Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le mardi 06 octobre 2015, 10:41:30

Titre: Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 06 octobre 2015, 10:41:30
Son dernier livre avait hérité, sur Amazon, du précieux tag « Meilleure vente #1 ». Il fallait bien avouer que, pour un roman érotique, recevoir une critique du « New York Times » élogieuse n’était pas  un mince exploit. Son éditeur venait en effet de publier le Tome 6 des escapades de Béatrice Harper et Nina Troy, un couple de femmes bisexuelles qui partaient en voyage au cours du monde, et qui, dans chaque État différent, y découvraient des pratiques sexuelles différentes. Ainsi, sous couvert de scènes érotiques mêlant domination, soumission, plaisirs sadomaschistes, et érotisme pur, l’auteur de cette saga littéraire en profitait pour parler des cultures identitaires des États que ses deux héroïnes visitaient, transformant ainsi sa saga en récit à la fois érotique et historique. Le Tome 1 emmenait les deux jeunes femmes dans un voyage organisé par un vicomte français dans la région de la Loire, un noble qui rêvait l’époque bénie de la monarchie, et qui, dans son château, organisait des orgies, ainsi qu’une variante parodique du droit de cuissage. C’était un livre intelligent et bien écrit.

Et, pour parfaire au succès de la saga, personne n’avait jamais vu, sur un seul plateau télévisé,  son auteure, qui se faisait appeler Anna Loveclair. Le nom était un pseudonyme, ce que son éditeur avait rapidement précisé, tout en indiquant que l’auteure ne souhaitait pas divulguer son identité, et qu’il devrait mettre la clef sous la porte s’il venait à la trahir sur ce point. On parlait d’une adaptation en série de cette œuvre, qui était loin de se cantonner à l’érotisme, puisqu’elle évoquait aussi quantité de thèmes universaux : le racisme, la tolérance entre les peuples, ou, à des registres moins politiques, l’émancipation sexuelle des adolescents. Sur les interviews virtuels qu’elle faisait, Loveclair expliquait avoir réalisé cette saga dans le but de faire « un parcours initiatique et culturel pour toutes les jeunes femmes et les jeunes hommes qui, à l’âge de la puberté, ont tendance à réagir n’importe comment ». Elle-même, en tant que femme divorcée, parlait en connaissance de cause. Son identité n’avait jamais été percée à jour, et constituait l’un des secrets littéraires du 21ème siècle les mieux gardés, presque autant que l’identité d’Anonyme, cet autre écrivain à succès qui avait écrit la saga sanglante et jubilatoire du Bourbon Kid.

Anna Loveclair était un pseudonyme... Un pseudonyme faisant référence à une femme, une Américaine qui vivait à New York, dans un loft ayant vue sur Central Park. Son véritable nom n’était évidemment pas Anna Loveclair, mais Maria Dawson (http://orig06.deviantart.net/b771/f/2008/158/f/8/f8120c1bd6fc94ffa603f84933f44a80.jpg). Elle était une immigrée venue d’Italie, qui s’était installée avec sa famille quand elle était encore adolescente, et qui avait toujours adoré voyager en Europe... D’où le choix de camper ses intrigues en Europe, même si, pour la suite de ses aventures littéraires, elle s’imaginait bien découvrir d’autres contrées.

Elle avait écrit le premier livre après son divorce, car elle avait toujours aimé lire et écrire, mais n’avait jamais eu le courage de se lancer dans l’édition. Elle se rappelait encore de la nervosité qu’elle avait ressenti en se rendant chez un éditeur, après avoir envoyé par mail son manuscrit. Maria était alors convaincue qu’on lui dirait qu’elle était nulle, incompétente, comme son mari avait toujours été avec elle. Au lieu de ça, l’éditeur avait été emballé, et lui avait dit que son œuvre serait un carton. Les parents de Maria étant de fervents catholiques intégristes (ce qui expliquait pourquoi elle était une athée convaincue), elle avait néanmoins choisi d’utiliser un pseudonyme, juste au cas où... Elle était de toute manière convaincue que son éditeur exagérait, et que son livre ferait un flop. Ce dernier l’avait mis en circulation, et l’avait tenu au courant des ventes.

Le Tome 1 ne s’était pas très bien vendu, mais c’était normal, car elle débarquait dans un milieu extrêmement concurrentiel, et, s’il ne s’était pas très bien vendu par rapport aux autres, pour un premier jet, il avait reçu de bonnes critiques. Elle avait alors écrit un deuxième livre, encore meilleur, en Italie véritable retour aux racines pour elle, et l’éditeur avait ici pris un risque, en se menant à une campagne de publicité pour promouvoir le livre. Le succès avait été au rendez-vous, et, dès la publication du livre 3, il avait reçu plusieurs propositions de produits dérivés, à savoir des éditeurs de comics.

« Des comics ? s’en était-elle étonnée.
 -  C’est de plus en plus fréquent, vous savez. Vous n’imaginez pas le nombre de BD qu’on a eu sur Stephen King, et les BD érotiques se développent. Vous savez, il y a cette BD sur Internet... Elle a un tel succès que son éditeur a finalement décidé d’en faire une version papier. »

Elle avait accepté, ne voyant aucune raison de refuser.

Seulement voilà, il y avait, dans la vie de Maria, un problème... Son fils. Il était dans l’adolescence, et il ne cessait de se montrer rebelle, injurieux, provocateur... Elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’il lui arrivait, et elle se demandait si sa relation avec Chris (http://orig02.deviantart.net/6604/f/2011/250/6/8/male_study_by_johnderekmurphy-d49604g.png) n’y était pas pour quelque chose. Chris était un homme que Maria avait rencontré après son divorce, à un salon de lecture. Un homme charmant et distingué, avec lequel Maria avait une liaison... Même si son côté un peu pingre commençait à l’agacer un peu.

Elle se demandait si son fils ne l’aimait pas à cause de Chris, ce qui n’était pas sans l’embarrasser... Car Maria adorait énormément son fils. Il avait beau être adolescent, maintenant, elle lui préparait encore son petit-déjeuner, et venait chaque soir lui souhaiter bonne nuit en l’embrassant sur le front. Alan, son ancien mari, n'avait eu aucune chance de le récupérer, et il avait même renoncé à tout droit de visite sur son enfant, afin que Maria passe l’essentiel de son temps avec lui.

Aujourd’hui, alors qu’elle avait écrit les premières pages du septième volume de sa saga, qui se déroulait à Dubaï, et dont l’intrigue initiale était dans les locaux d’un club de nuit branché de la ville, elle avait laissé le PC allumé pour aller acheter le pain...

...Et elle était loin de se douter que sa vie allait prendre un tout autre tournant quand elle reviendrait.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 01 novembre 2015, 20:37:43
Il était à peine midi lorsque  Andy Dawson  (http://pre09.deviantart.net/bd7c/th/pre/f/2015/148/b/c/untitled_by_yuni-d8v2n3g.jpg) quitta Clinton Hill School, enfonçant rageusement sa casquette sur ses cheveux blonds rebelles. Trevor Carter, sa Némésis et son rival direct pour le poste de capitaine de l'équipe de l'établissement l'avait une fois de plus traité de petit pédé, ce à quoi Andy avait simplement répondu par un bras d'honneur. Cependant Carter s'était employé à le pousser à bout en insinuant qu'avec les tenues qu'elle arborait, sa mère était probablement une pute, ou bien une grosse salope. Cette fois les choses avaient dégénéré. Prenant Carter par le col, Andy l'avait projeté contre la rangée de casier avant de lui envoyer violemment son poing dans l'abdomen. Sous la douleur, l'importun s'était plié en deux, et avait glissé au sol. Malheureusement, Andy avait été surpris par un surveillant qu'il l'avait envoyé dans le bureau du directeur... Lequel l'avait tout bonnement expulsé pour trois jours après lui avoir expliqué que s'il continuait « sur cette voie » il pouvait faire une croix sur sa bourse d'étude.

« Tout ça à cause de ce connard de Carter... Pfff.»

Andy shoota dans une canette vide en soupirant. Il était en colère, mais pas complètement idiot. Quelques semaines plus tôt, il aurait simplement ignoré Trevor. Maria était une femme superbe qui faisaient fantasmer la plupart de ses camarades ce qui amusait beaucoup Andy, qui l'avait pour lui tout seul... Enfin en tout cas jusqu'à ce que ce gros con snob de Chris débarque dans leurs vies pour y mettre le bordel. Depuis qu'elle l'avait rencontré, Maria était plus distante, moins câline avec son fils et découchait régulièrement, ce qui avait le don de mettre Andy en rogne. Ce fils de pute se tapait sa mère, putain ! Le pire dans l'histoire était qu'il ne pouvait s'empêcher d'imaginer sa maman adorée à quatre pattes, en train de gémir comme...comme une chienne, pendant que le bellâtre la besognait en claquant son arrière train rebondi... Tout ça pour dire que c'était à cet enfoiré de Chris, qu'Andy rêvait de mettre une raclée, pas à ce looser de Carter.

Arrête tes conneries Andy, se morigéna-il, en s'efforçant d'ignorer son érection naissante.

Les premiers émois sexuels d'Andy avait été, comme beaucoup de garçons, provoqués involontairement par sa mère. Il avait eu ses premières érections en se lovant contre elle au lit, ou lorsqu'ils prenaient encore leurs bains ensemble. Néanmoins, à la différence de l'écrasante majorité des jeunes hommes sains d'esprit, son attirance sexuelle pour Maria n'avait jamais cessé... Pire, elle avait empiré. Andy s'intéressait bien sûr aux jeunes filles de son âge, mais aucune d'entre elle ne rivalisait avec la sublime Maria. Conscient de ce que son fantasme avait de malsain, le joueur de base-ball s'efforçait de le réprimer du mieux possible, mais il  lui suffisait de croiser sa mère en petite tenue pour bander comme un âne et de devoir s'enfermer dans sa chambre pour se masturber vigoureusement. Il lui arrivait même de subtiliser dans la corbeille de linge sale une culotte ou un shorty pour s’enivrer de l'odeur maternelle en faisant glisser sa main sur sa grosse verge bandée. Parfois même, il jutait abondamment dans le tissu. Fort heureusement, sa mère ne semblait s'être rendu compte de rien, pour l'instant. Mais il fallait dire qu'Andy prenait ses précaution, en envoyant directement le sous-vêtement incriminé dans le lave-linge.

« M'man ? M'man, t'es là ? J'ai pas cours cet aprèm, monsieur Jefferson est malade... »

C'était un gros bobard évidemment, mais Andy ne tenait pas à ce que sa mère apprenne son expulsion temporaire... Du moins pas tout de suite. Le jeune homme ôta ses basket et dézippa son hoodie, mais conserva sa  casquette des]Red Socks  (http://mlb.imageg.net/graphics/product_images/pMLB2-14902914reg.jpg) . Ces derniers temps, Maria travaillait beaucoup chez elle – Andy ne savait pas pourquoi, mais en tout cas elle semblait préférer ce mode de vie à l'enfer des transports en commun qu'elle avait vécu pendant longtemps, mais il lui arrivait bien sûr de sortir un peu en ville, pour se promener et faire quelques courses. Andy attrapa la télécommande de la télévision et zappa pendant quelques minutes. Il ne s'intéressait que modérément à l'actualité et l'annonce d'une nouveau scandale pharmaceutique en Allemagne le déprima et il se leva du canapé pour aller inspecter le réfrigérateur. C'est à ce moment précis qu'il se rendit compte que l'ordinateur portable de Maria trônait sur la table du salon, la lumière de l'écran se reflétant sur les vitres de la véranda. Elle l'a même pas mis en veille, songea-il, en s'emparant d'une canette de coca, avant de tirer une chaise pour s'installer devant l'ordinateur.

« C'est quoi ce truc... »

Andy fronça les sourcils en relevant le nom du document word ouvert en plein écran. C'était le nom d'une série de bouquins érotiques  dont on ne pouvait pas avoir entendu parler. Le succès de cette saga était encore loin de celui de 50 shades of Grey, mais leur professeur de littérature avait confié amusant, que le style de l'auteur et les thématiques abordées étaient bien meilleurs que ceux d'E.L. James. Le jeune homme en avait lu quelques pages à la librairie et en était ressorti avec une érection assez gênant, qu'il avait eu bien du mal à camoufler.

Oh, m'man... Sourit-il, en commençant à lire les premier paragraphes, qui décrivaient une langoureuse scène lesbienne. L'idée que sa mère puisse lire ce genre de choses l'électrisa et il se mordit la lèvre inférieure alors que le sang affluait à nouveau vers sa queue imberbe. 

Trop excité pour ne pas en oublier la prudence, Andy défit sa braguette, et fit glisser son jean sur ses chevilles avant d'extirper une verge entonnement longue et épaisse de son boxer, qu'il commença à branler doucement d'une main, faisant défiler le texte de l'autre. Maria se caressait-elle également en découvrant les émois des Nina et Béatrice ? Non c'est... La vérité le frappa avec autant de violence que le coup de poing qu'il avait donné à Carter. Le document n'était pas terminé et il s'interrompait au moment ou Béatrice glissait une bougie parfumée dans l'anus d'une Nina fiévreuse et lubrifiée... Maria ne lisait pas les aventures des deux jeunes femmes elle... Elle les écrivait ! C'était carrément dingue ! Comment une femme aussi... Gentille et attentionnée que sa mère pouvait-elle écrire des... des obscénités comme celles-là ? Interloqué, Andy se laissa aller contre le dossier de sa chaise. Sa queue, énorme et veineuse, palpitait entre ses doigts serrés.

Le son de la télévision qu'il avait laissé allumée l'empêcha d'entendre le pas léger de sa mère, qui revenait de sa petite course.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 08 novembre 2015, 16:20:25
Andy était un sujet qui préoccupait Maria. Elle pensait que chaque mère était continuellement inquiète pour le sort de ses enfants, surtout quand ils atteignaient l’âge idiot de la puberté. C’était à cet âge qu’on faisait des conneries, qu’on se rebellait contre ses parents... Maria avait vu le jugement depuis quelques temps. Avant cela, ils avaient pris pour habitude de prendre des bains ensemble, avec la tête de Andy se lovant contre ses seins. En un sens, Andy avait été l’une des raisons du divorce de Maria. Son père, Alan, avait toujours été jaloux de l’amour filial de Maria pour son fils. Bien sûr, il y avait eu d’autres raisons, mais celle-ci avait été l’une des plus importantes, une chose que Maria n’avait évidemment jamais confiée à Andy... Tout comme elle n’avait jamais confié à ce dernier ce qui l’inquiétait le concernant.

Les deux vivaient dans la Grosse Pomme, et, même si cette grande ville permettait de vivre dans l’anonymat, Clinton Hill School était le cas typique d’établissement scolaire archaïque, une relique du siècle dernier. Tout l’establishment new-yorkais se côtoyait dans ce lycée privé, un ensemble de gens BCBG, des WASP pure souche, dont les fils étaient tous de superbes Yankees blancs aux yeux bleus, comme des Aryens low cost, et tous étaient destinés à rejoindre les prestigieuses universités de l’Ivy League. Maria avait inscrit Andy à ce lycée particulier, l’arrachant à l’école publique, et elle savait pourquoi elle avait fait ça. Elle prétendait officiellement que c’était pour le protéger de la délinquance, de la drogue, et de tous ces maux, mais la réalité était bien différente...

La réalité, c’était que Maria ne supportait pas l’idée qu’Andy puisse sortir avec une fille. Pour le coup, elle se comportait comme une mère très possessive, et très inquisitrice, n’hésitant pas à observer le répertoire du téléphone portable d’Andy quand il prenait sa douche. Elle voyait ainsi qui étaient ses contacts, et, quand il y avait des filles, elle faisait des recherches, utilisant cet outil magique qu’on appelait Facebook pour s’assurer qu’Andy était toujours célibataire. C’était un problème réel, car Andy était un garçon magnifique. Il avait de beaux cheveux blonds, presque clairs, qui allaient à merveille avec sa peau basanée, un héritage italien. Les filles devaient lui tourner autour, mais il n’avait encore aucune petite copine, ce qui ne manquait pas de surprendre Maria.

Maria savait qu’Andy n’aimait pas Chris, et, s’il fallait choisir entre les deux, la question ne se posait même pas. Plus Andy continuait sa crise, plus il refusait de lui parler, et plus elle comprenait... Plus elle se comprenait elle-même, en percevant les raisons profondes pour lesquelles elle se refusait à le voir avoir une petite amie. Et, tan dis qu’elle revenait avec sa baguette de pain, et qu’elle rentrait dans l’ascenseur, elle se disait que, tôt ou tard, elle allait devoir avoir une conversation sérieuse avec lui.

*C’est mon fils, après tout... Je dois lui dire, même s’il me prendra pour une folle...*

Pourquoi s’était-elle mise à écrire si compulsivement des livres érotiques ? Pourquoi est-ce qu’Alan n’arrivait plus à la faire jouir depuis des mois ? Pourquoi est-ce que, quand elle faisait des rêves érotiques, elle se réveillait en pensant à Andy ? Pourquoi est-ce que, quand il prenait sa douche, elle rêvait de retourner l’avoir avec elle dans la salle de bains, et voir combien son petit garçon avait grandi ? Est-ce que ça faisait d’elle une pédophile ? Légalement, Andy était encore mineur. Il avait 16 ans, ce qui, en Italie, signifiait qu’il avait atteint sa majorité sexuelle, mais, à l’État de New York, par cette merveille qu’on appelait le droit, en faisait encore un mineur.

*Comment lui dire que je l’aime... Et que je l’aime de la manière dont une mère ne devrait pas aimer son enfant ?*

Tout cela était difficile !

C’est en y pensant que Maria retourna chez elle, et ouvrit la porte. Elle entendit la télé’, et continua à s’avancer, déposant la baguette sur la table de la cuisine. Andy était visiblement rentré, mais n’était pas devant la grande télé’ du salon... Sans y accorder plus d’importance, Maria se dirigea vers son bureau, et vit la porte entrouverte. Elle la poussa alors, et...

« ANDY ! »

Ses yeux s’écarquillèrent en le voyant, devant son écran, et Maria devint rouge comme une tomate, en voyant un monstre qui avait pointé entre ses cuisses.

*Mon Dieu, quelle bite !*
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 13 novembre 2015, 11:16:29
La nature avait été généreuse avec Andy et il en avait conscience. Si le jeune homme n'avait pas encore eu de petite amie pour le complimenter sur sa vigueur, il avait, comme tous les adolescents disposant d'un accès illimité – et sans contrôle – à internet, visionné des centaines de vidéos pornographiques pour y découvrir avec surprise que son pénis était, en comparaison de bien d'autres, plus long et plus épais. Cette découverte l'avait galvanisé les premiers temps et sur les conseils de son vieux pote Ed Mitchum, il avait un peu flirté avec Nathalie, la fille de la boulangère, une jolie brunette avec des miches énormes. Ledit flirt consistait à s'attarder quelques secondes supplémentaires à chaque fois qu'il allait chercher le pain pour le compte de sa mère et à parler de la plus et du beau temps en balbutiant. Nathalie avait dix-neuf ans et on lui prêtait une réputation plutôt sulfureuse, malgré son caractère d'apparence réservé et agréable. Elle lui avait facilité la tâche et c'était elle, un beau jour, qui lui avait proposé d'aller au cinéma ensemble. Cependant, lorsqu'il s'était pointé au lieu du rendez-vous, la jeune femme lui avait posé un lapin. Quelques jours plus tard, elle sortait avec le chanteur d'un groupe de rock local. Andy en avait été très attristé, et avait rejeté temporairement l'idée d'avoir une copine. Et puis après tout, il avait son adorable maman pour s'occuper de lui et lui préparer de bons petits plats.

Si seulement...

Si seulement il n'y avait pas l'autre, peut-être.... Peut-être qu'il pourrait la caresser ,un peu comme avant, et qu'elle ne dirait rien. L'internet regorgeait d'histoires érotiques incestueuses, et Andy en était friand. Sa poigne se raffermit sur sa bite, qu'il masturbait plus vigoureusement alors que dans son esprit se superposaient l'image de des corps de Béatrice et Nina qui s'unissaient, et celle des main de sa mère, s'agitant entre ses cuisses, caressant son clitoris gonflé de ses doigts fuselés alors qu'elle faisait aller et venir un sex-toy dans son anus dilaté.

« Hhm... M'man, ah... »

Les yeux mi-clos, le jeune homme s'était complètement laissé aller contre le dossier de la chaise et avait remonté son T-shirt pour se caresser son torse glabre et musclé, excitant ses propres tétons du bout de ses doigts. Ses longues séances d'onanisme avaient appris au jeune homme que son pénis n'était pas la seule zone érogène de son corps et que d'autres caresses pouvaient démultiplier ses orgasmes. Il avait même lu quelque part que la pénétration anale pouvait déclencher une jouissance spectaculaire, mais Andy avait seize ans, et ça lui paraissait quand même carrément pédé de mettre un truc dans ses fesses. Ce connard de Chris devait sûrement adorer ça ! Il se mit à imaginer sa mère en train d'enfoncer ses doigts dans l'anus du bellâtre en guettant ses réaction, l'air amusé, ses belles lèvres pleines renfermées autour de son gland et il se sentit partir. Oh merde.. Il était trop tard pour s'interrompre à présent, et Andy astiquait frénétiquement sa grosse verge, les yeux dans le vague. La voix de sa mère lors de son intrusion lui sembla bien lointaine lorsqu'il juta une quantité invraisemblable de foutre tiède et luisant qui s’éleva vers le haut, avant de retomber, maculant son torse de jeune athlète, le sol, l’écran de l'ordinateur, et même son propre visage. Lorsque la source se tarit enfin, il avait laissé retomber ses bras le long de son corps et tourna doucement son visage exténué par l'orgasme vers l'intruse, qu'il considéra quelques instant avec indifférence, avant que ses yeux ne s'agrandissent d'horreur.

« M'man ?! »

Andy recula brusquement la chaise de bureau qui se renversa avec fracas sur le parquet. Il resta interdit quelques secondes, puis il lui vint à l'esprit qu'il fallait cacher sa queue par n'importe quel moyen possible. Dans l'impossibilité de se baisser pour récupérer son boxer et son pantalon, l'adolescent saisit un porte-doucement qui traînait pour le placer devant son pénis, dont la semence dégouttait encore sur le parquet ciré.

« Je heu... C'est pas ce que tu crois, j'ai lu ton document et... Je pensais pas que c'était toi qui l'avait écris, sinon je me serai pas masturb... touché ! »

Il avait rougi jusqu'aux oreilles et fixait dorénavant ses doigts de pied avec attention. La panique s'installait en lui. Comment Maria allait-elle réagir face à une telle débauche ? Allait-elle appeler la police, ou bien le mettre à la porte ? Elle serait probablement dégoûtée de lui, après avoir assisté à un spectacle aussi obscène. Ses lèvres se mirent à trembler et pour ne pas ajouter à son humiliation le fait de fondre en larme, le bel éphèbe s'enfuit sans demander son reste, exposant son joli derrière musclé alors qu'il tournait les talons. Andy monta quatre à quatre les escaliers qui menaient au premier étage et claqua la porte de sa chambre et se jeta sur son lit, sans même prendre le temps de la verrouiller, tant il était perturbé.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 14 novembre 2015, 03:24:32
Les parents de Maria avaient été des Italiens pure souche, soit des Chrétiens purs et durs. Pas intégristes, mais pas très loi non plus... Le bénédicité avant chaque repas, la messe le Dimanche, et les sermons continuels sur le sexe. Maria avait grandi dans cet environnement austère, à une époque où les États-Unis goûtaient aux joies des Eighties, des hippies aux cheveux longs (de « sales gays-communistes-drogués », pour reprendre la formule de son père). Maria n’av ait pas connu la génération des Beatles, car elle était un peu plus vieille. Elle avait goûté à la musique électro’ des Nineties, à Daft Punk et à tous ces trucs... Et elle avait subi un phénomène de rejet par rapport à la culture italienne. Quand on vous en bourrait trop, il y avait un phénomène naturel de rejet qui pouvait éclater... Et ce rejet avait éclaté en bloc chez Maria. Christianisme, chasteté... Elle avait tout rejeté, et était une athée, pure et dure.

Est-ce que cela justifiait le caractère incestueux de sa relation avec Andy ? Maria savait que ce qu’elle ressentait pour son fils n’était pas vraiment ce qu’une mère devait ressentir... Mais c’était plus fort qu’elle. Elle n’avait jamais osé se faire suivre, de peur d’être jugée par un psychiatre qui verrait en elle une mauvaise mère, et la signalerait aux forces de police... Ce qu’elle ressentait pour Andy... Elle s’était toujours dit que c’était un simple amour filial...

...Et voilà qu’elle le voyait nu.

Elle vit son sexe, un membre énorme, balancer une bombe de foutre qui frotta le torse de l’homme, tout en éclaboussant aussi son écran d’ordinateur. Les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, Maria ne savait plus quoi dire, tant cette rencontre était... Inattendue. La mère et le fils se regardèrent ensemble, silencieusement, pendant quelques secondes, comme si le temps venait de se suspendre entre eux...

Puis Andy fila à toute allure, et Maria s’écarta machinalement, avant d’entendre le claquement de sa porte. Un blanc venait de se former dans la tête de Maria, qui sentit alors son cœur ventiler à fond. Sa respiration était haletante, et elle cligna des yeux à plusieurs reprises.

*Oh. Mon. Dieu.*

Elle n’avait pas rêvé... Pour preuve, il y avait quelques vêtements d’Andy, et son sperme, sur son écran, dégoulinant lentement, avec, en arrière-plan, son texte... Une partie du roman érotique qu’elle était en train d’écrire. Maria cligna lentement des yeux, observant ces tâches de sperme, laissant de petites traînées sur l’écran.

*C’est moi qui l’ais fait jouir... Mon texte...*

Cette constatation s’imposa peu à peu dans son esprit. Elle s’humecta les lèvres, observant ce sperme... Puis finit par sortir un mouchoir, et nettoya lentement son écran, l’esprit plein de confusions, mais qui, peu à peu, était en train de s’organiser, de se rationaliser. Nettoyant l’ensemble, elle finit par se redresser, et resta là, debout, pendant de longues secondes, s’humectant les lèvres...

...Puis Maria s’approcha de la chambre d’Andy, et toqua à la porte.

« An... Andy ? »

Elle déglutit, et posa sa main sur la poignée de la porte... Hésitant à rentrer.

« Je... »

Que dire ? Que dire ?! Elle ne savait pas... Elle ne savait pas ! Se mordillant les lèvres, Maria lança alors la seule chose qui lui venait à l’esprit :

« Ce n’est pas grave, mon chéri... Tu m’as surpris, mais... Ouvre-moi, Andy, s’il-te-plaît, il... Il faut qu’on discute... »

Elle n’était pas sûre qu’il obéisse...
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 16 novembre 2015, 19:46:02
Andy avait l'impression de vivre un cauchemar. Sitôt allongé sur son lit, il avait enfoui son visage baigné de larmes de rage dans son oreiller, puis s'était relevé pour faire les cents pas. A la panique, avait succédé la colère et un puissant sentiment d'injustice. Après tout, c'était celle de Maria et de son texte licencieux ! Si elle n'avait pas laissé son ordinateur allumé, rien de tout cela ne serait arrivé. Mais à présent... Cependant, si le texte de Maria avait réveillé ses ardeurs, ce n'était le récit qui l'avait fait jouir, mais bien des fantasmes œdipiens parmi les plus odieux, fantasmes dont sa mère n'était pas responsable. Cédant à nouveau au désespoir, l'adolescent s'adossa à la porte de sa chambre et se laissa glisser jusqu'au sol. Lorsque Maria frappa à la porte, le jeune homme sursauta et se mordit la lèvre inférieure. La dernière chose dont il avait besoin, c'était d'un sermon. Et il ne savait pas si elle tenait cela de son-père, mais Maria était plutôt balèze, niveau sermons.

« Laisse-moi tranquille », grogna-il, indiquant malgré lui sa position.

Il avait fermé le verrou qu'il avait posé un an plus tôt, prétextant un besoin croissant d'intimité – Maria avait en autrefois tendance à rentrer sans prévenir dans sa chambre, et manqué plusieurs fois de le surprendre en train de consulter des sites pornographiques. Il savait que Maria n'allait pas repartir aussi facilement, mais il l'espéra quand  même... En vain.

« J'ai pas envie de t'ouvrir. Tout ça, c'est de ta faute. C'est parce que tu écris des cochonneries ».

C'était carrément vache de sa part, mais le jeune homme n'en avait cure. Faire porter une partie de la responsabilité de ce qu'il venait de se passer à sa mère lui paraissait être la meilleure solution possible. Peut-être qu'ils pourraient oublier ça et continuer à vivre comme avant. Maria accepterait-elle encore de lui faire des câlins, après avoir vu sa verge, ou bien l'avait-il irrémédiablement dégoûté de lui ? Andy soupira. Maria ne faisait pas de bruit, mais il la savait encore derrière la porte. Baissant les yeux, l'adolescent s'aperçut qu'il était encore à demi-nu et que son vit débandé reposait sur le parquet. Il laissa passer une bonne trentaine de secondes passer, le temps que les battements de son cœur reprennent un rythme normal, puis se redressa lentement, essayant de faire le moins de bruit possible.

« M'man, t'es encore là ? »

La question était purement rhétorique. Bien sûr qu'elle était encore là. S'approchant de sa commode en noyer, le lycéen en retira un boxer, qu'il enfila et un énième jean brut. Puis il se rapprocha en catimini de la porte pour la déverrouiller, puis alla s'asseoir sur son lit, en face de la porte. Le cliquetis du verrou était discret et on pouvait facilement le manquer si on y prêtait pas attention. Andy avait compris qu'il n'échapperait pas à une confrontation avec sa mère, mais il refusait d'en prendre la responsabilité. Si elle pénétrait dans son antre, cela ne serait parce qu'il lui aurait ouverte la porte. Frottant ses paumes contre ses paupières, le blondinet se débarrassa de ses dernière larmes et se prépara à affronter Maria. Après tout si elle ne voulait plus de lui, il pourrait toujours se mettre à la recherche de son père, n'est-ce pas ? Un triste sourire s'allongea sur les lèvres de l'adolescent. Aujourd'hui était le jour ou sa vie entière avait basculé.

Sur ce dernier point, il ne se trompait pas.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 19 novembre 2015, 20:20:36
Parler à Andy allait être dur, mais c’était nécessaire. Il y avait trop longtemps que, entre eux, il y avait trop de non-dits, de silences coupables, de désirs inavoués... Maria savait que ce qu’elle allait faire était la folie, mais peut-être que cet incident allait déboucher sur de bonnes choses ? Du moins entre eux. Andy était quelqu’un de très beau, qui n’avait jamais eu de petite copine... Et ça, ce n’était pas normal. Maria, fondamentalement, avait toujours su pourquoi les filles n’intéressaient pas Andy, alors qu’il était loin d’être homosexuel. Mais elle avait toujours choisi de taire ce fantasme indécent, contraire aux bonnes mœurs, et à ce qu’une mère devait apporter. Mais là, en voyant le sperme de son fils glisser sur l’écran, elle avait compris... Compris son erreur. Compris ce que l’homme souhaitait vraiment, compris ce que son cœur avait choisi. Elle l’avait toujours su, et, alors qu’elle restait contre la porte, Andy lui demanda si elle était encore là... Ce à quoi la femme répondit rapidement.

« Bien sûr. »

Elle attendit encore quelques secondes, la main posée sur la poignée de la porte... Reprit son souffle... Ferma les yeux... Les rouvrit... Puis poussa la porte.

Il était là, face à elle, assis sur le lit, gêné. Elle poussa la porte, et resta dans l’embrasure, en le regardant encore... Il s’attendait probablement à l’un de ces terrifiants sermons dont seuls les mères avaient le secret... Mais Maria se contenta de se mordre les lèvres, puis s’avança, faisant un pas, et referma la porte derrière elle, dans un silence énigmatique, et qui était presque même pesant. Pourquoi ne disait-elle rien ? Qu’avait-elle en tête ? Finalement, après un temps qui aurait pu sembler interminable, Maria finit par parler :

« Je me suis toujours demandé pourquoi tu n’avais pas de copines, Andy... C’est vrai, tu es beau, très mignon, et je suis sûre que plein de filles doivent te courtiser en cours. Je t’assure que je me suis posée la question, et j’ai envisagé toutes les possibilités... Jusqu’à comprendre que ma première hypothèse avait toujours été la bonne. »

Où voulait-elle en venir ? Le traiter de pervers ? Lui dire qu’il était incapable d’envisager une relation amoureuse parce qu’il était un voyeur ? Maria se rapprocha, et s’assit sur le lit, à côté de lui.

« Ton père... Nous avons divorcé pour beaucoup de raisons, mais tu étais la principale. Il avait compris ce que je me suis refusée à admettre pendant longtemps... Et je me suis rapprochée de Chris pour ça, Andy, pour... Pour en être sûre, mon chéri. »

Elle se mordilla les lèvres, en le regardant, mais Andy fuyait son regard. Maria déglutit encore, se pinça les lèvres, et reprit, en essayant de rejoindre toutes les idées qu’elle était en train de développer :

« Ton père savait que je ne l’aimais pas... Ou que je ne l’aimais plus. Et Chris sait que je ne l’aime pas. J’ai essayé de l’aimer, je te jure, mais j’en suis incapable... Car mon cœur est déjà pris. Andy... Andy, regarde-moi... »

La main de Maria alla caresser l’une des joues d’Andy, et elle approcha son visage du sien.

