Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Tessia le mardi 24 février 2015, 14:30:52

Titre: Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mardi 24 février 2015, 14:30:52
Tessia avait finalement commencé son office en tant qu'enseignante dans l'enceinte du lycée de Mishima. On ne lui avait pas encore assigné une classe à superviser, mais elle avait désormais des cours de japonais, d'anglais et d'informatique à assurer pour les élèves du lycée. Les choses s'étaient passée correctement jusqu'à la pause de midi où elle avait surprise par hasard une conversation d'une élève de sa classe.

Intriguée, elle resta en poste l'air de rien à la porte et écouta plus longuement. L'élève en question, Dextra de ce qu'en disait sa feuille de présence, avait tenu un discours non seulement arrogant, mais aussi extrêmement dégradant à une autre élève. Au fur et à mesure que la conversation se poursuivait, la succube grimaçait de plus en plus en entendant les propos dénigrant et élitiste de la jeune Dextra.

Qu'on ait une haute opinion de soi n'était pas un soucis pour la démone, elle savait même apprécier cela. Mais qu'on s'en serve pour rabaisser les autres était une pratique qu'elle n'appréciait pas particulièrement, la trouvant contre-productive à moins d'être employée dans un but spécifique allant dans le sens de la personne sur qui elle était pratiquée. Mais il ne s'agissait là clairement que de méchanceté gratuite sur une élève trop faible pour se défendre elle-même.

Elle passa le reste de la semaine à se renseigner sur le cas de cette élève. Elle entendit dire pare quelques autres enseignants que son cas était connu et que le seul semblant capable de la calmer un peu était son petit frère dans une autre classe. Ayant cette classe encore trois fois dans la semaine, la succube en profita pour étudier calmement le cas de cette Dextra et ne pu que constater que ce qu'on disait à son sujet était vrai. Pour elle, le reste du monde pouvait tout juste la servir au mieux.

Durant la dernière heure de cours d'anglais qu'elle avait avec cette classe, Tessia prit la résolution d'en parler avec la demoiselle car elle voyait clairement un comportement qui allait desservir cette fille pour le reste de sa vie si le  sujet n'était pas abordé. Elle portait ce jours-là un tailleur (http://dicasmodafeminina.com/wp-content/uploads/2011/08/tailleur-01.jpg) sombre qu'elle aimait particulièrement porter, lui donnant un air stricte et BCBG tout autant que fantasmant pour plus d'un. Elle avait également sortie ses clous d'oreilles d'argent sertis de rubis et portait une paire de chaussures à talons haut assorties à son tailleur qui lui donnaient un déhanché à faire bander un pape mort.

- Pour la semaine prochaine, n'oubliez pas de faire vos exercices numéro dix-sept à dix-neuf de votre WorkBook, ordonna Tessia avec un sourire amical aux lèvres pour ses élèves alors que la cloche sonnait. Miss Dextra, je vous prie de rester j'ai quelque chose à voir avec vous. Termina la démone, faisant se tourner la plupart des garçons qui fantasmaient sur elle vers la demoiselle en question d'un air jaloux.

Tessia rangea quelque affaires dans son sac tandis que la classe se vidait et attendit que la jeune fille se présente au bureau pour lui tendre le frottoir du tableau noir.

- Nous avons à parler, mais rendez-vous donc utile pendant ce temps, lui expliqua Tessia d'un ton très sérieux en rajustant ses lunettes sur son nez, son habituel sourire aimable ayant disparu de ses lèvres.

La succube lui désigna ensuite le tableau encore plein de notes car elle avait renvoyée l'élève normalement en charge de nettoyer le tableau entre chaque cours avant de partir.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le jeudi 26 février 2015, 12:58:39
Dextra était quelqu'un d'intraitable en toute situation, et si elle faisait souvent preuve de méchanceté c'était souvent pour défendre ses plus profonds secrets, à tel point que son irascibilité venait souvent touché ceux qui possédait le même genre de soucis qu'elle, de manière bien cruelle. Un camarade qui n'osait pas avouer quelques fantasmes pourtant clairement reconnue ? Elle lui tombait dessus avec tout ce qu'elle avait de hargne pour apparaître comme une personne bien pensante, une personne saine, une personne bien sous tout rapport et que l'on ne pouvait, en aucun cas, prendre en faute sur quelques plans que ce soit. Cela lui valait autant d'inimitié de la part de ses proches et de ceux qu'elle côtoyait tout les jours, comme les autres élèves de sa classes, que d'admiration dans le fond, les gens ayant une certaine crainte de sa langue aiguisée et de ses manières bien souvent fatale pour le moral d'autrui. Dans le fond, certain pouvait la comparer à une hyène comme d'autre à un dragon, et l'idée générale passait : il ne faisait pas bon d'être dans son collimateur.

Enfin bon, cela faisait quelques jours qu'elle était encore plus en forme que d'habitude, et non sans raisons, étant donné que son frère s'était entiché d'une petite sans-abri étrangère et qu'il avait tendance à aller la voir de temps à autres pour discuter, sortant bien plus souvent de la maison en conséquence, et ainsi la laissant bien plus souvent seule, sans avoir de quoi libérer sa permanente frustration. Alors elle tombait sur ses camarades, garçon ou fille, des classes inférieures ou pas, leur faisant bien comprendre l'inutilité de leur existence à grand renfort de paroles particulièrement bien maîtrisée, et d'une capacité analytique proche du plus grand des mentalistes pour permettre de frapper exactement à l'endroit où ça faisait le plus mal. Bon bien sur, là en classe, elle ne le pouvait pas, et elle comptait rentrer dés que la cloche aura sonnée, mais il en restait que la demoiselle n'était clairement pas de la meilleure des humeurs en ce moment, et ça n'allait pas en s'arrangeant.

 -  Pour la semaine prochaine, n'oubliez pas de faire vos exercices numéro dix-sept à dix-neuf de votre WorkBook. Miss Dextra, je vous prie de rester j'ai quelque chose à voir avec vous.

Bah tiens v'là encore quelque chose, la cloche sonnait enfin pour la libérer mais voilà que la professeur se décidait de l'obliger à rester pour quelques minutes supplémentaires de torture, il fallait vraiment qu'elle ai un karma de merde en ce moment, ce n'était pas possible autrement d'avoir autant de gêneurs qui viennent lui casser les ovaires ! Se redressant lentement en rangeant son sac elle sent les regards de nombre des élèves masculin glisser sur elle, et elle se mordille la lèvre un instant pour se retenir de leur répondre en quelques termes salés que les porcs dans leur genre auraient tout intérêt à cesser cette jalousie insupportable, où elle aurait tôt fait de leur faire comprendre qu'en regardant moins souvent le cul de leur professeur et en travaillant, ils ne se traîneraient pas une moyenne misérable. En tout cas tout le monde quitte la pièce, plus ou moins mécontent, et elle se rapproche du bureau de Tessia pour venir se mettre au courant de ce que lui vaut ce temps de cours supplémentaires déjà bien fatiguant rien que par sa perspective de longueur !

 -  Nous avons à parler, mais rendez-vous donc utile pendant ce temps...

La brosse, sans déconner ?

 -  Très bien Tessia-senseï.

Elle prends l'outil, pose son sac sur une des table avec une nonchalance qui fait comprendre qu'elle n'est pas vraiment là pour faire les choses de bon coeur, et elle monte sur la petite estrade en bois qui mène au tableau pour commencer à effacer les grandes boucles et les lettres ébauchées de l'écriture de la professeur, parsemées de ci de là par les écrits malpropres d'autres élèves ayant dut répondre au tableau. Elle voyait mal de quoi voudrait parler sa professeur, mais dans le fond ce n'était pas quelques questions qui allaient la tuer, loin de là ! Non, elle avait surtout du mal à ce qu'on la prive de son repos moral bien mérité chez elle, après avoir du supporter les quelques regards salaces de jeunes puceaux et d'affirmés pervers, ou encore les dire tout aussi insupportables de ces pimbêches idiotes capable de tout pour tenter de se faire remarquer par les garçons, ou la caïd de cette établissement, au coeur de pierre. Non vraiment, elle ne comprenait pas ce que cette prof arriviste voulait savoir !

 -  Donc senseï, de quoi vouliez vous me parler ? Ce doit être important pour qu'une nouvelle tutélaire vienne me voir aussi directement, après à peine une semaine et demi de cours, n'est-ce pas ?

Elle continue d’effacer le tableau vivement, tandis que la professeur peut remarquer que malgré sa hâte, la jeune fille n'oublie pas la moindre trace de craie tout en produisant un joli effet d'harmonie sur la surface d'ardoise, témoignant un peu de son aspect perfectionniste sur les bords : faire les choses rapidement, tout en le faisant bien. Ses coups de brosses d'ailleurs s'accélérant, la nervosité de la lycéenne pouvait surement se faire sentir chez Tessia, mais pour autant Dextra ne le faisait pas du tout exprès, elle était juste fatiguée par ce qu'elle se trouvait obligée de faire, et en somme refusait d'y mettre de la bonne volonté, voulant juste au finir le plus vite possible en espérant que la femme n'allait pas lui demander une quelconque action particulièrement éprouvante à faire, comme une demande d'aide pour ses petits camarades en retard. La brosse glissant le long de l'ardoise, elle se retourne un moment pour observer sa professeur et commence à la regarder rapidement de haut en bas, assimilant silencieusement sa tenue à celle de ces cosplays de prostituées prêtes à tout pour un peu plus d'oseille.

 -  Je supposes que ça n'a rien à voir avec mes notes, alors qu'est-ce que cela pourrait être ? J'espères que ce n'est pas ce porc d'Hariku-senseï qui vous a demandé de me parler, je n'aimerais pas que vous vouliez l'aider alors même que je ne supporte déjà plus son regard torve sur mon corps...

Hariku Terito, prof de physique et l'un des doyens de l'établissement... en somme, respect 0 dans ce qu'elle venait de dire envers un "supérieur".
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le jeudi 26 février 2015, 18:09:55
- Très bien Tessia-senseï. Acquiesca la jeune fille pendant que Tessia rangeait aussi ses affaires.

Elle prit ensuite le dossier de l'élève qu'elle s'était imprimé en guise de mémo à son sujet et le feuilleta quelque secondes avant que la demoiselle ne reprenne la parole.

Donc senseï, de quoi vouliez vous me parler ? Ce doit être important pour qu'une nouvelle tutélaire vienne me voir aussi directement, après à peine une semaine et demi de cours, n'est-ce pas ? Demanda innocement Dextra en continuant à effacer le tableau noir. Je supposes que ça n'a rien à voir avec mes notes, alors qu'est-ce que cela pourrait être ? J'espères que ce n'est pas ce porc d'Hariku-senseï qui vous a demandé de me parler, je n'aimerais pas que vous vouliez l'aider alors même que je ne supporte déjà plus son regard torve sur mon corps...

Tessia ouvrit haussa un sourcil surprise en entendant la jeune fille tirer à boulets rouges sur l'un des doyens du lycée.

Il faut que je me souvienne que de ça en cas de soucis, ça peut toujours être utile de jouer sur la faiblesse de la chair de mes supérieurs.

- Non en effet, je n'ai rien à dire sur vos résultats mademoiselle Dextra, confirma Tessia d'une voix neutre en faisant pivoter sa chaise de bureau. Vos notes sont pour le moins impresionnantes. Très bon japonais, excellent résultats en mathématiques, géographie excellente, histoire première du lycée, et je constate qu'en plus l'anglais ne semble guère vous poser de problèmes. Seriez-vous parfaite par le plus grand des hasards ? Demanda la démone avant de marquer une fausse pause surprise. Ha oui, certes ça aurait été trop beau... "problème de comportement", "agression verbale", "agression" tout court... Vos résulat scolaires frisent l'incroyable, mais vous collectionnez aussi les rapports disciplinaire il semble...

Tessia referma le dossier et leva les yeux vers la demoiselle.

- Ce sans compter ce que j'ai pu observer en cours ces derniers temps. Dites-moi, est-ce que l'expression "petite reine" vous parle mademoiselle Dextra ? Demanda bien peu innocement la succube.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le vendredi 27 février 2015, 16:00:02
Apparemment, et ce sans grandes surprises, la nouvelle professeur fut un peu surprise d'entendre l'élève parler en termes si peu élogieux envers l'un des plus vieux tutélaire du lycée, haussant un sourcil un peu surpris en entendant parler des petits problèmes éthiques du dit enseignant. Après si elle était surprise pour une telle chose, elle allait en avoir pour son grade niveau étonnement, car peu de personnes en ce lycée ne savait pas que non seulement les adultes, mais aussi les élèves, avaient presque un grain sexuellement parlant, et c'était sans parler des quelques légendes qui traînaient comme quoi passer certaines heures, les douches se faisaient assaillirent par une étrange gelée vivante, ou encore que l'on aurait vu un être démoniaque sur les toit du bâtiment principal. Ce lieu était à l'image de la ville, dépravé, et la jeune lycéenne qui voyait tout cela d'un mauvais oeil était surement la première à croire à toutes ces histoires, qu'elles soient fausses ou non !

 -  Non en effet, je n'ai rien à dire sur vos résultats mademoiselle Dextra. Vos notes sont pour le moins impressionnantes. Très bon japonais, excellent résultats en mathématiques, géographie excellente, histoire première du lycée, et je constate qu'en plus l'anglais ne semble guère vous poser de problèmes. Seriez-vous parfaite par le plus grand des hasards ?
 -  J'en doutes Tessia-senseï, j'en doutes fortement.

Tout cela puait la mauvaise mise en scène à plein nez, le fait que la femme se soit procurée un relevée entier de ses notes en était presque une preuve irréfutable, sans parler de cette petite phrase qui était surement faites pour flatter un tant sois peu son orgueil afin qu'elle baisse momentanément sa garde. Elle n'était pas dupe, on ne retient pas une élève pour la féliciter, au mieux on lui laisse un petit mot encourageant sur son relevé de note pour lui dire que l'on apprécie les efforts qu'elle fournit, et on lui conseille une bonne faculté en fin d'année, mais ce n'était clairement pas ce que comptait faire la nouvelle tutélaire. Et ce n'était pas pour rien que Dextra avait du coup sauter sur l'occasion pour faire preuve d'humilité, elle savait qu'elle n'était pas parfaite et que sa professeur voulait parler d'autre chose, alors autant allez tout de suite dans le vif du sujet, non ? Et d'ailleurs elle sembla le comprendre vu qu'elle reprit après sa courte pause, finissant enfin à lui dire ce qu'elle attendait d'entendre :

 -  Ha oui, certes ça aurait été trop beau... "problème de comportement", "agression verbale", "agression" tout court... Vos résultats scolaires frisent l'incroyable, mais vous collectionnez aussi les rapports disciplinaire il semble...
 -  Je ne dirais pas le contraire...

Elle continue d'effacer le tableau tranquillement, ne présentant pas le moindre trouble quand la femme vint parler de son dossier "social" en milieu scolaire, jugeant depuis longtemps qu'elle n'avait rien à se faire pardonner. Elle agissait ainsi, et point, rien ne saurait la faire changer de comportement, encore plus quand elle était naturellement entourée d'une bande d'abrutis à peine entré de l'adolescence et incapable de comprendre qu'il n'y avait pas que leur petite vie en jeu. Paradoxalement, elle était la première à agir avec autant d'égoïsme pour palier à ce genre de sottises, n'hésitant pas à se mettre en avant pour des raisons déjà expliquée plus d'une fois : Face à ce genre d'idiot, le meilleur moyen de se retrouver au calme était d'être pire qu'eux, et sur ce point, la jeune femme était intraitable !

 -  Ce sans compter ce que j'ai pu observer en cours ces derniers temps. Dites-moi, est-ce que l'expression "petite reine" vous parle mademoiselle Dextra ?
 -  Hum...

Elle posa lentement la brosse sur le cadran de faire en dessous du tableau, puis se retourna doucement pour parler avec la femme, afin de ne pas paraître lâche à lui parler de dos, puis laisse un fin sourire éclairer ses lèvres avant qu'elle ne se mette à répondre sur un ton qui laissait clairement comprendre son manque total de compréhension envers les avertissements qu'elle avait reçu, et par là l'absence d'empathie qu'elle aimait à souligner envers ses camarades :

 -  Petite reine hein ? Très honnêtement ça ne me parles pas, et même si cela me parlait, ça ne changerais pas grand chose. Tessia-senseï, si vous souhaitez me faire réagir face à mon comportement envers les autres élèves de l'établissement, je n'aurais que quelques mots à vous répondre : Je vis au milieu d'une bande d'abrutis, qui jugent malin de parler en classe, d'embêter les lycéennes, de minauder face aux lycéens, de se plaindre quand on leur fait une remarque et qui se pensent toujours meilleurs que leur prochain. Très bien, ils sont détestables, alors je n'ai aucune raison d'être "appréciable" en retour.

Elle s'approche un peu de Tessia, ravivée dans son comportement par le simple fait qu'elle ai parlé de l'incroyablement fatiguant comportement qu'ont les lycéens et lycéennes de Mishima envers eux-mêmes et leurs partenaires de vie étudiantes, puis dans un mouvement des plus gracieux, s'installe sur la table de l'enseignante, juste sur le coin, pour la regarder et pointer du doigt le dossier qu'elle tenait entre ses mains telle une sacro-sainte preuve de sa culpabilité.

 -  Sans rire, vous n'êtes pas la premières personnes du camp enseignant qui tente de m'en faire la remarque, ni la première du camp administratif, et si il faut que je me répètes afin que vous compreniez que je ne changerais pas du tout ma vision des choses, et ce avec toute l'éloquence du monde. La vie de lycéenne me fais comprendre comment ceux autour de moi sont pourris jusqu'à la moelle, tellement sûr de leur petit confort, de leurs petits avantages, tellement risible dans le fond que non, je n'hésiterais pas le moins du monde à leur envoyer leur quatre vérités dans la face, et avec une bonne dose de fiel en plus pour qu'il y réfléchissent.

Elle marque une pause, puis se redresse et retourne prendre la brosse pour finir de nettoyer le dernier quart du tableau, se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre les recoins les plus gênants où ont été inscrit les quelques lignes explicatives d'une formulation purement inutile aux yeux de la demoiselle. Non elle ne comptait surement pas modifier la plus petite once de son comportement, étant donner qu'il s'agissait de la seule manière qu'elle avait trouvée pour extérioriser un peu ses souffrances intérieurs, son besoin irrémédiable de libérer un peu de vapeur pour ne pas finir par exploser et anéantir tout ce qu'elle trouverait sur son chemin à grand renfort de haine et de colère. Et puis, il fallait l'avouer, mais son garde-fou n'étant que de moins en moins présent, elle n'allait surement pas pouvoir se libérer sur lui, alors tant pis pour les professeurs, tant pis pour la direction, tant pis pour les élèves, mais elle ne compte surement pas modifier son caractère d'un iota.

 -  Sur ce, vous voulez me dire autre chose Tessia-senseï ? Ou je pourrais m'en aller une fois le tableau effacé ?
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le vendredi 27 février 2015, 17:16:55
- Hum... Laissa pensivement échapper la jeune fille à la dernière remarque de la suucube. Elle prit le temps de poser la brosse avant de se tourner pour faire face à Tessia et lui répondre les yeux dans les yeux.

- Petite reine hein ? Très honnêtement ça ne me parles pas, et même si cela me parlait, ça ne changerais pas grand chose. Tessia-senseï, si vous souhaitez me faire réagir face à mon comportement envers les autres élèves de l'établissement, je n'aurais que quelques mots à vous répondre : Je vis au milieu d'une bande d'abrutis, qui jugent malin de parler en classe, d'embêter les lycéennes, de minauder face aux lycéens, de se plaindre quand on leur fait une remarque et qui se pensent toujours meilleurs que leur prochain. Très bien, ils sont détestables, alors je n'ai aucune raison d'être "appréciable" en retour.

Tessia écouta la remarque sans la moindre expression, attendant d'avoir l'entier de l'avis de la demoiselle sur sa question. La jeune fille en profita pour s'approcher et s'arroger le droit de s'asseoir sur le bureau professoral, ce qui en soit, était déjà un manque de respect flagrant de prendre ce genre de liberté, mais l'enseignante ne le releva pas. Dextra lui indiqua ensuite d'un doigt accusateur le dossier dont elle tirait ses informations sur son parcours scolaire.

- Sans rire, vous n'êtes pas la première personnes du camp enseignant qui tente de m'en faire la remarque, ni la première du camp administratif, et si il faut que je me répètes afin que vous compreniez que je ne changerais pas du tout ma vision des choses, et ce avec toute l'éloquence du monde. La vie de lycéenne me fais comprendre comment ceux autour de moi sont pourris jusqu'à la moelle, tellement sûr de leur petit confort, de leurs petits avantages, tellement risible dans le fond que non, je n'hésiterais pas le moins du monde à leur envoyer leur quatre vérités dans la face, et avec une bonne dose de fiel en plus pour qu'il y réfléchissent.

La démone eut presque envie de sourire en entendant cette constatation de la part d'une ado n'ayant pas encore la vingtaine.

Lucide pour son âge... Elle a une excellente analyse de la situation. Dommage qu'elle ait décidé de se servir de ce talent pour envoyer ses camarades sur les roses. Mais c'est une façade, ça se voit comme le nez au milieu de la figure...

Ayant marqué une pause, probablement pour lui permettre de digérer ses propos, la jeune fille se releva et repris le frottoir pour terminer de nettoyer son tableau. Se hissant sur la pointe des pieds, elle conclut son propos en lui tournant le dos, probablement certaine de l'avoir mouchée.

- Sur ce, vous voulez me dire autre chose Tessia-senseï ? Ou je pourrais m'en aller une fois le tableau effacé ? Demanda-t-elle d'un ton qui sembla à la succube assez satisfait.

- Rentrer chez vous...Répéta la démone à voix haute. Un concept intéressant s'il en est... Vous savez sans doute que les japonais écrivent le mot "maison" en plaçant le Kanji "femme" sous le kanji "toit". En somme, pour eux, la "maison" est l'endroit où les attendent leur femme. Mais qu'en est-il quand c'est une femme qui l'écrit ? Elle ne peut pourtant pas placer le kanji "homme" sous le kanji "toit". Qu'est-ce qui vous attends donc "chez-vous" Mademoiselle Dextra ? Une famille ? Non car, d'après votre dossier, vous ne vivez plus chez vos parents... Fit semblant de réfléchir à vois haute Tessia. Votre petit frère peut-être ? Pourtant je me suis laissée dire que son petit boulot le faisait souvent rentrer tard...

Tessia se leva et cueilli une craie dans le récipient accroché au tableau.

- Non je pense que pour vous, "chez moi" a une autre signification. Une signification que tous admettent, que tous connaissent, mais que peu mettent en avant...

De sa belle écriture ronde, Tessia traça alors sur le tableau le mot anglais "Safe place".

- Je sais que je ne vous apprends rien en vous disant que dans la langue de Shakespeare, cela signifie "un endroit sûr". Vous savez aussi très probablement que c'est un terme souvent utilisé comme synonyme de "maison". Continua la démone. Mais qu'est-ce qu'un "endroit sûr" mademoiselle Dextra ? Si vous prenez la définition du dictionnaire, c'est un endroit où l'on est "à l’abri du danger". Argumenta la démone en écrivant le mot anglais "danger" qu'elle entoura ensuite dans un triangle tracé à la craie rouge.

