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Mitiel, une cité plutôt florissante dans les terres sauvages, fortifié et protéger par une milice composer d'ancien soldat ou mercenaires. Une ville considérer comme neutre, bien que rattacher à Nexus, du fait de sa position des plus adéquat pour les voyageurs en perditions et loin de tout champs de bataille, diriger par un homme bon, mais un peu porter sur l'alcool et la luxure. C'est une ville qui sert d'étape pour ceux qui voyage, offrant gîte et couvert de par ses nombreuses auberges et une protection pour une nuit contre de potentielle danger. On peut se ravitailler en eau et nourriture, réparer son équipement ou le compléter, grâce à ses forges et marchants. Apogée était venue dans cette ville afin de se renseigner sur des ruines d'une forteresse naine dans le coin, qui pourrait avoir quelque objet intéressant, selon les rumeurs et ce que lui avait dit un marchant, une des connaissance d'Apogée qui s'occupait de la revente de ce qu'elle trouvait.
Sa position lui était inconnue, sachant juste qu'elle était dans le coin, mais cette ville était parfaite pour trouver des infos, regroupant bien des aventuriers, rester plus qu'à trouver quelqu'un ayant des informations ou mieux un guide, ça serait plus simple et plus sympa, autant pour le voyage et que pour être sur de trouver la dite forteresse. Les forteresses naines étaient généralement de très bon endroits pour trouver des artefacts ou des reliques, mineur comme majeur, de plus les nains mettaient le prix fort pour récupérer les reliques et artefacts de leur peuple, d'ancien écrit ou création de maître forgerons, qu'ils n'avaient pas put trouver ou sauver eux même. De quoi se la couler douce pour de nombreux mois.
Mais d'abord fallait t-il arriver à en trouver, car les nains étaient particulièrement doué pour cacher et protéger leur trésors, à l'aide de piège et d’énigme en passant par leur création runique, comme les golems de granites. Pour l'instant, Apogée se concentra sur la recherche d'un guide. Entré dans la ville ne fut pas un soucie, devant juste payer le droit d'entré et dire ce qu'elle était. L'architecture de la ville rappeler celle de Nexus, bien que les bâtiments avait des allure de mini-forteresse, sans doute pour survivre en cas d'invasion, avec une touche elfique pour les toit, majestueuse et au motifs complexe.
Elle se dirigea vers le centre de la ville, lieu où elle serait le plus à même de trouver des information, généralement l'endroit le plus animée, qui se révéla être le marché, lieu parfait pour ragot, rumeur et information. Fessant mime de s'intéresser à ce que vendait les marchants, qui semblait impressionner par sa carrure et sa lame qui était plus une grosse plaque de fer. Après quelque minutes, et quelque achat de nourriture, aucun d'eux n'avait connaissance d'une forteresse naine ou d'un guide pour une t-elle chose, néanmoins l'un d'eux lui parla d'une personne qui connaissait bien la région, qui serait le plus à même de lui répondre. Un vieux voyageur vivant dans le quartier est, tout près de l’hôtel de ville, qui avait parcourue un peu partout à travers les terres sauvages, il en savait beaucoup sur cette région. Rassurer et confiante, elle alla lui rendre visite, ce qui lui prit que quelque minute, arrivant devant une boutique de bibelot magique, ce qui en disait long sur ce qui était cet homme, au grand dam d'Apogée, mais elle avait une forteresse à visité et il semblait être le seul à pouvoir l'amener.
Elle entra donc dans la boutique, une clochette retentissant et un homme d'un age plutôt bien avancer se présenta, bien qu'il semblait plein d'énergie. Son regard n'échappa à Apogée, il semblait surprit de la voir, elle était très habituer et généralement les mages hurlaient qu'elle était un créature magique et utiliser leur pouvoirs pour d'obscure raison, mais ça ne lui fessait rien. Mais étrangement il ne fit, peut être que ce n'était pas mage ? Sans doute surprit de voir une guerrière dans une boutique de magie, se rassura Apogée.
-Bien le bonjour noble guerrière, que me vaut le plaisir de votre visite ? Demanda gracieusement le vendeur
-B'jour, on ma dit que vous connaissiez bien la région et que vous savez où j'peux trouver une vielle forteresse naine. Demanda directement Apogée.
-Une forteresse naine ? Mmmmh.... vous devez parler de Karaz'hor, fière bastion nain. Dommage qu'ils l'ont l’abandonner précipitamment pour porter secours à un autre bastion. Les orcks en ont fait un refuge en massacrant la garde sur place. Ils n'ont jamais pus la reprendre et après Ashnard est passer par là, ne laissant que des ruines. Je sais où elle est, et je voudrais vous servir de guide, car j'ai toujours voulue la visiter, mais je n'ai jamais eu le courage
-Ok, ça s'ra plus simple pour moi de tout façon. Répondit Apogée. J'aimerais partir le plutôt possible, si ça vous dérange pas.
-Le temps de me préparer et on y va, cela fait longtemps que j'ai voulue la visiter et vous m'offrez la possibilité.
Apogée lui fit un signe de tête et sortie de la boutique, ne se posant pas de question sur la rapidité de réponse de l'homme et de l'échange, ni ne se demandant si il disait vrai, car bien des aventuriers passait par là. Elle ne pensa pas à ça, se contentant d'imaginer ce qu'elle pourait trouver, les nains étant de fascinant inventeur et une race ancienne, qui sait qu'elle sont les héritages laissaient qu'elle pourrait trouver ? Ce fut après quelque minute, que l'homme sortie, équiper pour l'exploration et de long voyage, il ferma sa boutique et invita Apogée à la suivre. Il fallut une dizaine de minute pour sortir de la ville, au total, Apogée n'aura passer qu'une heure dans la ville.
L'étrange duo s'éloigna de la ville, allant vers le nord est, se dirigeant vers de lointaine colline, ou montagne lieu favori des nains. S'éloignant à grand pas de la ville, l'homme lui parla de ce qu'il savait de cette forteresse, engoncer dans le flan d'un montagne, ne possédant qu'une entré principale, les lourdes portes d'acier jeter à terre, des vestiges de trébucher et une muraille de granite à moitié percer de troue et écrouler. Pas grand chose d'utile, si ce n'est que la porte est grande ouverte pour tout le monde, les chances de trouvaient quelque chose était donc mince, mais les nains savaient très bien cacher leur bien les plus précieux, il restait quand même de l'espoir de trouver quelque chose !
Il voyagèrent ainsi deux jours, s’arrêtant que pour la nuit, manger ou se reposer, l'homme, malgré son âge, arriver à suivre le rythme d'Apogée qui fut surprisse de le voir aussi endurant et habituer à ce genre de voyage. Seuls et loin de tout, Apogée aimait bien ça, ne supportant pas les mages des grandes villes ou les recruteurs d'Ashnard et de Nexus. Bref elle préférait vivre en aventurière et dehors. Le soleil était bientôt à son zénith, la chaleur plutôt forte, bien qu'Apogée ne sentait pas de différence. Le duo marchait plutôt rapidement, en vue de ce qui était de petite montagne, n'ayant bientôt plus qu'un ou deux jour pour atteindre la forteresse tant désirer.
-Bien, nous ne somme bientôt arriver très cher, on peut se reposer maintenant, le temps que je fasse quelque chose ! Clama le vielle homme en déposant ses affaire au sol.
-Hein ?! Mais y'a même pas d’abri dans le coin ! Réagit Apogée surprise.
Sans prévenir, l'homme lança un trait de glace sur les pieds d'Apogée, avant de créer des pentacles de lumière mauves autour d'Apogée , d'où jaillirent des chaînes noirs, s'enroulant autour d'Apogée.
-Bordel de... ?! Mais t'es un putain de mage ! Grogna Apogée, tandis qu'elle brisait l'étau de glace à ses pieds, ce qu'un humain normale n'aurais pas pus faire
-Tcht... fit le mage. Je ne m'attendais à ce que tu soit plus intelligente, mais tu ne le remarque que maintenant, mais ta force suffira pour mes taches et pour t'étudier, pour un créature artificiel, tu es bien trop proche de l'humain pour une créature de ton genre, et ton apparence trop parfaite. De plus je ne sens pas la marque de ton maître en toi. Souffla t-il.
-J'suis humaine connard et j'suis pas une esclave ! Tu vas voir, je vais t'envoyer discuter avec les taupes, tu dira bonjour aux sauterelles en passant ! Grogna Apogée.
Rassemblant ses forces, elle put bouger ses bras malgré ses entraves, parvenant à attraper quelque chaîne. D'un coup sec, elle brisa net les chaînes et s'empara de son épée. Ce mage à fait exprès de s'éloigner le plus possible de la ville pour pas être déranger ou de créer un combat dans la ville. Libérer, Apogée partait dans la furieuse intention d'user du plat de sa lame pour envoyer valser comme une balle ce type, il mourra sur le coup sans doute, mais elle en avait assez. Le mage murmura quelque parole et fit quelque signe avec ses mains, puis une puissante pression écrasa Apogée contre le sol, l'attraction terrestre devenue beaucoup trop forte, la clouant contre le sol.
-Héhé, un simple sort de gravitation et te voilà à terre. Dit le mage. Maintenant j'ai tout mon temps pour que tu devienne mon familier !
-Fils de pute ! Retorqua avec véhémence Apogée
Usant de sa magie, il tenta de découvrit le sceau qui permettait de marquer sa magie pour devenir son maître, mais elle était parfaitement cacher, cela lui prendrait du temps, mais ce n'est pas grave. Il avait prit son temps afin d'arriver à cet endroit, il la connaissait, relativement déserter par les prédateurs les plus dangereux des terres sauvages, rien qu'il ne puisse pas repousser. Mais trouver ce sceau prendrait du temps, sans compter qu'il puisait dans ses réserves de manas pour maintenir le cercle de gravitation sur ce golem vraiment très étrange.
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Liste des Amazones présentes :- (http://img95.xooimage.com/files/d/8/8/astrid-head-3f7ae3d.jpg) (http://img99.xooimage.com/files/f/9/9/amazones---astrid-3f7ae33.jpg) Astrid est une puissante Amazone née au sein de la Horde. Faisant partie de la caste des guerrières, Astrid est née lorsque la Horde était dans une région montagneuse et glacée, balayée par des tempêtes de neige. Sa mère fut choisie parmi les villageoises de la région, offertes en tribut par les petits seigneurs locaux, afin d’éviter de subir le courroux des Amazones. La mère d’Astrid, soit celle qui l’enfanta, était une femme dotée de pouvoirs magiques récessifs, qui s’affirmèrent avec la naissance d’Astrid. Sa magie s’exprime toutefois dans son combat. Elle utilise des pouvoirs de Glace en enchantant sa lame, et est généralement envoyée en éclaireuse, ou sur des missions en solitaire.
- (http://img110.xooimage.com/files/f/6/d/fanis_head-4af8564.jpg) (http://img110.xooimage.com/files/d/8/c/amazones---fanis-4af8572.jpg) Fanis a grandi et est née au sein de la Horde. Elle est une Amazone de pure souche qui fait la fierté de la Horde. Guerrière accomplie et puissante, elle a bénéficié des rituels amazones ayant fait d’elle une vraie guerrière. N’ayant aucun pouvoir magique, elle se bat avec une tenue extrêmement légère, faite à partir de cuir et de soie. Elle adhère à cette philosophie amazone qui veut privilégier l’esquive, afin de faire du combat une danse mortelle, où les Amazones sont intouchables, et où les hommes sont plus occupés à reluquer leurs seins qu’à observer le bout tranchant de leurs lames. En tant que guerrière, Fanis a déjà engrossé de nombreuses Amazones, ce qu’elle fait toujours avec un grand et sincère plaisir.
«
Nous nous rapprochons... -
Si on en croit ta carte ! -
Ma carte est fiable. »
Haussement d’épaules de la part de Fanis. Astrid n’aimait pas qu’on remette en doute ses propres investigations. L’Amazone, néanmoins, ne pouvait pas dire grand-chose. Quand elle avait mené ses recherches dans l’auberge, elles avaient tué une demi-douzaine de personnes, les contraignant à fuir rapidement. Fanis était connue pour son tempérament intempestif, et, quand un homme avait voulu la violer, soutenu par l’aubergiste et par toute une bande, elle lui avait tranché la main, l’avait égorgé. Un acte qui aurait pu amener les autres à fuir, mais ils avaient préféré charger. En définitive, Fanis avait fui, car, bien que victime, elle était inconnue des villageois, et avait donc été immédiatement leur cible. Une nouvelle histoire qui viendrait ternir la réputation des Amazones.
Astrid, de son côté, avait été plus adroite, et avait réussi à obtenir cette carte dans un autre bourg. C’était une vieille carte marchande naine de la région, et un nom, en particulier, avait attiré son attention. «
Karaz’hor ». L’endroit où, d’après leurs informations, elles trouveraient des richesses naines. La Horde était toujours à la recherche d’or, notamment afin de pouvoir acheter des vivres, des armes, des ressources... L’or, de nos jours, était une ressource économique centrale, et qui mieux que les nains pour se servir ? Karaz’hor appartenait à un ancien Royaume nain, au nord de Nexus. Ou, plutôt, à une partie désormais abandonnée d’un Royaume nain. En effet, au nord de Nexus, le long de massifs montagneux, on pouvait trouver une importante concentration de nains, l’ensemble formant ce que, communément, on appelait les Royaumes nains. Une série de mines, de cités, et de solides et impénétrables forteresses.