« C’est toi, Andy... Toi que j’aime. J’ai écrit ces romans comme une sorte de... De catharsis... De catharsis contre ça... Mais... Il n’y a rien à faire, Andy... »

Elle soupira, puis tourna à nouveau la tête.

« Je... Je suis désolée de ne pas être une bonne mère pour toi, Andy... »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 24 novembre 2015, 11:59:29
Andy, penaud et honteux ne leva pas les yeux lorsque Maria ouvrit la porte, mais sursauta légèrement lorsqu'elle la referma. L'adolescent s'attendait à un ouragan, mais le silence pesant qui s'installa fut presque pire. Les yeux rivés sur les jambes interminables de sa mère, le blondinet rougissait. Lorsque enfin Maria exprima, le jeune homme sentit son cœur s'emballer. Ainsi elle avait toujours été au courant de ses désirs coupables ? Andy secoua la tête vigoureusement, s'efforça de trouver les mots de dénégation les plus indignés, mais ne parvint qu'à articuler quelques syllabes étouffées.

« Ce n'est pas vrai. »

Cependant Maria traversait la chambre pour s'asseoir à côté de lui, sur le lit dans lequel, quelques années auparavant, elle le bordait encore, avant de lui donner un baiser de bonne nuit du bout de ses lèvres tièdes et humide. Leurs épaules se touchaient et Andy gigotait, un peu mal à l'aise, alors que le monologue de Maria prenait un virage... Surréaliste. A vrai dire, lorsqu'il était enfant, Andy avait remarqué que son père voyait d'un mauvais œil les étreintes prolongés qu'il partageait avec Maria, les baisers appuyés dont elle le gratifiait ou encore les bains qu'ils prenaient ensemble. Andy l'avait entendu dire de nombreuse fois à Maria que leurs rapports n'étaient pas sain, mais celle-ci l'envoyait systématiquement sur les roses en lui rétorquant qu'il était idiot d'être jaloux de son propre fils. Et vraisemblablement, il ne s'était pas trompé. Le cœur d'Andy bondissait dans sa poitrine, alors qu'il relevait enfin ses yeux noisettes effarés. Lorsqu'elle lui caressa la joue, ses lèvres étaient si proches des siennes qu'il aurait pu l'embrasser...Mais l'adolescent ne savait pas vraiment comment s'y prendre.

« Tu m'aimes ? » répéta-il stupidement, pour être sûr qu'il avait bien compris les révélations de Maria, « tu veux dire que tu es amoureuse de moi ? »

Le jeune homme resta interdit pendant quelques secondes. Sa mère venait de lui révéler quelque chose dont il n'avait jamais osé rêver et... Andy ne savait pas comment réagir. Ça ne doit pas être facile pour elle non plus. Il fallait qu'il fasse quelque chose. Maladroitement, l'adolescent passa son bras autour des épaules de Maria et l'attira doucement vers lui. Elle est si fragile, j'ai l'impression que je pourrais lui faire mal rien qu'en la serrant trop fort. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas fait de câlin à Maria et entre temps le base-ball avait transformé son corps en l'espace de moins de deux ans ; L'adolescent maigrichon d'alors avait à présent de larges épaules et une musculature d'athlète.

« Tu es la mère la plus courageuse et la plus attentionnée qui soi », lâcha-il, en s'efforçant de maîtriser le tremblement de sa voix. « Et aussi la plus jolie», ajouta-il en rougissant, avant de lui embrasser vivement la joue. A présent il fallait être courageux. Il fallait être un homme.

« Je t'aime aussi. Depuis...depuis toujours », lui avoua-il à son tour. « Je....je n'ai jamais trouvé de fille qui m'attire autant que toi M'man. Et à chaque fois que j'imaginais Chris posait ses mains sur toi je... J'en devenais malade. » Il ne précisa pas que parfois il les imaginais en train de faire l'amour ; la situation était suffisamment compliqué comme ça. « Je suis désolé de m'être donné en spectacle comme ça. Mais tu écris vraiment bien et... Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à toi ».

Voilà, c'était dit. Andy venait de confesser à sa mère qu'il l'aimait, d'un amour inconditionnel, mais aussi qu'il la désirait du plus profond de son être. Car il n'y avait rien au monde qu'Andy Dawson désirait davantage que faire l'amour avec Maria, même si c'était mal, même si c'était interdit. A cette pensée, le sexe engourdit de l’adolescent enflait à nouveau,  alors que sa respiration s’accélérait légèrement.

« Tu... Tu me pardonnes, dis ? », lâcha-il finalement.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 27 novembre 2015, 12:30:10
C’était au tour d’Andy de parler, et de se confier après cet épisode... Malencontreux. Maria n’avait jamais été aussi nerveuse de sa vie... Ou presque. Pensez donc ! Elle venait d’avouer à sa fille des choses... Inavouables. Qu’elle l’aimait, et ce pas d’un amour maternel au sens... Traditionnel du terme. C’était un amour... Incestueux ! Elle avait du mal à le dire, du mal à le prononcer, mais c’était pourtant ça, et juste ça... Un amour malsain, socialement réprimé, et même morphologiquement réprimé, si on en croyait le taux de consanguinité lié aux reproductions incestueuses... Ce à quoi, dans la tête de Maria, une petite voix répondit que, même dans le cas de relations sexuelles classiques, on était jamais à l’abri de ratés.

Tout ça se bousculait dans sa tête, remuant à toute allure, lorsqu’Andy, surpris par cette révélation, avoua à son tour qu’il l’aimait. Maria se surprit à sourire, en sentant un poids se soulager dans son cœur... Mais était-elle vraiment surprise ? Oh, bien sûr, ça lui faisait plaisir, mais... En toute honnêteté, elle s’était attendue un peu à cette réponse. Elle connaissait son fils, mais, même en l’ayant anticipé... Et bien, ça faisait toujours plaisir !

*Dieu, mon fils vient de me dire qu’il m’aime, et j’en suis toute excitée... Tu es folle, Maria !*

Folle, c’était le moment... Mais c’était plus fort qu’elle. Comment ne pas l’aimer ? Il était parfait, tout simplement... Et il suffisait de l’observer pour s’en rendre compte ! Ce jeune homme était la perfection-même, et, assez rapidement, Maria se sentit obligée de faire une précision fondamentale :

« Je n’ai jamais couché avec Chris, Andy... Je... J’en ai été incapable... Au début, je... Je pensais que ça venait de moi, mais... »

Elle se mordilla les lèvres avant de soupirer, et releva la tête, sa main venant caresser l’une des joues de l’homme, un léger sourire venant alors éclairer ses tendres lèvres.

« Le problème venait de Chris... Comment pourrais-je coucher avec un homme que je n’aime pas ? Et comment pourrais-tu te sentir désolé de quoi que ce soit vis-à-vis de moi ? Tu es mon fils, tu n’auras jamais à te pardonner... Et surtout pas de ça. »

Sa main caressait son visage, et elle se pencha alors, agissant presque par instinct... Et, tout aussi instinctivement, elle alla embrasser le jeune homme, sur les lèvres. Ce fut un tendre baiser, bref, qui ne dura que quelques secondes, et elle le rompit ensuite, avant de sourire.

« Je vais rompre définitivement avec Chris... Car c’est toi que j’aime, Andy, et je me moque que le monde entier s’en offusque. J’ai essayé de fuir cet amour pendant trop longtemps pour en prendre pleinement conscience, maintenant... Je... Je ne peux pas lutter contre ça... Même si je le voudrais... »

Elle l’avoua en rougissant.

Tout comme elle n’osait pas avouer qu’elle adorait les lèvres d’Andy !

Mon Dieu, quelle mère était-elle donc ?
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 04 décembre 2015, 12:54:44
Ce soir les révélations s'enchaînaient en cascade. Lorsque Maria lui avoua qu'elle n'avait jamais eu de relation sexuelle avec Chris, Andy, se retourna vers sa mère, bouche bée. A vrai dire, il n'avait tout simplement jamais envisagé cette possibilité. Et lui qui avait passé des heures à imaginer l'homme poser ses sales pattes sur le corps languissant de Maria... ! Il s'en voulait d'avoir été aussi jaloux, mais le mal était fait à présent.

« C'est... C'est vrai ? Mais alors depuis Papa, tu n'as... Tu n'as couché avec personne ? »

L'interrompant, sa mère posa ses lèvres contre les siennes, le prenant au dépourvu. Ce fut son premier baiser, tendre et mouillé. Les yeux mi-clos Andy glissa sa main dans les cheveux soyeux de Maria. Au lycée, il s'était entraîné à embrasser avec ses copains ; selon Kyle, il s'agissait de fermer le poing, mais de laisser une petite ouverture sur le dessus pour y glisser sa langue, puis de la faire tourner le plus vite possible dans ledit orifice. Ça avait l'air débile, mais Kyle avait embrassé beaucoup de filles et ses camardes lui faisaient donc une confiance presque aveugle sur le sujet. Cependant le baiser qu'il échangea avec sa mère n'avait strictement rien à voir avec l'agitation mécanique qu'il imaginait. C'était un moment de partage à la fois tendre et intense qui lui échauffa la nuque. Lorsque leurs lèvres se descellèrent, le jeune homme était rouge pivoine. Pour cacher son trouble, il enfouit son visage dans le cou de sa mère. Ce qu'elle pouvait sentir bon ! Le parfum suave qu'elle portait relevait l'odeur délicate de sa peau. La main du jeune homme glissa le long du dos de sa mère, alors qu'il déposait un baiser juste sous l'oreille de cette dernière.

« M'man je... je ne veux pas lutter. On pourrait être ensemble tu sais. Personne n'en saurait jamais rien de toute façon ».

La poitrine de Maria s'écrasait contre son torse glabre et Andy sentait le sang refluer massivement vers sa verge. Sa respiration s'était accélérée alors que de petits frissons lui remontaient le long de l'épine dorsale. De sa main libre il saisit l'étroit poignet pour poser sa main contre son cœur. Il avait envie qu'elle le touche, qu'elle le caresse encore. Sans crier gare et mût par une impulsion subite, il se pencha à son tour en pressa ses lèvres humides contre celle de sa mère. Les yeux mi-clos, il envoya délicatement sa langue retrouver sa semblable. Le baiser fut fiévreux, un peu maladroit, mais sincère. Et il acheva de mettre Andy dans un état impossible ; sa grosse verge faisait une bosse immanquable sous son pantalon. Mais Andy n'avait plus peur ; il savait que dorénavant Maria l'accepterait tel qu'il était.... C'était le plus beau jour de sa vie.

« Tu es tellement belle... Au lycée tout le monde parle de toi, de ton corps et de ton élégance... Ils sont tous terriblement jaloux, parce qu'aucun d'entre eux n'a une maman aussi formidable que la mienne ! »

Andy n'avait jamais été aussi excité. Le corps sculptural de sa mère était à portée de ses mains et de ses lèvres et elle lui avait quasiment avoué qu'elle n'avait pas fait l'amour depuis bien longtemps... Néanmoins Andy ne savait pas comment faire et craignait encore, quelque part au fond de lui que cet instant magique ne prenne fin. Est-ce que je rêve ? Aussi se contentait-il de se lover contre Maria, sa verge tendu frottant contre la cuisse de la jeune femme., lui caressant le dos du plat de sa main. N'y tenant plus, il leva sa main libre pour le diriger vers la poitrine de Maria, posant doucement sa paume sur l'un de ses seins à travers le tissu de ses vêtements et de soutien-gorge. Dire qu'il avait sucé ces seins magnifiques lorsqu'il était gosse... Andy se mit à rougir et retira sa main, un peu honteux. Après tout il ne fallait pas oublier qu'il était un adolescent de seize ans relativement timide.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 04 décembre 2015, 20:16:35
La glace se brisait, et confirmait tout ce que Maria avait toujours redouté, craint… Et attendu. En son for intérieur, elle avait toujours su pourquoi elle n’avait pas retrouvé quiconque depuis sa séparation avec le père d’Andy, pourquoi elle n’arrivait pas à sortir, avec Chris, de ce que les gens appelaient la « friend zone ». Elle était coincée dedans, et ce pour une raison simple : la place libre dans son cœur ne l’avait jamais été. Depuis quand était-elle devenue une mauvaise mère ? Depuis quand rêvait-elle ainsi de coucher avec son fils ? Depuis quand se crispait-elle comme une belle-mère acariâtre en apprenant que des filles tournaient autour d’Andy ? De son Andy ? Il était beau, si beau avec sa peau cuivrée, ses cheveux blonds tombant en cascade le long de son dos, son corps musclé… Le physique parfait du surfeur de Rockaway Beach. Comment ne pas tomber amoureuse de lui ? Non, il était impensable que des filles ne lui aient pas tourné autour… Depuis le début, elle savait, et ce baiser, ce baiser, il avait la saveur du Diable, comme un doux poison, un horrible nectar qui les reliait dans un pacte interdit, immoral, incestueux.

Incestueux.

Le mot rebondissait dans son esprit, prononcé avec la dureté d’un coup de maillet tenu par le Juge, et qui la condamnait, elle, la mère indigne, à l’uniforme orange, lui retirait son autorité parentale sur Andy… Elle avait conscience qu’elle franchissait toutes les limites, qu’elle sortait du cadre familial, de l’amour filail normalement prévu, mais… C’était plus fort qu’elle. Quand elle sentit l’homme palper ses seins, elle rougit, se sentant déglutir, avant de le voir s’écarter, nerveux… Mais avec une trique de tous les diables.

Encore une fois, un léger silence vint s’instaurer, comme pour témoigner de toute la tension sexuelle et nerveuse qui régnait en ce moment dans cet habitacle. Maria s’humecta les lèvres, et laissa planer quelques nouvelles secondes, avant de se pencher vers lui, et de poser sa main sur son pantalon.

*Trop tard pour fuir, trop tard pour reculer, je me suis suffisamment mentie à moi-même…*

Elle le regarda alors, sa main posée sur sa cuisse, près de son sexe.

« Tes camarades me trouvent sexy ? C’est… Flatteur. Mais non, je n’ai jamais couché avec personne depuis Papa. J’aurais pu me laisser aller, me mettre à grossir, mais… Je crois qu’au fond de moi, je voulais continuer à rester belle pour toi… Et je sais que, face à de jeunes adolescentes en pleine puberté qui s’habillent très court, je suis désavantagée… »

Quand on voyait les boudins qui se pressaient au lycée, on ne pouvait que comprendre pourquoi les amis d’Andy devaient trouver la femme… Bandante. Les Américains étaient connus pour leur obésité, et, elle, elle avait toujours fait attention à sa ligne, sans trop savoir pourquoi… Ou, plutôt, en sachant pertinemment pourquoi, mais en ayant toujours refusé de s’admettre les véritables raisons, tant ces dernières étaient perverses.

Elle soupira lentement, et se pencha vers lui.

« Ton sexe… Je ne savais pas que tu en avais un aussi gros… »

Elle vint le caresser à travers le pantalon, et sourit en voyant tout le corps de son fils se tendre. La main de Maria joua un peu avec la ceinture du jean, le défaisant un peu, et elle glissa finalement sa main sous le pantalon, puis vint le masturber.

« Est-ce qu’une fille t’a déjà caressé, Andy ? Est-ce que tu as déjà senti des lèvres se poser sur ta queue ? J’ai été la première à te masturber, dans le bain… La logique des choses voudrait que je sois la première à te sucer. »

Comme si un démon venait de prendre possession d’elle, Maria se faisait plaisir, en faisant des propositions extrêmement indécentes…

…Et tout autant excitantes !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 08 décembre 2015, 12:42:17
Si Andy avait appris à l'école que l'inceste était un tabou quasi-universel, il avait aussi en tête les nombreux exemples de personnages historiques qui avait dérogé à cette règle. Cléopâtre, les Borgias, ou encore Néron, qu'on soupçonnait d'avoir couché avec sa mère... Et les milliers d'anonymes qui s'y adonnaient silencieusement. Car Andy en était sûr, il n'était pas le seul adolescent au monde à être tombé éperdument amoureux de sa génitrice. Celle-ci justement avait posé sa main sur sa cuisse. Mon Dieu, elle va...Elle va toucher ma queue ! Rouge pivoine, le souffle court, Andy n'osait pas bouger. Les yeux rivés sur les lèvres de sa mère il sentait une douce chaleur l'envahir alors que son regard devenait vitreux.

« Aucune d'entre elle ne t'arrive à la cheville M'man. Elles... Elles n'ont pas de formes et aucune élégance ! »

Le côté BCBG de sa mère l'avait toujours rendu très attirante. Dans ses tailleurs décolletés et jupes zippées, perchée sur des talons vertigineux, Maria avait une classe incroyable. Elle faisait du sport régulièrement et ses longues jambes fuselée faisaient pâlir d'envie ses voisines, des mères au foyer qui pour la plupart, s'étaient laissé aller. Chaque fois qu'elle portait courir, l'adolescent ne pouvait s'empêcher de la regarder s'éloigner par le fenêtre, fixant son postérieur rebondi qui oscillait à chacune de ses foulée. Elle est resté belle pour moi. Andy sentit une bouffée d'orgueil gonfler ses jeunes poumons. Il allait ajouter quelque chose, mais se raidit lorsque Maria posa tranquillement sa main sur la bosse de son pantalon. Oh mon Dieu, oh mon Dieu, qu'est-ce qu'elle fait... Son corps athlétique s'arqua alors que le jeune homme laissait échapper un gémissement étouffé.

« Tu... Tu trouves ? Il  te plaît ? », lâcha-il, avant de rejeter la tête en arrière, se mordillant la lèvre inférieure.

Andy savait pertinemment que son sexe était imposant, mais le fait que sa mère le complimente dessus lui faisait un effet bœuf. Son bras musculeux s'était raffermit autour des épaules de sa mère et il l'attirait instinctivement vers lui. On va vraiment le faire ? C'était carrément dingue.

« Non, j'ai essayé de sortir avec des filles mais au final... Je me suis toujours branl... masturbé tout seul. »

Andy était un garçon poli. S'il lui arrivait de jurer comme tous les adolescents, il veillait à ce que son langage soit irréprochable en compagnie de Maria, pour la simple et bonne raison qu'à chaque gros mot proféré, il avait l'obligation de glisser un dollar dans le bocal en verre près de l'évier.

« Alors c'est ça que tu faisais... Je pensais que tu voulais seulement me savonner... »

Le jeune homme eût un rire bref ; il avait toujours crains, lorsqu'il prenait son bain avec Maria, que ses érections intempestives ne choquent sa mère, mais celle-ci semblai ne pas s'en rendre compte, et le laissait frotter son vit contre sa croupe, ou s'emparait négligemment de sa queue pour la frotter brièvement avec du savon, avant de le rincer et de s'en désintéresser... prétendument. C'était à cette époque que Chris était arrivé dans sa vie, et qu'ils avaient cessés de faire leur toilette ensemble... Andy comprenait mieux à présent.

« Quand je pense que j'ai passé des années à croire que j'étais un fils indigne et vicieux », s'amusa-il, malgré son trouble. Sa mère n'était visiblement pas aussi innocente qu'il le pensait... Soudain le jeune homme hoqueta, alors que sa main se refermait sur le poignet de sa mère ; Maria avait glissé ses doigts agiles dans son boxer, et s'était emparé de sa queue, qu'elle masturbait doucement. Le jeune homme se décrispa, et plongea son regard dans celui de sa mère ; le contact avait manqué de faire juter immédiatement.

«M'man... Moi aussi je me préservais pour toi. Je voulais que tu sois la première à... la sucer. »

Andy se rendit compte qu'il énonçait la plus stricte des vérités. En prêtant un peu plus attention aux filles qui l'entouraient et qui lui jetaient parfois des regards appréciateurs, il aurait très probablement pu sortir avec l'une d'elle mais...Mais Andy n'en avait pas envie. La seule qu'il voulait c'était sa maman adorée. Et celle-ci s’apprêtait à lui faire une fellation
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 14 décembre 2015, 11:27:32
Y avait-il quelque chose de malsain en elle ? Comment s’expliquer cette attirance pour son fils ? Dès le début, elle avait bousillé les chances d’Andy de pouvoir se rapprocher d’une autre femme. Il y avait les baignoires, dont Andy se rappelait, mais Maria, dès cette époque, agissait pour qu’il ne se rapproche d’aucune fille. À chaque fois que, enfant, il parlait des filles de la classe, elle ne pouvait s’empêcher de voir leurs défauts, de lui dire de ne pas aller vers elles, qu’elles étaient méchantes, que leurs mères étaient mesquines... Jusqu’à quel point l’attirance d’Andy pour sa mère émanait d’elle, et non de lui-même ? Une question intéressante à poser, qui aurait probablement fasciné des psychiatres se penchant sur leur relation... Mais, le pire, pour Maria, c’était clairement cette absence de remords. Quand elle faisait quelque chose de mal, elle le sentait dans ses tripes. Elle y repensait sans cesse, en se sermonnant d’avoir commis des actes répréhensibles, et ce sans pouvoir faire taire la voix dans sa tête, cette voix qui lui reprochait son action, ce « sur-moi » envahissant et totalitaire. Mais là, alors qu’elle caressait la queue d’Andy, et que ce dernier lui avouait son amour, cette voix n’était pas là. Le siège était vide, et c’était ça qui choquait une partie de son être. Une partie... Car l’autre partie était tout simplement surexcitée, presque comme une gamine adolescente, à l’idée qu’Andy ressente la même chose qu’elle. Si elle avait su qu’il la regardait à chaque fois faire du sport, elle n’en aurait été qu’excitée davantage !

L’homme lui avoua n’avoir jamais été attiré par d’autres filles, et qu’il voulait qu’elle soit la première à le sucer. Maria ne put que sourire, et se pencha alors vers son fils, retirant sa main de son pantalon pour la poser sur sa nuque, et posa l’autre sur l’une de ses épaules. Leurs regards se croisèrent donc, et elle se pencha vers lui, avant de le pousser, l’amenant à se coucher sur le dos. Sa main se déplaça ensuite de sa nuque pour venir caresser, du bout des doigts, les lèvres de l’adolescent. Un sourire éclaira ensuite le doux visage de Maria, qui se livra à quelques confidences supplémentaires :

« Tu sais, je me suis déjà masturbée dans ta chambre, quand tu étais en cours... En t’imaginant... »

Elle ne l’avait même pas fait qu’une fois ! C’était la chambre d’Andy, son refuge, et elle aimait s’y rendre, pour respirer son odeur, s’imprégner de sa personnalité... Et là, elle était sur son lit, face à lui... C’était comme un odieux et magnifique rêve qui était en train de s’accomplir ! Sa bouche se rapprocha de la sienne, et elle alla tendrement l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes. Le baiser s’étira un peu, jusqu’à ce que la langue de Maria ne vienne taper contre les lèvres d’Andy, afin de forcer le passage. Elle rentra à l’intérieur, et se crispa un peu contre le corps de l’homme, yeux clos. Le baiser se poursuivit avec passion, tandis qu’elle sentait, contre son sexe, la verge de l’homme, qui frottait sa peau, se tendant contre elle.

« Hmmm... »

Ah, qu’est-ce qu’elle pouvait aimer ça ! Le contact du corps d’Andy, sa peau contre la sienne, ses seins s’enfonçant contre sa chair... Le duo continuait à s’embrasser tendrement et sensuellement, comme pour sceller définitivement leur union. Rien n’arrêtait Maria, qui finit ensuite par rompre le baiser, arquant sur ses lèvres un léger sourire.

« Elles sont aussi bonnes que ce que je pensais, tes lèvres, Andy... »

Le reste ne pourrait être qu’à l’avenant, et elle se déplaça alors, déboutonnant son jean. Ses jambes se posèrent sur le sol, et elle se tint ainsi, à genoux devant le lit, délivrant l’accès à ce sexe. Un vit tendu se dressa alors, et elle l’extirpa de tous les vêtements susceptibles de le bloquer, jusqu’à le faire sortir... Et, en voyant la verge de son fils, Maria arqua, sur ses lèvres, un sourire mielleux, se mordillant les lèvres.

*Oui... C’est toujours ce que j’ai voulu faire, dans le fond...* songea-t-elle.

Elle soupira devant ce membre, regarda une ultime fois Andy... Puis alla le prendre en bouche.

Ça y est... Elle le suçait !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 17 janvier 2016, 12:37:19
Allongé sur son lit, ses yeux noisettes mi-clos alors qu'il répondait passionnément au baiser de Maria, Andy était aux anges. Il savait que l'acte que sa mère et lui s'apprêtait à commettre était quasi-unanimement considéré comme obscène, voire monstrueux, mais il n'en avait cure. Il ne ressentait pas la moindre honte ou gêne. Au contraire il était fier, fier d'être l'élu du cœur de Maria, et de devenir son amant. Saisissant sa mère par les hanches pour presser son corps tiède contre le sien, ses mains dérivèrent sur le cul galbé de Maria. La jeune femme s'entretenait à merveille et ses fesses étaient aussi fermes que celles d'une pom-pom girl, tout en demeurant suffisamment moelleuses pour que ses doigts puissent s'enfoncer doucement dans sa chair, à travers le tissu. La confidence de Maria l'avait fait frissonner de désir. Imaginer Maria blottie contre son oreiller, sa main fourrée de sa petite culotte...

« Tu... Tu pensais à mon sexe pas vrai ? Tu... Tu es vraiment vicieuse... »

Andy était novice en matière de sexe, mais il savait que beaucoup de femmes aimaient s'entendre dire à quel point elle étaient putes ou salope... Cependant le jeune sportif adulait trop sa mère pour aller jusqu'à l'insulter, même si cela lui brûlait les lèvres. Descellant leurs lèvres, Maria se recula pour poser ses genoux au sol, débarrassant son rejeton d'un jean trop encombrant, et d'un boxer souillé de sperme frais. Pas question de manquer un tel spectacle. Andy se redressa sur les coudes pour observer Maria qui s'était empressée de saisir sa grosse queue, qui palpitait dans sa paume. A voir le sourire qui s’épanouissait sur son beau visage, sa mère aimait ce qu'elle voyait. Ressentait-elle de la fierté à voir son rejeton aussi bien gâté par la nature ?

« S'il te plaît Mom, suce... suce-là, j'ai trop envie ! »

Ils avaient attendu tellement longtemps avant de s'avouer leurs sentiments respectifs, qu'Andy bouillait à présent d'impatience. Ils avaient tant de choses à rattraper !

« Oh putain, ouais ! »

Maria avait fait glisser ses lippes sur son gland, avant d'enfourner sa queue joufflue dans sa bouche. C'était si chaud et serré à l'intérieur que le pauvre jeune homme n'avait pas pu retenir son juron. Ma mère me suce, songea-il, alors qu'il alla caresser les longs cheveux soyeux de la jeune femme, écartant les quelques mèches qui étaient tombées sur ses joues. Andy voulait voir chaque centimètre de sa bite coulisser entre les lèvres de Maria. Se tortillant de plaisir sur le lit, Andy avait rejeté la tête en arrière et se mordillait la lèvre inférieure. C'était trop bon ! Soupirant sous les ondes de plaisir qui l'assaillait, Andy sentait une bouffée de gratitude gonfler son cœur ; Maria le suçait tellement bien qu'il allait la baiser de toutes ses forces pour la remercier. Baissant un instant les yeux, un grand sourire s’épanouit sur son visage alors qu'il lui caressait la joue du dos de ses doigts.

« T'es magnifique quand tu suces, Mom ».

C'était la strict vérité ; malgré l'énorme chibre qui lui déformait les joues, le maintien aristocratique de sa mère était inchangée. Autrement dit, même en se comportant comme la pire des traînée, Maria était d'une classe et d'une élégance remarquable... Ce qui lui donnait encore davantage envie de lui faire l'amour.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 17 janvier 2016, 23:43:35
C’était... C’était vicieux, oui. Une relation incestueuse... Maria aurait dû être morte de honte, consternée par la gêne à l’idée de ce qu’elle voulait faire avec son fils. Mais, au lieu de ça, seule régnait une farouche excitation, grandissante et croissante. Elle avait envie de coucher avec lui, de lui faire l’amour, de lui prendre toutes ses virginités. Maria sentait la passion s’envoler, fracassant toutes ses conceptions et toutes ses barrières morales... Et elle se retrouva ainsi à genoux devant son fils, venant sucer sa queue, prenant entre ses lèvres le sexe de son fils !

*Et j’adore ça, Seigneur... Suis-je à ce point une si mauvaise mère pour aimer autant ça ? Pour aimer autant que ça la queue de mon fils ?!*

Maria ne s’était pourtant jamais imaginée comme étant une fille perverse. Elle n’avait jamais été une nymphomane, et, somme toute, elle menait une vie plutôt normale. Rien d’exceptionnel... Alors, comment expliquer ce qui lui arrivait ? Comment expliquer son attirance pour Andy ? Comment expliquer qu’elle avait envie de le sucer à fond, et que la seule idée qu’il puisse embrasser une autre femme lui faisait horreur ? Pour Maria, il n’y avait là aucune explication logique, c’était le fruit d’un fantasme incompréhensible, indescriptible, mais contre lequel elle ne pouvait rien faire. Elle n’avait jamais réussi à le repousser, à le restreindre, à le réfréner, et, maintenant, il s’affirmait avec toute sa force et toute sa puissance.

La jeune femme continuait ainsi à le sucer, goulûment, généreusement, sa tête remuant d’avant en arrière,. Elle creusait ses joues en aspirant l’air autour de sa queue, et, fréquemment, elle relevait les yeux, afin de voir le plaisir se peindre sur le visage de son fils, un plaisir excitant, qui la faisait frissonner, qui la faisait trembler dans tous les sens, et l’amenait à mordiller sa queue toujours un peu plus fort.

« Hmmm... »

Les yeux relevés, avec la bouche qui s’ondulait autour du sexe, Maria devait avoir un drôle de look. Une face un peu ridicule, à n’en point douter, mais elle tenait vraiment à voir le plaisir se dessiner sur le visage de son fils, elle voulait le voir excité, fiévreux, et elle continuait donc à sucer sa queue, filant d’avant en arrière, avant de déplacer sa main, s’en servant pour caresser ses belles testicules. Elle le léchait, et continuait à aspirer l’air, le suçant vraiment en amenant sa salive à glisser le long de cette hampe de chair, ce qui, pour Andy, devait créer une série de magnifiques sensations.

Maria finit par retirer ses lèvres, sans avoir encore fait jouir Andy, et lui parla alors :

« Je veux que tu m’observes... Du début à la fin, pendant que je te sucerai, je veux que tes yeux ne se détachent jamais de moi... Et je veux que tu jouisses dans ma bouche. »

Sur ce point, Maria était claire...

...Et elle recommença sa succion, en allant aussi, parfois, légèrement mordiller cette queue, cette queue dure et grosse...

« Hmmmm !! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 22 janvier 2016, 17:48:48
C’était la première fellation d’Andy, et le jeune homme jugeait que c’était l’expérience la plus agréable de sa vie. Les lèvres serrées de Maria coulissaient autour de sa grosse queue veineuse, que la jeune femme enfonçait toujours plus profondément dans sa gorge humide et chaude, produisant un obscène et sonore bruit de succion. Bordel, ce que ça pouvait être bon ! Les muscles bandés, Andy arquait son corps juvénile vers l’avant, agrippant les draps d’une main, alors que la seconde se perdait dans la cascade de cheveux noirs de sa mère.

« Haaaah… C’est trop bon m’man, mordille un peu ma grosse queue s’il te plaît ! »

Andy avait l’impression qu’il n’avait jamais bandé aussi fort. Les petits coups de dents appuyés sur sa verge et la légère douleur qu’ils occasionnaient décuplaient son excitation, et le blondinet avait l’épine dorsale parcourue de petits chocs électriques. Haletant, le jeune homme observait sa mère se repaître de son vit avec délectation, levant de temps à autres ses beaux yeux pour observer son fils. Son cœur, gonflé d’amour et de désir battait à un rythme infernal, alors que de légère rougeurs apparaissaient çà et là sur sa peau légèrement cuivrée. Sentant la main agile de sa mère se frayer un chemin entre ses cuisses, le jeune homme écarta davantage les jambes, alors que Maria s’emparait de ses grosses couilles gorgées de foutre. Andy poussa un gémissement rauque en sentant les ongles de la jeune femme effleurer la peau si sensible de ses bourses.

« Oh PUTAIN… » C’était bien trop bon pour qu’Andy soit encore capable de surveiller son langage. « Je… Je crois que je vais juter m’man, je vais remplir ta bouche de… De salope ! »

Alors que l’orgasme approchait, le jeune athlète agitait son bassin d’avant en arrière, accompagnant la fellation prodiguée par Maria, pour finalement envoyer carrément son gland percuter le fond de la gorge de sa génitrice, crispant sa main dans ses cheveux ; il lui baisait la bouche comme la dernière des chiennes, les yeux rivés aux siens. Cette inversion soudaine du rapport de force décuplait son émoi et le jeune homme râlait à présent comme un damné, en enfonçant toujours plus profondément son vit entre les lèvres de sa mère adorée. 

