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Château de Čachtice
Hongrie, 1605(http://img110.xooimage.com/files/2/1/1/castle-4b4178b.jpg)
«
Approche, ma petite Daisy, approche… »
Daisy (http://fc04.deviantart.net/fs71/f/2015/057/c/d/peach_inprnt_by_dmitrys-d8jn0wl.jpg), même si ça n’était pas son nom de baptême, déglutit lentement, et s’avança vers la porte entrouverte. Il avançait lentement, peu habitué à porter des vêtements si serrés… Ça le comprimait surtout au niveau de son sexe, et il devait parfois s’arrêter contre le mur, gémissant en sentant la tenue rose, moulante et serrée,, frotter contre son sexe. Impossible de retenir son érection, qui était parfaitement visible à travers son uniforme. Daisy devait également s’habituer au fait de marcher avec des talons, ainsi qu’à la voix extrêmement aiguë qu’il avait, depuis les opérations réalisées par les alchimistes de la Comtesse.
Allongée dans sa baignoire, elle appelait sa petite Daisy, et Daisy, bien naturellement, comptait obéir.
Petit village perdu dans les profondeurs de la Hongrie royale, Čachtice était sous la coupe réglée de la Comtesse, surtout depuis la mort de son mari, il y a un an. Une mort bien mystérieuse. Certains attribuaient cette dernière à une vieille blessure datant de la bataille menée contre les Turcs, d’autres à des rivaux politiques… Et d’autres, encore, à l’action de la Comtesse. Les villageois savaient ô combien la Comtesse dominait la ville, et aimait le pouvoir. Elle n’était guère arriviste, et se contentait très bien de sa région, qu’elle avait protégé pendant des années contre les pillards turcs, alors que son mari était mêlé dans le conflit dit de la «
Longue Guerre », une longue opposition d’une quinzaine d’années opposant les Habsbourg aux Ottomans. Or, Čachtice se situait près des frontières de la Hongrie, et avait, de fait, été pillé en 1599.
C’était suite à cette année que la Comtesse avait usé de tous ses talents pour renforcer les défenses du village, multipliant le nombre de soldats, et utilisant des sortilèges interdits et bannis pour renforcer la protection du village. Daisy lui était redevable. Sa famille avait été sauvée des Ottomans par elle quand ils étaient revenus. La Comtesse était, en ce sens, une femme populaire, mais loin d’être une sainte. Très cultivée, parlant de nombreuses langues, elle était terrifiée à l’idée de vieillir, et on l’accusait d’être une sorcière, de pratiquer une magie noire interdite et profane, la magie du sang. Cette magie reposait sur l’utilisation de sacrifices sanguins, les sacrifices les plus importants étant les femmes vierges. Le sang virginal était très fort en magie, et Daisy savait que la Comtesse s’en servait pour se rajeunir.
Après la mort de son mari, elle ne s’était pas remariée, et avait commencé à organiser les choses ici. Daisy avait été un simple fermier quand les soldats de la Comtesse étaient venus à sa ferme. Ils voulaient s’en prendre à sa petite sœur, et lui s’était sacrifié pour elle. Il avait vu la Comtesse, et elle l’avait renommé Daisy. Maintenant, il était déguisé en femme, et, de fait, la Comtesse le traitait comme une femme. Déguisée en Princesse, avec de longs gants blancs, un justaucorps rose moulant, Daisy se dirigea vers la porte, et l’ouvrit.
La baignoire de la Comtesse était un bassin au centre d’une grande pièce éclairé par des bougies, et Daisy déglutit en s’approchant.
«
Vous… Vous m’avez mandé, Maîtresse… »
Les alchimistes de la Comtesse avaient bien modifié sa voix. Daisy avait toujours été très efféminé, et il soupçonnait que c’était ça qui avait plu à la Comtesse. Les servantes l’avaient maquillé, parfumé, et se chargeaient de régulièrement le laver et le raser. Il n’avait ainsi aucun poil, pas même à hauteur du sexe.
«
Ah, ma chère Daisy, te voilà enfin … »
Dans un léger soupir, la Comtesse se redressa, et Daisy déglutit. Comment ne pas être frappé par une telle beauté (http://img110.xooimage.com/files/0/3/5/02-4b410c9.jpg) ? Le sang dégoulinant de son corps aurait dû l’effrayer, mais, au lieu de ça, il sentit son érection s’accroître encore. Il était difficile de le croire avec sa tenue, mais Daisy était encore vierge. La Comtesse avait interdit qu’il se serve de son sexe, et même pour se masturber. C’était terrible, encore plus quand il voyait la Comtesse faire l’amour avec ses gardes ou avec ses autres servantes, et que lui devait tenir la bougie. Il se rappelait des longues heures, interminables, à prier pour que sa queue se calme, sous les rires moqueurs de sa cruelle Maîtresse.
La femme sortit lentement de la baignoire, laissant des traînées écarlates derrière elle.
«
Comme tu le sais, je vais célébrer ce soir l’anniversaire de la mort de mon cher et regretté mari… Et je pense que ce sera l’occasion de te féliciter pour ta dévotion… Et, pour ça, j’ai requis une autre de mes petites salopes… Qui ne devrait pas tarder non plus. Toutes les deux, vous serez mes deux belles Princesses pour la soirée qui s’annonce… Et tu jouiras tellement, ma petite pute… Oh, j’en frissonne rien qu’à cette idée ! »
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"Me … Me voilà Maitresse." Dit doucement Minnie (http://i.imgur.com/c4aYfiK.jpg), entrant dans la grande salle. C'était une grande pièce où trônait un bassin en son centre. Cela officiait en tant que salle de bain de la Comtesse. Et, cette dernière, toujours aussi majestueuse, était là, debout dans toute sa splendeur. Minnie, de son nom attribué, faisait profil bas, et avait les joues toujours aussi rougie qu'à son habitude. Le garçonnet avait entendu sa voix quelques secondes auparavant, ainsi que celle d'une autre, qui s'avéra être un. Oui, il le reconnaissait. Il l'avait déjà vu au château à plusieurs reprises … C'était celui qu'ils avaient ramenés. Il s'appelait Daisy, du moins c'était ce nom qu'on lui donné. Son regard croisa le sien, le plongeant encore plus dans sa timidité, et sa rougeur. Minnie était sciemment debout, perché sur ses hauts talons, habillé en une délicate robe bleue aux riches fioritures en dentelles. Bracelets, bijoux et diadèmes, voilà ce qu'il portait à ce moment, caractérisant bien le sort qui lui était réservé pour la journée. Les manches de sa gracieuse robe lui recouvrait le dos de fines mains, et une rose rouge sang était apposée sur chacune de celle-ci, afin de lui donner une touche encore plus féminine et douce. Sa chevelure auburn était coiffée un ravissant chignon, et son visage, maquillé tel une petite poupée de porcelaine.
À la différence de son comparse présent, Minnie a tout le temps était efféminé. En réalité, il fut recueillie bien plus jeune par la Comtesse qui l'avait complètement féminisé au fil des années. Son corps le prédisposait à cela, de toutes les manières. Il serait difficile de dire qu'il est un homme, si ce n'était juste qu'il avait un torse aussi plat qu'une planche à pain, et, paradoxalement à sa féminité poussée, un gros packaging entre les cuisses. D'ailleurs, celui-ci était peut-être trop comprimé dans dans cet accoutrement de princesse, mais cela, malgré toute sa gêne, l'excitait. Il avait prit l'habitude depuis tout ce temps. Ce genre de vêtement féminin, même si ce n'était pas tout le temps des robes extravagantes, il les portait tout les jours. Minnie parlait, agissait et s'habillait comme une femme, en résumé. Son sexe, comprimé dans cette robe moulée à outrance, n'avait pu s'empêcher de réagir en conséquence. Une grande bosse veineuse s'était formée au niveau de son bas-ventre et était clairement visible. Son souffle haletant, il luttait pour garder ses esprits.
Minnie finit par s'avancer afin de se mettre à niveau de Daisy, la tête légèrement baissée, le profil bas. "Quels sont vos désirs ma Comtesse ?" Dit-il, de sa voix très féminine. Pour la petite histoire, Minnie n'avait pas subit de traitement alchimique à l'instar du serf se trouvant à ses cotés. Lui, dans la mesure où il avait été efféminé depuis son plus jeune âge, avait subit tout au long de sa vie des traitements hormonaux assez spéciaux. Si à la base son physique était déjà féminin, ces hormones l'ont définitivement transformé. Sa voix était devenue celle d'une jeune fille, avec une vague intonation masculine. Son corps s'était encore plus modelé selon l’archétype du beau sexe ; ses hanches s'étaient développées, de même que ses cuisses, bien que très, très légèrement. Sa peau était devenue extrêmement douce, délicate et dénuée de toute pilosité. Et le peu qui restait était obsessionnellement épilé. Il était une vraie petite fille en somme, mais avec une biologie masculine. On pouvait se poser la question sur ce qu'il ressentait au fond de lui, mais la réponse était clair ; il aimait ce qu'il était.
Avec tout ce passif, il n'était donc guère étonnant qu'il était plus adroit dans certaine tâche, comme celle qui consistait à marcher avec des hauts talons, qu'il portait à ce moment. Il sentait le parfum, était maquillé … Telle une princesse, puisque ce soir il allait jouer le rôle d'une. Tout pomponné, Minnie était presque heureux, à un détail près … Il n'avait jamais utilisé son sexe. La Comtesse dans toute sa cruauté et perversion lui avait interdit de s'en servir, même si c'était pour se masturber. Le pauvre garçonnet n'avait donc jamais connu ce que c'était et, l'on imaginait alors sa frustration actuelle. Surtout quand son paquet était littéralement écrasé et moulé dans une robe au touché satiné et incroyablement sensuel. C'était de la pure torture sexuelle. Et le pire, était qu'il ne s'en plaignait pas. Ainsi, il regarda la Comtesse, attendant ses ordres ou ses instructions, tout en jetant de temps à autre un petit regard sur le jeune garçon à coté de lui. Comme dit, son visage ne lui était pas inconnu. Plutôt mignon, surtout dans cette robe rose qui lui collait au corps d'une manière fichtrement envoûtante. Apparemment, lui aussi était un garçon qui avait été efféminé.
Minnie était bien curieux d'en apprendre plus à son sujet … Et nul doute que dans les secondes à suivre il en saurait d'avantage.
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La Comtesse était effectivement une femme cruelle, sadique, et perverse. Elle était la gardienne de cette région, mais elle n’était pas une dictatrice bienveillante. Elle tenait plus du tyran, utilisant sa magie du sang pour contrôler cette région. Face à elle, Daisy et Minnie se faisaient face. Deux hommes qu’elle avait transformé… Si Daisy était récent ici, Minnie, lui (ou elle, la Comtesse ayant parfois du mal à se décider sur leur sexe), était ici depuis longtemps. C’était un homme qui avait sexuellement souffert, comme Daisy, car la Comtesse aimait bien le frustrer. Tout comme Daisy, Minnie avait tenu la chandelle… Et eux deux avaient fréquemment une cage de chasteté sur leur sexe. Ils avaient subi des modifications hormonales avec les alchimistes, qui, tout en les féminisant, avaient aussi allongé et durci leurs queues. Minnie stockait depuis des années son sperme, et, peu à peu, la frustration avait fini par faire partie de son corps. Il était un parfait homme/femme, un magnifique hermaphrodite, terriblement féminin, terriblement coquet. Dans sa belle robe princière, il était magnifique, et elle vit les deux esclaves se regarder, curieux, en se demandant le sort que la Comtesse leur avait réservé.
Elle se concentra légèrement, et la magie l’enveloppa, l’irradia… Puis sa robe l’enveloppa (http://img110.xooimage.com/files/f/2/e/06-4b410df.jpg), ainsi que sa véritable tenue de Comtesse. Ses yeux devinrent d’un rouge lumineux, comme s’ils étaient injectés de sang, et elle se retourna vers eux, les incitant à se rapprocher l’un à l’autre.
« Mes belles petites Princesses… Très souvent, vous vous êtes croisés par hasard dans les couloirs de ce château, et, maintenant, je vous offre l’occasion de pouvoir enfin vous voir… »
Chacune de ses mains alla caresser leur dos, appréciant la douceur de leurs vêtements, la douceur de leurs peaux. Elle sentit leurs verges se dresser quand elle se rapprocha d’eux.
« Tous les deux avez eu envie de mon corps… Vous avez envie d’être à la place de ces mâles puissants qui me prenaient dans mon lit, tandis que, impuissants, vous deviez tenir les bougies, sans même avoir le droit de soulager les tensions qui naissaient entre vos cuisses… Vous m’avez regardé me faire prendre par le cul en désirant ardemment planter votre graine. Ne cherchez pas à le nier, car c’est normal… J’ai fait de vous de belles petites putes, mais vos queues, elles, n’ont cessé de grossir, de durcir, et de devenir de plus en plus lourdes, au fur et à mesure que je vous frustrais mutuellement… Maintenant, vous êtes prêts… »
Elle esquissa un léger sourire, et ses mains descendirent jusqu’à leurs fesses, les caressant tendrement. Daisy soupira. Contrairement à Minnie, il avait effectivement bien du mal à retenir son excitation, et, en sentant la Comtesse être si proche d’elle, il sentait l’excitation pointer, remontant de plus en plus… Mais, pour être honnête, Minnie l’attirait aussi énormément, surtout maintenant qu’ils étaient si proches l’uns de l’autre.
« Vous perdrez votre virginité ensemble, mes mignonnes… Vous êtes mes deux Princesses, maintenant. Allez, embrassez-vous… »
Daisy obtempéra sans hésitation, et ses mains se posèrent sur les hanches de Minnie. Leurs sexes se caressèrent à travers les tissus de leurs vêtements, le faisant frémir… Puis il alla l’embrasser, plaquant sa bouche contre la sienne, enfonçant sa langue entre ses tendres lèvres, soupirant en sentant son délicieux parfum, tout son corps se mettant à trembler longuement, en émettant de multiples vibrations de plaisir.
« Hmmm… »
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Le suspens était lourd à supporter. Pourtant, Minnie tout comme son comparse à coté devait subir, et attendre. Leur Maîtresse prenait ses aises et faisait ce qu'il lui plaisait, après tout. Son regard croisa celui de l'autre princesse, curieux, se demandait ce qui allait leur tomber sur la tête. Mais plus il le regardait, plus il le trouvait à son goût. Cette robe qui le moulait était fichtrement excitante et, surtout, le fait qu'elle lui faisait ressortir extrêmement bien son petit paquet était très émoustillant. Se pinçant les lèvres, Minnie tentait de ne pas trop se perdre dans ses pensées grivoises. Il lui était interdit de jouir sous n'importe quelle forme, dont celle-ci. Il fut cependant bien vite rattrapé par la réalité quand la Comtesse s'enveloppa de sa robe, par magie. Et quelle robe … Une pièce de maître. Un chef d’œuvre qui rendait cette femme encore plus attirante, flattant ses courbes à la perfection, disposant d'un très large décolleté. Cependant, quand elle se rapprocha des deux pauvres serfs, ceux-ci purent sentir leur verge se comprimer encore plus dans leur vêtement serré. Une torture sexuelle et physique. Minnie arrivait au bout de ses limites en sentant son sexe gonfler et se comprimer jusqu'à étouffement dans sa petite culotte en dentelle. Celle-ci était tendue, et ne tenait plus qu'à un fil de céder. C'était d'ailleurs pour cette raison que sa bosse dépassait clairement, et qu'elle déformait la surface de sa ravissante robe.
Il écouta le discours de sa maîtresse, puis sentit sa main descendre sur ses petites fesses plates, les caressant tendrement. Minnie gémit en silence, ne laissant qu'un petit soupir de plaisir traverser ses lèvres parées d'un langoureux rouge à lèvre mat. Si on avait maquillé Daisy spécialement pour cette occasion, ce n'était pas le cas de Minnie qui, lui, se maquillait tout les jours, en moins affriolant certes, mais se maquillant tout de même. Comme il avait été dit, ce garçonnet n'avait plus que la biologie et le torse de masculin. Pour tout le reste, il était une femme. Coquet, gracieux, il était un parfait hybride entre les deux sexes. Ainsi, perché sur ses hauts talons, il restait droit, regardant Daisy, trouvant ce garçon de plus en plus attirant. Mais, quand il entendit la Comtesse annoncer qu'elle souhaitait les voir s'embrasser, et qu'ils allaient perdre leur virginité ensemble, son cœur se mit à battre très fort.
Son camarade se rapprocha de suite, plaçant ses mains sur ses hanches, plaquant son bas-ventre contre le sien. Leur paquet respectif se frottait, se chevauchait l'un sur l'autre, alors que les deux princesses se rapprochèrent encore jusqu'à se blottir l'un à l'autre. Torse contre torse, les mains de l'un sur les hanches de l'autre, Minnie sentit la langue de Daisy s'enfoncer entre ses lèvres, et se laissa faire volontiers. "Hmm …" Soupirait-il délicieusement, alors qu'il savourait ce baiser. Son être vibrait de toute part, il sentait la langue de son partenaire titiller la sienne, se tortillant avec, créant alors un savoureux échange de salive. La princesse à la robe bleue finit par déplacer sa main, la glissant sensuellement le long du corps de Daisy, sur sa joue. Il avait effleuré sa robe, goûtant au touché sensationnelle de cette matière extrêmement moulante. Sa main se plaqua contre sa petite joue rosée, son pouce la caressa. Pendant que les deux garçonnets s'embrassaient langoureusement, Minnie ne pouvait s'empêchait de remuer du bassin pour venir frotter son imposante bosse contre celle de Daisy, voulant sentir sa verge glisser sur la sienne au travers leur vêtements.
Ce baiser était si délicieux, que Minnie ne voyait même plus le temps passer …
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La Comtesse avait fait un travail impressionnant sur les deux « Princesses », et Daisy le savait. L’homme qu’il avait jadis été avait été tué en quelques mois. Ce simple fermier qui avait été capturé par les soldats de la Comtesse, en échange pour la sauvegarde de sa sœur... Il avait été torturé, d’une certaine manière, on avait fait des expériences sur lui, des expérimentations, et le résultat final pouvait maintenant s’observer. Il embrassait Minnie, sans aucune hésitation, sans aucune retenue, et, au contraire, avec une excitation croissante, une excitation qui durcissait son sexe, le faisant se dresser. Il perçait dans sa tenue rose moulante. Fort heureusement, la Comtesse ne lui avait pas fait l’affront de lui mettre un string. Il aurait été bien trop court, mais elle avait déjà fait ça... Sentir la ficelle entre ses testicules lui avait infligé de grosses douleurs, et, même là, avec cette tenue rose, Daisy sentait cette dernière pointer, comprimant son sexe. Ce fut encore plus terrible quand leurs queues se frottèrent. Il pouvait clairement sentir celle de Minnie, et gémissait sur place, en souffrance, des gouttes de sueur filant le long de ses joues.