Karaz’hor avait jadis eu pour fonction de protéger une route commerciale naine convoyant depuis différentes carrières et mines naines quantité de chariots de matières premières (pierre, fer, argent), vers une grande cité naine, Berngeyr. Durant la guerre contre les elfes, il y a des millénaires de cela, Berngeyr avait été abandonnée par les nains, et Karaz’hor avait également fini par être abandonné. Cette histoire sombre du passé des nains n’était pas facilement trouvable, mais, en se rendant à Berngeyr, Astrid et Fanis avaient inspecté les registres et les états-comptables de la ville. Elle savaient ainsi appris que, jadis, les administrateurs nains avaient regroupé leurs fortunes dans l’enceinte de Karaz’hor, afin de protéger leur or contre les oreilles pointues... Mais ces chariots n’étaient jamais revenus. Cela, Astrid le savait, car, en recoupant cette information avec d’autres informations, elle savait que Karaz’hor s’était retrouvée isolée à cause d’une forte tempête de neige, qui avait coupé toutes les routes. Ensuite, la forteresse avait sombré dans l’oubli, car, après la neige, la forteresse avait été envahie par les Orcs. Les elfes avaient réussi à prendre Karaz’hor, mais avaient été trop affaiblis pour repousser les Orcs. Quid du trésor de Karaz’hor ?
Les Amazones s’étaient rendues dans les cités elfiques proches, en recherchant ce trésor. Elles avaient envoyé
Clara (http://img110.xooimage.com/files/f/9/a/golden-kabala-4aa640a.jpg), une autre Amazone qui avait été éduquée par les elfes, et qui, il y a quelques jours, avait envoyé à Mitiel, la plus grande cité humaine proche, un message clair : l’or de Karaz’hor n’avait jamais été récupéré par les elfes.
Il était donc probablement resté dans la forteresse...
«
Et c’est là-bas que nous nous rendrons... D’après la carte, nous approchons. »
Fanis hocha la tête, en regardant autour d’elle. Généralement, elles trouvaient des voyageurs avec qui bivouaquer autour d’un feu de camp, mais, là, elles étaient en pleine nature. Leurs chevaux s’avancèrent lentement, le long des arbres. La région était très montagneuse, et le crépuscule approchait. Il était temps de se reposer. Astrid sentit soudain un frisson la parcourir, et releva la tête, en serrant les lèvres.
«
Je sens... Je sens de la magie à proximité... »
Astrid était née avec un potentiel magique important, ce qui lui permettait d’avoir des affinités à la magie. Elle s’avança plus rapidement, et finit par délester son cheval, avant de froncer les sourcils en voyant, par-delà les arbres, au pied d’une petite colline, un curieux spectacle. Les mains d’un mage flamboyaient. Fanis rejoignit rapidement Astrid, et la jeune femme leva la main, faisant signe à Fanis de rester à couvert. Prudemment, cette dernière sortit un arc, une flèche entre ses doigts.
«
Par la malepeste ! Je trouverais le mot-clef ! »
L’homme psalmodiait des litanies autour d’une immense femme, qui était au centre d’un glyphe magique.
*
Mais qu’est-ce qui se passe ?*
Curieuse, Astrid se laissa descendre, et marcha volontairement sur une branche morte, amenant le mage à se retourner. Il fronça les sourcils en voyant l’Amazone s’approcher dans son champ-de-vision, tandis que, pendant ce temps, Fanis le visait prudemment.
«
Je m’appelle Astrid, mage. Que se passe-t-il ici ? »
Le ton d’Astrid était calme, mais on pouvait clairement voir, dans ses yeux, qu’elle était très vigilante.
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Une branche craqua, et le mage se retourna vivement, sa mains entourer d'un halo blanc bleu, au centre une boule blanche se formant. Il fit disparaître le trait de glace qu'il avait faillit envoyer. Une voyageuse, ou plutôt une sauvageonne à ses yeux, venait les déranger. Jurant intérieurement, le mage espérait que tout ne déraillerait pas, car il sentait que cette femme aller poser problème, sans compter qu'elle se dirigea vers lui. Quand il put distinquer ses yeux, il vit clairement qu'elle n'était ordinaire, semblait presque habituer à la magie et qu'elle ne semblait pas être une bleu. En se rapprochant, Astrid pouvait sentir qu'il émanait de puissant flux de magie mystique, noire et inconnue, d'Apogée maintenue dans le cercle de gravitation qu'il avait élargie.
« Je m’appelle Astrid, mage. Que se passe-t-il ici ? »
-Je n'ai que faire de votre nom, car il ne me sert à rien et que je ne vous donnerez pas le miens. De plus ce qu'il se passe ne vous regarde pas ! Répondit de but en blanc le mage.
-Il va juste tenter de t'enculer qu'il en aura l'occasion ! Grogna Apogée qui malgré la pression exercée, se releva, la terre se fissurant sous pieds, avec de craqué et qu'Apogée ne s'enfonce de deux-trois centimètre. Il m'a trahit et il va le regretter !
-Comment... ?
-Avec mes jambes connard ! Prépare ton dentier, t'aura plus de dents dans quelque temps. Grogna Apogée, alors qu'elle parvint à faire un pas, laissant un profonde marque sur le sol.
Sa force lui permettait d'avancer malgré la pression, le mage ne semblait pas avoir prévue cela. Peut être que la distraction de cette gourde avait perturbé son cercle de gravitation ! Si cette idiote n'était pas venue, ce golem ne serait sûrement pas entrain de marcher sous cette gravitation qui mettrait n'importe quel homme à terre ! Son créateur était impressionnant, il aimerait bien le rencontrer. Le mage secoua la tête et jeta un œil mauvais à cette Astrid.
-A bah bravo ! Votre intervention à perturbé ma concentration et ce golem est entrain d'en profité pour se libérer ! On vois bien que vous ne savez même pas pourquoi vous êtes venue ici ! Gronda t-il. Et maintenant elle va sûrement nous tuer sur ordre de son maître!
-Y a que toi qui vas souffrir ! J'suis humaine et j'suis pas une esclave ! S'il faut péter tout tes os pour que tu le comprenne, j'vais pas me gêner ! Grogna Apogée, alors qu'elle avait réussit à faire trois pas. Toi la sauvage, tu ferais mieux de ne pas l'écouté !
Plus que deux pas et elle sortait du cercle, ce qui paniqua le mage. D'une impulsion magique il repoussa Astrid, de façon de l'éloigner d'Apogée tandis qu'il brandit ses mains pour augmenté la pression du cercle, ce qui bloqua Apogée, qui tenta d'avancer, mais qui ne put que creuser une tranchet dans le sol pour avancer de quelque millimètre.
-Pfff.... Fit le mage. Remerciez moi sinon elle vous aurait tuer si je n'avais pas réagit. Dit-il en regardant l'amazone. Allez vous en maintenant !
-Tu... devrais... courir.... aussi.... ! J'arrive ! Articula Apogée, le regard remplit de fureur, dont les yeux rappelaient ceux d'un dragon, ce qui intriqua le mage.
Malgré la pression Apogée tint debout, grappillant les millimètres qu'elle pouvait en creusant ses tranchets. Elle ne pouvant pas rester dans cet position et ce laisser insulter ! Elle en avait tabasser des mages, et ce n'est pas parce qu'il peut maîtriser la gravitation que cela va le protéger !
-Mais... c'est pas possible.... Gémit le mage. F...faite quelque chose !
Le mange ne savait plus quoi faire et commencer à paniqué, car il ne pouvait pas plus renforcer la gravitation et ses pouvoirs n'aura aucun effet à l’intérieur, ses chaines seraient irrémédiablement plaquer contre la terre.
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Un litige opposait visiblement ce mage et cette grande femme... Une redoutable beauté sombre, plutôt bien musclée, et la venue d’Astrid ne sembla guère être au goût des deux individus. La logique aurait voulu que les Amazones passent leur chemin. La Nature ne récompensait guère la générosité, et se retrouver dans une situation de ce genre, c’était toujours prendre le risque de finir entre deux camps. De plus, les Amazones n’étaient pas réputées pour leur sens de l’arbitrage ou de la diplomatie. Quand la femme la désigna donc comme étant une « sauvage », Astrid serra les dents, puis le mage la repoussa ensuite. Dans les fourrés, Fanis se crispa, à deux doigts de déclencher son tir. Elle savait que les mages pouvaient être de redoutables adversaires, et le meilleur moyen de les combattre était encore de les prendre à revers. Cependant, le mage ne tarda pas à concentrer ses efforts sur la femme, la prétendue golem, qui affirmait être libre, faisant trembler le sol. Astrid vit des zébrures se former sur le sol, tandis que la force physique s’opposait à la force magique.
Ce dernier lui demanda d’intervenir, et Astrid haussa les épaules, un sourire narquois venant se dessiner sur ses lèvres :
« Vous m’avez dit de ne pas intervenir... »
Les choses n’étaient pas claires, et elle ne comptait pas se mélanger comme ça à une situation, sans en comprendre tous les enjeux. Le mage serra des dents, tentant de retenir la femme, mais la force physique du golem était telle qu’elle luttait contre ses enchantements. Bras croisés, Astrid restait en retrait, voyant le mage suer abondamment. L’Amazone l’avait distrait pendant un temps, et il n’arrivait pas à retrouver son emprise sur la femme. Sa prisonnière était en train de se libérer, et le sort finit par exploser.
« Maudit sois-tu ! Nous... Nous n’avons pas encore terminé, abomination... ! »
Le mage se retourna vers Astrid, ses yeux flamboyants dangereusement. Des arcs électriques crépitaient le long de ses doigts.
« Et vous... Tout cela est de votre faute ! »
Il allait la frapper avec ses éclairs, et, le temps qu’Astrid sorte son épée, une flèche jaillit entre les arbres, et atteignit l’homme à l’épaule, faisant couler son sang par-dessus sa tunique.
« Aaargh... Bordel ! »
Astrid avait dégainé son épée.
« Tu vas me payer ça, mage ! »
Ce dernier serra les dents, furieux, et frappa alors le sol avec sa main, répandant une onde d’Air qui repoussa aussi bien Astrid qu’Apogée... Puis il se téléporta ensuite, en tenant son torse blessé, et disparut. Astrid serra les dents, tandis que Fanis se déplaçait, se rapprochant lentement, sa position étant désormais découverte. Pendant quelques secondes, l’Amazone regarda silencieusement la femme, croisant les bras, puis finit par lui parler :
« Astrid, Amazone...
- Fanis, également Amazone...
- Nous cherchons l’accès à Karaz’hor... Ainsi qu’un camp de fortune où passer la nuit. »
L’essentiel avait été dit.
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Un humain normal serait se serait briser la colonne vertébrale et un multitude d'os s'il fessait comme Apogée. Bien qu'elle avait l’impression que ses os étaient sur le point de céder, il aurait fallut bien plus de pression pour qu'ils cèdent réellement. Elle traînait son épée, creusant un sillage des plus important dans la terre, s'enfonçant lentement dans le sol, tandis qu'Apogée réussit à lever un pied d'un centimètre, pour le rabattre lourdement un centimètre plus loin de sa position d'origine, créant plusieurs lézarde autour de son pieds sous le choc. Elle vit le mage paniqué et demander de l'aide à la sauvage, bien qu'Apogée avait un doute, ce qui la fit sourire, alors qu'elle se rapprocher lentement, usant de tout sa force pour avancer.
Brusquement et violemment, le sort explosant, provoquant un dôme d’énergie mauve sur la la zone d'effet du sort, avant de se dissiper. Apogée, plier en deux et usant de doute sa force, se releva très rapidement, chancelant sous cette remonté soudaine, perdant l'équilibre, avant de tomber en arrière.
« Maudit sois-tu ! Nous... Nous n’avons pas encore terminé, abomination... ! »
-Dans trois secondes ça l'sera ! Grogna t-elle, en se relevant, son immense épée à la main.
Le voyant créer des éclairs dans sa mains, Apogée mit son épée comme bouclier devant elle, croyant qu'elle était la cible, avant de l'entendre accuser l'autre femme, ce qui l'indigna, l'insultant de pourriture. Elle s’apprêta à chargé, l'épée en avant, comptant l'embrocher dans les règles de l'art, avant qu'une flèche ne jaillisse des buissons, transperçant son épaule, le stoppant dans son élan, interrompant son sort.
« Aaargh... Bordel ! »
« Tu vas me payer ça, mage ! »
-IL EST A MOI ! Brailla Apogée, se propulsant en avant, créant quelque lézarde sur le sol ou elle était sous la force de l'impulsion.
Mais elle fut happer par un mur, ou du ce qui s'en rapprocher. Une onde de choc la repoussa l'envoyant valser sur deux trois mètres, rapant contre le sol, avant de se relever prestement. Voyant le mage se relever et qui sembler préparer autre chose, elle balança son épée, qui fit plusieurs mouliner avant se planter dans le sol, deux mètres derrière le mages qui avait disparue.
-Espèce de lâche ! Siffla Apogée entre ses dents.
