans la suite où logeait l’humaine, leur venue avait été préparée et elle avait donc suivi le chemin de pétale jusqu’à rejoindre Madelyn qui leur avait parlé. À en croire ses dires, elle était du genre plutôt gourmande et cela n’était pas pour déplaire aux deux démons, ils feraient de leur possible pour la combler. Angeline se place devant Madelyne en souriant :
« Tu vas être gâtée ma chérie, une succube et un incube rien que pour toi. Et je pense que tu changeras d’avis sur l’une des compétences de mon frère que tu as pu apercevoir dans la ruelle. »
Elle e tourna vers Asmodée en lui souriant, celui-ci soupira longuement, comprenant très bien ce qu’elle voulait, il n’aimait pas qu’elle l’utilise pour une simple démonstration qui au final ne servirait pas totalement dans l’action ou alors c’était que Madelyne avait vraiment, mais vraiment très faim. Asmodée créa donc des doubles de lui, non pas un ni deux mais assez pour remplir la chambre complètement, il n’y avait même plu la place pour bouger et la chambre était très grande. Angeline sourit en regardant la femme :
« C’est de la triche, mais que dirais-tu de battre le record du plus grand gangbang de ta planète actuellement détenu par Lisa Sparxxx ? Asmodée peut se dédoubler en largement plus de neuf cent dix-neuf fois et sans s’épuiser. »
Le principal concerné soupira de nouveau, il était en effet capable de ce qu’avait dit sa sœur, mais elle n’avait pas besoin de le faire se dédoubler tout de suite en autant de fois, il aurait pu se dédoubler en temps voulu, mais Angeline aimait faire forte impression alors il ne pouvait décemment pas lui refuser ce plaisir.
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La belle Angéline était visiblement, dans leur couple, le pôle actif. Elle était celle qui se manifestait, et celle qui parlait. Asmodée était-il muet ? Ou ne voyait-il pas l’intérêt de parler ? Madelyne trouvait cela amusant. Asmodée était plus impressionnant qu’Angéline, mais, et même malgré cet état de faut, il semblait bien que ce soit elle qui domine. Ceci étant dit, ce n’était pas si surprenant que ça. Dans le Cercle de la Luxure, Madelyne avait pu observer que les succubes étaient plus puissantes que les incubes. En effet, la plupart des personnes invoquant les succubes étaient des hommes, et moins de femmes invoquaient les incubes. Dès lors, les succubes avaient plus largement l’occasion de se nourrir en dévorant les âmes des individus faisant appel à leurs services, et étaient donc plus puissantes que les incubes. Comme quoi, il fallait se rendre en Enfer pour retrouver une inversion des sexes.
Pour le reste, Madelyne allait, effectivement, être gâtée, et un fin sourire étira ses lèvres, a fortiori quand Angéline proposa de battre le record mondial. Asmodée pouvait effectivement se dédoubler.
« J’ai participé à d’intenses orgies dans les Limbes, ma chérie. J’ai couché avec des centaines de démons comme Asmodée... Mais j’ai toujours eu une préférence initiale pour les femmes comme toi. »
Elle lui sourit alors, relevant l’une de ses magnifiques jambes, caressant le corps d’Angéline, puis se redressa pour de bon, s’extirpant du lit, pour caresser l’une des joues de la femme. Avec sa tenue noire courte en cuir, et sa longue chevelure de feu, Madelyne était une vraie beauté infernale, mélange d’élégance et de sensualité, comme on se devait de l’être en Enfer. Tout en approchant ses lèvres de la succube, elle laissa quelques images s’échapper de son esprit pour les faire rentrer dans son esprit. Des images intenses, où on pouvait la voir dans des palais infernaux, couchant avec de multiples démons, comme ses propres gobelins, oud ‘autres créatures massives.
Les images durèrent quelques secondes, juste pour émoustiller la femme, et elle y mit fin, tout en embrassant Angéline. Un baiser nettement plus appuyé que celui qui avait été fait dans la ruelle. Sa main s’agrippa à la nuque de la femme, son souffle chaud rebondit contre celui d’Angéline, puis elle alla l’embrasser, fourrant sa bouche contre la sienne. Sa langue alla jouer avec celle de la femme, et, pendant de longues minutes, les deux femmes s’embrassèrent, tendrement, passionnément. La langue de Madelyne jouait avec celle d’Angéline, la titillant, s’enroulant autour. Une main sur sa nuque, l’autre était dans le creux du dos de la femme, mais se déplaça bien rapidement, le long de sa tenue moulante et sombre, pour caresser ses belles fesses.
« J’accepte ta proposition, finit-elle ensuite par glisser, mais Lisa Sparxxx n’a couché qu’avec des hommes, elle... Moi, c’est un Incube, alors, pour équilibrer les choses, ce n’est que justice que, toi aussi, tu y contribues. Et puis, n’en déplaise à ton frère, coucher mille fois avec lui-même risque d’être... Un brin répétitif. »
Alors, en souriant, elle se concentra un peu, et des bruits se firent entendre dans la pièce principale, puis des Gobelins approchèrent. Ceux de Madelyne, de gros démons verdâtres avec de longues langues violettes.
« Leur apparence peut être repoussante... Mais, et tu peux me croire, ce sont de terribles amants, bien plus intenses au lit que les humains... J’en ai fait l’expérience moi-même. »
La main de Madelyne alla caresser la tête de l’un d’entre eux. Le sexe était aussi une manière de s’assurer de leur fidélité, outre ses pouvoirs télépathiques. Tout en caressant son gobelin, elle se retourna alors vers Angéline, en lui faisant un ultime sourire :
« Alors, qu’en dis-tu, ma chérie ? »
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Le frère et la sœur n’avaient pas de position de dominant ou de dominé dans leur couple, c’était chacun à tour de rôle. Cependant il était vrai qu’Angeline était celle qui prenait l’initiative de la parole, Asmodée n’aimait pas trop parler, il ne le faisait que lorsqu’il s’adressait à sa sœur ou à la femme avec qui il copulait. Sa voix était porteuse d’une partie de son pouvoir de séduction, en effet a voix n’était pas entendue de la même manière pas les autres, elle se calquait sur ce qui excitait les personnes qui l’écoutaient. Pour Angeline, Asmodée parlait dans un long soupir à peine audible, mais si Madelyne aimait les voix grave et caverneuse, elle l’entendrait parler ainsi ou si elle aimait les voix aigües de fillette… elle l’entendrait parler de cette manière, ce qui pouvait surprendre en voyant sa carrure.
Angeline de son côté s’était totalement laissé faire lorsque Madelyne était venu la caresser et l’embrasser, répondant avec délicatesse et passion, elle aimait le corps des femmes, mais sa nature de mangeuse d’hommes lui faisait préférer les hommes, mais elle allait bien évidement s’occuper de la jolie rousse, mais plus tard, elle allait se nourrir d’abord et ensuite elle viendrait jouer avec l’humaine. Elle regarda donc les gobelins que cette dernière avait appelés en se léchant les lèvres avant de regarder de nouveau Madelyn :
« J’en dis que lorsque j’aurai vidé tes gobelins, j’aurai accumulé assez d’énergie, pour te faire l’amour comme jamais une seule femme te l’aura fait. Tu ne m’en veux pas si certains se retrouvent totalement vides, j’avoue que parfois je ne sais pas me retenir et j’absorbe un peu trop de pouvoir ce qui peut provoquer la mort de mes partenaires »
Angeline se recula de Madelyn et commença à utiliser ses pouvoirs, le même parfum de roses qu’avait senti l’humaine dans la ruelle s’échappa de son corps pour aller exciter toutes les personnes se trouvant dans la suite, leur faisant avoir une érection immédiate et bien dure. En souriant, elle alla se placer au milieu de tous les gobelins en souriant et posant ses mains sur les membres de deux gobelins et commençait à les masturber tranquillement.
De son côté Asmodée et ses doubles avaient retiré la partie de leur cape recouvrant leur corps, se retrouvant totalement nus avec seulement la capuche pour dissimuler leur visage. Ce qu’on pouvait dire c’était que le démon était encore plus impressionnant sans sa cape, un corps musculeux parfaitement sculpté dans les moindres recoins prouvant que la force phénoménale dont il avait fait preuve dans la ruelle n’était pas la manifestation d’un pouvoir démoniaque, mais la conséquence de son entrainement. En baissant les yeux pour regarder son sexe on pouvait remarquer qu’il était très bien fournit à cet endroit aussi, il ne possédait pas un chibre immense comme pouvait posséder certain démon, mais un engin de la taille et de la grosseur parfaite pour sa partenaire. En fait, c’était une autre partie de son pouvoir d’incube, comme sa voix, son sexe s’adaptait au désir de sa partenaire alors si Madelyn se mettait soudainement à désir se faire exploser l’anus et à sentir le sexe jusqu’à dans son ventre, elle verrait, l’enfin d’Asmodée grandir et grossir jusqu’à atteindre la taille désirée.