Ses lèvres mordillaient les tendres lèvres de Minnie, et leurs torses glabres s’enfonçaient l’un contre l’autre. La Comtesse leur avait dit de s’embrasser, et Daisy savait qu’elle ne supportait pas l’insubordination. Elle lui avait fait visiter les cachots, et il avait vu le sort arrivant aux récalcitrants, que ce soit le garde n’assurant pas son service, ou le villageois ne payant pas ses impôts. Elle les torturait cruellement, en utilisant sa redoutable magie, et cette simple peur avait suffi à motiver Daisy. La Comtesse avait enterré toute velléité de rébellion ou d’indépendance en lui. Comme elle le disait si bien, il était sa petite salope, et il embrassait goulûment son amant, fermant et rouvrant les yeux, enfonçant sa langue dans sa bouche, ses mains caressant les hanches de la Princesse en face de lui, ou glissant sur ses fesses. Il avait de beaux gants blancs épousant ses formes. Des couleurs rose pastel et blanche, tout était fait pour qu’il ressemble à une prostituée.
« Haaaann... »
Il remuait son corps d’avant en arrière, afin de frotter son sexe contre celui de Minnie, de sentir sa queue remonter le long de celle de l’homme. C’était douloureux, mais irrésistible... Il avait profondément envie de le faire, et sentir le regard de la Comtesse en train de les observer l’excitait encore plus. Les minutes défilaient ainsi, suspendues aux bouches des deux amants transformés en princesses... Et, discrètement, la Comtesse usait de la magie du sang, utilisant une application peu connue de cette arcane ancestrale, mais très utile. Elle était en train d’accroître leur érection, rendant leur câlin plus collant, plus torride... Les mains de Daisy se concentraient davantage sur les fesses de Minnie, les comprimant à travers la robe. Cependant, Minnie avait plus d’expérience que lui, et ce fut donc Daisy qui s’abandonna en premier.
Le pauvre homme n’en pouvait plus, tout hurlait dans sa tête. Son vit était comme sur le point d’exploser, et il se masturbait contre le sexe de Minnie, contre sa robe... Sa salive s’échappait parfois de ses lèvres, et il finit par mordre les douces et magnifiques lèvres de son amant en jouissant. Ses doigts s’enfoncèrent douloureusement dans la chair de l’homme, et il jouit dans sa combinaison, balançant des chapelets de sperme qui rebondirent le long de sa combinaison, venant éclabousser son torse.
« Hnnnnnnnnnnnnnnnn... !! »
Il soupirait lentement, et la Comtesse, elle, s’amusait.
« Et bien, et bien... Il semblerait que mes vilaines Princesses commencent à se salir... Heureusement que vos tenues sont résistantes... »
Elle se moquait d’eux, et Daisy était rouge, en sentant le sperme sur son corps, le faisant frissonner et trembler. Il continua à embrasser l’homme devant lui, encore et encore, se pressant contre son corps, son sperme collant un peu plus sa tenue rose contre son torse, formant des lignes et des tâches qu’on pouvait sentir en caressant son torse.
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Si à la base Minnie semblait s'être réellement emballé pour sa maîtresse incontestable, et incontestée, plus les minutes défilaient, plus son esprit le faisait dérailler. Yeux fermés, bouche éperdument éprise dans celle de Daisy, il s’enivrait à chaque seconde qu'il passait du doux parfum de la princesse. Il ronronnait de plaisir, mais cela se voyait très clairement qu'il souffrait le martyr de s'être fait autant frustrer. Il n'avait même pas correctement perçu le fait que la Comtesse leur avait annoncé qu'ils allaient perdre leur virginité à deux. Cela impliquait que, peut-être, ils allaient coucher ensemble. Mais rien que ce baiser était déjà une extraordinaire chose aux yeux de Minnie. Toutefois, la pression sembla décidément bien trop grande pour son comparse qui, au bord, soupirait de tout son être. La princesse à la robe bleue avait les jambes tremblotantes tellement il adorait sentir son sexe se presser et se lover contre celui de Daisy. En réalité il s'agissait plus qu'une simple caresse, les deux malheureux voulaient réellement se masturber l'un sur l'autre. Et, alors que Minnie rougissait énormément, sentant son sexe tirer sur les dernières résistances de sa petite culotte.
C'était douloureux, très douloureux, mais terriblement jouissif de sentir son propre sexe se comprimer sur ce bout de tissu. Toutefois, malgré le fait qu'il ne pouvait pas se tendre, son pieux de chair se tordait et venait encore plus faire gonfler l'imposante bosse à la surface de sa robe. C'était inhumain, surréaliste. Il n'en avait aucune idée mais, en réalité, la Comtesse y apportait beaucoup du sien grâce à une utilisation assez singulière de sa magie … Minnie et Daisy n'y voyaient que du feu. Cependant, ce dernier craqua complètement et, dans un énième soupir, les lèvres toujours savoureusement couplées aux siennes, il jouit abondamment, sa queue se dressant sous sa robe moulante, aspergeant son torse depuis l'intérieur. C'était si … Excitant, si jouissif même pour Minnie de sentir la verge de son camarade expulser son jus de cette façon. Il se frottait encore plus vigoureusement à lui, cherchant furieusement à sentir son sexe contre le sien, même au travers de ces vêtements. Pour se faire, il déplaça finalement ses mains sur les petites fesses rondes de Daisy, puis commença à les écarter l'une de l'autre, les malaxant fermement, tout en conservant une certaine douceur.
Mais le plus flagrant était qu'il se servait du fessier de Daisy pour prendre appui, et littéralement se plaquer contre son amant. Il écrasa sa verge avec la sienne, et commença à remuer du bassin pour s'y frotter du maximum qu'il pouvait. Poussant des soupirs toujours plus intense, Minnie était lui aussi au bord de l'extase. "Hmmm-Hmmmmm !!!" Gémissait-il dans la bouche de Daisy, savourant ce baiser, et ce frottement contre le sexe de Daisy. Par effet de frottement, sa propre verge finit par se dresser, pointant son bout en dehors de sa culotte, touchant la robe en elle-même. On pouvait déceler à présent la bosse que créait son gland à la surface du beau vêtement. Il se frottait intensément, langoureusement, voulant à la fois sentir la queue de son partenaire sur la sienne, mais aussi les traces de sa semence au travers sa robe, au niveau de son torse. Après quelques temps passé ainsi, Minnie finit par connaître le même sort que son comparse. Toujours en continuant de l'embrasser furieusement, goûtant au savoureux mélange de leur salive, il se sentit partir.
"Hmmmmmm !!!" Couina-t-il quand son sexe se mit à cracher des salves de foutre au travers sa robe, la tâchant de toute part, même au niveau de son torse vu qu'il était dressé. Mais, tellement emporté par sa fougue et son désir, il continua à se frotter énergétiquement contre son partenaire tout en jouissant, sans aucune retenue, et tout en maintenant leur intense baiser. Ses mains s'étaient crispées sur ses fesses, et plus que jamais il malaxait ce beau petit fessier rebondi, se faisant une joie de le malmener de ses mains inquisitrices. Même si sa semence se faisait absorber par le tissu de sa robe, il était probable que Daisy ai senti ce liquide contre lui, et plus particulièrement, contre sa verge … Minnie espérait que ce spectacle ai ravi leur maîtresse, et que celle-ci avait leur avait préparé bien d'autres surprises, quitte à les faire encore plus souffrir …
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Les deux hommes s’embrassaient goulûment. Daisy adorait ça, car il avait rarement l’occasion d’user de ses petites lèvres. La Comtesse aimait bien le frustrer, et, quand il pouvait embrasser quelque chose, ce n’était jamais des lèvres, mais plutôt des bouts de peau, ou des morceaux de vêtements. Maintenant, il pouvait enfin caresser un corps, éprouver de belles formes, et il continuait à embrasser l’homme, même après avoir joui. Qu’est-ce que la Comtesse allait faire ? Elle ne voulait pas que ses Princesses jouissent, mais Daisy n’avait pas pu s’en empêcher... Ça avait été plus fort que lui, et il lui était actuellement difficile de dire comment la Comtesse allait réagir. À défaut, il continuait à embrasser Minnie, et sentit également ce dernier jouir, peu de temps après lui. Ils se retrouvèrent donc avec leur foutre, collé contre leurs vêtements, et se plaquant ensuite sur leur peau.
Il continua encore à l’embrasser, ronronnant en sentant les douces mains de Minnie venir sur ses fesses, les caressant dessus. Ses mains gantées caressaient la nuque de l’homme, et son autre main vint trouver son téton, le caressant lentement. Ce n’était pas aussi moelleux qu’un sein, ni aussi tendre, mais il le pinça, sachant que, chez les hommes aussi, cette zone était érogène. Il voulait faire plaisir à Minnie, car il se sentait proche de lui... Sans doute parce qu’ils avaient une tenue similaire, et probablement les mêmes fonctions auprès de la Comtesse.
« Vous êtes très mignons, toutes les deux... »
La Comtesse tournait autour d’eux, comme une véritable prédatrice sexuelle, faisant frémir Daisy, et ce surtout quand ses doigts vinrent caresser ses épaules, ainsi que ceux de Minnie. La femme s’amusait avec eux, tout simplement, son odeur les imprégnant, son parfum remuant agréablement autour d’eux. Daisy frissonna à nouveau, et la Comtesse matérialisa entre ses mains des colliers, qu’elle attacha sur les cous de ses deux esclaves. Elle les verrouilla, puis mit ensuite une corde entre les deux, attachée à chaque bout par une sorte de boucle, qui leur permettait ainsi de se déplacer, tout en restant toutefois reliés entre eux, la corde étant trop courte.
« Maintenant, vous êtes des inséparables, mes deux petites putes... Et vous allez encore jouir dans vos belles robes, faites-moi confiance... »
Sa voix suave était mélodieuse à entendre, et la Comtesse caressa leurs cheveux, les laissant encore s’embrasser, comme si rien ne semblait pouvoir amener leurs lèvres à se retirer les unes des autres.
« Bien... Arrêtez donc de vous embrasser, mes chéris... Je pense qu’il est temps d’aller à votre soirée. Mettez-vous tous les deux face à moi. »
Le cœur de Daisy remuait violemment dans sa poitrine, et il se retourna face à la Comtesse, les bras le long de son corps. En souriant, la femme avança chacune de ses mains vers leurs sexes, et s’amusa alors à les masturber. Avant de les laisser partir, elle comptait bien encore les amener à jouir... Et Daisy, en soupirant, glissa sa main dans celle de Minnie, la serrant en se tortillant sur place.
« Ah... Haaa, Maî... Maîtresse, hnnnn... !! »
Oui, il n’allait pas tarder à jouir encore...
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Un baiser aussi long que langoureux. Tout le désir de Minnie s'écoulait dans cet échange buccal des plus succulents et torrides qu'il partageait avec Daisy. Il n'avait peut-être jamais fait connaissance avec ce garçon, il ne l'avait peut-être que croisé occasionnellement, et même, il ne lui avait jamais parlé. Mais pourtant, à ce moment, cela commença à changer. Peut-être était-ce dû au fait que les deux esclaves avaient été rudement frustrer durant tout ce temps, mais Minnie se sentit exploser de désir envers Daisy. Le baiser qu'ils échangeaient étaient très sulfureux. Leurs mains caressaient le corps de l'un comme de l'autre, tandis que les deux princesses avaient finit par jouir dans leur robe moulante. Des tâches étaient apparues à la surface de celle de Minnie, mais elles finiraient par s'estomper à force. Il n'en démordait pas, et ne quittait les petites lèvres miellée de Daisy sous aucun prétexte ! Il les adorait tant, désormais. Ses yeux maquillés de toute part étaient fermés, afin de mieux se plonger dans les sensations que procurait cette étreinte. Il ronronnait, couinait, gémissait de plaisir à tout instant. Son corps frêle tremblait de toute part alors que ses pulsions devenaient de plus en plus importantes … Mais, il devait se retenir. Plus ce baiser durait, plus Minnie avait littéralement envie de faire l'amour avec Daisy.
Pourtant, après avoir intensément jouit, leur maitresse décida de les faire s'arrêter. Avant cela, elle avait commencé à roder autour d'eux, caressant leurs épaules. Mais le plus intéressant fut qu'elle usa de sa magie pour créer deux colliers, assortit d'une solide corde. Elle attacha le tout aux deux délicats cou des deux garçons, les liants physiquement pour le restant de la soirée. Minnie ne remarqua même pas cela, du moins pas tout de suite, trop occupé à succomber au délice des lèvres de Daisy, et au pulpeux de ses fesses. Toutefois, la Comtesse exigea d'eux d'arrêter leur passionnelle étreinte. Ce fut avec un peu de regret que la princesse en robe bleue quitta la petite bouche de son comparse, l'effleurant de ses doigts, avant de le lâcher complètement. Puis, il obéit, docilement, se mettant face à sa maîtresse absolue. Un sourire peu rassurant se traça sur les lèvres de la majestueuse femme, qui s'avança vers les deux esclaves. Sans s'y attendre, Minnie laissa un soudain hoquet de plaisir sortir de sa bouche quand il sentit la main ferme de la femme s'emparer de son sexe.
"Haaa …" Gémit-il, se mordant furieusement les lèvres. Elle n'y alla pas de main morte, et se mit dès lors à masturber ses deux petites poupées en même temps. Aucun échappatoire, aucune chance de survivre. Minnie et Daisy étaient condamnés à jouir à nouveau, se faisant masturber vigoureusement par leur maîtresse incontestée. Les deux acolytes gémissaient et se tordaient dans tout les sens, comme pour tenter de contenir la bouffée de plaisir les envahissant au niveau de leur verge. Minnie n'en pouvait plus. Même s'il venait de jouir, ses bourses étaient suffisamment pleine de frustration pour faire encore, et encore gicler un trop-plein de foutre à tout moment. "Ahhaa-Haaaaa !" Gémissait-il, sans pouvoir se retenir. Mais, ce qui le conduit définitivement au bord de la jouissance fut cette main qui se glissa dans la sienne. Coincé entre deux soupirs, ses joues prirent une teinte encore plus rouge dès lors. Et, instinctivement, il serra ses doigts, les croisant avec ceux de Daisy. Plus la pression augmentait dans son sexe, plus il serrait ses doigts avec ceux de son nouvel amant. C'était comme si il s'accrochait à lui pour tenir le coup. C'était un geste irréfléchi, mais qui pourtant, avait son sens.
Puis, malgré toutes ses résistances, il éviter l'inévitable. "Hmmmmm !!!" Finit-il par soupirer grandement, laissant son sexe exploser d'extase. Sa bouche était ouverte et sa langue pendouillait légèrement. Sa verge, massive et veineuse, laissa plusieurs jets de foutre haute-pression gicler par-ci et là. Plus que jamais il serra la main de Daisy, tout en faisant attention à ne pas lui faire mal …
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La Comtesse leur rappelait qui était la Maîtresse ici, qui contrôlait ces deux petites putes qu’elle masturbait frénétiquement. Elle n’était pas aveugle ; si un évêque les voyait, rien que dans ces tenues, il les condamnerait immédiatement à mort. Ce que le trio faisait était profondément anticatholique, mais, à bien y réfléchir, la Comtesse n’avait jamais été une très bonne Chrétienne. Le pouvoir, voilà ce qui l’intéressait. Avoir du pouvoir, exercer de l’autorité, être une leader. Elle dirigeait les bouseux de cette région avec fierté, car, en les dirigeant d’une main de fer, elle pouvait s’amuser avec eux, mener quelques expériences... Comme ces deux salopes qui se tortillaient sous ses mains. Elle avait écrasé leur personnalité profonde. Il était impossible que Daisy ou Minnie se révoltent un jour. Cette simple idée ne leur traverserait même jamais l’esprit, et, si jamais elle faisait irruption, ils la rejetteraient tout aussi vite. La Comtesse les masturbait donc frénétiquement, avec un plaisir certain, vorace, en les voyant se tortiller. Le sexe était une arme terrifiante, quand on savait la manier, et c’était bien évidemment le cas de cette femme. Oh, ces deux Princesses n’avaient pas à se plaindre ! Si elle n’avait pas décidé de les prendre, ils auraient vécu comme de vulgaires bouseux de campagne, auraient épousé une grosse vache, à qui ils auraient donné des lardons moches et puants dans une grange. Avec elle, ils découvraient la véritable Beauté féminine, et une vie beaucoup plus délicieuse...
Daisy et Minnie se tortillaient en soupirant et en couinant, et leurs doigts se serraient. Elle trouvait l’image touchante, et continua donc à les caresser. Ses mains, fermes et solides, remontaient et descendaient le long de leur hampe de chair, atteignant leurs testicules, puis remontant pour s’approcher de l’extrémité de leurs sexes. Elle continuait ainsi son petit jeu, et Daisy et Minnie jouirent presque en même temps.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
La Comtesse retira alors ses mains, en esquissant un léger sourire. Ils étaient en sueur, les joues rouges, et avaient encore sali leurs tenues, avec des filaments de foutre qui, pour Daisy, remontaient jusqu’à son torse. La femme sourit, et remonta ses mains pour caresser affectueusement leurs joues.
« C’est bien, mes petites... C’est très bien. Il est maintenant temps d’aller à notre soirée...
- D’a... D’accord, Maîtresse... »
La Comtesse se mit à marcher droit devant elle, les portes s’ouvrant toutes seules quand elle s’en approchait, comme par magie. Daisy savait depuis longtemps que cette femme était une sorcière. On disait que c’était en utilisant ses pouvoirs magiques qu’elle avait défait les Turcs, et assuré la protection de la région. On la craignait autant qu’on la vénérait. D’une démarché cadencée et élégante, en faisant remuer sa belle ronde, et avec un ondulé des hanches qui touchait à la grâce, elle avançait le long des couloirs de son grand château, jusqu’à rejoindre une grande double porte en bois.