« Aaah ahh… Je… Je t’aim… AAAAAH ! »

Le corps de l’adolescent se tendit comme un arc, mais Andy résista à la tentation de rejeter la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure jusqu’au sang alors qu’il déversait un véritable déluge de foutre épais dans la gorge tiède de Maria. Plusieurs long jets tout d’abord, puis de petites éruptions brusques. Il avait éjaculé une quantité invraisemblable de semence qui déborda bientôt des lèvres de son amante pour couler sur son menton puis le long de son cou avant de se perdre dans le creux de ses seins.

« Ahh ahh… A-vale tout Mom’, le sperme de ton fils… »

Pantelant, le regard enfiévré, Andy retira sa grosse queue débandée d’entre les lèvres de sa mère, alors qu’il relâchait doucement son emprise sur ses cheveux bruns pour venir lui caresser la joue. A présent qu’il avait joui et qu’il recouvrait doucement ses esprits, il craignait de lui avoir fait mal, d’être allé trop loin.

« Je suis désolé Mom je… je n’ai pas pu me retenir. Te voir me sucer comme ça, ça… ça m’a rendu complètement fou ! »

Il n’alla pas jusqu’au bout de sa pensée ; la vérité c’est qu’en voyant sa mère se comporter comme une traînée, il avait eu envie de la traiter comme… Comme elle le méritait, comme une grosse chienne.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 23 janvier 2016, 14:07:11
La fellation gagnait progressivement en intensité et en brutalité. Leur relation était, de base, perverse, alors il fallait bien s’attendre à ce que ça reste à ce niveau. Andy se montra de plus en plus entreprenant, jusqu’à crisper ses doigts sur les cheveux de sa mère, tirant dessus, tout en la prenant, encore et encore, accompagnant ses mouvements de succion. Maria avait depuis longtemps retiré ses mains, et utilisait l’une d’elles pour se masturber, enfonçant ses doigts contre sa culotte et contre ses lèvres intimes trempées. Elle suçait la grosse queue de son fils… Il avait une verge énorme, qui aurait fait hurler n’importe laquelle des adolescentes de son lycée, et cette queue, cette grosse queue… Elle était pour elle, rien que pour elle ! Maria s’en sentait toute excitée, et, quand son fils l’insulta… Oh, que Dieu la maudisse, mais ça ne fit que la faire mouiller encore plus, Maria se mettant à gémir de plus bel, relevant les yeux pour regarder le visage de son fils, un visage irradiant de plaisir et d’envie. Ils étaient comme deux pervers occupés à se faire l’amour, et elle mordilla sa queue, la léchant encore, fantasmant sur cette taille, sur cette queue énorme… Oh, encore, encore ! Elle voulait y goûter encore par la suite, elle voulait jouer avec ce membre, sans arrêt, sans relâche, le baiser, encore et encore !

*Oh, Andy, je t’aime tellement !*

Il finit par jouir en elle, et ce fut un magnifique orgasme, après de multiples gorges profondes. Maria avait parfois cessé de se masturber, pour caresser les boules de l’homme, et elle le sentit ensuite se vider, au moment où elle soupesait ses testicules, les frottant avec ses doigts. C’est là, dans ces conditions, qu’il vida ses bourses dans sa bouche, balançant de multiples filaments de sperme, laissant ensuite Maria sur la touche. Pendant de longues secondes, son fils se vida en elle, et le sperme coula sur les seins de la femme, puis il termina, en sentant son excitation redescendre.

Ce faisant, Andy se sentait confus, et Maria, elle, était assise sur le sol, face à lui, la tête penchée vers le bas. Le sperme avait filé sur ses vêtements, mais aussi dessous, et elle pouvait le sentir glisser sur sa peau, le long de ses lèvres. Confus, Andy semblait vouloir s’excuser, et elle observa son sexe, ayant, ici et là, des traces de sperme.

« Hm… »

Maria, silencieuse, se redressa, et retira ses affaires du haut, finissant rapidement seins nus, et s’assit à côté de l’homme.

« Andy… Tu n’as pas à t’excuser… »

Maria lui sourit alors, et vint caresser l’espace entre ses seins, imbibant ses doigts d’un peu de sperme, puis vint les sucer entre ses lèvres.

« Hummmm… Ton foutre est délicieux, mon chéri ! »

Elle lui sourit ensuite, et alla poser sa main sur son menton, le soulevant un peu, puis alla l’embrasser, tout en aventurant sa main sur son sexe, le masturbant un petit peu.

« Mais, maintenant, il faut être un gentil garçon, et nettoyer ta Maman… Ensuite, ce sera à ton tour de te trouver à genoux, car ta grosse queue m’a bien excité… Mais… Je te laisse me déshabiller, si tu veux… Mais, d’abord, tu me nettoies ! »

Sentir la langue de son fils entre ses seins, et sur son cou… Han ! Maria trouvait ça follement excitant. Envolées, les doutes et les questions. Seul le plaisir dominait… Le plaisir, et la luxure.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 25 janvier 2016, 22:33:59
Même dans les vidéos les plus hard que Andy avait eu l’occasion de regarder sur internet, le jeune homme n’avait vu une femme pren-dre autant de plaisir à sucer une queue. Pendant de longues minutes, sa mère s’était acharnée à lécher, mordiller et gober son énorme bite, scrutant la moindre des réactions de son fils qui n’avait pas pu se retenir bien longtemps. Inondée de foutre, Andy n’en trouvait Maria que trop belle. Lorsqu’elle se débarrassa de son corsage, Andy ouvrit des yeux écarquillés.

« Oh Mom, ils sont… tellement gros ! »

Maria avait beau être mince, le jeune homme avait oublié que ses dessous cachaient une paire de seins aussi volumineuse. Des gros seins qu’on avait envie de malaxer et de suçoter… Chose qu’il avait fait pendant de long mois peu après sa naissance. Alors que sa mère s’asseyait à côté de lui, Andy ne put s’empêcher d’esquisser un petit sourire. Il y avait quelques années, Maria lui avait avoué avec un adorable petit rire gêné qu’il lui avait tété le sein jusqu’à un âge assez tardif, et qu’elle avait dû le sevrer parce son père trouvait la situa-tion inconvenante… Et voilà qu’un retour aux sources s’annonçait. Le regard fiévreux, l’adolescent regarda le doigt fuselé de sa mère glisser le long du sillon de ses seins, récoltant un peu de semence, avant qu’elle le porte à ses lèvres. Il eût encore envie de l’insulter, plus tendrement cette fois-ci, mais il se retint. Oh mon dieu, quelle… Quelle salope !

L’instant d’après Maria se penchait sur lui, lui faisant sans vergogne gouter sa propre semence, alors que leurs langues se mélangeaient fiévreusement. Andy avait déjà eu son foutre en bouche, et le goût ne le dérangeait pas, sans pour autant qu’il trouve l’expérience très excitante… Mais partagée avec sa mère, c’était autre chose. D’autant que ses doigts s’étaient à nouveau refermés sur sa queue légèrement débandée, qu’elle commença à astiquer doucement. 
 
« D’acc’ Mom je… Je ferais tout ce que tu veux. Je vais te nettoyer comme… Comme un bon chien ! »

A son tour de se retrouver à genoux ? Maria entendait-elle par là qu’il allait pouvoir la baiser, ou sous-entendait-elle qu’elle entendait se livrer à un petit jeu d’un autre genre ? Les deux perspectives l’excitaient terriblement et il se mordit la lèvre inférieure, alors que sa grosse que retrouvait de sa superbe. Sans hésiter, le jeune homme sourit, et saisit sa mère par les épaules pour la faire basculer sur le dos, avant de se pencher sur elle pour échanger un second baiser sonore. Ce fut ensuite son menton qu’il embrassa, puis lécha, avant de faire glisser sa langue tiède le long de son cou, lapant consciencieusement son propre foutre. Pendant ce petit manège, sa main écarta doucement les cuisses de sa mère, pour caresser son pubis à travers le tissu de sa culotte. Andy n’avait jamais caressé de chatte, mais il savait qu’il fallait être doux au début, plus vigoureux ensuite. Écrasant son visage ravi entre les gros seins de sa mère, l’adolescent promena furieusement sa langue sur les globes de chair, avant de pincer l’un des tétons du bout de ses lèvres, malaxant le second de sa main libre.

« Oooh m’man, tu me fais tellement bander… Je vais te sucer, comme quand j’étais gamin… »

Joignant le geste à la parole, Andy commença à littéralement téter Maria, produisant un bruit de succion des plus caractéristiques. Les yeux clos, le jeune homme creusait les joues et jouait du bout de sa langue pour exciter le mamelon maternel. Maladroitement le jeune homme glissa sa main sous la culotte Maria, plaquant ses doigts contre la vulve gonflée et baveuse.

« T’es carrément trempée, c’est ma queue qui te fait cet effet-là ? »
, lâcha-il à la fois surpris et ravi. Recourbant avec précaution son majeur, il pressa à l’aveugle la pulpe de son doigt contre l’intimité de sa mère, et poussa… L’intrus pénétra les chairs sans grand diffi-cultés, et Andy le fit lentement coulisser, sans cesser de pétrir et de mordiller les seins de Maria. Il doigtait sa mère adorée, et ça lui filait une érection presque douloureuse. Le pire était que les choses ne faisaient que commencer.

Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 28 janvier 2016, 22:49:50
Le couple incestueux continuait à joyeusement se découvrir, et à s’enfoncer dans les voies délicieuses et sans fin de la perversion. Maria lui avait ensuite proposé de la nettoyer, une idée qui sembla ravir Andy, tandis qu’elle-même conservait, sur ses lèvres, le goût de la bouche de l’homme, et de son sperme. Andy avait bien grandi, oui, et, vu sa queue, vu ses muscles, et vu son ardeur, il était, depuis longtemps, largement prêt à ce genre de choses. Seul le puritanisme de cette société avait empêché Maria de lui faire l’amour, ça, et rien d’autre. Mais elle avait décidé que la morale ne serait plus un carcan qui viendrait restreindre leur relation. Elle l’aimait, oui, d’un amour sincère et profond, bien plus qu’une mère se devait normalement d’aimer son enfant... Mais en quoi est-ce que ce serait problématique ? Ce n’était pas du viol, car Andy était volontaire, et majeur. Légalement, Maria n’avait rien à se reprocher ! Ils ne faisaient rien de mal, juste du plaisir mutuel... Et, quand l’homme la coucha sur le dos, Maria sentit plusieurs frissons la traverser, ces frissons venant s’accentuer quand l’home l’embrassa, la lécha, et la caressa avec ses mains.

« Ooohh, Andy... »

La jeune femme se pinça les lèvres, avant d’écarter un peu ses cuisses en sentant la main d’Andy, la douce et vorace main de son fils, filer sous sa culotte. Elle ne lui cachait rien, désormais. Maria s’offrait à son fils, et posa une main sur ses cheveux quand il vint suçoter son sein, plaquant sa bouche dessus, mimant les gestes de son enfance, ces multiples fois où, bébé, il avait été le sein de sa mère, refusant catégoriquement le biberon, ne cessant de pleurer que quand il tétait le sein de sa mère. Oui, Maria se souvenait bien évidemment de tout cela.

Andy commenta son humidité locale, et Maria lui sourit, en caressant ses cheveux, ses doigts se crispant régulièrement sur sa chevelure.

« Hm... Haaa... »

Elle soupirait, et gémit encore, en sentant les doigts de l’homme remuer en elle, et entreprit, entre plusieurs soupirs, de lui répondre :

« N-Non, Andy, ce... Ce n’est pas que ça... C’est... C’est tout toi qui m’excite... Tout toi, mon chéri... »

Et, au-delà de ça, c’était aussi de très lointains fantasmes qui étaient enfin en train de s’accomplir, et de se dévoiler.

« Oui, haaa... Continue... Hum ! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 03 mars 2016, 11:50:54
Chose peu commune, l’amour fusionnel entre Maria et Andy était tel que ce dernier se souvenait – même s’il s’agissait d’images assez floues – de ces instants d’éternité où il tétait avidement le lait des mamelons gonflés de sa mère. Y poser à nouveau ses lèvres était comme un retour au paradis perdu. Et cette fois-ci, ce n’était pas à cause du lait que les mamelons de Maria étaient érigés. La respiration lourde, l’expression languissante, sa mère s’offrait sans réserve, écartant ses longues jambes fuselées pour faciliter l’introduction des doigts d’Andy dans son intimité. Avec un sourire ravi, le jeune apollon se recula un peu, délaissant l’opulente poitrine pour saisir les bords de la culotte de sa mère avant de la faire lentement glisser le long de ses cuisses. Intimant à la jeune femme de soulever son fessier l’espace d’une seconde, il fit glisser le sous-vêtement sur ses chevilles étroites, déposant au passage un baiser tiède sur le dessus de l’un des pieds menus de Maria.

« M’man, tu sens bon… »

Andy n’avait pas résisté à l’envie de presser la culotte contre son visage, humant avec délectation l’odeur de femelle en rut qui l’imprégnait. Il s’en désintéressa cependant rapidement pour se pencher vers les lèvres charnues et baveuses de l’intimité de Maria, les joies rougies par l’excitation. C’était la première fois qu’il voyait un sexe féminin de prêt ! Là encore Maria s’entretenait soigneusement et nul poil disgracieux ne camouflait ce bel abricot joufflu. Intrigué, Andy posa son index sur la fente humide, avant de le faire glisser de haut en bas. Guettant les réactions de sa mère, un peu inquiet à l’idée de lui faire mal, il humecta soigneusement son majeur avec sa propre salive avant de poser la pulpe de son doigt quelques centimètres au-dessous du clitoris, d’où suintait un mince filet de cyprine odorante. Son sourire s’élargit lorsqu’il constata que les deux premières phalanges s’y enfonçaient sans difficulté. Voir son doigt coulisser en elle était terriblement excitant et le jeune homme ne put s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure, avant d’agripper sa grosse queue bandée, qu’il s’empressa de faire coulisser doucement entre ses doigts serrés.

« Tu aimes qu’on te touche le clitoris, Mom ? »

Dans la plupart des films pornographique qu’Andy avait regardés, cette zone érogène était généralement ignorée, mais le jeune homme avait lu sur internet que stimuler cette zone pouvait multiplier par dix le plaisir ressenti par une femme à l’occasion de la pénétration… Et même que certaines femmes ne pouvaient jouir que par ce biais. Sans même attendre la réponse de la jeune femme, il courba l’échine pour presser ses lèvres contre sa vulve, qu’il embrassa langoureusement, produisant un obscène bruit de succion qui le fit encore rougir davantage. Retirant doucement ses doigts détrempés de son intimité il les suça longuement avant de se pencher à nouveau et d’écarter doucement les chairs roses pâles, faisant ressortir le clitoris gorgé d’envie.

« Ça a l’air tellement étroit… », Constata-il pensif, avant de relever le visage vers le haut, affichant une moue inquiète. « Tu penses que je pourrais te faire l’amour sans te faire mal ? »

Sa mère après tout, n’était pas une actrice porno que l’on pouvait farcir comme une dinde sans se soucier des conséquences, mais l’être qu’il aimait le plus au monde… Et Andy n’avait pas envie de lui infliger une pénétration douloureuse, même s’il mourrait d’envie de s’unir à elle. Dardant sa langue vers l’avant, Andy écrasa son visage contre la vulve de Maria et commença à la laper avec toute l’avidité et la légère maladresse d’un adolescent de seize ans, agaçant son bouton de rose de l’index. Oh, comme il pouvait aimer Maria ! Entre ses jambes musclées, son sexe veineux pulsait sous l’effet de l’excitation et il sembla à Andy qu’il pourrait jouir sans stimulation, rien qu’en léchant Maria, tant l’osmose entre leurs deux corps brûlants de désir était parfaite.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 03 mars 2016, 18:27:46
« Oui… Haaa… J’aime… J’aime quand tu me le touches, Andy. »

La précision était importante. Maria aurait sans doute été une parfaite patiente pour un psychiatre, et, en l’occurrence, elle songeait surtout au sexe. Oh, elle n’était pas spécialement nympho’, mais il fallait admettre que, depuis qu’elle était célibataire, elle n’avait couché avec personne d’autre. Elle s’était souvent masturbée, mais, à chaque fois, ses pensées revenaient vers Andy. Même quand elle pensait à quelqu’un d’autre, Andy revenait fréquemment dans ses pensées, et, plus la frustration croissait, plus les fantasmes devenaient osés. De simples coïts au début, elle était pensée aux fellations, aux sodomies, et même à des pratiques sexuelles encore plus inavouables… Et là, tandis que son fils triturait son sexe, en cherchant son clitoris, la faisant vibrer et gémir, Maria repensait à ça, à tout ça, à ces rêves qu’elle faisait, à cet érotisme qui ne demandait qu’à s’affirmer et à exploser. Elle se tortillait contre les doigts de l’homme, remplissant la pièce de ses soupirs, puis Andy finit par lui poser une question.

Un sourire amusé vint, en retour, éclairer les lèvres de Maria, qui caressa les cheveux de son fils, et l’embrassa doucement sur les lèvres.

« Hum, le petit Andy, qui se fait du souci pour sa Maman… »

Souriant encore, Maria l’embrassa sur le bout du nez.

« Évidemment que ce sera douloureux, Andy… Ceux qui te disent que le sexe n’est que plaisir, et que la souffrance en est absente, se trompent. Le sexe, c’est un condensé de plaisir et de douleur, un mélange des deux, mais c’est le plaisir qui l’emporte. Et les deux sont liés, tu comprends ? Plus la douleur est forte, et plus le plaisir procuré est important. Du moins, jusqu’à un certain seuil… »

Maria faisait ce qu’elle avait toujours rêvé de faire. Elle éduquait sexuellement son fils. Une horreur dans cette société bienpensante, et une horreur aussi selon une partie de la psyché de Maria, mais cette partie était si minoritaire, en ce moment, qu’elle en était inaudible.

Sa main se déplaça de ses cheveux pour empoigner l’une des fesses du jeune homme.

« Et c’est pareil avec les fesses… Enfin, c’est même encore plus intense. Là, la douleur est totale, et le plaisir ne vient que dans la souffrance. »

Elle lui sourit de nouveau, en caressant son dos.

« Tout ça n’a rien d’effrayant, Andy, mais ce sont des jeux adultes… Mais toi, tu n’es plus un enfant. Ton oiseau est devenu un aigle royal, et il est légitime qu’il veuille répandre ses œufs dans un nid. »

La métaphore se tenait, et, joignant le geste à la parole, Maria s’écarta d’Andy, et se laissa glisser sur le sol, finissant à quatre pattes à côté de lui.

« Prends-moi par l’arrière… Sois l’homme fort que je veux que tu sois, Andy, déverse toute ta frustration sur le corps de Maman… Mais prends-moi par le vagin. Tu n’es pas encore prêt pour t’attaquer au cul de Maman, mais… Tu le feras, sois-en sûr. »

Car une mère, une mère aimante, ne pouvait rien refuser à son fils, n’est-ce pas ?
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 04 mars 2016, 18:12:29
Andy était aux anges ; sa mère le lui répétait encore et encore : elle l’aimait lui, et lui seul ! Être l’unique objet de l’amour et de l’affection d’une femme aussi extraordinaire que sa maman le comblait de fierté et de reconnaissance. Il y avait des années que son père les avait quittés, et nul autre homme ne s’était ainsi aventuré entre les cuisses de la plantureuse jeune femme. Pauvre petite Maman, comme l’abstinence avait dû être difficile ! Sous ses caresses maladroites, le corps alangui de Maria frétillait, alors que les plus doux des gémissements s’échappaient de ses lèvres entrouvertes. Les derniers rayons du soleil de l’après-midi venaient mourir sur la gorge diaphane de sa mère, colorant ses seins d’ombres mordorées. Le quartier résidentiel était désert à cette heure-ci, et seul le gazouillis des oiseaux venait parfois interrompre les soupirs lascifs de Maria.

S’amusant de son inquiétude, la jeune femme rassura bien vite sa progéniture, en passant ses doigts fuselés dans ses cheveux en bataille, avant de l’embrasser tendrement, goûtant par là-même à la cyprine qu’il lapait consciencieusement. « M’man, arrête, voyons », grogna-il pour la forme, le souffle court et les joues roses pivoines. Andy affectait l’agacement devant ses copains lorsque sa maman l’infantilisait, mais en vérité il y puisait un satisfaction un peu honteuse et surtout… Une excitation sexuelle que d’aucuns qualifieraient de malsaine.

« Ah bon ? C’est bizarre. J’ai toujours pensé qu’il fallait être le plus doux possible avec les filles… C’est ce que tout le monde dit ! »
Andy avait cessé son délicieux manège pour se redresser, pendu aux lèvres de sa mère, les sourcils relevés. Si comme tout adolescent en fleur, il s’était masturbé sur des vidéos pornographique hardcore, il s’était interdit de faire subir des traitements aussi dégradants aux femmes avec lesquelles il coucherait… Ainsi les femmes appréciaient-elle réellement des rapports sexuels brutaux, voire violents ? Le jeune homme se mordit la lèvre inférieure, alors qu’un frisson remontait le long de son échine. Il y avait en lui une violence sourde, instinctive, qui se manifestait lorsqu’il se masturbait mais dont il avait presque peur, puis honte, une fois l’orgasme survenu. Devait-il la laisser s’exprimer pleinement ?

« Hein, heu… Les fesses ? »

Andy se raidit légèrement lorsque la main de maria se referma sur son fessier, qu’il avait plutôt musclé. Le jeune homme avait parfaitement compris que sa mère parlait de sodomie mais feignait cette fois-ci, la plus complète ignorance. D’une part parce qu’il avait intégré qu’il s’agissait d’une pratique taboue et un peu sale, et d’autre part parce que ces deux aspects l’excitaient terriblement. Et puis… Il y avait autre chose. Un jour qu’il se savonnait, il avait doucement glissé son annulaire dans son petit œillet brun, pour voir ce que ça faisait. Car Andy avait bien évidemment déjà visionné des films gays avec ses petits camarades, pour rigoler. Il avait trouvé l’expérience douloureuses, mais la légère chaleur qui avait envahi son bas-ventre et la sensation de salissure qui l’avait envahi l’avaient bien plus émoustillé qu’il ne se plaisait à le croire.

Cependant, Maria avait ramené ses genoux à elle, et s’était laisser glisser sur le moquette de la chambre, lui présentant sa croupe. « Le vagin… Okay Mom’. » Il avait conscience de répéter bêtement ce que Maria lui disait depuis cinq minute, mais cela faisait beaucoup à encaisser d’un coup, pour un adolescent qui s’attendait un quart d’heure plus tôt à devoir faire son baluchon. Sa mère Ne venait-elle pas de lui dire qu’elle le laisserait ensuite la sodomiser ? Oh mon Dieu, je dois être en train de rêver… Juste au-dessus de la fente entrouverte de Maria, son anus brun palpitait doucement, comme pour l’inviter à s’y enfouir. Sa main crispée sur sa verge veineuse, Andy se mordit la lèvre inférieure ; la tête lui tournait presque et du pré-sperme jutait doucement de son méat pour s’instiller entre ses doigts serrés.

« Cambre-toi bien, Mom », lui intima-il sur un ton dolent, avant de se reprendre et de s’adresser à elle sur un ton plus autoritaire. « Et écarte ton gros cul avec tes mains, je veux voir bailler ta vulve baveuse ». Comme c’était enivrant, d’utiliser ainsi de mots sales et vulgaires ! Lorsqu’elle se fut exécutée, Andy se redressa sur les genoux et saisit fermement l’une des hanches de sa mère, ses doigts s’enfonçant sans peine dans la chair tendre et tiède. De l’autre main, il présenta son gland gonflé et violacé devant les lèvres charnues de Maria et poussa. « OOOOOH » Il était en elle, Il avait glissé sa grosse queue dans l’intimité de sa mère ! « M’man, c’est booon… », Grogna-il, alors qu’il l’empalait progressivement mais inexorablement sur son pal de chair. Lorsqu’enfin ses belles bourses pleines s’écrasèrent contre le cul de Maria, il raffermit sa prise… Et commença à la baiser doucement en poussant de petits râles rauques qui n’avaient rien d’enfantins.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 09 mars 2016, 22:40:19
« Oui, il faut être doux… Au début. Mais le sexe, c’est de la passion, et la passion est nécessairement violente. »

Le sexe n’était pas un jeu d’adulte pour rien, car il faisait appel à des sentiments contradictoires, à des paradoxes qui, dans le sexe, se retrouvaient pour s’unir en une décoction explosive et jouissive. Maria expliquait ça aussi simplement qu’elle le pouvait à son fils, en lui faisant comprendre que, parfois, et même souvent en matière de sexe, avoir mal était agréable. Cependant, les choses étaient compliquées, car, pour autant, la douleur pure ne procurait aucun plaisir. Un viol n’était jamais agréable. Il fallait, tout simplement, ce mélange des deux, plaisir et douleur. La douceur était bonne au début pour exciter les sens, mais, ensuite, il fallait que l’homme se rappelle sa part de virilité. Le sexe, donc, était loin d’être aussi facile que ce qu’on pensait. On pouvait schématiquement le résumer à une queue rentrant dans un trou, mais, au-delà de ça, les émotions complexes faisait que la nature profonde d’un rapport sexuel était difficile à établir, quelque chose à mi-chemin entre douleur, plaisir, violence et douceur.

Et le fait est que, en l’espèce, ils allaient, tous les deux, enfin passer des mots aux actes, et appliquer concrètement ce qu’ils avaient en tête depuis un certain temps… Au moins des mois pour Maria. Se pinçant les lèvres, la jeune mère obéit aux ordres de son fils, et posa ses mains sur ses fesses, se trouvant, de ce fait, dans une position un peu grotesque, avec le cul relevé, et la tête couchée sur le lit. Elle déplaça son bassin de gauche à droite en écartant ses fesses.

« Là, Andy… Tu les vois, mes lèvres ? Ma bouche n’attend plus que ton sexe ! Viens… Viens, viens, viens, mon fils ! »

Andy se rapprochait d’elle, prêt à exaucer le plus haut fantasme de sa mère. Dans le sexe et la perversion, le duo allait sceller leur union incestueuse. Andy se rapprocha donc, et, dans un ultime soupir, sa queue rentra en elle, faisant gémir la belle Maria, qui se tortilla en sentant cette queue rentrer en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaa… !! »

Un cri joyeux s’échappa de ses lèvres, alors qu’elle sentait ce mandrin s’enfoncer lentement en elle.

« Ooooh, Andy, haaa… Hummm… !! »

Soupirant encore, Maria gémit à nouveau. Entre-temps, elle avait remis ses mains sur le lit, afin de s’y appuyer, redressant ainsi un peu son buste.

« Vas-y, vas-y, mon chéri, baise-moi !! Encore, encoooore, haaa !! Défonce la chatte de ta Maman, allez !! »

Maria en aurait presque pleuré tant elle était heureuse.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 20 avril 2016, 18:38:07
Andy écoutait religieusement les conseils que Maria lui donnait. A vrai dire le jeune homme avait du mal à imaginer comment plaisir et douleur pouvait être lié l'un à l'autre, même s'il croyait sa mère sur parole. Esquissant un nouveau sourire le jeune homme se demanda combien d'adolescent avait eu la chance d'être initiés au stupre par leur mère. Mais bientôt, il fut en elle, et toute tentative de réflexion logique, ou cohérente fut balayée par le torrent de sensations qui s'emparaient de lui. Les parois tièdes et humides de l'intimité de Maria enserraient doucement sa grosse queue, qu'il faisait glisser d'avant en arrière en ondulant du bassin, poussant ses belles fesses musclées vers l'avant. Les cris et gémissements que poussait sa mort le rendait ivre de désir, à tel point qu'il croyait en perdre la tête. « Ça te plaît de te faire baiser par ton fils, pas vrai ? Oooh, quelle vilaine maman tu fais », gémit-il en enfonçant ses doigts dans la chair tendre de ses hanches pleines. Sa mère s'était redressée à présent, ses mains crispées sur les draps de son lit, son orgueilleuse poitrine dressée vers l'avant. Ses gros seins s’élevaient et s'abaissaient au rythme de ses coups de butoirs de plus en plus vigoureux, de plus en plus nerveux. Sans trop savoir ce qu'il faisait, l'adolescent envoya une belle claque rougir la croupe de sa mère, puis une seconde. « Ma petite maman est... une...grosse salope », ânonna-il entre deux grognements de plaisir.

Lui-même surpris de l'aisance avec laquelle il la baisait, Andy sourit, et retira presque entièrement sa queue de son écrin de chair, n'y laissant que son gland violacé. « ré...réclame encore... Chienne ! » grogna-il, exalté. Lorsqu'elle s'exécuta, il claqua ce bon gros cul rebondi et s'enfonça d'une seule traite en elle, jusqu'aux couilles. « Haaaan... » Écrasant son torse musculeux contre le dos de sa mère, il ondula doucement en elle pendant quelques secondes, avant de saisir ses longs cheveux de jais entre ses doigts, pour lui tirer la tête vers l'arrière, le jeune homme se pencha pour susurrer quelques mots suaves à l'oreille de sa mère « Je vais te baiser maman... Comme une pute... Okay ? » joignant le geste à la parole, il posa la paume de sa main libre sur le bas du dos de la jeune femme et commença à la bourrer sauvagement, sans la moindre retenues, ses bourses pleines venant percuter l'intimité humide de la ravissante brunette. L'amour profond et inconditionnel qu'il ressentait pour elle le disputait à l'envie de la souiller comme la dernière des catins.

« Tu n'as que ce que tu... mérites... Hum... », grogna-il, en relâchant ses cheveux pour raffermir sa prise sur ses hanches. Il la pilonnait à présent avec une rage et une violence qu'il ne se connaissait pas. L'orgasme le surpris alors qu'il s'était une nouvelle fois penché vers l'avant pour enfouir son nez dans la cascade de cheveux noirs de Maria. « Je vais... Je vais jouir mom... Je vais juter dans ta chatte ! Une flopée de frisson dériva le long de sa colonne vertébrale, et il hoqueta en agitant furieusement son sexe en elle, alors que son pénis déversait de longs jets de sperme dans son intimité massacrée. « AAAAAAH ! » C'était tellement bon, tellement dingue, de jouir dans les entrailles de sa mère !

Le feu d'artifice se tarit lentement, et pantelant, Andy s'écroula sur Maria, se sentant redevenir l'adolescent sage et un peu timide qu'il était au quotidien. Foudroyé par sa propre jouissance, il roula sur le sol, emportant Maria avec lui, sa queue toujours profondément fichée en elle. Passant un bras alors de ses épaules, il se lova contre Maria, et l'embrassa tendrement sur la joue. « Je t'aime m'man », lâcha-il finalement, avec un sourire béat.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 21 avril 2016, 00:06:34
Andy et Maria, le fils et la mère, étaient engagés dans un ballet torride et violent. Son fils s’avérait être un amant particulièrement brutal, non pas dans le sens où il la battait, mais où il se mit rapidement à l’injurier, comme s’il avait conscience du caractère profondément immoral de leur relation, et compensait le plaisir qu’il ressentait en l’insultant. Est-ce que cela réfrénait les ardeurs de Maria ? Et bien, en réalité, pas du tout, et ce dans la mesure où elle-même ressentait ces élans. Elle-même se sentait, paradoxalement, coupable et excitée, et le fait de se sentir coupable, très étrangement, semblait accroître encore son excitation. Andy couchait avec elle, et, même si, en temps normal, elle essayait de le nier, ici, là, maintenant, face à son propre désir, l’inévitable se constituait devant elle... Oui, elle avait envie d’Andy, profondément envie de lui, de sa matraque en elle, de ce corps qui se dandinait dans son dos, de ces mains qui la claquaient, tiraient sur ses cheveux, de cette queue qui remuait en elle... En elle, en elle, UNIQUEMENT en elle ! Oh, oui, elle n’aurait clairement pas supporté qu’Andy puisse coucher avec quelqu’un d’autre, forniquer avec l’une de ces pétasses en minijupe qu’il devait côtoyer tous les jours. Ah ! Ah ! Quelle fierté de sentir son amant le prendre, quelle fierté de se dire que, alors qu’il devait côtoyer tous les jours des filles qui devaient roucouler devant ses muscles, c’était finalement exclusivement pour sa mère qu’il se dévouait !

« Haaaa... Haaaa... O-Ouuuiii, Andy, haaaannn... U-Une chienne, hummmm... TA chienne ! »

Elle hurlait, maintenant, crispant ses doigts sur le lit, sentant Andy remuer en elle. Il y allait furieusement, intensivement, comme s’il attendait ça depuis des mois, des années... Maria hurlait et couinait, en se demandant, en effet, depuis combien de temps Andy pensait à elle... Il ne pouvait en tout cas espérer, avec sa faible expérience sexuelle, tenir longtemps la cadence, ce qui fit que, pendant que Maria mouillait sur place, elle sentit l’homme soupirer, se crisper... Puis se vider en elle.

« HHMMMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Avec joie, et un sourire ravi sur les lèvres, Maria sentit son fils venir en elle, se répandant dans son con, aspergeant son sexe de son foutre. Maria se surprit à en pleurer de joie, plusieurs larmes glissant le long de ses joues pendant que, dans son dos, et avec une force renouvelée, l’homme se vidait en elle.

Maria souriait de plaisir, et sentit ensuite Andy s’affaler à côté d’elle, laissant un filament de foutre s’échapper de ses cuisses.