Le démon sourit et prit Madelyn par les mains et l’attira au milieu de ses doubles :
« Ma chérie, nous comme là pour assouvir le moindre de tes fantasmes. J’ai pour habitude de laisser le choix à ma partenaire pour la première position et par quelle entrée je rentre. Alors, que désires-tu que je te fasse ? »
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Madelyne était loin d’être une créature chaste. Jadis, avant que les démons ne la prennent, et ne lui apprennent qu’elle n’était rien de plus qu’un pantin, qui avait été perpétuellement manipulée (par Sinistre, par Scott, et ensuite par les démons eux-mêmes), elle avait une très faible expérience sexuelle. Son séjour en Enfer, et la libération de ses pouvoirs latents, avait réveillé quelque chose en Madelyne, brisé un carcan qui régnait dans son corps. Sa soif sexuelle avait explosé, et, si elle avait pu, jadis, être repoussée par l’apparence hideuse des Gobelins, dorénavant, elle les observait avec appétit.
La Goblin Queen ne fut qu’encore plus émoustillée quand Angéline répandit son aura de succube, excitant les gobelins. La chambre de Madelyne était assez grande, avec un énorme lit, une peau de bête devant la cheminée, et une belle baie vitrée donnant sur une terrasse. L’endroit était donc grand, et Angéline se déplaça dans un coin, venant masturber deux Gobelins, qui grognèrent doucement. L’un d’entre eux approcha sa longue langue baveuse, et lécha la joue de la femme, son extrémité linguale titillant ensuite les lèvres de la femme. Ils étaient un peu comme des chiens, avançant à quatre pattes, et, assez rapidement, le Gobelin, violent et rapide, attrapa Angéline par les cheveux, la contraignant à se mettre à quatre pattes, puis se dressa au-dessus d’elle. L’autre Gobelin choisit de rester en-dessous, et, peu à peu, les queues des deux monstres s’approchèrent des trous de la jeune femme, avant de joyeusement s’y enfoncer.
Madelyne, quant à elle, vit Asmodée et son clone. Nus, ils étaient très impressionnants, massifs, avec une tête sinistre, un corps grisâtre, mais très bien charpenté. En lui souriant, Madelyne caressa le torse de l’homme, sentant sa queue frotter contre son entrejambes.
« Hum… »
D’une simple pensée, elle défit sa cape, ainsi que sa fine culotte noire, retenue par deux anneaux, et se redressa, ne portant plus que ses longs gants et ses bottes. Elle enroula ses jambes autour de la taille d’Asmodée, et sentit sa virilité, tendue, érigée comme un mât, frotter contre ses cuisses, puis contre son sexe, parfaitement épilé.
« Haaa… Ouii, j’aime ça… »
Un sourire victorieux éclairait ses lèvres, et, toujours en usant de télékinésie, elle rapprocha l’autre clone de son dos.
« Je couche régulièrement avec le personnel de cet hôtel, mais… Ça faisait bien trop longtemps que je n’avais pas goûté à des mecs bien baraqués. Baise-moi bien fort, Asmodée, c’est ce que je veux ! Offre à une Reine un traitement royal ! »
Remuant un peu des hanches, elle s’empala alors sur l’homme, et poussa un hurlement de plaisir. Le feu qui crépitait dans l’âtre de la cheminée en flamboya furieusement pendant quelques secondes, tandis qu’elle sentait cette virilité de chair s’enfoncer en elle… Et la femme commença à remuer contre ce corps, soupirant longuement de plaisir.
« Haaaaaaaaaaa… !! »
-
La succube faisait régulièrement l’amour avec son frère sous sa forme démoniaque alors elle n’avait aucun dégoût pour les gobelins, leur apparence n’était rien comparé à celle d’un incube sous sa véritable apparence. Elle avait amplifié son aura de désir pour faire venir tous les gobelins à elle, elle se trouvait donc au milieu d’un cercle de créature et alors qu’elle était en train de caresser le sexe de certains gobelins, elle se fit attraper les cheveux pour se faire mettre à quatre pattes, une des créatures se trouvait sous elle et une autre au-dessus, et elle sentait avec plaisir cette double pénétration brutale qui lui était affligé. Elle ne dit rien, ne gémissant même pas et se contenta d’intensifier encore son aura pour faire se resserrer le cercle de gobelin et elle ouvrit la bouche lorsque tous les sexes en érections furent devant elle, elle souffla chaudement dessus son souffle aphrodisiaque les faisant se tendre encore plus à la limite de l’explosion tellement l’afflux sanguin était important. Elle commença alors à prendre les sexes des créatures de Madelyne ans sa bouche, les uns après les autres, absorbant à chaque fois une partie de l’énergie des gobelins, augmentant ses capacités de succube.
Pendant que sa sœur s’occupait des gobelins, Asmodée avait l’humaine pour lui tout seul… enfin pour lui et ses doubles. Il l’avait laissée commencer les hostilités et elle avait décidé de s’empaler sur son sexe pendant qu’un double se trouvait derrière elle, celui-ci ne tarda d’ailleurs pas à s’enfoncer dans les fesses de la rousse. Les deux hommes la pénétraient à l’unisson. Asmodée approcha ses lèvres de celle de la femme et l’embrassa. Madelyne avait pu sentir le pouvoir du baiser d’Angeline dans la ruelle et elle pouvait maintenant ressentir celui d’Asmodée qui était infiniment plus puissant.
Le double se trouvant dans l’anus de Madelyne se retira et se coucha au sol sous un ordre mental de l’original et ce dernier s’agenouilla pour se retrouver au-dessus de son double qui put reprendre la visite du fessier de la rousse. Ce changement de position avait pour but de permettre à un autre double de s’engouffrer dans la bouche de l’humaine, la prenant ainsi par tous les trous.
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Prise au milieu des Gobelins, Angéline semblait être à son aise. Ces grosses créatures avaient des verges très agréables, et, pour peu qu’on fasse abstraction de leur physique peu avenant, on pouvait joyeusement prendre son pied avec eux. Angéline en faisait l’expérience.
« Rrrrrrr…
- Rrrrrrraaaaaawww… !! »
De la part des gobelins, il ne fallait pas s’attendre à beaucoup de communication. Leur intelligence était très limitée, et ils ne pouvaient pas parler, car ils n’en étaient pas capables. Les interactions étaient donc très limitées, et se résumaient donc, pour beaucoup, au sexe. Angéline avait aligné les Gobelins face à elle, et, tout en se faisant prendre, ne tarda pas à les sucer.
Le premier qu’elle prit posa ses grosses mains griffues sur ses cheveux, maintenant sa tête contre sa longue verge. Ils grognaient et soupiraient, car la succube avait usé de ses sortilèges pour les exciter davantage. Elle allait peut-être s’en mordre les doigts par la suite, mais, pour l’heure, les monstres se faisaient plaisir, grognant et hurlant, poussant des bruits bestiaux, comme des bêtes affamées et surexcitées.
Observant tout cela à distance, Madelyne, elle, soupirait et gémissait profondément.
« Hmmmm… »
Contre ses lèvres et sa langue, elle put effectivement sentir la force d’Asmodée, la magie rose qui s’échappait de son corps. Là où celle d’Angéline était douce et sensuelle, celle d’Asmodée s’avérait sauvage et ardente, amenant Madleyne à griffer sa nuque, à se crisper contre lui, avant de sentir son clone se rapprocher de ses fesses. Toutefois, Asmodée choisit alors de la renverser.
Le clone s’allongea sur le sol, et Madelyne s’empala sur son sexe…
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »
Contrairement à Angéline, Madelyne ne se faisait pas prier pour hurler, et elle poussa un long cri guttural en sentant ce membre s’enfoncer dans son cul. Une grosse verge dans un trou si étroit, forcément, ça ne le laissait pas indifférente, et, tandis que ses deux torus étaient remplis, un second clone s’approcha, écartant bien les jambes, et enfonça sa verge en elle, posant ses mains sur ses cheveux.
« Hnnnnnnnnnnnnnnggggnnhhhhh-hhhnnnngggggnnhhhh… !! » baragouinait Madelyne.
Ses mains, qui dansaient à côté de son corps, ne tardèrent pas à sentir des queues, et elle se mit à les masturber, ses doigts gantés comprimant et serrant ces membres tendus. Et la Goblin Queen, elle, se mettait à mouiller abondamment, sous l’afflux de tous ces membres fermement plantés en elle.
Il fallait bien l’admettre, c’était terriblement jouissif.
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C’était une véritable scène de débauche qui avait lieu dans cette suite de l’hôtel où se trouvaient les démons et Madelyn. Une énorme orgie mêlant gobelins, humains et démons, tout ce qu’il fallait pour prendre du plaisir de la meilleure des manières. Asmodée avait tout de même fait disparaitre certains de ses doubles afin que la pièce soit moins encombrée en plus de ne pas avoir besoin d’une centaine de doubles en même temps.
De son côté Angeline continuait de se faire prendre par les gobelins de Madelyn, les excitant au maximum grâce à ses pouvoirs, les rendant violent et délicieux quand il venait temps de leur absorber leur force. C’était dommage que ces créatures ne soient pas douées d’un véritable langage, car même si elle n’était pas très expressive, elle aimait bien que ses partenaires parlent en disant tout plein de choses salaces.
Les premiers gobelins étaient en train de jouir et de laisser s’écouler leur semence en elle en étant bien plus fatigués que d’habitude, c’était là les pouvoirs de la succube, elle vidait les mâles totalement. D’autres gobelins vinrent remplacer ceux ayant joui pour la prendre, un sous elle pour lui prendre l’entrejambe, un autre dans une position normale pour lui prendre les fesses et encore un autre penché tout au-dessus d’elle comme un chien prenant une chienne pour lui prendre aussi les fesses, elle aurait donc droit à une triple pénétration pour on plus grand bonheur.