Elle vit la femme rengainer son épée, tandis qu'une autre sortie des buissons. Maussade et énerver, Apogée alla chercher son épée, l'arracha du sol d'un mouvement rageur, la remettant dans son dos, la glissant dans ses attaches. Elle s’apprêta à ramasser son baluchon et celui que le mage avait abandonner, quand les deux femmes lui adressèrent, la parole.
« Astrid, Amazone...
- Fanis, également Amazone...
- Nous cherchons l’accès à Karaz’hor... Ainsi qu’un camp de fortune où passer la nuit. »
-Apogée, aventurière, mercenaire, exploratrice, brise-machoire-de-mage et fracasse-gueule-de-mage. Répondit Apogée. On recherche la même chose, pour le camps faudra en faire un et j'vous remercie de votre intervention, sans quoi j'ignore ce qu'il m'aurait fais. J'ai une dette envers vous, compter sur moi si vous avez besoin d'aide. Conclue t-elle.
Même si elles n'avaient pas fait grand chose, Apogée était sur que sans elles, elle aurait eu beaucoup de mal à s'en tirer, elle devait remercier la providence et leur rendre la pareille. Un peu une question d'honneur, mais surtout elle déteste de ne rien donner en échange de quelque chose, elle se devait de faire quelque chose pour les remercier correctement !
-Vous voulez continuer la route on bivouaquer maintenant ? Leur demanda Apogée. On à encore quelque heures avant la nuit.
Elle ramassa le sac du mage, la carte de la région encore attacher sur le côté, attendant la réponse du duo.
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Les mages… Visiblement, cette Apogée, qui était aussi épaisse que costaude, avait l’air d’avoir une dent contre eux. Astrid pouvait le comprendre, vu l’échantillon qu’elles avaient eu. Blessé, le mage avait réussi à fuir, mais quelque chose lui disait qu’elles risquaient de le revoir sous peu. Entre-temps, le soleil avait continué à décliner, et, bientôt, se promener dans la nature serait suicidaire. La nuit, les bêtes sortaient, les plus gros prédateurs, il valait donc mieux se reposer, en trouvant un endroit tranquille. Au milieu de cette région désolée, les grottes étaient les premiers endroits à fuir, car c’était souvent par là que sortaient les monstres nocturnes. Tout comme le cœur des forêts, où les monstres avaient l’habitude de chasser. Un endroit comme ça, en réalité, était plutôt bienvenu, mais il fallait se méfier de ce mage, qui risquait tout à fait de les attaquer à nouveau. Fort heureusement, les Amazones n’étaient pas totalement démunies contre ce genre de choses. Fanis avait avec elle quelques talismans magiques qui permettaient de dresser un cercle de protection autour du camp.
« Autant s’arrêter ici… Nous repartirons à l’aube plus facilement. »
Le soleil se levait tôt en cette saison. Et puis, il y avait déjà un feu de camp. Astrid entreprit donc de s’asseoir, tandis que Fanis déposa le talisman magique, une sorte de grosse gemme, au centre, avant de le toucher du bout des doigts, et de prononcer une courte mélopée en fermant les yeux. L’objet se mit alors à luire et à vibrer silencieusement.
« Si votre ami le mage arrive, nous serons protégées comme ça, jugea bon de préciser Fanis.
- Il nous faut reprendre des forces. D’après nos cartes, nous sommes proches de Karaz’hor. Avec un peu de chance, nous rejoindrons la forteresse demain. »
Karaz’hor… Les Amazones expliquèrent ensuite à Apogée, pendant qu’elles faisaient cuir leur gibier (Fanis avait sifflé pour approcher leurs chevaux), la raison de leur présence ici. Elles étaient des Amazones, et elles recherchaient des trésors pour le compte de la Horde. Si les trésors étaient fréquents sur Terra, entre les guildes, les expéditions étatiques, et même les croisades et les missions organisées par l’Ordre Immaculé, il était de plus en plus fréquent de tomber sur des donjons vides. Mais, avec Karaz’hor, elles espéraient bien réussir à trouver de quoi revenir auprès de la Horde avec de l’or.
« C’est aussi simple que ça… Deux aventurières en recherche de reliques ou de pièces à faire valoir auprès de notre Reine pour renflouer nos caisses, et nous permettre de négocier avec les marchands. »
Il fut une époque où les Amazones se servaient en pillant et en massacrant, mais, sous les ordres d’Andromaque, il avait été décidé de mettre fin à ces tueries injustifiées. Autrement, la Horde, qui avait été très affaiblie au cours des derniers siècles, était vouée à disparaître.
« Et vous ? Sans indiscrétion… Quelle est votre histoire avec ce jeune mage ? s’enquit soudain Fanis.
- Est-ce que vous cherchez également cette forteresse naine ? »
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« Autant s’arrêter ici… Nous repartirons à l’aube plus facilement. »
-Ok... Souffla Apogée, s'attendant à ce qu'elle partent en roue tout de suite, un peu frustré, rien d'apparent.
L'épisode du mage avait été chronophage, il avait eu le temps de faire un feu de camp, miraculeusement épargnée par l'onde de choc. Apogée aurait pus les laisser là et continuer, mais elle avait une dette et se devait de la remplir. Et puis avoir une vrai compagnie serait bien plus intéressant. À cette pensée, Apogée se posa comme question si elle devait pas accepter la demander de la guilde des explorateurs à Néxus, elle se ferait plein de compagnons et elle pourrait trouver d'autre lieu bien plus intéressant.
Elle retira son épée, la posant sur le sol, non loin d'elle afin de l'avoir à porté en cas d'attaque, priant dans sa tête pour que le mage vienne afin de pouvoir l'éclater. Elle regarda celle s'étend présenter sous le prénom de Fanis, déposait un talisman, qu'Apogée devina magique, au vue de la curieuse sensations la traversant, quand il se mit à réagir au son de la curieuse mélopée. Tout la magie contenue en elle avait été heurtait par le pouvoir du talisman, se fessant repousser, préservant Apogée des effets de cette magie, perturbant un peu le talisman, rien de visible à moins de l'avoir surveiller, avant de reprendre son état d'origine, avant la perturbation.
Le soleil se levait tôt en cette saison. Et puis, il y avait déjà un feu de camp. Astrid entreprit donc de s’asseoir, tandis que Fanis déposa le talisman magique, une sorte de grosse gemme, au centre, avant de le toucher du bout des doigts, et de prononcer une courte mélopée en fermant les yeux. L’objet se mit alors à luire et à vibrer silencieusement.
« Si votre ami le mage, nous serons protégées comme ça, jugea bon de préciser Fanis.
- Il nous faut reprendre des forces. D’après nos cartes, nous sommes proches de Karaz’hor. Avec un peu de chance, nous rejoindrons la forteresse demain. »
À la mention du mage, et surtout ami, Apogée grogna n'appréciant pas trop la façon de parler de lui. Bien évidemment elle n'en voulait pas vraiment à Fanis, juste pour signaler que cela l'avait... irrité. Elle due cela dit admettre que le mage c'était pas foutue d'elle pour l'emplacement de la forteresse, peut être voulait t-il se servir d'elle en cas de danger. Tandis que ses deux, désormais compagnons de route, fessaient cuire du gibier attacher auparavant sur leur chevaux, dont elle se promit un jour d'en faire, elles racontèrent la raisons de leur présence ici, en plus de préciser leur origine, des amazones dont Apogée aurait due se douter, au vue de leur équipement.
« C’est aussi simple que ça… Deux aventurières en recherche de reliques ou de pièces à faire valoir auprès de notre Reine pour renflouer nos caisses, et nous permettre de négocier avec les marchands. »
En bref elles étaient comme Apogée, bien qu'Apogée le fessait pour son propre compte. Ça allait poser problème, si elles tombent sur la même chose, mais leur objectif semblait différent, elle voulait juste de l'or et des babioles qu'elles pourraient revendre, Apogée était là juste pour des choses que seules les nains pourraient connaître comme étant de très précieux, un savoir perdue ou une création d'un Maître des Runes ou d'un forgerons. Ils n'étaient pas rares que des pilleurs délaisser des livres, un marteau ou une armure complètement rouiller contenant des runes naines encore lisible, ignorant que les nains ferrait n'importe quoi pour les racheter afin de préserver le secret de leur antique savoir.
« Et vous ? Sans indiscrétion… Quelle est votre histoire avec ce jeune mage ? s’enquit soudain
- Est-ce que vous cherchez également cette forteresse naine ? »
-Ce vieux con m'a prit pour une création magique, un golem j'crois ! Répondit Apogée, calmement, mais la tension dans sa voix palpable, ses yeux montrant clairement sa colère et sa haine envers lui. Il devait m’amener à Karz'hor, mais il m'a trahit et à parler d'me contrôler et que j'avais un maître. Pfff... Sinon oui j'cherche cette forteresse, pour à peu prêt les mêmes raisons qu'vous, l'or j'men bas l’œil, c'est juste les reliques, les artefacts ou ce qui tient à cœur les nains qui m’intéresse, continua Apogée, afin de les revendre à eux ou à des académies de magie ou encore un musée.
Apogée pensait surtout rendre visite aux nains, leur rendre contre une grosse sommes, l’œuvre ou quelque chose appartenant à un Maître des Runes ou de quelqu'un d'important.
-
Le mage avait pris Apogée pour une golem... Fanis et Astrid étaient deux guerrières, qui, si elles avaient avec elles des talismans magiques, n’avaient pas non plus les capacités magiques d’une Chamane. Or, si une Chamane aurait pu déterminer qu’Apogée était effectivement un golem, les deux Amazones, elles, se contentaient de voir une femme grande et puissante... Une femme au tempérament très amazone, qui refusait toute forme de soumission. La puissante femme rousse à la peau sombre voulait trouver des artefacts et des reliques nains situés dans Karaz’hor. Le butin allait devoir se répartir, mais Fanis et Astrid, elles, s’observaient discrètement. Outre leur quête actuelle, une Amazone avait aussi la mission, permanente, de recruter de nouvelles guerrières. Et les deux femmes se disaient silencieusement que cette Apogée avait el profil typique d’une guerrière amazone.
Astrid préparait leur nourriture du soir, à savoir un lapin qu’elles avaient chassé tantôt, et Astrid était en train de l’éplucher avec un couteau, avant de l’embrocher pour faire cuire la viande.
« Ça me semble être un marché tenable, glissa Fanis. Les reliques naines ne nous intéressent pas plus que ça. S’il n’y a que des reliques, alors le mieux me semble de partager le butin. »
Il ne serait pas dit que les Amazones étaient des voleuses. Elles avaient le sens de l’honneur, la fierté de la guerrière. Fanis présenta à Apogée sa carte, en se déplaçant vers elle, et s’assit donc à côté de son massif corps, en lui montrant leur carte.
« Voyez... Karaz’hor est ici... Et nous sommes là. En nous nous levant dès l’aube demain matin, nous pourrons y être au petit matin, ce qui nous laissera tranquillement toute la journée pour rejoindre le fort.
- On dit que les entrées classiques ont été scellées par des runes naines, ou par l’éboulement des tunnels. »
Dès lors, il allait falloir faire un peu de repérage pour trouver un moyen d’entrer dans le fort. Astrid, de son côté, venait de préparer la viande, qui commençait doucement à cuire... Puis Fanis se lança alors, après quelques hésitations.
« Dites-moi, Apogée... Que pensez-vous des Amazones ? Comment est-ce que... Hum.... Comment est-ce que vous nous visualisez ? »
-
Apogée était contente d'avoir de vrai compagnons de route, pas comme ce salopard de mage, et puis son instinct lui disait qu'elle allait bien s'amuser avec les amazones. Tandis que les amazones préparait le lapin, Apogée entreprit de sortir ses propres victuailles, de la viande sécher, des fruits secs, du pain, un couteau et sans oublier le saucisson. Un repas plutôt peu alléchant comparer au lapin qui allait être cuit au feu de bois. L'avantage était qu'il se conservait longtemps, on pouvait manger en marchant et si on était dans un endroit peu adapter pour ce genres de feu de camps
« Ça me semble être un marché tenable, glissa Fanis. Les reliques naines ne nous intéressent pas plus que ça. S’il n’y a que des reliques, alors le mieux me semble de partager le butin. »
-Ça me va, t'façon j'comptait juste prendre deux-trois reliques intéressantes. Ajouta Apogée, en posant son sac devant elle.
Alors qu'Apogée sortait sa gourde, Fanis se mit à ses côtés tenant dans sa mains la carte de la région, plus intacte que celle du mage.
« Voyez... Karaz’hor est ici... Et nous sommes là. En nous nous levant dès l’aube demain matin, nous pourrons y être au petit matin, ce qui nous laissera tranquillement toute la journée pour rejoindre le fort.
- On dit que les entrées classiques ont été scellées par des runes naines, ou par l’éboulement des tunnels. »
-J'ai déjà visité un fort nain et à part la salles des trésors ou la réserve de bière, y'avait pas d'entré bloquer par des runes. L'plus probable s'rait l'éboulement des tunnels à l'explosif. Pis y'a que les forteresse principale qui ont ce genre d'entrée à ma connaissance. Clamât Apogée avant de boire une lampée de sa gourde savourant le goût du cidre dans sa bouche. Et après une invasion ork et une expédition d'Ashnard, j'doute que les portes soient encore debout. Au pire on enfonce la porte et puis c'est tout.