« Oh, Andy... »

Maria l’embrassa tendrement, caressant son corps, le câlinant doucement. Ses mains glissaient sur sa peau, puis caressèrent son torse, l’amenant à se coucher sous elle, leurs jambes s’entrelaçant, la queue d’Andy se frottant contre son bassin.

« Tu es... Vraiment très énergique. La simple idée de voir à quel point je peux t’exciter, c’est... »

La jeune femme s’en mordilla les lèvres, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Depuis combien de temps est-ce que tu rêvais de pénétrer ta mère comme ça, mon chéri ? »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le samedi 23 avril 2016, 11:56:26
Les yeux-mi clos, un léger sourire sur ses lèvres juvéniles, Andy caressait les cheveux de sa mère dans un état second, alors que sa queue débandait doucement, jusqu'à s'extirper des cuisses de Maria, emmenant avec elle une belle quantité de foutre, qui dériva entre ses cuisses. Si Andy était encore sonné, Maria s'était rapidement remise de ses émotions. Sa mère s'était retournée pour l'embrasser, promenant ses mains tièdes sur sa peau ambrée. Le jeune homme s'était masturbé un nombre incalculable de fois, mais le faire avec quelqu'un qu'il aimait plus que tout au monde... ça n'avait rien à voir.

« Hmm... » marmonna-il, alors que la jeune femme l'enfourchait à présent. Le jeune homme se redressa légèrement, et empoigna les fesses de sa mère, rougies par les claques dont il l'avait gratifié quelques instants plus tard. « ma petite maman », s'amusa-il, en reprenant doucement ses esprits. « tu n'as pas idée ! » En effet, il avait beau avoir joui trois minutes plus tôt, sa queue reprenait déjà de la vigueur au contact de la peau de sa mère.

Lorsqu'elle se pencha pour l'embrasser, le jeune homme se cambra légèrement pour presser son sexe contre le ventre de la brunette, enfouissant sa langue entre ses lèvres. Il ramena l'une de ses mains derrière sa nuque pour prolonger le baiser, la seconde flattant son postérieure rebondi. Oh, comme son cou gracile était délicat, entre ses doigts ! « Depuis... Au moins dix ans m'man. J'ai eu mes premier émois en pensant à toi, tu sais... » Andy avait en effet été un enfant précoce et avait eu dès l'enfance de solides érections, même s'il n'avait découvert la masturbation que très tardivement. « Je ne veux plus jamais me masturber seul... Maintenant c'est toi... que j'irai voir quand je serai excité », reprit-il, d'une voie enjouée.

Dans le feu de l'action, Maria lui avait hurlé qu'elle était sa chienne, ce qui aux yeux d'Andy, était une nouvelle déclaration d'amour qui n'avait pas manqué de le toucher et... De l'exciter. « Tu sais m'man », lui glissa-il dans le creux de l'oreille, en caressant sa belle chevelure de jais « moi aussi je t'appartiens. Seulement à toi. Tu peux me demander ce que tu veux. » Les yeux dans le vague, caressant la joue de sa mère du dos de l'index, Andy sourit à nouveau ; leur vie allait devenir tellement différente, à partir d'aujourd'hui !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 24 avril 2016, 01:03:14
Maria et Andy se reposaient, maintenant. Ils venaient de coucher ensemble, elle avait pris la virginité de son fils... Oh, comme elle aurait voulu que ce moment dure à jamais, sans fin ! C’était là, typiquement là, qu’elle voulait figer le temps. L’après-séance, du sexe, ce moment parfait où le temps semblait se figer sur lui-même, et où rien ne se passait, ce moment où on était juste avec son amant, dans un délicieux cocon. Le corps était fatigué, tout comme l’esprit, et ces doux moments étaient rares, précieux. Il fallait les savourer. Maria était là, avec son fils, en lui ayant pris sa virginité. Pouvait-on seulement rêver d’une meilleure chose ? Elle se pressait tendrement contre son corps, et l’homme lui expliqua que, depuis dix ans, il pensait à ça... Ce qui toucha Maria. Elle en rougit même légèrement, le sentant contre elle.

Andy lui avoua que, maintenant, tout serait différent, et la femme se mit à sourire, lentement. Elle caressa le nez d’Andy, puis ses lèvres, et le caressa encore, frottant son corps contre le sien, serrant un peu ce dernier contre le sien.

« Oui... Il n’y aura plus que nous, désormais, Andy... Aucun autre homme ne rentrera désormais chez nous, c’est notre foyer. »

C’était une manière claire de dire que, désormais, Chris ne viendrait plus. Désormais, oui, il n’y aurait plus qu’Andy et Maria. Rien qu’eux, et juste eux. Maria savait que c’était mal, moralement répréhensible... Mais c’était tout ce qu’elle voulait, et là, en ce moment, elle ne pouvait pas le nier, ni se mentir à elle-même.

« Je serais la seule à te masturber, maintenant, Andy... Oui, la seule... »

Et c’est ainsi que tout se ferait, désormais...
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 25 avril 2016, 16:29:24
Andy s’étira. Comme d’accoutumé il s’était endormi dans le lit conjugal, après avoir longuement fait l’amour avec Maria. Cela faisait plusieurs semaines qu’il formait un couple avec sa mère, et pas un jour ne passait sans qu’ils ne s’envoient en l’air. Après la chambre d’Andy, ça avait rapidement été celle de sa mère, puis la salle de bain, le salon ou encore la cuisine. Le péché mignon du moment du blondinet était de baiser sa mère par derrière lorsqu’elle préparait le petit déjeuner. En effets les deux amants ne se cachaient rien. Andy se promenait la plupart du temps dans la maison nu, ou muni d’un simple boxer et sa mère n’était pas beaucoup plus couverte. Le jeune homme bailla pour la troisième fois et repoussa les draps, constatant sans surprise qu’il avait une superbe érection. La pendule murale indiquait onze heures ; Maria était probablement levée depuis longtemps. La jeune femme se levait généralement aux aurores et profitais du sommeil de son fils pour écrire quelques pages de sa série érotique. « Hmm. » Maria lui avait promis qu’elle écrirait une scène incestueuse, mais qu’elle aurait probablement lieu entre deux femmes, pour ne pas attirer les soupçons. Même s’il était déçu, Andy avait hâte de découvrir le résultat. Il était devenu un lecteur assidu des romans de sa mère et s’émerveillait de l’infinie perversité de son imagination. A côté de certaines des scènes qu’elle décrivait, leurs séances de sexes torrides étaient gentillettes.

« M’maaan ? »

Si sexuellement, Andy et Maria étaient un couple fusionnel, il n’en restait pas moins qu’en dehors de leurs ébats, leurs places restaient bien définies. Maria était sa mère, et c’était elle qui commandait… Même si Andy avait parfois du mal à l’accepter. « M’man j’ai faim ! » Si les premiers jours étaient idylliques, depuis peu Andy exagérait un peu. Il insistait pour faire l’amour alors que Maria était occupée, regimbait pour les tâches ménagères et manquait de sérieux dans son travail scolaire ; Comment Maria pouvait-elle être à la fois sa chienne, et lui donner des ordres ?

« Bon… »

Andy descendit les escaliers en écartant quelques mèches blondes de ses yeux. Si Maria ne lui avait pas répondu, c’est parce qu’elle était au téléphone. Assise sur un tabouret à la table du salon, La jeune femme avait coincé son téléphone portable entre son épaule et son oreille, et pianotait sur son ordinateur portable en discutant avec son interlocuteur. Elle portait une nuisette transparente, et riait de bon cœur aux propos de ce qui semblait être son éditeur. Ce n’était pas la première fois qu’Andy assistait à ces petits rendez-vous téléphoniques ; en effet depuis une bonne semaine, elle procédait avec lui, à la correction des coquilles de son prochain ouvrage, qui devait sortir prochainement en librairie. Andy, inévitablement jaloux, se rapprocha en catimini de sa mère, pour coller sa grosse queue érigée contre son dos. Sans vergogne le blondinet enlaça sa mère pour attraper ses gros seins et les pétrir entre ses doigts, tout en se, frottant lentement à elle, étalant un peu de liquide séminal sur le tissu de sa nuisette. Cela naturellement ne manqua pas de perturber Maria qui essaya gentiment de le chasser. Mais Andy n’en avait cure, et se branlait littéralement contre elle, commençant à soupirer longuement. Odieux, il poussa même le vice jusqu’à lui mordiller le lobe de l’oreille disponible. Agacé, sa mère fut obligée de mettre fin à la conversation, expliquant à son employeur qu’elle le rappellerait ultérieurement. Lorsqu’elle se retourna vers lui, Maria n’avait pas l’air très content mais Andy, triomphant, affichait un grand sourire.

« J’avais envie de te baiser », annonça-il simplement.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 28 avril 2016, 12:49:24
Depuis leur séance dans la chambre d’Andy, plusieurs semaines avaient passé… Et la vie de Maria n’était toujours pas ce long fleuve tranquille que les gens espéraient atteindre, sans jamais l’avoir. Elle était maintenant confrontée à des problèmes hormonaux dans lesquels il était difficile d’avoir une réponse, car elle se voyait mal aller voir un psy’ pour lui dire qu’elle avait des problèmes à imposer son autorité avec son fils, avec lequel elle partageait une relation incestueuse. Jusqu’à quel point leurs problèmes relevaient-ils d’une relation normale entre mère et fils, et d’une relation incestueuse ? Car des problèmes, il y en avait. Ils avaient progressivement émergé, au fur et à mesure qu’Andy besognait et insultait sa mère. Son fils s’était découvert une passion pour les fesses de Maria, et adorait la prendre en l’insultant de « chienne ». Or, si Maria y voyait là un simple plaisir sexuel, répondant à un fantasme profond, pour Andy, les choses n’étaient pas aussi simples. Son fils prenait des aises avec elle, et, surtout, négligeait ses études, prétextant, à chaque fois que Maria le trouvait chez eux, que le professeur était absent.

Il y a quelques jours, elle avait reçu un premier signal d’alarme, quand un courrier de l’administration du lycée était arrivé pour la prévenir d’une hausse d’absences injustifiées, et d’une baisse subite dans quelques interrogations. Alors, Maria réfléchissait. Elle se sermonnait d’être une mauvaise mère, d’aimer autant la trique de son fils, ses coups de reins, sa force… Mais elle ne pouvait pas non plus laisser ce dernier devenir un macho’ en puissance, qui confondait le plaisir et la réalité. Si Maria pouvait accepter un jeu sexuel consistant à devenir une « chienne », elle n’était guère prête à l’assumer au quotidien. Elle avait connu ça avec ses parents. Son père était un héritier de la tradition familiale romaine antique, le « pater familias », exerçant sur sa domus la puissance paternelle, la « patria potestas », avec une femme qui était soumise à ce dernier, comme le reste de la famille. « Vitae necisque potestas » ; le Père avait droit de vie et de mort sur les siens. Comme si cela était génétiquement encodé, Andy était, peu à peu, en train de raisonner ainsi. Avant leur union incestueuse, les relations entre eux étaient distendues, et, si elles s’étaient rapprochées, elles n’étaient toujours pas harmonieuses.

Andy était amoureux d’elle, mais d’un amour dévorant. Il voyait Maria comme une amante, comme sa chose avant d’être sa mère. Et elle, il fallait bien reconnaître qu’elle avait toujours été favorable d’une éducation tolérante, compréhensive, bien loin de la rigidité sévère de ses parents. Alors, comment concilier les deux ? La jeune femme hésitait, en proie à de multiples doutes.

*D’un côté, je ne peux pas arrêter de lui faire l’amour, mais, de l’autre, il doit comprendre que je suis sa mère, et que, en tant que tel, il me doit le respect…*

S’agissant d’un adolescent, la tâche était compliquée. Les hormones parlaient à la place de leur cerveau, avec ce mélange d’insouciance et d’égoïsme issu de l’enfance. Maria, néanmoins, commençait à avoir des idées, et, depuis quelques jours, avait mis en place un projet qui, l’espérait-elle, lui permettrait de rappeler à son fils qu’elle était la Mamma.

Là, elle était en train de téléphoner à son éditeur, un homme charmant, qui aimait blaguer, et elle entendit Andy se rapprocher, se collant à elle.

« Andy ! Je suis au téléphone, là ! »

Elle tenta en vain de le repousser, tandis que, au bout du fil, Andrew, son éditeur, sembla s’étonner du changement de ton.

« Euh… Vous allez bien, Maria ?
 -  Hein ? Oui, oui, Andrew, ne vous en faites pas !
 -  …Bon, parce que je ne voudrais pas qu’il y ait un malaise entre vous, parce que, de vous à moi, vous… »

Main sur le combiné, regard furieux envers son fils.

« Andy, tu arrêtes ça immédiatement ! » siffla-t-elle.

Peine perdue ! Il continua à s’astiquer dans son dos. En même temps, elle avait choisi d’enfiler une nuisette très sexy. C’était le petit truc qu’elle autorisait à Andy : il sélectionnait des vêtements sexy, et elle les enfilait. De base, son plan reposait là-dessus…

« …Non, parce que, c’est vrai, ce que vous écrivez, c’est vraiment très beau, c’est de la sensualité, de l’érotisme, sans tomber dans le porno’ moche et gras, avec de la suggestion, et tout… Alors, je me demandais si on ne devrait pas viser plus large, vous comprenez ?
 -  Hhmm… ? Co… Comment ça ?
 -  Et bien, euh, vous savez, en ce moment, tout ce qui est fantasy, science-fiction, ça marche très fort, et je me disais que… Vous êtes sûre d’aller bien, Maria ?
 -  Je… Dé… Désolée, Andrew, je… Je viens d’attraper une migraine, et… Est-ce que je peux vous rappeler ?
 -  Oh euh... Ouais, enfin, oui, je suppose. Ménagez vos neurones, surtout, vous voulez que je vous rappelle quand ?
 -  Je… Je vous rappelle plus tard, Andrew, et… Merci pour vos idées, je vous promets d’y jeter un œil, et de voir si… Enfin, King a bien écrit pendant des années sous un pseudonyme, je suppose que je peux faire pareil, alors… Je vous promets d’y réfléchir ! »

Ce fut tout ce qu’elle arriva à dire avant de couper le téléphone, et de se retourner vers Andy, jetant vers lui un regard furieux.

Le sourire arrogant de son fils ne fit que la rendre encore plus furieuse.

« Non, mais à quoi tu joues, Andy ? Sérieusement ?! Est-ce que je ne t’ai pas enseigné le respect ? J’étais au téléphone, là ! Avec mon patron ! Tu saisis ? Celui grâce à qui on a de l’argent ! Et puis… T’es pas censé être en cours, là ? Ne viens pas me dire que ton prof’ était encore absent, le Vice-proviseur a appelé hier ! À quoi ça rime, toutes ces absences injustifiées ? À quoi est-ce que tu joues ?! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mercredi 18 mai 2016, 20:59:14
La réaction de Maria ne fut pas tout à fait celle qu’Andy attendait. Interdit, il recula d’un pas, sa queue toujours stupidement érigée vers le ciel. Ces derniers temps, il était arrivé que Maria rechigne un peu à l’ouvrage, du moins au début : elle aimait bien trop le sexe s’en priver. Mais cette fois-là, sa mère adorée semblait vraiment en colère, et pas du tout partante pour une petite partie de jambes en l’air matinale. Pourtant, elle portait la lingerie qu’ils avaient achetée ensemble en ville le week-end dernier… C’était à ne rien y comprendre !

« Mais mom’ enfin… » Le jeune homme avait attrapé son vit et le masturbait doucement en faisant la moue, autant pour maintenir son érection que pour tenter sa mère, pour la faire fléchir. En temps normal Maria ne résistait pas à la vue de cette grosse queue joufflue, et finissait toujours par le sucer goulument.  « C’est bientôt les vacances, et monsieur Walker nous a dit que nous n’étions pas obligé de venir en cour de math si nous n’en avions pas envie, aujourd’hui. Et moi je n’avais pas envie. » Ce n’était pas tout à fait vrai : ledit professeur avait en effet exempté les élèves qui… avait une moyenne de plus de quatorze en mathématique, ce qui était loin d’être le cas d’Andy, naturellement.

« Et puis je suis certain que ton éditeur veut coucher avec toi, et on dirait que c’est réciproque, vu le temps que tu passes à roucouler avec lui au téléphone. »

Le jeune homme savait pertinemment qu’il était en tort, et que sa mère faisait probablement un peu de zèle pour rester en bon terme avec son éditeur… D’autant que lui-même n’avait pas vraiment un comportement exemplaire ces derniers temps. A cause de la sexualité débridée qu’ils menaient, sa mère et lui, le jeune homme avait manqué de nombreuses fois le lycée et ses notes étaient en chute libre. A vrai dire, il avait du mal à se concentrer sur autre chose que le corps de sa mère, et il arrivait que même ses entraînements sportifs passent à la trappe. Toutefois… Il n’avait nulle envie que cela change. Après une première phase d’émerveillement, il en était venu à la conclusion qu’il avait un droit sur le corps de sa mère : celui de pouvoir la baiser comme il le voulait, et quand il le voulait. Et pour l’heure, Maria n’avait pas remis en cause cette coutume.

« J’avais envie que tu me suces un peu, en me massant les couilles avec tes doigts comme tu le fais si bien. Ensuite on pourrait baiser dans le jardin. »

Il parviendrait à faire plier sa mère une nouvelle fois, il en était persuadé. Cependant, Andy s’aperçut de quelque chose de tout à fait étonnant : la colère qui se lisait sur le visage de sa mère lui donnait un air sauvage, qui contrastait avec sa douceur habituelle. Et… cela la rendait encore plus séduisante que jamais.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 21 mai 2016, 12:00:30
Maria doutait franchement que Monsieur Walker ait réellement incité ses élèves à ne pas venir en cours, mais elle avait un problème nettement plus important que les cours de mathématiques en ce moment. Un problème qui incluait la baisse de ses notes, et leur relation. Tout était lié, en réalité, et il y avait, avec ça, ce sentiment d’auto-culpabilité qui la traversait, lui reprochant cette relation incestueuse, lui hurlant qu’elle avait bousillé la vie de son fils à jamais, par pur égoïsme. Une voix terrible, implacable, qui l’assaillait surtout la nuit, quand elle se couchait, et qu’il n’y avait plus personne pour mentir à sa place. Elle était face à Andy, face à son fils, et il fallait qu’elle arrive à calmer ses ardeurs, qu’elle réfrène son envie de coucher avec lui. Avant d’être son amante, elle restait sa mère, et cet élément ne devait pas être négligé.

*Moi aussi, j’ai envie de te sucer, encore, encore et encore... Mais je ne peux pas...*

Une once de bonheur pour une vie de misère n’était pas une bonne équation. Maria le réalisait en voyant l’absence totale de remords ou de questionnement chez Andy. Il voulait baiser, tout simplement, et ne comprenait vraiment pas pourquoi sa mère se refusait à lui. Elle se mordilla donc les lèvres en le regardant.  Le rouge qui lui montait aux joues n’était pas celui de la gêne, mais d’une sourde colère, à la fois dirigée contre Andy, mais aussi contre elle-même.

*Tu n’as plus le choix, Maria... Tu t’es toujours battue contre l’autorité et contre les règles, mais Andy en a besoin. Autrement, il deviendra un loqueteux pensant juste à te baiser.*

Maria avait été, pendant son adolescence, proche de certains milieux anarchistes. Quand on venait d’une famille aussi stricte que la sienne, on avait tendance à tout rejeter en bloc... Mais, et même si elle était favorable d’une éducation « soft », elle considérait les études comme étant très importantes. À ce point-là, nier que leur relation avait un impact sur l’assiduité d’Andy, c’était s’aveugler, et c’était bien là une chose qu’elle se refusait à faire.

Elle soupira donc, et lui répondit alors, sur un ton qui n’était guère sensuel, mais autoritaire, et sec :

« Arrête de te tripoter et de me prendre pour une idiote, Andy. Je suis ta mère ! »

Ce n’était vraiment pas un rôle dans lequel elle était habituée, et elle se déplaça alors. La tâche était d’autant plus dure qu’elle portait une nuisette affreusement vulgaire, terriblement sexy, mettant en valeur ses superbes formes, et qui, pour elle, décrédibilisait d’emblée tout discours sérieux qu’elle aurait pu tenir.

« Je sais que tes résultats scolaires sont en baisse... Et ça vient de moi. Je... J’adore coucher avec toi, Andy, mais... Pas comme ça. »

Elle ferma alors les yeux, lui tournant le dos. Peu importe où elle se tournait, son corps n’était qu’un appel au sexe sauvage, car on voyait, du coup, ses fesses. Elle se retourna donc à nouveau, et décida d’utiliser cette nuisette à son avantage.

« Tu as envie de me baiser dans cette nuisette, hein ? Mais je ne suis pas ta prostituée, Andy. Tu m’as manqué de respect. C’est quelque chose que je ne peux pas tolérer ! »

Elle se rapprocha alors, et pinça le menton de son fils entre ses doigts, et l’embrassa alors... Mais en mordillant ses lèvres, tirant dessus, lui insufflant de la douleur.

« Tu vas aller dans ta chambre, maintenant, Andy. Et tu en sortiras quand je t’appellerais... Pour te punir. »

Elle se redressa alors, et croisa les bras, comme pour bien montrer qu’elle ne plaisantait pas, et qu’aucune négociation ne sera pas possible.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 24 mai 2016, 15:15:30
Andy connaissait suffisamment sa mère pour savoir qu’elle était excitée. Ses pupilles étaient dilatées, ses cuisses tremblantes, et elle parlait trop vite. Andy était presque certain qu’en pressant sa main sur sa culotte, il retirerait des doigts trempés de cyprine. Toutefois cette fois-ci, Maria était au moins aussi énervée qu’en chaleur et le tenait en respect en le fusillant du regard. Malgré son air bravache, le jeune homme n’en menait pas large. Etait-il allé trop loin avec elle ? Le jeune homme cessa de se branler et laissa stupidement retomber son bras le long de son corps. Lorsqu’elle reprit la parole, ce fut d’un ton impérieux que le blondinet ne lui connaissait pas. S’il était arrivé à Maria de sévir avec Andy dans sa jeunesse, il n’avait pas le souvenir de l’avoir déjà vue aussi en colère.

« Mais m’man je… »

Il était trop tard pour s’excuser ; le ton de Maria n’admettait nulle réplique. Saisi par la surprise, le jeune homme fit un pas supplémentaire en arrière, persuadé qu’elle allait le gifler. Elle n’en fit rien cependant, et se retourna un court instant, permettant au jeune homme de déglutir. Il se rendit compte que s’il avait largement la force physique pour la contraindre sa mère à assouvir le moindre de désir – il l’avait d’ailleurs déjà fait – l’autorité de sa mère lui avait ôté toute énergie. Putain quel cul remarqua-il silencieusement. Cependant, Maria avait fait volte-face, et s’avançait vers lui d’un pas rapide. Le dos musculeux d’Andy heurta le mur qui se trouvait derrière lui, et il appliqua ses paumes contre le papier peint fleuri.

« Oui heu… »

Inutile de mentir ; sa grosse queue dressée parlait pour lui, et se dressait entre leurs deux corps impudiques. C’est alors que sa mère l’embrassa, prenant le jeune homme au dépourvu. S’empressant de répondre au baiser, et certain d’avoir finalement triomphé, il posa ses mains sur les hanches de Maria, enfonçant doucement ses doigts dans la chair tendre de ses fesses. Cependant, le baiser se transformait en morsure et, les yeux écarquillés, Andy poussa un grognement de surprise et de douleur. Lorsqu’elle rompit le baiser, il s’écarta précipitamment d’elle, les sourcils froncés. Portant majeur et index à sa lèvre inférieure, Andy s’aperçut qu’il saignait légèrement.

« Ça va pas non ? Tu m’as fait super mal putain ! »

Cependant Maria le toisait, les bras croisés et l’expression indéchiffrable. Sur le même ton qu’elle aurait intimé à un chien d’aller à la niche, elle le consigna à sa chambre. La mort dans l’âme, Andy grommela et s’éloigna en traînant les talons. Au moment de monter les escaliers il se retourna pour voir si Maria ne fléchissait pas, mais elle ne laissait rien paraître. Le jeune homme soupira en constatant que son érection s’était évaporée et monta lentement les degrés, puis alla s’enfermer dans sa chambre.

Me punir ? Comment ça me punir…

Le blondinet s’était assis en tailleur sur son lit, en face de son poster de Taylor Swift qu’il trouvait vraiment bonne, même s’il lui manquait quand même un peu de formes. Aussi loin que remontait les souvenirs du jeune homme, Maria ne l’avait jamais formellement puni. Ce n’était pas le cas de ses camarades. L’un d’eux, Dean, avait passé trois semaines en camp de redressement après que son père l’ait surpris en train de fumer du cannabis à la fenêtre de sa chambre. Que diable allait bien pouvoir faire Maria ?

« J’ai merdé », se morigéna-il à voix basse.

Et si Maria avait décidé de mettre un terme à leur relation incestueuse ? Le cœur battant et la mort dans l’âme, Andy se mordit la lèvre inférieure. Les minutes qui suivirent lui semblèrent des heures et lorsqu’enfin Maria se manifesta, il sauta sur ses pieds, le cœur au bord des lèvres.

Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 25 mai 2016, 08:55:52
Dès qu’elle l’eût consignée, Maria se sentit gênée de l’avoir fait... Mais sa propre conscience se calma devant la nécessité impérieuse de reprendre les choses en main. Tandis qu’Andy était consigné dans ses quartiers, elle, elle prépara sa punition. En l’état, il s’agissait juste de récupérer un produit dans sa pharmacie, et quelques autres tenues spéciales. Elle avait en tête quelque chose pour Andy.

*Tu ne peux plus reculer, maintenant, Maria, ou les effets en seront catastrophiques ! Il te faut aller jusqu’au bout !*

Oui, elle devait le faire, mais... Les hésitations continuaient encore à se bousculer dans sa tête. Est-ce que ça ne serait pas trop pour Andy ? Tous les adolescents avaient une période de trouble, une période où les résultats scolaires baissaient, après tout. C’était ça, l’adolescence, c’était l’âge idiot, celui où on en avait marre des études, où on voulait partir en croisade contre tout le système.

*Arrête de lui chercher des excuses, tu dois lui rappeler qui tu es, que tu es sa mère !*

Son garçon finit par revenir, et fila vers le salon, mettant par ce biais un terme aux hésitations de Maria... Pour constater que sa mère n’était pas là. Cette dernière s’était dissimulée près de la porte menant du couloir au salon, et, comme dans les films qu’elle avait vu, plaqua sur la bouche d’Andy, en se ruant dans son dos, un mouchoir imbibé de chloroforme.

« Ne t’inquiète pas, Andy... Mais il me faut plus de temps pour te punir. »

Elle le sentit se débattre, et alla lécher le lobe de l’une de ses oreilles, sa conscience étant curieusement atténuée par une sorte de... Franche excitation. Maria portait toujours sa nuisette, et, si Andy n’était pas trop paniqué, il aurait pu sentir les seins de la femme s’écraser contre son dos. En réalité, l’idée même d’abandonner leur relation incestueuse, si elle avait pu la caresser, lui était intolérable. Elle tenait bien trop à ça pour la sacrifier si facilement.

Maria maintint donc le mouchoir, jusqu’à ce que son fils s’endorme...

Puis elle prépara les choses.

*
*  *

« Réveille-toi, Andy ! »

Le coup de cravache claqua sur les fesses nues du jeune garçon, ce qui eut pour effet de le réveiller... Ça, ou les courants d’air frais qui résonnaient dans cette pièce sombre, et dénuée de fenêtres. Andy ouvrit alors les yeux, pour constater qu’il ne pouvait pas bouger... Ou, du moins, pas trop. Des liens entravaient ses poignets et ses jambes, le mettant dans une position assez humiliante, puisqu’il était à quatre pattes sur le sol, avec les bras redressés, maintenus en l’air par des chaînes et des liens, une barre à hauteur de la nuque permettant de soutenir l’ensemble.

Une position assez humiliante (http://img110.xooimage.com/files/e/5/d/chair-4f7896d.jpg).

Difficile de dire si Andy reconnaîtrait les lieux, il n’avait pas l’habitude de se rendre dans leur cave. Sur une table dans un coin, il y avait quantité de sex toys. Un gag ball était posé sur ses lèvres, l’empêchant de parler, et des talons résonnèrent dans son dos, puis une main gantée caressa son dos.

« Tu es réveillé, Andy ? Oui, je le sens... Vilain garçon. »

Il n’était pas totalement nu. Lui qui aimait tant les vêtements de sa mère pouvait être ravie, elle lui avait mis sur le corps une lingerie fine (http://img110.xooimage.com/files/2/b/f/underwear-4f78981.jpg), composée de sous-vêtements violets en dentelle, et de collants. Andy avait des jambes qui n’étaient pas aussi fuselées que les siennes, mais elle avait été ravie de voir qu’elle pouvait les lui mettre, sans que cela ne jure trop.

Et elle ? Elle finit par arriver devant Andy. Une forte prestance se dégageait d’elle, car sa nuisette transparente avait laissé place à une tenue nettement plus axée sur la domination (http://img110.xooimage.com/files/6/f/c/sm_suit-4f789a0.jpg). Un corset noir en cuir épousait ses formes, avec de longs collants noirs s’enfonçant dans des cuissardes en cuir... Sans parler des longs gants noirs qu’elle portait, ou, encore, de ce gode qui plantait le long de sa culotte.

« Tu as été un très vilain garçon, Andy... Et les vilains garçons comme toi méritent d’être punis ! »

Elle tira doucement sur ses cheveux. Le sadomasochisme était une chose qu’elle n’avait encore jamais exploré avec Andy, mais qu’elle avait couché par écrit. De fait, ses œuvres érotiques viraient de plus en plus vers cet art du sexe qu’était la domination. Elle avait aménagé sa cave depuis quelques semaines, déjà, en secret, avec le fantasme secret qu’Andy la prenne, en agissant sur elle comme un Maître dominateur et brutal... Mais, finalement, ce serait elle qui ferait la Maîtresse.

« Et, puisque tu ne respectes pas mon rôle de mère, que tu ne lui montres pas le respect qui lui est dû, je n’ai plus qu’à te dresser, afin que tu respectes ta Maîtresse ! »

Elle dégrafa alors le gag-ball. Son gode caressait entre-temps les joues d’Andy, tant elle était proche de lui.

« Je veux que tu le dises, Andy... Que tu confesses avoir été un garçon irrespectueux, un vilain garçon, et qui mérite d’être puni en conséquence. Allez... Dis-le ! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 22 septembre 2016, 12:36:44
Lorsqu'il sentit Maria se coller à son dos, Andy ne réagit pas immédiatement, croyant qu'il s'agissait là de quelque câlin de réconciliation ; il se rendit compte bien trop tard que dans la main que sa mère adorée avait plaqué contre son nez, se trouvait un mouchoir humide...Alors qu'il se sentait vaciller, Andy commença à se débattre mollement, mais la force commençait à quitter ses muscles et au bout de quelques secondes il s'écroula dans les bras de Maria, profondément assoupi.

« Clac ! »

Une douleur sèche sortit le jeune homme de sa torpeur. Andy frissonna, ouvrit un œil, et s'efforça d'étirer ses membres endoloris...En vain. « Hmm ? », s'étrangla-il, en découvrant au passage qu'il ne pouvait pas non plus parler, puisqu'on lui avait enfoncé quelque chose entre les dents. S'efforçant de ne pas céder à la panique, le joueur de base-ball remua la tête de gauche à droite. Il avait une migraine phénoménale et n'avait pas la moindre idée de la manière dont il avait atterrit ici... Ici où, d'ailleurs ? L’obscurité ne lui permettait pas de voir grand chose, Mais Andy reconnut dans un coin son vieux vélo d'enfant, avec ses petites roulettes. La cave, c'est la cave ?!

Soudain tout lui revint : sa dispute avec Maria, sa consignation dans sa chambre, puis le mouchoir et le chloroforme. Maria l'avait sédaté ! C'était carrément dingue ! Comme pour lui réponde, une paire de talons claqua derrière lui, alors que la voix de Maria, doucereuse, brisa le silence. « Hmm Hmm », protesta-il en vain, en fronçant les sourcils, alors que quelque chose de lisse lui caressait le dos. Sentant son regard sur son corps, le jeune homme baissa les yeux, pour constater qu'elle l'avait travesti en femme. Outré, le jeune homme remua de plus belles, faisant rouler ses muscles sous sa peau ambrée. Cependant, Maria l'avait contourné et le dominait à présent de toute sa taille, rehaussée par des talons aiguilles. Le regard du jeune homme s'attarda un court instant le long de ses jambes fuselées, gaînées par des cuissardes, mais lorsqu'il remarqua la verge en silicone qu'elle arborait, il commença à paniquer.

« Je suis désolé, maman, je ne referais pas, je te le promets ! Détache moi s'il te plaît ! », implora-il en balbutiant, lorsqu'elle lui ôta la gag-ball.

Désolé, ça il l'était ! Cependant, si le garnement aurait dit n'importe quoi pour échapper au courroux de sa mère, il n'en pensait pas moins. Détournant la tête lorsque le gode percuta sa joue glabre, Andy s'efforçait de calmer les battements de son cœur.