Pour Asmodée, c’était un peu différent, sa carrure, l’empêchait de pratiquer ce genre de chose même s’il aurait bien voulu rentrer à plusieurs par trou dans l’humaine qui criait de plaisir. L’incube allait et venait à grande vitesse dans l’intimité de Madelyn tout en l’embrassant sur les lèvres et jouant avec ses seins. Le double qui prenait les fesses de l’humaine allait de plus en plus vite et la prenait de plus en plus profondément, faisant claquer ses fesses à chaque pénétration. Celui qui lui pénétrait la bouche, quant à lui la prenait très vite et e manière très brutale, c’était le premier à jouir et il était instantanément remplacé par un autre double qui la prenait de la même façon.
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Entourée par trois amants brutaux et intenses, Madelyne était comblée. Les démons infernaux n’étaient pas très beaux, mais il fallait reconnaître qu’ils étaient des amants exceptionnels, d’une qualité rare. Rares, en effet, étaient les humains capables de se montrer aussi énergiques. La femme aimait la beauté, mais elle trouvait que la beauté était insignifiante chez un homme, car le beau sexe était avant tout féminin. La beauté, Madelyne la voulait donc chez les femmes. Chez les hommes, elle voulait du muscle, de la force, de la bestialité. Les formes, l’esthétisme, la douceur et la beauté, elle réservait ça aux femmes, comme Angéline. En ce sens, le frère et la sœur formaient un magnifique duo, très complémentaire, représentant tout ce que la Goblin Queen souhaitait.
« Hmmmm… Haaaaa… !! »
Bien remplie comme il se devait de l’être, la femme sentait sa tête filer d’avant en arrière, crispant ses mains gantées sur les grosses queues tendues qui pointaient vers elle. Elle filait d’avant en arrière, donc, jusqu’à sentir le clone d’Asmodée se vider généreusement en elle. Tout n’était que sensations et douleurs exquises, faisant vibrer son être. Ha, que c’était bon ! Depuis qu’elle avait récupéré son enveloppe charnelle, Madelyne était toujours soucieuse de la faire bien vivre, de la nourrir, de l’entretenir, et, pour ça, il fallait bien admettre qu’il n’y avait rien de mieux que le sexe.
Asmodée la remplissait généreusement, fourrant ses virilités en elle, et, quand sa queue se retira de ses lèvres, elle reçut un intense baiser, la langue d’Asmodée fourrant dans sa bouche, léchant le sperme, la faisant couiner, les mains de Maddie venant griffer son torse. Il se retira rapidement, et Madelyne recommença ensuite à masturber les démons, en sentant un jouir entre ses doigts, le sperme fusant pour éclabousser son ventre, tandis qu’une autre queue venait se glisser entre ses lèvres brûlantes.
« Hhhhhhhhhhhhhhmmmmmmmmmmm… !! »
Gémissant fortement, la femme mouillait généreusement, recouvrant la queue du mâle de sa mouille.
Peu ou prou, Angéline, elle, subissait un traitement relativement similaire. Les gobelins se massaient nerveusement autour d’elle, s’enfouissant dans son corps, jusqu’à deux verges plantées dans son cul ! Fort heureusement, la succube était fidèle à la réputation des démones, et parvenait à endurer ça, tandis que les gobelins de Madelyne, eux, jouissaient en elle, remplissant ainsi de leur foutre chaud le corps d’Angéline.
Comme une délicieuse introduction avant de coucher avec la Reine…
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Asmodée ne laissait aucun répit à Madelyn, à chaque fois qu’un de ses doubles jouissait, il était remplacé par un autre qui reprenait avec toute sa vigueur. L’incube quant à lui prenait possession des doubles qui venait prendre la femme dans son entrejambe, ‘était pour lui la meilleure des positions alors il n’avait aucune raison de prendre possession d’un autre double même si ceux qui lui prenait les fesses devaient être tout aussi comblés. C’était donc une tournante géante qui avait lieu dans cette suite d’hôtel, aucun des participants ne savait depuis combien de temps cela durait ni combien de fois les deux femmes s’étaient fait jouir dedans.
L’incube s’activait très rapidement et en martelant avec puissance le fond de l’intimité de Madelyn pendant que son clone qui lui prenait les fesses faisait de même en s’enfonçant à son maximum, quant à celui qui s’immisçait dans sa bouche, aller se placer tout au fond comme pour l’étouffer et ne se retirait de lorsqu’elle suffoquait et y retournait lorsqu’elle avait repris son souffle. Pendant qu’Asmodée jouissait une énième fois dans l’humaine, il la regarda et déclara :
« Si cette position commence à t’ennuyer, on peut changer. »
En effet ils n’avaient pas changé de position depuis le début alors sans doute que cela devait ennuyer l’humaine de ne pas avoir de changement même si chacun de ses trous était utilisé de la meilleure des manières.
De son côté Angéline non plus ne changeait pas de position, continuant de se faire prendre par les gobelins qui lui jouissait dedans, elle n’avait pas encore émit le moindre gémissement de plaisir. La succube n’était pas du genre très expressive alors même si elle prenait du plaisir, cela ne s’entendait pas trop, elle préférait s’économiser pour quand elle irait jouer avec Madelyne et elle lui réservait une surprise, du genre que peu de monde pouvait e targuer d’avoir reçu de la part de la belle démone.
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Madelyne continuait à se faire prendre par ses multiples amants. C’était un spectacle difficile à tenir pour une simple humaine, et, en une autre époque, avant que Madelyne ne soit la femme qu’elle était devenue, elle se serait probablement écroulée sur place. Mais là, sa résistance exceptionnelle lui permettait de tenir le rythme, le résultat de nombreuses années passées en Enfer.
« Hmmmm... !! »
On continuait à la prendre, à la pénétrer, à jouir en elle, l’inondant de sperme. Ses mains continuaient à caresser des queues, et le sperme éclata également sur son ventre, sur son visage, tandis que les clones démoniaques continuaient à se multiplier. Combien de temps se mit à défiler ? Madelyne ne comptait ce dernier qu’à travers son nombre d’orgasmes. Encore et encore, elle jouissait, généreusement, balançant sa mouille, jusqu’à ce que sa bouche ne se retrouve libre, juste le temps pour Asmodée de lui dire qu’elle pouvait changer les choses, si elle le voulait.
Madelyne lui sourit alors, et ses pupilles virèrent au noir intégral. Elle posa alors sa main sur le torse du vrai Asmodée, et prononça une mélopée démoniaque. La verge d’Asmodée était plantée en elle, et elle put donc, en usant de sa magie, transformer Asmodée. Son corps enfla, grossit, de longues ailes noires jaillirent, un long museau se forma... Et la Goblin Queen le vit adopter, non sans un fort plaisir, sa forme démoniaque (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/736x/2c/72/3a/2c723a44c86c16c1aaea945cd3832c79.jpg).
Les yeux de Madelyne redevinrent ensuite normaux, et elle se redressa, toute nue, caressant le corps de l’homme, ses muscles noirs et épais, et lui sourit.
« Bien... Un vrai démon, bien comme il faut... »
Voilà comment elle aimait les hommes. En lui souriant donc, elle se déplaça alors, et fléchit les genoux, se mettant à quatre pattes, la tête tournée vers Angéline. Elle pouvait ainsi voir le spectacle, et tourna sa tête vers le démon, en lui souriant.
« Allons, mon gros, viens... Viens, et baise-moi fort, c’est tout ce que je souhaite... Viens ! »
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Asmodée ne s’attendait pas vraiment à cela et encore moins de la part d’une humaine, il ne prenait que rarement sa forme démoniaque, la jugeant bien trop puissante pour la plupart de ses victimes, mais puisque Madelyne semblait vouloir que l’incube se donne à fond, elle n’allait pas être déçu.
Le corps du démon grossit pour devenir encore plus massif qu’il ne l’était déjà, d’énormes ailes jaillirent de son dos. Son apparence changea du tout au tout, son corps devint noir et poilu, sa tête devint celle d’un monstre aux oreilles pointues. Les incubes étaient des créatures hideuses sous leurs formes démoniaques et ce n’est pas Asmodée qui allait prouver le contraire. Cependant, il n’y eut pas que son corps qui changea, l’aura aux senteurs de rose émanant de sa sœur fut balayer par une aura infiniment plus puissante, une odeur plus forte qui prenait directement au crâne. Les doubles d’ombre disparurent pendant la transformation, laissant le véritable Asmodée seul avec l’humaine.
Lorsqu’elle se remit à quatre pattes devant lui en disant qu’elle voulait qu’il la baise fort, il s’avança, mais ce n’est pas son sexe qu’il utilisa. Sa puissante main au long doigt commença à s’enfoncer dans l’entre fesse de Madelyn, mais cette main n’avait pas pour seul but de la baiser fort, elle dégageait une chaleur qui influait directement sur l’organisme de la femme :
« Que dirais-tu d’accueillir un petit démon dans ton ventre ? »
Il n’avait pas besoin d’en dire plus pour sur les aboutissants de ce pouvoir d’incube. Il avait posé cette question très sérieusement même si cela l’étonnerait beaucoup qu’elle lui dise oui, cela faisait partie de sa manière de faire lorsqu’il s’occupait d’une de ses victimes, à la différence que Madelyne était consentante et qu’elle avait le choix.