Directe, Apogée ne fessait pas dans la subtilité, une porte fermé ou bloquer ? Elle l'enfonce sans plus attendre. Elle n'était pas du genre à s’emmerder à crocheter une porte ou trouver une autre entré si elle pouvait enfoncer la porte, quitte à réveiller ou attirer des gobelins des cavernes, des brigands, un troll ou tout autre bestiole. Et au moins elle est sur de ne pas se faire prendre par derrière. Après faudra voir avec les deux autres, si elles font plus dans la subtilité. Ce genre de préoccupation ne l’empêcha pas de tendre sa gourde aux deux autres. L'odeur du lapin au feu commença lentement à se faire sentir.
« Dites-moi, Apogée... Que pensez-vous des Amazones ? Comment est-ce que... Hum.... Comment est-ce que vous nous visualisez ? »
Plutôt surprise par une t-elle question et du fait qu'elle semblait un peu hésitante. Apogée réfléchit un peu. De sa vie d'aventure, quelques personnes lui avait parler des amazones et elle fut parfois comparer à elles, bien que principalement comparé à des barbares. Elle ne savait pas grand chose, s’intéressant plus aux forteresses, joyau et pierre précieuse, les cartes, les lieux, les montres... les amazones ou les peuples barbares ne l'avaient jamais intéresser, car rien ne lui avait parue intéressant pour ses recherches et explorations.
-Baahh... j'dirais que vous êtes des femmes fortes, qui s'laisse pas marcher dessus, que vous apprécier plus les femmes, bon vivant p'être. Commença Apogée, un peu mal à l'aise. J'suis un peu prit au dépourvue, j'sais pas grand chose de vous à vrai dire. Dans tout les cas, j'pourrais dire que vous êtes sympas. Pourquoi une t-elle question ? Finis Apogée.
N'y pensant qu'après coup, elle se demandait pourquoi elle lui posait une t-elle question. Sans doute que Fanis devait s'inquiéter sur ce qu'on avait pus lui dire sur les amazones, c'était légitime.
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La colère occulté la douleur, le mage fulminer contre cette amazone qui avait fais tout rater ! Il avait rater sûrement sa seule chance d'avoir ce foutue golem par surprise, unique en son genre, aucune imperfection, la perle rare ! Dieu sait ce qu'il aurait put faire avec ou qu'elle découverte il aurait fais ! Mais tout n'était pas perdue, il savait sa destination, la forteresse naine. Il lui suffira de recruter quelque mercenaires ou aventuriers, avec l'or de Karaz'hor il pourrait les payer pour le restant de leurs jours, l’appât du gain suffirait à appâter une bonne troupe. Si il arrivait à rejoindre Karaz'hor avant que ces amazones et le golem, il ferait d'une pierre trois coups : il se vengerait des amazone, posséderait le golem et ferait mains basses sur les richesses de la forteresse. Les nains n'avait pas pus l'évacuer ou le récupérer, et personne n'avait eu vent d'un magot trouver dans une forteresses.
Il s'était téléporter à quelque dizaine de mètres de la ville, secourue par un marchand de passage, qui le ramena en ville au soin de la guérisseuse de la ville. Elle était en train de finaliser le soin, prononçant les dernières incantations de son sort de soin, refermant une bonne fois pour doute la plaie.
-Voila. Je ne peu rien contre la perte de sang par contre, je vous recommande de vous ménager pour le moment, malgré mes soins vous n'avez pas encore récupérer totalement. Lui dit la guérisseuse. Une chance que l'os n'est pas était toucher.
-Merci beaucoup. Je reviendrais vous payer. Lui dit le mage.
-Bien. Pardonnez ma curiosité, mais que c'est t-il passer ?
-Un guet-apens par des bandits, une chance que j'avais ma magie sans quoi je serais mort. Mentit-il
-Mon pauvre ami, nos routes sont de moins en moins sur de nos jour.
-Hélas, bon il me faut vous quitter.
Le mage sortie de la maison, sortant dans une avenue éclairer par la lunes et les lanternes. Demain il devra avoir réunir les mercenaires, afin de ne pas perdre trop de temps.
-
Fanis était une pure Amazone, qui était née au sein de la Horde, et avait grandi dedans. En tant que telle, elle ne connaissait aucun autre système quand elle était partie explorer Terra, et avait donc été surprise de rencontrer des sociétés sédentarisées, de voir des maisons, des immeubles, des forts... Tout cela était bien plus impressionnant que les tentes de la Horde, mais, pourtant, Fanis ne se sentait chez elle que quand elle rejoignait les rangs de la Horde, les colonies d’Amazones qui marchaient au milieu de leurs caravanes. La preuve en était que, à chaque fois qu’elle revenait là-bas, Fanis ne pouvait s’empêcher d’engrosser les Amazones ouvrières qui se trouvaient là, délivrant ainsi des bébés pour le compte de la Horde.
Apogée était une femme massive et impressionnante, bourrine dans l’âme, qui avait tout pour plaire. Cependant, la question de Fanis ne manqua pas de la surprendre, ce qui l’amena à répondre lentement, prudemment, pour lui dire qu’elle n’avait entendu que de bonnes choses sur la Horde, mais qu’elle ne comprenait pas sa question. Le visage de l’Amazone se fendilla alors d’un léger sourire, et elle hocha la tête, avant de lui répondre :
« Et bien... Voyez-vous, Apogée, nous sommes certes venues ici pour trouver des reliques et de l’or, mais, et de manière plus générale, la Horde recherche toujours des guerrières talentueuses qui voudraient se battre avec nous. »
Fanis n’était pas une oratrice, elle n’avait pas cherché à détourner la question, et avait clairement indiqué ce qu’elle voulait faire.
« Bien sûr, nous ne vous forçons à rien... Disons juste que c’est une proposition. »
À Apogée de voir, ensuite, si elle était intéressée ou non.
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« Et bien... Voyez-vous, Apogée, nous sommes certes venues ici pour trouver des reliques et de l’or, mais, et de manière plus générale, la Horde recherche toujours des guerrières talentueuses qui voudraient se battre avec nous. Bien sûr, nous ne vous forçons à rien... Disons juste que c’est une proposition. »
-Oook ! C'est juste ça ! J'pensais que vous aviez peurs que j'ai entendue des choses pas nets ou bizarre sur vous ! Clamât Apogée en souriant. Étant mercenaire, pouvez compter sur moi pour vous aider ! Tant que j'ai de quoi vivre j'serais toujours partante ! Et puis j'ai une dette envers vous, j'suis prêt à tout pour la rembourser. Lui dit-Apogée.
Apogée n'était pas contre et avait bien fait comprendre à Fanis qu'elle était à sa disposition pour donner un coup de main. Bien que mercenaire, Apogée acceptait un contra tant qu'on lui donner de quoi vivre, ne demandant pas de sommes excessive, demandant parfois juste du matériels d'exploration. En faite c'était juste pour combler ce qu'elle n'avait pas pour l'exploration. Et puis c'était intéressant pour elle, car des informations qu'elle avait eu et qu'elle avait prit la peine de chercher sur les amazones, elle s'avait juste que c'étaient un peuple plutôt ancienne, charger d'histoire et de légende ce qui titiller son côté exploratrice et son envie de découverte, étant sur d'apprendre des choses intéressante sur ce peuple, et puis peut être aoir des infos sur un potentielle lieu encore inexploré !
Mettant ceci de côté, Apogée partagea ses victuailles, tandis que le lapin semblait être prêt. Le repas semblait copieux, du moins pour Apogée habituer à manger trois fois moins que ça afin de rationner sa nourriture et l'eau pour pouvoir survivre durant un très long durant ses exploration, le cidre juste un plaisir gustatif occasionnelle, bien qu'elle puise se passer de nourriture et d'eau pour vivre, trop humaine pour s'en rendre compte. Bien que réunit de manière plutôt incongrue, ça n’empêcher pas les trois femmes de s'entendre et de s'aider pour la nuit, le voile noir du crépuscule s'étend abattue, le feu de camps la seule source de lumière des environs. À quelque kilomètre de leur positions se trouver un autre feu de camps, celui-ci appartenant à des braconnier bien que cela soit inutile de le savoir pour l'histoire.
Durant le repas, Apogée ne prit que ce qu'on lui avait donner et afin de ne pas laisser un blanc s'installer durant la dégustation, elle questionna les amazones sur leurs peuples, ses origines, ses coutumes, son organisation etc... les questions habituelles quand on rencontre un nouveau peuple.
-
Après la réponse favorable d’Apogée, le reste de leur « soirée » fut consacré à lui parler de la Horde, de leur peuple, de leur histoire, et de ce qu’elles faisaient.
« Les Amazones sont un peuple antique qui a grandi à Themiscyra, une île assez éloignée. Nous avons été arrachées de notre île par des Barbares qui nous ont attaqué, et nous ont asservi.
- C’est à partir de là que les Amazones ont formé une diaspora. La Horde est issue d’une fraction d’Amazones qui ont été asservis dans des contrées barbares, comme en Hyrkanie. Nous nous sommes affranchies des chaînes que les Barbares de ces régions imposaient aux femmes. »
Cette histoire faisait figure, au sein de la Horde, de mythe, similaire à celui de l’Exode des Hébreux fuyant une Égypte tyrannique et dictatoriale. Les Amazones d’Hyrkanie étaient des esclaves, comme bon nombre d’autres femmes, dans des sociétés très patriarcales, où les femmes n’avaient pour seule fonction que de servir de vide-couilles et de rafistoler les armures de sauvages brutaux et cruels. Elles s’étaient révoltées depuis leurs camps, et avaient fui.
« Notre exode ne prendra fin que le jour où nous retrouverons les autres Amazones disparues, et refonderont Themiscyra. »
Pour être une Amazone, il ne fallait pas juste avoir envie de s’enrichir, ou être forte. Non, il fallait vouloir faire partie d’une famille, partager les valeurs et les vertus des Amazones : le courage, l’indépendance, l’insoumission à toute forme d’autorité autre que la leur.
« Nous œuvrons pour la liberté des femmes, Apogée. Outre la survie de la Horde, nous nous devons de venir en aide à toute femme battue, ou exploitée. Une fille devant se marier de force, par exemple, c’est quelque chose contre quoi nous nous dressons. »
Les Amazones n’étaient pas que des sauvages, elles avaient une culture, de l’éducation, et une organisation sociétale. Fanis expliqua ainsi sommairement à Apogée que la Horde était divisée entre plusieurs castes : les Guerrières, les Ouvrières, et les Chamanes. Il y avait également des sous-castes au sein des Ouvrières, comme les Métallurgistes.
« Nous récoltons tout ce que nous trouvons dans le monde pour les exploiter.
- Et, au sommet de la Horde, il y a notre Reine, Andromaque, et un Conseil. Cependant, outre ce pouvoir temporel, nous servons aussi Artémis, ce qui fait que les prêtresses d’Artémis exercent sur nous un grand pouvoir. C’est la Déesse-mère qui nous dira quand notre pèlerinage aura cessé, et quand nous pourrons refonder Themiscyra. Pour l’heure, nous agissons pour protéger les femmes.
- C’est en partie pour ça que nous avons pris ton parti contre ce sale mage. »
Elles lui sourirent ensuite.
« Bref, pour l’heure, nous devrions nous reposer. »
Demain, elles marcheraient vers Karaz’hor...
-
« Les Amazones sont un peuple antique qui a grandi à Themiscyra, une île assez éloignée. Nous avons été arrachées de notre île par des Barbares qui nous ont attaqué, et nous ont asservi.
- C’est à partir de là que les Amazones ont formé une diaspora. La Horde est issue d’une fraction d’Amazones qui ont été asservis dans des contrées barbares, comme en Hyrkanie. Nous nous sommes affranchies des chaînes que les Barbares de ces régions imposaient aux femmes. »
Tout en dégustant son morceau de viande, Apogée écoutait avec attention leur histoire, ressentant un peu de peine pour elles. Triste histoire pour un peuple aussi fière, bien qu'elles aient réussit à s'en sortir. Apogée se sentit habiter par un désir ardent de les aider, d'apporté son aide, sûrement due par le fait qu'elle leur était reconnaissante de l'avoir sauver et qu'elle voulait leur rendre la pareille. Après elle n'était pas spécialement outré ou n'avait pas pitié de ces pauvres femmes.
« Notre exode ne prendra fin que le jour où nous retrouverons les autres Amazones disparues, et refonderont Themiscyra. »
-J'espère être présente quand ça arriva ! Commenta Apogée, après avoir avaler une boucher de son morceau de viande. Après toutes ces épreuve ce s'rait la meilleur chose pour votre peuple
Suite à ça, l'une d'elle lui parla des objectifs de la Horde, qu'elles se devaient de venir en aide à toute femmes et filles en difficultés, battues, exploitées et autre. C'était en peu les défenseurs de la veuve et de l'horphelins, qui n'hésiterait pas à casser des têtes, au yeux d'Apogée, gardant peur elle-même ses pensées. Les esclavagistes devaient être une cible récurrente pour les amazones, Apogée n'osa imaginer leur réaction face à un marcher d'esclaves, avec les femmes briser ou qui prie pour leur salue. Ensuite la prénommée Fanis s'engagea dans la description de la horde, abordant le système de caste qui compose la horde, somme toute un système plutôt simple et classique, bien que l'un d'eux était fais de plusieurs sous-castes. Apogée ne dit rien, glissant juste un commentaire de temps en temps, histoire de montré qu'elle s’intéressait, son visage pouvant ne pas être assez explicite sur sa curiosité.