Reposant la craie rouge, Tessia retourna s'asseoir en tenant encore la craie blanche dans sa main.

- Partant de ce postulat, je songe que cela vous correspond bien. Vous voulez "rentrer chez vous" ? Non, je pense plutôt vous voulez courir vous mettre à l'abri. Continua tessia en retirant le repose-mains de sur son bureau pour commencer à tracer dessous avec la craie blanche. Mais à l’abri de quoi ? Le Japon n'est en guerre contre personne, aucun obus ne risque de s'abattre sur vous au détours d'une rue et il y'a très peu de chance que l'on cherche à vous tirer dessus, La ville n'a pas assez de brigandage et d’agression pour que ce soit un réel problème. Donc ce n'est pas quoi, mais plutôt qui ? Personne ne vous harcèle, cela se saurait vu votre caractère. De même, vous n'avez aucun problème financier notable et votre frère est un des êtres les plus doux et les plus gentils qu'il m'ait été donné de voir.

De sa main tenant la craie, La démone traça un cercle sur le bois lisse du bureau dans lequel elle commença à inscrire une étoile à neuf branches, l'agrémentant ici et là de caractère n'ayant pas cours dans ce monde.

- De là, nous avons de moins en moins d'options de personnes que vous voudriez fuir mademoiselle. Et l'une d'entre elles qui m'apparaît de plus en plus flagrante est...

La succube se tourna vers la jeune fille et, avec un petit sourire amusée, fit un geste gracieux du poignet dans sa direction.

- Vous même mademoiselle Dextra. Dès lors, nombre de comportements qui pourraient sembler auto-destructeur jusque-là prennent un sens bien différent. Vos sautes de colère contre vos camarades par exemple. Plus j'y songe, plus je les trouve trop spécifiques. À chaque fois, vous n'attaquez pas le comportement général de vos victimes, mais bien un aspect particulier de celle-ci. Aspect qui, chose curieuse, peut-être retrouvé chez vous la plupart du temps si l'on recherche bien.

Le cercle comportait désormais son étoile à neuf branches et un symbole particulier couronnait chaque partie de l'étoile et la succube traçait désormais des inscriptions plus petites sur le pourtour.

- De là, cela ressemble non plus à une colère dirigée envers vos camarades mais plutôt à quelque chose chez vous-même qu'il vous révolte de trouver chez les autres. Et cette colère qui déborde un peu de chez vous devient dès lors non plus de l'agression gratuite, mais de l'auto-flagellation par le biais de ce que vous considérez peut-être sans vous en rendre compte, un avatar de vous-même.

Tessia apporta de petites modification au cercle. Elle n'aimait déjà pas la dépense d'énergie que sous-entendait un rituel, si en plus elle devait dépenser plus encore de son énergie vitale pour compenser les erreurs d'un cercle lacunaire, elle aurait besoin de se refaire plus tôt que ce qu'elle n'avait prévu et cela pouvait devenir problématique dans son cas.

- Cette colère, cette hargne... Oui, plus j'y pense et plus cela me fait penser à une sorte de soupape. Un système de régulation de votre propre... Tessia hésita sur le mot quelques secondes. Mal-être. Je pense que c'est le mot juste...

La démone inspecta une dernière fois le cercle et hocha la tête d'un air satisfaite, tout en reposant la craie.

- Il y'a de nombreux moyens de remédier à ce genre de problème, mais ce n'est en tout cas pas en faisant le vide autour de vous que vous y arriverez. Au contraire, vous agissez ainsi pour pousser les gens à ne plus vous mettre sous le nez vos propres soucis. Ce n'est pas une façon de régler quoi que ce soit. C'est une fuite en avant. Un moyen pour vous de vous voiler la face. C'est pourquoi, je vais vous donner une chance de me promettre, ici et maintenant, d'essayer de calmer le jeu avec vos camarades. Sinon, je serais obligée d'attaquer la mal à la racine, à savoir : votre estime de vous. Car, pour moi, il ne fait aucun doute que c'est votre sentiment de devoir être supérieur aux autres en tout point qui vous fait haïr vos propres défauts.

La démone fixa son regard dans celui de l'élève, désormais mortellement sérieuse et elle posa la main au centre du cercle.

- Malheureusement pour vous mademoiselle Dextra, personne n'est parfait. Et ceci est une vérité absolue. La seule constante à laquelle vous puissiez vous raccrocher. Soit vous l'admettez et vous essayez de changer pour vous y adapter. Soit alors, dans votre intérêt, je prendrait des mesures drastiques qui ne vous plairons pas du tout.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le lundi 02 mars 2015, 12:19:24
La jeune fille n'était pas des plus agréables actuellement, mais elle s'en moquait proprement, car que ce soit élèves ou professeurs, ils n'avaient tout simplement pas à lui casser les ovaires comme cela, c'était détestable, fatiguant, et en plus cela lui donnait envie de casser à peu prêt tout ce qui lui tombait sous la main. Pour elle, plus les choses étaient simples, calmes, et plus elle ferait preuve d'un peu de respect envers autrui, mais malheureusement la grande majorité de l'humanité était bruyante, convaincue que sa petite personne était essentielle à la société, et que sa place valait surement dix fois celle de son voisin, amenant à tout cet aspect détestable un orgueil à peine plus acceptable. En tout cas elle pensait que pour une fois, sa professeur n'allait pas insister deux heures pour se faire ouïr par l'élève, mais malgré sa capacité évidente à prouver qu'elle ne comptait pas changer le moins du monde, elle entendit de nouveau la voix de la femme s'élever, accompagné d'un ton qui l'a surprit.

 -  Rentrer chez vous... Un concept intéressant s'il en est... Vous savez sans doute que les japonais écrivent le mot "maison" en plaçant le Kanji "femme" sous le kanji "toit". En somme, pour eux, la "maison" est l'endroit où les attendent leur femme. Mais qu'en est-il quand c'est une femme qui l'écrit ? Elle ne peut pourtant pas placer le kanji "homme" sous le kanji "toit". Qu'est-ce qui vous attends donc "chez-vous" Mademoiselle Dextra ? Une famille ? Non car, d'après votre dossier, vous ne vivez plus chez vos parents... Votre petit frère peut-être ? Pourtant je me suis laissée dire que son petit boulot le faisait souvent rentrer tard...
 -  Et ... Et alors ?

Elle avait réagit plus violemment qu'on aurait put le croire de prime abord, la femme ayant commencer à toucher exactement ce que la lycéenne essayait de cacher du mieux qu'elle le pouvait, notamment par le biais de la mention de son frère, qui avait eut le don de la faire frémir un court instant. Non les choses étaient en train de déraper et elle n'aimait pas ça du tout, et observant la femme par dessus son épaule, sa main ayant cessé de tenir la brosse qui s'était de nouveau retrouver sur le bord du tableau, elle vit la femme se lever et prendre une craie pour commencer à marquer rapidement sa pseudo-psychologie au tableau, même si elle mettait de plus en plus souvent ses tirs dans le mille, laissant à Dextra peu de place pour réagir à de tels énonciations. Oui elle avait un chez-soi qui avait été et qui était encore à ce jour un lieu de protection, loin des soucis avec ses parents, loin des soucis avec ses camarades, mais n'était-ce pas la même chose pour tous ? En quoi cela la différenciait-elle d'un autre ? Et pourtant elle se sentait agressée, peu à peu acculée par Tessia, et elle n'aimait pas ça !

 -  Partant de ce postulat, je songe que cela vous correspond bien. Vous voulez "rentrer chez vous" ? Non, je pense plutôt vous voulez courir vous mettre à l'abri.  Mais à l’abri de quoi ? Le Japon n'est en guerre contre personne, aucun obus ne risque de s'abattre sur vous au détours d'une rue et il y'a très peu de chance que l'on cherche à vous tirer dessus, La ville n'a pas assez de brigandage et d’agression pour que ce soit un réel problème. Donc ce n'est pas quoi, mais plutôt qui ? Personne ne vous harcèle, cela se saurait vu votre caractère. De même, vous n'avez aucun problème financier notable et votre frère est un des êtres les plus doux et les plus gentils qu'il m'ait été donné de voir.
 -  Il sera surement ravi de l'entendre, ironisa-t'elle avec toute la mauvaise foi du monde, jalouse comme tout. Et je vous ferait remarquer que vous êtes en train de détruire votre propre théorie !

Cela ne lui ressemblait pas. Normalement Dextra ne réagissait aux mots des autres que de manières à être certaine de pouvoir définitivement leur couper le sifflet, mais là il n'y avait rien de cela, même pire, elle était en position défensive, essayant de prouver une faille inexistante dans les mots de sa professeur pour la faire douter et se libérer du calvaire qu'elle était en train de lui faire connaître. Elle ne faisait plus attention au jeu de la professeur avec ses petits écrits sur le tableau, elle était plutôt parfaitement focalisée sur les prochaines phrases de son enseignante, qui était d'ailleurs bien la première à la mettre dans une telle situation de doutes et de craintes, sa carapace étant en train de se faire ôtée par des mains bien trop inquisitrices à son goût. Elle l'écouta, la regardant de biais, entendant au fur et à mesure des paroles de Tessia ce qu'elle ne souhaitait pas entendre le plus au monde, à savoir qu'elle puisse être sa propre peur, qu'elle puisse craindre quelque chose qu'on appelait faiblesse... En somme qu'elle puisse être faible, fragile, inférieur !

 -  De là, cela ressemble non plus à une colère dirigée envers vos camarades mais plutôt à quelque chose chez vous-même qu'il vous révolte de trouver chez les autres. Et cette colère qui déborde un peu de chez vous devient dès lors non plus de l'agression gratuite, mais de l'auto-flagellation par le biais de ce que vous considérez peut-être sans vous en rendre compte, un avatar de vous-même.
 - Je... Vous délirez senseï, je n'ai rien à me reprochez, rien à devoir me faire pardonner, rien à considérer chez moi comme une anomalie. Non seulement je ne vois pas de quoi vous tirez une telle idiotie mais en plus j'ai bien l'impression que vous vous ridiculisez à chercher à théoriser mon comportement, alors qu'il n'y a pas plus simple à comprendre : Les autres m'énervent alors je m'énerve, point. Maintenant si vous voulez bien cesser, ce sera du temps de gagner pour moi comme pour vous !

Elle tremblait légèrement, et avait d'ailleurs un peu reculer en arrière de manière instinctive, comme si elle se sentait réellement en danger depuis quelques minutes alors que la femme approchait peu à peu de la vérité sur le comportement incendiaire de Dextra envers elle-même et envers les autres. Un peu plus et elle aurait surement déjà explosée, fait voler quelques chaises puis se serait barrer sans demander son reste, mais étrangement elle ne se sentait pas pleinement satisfaite à cette idée, comme si... comme si elle était vraiment obligée de donner tord à la femme pour être certaine de ne pas perdre le contrôle des choses en ce lycée. Elle ne se doutait pas qu'elle puisses se trouver un tel ennemi parmi les enseignants, mais pour le coup, la femme venait vraiment de la mettre dans la situation la plus délicate qu'elle n'avait jamais eut à connaitre, et cela la mettait dans un état proche de la crise de panique, où seul son contrôle quasiment parfait d'elle-même l'empêchait de perdre pied face à cette femme à la si fine intuition. Le bruit de la craie posée sur le cadre en fer la rappela à son adversaire :

 -  Il y'a de nombreux moyens de remédier à ce genre de problème, mais ce n'est en tout cas pas en faisant le vide autour de vous que vous y arriverez. Au contraire, vous agissez ainsi pour pousser les gens à ne plus vous mettre sous le nez vos propres soucis. Ce n'est pas une façon de régler quoi que ce soit. C'est une fuite en avant. Un moyen pour vous de vous voiler la face. C'est pourquoi, je vais vous donner une chance de me promettre, ici et maintenant, d'essayer de calmer le jeu avec vos camarades. Sinon, je serais obligée d'attaquer la mal à la racine, à savoir : votre estime de vous. Car, pour moi, il ne fait aucun doute que c'est votre sentiment de devoir être supérieur aux autres en tout point qui vous fait haïr vos propres défauts.

Deux choses venaient de lui sauter à la figure alors qu'elle ne s'était pas du tout douter de cela de prime abord. Non seulement la femme avait déjà eut le temps de l'observer comme il le fallait, la cernant quasiment parfaitement en quelques jours, ce qui la mettait particulièrement mal à l'aise, mais surtout, elle venait enfin de se rendre compte de ce que la femme venait d'inscrire sur le tableau. Le cercle de convocation qu'elle venait de faire était parfait, et la jeune femme passionnée d'occultisme venait de découvrir que sa professeur était loin d'agir dans la parfaite légalité que ses prédécesseurs avaient tant mis en avant quand ils avaient choisis de lui faire quelques remontrances bien senties envers son comportement généralement peu apprécié au sein du lycée. Elle ne savait pas ce qu'elle comptait appeler, ni comment, mais une chose était sure, même en tant que débutante, Dextra pouvait très bien se rendre compte qu'elle était non seulement en danger du point de vue mentale, l'analyse de Tessia étant quasiment sans défaut, mais surtout, elle risquait gros au moindre faux pas, ce genre de cercle d'appel démoniaque n'étant clairement pas fait pour appeler un quelconque diablotin...

 -  Malheureusement pour vous mademoiselle Dextra, personne n'est parfait. Et ceci est une vérité absolue. La seule constante à laquelle vous puissiez vous raccrocher. Soit vous l'admettez et vous essayez de changer pour vous y adapter. Soit alors, dans votre intérêt, je prendrait des mesures drastiques qui ne vous plairons pas du tout.
 - Des mesures drastiques, hein ? Dites moi Tessia-senseï, quel genre de professeur menace son élève en créant sur son tableau un sigle d'appel d'entité démoniaque, hein ? Elle s'arrête un instant, faisant deux petits pas en arrière avant de rencontrer le premier bureau sur son chemin, et d'y placer une main ferme. Non seulement je ne comptes pas changer, mais je le ferais encore moins sous l'emprise d'une quelconque promesse de "correction". Amusez vous donc avec ce que vous comptez convoquez, moi je ne restes pas une seconde de plus !

Courir vers la porte la plus proche la rapprocherait du tableau et de la professeur, alors elle n'hésites pas une seconde et tourne le dos à le femme tout en tirant la table dans le chemin, afin de se créer un rapide obstacle, et court vers les portes coulissantes du fond, ne voulant clairement pas finir entre les mains d'une quelconque entité plus que gênante ! Elle s'enfuit du mieux qu'elle peut, révolutionnant surement son record personnel de sprint et espère que la femme n'aura pas le temps de prononcer les quelques paroles nécessaire à sa convocation, chose dont elle doute car seule une parfaite idiote utiliserait un appel nécessairement long alors que sa cible aurait tout le temps de s'évader le temps qu'elle finisse de prononcer son appel. Et sa senseï avait prouvée juste avant qu'elle était loin d'être une idiote en lisant clairement dans son comportement protecteur de jeune lycéenne incapable d'accepter sa plus infime faiblesse ! Elle est à portée de la porte quand elle sent l'ambiance de la salle changer, et retient du mieux qu'elle peut un élan de panique, plaçant sa main sur la porte afin d'ouvrir avec fracas celle-ci...

Mais surement est-il trop tard.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le lundi 02 mars 2015, 15:19:45
- Ces humaines... Soupira Tessia d'un ton las en laissant son énergie vitale se déverser dans le cercle.

Les traces de craie semblèrent prendre feu instantanément et les flammes pyrogravèrent le cercle dans le bois dur du bureau. Celles-ci passèrent du jaune au bleu avant de prendre une couleur rouge vif peu naturelle.

Là où la jeune fille avait juste, c'était qu'il s'agissait bien d'un cercle d'invocation. Là où elle avait faux, c'était que si l'on pouvait se servir de ce genre de cercle pour appeler des entités du plan des enfers, ces dernières considéraient ce genre de cercle comme un catalyseur, un moyen de visualiser le parcours de la magie dans son corps pour commencer à tisser les complexe réseaux de fibres magique qui résultaient en toute sorte de sortilèges, malédictions, enchantements, etc...

En l'occurence, Tessia l'avait tracé pour invoquer. Et elle invoqua une barrière constituée de sa propre énergie. Le mur invisible se propagea depuis le bureau à travers toute la pièce, recouvrant murs, fenêtres, plancher, plafond et portes. La seule manifestation physique fut un effet d'optique semblable à une brume de chaleur qui rattrapa et dépassa la jeune fille. Celle-ci ouvrit la porte à grand fracas et se précipita dans l'ouverture... Où elle s'emplafonna contre une barrière invisible qui la rejeta en arrière avec un cri de surprise.

- Ouch... Grimaça Tessia en entendant le bruit de son élèves qui se recevait sur son postérieur, arborant malgré tout un petit air satisfait. Ça doit faire mal...

La démone se leva ensuite de sa chaise pour se diriger vers elle, un léger sourire sadique flottant sur ses lèvres.

- Pas trop de casse mademoiselle Dextra ? Lui demanda la succube d'un faux air innocent en se penchant sur elle, les mains sur les hanches. Ce serait dommage que vous vous soyez déjà cassée quelque chose avant de commencer.

Les prémices de la frayeur, germe d'une terreur sourde, que Tessia lu dans le regard de la demoiselle la combla d'aise. La petite fille qui la prenait de haut depuis tout à l'heure venait de perdre beaucoup de sa superbe avec l'échec retentissant (c'était le cas de le dire) de sa tentative de fuite. La chose qu'elle ignorait encore probablement, c'était que, maintenant que la succube avait élevé son champ de protection, elle n'avait plus besoin de contact avec le cercle pour s'en servir. Désormais tout l'intérieur du champ était son cercle. Alimenté par sa propre énergie vitale, le champ était d'un genre qu'elle appréciait particulièrement. Il ne laissait sortit aucun son ni aucune onde, coupant ainsi court à tout appel à l'aide où toute tentative de communiquer avec l'extérieur, en-dehors de visuellement parlant où elle avait fait exprès de laisser le monde extérieur pouvoir voir ce qui se passerait. Mais la salle de cours étant située au dernier étage, à moins qu'elle ne plaque son élève contre l'une des fenêtres, ce qu'elle avait d'ailleurs prévu de faire à un moment ou à une autre, Seuls ceux qui seraient amenés à passer devant la porte ouverte de la salle de cours pourraient voir ce qui s'y déroulerait. Cerise sur le gâteau, personne ne pouvait en sortir sans son accords, mais tous pouvaient y entrer. Et elle avait prévu de se servir de cette particularité ayant "convoqué" d'autres élèves pour plus tard afin qu'ils se joignent à la petite fête qu'elle avait prévue en l'honneur de son élève, même si les futures victimes l'ignoraient encore.

- Si j'ai bonne mémoire, nous parlions de nous occuper de votre estime de vous... Commenta La démone en déboutonnant son tailleur.

Ouvrant celui-ci pour le laisser choir rapidement, Tessia révéla le superbe corset de cuir (http://imgur.com/F6L01BO) qu'elle avait porté toute la journée, qui révélait divinement sa superbe poitrine et le fait qu'elle ne portait pas de culotte.

- On attaque ? Demanda la succube d'un air faussement taquin.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le mardi 03 mars 2015, 15:57:26
Elle courait vite, et pensait vraiment que ce serait suffisant pour s'enfuir loin de cette professeur aux idées clairement pas nette, mais loin de se douter qu'elle comptait user de son cercle d'une manière bien inattendue, elle ne prit pas soin de vérifier si elle était en effet hors de la zone d'action du sort, et n'eut qu'à l'apprendre à ses dépends. Rencontrant avec force la protection que la succube avait mise en place, s'emplafonnant littéralement dans ce mur invisible, la douleur parcourt violemment son corps alors qu'elle est projetée en arrière avec fracas, faisant un joli vol plané qui la ramène deux mètres plus loin sur ses pas, alors que sa tête se fait lourde et sa vision embrumée. Non seulement elle ne comprenait pas vraiment ce qu'elle venait de subir, mais en plus elle n'était plus vraiment capable de réfléchir à grand-chose pour le coup, le choc ayant été assez violent pour l'étourdir un petit instant où elle eut tout le mal du monde à se rappeler ce qu'elle faisait là...

 -  Pas trop de casse mademoiselle Dextra ? Ce serait dommage que vous vous soyez déjà cassée quelque chose avant de commencer.

Mince c'était vrai, la folle qui voulait la corriger avec son inscription démoniaque sur la table, bon sang elle était dans une sale situation actuellement. Elle observait avec une certaine crainte la femme au dessus d'elle, et se redressait difficilement dans une pure volonté de reprendre le dessus sur la faiblesse immédiate de son corps afin de pouvoir lutter contre sa professeur. Mais son corps était clairement engourdie, surement le choc et la douleur qui était en train de l'anesthésier, du moins un minimum, et si elle arrivait à se mettre difficilement en position assise grâce à moult efforts, elle n'arrivait pas pour autant à placer ses jambes de manières à pouvoir se redresser, ce qui la mettait encore une fois dans une position clairement peu agréable. Relevant le regard sur le visage satisfait de sa professeur, elle se prend à maudire tout le corps éducatif de ce foutu lycée, mais ce n'est pas cela qui va changer grand chose, pire, cela semble laisser sur les lèvres de la femme un sourire plein de satisfaction, comme si la hargne de la jeune fille n'était pour elle qu'une friandise d eplus à déguster.

 -  Si j'ai bonne mémoire, nous parlions de nous occuper de votre estime de vous...
 -  Vous ... pouvez allez vous faire voir avec vos idées à la con !

Alors qu'elle essayait encore de faire obéir son corps rebelle à ses demandes, elle vit la femme en face d'elle commencer à ôter ce qu'elle considérait comme une sévère atteinte à la pudeur pour finalement découvrir qu'il y avait actuellement bien pire sous cette déjà courte tenue, observant avec un mélange de dégoût et de fascination ce corset que l'on pourrait croire sortit d'un mauvais film érotique. Comment pouvait-on mettre quelque chose d'aussi honteux, d'aussi malpropre, n'avait-elle même pas le moindre égo ? Non franchement, non seulement la lycéenne ne pouvait pas comprendre comment sa professeur pouvait s'affubler de pareils habits, mais en plus elle commençait à connaître une sévère frayeur de ce qu'elle comptait lui faire connaître comme genre de punition, tout en doutant clairement de son propre état une fois le châtiment pratiqué. C'était fou, comment avait-elle put se trouver en pareille situation ? Comment le monde pouvait assez lui en vouloir pour l'obliger à faire face à pareille déchéance ?

 -  On attaque ?
 -  Demandez donc à vos élèves dotés d'une bite pour ça, salope. Sortez de la salle, allez dans la cour, et je suis sur qu'ils seront ravi de vous ramoner le fondement dans cette tenue, et avec un peu de chance les autres profs et l'administration aussi, avant de vous virer !