Angéline souriait en regardant son frère agir ainsi, elle avait prévu de prendre elle aussi sa forme démoniaque pour s’occuper de Madelyne mais puisque Asmodée commençait un nouveau jeu, elle continuerait d’accumuler de la puissance en se faisant prendre par les gobelins pendant un petit temps.
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Proposer à une femme ayant perdu son enfant de la mettre enceinte, a fortiori quand cette femme était la Goblin Queen, voilà qui n’était sans doute pas la plus intelligente des approches. Quand elle avait perdu la raison, sous l’influence de N’astirth, Madelyne avait voulu sacrifier Christopher, son enfant, dans un excès de haine et de démence, afin d’ouvrir un Portail définitif entre l’Enfer et les Plans Intermédiaires. Son plan avait échoué, mais, quand elle était revenue à la vie, elle avait appris que son fils avait disparu. Il avait été contaminé par un virus techno-organique produit par Apocalypse, un virus qui avait fait de lui le redoutable guerrier Cable. Tandis qu’Asmodée se glissait dans son dos, et venait de lui glisser cette indécente proposition, cette histoire sinistre traversa brièvement l’esprit de Madelyne.
La réponse qui émana de ses lèvres fut donc étrangement sèche, et elle tourna même la tête, ses pupilles semblant s’enflammer sur place.
« Je ne désire nullement une progéniture supplémentaire. Contente-moi de me baiser, et garde-toi bien de tenter de m’engrosser. »
Il n’était pas difficile d’être grand clerc pour comprendre que, sur ce point, Madelyne ne plaisantait pas. Pendant son séjour dans les Limbes, on avait déjà tenté de lui donner un bébé. Telle une mante religieuse, elle avait tué les démons impudents ayant voulu la violer. Comment pourrait-elle un jour prétendre être mère, quand elle avait manqué tuer son propre enfant ? Plonger le couteau dans la plaie était un jeu risqué, mais elle pouvait comprendre que, sous l’effet de cette excitation purement démoniaque, Asmodée ait oublié cet élément.
Pendant ce temps, les Gobelins de Madelyne continuaient à baiser Angéline. L’un d’eux la prenait en levrette, et venait de jouir en elle, avant d’être rapidement remplacé par un autre. Polymorphes, ils usaient de leur capacité exceptionnelle, pour se doter, non pas d’une seule verge, mais de deux. Verts, violets, rouges, des queues de toutes les couleurs s’enfonçaient dans les trous de la succube, et, pour l’occasion, sa bouche n’était plus assaillie, afin de lui laisser le spectacle de son frère, occupé à sodomiser Madelyne.
Fermant les yeux, elle soupirait lentement, avant de sentir Asmodée s’enfoncer en elle.
« Hmmmmmmmmmmmmm… !! »
Quand Madelyne avait couché avec un premier démon, elle avait cru mourir sur place, tant leurs queues étaient grosses. Un mandrin terrible s’enfonçait en elle, la perforant joyeusement, et elle se maintint sur ses bras, crachant sa salive sur le tapis, tout en sentant l’homme continuer à la prendre, encore et encore.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »
Madelyne allait les régaler de ses hurlements !
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Asmodée ne fit guère attention au ton de la réponse de l'humaine, il n'en avait que faire à vrai dire et il continuait de faire ce qu'il avait entreprit de faire comme si de rien n'était. Ne cessant pas ses mouvements de bras dans l'humaine, ne lui laissant aucun répits et en allant au plus profond qu'il pouvait avant de remonter pour retirer son bras puis le remplacer par l'autre et continuer ainsi de suite. Il aurait bien essayé de faire rentrer ses deux bras en même temps mais il savait qu'elle ne résisterait pas même si cela pourrait être apprécié. Il décida tout de même de ne pas aller jusqu'à là, sa sœur se chargerait de le faire quand ce serait son tour d'aller faire plaisir à l'humaine.
En alternance avec ses bras il laissait de temps à autre entrer son sexe dans l'anus de moins en moins étroit de Madelyne pour lui donner un violent coup d'estoc, s'enfonçant sans aucune douceur. Il jouait avec elle comme il jouerait avec une de ses victimes en temps normal mais après tout ça n'avait pas l'air de déplaire à la rousse de se faire prendre ainsi par l'incube.
De son coté Angeline commençait cependant à s'ennuyer à continuellement se faire prendre dans la même position par les créatures sans grandes imaginations et à la force bien moins brutale que son frère, regarder Asmodée dans sa forme démoniaque en train de maltraité l'humaine l'excitait bien plus que les gobelins pourtant elle avait déployé tous ses pouvoirs pour les rendre plus imposants et vigoureux mais les créatures restaient limitées. Sans même faire attention à ceux qui étaient entrain de s'engouffrer en elle, elle se releva en soupirant et attrapa des gobelins et les poussa au sol. Elle les disposa de telle sorte à que tous se superpose pour lui offrir leurs queues en même temps, il y avait donc un cercle de gobelin amonceler les un contre les autres, certains dans des positions extrêmement bizarre pour pouvoir participer à ce puzzle vivant. La succube se posa donc au dessus et descendit pour prendre tous les gobelins en même temps. Le nombre impressionnant de queue en elle la faisait gonfler de manière totalement inhumaine mais après tout c'était une succube et elle pouvait donc supporter des choses totalement inédite.
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Le sexe se poursuivait, toujours plus intense, toujours plus fort. Madelyne sentait la queue d’Asmodée alterner avec ses doigts, qui se glissaient dans son fondement, l’écartant, jouant avec l’élasticité de sa peau pour y glisser sa main, optant pour ce que, communément, on appelait un fist. Le plaisir était intense, mélangé à la douleur, de telle sorte que les deux sensations n’e formaient plus qu’une seule, écrasante, dominatrice, totalitaire. Elle noyait totalement l’esprit de la jeune femme. La Goblin Queen pouvait en effet sentir l’intensité de ce couple incestueux, et elle suait abondamment, crispant ses mains gantées sur le sol, fermant les yeux, haletant et couinant. Les mains d’Asmodée ne servaient qu’ à la préparer, et, petit à petit, ce fut surtout sa verge qu’elle ressentait, une queue énorme, monstrueuse, tout simplement démoniaque.
« Hnnnnnnnnn... Haaaaaaaaaaaa... !! »
La salive de Madelyne en était crachée sur le sol, tant son corps était secoué. Elle en fermait les yeux, gémissant, encore et encore. Asmodée la prenait avec force, mais la Reine n’en avait pas encore fini avec lui, et, tout en se faisant baiser, sa magie commençait à agir. Elle savait les démons polymorphes, capables de s’adapter, et elle comptait utiliser ses talents de mutante et de magicienne à cette fin. C’est ainsi qu’Asmodée dut sentir quelque chose frémir à hauteur de son sexe. Sa peau se mettait à remuer, une poche commençant à se dessiner sous sa queue, avant d’éclater, pour révéler un second sexe, qui s’empressa de prendre l’autre trou de Madelyne.
Prise ainsi dans un coït et une sodomie, Madleyne était largement comblée, comme un magnifique prélude avant de goûter à Angéline et à Asmodée ensemble.
Ensemble, oui, car les Gobelins de Madelyne n’arrivaient plus à maintenir l’excitation d’Angéline. On pouvait en féliciter la succube, car, quand Madelyne leur donnait en pâture de jeunes esclaves piégées dans les Enfers, ils se faisaient généralement plaisir. Ces Gobelins n’étaient pas très intelligents, mais ils avaient de superbes chibres, et c’est ainsi qu’Angéline s’évertua à briser les lois de la Nature, dans une sorte de danse grotesque et complexe, où un amas de jambes et de queues s’amoncelaient comme une sorte de montagne de chair, avec Angéline à son sommet.
Un tableau inattendu et surprenant.
« Haaaaannn... Asmodée, haaaa... Hmmmm... Toi et ta sœur, vous allez... Me pousser à mes limites, haaaa... !! »
Ses pensées agissaient, forçant les Gobelins à s’écarter, afin qu’Angéline vienne rejoindre son frère, et que, tous ensemble, ils communient dans le stupre et dans la luxure.
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Quand on rencontrais les deux démons, il y avait une question que l'on ne pouvait pas oublier de se poser, la question de qui est en position de dominant dans le couple. Asmodée était une force surpuissante à la carrure des plus imposante sous sa forme humaine, un véritable guerrier près à détruire tout sur son chemin et ce n'était pas sa forme démoniaque qui allait faire penser le contraire. Angeline quant à elle &tait bien moins impressionnante physiquement mais elle savait parfaitement ce qu’elle voulait et c'était dans son ombre que se déplaçait son frère. Deux être très différents mais complémentaires et c'est pourquoi, il était difficile de désigner un dominant même si on attribuerait plus facilement ce rôle à la belle démone.
Tout continuait dans la plus grande des luxure, l'incube sachant très ben comment se servir de cette deuxième queue que lui avait fait apparaitre la magie de l'humaine et pour la remercier de ce présent il avait encore augmenté la force avec laquelle il la pénétrait. De son coté, Angeline avait essayé de finir les gobelin en beauté et l'explosion qui se produisit en elle fut des plus délicieuse mais il finit par abandonner les créatures, il était temps de jouer avec leur maitresse.