L’ouverture de la porte conduisit le trio dans une grande salle de fête, où ils purent entendre moult soupirs et gémissements. Ce n’était pas encore une orgie, mais les invités de la Comtesse, en grande majorité des femmes, se faisaient plaisir. Daisy déglutit, en remarquant une caractéristique commune à tous ces invités. Leurs canines pointues étaient plantées dans de la chair fraîche, et, tranquillement, ils étaient en train de boire du sang.
Des vampires... Des vampires magnifiques et belles, aux corps enchanteurs, exactement comme celui de leur Maîtresse. Malgré sa peur, Daisy sentit sa verge se redresser, et crispa sa main sur celle de Minnie.
« Nous... Nous restons ensemble, d’accord ? »
Une phrase qui n’avait pas grand sens, vu que, de toute manière, le duo était lié par le collier de leur Maîtresse, mais Daisy cherchait surtout à s’assurer que Minnie était, comme lui, bien un humain... Car, par ce biais, il se sentirait tout simplement moins seul.
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Les deux garçons avaient jouit de concert, se serrant nerveusement la main. Il fallait dire que la Comtesse était une experte en la matière, quand il s'agissait de sexe. Elle avait réussie à les faire jouir rien qu'en les masturbant ! Le fait qu'ils avaient été frustrés pendant tant d'années y était pour quelque chose, mais la grande dame avait tout un doigté. Reprenant son souffle, Minnie balança un petit regard vers son comparse. Il était beau, avec cette robe moulante, et cette petite teinte rosée sur ses joues. Plus il passait du temps avec lui, plus il commençait à ressentir un grand désir pour lui. La princesse à la robe bleue tremblait de toute part, ses jambes n'arrivant presque plus à le soutenir. Heureusement qu'il était à l'aise avec des hauts talons, et que marcher avec était presque naturel pour lui. Comme dit, si ce n'était pour son physionomie, il serait clairement une femme. En ayant jouit de la sorte, son foutre avait gicler de part en part et avait généreusement taché sa propre robe. Des tâches parsemaient ses jupons mais visiblement la Comtesse semblait vouloir les faire venir à la réception dès maintenant.
Hochant de la tête, il suivit Daisy. En même temps, ils étaient tout les deux liés via une corde au cou. Et même si elle n'était pas là, Minnie n'avait strictement aucune envie de lâcher le jeune garçon. Se tenant fermement par la main, les doigts entremêlés, ils avançaient tout les deux, montés sur leur hauts talons. Quand ils arrivèrent devant la grande porte menant à la réception, et que celle-ci s'ouvrit, un véritable spectacle presque macabre s'offrit à eux. Des vampires, des magnifiques créatures plantant leurs crocs acérés dans de la chair fraîche. Certaines se faisaient plaisir, d'autre se délectaient de leur nectar sanguin. Minnie sentit son cœur battre fort, et serra plus que jamais la main de Daisy, comme pour se rassurer. Quand celui-ci demanda à ce qu'ils restent ensemble, la princesse à la robe bleue ne pu s'empêcher de réagir. Il se rapprocha de Minnie et vint passer son bras en-dessous du sien, comme s'il s'agissait de son cavalier pour la soirée.
Pour ponctuer le tout, il vint déposer un chaste baiser sur sa joue, tout en lui adressant un sourire. "Nous le resterons …" Lui répondit-il alors. Et ainsi, bras dessus bras dessous les deux garçons s’avancèrent dans l'immense salle. Minnie bandait toujours autant, et cela causait la formation d'une bosse à la surface de sa robe. Les deux princesses de la soirée étaient arrivées, les choses intéressantes pouvaient à présent commencer. Minnie se cramponnait à Daisy fortement, ne voulant pas lâcher son bras, se sentant définitivement plus en sécurité et plus en confiance blottit contre lui. Et puis, c'était très agréable … Comme dit, plus le temps courrait, plus il sentait un désir naissant pour ce garçon. Nul doute qu'au cours de cette soirée il allait laisser parler ses envies et ses sentiments envers Daisy … En espérant que celui-ci allait apprécier.
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C’était un spectacle aussi glauque qu’effrayant... Mais, alors que Daisy sentait la peur le traverser, d’autres émotions l’enveloppaient également. La Comtesse avait dû ramener tous les vampires du royaume ! Il n’y avait quasiment que des femmes vampires et des esclaves masculins, et toutes étaient, sans exception, de terrifiantes beautés. Il sentit alors Minnie l’embrasser sur la joue, promettant qu’ils resteraient ensemble... Et cette pensée réconforta Daisy, qui se dit alors que, sur une échelle de la virilité allant de 1 à 10, il devait avoisiner du zéro absolu... Mais, face à la Comtesse, face à sa Maîtresse, il était en réalité assez difficile de réussir à s’imposer. Ils s’avancèrent donc, leurs chaînes cliquetant sur leur passage, les empêchant de s’écarter, et Daisy rougit en voyant des regards se porter vers eux. Il y avait de solides hommes musclés et bien bâtis, au torse luisant, des guerriers et des mercenaires arborant fièrement des cicatrices de guerre, de simples courtisanes qui souriaient en voyant leurs érections proéminentes... Car, si Minnie bandait dure, c’était aussi le cas pour Daisy, les multiples attouchements de la Comtesse n’ayant eu que pour véritable conséquence de l’exciter comme jamais. Sa queue lui semblait être sur le point de craquer, et, à chaque fois qu’il marchait, il pouvait sentir son sperme, formant des tâches gluantes contre son torse. Ecœurant... Et pourtant tellement délicieux.
*Je suis devenu une vraie salope... J’ai encore du mal à me considérer comme un garçon...*
Fréquemment, il pensait à lui en disant « elle »... Si ce n’est son sexe et son absence de seins, tout, en lui, était féminin, jusqu’au timbre de sa voix, ou à la pigmentation de sa peau, le fruit des cruelles et sadiques expériences de la Comtesse. Son identité propre lui avait été volée, arrachée, afin de faire de lui une Princesse salope de conte de fées, le tout dans l’optique de plaire à sa redoutable Maîtresse. Il n’était plus un homme, ni même une Princesse en réalité... Mais une poupée. Il soupira, et s’avança donc un peu, en observant le spectacle singulier.
L’un des guerriers qu’il avait vu était en train de prendre contre le mur une vampire qui répondait au doux nom de Grace (http://fc08.deviantart.net/fs70/f/2011/238/6/8/grace_by_blu3mysticl3o-d454zgv.png), et qui, avec les quelques tatouages ornant son dos, était une guerrière, une chef de clan, une chef de mercenaires qui s’amusait à massacrer les Ottomans le long de la rivière. Elle soupirait, enfonçant ses griffes dans le dos de l’homme, quelqu’un qui avait été condamné à mort par les Ottomans après avoir massacré des civils turcs. Son sang coulait le long de son dos, et Daisy, en déglutissant, regarda autre chose.
Miranda (http://fc06.deviantart.net/fs71/f/2011/179/4/9/the_first_snow_by_lithriel-d3384vn.jpg) n’était pas, à proprement parler, une vampire, mais une sorcière... L’une des élèves de la Comtesse, une femme que Daisy avait déjà vue en compagnie de sa Maîtresse, dans les laboratoires alchimiques de la Comtesse, où elle venait inspecter les sujets d’expérience, se livrant à des expériences alchimiques sur eux. Daisy avait été le témoin d’une de ces expériences, et avait vu toute la cruauté de cette femme, qui avait fait sortir du corps d’un homme son sang en ouvrant des plaies sur son corps. Il avait pleuré en entendant les hurlements d’agonie de l’homme, puis, comme pour le soulager, Miranda lui avait fait une fellation... Ensuite, elle l’avait laissé là, et, toute la nuit, il avait entendu l’homme gémir, avant de mourir progressivement. En ce moment, Miranda était allongée sur des coussins très confortables, mangeant des fruits et des baies, et Daisy déglutit, ne pouvant s’empêcher d’avoir une érection en la regardant, et préféra regarder une autre personne.
Un spectacle des plus pervers, profondément antichrétien, se déroulait dans un coin, autour d’Esperanza (http://fc04.deviantart.net/fs70/i/2010/031/c/6/girly_glamour_by_mattdonnici.jpg). Cette belle Espagnole avait été accusée par l’Église catholique d’être une sorcière, un prétexte fallacieux intenté par son mari, afin de pouvoir récupérer son héritage, à l’aide d’un marché sordide avec le prêtre local. Elle avait été sauvée par un vampire, et transformée en vampire. Esperanza avait échappé à la mort, et avait tué son mari, le prêtre, et brûlé tout le village le Dimanche, lors de la messe. Elle avait bloqué l’église, et incendié cette dernière, tuant tous les gens dedans. C’était une femme cruelle et perverse, et, en ce moment, trois hommes étaient agglutinés autour d’elle. Un se trouvait sous son corps, et elle dansait dessus, de haut en bas, tandis que, à gauche et à droite, deux verges brandies s’enfonçaient régulièrement dans sa bouche. L’Espagnole les tenait dans le creux de chacune de ses mains, et gémissait de plaisir en les suçant, pompant énergiquement sur eux. La Beauté du Diable. Pour Daisy, qui avait été éduquée dans une religion catholique, un tel spectacle était horrible.
Son regard, finalement, se porta vers l’une des femmes les plus importantes de cette orgie de débauche : une Habsbourg, Lady Katherine Habsbourg (http://img12.deviantart.net/154e/i/2015/101/1/b/sister_of_the_night_by_selenada-d6ubjwd.jpg), une femme qui, disait-on, côtoyait et couchait avec l’Empereur Radolphe II, Empereur du Saint-Empire Romain germanique, l’un des hommes les plus influents de la planète, presque autant que le Pape. Lady Katherine était en train de mordre au sang un jeune éphèbe.
Daisy déglutit lentement, et sa main se crispa sur celle de Minnie.
« Je... Je ne sais pas quoi faire, Minnie... »
Au même moment, Miranda, elle, les regardait avec une lueur espiègle, et leur fit signe du doigt d’approcher...
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Minnie avait beau être plus ancien que Daisy, en ces murs, n'en demeurait pas moins que la scène s'offrant à lui le stupéfiait tout autant. Un mélange de peur et d’excitation, quand on voyait sa verge qui faisait déformait grandement la surface de sa robe. De la sueur froide coulait dans son dos, et plus il marchait, plus cela s'accentuait. Chaque pas faisait coller sa culotte en dentelle contre son sexe en pleine effervescence, et lui faisait donc sentir sa propre semence se frotter et se coller sur sa peau. Une sensation peu ragoutante, mais qui en ce moment même ne faisait qu'empirer son érection qui était déjà très importante. Il s'en mordillait les lèvres, et couinait tout bas tellement il luttait contre ses pulsions. Mais heureusement, Daisy était là. Se tenant par le bras, les deux ravissantes
princesses s'avançaient au milieu de tout ce beau monde en train de s'envoyer en l'air de toutes les façons possibles. Dur ne pas perdre la tête au milieu de toute cette activité sexuelle environnante, surtout pour Minnie. Et puis, rien que le fait d'être blottit contre son comparse lui donnait une furieuse envie … De lui faire l'amour. Il était donc inutile de tergiverser plus longtemps : Minnie avait très envie de Daisy.
Mais pour l'heure, les deux garçons s'avançaient et plus ils en découvraient, plus il était dur de résister. Vint un moment où le pauvre garçon à la robe rose crispa sa main atour de celle de son acolyte tout en lui déclarant qu'il ne savait pas quoi faire. Ce dernier avait réellement envie de le rassurer, mais lui-même ne savait pas grand chose de plus. Si ce n'était qu'il était mieux habitué aux fantaisies et extravagances de sa maîtresse. En réalité, c'était plus par la nature bien plus profonde de sa
féminisation qu'autre chose. Ce n'était pas un simple conditionnement de genre ; c'était tout un conditionnement sexuel, psychologique, physique et comportemental. Minnie agissait, parlait, pensait et réfléchissait exactement comme une fille. Les seuls détails le trahissant était juste physique … Il n'avait pas de poitrine, et avait un, aussi paradoxal que cela était, un imposant service trois pièces entre les jambes. À partir de ce constat, on ne devait plus s'étonner de le voir agir ainsi. Ce fut pour cette raison que quand il sentit la main de Daisy se resserrer contre la sienne, il tourna sa tête pour chercher son regard, en caressant le dos sa main, et lui donna en retour un sourire des plus rassurants.
"Il n'y a … Rien à faire, je pense …" Lui dit-il, alors que rapidement, les deux garçons se firent repérer par l'une des convives. Du bout de son doigt elle les appelait, les obligeant donc à venir à elle. Un dernier regard envers Daisy, puis les deux
princesses s’exécutèrent donc. Leur talons claquèrent contre le sol, le tissu de leur robe tirait contre leur peau, provoquant un bruit de friction qui excitait d'avantage Minnie. À ce stade-là, il n'y avait plus aucune honte à afficher une grande et longue bosse au niveau de son bas-ventre. Quand on bandait tout en était dans une robe, c'était inévitable … Même avec les années, Minnie n'avait jamais réussi à trouver le remède. C'était pour cela qu'avec le temps, cela ne le gênait plus du tout. Au bout de quelques instants, du haut de leur talons, ils faisaient face à la somptueuse Miranda. La princesse à la robe bleue prit la parole.
"Vous nous avez fait quérir, dame Miranda ?" Demanda-t-il de sa suave voix très féminine.
S'il semblait plus confiant que Daisy, ce n'était pas totalement la réalité. Cela se voyait par ses jambes légèrement tremblotantes, et le fait qu'il serrait plus que tout la main de son amant, tout en la caressant du bout de son pouce. Il était la seule personne envers qui il pouvait avoir confiance et se sentir en sécurité, en cette soirée …
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Les deux Princesses de la Comtesse étaient l’attraction de la soirée. Daisy pouvait entendre des gloussements dans son dos et des soupirs moqueurs. Les invités de sa Maîtresse étaient habitués aux excentricités de cette dernière. Ces deux travestis habillés comme des salopes en étaient le plus bel exemple. Silencieuse, Miranda souriait en les regardant, et Daisy, elle, déglutissait…. Non, lui ! Ah, il ne savait même plus quel était son genre… Mais, s’il avait des doutes, la tension qu’il ressentait entre les cuisses pouvait toujours le lui rappeler. Daisy, en ce moment, aurait sincèrement aimé ne pas ressentir une telle trique, mais c’était tout simplement plus fort que lui. Son vit tendu indiquait tout le plaisir pervers qu’il ressentait à l’idée d’être travesti ainsi, et qu’on puisse l’observer. Le duo, main dans la main, rejoignit ainsi Miranda, et, dans leur dos, des mains grasses et solides palpèrent alors leurs culs. Ces mains appartenaient à des hommes musclés, à la peau basanée et au torse saillant et glabre. D’anciens guerriers ottomans qui avaient été capturés et transformés en esclaves dociles et en amants redoutables. Daisy déglutit, et put sentir une verge se frotter contre ses fesses… Une verge grosse et joufflue, en érection, tandis qu’il sentait, contre son dos, le torse puissant de l’homme, qui se blottit contre lui, sa main venant caresser sa verge.
« Haaaa… »
Daisy rougissait, et Minnie subissait le même traitement. Miranda, elle, souriait en les observant.
« Je vous interdis de jouir vite, mes petites salopes… Ou vous finirez dans mon laboratoire… »
Glups ! Daisy déglutit, paniqué à l’idée de finir dans son laboratoire… Mais, paradoxalement, cette main ferme et virile qui le masturbait était forte. Sa main se crispa sur celle de Minnie, et il gémit longuement, basculant sa tête en arrière, heurtant ainsi le torse de l’homme. Ne pas jouir, ne pas jouir… Pour ça, il ne fallait pas regarder Miranda, Miranda qui se jouait d’eux, Miranda avec sa beauté insolente et glaciale. Daisy continuait à soupirer et à se forcer à ne pas se laisser aller… Surtout, il ne fallait pas imaginer cette main ferme et solide qui remuait le long de sa hampe, ce corps se pressant dans son dos, remuant tout contre lui… Se retenir, se retenir… Oh, c’était si dur !! Pauvre Daisy, qui manquait clairement d’expérience sexuelle, et qui avait la langue qui pendait en sentant les doigts fermes de son amant.
Il en aurait presque pleuré tant la souffrance était forte. Miranda, elle, s’amusait énormément, son regard coulissant de Daisy à Minnie, les observant avec une lueur amusée dans le creux des yeux. Cependant, Daisy luttait contre l’impossible, et finit par jouir, dans un long soupir, balançant, comme à chaque fois, de belles giclées de sperme, qui allèrent tacher sa belle robe.
« Haaaaaa…. Haaaaaaannnn… »
Daisy soupirait profondément, puis déglutit à nouveau. La main du Maure se retira, et l’homme le poussa vers Miranda. Daisy se retrouva à côté de Miranda, et Minnie, relié par Daisy, suivit. Concrètement, les deux hommes tombèrent sur le corps de Miranda, s’affalant à sa gauche et à sa droite, leurs corps partiellement posés sur le sien. En souriant, Miranda fit signe à ses esclaves maures. Visiblement, sa menace de les envoyer au laboratoire n’avait été que du bluff.
« Je vous ai apporté un cadeau… Car, même si vous l’ignorez, la Comtesse vous apprécie beaucoup. Vous êtes un peu ses petits trésors… »
En entendant ça, Daisy cligna des yeux à plusieurs reprises. Sa tête était posée contre l’un des seins de la femme, et il pouvait sentir les doigts de cette dernière caresser et frotter son dos, glissant le long de sa peau.
« Vrai… Vraiment ?! » s’enquit Daisy, qui en était tout rouge.
Est-ce que sa Maîtresse avait vraiment dit ça de lui ? Qu’il était son petit trésor ? C’était… Et bien, c’était extrêmement touchant, et il s’en mordillait les lèvres. Miranda se contenta d’un sourire mystérieux, rendant encore plus difficile de savoir à quoi elle pensait à ce moment. Ses esclaves avaient ramené deux petits coffres, et en sortirent chacun un plug anal.