Et dans un effort qui se veut monumentale, elle arrive à bouger sa jambe pour faire un joli croche-patte à ce qu'elle considérait encore il y a quelques minutes à une professeur digne de ce nom, la laissant choir au sol lourdement tandis qu'elle s'en écarte en se traînant au sol, cherchant avec hâte une solution pour fuir. Déjà, se relever, par chance les tables et les chaises n'étaient pas trop loin d'elle, et s'aidant d'abord de l'assise la plus proche pour se mettre sur ses genoux, elle tend la main vers la table pour prendre à nouveau appui et tenter de se mettre debout de manière assez maladroite, mais valable vu l'état de son corps. Ses jambes étaient en coton, elle ne comprenait pas vraiment comment cela se faisait qu'elle ait autant de mal à se mettre debout, mais entre le choc physique et le choc moral qu'elle venait de subir, il était surement compréhensible que ce qui lui permettait normalement de marcher l'ai complètement abandonnée. A moins que ce ne soit encore un coup de cette connasse, actuellement dans son dos, et de son foutu sort de barrière au niveau des sorties de la salle.

 - Bon sang, vous allez fonctionner foutue guibolles ? Faites chier j'ai pas que ça à faire !
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mardi 03 mars 2015, 17:54:52
Tessia sourit en entendant La jeune fille continuer à cracher son fiel malgré sa position clairement désavantageuse.

Délicieusement provocante jusqu'au bout, songea la succube.

Elle ne put en revanche masquer son étonnement  quand, sans prévenir, la demoiselle trouva suffisamment de volonté en elle pour lui faucher les jambes. Perdant l'équilibre, La démone senti son incarnation charnelle partir à la renverse et poussa un cri de surprise quand son dos et l'arrière de son crâne rencontrèrent le plancher de bois de la salle de classe.

Son regard se troubla plusieurs secondes et Tessia eut la surprise de sentir une douleur sourde parcourir son corps. Mais son élève ignorait qu'elle était une succube. Et ce genre de douleur... L'excitait. Poussant un léger soupir de plaisir, la démone se redressa, un expression amusée et excitée sur la figure.

- Hmmm... Douleur... Vieille et douce amie... Commenta Tessia les yeux dans le flou à cause de ses pupilles encore incapable de faire la mise au point. Je constate que vous pouvez parfois êtres divertissante dans votre bêtise mademoiselle Dextra...

Tout à son commentaire, les yeux de l’incarnation charnelle de la démone finirent par se remettre du choc et elle les posa sur la jeune fille en train de se relever difficilement, semblant avoir quelques soucis avec ses jambes.

Elle gloussa en voyant la position ridicule de Dextra, arc-boutée entre deux tables pour se faire tenir debout plus à la force de ses bras que de ses jambes.

Voilà qui est parfait, songea la succube en se redressant sans mal pour sa part. D'un pas, elle fut à une portée suffisante pour coller une fessée monumentale à la jeune fille qui lui fit perdre sa prise en même temps que crier de surprise et de douleur.

Tessia se frotta la main avec laquelle elle venait de frapper peut-être un poil trop fort et regarda la demoiselle tomber à nouveau au sol, sa jeune poitrine faisant cette fois office d'amortisseurs. Puis, sans lui laisser le temps de se reprendre, la démone posa sa grande douceur sa chaussure à talon aiguille sur le dos de la jeune fille pour la plaquer au sol.

- Première leçon : apprendre à ramper comme le ver de terre que vous êtes mademoiselle Dextra, lui annonça la succube en claquant des doigts.

L'ombre de sa chaussure sembla devenir vivante en l'espace d'une seconde et se transforma en une sorte de créature étrange qui jaillit de sa cachette pour plonger sur les jambes de la jeune écolière. Celle-ci ressenti comme une légère brûlure quand la chose s'incrusta tout le long de l'arrière de ses jambes, comme des tatouages plus noirs que la nuit représentant une tête de mort dans laquelle passait un serpent (https://slm-assets2.secondlife.com/assets/7170405/lightbox/seam_skull.jpg?1360929762).

Tessia sourit. Elle venait de maudire les jambes d'une de ses élèves pour la première fois, celle-ci auraient désormais encore moins de punch que celles d'un nouveau-né, leur force étant scellée dans les crânes représentés à l'arrière de chacune des cuisses de celle-ci. Dès lors il serait impossible pour la jeune fille de tenir sur ses jambes, ni même de se dresser à genoux à moins d'utiliser uniquement ses bras. Mais elle avait bien l'intention de ne pas lui laisser ce plaisir.

Retirant sa chaussure de sur le dos de son élève, elle lui désigna le dernier bureau de la rangée, à une douzaine de mètres de leur position actuelle.

- Il vous reste une petite minute pour rejoindre ce bureau Mademoiselle Dextra, sourit la succube en cueillant une règle oubliée sur une table. Passé ce délai...

D'un geste sec, la démone fit claquer la règle en l'air, et celle-ci se transforma en un long fouet de cuir noir (http://img.4plebs.org/boards/tg/image/1398/01/1398018042746.png).

- ... Je me ferai un plaisir d'arracher personnellement la peau de vos fesses à l'aide de ceci, termina-t-elle d'un air sadique à souhait.

Bien sûr, Tessia n'avait pas prévu de le faire réellement. Ce serait mutiler une élève et elle n'était pas du tout pour ce genre de traitement. Mais en donnant une telle marge à la jeune fille, et avec la peur qu'elle devait ressentir, même en rampant sur ses coudes ce serait un jeu d'enfant pour elle d'atteindre le dernier bureau. Pour le moment, Tessia établissait juste que c'était elle qui tenait le bâton. Sitôt que la petite l'aurait compris, elle commencerait à sortir la carotte.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le lundi 09 mars 2015, 10:45:30
Voilà, elle avait eut bien du mal mais elle était finalement parvenue à se redresser, et se sentait presque capable de réagir à la prochaine approche de cette femme complètement délirante qu'était sa professeur, espérant toutefois qu'elle n'allait pas à nouveau lui jeter un de ces sorts minables qui la gênait depuis le début. Bon rien n'était dit, elle tenait autant sur ses jambes qu'un jeune chaton qui tenterait de faire ses premier pas, ce qui honnêtement n'était pas la plus élégante des manières de se déplacer, mais il y avait dans la salle assez de chaises et de tables pour qu'elle s'y maintienne, et en cela elle espérait bien pouvoir se déplacer sans trop de problèmes, à grand renfort de soutiens pour sa potentiellement longue marche vers la liberté. Pourtant, et c'était bien la pire des choses qu'elle redoutait, elle entendit les pas de la femme derrière elle, et se prépara à lui répondre en se retournant le plus vivement possible afin de l'avoir en face d'elle... mais trop tard, la fessée qu'elle subit la fit gémir de douleur et la surprise tellement que sa jambe droite perdit son appui, la laissant s'écrouler mollement au sol.

Tombant sans grande délicatesse, quasiment tête la première, c'est sa poitrine qui toucha avant tout le sol et elle couina de frustration et de douleur mêlées, ses seins ayant certes amortis un poil la chute, mais n'ayant malheureusement pas évité de la faire souffrir un peu étant donné qu'il s'agissait quand même de son corps bien sensible qui avait heurté le sol. Grognant en tentant de se relever, sa tentative fut vite fait arrêtée par le talon aiguille de cette salope qui vint la coller ben contre sol, la pointe de sa chaussure rentrant péniblement dans son dos afin de lui faire connaître quelques souffrances supplémentaires, comme si elle n'avait pas déjà assez mal suite à ses chutes répétées à terre. Regardant par dessus son épaule, elle aperçoit le visage satisfait de sa tortionnaire et hésites presque à la haranguer encore une fois, mais apparemment plus elle résiste et plus la femme en est satisfaite, aussi gardes t'elle sa langue dans sa bouche alors que la femme s'adresse à elle, semblant préparer un autre mauvais tour :

 -  Première leçon : apprendre à ramper comme le ver de terre que vous êtes mademoiselle Dextra.
 -  La seule larve que je vois ici, c'est vous, provoqua-t'elle, n'ayant put se retenir après une telle insulte.

Peut-être d'ailleurs n'aurait-elle pas du, car dés lors ses paroles terminées, elle entend le claquement de doigt de la femme résonner dans la pièce et sent juste après une vive brûlure parcourir ses jambes, de bas en haut, remontant de ses chevilles aux mollets, puis continuant encore le long de l'arrière de ses cuisses pour finir en une tâche brûlante juste avant que cet horreur ne la fasse gémir en venant aussi se marquer sur ses fesses. Elle avait l'impression de n'avoir même plus de jambes après cela, le simple fait de les déplacer était devenu un enfer, et elle tenta bien de les mouvoir mais il lui fallait un effort surhumain pour les déplacer de quelques centimètres, comme si elles se trouvaient désormais clouées au sol par leur propre poids. Bon sang elle ne savait pas ce que cette salope venait de faire, mais pour sur, elle risquait bien de l'atomiser dés qu'elle en aurait l'occasion, espérant juste l'avoir cette occasion avant de devoir s'avouer vaincu et de finir dans elle ne savait quel merdier ! Bon au moins elle arrêta de lui marcher dessus, mais vu l'état de ses jambes, cela ne changeait pas grand chose !

 -  Il vous reste une petite minute pour rejoindre ce bureau Mademoiselle Dextra, passé ce délai...

Le dernier bureau de la rangée ? Pourquoi donc ? Est-ce que ça l'amusait de lui offrir une occasion de s'éloigner encore un peu d'elle ? Non ce n'était qu'un jeu elle le savait bien, la femme s'était de toutes manières assurée qu'elle ne puisse pas s'enfuir, autant par la protection magique que par ce qu'elle venait d'inscrire sur ses jambes, même si de sa position elle ne pouvait pas vraiment voir ce dont il s'agissait. Elle regarde la femme du coup, se demandant ce qu'elle avait en tête, surtout en la voyant récupérer cette règle sur la table avant de la manipuler avec aisance, le sourire aux lèvres. Elle ne savait pas vraiment comment elle allait faire, mais plutôt crever que de lui faire le plaisir de participer à son amusement personnel ! Elle ne voulait pas qu'elle puisse trouver ses méthodes efficaces, et encore plus, elle ne voulait pas qu'elle se sentes supérieur à elle, et ... Oh putain !

 -  ... Je me ferai un plaisir d'arracher personnellement la peau de vos fesses à l'aide de ceci.
 -  Mais vous êtes malade ! Putain je ...

Bon ok, là ... elle n'était clairement pas en position de discuter, le fouet qu'elle venait d'acquérir en jouant avec la règle ayant en effet largement de quoi lacérer sa peau et lui faire connaître une douleur à nulle autre pareille. Tessia venait surement de gagner sa première vrai manche, parce que la frayeur qui se dessina dans le regard de la jeune femme avait tout de la véritable peur, et avant qu'elle ne puisse vraiment s'en rendre compte, elle était déjà en train de se hisser vers la prochaine table, même si cela était en train de déchirer en petit morceaux son égo. Elle avait peur, terriblement peur, et elle ne voulait pas souffrir de nouveau, surtout en connaissant les propriétés d'un fouet et la vive douleur que ce genre de choses pouvait provoquer. Les secondes s'écoulaient mécaniquement dans sa tête, et plus le temps passait, plus elle se mettait à haleter à la fois à cause de l'effort et de son coeur qui accélérait à toute vitesse grâce à l'adrénaline qui envahissait son corps. Était-ce juste de la peur, ou de la terreur ?

Pourtant elle l'atteint. Elle ne sais pas si elle en est à 45 secondes, à 50, ou à plus, sa tête étant dans un tel état de confusion qu'elle a eut du mal à conserver un compte précis du temps qui s'est écoulé, mais quand elle toucha le bureau, elle se hissa un peu et en profita pour se retourner pour avoir une vue sur la démone, n'ayant qu'une frayeur c'est qu'elle soit juste derrière elle, prête à la frapper de ce long fouet de cuir qui ne manquerait pas de la faire hurler de douleur. Oui elle était terrorisée, et en somme déjà en partie vaincue parce qu'elle ne pensait même pas à la scène honteuse à laquelle elle venait de participer, non, elle pensait avant tout à cette femme qui était en train de lentement installer sa domination sur elle, sans même qu'elle n'ai eut le temps de le remarquer. Sa main était fermement fixée au pied de la table, et elle remarqua qu'elle tremblait pour le coup, tandis que son souffle était saccadé, non à cause de l'effort mais bien à cause de cette peur terrible qui s'était logée dans sa poitrine...

 -  Je ...Je ... Je l'ai touchée, lâchez ça maintenant, cria-t'elle sans même s'en rendre bien compte.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le lundi 09 mars 2015, 15:30:23
Mais vous êtes malade ! Putain je ... Dit la jeune fille avant de commencer à s'arc-bouter de toutes ses forces pour rejoindre le dernier bureau, une grande peur dans les yeux.

Tessia sourit pour elle-même.

Bien, le message commence à rentrer, songea-t-elle en regardant la demoiselle si narcissique quelques secondes plus tôt ramper à ses pieds pour suivre ses ordres.

Il ne lui fallut guère plus de quarante-sept secondes pour rejoindre le bureau, pourtant elle tremblait et soufflait comme si elle avait couru un marathon. Elle se retourna, les yeux brillant de peur pour lui faire face, assise précairement le dos à un bureau, ses jambes inutiles trainant dans son sillage.

Je ...Je ... Je l'ai touchée, lâchez ça maintenant ! Lui cria-t-elle en fixant le fouet d'un air apeurée.

- Depuis quand les asticots dans votre genre, incapables de tenir debout, réclament-ils quoi que ce soit autre que le droit de vivre et éventuellement celui de servir ? Demand Tessia d'un air condescendant.

Déroulant le fouet d'un geste souple, elle arma son coup. La jeune Dextra la fixa d'un air horrifiée et cria au moment où le fouet claqua dans sa direction.

Pendant l'espace de deux secondes, elle crut probablement que la démone l'avant manquée. Puis soudain, ses vêtements s'ouvrirent dans le sens de la hauteur, sectionnés net. Seule sa culotte était encore intact. Sa jupe d'uniforme se sépara en deux entre ses jambes, tombant de chaque côté de ses cuisses. Elle eut juste le temps de d'user d'une main pour retenir son soutien-gorge et sa chemise ensemble, tous deux sectionnés entre ses seins.

- Vous avez de la chance cependant, vous avez obéi alors je dois vous récompenser, sourit la succube en s'asseyant souplement sur un bureau à plusieurs mètres de sa jeune victime. Vous allez donc écarter vos jolies cuisses et vous caresser pour moi mademoiselle Dextra. Et avec le sourire, j'insiste... Après tout, je suis déjà bien trop bonne de vous laisser le privilège de vous satisfaire vous-même.

Ce disant, la démone recommença à enrouler son fouet.

- Cependant, décevez moi ou continuez à m’insulter. Et la prochaine fois, ce sera l'un de vos seins qui subira le sort de vos habits. Croyez-moi, je sais très bien écorcher les gens avec cet outil. Et je ne parle pas d'un sens imagé, je parle au sens propre, précisa la succube avant de croiser les jambes, poser un coude sur sa cuisse et regarder son élève d'un air amusée.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le lundi 09 mars 2015, 16:54:31
 - Depuis quand les asticots dans votre genre, incapables de tenir debout, réclament-ils quoi que ce soit autre que le droit de vivre et éventuellement celui de servir ?

Droit dans l'orgueil, mais en même temps elle ne lui laissait pas le choix, c'est elle qui l'avait rendue aussi impuissante, aussi incapable de faire quoi que ce soit, alors de quel droit se permettait-elle encore de la rabaisser, de la rendre toujours plus inférieurs, toujours plus infime. Ça lui faisait terriblement mal et le pire c'est que désormais elle n'avait même plus la possibilité de se défendre face à cela car en effet, cette femme l'avait réduite à l'état d'asticot, incapable de se défendre ou de protester, incapable de pouvoir vraiment lui faire face, elle lui était désormais soumise, et le fait de s'en rendre compte était surement la pire des choses moralement pour la jeune fille qui sentait quelques sanglots remonter du plus profonds de sa gorge. Toutefois, toujours par fierté, elle ne voulait pas perdre la face devant cette femme, alors elle ravalait sa tristesse et sa rancoeur, se retenant de piquer une colère, subissant sans un mot, blessée.

Puis elle la vit sortir le fouet et la peur se raviva de plus belle en ses yeux. Non elle n'allait quand même pas la frapper, elle n'avait tout de même pas fait tout cela pour rien, cette chose ignoble et rabaissante, elle ne l'avait quand même pas faite juste pour se voir une nouvelle fois bafouée avant de subir les assaut de cette dominatrice à moitié folle ? Quand elle vit le fouet fondre sur elle, elle voulut faire un geste pour se défendre mais le coup allait trop vite, et elle put presque pressentir la passage du fouet sur sa peau, terrifiée de ressentir la douleur cuisante d'un bout de cuir prêt à lacérer sa chair, mais finalement rien ... enfin du moins les premières secondes, avant qu'elle ne voit tout ses vêtement partirent en lambeaux, et qu'elle essaya désespérément de les faire tenir en place, seule sa culotte restant intacte encore alors qu'elle maintient d'une main maladroite le haut de sa tenue, ayant abandonnée son soutien-gorge pour couvrir ce qu'elle pouvait de sa chemise d'uniforme scolaire, elle aussi en piteuse état.

 -  Vous avez de la chance cependant, vous avez obéi alors je dois vous récompenser. Vous allez donc écarter vos jolies cuisses et vous caresser pour moi mademoiselle Dextra. Et avec le sourire, j'insiste... Après tout, je suis déjà bien trop bonne de vous laisser le privilège de vous satisfaire vous-même.
 -  Tessia-senseï c'est... enfin je ne peux ...
 -  Cependant, décevez moi ou continuez à m’insulter. Et la prochaine fois, ce sera l'un de vos seins qui subira le sort de vos habits. Croyez-moi, je sais très bien écorcher les gens avec cet outil. Et je ne parle pas d'un sens imagé, je parle au sens propre.

Un frisson la parcourut quand elle vit sa prof la menacer ouvertement, et maintenant qu'elle avait vue la capacité que la femme avait à manipuler un fouet à cette distance, elle ne doutait pas du tout de ses mots, imaginant très bien qu'elle arriverait sans la moindre erreur à venir lécher son corps de cette manière de cuir pour en séparer les chairs. Pourtant elle n'avait pas envie de lui obéir, de faire quelque chose d'aussi gênant au beau milieu d'une classe, et de manquer de se faire voir par nombre d'autres personnes en ce lieu tandis qu'elle était en train de se faire plaisir devant une de ses professeurs, habillée d'une manière tellement honteuse que le simple fait d'être vue dans la même pièce à ses cotés lui mettrait déjà le rouge aux joues. Pourquoi ça lui arrivait à elle, pourquoi n'avait-elle même pas le choix de résister et de répondre face au comportement inacceptable de la femme ? Elle ne savait même pas mais elle avait actuellement vraiment envie de pleurer, se sentant comme moins que rien, ce qui était surement vrai dans le fond.

 -  Quelle... quelle honte.

Elle lâcha son haut, le visage empourpré tant elle se sentait mal à l'idée de le faire, et laissa donc tombée ses affaires pour finir seulement habillée de ses chaussures, ses chaussettes, et cette culotte qui, elle s'imaginait sans peine, allait bientôt partir elle aussi si les choses continuaient comme elles avaient commencée. Hésitante, un peu tremblante, elle amena sa main vers son entre-jambe, lentement, et la glissa sous son sous-vêtement pour commencer à se caresser, se mordillant la lèvre de frustration en se rappelant encore dans quelle situation elle était en train de faire cela. Le plaisir n'était pas vraiment eu rendez-vous d'ailleurs, et pourtant elle en sentait légèrement les effets, ne comprenant pas comment elle pouvait ressentir ce genre de choses alors qu'elle se trouvait obligée de le faire sous les ordres d'autrui. Allant de pair avec le plaisir, elle se mise à écarter un peu plus les jambes, mais dans le fond ce sont surtout de petites larmes qui se mirent à couler sur ses joues, la jeune femme se sentant tellement honteuse qu'elle n'osait même plus relevé la tête, vaincue.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le lundi 09 mars 2015, 20:16:24
Tessia regarda sa jeune élève vaciller puis finalement plier à sa volonté. Celle-ci, rouge de honte, finit par laisser tomber les morceaux de sa chemise et de son soutien-gorge, finissant ainsi simplement en souliers, chaussettes et culotte. La succube sourit et regarda la jeune fille trop orgueilleuse lui obéir et glisser sa main sous ce rempart cotonneux pour venir effleurer sa petite intimité. Mais cette dernière ne souriait pas le moins du monde. Bien au contraire, elle semblait plutôt sur le point d'éclater en sanglots.

On lui demande de sourire et elle elle pleure...

- Tsss... Siffla d'agacement la succube. Et mon sourire ? Si c'est ainsi que vous vous contentez, je commence à comprendre pourquoi vous êtes toujours d'humeur aussi exécrable. Commenta-t-elle en se relevant.

Tendant la main, la succube attira à elle la paire de menottes qu'elle avait dans son sac à mains avant de la jeter pour qu'elle atterrisse pile entre les jambes ouvertes de Dextra.

- Puisqu'il faut tout vous apprendre mademoiselle, passez donc ces menottes autour de vos poignets de sorte à ce que le pied de table derrière vous soit entre vous et la chaine. Je vais vous apprendre à vous masturber correctement.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le jeudi 12 mars 2015, 02:03:54
 -  Tsss... Et mon sourire ? Si c'est ainsi que vous vous contentez, je commence à comprendre pourquoi vous êtes toujours d'humeur aussi exécrable.

Elle était bien drôle à lui dire une chose pareille, c'était bien de sa faute si elle se retrouvait dans une situation exécrable, où elle était obligée de participer à sa propre humiliation sous la menace d'un coup de fouet bien placée, alors comment voulait-elle donc qu'elle éprouve le moindre plaisir à se caresser alors qu'elle le faisait contre sa propre volonté. Pour l'instant tout ce qu'elle était capable de ressentir était une honte grandissante, quelque chose qui lui rongeait le coeur et la rendait clairement tout aussi coléreuse que triste, bien obligée dans le fond de se rendre compte que dans la situation actuelle, elle était juste un morceau de chair dont l'avis ne valait pas grand chose, tout au plus si il ne faisait qu'amuser cette perverse excentrique qui y voyait là quelque signes de défiances misérables. C'était l'horreur, tout autant à ressentir qu'à vivre, et déjà elle se sentait rabaisser au point de considérer qu'elle ne valait plus grand chose, alors elle espérait plus que tout au monde que les choses se finissent vite, malgré l'irréalité d'une telle demande...

Elle la vit lever la main et s'attendit d'ailleurs à un châtiment corporel immédiat étant donné qu'elle n'arrivait pas à agir comme elle le souhaitait, ne pouvant naturellement s'abaisser à de telles pratiques érogènes alors qu'elle se trouvait en danger imminent, aussi fut-elle particulièrement surprise quand elle entendit le sac de la femme bouger avant de voir partir rapidement un objet métallique vers la main de la femme, n'ayant pas eut le temps de remarquer de quoi il s'agissait. Par contre, quand la femme les lui jeta aux pieds, ou plutôt exactement entre ses jambes, comme une énième provocation à sa situation déchue, elle put comprendre toute l'immondice, le tas de merde qu'était ce nouvel outil de torture à ses yeux : des menottes, de celle que l'on voyait typiquement capable de scier les poignets et d'empêcher tout mouvements futurs. Elle regarda l'objet avec peur, s’imaginent déjà quel genre de débauche celui-ci avait déjà vu, et quel type d'immonde expérience il allait pouvoir lui faire connaître une fois ses membres entravés par ses soins.