Alors que toutes les fenêtres étaient fermées, un grand vent pu se faire sentir faisant voler les cheveux de la démone qui prit sa forme de succube (http://galeriegothik.g.a.pic.centerblog.net/upce0m4l.jpg), la transformation physique avait de quoi décevoir après avoir vu Asmodée faire car la seule grande différence était la présence d'aile dans le dos de la belle. Cependant, c'était au niveau des pouvoirs que rien n'était plus pareil. L'odeur de rose était de retour, témoignant de cette nouvelle puissance et se mêlait à l'aura de son frère, tout l'hôtel allait bientôt finir en orgie sauvage par la simple présence de ses deux aura de désir surpuissants.
La succube s'approcha de son frère et sourit en le faisant reculer, se retirant ainsi de l'humaine, laissant apparaitre les ravage de ses fist et de ses pénétrations brutales :
"Hm... tu n'y es pas allé doucement... Mais il est temps de me laisser la place, moi aussi j'aime faire plaisir aux femmes par cette entrée."
Asmodée alla donc se poser devant Madelyne, les deux sexes tendu et il laissa sa soeur continuer son travail. La belle n'attendit pas longtemps et donna une grosse fessée bien claquante à l'humaine avant de coller ses paumes l'une contre l'autre et s'enfoncer dans l'anus de Madelyne, en y allant avec les deux mains et les deux bras, c'était moins bien gros que ceux d'Asmodée alors elle pouvait se permettre d'y aller ainsi.
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Quel amant ! Ah, diable, diable, quel mâle ! Un démon comme on les aimait, membré comme un taureau, était en train de la labourer, amenant Madelyne à difficilement se maintenir. La redoutable et puissante Reine suait abondamment. Après leur combat dans la ruelle, qui reposait sur une mésentente, le trio était en train de se réconcilier, une réconciliation très infernale, disproportionnée. Les deux démons étaient bien décidés à pousser Madelyne dans ses ultimes retranchements, et, tout en la prenant ainsi, Asmodée continuait à s’imposer sur elle. Ses queues s’enfonçaient dans son corps, amenant la femme à un étrange état, une sensation où la douleur et le plaisir étaient tellement élevés que les deux se court-circuitaient mutuellement, ou se fusionnaient dans une sensation des plus exquises.
« Hmmmmm... »
Difficile de parler dans de telles conditions. Cependant, tout en étant prise par Asmodée, elle sentit néanmoins quelque chose venir près de ses narines. Tournant la tête, elle put ainsi voir une silhouette ailée, et comprit qu’Angéline avait décidé de passer aux choses sérieuses. Pour preuve, elle écarta son frère, faisant soupirer Madelyne, qui sentit les énormes queues de l’homme se retirer d’elle, laissant comme un grand vide derrière lui. La Goblin Queen suait abondamment, mais en profita pour observer Angéline.
Une magnifique succube, comme on pouvait s’y attendre, avec une longue paire d’ailes noires, une longue chevelure noire, un corps sculptural, des hanches solides, un cul magnifique... Les succubes avaient tout simplement tout pour plaire. D’elles, on disait qu’elles étaient des trésors interdits aux mortels. Le vieux proverbe ne cessait de se vérifier en voyant cette beauté renversant, magnifique, mais qui pouvait, si l’homme était incapable de la satisfaire, boire son âme, et ainsi le tuer, tout en augmentant sa propre puissance. Madelyne connaissait l’histoire, bien évidemment, et y songea fugacement, pendant qu’Angéline se glissa dans son dos. Elle sentit alors les queues d’Asmodée caresser ses flancs, le grand-frère se dressant devant elle.
« Vous êtes... Vous êtes un couple infernal, tous les deux... »
Guère le temps de souffler, car Madelyne sentit les mains d’Angéline s’affairer dans son fessier déjà bien écarté, la faisant gémir, son nez caressant les queues tendues d’Asmodée. Elle en attrapa une avec sa main, la masturbant, tout en allant sucer l’autre, alternant avec les deux sexes, filant d’avant en arrière, le corps en sueur. Soupirant de plaisir, remuant encore, elle astiquait ses queues, tout en laissant son corps à la merci de ces deux-là.
Au moins, les doigts d’Angéline allaient pouvoir se recouvrir de mouille...
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Les démons devaient avoir un certain affect pour la voie secondaire car c'était celle là qu'ils préféraient emprunté mais ce n'était pas vraiment pour le plaisir de leurs victimes. En effet, c'était sans doute la manière la plus radical pour faire souffrir sans avoir besoin d'instruments particuliers et il ne fallait pas oublier que les incubes et les succubes étaient des démons dont les victimes s'en sortaient rarement vivantes alors même si Madelyne était un cas particuliers, le couple agissait comme à leur habitude, un peu moins violemment tout de même et elle avait l'air d'apprécier.
Angeline était littéralement en train de la forer avec vigueur et envie, ses bras avançant encore et toujours jusqu'à ce retrouver presque coude. C'était plutôt impressionnant ce qu'on pouvait faire rentrer par là et généralement on ne le croit qu'après l'avoir vu ou subit. La succube s'amusait alors à aller et venir très rapidement en se pressant bien contre les paroi de l'endroit pour la faire ressentir le plus de chose possible. En réalité, elle pouvait s'enfoncer encore bien plus profondément sans pour autant risquer de faire mal à Madelyne grâce à ses pouvoirs de succube mais tant qu'elle criait pas de douleur à en faire exploser les vitres, ce n'était pas nécessaire.
Asmodée quand à lui caressait les cheveux roux de l'humaine qui s'amusait avec ses deux sexes, il avait envie de s'économiser un peu avant de retourner à l'assaut et il souriait en la regardant :
"Tu penseras à nous lorsque quelqu'un voudra jouer avec ton petit cul serré.
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La sueur commençait à couler le long du corps de Madelyne, qui respirait profondément en sentant les fermes mains d’Angéline remonter en elle. Effectivement, Madelyne n’aurait pas cru être aussi souple, ni qu’on puisse autant s’y enfoncer. Le fisting, puisqu’il fallait bien appeler les choses par leurs noms, n’était pas sa pratique favorite, elle qui, sur ce point, avait toujours préféré sentir des verges la labourer. Là, cependant, elle se pliait aux envies de ce couple, en sentant les sexes d’Asmodée caresser son visage, pendant qu’Angéline continuait à se perdre en elle, la faisant couiner.
Asmodée, devant elle, caressait doucement ses cheveux, étant visiblement apaisé, amenant Madelyne à relever la tête, en soupirant encore bruyamment. Ses mains se crispaient sur le sol, et elle avait bien du mal à se calmer, à trouver des choses à dire, tant son esprit était empli de confusion.
« Hmmm... »
Elle ne s’était pas attendue à de telles choses il y a quelques heures. Pourtant, voilà qu’elle était là, entourée par deux amants massifs, à les sentir jouer avec son corps. C’est ce qui l’amen à répondre, tout en continuant à suer :
« Hnnn... Je... Je crois qu’il n’a plus grand-chose de... De serré en ce moment... »
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Asmodée ria à cette remarque, il était vrai qu'avec ce que sa soeur lui faisait subir, elle n'était plus du tout serrée mais ce n'était que le début. Le corps humain avait ses limites mais Angeline n'était pas humaine et elle était là pour outrepasser les limites corps de Madelyne.
La succube commença à uliser ses pouvoirs, une immense vague de froid s'échappa de ses mains, donnant l'impression de se faire glacer de l'intérieur à l'humaine. Ce n'était peut-être pas très excitant comme sensation mais c'était nécessaire, cela permettrait à la démone de s'engouffrer totalement dans Madelyne sans qu'elle subisse de désagréments. Cette voie n'était pas faite pour accueillir la totalité de deux bras, des doigts à l'épaule, le pouvoir d'Angeline le lui permettait sans faire souffrir sa partenaire ni lui causer de dommages internes.
Pendant que sa soeur avançait et était désormais enfoncée jusqu'au coude, Asmodée s'amusait à donner des coups de sexe sur le visage de la rousse tout en se masturbant pour lui jouir à la figure. Elle avait l'air d'aimer la manière de jouer des démons alors il ne fallait pas la froisser même si l'incube pouvait se montrer assez spécial.
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La magie était une force puissante, et Madelyne était bien placée pour le savoir, puisque la magie lui avait permis de survivre à la mort. Elle disposait en elle de pouvoirs terribles, résultant du fait qu’elle soit le clone de Jean Grey, et donc dotée d’importants pouvoirs mentaux, mais aussi résultant de ses années de service au sein des Enfers, où elle avait appris la maîtrise de la magie noire, et de nombreux autres domaines magiques. La puissante Goblin Queen sentait ainsi le bras d’Angéline continuer à s’enfoncer en elle, mais elle, Madelyne, sentait son impatience croître. L’Incube, de son côté, frottait ses queues contre son visage, continuant à frustrer Madelyne, qui reprit son souffle, et tourna la tête vers la femme.
« Haaa... Assez... Assez de tes mains ! »
Ses joues étaient à la fois rouges et blanches, rouges par l’excitation, blanches par le foutre de son amant. Mais Madelyne avait beau se soumettre au couple, elle n’en restait pas moins une Reine, et sentir des doigts la triturer, c’était, somme toute, assez lassant. La prenaient-elle pour une vache ? Elle sentait la colère pointer le bout de son nez, tout en sentant une curieuse fraîcheur se répandre dans son corps.