« Mettez-les dans leurs petites fesses… »
Daisy rougit encore plus fort, et soupira ne se pinçant les lèvres quand il sentit les mains fermes de l’esclave écarter sa tenue, et glisser en lui le plug.
« Haaaaaa…. !! »
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Minnie déglutit en voyant Miranda. Bien qu'il n'avait jamais eu affaire avec elle, il avait prit connaissance de toute ce qu'on racontait à son sujet. Ses sombres expériences qu'elle menait sur des cobayes encore en vie ! C'était une femme cruelle qui infligeait les pires tortures à ses sujets d’expérience. Mieux valait ne pas lui servir de chair fraîche dans son laboratoire, car c'était généralement synonyme d'agonie lente et douloureuse. Stressant quelque peu, la princesse à la robe bleue attendit la moindre réponse de sa part, quand il sentit un poids lui rentrer dedans, derrière lui. Il sentit aussi son petit cul se faire palper, comme si quelqu'un le peloter. Il finit par comprendre, en regardant son comparse, qu'un homme musclé et bien virile était en train de jouer de lui. Il couina en sentant son fessier se faire malaxer ainsi, mais ce ne fut rien en comparaison de ce qui vint après. La main puissante et rugueuse de son bourreau finit par s'entortiller autour de sa verge, qui était gonflée de toute part. Et quand Miranda leur ordonna de ne pas jouir, au risque de finir dans son laboratoire, Minnie comprit que l'épreuve allait être très difficile.
Daisy agrippa sa main avec plus de force, et Minnie en fit de même. Les voir se tenir aussi fermement par la main était presque attendrissant et touchant. Quelque part, il y avait une dimension affective à cela, du moins chez Minnie. Mais à ce moment c'était plus pour tenir le coup qu'autre chose. Il sentit le torse musclé de l'homme derrière, et sa main qui venait le masturber frénétiquement et avec une force incroyable ! Il était en train de se faire masturber de force et le pire, c'était que cela fonctionnait. Il serra des dents, il gémissait comme jamais auparavant mais tentait tout résister à l'envie de balancer son foutre. Penchant sa tête en arrière, il fut prit par surprise quand l'homme vint l'embrasser. Un baiser sauvage, qu'il répondit tout de même avec fougue. La langue du puissant guerrier labourait la sienne, en un échange à la fois doux et brutal. Un paradoxe lingual exceptionnel, qui laissa Minnie encore plus au bord de la jouissance.
Une larme s'échappa du coin de son œil, tellement il était dur de ne pas jouir. Il gémissait contre la bouche de l'homme, alors que celui-ci continuait à le masturber avec férocité. Et comme pour enfoncer le clou, il sentait une immense bosse cogner contre son dos, preuve que le guerrier bandait lui aussi fortement. Des envies le tenaillait, comme celle de venir goûter à cette verge qui pressait contre lui. Tout se mélangeait sa tête, tout devenait confus au fur et à mesure qu'il approchait de l'inévitable. Ce fut en un grand gémissement qu'il finit par craquer, et laissa sa grosse verge exploser à nouveau. Une salve de foutre brûlante vint éclabousser à nouveau sa belle robe, pendant plus de deux dizaines de secondes, sans répit. Minnie avait la capacité de jouir pendant longtemps, c'était quelque chose qui avait beaucoup plu à la Comtesse.
"Haaa … Haaaa …" Gémit-il tout en finissant par reprendre son souffle. Il tenait toujours la main de Daisy, qu'il caressa du bout de son pouce. Il n'arrivait pas à expliquer pourquoi ressentait-il le besoin de lui tenir la main et de la caresser ainsi. Peut-être avait-il eu le coup de foudre ? Peut-être ce baiser qu'il avait partager avec lui avait été particulièrement sensationnel. Il ne le savait pas. Mais ce qui était sur, c'était qu'il ne voulait pas lui lâcher la main. Du moins, pas si l'on ne l'obligeait pas, comme ce fut le cas quand il fut poussé de force vers Miranda. Se retrouvant à son coté, il s'affala contre elle. Ce qu'elle déclara à propos du fait que leur maîtresse les considérait un peu comme ses petits trésors le laissa rêveur. Sa maîtresse le considérait-il réellement en tant que tel ? Ses joues rougirent, mais il se tut.
Cependant, il remarqua assez rapidement de quel cadeau Miranda parla. Des esclaves ramenèrent deux petits coffrets, qui contenaient visiblement … Un plug anal chacun. Et quand la sorcière ordonna à ce qu'on les mette dans leur fesses, Minnie ne pu s'empêcher de pousser un hoquet au moment où l’esclave s’exécuta. "Haaa !" Couina-t-il au moment où il sentit l'objet se nicher entre ses fesses. En même temps que l'esclave avait introduit le plug dans son petit trou, sa verge s'était dressée en conséquence. Et à présent, il avait à nouveau une douloureuse mais jouissive trique qui le tenait en joug. Se déplacer avec un tel objet dans le fondement allait être dur, très dur même. "Et … Et maintenant ?" Demanda Minnie d'un ton fébrile. Qui chasse le naturel revient au galop ; il ne pu s'empêcher de caresser le genou de la sorcière, qui semblait si hautaine pourtant.
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Daisy avait joui, incapable de se retenir, et comprit que Miranda leur avait menti… Ce qui l’amenait à se dire qu’il était peut-être protégé par la Comtesse. Après tout, cette dernière avait l’air de tenir à ses deux Princesses, et, même si elle les faisait souffrir, et même si Daisy avait subi des traitements hormonaux, il n’avait jamais été l’un des cobayes de Miranda.
*Je suis la petite préférée de la Comtesse… Avec Minnie.*
Ceci n’allait pas empêcher de Miranda jouer avec eux, mais, tant que ça n’impliquait pas de le torturer, Daisy n’y voyait aucun problème. Il sentit les mains des esclaves costauds et bien virils revenir. C’était à se demander ce que la Comtesse pouvait leur trouver. Elle avait à sa disposition des esclaves très musclés, d’anciens guerriers résultant de la guerre contre les Ottomans, qui avaient été formés et dressés pour obéir. Ils ne se rebellaient pas, et Daisy était sûr qu’ils feraient de formidables amants… Alors, pourquoi perdre son temps avec deux fiottes déguisées en filles ? L’énigmatique raisonnement de la Comtesse le surprenait, et, tout en sentant des mains tripoter ses fesses, écarter sa combinaison moulante pour pouvoir glisser le plug, son regard se tourna vers la Comtesse.
Elle était toujours dans la pièce, discutant avec Lady Habsbourg. Katherine avait cessé de mordre un homme, dont Daisy ne voyait pas la présence. La Comtesse parlait avec un verre de vin bien rouge dans la main (si c’était bien du vin), et Daisy rougit légèrement en la voyant. Elle était vraiment belle, belle et élégante, avec un charme incroyable, qui exerçait sur lui un vibrant magnétisme. Il se réveillait presque toujours chaque nuit, sur sa paillasse, en imaginant coucher avec elle, en l’entendant gémir, puis en s’imaginant la femme le mordre et le griffer… Même dans ses rêves, la Comtesse le soumettait. Elle était sa supérieure naturelle, elle lui avait volé son identité sexuelle, avait fait de lui une fausse Princesse, un magnifique travelo… Toute trace de virilité avait disparu, si ce n’est sa queue tendue. Il avait de superbes érections, comme si, en manipulant ses hormones et son corps, la Comtesse s’était débrouillée pour qu’il finisse avec une superbe queue. Une queue bien dressée en ce moment, alors qu’il couina en sentant le plug s’enfoncer dans ses fesses.
« Hnnnn… »
Daisy ne pouvait rien faire d’autre que subir silencieusement. Ce plug remuait dans son cul, et l’homme l’ayant mis remit en place la combinaison rose, avec une petite tape sur ses fesses en guise d’accompagnement. Les doigts de Daisy et de Minnie continuaient à s’entremêler, et de profonds soupirs s’échappaient encore des lèvres de l’homme. Ce fut Minnie, plus habitué que Daisy au sexe, qui finit par demander à Miranda ce qui allait maintenant se passer.
Cette dernière esquissa un sourire moqueur, et se redressa lentement.
« Maintenant… Vous allez vous dandiner un peu, toutes les deux, en vous embrassant… Vous êtes l’attraction de la soirée, profitez-en… »
Daisy rougit.
*L’attraction de la soirée ? Moi ?*
Daisy en était tout troublé. Est-ce que Miranda mentait ? Elle avait pourtant l’air sérieuse… Il se mordilla les lèvres. Le plug lui faisait mal, et on pouvait l’entendre soupirer et gémir à plusieurs reprises. Il se tourna néanmoins face à Minnie, et entreprit de l’embrasser à nouveau… Comme tout à l’heure face à la Comtesse. Cependant, les choses allaient ici être légèrement différentes, car Miranda fit signe à quelqu’un, un autre homme costaud, qui tenait entre les mains un fouet… Un fouet esseulé, qui n’était pas tranchant, mais tout de même très douloureux.
« Hummmm… »
Ce fut l’occasion entre eux d’un nouveau baiser, tandis que l’homme se rapprochait avec le fouet, et le fit claquer en l’air, à côté du couple… Puis l’abattit ensuite sur eux.
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Parfois, mieux valait ne pas poser de questions. Ce fut l'exemple de cette fois-ci, qui sous couvert d'une agréable surprise, cachait en réalité un mal. Miranda avait affirmé qu'à présent ils allaient se dandiner devant elle tout en s'embrassant. Minnie ne pouvait qu'être heureux à l'idée de pouvoir embrasser de nouveau Daisy, en toute liberté, mais il ne se doutait pas avec quoi cela allait être accompagné. Se redressant, il sourit à son amant puis lui fit face avant de se blottir contre lui. Son plug relançait systématiquement la douleur, mais le faisait bander très fortement. Son chibre était déjà extrêmement tendu et glissait vers le haut, sous sa délicate robe de princesse. Il croisa ses doigts avec les siens, à nouveau, puis approcha ses douces lèvres des siennes avant de lui donner un baiser des plus sensationnels. "Hmmm …" Gémissait-il alors qu'il savourait pleinement le miellé des lèvres de Daisy. Mains dans la mains, doigts croisés, les deux garçons s'embrassaient tendrement, satisfaisant alors Miranda qui les observait avec un amusement vicié.
Mais l'élément perturbateur de ce moment de pur saveur fut sans doute ce fouet qui claqua dans les airs. Sursautant sur place, Minnie continua à embrasser son amant, goûtant à sa salive avec envie. Mais une douleur vive éclata dans son dos quand il sentit le fouet s'abattre sur lui. Il rompu subitement le baiser, durant quelques instants, et poussa un soupir de douleur. Par peur, et par cruelle envie, il reprit aussi vite son étreinte buccale. Même si la douleur était agressive, il ne pouvait se contenir et sa verge continuait à remonter le long de son ventre, en dessous sa robe. Mais le meilleur était que, dans la mesure où les deux garçons étaient blottit l'un contre l'autre, son sexe se pressa vigoureusement contre le sien. Il sentait ses veines contre les siennes et surtout, son gland se frotter au sien. Ses jambes tremblaient légèrement face à ce contact des plus délicieux. Plus les temps courraient, plus le baiser durait. Et plus il durait, plus Minnie avait tout bonnement envie de lui faire l'amour. Mais en admettant cela, les plugs qui étaient logés dans leur fesses n'aideraient en rien.
Des coups de fouets s’enchaînèrent, faisant souffrir le petit couple. Mais plus ils souffraient, plus ils se serraient les mains, comme pour tenir ensemble face à cela. Minnie effectua quelques mouvements afin de frotter d'avantage sa verge contre celle de son amant, mais surtout pour encore mieux sentir son bout rosé se lover contre le sien. Une petite tache apparut à la surface de sa robe bleue, preuve que le traitement faisait effet. Cependant, il ne pu continuer à se retenir et finit par libérer une de ses mains pour venir la glisser contre le sexe de Daisy, à la surface de sa robe dans un premier temps. Il glissa le long de cette longue trique, palpant toute la puissance et la vigueur de ce sexe en érection. Sa langue continuait à jouer avec la sienne, mais il se permettait de temps à autre de venir directement embrasser ses lèvres, capturant l'une d'entre elle entre les siennes. Il plaqua son torse contre le sien, afin de créer une plus grande proximité entre eux.
Et son désir grandissait toujours plus, sous les coups de fouets. Cela atteignit un tel point que, même si cela s'avéra risqué, il immisça sa main sous la robe de Daisy et vint caresser sa verge directement, le masturbant doucement. Bon sang, ce n'était plus ses lèvres qu'il avait envie de capturer entre les siennes, mais son sexe ! Et d'ailleurs, ce fut ce qu'il fit. Son désir explosa et, alors que sa propre verge était immense et veineuse, il rompu le baiser et se baissa à niveau du bas-ventre de Daisy, se mettant à lécher le bout de latex qui moulait son sexe. "Hmmm !!!" Gémit-il intensément, alors qu'il masturba vigoureusement la verge de Daisy, avant d'écarter le latex et de la prendre doucement en bouche. Il pressa son gland avec ses lèvres, puis fit coulisse l'intégralité de cette lance de chair dans sa bouche, la suçotant avec appétit. Et la suite ne fut que logique ; il accéléra progressivement le mouvement, suçant alors avec force ce sexe, l'introduisant à chaque aller retours toujours plus profondément en lui …
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Les deux « Princesses » s’embrassèrent sous les claquements des fouets. Daisy avait toujours craint les coups de fouet. Ils étaient pourtant la spécialité de Maîtresse, qui aimait punir les criminels par des séances de flagellation publique. Le prévenu était attaché, torse nu, sur une estrade en bois au centre de la grand-place, et recevait de nombreux coups de fouet. Cependant, les fouets qui les battaient étaient effilés, aiguisés, et extrêmement dangereux. Ici, les fouets étaient moins dangereux, mais tout de même... Quand Daisy se reçut le premier coup, il couina en gémissant, et se crispa davantage contre Minnie, posant ses mains sur chacune de ses fesses. Les coups continuèrent à s’abattre, mais, malgré la douleur, il savait que son dos n’était pas dans le même état labouré des criminels. Quand les bourreaux les relâchaient de leurs cordes, leur dos ne ressemblait plus qu’à une grosse bouillabaisse rouge. Les bourreaux les balançaient ensuite sur le sol, et Daisy se souvenait encore de ces corps massacrés. Les hommes victimes de ce traitement ne s’en remettaient jamais totalement, car les plaies étaient profondes, leurs dos lacérés et sanguinolents.
Il essaya d’arracher cette sinistre vision de sa tête en accroissant l’intensité de ses baisers contre la bouche de Minnie. Ils s’embrassaient furieusement, et la robe de Minnie frottait son justaucorps en latex, un justaucorps moulant sali par son sperme. Encore une fois, son sexe était très enserré dans ce justaucorps, ses testicules étant écrasés par ce latex. Néanmoins, leurs verges, elles, se frottaient tendrement, les deux tendus et en érection. Les traitements aux hormones avaient eu d’excellents résultats sur la taille de leurs chibres, ce dont les femmes autour d’eux se rendaient bien compte. Ils n’avaient aucune apparence virile externe, peu de muscles, des formes féminines... Mais de sacrés mandrins.
« Mmmhh... »
En fait, Daisy adorait frotter son sexe contre celui de Minnie, et sentit soudain un coup de fouet sur son cul, le faisant sursauter. La main de Minnie se déplaça alors sous son justaucorps, caressant son chibre, et il soupira. Minnie se laissait aller, en oubliant les directives de leur Maîtresse. Leurs verges ne leur appartenaient plus, mais étaient la propriété exclusive de Maîtresse, qui, elle seule, déterminait qui avait le droit de les toucher. En caressant ce sexe, Minnie venait de contrevenir à cette directive, et le fit encore plus quand il fléchit les genoux, et embrassa son sexe par-dessus le justaucorps en latex. Daisy restait alors debout, incapable de le repousser, car c’était tout simplement trop bon. Puis il écarta son justaucorps rose, et alla prendre son sexe dans sa bouche.
« Haaaa... Haaaaa... !! »
Oh, il en aurait pleuré tant c’était bon ! Le plaisir explosa en lui, se déversant dans tout son corps. Yeux clos, tête basculée en arrière, et jambes écartées, Daisy vacillait sous les vagues irrépressibles de plaisir remuant en lui. Il se sentait proche de jouir... Quand un courant d’air le surprit.
« Vous vous égarez, mes petites... »
La main de la Comtesse se saisit du chignon de Minnie, et elle retira rapidement le visage de son amant, puis l’envoya heurter le sol, son autre main ayant retiré dans la foulée le collier qui les liait. Ensuite, la Comtesse agrippa le sexe trempé de Daisy, qui couina, et remit ce sexe sous le justaucorps.
« C’est moi, et moi seule, qui détermine quand vous pourrez vous sucer ou toucher vos sexes. »
Daisy baissa les yeux en serrant les lèvres et les poings. Ça avait été bon, délicieux, mais l’orgasme était là, si proche... Oh, comme il avait mal ! Il souffrait, et se dandinait sur place, puis, soudain, un fouet se retrouva glissé dans sa main.
« Mets-toi à quatre pattes, Minnie... Daisy va se charger de te corriger pour ton insolence... »
Elle s’approcha ensuite de Daisy, se glissant dans son dos, mielleuse et sensuelle, et sa main vint caresser tendrement son sexe, du bout des doigts.
« Je veux que tu fouettes cette petite salope, Daisy... Et tu vas jouir en la fouettant et en l’insultant comme la grosse salope qu’elle est... »
L’homme ne put que déglutir.
Il n’y avait que la Comtesse pour faire ça !
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Visiblement, Minnie avait fait un faux pas. Mais la tentation avait été trop rude. Il était en train d'embrasser fougueusement son acolyte, quand leur verges s'étaient mise à se frotter l'une à l'autre. Mieux encore, elles se pressaient fortement. Une telle sensation lui avait donné de puissantes pulsions, qui furent définitivement irrésistibles quand il avait sentit le gland chaud de Daisy embrasser le sien, au travers du latex et du tissu. Il n'avait pas pu résister, tout simplement. Et pourquoi, se demandait-il … Pourquoi les frustrait-on autant ? Pourquoi cela dérangeait tant cette sorcière de le voir sucer allègrement Daisy ? Pourquoi n'avait-il pas le droit ? Autant de question qu'il s'était posé en un éclair quand il fut sauvagement arraché de la verge de son camarade, alors qu'il était en train de lui prodiguer une merveilleuse fellation. Il ne comprit pas de suite, mais fut rapidement rattrapé par la réalité en voyant la mine furieuse de la sorcière. Il rougit et baissa le regard, reconnaissant alors l'erreur qu'il venait de faire. Il couina, mais s’exécuta tout de même quand l'ordre de se mettre à quatre pattes venu.