 -  Puisqu'il faut tout vous apprendre mademoiselle, passez donc ces menottes autour de vos poignets de sorte à ce que le pied de table derrière vous soit entre vous et la chaine. Je vais vous apprendre à vous masturber correctement.
 -  Mais... mais c'est...

Elle ravala ses paroles avant de les prononcer, sentant déjà les caresses du fouet sur sa peau alors même qu'elle n'avait pas contestée les ordres de la femme, inconsciemment d'ailleurs, et tendit des doigts tremblants vers le jouet sexuel qui avait surement la pire des visions de la part de Dextra, le fait même de se retrouver enchaînée lui laissant un goût des plus amers en bouche. Au premier contact froid avec le métal dont était fait les menottes, elle hésita, puis alla lentement positionner ses doigts autour du premier arc de cercle qu'elle pouvait atteindre, attirant à elle l'objet pour finalement le soulevé du sol avec un geste qui tenait clairement du dégoût, la demoiselle n'osant même pas réellement le regarder en face, comme s'il s'agissait de l'arme de quelques démons sadique qui se faisaient un malin plaisir de la provoquer... Oh attendez, mais n'était-ce pas exactement ce qui était en train de se passe ? N'était-elle pas au prise avec une satanée démone perverse qui osait la réduire en esclavage, peu à peu ? Bon elle était humaine hein, mais c'était tout comme !

 -  C'est, c'est... C'est pathétique, rugit-elle en abattant les menottes au sol dans un cliquètements métallique sonore. Vous êtes quoi, une pute des bas-fonds qui se fait passer pour une prof ?

C'est bon la colère avait prit le dessus sur la peur ! Elle en avait marre et comptait bien se vengée de cette connasse qui osait tenter de la briser ainsi. Elle exultait d'une haine incroyable envers elle, si bien qu'elle n'en avait plus rien à faire de son état, quasiment nue au beau milieu d'une salle de classe ! Elle ne faisait pas non plus plus attention au reste de cette histoire, ni le fouet, ni le sort, ni la possibilité que d'autre l'entende. Elle voulait l'humilier, très bien, tant pis, elle le lui rendrait avec le même fiel, la même odeur de pourri ! Elle prit les menottes à pleines mains, et elle en plaça le premier cercle autour de sa main droite, puis se plaça bien contre le pieds de la chaise, avant de faire passer l'autre partie de la menotte du coté opposée, puis de juxtaposer les deux anneaux avant de les croiser, produisant une position encore plus compliquée et restreignant encore plus ses mouvements ! Oui chacun pouvait provoquer à sa manière, et tant pis la douleur, de toute façon elle était déjà au fond, et c'est avec un regard de défi qu'elle bloqua son deuxième poignet !

 -  Tiens ! Je t'ai même rendu la vie plus facile ! Comme ça j'aurais encore plus mal, et encore plus DE mal pour réagir ! Alors heureuse ? Tu vas faire quoi maintenant, me frapper ? M'humilier encore un peu ? Vas-y, éclates toi !
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le vendredi 13 mars 2015, 12:08:49
- C'est, c'est... C'est pathétique, rugit-elle en abattant les menottes au sol dans un cliquètements métallique sonore. Vous êtes quoi, une pute des bas-fonds qui se fait passer pour une prof ?

Cette révolte soudaine fit hausser un sourcil surpris à Tessia. Elle qui pensait avoir presque fini de briser son élève devait bien admettre qu'elle avait peut-être mis la charrue avant les bœufs. Songeant que la petite allait peut-être essayer de lui renvoyer les menottes à la figure, La succube se tint prête à réagir, mais à la place, elle vit la jeune demoiselle se lier elle-même comme ordonné et ce de manière encore plus contraignante que demandé.

- Tiens ! Je t'ai même rendu la vie plus facile ! Comme ça j'aurais encore plus mal, et encore plus DE mal pour réagir ! Alors heureuse ? Tu vas faire quoi maintenant, me frapper ? M'humilier encore un peu ? Vas-y, éclates toi !

La succube haussa un sourcil cette fois.

Je connais bien des façons de se rebeller, mais tenter la provocation sur une démone ? Bon, bien sûr elle ne sait pas que j'en suis une. Mais quand même...

Tessia roula son fouet d'un air songeur, se demandant si elle allait braquer la jeune fille en lui montrant qu'elle n'aurait pas le moindre remord à la torturer pour simplement la faire crier. Il y avait de grosses chances en effet que ce soit ce qui arriverais. Mais faire preuve de faiblesse en faisant un pas en arrière ne serait que conforter la demoiselle dans la haute opinion qu'elle avait d'elle-même. Dans ce cas, le plus sage était probablement de l'ignorer pour le moment, de continuer et de voir comment la situation évoluait.

Déroulant le fouet, elle le fit claquer deux fois, tranchant net les élastiques de la culotte de son élève ne laissant que de très légères marques rouges sur la peau de son élève. le sous-vêtement tomba simplement au sol sans un bruit, révélant son intimité.

- Vous savez miss Dextra, la lecture de certains écris saints peut parfois être relativement plein de vérité... Ainsi, le Coran m'as appris une chose que les psychologues ont mis des siècles à comprendre. Il m'a apprit que l'expression de notre visage a un important impact sur notre manière d'envisager les choses et vice-versa. Le Coran l'as simplement formulé sous la forme "c'est ton sourire qui te rends heureux." Dit-elle en s'approchant de la demoiselle tout en déposant le fouet sur une table.

La démone s'agenouilla ensuite devant elle pour me mettre à son niveau.

- Ceci est pour le sourire. Maintenant vous avez parlé de "pute des bas-fond" il me semble ? C'est assez ironique en réalité... Dit-elle un méchant sourire sur les lèvres.

Usant à nouveau de ses pouvoir, elle extraya alors son essence de son incarnation charnelle. Un grand nuage d'énergie rouge ressemblant à des flammes commença à parcourir le corps de chair et de sang, se rassemblant dans son dos pour laisser apparaître sa véritable forme (http://i.imgur.com/odlSHGZ.jpg), son corps charnel s'effondrant comme une poupée désarticulée et morte sur les genoux de la jeune fille.

- Je songe que je devrais refaire les présentations Mademoiselle Dextra... Souris la succube d'un air amusée. Cependant, je ne suis pas assez sotte pour donner mon vrai nom à une petite occultiste comme vous. Sachez simplement que Tessia n'est que le coeur de mon vrai nom. Une sorte de condensé en somme. Voilà qui pimentera vos réflexions futures... Dit-elle avant de réintégrer son enveloppe charnelle avant que l'air trop pauvre en magie de la terre n'attaque sa substance même. Réactiver les fonctions vitales comme le coeur et la respiration fut, comme toujours, aussi encombrant et son incarnation toussa un peu pour dégager ses voies respiratoires avant de se redresser un sourire carnassier aux lèvres.

- Oû en étais-je déjà ? Feingnit-elle d'être perdue en rajustant ses lunettes sur son nez. Ha oui ! Un cours sur la masturbation...

La démone saisit doucement, avec une tendresse qui contraste énormément par rapport à sa brutalité des dernières minutes l'un des seins de Dexra dans une mains tandis que de l'autre, elle vint délicatement effleurer ses lèvres intimes.

- Personnellement, j'estime qu'il faut toujours commencer doucement, mais d'autres personnes préfèrent y aller franco direct, entama-t-elle en caressant doucement la poitrine de son élève tandis que l’autre mains tourna et retourna autour de l'intimité de la jeune fille, la frôlant sans avoir trop l'air d'y toucher. La stimulation de zones érogènes est primordiale. Vous en avez des nombreuses. Pour n'en citer que quelques-unes, le cou, les aisselles, l'intérieur des cuisses, les fesses, le ventre, les flancs, les seins et bien sûr votre vulve.

Tout en les énumérant, Tessia promena tendrement ses mains sur les zones en question, faisant naître la chair de poule dans leur sillage. Quand la démone arriva à la vulve, elle se mit à caresser de manière joueuse son petit clitoris en la fixant du regard.

- Chez les seins et la vulve, il est à noter que les tétons et le clitoris sont particulièrement sensibles à des attouchement adaptés... Dit-elle en se penchant sur la poitrine de la jeune fille pour souffler sa chaude haleine sur ses tétons avant de commencer à en lécher un avec délicatesse.

Ses yeux toujours fixé dans les siens, la succube commença à stimuler la jeune femme, une main jouant avec le téton qu'elle était en train de lécher et son autre main continuant à jouer avec ses doigts sur son petit bouton rose de plaisir.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le dimanche 15 mars 2015, 20:24:42
La femme semblait surprise par ce qu'elle venait de faire, et elle même ne savait pas vraiment pourquoi elle l'avait fait pour le coup, dirigée par la colère et le désir de lui en mettre pleins les dents, ce qui faisait qu'elle était désormais en train de se demander si honnêtement elle n'aurait pas mieux fait de ne pas faire autant la fière et de rejeter ces menottes aux loin pendant qu'il en était encore temps. De toutes manières elle ne pouvait plus fuir depuis que les têtes de morts s'étaient misent à apparaître sur ses longues jambes, alors elle savait bien qu'elle sera à la merci de cette femme tant qu'elle ne sera pas rassasier, donc elle avait fait ce qu'elle espérait qui toucherait le plus la personne en face d'elle, cherchant à montrer que son orgueil n'allait pas disparaître, au contraire il allait croître encore et encore ! Que sa professeur soit là, dubitative devant elle était en soi un première victoire, peut-être pas celle qui changeras quoi que ce soit à la finalité des choses, mais au moins celle qui lui permettrait de sourire et tenir le coup jusqu'au bout.

Par contre quand la femme déroula de nouveau son fouet, elle sentit une pique d'appréhension dans son corps, et eut l'occasion de se dire qu'elle l'avait dans le fond bien cherchée, sa flagellation, aussi se prépara-t'elle intérieurement à prendre les coups, serrant les dents tout en regardant avec une grande défiance la personne en face d'elle. Après tout si elle portait finalement des coups sur elle, la lycéenne n'aurait que plus de preuves de la culpabilité de Tessia, et en ce sens elle aura tout le pouvoir de prendre sa revanche une fois libérée, alors elle acceptera bien de souffrir un peu pour que ses projets se réalisent, quelques coups de fouets et larges blessures n'ayant pas dans le fond le même poids qu'une exclusion à vie d'une femme dans le domaine éducatif. Et elle vit les deux coups partir, pensant originellement prendre le coup en plein corps, avant de sentir le court tissu de son sous-vêtement se brisé, et échouer lentement au sol pour montrer son intimité imberbe devant sa senseï aux airs ravis.

 - Vous savez miss Dextra, la lecture de certains écris saints peut parfois être relativement plein de vérité... Ainsi, le Coran m'as appris une chose que les psychologues ont mis des siècles à comprendre. Il m'a apprit que l'expression de notre visage a un important impact sur notre manière d'envisager les choses et vice-versa. Le Coran l'as simplement formulé sous la forme "c'est ton sourire qui te rends heureux.". Ceci est pour le sourire. Maintenant vous avez parlé de "pute des bas-fond" il me semble ? C'est assez ironique en réalité...

Elle s'était dangereusement rapprochée en disant cela, et cela ne laissait dire rien qui vaille pour la lycéenne désormais parfaitement nue dans cette salle de classe où elle était encore en train d'apprendre l'anglais il y a une bonne vingtaine de minute, et pourtant elle se sentait presque plus à l'aise depuis que cette folle avait enfin choisit de poser son fouet plus loin, ne risquant plus de faire jouer du cuir sur la chair de l'adolescente. Pourtant, elle ne s'était pas préparée une seconde à voir cette aura rougeoyante envelopper son corps, et encore moins voir cet élément malsain prendre peu à peu forme dans le monde réelle tandis que le plantureux physique désormais inutile de sa professeur vint lentement s'échouer sur ses jambes, son nez allant même caresser l'intérieur de sa cuisse avec cette sensation horrible de plaisir charnel. Bon sang c'était une démone... des plus grosses saloperies qui voulaient encore et toujours jouer avec elle et ses sensations, il fallait que ce soit une démone. Et elle n'osait se demander si c'était une succube, ce serait la cerise sur le gâteau.

 -  Je songe que je devrais refaire les présentations Mademoiselle Dextra... Cependant, je ne suis pas assez sotte pour donner mon vrai nom à une petite occultiste comme vous. Sachez simplement que Tessia n'est que le coeur de mon vrai nom. Une sorte de condensé en somme. Voilà qui pimentera vos réflexions futures...
 -  Étrangement, réfléchir à votre cas ne me fait pas bien plaisir, c'est bizarre n'est-ce pas, répondit-elle sur un ton provocant.

Elle ne voulait pas le montrer, mais cette découverte avait ébranlée la jeune femme dans ses plus profonds fondements, et pour de bien nombreuses raisons, à commencer par celle la plus malhonnête, que son premier contact avec un homme, qui plus est son frère, avait été provoquée par une succube qu'elle avait elle même convoquée. Mais plus honnêtement, c'était aussi une chose qui du coup la rendait maintes fois plus sensible, la seule idée de le faire avec un être démoniaque, masculin ou féminin, lui donnant tout simplement envie de s'abandonner à quelques perversions, quelques délices purements démoniaques et qui savaient se faire attrayants à la pensée de Dextra, qui n'avait jamais connue que le toucher démoniaque et qui, d'une certaines manières, lui font perdre pied avec la réalité. Contemplant la femme reprendre peu à peu ses esprits après son évanouissement volontaire, et la disparition de se forme immatérielle, elle l'observa se redresser avec une certaine forme d'appréhension, qui d'ailleurs se concrétisa bien vite.

 -  Oû en étais-je déjà ? Ha oui ! Un cours sur la masturbation...
 -  Je n'ai pas souscrit à ce complément de cours vous savez ? Hnn...

Elle se mordit les lèvres quand les mains inquisitrices de la démone se mirent à caresser ses zones sensibles, une délicate chaleur imprégnant son corps face à l'approche de sa professeur dans une totale illégalité. Oui elle était plus sensible quand quelqu'un d'autre le lui faisait, encore plus quand la dites personnes était une succube, et puis... C'est avec grande honte qu'elle devait avouer qu'elle savait y faire cette mégère, elle savait éveiller un plaisir latent et le faire grandir dans la poitrine d'autrui.

 -  Personnellement, j'estime qu'il faut toujours commencer doucement, mais d'autres personnes préfèrent y aller franco direct. La stimulation de zones érogènes est primordiale. Vous en avez des nombreuses. Pour n'en citer que quelques-unes, le cou, les aisselles, l'intérieur des cuisses, les fesses, le ventre, les flancs, les seins et bien sûr votre vulve.
 -  Incroyable, vous avez fait de l'anatomie durant vos études ?

Elle disait cela sur son habituel ton de défi teinté de sarcasmes, mais il était presque difficile pour la jeune fille de soutenir le regard de Tessia, non pas parce qu'elle était encore possédée par cette crainte viscérale qu'elle avait connue plus tôt, mais bien parce qu'elle avait atteint ce petit seuil qui s'appelait "plaisir", et qui faisait réagir relativement positivement son corps aux caresses de Tessia. En faite... Elle se rendait compte qu'elle était en train de perdre complètement, parce que la femme avait tapé inconsciemment dans le point exact de la faiblesse de son armure : La capacité à agir avec cette douceur qu'elle ne connaissait quasiment que chez son frère, et le fait qu'elle était un être non-naturel, un de ces êtres qui la passionne et qu'elle souhaite, malgré le danger, rencontrer autant qu'elle peut. Pour l'instant elle arrive encore à se défendre contre ces attouchements, mais elle sent malgré elle son bas-vente se réchauffer à cause des doigts de sa prof, tout comme sa peau se couvrir d'une chair de poule caractéristique due aux frissons qui remontaient le long de sa colonne.

 -  Chez les seins et la vulve, il est à noter que les tétons et le clitoris sont particulièrement sensibles à des attouchement adaptés...
 -  Est-ce que vous m'écoutez ? Non ? J'ai dis que ... dis que ... m... haaan.

Mince elle avait gémit. Et puis pas à moitié, ça s'était entendue dans la salle de classe vide, elle venait de gémir bien malgré son désir de garder cela au plus profond d'elle et cela la faisait clairement mal se sentir, imaginant déjà ce qui devait courir dans la tête de cette démone au comble de la perversité maintenant qu'elle avait entendue la faiblesse dans laquelle elle se trouvait. Mais comment pouvait-elle résister dans ces conditions, une main sur l'un de ses seins, la langue de la femme en train de se déplacer sur sa poitrine excitée et tout particulièrement son téton des plus sensibles, sans parler de son bouton de plaisir qu'elle stimulait et faisait réagir d'une main de maître, quelles chances avaient-elle donc de pouvoir y résister, elle, simple étudiante sans le moindre pouvoir et dominée de A à Z depuis le moment où cette succube avait fait le choix de la punir. Serrant les dents pour ne pas offrir plus d'informations, mais les joues rouges de gêne et incapable de dissimuler une rapide tentative de réagir malgré ses mains menottées, elle était vraiment à ses yeux dans la pire des situation... et ça n'allait pas aller en s'arrangeant, car elle commençait à mouiller.

 -  C'est bon, t'as finit de t'amuser, demanda-t'elle avec défiance en espérant qu'elle n'ai pas remarqué l'évidente réaction de son entre-jambe ?
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mardi 17 mars 2015, 11:26:26
Tessia entendit la jeune fille protester qu'elle n'avait pas souscris à son complément de cours, ce qui la fit sourire comme une louve qui a trouvé une belle proie. Elle prit un grand plaisir à tourmenter ses sens de la manière la plus douce, la plus sensuelle, et la plus suave qui soit. Elle sentit la jeune fille trembler sous ses caresses, gémir sous ses coups de langues et enfin, commencer à humidifier son intimité sous ses titillements.

- C'est bon, t'as finit de t'amuser ? Demanda la jeune fille d'un ton provoquant.

- Certes non, lui sourit Tessia. Je commence tout juste...

Ce disant, elle commença à embrasser son sein toujours plus bas, puis les baiser se poursuivirent sur le ventre de la jeune fille dont elle gratifia le nombril de longues léchouilles avant de continuer à descendre avec sa bouche, arrêtant le ballet de ses lèvres sur le pubis glabre de la jeune fille.

- Tout cela m'a donné grand soif mademoiselle, commenta la démone avec un sourire coquin pour son élève. Et vous avez là une source à laquelle je vous remercie de me laisser me désaltérer... Termina la démon en glissant les mains sous les fesses de la jeune fille pour la tirer un peu plus en avant.

La démone se doutais bien que la position devait être moins confortable pour la pauvre Dextra, mais elle avait l'avantage de la forcer à se pencher en arrière, et ainsi dévoiler plus sa vulve, l'offrant ainsi aux yeux remplis de convoitise de sa tortionnaire. Tessia n'ayant pas menti sur sa soif, ce fit cependant violence pour ne pas se jeter sur la matrice de la lycéenne comme une barbare en rut. Délicatement, avec une tendresse digne d'une amante énamourée, elle sorti sa langue avant de jouer longuement avec le clitoris de la pauvre demoiselle, lui faisant goûter toute l'expertise qu'elle avait acquise pendant des siècles de luxure immodérée en enfer. Et elle prit tout son temps, attendant que la jeune fille soit si humide qu'un minotaure aurait pu la saillir sans avoir à se soucier de ne pas glisser contre ses parois vaginales.

Puis, elle attaqua finalement sa "boissson" favorite. Lapant avec délice le doux nectars de son élève, n'hésitant pas à plonger sa langue dans les tréfonds de sa matrice pour le recueillir jusque sur les parois de son intimité. La démone profita même de son cercle pour agrandir la langue de son vaisseau de façon légèrement disproportionnée, la plongeant si loin dans le con humide de la jeune fille qu'elle put même faire pression sur son point G pendant sa récolte de cyprine.

Et la démone continua ainsi, se plongea avec bonheur et délectation dans son cunnilingus, repoussant les limites de son élèves dans le but avouer de la faire jouir. Usant et abusant de son organe pour fouiller le ventre de la jeune demoiselle avec autant de vigueur que n'importe quel membre masculin, mais des contorsions et des mouvements que rien en ce monde ne pouvait lui apporter.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le jeudi 19 mars 2015, 15:44:34
Se retrouver dans une telle situation, en train de se faire battre spirituellement par ses propres fantasmes, et avec une professeur démoniaque qui la mangeait comme si elle était une sucrerie des plus alléchantes, était surement l'une des plus honteuses qu'elle aurait put connaître, et c'était d'autant plus vrai qu'elle n'avait pour l'instant aucune manière de s'en sortir, ni même l'ombre d'un espoir que Tessia cesses soudainement pour enfin considérer son jeu comme terminé. Alors elle subissait le tout en pleine poire, sans vivre de désillusion, cherchant peut-être à se défendre contre tout cela en gigotant, mais malheureusement trop faible de ses jambes, et trop limité de ses bras pour pouvoir réussir à faire quoi que ce soit qui ai un impact réelle sur les actions de sa supérieur hiérarchique dans le domaine éducatif. En somme, une situation désespérée à laquelle Dextra ne voulait pas plier, mais qui bienheureusement pour la prédatrice sexuelle en face d'elle, lui permettait de lentement affaiblir les défenses de la belle lycéenne.

 -  Certes non. Je commence tout juste...
 - Eh merde.

Clairement ça lui avait échappé pour le coup, sans détour et sans railleries, juste une expression de sa fatigue moral et de l'insupportable honte qu'elle ressentait depuis maintenant plusieurs longues, très longues minutes. Elle sentit les caresses de la femme descendre le long de son corps avec le même délice qu'elle ressentait juste avant, celui qui la gênait profondément et était en train de la rendre de moins en moins capable de se contrôler, puis elle la sentit s'attarder sur son nombril, jouant avec de tel manière que la jeune fille se mit à rougir, trouvant incompréhensible qu'elle puisse se sentir troublée alors que la femme ne faisait que s'amuser avec une partie tout à fait banale de son corps. Elle ronchonnait et parallèlement se mordillait les lèvres sauvagement, ne voulant pas témoigner le moindre signe de faiblesse face à cette sorcière, cette démone qui était en train de lentement lui faire perdre prise par les dons immoraux de la chair. Non elle ne perdrait pas, elle ne s'abandonnerait pas.