« Je veux que vous me baisiez, pas que vous me ramoniez comme si j’étais une putain de vache... ! »
Les ordres étaient clairs. Le fisting n’avait jamais été la chose qu’elle préférait, en réalité, et, là, elle se sentait prête à passer au stade supérieur... Et elle en avait surtout envie.
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Angeline aimait jouer ainsi en fistant ses partenaires femmes, elle n'avait pas le pouvoir de se faire pousser un sexe comme certaines succubes et elle détestait avoir recours à la technique qui lui permettait tout de même d'avoir un chibre. Les pouvoirs du couple fraternel permettait ensemble de faire ce qui était impossible de faire séparément.
La succube fût déçue de ne pas combler Madelyne comme elle voulait et se retira après avoir finit de la protéger avec ses pouvoirs et elle s'approcha de son frère :
"Bien chérie, reste comme tu es, je reviens dans quelques secondes. C'est bien parce que c'est toi que je vais utiliser cette technique un peu spéciale."
Dans un premier temps elle attrapa le sexe d'Asmodée et lui insuffla sa magie. Le sexe grossit jusqu'à atteindre la taille de ce qui était précédemment enfoncer dans les fesses de la rousses, deux bras jusqu'au coude. Le sexe n'était plus qu'une atrocité droite comme un i. Dans un second temps, la démone posa sa main sur la tête de son frère et ferma les yeux, Asmodée disparu comme lorsqu'il se dissimulait. Angeline cria très for pendant qu'elle se faisait écarter de l'intérieur, l'appareil génitale de son frère sortait du sien. C'était à la fois douloureux mais très plaisant et elle souffla lorsque tout fut en place, prêt à l'emploi :
"J'espère que ton cul est prêt car je vais le détruire comme il se doit pour m'avoir pousser à utiliser ce pouvoir.*
Elle retourna derrière la rousse et s'enfonça entièrement d'un coup sec dans ses fesses, reprenant ce qu'elle avait arrêté.
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Madelyne était une Reine. L’oublier, c’était commettre une grave erreur. Arrogante et puissante, elle souffrait inconsciemment du fait d’avoir appris n’être qu’un clone, être l’expérience ratée d’un malade mental ayant voulu reproduire un clone de Jean Grey, afin de porter un enfant. Être ce clone, c’était ce qui avait défini Madelyne, en bien comme en mal. Quand elle avait appris ce qu’elle était réellement, quelque chose s’était irrémédiablement brisé en elle, et elle s’était petit à petit reconstruite. Son arrogance masquait sa souffrance, et, en conséquence, quand Madelyne ordonnait quelque chose, il valait mieux l’obéir, surtout en matière sexuelle, où elle n’avait pas l’habitude de se soumettre ainsi. Angéline et Asmodée ne le réalisaient pas, mais la Goblin Queen était en train de leur faire un immense cadeau. Pour autant, elle voulait maintenant passer aux choses sérieuses, et sentir une queue, une vraie queue, la labourer joyeusement.
Tournant brièvement la tête, elle fronça les sourcils en voyant la succube recourir à une étrange technique pour se doter d’une verge. Elle emprunta en effet celle de son frère, ce qui, en d’autres circonstances, aurait pu apparaître comme assez... Répugnant. Madelyne, néanmoins, ne dit rien, trouvant toutefois le temps un peu long.
*Réalise-t-elle que je me mets à quatre pattes pour elle ? Diable, pourquoi suis-je devenue si faible ? Tu vaux mieux que ça, Maddie...*
Angéline finit par se rapprocher à nouveau, dotée d’un organe monstrueux, et se rapprocha alors, tout en la haranguant.
« Ouais, ouais... Viens me baiser ! »
La succube obtempéra donc, et enfonça sa solide verge en elle, ne tardant pas à faire hurler Madelyne. Cette dernière crispa ses poings sur le tapis, en poussant de grands hurlements de plaisir. Oh oui ! Ah, sentir cette queue massive en elle, c’était... C’était vraiment jouissif !
Oui, Madelyne adorait ça !
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Les démons ne faisaient pas de traitement de faveur à leur partenaire du jour. Bien que cette charmante créature était totalement consentante et qu'elle ne se retrouvait pas entre leurs mains pour satisfaire une soif de pouvoir quelconque, le couple s'occupait d'elle comme si c'était le cas. Ce n'était pas un manque de respect ou de considération mais le contraire. Après tout, si elle avait voulu s'amuser avec les démons c'était pour qu'ils se lâchent totalement et c'est ce qu'ils faisaient.
Angeline allait et venait très rapidement et très brutalement, engouffrant son immondice veineux dans les tréfonds de la belle rousse. Ellle ne lui faisait pas de cadeau et pour continuer, elle lui agrippa les cheveux et la tire violemment pour la redresser et lui plaquer le dis contre ses seins. Alors qu'une de ses mains tenait fermement la chevelure de l'humaine, l'autre lui caressait le ventre, lui envoyant des vague de magie gelée pour la prévenir de tout mal pouvant être causé par une telle pénétration.
Cependant, à chaque pénétration le sexe s'allongeait, s'engouffrant de plus en profondément, la succube avait envie de jouer et son objectif était d'allonger son membre d'emprunt jusqu'à ce qu'il ressorte par la bouche de Madelyne. Il n'y avait qu'à espérer qu'elle se laisse faire.
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Angéline était une terrible amante. La succube était bien décidée à satisfaire Madelyne, et, après avoir autant joué avec elle, ce n’était pas de refus. Des hurlements perçants émanaient de la bouche de Maddie, des cris de plaisir profonds et magnifiques. Dans son dos, la puissante succube ne la négligeait pas une seule seconde, la prenant avec une hargne terrifiante. Oh, quelle force, quelle trique ! Sentir cette queue la labourer, c’était tout simplement magnifique !
« Hmmmm... O-Ouiii, haaaa... Putain, ouais... !! »
La queue d’Angéline remplissait le vagin de Madelyne, qui haletait et hurlait en même temps, crispant ses mains sur le tapis. Elle sentait la femme tirer sur ses cheveux, caressant son ventre, répandant une sorte de froid qui ne produisait guère d’effet, si ce n’est de faire claquer les dents de Madelyne. Les yeux clos, elle grognait, encore et encore, tout en sentant cette queue heurter son col de l’utérus, tapant ainsi au plus profond de son vagin, déclenchant d’irrésistibles sensations de plaisir et de douleur, les deux se confondant en un plaisir suprême et transcendant, qui absorbait pleinement la Goblin Queen.
Hurlant son plaisir, cette dernière se laissait donc pleinement aller, et ne tarda pas à avoir son premier orgasme, se répandant contre la queue de la succube.
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La démone se déchainait totalement et prenait un intense plaisir à s'occuper de cette belle rousse qui s'offrait à elle, si elle avait été une victime normale, le jeu aurait déjà tourner à quelque chose de beaucoup plus douloureux consistant à littéralement empaler le corps sur son immense sexe.
Alors qu'elle était sorti de son anus pour rentrer de nouveau de manière très brutale, Angeline loupa l'entrée et se retrouva en empaler le vagin de Madelyn alors qu'elle visait son anus. Heureusement qu'elle avait utilisé ses pouvoir de protection car elle ne l'avait pas préparer à recevoir quelque chose d'aussi gros dans ce trou là.
Mais puisque la rousse cria de plaisir, elle continua de la labourer dans ce nouveau trou, gardant cette largeur de sexe mais en le faisant devenir plus court pour ne pas la déchirer lors d'un coup plus fort. La succube tambourinait au plus profond de l'antre du plaisir de Madelyn. Sa main qui tenait encore ses cheveux les tira violemment pour lui faire pencher la tête en arrière et la poser sur son épaule.
Elle sentait que sa partenaire venait d'avoir un orgasme et elle grogna un coup alors que son sexe gonfla d'un coup pour éjaculer une énorme quantité de sperme au plus profond de Madelyne.
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La sodomie était un acte auquel Madelyne, par souci d’être complète, et sans défaut, s’était initiée, mais le fait est qu’elle y avait toujours vu quelque chose d’humiliant et rabaissant. Elle aimait bien ça, mais d’un amour coupable, qui se retournait souvent contre les démons la sodomisant, pour peu qu’ils se permettent de l’insulter un peu trop forts. Ainsi, quand elle obtenait son orgasme, elle avait souvent pour habitude, telle une mante religieuse, de tuer ses amants. Avec Angéline, les choses étaient néanmoins différentes, et, en un sens, nettement plus agréables. Madelyne savourait le contact de cette queue, salivant devant toute cette démonstration de force et d’énergie. Angéline redoublait d’effort pour lui offrir un plaisir unique en son genre. Angéline retirait sa queue parfois totalement, avant de s’enfoncer à nouveau dans un coup sec et violent, déclenchant des ondes exquises de douleur, qui vibraient tout le long du corps de la femme.
« Haaaa... !! »
Quelle force, quelle énergie.. ! Oh oui, Maddie était vraiment tremblante sous l’énergie de cette succube, qui changea alors de trou, heurtant son vagin, plus humide que son anus, et plus accessible. Ainsi, contrairement à ce qu’Angéline pensait, Madelyne n’apprécia que davantage cette force en elle, qui broyait son clitoris, la faisant hurler rageusement. De profonds cris de plaisir qui fusaient de ses lèvres, tandis que la Goblin Queen mouillait frénétiquement, se répandant contre la queue de la femme.