« Oui, je me suis mal comporté, j'ai été vilain et je devrais être puni pour ça. Mais pas comme ça, s'il te plait ! Je tondrai la pelouse pendant trois semaines », proposa-il tout de go, au désespoir. Il faut ici rappeler que le concept de punition corporelle était parfaitement étranger à Andy, que sa mère n'avait jamais frappé. Voire Maria se comporter de la sorte, et pas avec la douceur habituelle qui la caractérisait avait quelque chose de réellement inquiétant pour le jeune homme, qui craignait qu'elle n'ait littéralement perdu l'esprit. Que comptait-elle faire avec ce truc ?

"Je... je suis pas pédé !"

Les lycéens, surtout les sportifs, étaient loin d'être très tolérant en matière de sexualité et Andy en était un parfait exemple.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 25 septembre 2016, 00:38:36
Pendant un bref instant, Maria hésita. Faisait-elle quelque chose de juste ? Est-ce que cette séance ne risquait pas de briser le lien de confiance l’unissant à son fils ? Est-ce qu’il ne risquait pas, par la suite, de se révolter contre elle, de devenir l’un de ces adolescents rebelles et colériques qui dénigraient leurs parents ? Maria n’en avait pas envie, mais... Ce bref moment de remords disparut fort heureusement assez vite, remplacé par une solide détermination, qui lui rappelait ce que son fils avait fait. Il lui manquait de respect, et il fallait qu’elle intervienne.

*Non, non, ne te laisse pas attendrir, Maria, tu dois faire ce qu’il faut faire !*

Le visage devant le gode de sa mère, Andy précisa alors qu’il n’était pas un pédé. Maria réagit alors, et posa sa main gantée sur les cheveux blonds de l’homme musclé, et tira dessus, soulevant sa tête.

« Depuis quand ai-je l’air d’un homme, Andy ? Et depuis quand décides-tu de ta punition ? C’est le sexe qui nous unit, c’est donc à travers le sexe que tu seras soumis ! Chaque fois que tu oublieras que tu dois du respect à ta mère, c’est Maîtresse Maria qui te punira ! »

Le ton était assuré, et elle relâcha sa tête, comme pour bien lui faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas. Maria se déplaça alors à nouveau, et retourna dans le dos de l’homme, puis massa ses fesses. Si les hommes adoraient l’idée de sodomiser des femmes, l’inverse, au contraire, les effrayait. Cependant, Andy n’avait plus le choix. Maria était bien décidée à le faire, et elle savait que l’homme allait apprécier ça. Elle posa sa main sur l’une de ses fesses, crispant ses doigts dessus, sentant ce dernier frémir sur place.

« J’adore à chaque fois que tu me sodomises, mon chéri, alors il n’y a aucune raison que toi aussi, tu n’aimes pas... Mais, chaque fois que tu me défonces le cul, tu t’imprègnes de ton autorité masculine sur la mienne. Il est temps de limer ta virilité, Andy ! »

Elle gifla alors ses fesses, relevant et abattant sa main, sentant cette dernière claquer sur le magnifique cul musclé d’Andy. Elle donna une première claque, puis encore une autre, un peu plus fortement, et une troisième fois encore... Et, tandis qu’elle le frappait, Maria se surprenait à réaliser que, contrairement à ce qu’elle aurait pu penser, elle aimait bien ça. Elle sentait des rougeurs pointer sur ses joues en le fessant, elle se mordillait instinctivement les lèvres, et commençait à frissonner sur place. Maria continuait donc à le gifler, jusqu’à finir par se redresser, crispant ses doigts.

*Il faut que je fasse attention, je pourrais y prendre goût... Seigneur, mais quelle mère suis-je donc ?!*

Maria se racla la gorge, en retournant devant Andy, et posa sa main sur ce gode, l’approchant de son visage.

« Maintenant, Andy, sois un bon petit chien, et suce ma queue ! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 25 septembre 2016, 23:08:40
Les yeux rivés sur le beau visage de sa mère, Andy y vit planer un court instant de doute, un moment où tout pouvait vaciller. Conscient que tout se jouait à ce moment précis, il retint sa respiration et espéra. En vain. A l’hésitation succéda une détermination sans faille, mêlée à une sourde colère, qui fit paniquer le jeune homme. Quoique Maria ait décidé de lui faire subir aujourd’hui, elle irait jusqu’au bout. Car Andy le savait ; Maria était douce, mais elle avait une force de caractère incroyable, celle-là même qui lui avais permis de l’élever en cumulant plusieurs boulots à la fois et de garder la tête haute en temps de disette. Non, elle ne renoncerait pas.  Andy grimaça lorsque sa mère lui tira les cheveux pour le forcer à la regarder, mais s’interdit de se plaindre.

« Non mais tu sais bien… Les mecs qui se mettent des trucs dans les fesses, c’est des pédés », lâcha-il, misérablement, alors qu’elle laissa retomber sa tête vers l’avant, avant de disparaître de son champ de vision. Ce qu’il y avait de terrible dans sa position, c’était l’attente, et la terrible incertitude qui le tenaillait. Bah, après tout, peut-être se contenterait-elle de lui faire sucer son truc et de lui administrer quelques coups de cravache bien sentis, songea-il, espérant ainsi se rassurer. Les mots qu’elle prononça ensuite le glacèrent d’effroi, et il sentit ses jambes faiblir.

« Non, non… Ça va faire mal… S’il te plait pas ça, m’man… »

Toutefois Maria semblait se moquer éperdument de ses protestations, et commença à la fesser sans ménagement, le faisant pousser un premier gris de surprise, puis des gémissements de protestation. Cependant, le souvenir de sa queue profondément enfoui dans l’anus spongieux de sa mère avait fait son chemin, et le sang affluait progressivement à sa verge, bien trop imposante pour les sous-vêtements féminins qu’il portait. « Aie… Arrête, ça fait mal ! », protesta-il une nouvelle fois. A l’excitation procurée par les mots de sa mère se mêlait la douleur de la correction qu’elle lui administrait, jusqu’à ce que malgré lui, la vive douleur ressentie à chaque claque se transforme en onde tiède se propageant jusqu’à son bas-ventre.

Lorsqu’elle s’interrompit, Andy se sentait bizarre, un peu largué. Hébété, de petites larmes au coin des yeux, il regarda Maria se repositionner devant lui, sa verge de silicone entre ses doigts gantés. Observant l’objet avec circonspection, l’adolescent leva les yeux vers Maria. La rougeur de ses joues trahissait son excitation, et l’étrange lueur qu’elle avait dans le regard n’admettrait pas la désobéissance. Ses fesses, lui cuisaient, et il n’avait pas particulièrement envie de se faire fesser une nouvelle fois… Si bien qu’il capitula.

Fermant les yeux, il avança les lèvres pour gober le gland du gode et, de mauvaise grâce, l’enfonça de quelques centimètres dans sa bouche, se contentant ainsi de suçoter le sexe factice. « hmm mhh », grogna-il ; c’était moins facile que ça n’y paraissait et Andy se demandait comment Maria pouvait gober sa bite, qui était sensiblement plus épaisse.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 27 septembre 2016, 11:06:55
Si son fils protestait, Maria se rassura en sentant une réaction immédiate. Pour un homme, il était techniquement impossible de dissimuler son plaisir, car elle sentit la verge d’Andy grossir rapidement sous ses claques, signe que son fils, malgré ses protestations, devait inconsciemment aimer profondément ce moment. C’était quelque chose que Maria acceptait volontiers, car, si elle punissait Andy, elle ne voulait pas non plus qu’il la déteste après ça. La jeune mère était dans une situation assez compliquée, partagée entre des sentiments contradictoires, et elle ne pouvait que se reposer sur elle-même. Sur ce point, personne ne viendrait l’aider à éduquer son fils, quand on connaissait la nature incestueuse de leur relation. Elle devait donc se débrouiller par elle-même, et constata, en regardant Andy, que ses joues rougissaient, et qu’il n’y avait plus, dans les yeux, ce regard de répulsion et d’horreur, mais, au contraire, de la surprise... Et peut-être aussi du plaisir.

Maria en frissonna encore, et sentit Andy ouvrir la bouche, pour venir attraper son sexe factice. La main de sa mère se crispa alors sur ses cheveux, serrant ces derniers plus fermement. Pendant quelques instants, elle se contenta juste de le laisser faire, sans intervenir, observant le visage de son fils se déplacer, constatant que ce dernier commençait, petit à petit, à prendre son pied.

« Tu aimes te faire punir, hein ? Tu es vraiment un vilain petit garçon, Andy... »

Il n’était pas sûr que cette méthode soit vraiment efficace sur le long terme, mais, pour l’heure, Maria était bien incapable, elle aussi, de lutter contre cette vague de plaisir qui la traversait. Soupirant lentement, Maria finit par se déplacer son bassin d’avant en arrière, accompagnant les mouvements de l’homme.

« Tu aimes, hein ? Et encore, ce n’est qu’un jouet en plastique, mon chéri... Mais... Tu sens comme elle est grosse, comme c’est dur de l’enfoncer, de la garder en soi ? »

Peut-être comprendrait-il un peu mieux ce dont sa mère était capable... Mais est-ce que cela l’amènerait à davantage le respecter ? Ça, c’était plutôt davantage le genre de prestations qui vous valait d’être joyeusement qualifiée de « super-salope » par tous ces mâles en rut.

« Hmmm... »

Elle s’en mordillait les lèvres, puis finit par se retirer de la bouche de l’homme, non sans avoir forcé le passage. Maria, juste avant d’éloigner son gode de ses lèvres, opta ainsi pour une gorge profonde, ce qui allait très certainement étouffer Andy. Elle resta comme ça pendant quelques secondes, avant, donc, de s’en extirper, le laissant reprendre son souffle.

« Bien... Maintenant que tu l’as bien humidifié, Andy, je vais m’occuper de ton postérieur... »

Maria soupirait lentement.

« Ça va te faire mal, oui, mais si moi, je l’endure, toi, tu devrais le faire aussi. Tu es plus résistant que moi, Andy... Et tu verras à quel point la douleur, en cette matière, peut être jouissive. »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le samedi 01 octobre 2016, 12:06:47
Andy commençait à réaliser que ce dont il avait le plus peur n’était pas les coups de cravache de sa mère, non plus que de s’étouffer avec sa queue en silicone… Ni-même qu’elle ne l’enfonce dans son cul – quoique si un peu quand même - ; c’était ses propres réactions qu’il appréhendait. Et si… Et s’il appréciait ça ? Cela serait-il de lui un pédé, comme Elie, un jeune androgyne auquel on prêtait des relations sexuelles avec le prof d’histoire, et qui traînait la plupart des temps avec les filles. Au lycée, tout le monde le disait : il devait sûrement se faire enculer à quatre pattes et couiner comme une catin ! Si au lycée on apprenait qu’Andy se faisait traiter de la sorte, il ne faisait aucun doute qu’il serait à son tour la risée du lycée ! « hmm… » Toutefois, le jeune athlète n’avait pas vraiment le choix ; il fallait bien s’occuper de ce gode. Son activité buccale l’empêchait de répondre à Maria, mais s’il avait pu le faire, il aurait probablement nié une nouvelle fois, bien que la raideur de son vit démontre le contraire.

Peu habile à la fellation, Andy s’appliquait néanmoins à prendre la verge de plus en plus profondément en bouche, s’arrêtant parfois pour la lécher, comme il avait vu maint fois Maria le faire, en guettant les réactions de cette dernière. Les rouges roses, le souffle court, Maria semblait apprécier le traitement prodigué par son fils, lequel ne put s’empêcher de sourire. Toutefois Maria s’enhardit et Andy hoqueta, alors qu’elle imprimait un mouvement de va-et-vient à son bassin, envoyant l’extrémité de la verge percuter la glotte du jeune homme, lequel s’efforçait tant bien que mal de suivre le mouvement sans trop s’étouffer. Le jeune homme respirait à présent par le nez, et sa salive, de plus en plus abondante, dégoulinait sur son menton. Lorsqu’elle s’interrompit, Andy haletait, la bouche entrouverte et le regard vitreux ; le manque d’oxygène lui donnait le vertige. La voix de sa mère lui parut lointaine, mais un frisson lui parcourt l’épine dorsale lorsqu’il comprit qu’elle n’allait pas tarder à le pénétrer. Était-ce de l’appréhension, du désir, ou simplement la température ambiante qui lui donnait la chair de poule.

« a…Attends », paniqua-il, en voyant sa mère se déplacer. « Mes fesses aussi doivent être préparées », balbutia-il, d’un air misérable.

Maria avait raison ; Andy usait et abusait de son anus, qu’il préférait désormais à sa chatte, parce plus étroit, et plus sale. Toutefois, conscient des dimensions de sa verge, il prenait toujours le temps de la préparer un minimum… Même s’il avait remarqué qu’avec le temps, le cul de sa mère tendait à se lubrifier naturellement. Il espérait que malgré sa colère, Maria ferait preuve d’un peu de clémence à son endroit.

« Plus résistant que toi ? » Andy ne put s’empêcher de froncer les sourcils. Il avait beau être un sportif de haut niveau, il était un grand douillet, et doutait de pouvoir endurer les sodomies comme Maria… Pourtant il sentait sa volonté s’amollir, alors que le désir affluait, et que ses muscles se détendaient. Qu’il le veuille ou non, Andy était prêt.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 07 octobre 2016, 02:00:56
« Eh bien, tu es un garçon, et très bien musclé. Tu es forcément plus résistant que moi, mais tu manques d’expérience, alors... Forcément, ce sera différent pour toi, mais ne t’inquiète pas. Tu as tellement pris mon cul que je sais comment faire. Et puis, de toute manière, si tu ne ressentais que du plaisir, ce ne serait pas vraiment une punition, pas vrai ?  »

Maria, néanmoins, connaissait son garçon, et elle savait très bien ce qui le tracassait en ce moment. Ce n’était pas tant le fait de se faire sodomiser, que celui d’avoir l’impression qu’il aimerait un plaisir homosexuel. Elle savait que l’homme était très attaché à sa virilité, et ne supportait pas qu’on la remette en cause. Et, dans sa vision des choses, encore un peu bourrue et archaïque, l’homosexualité était un manque de virilité, et ce quand bien même les homosexuels étaient souvent des individus très costauds, justement pour lutter contre ce préjugé. Andy se refusait donc à apprécier ça, et il était aussi du devoir de Maria de l’éduquer sur ce point, et de lui montrer qu’il n’y avait aucune honte à aimer la sodomie.

Sachant très bien qu’elle devait le préparer, elle se contentait, en réalité, juste de le titiller pour l’heure, en caressant ses fesses avec son gode. Elle se mordillait tendrement les lèvres, et se pencha finalement vers l’avant, pliant les genoux, son visage arrivant à hauteur du postérieur musclé de son fils. Elle-même rougissait, ses doigts tremblant nerveusement, car c’était bien la première fois qu’elle allait s’attaquer au fessier d’un homme.

« Tu sais, Andy, il n’y a aucun mal à apprécier ça... C’est naturel. »

Elle écarta les fesses de son fils avec ses pouces, dévoilant ainsi l’accès à sa croupe, et soupira lentement, puis s’avança vers cette zone. Le délicat trou rosé apparaissait timidement, et elle écarta encore davantage les plis de chair, afin de pouvoir mieux le discerner. Son anus était là, et elle se pencha encore, allant tendrement le lécher, caressant ce dernier avec le bout de sa langue, sentant le corps d’Andy réagir en conséquence. Pendant quelques secondes, Maria se concentra, conservant les yeux clos, en léchant cette zone avec le bout de sa langue, encore et encore.

« Hmmm... »

Maria y allait tranquillement, essayant de forcer le passage avec sa langue, en laissant cet anus se dilater.

Le préparer, c’était un préalable indispensable, en effet, et c’était ce à quoi elle s’affairait en ce moment, non sans un certain plaisir, car elle-même commençait à sentir sa chatte s’enflammer...
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 30 octobre 2016, 17:12:11
L’excitation croissante du jeune homme rendait ses protestations faiblardes, et ses dénégations ridicules. Le jeune homme s’en rendit compte, et décida en rougissant d’arrêter de se plaindre. S’il était émoustillé, il n’en restait pas moins inquiet ; sa mère lui avait expliqué à de multiples reprises qu’une sodomie était, devait être douloureuse, pour être jouissive, ce que le jeune homme avait toujours du mal à comprendre, même s’il avait vu Maria grimacer maint fois sous ses coups de butoir, avant de jouir bruyamment. Et il y avait encore la honte, bien sûr. Cela étant dit, personne n’était obligé de l’apprendre… Après tout, nul ne se doutait que Maria et Andy s’envoyaient en l’air plusieurs fois par jour

« Mouais… »

Maria le contourna une nouvelle fois, pour repasser dans son dos, et s’immobilisa un instant, le titillant avec l’extrémité de son gode, incitant le blondinet à se cambrer, bien malgré lui. « Humf… » soudain, sa mère s’agenouilla derrière lui, écartant doucement ses fesses pour dévoiler la corolle brune de son anus que l’excitation avait commencé à dilater. Andy sentit son rythme cardiaque s’emballer et un frisson lui remonta le long de l’épine dorsale alors qu’un léger courant d’air passait sur son anus offert.

Andy sentit les cheveux de sa mère effleurer sa croupe avant que sa langue dardée ne s’écrase contre son rectum, contact qui déclencha une série de soubresauts à son gros pénis qui pendait entre ses cuisses musculeuses. « Oh Mom’ c’est…trop bon… » A présent le jeune homme haletait, les yeux mi-clos. Ce n’était pas la première fois que Maria lui léchait l’anus ; le jeune homme aimait le contact de sa langue à cet endroit lorsqu’elle le masturbait. Outre la sensation – exquises- que cela lui procurait, il y voyait une forme de soumission prononcée de la part de Maria. Mais cette fois-ci, les rôles étaient inversés et sa mère ne se contenait pas de le lécher sagement, mais enfonçait profondément sa langue en lui, l’ouvrant progressivement. Cette sensation d’être rempli était nouvelle pour le jeune homme, qui ne pouvait s’empêcher de se cambrer pour faciliter l’intromission.

« Tu peux y aller maintenant », lâcha-il, finalement, en s’efforçant de maîtriser l’impatience qui transparaissait dans sa voix. Son pénis était en effet plus gonflé que jamais, et du pré sperme s’échappait de son méat, pour couler le long de sa hampe enflée.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 31 octobre 2016, 08:58:53
D’aucuns auraient pu douter de l’efficacité d’une punition qui était agréable chez la personne punie... Mais, à relation hors-normes, il fallait une punition hors-norme. Maria, en soi, ne cherchait pas à « punir » son fils, mais utilisait le concept de « punition » pour réinstaurer son autorité sur lui, une autorité bafouée et malmenée par la relation incestueuse que le couple menait. Ils faisaient en effet plusieurs fois l’amour par jour. Quand ils se levaient, pour commencer. Un rituel incontournable, vu qu’ils dormaient ensemble, et que son fils se réveillait toujours avec une trique incroyable. Il y avait donc toujours au moins une fois matinale... Si ce n’est deux, une fois au lever, une fois dans la douche. Ensuite, Andy revenait au déjeuner, donnant lieu à une autre séance de baise, et le soir... Ouhlàlà ! La première semaine, l’appartement était devenu un baisodrôme géant. Ils baisaient fréquemment le soir, ne faisant presque ça, ne se relâchant que pour mieux baiser encore, comme si les deux avaient une soif immense à épancher, comme si, inconsciemment, ils avaient toujours voulu s’envoyer en l’air. Les deux avaient donc rattrapé avec force le temps perdu.

Et maintenant... Maintenant, Maria ne voulait surtout pas arrêter ce rythme. Oh ça non ! Elle adorait la vigueur de son fils, son énergie, mais... Eh bien, elle avait aussi un ménage à faire tourner, de l’argent à amener, et elle ne pouvait pas se permettre de laisser son fils faire n’importe quoi. Alors, pendant qu’elle y réfléchissait, généralement la nuit, pendant que son fils dormait contre ses seins, leurs corps nus entremêlés l’un à l’autre, elle s’était dit que jouer la Maîtresse lui permettrait, peut-être, d’avoir satisfaction. Elle avait eu peur de bien des choses, notamment de se dégonfler au dernier moment, de ressentir des remords... Mais il n’y avait, fort heureusement, rien de tout ça. Ce qui dominait n’était rien de plus qu’une intense envie de plaisir, des frissons qui remuaient dans son corps, tandis qu’elle préparait l’anus de son fils.

Maria le prépara donc, sentant les résistances d’Andy s’évanouir. Il demanda alors à ce qu’elle y aille, et elle fronça les sourcils, pinçant alors sa fesse, et fit de même avec l’un de ses tétons, se courbant vers lui, et le pinçant avec son autre main.

« Tût-tût ! Ici, je ne suis pas ta mère, petit chien, je suis ta Maîtresse. Alors, tu me vouvoies ! Et, pour que tu le comprennes bien... »

Ne le sodomisant pas, elle attrapa un instrument sur la table, qui était un chat à neuf queues. Cet instrument de torture médiéval était une sorte de fouet minuscule composé de neuf lanières de cuir. Il n’était plus aisé pour torturer, et connaissait une nouvelle jeunesse dans les milieux sadomasochistes. Bien sûr, les lanières en cuir étaient effilées, mais l’ensemble était quand même assez douloureux.

« Voilà comment ça marche, Andy... Chaque transgression de la règle, de mon autorité, t’expose à une punition. En l’occurrence, pour te montrer que je peux être magnanime, tu n’auras droit qu’à cinq coups de fouet, mais, si jamais tu réitères... »

Inutile de préciser davantage, n’est-ce pas ?

Peu importe ce qu’Andy dirait, Maria s’écarta un peu, se mit à côté de lui... Puis abattit son fouet une première fois, ciblant à hauteur des fesses. Les lanières claquèrent sur la chair musclée de l’homme, heurtant le bas de son dos, et son beau petit cul. L’arme repartit en arrière, puis fusa à nouveau, donnant quatre coups supplémentaires. Et, au moment d’asséner le dernier coup, Maria y alla encore plus fort, ressentant un étrange flux d’adrénaline dans son corps. Sa main en tremblait nerveusement, et elle se mordillait même les lèvres.

*Hum... Fais attention, Maria, tu pourrais y prendre goût !*

Elle reprit son calme, et rangea le fouet, puis s’approcha encore d’Andy, retournant dans son dos.

« Bon... Est-ce que c’est clair, maintenant, petit esclave ? »

Maria caressait son anus avec son gode noir, une main dessus, l’autre s’appuyant sur son bassin.

*Je vais le pénétrer, je vais le pénétrer...*

Tout ce qu’elle attendait, c’était un « Maîtresse » pour le faire, car, à l’idée de sodomiser son propre fils, Maria, encore une fois, ne ressentait absolument pas la moindre gêne. C’était, au contraire, une furieuse excitation qui dominait en elle.

Comme un volcan sur le point d’entrer en éruption.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 01 novembre 2016, 20:28:38
Contrairement à ce qu’attendait – et espérait – Andy, Maria ne s’enfonça pas en lui, mais courroucée, le pinça à plusieurs reprises, suscitant un sentiment d’incompréhension et d’injustice chez Andy, qui manifesta sa désapprobation par des bref grognements rauques. Loin de s’arrêter là, la jeune femme saisit ce qui ressemblait à un fouet, mais muni de plusieurs lanières, et le souleva au-dessus de son dos… Avant de l’abattre sur son cul ambré.

« AIE ! OUCH », feula le jeune homme, en sentant finalement les lanières de cuir mordre sur sa peau nue. Aussi surpris que déçu, il se tortillait à présent de gauche à droite pour essayer d’échapper à l’ire de sa mère, mais celle-ci était intraitable. Elle le punit ainsi de plusieurs coups bien senti et lorsqu’elle cessa, Andy se rendit compte qu’une larme de douleur et d’impuissance avait coulé sur sa joue gauche et qu’il s’était mordu la lèvre inférieure jusqu’au sang. « Oui maîtresse, je…je suis désolé, je m’excuse… » bafouilla-il, prêt à tout pour éviter qu’elle ne réitère l’opération. Observant qu’elle rangeait le fouet, Andy ferma les yeux, réprimant un soupir de soulagement et se détendit un peu. Son postérieur lui cuisait, mais la douleur n’avait pas entamé son érection… Elle l’avait même renforcée, remarqua-il, étonné, alors qu’un peu de sperme s’échappait de son urètre pour couler sur le carrelage glacé de la cave. Comme tout adolescent, le joueur de base-ball avait regardé de nombreux films pornographique, y compris ceux qui mettaient en scène des femmes qui dominaient des hommes. Si ces scènes l'émoustillaient généralement beaucoup, le blondinet n'aurait jamais imaginé se retrouver un jour dans cette situation...Et pourtant, il y étaot, prêt à se faire pénétrer par un sexe presque aussi épais que sa propre bite.

« Mhh-hmm
», grogna-il, lorsqu’il sentit le gode de sa mère se frotter à nouveau contre son anus dilaté. Andy était bien obligé de le reconnaître à présent ; il mourrait d’envie que sa mère lui glisse ce gros sexe sombre dans le cul et remuait imperceptiblement du bassin vers l’arrière, attendant une pénétration qui ne venait pas. « mam…Maîtresse ? » osa-il, en lançant un regard inquisiteur par-dessus son épaule. « A…allez-y, sodomisez-moi, s’il vous plaît…J’en ai envie. », lâcha-il finalement, haletant. Davantage qu’envie, il en avait besoin à présent. Il avait toujours très peur, bien entendu, mais par une ruse de l’esprit, cette peur alimentait son désir… Et sa curiosité. Il allait enfin savoir ce que ressentait maria, quand il la défonçait brutalement, usant sans ménagement de son anus avant de jouir en elle. 
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 02 novembre 2016, 16:02:47
Voilà maintenant qu’elle venait de le battre avec un fouet ! Et, le pire, c’est que, loin de s’en sentir coupable, Maria ne ressentait qu’une vibrante excitation, qui fourmillait à travers tout son corps. Face à elle, Andy demanda alors à ce qu’elle la pénètre, en l’appelant « Maîtresse ». À ce stade, refuser, ça aurait été de le pure méchanceté, autant pour elle que pour son fils. Et ça, Maria s’y refusait. Elle estimait, maintenant, que le message était passé, ou, plutôt, qu’un message était passé. Quant à savoir si c’était le bon, ça... Eh bien, seul l’avenir le dira. En attendant, Maria approcha encore son gode, qui appuya contre les fesses d’Andy, et soupira encore, puis força en avant, en grognant, bandant ses muscles...

Et le gode s’enfonça en lui. Un gémissement traversa les lèvres de Maria, qui soupira ensuite. C’était la première fois que quelque chose s’enfonçait dans le cul de son fils, et, même si elle avait veillé à le préparer auparavant, ce dernier était encore très dur, avec des parois qui ne se dilataient pas facilement. Elle soupira donc, se mordillant encore les lèvres, et, constatant qu’elle n’arrivait pas à s’enfoncer, se recula, tout en réfléchissant brièvement.

*Ma parole, mais comment fait-il quand il me prend ?*

Est-ce qu’elle n’était pas assez puissante ? Elle avait pourtant senti le bout de sa verge artificielle heurter la peau, s’enfonçant contre le trou rose, heurtant l’anus, l’extrême bout s’enfonçant, mais le reste bloquait... Alors, elle y retourna, et grogna, bandant, et poussant fort, serrant ses mains sur ses hanches, crispant son visage dans un rictus d’effort... Puis repartit en arrière, et donna un nouveau coup, fort, en avant. Les bandes et les chaînes retenant Andy se mirent à gémir, cliquetant sur place, tandis qu’elle repartait encore, donnant des coups de reins supplémentaires, en sentant la sueur commencer à couler le long de son visage.

« Dieu, t’as... T’as un de ces culs ! »

Dur de s’y enfoncer, mais, en un sens, c’était aussi ça qui rendait la scène excitante, car l’effort physique déployé augmentait son adrénaline, et, tandis qu’elle sentait, peu à peu, ce cul se dilater, Maria commençait à sentir un plaisir exquis se diffuser dans son corps.

« Haaa... An... Andy, hmm... ! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le samedi 18 mars 2017, 11:54:15
Lorsque Andy sentit le sexe de silicone presser sur sa corolle vierge, il grogna de défiance, autant que d'impatience. Soudain, Maria poussa vers l'avant, investissant son anus, le faisait hoqueter de surprise et de douleur « Ahh... ! ». Mais le blondinet se mordit la lèvre inférieure jusqu'au sang pour ne pas crier. Soumis ou pas, il restait un homme... Et un homme ne chialait pas, même lorsqu'il en avait très envie. Pour Maria, la tâche n'était pas facile. Si le jeune homme s'était offert volontairement, il n'en restait pas moins terrifié et terriblement crispé. Quant au jeune homme, il pleurait silencieusement, souffrant comme jamais. Les larmes ruisselaient sur ses joues encore rebondies, et il serrait les dents chaque fois que le bassin de sa mère heurtait son cul musclé, enfouissant son pal au fond de son rectum. Sa grosse queue, légèrement débandée à présent, rebondissait sur son ventre glabre. Comment Maria pouvait-t-elle prendre un tel plaisir à se faire défoncer le cul ? C'était... Proprement inhumain. Ce dont Andy ne se rendait pas vraiment compte, c'est que petit à petit il se relâchait, permettant à sa mère de le pénétrer plus aisément. Et à mesure qu'il se relâchait, la douleur s'atténuait un peu, pour laisser place à une étrange sensation de chaleur, qui s'épanouissait dans son bas ventre. « Hu... », hoqueta-il, alors qu'un premier frisson de plaisir lui parcourut l'échine dorsale. « Att...Attends », grogna-il, presque paniqué devant l'étrangeté des sensations nouvelles qui l'assaillait.

Ses jambes athlétiques commençaient à trembler et son vit se gorgeait à nouveau de sang, tandis-ce que chaque nouvelle pénétration lui arrachait un long soupir. Bientôt, il commença à sentir le frottement du gode sur sa prostate gonflée. Cette esquisse sensation, ajoutée à celle de se faire remplir eut raison de ses dernières résistances et, chose extraordinaire, il commença lui-même à onduler du bassin, accueillant presque avec gourmandise cette grosse queue rigide.

« Mom' c'est bon maintenant... Je...Je me sens bizarre...Ahh... »

Soudain, Andy lâcha prise. Ses dernière barrières morales s’effondrèrent et il se laissa aller à apprécier l'épaisseur de cette verge qui coulissait à présent aisément dans son anus dilaté. Cela faisait-il de lui un pervers ? Un pédé ? Il n'en savait fichtre rien et s'en moquait éperdument, à présent. Un rapide regard derrière son épaule lui montra son adorable mère en nage crispée par l'effort. Ses gros seins se soulevaient à chaque coup de butoi mais son corps svelte et athlétique était tendu par l'effort. Andy avait toujours connu sa mère douce et avenante, il la découvrait à présent déchaînée et... Elle était terriblement bandante.

« Mère indigne », hoqueta-il, pour l’aiguillonner. « Enculer son propre fils de la... sorte... Tu es odieuse », persifla-il, assaillit par des ondes de plaisir. Andy et Maria avaient pour habitude se se rappeler mutuellement pendant leurs ébats à quels points ils étaient pervers et immoraux, ce qui décuplait le plaisir de leurs amours indignes. « Encule-moi, plus fort », grogna-il d'une voix moins assurée qu'il ne le pensait. Fébrile, le jeune homme était sur le point de jouir... Et il sentait que l'orgasme qui allait le foudroyer risquait d'être terrible.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 19 mars 2017, 18:33:32
Cette nouvelle facette de la personnalité de Maria était aussi surprenante que bienvenue. Elle avait toujours été empreinte de douceur et d’amour, essayant d’élever son fils au mieux, sans être trop autoritaire, ni trop conciliante pour autant. Dans les faits, elle avait surtout été conciliante. Elle faisait des crêpes et des gâteaux le Dimanche, et s’était longuement dévouée à faire plaisir à son fils. Puisqu’elle n’avait pas réussi à trouver le bonheur en amour, elle l’avait trouvé en élevant son fils, et en accomplissant fièrement son rôle de mère, dans tout ce que cela impliquait. Il était donc difficile de retrouver cette femme dans celle qui, dans sa tenue de cuir, sodomisait durement les fesses de son fils, ce même fils qu’elle avait si souvent tenu entre ses bras, allaité généreusement, essuyé ses larmes… Elle qui l’avait aidé à faire ses devoirs de mathématiques, lui avait appris à se coiffer, à faire la cuisine, l’avait regardé gagner des matchs de base-ball… Et qui, maintenant, l’enculait sèchement, en y sentant un indéniable et sauvage plaisir.

Maria était paradoxale, à l’image, finalement, de l’être humain. C’était comme si toute sa douceur n’avait été que l’arbre cachant la forêt de sa passion. Ils avaient pu ébrécher l’image de sainteté de Maria, révéler, sous le masque doré, les craquelures de sa luxure. Maria avait sombré, et atteignait maintenant un stade supplémentaire de leur relation perverse et incestueuse. Son gode remuait dans le cul de son fils, écartant peu à peu les parois, les dilatant.