 -  Tout cela m'a donné grand soif mademoiselle. Et vous avez là une source à laquelle je vous remercie de me laisser me désaltérer...
 -  Tu .... Tu ne vas tout de même pas ... iiikh

Elle sentit la femme faire basculer ses hanches en avant, lui faisant prendre une position encore plus misérable que la précédente, avec ses cuisses relevées et écartés pour être offerte à la vision désireuse de la femme à ses cotés, avec apparemment une idée bien fixe en tête vis-à-vis de ce qu'elle allait déguster présentement. Elle sentit le souffle chaud passer sur son intimité humide, elle avait vraiment l'impression d'être devenue une gourmandise sans défenses aux yeux de cette démone, et quand finalement elle la vit approcher pour aller goûter son nectar, elle ne put retenir un gémissement d'excitation, son coeur battant à cent à l'heure tandis que son corps se faisait fébrile, ne semblant pas capable de se décider s'il devait ressentir de la douleur étant donné la gênante position de la lycéenne, ou du plaisir à cause de l'excitations et des attentions de la professeur. Finalement c'est le plaisir qui gagna, bien malheureusement, quand la jeune fille sentit la langue de Tessia parcourir son clitoris pour qu'elle perde sa retenue, incapable désormais de cesser de gémir, et le plaisir la faisant mouiller de plus en plus.

Et puis quand elle commençait à s'y habituer, à pouvoir se contrôlée, à ne plus être étourdie par le plaisir et la langue de sa senseï... Elle alla plus loin, glissant sa langue en elle, lapant sa cyprine à la source et continuant ainsi ses touchers infâmes, ces approches si troublantes, si étrange, qu'elle ne pouvait même pas raisonner pour tenter d'y comprendre une quelconque faiblesse afin de s'en conserver, et elle se mit ainsi à gémir, encore et encore, chacun des passages, des tortillements de la femme avec sa langue lui faisant lâcher de longues expressions de son bonheur interdit, son corps tremblant suite aux doux frissons de plaisirs qui lui parcourait l'échine. Ses hanches bougent un peu d'elle même, elle n'a plus le parfait contrôle de son corps, et étant donné que ses gémissements se multiplient, elle ne sais plus quand et comment elle a fait pour se retrouver dans un tel état de fébrilité devant sa professeur, finalement vaincue dans son désir de ne pas laisser la femme faire ce qu'il lui plairait de sa personne.

 -  Je ... Je hhnn ... Je vais ... aaah Non ... non je ..je .... aaaah je jouiiisss...aaaaah

Ce fut foudroyant, d'un coup le plaisir la traversa, la faisant se contracter avant de tout relâcher, gémissant fortement de plaisir, sans faire gaffe au fait que l'on puisse l'entendre pour le coup, juste terrassée par le plaisir que la femme avait réussi à faire naître en elle. Cela dura à la fois si peu de temps et si longtemps, la pauvre Dextra se retrouvant juste après à gémir doucement entre quelques sursauts de poitrine pour reprendre de l'air, le regard un peu dans le vague alors qu'elle tentait juste de se remettre de ce que Tessia venait consciemment de créer en elle, ce plaisir intense et immonde. Elle soupirait, inspirait rapidement, extrêmement fatigué par ces quelques instants, espérant que c'était désormais fini, ayant clairement besoin de retourner chez elle pour s'écrouler sur le lit, se sentant clairement affaiblie désormais, et qu'elle ne tiendrais pas une quelconque taquinerie supplémentaires. Et puis elle rêvait de se libérer de ces menottes qui tout à coup luis sciait les poignets.

 -  Là ... Là c'est bon non ? Vous ... vous l'avez eut ... votre punition ?
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le vendredi 20 mars 2015, 12:05:21
Je ... Je hhnn ... Je vais ... aaah Non ... non je ..je .... aaaah je jouiiisss...aaaaah

Tessia sourit pour elle-même en menant son élève récalcitrante à l'extase et la laissa jouir de tout son soûl, son corps s'arquant et se tendant comme une corde d'arbalète avant de se relâcher presque complètement. Ses gémissement furent l'une des plus belles musiques que tessia entendit elle s'en délecta au moins autant que du nectar de la jeune Dextra. Puis elle s'approcha à nouveau de son élève, passant son poignet sur son menton dégoulinant de cyprine de cette dernière pour l'en débarrasser.

 -  Là ... Là c'est bon non ? Vous ... vous l'avez eut ... votre punition ? Demanda la pauvre demoiselle d'un ton qui indiquait clairement que ses défenses avaient été clairement ébranlées.

Tessia gloussa et passa doucement sa main dans les cheveux légèrement humides de sueur de la jeune fille.

- Que vous êtes mignonne mademoiselle Dextra. Nous avons à peine touché les amuses-bouches que vous voudriez quitter la table avant même que l'on serve l'entrée ? Lui sourit-elle.

Elle se délecta de l'expression de son élève en entendant cela quant elle furent toutes deux interrompues par le bruit d'un cartable qui tombe au sol.

Tournant la tête de concert, les deux femme purent voir le jeune Emya Shirou (http://static.zerochan.net/Emiya.Shirou.full.1569441.jpg), l'un des condisciples de Dextra qui les regardait d'un air ébahi que celle-ci avait d'ailleurs rabroué pas plus tard que ce matin pour une histoire d'être trop lent à comprendre ses mathématiques.

- Ho, monsieur Shirou... S'étonna Tessia en consultant sa montre au revers de son poignet. Vous êtes en avance de dix bonnes minutes, constata-t-elle.

- Je... Heu... M'excuse... Tenta d'articuler le jeune lycéen, dévorant du regard le corps parfaitement nu et offert de Dextra.

- Ce n'est pas grave, le rassura Tessia en se levant, captant à son tour l'attention des yeux dorés du lycéen roux qui se mirent à parcourir chaque centimètres de son corps. Vous tombez même plutôt bien... Dit-elle en lui faisant signe de lever le regard.

Sans réfléchir, le jeune homme obéit et tomba dans le piège le plus basique des succubes : leur regard mesmérisant.

- Mademoiselle dextra me faisait justement part de la profonde envie qu'elle a toujours eu de vous montrer son affection...

- Ha ? Demanda le lycéen d'un air soudain absent. C'est gentil de sa part...

- N'est-ce pas ? Acquiesça Tessia en adressant un sourire sadique à Dextra. Mais je vous en prie monsieur Shirou, déshabillez-vous donc, elle meurt d'envie de voir ce que vous cachez dans votre pantalon.

Avec un sourire béat et un regard dont on devinait l'asbence total de conscience du vrai propriétaire du corps, Emya commença à retirer ses vêtements tandis que Tessia se pencha pour libérer les poignets de la jeune fille. mais avant, elle fit subir à ses bras le même sort qu'à ses jambes, la soulevant ensuite comme si elle était une poupée précieuse mais, ce qui était le cas, incapable de faire le moindre geste. Elle allongea ensuite la jeune fille sur une rangée de trois pupitre d'écolier qu'elle colla ensemble d'un geste de la main, sa tête dans le vide, son corps dévoilé au jeune garçon en train de se débattre d'un air absent avec le bouton de son pantalon, sa torse déjà nu.

- N'est-ce pas une excellente manière de vous réconcilier ? Souffla la démone à la jeune demoiselle d'un air amusée.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le mardi 24 mars 2015, 15:41:46
 -  Que vous êtes mignonne mademoiselle Dextra. Nous avons à peine touché les amuses-bouches que vous voudriez quitter la table avant même que l'on serve l'entrée ?
 -  Senseï je suis barbouillée là, je crois que les amuses-gueules ont été amplement suffisant.

Toujours dans le jeu de paroles qu'elles avaient entamées au début de cette punition des plus sévères, la jeune fille continuait de jouer avec les allusions de Tessia mécaniquement, comme une sorte de rejet de ce qu'elle faisait en s'amusant à briser les jolis sous-entendus de la femme, et pourtant ce coup-ci elle avait bien eut du mal à y mettre du coeur, car elle avait définitivement l'impression d'être vaincue depuis quelques instants. Pas tant par la professeur au comportement tout à fait immoral, mais bien par elle même, qui n'avait pas réussit à contenir son sang-froid et avait finit par s'abandonner au plaisir coupable qui avait envahi sa chair, comme la dernière des traînées incapable de se retenir dés que quelqu'un prenait possession de son corps et de son âme. Elle se savait charmée par les démones, les entités non-naturelles, les fantômes et autres étrangetés si particulières, et pour cela elle avait crut pouvoir se défendre contre ses propres pulsions, mais voilà ou en était le résultat, elle était à moitié vautrée au sol, l'intimité ruisselante, et gémissant comme une petite chienne qui venait de se faire prendre pour la première fois.

C'est là qu'elle entendit le bruit de l'échafaud, de cette lame aiguisée qui s'abattit avec violence sur le sol pour venir y trancher les derniers espoirs d'honneur de la jeune fille, la réduisant soudainement au yeux de tous comme la petite pute nue au milieu de la salle d'anglais. Enfin c'est ainsi qu'elle le perçue, la vérité étant surtout que la guillotine et son bourreau était représentés par un de ses camarade de classe, Emya, qui était d'ailleurs un jeune homme qui se trouvait relativement prêt d'elle en classe, et qui ainsi avait souvent droit à ses propos acerbes lorsque la jeune femme avait quelques besoins de se défouler sur autrui. Quand à la lame ayant réduit en morceau son honneur, il s'agissait du sac du jeune homme qui était venu s'écrasé au sol, répandant une mare d'affaire de classes en face de lui, alors que son visage s'était empourpré à la vue de la professeur en courte tenue, et de la soumise de celle-ci, parfaitement nue et gémissante. Pas besoin de préciser que le visage de Dextra s'alluma d'une lueur cramoisie.

 -  Ne... Ne regarde pas, abruti !
 -  Ho, monsieur Shirou... Vous êtes en avance de dix bonnes minutes.
 -  Je... Heu... M'excuse...
 -  Ce n'est pas grave. Vous tombez même plutôt bien...

Elle voulut le prévenir que c'était la pire des idées au monde de faire confiance à cette horreur à la langue de serpent nommée Tessia, mais elle n'eut malheureusement pas vraiment le temps de le faire, le jeune homme s'étant fait avoir en beauté dés lors qu'il était rentré dans la pièce pour les contempler toutes les deux dans une situation des plus tendancieuses. Au final, il se retrouva complètement sous l'emprise de la femme en un instant, Dextra reconnaissant très bien cet état pour l'avoir déjà vu quand Inuko avait prit son frère sous son contrôle, et elle ne put pas du tout s'empêcher de penser que si la démone avait parlée "d'avance" plus tôt, c'était bien parce qu'elle avait prévue cela dés le début, ce qui faisait que, très honnêtement, la lycéenne se sentait parfaitement piégée par la succube, à courir frénétiquement dans la paume de sa main. Elle sentait que cette histoire n'était pas terminée, et s'imaginait bien malgré elle toutes les horreurs que la femme avait préparée en tant que "plat de résistance".

 -  Mademoiselle Dextra me faisait justement part de la profonde envie qu'elle a toujours eu de vous montrer son affection...
 -  T'es ... T'es pas sérieuse là ?
 -  Ha ? C'est gentil de sa part...
 -  QUOI !? Arrêtes de rêver, résidus de poubelles !
 -  N'est-ce pas ? Mais je vous en prie monsieur Shirou, déshabillez-vous donc, elle meurt d'envie de voir ce que vous cachez dans votre pantalon.

C'en était trop, elle ne pouvait pas se permettre cela, c'était trop dégradant, trop infâme, et pourtant sa professeur semblait trouver un enivrant plaisir à faire à ce que cette "affection" se dévoile en de parfaits auspices pour elle, si bien qu'elle insistait comme il faut pour être bien certaine que le jeune homme hypnotisé se devait de prendre la jeune lycéenne affaiblie. Et en parlant d'affaiblissement, cette saloparde en remit une couche en faisant de même pour ses bras que pour ses jambes, la rendant à peine plus capable que de bouger ses hanches, le haut de son corps, et sa tête, ce qui ne laissait rien présager de bon si la lycéenne devait tenter de se protéger d'un viol malheureusement plus qu'imminent. Elle se sentit posée sans douceurs sur les tables alignées et fronça les sourcils en regardant la démone fière d'elle, au dessus de son visage, l'air paradoxalement aux anges. Et voilà qu'elle se remettait à la provoquer de manière directe, sans faire attention à ce que la poupée de ses désirs pouvait en ouïr, de toutes manières bien trop influencé par l'effet de ses sorts.

 -  N'est-ce pas une excellente manière de vous réconcilier ?
 - Je ne crois pas qu'orchestrer un viol puisse réconcilier qui que ce soit... Arrêtez, je ne peux même pas me défendre, et je me doutes que vous avez prévue encore pire après...

Elle craquait un peu, n'en voulais plus, mais malheureusement quelque fut la réponse de sa professeur, elle ne fut pas celle que pouvait espérer la jeune fille en plein désarroi, les yeux légèrement embués de larmes et les membres tremblotants, à la fois à cause de la peur de la jeune femme d'être à nouveau prise contre son gré, pour sa deuxième fois avec un homme, mais aussi tout les efforts qu'elle mettait à tenter de faire bouger ses membres tatoués par les soins de Tessia. Elle aurait put s'enfuir qu'elle n'aurait même pas hésité à sauter depuis les fenêtres de l'étage, ce qui lui aurait au moins permit de se séparer de la présence immonde de sa professeur, quitte à se faire un peu mal, mais là il n'était même pas question d'avoir le choix : Elle était là, offerte sur ces tables et la tête dans le vide, et quand elle vit enfin sa prof partir, c'est pour qu'une vision des plus perverses et gênantes lui parvienne... Et avant qu'elle n'ai put protester, elle sentit le sexe de son camarade presser ses lèvres, puis rentrer dans sa bouche sans son accord, la lycéenne gémissant une fois le morceau de chair en bouche, les joues cramoisies et cet horrible plaisir affluant de nouveau dans son corps réduit à un vulgaire jouet pour adulte.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mercredi 25 mars 2015, 08:51:22
 - Je ne crois pas qu'orchestrer un viol puisse réconcilier qui que ce soit... Arrêtez, je ne peux même pas me défendre, et je me doutes que vous avez prévue encore pire après... Protesta la jeune Dextra allongée sur les bureaux.

- Je ne parlais pas de vous réconcilier avec lui, se corrigea Tessia. Je parlais de le réconcilier avec vous. Car même s'il n'est plus très maître de ses actes maintenant, il se souviendra de tout ce qu'il fera ici, lui précisa-t-elle un petit sourire aux lèvres tout en caressant la joue de sa jeune victime. Alors même si c'est dans le cadre d'un viol, le pauvre est malheureusement aussi forcé que vous de participer. Croyez-le ou non, moi pour ma part je vous garanti que ça créé des liens.

Sur ce, elle s'éloigna tandis que le jeune Emya, sur un geste d'elle, se rendit comme un somnambule auprès de la jeune fille et força l'entrée de sa verge dans sa bouche.

Je suis la première à admettre que le Mesmer est très pratique, mais c'est tellement dommage qu'il mette la conscience de sa victime de côté.

La succube s'assit sur un bureau pour pouvoir regarder le spectacle du jeune homme en train de prendre la bouche de la demoiselle, songeant qu'elle aurait peut-être dû faire usage d'une malédiction pour contrôler les gestes de sa deuxième victime et le laisser protester de tout son souffle. Mais cela aurait réclamé une dépense d'énergie supplémentaire et elle se fit la réflexion qu'au final c'était très bien comme ça. Elle avait dépensé son énergie vitale sans compter depuis le début de cette entrevue et ça la mettait un peu mal à l'aise. Elle pensait avoir encore trois ou quatre mois de réserve, mais au rythme où elle la consommait cette fin d'après-midi, cette perspective se réduisait rapidement.

Bon, peut-être devrais-je me nourrir un peu sur mes participants de ce soir, ils sont jeunes et en bonne santé, ça ne devrait pas leur poser trop de problèmes.

Tout en songeant à cela, elle fixa son attention sur le visage de Dextra, l'air dégoutée par ce que le jeune garçon lui avait donné à déguster.

- Vous pouvez mordre vous savez ? Lui dit-elle un peu amusée. Vous pouvez même y aller jusqu'au sang si vous voulez. Il n'échappera pas à mon contrôle pour autant, mais si vous réussissez à lui infliger des blessures suffisamment graves, il ne pourra plus bander. Peut-être même pour le reste de sa vie. Haussa-t-elle les épaules. La Dextra que vous montrez à tout le monde n'hésiterais pas un seul instant. Après tout, qu'importe le pauvre Emya ? Qu'il reste donc impuissant pour le reste de sa vie puisque son sacrifice vous permettrais de conserver un peu de dignité, non ?

La démone vit alors une goutte d'eau tomber sur le visage de la lycéenne et vit celle-ci en trouver la source. Le jeune roux en train de lui obéir en fourrant son sexe dans sa bouche pleurait à chaudes larmes, malgré son air absent. Intriguée, la démone sonda un peu son esprit et réalisa qu'il était terrifié, celui-ci imaginant sans peine la jeune fille lui sectionner l'appareil génital à coups de dents.

Tessia pouffa en se tournant vers Dextra sur le visage de laquelle tombait les larmes en question, répondant avant que la question ne puisse sortir.

- Il a peur mademoiselle. Peur car il est persuadé que vous allez le faire, que vous n'hésiterez pas à le mutiler pour vous épargner ça. Mais je suis vraiment curieuse de voir si vous le ferez vraiment... Emya, ne vous arrêtez que si vous jouissez dans la bouche de votre camarade, je vous prie.

- Oui... Madame... Haleta le jeune garçon, un sourire absent sur les lèvres et les yeux inondés de larmes.

La démone s'installa plus confortablement, attendant de voir la décision de la jeune fille. Après tout, elle n'avait pas bridé ses mâchoires.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le mercredi 25 mars 2015, 20:05:41
 -  Je ne parlais pas de vous réconcilier avec lui. Je parlais de le réconcilier avec vous. Car même s'il n'est plus très maître de ses actes maintenant, il se souviendra de tout ce qu'il fera ici. Alors même si c'est dans le cadre d'un viol, le pauvre est malheureusement aussi forcé que vous de participer. Croyez-le ou non, moi pour ma part je vous garanti que ça créé des liens.
 -  Vous êtes complètement fêlée ! Franchement ça pousse à l'admiration !

Le toucher qu'elle lui avait offert durant ses longues explications la fit trembler, frissonner d'un sentiment mêler d'excitation et de dégoût, et elle aurait bien continuer ses provocations si elle ne sentit pas la verge du jeune homme forcer l'entrée de ses lèvres, ne lui laissant même pas le temps de répondre qu'elle se retrouvait déjà assaillie par la forte odeur du sexe du jeune homme, ainsi que de sa présence un poil suffocante dans sa bouche. C'était gros, difficile à prendre en bouche dans le fond, mais elle n'avait clairement pas le choix et gémissait en sentant ce damoiseau se déplacer dans cette première antre chaude et mouillée, tandis que l'autre avait malheureusement prit la mauvaise habitude de particulièrement aimer cette situation, la rendant toujours plus détrempée au niveau de l'entre-jambe. Pourquoi y était-elle sensible ? Non franchement pourquoi son corps continuait à chauffer alors qu'elle était ouvertement en train de se faire violer par un de ses camarades de classe ? Elle n'avait aucune réponse, mais ce qu'elle savait, c'est qu'elle était loin de pouvoir nier tout le plaisir qui l'envahissait.

Même si le dégoût l'emportait largement, ce dont la démone semblait se délecter, assise sur son bureau pour les observer tandis qu'Emya passait rapidement dans sa gorge avec le même air absent que plus tôt, toujours sous les effets du sort de cette pouffiasse qui prenait un malin plaisir à observer ses élèves se vautrer dans une luxure qu'elle leur avait imposée. Oui tout cela dégoûtait profondément Dextra, qui avait tendance à haïr la professeur... tout comme elle haïssait le comportement qui l'avait mise dans cette situation, à savoir SON comportement de réduire tout le monde à l'état de poussière sur le plan moral, chose que la démone avait sut lui rendre avec toute l'expertise dont sont capable les êtres particuliers du monde infernal. Voyant les yeux de sa prof sur son corps couvert de sueur à cause de son excitation, elle lui rendit un regard plein de colère et de hargne, ce qui sembla faire rire la femme, qui lui répondit alors dans des termes qui posèrent un terrible dilemme à la demoiselle au corps utilisé comme un jouet.

 -  Vous pouvez mordre vous savez ? Vous pouvez même y aller jusqu'au sang si vous voulez. Il n'échappera pas à mon contrôle pour autant, mais si vous réussissez à lui infliger des blessures suffisamment graves, il ne pourra plus bander. Peut-être même pour le reste de sa vie. La Dextra que vous montrez à tout le monde n'hésiterais pas un seul instant. Après tout, qu'importe le pauvre Emya ? Qu'il reste donc impuissant pour le reste de sa vie puisque son sacrifice vous permettrais de conserver un peu de dignité, non ?

Elle se troubla, choquée, cessant pour le coup de gémir sur l'instant avant de sentir à nouveau le sexe s'enfoncer en elle, lui rappelant pour le coup qu'elle ne pouvait même pas répondre à la femme de se taire et de cesser de prononcer de telles paroles, alors que le gland de l'homme passa longuement sur sa langue, lui faisant goûter pleinement ce morceau de chair aussi hypnotisant qu'écoeurant. Elle aimerait vraiment pouvoir répondre, mais pour le coup elle sentait comme un doute s'instiller en elle, parce qu'elle se posait finalement vraiment cette questions des plus sordides, des plus idiotes dans le fond : Était-elle vraiment capable de faire une chose pareille, de taillader ce morceau de chair et de le réduire en morceau de manière violente pour ne plus avoir à subir le moindre assaut de ce genre ? Si c'était capable de faire taire la démone en face d'elle, de lui faire comprendre que la jeune femme ne reculerais devant rien pour avoir le droit à sa liberté, qu'elle était immuable dans ses sentiments et son âme, cela corrigerait-il ses actions ? C'est alors qu'elle sentit des gouttes tomber sur son visage.

 - Il a peur mademoiselle. Peur car il est persuadé que vous allez le faire, que vous n'hésiterez pas à le mutiler pour vous épargner ça. Mais je suis vraiment curieuse de voir si vous le ferez vraiment... Emya, ne vous arrêtez que si vous jouissez dans la bouche de votre camarade, je vous prie.
 -  Oui... Madame...

En faite elle avait déjà la réponse mais n'avait de toutes manières pas put la dire, la bouche bloquée par l'objet de torture qui allait et venait à tout vitesse, et de toutes manières se doutant qu'elle ne parviendrait pas à s'exprimer, le coeur gros comme elle l'avait, et la tête bien trop mise à sac après ce qu'elle avait connue pour qu'elle réussisse encore à mettre quelques mots à la suite les uns des autres. Mais ce qu'elle savait c'est qu'en effet elle avait de la dignité, une dignité énorme, dû à un orgueil monumentale, et que même si actuellement les fondements de tout cela était en train de s'écrouler lentement, elle en gardait un haut sens de ce qu'elle pouvait appeler la vertu, et ainsi ne pouvait même pas s'imaginer mordre dans ce barreau de chair qui allait décidément de plus en plus vite et de plus en plus loin dans sa bouche, lui donnant envie de tousser à cause de la gêne. Et tout ce qu'elle réussit à faire pour rassurer le jeune homme, c'est de le regarder avec ce qu'elle pouvait de douceur, avant de faire fuir son regard de coté avec gêne, les joues cramoisies de honte.