Minnie se mit en place et attendit donc la sentence ultime. Il comprit qu'il allait se faire fouetter jusqu'au sang pour un tel écart de conduite. Mais il n'avait rien pu faire pour empêcher cela, hélas. Toutefois, alors qu'il était à présent à quatre pattes, il cambra son dos inconsciemment. De quoi donner à Daisy des idées encore plus perverses en voyant une telle croupe. Son sexe était raide et tendu, et en voyant un fessier pareil, nul doute que l'idée de le pénétrer l'effleurerait au moins une fois. Et si seulement … Minnie en mourrait d'envie. Il avait tout simplement le désir que Daisy vienne et lui enfonce sa trique bestiale dans son fondement, du plus intensément que possible. Mais c'était une utopie, un rêve que ses bourreaux n'allaient jamais concrétiser. Et là encore, la question revenait. Pourquoi autant de frustration ? Minnie avait subit le traitement, il était terminé ! Plus jamais il ne sera un homme, plus jamais il n'aura de volonté propre ni de remontée masculine. Il était un parfait homme-femme, un hybride à vie.
Qu'attendait-on de plus ? Une petite larme coula sur sa délicate joue alors qu'il sentit le premier coup de fouet arriver. Ses poings se crispèrent au sol, alors qu'il serra des dents malgré lui. Il l'avait mérité, c'était ce qu'il pensait. Mais il ne regrettait pas pour autant s'être prit à la verge de Daisy. Ce dernier devait souffrir … Il s'était vu offert un début de fellation, avait petit à petit succombé au plaisir ultime, quand tout ceci s'était effondré. Et en plus, son sexe était revenu se faire emprisonner dans sa prison de latex. Tout ceci avait du être terrible pour le jeune garçon, et Minnie avait ça aussi sur le dos. Ce n'était pas compliqué … Tout ce qu'il désirait, c'était faire l'amour à Daisy, rien de plus. Il voulait goûter à sa peau et à son sexe, explorer son corps et se laisser faire en retour. Rien de plus … Était-ce trop demandé ?
Alors qu'il se faisait fouetter, il entendait la sorcière lui ordonner de l'insulter mais ce fut à ce moment qu'il demanda pitié. "Par-Pardonnez mon insolence ! Je … je vou-voulais juste soulager un peu Dai-Daisy … J'ai … *Haaa* J'ai envie de son corps …" Dit-il d'une voix hachée par les coups de fouets et la frustration. Car même s'il souffrait, sa trique ne dégonflait pas. Voir même, elle enflait toujours autant ; son sexe pendouillait et son gland touchait le sol de par sa position à quatre pattes. Il voulait juste faire l'amour … Il implorait la pitié de la sorcière.
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Qui aurait pu croire que le sexe puisse être une telle torture ? Ce que Daisy ressentait... Ah, il n’aurait jamais pu l’anticiper ! Pour lui, le sexe n’était qu’une ode au plaisir, et là... Là, il était en train de découvrir que le sexe pouvait aussi être une véritable torture. Une indescriptible souffrance se répandait dans tout son corps, et il ne pouvait rien y faire. Tout ce que Daisy pouvait faire, c’était souffrir en sentant son sexe, gros, impatient... Cette fellation avait été merveilleuse, mais leur Maîtresse avait bondi, signe qu’elle veillait toujours sur eux, et, maintenant, Daisy était placé face à un choix terrible. Satisfaire sa Maîtresse en fouettant Minnie, ou refuser, et devoir supporter la colère de Maîtresse. Cette dernière le regardait en croisant les bras, et Daisy savait que ses options étaient limitées. Et puis, il était vrai que Minnie avait mal agi. Oh, il l’excusait tout à fait, car, s’il avait été un peu plus expérimenté, et esclave de Maîtresse depuis un peu plus longtemps, il aurait sans aucun doute agi de la même manière. La frustration sexuelle était une chose terrible, qui les hantait et les poursuivait, tous les deux, régulièrement, sans qu’ils ne puissent rien y faire.
Daisy le réalisait clairement en ce moment, et rougit en voyant Minnie cambrer son cul, comme pour montrer à quel point il était impatient de se faire sodomiser. Mais les ordres de Maîtresse étaient précis. Daisy leva sa main, et fouetta son cul, le son du fouet provoquant un virulent claquement sonore qui résonna dans la pièce. Il tremblait sur place, la queue encore partiellement recouverte de la salive de son amant.
« Là... Fouette-le encore... Ne t’arrête pas. »
La voix de la Comtesse avait quelque chose d’ensorcelante, et, plus elle parlait, et plus Daisy se disait que ce n’était pas un hasard s’il était là... Ou, plutôt, si sa Maîtresse était là. Elle les espionnait, et elle semblait simuler sa colère, la feindre... Que cherchait-elle donc ? Voir à quel point les deux Princesses pouvaient être dociles ? Mais que lui fallait-il donc de plus ? Daisy et Minnie avaient renoncé à leur vie d’antan, avaient abandonné toute forme d’identité sexuelle au profit de l’autorité totale et écrasante de leur Maîtresse. Ils s’étaient intégralement dévoués à elle, et n’existaient que pour elle. Que voulait-elle donc de plus ?! Pourquoi les faire tant souffrir ? Était-ce par simple cruauté ? Après tout, Maîtresse n’était pas une personne gentille... Elle se battait contre les Ottomans, et ne les repoussait qu’en faisant preuve d’une cruauté sans pareille. Peut-être que c’était ainsi qu’elle prenait son poied ? En étant cruelle ?
Dans tous les cas de figure, Daisy fouettait Minnie, et y allait de plus en plus fort. À chaque coup, Minnie couinait... Et Daisy, lui, tremblait de plus en plus. Minnie était son ami, l’autre Princesse... La faire souffrir ainsi était injuste ! Il finit par s’arrêter, le corps parcouru de tremblements, sentant des sanglots le traverser.
*Pardon, Minnie, pardon...*
Peu à peu, tous les regards s’étaient tournés vers eux, et Maîtresse se glissa dans le dos de Daisy. Ses doigts glissèrent le long de ses épaules.
« Vous êtes censés m’obéir... Vous êtes mes petites salopes... Et, pourtant, il suffit que je vous laisse seuls cinq minutes pour que vous contreveniez à des ordres qui étaient pourtant clairs, sans équivoque ! Comment dois-je comprendre ça, hum ? Ne seriez-vous donc que deux traînées orgueilleuses incapables de reconnaître votre supérieure ?
- N-Non, Maîtresse, mais... »
Pour toute réponse, Maîtresse pinça alors les fesses de Daisy, qui poussa un petit cri, et en lâcha son fouet...
« Très bien ! À quatre pattes, toi aussi ! »
Daisy déglutit, mais, devant le ton autoritaire de sa Maîtresse, il obéit très vite, et alla se mettre en position, juste à côté de Daisy, tandis que, dans leur dos, deux hommes se rapprochaient. Des hommes baraqués, de haute stature, avec des sexes bien durs et bien gros.
« Je... Je suis désolé, Mi... HAAAA !! »
Il poussa un cri quand il sentit un gros chibre heurter ses fesses. Il en fut de même pour Minnie... Puis les deux hommes baraqués les pénétrèrent rudement, faisant couiner Daisy. C’était sa première sodomie, après tout, et c’était... Incroyablement DOULOUREUX !!
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »
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La situation était devenue assez dur à supporter, autant pour Minnie que pour Daisy. Celui-ci avait pour ordre de fouetter son comparse, et c'est ce qu'il fit. Les coups de fouet s’enchaînèrent et firent couiner de douleur la princesse, qui ne pouvait faire rien d'autre si ce n'était sangloter. Mais malgré tout ceci, il n'en voudrait jamais à son camarade pour qui, en dépit du peu de temps qu'ils ont passés ensemble, il avait une grande attirance et sympathie. Pour dire, il lui aura fallu que quelques minutes et un long baiser pour tomber sous son charme et presque se lier d'amitié avec lui. Daisy était charmant, mignon et terriblement attirant dans sa combinaison moulante. Il était peu étonnant d'avoir vu Minnie craquer pour venir tenter de lui offrir une fellation, tellement il voulait lui faire plaisir, et surtout, faire l'amour avec lui. Mais le destin s'acharnait sur le jeune couple et la sorcière avait tout simplement mit fin à cela.
À présent il était à quatre pattes en train de se faire fouetter les fesses, et ça faisait très mal. Cependant, alors que Daisy obéissait, il finit par ne plus avoir la force de faire du mal à Minnie et commit l'irréparable ; il désobéit. Cela ne dura pas longtemps avant que la punition arrive, mais la princesse à la robe bleue sentit son cœur faire une chute libre quand il entendit son ami refuser de le fouetter à nouveau. (Merci Daisy … Merci …) Pensa Minnie avec la plus grande sincérité. Même si la punition allait être collective, à présent. Daisy finit à quatre pattes à son tour, juste à coté de son acolyte. Les deux garçons se jetèrent un rapide coup d’œil, avant que tout les deux ne sentent un poids leur rentrer dedans, par derrière. Une grande chaleur se collait contre leur fesses, et il ne fallait pas être devin pour qu'ils devinent qu'ils allaient se faire brutalement sodomiser dans les minutes à suivre.
Instinctivement, Minnie vint déplace sa main gantée par-dessus celle de son amant et mêla ses doigts avec les siens, symbolisant alors leur amour et leur amitié dans un moment qui allait être très douloureux. Ni de une ni de deux, les deux grands hommes finirent par pénétrer abruptement les deux garçons, leur arrachant des cris de douleur. Minnie serra des dents quand il sentit un gros mandrin écarter ses parois et venir s'enfoncer dans ses entrailles. Jamais il n'avait connu ça et pour tout dire, c'était extrêmement douloureux. "HAAAAAAAA !!!" Cria-t-il, mélangeant douleur extrême et, malgré tout, plaisir. Si la douleur était nettement supérieure, n'en demeurait pas moins qu'il parvenait à ressentir aussi un certain plaisir lié à cette sodomie.
L'homme qui lui labourait le derrière enchaîna les coups de reins à un rythme qui augmenta petit à petit, jusqu'à ce qu'il ne finisse par donner quatre ou cinq coups de reins en l'espace de deux secondes. Les doigts de Minnie serrèrent encore plus ceux de Daisy, et il constatait avec effroi que son amant lui aussi souffrait comme jamais. C'était très douloureux, mais il fallait tenir. Cependant, alors qu'il souffrait, Minnie finit s'abandonner complètement. En effet, sa propre verge elle ne ressentait que du plaisir et s'était encore plus endurcie depuis le temps. Tendue comme jamais, plafonnant à présent dans le double décimètre, l’inévitable finit par arriver ; de grandes giclées de foutre en rafales finirent par exploser depuis son gland pour venir s'écraser au sol. Alors que son corps se faisait ballotter d'avant et d'arrière, sa verge en fit de même et cracha sur tout son passage son jus brûlant. Chaque fournée devaient au moins durer cinq ou six secondes, durant lesquels il éjaculait en continue, comme un geyser. "HAAAAA-AAAAAA !!!" Gémissait-il alors que son foutre giclait en continue et en sur-abondance. Sa robe fut complètement trempée de foutre, et le sol était tellement immaculé qu'il devint blanc comme neige.
Dans la mesure ou sa trique se balançait sauvagement en avant et en arrière, son propre visage fut éclabousser par son foutre. Son orgasme dura une trentaine de seconde, durant lesquels il avait complètement jouit. Bien que difficilement quantifiable, on pouvait facilement estimer qu'il avait craché au moins un litre de foutre ce coup-ci … Encore une merveille du traitement magique et hormonale de leur Maîtresse.
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Daisy avait peur, bien entendu… Mais, que Dieu lui pardonne, il n’avait pas vu. Dans cette assemblée de cinglés et de malades mentaux, Minnie était la seule personne qui pouvait le comprendre, car elle était l’autre Princesse. Daisy acceptait donc pleinement sa punition. Comment aurait-il pu la refuser ? Il avait désobéi à sa Maîtresse, il avait contesté un ordre direct. Il méritait entièrement ce qui allait lui arriver. À genoux, donc, sa main serra celle de Minnie, et il se pinça les lèvres, en tournant la tête vers lui. Son cœur bondissait dans la poitrine à l’idée d’être si proche de lui, mais il avait peur… Oh bon sang, s’il avait peur ! Qu’est-ce que leur Maîtresse allait leur faire subir pour leur désobéissance ? En réalité, Daisy était bien loin de se douter que la Comtesse était surtout amusée plus qu’autre chose. Elle ne comptait pas les punir, mais bien les récompenser, en leur offrant une sodomie. Deux bels hommes s’approchèrent donc, et Daisy se pinça les lèvres en sentant une queue tendue et grosse s’approcher de ses fesses, glissant contre sa croupe.
« Hmmm… »
Une sodomie… Il soupira en sentant une main ferme écarter la ficelle de son justaucorps, révélant ainsi l’accès à sa croupe. Il ne portait aucune culotte dessous, et couina à nouveau en sentant ce sexe s’approcher de ses fesses, heurtant sa peau, sa peau douce et chaude. Daisy redressa la tête en serrant ses poings sur le sol, et ce fut ensuite qu’il sentit les mains solides de l’homme écarter ses fesses, ses pouces se glissant le long de sa croupe, écartant ainsi, sans ménagement, ses parois. Daisy se pinça les lèvres, serrant ses poings gantés en couinant faiblement… Et gémit quand il entendit Minnie hurler. Il releva la tête vers elle, et sentit alors quelque chose taper contre ses fesses.
Ce fut comme si son cœur venait de louper plusieurs battements cardiaques.
« Mi… Minnie… »
Ensuite… Le blanc. Ou, plutôt, une souffrance, une souffrance blanche, une souffrance qui effaça toute pensée en son esprit. Comme si les dessins dans sa tête venaient de disparaître d’un coup. La seule chose qui resta, ce fut l’idée de douleur… Une idée en réalité très concrète, et, alors que Daisy hurlait, l’une des mains de l’homme empoigna ses cheveux, et écarta sa tête, voulant que la petite Princesse regarde droit devant elle.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN… !! »
Ce n’était pas le cri rauque et victorieux d’un mâle viril en action, mais un gémissement hystérique de douleur. Le cri d’une petite fille qui se ferait prendre par un amant redoutable et intense. Un amant qui se mit à labourer son cul, lui offrant une première sodomie ardente. Les joues de Daisy devinrent cramoisies, et elle se mordilla les lèvres, en sentant son corps remuer d’avant en arrière. Tout le monde les observait, maintenant, que ce soit la Comtesse, Miranda, ou les autres convives. Daisy et Minnie l’ignoraient, bien entendu, mais les deux étaient l’une des raisons principales de cette petite fête.
C’était leur première sodomie, une sodomie brutale, servie par des amants vigoureux, et la douleur aurait donc dû, logiquement, être la seule sensation qui reste… Mais les dérèglements hormonaux dont ils avaient fait preuve avaient aussi quelques effets secondaires sympathiques. C’est ainsi que, tout comme chez Minnie, la douleur se dilua chez Daisy. Son sexe lui faisait un mal de chien, et alors qu’il pleurait, Daisy haletait ainsi, la langue pendante. Enfin, enfin, on le prenait ! Enfin, on déniait lui faire l’amour ! Et, même si c’était horrible pour lui (il venait d’un milieu paysan, un milieu très catholique, où la sodomie était vue comme une infamie, le plaisir sexuel des chiens), il était en nage. Il soupirait, gémissait, les joues toutes rouges, et son sexe tressautait, se masturbant, pour ainsi dire, au contact de son justaucorps rose.
Une situation atypique, qui finit par l’amener à jouir… Daisy couina, et s’abandonna aussi contre son justaucorps, jouissant généreusement, pendant de longues secondes, balançant de telles giclées que le sperme fila par son cou, et alla même éclabousser les bottes d’une femme. Une vraie fontaine, tandis qu’il soupirait à chacune des claques que son amant administrait sur son cul, tout en la bourrant, et en la traitant de salope.
« Grosse pute ! Traînée de sadomite !! Grosse salope ! Sale chienne !! »
C’était tout un langage fleuri qui avait accompagné Daisy jusqu’à son bel orgasme, et, après ce dernier, il se tourna vers Minnie, et ne put s’empêcher de l’embrasser fougueusement… Parce que c’était Minnie, et elle était comme elle… Ou comme lui, il ne savait plus trop… Mais, ce dont il était sûr, c’est qu’il avait envie de Minnie.
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La situation semblait devenir de plus en plus rude pour les deux princesses. L'une comme l'autre se faisait brutalement sodomisée, souffrant et jouissant en même temps. Un paradoxe incroyable, tout comme leur être en soi. À en prendre Minnie pour exemple, on pouvait y avoir, très clairement, une fille. Mais c'était un garçon en réalité, cela pour plusieurs raisons ; son absence de poitrine, son service trois pièce et la puissance de celui-ci, malgré un corps et un esprit purement et simplement féminin. Tout ceci, grâce au traitement hormonal de la Comtesse qui était parvenue à créer un parfait hybride homme/femme. Minnie se faisait donc sauvagement sodomiser, et sa massive verge se balançait en avant et en arrière, au gré des coups de reins qu'il recevait. Il ne mit pas longtemps à atteindre le point d'orgue, le moment où il connu un grand orgasme. Il hurla de tout son être, et son sexe se mit alors à cracher d'énormes salves de foutres qui s'écrasèrent au sol, en un jet continu qui dura plus d'une quinzaine de secondes.