« Nous récoltons tout ce que nous trouvons dans le monde pour les exploiter.
- Et, au sommet de la Horde, il y a notre Reine, Andromaque, et un Conseil. Cependant, outre ce pouvoir temporel, nous servons aussi Artémis, ce qui fait que les prêtresses d’Artémis exercent sur nous un grand pouvoir. C’est la Déesse-mère qui nous dira quand notre pèlerinage aura cessé, et quand nous pourrons refonder Themiscyra. Pour l’heure, nous agissons pour protéger les femmes.
- C’est en partie pour ça que nous avons pris ton parti contre ce sale mage. »
-J'suis contente d'être née femme alors ! Plaisanta Apogée.
Elles lui sourirent ensuite.
« Bref, pour l’heure, nous devrions nous reposer. »
-J'vais montée la garde dans ce cas ! Clamât Apogée en se relevant et saisissant son épée. Pas envie qu'une saloperies me renifle le cul durant mon sommeille ! Vous pouvez dormir sur vos deux oreilles avec moi. Leur dit-elle avec un grand sourire amicale.
Tandis que les amazones préparait leur couchette, Apogée sortie un simple oreiller de son sac et rangea ses victuailles, s'envoyant encore une gorger de sa gourde, avant de s’asseoir face au feu qui avait perdue de l'ampleur. Quelque flammèche dévorait le bois encore disponible, mais il devait lui restait encore du temps avait qu'il ne reste que des braises. Apogée jeta quelque branche, afin qu'il survive un peu plus longtemps. Apogée regarda le ciel étoilées, tandis que les deux autres se coucher. Elle ne pensait pas les réveiller et n'avait pas envie de les réveiller. Faire une nuit blanche lui était courant, en faite dormir ne lui était pas vital et pouvait passer une semaine sans dormir.
Le matin, lever du soleil.
Apogée regarda les dernières fumer du feu. Le ciel était plutôt gris, le soleil se leva timidement, des nuage le cachant, qu'Apogée contempla. Elle sentait que la journée serait couvert espérant qu'il ne pleuvra pas, mais rien ne semblait indiquer une t-elle chose, mais le doute était permit. Les amazones sortirent de leur tropeux quelque minutes après, pour Apogée il devait pas loin d'être 7h, ramassant ses effets, Apogée lança à la cantonade.
-B'jour ! Bien dormit ?
Rien n'aurait pus dire si Apogée s'était endormit durant la nuit et c'était réveille quelque minutes avant ou si elle avait fait nuit blanche et et supporté très bien. Toujours est-il qu'elle était d'attaque, en pleine forme et énergétique.
-On y va quand vous êtes prête ? Demanda Apogée, sac prête et son épée planté dans le sol, parfaitement horizontale.
Question plutôt rhétorique, car il est évidemment qu'elles n'allaient pas traîner pour aller à la forteresse.
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Mitiel, porte de la ville
La soirée fut longue et la nuit courte, n'ayant eu que deux-trois heures de sommeils. Rassembler des mercenaires fut plus difficiles qu'il ne l'aurait voulue, beaucoup déjà au service de marchant ou de noble comme garde du corps, trop exigent ou n'inspirant pas assez de confiant. Au final, le mage Arnold (http://digital-fantasy.deviantart.com/art/sorcerer-294362291) (donnons lui nom) était arriver à recruter quelque échantillon, bien qu'il aurait voulue plus de personne à son service. Mais il restait tout de même confiant, ce n'était pas non plus des péquenot, il avait ses chances. Il se tourna vers sa clique hétéroclite :
Bryngnolf (http://chriskuhlmann.deviantart.com/art/Egil-Thane-Uthred-s-Huskarl-295187526), un homme massif de plus de 2 mètres de haut, un descendant des nordique selon ses dires. Une brute épaisse qui n'était intéresser que par l'or et les femmes, ce qui avait été facile pour le recruter la simple mention des richesses de la forteresse naine l'avait fait accepter. Bien que le mage craignait que l’appât du gain ne le pousse à le trahir, il était confiant, de plus il avait besoin de lui, car sa force pourrait lui être utile contre le golem.
Arckans (http://devburmak.deviantart.com/art/Berserker-Cannibal-271643801) un barbare à moitié fou, qui ne voulait que se battre jusqu’à en mourir. Il n'avait pas était difficiles à convaincre, le mage ayant manipuler sa folie du combat pour le convaincre qu'il n'aurait pas de plus beau combat que celui avec la créature qu'il pourchasser. Le problème est qu'il imprévisilbe, un peu lunatique, Arnold craignant qu'il ne doit le maîtriser pour éviter qu'il n’abîme trop son golem.
Andoleïne (http://reaper78.deviantart.com/art/Elven-Archer-185209425) une elfe étrange et mystèrieuse qui l'avait abordé par surprise, ayant entendue sa discutions avec Bryngnolf. Elle s'était imposer plus qu'il ne l'avait recruter, ce qui l'inquiéter sur se réelle motivation, mais l'habilité légendaire des elfes à l'arc et leur discrétion l'avait fait accepter, car les amazones étaient de bonne archères et sûrement pas des débutantes pour tendre des embuscades.
Maxime (http://devburmak.deviantart.com/art/Longboat-Captain-271644191), un aventurier vénal et orgueilleux, mais qui avait le mérite d'être un expert en donjon, selon ses dires, et en plus d'être un E.S.P.er, son pouvoir lui permettant de créer un clone de lui même, disparaissant au bout de quelque minutes dans un flash lumineux et qu'il manipuler à sa guise. Cela pourrait être utile.
Hajad (http://nemanja-s.deviantart.com/art/Kellid-Female-495383875), une sauvage parlant à la troisième personne. Calme et de sang froid, cette femme lui rappel les amazones, et quoi de mieux qu'une sauvage pour comprendre des sauvages ? L’appât du gain était sa seule motivation comme tant d'autre, mais elle avait été difficile à convaincre, car elle fut réticente à l'idée s'aventurer dans une forteresse, mais les richesses que le mage lui avait fait miroité l'avait fait céder.
Il aurait bien voulue un groupe plus homogène, mais le temps était compter. En partant maintenant il pourrait arriver plus tôt, l'ennuie était qu'aucun d'eux n'avait de cheval, ni le moyen d'en louer et il n'avait pas assez de puissance pour tous les téléportés. Voila bien longtemps qu'il n'avait plus fait de téléportation de groupe, il avait due retrouvé des parchemins pour palier son manque de pouvoir et de puissance.
-Bien, je vous ait tous renseigner du mieux que j'ai put, on à pas le temps de faire mieux connaissance, donc je vous prie d'évité les disputes ou tension, si vous ne voulez pas que je vous abandonne dans un cercueil de glace ! Commenta le mage. Allons-y le temps est compter et l'or risque de ne plus être à nous.
-Ouais, ouais grogna Bryngnolf de sa voix grave. Dépêchons.
Il se retourna dissimulant son sourire. Sa menace du cercueil de glace marchait ainsi que la potentielle perte de l'or, car ils avaient blêmit à la mention de ce dernier, aucun ne voulait rater cette occasion et avait bien comprit que le temps jouer contre eux. Le mage avança d'un pas décider, ses sbires à ses talons.
-
Comme prévu, le trio rejoignit Karaz’hor vers le milieu de la matinée. Dans cette région très sauvage, elles ne croisèrent personne, mais Astrid se livra quand même à un exercice de chasse. Karaz’hor était à flanc de montagne, près d’un lac, et le trio bivouaqua le long du lac. Impossible d’escalader pour rejoindre Karaz’hor, la pente était abrupte, hérissée de rochers. Ce faisant, la seule entrée passait visiblement par le lac, et, tandis que Fanis et Apogée observaient le lac, Astrid, elle, vint chasser. Elle revint une demi-heure après le long du lac, amenant avec elle deux cadavres de lapins. Une tente sommaire avait été dressée.
« Il faut trouver un moyen d’entrer dans le fort. Les nains ont probablement dû faire une entrée dans le lac.
- Il y a une immense structure au centre du lac. Enfin, un îlot. Je suis convaincue qu’il doit y avoir une entrée au fort là-bas, comme une sorte de poterne. »
Fanis hocha lentement la tête. Elle en savait un peu sur les nains, notamment grâce à Hagran, et, ce faisant, elle savait donc qu’ils avaient toujours une entrée secrète dans leur fort. Cet endroit semblait tout à fait indiqué, et, assez rapidement, le trio grimpa sur un promontoire rocheux, permettant ainsi de voir, au milieu du lac, l’îlot. Il se composait d’une espèce de grosse montagne faite de pierre et de rochers qui se dressait au milieu de l’étendue d’eau.
« Il va falloir escalader, l’entrée doit être au sommet... »
Il fallut ensuite mettre rapidement sur pied un radeau, ce qui amena les Amazones à découper quelques troncs d’arbres. On arriva finalement à l’heure du déjeuner, et l’aide de la puissante golem fit très pratique pour abattre les rondins, et les assembler ensuite. Les lapins furent mangés, et, finalement, le radeau fut mis dans l’eau.
« Allons-y... »
Fanis se chargea de guider le radeau jusqu’à se rapprocher de l’îlot, et elles accostèrent le long de ce dernier, voyant rapidement un étroit sentier, probablement réalisé par des nains.
« Bon... Entreprenons de grimper, les filles ! »
Comme quoi, elles avaient bien de se reposer la veille, car rejoindre Karaz’hor ne serait pas si facile.
Elles étaient pourtant très proches du fort, qui se découpait solitairement en hauteur, sur sa montagne... Proches, et à la fois éloignées. Mais, même malgré ça, les Amazones ne comptaient pas abandonner si facilement, et entreprirent donc de grimper le long de cette montagne.
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Le début de l'aventure n'était pas des plus palpitants. Le trio marcha au milieux des arbres, discutant parfois, à l'affut du moindre danger, mais le seul qui importer vraiment été le mage et sa clique qui avançaient presque au même pas, tentant de nouer des relations et d'en savoir plus sur les autres. Mais il ne fallut pas plus de deux-trois heures de marches, pour arriver en vue de Karaz'hor (http://www.wallfizz.com/fantastique/chateau/5303-forteresse-des-montagnes-WallFizz.jpg), dominant le flanc de sa montagne, disparaissant à moitié dedans. Un œil aviser ne manquerait pas de voir que la forteresse datait, recouverte de mousse et de lierre, les crénaux écrouler par endroit et un troue entachant la muraille. De violent combat semblait avoir eu lieu.
Mais en rien cela concerner nos aventurières, qui ne venait qu'en quête de trésor. Le rejoindre directement semblait des plus ardue, la pente presque impraticable. C'était le genre de forteresse naine accessible que par des extensions aux pieds de la montagne, relier par des tunnels si ce n'est pas directement relier au cœur de la forteresse creuser dans toute la montagne. Un lac englobait presque toute la montagne, une île en son sein, pas de plages apparente mais une petite forteresse se dressait à son sommer, se fondant avec habileter dans le paysage, les nains ayant réussit à garder l'île relativement intacte, la forteresse construite à même la roche et de manière à être naturelle. Elles établirent un petit bivouac, se préparant pour leur exploration. Apogée alluma une feu avec un briquet à silex, tandis qu'une des amazones revint avec deux bon lapin. Ça la changer de la viande de bœuf dur et sec, l'avantage d'être chasseresse, Apogée vint à l'envier.
« Il faut trouver un moyen d’entrer dans le fort. Les nains ont probablement dû faire une entrée dans le lac.
- Il y a une immense structure au centre du lac. Enfin, un îlot. Je suis convaincue qu’il doit y avoir une entrée au fort là-bas, comme une sorte de poterne. »
-Un tunnel à tout les coûts, j'vois qu'ça. Pensa tout haut Apogée.
Fanis hocha lentement la tête. Elle en savait un peu sur les nains, notamment grâce à Hagran, et, ce faisant, elle savait donc qu’ils avaient toujours une entrée secrète dans leur fort. Cet endroit semblait tout à fait indiqué, et, assez rapidement, le trio grimpa sur un promontoire rocheux, permettant ainsi de voir, au milieu du lac, l’îlot. Il se composait d’une espèce de grosse montagne faite de pierre et de rochers qui se dressait au milieu de l’étendue d’eau.
« Il va falloir escalader, l’entrée doit être au sommet... »
-Connaissant les nains, z'ont pas due se contenter d'une simple entrée. Ajouta Apogée en observant l'île.
Les amazones établirent le plan d'un radeau, à la surprise d'Apogée qui se préparer à y aller à la nage, n'y ayant pas penser. Couper les arbres fut rapide, Apogée tranchait presque les arbres en un coup et les porter comme si c'était de simple branche, les traînant sans réelle effort. Le radeau de fortune fut créer rapidement, assez stable et qui ne prenait pas totalement l'eau. Après s’être rassasier en dévorant les lapins, il fut mit à l'eau, flottant fièrement, avant de s'enfoncer brièvement dans l'eau quand l'équipage grimpa dessus. Apogée usa de son épée comme rame, propulsant le navire, sans user de toute sa force au risque de créer un accident, pagayant tranquillement.