L’orgasme explosa dans le corps de Madelyne, dont les cris venaient remplir toute sa chambre d’hôtel. La succube se vida également en elle, balançant d’impressionnants chapelets de foutre, tant et si bien que le ventre de Madelyne se gonfla un peu, lui rappelant – brièvement – cette période oubliée de sa vie où elle avait pu sentir un être vivant palper dans son ventre, y prenant progressivement vie.
Cette image fut néanmoins rapidement chassée de son esprit, car elle n’avait pas envie de se déprimer en ce moment de joie pure et de sexe sauvage.
« Ah, Angéline, tu es... Tu es vraiment terrible ! »
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Elle n'avait jamais aimé cette technique de fusion avec son frère qui lui permettait d'avoir un sexe d'homme pour combler les rares femmes dont elle s'occupait et les hommes qu'elle voulait faire souffrir. De plus contrairement à la plupart des femmes aux attributs masculins, elle perdait l'accès à son plaisir de femme puisque son chibre poussait depuis l'intérieur de son vagin en l'anesthésiant pour ne pas gêner les pénétrations. Elle était peut être une démone, elle n'en restait pas moins une femme fière et forte et se résoudre à prendre les attributs d'un homme pour donner du plaisir ne l'enchentait guère.
Elle avait tout de même assurer du mieux qu'elle pouvait pour donner du plaisir à la belle rousse, elle lui devait au moins ça et elle avait bien jouit, à en faire gonfler le ventre de son amante. Elle se retira donc pour que le trop plein s'êvacue et l'embrassa passionnément pour lui montrer comment à qu'elle point elle était terrrible. Le pouvoir du baiser à la saveur de rose de la succube n'était pas un aprodisiaque ni un remontant mais quelque chose de bien plus instantanée, cela lui permettait de faire avoir un orgasme à la personne qu'elle embrassait dont l'intensité dépendait de la durée du baiser. Elle posait sa main derrière la tête de Madelyne pour l'empêcher de rompre le charme trop tôt et qu'elle profite de ce cadeau de la part de la succube.
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Angéline était une amante redoutable, à l’image des succubes. Elle laissait Madelyne exsangue, avec son ventre légèrement grossi, et une respiration haletante. Madelyne avait été sacrément déboîtée par cette femme, qui l’avait prise avec une force terrifiante. La succube venait de jouir joyeusement en elle, et se retira donc, laissant le sperme s’échapper de son intimité. Un foutre qui dégoulinait le long de ses cuisses. Maddie eut le temps de se retourner, avant de sentir la femme se rapprocher d’elle, posant une main sur son crâne. La magie suintait sur ses lèvres, qui, aux yeux de Madelyne, apparaissaient comme étant extrêmement roses, fluorescentes. Elle se pinça les lèvres, et les entrouvrit ensuite quand la femme vint l’embrasser.
« Hmmmm... »
Ce fut un baiser particulièrement onctueux et magnifique. Un baiser très spécial, car, quand la succube l’embrassa, Madelyne sentit une épaisse vague la traverser, filant de haut en bas, irradiant dans tout son corps. Son intimité se mit à luire davantage, la mouille filant, et, pendant quelques secondes, la Goblin Queen restait tout simplement hagarde, les yeux dans le vague, illustrant le plaisir féroce qu’elle ressentait. Son corps sembla ensuite revenir, et elle fronça les sourcils... Puis répondit au baiser de la femme, remuant sa langue contre la sienne, sa propre main venant, à son tour, appuyer sur les cheveux de la succube.
Ses yeux se fermèrent ensuite, et son autre main glissa sur le dos d’Angéline, la caressant, la griffant même un peu. Ses ongles filaient sur sa belle peau, douce et en sueur, et elle mordilla ses lèvres, l’embrassant encore, avec énergie.
« Haaaaaa... »
La succube était en train de lui montrer ô combien le sexe, entre les mains d’une démone de la Luxure, était bon. Et, en ce moment, la magnifique femme rousse adorait ça !
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Les pouvoirs des succubes pouvaient revêtir de nombreuses formes mais tous ont le même objectif : donner un plaisir extrême à leurs victimes tout en se nourrissant de leur force vitale. Ce dernier aspect du pouvoir n'était pas utilisé pendant le baiser que la belle démone offrait à son amante rousse, elle pouvait donc concentrer plus de puissance dans l'aspect plaisant de celui-ci. N'importe quel homme rêverait de pouvoir provoquer un orgasme chez leur partenaire rien qu'en l'embrassant et la succube le pouvait. Asmodée avait aussi le même genre de pouvoir mais en beaucoup plus destructeur pour la psyché de sa victime, il pouvait briser l'esprit des femmes au point de les rendre semblable à des marionnettes sans volonté propre qui n'obéissaient qu'au démon. Douceur et brutalité, c'était en quelque sorte la marque de fabrique du couple.
Angeline montrait donc à sa belle rousse comment une succube pouvait pratiquer le sexe, de la plus brutale des manières à la plus douce et extraordinaire. Elle passait ses mains sur le corps de la belle, la caressant, la calinant, la massant, la serrant contre elle sans rompre le baiser. Mêlant sa langue à celle de Madelyne, elle lui envoyait de puissante vague de plaisir.
Elle ne comptait pas rompre le baiser de sitôt, elle voulait la rendre folle rien qu'avec ce langoureux et ardent baiser. Après la férocité des pénétrations, il était maintenant temps du plaisir plus sensuel mais tout aussi puissant.
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Ce baiser était clairement magique, dans tous les sens du terme. Il était bien trop agréable pour être un simple baiser, car il provoquait en Madelyne de multiples vagues de frisson intenses, des spasmes nerveux qui traversaient tout son corps, et la faisaient vibrer. Elle frissonnait sur place, sentant certes les mains d’Angéline la caresser, mais se focalisant surtout sur son baiser, qui provoquait en elle un orgasme important. Pour autant, rompre son esprit sous cette vague de plaisir serait difficile, car Madelyne était une redoutable télépathe. On ne brisait pas sa psyché si facilement, mais elle pouvait néanmoins se sentir partir. Sous l’effet d’un tel baiser, elle imaginait volontiers les victimes de la succube fondre contre elle, devenant hagards et inertes, l’esprit perdu dans le vide, servant ensuite de repas à la succube pour dévorer leurs âmes. Madelyne, néanmoins, tenait bon, voulant aussi profiter de ce moment.
Couchée au milieu de sa chambre d’hôtel, sa main caressait le dos de la succube, glissant sur le creux, pour rapidement palper ses fesses, où elle fut rejointe par son autre main.
« Mmhmmm... !! »
Sa mouille filait, et le temps, lui, défilait à toute allure, sa langue jouant avec celle de la succube. Yeux clos, Maddie profitait pleinement de ce moment, et on pouvait sentir sa chaleur corporelle croître de manière inhabituelle, son corps semblant briller. Sous l’effet de ce plaisir intense et continuel, Madelyne sentait la force latente du Phénix en elle tourbillonner dans son corps, ce qui la rendrait... Brillante.
Elle frémissait donc d’excitation, elle aussi n’étant guère désireuse de rompre ce baiser, à l’origine de sensations magnifiques, et le poursuivait donc, tout en palpant les délicieuses fesses de la succube, et en soupirant de plaisir.
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Habituellement, Angeline n'aimait pas les femmes car d'une part ses pouvoirs étaient affaiblies mais aussi car il était rare de trouver une femme qui lui plaise. La succube faisait passer le plaisir avant la faim, elle ne choisissait ses victimes que parmi les personnes qui lui plaisaient physiquement. La démone aimait prendre et donner du plaisir et c'était bien plus par envie personnel que parce qu'elle répondait à sa condition de démone de la luxure. En ce point, elle était très différente de son frère. Asmodée, lui, se fichait bien que ses victimes lui plaisent tant que leur âme était appétissante. L'incube se fichait bien que sa victime ait huit ou quatre-vingts huit ans, il se fichait aussi de prendre du plaisir avec, seul se nourrir lui importait.
Angeline gardait donc Madelyn pour elle toute seule, elle était parfaitement à son goût et ses lèvres étaient délicieuses. Il lui aurait été impossible de dire si le baiser durait depuis une minute ou une heure, elle pouvait durer infiniment alors elle laissait à sa partenaire le choix de rester coller à ses lèvres ou rompre le baiser.
Embrasser avec toute sa passion et sa magie n'empêchait pas la succube de jouer avec le corps de sa partenaire. Elle glissait doucement sur son corps, se frottant à elle et pressant sa poitrine contre la sienne. Ses mains parcouraient toujours le corps voluptueux de la belle rousse. Elle ne laissait aucun répit à son corps, là où ses mains ne pouvait aller c'était ses jambes et ses pieds qui s'y rendait. La scène pouvait parfois sembler étrange mais tout était là pour augmenter toujours plus le plaisir de cet ardent instant passionné.