« Haaaaa… Hmmmmm… »

Là, il ne s’agissait même plus vraiment de punir. C’était l’excuse qu’elle pouvait se fournir, le mensonge qu’elle utiliserait pour tenter de justifier ce qu’elle faisait. Non, là, elle prenait juste son pied. Pour autant, le rôle qu’elle s’était instituée se rappela à elle quand, au milieu des coups de reins, Andy revint la narguer. Elle sourit alors, retenant son souffle, avant de s’immobiliser, son gode planté en profondeur en lui, sa main venant gifler le cul musclé de son fils.

« Ma parole… Je viens te dresser, et tu continues à me narguer ?! Quand comprendras-tu que tu ne t’adresses pas à ta mère ici… Je suis ta Maîtresse ! »

C’était un masque, et elle s’épanouissait dans ce rôle, comme Peter Parker gagnant en liberté et en assurance sous les traits de Spider-Man. Elle, elle se libérait, ayant une posture plus décomplexée, plus ferme, plus sûre. Elle reprit alors ses coups de reins, grognant, soupirant, griffant la peau de son fils, le giflant, s’habituant peu à peu à ce rythme, et y trouvant là une importante source de plaisir. Les chaînes cliquetaient, accompagnant les bruits de claquement quand la chair heurtait la chair.

Maria mouillait contre sa culotte. Andy ne le savait pas, mais la culotte qu’elle avait mise était dotée de vibromasseurs, orientés vers l’intérieur, qui permettaient ainsi de partager le plaisir. Et ces petits appareils remuaient en elle. Elle enclencha également la fonction vibrante du gode principal, celui qui était occupé à défoncer son fils, et sentit ce dernier remuer en lui, tourbillonnant sur place, heurtant les parois anales du jeune homme.

« Haaaaa… Hmmmm… Voilà ce qui se passe, Andy, quand on manque de respect à sa Maman, et qu’on ne l’écoute pas… Elle devient une Maîtresse, et… Mmmhmmm… Elle te punit ! »

Elle ne le voyait pas encore, mais, si elle avait pu observer la trique dure de son fils, elle aurait pu avoir des doutes sur l’efficacité de la punition. Mais, après tout, l’idée n’avait jamais été, vraiment, de punir son fils. Ils étaient en train de franchir une étape supplémentaire dans leur plaisir pervers. De fait, elle finit malgré tout par se pencher davantage, et tira sur un drap situé devant eux, révélant un miroir, ce qui leur permit de voir leurs reflets, mais aussi à Maria de voir la queue de son fils.

Un sourire ravi se dessina sur ses lèvres.

« Eh bien… On dirait que tu aimes bien être mon petit chien, claironna-t-elle. Ta queue, en tout cas, adore… »

Elle se pencha à nouveau, de manière à pouvoir attraper la verge d’Andy entre ses doigts, et commença à la masturber…

« Ta Maman te masturbe… »

Sa main serra alors le gros chibre de son fils, le serra fort, et elle le tira vers l’arrière, tout en venant lécher le lobe de son oreille, et le mordre.

« …Ta Maîtresse te bat ! »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 28 mars 2017, 11:44:10
Andy avait toujours été une grande gueule. Dans ses rapports sociaux, s'il n'était pas systématiquement l'alpha, il savait se faire respecter, y compris par la force lorsque les circonstances l'exigeaient. Plutôt dissipé en cours, il ne reconnaissait réellement l'autorité de personne. Lorsqu'il consentait à se comporter correctement, il estimait faire une fleur à ses professeurs. Sa relation avec Maria n'avait pas échappé à la règle. Grisé par leur relation incestueuse, il avait tenté d'abolir l'ascendant naturel de sa mère sur lui... Et il était presque parvenu. Mais aujourd'hui, le corps secoué de spasmes de plaisir, un gode coulissant brutalement dans son rectum, le jeune homme se rendait compte qu'il avait tenté de briser l'ordre naturel des choses et qu'il en subissait à présent les conséquences. Conséquences à la fois douloureuses et... terriblement jouissives.

« Par...Pardon maîtresse, j'ai été impoli...Hum... »

Lorsque sa mère dévoila le miroir qui se tenait devant eux, Andy écarquilla les yeux, rougissant à son propre reflet, et à la position scandaleuse dans laquelle il se trouvait. Maria, aussi fière qu'une impératrice, l'enculait vigoureusement, faisant ballotter sa grosse trique juteuse d'avant en arrière. Le fessant et le griffant sans vergogne, elle coulissait à présent aisément dans son cul, l'écartelant toujours davantage, le punissant à la hauteur de ses fautes. Hors de lui, le jeune homme profitait de la mince liberté de mouvement que lui offrait ses entraves pour reculer ses fesses musclées contre les hanches de sa maîtresse, s’empalant consciencieusement sur le gode.  Soudain, Maria s'écrasa dans son dos pour saisir sa grosse verge entre ses doigts fuselés et... Commencer à le branler, écrasant sans pitié sa hampe boursouflée, ses lèvres entrouvertes tout contre son oreille. C'en était bien trop pour le jeune homme. Au faîte du plaisir, un grognement rauque s'échappa de ses lèvres alors que sa grosse trique frémit dans la main de sa mère, avant d'expulser une quantité invraisemblable de foutre brûlant, souillant le sol, son propre torse et les doigts serrés de sa mère.

« Aaaaaaah....Mom… »

Son éjaculation lui sembla durer une éternité. Éternité pendant laquelle il fut agité de violents soubresauts, son corps athlétique tendu comme la corde d'un arc. Puis il fut pris d'un violent vertige et retomba vers l'avant, presque inerte, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, le souffle court ; l'orgasme avait été fulgurant. En nage, le regard vitreux, presque indifférent à la verge encore fichée dans son anus violenté, le jeune homme, incrédule avisa les longues giclées de foutre qui souillaient le sol de la cave. Il ne se souvenait pas avoir déjà juté autant dans sa courte existence.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 03 avril 2017, 00:09:30
Quand avait-elle franchi autant le point de non-retour ? Quand est-ce qu’elle était devenue la femme qu’elle était actuellement ? Cette perverse qui labourait le corps de son fils ? Et qui prenait littéralement son pied ! Maria ne se retenait plus, elle sodomisait brutalement sa chair, tout en continuant à le masturber. Et, le pire, c’était que son fils adorait ça. Impossible de le nier quand on avait une telle érection ! Il adorait sentir la violence de sa mère, cette autorité inébranlable qui s’exprimait à travers le sexe, et dont le but était de ramener son fils à de plus justes proportions à son égard. Elle continuait donc à le prendre, sans ménagement, tout en approchant de l’orgasme. Elle connaissait son fils, elle savait quand il était sur le point de craquer...

...Et il craqua.

Son corps se relâcha brusquement, Andy se trémoussa sur place, et relâcha d’épaisses quantités de foutre, jouissant abondamment sur le sol, se tortillant sur place, faisant cliqueter toutes les chaînes. Maria, elle, était plaquée dans son dos, de sorte que son gode s’enfonçait jusqu’à la garde dans sa croupe, ne le ménageant guère.

« Oohhhh... »

Elle se redressa finalement, et s’écarta, retirant son gode du beau cul de son fils, pour observer le travail. Il y avait du foutre partout autour de l’homme, y compris sur la main de Maria, celle qui avait tenu le manche pendant la manœuvre. Loin d’en être choquée, elle souriait, au contraire, avec une lueur profondément malicieuse dans la prunelle de ses yeux.

*Ça a marché ! Ça a vraiment marché !*

Du moins, c’était le sentiment qu’elle avait. Elle venait de torturer son fils, de le violer, mais Andy avait fini par adorer ça. De cela, Maria était sûre. Jusqu’à quel point est-ce que cela garantirait son autorité ? N’y avait-il pas le risque que, finalement, Andy joue volontairement au mauvais garçon pour avoir sa punition ?

*Oui, bien sûr, mais au moins saura-t-il alors qu’il a franchi les limites...*

Maria n’avait aucun précédent, à sa connaissance, pour savoir si elle prenait les bonnes décisions. De fait, dès qu’elle s’était engagée dans une relation incestueuse avec son fils, elle s’était placée en-dehors de la morale et des faits admis par la société. Elle s’était mise hors des rails, et devait maintenant apprendre à gérer ce qu’elle avait fait toute seule. Elle goûtait à ce frisson de luxure, qui était comme une roue, continuant à croître en elle, en appelant toujours plus.

Pour autant, il restait encore à Maria une ultime étape à faire, une ultime vérification à effectuer. Se raclant la gorge, elle reprit :

« Eh bien, tu as beaucoup joui, Andy... Est-ce que tu as compris la leçon, maintenant ? Que tu dois obéissance à ta Maîtresse ? »

Elle se rapprocha de lui, et murmura dans le creux de son oreille :

« Par contre, tu peux baiser ta mère autant que tu veux, petit monstre... »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le samedi 05 août 2017, 08:59:16
Humilié, le ventre couvert de son propre foutre, les chairs tièdes et meurtries, Andy avait promis une obéissance sans bornes à Maîtresse Maria. Après cette punition amplement méritée, sa mère l’avait autorisé à l’enculer à son tour et il ne s’était pas fait prier.
 
Curieusement, cette expérience les avait encore rapproché, et avait permis à sa mère de mieux s’imposer auprès de lui. Dorénavant, lorsqu’elle lui ordonnait quelque chose, Maria n’avait plus besoin de revêtir sa tenue de cuir pour se faire obéir… Ce qu’elle faisait toutefois de temps à autre pour varier les plaisirs. Et Andy aimait autant coucher avec la douce Maria, qui acceptait d’autant plus de se faire prendre sans ménagement par son vigoureux garçon en se faisant copieusement, que l’instant d’après elle pouvait lui demander de lui lécher les pieds. Bref, à la fois mère et amante, maîtresse et soumise, Maria était la seule et unique femme de sa vie. Toutefois, cet état de fait devait quelque peu évoluer dans les semaines à venir.
 
Il y avait dans la classe d’Andy, une jolie blonde prénommée Ashley (http://orig05.deviantart.net/da4a/f/2010/349/1/6/wom_study_by_kashivan-d34xl9f.jpg). Ashley Duncan était issue d’une famille particulièrement riche, même pour le gratin de l’école. Son arrière-grand-père et son grand-père avaient respectivement exercé des positions politique et juridique parmi les plus prestigieuses et son père dirigeait une entreprise en assurance qui fonctionnait à merveille. Ashley avait donc absolument tout ce qu’elle voulait. Vêtements, bijoux limousine, garçons… Elle n’avait pas un mauvais fond, mais il lui arrivait fréquemment de se comporter en garce capricieuse, même si elle le regrettait souvent ensuite. Elle sortait généralement avec des garçons de bonne famille et ignorait royalement ceux qui étaient de basse extraction…Comme Andy.

A vrai dire, Andy – même si les filles s’accordaient en général pour dire qu’il était plutôt mignon – était l’un de seuls élèves de sa classe à ne pas être d’extraction grande-bourgeoise. Aussi était-il souvent l’objet de moqueries plus ou moins discrètes. La plus véhémente était naturellement Ashley, qui n’hésitait pas à le traiter de clochard et accréditait publiquement l’idée que Maria avait couché avec le proviseur pour qu’Andy puisse intégrer le lycée. Aussi Andy la détestait-il cordialement. Dans le même temps il éprouvait une attirance très forte pour son corps d’ado athlétique – la petite faisait du tennis-. La blondeur de ses cheveux, son impulsivité et la forme de sa poitrine – petite mais haut-perchée contrastaient énormément avec Maria, mais si mère avait naturellement la première place dans son cœur, il mourrait d’envie de culbuter brutalement cette petite effrontée. Ce qu’il ignorait, c’est qu’Ashley éprouvait des sentiments assez proches des siens à son endroit ; d’un côté elle le méprisait réellement, de l’autre, elle rêvait qu’il la coince un jour ou l’autre pour lui faire payer sa mesquinerie.
 
Andy et Maria en avaient discuté plusieurs fois – depuis que Maria lui avait montré qui commandait à la maison, Andy se confiait plus souvent à elle, et Maria affirma que la jeune femme méritait une punition exemplaire… Par extraordinaire, Maria avait connu Valentina Duncan à un club d’écriture vingt ans plus tôt, et s’étaient très bien entendues, même si elles avaient perdu contact. Andy ne sut pas exactement comment Maria avait procédé, mais un beau soir, en plein milieu du repas, Maria lui annonça que le lendemain – dimanche- Ashley viendrait prendre le thé chez eux. Le lendemain, Maria s’était faite belle, et avait forcé Andy à faire de même. Il portait une chemise qu’il sortait trois fois l’an du placard et un pantalon en laine mérinos. Il s’était même vaguement coiffé. D’un air morne, il surfait sur son téléphone, alors que sa mère préparait la table. Qu’avait-elle besoin de faire autant de chichis pour cette petite conne d’Ashley, puisque de toute façon, elle allait finir à quatre pattes… Du moins l’espérait-il ! En effet, Andy n’avait pas encore développé un goût très raffiné de la luxure...

Lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit, le jeune homme haussa un sourcil  mais dédaigna de se lever pour aller accueillir sa petite camarade, laissant sa mère s’en occuper.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 06 août 2017, 14:54:20
Plusieurs jours après...

« Franchement, Maria, vous devriez faire attention...
 -  Comment ça, Jerry ?
 -  Ce premier chapitre que vous m’avez envoyé, là... Vous voulez vraiment lancer une nouvelle série ? Parce que Béatrice Harper & Nina Troy, ça marche du tonnerre, et je...
 -  Vous n’avez pas aimé ce premier jet ?! »

Pointe d’angoisse subite. Ses doigts se crispèrent sur son iPhone. En quelques jours, elle avait écrit un premier chapitre d’une toute nouvelle histoire, et l’avait envoyé par mail à son éditeur, la seule personne au monde à savoir que Maria Dawson, son pseudonyme, était en réalité Anna Loveclair.

« Hein ? Vous rigolez ? C’était... Waaw, je dois vous admettre que je me suis masturbé comme un gros porc en le lisant, j’ai même dû m’y reprendre à plusieurs reprises ! Franchement, Maria, vous avez un talent fou, et cette histoire, là... Ça peut aller très loin !
 -  Oh...
 -  C’est le genre de trucs qui font toujours un scandale dans notre bonne société puritaine... L’inceste, c’est du sérieux, mais votre histoire... Elle est vraiment excellente. »

Maria se pinça les lèvres en souriant, rougissant légèrement. Raconter les aventures de Béatrice et de Nina, ça ne la tentait plus. En revanche, elle avait envie de coucher par écrit une version romancée (ou presque pas) de ce qu’elle vivait avec son fils, couchant ainsi par écrit tous les sentiments contradictoires qu’elle ressentait, puisqu’elle était à la fois horrifiée par cette relation très incestueuse... Et en même temps très excitée. Dans son histoire, elle pouvait exprimer les sentiments contradictoires que ça lui inspirait. Et Jerry aimait ça, car, à sa manière, Maria justifiait la relation incestueuse. De quoi créer des scandales à répétition, ce que les éditeurs adoraient, car on parlait de leurs livres.

En l’occurrence, Maria avait avec son fils une relation intense et fusionnelle. Sa technique de « Maîtresse » Maria avait fonctionné à la perfection, parvenant à calmer les ardeurs d’Andy... Sans pour autant que leur vie sexuelle ne diminue. Ils n’arrêtaient pas de baiser, copieusement, et diversifiaient maintenant leurs expériences avec du sadomasochisme. Le fait est que son fils s’avérait, malgré ses beaux muscles, être un bon masochiste... Et, elle, Maria, prenait de plus en plus goût au fait d’être une « Maîtresse »...

Ashley allait donc être leur proie. Pendant que Maria était sous sa forme dominatrice, et qu’elle masturbait son fils, il lui avait parlé de cette fille. Une bourgeoise, belle, mais cassante, et qui, cependant, était assez attirée par Andy. Elle s’était déjà moquée de lui, cherchant à faire l’intéressante, et Ashley y avait vu l’occasion d’agir sérieusement contre elle. Elle avait longuement pesé le pour et le contre, avant de finir par ordonner ce plan.

La soirée allait être très spéciale, et, après sa conversation avec Jerry, Maria vérifia une ultime fois toutes les étapes de leur plan, puis entreprit de se changer. Elle alla ensuite voir son fils... Dans une magnifique robe noire en cuir (http://img110.xooimage.com/files/2/7/8/soleil-black-leather-dress-52b9503.jpg), qui lui allait à la perfection, et l’observa dans son costume. Elle l’aida à finir son nœud de cravate, avant de l’embrasser.

« Ne t’inquiète pas, mon chéri, tout va très bien se passer ce soir... »

Ce dernier baiser, juste avant qu’Ashley ne sonne à la porte, lui permit néanmoins de constater que son fils avait déjà une érection. Elle alla ouvrir à Ashley la porte de l’immeuble en appuyant sur le bouton de l’interphone, puis s’agenouilla, et ouvrit son pantalon, faisant sortir son gros membre.

« Là, voilà... »

Elle le suça donc, pompant son dard, sa grosse queue qui lui faisait tant envie. Il se débattit un peu, pendant que, dehors, Ashley avait rejoint leur palier, et sonnait à la porte... Mais rien n’arrêterait Maria tant que son fils ne jouisse pas, ce que ce dernier finit heureusement par faire. Maria se releva alors, en souriant.

« Voilà pour calmer ta grosse soif, ma chérie... Ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion de me baiser dans ma robe. »

C’était la première fois qu’elle l’enfilait, après tout, et elle était flattée de voir que, non seulement elle lui allait bien, mais elle excitait aussi sensiblement son fils ! Elle ouvrit ensuite la porte, et fit un ravissant sourire à Ashley.

« Bonsoir, Ashley ! Je t’en prie, entre ! »

Elle lui fit un grand sourire, pendant qu’Ashley louchait très furtivement sur son décolleté, avant de sourire en retour, sans se douter du geste qui avait eu lieu il y a à peine quelques secondess.

« Merci pour cette soirée, Madame Dawson... Et salut, Andy ! Tu t’es mis sur ton trente-et-un, ce costume te va très bien ! »

Ashley avait, pour sa part, enfilé une élégante robe noire (http://img110.xooimage.com/files/2/f/7/00w039654a-52cee8d.jpg), et très moulante aussi...

De quoi offrir à Andy une longue soirée en perspective !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 08 août 2017, 12:26:58
Lorsque la sonnette retentit, Andy avait le nez sur l’écran de son téléphone portable, qui affichait le jeu « clash of clan », sur lequel il passait beaucoup – trop – de temps ces derniers jours. Mais il oublié bien vite sa distraction du moment lorsque Maria sortit de la salle de bain. Elle portait une robe scandaleuse, à la limite de l’indécence, mais que son élégance naturelle et son port altier rendait seyante. Elle moulait ses belles fesses bombées, et cette généreuse poitrine dont Andy aimait tant martyriser les tétins.

« Maman, tu es magnifique », souffla-il, sincèrement, alors que sa mère remettait en place le nœud papillon qu’il avait maladroitement tenter de nouer autour de son cou. Agacé, le jeune homme pinça les lèvres et remonta le menton pour lui faciliter la tâche. Pourquoi diable avait-il besoin de se mettre sur son trente et un ? Ça n’était qu’un thé ! Lorsque maria l’embrassa toutefois, son agacement se mua immédiatement en excitation et ses doigts s’égarèrent sur la croupe de sa mère. « Hum… »

Puis celle-ci s’éloigna, afin d’aller ouvrir à Ashley. Andy la suivit tranquillement, composant un sourire de façade. Malgré son enthousiasme lorsqu’il baisait sa mère, et les mots fleuris qui franchissaient alors ses lèvres, Andy restait au quotidien, un garçon réservé, sensible au regard des autres. Ashley va sûrement me trouver ridicule, songea-il, en se mordant la lèvre inférieure. Maria du percevoir son appréhension, puisqu’elle le rassura en souriant. Il ne connaissait le plan de la jeune femme que dans ses tenants et aboutissants – amener la blondinette à coucher avec eux deux -, mais il lui faisait entièrement confiance. Sous ses dehors de housewife polie et sexy, Andy savait que sa mère était très intelligente… Mais aussi une incorrigible chienne. S’accroupissant sur ses hauts talons, Maria libéra sa grosse queue pulsante et goba avidement son gland violacé entre ses lèvres entrouvertes.

« M’man, arrête, pas maintenant ! Elle va arriver ! »
protesta le jeune homme, dont le cœur s’emballait. « Ooh… » La tête lui tournait. Il entendait le pas tranquille d’Ashley dans les escaliers, alors que sa mère le suçait, sans chercher à dissimuler d’obscènes bruits de succion. Andy cessa de résister. Attrapant les cheveux de jais de sa mère entre ses doigts, il ondula du bassin, envoyant ses couilles percuter le menton de sa mère. « Mhh hmm… », grogna-il, alors que l’orgasme s’approchait déjà, fulgurant. Un instant plus tard il s’appuyait contre la porte d’entrée en haletant, remplissant la bouche de Maria de son foutre épais, au moment où Ashley appuyait sur la sonnette. Maria se redressa rapidement et le reboutonna, avant de lui promettre mont et merveille. « J’espère bien, grogna-il », en s’efforçant de se remettre de ses émotions.
Ce fut donc un Andy au regard un peu halluciné, mais d’une élégance rare, que découvrir la jeune Ashley, qui ne l’était pas moins. « Ash tu… Toi aussi… cette robe te vas super bien ! » Bien mieux que l’uniforme du lycée en effet. Andy n’avait jamais vu Ashley autrement qu’en jupe, chemiser et longues chaussettes blanches…Cette petite robe lui donnait un air plus mature qui n’était pas pour lui déplaire. Un peu gêné, Andy regarda le bout de ses chaussures et… Son cœur fit un bond. Sur le parquet ciré, entre Andy et Ashley, se trouvait une petite tâche de sperme encore liquide, qui avait dû couler des lèvres de sa mère, sans qu’elle ne s’en rende compte. « Ahh. », laissa-il échapper, en reculant d’un pas. La lycéenne s’en était-elle rendu compte ? Visiblement pas, puisque sur invitation de Maria, elle pénétra chez eux, jetant des coups d’œil curieux à droite et à gauche.

« Heuu, on va passer au salon, Ash », reprit Andy, qui s’improvisait hôte pour éloigner le plus rapidement possible la jeune femme de l’entrée. Andy et Maria ne vivait pas dans un palace, c’était certain ! Mais grâce à ses livres, sa mère dégageaient des revenus de plus en plus confortables qui lui avait permis de faire ré-décorer la maison dans un style épuré et élégant. Dans le couloir qu’ils traversèrent, plusieurs reproductions d’estampes se faisaient face, et Andy vit la jeune femme rougir vivement, lorsqu’ils dépassèrent un tableau érotique. Finalement le trio, emmené par le jeune sportif déboucha dans le salon, et s’installa autour de la table basse sur lequel un service à thé fumant avait été déposé. Andy gêné, s’efforçait de pas regarder trop longtemps Ashley, non plus que sa mère pour ne pas que la blondinette ne soupçonne quelque chose d’étrange. Malgré lui, il ne put s’empêcher d’échanger un regard complice avec Maria. Ah, si la lycéenne savait que cette maman modèle venait d’avaler son foutre !

Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 08 août 2017, 23:38:40
Le trio rejoignit donc le salon, Maria fermant la marche. Elle aperçut sur le départ une petite trace sur le sol, et sourit, comprenant la gêne d’Andy. C’était amusant de le voir si violent avec elle, si puissant, et si timide avec les autres, si nerveux. Ashley l’inquiétait, tout en l’excitant aussi. Il avait envie de coucher avec elle, et Maria aussi... Dans le dos de la femme, elle put voir sa chute de reins, et sourit, commençant toutefois à réaliser qu’elle était en train de risquer de perdre le contrôle. N’allaient-ils pas trop loin, en effet ? Est-ce qu’Ashley n’allait pas s’affoler ? Mais, après tout, elle avait bien accepté un dîner en compagnie de la mère d’Andy.

*Et puis, Andy est convaincu qu’elle l’aime...*

Pour quelle autre raison serait-elle venue ici ? Le regard de la jeune femme se posa sur les tableaux du couloir, notamment sur un tableau érotique (http://orig09.deviantart.net/753d/f/2016/336/f/e/calendar_cover_maybe____by_shiniez-daqboa1.jpg). Rien de bien choquant, bien sûr, mais on put voir des gants en latex, et des combinaisons qu’on n’oserait pas sortir en public. Le regard d’Ashley s’attarda brièvement dessus, et elle rougit légèrement, avant de s’asseoir à table.

Le regard d’Andy croisa brièvement celui de sa mère, qui sourit encore. Avec sa robe en cuir et ses longs gants noirs, elle avait tout d’une dominatrice en puissance.

« Andy tenait beaucoup à cette soirée, Ashley...
 -  Ah bon ? sembla s’étonner cette dernière.
 -  Oui... Andy parle beaucoup de toi, en réalité, mais... Le fait est qu’il est un peu timide avec les filles.
 -  Oh... C’est bien ce qu’il me semblait !
 -  Et, puisque c’est l’homme de la maison, je compte sur lui pour aller chercher les apéritifs. »

Maria sourit à son fils, qui fila donc rapidement, bien conscient qu’il pouvait entièrement faire confiance à sa mère... Même si elle allait avoir besoin de lui. Assise face à Ashley, elle vit le regard de cette dernière glisser brièvement sur son décolleté, puis ses joues s’empourprèrent.

« Vous... Euh... Vous avez vraiment une belle robe, Ma... Madame...
 -  Oh, je t’en prie, tu peux m’appeler Maria, tu sais... »

La jeune femme hocha la tête, en se mordillant les lèvres. Maria devait bien reconnaître qu’elle était très belle.

« Andy m’a dit que tu venais d’une famille assez aisée...
 -  Oui... Enfin... Disons que c’est compliqué.
 -  Ton père, c’est John Duncan, non ? Le gérant d’une entreprise d’assurance récente, non ?
 -  Ouais... Enfin... »

Maria savait que cette société était très critiquée, et risquait en ce moment une class action pour pratiques commerciales agressives et démarchage contre les personnes âgées. L’entreprise de John Duncan, Protecting Wealth Insurance, PWI, s’était spécialisée dans la vente à distance de mutuelles pour personnes âgées, par le biais de démarchage téléphonique. Maria savait que les associations de défense des consommateurs avaient beaucoup d’adhérents protestant contre les mutuelles foireuses de PWI, et un cabinet d’avocat était en train de prévoir une action de groupe. Mais tout ça, Ashley n’avait guère envie d’en parler. Certes, son père avait de l’argent, mais il vivait surtout à crédit.

« En tout cas, j’espère que ma présence ne te dérange pas. Je m’en voudrais de briser ton rendez-vous galant avec Andy...
 -  Ce... Euh...
 -  C’est bien pour ça que tu es venue, non ? Mais, rassure-toi, je vais vous laisser seuls. C’est juste que... Tu vois, j’ai éduqué seule Andy, et je sais comment il fonctionne. Il veut toujours que je sois là en début de soirée, ça le rassure. Mais ne t’en fais pas, je vous laisserais seuls, je ne veux pas m’imposer ! »

Maria avait envisagé divers scénarii et plusieurs moyens d’approche, mais... En ce moment, il fallait surtout improviser !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 11 août 2017, 19:52:58
« M’man, enfin ! »

Andy rougit à son tour. Il savait que Maria ne se moquait pas seulement de lui pour l’asticoter…Même s’il nourrissait quelques doutes à ce propos. Lui timide ? Bon d’accord, probablement un petit peu…Mais pas lorsqu’il baisait sauvagement Maria en tout cas, ce qu’il lui communiqua par un regard appuyé sur son décolleté, à l’insu d’Ashley, qui s’installait sur un fauteuil.

« D’accord, j’y vais, j’y vais… »

Le jeune homme quitta la pièce pour se rendre dans la cuisine. Il s’empara d’un plateau, sur lequel il disposa trois verres et plusieurs bouteilles d’alcool, après quoi il se rapprocha en catimini de la salle à manger, prêtant l’oreille. Contrairement à lui, sa mère avait toujours été très à l’aise pour mener une conversation. Ashley, une fille pourtant populaire et habituée à côtoyer beaucoup de monde paraissait timide auprès d’elle. Cette dernière ne semblait pas très encline à parler de sa vie de famille. Au lycée, le bruit courrait que malgré tous les présents dont il la gâtait, la jeune fille avait une relation très conflictuelle avec son père, et qu’elle avait même quitté le domicile familial plusieurs fois.

Hum.

Andy leva les yeux au ciel lorsque sa mère évoqua à nouveau sa timidité. Pour qui diable le faisait-elle passer ! Mais en même temps… Elle n’avait pas tort, puisqu’Andy n’aurait jamais osé inviter la belle Ashley à sortir, sans l’aide de Maria. Se raclant la gorge, le jeune homme traversa la pièce avec son plateau, qu’il posa avec précaution sur la table basse, avant de retourner s’asseoir à côté de sa mère, sur le canapé…Celui-là même qui accueillait régulièrement leurs fougueux ébats. Quant à Ashley, toujours intimidée, elle se trouvait de l’autre côté de la table basse, sur un fauteuil en cuir, une jambe posée sur l’autre, ce qui faisait remonter sa petite robe noire sur ses cuisses. Surprenant le regard d’Andy, cette fois elle le soutint une bonne seconde, avant de s’emparer de l’un des trois verres.

« Je t’ai pas vu au lycée, la semaine dernière… Tiffany m’a dit que tu étais malade. J’espère que tu t’es bien remise en tout cas. »   

Il hésita à dire qu’elle lui avait manqué, mais trouva la formulation un peu ridicule. Il essaya d’en trouver une autre, mais n’y parvint pas. Rajustant sa position sur le canapé, son genou rencontra la cuisse nue de Maria. Trop habitué à ces contacts pour ne pas oublier qu’ils étaient suspects, il la tapota gentiment, appréciant la tiédeur de sa peau.

« Enfin bref, je suis content que tu sois venue… Oh tu sais, il faudra que je te montre mon mouchoir dédicacé par Pete Rose ! C’est Mom qui l’a rencontré dans l’avion… mais elle n’avait qu’un mouchoir en soie, du coup c’est là-dessus qu’il a signé… Quant Tom a vu ça, il était vert de rage ! »


Comme d’accoutumée, quand Andy était stressé, il racontait n’importe quoi. « Tom » était le dernier petit copain en date d’Ashley et leur relation s’était plutôt mal terminée, puisque ce dernier s’était amusé à envoyer les photos érotiques de la jeune femme à tout son entourage plus ou moins lointain, en disant à qui voulait l’entendre, qu’Ashley était une salope. Mais contre toute attente, Ashley lui adressa un léger sourire, alors qu’elle se détendait un peu, décroisant les jambes, offrant involontairement à Andy et Maria une fugace vision de sa culotte en dentelle – noire naturellement. Andy échangea un coup d’œil discret avec sa mère, qui n’avait évidemment rien manqué du spectacle.

Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 15 août 2017, 02:41:21
« Et Tiffany m’a dit que tu lui en avais parlé. »

Visiblement, discuter avec Maria ne semblait pas déranger Ashley plus que ça. Pourtant, la jeune femme aurait tout à fait compris qu’elle puisse être embarrassée à l’idée d’être en rendez-vous galant avec la mère de son potentiel petit-ami. En fait… C’était vraiment le scénario typique du Tanguy nerveux, incapable de parler à une fille sans l’aide de sa mère. Le cas typique du trentenaire qui restait à la maison parce qu’il avait peur de sortir… Mais, dans leur cas, c’était un peu plus compliqué que ça. Maria hésitait, en réalité. Devait-elle partir, les laisser discuter, et revenir ensuite ? Ou rester là ? Ashley avait une vie difficile. Elle était belle, et avait l’habitude de s’habiller de manière provocante. Maria avait vu son Instagram, justement suite à son aventure avec Tom, et elle avait rapidement compris qu’Ashley manquait d’affection chez elle. Son père ne la battait sûrement pas, mais, avec les activités en difficulté de son entreprise, il avait moins de temps à lui consacrer.

*Peut-être est-ce pour ça qu’elle accepte aussi facilement ma présence…*

Tiffany était la meilleure amie d’Ashley. Elles se connaissaient depuis l’enfance, toutes les deux. Et Ashley avait été absente pendant toute une semaine, suite à l’épisode douloureux avec Tom. Tiffany en avait longuement parlé à  Andy, comme si elle savait que son fils était un garçon de confiance, quelqu’un qui respectait les femmes. Tom était le quaterback du lycée. Très populaire, il souffrait aussi d’un grand manque de confiance en lui, en raison de ses mauvaises notes, et était, en conséquence, un garçon violent et jaloux, possessif. Il avait parfois giflé Ashley quand il s’énervait, et, même s’il s’excusait sans arrêt après elle, Ashley avait vécu pendant plusieurs mois un véritable enfer, face à un petit-ami possessif. Pour Maria, il ne faisait aucun doute que, si Ashley avait souhaité qu’elle reste ici, c’était parce qu’elle offrait une présence rassurante.

Andy se mit à parler de la première anecdote à l’esprit, et, quand il évoqua Tom, Maria vit clairement les sourcils d’Ashley se froncer, ses dents se crisper… Mais elle n’en laissa rien paraître, et sourit même, tout en décroisant les jambes. Le geste n’échappa nullement à Maria, qui sourit délicatement à son fils.