Est-ce que cela avait enclenché quelques chose ? En tout cas l'homme se pressa soudainement, ses hanches prenant un rythme beaucoup plus rapide que la jeune femme eut du mal à soutenir, gémissement, à la fois par ce plaisir abject que par le désir de tenter de faire comprendre à l'homme que c'était bien trop là, et que c'était très compliquée pour elle de tenir se sexe dans sa bouche à ce rythme. Il allait trop loin et ça faisait mal, surtout qu'il n'était pas bien fin le salaud, et que ses passages trop profond lui coupait le souffle de court instant avant de la libérer sans qu'elle n'est trop le temps de respirer. Et elle gémissait, encore et encore, sentant cette maltraitance l'exciter malgré elle, son corps étant de toutes manières un traître à ses yeux depuis que les caresses de la démones l'avait mise dans le meilleur des états possibles pour un violeur non-consentant. Et puis il vint jouir dans sa gorge... De manière un peu pressée d'ailleurs, surement n'avait-il pas l'habitude, mais il gicla à profusion, remplissant la gorge de la pauvre Dextra qui crut se noyer tout à coup, avant qu'il ne sorte et lui lâche sur le visage ce qu'elle n'était en train de recracher en toussant, le majorité ayant quand même finit dans son bide...

 -  Aaah .... Aaah ... putain *kof kof*... putain de merde, parvint-elle à prononcer, haletante, sa poitrine sautillant à chaque vive inspiration.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mercredi 25 mars 2015, 22:24:24
Tessia s'approcha alors que le jeune Emya se retirait de la demoiselle après avoir répandu sa semence dans sa bouche, mais, faute d'ordres, ce dernier resta immobile, sa verge encore dégouilnante de son propre sperme et de la salive de sa victime forcée. S'assurant que la jeune demoiselle pouvait bien la voir et l'entendre, elle fit mine de se pencher et de prendre une mine surprise.

- Ho ? Ça alors... On jurerait que vous n'avez pas mordu le brave m. Shirou... S'extasia-t-elle bruyamment. Peut-être faut-il que je change de lunettes ? Demanda la succube en retirant celle de son vaisseau pour regarder de plus près le sexe en train de couler sur le sol. Non, non, il est entier... Il ne saigne même pas... Commenta-t-elle en remettant ses lunettes en place.

Elle se tourna ensuite vers son élève sur laquelle elle se pencha d'un air doux, la toisant comme si elle la voyait pour la première fois.

- Mademoiselle Dextra, serait-il possible que vous ayez épargné ce jeune homme ? Que vous ayez été gentille avec lui ? Sourit-elle. Serait-il possible que dans cette poitrine, dit-elle en posant sa main sur les seins de la jeune fille. Il y ait un cœur capable de compassion ?

L'institutrice laissa quelques secondes passer avant de reprendre la parole, caressant doucement la poitrine de la jeune élève.

- Impensable ? Impossible ? Et pourtant, si vous preniez la peine de sourire un tout petit peu et de montrer un brin cette gentillesse, je suis sûre que le jeune Emya aurait été dans les premiers à vous proposer ses bras pour vous protéger de ce monde qui vous fais si peur ou son oreille pour confier vos craintes, vos doutes et pourquoi pas, avec le temps, vos envies ? Pourquoi avoir gâché tout ça mademoiselle Dextra ? Pour vous retrouver ici ? Les gens sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux dites-vous ? Pourtant, ne venez-vous pas de vous soucier de ce jeune homme ?

Avant de lui laisser le temps de répondre, elle se tourna vers le jeune homme.

- Couchez-vous à terre sur le dos monsieur Shirou ! Ordonna-t-elle.

Le jeune homme obéit et s'étala de tout son long sur le sol. Tessia souleva un pied et le posa sur son torse, faisant apparaître sur les bras et les jambes du garçon les même tatouages que sur celui de Dextra. Elle relâcha ensuite son mesmer et les yeux du jeune homme s'éclaircirent tandis que celui-ci reprenait possession de son corps et il la fixa d'un air horrifié.

- Qu'est-ce que vous...

- Je vous donne trente secondes pour vous décider jeune Emya, le coupa Tessia sous le regard de Dextra. Je peux vous tuer ici d'une manière particulièrement lente et horrible et mademoiselle Dextra est libre de partir sans que je la touche plus. Ou alors, je peux aussi la garder ici et continuer à la violer jusqu’à ce qu'elle ne soit plus jamais la même et à ce moment vous sortez tous les deux vivant de là. Que choisissez-vous ?

Pour beaucoup ça aurait été une simple question de logique, mieux valaient deux individus vivant sortant de la pièce dont un brisé psychologiquement, qu'un mort et l'autre en bonne santé. La pure logique voulait le deuxième choix. Du moins, la pure logique à la Dextra. Mais les deux femmes connaissaient le jeune garçon et son courage autant que son sens du sacrifice permettaient de deviner qu'il se sentait reconnaissant à la demoiselle sans défense sur les bureaux de ne pas lui avoir déchiqueté le membre pour protéger sa vertu. De même, avec cette dette en tête et l'idée que dans chaque cas, une personne serait détruite, il devenait presque possible de voir les rouages dans son cerveau tourner et s'emboîter vers son choix, le seul logique d'après lui dans un délai de réflexion aussi court.

Le jeune garçon adressa un regard résolu, pour ne pas dire résigné ainsi que rassurant à Dextra, puis répondit dans les yeux à son enseignante.

- Laissez-là partir, je vous donne ma vie en échange.

Tessia se garda bien de montrer qu'elle jubilait intérieurement car il avait eu exactement la réaction qu'elle souhaitait. Elle savait que la jeune fille avait dû l'anticiper elle aussi, mais l'entendre directement était autre chose que de se le faire dire. Ce n'était pas une déclaration d'amour, mais une simple preuve de reconnaissance. Mais une preuve adressée à une personne qui lui avait mené la vie dure depuis des mois et qui n'avait fait qu'un seul tout petit geste en sa faveur, celui de ne pas fermer ses mâchoire sur sa virilité. Tessia venait ainsi de démontrer de manière flagrante qu'un geste de bonté, même tout petit, avait toujours des conséquences.

- Soit, acquiesa la démone en récupérant le fouet sur une table avant de le dérouler.

Elle le leva ensuite lentement, un peu théâtralement  au-dessus de sa tête, comme si elle s'apprêtait à en frapper le jeune homme jusqu'à sa mort. La démone savait qu'elle n'avait pas à s'inquiéter. La jeune fille pour qui une vie allait bientôt être sacrifiée allait réagir, d'une manière ou d'une autre. Et puis, au cas où, elle tenait une illusion prête pour ne pas avoir à réellement tuer un de ses étudiants à coups de fouet.

Voyons ce qu'elle dira maintenant qu'il lui a renvoyé l’ascenseur de sa bonté naissante...
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le jeudi 26 mars 2015, 00:07:39
La démone semblait ... satisfaite, incroyablement satisfaite, à un point qui donnait vraiment envie à Dextra de lui mettre son poing dans la figure et de réduire son joli minois à un bel éclat de chair et d'os broyés, tout à fait inapte à l'expression facial et à toute tentatives de provocations que pouvait déjà ressentir la lycéenne au visage couvert de sperme. Elle sentait les railleries venir, les mots troublants, les mots blessants, ce qu'adorait prononcer la professeur depuis qu'elles s'étaient toutes les deux retrouvées dans une position de maîtresse à soumise, bien en désaccord avec ce que la dite soumise souhaitait ardemment dés qu'elle avait sentit la situation venir, à savoir la liberté la plus immédiate et profitable, en espérant que la connasse qui voulait la réduire à néant soit trop lente pour réagir. Elle la vit s'approcher et se pencher au niveau du sexe de son camarade, et la vit la regarder avec cet air immonde de contentement et de plaisir, puis elle entendit sa voix s'élevée dans les airs, véritable atrocité pour son ouïe de plus en plus sélective, avec ce fiel mielleux qui s'en écoula de manière écoeurante :

 -  Ho ? Ça alors... On jurerait que vous n'avez pas mordu le brave m. Shirou... Peut-être faut-il que je change de lunettes ? Non, non, il est entier... Il ne saigne même pas, osa-t'elle dire en quittant des yeux le sexe pour s'affichée face à sa victime, satisfaite. Mademoiselle Dextra, serait-il possible que vous ayez épargnée ce jeune homme ? Que vous ayez été gentille avec lui ? Serait-il possible que dans cette poitrine, il y ait un cœur capable de compassion ?
 - Tais-toi tu veux, je n'ai pas de raisons de répondre, railla-t'elle avec rage !

Cette main sur son sein avait manqué de raviver le plaisir en elle, de la faire gémir, elle en tremblait et sentait déjà les doigt de la femme palper sa chair avec autant de délicatesse que possible, rendant peut-être le plaisir infime, mais aussi particulièrement dur à résister dans le fond, encore plus quand la jeune fille manquait cruellement de tendresse depuis un moment. Sans parler des questions qu'elle venait de lui poser ! Elle gentille ? Surement pas, elle savait qu'elle était mauvaise, blessante, et elle ne voulait pas modifier ce trait de son caractère, alors pourquoi osait-elle dire cela, parce qu'elle avait épargnée le sexe que beaucoup auraient déchirés entre leurs dents pour se libérer. C'était faux, assurément, il n'y avait rien en elle qui ait put faire preuve de compassion tout à l'heure, elle était simplement ... non enfin, elle n'avait rien à voir avec la moindre gentillesse, ça c'était sur et certain. Surtout envers lui, surtout contre son propre bénéfice ... Il n'y avait pas la moindre chance pour cela ... Et pourtant elle sentait qu'elle avait tort, c'était juste ignoble !

 -  Impensable ? Impossible ? Et pourtant, si vous preniez la peine de sourire un tout petit peu et de montrer un brin cette gentillesse, je suis sûre que le jeune Emya aurait été dans les premiers à vous proposer ses bras pour vous protéger de ce monde qui vous fais si peur ou son oreille pour confier vos craintes, vos doutes et pourquoi pas, avec le temps, vos envies ? Pourquoi avoir gâché tout ça mademoiselle Dextra ? Pour vous retrouver ici ? Les gens sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux dites-vous ? Pourtant, ne venez-vous pas de vous soucier de ce jeune homme ? Couchez-vous à terre sur le dos monsieur Shirou !
 -  Que ... non ! Que comptes tu lui faire ?

Elle n'eut pas de réponses quand elle tenta de se rebiffer, et fit un effort intense pour se retourner en partie afin de voir ce qu'il se passait vraiment derrière elle, au lieu de tout voir à l'envers. Elle ouvrit de grands yeux horrifiés en contemplant ce qu'il se passait lentement sur le corps d'Emya, les longs serpents d'ombres enveloppant son corps de manière à le priver de la capacité de bouger normalement, comme pour la pauvre Dextra qui subissait ce sort depuis maintenant un bon moment, et observait désormais cela se faire sur son camarade avec une colère et une sincère envie d'étriper sa professeur dans les quelques secondes qui allaient suivre, si encore elle en avait la force. A la place, le sort s'installa profondément sur le corps du jeune homme qui se trouvait au sol, suite aux ordres de la maudite succube, et elle le libéra juste à temps de son emprise pour que le lycéen reprenne le contrôle de son être, et puisse contempler avec désastre que ses forces l'avaient abandonnées, le laissant dans le même état que celle qu'il avait violer sans sommation plus tôt.

 -  Qu'est-ce que vous...
 -  Je vous donne trente secondes pour vous décider jeune Emya. Je peux vous tuer ici d'une manière particulièrement lente et horrible et mademoiselle Dextra est libre de partir sans que je la touche plus. Ou alors, je peux aussi la garder ici et continuer à la violer jusqu’à ce qu'elle ne soit plus jamais la même et à ce moment vous sortez tous les deux vivant de là. Que choisissez-vous ?

QUE QUOI ? Elle trouvait cela ... abominable, tout à fait inconcevable, c'était une punition pour elle, pourquoi elle impliquerait la vie ou l'état d'une autre personne dans l'équation, c'était tout à fait absurde et proprement intolérable, elle n'avait pas le droit de faire ça, elle même si elle en avait le droit, qu'elles pouvaient bien être les raisons d'une pareille bêtise ! La faire culpabiliser ? Alors ce serait normalement à elle de faire ce choix, mais pas à cet idiot dont elle connaissait déjà la réponse, tellement évidente qu'elle lui tailladait le coeur rien que d'y penser et lui donnait envie de se mordre les poings de frustration en imaginant l'instant où il allait répondre. Elle croisa le regard du jeune homme à ce moment là et sut qu'elle ne s'était pas tromper un seul instant sur ce qu'il allait répondre, la faisant se mordiller la lèvre, énervée, alors qu'elle le vit se tourner vers Tessia avec toute l'assurance qu'il pouvait tenter de montrer en sa position actuel, exprimant gravement son choix en face de sa professeur malheureusement méconnue en tant que succube ensorceleuse :

 - Laissez-là partir, je vous donne ma vie en échange.
 -  Mais t'es complètement débile ? Abruti, tête de noeud, dis moi que t'as pas dis ça !
 -  Soit.
 -  Putain !

Ah non ça n'allait pas se jouer ainsi, et elle vit bien la femme partir vers son fouet, quelques tables plus loin, avant de revenir avec un air sadique sur le visage, déroulant le fouet lentement à mesure que se dessinait sur ses traits le plaisirs malsains de voir quelqu'un baigné à son sang à ses pieds. La jeune fille sentit l'horreur couler dans ses veines, incapable d'accepter qu'une telle chose se produise, et quand elle vit la femme lever son fouet haut vers le ciel, prête à l'abattre lourdement sur les épaules du jeune homme, elle fit un effort inconsidéré pour se déplacer de la rangée de table sur laquelle elle avait été couchée plus tôt... Et déclencha un fracas de tout les diables en s'écrasant en partie sur une chaise, puis sur le sol, réussissant par un miracle impossible à prévoir à se placer entre les deux protagonistes, et à se redresser un peu sur ses jambes en ouvrant ses bras dans un signe bien compréhensible d’interdire à la démone de toucher au lycéen paralysé au sol. Regardant rapidement par-dessus son épaule, elle fusille du regard le jeune homme, avant de gronder, pourtant avec inquiétude et crainte dans le fond de sa voix :

 -  Est-ce que tu es débile ? Tu files pas ta vie pour quelqu'un d'autre, idiot, quoi qu'il se soit passé bon sang... Et toi, dit-elle en décalant son visage pour faire face à la démone, pas touche espèce de résidu de viol démoniaque sur brebis !

La façon dont elle avait agit avait un certain panache, toutefois elle avait agit sur le coup de la colère et de l'inquiétude, ayant bien sur réussit à puiser dans ses forces scellées pour pouvoir se déplacer pour le coup et se redresser, mais désormais qu'elle avait réussit ce tour de folie, elle n'avait plus du tout de carburant. Ses jambes flanchèrent, se mir à trembler sous le poids du corps de la jeune fille, même si elle n'était encore qu'à peine agenouillée dans cette position, et finalement elle se mit à perdre le contrôle de ses membres avant de s'écraser, 6 secondes plus tard, sur le sol, épuisée et sous les regards des deux autres personnes présentes dans la pièce, surement incrédule devant une telle scène. Encore une fois, la honte et la gêne avaient empourprés son visage, mais au moins elle avait arrêtée le fouet de l'autre cruchasse, même si c'était peut-être ce qu'elle avait tant attendue qu'elle face, et au moins elle n'avait pas laisser un abruti se faire taper parce qu'il était trop con ... oui c'était ça, il avait été trop con et on ne tire pas sur les ambulances, c'est ainsi... Ou du moins se persuadait-elle qu'elle avait agit pour une raison de la sorte, et pas par charité.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le jeudi 26 mars 2015, 10:01:31
Tessia regarda la jeune fille s'effondrer à ses pieds, regrettant soudain de ne pas avoir de caméra vidéo sous la main car son plan avait fonctionné au-delà de toute ses espérances. Elle avait brûlé des réserves d'énergies insoupçonnée pour défendre non pas elle mais son camarade.

Tessia enroula à nouveau le fouet avant de le reposer sur un bureau. Elle s'assit ensuite à genoux et pris contre elle la petite demoiselle avec une infinie tendresse, laissant reposer la tête aux cheveux verts sur son opulente poitrine, comme un nourrisson. Elle lui adressa ensuite un regard emprunt de fierté et de douceur.

- Et vous osez prétendre que la gentillesse ne sert à rien mademoiselle Dextra ? Lui demanda-t-elle d'un ton presque maternel. Pourtant regardez, votre gentillesse vient de sauver la vie de votre camarade.. Dit-elle en lui tournant la tête pour lui permettre de voir Emya en train de la regarder avec des yeux ronds.

Oh bien sûr, ils étaient toujours tous les deux nus et sans défenses, mais l'affection que la succube vit dans le regard doré du jeune blond pour la demoiselle aux cheveux verts dans ses bras était tout ce qu'il y avait de plus réel et elle était persuadé que même la mauvaise foi de la jeune fille ne pouvait lui permettre de l'ignorer.

- Je pense que c'est votre tour de faire un choix miss Dextra, sourit la démone. Je peux effacer de la mémoire de ce jeune homme tout ce qu'il s'est passé ici et il pourra partir imméditament. Il ne se souviendra plus de vous avoir vue dans une position aussi humiliante, mais il ne se souviendra plus non plus de votre gentillesse et de votre geste courageux et chevaleresque à son encontre. Si je fais cela, je vous conserve pour continuer à abuser de votre corps le temps qu'il me plaira. Ou alors, je vous enferme tous les deux dans un petit espace hors du temps avec votre liberté de mouvement et ne vous en laisse sortir que lorsque vous aurez librement choisis tout deux de faire l'amour comme deux adolescents qui ont fini de se cacher qu'ils s'aiment. Par contre vous garderez tous deux le souvenir de ce qu'il s'est passé ici.

La démone n'était pas inquiète d'éventuelles répercussions, elle avait déjà construit son alibi avec d'autres élèves déjà tombées sous son charme et d'une entité changeforme invoquée par elle qui avait pris son apparence pour suivre le groupe d'élèves dans un Karaoké et se conduire comme elle. Elle aurait ensuite libre accès à la mémoire de l'entité lors de sa désinvocation. Un tour très pratique pour sembler être à plusieurs endroits à la foi et en avoir une mémoire parfaite. Et si mademoiselle Dextra était prête à se lancer dans ce genre de changements d'elle-même et d'accepter le jeune m. Shirou dans sa vie et entre ses cuisses elle s’estimerait satisfaite.

Mais elle avait eu le temps d’étudier la demoiselle aux cheveux verts. Elle savait aussi qu'elle n'était pas complètement tombée et qu'un bastion de résistance demeurait dans sa tête. Elle sentait presque les rouages de sa réflexion cliqueter et se mettre en place. Et elle savait aussi que la jeune demoiselle verrait d'abords le "mon honneur sera sauf", même si pour cela elle devait se débarrasser d'une des rares personnes lui montrant de l'affection, même si ce n'était que depuis quelques minutes.

Et surtout, il y avait ce sens poussé de la vertu auquel elle se raccrochait désespérément. Et rien que celui-là voudrait qu'elle fasse tout en son pouvoir pour interrompre au plus vite le viol dont était victime son camarade par sa faute. Sans compter ce sens du devoir qui risquait bien de lui rappeler qu'il avait tenté de sacrifier sa vie pour elle.

Qu'allez-vous choisir miss Dextra ? Continuer à subir mes tendres outrages ou accepter la gentillesse de m. Shirou et par là-même la vôtre ?

- Dextra ne... Essaya d'intervenir le garçon avant qu'un claquement de doigts ne fasse disparaître sa bouche, ne laissant qu'un visage recouvert de peau lisse et sans ouverture pour manger ou boire.

Le jeune garçon adressa un regard très semblable à celui que Dextra lui avait servi quand elle lui avait ordonné de ne pas se sacrifier pour autrui. Sauf que même si elle le faisait, il ne s'en souviendrais même pas.

Pour le moment Tessia se contenta de profiter de la position de la jeune fille dans son giron pour délicatement caresser son entrejambe avec ses doigts, venant bien sadiquement perturber sa réflexion de fugaces caresse sur son clitoris.

Elle est vraiment trop mignonne quand elle rougit.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le vendredi 27 mars 2015, 12:13:26
Elle était ... épuisée ? Complètement vidée de toutes ses forces en tout cas, et en même temps ce n'était guère étonnant vu qu'elle venait de cramer à peu près tout ce qui lui restait au vu des sorts dont elle était la victime, ce qui la laissait complètement inerte au sol et incapable même de tenter de se redresser, la laissant dans une position peu enviable que beaucoup trouverait même tout à fait honteuse, Dextra la première si elle faisait encore attention à la honte qu'elle pouvait ressentir après avoir été utiliser comme un jouet pour adulte deux fois d'affilée. Mais voilà, pour l'instant elle était juste sur le sol, haletante, et pouvait tout juste voir la femme devant elle enroulée le fouet qu'elle avait levée plus tôt pour le poser sur la table la plus proche, tandis que le jeune homme derrière elle devait surement la regarder comme si le plus grand des miracles venait de se produire. En effet, voir une jeune femme connue comme étant des plus intransigeante et mauvaise envers autrui lui sauver la vie, ça devait faire un sacré choc, quoiqu'on en dise.

Toutefois la jeune femme ne fut pas vraiment préparée à l'élan de tendresse dont fit preuve son enseignante, et quand elle se sentit récupérée par la femme elle put presque voir la suite des événements se faire devant ses yeux, elle mise à l'écart pour ne plus pouvoir réagir, et celui qui avait voulue si courageusement la sauver en train de se faire fouetter jusqu'à ce que mort s'ensuive par cette succube aux abords terriblement troublant. Mais non, elle vit Tessia l'attirer à elle, puis la poser lentement tout contre son corps et sa poitrine dénudée, posant son visage sur ces opulents orbes de chair avant de la dorloter comme si elle était un nourrisson qui avait passer trop de temps à jouer dehors et qui désormais n'avait même plus la force nécessaire pour se retenir de s'endormir. Elle était non seulement stupéfaite pour le coup, mais ne comprenait pas non plus ce chaud sentiment de bonheur qu'elle venait à ressentir face à un pareil comportement, manquait-elle donc tant de "gentillesse" pour réagir ainsi alors que c'était bien sa violeuse qui la prenait entre ses bras ? Elle ne savait pas trop quoi en dire...

 -  Et vous osez prétendre que la gentillesse ne sert à rien mademoiselle Dextra ? Pourtant regardez, votre gentillesse vient de sauver la vie de votre camarade...