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C’était comme une bulle, ou comme une parenthèse, suspendant le temps au gré des lèvres d’Angéline. Il ne faisait maintenant plus aucun doute que les lèvres d’Angéline étaient chargées de magie, même si le talent y comptait aussi pour beaucoup. Couchée sous elle, Madelyne était traversée par d’irrépressibles et violentes vagues de plaisir, qui se déchaînaient en elle avec énergie et avec une intensité exceptionnelle. La Goblin Queen était incapable de repousser tout ce plaisir, qui l’amenait à enchaîner les orgasmes avec une frénésie très particulière, et ne devait le fait de rester consciente qu’à son grand mental, et à ses impressionnants pouvoirs télépathiques.
« Hmmmmm... »
Voilà ce que Maddie poussait depuis maintenant de nombreuses minutes. De longs gémissements et de profonds soupirs, tandis que ses mains glissaient sur le dos parfait de la succube, un dos qui se cambrait sur elle. Si Angéline palpait son corps avec ses mains, pinçant ses seins, grattant ses hanches, glissant sur son ventre, Madelyne, elle, lui rendait la pareille, mais en se concentrant sur son dos, et, surtout, sur ses belles fesses musclées, qu’elle pressait régulièrement, les pinçant. Après le plaisir intense et très brutal qu’elles avaient fait dans cette suite d’hôtel, notamment en invoquant les Gobelins de Madelyne, ce changement de régime était aussi surprenant que bienvenu.
Madelyne se laissait donc bercer, car elle était, en ce moment, bien incapable de repousser la femme. La succube la tenait entre ses mains, la faisant plonger dans un océan de douceur et de jouissance, lui offrant un plaisir si intense qu’elle ne pouvait pas la repousser. La Goblin Queen était pour l’heure sujette aux humeurs d’Angéline, mais on pouvait malgré tout sentir, dans la manière dont ses mains commençaient à se crisper sur les fesses, que son corps commençait à en réclamer davantage...
...Ce qui ne l’empêchait pas, au demeurant, de fourrer sa langue dans sa bouche, la léchant encore.
*Il n’empêche que je dois admettre qu’elle a des pouvoirs magiques particulièrement impressionnants...*
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Toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin même lorsque c'est un démon qui le fait. Angeline rompait doucement le baiser, mettant ainsi un terme au charme de plaisir qui envoutait le corps de la belle rousse. Elle quittait doucement ses lèvres mais c'était pour mieux s'occuper du reste de son corps.
L'embrassant d'abord sur le menton puis le cou, ne perdant pas l'opportunité de la lécher et de lui laisser un petit suçon. Elle descendit pour embrasser sa poitrine, la couvrant de baiser, lui léchant les tétons et les mordillant même. Elle se déplaçait sur le corps de son amante, profitant de se trouver sur elle pour prendre son temps
Les baisers au niveau de l'intimité furent cependant peu nombreux. La succube se redressa pour se mettre en ciseau part rapport à Madelyne et presser son intimité contre la sienne.
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Angéline termina son envoûtement. Madelyne aurait sans aucun doute pu la repousser avant, mais la succube avait déclenché en elle une telle vague de plaisir que la Goblin Queen ne s’était tout simplement pas sentie le cœur à la repousser, appréciant ce long moment de plaisir et de joie. Tout son corps en frissonnait agréablement, et elle papillonnait des yeux, la respiration haletante. Tandis que la succube glissait sur son corps, l’embrassant en de multiples endroits, Madelyne avança l’une de ses mains, et titilla ses lèvres avec ses doigts, comme pour sentir, encore, les traces du passage de la succube.
Et elle mordilla ses lèvres quand la succube déposa plusieurs baisers mordants sur ses tétons.
« Hnnn... !! » gémit-elle.
Le plaisir crut encore dans son corps, tandis qu’elle sentait Angéline filer tout le long de sa peau. Là, et encore là, et ici aussi, des baisers. Elle ne cherchait à négliger aucune partie de son être, ornant ses seins de multiples baisers et caresses sensuelles, pour descendre ensuite, jusqu’à se redresser. Elle laissait la femme rousse frétillante d’envie et de désir, , en se redressant, et en s’allongeant face à elle.
« Diable... Tu m’auras fait la totale ce soir, Angéline... »
C’était une chance que Madelyne soit endurante, même si les deux femmes avaient quelque peu inversé l’ordre naturel des choses, commençant par la brutalité sauvage, avant de finir dans la douceur. Madelyne, elle, se contentait de se laisser porter par l’élégante succube, qui glissa ses jambes contre les siennes, optant pour la délicate position des ciseaux (http://img110.xooimage.com/files/4/b/7/wiki-tribadism-4b74139.png). Madelyne posa sa main sur l’une des cuisses d’Angéline, et s’avança d’avant en arrière. La position était assez inhabituelle pour elle, mais pas inconcevable. Gémissant longuement, elle soupirait de plaisir, filant vers le bas en pliant ses jambes, puis les étira à nouveau, avant de revenir encore en arrière, tapant à chaque fois contre le bassin de la femme. Son bourgeon se heurtait aussi à sa fleur intime, provoquant d’étranges frissons, tandis qu’elles se masturbaient mutuellement.
Quand elles étaient collées l’une à l’autre, leurs mouvements se faisaient plus lents, plus chirurgicaux, plus précis, afin de bien se caresser. Les ongles de Madelyne se crispaient sur la peau de la femme, et elle continuait à onduler contre son corps, en haletant et en gémissant.
« Haaa... An... Angéline, hmmm... ! »
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La belle démone avait envie de finir cette rencontre avec l'humaine en beauté. Elles avaient déjà eut leur moment de violence surnaturelle au début, ça allait donc finir tout en douceur et en sensualité. Ce n'était pas vraiment le point fort de la succube que de pratiquer ce genre de position purement fait pour le plaisir lesbien mais elle savait tout de même comment s'y faire. Elle s'était donnée à fond alors elle espérait que son amante avait vraiment apprécier ses moments avec elle.
Elle faisait onduler son corps pour faire profiter au maximum de la position à Madelyne. Elle se pressait sensuellement contre son intimité avec la sienne et se frottait doucement tout en se caressant. C'était extrêmement plaisant et son corps déjà bien excité par tout ce qu'elles avait fait avant montrait les premiers signe de jouissance ;
"Hm... j'espère que tu as aimé nos petits moments intimes ma chérie..."
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Une succube se devait d’être éclectique en matière sexuelle, d’avoir plusieurs cordes à son arc, et d’alterner entre différentes pratiques. En ce moment, elles optaient pour une position relativement sportive, athlétique, et très excitante. La main de Madelyne se crispait sur la cuisse de la femme, et elle continuait à filer contre elle, à unir son corps au sien, haletant et gémissant longuement à chaque fois. C’est dans cette situation, jambes et corps entremêlés, que les deux femmes se poussèrent mutuellement vers l’orgasme. Un long soupir traversa les lèvres de Maddie, qui posa sa tête contre le sol, et laissa le plaisir traverser et envahir son corps, se déversant contre celui de la femme.
« Hmmmm... »
Son corps se relâcha, ses muscles se décontractèrent, et elle se relâcha encore, sentant le plaisir affluer une nouvelle fois dans son être. Tout en elle se relâcha, et elle s’absorba dans cette sensation de plaisir magnifique, détendant ensuite ses jambes. Au loin, elle entendit Angéline lui parler. Madelyne était en sueur, respirant bruyamment, et se redressa progressivement, récupérant ses jambes.
« Hum... J’avais oublié à quel point les succubes peuvent être... Insatiables. »
Heureusement, Angéline le lui avait rappelé. Madelyne finit par se relever, et se déplaça un peu. Elle titubait un peu, ayant mal un peu partout, et usa de sa télékinésie pour faire apparaître une bouteille de vin, avec des verres à pied.
« Je regrette de vous avoir accueilli dans un endroit aussi ridicule. La prochaine fois, j’aurais un endroit plus... Spacieux. »
Elle parvint à leur sourire, tout en avalant un peu du contenu de son verre, le vin filant dans sa gorge, lui donnant un coup de fouet, comme pour la sortir de la torpeur dans laquelle l’après-coup sexuel la mettait. Madelyne était encore dans cette torpeur du plaisir, mais ça ne l’empêcha guère de retourner aux choses sérieuses, en observant à la fois Angéline et Asmodée :
« J’imagine que, maintenant, notre petit différend est réglé ? » demanda-t-elle, tout en se doutant déjà de la réponse.
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Cette petite après-midi de sexe endiablé lui avait fait le plus grand bien, elle était loin d’avoir eu son compte car son essence de succube la rendait toujours assoiffée de plaisir sexuel mais elle comptait bien sur son frère pour accompagner le reste de la journée. La belle rousse lui avait bien plu mais il était temps de mettre un terme à ce délicieux moment. La succube jouit en même temps que sa compagne, chacune faisant s’écouler leur jus de plaisir contre l’autre. Madelyn semblait plus fatiguée qu’Angeline mais ce n’était pas vraiment étrange au vu de leurs différentes essences.
Elle regarda l’humaine faire apparaître une bouteille de vin ainsi que des verres après s’être relevé et elle se releva également en buvant un verre aussi. Elle sourit lorsqu’elle demanda pardon pour les avoir accueilli dans un endroit aussi petit :
« Nous n’avons pas besoin de très grands espaces pour faire ce que nous avons fait, être tout serré l’un contre l’autre c’est sympa aussi »
Elle hocha ensuite la tête à la question :
« Oui, tout est réglé. Ne te fais pas de soucis. La prochaine fois que nous nous croiserons, ce ne sera que pas pure amitié… normalement. »