Mais du fait que sa queue se balançait dans tout les sens, il en fut aussi largement éclaboussé. Ce fut si douloureux, mais si jouissif. Jamais il n'avait connu une telle chose. La sodomie allait bientôt être sa pratique fétiche. Et quand on pensait que sa petite rondelle était sa seule porte d'entrée, façon de parler, on ne pouvait que le comprendre. Sa main s'était serrée autour de celle de Daisy, qui lui aussi, avait jouit. Tout les deux essoufflés, la pair de garçon finit par se regarder mutuellement, avant que la princesse à la robe de latex rose ne finisse par franchir le pas. Il se tourna, et parti chercher les lèvres de son comparse, l’entraînant alors dans un baiser aussi miellé que délicieux. Minnie gémit de plaisir, mais il fut rapidement attisé par sa hargne et son envie de faire l'amour. Ce fut pour cette raison que, au bout de quelques secondes, il tira Daisy vers lui alors qu'il bascula sur son dos. Les deux princesses adoptèrent donc une position classique ; Minnie en dessous, Daisy au-dessus.
Et quand ils furent en place, les deux amants s'adonnèrent pleinement à une séance intense de baisers. Leur lèvres ne se quittèrent pas un seul instant, si ce n'était juste pour reprendre de l'air. La langue de Minnie joua nerveusement avec celle de Daisy, goûtant à sa salive avec un fort appétit. "Hmmm …" Ronronna-t-il, les yeux clos, savourant son baiser de tout son être. Mais, l'attirance fut tellement puissante qu'il finit par s'enrouler complètement autour du garçon. Il prit en tenaille ses hanches avec ses cuisses, et passa ses mains dans dos ; plus particulièrement, une se retrouva sur ses petites fesses, et l'autre derrière sa tête, dans sa chevelure or, où il appuya doucement pour mieux plaquer son amoureux contre lui. Mais, la sensation la plus vivifiante au milieu de ce baiser langoureux était bel et bien celle que les deux princesses ressentaient au bas-ventre. Minnie avait fait en sorte que leur verge respective soit dressées sur tout leur long, et qu'elles s'écrasent l'une contre l'autre, au travers leur robe.
Sexe contre sexe, Minnie gesticulait pour frotter le sien contre celui de Daisy. Leur trique se lovèrent, se caressèrent l'une contre l'autre avec une grande, très grande pression. Leur gland s'embrassèrent littéralement, à un tel point que la princesse pouvait ressentir le reste de sperme logé sur celui-ci de son comparse sur son propre bout rosé. Il gesticulait, encore et encore, créant une terrible friction entre leur sexe. "J'ai envie de toi Daisy …" Murmura Minnie, au milieu d'une pause reprise de souffle … Il ne savait pas si on allait les laisser faire, mais il tâchait de savourer l'instant au maximum. Surtout au niveau de ce frottement entre sa verge et celle de Daisy … C'était si délicieux.
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Après cette sodomie intense, Daisy et Minnie ne purent se retenir. Ils avaient été baisés comme des chiennes, et agirent donc ensuite comme des chiennes, se vautrant sur le sol en se roulant des patins... Comme des chiennes. Au milieu de la salle, on les voyait s’embrasser vigoureusement, sans que rien ne puisse les stopper. La Comtesse avait les bras croisés à quelques mètres, et tous ses invités étaient en train de regarder le spectacle de ces deux pédales en train de s’embrasser vigoureusement. Minnie se trouvait au-dessus de Daisy, et se tortillait contre lui, cherchant à frotter son sexe contre le sien. Les deux avaient vraiment de belles verges, comme si le fait d’avoir subi des implants hormonaux pour les faire ressembler à des filles leur avait accru leur sexe... Car, avant de venir ici avant de finir entre les doucereuses mains de la Comtesse, Daisy n’avait jamais eu un sexe de cette taille, aussi lourd, aussi imposant, et... Aussi douloureux. Mais ses baisers... Ah ! Les baisers qu’il échangeait en ce moment avec Minnie étaient magnifiques.
Ce dernier caressait ses fesses et ses cheveux, le faisant soupirer, et lui aussi avait enroulé ses bras autour de sa taille, se crispant contre son corps. On pouvait les voir s’embrasser, encore et encore, comme si le temps n’avait aucune importance sur eux deux. La Comtesse continuait à observer ses deux jouets, silencieuse. Difficile de savoir à quoi elle pensait en les voyant ainsi, à se tortiller misérablement sur le sol.
« Tes deux petites putes ont l’air vraiment en manque, nota Miranda à l’intention de la Comtesse.
- Je vois ça », répliqua la femme.
Miranda n’avait jamais compris ce que la Comtesse voulait faire en transformant des hommes en femmes. Pour elle, il devait s’agir d’une sorte de jeu, de fantasme. Elle n’avait jamais cherché à savoir, et ne se posait la question dans sa tête que par curiosité. La Comtesse finit par se déplacer, faisant claquer ses talons sur le sol, et sa main finit par saisir la nuque de Minnie. Sa force était terrifiante, et elle souleva sans problème la Princesse, l’écartant de Daisy dans des soupirs, et la balança sur le sol. Minnie atterrit sur les fesses, et, avant même que Daisy ne puisse se relever, le pied de la Comtesse s’abattit sur son sexe, un sexe tendu et en érection.
Daisy se mit à gémir et à se tortiller sur le sol, tandis que la Comtesse, elle, arborait un sourire amusé.
« C’est parfait... »
Parfait ? Qu’est-ce qui était parfait ?! Rien n’était parfait ! Ce ne serait parfait que quand la Maîtresse laisserait Daisy jouer avec Minnie ! C’est ce que Daisy avait envie de lui dire, mais... Cette force, cette douleur. La Comtesse était littéralement en train d’écraser sous son talon, l’amenant à se tortiller lamentablement sur le sol, comme une sorte de petit poisson rouge qui serait sorti de son bocal. Ses doigts se crispèrent sur sa cheville, et la femme appuya encore un peu plus fort, le faisant couiner. Le bout de son pied se déplaça sur sa queue, et elle claqua des doigts, en tendant sa main vers Minnie.
« Viens me lécher, chienne ! »
La Comtesse était toujours aussi autoritaire, mais on pouvait clairement voir dans ses yeux une profonde lueur de satisfaction. Quoi qu’il se passe réellement ici, elle semblait en être particulièrement ravie, comme si tout se déroulait selon ses plans.
Et, pour l’heure, elle voulait que Daisy jouisse à nouveau.
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En manque, c’était bien le mot. Il suffisait de voir comment les deux garçons se dandinaient l’un contre l’autre pour s’en apercevoir. Minnie faisait tout pour que sa verge frotte vigoureusement celle de son comparse, tout en continuant de l’embrasser de manière obsessionnelle. Il y avait quelque chose entre eux, c’était indéniable. La manière dont ils s’étaient jetés l’un sur l’autre traduisait bien entendu un cruel manque, mais aussi une envie naissante. Une attirance jeune, qui liait les deux princesses. Minnie embrassait généreusement Daisy, son bas-ventre remuait contre le sien. La chaleur montait, ils étaient sur le point de se faire réellement l’amour ! Le but était si proche … Mais ne se réalisa guère, malheureusement.
Alors que la princesse à la robe bleue était complètement aggripé à Daisy, la Comtesse finit par intervenir et mit fin à leur douce étreinte. Minnie avait eu envie de crier, de montrer son mécontentement qui traduisait sa grande frustration. Bon sang ! Il voulait juste … Faire l’amour à Daisy ! Juste sentir ses douces lèvres sur les siennes, juste gouter à son sexe et à sa peau parfumée ! Etait-ce trop demandé de juste vouloir … Un peu de tendresse et d’amour ? Visiblement, ça l’était. La Comtesse saisit Minnie et l’envoya ailleurs, celui-ci atterrissant sur ses fesses. Elle s’occupa dès lors de la seconde princesse, en écrasant son sexe gonflé avec son pied. C’était trop ! Beaucoup trop, mais rien ne pouvait être fait.
Minnie souffrait à la place de son ami, en le regardant d’un air désespéré. Quand est-ce qu’ils allaient pouvoir faire l’amour … Quand ? Les deux garçons voulaient simplement se donner un peu de plaisir mutuellement. C’était injuste ! La princesse regardait son comparse, jusqu’à ce que leur maitresse commune finisse par réagir à nouveau. Elle tendit sa main en direction de Minnie, et lui ordonna dès lors de venir la lécher. Il fallait comprendre quelque chose ; si le garçonnet souffrait de sa frustration et de son manque de sexe, surtout envers Daisy, il n’en avait guère grief contre la Comtesse. C’était sa Maitresse incontestée, envers qui il éprouvait tout un tas de chose. De la crainte, de la peur, mais aussi de l’affection, du respect et une grande obéissance. « Oui … » Répondit-il, de sa voix timide et soumise. Il s’approcha lentement, à quatre pattes, alors que son regard se posa sur la stature majestueuse et hautaine de la Comtesse.
(Elle … Elle est si belle …) Pensa-t-il, alors que son visage approcha son corps. Sa maitresse lui avait ordonné de venir la lécher, et c’était donc ce qui allait faire. Cependant, où ? Où Minnie devait-il lécher la Comtesse … Il y avait tant de possibilités. Ce fut pour cette raison qu’il ne réfléchit pas trop et se pencha alors vers la première chose qu’il aperçut. Gémissant, ses mains partirent se loger timidement sur les puissantes cuisses de la Comtesse, qu’il caressa doucement. Sa maitresse portait une longue robe, et aussi respectueux qu’il était, il ne put s’empêcher de vouloir jouer un tout petit peu. Minnie se faufila sous son grand jupon, et porta dès lors ses lèvres sur sa cuisse, dans un premier temps. Sa langue se mit à doucement lécher la peau parfaite et satinée de la Comtesse, tout en s’orientant progressivement vers un endroit un peu plus osé ; son fessier.
Minnie avait conscience que ce qu’il faisait était très risqué, mais si cela marchait, il allait satisfaire pleinement sa maitresse ! Son idée était de tout simplement la lécher à cet endroit. Sa petite bouche finit par embrasser l’une de ses fesses, qu’il couvrit de mille et une attentions avant de la lécher vigoureusement à son tour.
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La Comtesse continuait à torturer sexuellement ses deux esclaves, jouant avec leur frustration, tout en les torturant physiquement... Et, si une partie de Daisy trouvait cela horrible, il devait aussi admettre que, avec sa frustration sexuelle, son incapacité à jouir, les coups de fouet et les humiliations provoquaient chez lui d’étranges réactions sur sa libido, contribuant à l’exciter. Aussi impensable que ce soit, le fait d’être ainsi régulièrement battu avait pour effet d’exciter notre homme, qui se tortillait lentement sur le sol, tout en regardant Minnie venir lécher la Comtesse... Cette dernière n’ayant pas fait de précisions, Minnie choisit, non pas son pied, mais fila sous sa jupe... Et Daisy, en voyant ça, écarquilla les yeux, la bouche ouverte, figée dans un cri de stupeur silencieux.
*NON !*
Ce... Ce n’était pas possible ! Daisy ne voyait pas vraiment ça, il ne voyait pas vraiment Minnie en train de glisser sa tête sous la jupe de leur Maîtresse, afin de la lécher à cet endroit si sensible. Non, non, la Maîtresse allait la repousser ! Sa robe était si grande que tout le corps de Minnie pouvait disparaître dedans, ses formes moulées dans l’intérieur de la robe, sa bouche se rapprochant de ses fesses. Silencieuse, la Comtesse ne disait rien, tandis que Daisy, lui, tremblait, attendant le moment où Minnie allait encore se faire battre... Sans savoir s’il pourrait le supporter. Maintenant, Daisy se sentait extrêmement proche de Minnie, mais, d’un autre côté, il était totalement incapable de contrevenir aux ordres de sa Maîtresse. Incapable, tout simplement...
Le temps s’égrena lentement, sans que rien ne se passe. Aucune réaction ne venait traverser le visage de la Maîtresse, qui choisit alors de se retourner vers Daisy, faisant glapir ce dernier.
« Approche, petite pute...
- O-Oui, Maîtresse... »
En se mordillant les lèvres, Daisy se rapprocha lentement, nerveuse, et, quand il tenta de se relever, la femme secoua la tête.
« Marche à quatre pattes, comme une chienne... »
Daisy soupira encore, se mordillant les lèvres, puis obtempéra. À quatre pattes, humilié, il rejoignit lentement sa Maîtresse, la redoutable Comtesse, pour se retrouver devant elle. De Minnie, on ne voyait plus que ses pieds, et Daisy se retrouva ainsi devant elle. Il releva lentement la tête, nerveux et excité, et la Comtesse esquissa un sourire.
« Lèche le devant, petite salope... Faites-moi plaisir, toutes les deux... Et, si vous me faites jouir... Je vous offrirais un cadeau, une récompense. »
Un grand sourire ornait ses lèvres, un sourire autant malicieux que joyeux. Hochant la tête, la Princesse souleva alors la jupe, et soupira, en se retrouvant contre le corps de la femme. Ses mains se posèrent sur les jambes de la femme, et heurtèrent les doigts de Minnie, le faisant frissonner. Ils étaient réunis ensemble, et il leva la tête, en voyant la culotte de sa Maîtresse.
*La culotte d’une femme...*
Il soupira, puis entreprit alors de la lécher, s’absorbant dans la chaleur et dans la doucereuse odeur de sa Maîtresse, jusqu’à la faire jouir...
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Après la peur de se faire battre à nouveau, le plaisir et la fougue commençaient à gagner Minnie. Celui-ci avait choisi de lécher sa maitresse au niveau de ses fesses, de ses magnifiques et majestueuses fesses. Un endroit qu’il n’aurait jamais osé atteindre, s’il ne se savait pas déjà au fond du puit. À ce stade-là, rien ne pire pouvait lui arriver, du moins le pensait-il. On lui avait refusé de faire l’amour avec ce garçon, alors qu’il le désirait plus que tout ! Bon sang, son corps continuait encore à crier le manque de Daisy. Minnie voulait tellement lui faire l’amour, tellement sentir son sexe en lui, tellement … Se sentir contre lui, qu’il ne pouvait plus rien faire pour s’extirper de cette envie. Mais la Comtesse semblait ne pas vouloir les laisser faire. Ils étaient si proche du but ; ils étaient en train de s’embrasser langoureusement, de frotter leur verge l’une contre l’autre, quand leur maitresse avait mis fin à ce délicieux moment. Minnie ne savait pas encore comment, mais il savait qu’après tout ceci, il irait rejoindre en douce Daisy et irait, dans le dos de la Comtesse, lui offrir ce moment dont tous les deux rêvaient.
Minnie était réellement tombé sous le charme du garçon. Il s’imaginait déjà en train de lui faire tout pleins de baisers, que ce soit sur son jolie visage ou sur sa verge. Ou partout ailleurs ! Il voulait tout simplement s’acoquiner tendrement avec lui. Et s’ils pouvaient faire usage de leur sexe, c’était encore mieux ! Une fois que cette fête serait terminée, les deux garçons allaient tout faire pour se voir et concrétiser ce rêve ! C’était certain ! Mais en attendant, Minnie devait obéir à sa maitresse, qu’il respectait et aimait malgré tout. Ce fut pour cette raison qu’il était donc en train de lécher ses magnifiques fesses, bien rondes et fermes. Il couinait doucement, sentant alors que sa maitresse ne semblait pas le repousser. Toutefois, il finit par l’entendre donner un ordre à son compagnon. Lui aussi devait la lécher, mais par devant ! Qu’est-ce que cela voulait dire … Allait-il réellement la … Non, c’était un piège. Mais la Comtesse semblait ne pas les punir, ne pas vouloir les battre. À quoi rimait tout ceci ?
Daisy fit alors son apparition sous la robe de la Comtesse, et ses yeux se posèrent sur sa culotte. C’était apparemment la première fois qu’il voyait la culotte d’une femme … Pourtant, il devait bien en porter tous les jours. C’était en tout cas le cas pour Minnie, qui s’habillait tout comme une femme. À l’instar de Daisy, il était devenu à 100% féminin, mentalement et physiquement. Bien qu’il possédait encore des traces de masculinité, comme son gros sexe, ou ses hanches plates, ou son absence de seins. Mais pour tout le reste, c’était une fille. Il portait tous les jours des sous-vêtements de femmes, des habits féminins, etc. Pour lui, ce n’était donc pas choquant de voir une petite culotte. Ce qui était impressionnant en revanche, c’était de voir la merveilleuse beauté d’une telle culotte enfilée sur les fesses d’une telle femme ! Sa langue continuait à lécher langoureusement sa fesse, quand il sentit le bout des doigts de Daisy heurter les siens. Il frissonna à ce moment, et ne put s’empêcher alors de venir s’avancer pour croiser ses doigts avec les siens.
Chaque occasion qui présenterait pour lui prouver son affection, il la saisirait. Comme à cet instant, où il n’hésita pas à venir mêler ses doigts au siens. Son autre main, libre, prit cependant un risque énorme ; celle de déplacer légèrement le tissu délicat de cette culotte, pour libérer un accès direct à la petite rondelle de la Comtesse. Minnie déglutit, car très apeuré de la réaction de la femme, mais il tenta de reprendre courage en se disant que si cela marchait, il allait gagner des points. Sa petite langue malicieuse, tout en léchouille, se dirigea vers ce petit trou, jusqu’au moment critique où Minnie osa enfin titiller cette entrée sacrée du bout de sa langue. Cela allait-il marcher ?
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À quel jeu pervers est-ce que leur Maîtresse jouait avec elles ? Elle continuait régulièrement à les battre, à les humilier, et, alors que Daisy s’était attendue à se faire de nouveau battre, la Comtesse avait, au contraire, choisi de les récompenser. Fiévreuse, Daisy (car, tout comme Minnie, il arrivait parfois qu’elle se considère comme une femme ou comme un homme, la différence étant maintenant ténue) avait été émoustillée par cette culotte, car c’était celle de sa Maîtresse... Presque comme une relique sacrée. Oui, Daisy aimait profondément Minnie, mais ce que la Princesse ressentait pour la Comtesse était... Une autre forme d’amour, une forme de vénération et de divination. À l’époque où Daisy n’était pas Daisy, mais quelqu’un d’autre, cet homme au nom inconnu, il savait déjà que la Comtesse était leur gardienne, une femme d’un statut supérieur au sien, qui avait protégé la contrée contre les envahisseurs barbares. Il était donc légitime, logique et normal qu’elle ait un rôle supérieur, et qu’elle soit considérée comme une femme supérieure. Lécher son intimité était donc un immense honneur pour Daisy, et c’était encore mieux de le faire ne sachant que Minnie était juste là, à côté d’elle.