Elle n'osa même pas répondre pour le coup, en faite elle n'avait rien à répondre à de telles paroles pour plusieurs raisons, la première étant que face à tout cela, elle se sentait désormais complètement démunie, et ne savait même plus si elle avait un quelconque rôle là-dedans, où si la femme en face d'elle parvenait au fur et à mesure à la manipuler comme un vulgaire pantin. Quand à la deuxième raison, elle s'appelait Emya. Elle n'osait pas dire quoi que ce soit parce que dans le fond elle ne voulait pas que ses mots aux abords tranchant puisse le blesser dans l'état actuel des choses, et c'était encore plus gênant de se dire cela qu'elle savait pertinemment qu'en temps normal, elle n'aurait pas hésitée une seconde pour rugir face à la professeur, sans même imaginer que ce qu'elle allait dire avait une chance de troubler son camarade de classe. Non seulement elle ne se comprenait pas pour le coup, mais en plus tout cela la frustrait profondément. Et elle en avait marre, si marre de ne pas être capable de se reconnaître, de ne pas être capable de se révolter, alors même qu'il s'agissait de tout ce qu'elle avait put toujours haïr et détester.

 - Je pense que c'est votre tour de faire un choix miss Dextra. Je peux effacer de la mémoire de ce jeune homme tout ce qu'il s'est passé ici et il pourra partir immédiatement. Il ne se souviendra plus de vous avoir vue dans une position aussi humiliante, mais il ne se souviendra plus non plus de votre gentillesse et de votre geste courageux et chevaleresque à son encontre. Si je fais cela, je vous conserve pour continuer à abuser de votre corps le temps qu'il me plaira. Ou alors, je vous enferme tous les deux dans un petit espace hors du temps avec votre liberté de mouvement et ne vous en laisse sortir que lorsque vous aurez librement choisis tout deux de faire l'amour comme deux adolescents qui ont fini de se cacher qu'ils s'aiment. Par contre vous garderez tous deux le souvenir de ce qu'il s'est passé ici.

Comme à son habitude de succube joueuse et ravie de ce qu'elle avait réussit à mettre en place entre les deux adolescents, Tessia avait tournée la tête de la jeune Dextra pour lui permettre de contempler son camarade affaiblit au sol, et le regard qu'il lui adressa fut assez pour troubler la jeune fille qui ne savait pas quoi faire face à cette proposition que la démone venait de lui faire, de manière tout à fait ignoble d'ailleurs. Pourquoi la regardait-il si doucement, si tendrement ? Il ne fallait pas pourtant, elle était un monstre et elle restait un monstre, elle en avait toujours eut conscience et dans le fond elle en avait toujours été fière, c'était sa défense, c'était son arme, c'était son bouclier pour ne pas devenir quelqu'un d'insignifiant et d'hypocrite, et pour tout cela, cela sonnait incroyablement faux quand le jeune homme osait poser sur elle ce regard à la fois attendri et charmé. Voulant répondre, mais ne sachant quoi dire, la jeune fille baissa son propre regard vers le sol, ou tu du moins ce qui pouvait occuper sa vision, donc le corps de sa professeur quasiment entièrement dénudé, quand elle entendit la voix d'Emya de manière fugace.

 -  Dextra ne...

Ne quoi ? Elle n'allait pas non plus le laisser avec ce genre de souvenir ignoble d'être dans un état lamentable, obligé de suivre les ordres d'une professeur surement tout aussi abominable que sa nature le laisse présupposé, malgré ce qu'elle essayait de lui apprendre à grand renfort de tortures et de comportement déplacée envers elle ! Non elle n'arrivait tout simplement pas à se faire à l'idée que pour son propre sort elle puisse faire connaître à un autre l'ordre de son jugement, c'était quelque chose à laquelle elle n'arrivait pas à se conformer, elle détestait peut-être suivre les règles des autres, mais plus que tout, et c'était d'autant plus vrai dans cette situation, elle se refusait à faire ce qu'elle avait toujours désirée ne pas faire, ça veut dire passer la barrière des mots pour passer à l'acte, aller de la blessure moral en critiquant quelqu'un à la blessure physique en l'obligeant à sauter du balcon, pieds joints, et à grand renforts de poussée de sa part. Non elle n'arriverait jamais à embarquer quelqu'un dans ses souffrances pour se savoir désormais libre et loin de tout problèmes, et plus que tout elle ne le désirait pas.

Elle était d'ailleurs tellement concentrée qu'elle ne vit pas la prof venir, et couina quand celle-ci glissa de manière bien vicieuse sa main entre ses cuisses frêles, venant du coup caresser avec douceur son intimité détrempée, et bien sur gémir de plaisir sans qu'elle ne fasse quoi que ce soit pour retenir ce petit cri qui s'échappa tendrement de ses lèvres, lui collant un phare au visage comme peu en serait capable sans s'évanouir sous l'afflux soudain de sang. C'était à peine exagéré ! Et plus la professeur continuait à le faire, plus elle avait du mal à réfléchir, son corps étant devenu clairement trop sensible pour résister à une pareille approche, et c'est bien pour cela qu'elle rageait, qu'elle n'avait qu'une envie c'était de lui résister, de la repousser au loin pour enfin pouvoir exprimer son jugement, alors que finalement tout ce qui s'échappait de ses lèvres était de petits couinements maladroits... Et finalement elle finit par se mordre la lèvre, se retenant de gémir pour conserver sa respiration, puis répondre enfin à Tessia, tremblante, mais avec le regard dur de celle qui ne veut pas être un jouet, et qui est encore capable de prendre des décisions.

 - Il... Il a subit assez, laisse le se barrer !

Peut-être qu'elle allait le regretter, peut-être que la femme avait prévue encore bien pire pour plus tard ... Mais tant pis, elle ne pouvait pas amener quelqu'un d'autres dans ses emmerdes.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le lundi 30 mars 2015, 23:47:31
Spoiler: ♪♫♪♫♪♫♪♫♪♫ (cliquer pour montrer/cacher)

Tessia regarda la jeune fille dans ses bras avec beaucoup de tendresse tandis que le jeune Emya se débattait dans son coin, essayant de parler malgré son absence temporaire de bouche, replaçant ses cheveux sur son front, ayant abandonné sa vulve pour pouvoir se livrer à ce geste simple, mais si affectueux.

La succube déposa ensuite un baiser sur le front de la jeune demoiselle.

- Prenez-le comme vous voulez mademoiselle Dextra, mais je suis très fière de vous, lui susurra la succube.

Celle-ci fit un élégant geste de la main et les yeux du jeune garçon commencèrent à se fermer d'eux-mêmes. Malgré tout, celui-ci lutta, tentant de rester éveillé malgré tout, et parvint quand même à soulever un bras au grand étonnement de Tessia. Avec une lenteur de personne rendant son dernier souffle, il bougea centimètre par centimètre pour se tendre en direction de la jeune fille aux cheveux verts, ses doigts tremblants dans sa direction comme s'il essayait de s'y retenir comme un marin en train de sombrer tente avec ses dernière forces d'agripper la bouée qui lui sauvera la vie.

- Quel entêtement… Gloussa la succube en attrapant la main tendue juste au moment où le jeune homme roux perdait finalement conscience. En voici un qui n'était pas prêt de vous laisser lui filer entre les doigts…

Ce disant, la succube avança avec Dextra dans ses bras et déposa la main inerte du jeune garçon dans celle sans force de la jeune fille.

- Jusqu'au bout il a cherché à vous protéger. Et tout ça pour quoi ? Murmura Dextra à l'oreille de son élève. Pour un simple geste de gentillesse non ? Une simple preuve que vous avez eu, ne serait-ce qu'un instant, pitié de lui et n'avez pas pensé à vous mais à quelqu'un d'autre, dit-elle en serrant les deux mains ensembles. C'est idiot la gentillesse hein ? Railla-t-elle doucement.

La démone maintint les deux mains ensembles encore quelques secondes, laissant Dextra profiter de la chaleur et du contact de la peau du jeune homme, la laissant regarder de tout son soûl sa petit main frêle enveloppée comme si elle était blottie dans la grande main du jeune homme roux.

- Allez, lui sussura Tessia à l'oreille. C'est l'heure de remplir votre part du contrat.

Elle sépara ensuite les deux mains avec délicatesse, reposant celle du jeune homme au sol avant d'emporter le corps de la jeune fille aux cheveux verts plus loin. Elle forma ensuite un cercle avec sa main dans l'air, celui-ci se déchirant ensuite pour sembler donner ailleurs. La jeune fille put voir une grande chambre aux murs écaraltes comme la passion, de grand rideaux encadrant une porte-fenêtre, une armoire de bois sombre, presque noire et enfin un immense lit dont le sommier en bois également était garni de nombreux anneaux sur tout son pourtour en demi-cercle.

Tessia traversa sans hésiter le portail qu'elle avait ouvert nulle part ailleurs que dans sa propre chambre dans son appartement à Seikusu. Dans les reflets orange et rose de la lumière du crépuscule elle posa le pied à plusieurs kilomètres de l'endroit qu'elle venait de quitter, le portail pourtant toujours en place. Elle grimpa ensuite sur le lit pour y déposer son fardeau avec délicatesse, la laissant s'enfoncer dans les draps de soie écarlate d'une douceur extrême.

- Soyez sage pendant que je vais faire un peu de ménage, lui dit la succube avec un petit sourire amusée avant de repasser le portail qui se ferma derrière elle, laissant seule la pauvre fille aux cheveux verts, dans une habitation qui n'était pas la sienne.

Cependant, la jeune Dextra n'y était pas depuis deux minutes que le bruit d'une clé dans une serrure se fit entendre. Puis le bruit d'une porte qui s'ouvre et se ferme, suivit de près par des appels de voix qu'elle identifia sans problème : c'était ceux de sa voisine de table, une jeune fille provenant d'une famille riche, Rin Tōsaka (http://i.imgur.com/QpJTLPB.png).

- Madame Alexanders ? Madame ? Vous êtes là ?

- Ses chaussures ne sont pas là, fit remarquer une seconde voix que Dextra connaissais aussi, celle de Sakura Tōsaka, la sœur jumelle de Rin (http://i798.photobucket.com/albums/yy264/animetron/Anime%20PNG%20Pictures%202ND/TohsakaRinMatouSakura-1.png) qui pourtant ne lui ressemblais pas du tout avec ses cheveux violets, elle aussi une camarade de classe.

- Pourtant, elle nous a donné rendez-vous à cette heure, commenta une troisième voix d'un ton étonné, celle d'Ayako Mitsuzuri (http://vignette2.wikia.nocookie.net/typemoon/images/e/e9/Mitsuzuri.png/revision/20120809071300), elle aussi collègue de classe et capitaine du club de tir à l'arc du lycée.

- Elle a dû être retardée, trancha Rin en soupirant d'un ton ennuyée. Ce n'est pas grave, on a qu'à se préparer pour l'atten… dre… Hésita-t-elle après avoir ouvert la porte de la chambre à coucher et avoir vu Dextra nue dans le lit de leur institutrice.

Un silence de quelques secondes passa avant que Rin ne se tourne dans le couloir.

- Hé les filles, venez voir ça vous n'allez pas en croire vos yeux ! Il va pleuvoir des billets de mille Yens demain !
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le mardi 31 mars 2015, 10:48:47
La jeune fille était exténuée, et le simple fait de parler était devenue un véritable défi dans son état, même si elle n'avait étrangement pas vraiment forcée quand elle avait eut à exprimer son avis sur la proposition de sa professeur, ayant choisit de son plein gré la poursuite des événements dans le simple but d'offrir au jeune homme quelque chose de moins traumatisant, un truc simple que l'on appelait un joli trou de mémoire, généralement gênant mais pas choquant. Comme seul réponse, elle crut entendre les essais impossibles de l'homme pour s'exprimer, sa bouche toujours disparue à cause de Tessia ne le lui permettant clairement pas de prononcer le moindre mot, puis elle sentit la main de cette dernière venir avec douceur décaler les mèches collés sur son front par la sueur avant d'y apposer ses lèvres avec la même bienveillance, laissant à Dextra un goût étrange dans la bouche, à la fois heureuse de toute cette délicatesse avec laquelle la démone la traitait actuellement, en ayant clairement besoin après ce qu'elle avait vécue, mais ressentant aussi une cuisante envie de l'envoyer chier, quelques gestes n'ôtant en rien le fait que cette femme avait tout de même orchestré la terrible expérience qu'elle venait de subir.

 -  Prenez-le comme vous voulez mademoiselle Dextra, mais je suis très fière de vous.
 -  En effet... je ne sais pas comment le prendre.

Son regard était en partie tourné vers la démone, et en partie vers le jeune homme au sol, si bien qu'elle vit relativement vite que celui-ci commençait à sentir le poids d'un sommeil non-naturel peser sur ses paupières, celle-ci se fermant lentement au fur et à mesure que le pouvoir impie de la démone se propageait dans son corps, malgré la résistance qu'il affichait pour ne pas se faire avoir par une telle force. Dextra ayant subit cette magie plusieurs fois d'affilée, elle ne pouvait que comprendre de tels efforts, tout en sachant très bien qu'il était inutile de lutter contre pareil traitement, et attendit donc, cruellement dans le fond, que le pouvoir de Tessia emporte son actuel camarade loin dans des songes qui lui feront oublier tout ce qu'il vient de se dérouler dans cette salle de classe. Plus cruellement encore, quand elle vit le jeune homme tendre autant qu'il le pouvait son bras pour venir chercher le corps de Dextra, elle rompit le regard qu'elle lui adressait, ne voulant pas qu'il ne se fasse la moindre fausse idée. C'était finit, il allait tout oublié et retourner à une vie classique sans jamais se souvenir de ce qui a put se dérouler aujourd'hui ... pour le bien de tous.

 -  Quel entêtement… En voici un qui n'était pas prêt de vous laisser lui filer entre les doigts…
 -  Les garçons sont ainsi... Ils ne savent jamais quand il faut cesser de se faire des illusions, osa-t'elle prononcer à demi-mot, la tête encore nichée contre la poitrine de Tessia, incapable de tourner de nouveau la tête vers le corps profondément affaibli d'Emya.

Honnêtement, elle n'aurait peut-être pas dit la même chose normalement, mais là les mots sortaient tout seul étant donné qu'elle était elle-même proche de l'extinction, son corps malmené se rappelant à elle pour lui faire savoir qu'il avait un intense besoin de repos, tellement intense qu'il devenait nécessaire qu'elle puisse enfin retrouver un chez elle rapidement pour y dormir, même si elle savait qu'elle était bien loin de pouvoir en profiter. Après tout n'avait-elle elle-même pas prononcer sa décision de poursuivre les sévices qui lui étaient infligées ? Tessia semblait être heureuse du déroulement des choses, mais ce n'était pas pour autant une raison pour qu'une démone fasse soudainement preuve d'un peu de compassion et la laisse s'en sortir à bon compte, si bien que Dextra ne put qu'imaginer où elle allait finir quand elle sentit la femme la déplacer pour l'emporter plus loin, ayant bien en tête l'idée qu'après un jeune homme, elle pouvait bien la lâcher comme lot de consolation pour toute l'équipe sportive qui devait à cette heure-ci prendre leurs douches après l'entraînement...

Et de façon bien surprenante, elle sentit à la place la main large d'Emya être posée sur la sienne, doucement.

 -  Jusqu'au bout il a cherché à vous protéger. Et tout ça pour quoi ? Pour un simple geste de gentillesse non ? Une simple preuve que vous avez eu, ne serait-ce qu'un instant, pitié de lui et n'avez pas pensé à vous mais à quelqu'un d'autre. C'est idiot la gentillesse hein ?
 -  Profondément débile tu veux dire... Voilà bien où la gentillesse me mène...

On ne pouvait pas dire que la jeune fille ne restait pas coincée sur ses idées, même si elle avait fait preuve de gentillesse un poil plus tôt, elle continuait à répugner cette façon de faire, témoignant de vive voix que si la gentillesse pouvait être une belle chose, comme le laissait cyniquement dire Tessia, il n'empêchait pas que le moindre soupçon de douceur menait toujours à un résultat décevant, ou blessant. Les joues roses, elle sentait cette main chaude sur la sienne sans même comprendre comment cela pouvait la toucher malgré tout ses à-priori, mais étrangement cette pogne large qui englobait l'entièreté de la sienne, fine et mince, cela la troublait plus que de raison, elle n'arrivait pas à accepter pareille chose. Surement aurait-elle ôté sa main d'elle-même pour ne pas se faire plus de mal moralement, mais la force encore une fois lui manquait, et finalement elle resta dans cette position pendant un instant plutôt long, jusqu'à ce que la démone fasse le choix en tout cas de les séparer tout en chuchotant à son oreille :

 -  Allez. C'est l'heure de remplir votre part du contrat.

Elle ne répondit pas ce coup-ci, se laissant juste transporter au loin par la femme qui avait clairement une force surnaturelle pour la soulever sans le moindre souci. Non pas qu'elle soit lourde ou pas, bien au contraire, elle était clairement de ces femmes que l'on pouvait caractérisée de légère, tout en finesse de corps, et bien moins d'esprit justement afin de se protéger au vu de sa frêle apparence, mais cela restait quand même surprenant de la part de Tessia de pouvoir la soulever avec aussi peu de difficultés. En tout cas, elle fut déplacée par la femme qui se mise dés lors à faire quelques signes en l'air, déchirant l'espace pour finalement créer un chemin direct entre deux endroits bien éloignés dans la réalité, et le regard de la lycéenne se posa sur une chambre aux airs les plus érotiques possibles, du rouge un peu partout, quelques couleurs chaudes pour souligné un peu plus l'aspect torride des lieux, et enfin un lit qui était surement des plus agréable pour se vautrer dedans et y subir les pires outrages. Discrètement la lycéenne déglutit doucement, espérant très honnêtement qu'elle n'avait pas sous-estimer toute la vilenie de sa démone de professeur jusqu'à maintenant.

 -  Soyez sage pendant que je vais faire un peu de ménage.

Sitôt déposée dans les draps délicats, Dextra avait vu la femme repartir en arrière, sans bien comprendre ce qu'il se déroulait, et c'est même avec étonnement qu'elle aperçut le portail menant à la salle de cours disparaître, la laissant seule dans cette grande chambre aux airs de décor de film érotique, et sans vraiment pouvoir se maîtrisée, elle se laissa s'enfoncer profondément dans le lit sur lequel la démone l'avait installée, ayant définitivement besoin de se reposer. Observant légèrement les alentours d'un oeil distrait, elle sentait le sommeil la gagner de plus en plus à mesure que le silence s'installait dans la pièce, et il ne manquerait pas grand chose pour qu'elle pique définitivement du nez, seule sa nervosité la tenant éveillée à l'heure actuelle, ainsi qu'une certaine dose de crainte vis-à-vis d'une attaque qu'elle ne pourrait pas voir venir si elle se trouvait sans défenses, en train de dormir. Finalement, et par le plus grand des bonheur, le bruit d'une clé tournant dans la serrure la surprit soudainement, le remettant immédiatement en état d'alerte alors qu'elle tendit l'oreille.

 -  Madame Alexanders ? Madame ? Vous êtes là ?
 -  Ses chaussures ne sont pas là.
 -  Pourtant, elle nous a donné rendez-vous à cette heure !

Trois voix, trois qu'elle connaissait en plus particulièrement bien, celle de ses camarades de classes les plus proche en cours, un peu comme Emya d'ailleurs, exception faites qu'elle avait l'habitude de discuter avec elles. Si Sakura n'était clairement pas le genre de fille avec laquelle elle avait put échanger, les deux ayant eut un petit problème à l'époque du collège ensemble, et ne voulant plus en reparler, Dextra avait souvent tendance à échanger avec sa soeur jumelle Rin, qui était d'ailleurs l'une des quelques personnes qui arrivait à passer au dessus de l'irascibilité de la lycéenne de manière naturelle. Quand à Ayako, c'était peut-être même pire que pour Sakura, étant donné qu'il y avait moins de deux semaines, Dextra avait osé dire qu'elle était capable de la vaincre au tir à l'arc sans même faire partie du club, ce que la jeune femme avait en effet accomplie, en bonne petite génie sure d'elle. Résultat, rien qu'avec les voix, elle s'imaginait déjà dans quelle situation elle se trouvait : une camarade de classe, mais pas vraiment une amie, et deux potentielles ennemies, qui allaient en plus la trouver dans sa plus grande faiblesse. Une catastrophe.

 -  Elle a dû être retardée. Ce n'est pas grave, on a qu'à se préparer pour l'atten… dre…

Oh merde elle ouvrait la porte de la chambre.

 -  Hé les filles, venez voir ça vous n'allez pas en croire vos yeux ! Il va pleuvoir des billets de mille Yens demain !
 -  P-Pas la peine de le crier sur tout les toits, exprima rageusement la demoiselle rouge de honte. Aides moi plutôt, je me suis réveillée ici et je n'ai plus la moindre force...

Bon et d'un mensonge inventer sur le tas ... Après tout elle n'allait pas non plus raconter ce qu'il venait de lui arriver, surtout pas à des camarades de classes, encore moins quand elle se retrouvait ainsi livrée sans la moindre force, à la vue de ses collègues, et au beau milieu de la chambre de sa professeur.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le jeudi 02 avril 2015, 15:15:38
Les trois demoiselle revinrent constater la présence de leur camarade en tenue d'Eve dans le lit de Tessia. Sur les traits de Rin, c'était la surprise et l'amusement qui dominaient. Sur ceux de sa sœur jumelle, Sakura, c'était plus proche de la stupeur et de la frustration. Par contre, l'expression sur le visage d'Ayako était celle de qui vient de recevoir un cadeau de noël en avance et sans avoir eu besoin d'être sage.

- Je rêve ou c'est Dextra qui est à poil dans le lit de notre prof ?

- Tu ne rêve pas, confirma Sakura d'un air vaguement ennuyée.

- Et la petite menteuse essaye de nous faire croire qu'elle ne souvient de rien, gloussa Rin en s'approchant du lit avant d'y grimper à quatre pattes et d'attraper le bras gauche de la jeune fille aux cheveux verts pour le soulever et lui montrer le tatouage en forme de crâne dessus. Et ça, tu l'as eu où à ton avis ? Dit-elle en faisant glisser un doigt le long du tatouage, faisant naître la chair de poule sur la pauvre Dextra.

- Ce ne seraient pas par hasard maitresse Tessia qui les a fait apparaître non ? Railla Ayako en venant à son tour s'asseoir à côté de Dextra, de l'autre côté que celui où Rin était assis. Qu'en dis-tu Sakura ? Ça ne ressemble pas aux marques que notre maîtresse avait mises sur tes jambes pour t'empêcher de t'enfuir lors de la fois où on t'a initiée ?

À ces mots, Sakura s'empourpra tandis que la colère teinta ses traits.

- Elle venait de faire apparaître une verge de vingt-cinq centimètres entre ses cuisses ! J'étais supposée le prendre comment en sachant que j'étais toujours vierge !

- Elle t'avais dit que c'était pour ton cul pourtant, pas pour ta chatte, s'amusa Rin en pouffant à ce souvenir avant de se tourner vers Dextra. Sakura veut rester vierge pour son mariage, lui confia-t-elle. C'est pour ça que ça fait des années qu'elle joue avec son anus à la place. Mais dès qu'elle a vu une bite elle s'est enfuie en courant ! C'était trop drôle !

- Rin ! Hoqueta Sakura avant de se précipiter sur sa sœur pour lui plaquer une main sur la bouche, mais bien trop tard. Espèce de garce ! Je devrais lui dire tes fantasmes à toi auss...