Au fur à et à mesure, l'îlot se fit de plus en plus proche et de plus en plus détailler, si bien qu'on pouvait distinguer la forteresse ramasser sur elle-même, des meurtrières et un chemin escarper parcourant les parois de l'île. Atteindre l'île fut relativement rapide à atteindre, le radeau heurtant une berge amménager pour recevoir des barques, dont on pouvait en voir une carcasse sortant à moitié de l'eau. L'eau relativement peu profonde permet le débarquement son soucie et Apogée tira le radeau sur la berge, afin d'évité qu'il ne parte en voyage par un coup de vent ou un courant.
« Bon... Entreprenons de grimper, les filles ! »
Le chemin était assez large pour une personne, trop étroit pour une quelconque monture. L’ascension fut rapide, le chemin pas trop traître et relativement dégager mais entacher par des débris de carreau et des pierres tailles de manière à écraser efficacement les têtes. Au final elles arrivèrent sur une plate-forme et sur une porte, du moins les vestiges d'une porte, l'une d'elle pendant sur ses gonds et l'autre grande ouverte, donnant sur une petite place avec des baraquements et un mini-bastion. Des traces de luttes étaient visibles, des murs emprunts d'impact, une porte de chêne perclus de flèche et plus aucune vitre.
On pouvait voir aussi des constructions orcks, archaïque sensées représenter un crane d'orck rouge. Mais des squelettes orcks parsemait l'endroit, aucun des nains, eux balancer hors de la forteresse ou leur os ayant servit à la construction de totem. L'endroit était lugubre, vide de vie. Les nains furent envahit les orcks eux même chasser par Ashnard. L'endroit bien que grand, fut rapide à fouiller, les casernes ravagés, des armes briser et éparpiller. On découvrit aussi un système de monte charge pour l'extérieur, mais briser et pourrie. L'accès vers la forteresse fut trouver dans les caves du bastion au cœur de l'île, après qu'Apogée est donner des torches à ses camarades. Des squelettes étaient éparpiller partout et l'endroit ravager par les combats, qui semblait être le lieu ou les confrontation furent les plus forte. Les portes de l'entré du tunnel avaient disparut, sans doute user pour d'obscure raison, il n'y avait que des constructions orck, imitant une porte mais défoncer à coup de bélier depuis.
Passer les portes, on tombait sur une sorte de fosse, avec un escalier coller sur les parois, des cranes par endroit. La lueur des torches permit de distinguer le fond, qui donner sur une sorte de salle.
-Bon. Fit Apogée devant le colimaçon, qui descendait dans les ténèbres, jusqu'à ce qu'elle l'éclaire de sa torche, apercevant difficilement le fond. J'passe la première.
Apogée descendit les marches, épée en main. Arriver en bas le trio fit fasse à une entré, donnant sur un long tunnel se perdant dans les ténèbres. On pouvait voir des rails et un chariot de mine miraculeusement intact.
-J'sens qu'ça va être long... Souffla Apogée.
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« Bon... Visiblement, d’autres ont déjà eu cette idée avant nous » signala Astrid devant la porte d’entrée.
Elle avait été défoncée par des Orcs, ce qui n’était pas bon signe. Si des Orcs s’étaient installés à Karaz’hor, outre leur présence, il y avait aussi le risque qu’ils aient tout volé, et tout pillé. Une hypothèse qui était à envisager sérieusement, vu l’état de décomposition des cadavres jonchant l’entrée. Autant dire que les Amazones auraient été particulièrement frustrées d’avoir fait tout ce long chemin pour rien.
Une base orc avait été construite ici, et, comme le trio le constata, les Orcs, après avoir massacrés les nains, avaient été eux-mêmes massacré. Ici et là, Fanis et Astrid virent des drapeaux ashnardiens. Ils avaient beau être usagés, ils étaient toujours là, comme pour signaler que l’Empire était passée par là.
« Merde... Je ne sais pas si on trouvera encore grand-chose dans le fort... »
Le trio remonta le long tunnel menant au fort, filant dans une ancienne mine qui était visiblement construite sous le lac. Une mine abandonnée, comme tout le reste, mais qui suintait la mort. Fanis déglutissait lentement, en voyant, ici et là, des cadavres. Et, de temps en temps, des bruits se faisaient entendre, comme des grattements qui filaient le long des murs.
« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »
La chair en décomposition attirait les créatures nécrophages. Sur leurs gardes, les Amazones rejoignirent une sorte de grande pièce. Un puits sans fin était devant elles, évoquant une grande carrière, avec d’antiques cordages et échafaudages. Les nains se suspendaient le long des parois pour creuser dedans, et, parfois, quelques légers filets d’eau s’échappaient du plafond. Tout en bas de ce trou, il y avait donc, probablement, une rivière souterraine. Néanmoins, Astrid n’avait guère envie de sauter pour en voir les profondeurs.
Les Amazones regardaient autour d’elle lorsqu’un caillou tomba sur l’épaule de Fanis. Cette dernière se figea alors sur place, et, lentement, leva la tête. Elle vit, au-dessus d’elle, un plafond rocailleux... Et deux yeux rouges.
« ATTENTION !! »
Un hurlement strident, suraigu, s’échappa de la bouche du monstre, qui se laissa tomber en vociférant. Fanis, reconnaissant là une attaque sonore, bondit sur le côté, roulant sur le sol en dégainant son épée, tandis qu’une énorme silhouette noirâtre dotée de courtes ailes se posa sur le sol, puis bondit en hauteur, hurlant encore, cherchant à s’abattre sur elle. L’Amazone, usant de ses réflexes, sauta sur le côté, et évita l’impact, pouvant aller voir la créature...
Un redoutable noctule (http://img110.xooimage.com/files/4/a/7/fleder-4d87a42.jpg), une sorte de créature vampirique très sauvage. Fanis fit tournoyer sa lame devant le monstre, mais d’autres bruits de pas se firent entendre... Ou, plutôt, des mouvements de glissement.
Jaillissant des murs, de redoutables goules apparurent, des goules si épaisses qu’on les appelait des graveirs (http://img94.xooimage.com/files/e/d/3/graveir-3aaf78c.jpg). Ils poussèrent des rugissements gutturaux avant de se rapprocher, faisant trembler le sol sous leurs lourds pas.
Comme quoi, même quand la mort régnait, il y avait toujours des êtres vivants... Pour ainsi dire.
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Le tunnel était soigneusement tailler en pentagone haut de 5 mètre et suffisamment large pour laisser passer 6 nains en même temps, des vestiges de support de torches placer un intervalle régulier, sur les murs ou des piliers de granite, manufacturer avec style et doigter des fresques sans sens que pour enjoliver le mur et les piliers, parfois des taches de sangs sur les murs des squelettes réduits en morceau et les restes du systèmes ferroviaire. Mais les murs présentaient des fissures par moments, le plafond de même, des gouttes d'eau s'écoulant à tout va, brisant le silence de leur plic-ploc sans fin. Le trio, bien qu'ayant des torches, avancer dans les ténèbres, d’étrange échos en plus des gouttes leur parvenant, arme en main. Apogée tentait sa torche en hauteur, loin de sa vue et pour avoir un meilleurs éclairage au possible.
Au centre de ce tunnel, leur torche éclairer à peine les murs, croisant des sortes d'ouvertures, comme le seuil d'une porte, boucher par la pierre, barrée par des portes pourries ou enfoncer, sans rien dedans, ratant parfois quelque salles, leur entré plonger dans les ténèbres.
« C’est bien ce que je pensais... Tous ces morts ont attiré des monstres. »
-Ouf... j'avais peur qu'y aurait rien à éclater. Lâcha Apogée, un sourire goguenard sur les lèvres.
Les bruits ne cessaient, des os jonçant de temps à autre le sol, éparpiller et curieusement ronger. Après un moment, elles arrivèrent dans une nouvelle salle, une grande salle et un troue en son centre, profond et noir, t-elle la gueule béante d'un quelconque monstre. Les nains avait due trouver un filon en creusant le tunnel, des pont de pierres entourant le troue bien que plonger dans le noir, cordages, poulies et échafaudages se succédant. Rien ne pouvait stopper l'avidité des nains et leur soif de découverte, Apogée se pencha au dessus du troue, cherchant à voir le fond entendant vaguement le bruit d'une rivière souterraine.
« ATTENTION !! »
Apogée se retourna brusquement, épée tendue, tandis qu'un noctule s'en prit à Fanis, qui l'esquivait avec agilité. Apogée voulue s'élancer contre le monstre, mais surgissant des côtés, des murs de la salles, de là où elles venait et même du troue, des goules se joignirent aux festivités. Ils n'arrivaient pas en masse, mais en nombre suffisant pour relever de l'inquiétant et remettre ses chances de survit en question.
-YYYYAAAAABBBBAAAAYYYYYAAAAARRRR ! Beugla Apogée d'une voix puissante son crie de guerre.
Crie de guerre qui se répercuta dans les lieux, prenant une tonalité de grondement issus d'un puissant monstre, remontant le long du tunnel, fessant fuir plus loin quelque monstre faible d'esprit.
Elle donna un coup de pieds à une goule qui sortait du troue, enfonçant ses côtés l'envoyant valser vers le centre du troue, le monstre retombant dans les abysses dans un crie inhumain. D'un mouvement d'épée, elle découpa un monstre un deux, en partant du bas, dans une belle diagonale, son épée finissant dans le bras d'un autre, le propulsant dans le vide. Du plat de son épée, elle éclata le crane d'un autre, tout en tenant dans sa main un autre, broyant sa mâchoire sous doigts, du sang noir jaillissant en fontaine alors qu'elle arrachait la mâchoire inférieure. Son poing finit dans le visage d'un autre, le propulsant en l'air, l'envoyant s’écraser contre un mur, son crane se fissurant, alors qu'elle embrocha un second, qu'elle souleva et utilisa comme marteau pour écrabouiller un troisième, brisant les os et broyant les organes.
D'autre noctule apparurent, jaillissant de niche dans le plafond, l'une d'elle fonçant sur Apogée, la heurtant de plein fouet, enfonça ses dents dans le muscles de son bras, avant que se dernier ne se referme sur sa tête et ne lui broie le crane. Elle laissa tomber le monstre, éclatant sa tête devenue molle sous son pieds, rependant sur le sol sa cervelle, des éclats d'os et du sang coulant comme une fontaine. Elle embrocha un notucle, mais celle-ci s'agrippa à elle et continua à avancer, cherchant à atteindre son visage et un goule se plaqua contre son dos, ses griffes entaillant son torse et cherchant à la mordre au cou. D'un coup de tête elle le fit lâcher brise, lâcha son épée et dégagea l'autre d'un coup de pied dans le pommeau de son arme, plantant la créature dans le sol. De justesse, elle plaça son bras sur le chemin d'un coup de dent d'un autre, qui mordit sa chaire, avant qu'Apogée ne le décolle de son autre main, une simple marque de dents sur son avant bras. Elle le lâcha et d'un formidable uppercut, elle éclata sa mâchoires, ses dents, le cartilage du coup, déchira la peau et les veines et le souleva sous la force, l'envoyant contre un mur. Elle attrapa un monstre au bras, plaça son pieds sur son torse et lui arracha les membres et lui éclatant la tête avec. Elle en chopa un autre, plongea sa main dans son ventre, perçant les organes, atteignant la colonne vertébrale qu'elle broya, avant de plonger son autre mains dans son ventre et de s'arranger pour le déchiqueter en deux, usant de sa force surhumaine. Elle balança les deux morceaux sur les côtés, riant au éclat, comme une barbare en pleine bataille, couverte de sang, alors qu'elle s'attaqua à une créature. Elle éclata le crane d'un autre noctule, mettant à l'air libre sa cervelle, avant d'éclater les côtés à coup de pieds à autre qui s'approcher dangereusement dans le dos d'une des amazones. À la suite en balança une créature sur une autre, l'empéchant d'accomplir ce que son compère n'avaient pas put faire.
Au final les monstres repartirent d'où ils venaient, fuyant ces femmes qui étaient pire qu'eux, après d'intense minutes de combat ou de massacre. Apogée était sur le point de les poursuivre mais le noir complet réussit à l'en dissuadé. Sa torche avait perdue de son éclat, plonger dans la semi-pénombre, Apogée se retourna vers les amazones, couverte de sang, un sourire de satisfaction effrayant et un regard avec une lueur de folie. Si les amazones regardèrent Apogée directement dans les yeux, elles auraient le même sentiments que de se sentir en danger imminent face au regard d'un dragon. Ses yeux était ceux d'un dragon, brillant un peu dans la pénombre de ces lieux.
Apogée ramassa sa torche, dissipant l'aspect de danger ambulant sur visage, abordant un visage réjouit et fier, malgré les flammes mourante. Apoga se mit a fouiller son sac qu'elle avait laisser tomber, ressortant de quoi rallumer sa torche mourante.
-On r'prend la route ? Souffla Apogée à ses camarades.
Contournant le gouffre à grâce au pont, elles continuèrent leur chemin, après s'être panser et Apogée s'être un peu laver du sang de ses ennemies. Les monstres étaient toujours présent, des bruits étrange confirment leur présence, sans pour autant se montré. La première escarmouche avait causé la mort de plus d'une quinzaine d'entre eux, les survivants ayant préférer la fuite, préparant sans doute une revanche. Durant quelque minutes au moins, elles poursuivirent leur route, trouvant parfois des salles qui devait servir de casernes ou d'aire de repos, certaine condamner. Mais la découverte de pièce d'or dans un petit sac dans la faille d'un mur, et de deux-trois goules affamés, raviva l'espoir qu'il restait encore des richesses dans cette forteresse.