« Mais j’ai été… Malade. »

Inutile d’insister davantage. Maria choisit d’intervenir à ce moment pour sauver la conversation, et éviter de s’embarquer dans des terrains glissants.

« Vous faites encore un bal de fin d’année au lycée, non ?
 -  Euh… Si, si, pourquoi ? »

Maria sourit encore.

« Mon fils n’en a peut-être pas l’air, mais je lui ai appris à danser, tu sais. Je sais que votre lycée est un peu ringard au niveau du bal de fin d’année, et aime les grands classiques… J’ai participé à l’organisation de certains bals, moi aussi. Chaque année, il y a toujours Johnny B. Goode. Je crois que l’un des organisateurs est un fan de Retour Vers Le Futur.
 -  Mouais… Honnêtement, je trouve ça un peu ringard, mais… Mon père tient à ce que j’y aille. Et je trouve que tu portes très bien le costume, Andy. »

Un nouveau sourire traversa les lèvres, qui se pencha alors en avant pour récupérer un toast, faisant craquer sa robe… Et mettant en valeur son décolleté. Et, cette fois, elle vit clairement Ashley, non seulement regarder son décolleté plongeant, mais aussi ses joues s’empourprer à nouveau.

*Tiens, tiens… Se pourrait-il que tes déconvenues avec les hommes t’aient amené à te pencher vers l’autre sexe, Ashley ?*

Petit à petit, Maria discernait Ashley, tout en se faisant vraiment l’effet d’être une espèce de couguar traquant les jeunes adolescents… Et, loin de la gêner, l’idée ne manquait pas de l’exciter. Après tout, Maria était pour le partage et le rapprochement des générations.

Et elle était de plus en plus convaincue qu’Ashley n’était pas contre non plus…
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 21 août 2017, 15:31:49
Andy et maria vivaient depuis de très nombreuses années en vase clos. Maria travaillait à la maison, et ne s’absentait que quelques jours pour ans, pour déjeuner avec son éditeur. Ecrivant sous pseudonyme, elle n’acceptait évidemment pas les séances de dédicaces, mais répondait parfois à ses fans par courriels. Aussi était-elle le plus souvent présente pour Andy, qui, en retour, préférait la compagnie de sa mère à celles de ses petits camarades. Naturellement, le fait de coucher tous les jours – voire plusieurs fois par jour – avec elle, avait renforcé cet état de fait. Aimé et comblé sexuellement par sa mère, le blondinet n’avait aucune raison de se chercher une petite amie. Il n’avait pas d’amie fille non plus, même si ces derniers temps, Tiffany, la meilleure amie d’Ashley se montrait sympathique à son endroit. Vidant un second verre de vin blanc sans véritablement s’en rendre compte, il haussa les sourcils lorsque Maria évoqua le bal de fin d’année, qu’il avait pour ainsi dire complètement oublié. Sa mère lui avait effectivement fait répéter de nombreux pas de danse, d’abord pour s’amuser lorsqu’il était enfant, puis plus sérieusement lorsqu’il avait grandi. Andy était en réalité assez doué, mais jusqu’à présent il n’avait dansé qu’avec sa mère. Il avait en effet manqué les deux bals précédents, n’osant pas inviter de cavalière.

« On pourrait y aller ensemble si tu veux. Au bal », lâcha-il, un peu trop vite. « Ça me ferait vraiment plaisir de t’avoir comme cavalière ! »

Après tout, Andy était un compétiteur, malgré son tempérament paisible. Et montrer ses talents sur une piste de danse était quelque chose qui lui manquait parfois. « Si tu veux, on peut faire un essai », résolut-il, en souriant. Andy savait qu’avec les filles, il fallait savoir prendre les choses en main. L’alcool aidant, il était parvenu à dépasser sa timidité. Attrapant la télécommande de la chaine stéréo, il l’alluma et les premières notes de Start a fire de John Legend retentirent, alors qu’Andy s’était levé, tendant la main à leur jeune invitée. Le regard d’Ashley vers sa mère ne lui avait pas échappé, non plus que son trouble évident. Sa mère plaisait-elle à la jolie peste ? Il fallait dire qu’il n’y avait guère plus ravissante que Maria pour éveiller des pulsions saphiques. Sa mère lui avait récemment raconté qu’elle avait déjà fait l’amour avec des femmes, mais ne s’était guère étendue sur le sujet… Quoiqu’il en soit, cela expliquait pourquoi elle décrivait aussi bien les relations sexuelles entre Beatrice Harper et Nina Troy, les héroïnes de ses romans. 

« Suis-moi, tu verras ce n’est pas difficile », lança-il, en l’amenant doucement vers lui. Un frisson lui électrisa l’échine à son contact ; en réalité c’était la première fois qu’il touchait Ashley Duncan. En fait, c’était presque la première fois qu’il touchait une autre femme que sa mère.

La main de la jeune femme était tiède et douce, plus petite que celle que de sa mère. Posant doucement sa main sur la hanche de sa cavalière il improvisa quelques pas simples de gauche à droite, s’assurant qu’Ashley le suivait, ce qu’elle faisait assez bien, ses yeux rivés aux siens. Moins expérimentée que sa mère, la jeune fille, comme la plupart des adolescentes se déhanchais déjà sur les pistes de danses depuis plusieurs années. Ce fut d’ailleurs elle qui s’enhardit un peu, se laissant partir en arrière, pour revenir vers son cavalier une fois son bras tendu. De là où elle se trouvait, Maria devait avoir une vue absolument mémorable sur le fessier rebondi de la lycéenne, moulé dans sa petite robe noire, ainsi que sur ses petits seins qui tressautaient, en l’absence de soutien-gorge. Un peu échauffée elle aussi par l’alcool, la blondinette rougissait. Voyant qu’elle fatiguait, Andy finit par interrompre la danse, s’inclinant devant sa partenaire en souriant, avant de se tourner vers sa mère, plutôt fier de lui.

« Je suis sûr qu’avec un peu de pratique, nous pourrions gagner le prix du meilleur couple du lycée ! » Andy s’empourpra légèrement. « Enfin, je voulais dire couple de danseurs. »

A chaque bal, Andy savait que l’école récompensait le meilleur duo, en prenant en compte des caractéristiques assez opaques, telles que les tenues, coiffure, qualités de danseurs ou… Influence des familles respectives sur le conseil d’administration, cette dernière donnée étant bien évidemment inconnue du jeune homme. Ce prix, Ashley ne l’avait jamais gagné, tout simplement parce que Tom, son ex, détestait danser. Le prix étant symbolique, et les gagnants ne remportaient qu’une bouteille de champagne, mais pour Andy, c’était décidé : il allait le remporter, avec Ashley Duncan à son bras. Saisissant de nouveau la petite télécommande de la chaine stéréo, Andy en baissa le volume et retourna s’asseoir, mais cette fois à côté d’Ashley, et donc en face de sa mère. La main d’Ashley était toujours dans la sienne, et la blondinette ne fit pas mine de la retirer, alors qu’elle portait son verre à ses lèvres.

Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 23 août 2017, 13:22:41
La « petite peste » avait l’air bien timide et bien sage ce soir. Était-ce la présence de Maria qui la perturbait ? D’aucuns auraient pu l’être. Après tout, faire un rendez-vous galant en compagnie des parents de l’autre, ce n’était jamais très agréable. Pour autant, Maria était convaincue que ce n’était pas tant sa présence qui dérangeait, qu’autre chose. Ashley lui faisait l’effet de ces filles qui aimaient faire les pestes pour attirer l’attention, ces personnes en manque d’affection qui, se refusant de l’admettre, se comportaient mal. Tandis que son fils entraînait la jeune femme à côté de la table pour lui montrer qu’il dansait bien, la mère, elle, réfléchissait. Cette scène ressemblait en réalité à l’une des scènes qu’elle affectionnait écrire dans ses romans. Et, comme si elle était à la place de l’un de ses personnages, Maria réfléchissait soigneusement aux options à suivre. Ce qu’ils proposaient à Ashley n’était nullement avouable. Il s’agissait, non seulement de faire l’amour dès ce soir, mais aussi à trois, le tout dans une relation incestueuse. Autrement dit, beaucoup d’éléments qui rendaient la chose difficile à accomplir, et aux enjeux considérables. Maria n’avait nullement envie que la relation avec son fils devienne publique, d’où ses réflexions.

Son fils dansait bien, et, pendant qu’il le faisait, Maria s’était servie un verre de sangria, en buvant quelques lampées tout en voyant, petit à petit, Ashley tournoyer près d’elle, sa robe moulant très bien son agréable fessier. Andy ne s’était pas trompé sur son compte. Ils avaient parlé de leurs préférences sexuelles à un moment, après avoir fait l’amour pendant une bonne partie de la nuit. Son fils l’avait brutalement sodomisé en la prenant en levrette, et, après, il lui avait demandé si elle avait déjà couché avec des filles. Tout était parti comme ça, une brève conversation, mais qui avait visiblement donné des idées à Andy… Tout comme elle en avait eu en comprenant que, comme elle, son fils était bisexuel.

Qui aurait cru, en l’état actuel, que les vieux clichés sur le bal de fin d’année marcherait ? Mais Maria était bien placée pour savoir que, malgré le vent de modernité qui soufflait en ce début de nouveau millénaire, les traditions avaient encore la vie dure. Les Américains restaient encore attachés à ce bon vieux bal, qui était un moyen de cohésion sociale, et de rapprochement.

*Pour autant, je suis sûr qu’il n’y a pas que le bal derrière ta présence ici, Ashley…*

Cette dernière souriait, en complimentant les talents de danseur d’Andy.

« Ta mère n’a pas menti, tu es vraiment doué, Andy ! »

Elle s’assit à côté de lui, et Maria fit alors une rapide précision :

« Je ne mens jamais quand il s’agit de mon fils… Mais tu peux m’appeler ‘‘Maria’’, tu sais, nous sommes entre nous. »

Maria lui fit un léger sourire en coin, révélant une partie de ses belles dents blanches, faisant délicatement rougir la jeune femme.

« Oui, euh… Je ne sais pas si c’est très approprié, en vrai… Vous…
 -  Hin-hin ! On ne me vouvoie pas non plus, ça me vieillit. Tu me trouves vieille, peut-être ?
 -  Hein ? Euh… Non ! Vous… Euh… Tu… Enfin… Ça va, quoi… »

Maria sourit encore. Elle l’avait suffisamment écrit pour savoir que le désir était comme un train qui partait en gare. Au début, c’était lent, la machine cahotait, comme si elle allait s’arrêter dès le début, se heurter à une avarie quelconque… Puis, après, la machine s’ébranlait, et démarrait, décollait rapidement. Elle se redressa alors, et précisa aller chercher de nouveaux toasts. Elle partit alors, et Ashley se pinça les lèvres. Difficile de ne pas voir la légère rougeur sur ses joues. La jeune femme regarda Maria partir, et se tourna vers Andy, avant de lui préciser, à voix basse :

« Dis, euh… Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais…  Ta mère est vraiment canon. »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le mardi 29 août 2017, 11:24:24
La soirée organisée par Maria était particulièrement agréable. Après tout, Andy buvait du vin en compagnie de deux magnifiques jeunes femmes, que pouvait-il y avoir de mieux en ce monde ? C'est du moins ce dont le jeune athlète essayait de se persuader, s'efforçant d'écarter toute pensée déplacée de son esprit. Lorsque Maria et lui avaient discuté de ce soir, il imaginait que les choses glisseraient d'elles-même vers le stupre à un moment donné... Comme c'était souvent le cas avec sa mère. Force était de constater que tel n'était pas le cas. Après tout, toute aussi polie qu'elle fut, Ashley était une étrangère. Elle appartenait au monde extérieur, un monde étriqué et bien-pensant qui reprouvait l'inceste... Et même la sexualité dans son ensemble. Si elle découvrait qu'Andy et Maria faisaient l'amour et qu'elle en était outrée, de terrible conséquence risquaient de frapper le couple incestueux. Une fois rassis, les sourcils légèrement plissé de sa mère lui révélèrent qu'elle partageait peut-être une partie de ses réflexions.

« Merci, Ash », répondit-il en souriant, sensible à la flatterie, d'autant qu'il la savait méritée. « Tu n'étais pas mal non plus. »

Semblant oublier sa menotte tiède, toujours dans celle de son partenaire, Ashley discutait avec sa mère, qui mettait un point d'honneur à la faire rougir. Andy ne put s’empêcher d'esquisser un petit sourire en songeant que la blonde terrorisait jusqu'à certains de ses professeurs au lycée, mais qu'elle balbutiait comme une gamine prise en faute devant la beauté sculpturale de sa mère. Après une dernière boutade, Maria se leva et quitta la pièce, le laissant en tête à tête avec la Pom-Pom girl. Surprenant une nouvelle fois son regard sur la croupe de sa mère, Andy fit mine de n'avoir rien remarqué.

« Maman ? Oh tu sais, c'est difficile pour moi d'en juger, après tout je suis son fils... »,
rétorqua-il, en affectant un air détaché. « Mais c'est vrai que mes copains m'ont toujours avoué qu'ils la trouvaient superbe.... Mais t'es la première fille qui me dit ça ! » Il savait qu'il la prendrait en défaut en rusant de la sorte, le lesbianisme ou la bisexualité étant encore assez mal vu chez les riches descendants de wasp, et ne se trompa pas. 

Profitant du trouble de la jeune femme, il se rapprocha d'elle, jusqu'à ce que son épaule nue touche la sienne. Avec douceur, Andy se pencha en avant pour replacer quelques mèches rebelle de l’adolescente derrière son oreille. « T'inquiète pas, Maman et moi on est plutôt tolérants ! » Jetant un coup d’œil vers la porte, comme s'il craignait le retour de sa mère, qu'il entendait s'affairer dans la cuisine, Andy reprit d'une voix posée. « Moi je trouve que c'est toi qui est canon, cette petite robe te met carrément en valeur ». Andy avait beau être jeune, il savait qu'il valait mieux complimenter une femme sur ce qu'elle avait choisi de porter que sur sa beauté. Après tout, une jolie femme n'avait en soi aucun mérite, au contraire de celle qui prenait le soin de s'apprêter pour un rendez-vous galant. L'alcool avait beau l'avoir détendu, il avait le cœur qui battait à tout rompre. Et si elle l'envoyait sur les roses ? Ca allait être la méga-honte demain, au lycée... Glissant son bras autour des épaules de la jeune femme, en profitant d'une musique plus langoureuse que la précédente, il apprécia la tiédeur et la fermeté de ce corps d'adolescente sportive, qu'elle entretenait soigneusement. Le parfum qu'elle avait choisi montait à la tête et petit à petit, son souffle se raccourcissait, alors qu'une chaleur sourde s'emparait de son bas-ventre. 

*Allez Andy, c'est le moment !*

Avec cette maladresse propre aux premiers émois, Andy se pencha un peu trop brusquement vers Ashley, mais ce fut avec douceur qu'il joignit ses lèvres à celles de la petite blonde, sa main posée sur sa nuque tiède. Ashley avait des lèvres douces, au goût presque sucré qu'apprécia le jeune sportif en fermant les yeux...Avant de reculer lorsqu'il entendit sa mère rentrer de nouveau dans la pièce. Non pas qu'il pensait que Maria reprouverait son acte – bien au contraire, mais il ne fallait pas qu'Ashley se doute de quelque chose.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 04 septembre 2017, 01:05:54
Difficile de croire, quand on savait combien il la bourrait, que son petit Andy était en réalité un grand timide. Mais Maria le connaissait bien, et savait qu’il fallait lui laisser un peu de temps pour s’approprier une situation, et ainsi aller mieux. C’était un bon garçon... Même s’il aimait baiser sa mère. Maria s’écarta donc, car elle sentait qu’Andy était proche, qu’il la ferrait. À ce niveau, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir la confusion d’Ashley, et en déduire que la situation l’excitait fortement... Tout se déroulait encore mieux que ce qu’elle pensait, et elle choisit de se rendre aux toilettes, en réalisant qu’elle était bien plus excitée que ce qu’elle pensait. Elle tira sa culotte, et se masturba donc, en laissant son imagination filer, se pinçant les lèvres pour retenir ses gémissements.

Ashley, de son côté, rougit en réalisant qu’elle s’était sans doute fourvoyée en commentant ainsi le corps de la mère d’Andy, et se rebiffa sur place, en craignant que son ami n’interprète mal ses propos.

« Hein ? Oh, non, ce... Ce n’est pas ce que... »

Il lui lança alors qu’elle était « canon », et Ashley rougit furieusement, en baissant les yeux, et en sentant une chaleur croître en elle. Elle se rabattit ensuite derrière un sourire, et glissa quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles :

« Eh bien, Andy, je crois que l’alcool te désinhibe un peu... Mais je dois bien admettre que ce n’est pas déplaisant. »

Il continua même, jusqu’à l’instant fatidique, où ses lèvres se posèrent aux siennes. Un bref baiser... Qui dura ensuite. Ashley ferma les yeux, et posa ses mains sur le torse de l’homme, en soupirant encore, répondant alors clairement à son baiser, un frisson involontaire s’échappant de son organisme au contact du corps de l’homme contre le sien. Elle entendit soudain des bruits de pas, et sursauta, prise sur la faute, en voyant Maria revenir. Cette dernière s’arrêta sur le palier du salon, sa culotte et sa robe remise en place, et observa le duo, sans rien dire.

« Je... Euh...
 -  Tu as embrassé mon fils ?! demanda brusquement Maria.
 -  Je... Euh...
 -  Change de disque, ma fille, tu te répètes.
 -  H-Hein ? »

Maria secoua la tête, et se rapprocha alors. Elle sourit plus franchement, et posa sa main sur le menton de la femme, qui, sans rien dire, écarquilla les yeux... Puis Maria l’embrassa alors en retour, brûlant toutes les étapes, profitant de la confusion de la jeune femme. Et elle sentit bien que quelque chose venait de se coincer dans l’esprit d’Ashley, qu’elle n’arrivait pas encore à joindre les deux bouts.

« Mais... Qu’est-ce que vous faites ?
 -  Il n’y a aucune raison de t’inquiéter, Ashley, tenta de la rassurer Maria. Moi aussi, je te trouve très belle, tu sais... »

Ashley cligna des yeux, la panique commençant à naître en elle, ce que Maria voyait dans ses yeux.

« N-Non, lâchez-moi, ça... Ça devient trop dingue, là, putain ! »

Elle la repoussa alors, visiblement pas encore prête à sombrer dans la luxure, et se précipita vers la surprise. La panique aurait pu gagner l’esprit de Maria, mais elle se contenta de sourire à Andy. Elle avait déjà prévu toutes les éventualités, et Ashley le réalisa en constatant que la porte était fermée.

« Hey... Hey putain, libérez-moi, merde ! Au secours !! »

Maria ordonna à son fils de la neutraliser, en lui tendant une bouteille de chloroforme, qu’elle imbiba dans une serviette. Il était plus rapide qu’elle, plus costaud, et comprit surtout que sa mère ne plaisantait pas. Ashley faisait une crise de panique, refusant d’admettre ce qu’elle avait ressenti... Mais il était trop tard pour elle pour reculer.

*Il est temps de passer aux choses sérieuses.*
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le vendredi 08 septembre 2017, 19:31:38
Maria s'était longuement attardée, permettant à Andy de s'enhardir, mais lorsqu'il décolla ses lèvres de celle d'Ashley, elle était bel et bien là, campée sur ses talons sur le pas de la porte. Andy se retint de sourire devant la déconfiture d'Ashley. Il était sur un petit nuage. Ashley ne l'avait pas rejetée. Bien au contraire, elle avait pressé ses lèvres contre celle de l'adolescent, s'abandonnant dans ses bras musclés. Un bref regard appris à Andy que sa maman s'était branlée : le rouge de ses joues et son regard légèrement trouble étaient éloquents...Et puis il la connaissait par cœur, à présent. Profitant de la surprise de la blondinette, sa mère traversa le salon en trois enjambées et se baissa pour à son tour embrasser Ashley, pressant ses lèvres entrouvertes contre les siennes. Andy lui-même en fut surpris, alors qu'une sourde chaleur s'emparait de son bas-ventre, le sang affluant vers sa queue.

« Woah... »

Voir sa mère embrasser une autre fille, c'était probablement le truc le plus excitant qu'il ait jamais vu ! Mais le jeune homme ne put guère profiter davantage du spectacle, puisqu'Ashley commença à paniquer, se débattant entre ses bras. Il fallait se mettre à la place de la jeune femme, vu de l'extérieur, la situation était clairement complètement barrée.

« Ash, calme-toi, tu... on ne te fera pas de mal, tu sais ! »

Bien au contraire. Mais cela, malgré l'excitation qu'elle ressentait, Ashley n'était pas prête à l'entendre, encore moins à l'accepter. Du moins pas encore. La jeune femme tenta de se lever, probablement pour s'enfuir, mais la main d'Andy sur son épaule la rassit avec autorité, après un rapide regard échangé avec Maria. Le jeune homme avait une confiance absolue en sa mère. Le risque qu'il étaient en train de prendre était énorme, voire fou, mais si Maria pensait qu'ils ne risquaient rien, alors elle devait avoir raison. Comme dans un rêve, il se vit ceinturer solidement la jolie petite blonde d’un bras, saisissant le mouchoir imbibé que sa mère lui tendit. Appliquant posément le tissu sur les lèvres d’Ashley, qui commençait à hurler, il la berçait tranquillement, faisant preuve d’un sang-froid qui le terrifiait presque lui-même. La dernière chose que se rappellerait Ashley de cette fin de soirée, serait l’énorme renflement dans le pantalon d’Andy alors qu’il la maîtrisait.

« C’est bon, elle dort », remarqua finalement Andy, alors que le corps gracile de l’adolescente se relâchait, et que ses bras retombaient le long de son corps. La reposant délicatement dans le canapé, il interrogea sa mère du regard. « On fait quoi maintenant, on la descend ? » La réponse à cette question était évidente. Contrairement à la maison, le sous-sol était très bien isolé. Qui plus est, Maria et Andy l’avaient récemment réaménagé pour qu’il soit plus agréable. Ne pouvant résister, Andy remonta doucement la robe d’Ashley sur ses cuisses, avant d’écarter la petite culotte de cette dernière pour dévoiler une vulve luisante et entrouverte, qu’il désigna à sa mère avec un sourire entendu.

Lorsque la jeune femme se réveilla, elle était suspendue à une croix en bois, entravée aux poignets, ainsi qu’aux cheville. La position dans laquelle Andy l’avait attaché – suivant les conseils de sa mère, n’était pas trop inconfortable, mais les liens étaient suffisamment serrés, afin qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Elle portait encore ses vêtements, mais un chiffon lui avait été enfoncé entre les dents, pour étouffer ses cris éventuels. Autour d’elle, les murs de la cave avaient été repeins. La salle avait été joliment meublée, et un grand lit trônait au beau milieu de celle-ci. A vrai dire, malgré l’absence de fenêtre, il était dorénavant difficile de réaliser qu’on se trouvait dans une cave… Du moins une partie de celle-ci. Car de l’autre côté d’une porte en bois, demeurait une pièce peu hospitalière, dans laquelle Maria punissait Andy, lorsqu’il n’était pas sage… Ou qu’il le réclamait.

« Re-bienvenue parmi nous, Ash. On aurait aimé éviter d’en arriver là, mais tu criais vraiment trop fort et cela risquait de nous attirer des ennuis… Maman et moi préférons rester le plus discrets possible. » Il marqua une pause. En vérité, Ashley n’avait peut-être pas encore tout compris… Mais cela n’allait pas tarder. Le jeune homme se tourna vers sa mère, qui jusqu’ici était restée un peu en retrait. « Maman et moi avons quelque chose à t’avouer… » 
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 11 septembre 2017, 01:09:22
« C’est tout à fait normal qu’elle panique, Andy. L’être humain a une impressionnante capacité à s’adapter à sa routine, et à refuser toute forme de changement qui lui apparaît comme trop fort. »

Peut-être auraient-ils aussi pu y aller plus doucement, plus longuement ? L’approche sûre aurait été que Maria n’intervienne pas, qu’elle laisse Andy sortir avec Ashley, et qu’elle précise la nature exacte de leur relation après coup. Mais cette approche sûre avait aussi ses défauts. Ashley, une fois très proche d’Andy, aurait pu paniquer en apprenant que son amant lui avait menti depuis tous ces jours. La vérité, à la réflexion, c’est qu’il n’y avait, dans ce type de scénario, aucune situation idyllique. Maria se reposait sur ce qu’elle avait entendu d’Ashley, à savoir que la jeune fille n’avait pas grand-chose de puritain, ni de très catholique. En manque de reconnaissance et d’amour de ses parents, elle avait une réputation sulfureuse au sein du lycée. Et puis, elle était clairement bisexuelle. Maria était sûre de pouvoir la convaincre. Ashley lui rappelait certains des protagonistes qu’elle avait écrit, ou des personnes sur lesquelles elle s’était renseignée, de jeunes ingénues qui se réfugiaient dans le sexe, l’alcool, et la drogue, pour que quelqu’un puisse les aimer. C’était, somme toute, continuellement le même problème : un manque de reconnaissance et de reconnaissance de l’enfant vis-à-vis de ses parents.

Le trio se trouvait donc dans la cave, une belle pièce que Maria et Andy avaient aménagé comme une véritable salle SM, leur donjon. Après tout, ils étaient dans un immeuble commun, mais les caves étaient très solides. De plus, Maria disposait d’une cave assez grande, permettant d’entreposer, non seulement un lit, mais aussi plusieurs membres. C’était une pièce qu’elle remplissait progressivement. Quand Ashley se réveilla, elle se mit à gémir.

Maria avait pris soin de remplacer le chiffon d’Andy, facile à retirer, par un instrument plus connoté sexuellement, un gag-ball, et sourit en se rapprochant lentement de la femme, qui semblait totalement paniquée.

« Ashley, Ashley... Il faut que tu te calmes, ma chérie, et que tu m’écoutes très attentivement.
 -  MMMHMMMM... !! HMMMMMMMMMMMMMMM... !! HMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Maria soupira, et croisa les bras, en attendant qu’Ashley se calme. Elle se débattait, tirant vainement sur les sangles, les yeux au bord des larmes, probablement convaincue qu’elle allait se faire tuer. Inutile de vouloir raisonner avec elle dans cet état de panique, Maria choisit donc de rester silencieuse pendant quelques instants, jusqu’à ce qu’Ashley ne commence à se calmer, après avoir constaté qu’elle était bel et bien prisonnière.

« Nous avons, moi et mon fils, une offre à te faire, Ashley. Si tu n’avais pas paniqué tout à l’heure, nous n’en aurions pas été jusque-là. Nous t’avons attaché uniquement pour pouvoir te parler sans que tu ne paniques. »

Ashley resta silencieuse, les fixant avec des yeux assassins, oscillant entre la mère et le fils.

« Tu as le droit de refuser, Ashley, bien sûr... Pour te l’expliquer sommairement, Andy t’aime beaucoup... Mais il m’aime aussi beaucoup, et j’aime également beaucoup mon fils. Mais bon... Je pense que le mieux, pour que tu le comprennes, est une démonstration... »

Maria se déplaça alors, et rejoignit le lit. C’était un beau lit en forme de cœur, aux couvertures rouges, avec, sur les barreaux, une série de sangles, confirmant ainsi que le lit ne servait qu’à des fins sadomasochistes. Elle se mit alors à quatre pattes sur le lit, et fit signe à Andy de venir.

« Montre à notre invitée combien tu aimes ta Maman, Andy... Baise-moi très fort ! »

Une démonstration, c’était le meilleur moyen d’illustrer ce qu’elle avait à dire.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le jeudi 21 septembre 2017, 13:32:02
Lorsqu'Andy et Maria couchaient ensemble, ils accomplissaient un acte hautement immoral, pour lequel Maria risquait éventuellement la prison, ou du moins le placement de son fils en famille d'accueil. Mais comme Andy était - plus que - consentant, cette éventualité était improbable, tant qu'ils gardaient leur relation secrète. Pour cette raison, le couple baisait la plupart du temps à la maison, même si Andy s'enhardissait parfois à caresser sa mère au café, ou au cinéma. La dernière fois qu'ils étaient allé voir un film ensemble, Maria avait passé la majeure partie du temps à suçoter silencieusement son gland, jusqu'à ce qu'il ne gicle entre ses lèvres. Mais cette fois-ci, la situation était bien différente. Andy et Maria venaient de se rendre coupable du kidnapping d'une jeune fille âgée d'à peine seize ans. Si le blondinet n'avait pas hésité lorsque sa mère lui avait donné l'ordre de neutraliser Ashley, il savait que les minutes qui allaient suivre allaient être cruciales pour le reste de leur vie. Il n'y avait en vérité qu'une alternative. Soit ils parvenaient à séduire Ashley, soit elle irait tout raconter à sa police dès qu'ils l'auraient libérée. Si on la libère... Andy frissonna devant ses propres pensées. Son cœur battait la chamade, malgré l'attitude calme et posée qu'il se forçait à observer devant la captive.

« Héé.... »

Les protestations étouffées d'Ashley étaient vigoureuses, et elle bougeait avec une vigueur surprenante, pour une fille de son gabarit... A croire que son épouvante décuplait sa force. La peur qu'il lisait dans ses yeux le peina, jusqu'à ce qu'elle laissa place à une forme de résignation rageuse. A présent, tout du moins, elle écoutait Maria, qui tâchait de la raisonner... Visiblement en vain. Mais sa mère avait une idée en tête, qui ne manqua pas de surprendre Andy, qui haussa les sourcils, les yeux rivés sur les fesses de Maria qui ondulaient alors qu'elle se dirigeait vers le lit.

« Oh, Mom... », grogna l'adolescent, en se mordant la lèvre inférieure, alors que sa queue se gorgeait de sang, formant une bosse improbable dans son pantalon. Maria n'avait pas changé de tenue. Elle portait encore cette scandaleuse robe noire, qui moulait excessivement ses formes généreuses. Andy se rapprocha d'Ashley, pour écarter une mèche de ses jolis cheveux blond et la replacer derrière son oreille. « Regarde bien, Ash, ce n'est pas tous les jours que tu verras ça », lança-il gaiement, avant de l'embrasser sur le front, frôlant sa cuisse avec son membre tendu, avant de se détourner.

Se débarrassant promptement de sa chemise, l'adolescent dévoila son corps glabre et athlétique, avant de se diriger d'un pas décidé vers sa mère, qui lui tendait sa croupe. Sans vergogne, il claqua plusieurs fois ce cul laiteux. Maria prenait soin de son corps, et ses fesses, bien que fermes, restaient suffisamment moelleuses pour tressauter lorsqu'on les fessait. « Cambre-toi bien, Mom, fais bien ressortir ton gros cul », lui intima-il, alors qu'il dézippait sans vergogne sa fermeture éclair, empoignant sa grosse queue veineuse dont le gland gonflé, était déjà poisseux de pré-sperme. « Montre à Ashley comme tu es belle....Et chienne », ajouta-il, fiévreusement. De ses doigts tremblant, il remonta la robe de cuir sur les hanches de sa mère, puis fit à l'inverse glisser sa culotte sur ses chevilles, dévoilant sa moule baveuse de cyprine et la corolle brune de son anus. Il mourrait d'envie la sodomiser, mais se réservait pour plus tard, posant son gland entre les lèvres entrouvertes du sexe de sa mère. Pour Andy, la pénétration vaginale faisait partie des préliminaires ; les choses sérieuses débutaient seulement lorsqu'il enfouissait sa queue dans le cul de sa mère. « Tu t'es masturbée, vilaine », constata-il, en reniflant bruyamment la culotte humide qu'il venait de lui ôter. La sentant s'impatienter contre sa grosse queue, le jeune homme sourit et se pencha en avant, avant de la pénétrer d'un coup sec en grognant d'aise. 

« Ah, putain », s'échauffa-il, en écrasant ses reins contre les fesses de sa mère, ses couilles pleines tout contre le renflement de sa vulve. Raffermissant sa prises sur ses hanches, il posa un pied sur le lit pour équilibrer sa position, avant de commencer à la limer sans douceur, faisant glisser sa grosse queue juteuse en elle. « T'es tellement bonne Mom ! »

Andy se lasserait-il un jour de la croupe généreuse de sa mère ? Probablement pas. Avec l'excitation, le jeune homme avait perdu la réserve qu'il affectait une heure plus tôt au salon, et baisait sa mère comme s'il s'agissait d'une vulgaire catin... Ce qu'au fond elle était...Une fois sur deux. A la fois pute et maîtresse, le corps de Maria s'agitait d'avant en arrière, ses longs cheveux de jais giflant son beau visage. Quant à Ashley, sur le côté, elle en était réduite à observer en silence le spectacle surréaliste de ce couple incestueux qui s'accouplait et qui semblait avoir oublier sa présence.... Mais Andy n'avait pas oublié Ashley. Il percutait le cul de sa mère avec rage, pour les beaux yeux de la blondinette, soucieux de lui montrer l'étendue de sa vigueur.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 24 septembre 2017, 22:56:55
Maria et Andy prenaient des risques énormes ce soir. Si tout ça ne marchait pas... C’était une hypothèse à envisager, mais Maria ne voyait aucune solution. Elle n’allait sûrement pas tuer Ashley, et avait tout misé sur le fait de réussir à convaincre la jeune femme, consciente aussi que, à terme, pour que sa relation avec Andy prospère, le couple incestueux devait avoir besoin d’un alibi. C’était aussi pour ça que Maria avait accepté ce plan farfelu, amis, à voir Ashley attachée, les yeux écarquillés, cherchant vainement à se libérer de sa prison, elle doutait du bienfondé de son plan. Elle n’avait pas de plan B, ça devait marcher. Voilà pourquoi, pour rassurer Ashley, elle comptait s’envoyer en l’air avec son fils.3 Évidemment, Ashley n’était pas encore très réceptive, convaincue qu’elle allait se faire violer, et se mit à pleurer quand Andy se rapprocha d’elle, la caressant tendrement.