Sakura ne termina pas sa phrase. Elle avait sauté dans le lit derrière sa sœur pour plaquer sa main sur sa bouche depuis derrière elle, mais Rin, loin de s'en plaindre venait d'entrouvrir ses lèvres et commençait à lécher les doigts de sa jumelles, l'air en train de déguster un morceau de paradis.

- Pouah ! Rigola Ayako en voyant la mine déconfite de Sakura. Dites les jumelles incestueuses, vous pourriez pas profiter que vous habitez la même maison pour forniquer là-bas et nous épargner le spectacle ? Notre invitée est toute rouge.

Rin sourit à Ayako en réponse et retira doucement la main de sa soeur de sa bouche pour se pencher en arrière. Sakura semblait paralysée, comme en train de regarder un serpent venimeux dont on n'ose quitter le regard de peur qu'il vous attaque. Puis Rin ferma les yeux et vint apposer ses lèvres contre celles de la jeune fille aux cheveux violets. Sakura resta une seconde sans réagir puis ferma aussi les siens et commença à rendre passionnément son baiser à sa sœur jumelle, ses mains humides de salive descendant sur le sailor fuku de sa soeur pour commencer à caresser sa poitrine à travers ses vêtements.

- Je crois qu'on les a perdues pour un moment, gloussa Ayako en se penchant sur Dextra. Ça tombe bien, tu ne peux pas savoir à quel point j'ai rêvé d'une situation similaire... Commenta la capitaine du club de tir à l'arc avant de doucement saisir les tétons de Dextra pour commencer à les pincer, un rictus cruel sur le visage.

Ayako continua plusieurs minutes, malgré les protestation et les cris de la jeune fille aux cheveux verts sans défense, torturant ses seins en les pinçant, en les tordant et en leur donnant des pichenettes. Ses cris finirent par interrompre les deux soeurs qui jetèrent un regard de reproche à leur camarade ce qui finit par la faire arrêter. Mais les tétons de Dextra étaient déjà gonflés et rougis du traitement qui leur avait été infligé.

- Ho allez, je voulais juste me venger un peu... Marmonna Ayako aux deux sœurs.

- On ne sait pas ce que maîtresse Tesia a prévu pour elle, on devrait l'attendre. Dit Rin d'un ton de reproche.

Sakura hocha la tête pour marquer son accords avec sa sœur, même si sa figure indiquait plutôt qu'elle aurait bien voulu qu'Ayako continue.

- Oui, mais on peut pas la laisser comme ça, elle va chopper froid si on la réchauffe pas un peu, argumenta Ayako d'un air entendu à une Rin qui ne semblait pas convaincue. Je sais, et si on lui enfonçait un gode dans le cul ?

Rin et Sakura ouvrirent de grands yeux scandalisés à cette idée mais Sakura tresailli également du bassin, visiblement très réceptive à cet argument.

- Ayako, tu trouves pas que tu dépasse les bo...

- Moi je trouve que c'est une bonne idée, minauda soudain Sakura à l'oreille de sa sœur, s'attirant un regard surpris de la part de cette dernière. Mais oui, réfléchis, si l'entrejambe est stimulé, elle aura chaud partout, et même si elle veut rester vierge, c'est l'anus, pas le vagin dont on parle. Du coup pas de traces !

- Je ne pense pas que...

- Ho allez, soit pas rabat-joie ! dit Ayako en se levant pour aller ouvrir une armoire à l'intérieur de laquelle se trouvais tout un arsenal de tenues de cuir et de latex divers et une autre série de tiroirs.

Elle en ouvrit un duquel elle tira un monstre d'au moins trente centimètres de long en silicone noir qu'elle exhiba aux jumelles avec un clin d'oeil.

- Hé stop ! Faut pas abuser ! Même Sakura ne le tolère pas celui-là ! S'insurgea Rin d'un ton qui ne laissais aucune place à l'argumentaire.

Ayako soupira et remis le gode dans le tiroir avant de revenir avec un modèle beaucoup plus petit, devant faire moins de ving centimètres en silicone rose, présentant un pénis en érection, couvert d'un motif perlé.

- Et celui-là ? Demanda-t-elle avec un petit sourire en coin.

- Ho ouiiiiiii ! Approuva Sakura en tortillant des fesses comme si elle était assis sur une plaque brûlante.

Rin n'avait pas l'air convaincue, mais à deux contre elle, elle se contenta de grogner sa désapprobation, ce à quoi sa sœur jumelle répondit en soulevant son sailor fuku pour empoigner son soutiens-gorge et le masser, faisant recommencer à gémir sa jumelle.

De son côté, Ayako revint vers le lit avec le gode et un flacon de lubrifiant. Elle posa le tout à coté de là où elle s’était assise précédemment et commença à écarter largement les jambes de Dextra malgré les protestations de cette dernière. Puis, avec un petit sourire tout aussi sadique que le précédent flottant sur ses lèvres, elle versa un peu de lubrifiant sur son index et son majeur et commença à en appliquer sur l'anus de la jeune fille aux cheveux verts.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Dextra-Senestra le jeudi 09 avril 2015, 16:34:46
 -  Je rêve ou c'est Dextra qui est à poil dans le lit de notre prof ?
 -  Tu ne rêve pas.
 -  Et la petite menteuse essaye de nous faire croire qu'elle ne souvient de rien. Et ça, tu l'as eu où à ton avis ?

Non seulement elle n'avait pas crut un seul mot de ce qu'elle leur avait dit, mais en plus voilà que les jeunes filles profitaient pleinement du spectacle, semblant contempler son corps et sa fâcheuse position comme si il s'agissait d'un véritable buffet qui avait été laissée ici à leur appréciation afin qu'elles en profitent comme il le fallait. Toutefois, Dextra ne comprit pas vraiment pourquoi c'était celle qui était la plus proche d'elle dans la vie de tout les jours qui venait de se rapprocher aussi rapidement d'elle pour soulever son bras, et ce juste pour lui indiquer le maudit tatouage qui soulignait la finesse de son membre tout en lui demandant pour quels raisons elle pourrait porter de pareils fioritures sur le corps si elle ne se rappelait de rien, ce qui était débile en un sens si elle connaissait en effet la signification de pareils symboles. Attends, elle savait de quoi il s'agissait ? Comment le pouvait-elle, c'était uniquement la démone qui usait de ce genre d'artifices... Était-ce possible du coup que les trois demoiselles soient aussi comme l'horrible professeur ? Ou pire, ses complices de tout les jours ?

 - Ce ne seraient pas par hasard maîtresse Tessia qui les a fait apparaître, non ? Qu'en dis-tu Sakura ? Ça ne ressemble pas aux marques que notre maîtresse avait mises sur tes jambes pour t'empêcher de t'enfuir lors de la fois où on t'a initiée ?

Que-Quoi ? Maîtresse Tessia ? Non ce n'était pas possible, elles étaient juste toutes les trois les servantes de cette démone idiote qui, depuis le début de cette maudite fin de journée, avait prit le temps de la faire souffrir un nombre incalculable de fois uniquement pour le plaisir de se défouler, et la fausses excuses de lui faire comprendre que la gentillesse était une chose que la jeune fille ne devrait pas rejeter aussi rudement, surtout quand on la lui offre de manière parfaitement gratuite. Pour le coup, elle ne sut pas vraiment qui était les pires entre Tessia et ces trois jeunes filles, car bien que toute sa colère et son énervement soit purement adressé à cette sorcière qui avait osée la priver de son énergie, elle ne pouvait pas non plus oublier le fait qu'actuellement elle était entourée de trois abruties, qui avait osées se rabaisser assez bas pour se laisser dominer par la démone,  et qui en plus se complaisaient désormais dans ce comportement immoral entre elles, notamment envers la pauvre Sakura.

 -  Elle venait de faire apparaître une verge de vingt-cinq centimètres entre ses cuisses ! J'étais supposée le prendre comment en sachant que j'étais toujours vierge !
 -  Elle t'avais dit que c'était pour ton cul pourtant, pas pour ta chatte. Sakura veut rester vierge pour son mariage. C'est pour ça que ça fait des années qu'elle joue avec son anus à la place. Mais dès qu'elle a vu une bite elle s'est enfuie en courant ! C'était trop drôle !
 -  Rin ! Espèce de garce ! Je devrais lui dire tes fantasmes à toi auss...
 -  Je... Je ne sais pas quoi dire par rapport à tant d'informations d'un coup... A part peut-être que j'aimerais bien évi...

La fin de sa phrase mourue entre ses lèvres quand elle vit en effet les deux jeunes femmes dans une situation à la fois troublante et tendrement excitante pour le coeur de la jeune femme, contemplant dés lors la relation incestueuse des deux jeune fille s'exprimer silencieusement grâce au visage ravi de Rin qui léchouillait les doigts de sa tendre jumelle, et la dite jumelle dont le trouble semblait laisser place à un amusement croissant. Cela lui fit presque oublier ce qu'elle venait d'apprendre, comme quoi la professeur était capable de faire apparaître entre ses cuisses l'équivalent d'un gourdin de police, que les trois jeunes femmes avaient surement déjà goûtées à une telle punition des plus honteuses aux yeux de la jeune femme, mais le pire étant que si elle l'avait voulue, la succube aurait put le lui faire depuis le début de leurs rencontres, ce que pour l'instant la démone n'avait jamais fais, n'ayant réellement touché à la jeune fille en ce sens que lors de sa masturbation jouissive.

 -  Pouah ! Dites les jumelles incestueuses, vous pourriez pas profiter que vous habitez la même maison pour forniquer là-bas et nous épargner le spectacle ? Notre invitée est toute rouge, osa-t'elle dévoiler tandis que Dextra sentant en effet le feu lui monter aux joues, et pire encore quand elle vit les deux soeurs s'embrasser passionément comme seule réponse à Ayako... Je crois qu'on les a perdues pour un moment. Ça tombe bien, tu ne peux pas savoir à quel point j'ai rêvé d'une situation similaire...
 -  Hein ? Oh allons ne me dit pas que tu m'en veux parce que je t'ai mise minable à un duel de tiiiIIIIK... Aaahn...

Comment pouvait-elle réagir autrement alors qu'elle venait de lui pincer cruellement un de ses tétons, encore gorgé de plaisir et donc particulièrement sensible à l'instant présent ? En effet elle ne parvint encore une fois même pas à finir la phrase qu'elle s'apprêtait à balancer comme une sévère pique à la dirigeante du club de tir à l'arc, et pour le coup elle se demanda si elle avait vraiment voulue le faire au premier abords, ou si c'était à cause de sa provocation qu'elle s'était mise en tête de la malmener un peu en se doutant que la démone avait déjà fait bien assez pour rendre la jeune femme complètement incapable de résister à de pareils atteintes ! Plus elle lui faisait mal et plus elle se snetait incapable de faire quoi que ce soit pour s'en défendre, se métant à gémir et crier de plus en plus forts, sentant la main cruelle de sa camarade ne pas s'arrêter pour autant , jusqu'à ce que soudain elle sente qu'elle ne subissait plus le moindre outrage, notamment grâce au regard culpabilisant que les deux soeurs offraient à Ayako :

 -  Ho allez, je voulais juste me venger un peu...
 -  On ne sait pas ce que maîtresse Tessia a prévu pour elle, on devrait l'attendre.
 -  Oui, mais on peut pas la laisser comme ça, elle va chopper froid si on la réchauffe pas un peu. Je sais, et si on lui enfonçait un gode dans le cul ?
 -  Comment ? osa-t'elle prononcer d'un ton outragé, mais toutefois faible après ce qu'elle venait de connaître.

Oui elle ne savait pas vraiment comment il était possible que la lycéenne n'ai put ne serait-ce que penser que la pénétrer avec un gode saurait réchauffer son corps d'une quelconque manière, elle allait bien plus surement se retrouver à gémir de douleur sans la moindre préparation, en plus de se mettre à sévèrement en vouloir à cette idiote qui osait vouloir s'en prendre à son intégrité. Bien heureusement elle espérait bien que Rin allait continuer de la défendre, car même si elle avait été la première à la contredire sur son mensonge, elle semblait encore capable de se souvenir que dans la vie de tout les jours elles étaient capable de s'entendre à peu près comme deux amie, et donc semblait la protéger en partie du comportement particulièrement outrageux de la revancharde. Toutefois il ne fallait pas rêver, elle savait que les trois personne ici présente était complètement dévouées à leur chère Tessia, et vue les plans que la femme avait fomenter pour elle, il était plus que peu probable qu'elle soit toutes les trois aussi perverses que cette dévergondée qui lui faisait connaître tant de supplices, et donc que même en son absence, les trois sauraient prendre la relève :

 -  Ayako, tu trouves pas que tu dépasse les bo...
 -  Moi je trouve que c'est une bonne idée. Mais oui, réfléchis, si l'entrejambe est stimulée, elle aura chaud partout, et même si elle veut rester vierge, c'est l'anus, pas le vagin dont on parle. Du coup pas de traces !
 -  Je ne pense pas que...
 -  Mon avis ne comptes pas ? Arrêtez de parler comme si je n'étais pas là !
 -  Ho allez, soit pas rabat-joie !

Elles l'ignoraient complètement, même Rin qui tentait de la défendre n'arrivait pas à la prendre en compte, et bien sur vu qu'elle se retrouvait bien malheureusement seule face aux deux autres demoiselles, ce n'était qu'une affaire de temps avant qu'elle ne craque, à moins qu'elle n'ai déjà craquée intérieurement suites aux doux mots que sa soeur venait de lui laisser au coin de l'oreille. En tout cas Dextra vis son "adversaire", son "ennemie" même étant donné le comportement qu'elle avait à son encontre, se relever du lit et partir vers une commode qui ne présageait rien de bon à la lycéenne, encore plus quand elle vit la jeune femme fouiller dedans avec un regard plein d'une lubricité malsaine. Allez savoir pourquoi, elle sentit le coup de pute venir, dans tout les sens du terme possible, et quand elle vit enfin Ayako sortir le fruit de ses recherches, à savoir un gode d'une trentaine de centimètre dont la largeur serait bien suffisante pour lui déchirer les entrailles, elle ne put empêcher un couinement de peur s'échapper de ses lèvres, tandis qu'elle eut un faible et ridicule mouvement de recul.

 -  Hé stop ! Faut pas abuser ! Même Sakura ne le tolère pas celui-là !

Merci Rin, bon dieu merci !

 -  Et celui-là ? Questionna-t'elle en montrant un gode de taille bien plus raisonnable.
 -  Ho ouiiiiiii !

Cette expression de joie de la part de Sakura fut surement ce qui signa la fin pour la pauvre Dextra, car Rin ne semblait décidément pas capable de résister à sa soeur, encore plus maintenant que les deux étaient aussi tendrement enlacés, et sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit pour protester ou au moins demander une aide supplémentaire de la part de son amie, elle vit la revancharde fermer le tiroir des horreurs d'un petit coup de fesse avant de se rapprocher d'elle avec un air malsain au visage. Non seulement elle comptait bien la sodomiser avec cet outil, mais en plus elle allait en prendre un plaisir dantesque, Dextra le savait, et la simple idée qu'elle puisse lui faire cela était en soi assez pour que la jeune lycéenne se promette que dés qu'elle aura la possibilitée de se venger, elle sautera sans hésiter le moins du monde sur l'occasion. Mais pour l'instant non seulement elle en était incapable, mais en plus d'entendre les gémissements heureux de Rin en pleine relation incestueuse avec Sakura l'excitait tout particulièrement, si bien qu'elle s'en voulut de reconnaître que l'objet lui donnait presque envie dans l'instant.

Quand Ayako arriva à sa portée, elle sentit tout l'horrible plaisir avec lequel sa camarade de classe allait profiter de sa vengeance, et si cela eut le don de refroidir les ardeurs de Dextra, durement apparue à force de vision plus ou moins assumée du couple Rin/Sakura, cela ne lui permit en rien de se défendre face à cela, à son plus grand malheur. C'est ainsi qu'elle sentit l'horrible saleté la retourner sur le ventre et prendre ce qu'il fallait de lubrifiant sur ses doigts pour en étaler généreusement sur son petit trou, lui provoquant quelques frissons, à la fois à cause de la température du produit que par la frayeur qu'elle avait de se faire prendre aussi durement par une saloparde qui dans le fond ne le faisait que pour son propre plaisir de connasse souhaitant essuyer une cuisante défaite subit plus tôt dans la semaine. Puis elle se mit à le sentir, le bout relativement épais de ce sexe en plastique qui força lentement sa "mauvaise" entrée et qui poussa, poussa encore ...

 -  Nmmhn ... nnnh ... Haaaa Haaaa....HAAAAaaaa.

Et voilà, il venait de rentrer d'un coup, le lubrifiant ayant fait son travail pour percer son petit trou et s'enfoncer de plusieurs centimètre d'un coup grâce à la force qu'Ayako y avait mit. Son gémissement était facile à entendre, avec un peu de malchance elle avait peut être même mit les alentours au courant de ce qui était en train de se dérouler dans l'appartement de la professeur, et c'est avec une honte croissante qu'elle sentit Ayako faire rentrer le reste du jouet sexuel en elle, la faisant gémir doucement à mesure que cet objet épais écartelait ses chairs. C'était bon, beaucoup trop bon dans le fond, et elle entendit Ayako ricaner au dessus d'elle devant ce spectacle pitoyable qu'elle lui offrait bien malgré elle, la jeune femme devant surement se délecter de voir une Dextra aussi faible et jouissive au moindre petit plaisir, sans se douter qu'elle avait déjà subit tant de ces maltraitances érotiques que la moindre parcelle de son corps était en ébullition, et donc si sensible que la moindre provocation marchait à 200%.

 - Ah ah regardez ça les filles, regardez comme elle apprécie cela ! Je suis en train de la sodomisée contre son gré, et elle kiffe ça !
 -  Tu devrais arrêter, si Tessia voyait que tu faisait cela sans son accord, coupa sèchement Rin, toujours aussi mal à l'aise à l'idée qu'elles fassent une erreur en faisant connaître cela à Dextra.
 -  Mais non voyons ! Regarde, un peu plus et je croirais qu'elle aime encore plus cela que Sakura, répondit-elle alors qu'elle fit faire un rapide aller-retour au god, obligeant la lycéenne à gémir profondément.
 -  Han... C-C'est pas ça... AAAhn !

Non en effet, c'était loin d'être la raison qui la rendait aussi faible face au plaisir, il s'agissait plutôt des deux soeurs juste à coté d'elle. En effet le god en elle était délicieux, bien trop pour qu'elle puisse faire quoi que ce soit contre, mais dans le fond ce n'était pas vraiment ça qui la rendait incapable de se défendre contre ce plaisir, mais plutôt la relation incestueuse juste à coté d'elle qui était en train de lui rappeler ses propres fantasmes inavoués, des fantasmes qui de manière incontrôlée rendait le god presque aussi agréable que pourrait l'être le sexe de son propre frère, dont elle avait tant envie dans la vie de tout les jours. Mais bien sur elle ne comptait ni l'avouer, ni l'expliquer aux jeunes femmes en présence, même si elle continuait de la maltraiter ainsi, même si elle voyait bien qu'une relation telle que celle-ci avait put s'installer entre les deux soeurs qu'elle connaissait bien, même malgré tout cela elle n'avoueras jamais d'elle-même ce profond désir qu'elle a envers Senestra, et qui rend cette outrageuse pénétration aussi bonne.

 -  Ah oui, et c'est quoi alors miss sainte-nitouche ? Parce que là tu es la seule d'entre nous toute à gémir comme une salope tu sais ? Allez vas-y dis moi tout je t'écoutes, suis curieuse d'entendre ta version des faits !
 -  Ayako arrête c'est bon, tu deviens grossière en plus, on dirait un vieux pervers.
 -  Allons Rin je m'amuse juste, je ne m'arrêterais pas, et si tu veux le faire toi-même, je demande à Sakura de nous dire tout tes fantasmes, même les plus sombres ! D'accord Saku ?
 -  Hmmm oui pourquoi pas, se permit-elle avec un sourire de connivence.
Titre: Re : Une punition pas très pédagogique - [Dextra]
Posté par: Tessia le mercredi 15 avril 2015, 17:18:07
Rin se tourna vers sa soeur jumelle, fronçant les sourcils en l'ayant entendue affirmer qu'elle dévoilerai ses fantasmes si elle ne laissait pas Ayako continuer à sodomiser Dextra.

- Je ne suis pas sûr que Dextra puisse être plus surprise au niveau de mes fantasmes... Gromella-t-elle à sa soeur jumelle qui lui retourna un sourire torve, très loin des habituels airs timides et effacé qu'elle adoptait à l'école.

- Je pourrais lui parler de... Fit signaler sa jumelle en posant ses mains contre les côtés de sa tête, les poings serrés sauf les indexes légèrement recourbés qu'elle agita légèrement.

Rin rougit violement tandis qu'Ayako ricanait dans son coin.

- Ho ça va... marmonna Rin tandis que sa sœur gloussait elle aussi avant de se pencher pour lui embrasser le cou.

Sakura reprit de plus belle ses caresses sur le corps de sa sœur, glissant ses mains sous son sailor fuku pour ceuillir les seins de cette dernière et les pétrir de ses petites mains tout en couvrant son cou de baisers d'une tendresse proprement insoutenable.

Rin ne se privait d'ailleurs pas de manifester la précarité de sa position par de nombreux gémissement et de multiples petits cris de plaisir. Sa poitrine se soulevait à un rythme de plus en plus soutenu tandis qu'elle-même avait glissé ses bras dans son dos pour caresser les côtés de sa jumelle, faisant frémir Sakura qui à son tour commença à gémir.

Les deux sœurs se livrèrent à une parade amoureuse plus outrageuse encore que celles des paons, s'embrassant plusieurs fois longuement tout en se caressant de manière de plus en plus enfiévrée et en se déshabillant à gestes confus.

Pendant ce temps, Ayako continua à sodomiser avec entrain au moyen de son gode la jeune fille aux cheveux verts qui lui étaient offerte.

- Écoute-toi couiner ! Gloussa Ayako d'un ton triomphant. Non mais quelle nympho ! Regarde Sakura, elle adore ça encore plus que toi !

Mais alors que la jumelle de Rin levait les yeux, sa soeur prit soudain le dessus et la repoussa dans le lit de Tessia. À moitié dévêtue, son chemisier disparu et son soutien-gorge remonté au-dessus de sa poitrine, Rin se pencha sur Sakura  dont la tenue ne valait guère mieux et l'embrassa à pleine bouche, gémissant comme un animal, à quatre pattes au-dessus de sa jumelle, la croupe relevée et sa culotte dégoulinante de cyprine coulant au goutte-à-goutte juste devant le nez de Dextra.

Ayako continua sa basse besogne sur la jeune fille aux cheveux verts, augmentant le rythme et la profondeur à laquelle elle plongeais la bite de silicone de manière de plus en plus soutenue tandis que les jumelles glissaient chacune une main dans la culotte de l'autre et se doigtaient sans vergogne, complètement inconscientes que Dextra avait l'une des meilleures vues qui soit sur les deux sœurs incestueuses depuis sa position, ne perdant aucun geste, aucun baiser, aucun gémissement.

Et pendant ce temps, au collègue, Tessia continuait son ménage, ignorant tout de ce qu'il se passait dans sa propre chambre à coucher.