*Oui, je suis une Princesse chanceuse, car ma Maîtresse est très généreuse, et je dois cesser d’être ingrate...*
Ingrate, elle l’était, dans la mesure où elle faisait des caprices... Et, pourtant, même malgré ça, sa Maîtresse lui offrait une récompense. Daisy voyait donc son sexe, ses lèvres intimes, une délicate bouche rose, sans aucun poil pubien. Elle s’y approcha, et vint le lécher, tout en serrant ses doigts avec ceux de Minnie. Les corps se crispaient contre celui de leur Maîtresse, et, quand Minnie alla se risquer à lécher son bouton rose, son délicat trou, la Comtesse soupira lentement, mais les laissa faire.
Elles étaient dans leur monde, sous la robe de la Maîtresse, et, même malgré sa forte érection, qui la faisait souffrir, Daisy pouvait sentir la mouille de la femme. Un nectar intime, un liquide sucré, que Daisy avait encore trop rarement goûté à son jour. Yeux clos, elle léchait donc, soupirant et gémissant.
« Haaaa... »
Les deux femmes continuaient donc à la lécher, chacun de leur côté, leurs mains se serrant tendrement entre elles. La Comtesse les laissait donc faire, et plusieurs minutes passèrent, sans que la Comtesse ne fasse rien pour les arrêter.
En voulait-elle plus ? Daisy déplaça lentement l’une de ses mains, et apposa le bout de ses doigts contre ses lèvres intimes... Puis les glissa un peu plus loin.
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Visiblement, la Comtesse semblait apprécier ce que faisaient les deux garçons. Minnie s’affairait, d’abord timidement, à titiller la petite rondelle de sa maitresse. Il avait été tout hésitant, apeuré par la réaction que pourrait avoir la femme. Pourtant il avait pris son courage à deux mains et s’était lancé, immisçant sa petite langue dans cette cavité étroite et peu conventionnelle. Ainsi, sa langue s’entortillait dedans, et, petit à petit, il prenait confiance. Yeux clos, sa main libre massait tendrement la fesse de Comtesse alors qu’il commençait à devenir ivre. Ivre de cette paire de fesse, de cette rondelle dont il se perdait corps et âme à lécher. Sa langue se fourra complètement dedans et il se mit à remuer dans tous les sens. Mieux encore, Minnie ne put résister à l’envie de s’approcher d’avantage, finissant littéralement par fourrer son petit minois entre les généreuses fesses de sa maitresse. Il couinait de plaisir et tremblait de toute part, alors qu’il continuait son traitement, et son petit jeu de doigts avec son comparse.
D’ailleurs celui-ci semblait lui aussi parti dans son euphorie, puisqu’il l’entendait couiner de son côté alors que son visage était blotti contre l’intimité toute rose et sublime de la Comtesse. Minnie se demandait bien qu’elle visage devait-elle avoir à ce moment-là, puisque ses deux petits jouets étaient en train de se régaler à pleine bouche de ses deux entrées les plus sensibles. Daisy alla même jusqu’à introduire ses doigts, tout doucement, afin de la faire frémir encore plus. Cela, il aurait bien aimé vouloir le faire aussi … Mais il était devenu beaucoup trop ivre et accro pour retirer sa langue et son visage. Bien au contraire, Minnie s’efforçait de toujours plus nicher son visage, et de toujours aller plus loin avec sa langue. Elle papillonnait de toute part, goutant pleinement à cette rondelle chaude.
La princesse à la robe bleue voulait obtenir le cadeau promis. Elle voulait surtout l’obtenir pour pouvoir en profiter avec Daisy … Un maigre espoir renaissait en lui ; celui de pouvoir faire l’amour, enfin, à ce garçon. Et si cela allait se produire, cela n’allait être que le début de quelque chose ; car Minnie sentait qu’il était attiré par ce Daisy, bien que physiquement pour le moment. Il ne pouvait plus attendre le moment où il pourrait pleinement l’embrasser. Où il pourrait déposer ses lèvres sur les siennes, sur ses joues, sur son cou … Sur sa verge, aussi. Oh que oui ! Il ne pouvait plus attendre … De s’offrir à lui. Quand leur sexe s’étaient écrasés l’un contre l’autre, se frottant alors tendrement ensemble, Minnie cru sentir la plus merveilleuse sensation de toute sa vie. Il espérait alors la revivre … Si seulement. La seule condition était de faire jouir la Comtesse, et c’était pour cette raison qu’il s’appliquait à lui lécher sa petite entrée, tout en lovant son visage contre ses fesses.
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Les deux Princesses salopes, à l’identité sexuelle bafouée, continuaient à lécher le corps de leur Comtesse, à satisfaire ses orifices, en essayant de lui prodiguer le plus grand bien possible, la plus grande satisfaction, chacun des deux ayant en tête la même idée : pouvoir ainsi coucher avec l’autre. Deux Princesses étaient mutuellement attirées l’une vers l’autre, et, à force, Daisy avait du mal à continuer à se considérer comme un garçon. Totalement écrasé par sa Maitresse, l’homme se voyait maintenant comme une Princesse. Il léchait l’intimité de la femme, tout en sentant son sexe continuer à l’élancer douloureusement. Sa virilité était au garde-à-vous, bien tendue, impatiente, assoiffée, désireuse de goûter à des lèvres, à des orifices, mais, dans sa tête, ce n’était pas le corps de sa Maîtresse, aussi délicieux soit-il, qui le faisait fantasmer… C’était celui de Minnie, cet autre esclave, l’autre Princesse. Ils étaient très proches, tous les deux, un lien avec lequel leur sadique Maîtresse jouait malicieusement.
Délicatement, les deux esclaves exploraient les trous intimes de la Comtesse, qui soupirait de plaisir, et Daisy put sentir, contre ses doigts gantés, sa mouille, ce qui lui fit pousser de délicieux couinements étouffés. La mouille de sa Maîtresse…
*Je goûte à sa cyprine…*
Une délicieuse cyprine, un nectar délicieux… Et ce fut pour la Comtesse le signal.
« Hummm… Du calme, du calme, mes chéries… »
Elle se défit alors des deux femmes, en conservant sur ses lèvres un sourire moqueur.
« C’est très bien mes petites Princesses… Vous êtes vraiment douées, toutes les deux. »
La Comtesse se déplaça un peu, ses talons claquant sur le sol, laissant Daisy et Minnie face-à-face. Les deux esclaves se regardaient lentement, Daisy frissonnant, avec une belle érection, déformant son justaucorps rose. La Comtesse se déplaça donc un peu, et récupéra un verre abritant un liquide très rouge. Daisy soupçonnait du vin, mais n’avait, en réalité, pas trop l’occasion d’y penser.
« Vous êtes des salopes si dévouées que... Je pense qu’il est temps de vous faire plaisir, et de vous accorder un souhait. »
Daisy sentit son cœur manquer un battement. Il ne pouvait s’empêcher d’observer le corps de Minnie, et surtout sa queue, sa belle queue tendue et assoiffée.
« Minnie, tu vas sodomiser Daisy... Je crois que ça vous fera plaisir à toutes les deux... Et puis, Daisy viendra t’enculer, comme la belle petite pute que tu es, ma chérie... »
Ces propos soulevèrent des gloussements au milieu de la foule. Les convives continuaient en effet à regarder Daisy et Minnie comme de jolis phénomènes de foire, et de belles attractions sexuelles... Mais ça, Daisy s’en fichait. La Comtesse venait enfin de les autoriser à faire l’amour. Et, en ce moment, tout ce dont Daisy rêvait, c’était de sentir de sentir la grosse queue de Minnie venir lui défoncer son petit cul !
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Peut-être que l’effort allait en valoir la chandelle ? Même si Minnie obéissant présentement à sa maitresse, dans le simple but de lui obéir, il espérait qu’elle le récompenserait tout de même. Bien entendu, la seule récompense qui lui ferait réellement plaisir serait de faire, enfin, l’amour avec Daisy. C’était son seul et unique souhait. Même s’il ne le connaissait que depuis aujourd’hui, il ne pouvait résister contre cette puissante attraction qui l’attirait irrémédiablement vers lui. Peut-être était-ce parcequ’il était comme lui ? Ou parcequ’il était physiquement attirant ? Ou peut-être encore car il avait simplement envie de sa queue ? En réalité, c’était un gros mélange de tout cela. Motivé par la récompense, et la simple envie de faire jouir la Comtesse, Minnie s’appliqua à fond. Au bout d’un moment, l’intéressée finit par jouir, envoyant alors son nectar intime sur le doux visage de l’autre princesse. Chanceuse était-elle, de pouvoir gouter à un tel nectar … Minnie en serait presque jaloux, mais il s’était pleinement satisfait de sa partie.
Leur maitresse à tous les deux les fit sortit de sous sa robe, et commença alors à parler. Elle les laissa l’un en face de l’autre, et à ce moment-là, leur regard ne se quittèrent plus. Le cœur de Minnie battait fort, et son sexe devenait encore plus tendu, pointant malgré lui fièrement vers le ciel. À un tel point qu’il en releva les jupons avant de sa robe bleue. La Comtesse continua sa tirade, finissant par déclarer quelque chose qui fit, immanquablement, plaisir aux deux garçons, qui n’avaient plus que le sexe de garçon. Quand la Comtesse déclara que Minnie allait sodomiser Daisy, puis que cela allait être l’inverse après, la princesse sentit un grand soulagement, et une hâte sans fin. Il s’en contre moquait que l’assemblée se fichait d’eux, riaient à leur comportement ! Tout ce qui lui importait était de faire l’amour avec Daisy ! Et c’était précisément ce qu’il comptait faire à présent.
« Oh … Merci Maitresse !!! » Dit-il de sa voix efféminée, avant de se jeter sur Minnie. Il se mit à l’embrasser fougueusement, passant ses bras tout autour de lui. Ses lèvres lui avaient tant manqués, il n’en pouvait plus d’attendre ! Sa langue partit furieusement à l’assaut de la sienne, et il joua avec en un balai endiablé. Ce petit manège dura un moment, avant que Daisy ne s’écarte. Les deux princesses savaient ce qu’elles avaient à faire, et ce fut pour cette raison que Minnie attendit sagement que Daisy se mette à quatre pattes. Quand ce fut le cas, la princesse posa fermement ses mains sur ses rondes et belles fesses, qu’il massa tendrement. Ses doigts partirent tiré sur la corde en latex, obstruant le passage. En vérité, il tira sur toute la partie inférieure de son justaucorps rose, ce qui eut pour effet de dénuder complètement son bas-ventre et ses fesses. Sans dire de mots, Minnie souleva ses jupons et saisit son propre sexe, qui était incroyablement long et tendu.
Il ne pouvait plus attendre, en vérité. Ce fut pour cette raison qu’il sembla aller un peu vite au début. Son sexe fermement en main, il l’orienta vers la petite rondelle de Daisy. Quand le bout de son gland tapa contre cette porte fermée, il sentit un puissant frisson le parcourir. (Enfin … Enfin !!!) Pensa-t-il, alors qu’il tremblait de toute part. Puis, prenant son courage à deux mains, et faisant fi de son rythme cardiaque qui s’emballait sous l’excitation, il plaqua ses mains à nouveau sur les fesses de Daisy … Puis commença à pousser lentement. « Ohhhhhh !!! » Gémit-il, alors que lentement son sexe fondait dans les entrailles de Daisy. Bientôt toute sa verge disparue, complètement absorbée par le fondement de Daisy. Ses testicules se lovèrent contre les siennes, jusqu’au moment où il commença à sortir. Le faisant à moitié, il repartir de plus belle, effectuant alors son premier aller-retour.
Finalement, il commença à les enchainer, se mettant sérieusement à pénétrer Daisy dans la règle de l’art. Sa massive verge pilonnait sa rondelle, alors qu’elle entrait et sortait fiévreusement. Puis, petit à petit, il sembla accélérer le rythme, sans doute commençait-il à devenir ivre de ce plaisir jusque-là refusé à lui.
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Dans un contexte très christianisé comme pouvait l’être l’Europe des 16ème et 17ème siècles, une sodomie n’était pas un acte anodin… Tout comme le fait d’avoir un rapport homosexuel. Par conséquent, ce que Daisy et Minnie s’apprêtaient à faire n’était pas qu’un simple acte de luxure et de perversion, aussi important soit-il. C’était aussi une désobéissance civique, une manière de se moquer des règles sociales, de les tourner en dérision, ou de les tourner en faiblesse... Car, pour Daisy, il n’y avait rien de pervers dans ce qu’ils comptaient faire. Lorsque Minnie l’embrassa, c’est avec plaisir qu’il goûta à ses lèvres, se tortillant contre lui.
« Mmmhmmm... !! »
Daisy goûta aux lèvres de son amant, tout en sentant son sexe caresser le sien. Les deux étaient très excités, ce qui pouvait se comprendre, car, depuis le début de cette soirée, on ne cessait de jouer avec eux, et de les torturer. Maintenant, Daisy espérait bien avoir enfin ce qu’il voulait : du cul. Minnie, après ce bref et sensuel baiser, le retourna donc. Les mains gantées de Daisy se crispèrent sur le sol, et il écarta les jambes, venant bomber son petit cul. Les mains de Minnie s’attardèrent sur sa croupe, le faisant soupirer. On pouvait le voir se mordiller les lèvres, se dandinant sur le sol, et l’accès à sa croupe fut finalement accessible.
Les convives souriaient entre eux, attendant probablement le moment où la « Princesse » viendrait sodomiser l’autre. Minnie releva sa robe, faisant sortir un joli morceau, et finit par le rapprocher du cul de Daisy. Quand ce dernier sentit ce morceau de chair s’approcher de ses fesses, tapant contre sa peau, un couinement s’échappa des lèvres. Ça y est... Enfin ! Il sentit ce membre s’enfoncer dans son corps, et un cri de plaisir, guttural, s’échappa de ses lèvres, remontant dans toute la pièce.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Dans son dos, Minnie se mit à correctement la besogner, et Daisy suivit le mouvement, soupirant, gémissant, yeux clos, joues rouges, tout son corps se tendant sous le plaisir. La douleur, présente, ne faisait que se mélanger à un plaisir terrible et vorace. Daisy gémissait de plaisir, encore et encore...
« Hnnnnnnnnnnnnnnn... Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii... !! »
De longs soupirs, des cris à peine audibles, et le plaisir, lui, qui vint s’imposer... À tel point que Daisy n’arrivait même plus à retenir sa salive, qui coulait sur le sol.
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Le moment tant attendu, le dénouement quasi ultime de cette situation qui n’avait que trop duré ! Pour la première fois, Minnie allait faire l’amour ; et en plus, à une personne de son choix. Et ce choix s’était portée sur Daisy, ce garçon qui était dans les mêmes conditions que lui. Depuis qu’il l’avait vu, il y a quelques temps, il avait senti quelque chose. Une attirance presque magnétique, incontrôlable. Et maintenant, après avoir vu qu’il désirait hargneusement son corps, son souhait fut exhaussé. La Comtesse avait enfin décidé à les laisser se faire l’amour, au beau milieu de toute une assemblée qui ne faisait rien d’autre si ce n’était se moquer d’eux. Mais à proprement parlé, Minnie s’en fichait. Tout ce qui importait, était qu’il allait sodomiser son comparse, et qu’il allait lui offrir la même en retour. En somme, les deux Princesses allaient joyeusement se défleurir la rondelle, mutuellement.
Et ce fut Minnie qui ouvrit le bal. Embrassant fougueusement Daisy, jusqu’à en perdre son souffle, il finit par délaisser ses délicieuses lèvres au profit de son arrière-train. Le plus étonnant, était que si les deux garçons n’avaient quasiment aucunes formes, on ne pouvait pas contredire le fait que leurs popotins étaient presque aussi généreux que celui d’une belle femme. Il suffisait de voir celui de Daisy ; il était bien bombé. Un plaisir à l’état pur, surtout quand Minnie posa ses frêles mains dessus, puis commença à pousser son sexe au sein même de ses entrailles. Un soupir s’échappa de ses lèvres, alors que son corps entier tremblait sous le désir et le plaisir. Il n’avait fait, pour le moment, que rentrer sa verge et pourtant, c’était déjà très sensationnel. Entrouvrant les lèvres, il sentit un feu ardent ronger son bas-ventre, le poussant finalement à enchainer.
Il raffermit son emprise sur les petites fesses de son acolyte, puis commença alors à effectuer ses vas et viens. Son sexe rentrait puis sortait, de plus en plus rapidement. Au final, il était vraisemblablement en train de sodomiser la princesse qui se tenait devant lui. Et les soupirs et gémissements que cette dernière poussait étaient tout simplement magnifique, à ses oreilles. Cela l’excitait encore plus. Minnie labourait vigoureusement Daisy, le faisant agiter en avant et en arrière à chaque coup de butoir. « Ouiiiiiii !!! Hmmmmm c’est boooooon !!!!! » Gémit-il, alors que sa langue se mit à pendre, sans même le vouloir. Sa verge entrait et sortait nerveusement, pilonnant sans relâche cette petite rondelle si étroite et serrée, mais qui faisait tant de bien à Minnie. Plus il tapait, plus il s’enfonçait loin dans ses entrailles ; après tout, sa trique était quand même très conséquente.
Au bout de quelques temps, la pression commença à devenir bien trop forte pour être contenue plus longtemps. Serrant des dents, Minnie enfonça ses doigts dans les belles fesses de Daisy, alors que tous ses muscles se crispèrent. « Haaaaa !!! » Soupira-t-il intensément, sentant l’orgasme pointer son nez. Et il n’avait pas eu tort ; à peine quelques instants après, il sentit son sexe vibrer intensément, avec une puissante et brûlante salve de foutre qui le remontait. « HMMM DAISY !!!! HAAAAA !!! » Cria-t-il une dernière fois, alors qu’il fut foudroyé par l’orgasme pointant. Sa verge explosa littéralement dans son fondement, libérant alors un torrent de foutre qui alla se déverser dans son estomac. Son souffle s’était perdu au même moment que son esprit. L’orgasme avait été si foudroyant qu’il avait presque faillit perdre connaissance. C’était la première fois qu’il pouvait jouir aussi librement, et qui plus était, dans un cul.