*C’est normal, je réagirais comme elle à sa place...*

Elle se crispa sur le lit en sentant Andy se glisser dans son dos. Son magnifique fils s’était déshabillé, et remonta rapidement sa robe en cuir, dévoilant ses magnifiques fesses. Ils étaient sur le flanc par rapport à Ashley, permettant ainsi à la jeune femme de voir les fesses de la femme. Puis Andy, sans attendre, abaissa la culotte, faisant fuiter un peu de liquide intime, le délicat nectar de sa mère glissant sur ses cuisses. Une scène qui ne manqua pas d’exciter l’homme. Son fils se serra contre elle, et les mains de Maria se crispèrent sur le lit en sentant sa verge commencer quelques mouvements dans sa chatte.

« Hmmmm... An-Andy... ! »

La mère et le fils s’envoyaient en l’air sous les yeux assoiffés de la jeune Ashley... Assoiffés ou paniqués. Maria aurait aimer les voir assoiffés, mais, quand elle regardait la femme, c’était pour la voir hésiter, papillonnant des yeux. Commençait-elle à être confuse ? Ou se disait-elle que ces deux-là étaient vraiment trop cinglés pour elle ? Maria ne pouvait pas lire dans son esprit, et se fiait donc à ce qu’elle voyait... À savoir une adolescente qui avait pour habitude de braver les interdits, et remettait en question la sacro-sainte autorité parentale. Un profil idéal pour du sexe incestueux, à condition de la motiver bien comme il faut...

Peu à peu, les gémissements et les soupirs de Maria emplirent l’air, puis Andy cessa de la pénétrer par là, avant de grogner en tapant contre son cul. C’était son mode opératoire, il commençait par une pénétration vaginale, avant de passer à l’anale. De cette manière, non seulement mettait-il sa mère en condition, mais aussi gonflait-il bien sa verge, garantissant une sodomie terrifiante. Soit il avait lu ça dans l’un des bouquins de sa mère, soit les gènes étaient en cause. En tout cas, Maria soupira en sentant sa queue frotter contre ses fesses.

« On sait que tu aimes les sodomies, Ashley, hmmm... Je sais ce que tu te dis, mais... On ne te veut aucun mal, on veut juste que tu participes à nos ébats, ma chérie... Ne me dis pas que tu n’as pas envie de la bite de mon fils, quand tu la vois à l’œuvre ? »

Ashley clignait encore des yeux. Ce que Maria et Andy ignoraient, c’est que leurs informations sur elle étaient en-dessous de la vérité. Plutôt bien roulée, Ashley était bien plus perverse que ce qu’on pouvait penser, du genre à participer à des films pornographiques. Au début, ça avait juste été un jeu pour elle, un moyen de provoquer ses parents, de s’émanciper, mais... Quand on goûtait au fruit défendu, on finissait par y prendre goût. Pas de quoi la destiner à vouloir avoir la même carrière que Clara Morgane ou Katsuni, mais le fait est qu’Ashley avait un délicieux côté sombre, ou, plutôt, un côté rose, et qui ne demandait qu’à s’exprimer.

Maria se mit à gémir longuement, redressant son visage, le corps en sueur, sa robe venant se crisser dans tous les sens.

« An-Andy, haaaa... Qu-Quelle é-énergie, haaaa... ! C’est... Hmmm... C’est la présence de... De notre a-amie qui... Haaaannn... Te mo-motive à... Haaaaaaa... !! Ce-Ce point... ?! »

Difficile de parler, vraiment, quand votre fils se mettait à vous enculer avec la hargne et la vigueur d’un taureau ! Mais Maria n’allait pas s’en plaindre, loin s’en faut !
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 02 octobre 2017, 17:23:14
Avec l'ivresse du stupre, s'envolèrent les craintes et les doutes du jeune joueur de base-ball. S'envoyer en l'air était pour Andy, non seulement une source intarissable de plaisir et de félicité, mais également une manière d'évacuer son stress sans égal. Lorsqu'il baisait sa mère, plus rien ne comptais, hormis le superbe corps  tiède, voluptueux de Maria et son parfum entêtant. La peur de se retrouver en cavale ou en prison ? Disparue. Comme d'accoutumée, Maria mouillait énormément, ce qui lui permettait d’accueillir très facilement sa grosse queue dans son intimité... C'était en revanche un peu plus compliqué pour son cul, Mais Andy savait que sa mère aimait bien avoir mal lorsqu'il l'enculait, jusqu’à ce que cette douleur lancinante se transforme en plaisir.

« Humm... »

Contrairement à Maria, Andy, tout à son, plaisir,  ne regardait plus vraiment sa camarade de classe, d'autant qu'il délaissa bien vite la chatte de sa mère pour glisser dans son cul. Sa queue était énorme,  mais luisante de foutre et de cyprine, ce qui permis à Maria d'encaisser le coup sans hurler, offrant à Ashley le spectacle étourdissant d'un chibre de la taille de son propre poignet coulisser  l'anus de son hôte. Une telle scène devait être affolante pour une lycéenne normale, mais Ashley l'était-elle réellement ? Lorsque le blondinet leva brièvement les yeux vers leur prisonnière, elle semblait s'être apaisée. Mais Maria ondulait du bassin en gémissant, ce qui incita Andy à interrompre son observation pour se pencher sur elle, et de l'embrasser tendrement sur la bouche, glissant sa langue  raidie entre les lèvres entrouvertes de Maria.

« Oui...Humm... ça et...ta robe de salope ! »

Maria connaissait bien les goût de son fils. Voir ses formes opulentes aussi bien moulées l'avait considérablement émoustillé et il lui faisait payer son comportement de putain. D'un geste brusque, il fit glisser la robe de Maria pour dévoiler sa belle poitrine laiteuse à leur spectatrice, avant de s'emparer de l'un de ses tétins pour le torturer entre son majeur et ton index.   

« C'est parce que tu m'as...Provoquée...Humm...Comme une pute ! Allez...Dis-le, que t'es ma pute... ! »

Andy claqua fermement le cul de sa mère jusqu'à rougir sa belle peau pâle. La perversité du couple incestueux les poussaient généralement à s'insulter mutuellement, ce qui décuplait leur excitation, y compris lorsqu'ils inversaient les rôles. La « pauvre » Ashley avait donc un parfait aperçu de ce qui risquait de lui arriver si elle décidait de se joindre à eux. A présent, Andy défonçait littéralement sa mère, qui hoquetait pour se faire comprendre, son anus écartelé par la bite juteuse de son fils, entrecoupant ses phrases de gémissement et de couinement de plaisir.

« Hmm pff... Je vais jouir.... »

C'était à son tour de bredouiller, alors qu'un long frisson lui parcourait l'épine dorsale. Ses coups de bassins se firent plus brutaux encore, mais désordonnés, anarchiques, alors que sa queue gonflait encore...Avant d'exploser en violent soubresauts, remplissant la jeune femme de jus brûlant alors qu'il laissait échappait un long gémissement rauque. Il l'encula encore un peu, jusqu'à se vider complètement en elle puis décula doucement, exposant l'anus dilaté de Maria qui débordait de foutre translucide et dont elle inonda les draps.

« Haaaa... »

Écartant les mèches folles qui pendant devant ses yeux, le jeune homme embrassa gentiment sa mère sur la joue et se redressa sur un coude, le temps de reprendre ses esprits. De longues secondes passèrent avant qu'il ne se décide à se lever, visiblement plus en forme que sa mère. S'approchant de leur captive qui l'observait avec ce qui lui semblait être un mélange de curiosité avec... Quelque chose d'autre, il s’arrêta devant elle.

« Écoute Ash... J'espère que tu as bien compris qu'on ne te veux aucun mal, bien au contraire... »

Le jeune homme lui caressa à nouveau la joue de l'index et du majeur et sourit en surprenant un regard en biais vers sa grsse queue luisante et à demi débandée. Se tournant un instant vers sa mère, il la consulta rapidement du regard avant de poursuivre, puis d'un geste délicat, détacha le gag-ball qui empêchait l'adolescente de lui répondre.

« Je...Je pense qu'on va te détacher. Si tu veux partir, on ne va pas t'en empêcher... Simplement, si tu pouvais n'en parler à personne... Autrement, tu pourrais rester un peu avec nous pour t'amuser un peu. »

Le silence se fit dans la pièce, Andy comme Maria attendant avec impatience la réponse de la jeune femme. Le couple savait que leur avenir commun dépendait probablement des prochaines mots d'Ashley... Qu'évidemment ils allaient devoir laisser partir en fin de compte.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 09 octobre 2017, 00:45:34
Comme à son habitude, Andy était... Brutal, intense, passionné. La présence d’Ashley devait peut-être l’exciter inconsciemment, mais, même sans ça, elle savait que son fils, quand il s’agissait de la sodomiser, laissait toujours parler une sorte de virilité machiste profonde, qui l’incitait à insulter sa mère, à la prendre de haut, et à l’insulter. Ce n’était pas quelque chose qui déplaisait à Maria, dès lors qu’elle avait pu insuffler à Andy les nécessaires limites de leur relation. Et puis, dans cette robe, elle était effectivement très belle. En les voyant faire, Ashley avait les yeux écarquillés, l’esprit insondable.

« Haaaaa... Hnnnn... An-Andy, haaaaa... !! »

Elle gémit encore, avant de se pincer les lèvres en sentant sa virilité s’enfoncer dans le creux de ses fesses, tapant contre ses parois internes, avant de s’y enfoncer progressivement. Maria gémit encore, et entendit son fils l’insulter, tout en tirant encore sur sa robe, délivrant ses seins, la traitant de « pute ». Elle gémit donc, essayant de lui répondre, mais se contenta d’hurler, entrecoupant sa réponse de couinements et de gémissements :

« Haaaaa... O-Ouiiii, An-Haaaaaa... Andy !! Je... Hmmmm... OUIII !! J-Je... Je suis ta... Haaaaaa... Ta puuuteeuuuh ! »

Maria soupira encore, de la sueur coulant le long de son visage, et hurla encore, une délicieuse onde de douleur la transperçant. Elle aurait pu croire que son corps s’adapterait, à force de sentir l’homme la labourer comme ça, mais... Sa queue était tout simplement trop grosse, et lui trop hâtif. De fait, Maria aurait pu craindre que, à force, Andy ne se lasse de son corps, mais c’était toujours avec plaisir qu’elle le voyait revenir vers elle, afin qu’il recommence à la bourrer, toujours avec la même incroyable énergie, et la même envie.

La jeune mère de famille se dandinait donc sur place, en sentant l’homme continuer à la bourrer, encore et encore, sans relâche, faisant défiler les minutes à toute allure. Peu à peu, la pièce s’emplit des hurlements et des profonds soupirs de Maria, qui se laissait faire, se dandinant sur place, gémissant encore. La grosse queue de son amant continuait à la labourer, son fils continuait à la baiser avec fureur et énergie, jusqu’à finir par atteindre le point névralgique.

Maria le sentit alors se vider en elle, dans un profond râle, un grognement caverneux tandis que sa queue tressautait dans son cul, expulsant d’épaisses quantités de foutre dans son corps. La jeune femme gémit encore, en se sentant remplie, et laissa ensuite son fils se rapprocher d’Ashley. Comme toujours, Maria devait reprendre un peu son souffle.

*Il est toujours aussi passionnel...*

La jeune femme se releva finalement, et remit sa robe en place, pour rejoindre Ashley.

« Bon... Effectivement, Ashley, Andy a raison, on ne veut pas te séquestrer, ni te découper en rondelles, te droguer, ou quoi que ce soit. On t’a choisi parce que... Hm... Eh bien, Andy a toujours eu un crush sur toi, et... J’ai cru comprendre que toi aussi. Mais... Comme tu le vois, mon fils et moi avons une relation très particulière, alors, si tu veux sortir avec lui, il fallait que tu comprennes deux choses... »

Elle respira lentement, reprenant son souffle, et poursuivit :

« Premièrement, Andy est très pervers. Tu l’as vu, et c’est comme ça. Deuxièmement, si tu veux sortir avec lui, je serais aussi de la partie. Autant te dire que nous avons longuement hésité avant de te faire cette proposition, mais... Je me suis dit qu’on pouvait te faire confiance. »

Maria hésita encore. C’était l’épreuve du feu. Si Ashley refusait, alors les choses deviendraient compliquées... Mais elle ne pouvait pas aller autrement. Elle fit signe à Andy, et, ensemble, ils détachèrent les poignets et les chevilles de la femme, puis Maria lui ôta son gag-ball. Ashley huma l’air frais, avant de les regarder tous les deux, sans rien dire pendant plusieurs longues secondes.

« C’est... C’est dingue, votre truc ! » s’exclama-t-elle alors.

Maria sourit en retour.

« Mais est-ce que ça te choque ?
 -  Ben... C’est flippant, quoi... Ça dure depuis combien de temps, votre histoire ? »
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le samedi 10 février 2018, 20:01:01
L’orgasme avait un peu séché le jeune homme, dont le caractère paisible refaisait surface. Le souffle encore court, il aida sa mère à détacher Ashley et aida cette dernière à s’asseoir dans un fauteuil en cuir. Sa grosse queue si impressionnante quelques secondes plus tôt avait perdu de sa superbe et reposait entre ses cuisses musclées. Repoussant une mèche de cheveux collée sur son front par la sueur, il sourit aux propos de leur jolie captive car ce n’était pas du dégoût qu’il lisait dans le regard de la blondinette mais bien de la curiosité et… Etait-ce du désir ? Il ne pouvait le jurer, mais ça y ressemblait bien.

« Pour nous, c’est parfaitement normal. Je me demande même pourquoi nous avons attendu aussi longtemps à nous rendre compte que nous étions faits l’un pour l’autre. »

Maria et Andy formaient un couple indéfectible…. Ce qui ne voulait pas dire qu’ils étaient exclusifs. Un soir à table, Andy avait abordé le sujet entre deux bouchées. Maria avait-elle envie de coucher avec d’autres personnes ? Parce que lui Andy, souhaitait partager d’autres amantes avec sa mère et lui avait confié que cela ne l’ennuierait pas de voir d’autres hommes lui défoncer le cul en échange. Sa mère avait souri et ils avaient décidé de devenir inclusifs… Mais ensemble. Restait évidemment à trouver des individus assez fous pour partager leur couche incestueuse.

« Ça fait quelques mois. Mais je fantasme sur Mom depuis des années
», répondit-il à Ashley en jouant négligemment avec la bretelle de sa petite robe noire qu’ils ne lui avaient pas ôté.

La petite blonde se massait les poignets, visiblement pensive. Elle avait assez largement repris ses esprits et cessé de paniquer lorsque le couple lui avait fait comprendre qu’elle n’avait rien à craindre… Hormis peut-être des orgasmes un peu trop violents. Le moment était véritablement historique puisque Ashley était en passe de devenir la première personne à se partager les élans passionnés des Dawson. Elle ne se rend peut-être pas compte de la chancequ’elle a, songea le jeune sportif, en regardant sa mère dont l’attitude posée et maternelle contrastait avec ses cris affolés des vingt dernières minutes. Sous ses airs prudes, Ashley était-elle aussi une nymphomane ?

« Naturellement nous ne sommes pas obligés de commencer aussi… Brutalement. Je pensais plutôt faire les choses en douceur. » Même s’il était amateur de porno un peu hard, Andy savait que la manière dont il baisait sa mère était d’une violence peu commune ce que d’ailleurs, elle lui rendait bien. Toutefois, Andy ne tenait pas à avouer immédiatement à Ashley qu’il aimait lui-même se faire prendre. C’était à son sens, encore plus tabou que de coucher avec sa mère, bien que sa mère lui ait répété à de nombreuses reprises que cela ne le rendait pas homosexuel et que beaucoup d’hommes partageaient secrètement ce penchant.

« Ta peau est douce »
, constata-il, en caressant son épaule diaphane du revers de ses doigts. Selon toutes vraisemblance, la blondinette s’était longuement préparée pour cette soirée.

Avec précautions, il fit glisser l’une des bretelles, dévoilant la naissance de sa petite poitrine. La jeune femme n’avait pas besoin de porter de soutien-gorge et ce soir-là, elle s’en était effectivement passé. Echangeant un regard entendu avec maria, il huma profondément le parfum de la blondinette, alors que de léger picotement parcouraient sa queue encore engourdie. L’appétit sexuel d’un adolescent est toujours surprenant, mais celui d’Andy dépassait littéralement l’entendement. Il avait de ce côté pris bien davantage de sa mère que de son père, qu’une dizaine de minute en missionnaire suffisait à satisfaire pour la semaine. A l’inverse quand Andy et maria passaient la journée ensemble, il lui arrivait de jouir une quinzaine de fois, ce qui assurément n’était pas normal.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 19 février 2018, 01:16:27
Leur plan fou allait-il marcher ? Maria en semblait être la première surprise, et pour cause... Ensemble, son fils et elle avaient quand même commis un kidnapping, et un acte de séquestration ! Ce n’était pas rien. Il y avait donc beaucoup de chances pour qu’Ashley les repousse, en estimant que, toute proportion gardée, ces gens étaient quand même assez dérangés. Cette hypothèse, qui n’était pas à exclure, plongerait évidemment Maria dans un abîme de perplexité et d’hésitation. Fort heureusement, il semblerait que son fils ne se soit pas trompé sur la jeune Ashley. Confuse, elle avait néanmoins compris que la porte lui était ouverte, et, si elle était toujours choquée, elle ne pouvait pas non plus nier qu’assister à cette séance de sexe l’avait enthousiasmé. L’idée, aux yeux de Maria, était maintenant de la rassurer, en lui montrant qu’elle n’avait rien à craindre et que le couple savait se tempérer, qu’ils n’étaient pas des psychopathes voulant la découper en tranches. C’était le moment charnier.

Andy se rapprocha d’elle, bien décidé à rassurer à son tour Ashley, en lui expliquant qu’il entretenait une relation incestueuse depuis des mois, mais fantasmait en réalité sur sa mère depuis des années. Maria en rougit légèrement, et vit le regard d’Ashley coulisser vers elle, détaillant brièvement ses formes.

« Tu n’es pas notre prisonnière, Ashley, maintint la mère de famille. Nous pensons que tu peux nous rejoindre, sortir avec mon fils en admettant... La particularité de cette relation. »

Ashley déglutit encore, restant silencieuse, ce qui amena Andy à se rapprocher d’elle, et à commencer à se montrer entreprenant. Peut-être y allait-il trop vite... Mais Maria savait aussi que, même si les femmes ne voulaient pas se faire violer, il était parfois nécessaire de les brusquer un peu, car elles étaient dans la zone grise, hésitant entre le refus et l’acceptation. Ashley était à ce niveau-là, hésitante, dubitative... Dès lors, Andy allait faire pencher la balance, soit du bon côté, soit de l’autre. Dans tous les cas, il était trop tard pour le reste.

Il commença à retirer la bretelle de la femme, qui le regarda en rougissant. Il complimenta la « douceur » de sa peau, et elle sourit alors, observant son torse glabre, puis se mordilla les lèvres, et regarda alors en coin Maria, qui rigola alors.

« Nous avons baisé comme des truies sous ton nez, c’est légitime que tu le fasses avec Andy. Je sais que mon fils t’attire, et c’est normal, il est très sexy... »

Entendre ça de la bouche d’une mère avait quelque chose de révoltant... Mais peut-être aussi de délicieusement excitant pour un jeune esprit en proie au désir sexuel naissant. Elle se pinça doucement les lèvres, en voyant l’homme se rapprocher d’elle, et ne put retenir un léger frisson. Elle l’observa, et remonta sa main, caressant le torse musclé de l’homme, et remonta encore un peu, jusqu’à caresser sa joue. Des gestes lents, précautionneux, témoignant toujours de sa nervosité, mais aussi de ce plaisir qui était lentement en train de croître en elle.

« Et la tienne est... Solide... »

Elle déglutit à nouveau, les joues légèrement rougies, et lui sourit à nouveau.

« De... Depuis combien de temps tu... Euh... Tu penses à... À m-moi... ? »

Elle était légèrement nerveuse.

Qui ne le serait pas à sa place ?
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le dimanche 04 mars 2018, 13:03:53
Qui aurait pu croire, en voyant le blondinet prendre ainsi les choses en main que quelques semaines auparavant, la seule chose dans laquelle il n’avait jamais glissé sa queue était son poing fermé ? S’accoupler frénétiquement avec sa mère l’avait indubitablement fait grandir. Il avait pris conscience de son pouvoir de séduction sur la gent féminine et s’il tâtonnait encore beaucoup, il y a avait fort à parier qu’il avait un sacré potentiel, surtout avec son adorable maman comme coach. Hochant la tête aux propos de cette dernière, Andy glissa sa main sur la hanche d’Ashley, appréciant le contact de sa chair tendre et tiède. Il sentit la jeune femme se raidir quelque peu, mais sans pour autant s’écarter…Et Andy commença à se dire qu’ils étaient en train de gagner la partie, car la respiration de la petite blonde commençait à s’accélérer alors qu’elle observait le corps dénudé du jeune athlète, encore humide de transpiration. La pièce embaumait le stupre, à tel point que c’en était entêtant. Finalement elle n’y tint plus et posa sa paume sur ses pectoraux galbés, faisant soupirer le jeune homme qui esquissa une modeste moue lorsqu’elle le complimenta.

« C’est l’entraînement. Je travaille beaucoup pour avoir un physique irréprochable. »

Andy n’avait pas une musculature de bodybuilder. Nerveux et plutôt sec, il était taillé pour la vitesse. C’était à son tour d’avoir le souffle court, électrisé par le contact des doigts fuselés de sa camarade sur sa peau. Entre ses cuisses, son gros pénis veineux s’épaississait.

« Depuis l’année dernière, à la fête du lycée. Auparavant je te trouvais un peu… Vulgaire, mais quand je t’ai vue dans cette robe de bal, je t’ai trouvé très élégante… Puis j’ai commencé à fantasmer sur toi, et à imaginer ce que tu faisais avec ton petit copain et…Je me disais que moi, je te baiserais bien mieux. » Enfiévré, Andy n’avait pas su retenir le mot fleuri qui venait de franchir ses lèvres. « Mais tu n’étais pas tendre avec moi, alors j’ai essayé d’oublier cette histoire ». Pas tendre, le mot était faible. Au lycée, Ashley s’était toujours conduit comme une peste à son endroit et ne s’adressait à lui qu’avec une morgue mêlée de mépris… Andy n’était pas idiot et avait fini par réaliser que la jeune fille n’était pas aussi cruelle qu’elle n’en avait l’air, et que son regard sur lui trahissait autre chose.  Pour autant, les humiliations publiques qu’elle lui avait fait subir – Andy se souvenait qu’une fois la blondinette l’avait giflé devant toute la classe en prétextant qu’il lui avait tripoté le cul en cours de sport.

Rien à voir somme toute, avec la jeune femme intimidée qui regardait alternativement Andy et sa mère. Andy en était véritablement ému, d’autant qu’elle lui plaisait vraiment. Mais au fond de lui, brûlait le feu d’une rage sourde. Ashley paierait pour ses actes ; Andy avait bien l’intention de la foutre jusqu’à ce qu’elle tombe en pamoison, empalée sur sa grosse queue. Toutefois, c’est avec un self-control qui le surprit, qu’il se pencha en avant pour presser ses lèvres contre celles de sa camarade, sa main s’égarant sur ses cuisses. Il l’embrassa avec douceur, avant de la prendre par la main et le guider vers le lit où il venait de sodomiser frénétiquement Maria. Baisant à nouveaux les lèvres de l’adolescente, il invita sa mère à les rejoindre, alors que sa main s’égarait doucement sur les cuisses de la blondinette, faisant doucement remonter sa robe vers son pubis.

« Tiens, attrape ma queue, Ash…Regarde dans quel état tu me mets… »

En effet, le pénis du jeune homme avait retrouvé toute sa vigueur et se dressait dorénavant entre ses jambes, palpitant d’envie. Nul doute que Maria devait être dans un état d’excitation comparable à celui de son fils, leur sexualité étant au diapason.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 12 mars 2018, 00:55:25
Vulgaire... Maria ne put que sourire intérieurement devant ce mot. Qui étaient-ils, eux deux, ce couple incestueux, pour juger qui que ce soit ? L’impensable était en tout cas en train de se produire. Étaient-ils en train de convaincre Ashley de rejoindre leur duo incestueux ? C’est ce qui se produisait, et Andy, la voix lourde, trahissant son désir, expliqua à la jeune Ashley qu’il avait eu envie d’elle depuis longtemps, mais qu’elle s’était comportée comme une sorte de garce, ce qui fit doucement sourire l’intéressée.

« Ouais, ben... Moi, je t’ai jamais kidnappé, en tout cas... »

Touché ! Maria ne releva pas, consciente que l’être humain aimait beaucoup les paradoxes, surtout le beau sexe. D’où la grande difficulté qu’il y avait, sans doute, pour les hommes, à comprendre le fonctionnement d’une femme. Car, quand une femme disait « Non », il pouvait, soit s’agir d’un vrai « non », affirmé et tranché, soit d’un « non » hésitant qui pouvait devenir un « oui ». Tout était affaire de contexte, en réalité, ce qui rendait les choses... Très compliquées. En tout cas, Andy était bien décidé à passer aux choses sérieuses avec Ashley.

Maria les rejoignit donc. Ashley s’était légèrement relevée, observant la queue de son fils, et Maria la tourna alors, pour l’embrasser. Les yeux d’Ashley s’écarquillèrent devant ce baiser surprise, qu’elle laissa toutefois faire, ses joues venant à rougir de plaisir. La main de Maria se posa sur les cheveux de la femme, et elle poursuivit le baiser, fourrant sa langue, forçant le passage entre les lèvres de la femme.

« Hmmm... »

Maria esquissa un nouveau sourire, et rompit le baiser, puis fit signe à Ashley.

« Alors... Qu’est-ce que tu comptes faire ?
 -  Je... Je ne sais pas, avoua-t-elle.
 -  Voir mon fils nu ne t’inspire donc pas ?
 -  Euh... C’est que... C’est si soudain, je... »

Elle rougit encore, se mordillant les lèvres, nerveuse... Mais indéniablement excitée. Et ça, Maria le sentait, le percevait, et elle en souriait lentement.

« Laisse parler ton inspiration, nous sommes entre nous, Ashley... »

La blonde soupira encore, puis regarda Andy pendant quelques secondes, ainsi que son sexe, et rougit encore.

« T’as... T’as une sacrée bite ! » commenta-t-elle finalement, et ne trouvant également rien de mieux à dire.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Jack Taylor le lundi 19 mars 2018, 17:58:01
Avec une simplicité désarmante, Maria s’assis à côté d’Ashley et l’embrassa à pleine bouche sans que la lycéenne ne fasse mine de résister. Observant fiévreusement le ballet de leurs langues entremêlées, Andy bandait à en avoir mal, si bien qu’il referma son poing sur sa queue et commença à se branler lentement, décalottant soigneusement le gland à chaque fois. De sa main libre, fourrageant sous le tissu de la petite robe de soirée, il trouva une culotte tiède et humide. « Humm. » La peste mouillait. Il n’en fallait pas davantage pour qu’Andy s’enhardisse. Mordillant le lobe d’oreille de la blondinette, il écarta à l’aveugle le tissu qui couvrait le renflement de sa vulve pour caresser doucement ses lèvres entrouvertes de la pulpe de ses doigts. Lorsque les frémissements nerveux de son bas-ventre l’informèrent qu’elle était suffisamment excitée, il y enfouit son majeur et son annulaire, agaçant son clitoris avec la tranche du pouce. Goûtant le compliment sur la taille de sa queue, Andy ne put s’empêcher de sourire, avant de l’embrasser à son tour, trouvant avec délectation le goût de la salive de sa mère sur les lèvres de la lycéenne.

« Ça te plairait de la sucer, hum ? »

Les cheveux défaits, la robe affaissée sur les reins et remontée jusqu’aux hanches, Ashley était à la merci du couple Dawson et semblait ne plus savoir comment se sortir ce pétrin… Si tant est qu’elle en avait encore envie, ce que l’humidité de sa chatte démentait. Avec une douceur mâtinée de fermeté, Andy lâcha sa queue, puis referma ses doigts sur la nuque de la jeune femme, ses lèvres à cinq centimètres des siennes, ses doigts fouillant toujours méthodiquement sa vulve ruisselante. Puis il appuya, forçant la blondinette à se pencher sur sa queue.

« Tiens, mets-toi à quatre pattes sur le canapé », lui ordonna-il, avant de lui présenter ses doigts souillés de cyprine pour qu’elle les prenne en bouche. « Et cambre-toi bien. Montre ton cul à Mom ». Alors qu’elle s’exécutait, Andy pressa sur les reins de la jeune femme pour qu’elle se cambre davantage, ramassant les genoux sous son ventre. De la sorte, Maria n’avait qu’à relever la robe de l’adolescente sur ses reins pour goûter son intimité. Quant à Andy, il rajusta sa position en se calant contre le dossier du canapé, arquant son bassin vers l’avant pour présenter sa grosse bite à sa camarade de classe un peu déséquilibrée.

« Allez, Ash…Il faut nettoyer un peu cette queue avant que je te baise. »

La voix du jeune homme était douce, mais le ton qu’il avait employé ne laissait aucune place à la discussion.
Titre: Re : Amour filial [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 25 mars 2018, 20:44:36
Même si le coupe incestueux avait réussi à convaincre Ashley qu’ils n’étaient pas fous à lier, il y avait encore du chemin à faire pour la convaincre définitivement. Même un aveugle aurait pu le voir. Elle n’avait pas envie de fuir, mais Maria préférait temporiser, d’où ce baiser. Elle sentit la surprise d’Ashley, son étonnement... Mais la jeune femme finit par lui répondre, le désir pulsant en elle, s’éveillant doucement. Andy passa au stade supérieur, et Maria dut bien admettre qu’elle craignit, pendant une brève seconde, que leur « invitée » ne se rebiffe... Mais Ashley soupira, et se mit sur le canapé, à quatre pattes, et rougit encore.

*Peut-être que je nous sous-estime... Ou que je la sous-estime.*

Maria obtempéra à son fils. Certes, elle le dominait quand il allait trop loin, mais, de manière générale, elle le laissait exaucer ses désirs. En matière sexuelle, il avait pour lui la spontanéité et la motivation de la jeunesse, qui allaient de pair avec une endurance exceptionnelle. Son fils était une véritable bête de somme, et, plus Maria y songeait, plus elle se demandait si certains des personnages masculins centraux de ses livres n’avaient pas été, inconsciemment, calqués sur le modèle d’Andy. Une jeune garçon calme et poli dissimulant une bête dominatrice et autoritaire. Tout ça l’excitait, et c’était aussi le cas pour Ashley, qui allait se faire prendre par les deux.

Andy laissait en effet son sexe à Maria, qui se rapprocha, et, sourit doucement en approchant sa langue, constatant rapidement quelque chose :

« Tu es épilée, ma chérie... C’est bien de prendre soin de sa féminité, et... Ça ruisselle, dis-moi ! »

Ashley se pinça les lèvres, nerveuse, la queue d’Andy sous son nez. Maria estima alors nécessaire de la lancer suffisamment, juste au cas où. Ses mains malaxèrent les fesses d’Ashley, et elle l’acheva :

« Moi et Andy, on a pas cette relation depuis des années. Je... On a longuement hésité à assumer nos penchants, et je crois que tu es un peu pareille. Tu n’as pas à avoir honte de quoi que ce soit, Ashley. Ici, nul ne te jugera. »

Elle pinça alors le cul de la femme, arrachant un couinement à Ashley, et reprit :

« Au fond, je suis sûre que tu as souvent rêvé de te faire prendre par un couple incestueux, de partager ce type de relations... »

L’intéressée ne confirma pas... Mais, surtout, ne nia pas. Maria sourit donc, et approcha ensuite ses lèvres, venant lécher sa fleur. Elle entendit Ashley gémir doucement, puis l’intéressée lécha le sexe d’Andy, glissant sa langue sur sa queue, découvrant cette dernière, sentant toute sa virilité, toute sa puissance.

« Tu... Tu as vraiment une grosse bite, Andy... »

Ashley s’en pinça les lèvres, et déplaça sa main, la posant sur la base de son sexe, puis le prit pour de bon en bouche, et commença à remuer, tout en continuant à mouiller. Autant dire que Maria se régalait à boire cette cyprine. Mine de rien, elle préférait ça au goût du sperme, plus visqueux et plus gluant. Là, ça filait doucement la bouche, et, tout en la léchant, elle continua à malaxer ses belles fesses, les serrant et les écartant l’une de l’autre. Cette fois, il n’y avait plus aucun doute possible, Ashley venait de rejoindre leur petit jeu pervers !