Progressivement et de plus en plus rapidement, le tunnels commença à grimper et à bifurqué tantôt à droite, tantôt à gauche. L’ascension fut longue, ponctuer de bruit étrange, parfois un monstre surgissant du noir, suivit de quelque individue, réduit en tas de chair sanguinolente par Apogée, qui se mit en avant, interceptant les monstres qui venait d'en face, se maculant de sang, redécorant parfois les murs de rouge. Ce fut en trois heures, une dizaine de monstres abattues, deux pauses et un besoin de se soulager, que le trio déboucha sur le haut de la montagne, surplombant le lac et l'entré, arrivant en face des grandes portes de la forteresse naine.
(http://www.yuimen.net/galerie/albums/userpics/10055/KadrinValley01.jpg)
L'immenses structure rappelait sans mal qui furent les maîtres de ces lieux, écrasant de sa prestance les visiteurs. T-elle une bête, la porte, plonger dans l'obscurité, semblait guetter ceux qui oserait s'aventurer jusqu'ici. Le soleil était derrière la montagne, plongeant dans la pénombre la porte et la vaste place, aucune lumière ne venant éclairer cet endroit lugubre. Aucun bruit ne venait trahir le silence de ses lieux, si ce n'est que le vent qui siffler.
La porte avait des airs démoniaque, quelque squelettes empaler sur des piques, des taches sombres fessant penser à du sang sécher depuis des années, des impacts multiples et ses portes mis à bas offrant une plonger dans les ténèbres apparemment sans fond. La forteresse de Karaz'hor s’appétaient à recevoir de nouveaux visiteur, quels dangers les attendaient ? Qu'allez t-elles découvrit ? Elles le seraient bien assez tôt.
Le trio franchit les portes, éclairant de leur torche, un long couloir, haut de plusieurs mètre, d'immense fresque recouvrant les murs, à moitié effacer par les coups et la poussière, d'immense colonne de par et d'autre, sculpter habilement, représentant des guerriers nains. Le couloir s'étendait sur une dizaine de mètre, plonger dans les ténèbres, bien que rapidement, une faible lueur perça ce voile sombre. Elles débouchèrent pratiquement sur une sorte de ville (http://www.millenium.org/images/contenu/actus/wow/lore/grimbatol/wow_grimbatolchargement.jpg), une immense rue qui semblait se perdre à travers la montagne, d’immense structure de par et d'autre, les deux premiers bâtiments sur leur droite et leur gauche, relier par un ponton, étaient des casernes, le reste succession d'habitation. Au dessus des bâtiments, des ouvertures laissaient passer la lumière, sûrement pour aérer la ville et de dissiper au mieux les ténèbres.
Ce n'était que le début, mais déjà bien des possibilité s'offraient au trio, plusieurs bâtiments à fouiller, afin de dénicher la cache d'un quelconque marchant autrefois riche, poursuivre le chemin pour tomber sur les zones intéressantes, la salle du trône ou du trésor, la réserve de bière, les forges, peut être une bibliothèque ou d'éventuelle mine. La visite de cette forteresse, risquerait d'être assez longue, mais bien des merveilles les attendaient. Mais bien évidemment, les affres du massacre des orck et d'Ashnard subsisté, des bâtiments noir de suie, aucune porte intacte, des piliers fracassaient, une couche de sang et de sueur recouvrant le sol et les murs, des squelettes empaler ou transformer en immonde structure, comme savait si bien le faire les orcs et par endroit, des tas d'immondice, former de déjection et de d’entrailles depuis longtemps dessécher. L'air porter encore les miasmes de la mort et de la pourriture, bien qu'atténuer par le temps.
-Bon... on vas pas rester ici à prendre la poussière ! Clamat Apogée, alors que ça voix se répéta en échos. Qu'es qui vous botte le mieux ? Qu'on cherche la salle du trône ou qu'on s'amuse à farfouiller l'endroit ? On trouva p'être un plan d'l'endroit quelqu'par !
-
Face à ces graveirs et aux noctules, Fanis et Astrid ne furent pas aussi efficaces qu’Apogée, dont la taille colossale était à la hauteur de sa terrible force de combat. Une véritable bête de guerre s’abattit sur les monstres, mais, pour autant, les Amazones ne furent pas en reste. Un graveir se rua vers Fanis, qui bondit sur le sol, glissant entre ses jambes, puis pivota rapidement sur place en se redressant, et frappa avec sa lame, fendillant son dos sur plusieurs centimètres de profondeur, faisant hurler le monstre de douleur. Il se retourna rapidement, levant les poings bien haut, mais Astrid bondit sur lui, et le transperça alors dans son dos, l’épée ressortant de l’autre côté.
Les deux Amazones n’eurent guère le temps de se complimenter sur leur exploit, car un nouveau noctule leur tomba dessus. Astrid l’évita en bondissant devant elle, et le monstre, plutôt que de se ruer vers elle, ouvrit sa gueule, et balança une violente onde sonore qui frappa la femme, la faisant hurler de douleur, du sang ruisselant de ses narines et de ses oreilles. Fanis se précipita vers le monstre, mais le noctule se tourna vers elle, et hurla encore. Fort heureusement, Fanis était rapide, et pivota sur le côté, évitant l’attaque sonore, puis frappa avec son épée. Las, le noctule était aussi rapide, car il bondit en arrière, puis s’élança rapidement en avant, frappant l’Amazone, enfonçant ses mains griffues contre ses épaules, hurlant contre elle, sa salive heurtant son cou, la renversant.
« Haaaa... !!
- LÂCHE-LÀ, CONNARD ! »
Astrid se précipita rapidement, et son pied frappa la tête du monstre, le faisant se reculer, tout en lui fendillant une lèvre. Partant en arrière, le vampire monstrueux se donna un battement d’ailes pour se rétablir. Rapide et puissant, il décolla alors, cherchant à attaquer en piqué, en fondant droit sur Astrid, qui avait levé son épée, et frappa en l’air, pivotant sur place... Et sectionna la gueule du monstre en frappant. Le sang du noctule éclata au bout de sa lame, tombant sur son visage et sur ses cheveux, tandis que le vampire s’effondrait sur le sol, sa cervelle dégoulinant lentement par terre.
L’Amazone avait réussi un coup impeccable, mélangeant rapidité, anticipation, dextérité, et puissance, pour se mettre en position à temps, lever son épée, et tournoyer sur place en frappant. Un coup de maître, qui illustrait tout son talent.
« Ils sont nombreux, ces enfoirés...
- Quoi, quelques monstres t’effraient, Fanis ? Tu te fais vieille, ma parole !
- Hmmm... Touche-toi, salope... »
Elles eurent un léger sourire de connivence, se retournant vers un nouveau graveir, qui se rua sur elles, brandissant ses poings pour un violent coup ciblé vers le sol. Elles l’évitèrent, pivotèrent sur place, et frappèrent toutes les deux en même temps. La bataille était intense, et elles devaient régulièrement se déplacer, facilitant l’esquive. De toute manière, face à de tels monstres, une armure n’aurait été d’aucune utilité, car leurs poings auraient suffi à la défoncer. Intelligentes et très attentives, elles n’hésitaient pas à retourner les armes de leurs ennemis contre eux, évitant ainsi une attaque sonore d’un noctule pour qu’elle touche un graveir, le déstabilisant pour permettre de l’égorger ensuite en lui sautant dessus.
Quand une Amazone se battait, elle n’était jamais statique, donnant à ses mouvements une sorte d’étonnante et de captivante chorégraphie. Elle courait partout, multipliant les assauts depuis de nombreux côtés. Ensemble, les deux Amazones étaient redoutables, et se soutenaient mutuellement. Ainsi, quand Astrid fut déstabilisée lorsqu’un graveir la poussa à l’épaule, l’envoyant s’étaler sur le sol, Fanis s’élança vers lui, et prit appui sur un rocher pour se catapulter dans les airs, faisant une étonnante pirouette. Elle se retrouva au-dessus de la tête du monstre, et pivota sur elle-même, frappant sa nuque avec une dague, plus petite, et plus maniable qu’une épée. La dague entailla la chair du monstre, qui agrippa sa nuque, où le sang se mit à vomir sur le sol.
Suite à cela, Fanis atterrit sur le sol, et poursuivit la lutte... Jusqu’à ce que les choses ne commencent à se calmer. Apogée, avec sa puissance, et sa force, les amena à s’enfuir, et le trio put respirer.
« Sacré premier combat...
- Et nous ne sommes même pas encore dans le fort... »
Le trio suivit à nouveau des tunnels exigus, étroits, grimpant le long de galeries et de parois parfois très raides, jusqu’à rejoindre l’entrée de Karaz’hor.
« Pfffiouh...
- La vache... »
Le soleil commençait à se lever, éclairant toute la région. Mais, outre le spectacle du soleil dardant de ses rayons la région montagneuse, c’était bien le spectacle de la porte d’entrée de Karaz’hor qui coupait le souffle des Amazones. Une immense porte, lourdement fortifiée, se dressait devant les trois femmes. C’était une forteresse naine, aussi grande que les Nains étaient des petits. Il n’y avait que les nains, si petits, pour concevoir des forteresses aussi épaisses, et qui étaient conçues, malgré leur immensité et leur taille, pour survivre et perdurer des millénaires. L’architecture naine, en réalité, était une chose bien impressionnante.
« Impressionnant... »
Le trio rejoignit finalement l’entrée. L’épaisse porte de Karaz-hor était fermée, mais il y avait d’épaisses fissures. De fait, le corps de garde du fort témoignait de l’intense siège qui avait eu lieu, avec des traces d’impacts, des fissures profondes, des trous dans la porte qui permettaient d’y entrer. Des cadavres jonchaient le sol de l’autre côté, des Ashnardiens dans des armures rafistolées dont il ne restait plus que les squelettes. Fanis vit, autour d’elle, le long des plus proches maisons, des éboulis, des explosions, des toits qui s’étaient effondrés...
Curieuse, elle se pencha vers un cadavre, et le retourna. De la poussière s’en échappa, et elle vit une araignée noire sortir de l’orbite creuse, et se redressa.
« Ce sont des cadavres anciens... J’ignore ce qui s’est passé ici, mais... La bataille a été sévère.
- C’est le moins qu’on puisse dire. »
Apogée leur demanda ce qu’elles comptaient faire, et Fanis haussa les épaules.
« Je pense que la salle du trésor doit se trouver au bout de cette route, non ? Alors, autant y aller... Même si j’ai le sentiment que ces noctules et ces graveirs que nous avons rencontré ne sont que le commencement... »
Elle en aurait même mis sa main à couper.
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Éclairer par leur simple torche, et les lumière du soleil qui perçait faiblement les ténèbres de cette ville souterraine de par les ouverture en hauteur, renforçait le sentiment de désolation, de mort et de vide. Autrefois l'endroit grouiller de vide, de lumière, de vie, de brouhaha des habitants et des marchants. Les orcks et Ashnard avaient tout détruit, les murs fissurés, écrouler, les habitations saccagées, témoigner de la violence des combats, tandis que les bannière de l'empire flotter par endroit, tandis que des restes de construction orcks, faite de pierre, d'os, de métal et de bois, parsemer les bâtiments et les rues. En progressant, les trois femmes ne pouvait que contempler la désolation d'une petite cité jadis vivante et prospère. Apogée regarda en hauteur et poussa un grognement de colère et de dégoût, contemplant des squelettes ou des cadavres dessécher de nains, pendue depuis le plafond, attacher dans des positions grotesque, certains appartenaient visiblement à des enfants.
Mais ils y avaient aussi des restes de d'orck et de soldats, une bataille semblait avoir une lieu, tandis qu'autour d'un monticule de pierre, les reste d'une statue, les armures, les armes et les squelettes, détruit, broyer et briser, joncher le sol. Une autre statue démolit gisait au milieux d'un carnage semblable, un peu plus loin.
Après un moment, elles arrivèrent devant une nouvelle entré, plonger dans les ténèbres, pas de portes, deux statues de guerrier nains l'encadrant, tenant des haches et défiant ceux arrivant, défigurer et souiller par les orcks pour qu'ils leur ressemble, recouverte de métals et de bois pour leur donner une apparence orck. Sur place, les flammes éclairèrent un escalier, qui semblait plonger profondément dans les entrailles de la montagnes, trop loin pour que les flammes éclairer l'arriver. Apogée lança sa torche, qui éclaira le plafond, qui semblait recouverte d'une fresque. Elle heurta rapidement l'escalier une dizaine de mètre plus loin après la limite de ce qu'elles pouvaient voir, glissa sur quelque marche et finit par rouler sur du plat.