Attendant un peu, il finit par se retirer, quittant alors le chaud et accueillant arrière-train de Daisy. Avant de passer à son tour, il se courba puis vint très tendrement déposer un baiser sur l’une de ses fesses, qu’il fit durer un certain temps. « Hmm … » Couina-t-il, alors qu’il embrassait amoureusement cette fesse, qu’il finit malheureusement par quitter. C’était à présent au tour de Daisy de venir prendre plaisir, et Minnie était entièrement prêt à l’accueillir en lui.
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Daisy aurait cru que cette sodomie serait douloureuse, il aurait pu craindre de n’y ressentir aucun plaisir... Mais ce fut bien tout le contraire qui se produisit. Une décharge de plaisir le traversa de part en part, remuant dans tout son corps, le faisant frissonner sur place. Un soupir s’échappa de ses lèvres entrouvertes, ses mains venant se crisper sur le sol, tandis que, dans son dos, il pouvait sentir Minnie agir, avec force et avec hargne. Trop longtemps, on avait fait souffrir les deux amants. Trop longtemps, on avait choisi de les frustrer. Maintenant, le plaisir éclatait, furieux, incandescent, irrépressible. Autour d’eux, les convives s’amusaient, se moquaient, gloussaient, mais Daisy s’en fichait. Pour lui, en ce moment, il n’y avait que Minnie qui comptait ! Son amie, sa comparse... Il ne savait plus s’il était un homme ou une femme, mais il savait qu’il adorait les sodomies ! Oui, se faire prendre par Minnie, quelle joie, quel délice ! Tout son corps en frissonnait, en vibrait, remuant au fur et à mesure des mouvements de la Princesse. Douleur et plaisir ne faisaient plus qu’un, et on pouvait l’entendre gémir, soupirer, yeux clos, poussant des petits couinements aigus qui avaient tout de féminin... Et, tandis qu’il était pris avec force, il n’arrivait même plus à retenir sa salive, qui coulait de ses lèvres, au fur et à mesure que la sodomie se poursuivait.
Baisé comme un chien, Daisy couinait et haletait, ses mains gantées se serrant sur le sol, sa queue allant parfois frotter ce dernier... Puis Minnie se vida en elle, remplissant et inondant son cul de son foutre, son sperme abondant qui afflua en elle, se déversant dans son corps.
« Haaaaaaaaaaaa... !! »
Quelle magnifique sensation ! Minnie venait de jouir, et Daisy pouvait sentir son foutre remonter dans son corps ! Des larmes de plaisir (et de souffrance, mais les deux ne formaient alors plus qu’une seule et même sensation) glissaient le long de ses joues rougies, tandis que Daisy sentit la verge de Minnie se retirer de son corps, le faisant trembler. L’air se mit ensuite à caresser son anus ouvert, frottant ses parois, le faisant délicieusement frémir.
« Hnnnnnn... »
Sa respiration était lourde et lente, et Daisy rougit pour de bon, se mordillant les lèvres quand Minnie alla embrasser ses fesses. Le baiser dura de longues secondes, Daisy rougissant de nouveau en voyant tous les gens les regarder. C’était maintenant à lui de sodomiser Minnie, et il se retourna vers elle. Son amant lui offrait la vue de sa croupe, ce trou étroit et serré, et lui contempla son sexe, rougissant encore. L’homme se mordilla les lèvres, soupirant, et tenta de se redresser, tout en sentant une vive douleur remuer le long du bas de son dos.
« Haa... Minnie... Je... Je vais te sodomiser... Moi aussi... »
La Maîtresse ne disait rien, restant les bras croisés, et, d’une démarche un peu gauche, Daisy marcha vers lui, puis posa ses mains sur ses fesses, venant tendrement les masser. Oh, que c’était bon ! Il redressa la robe de Minnie pour mieux voir son beau petit cul, et ses pouces appuyèrent dessus, se glissant le long de sa croupe, écartant ainsi les deux fesses de Minnie, l’une de l’autre, tout en frottant sa queue contre son corps.
« Haaa... Tu as un si beau cul, Minnie... Tu... Dis-moi... »
La « Princesse » se mordilla les lèvres, essayant de calmer les élancements nerveux et surexcités de son cœur pour parler calmement :
« Dis... Dis-moi que... Que tu veux que... Que je te d-dé... Défonce le... Le cul ! »
Ça y est, il avait réussi à le dire !
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Entre les princesses, on aurait presque pu croire qu’un amour fou et irrationnel avait vu le jour. Mais, pour le moment, il était surtout animé par une grande attirance physique. Bien que le fait que les deux garçons soient liés par la même condition, et que cela jouait dans l’affection qu’ils se portaient mutuellement, le sexe et l’attirance physique jouaient un rôle assez proéminent. Quelle ne fut pas leur satisfaction quand leur maitresse finit par accepter qu’ils se fassent enfin l’amour ! C’était tout ce qu’ils avaient demandé, depuis le début ; à pouvoir se serrer mutuellement. Juste pouvoir se câliner, et se sodomiser au passage. Pour le coup, ce fut Minnie qui ouvrit le bal en montant Daisy. Et que dire … La princesse découvrit un plaisir immense ! Rien qu’en enfonçant lentement sa verge dans un trou aussi étroit que cette rondelle était fantastique ! Aucune sensation n’équivalait à celle-ci …
Minnie avait donc bien sodomisé son acolyte, ayant labouré ses petites fesses avec toute la force qu’il avait. Il l’avait tellement bien fait, que l’orgasme en fut sensationnel. En effet, après tout ce temps, il avait joui abondamment en lui, remplissant généreusement ses entrailles de sa crème brûlante. Minnie avait beau être des plus efféminé, il en demeurait pas moins que la Comtesse avait réussi à conserver son sexe. À un tel point qu’il pourrait facilement en faire envier plus d’un. Long, érigé, il avait envoyé une belle cartouche dans les intestins de Daisy. Mais, après une longue et délicieuse sodomie, c’était à présent à son tour de la recevoir. Ainsi, il se mit en position et attendit impatiemment que son amant le labour à son tour … Il en mourrait tellement il attendait cela depuis si longtemps.
D’abord, il sentit les mains, les délicieuses mains de Daisy se poser sur sa croupe pour la caresser. Il poussa un petit soupir de délice face à cela, adorant ces caresses. Mais il adora ceci encore plus quand Daisy passa ses pouces de manière à écarter chacune de ses fesses, tout en les malaxant. Il se faisait plaisir, et faisait plaisir aussi. Minnie s’en mordillait nerveusement les lèvres, sentant sa petite rondelle s’agiter sous l’anticipation de cette sodomie. Il pouvait aussi sentir la queue de son acolyte frotter contre son corps et ça … C’était sans doute la plus délicieuse des sensations qu’il ressentait à ce moment. Malgré tout, il rougit encore plus quand il entendit Daisy lui demander de dire quelque chose. Il voulait l’entendre dire une phrase, un mot bien précis.
Le cœur de la princesse palpita fortement, ne sachant pas s’il en avait le droit. Mais … À vrai dire, maintenant qu’il appartenait corps et âme à son amant, il n’allait pas lui refuser cela. Couinant, Minnie se mordilla la lèvre puis s’exprima. « Oui … Oui Daisy, je – je veux que tu me défonce le cul ! Vas ... Vas-y, je t’en prie ! Détruis m-ma petite rondelle, par pitié … » Dit-il, à bout de nerf. Finalement, après son aveu, il sentit enfin les mains de son ami se poser fermement sur sa croupe, alors qu’il sentit son gros morceau de chair tendu frotter entre ses fesses. Enfin, enfin ! Il tressaillait d’avantage au moment où … Le gland tout chaud de Daisy vint taper contre sa rondelle, pour la forcer tout en s’enfonçant en elle.
Il prit une grande inspiration, comme surpris par autant de plaisir, et de douleur. Ses doigts se crispèrent autant que ses dents, avant qu’il ne lâche ses premiers gémissements. « Haaaaannn ! » Gémit-il, plaisir et douleur fusionnant pour donner une sensation des plus délicieuses au monde !
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La sodomie se poursuivit donc, au milieu d’une assemblée ravie. Un magnifique coup de publicité pour la Comtesse, qui voyait là l’occasion de montrer à tous ses amis et connaissances l’efficacité de ses techniques et méthodes pour briser les esprits, et ainsi amener les hommes à se comporter comme de petites fiottes impudiques et soumises. Au milieu de l’assemblée, Daisy ne tarda pas à enfoncer sa verge dans le cul de Minnie, et les deux « Princesses » firent donc, à nouveau, vigoureusement l’amour. Le mandrin de Daisy remuait vigoureusement, donnant de grands coups de reins, tandis que ses mains gantées se crispèrent sur les fesses de Minnie. Daisy poussait de longs soupirs joyeux, excités et fiévreux, en se laissant joyeusement aller.
« HHHHHAAAANNNNNNNN... !! »
Les joues rougies par l’effort, les yeux clos, Daisy se laissait enfin aller. Oui, il pouvait enfin pénétrer la belle Minnie, il pouvait enfin se laisser aller joyeusement en elle, et... Et c’était tellement bonqu’il en pleurait même ! Des larmes ruisselaient le long de ses joues, alors que le plaisir explosait en lui. Des semaines de frustration avaient fini par aboutir à ce moment, les dernières minutes ayant servi de terrible catalyseur à une (très) longue frustration, qui pouvait enfin se relâcher. Enfin, oui, enfin, il la prenait ! Daisy était comblé, totalement surexcité. Le petit cul de Minnie le faisait joyeusement souffrir, une souffrance qui n’avait rien à voir avec celle engendrée par la frustration, une souffrance... Une souffrance bienvenue ! Oui, cette souffrance-là, Daisy l’accueillait à bras ouverts, et il s’absorbait dedans, remuant de plus en plus, sa salive venant parfois dégouliner de ses lèvres pour tomber sur son justaucorps rose... Un justaucorps joli et sexy, mais qui, avec la sueur, le sperme, et maintenant la salive, ne devait plus ressembler à grand-chose... Mais ça, Daisy, en toute honnêteté, s’en moquait !
Poussant un grognement, il posa ses mains sur le cul de Minnie, se crispant dessus, banda les muscles... Et multiplia les coups de reins, y allant plus vite, plus fort. Soupirant et haletant, Daisy arqua son corps vers le bas, et continua à remuer, pilonnant joyeusement le merveilleux petit cul de son amante.
« Hnnnnnnnnnn... !! »
Ne pas se retenir, ne pas se retenir, Daisy suivait cette idée, en se lâchant joyeusement contre le corps de Minnie. Entremêlés, les deux amants n’en faisaient plus qu’un, et Daisy enculait fièrement et profondément son ami princier. Toute cette frustration accumulée le rendait nettement plus agressif, et il griffait le cul de Minnie, allant parfois le gifler, le prenant, encore et encore... Sous le regard ravi et amusé des convives, qui étaient conquis par ce magnifique spectacle.
Et comment auraient-ils pu ne pas l’être ?
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Un spectacle haut en couleur, et pas qu’à cause des robes des deux princesses. Minnie avait prodigué une merveilleuse et intense sodomie à son acolyte, le faisant hurler et couiner au moins tout autant que lui. Ce fut si magnifique et puissant car Minnie avait accumulé tant de frustrations, tant de souffrances et bien d’autres choses, qu’il s’en était donné à cœur joie. En plus que Daisy l’attirait … C’était la petite cerise sur le gâteau. Pouvoir coucher avec lui, le sodomiser et l’embrasser avait été l’un des meilleurs moments dans sa vie d’esclave sexuel. Il aimerait tant que cette expérience soit réitérée, que ça soit en conscience de la Comtesse … Ou dans son dos. Il s’imaginait bien faire des sorties de nuit, en toute discrétion, pour rejoindre son amant afin de lui faire vigoureusement l’amour, de le câliner et de, tout simplement, passer un bon moment.
Tout ceci lui revint en tête au moment où Daisy, lorsque ce fut à son tour, se mit à enfoncer son énorme et juteuse trique en lui. Poussant un gros hoquet, Minnie se laissa complètement faire, sentant ses muscles se faire stimuler d’eux-mêmes. Il sentit aussi ses entrailles se contracter tout autour du mandrin de Daisy, le comprimant grandement alors qu’il était en train de le labourer. La sensation devait être incroyablement bonne ! La princesse l’avait elle-même sentie quelques minutes auparavant, et elle ne pouvait que s’imaginer à quel point son amant était en train de prendre son pied.
Sauf que Daisy était plus vorace, plus vif ! Non content de bien sodomiser Minnie comme il se devait, il se mit à grogner à et griffer ses petites fesses toute roses. Des sensations accueillies à bras ouverts par l’intéressé, qui couina à chaque gifle que lui mettait son amant. « Haaa ! » Couinait-il, ses mains se crispant nerveusement sur le sol. Il sentait cette lourde verge le pilonner avec force, tapant contre le fond de ses entrailles. Il perdait la tête de seconde en seconde, et pour preuve, sa langue pendouillait en l’air et ses yeux se braquaient haut vers le ciel. Minnie soupirait grandement, et commença même à ressentir des frissons en lui ; signe que sa propre verge commençait à reprendre en vigueur. Cela atteignit un tel point que lorsque sa queue balbutia d’avant et d’arrière à chaque coup de rein de son ami, le bout de celle-ci frotta le sol, tellement sa trique était redevenue massive.
Minnie ne mit pas longtemps à voir son intimité commence à juter, à ce rythme. En effet, il finit par laisser couler un peu de sa semence, qui alla lentement s’écouler sur le sol. Tout son corps remuait sous les terribles coups de son amant, et il ne cessait de gémir, de couiner, tout en se retenant d’hurler de plaisir. Mais le coup de grâce finit par arriver quand la princesse à la robe rose finit par craquer, et que dans un ultime coup de burin, il balança sa brûlante crème en lui, gémissant comme jamais auparavant. « HAAAAAAAANNNNN OUIIIII !!! » Gémit-il, griffant littéralement le sol avec ses ongles. Sa rondelle se contracta au maximum, écrabouillant la verge de Daisy afin d’encore plus stimuler son orgasme à lui. Minnie se mit à jouir abondamment sur le sol, aspergeant celui-ci d’une marée blanche, en un grand jet continue.
L’orgasme dura au moins une bonne dizaine de second, pendant lesquelles il sentit Daisy remplir à ras bord ses entrailles ; à un tel point que son ventre se mit à gonfler à l’œil nu. Il aurait tant voulu recevoir tout ce foutre non pas dans son cul, mais ailleurs. En d’autres termes, il aurait tant voulu que Daisy se vide autan dans sa gorge ! Mais ce qui était fait, était fait. Finalement, les deux traps soupirèrent, leur force les quittant petit à petit. Les deux avaient abondement jouit, ayant même finit par inonder le sol, du moins là où ils étaient, par la délicieuse composition de leur foutre respectif. Quand Daisy se retira, Minnie se redressa puis se retourna … Avant de se jeter comme un fauve sur la princesse, la forçant à s’allonger au sol le piégeant en dessous de lui. Comme un véritable assoiffé, il se serra contre lui, puis captura ses mains avec les siennes, croisant ses doigts avec pour les ramener au-dessus de sa tête, sur le sol … Avant de l’embrasser voracement.
C’était qu’il avait le béguin !
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Les deux Princesses venaient enfin de s’unir, chacune venant de jouir dans le cul de l’autre. Pour Daisy, jouir fut comme une libération, la fin d’une terrible souffrance, à tel point qu’il jouit avec une force
terrible... Du moins, ça semblait terrible pour lui ! L’homme s’abandonna en effet avec force contre Minnie, en sentant son sperme jaillir, à tel point que ça en était douloureux, et son corps s’arcque-bouta même sur celui de Minnie, ses mains se crispant sur ses fesses. Daisy jouit furieusement en Minnie, balançant des filaments de foutre, ayant l’impression d’en balancer des litres entiers... Le sexe vous faisait toujours tout embellir et tout exagérer, surtout quand vous en étiez au point de l’orgasme. L’orgasmes explosa donc, et Daisy se vida en lui, soupirant longuement.
«
Haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Sa bouche s’ouvrit en grand, dans une posture un peu ridicule pendant quelques secondes, avant qu’il ne se sente,
enfin, vidé. C’était bien simple : Daisy n’aurait pu être aussi heureux en ce moment. Le plaisir qu’il ressentait avait atteint des sommets, et Minnie et lui allèrent joyeusement s’embrasser... Jusqu’à ce que des mains les saisissent par le col, venant les écarter l’un de l’autre. Deux gardes, et Maîtresse était entre les deux, en esquissant un léger sourire.
«
Et bien, mes chéries... Votre ardeur fait plaisir à voir ! »
Elle esquissa un nouveau sourire, toujours aussi belle et terrible, pendant que Daisy continuait à rougir de plaisir, mais aussi un peu de honte, à l’idée de ce qu’ils venaient de faire, lui et Minnie. Au moins, son érection avait enfin diminué, mais il redoutait maintenant le courroux de sa Maîtresse. Qu’allait-elle leur faire subir ?
Cette dernière réfléchit lentement, puis sourit légèrement.
«
Je pense que vous aviez bien mérité de vous reposer, mes petites... Ensemble et dans le même lit. »
Le visage de Daisy s’éclaira de bonheur, puis leur Maîtresse pencha vers elles, et caressa leurs visages, en les rapprochant l’un de l’autre, pour venir parler à voix basse :
«
Vous êtes mes petites putes princières... Maintenant, et à jamais. »
À jamais... C’était tout ce que Daisy voulait entendre, et ceci fit bondir son propre cœur dans sa poitrine.
À jamais !
«
Je... Je serais toujours avec Minnie, alors, Maîtresse ? -
Jusqu’à votre mort, oui... Car je pense que vous êtes comme des inséparables. Si je sépare l’une de l’autre, vous allez dépérir toutes les deux, mes salopes... Et je ne vais pas vous vendre non plus, vous divertissez mes amies... Attendez-vous donc à joyeusement baiser ensemble, toutes les deux... »
Daisy en aurait pleuré de joie, et un beau sourire illumina ses lèvres.
«
M-Merci, Maîtresse... »
Cette dernière se redressa alors, guère habituée à montrer ses sentiments, puis s’adressa à ses gardes.
«
Conduisez-leurs à leur chambre... Désormais, ils ne se sépareront plus. »
Et c’était tout ce que Daisy voulait entendre, car, ce que sa Maîtresse venait de dire, c’était que, à jamais, elle resterait une belle
pute princière !
FIN