En descendant, elles purent admirer sur les côtés des images de batailles, sans doute les victoires de Karaz'hor, encadrer par des piliers représentant des nains, sans doute des guerriers réputés et important, bien que certaine détruit ou souiller par les orcks. En bas, la salle était haute de plusieurs mètres Apogée ramassa sa torche, tandis que devant eux, se dresser un choix triple d'entré, sur les côtés et en face. Haute d'au moins quatre mètre et large de trois, les entrés n'offrait guère d'indice sur l'endroit où elle conduisait, gratter et abîmer ce qui devait servir d'indication avaient été effacer ou détruite. Néanmoins, celle d'en face on pouvait deviner qu'elle était bien plus ornementé et manufacturer dans du basalte, les restes de statue, leur gravât éparpiller remplacer par des construction orcks, tandis que les deux autres étaient plus modeste, et l'une d'elle, après vérification, avait encore un panneau en hauteur, représentant une enclume, sans doute une indication pour les forges.
Ce fut en la regardant, et plus précisément le couloir qu'elle éclairait, qu'Apogée dégaina violemment son épée et balança sa torche, tandis que des yeux rouges, à mi-hauteur d'homme, s'illuminèrent devant les flammes avant de disparaître, avant même que la torche ne heurte le sol. Des bruits retentirent, comme si la chose s'éloigner à quatre pattes, des griffes claquant le sol avant que le silence ne revienne rapidement.
Apogée resta en position de défense, lame en avant, tendue, prête à déchaîner sa puissance. Mais après un moment, rien d'autre ce passa, un silence de mort, d'où seule la respiration puissante d'Apogée et les crépitements de torches se firent entendre. Mais seule l'oreille d'un être très sensible au son, et encore il devrait se concentrer et tendre correctement l'oreille, pour entendre les faibles bruit sourd, comme si une chose d'un poids conséquent frapper le sol à un rythme régulier, sans pour autant pouvoir déterminer l'origine et la direction.
Apogée se détendit, mais garda son épée en main et alla prudemment ramasser sa torche qui avait perdue de son éclat, avant de revenir, peu rassurer.
-Quoi qu'ce soit, ça c'est barrer. Clamat Apogée, sans pour autant en être aussi sur. C'est aut'chose qu'les saloperies dans le tunnels, pour sur. Bon l'entré en face m'parait plus attrayante que les autres, vue qu'elle est plus travailler, enfin était. Mes avis qu'ça conduit aux endroits les plus intéressant !
Ouvrant la marche, Apogée avança d'un pas prudent, son épée en main, tandis qu'elle observait les murs et les sols, cherchant ce qui pouvait trahir un piège ou une passage secret. Elle découvrit surtout une armure enfoncer dans le mur, comme si quelque chose l'avait écraser contre, peu avant de sortir du couloir. Elles arrivèrent à une scène de carnage, une fois sortie du couloir. Le sol était fissurer, des impacts l'ayant percer, des armures complètement disloquer, de la poussière d'os et du sang sécher dans ses mêmes cratères. Des morceaux d'armure joncher le sol, ainsi que des squelettes pratiquement réduit en gravier, comme quelque chose avait heurter violemment un soldat avant de l'envoyer valser. Une observation rapide permettrait de constater que c'était des soldats d'Ashnard, mais une observation plus attentive et un esprit de déduction assez bon, verrait qu'ils semblaient quitter la salle, en plus d'un tas de pierre, vestige d'une statue représentant un nain.
-Merde...
Hormis cette scène où une dizaine de cadavre fut découvert, beaucoup enfoncer dans le sol, écrabouiller sur eux même ou éclater contre une parois, une rapide constations permettrait d'admirer l'immense salle dans la quelle elles étaient arriver.
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*
Large, haute et profonde, cette salle, faite d'une pierre étrange, car elle semblait luire, devait servir au banquet, au vue des carcasses des immenses fûts et des tables. L'odeur poisseuse des orcks se fessait encore sentir, sans compter les traces bien évidente de déjections et de vomit. Une bataille devait avoir eu lieu, car des cadavres, d'orck et d'humain était éparpiller partout, des traces de coups et des restes d'armes se fessait voir, bien que la victoire semblait aller pour Ashnard. Et à nouveau la même scène se trouver par endroit, bien plus nombreuse.
Plusieurs entrée parsemer les murs, conduisant à d'autre endroit de la forteresses, sans doutes les forges, les cuisines ou des habitations. Mais celle du fond était la plus grande et la plus ornementé, encore intacte, bien qu'une armure fut enfoncer profondément dans un pilier. De par et d'autre de l'ouverture dans l'obscurité, des socles étaient détruit, les statues mis à bas.
Le trio s'avança, en vue de la salle du Trône, au vue de la surabondance de fresque, de pierre précieuse et de statue faites en marbre blanc ou en ivoire. Elles continuèrent en vue de la salle du Trône, avec la succession de statue, tandis que les bruits sourd se fessaient plus proche, mais toujours aussi difficile à percevoir.
Finallement elles arrivèrent sur la salle tant espérer.
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La salle du trône, éclairer par des pierres couvertes de runes, illuminant la salle de reflet bleu, des balcons surplombant la salle, ainsi que deux ouvertures, de part et autre du trone. Plusieurs alcôves entouraient la salle, d'antique socle de pierre dedans. Sans doute des socles de statue. Bien que belle, graver de fresque, de topaze et de marbre, les séquelles de la bataille étaient visible, le même carnage que dans l'autre salle, à la différence que cela était pire. Que c'était t-il passer ? Squelettes, sang et entrailles, d'orck et d'humain, se côtoyer, repeignant le sol et les murs. Le doute n'était plus permit : quelque chose avait tuer et repousser tout les envahisseurs, quelque chose qui avait été réveiller.
Sur le trône, siéger la dépouille d'un nain, sûrement le maître de la forteresse, squelettiques, sa peau grise, du même aspect qu'un parchemin, mais relativement intact, son armures bien qu’abîmer par le temps et la bataille, plusieurs flèches transperçant son plastron. Couvert de poussière et de toile d'araignée, les orcks semblaient avoir épargner sa dépouille, sans doute avaient t-ils reconnut en lui un adversaire honorable et terrible, au point de ne pas toucher sa dépouille, de préserver son honneur, même après sa mort. Plonger dans la pénombre, il donnait l'impression de pouvoir sauter de son trône à tout moment pour s'en prendre à quiconque qui oser lui faire face. Sa couronne, en ors massif, sertie d'émeraude, était toujours sur sa tête et il tenait fermement son marteau, prêt à frapper. Une fouille plus complète permettrait de trouver divers bijoux et joyaux pouvant se vendre à bon prix ou de négocier une grosse récompense auprès de seigneurs nains, au vue des runes et de l'ancienneté de ces dernières.
Apogée se rapproche de la dépouille, et se pencha sur son arme, un marteau de guerre frapper de runes incandescente et rougeoyante. (http://davidhueso.deviantart.com/art/Eisenach-sForgeHammer-472301072) Sans honte et sans remord, elle s'empara de l'arme, brisant les doigts du défunt sous son geste et admira de plus près l'arme. Elle émit un sifflement admiratif.
-C'est pas l'genre d'arme qu'on peut voir chez de simples soldats. Création d'un Seigneur des runes, dois avoir une sacrée histoire celle-la, j'suis sur que les nains ont due tenter plusieurs fois de la récupérer. Clamat t-elle. Y'a pas que leur or qui soit le seule trésor ici. Dit-elle en se retournant vers ses camarades. N'hésiter pas, les nains seraient prêt à tout pour récupérer de t-elle merveille.
Le marteau n'était pas le seule objet intéressant, la couronne devait valoir bien plus que son pesant d'or, sans compter les bijoux, au vue des runes luminescente dessus. On pouvait qualifier Apogée d’irrespectueuse, de profanatrice ou d'ignoble créature, mais bien d'autre ne s'en serait pas priver, les morts ne peuvent pas se plaindre. Le temps que les amazones agissent ou réagissent, loin derrière elle, les bruits sourds se firent enfin perceptibles, portait par l’écho des lieux, parvenant faiblement à l'oreille du trio, pesant, régulier et lent, quelque chose avancer. Lentement mais surement, une chose massive se déplacer, dans leur direction visiblement, avait t-il sentit la présence d’intrus ? Venait-il ici sans réel raison ? En tout cas le trio fessait fasse à deux choix : aller à la rencontre de l'inconnue ou aller dans l'inconnue en prenant un des passages ? Toujours est t-il qu'Apogée ressentit de curieuse réaction chez elle, de la crainte et un sentiment qu'elle savait qu'elle était la chose, sans le savoir réellement elle put dire juste une chose :
-J'crois qu'on ferait mieux de prendre un des passage. L'a pas l'air commode et on dirait qui sait pas qu'on est là.
*les ouvertures sur les murs n'existe pas, mais c'est la seule image qui correspond à ce que je voulais.
-
Visiblement, les trois femmes étaient arrivées bien après la fête. Difficile de comprendre ce qui s’était passé ici. Un affrontement entre Ashnardiens et Orcs ? Mais où étaient passés les nains ? Fanis et Astrid suivaient Apogée à travers les coursives de la ville naine. Fidèle à leur habitude, les nains construisaient d’immenses structures, s’en servant, non seulement pour abriter leurs forts, mais aussi leurs villes. Les villes naines étaient ainsi des forteresses à part entier, abritant une succession impressionnante de bâtiments, de couloirs, de ponts suspendus, le tout s’articulant autour du donjon central. C’était d’ailleurs là-bas que les femmes se rendirent. Ici et là, il y avait de multiples signes témoignant de l’intensité de la bataille, comme des barricades improvisées faites sur les rues, amoncellement de fauteuils, de meubles renversés et étalés pour former des constructions de fortune.
« Ça a bataillé sévère… »
La garnison impériale située ici avait visiblement dû combattre un redoutable ennemi. Des Orcs ? Possible.. Mais Karaz’hor pouvait aussi abriter encore plus chose. L’ennemi, en tout cas, était venu de l’extérieur, et les défenses s’étaient focalisées autour du donjon central, qui se trouvait au centre de la ville, reliée à cette dernière par une série de six ponts surplombant la cité. L’ensemble était majestueux, et témoignait de tout le savoir-faire architectural des nains. Depuis les tunnels dans la montagne, on ne faisait que contourner l’immensité de la ville, sans se douter de ce que les nains avaient bâti ici. L’accès aux mines de Karaz’hor se faisait certainement depuis le donjon, et, depuis les ponts, on pouvait voir que les ponts s’enfonçaient dans les profondeurs de la région, probablement le long des mines.
Il y avait de quoi en avoir le vertige, et le trio rejoignit le centre de la ville. Elles grimpèrent dans le donjon central, et arrivèrent devant une immense pièce, évoquant une ancienne salle de manger, au vu des longues tables en bois qui se dressaient ici et là.
« La salle de vie… Les mineurs devaient manger ici. »
Fanis et Astrid observèrent davantage les lieux, car elles notèrent rapidement d’étranges choses sur le sol. Les Ashnardiens morts semblaient s’être battus contre des créatures doitées d’épaisses griffes, mais qui émanaient de l’intérieur du fort. La position des corps, leur regroupement près de la porte d’entrée… Astrid constata rapidement qu’il y avait, le long de la porte, d’épais barreaux en bois, qui avaient servi à condamner la porte, mais qui avaient, entretemps, été découpées.
« Ça venait de l’intérieur… »
Le mystère continuait à rester entier, mais des éléments de réponse commençaient à venir. Quelque chose avait impitoyablement massacré les Ashnardiens. Apogée poursuivit ensuite sa marche. Une fois la salle de banquet traversée, le trio se rapprocha de la salle du trône, avec le sentiment persistant qu’elles étaient suivies. Sans grande surprise, la salle de trône abritait plusieurs reliques, ainsi que de nouveaux cadavres dans les couloirs. Apogée s’empara d’un puissant marteau de guerre, tandis que les deux Amazones observèrent la couronne du Roi, sertie de pierres précieuses.
Apogée semblait vouloir le marteau, et Astrid, elle, attrapa la couronne. Néanmoins, il était peu probable que le trésor de Karaz’hor se résume à un marteau de guerre et à une couronne, aussi impressionnants soit ces deux joyaux. Alors que Fanis et Astrid commençaient à se demander ce qu’elles allaient faire, des bruits de pas se firent entendre… Ainsi que des grondements, et des grognements bestiaux.
« On n’est pas seules… commenta Fanis.
- Les bruits viennent de la salle de banquet. »
Rebrousser chemin, ou s’enfoncer dans les entrailles du château ? Fanis et Astrid hésitaient.
« Les Ashnardiens à l’intérieur de ce donjon ont affronté une menace qui venait des entrailles… Probablement des mines.
- Si on s’enfonce, et qu’on tombe sur d’autres ennemis, nous n’aurons aucun point de repli. »
Mieux valait, avant de se lancer dans une exploration à l’aveuglette, sécuriser leurs arrières. Astrid rebroussa donc chemin, traversant le couloir, et l’escalier, qui ramenaient vers la salle de banquet. Leur présence avait attiré un monstre, et, quand les deux femmes rejoignirent la salle de banquet, elles ne tardèrent pas à voir ledit monstre, qui reniflait leur odeur, et avançait lentement sur le sol, créature massive, comprenant de longues griffes.
En reconnaissant le monstre, Fanis serra les dents.
« Et merde…
- Je comprends maintenant ce qui a pu mettre en pièce les soldats ashnardiens… »
Une créature des plus redoutables se dressait en effet devant elle.
Un massif Écorcheur (http://img110.xooimage.com/files/d/8/4/deathclaw_fo4-518983b.png) !