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Le temps avait passé depuis la dernière punition de Roxane. Elle avait finit par s'en remettre, doucement, mais sûrement. Elle avait suivit les ordres de son Maître à la lettre, sans jamais faillir, sans jamais rechigner ni même hésiter. Elle savait qu'il le saurait. Et pas question de remettre ça !
Durant tout ce temps, elle n'avait pas chômé, ne s'était pas contenté d'attendre. Comme annoncé par le démon, de nombreux homme se présentèrent à la tour. Et elle s'appliqua à se nourrir, comme son Maitre attendait d'elle. Elle les brisa, s'en servant comme des marionnettes, jouissant de les voir si faibles face à elle alors qu'ils ne s'en rendaient même pas compte. Bien sûr ils étaient nombreux, et cela ne fut pas simple. Loin de là. Mais elle fit du bon boulot et y mit toute sa bonne volonté !
Certains étaient plus amusants que d'autres bien sûr, mais ce n'était pas grave. Seul comptait le fait de se nourrir, de remplir ses tâches quotidienne, et de continuer ainsi inlassablement, obéissante. Elle savait que tôt ou tard, il allait revenir. Elle espérait simplement que ce soit pour de bonnes nouvelles, et non pas pour la punir de nouveau.
Ce jour-là, elle fit comme à son habitude. Elle enduisit son corps entier de la semence, frottant son corps avec. Elle avait apprit à aimer cela. Comme chaque matin, elle entra la semence en elle par chacun de ses orifices, sans se poser de question. Puis elle vida le tout, l'avala. Tout était devenu presque habituel. Une fois ses tâches terminées, elle s'approcha de son armoire pour choisir une tenue. Lorsqu'elle était seule, elle gardait son aspect habituel, celui de Roxane de Vissec, celle qu'elle était avant, jeune et belle.
Elle mit un peu de temps à choisir, essayant plusieurs chose devant son miroir. Elle avait déjà tout porté au moins cent fois. Finalement, elle opta pour une robe comme celle-ci (http://fc08.deviantart.net/fs71/i/2014/348/b/5/dress_by_leejun35-d89t7jn.jpg). Une robe légère, sans trop d'artifice.
Elle avait gardé les piercing, comme convenu également.
Elle s'approcha de la fenêtre qu'elle ouvra. Il faisait beau dehors, mais personne à l'horizon. Il n'y aurait pas d'homme aujourd'hui, bien dommage. Elle s'adossa au rebord, observant les oiseaux, silencieuse. Comme elle aurait aimé pouvoir sortir d'ici et profiter de nouveaux horizons. Cette tour avait presque tout d'une prison finalement. Elle se mit à rêvasser, fixant l'horizon, sans se douter que l'heure de la visite avait sonné...
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IL l'avait observée… il l'avait guetté, il avait cherché le moindre faux pas de sa part, mais il n'y en avait pas eu un seul, en effet, elle avait apparemment retenu la leçon…. Donc il ne voyait pas de raison de ne pas mettre en route la deuxième phase de ses projets la concernant… c'était quelque chose de beaucoup plus complexe, de bien plus impressionnant, de bien plus dangereux en plus… enfin, dangereux pour elle, elle restait éternnelmeent jeune, mais elle pouvait soufrir, il lui en avait apporter une preuve dénuée de toute ambiguitée…
Il ne se matérialisa pas tout de suite… il était déçu… il s'attendait à la voir préparée à sa visite, mais apparemment pas… il se matérialisa dans son dos, enserrant sa taille entre ses bras, l'une de ses mains remontant lui malaxer un sein sans chercher à faire mal, sans tendresse non plus, venant asticoter un peu l'anneau qu'elle y avait… il sourit et doucement lui chuchota à l'oreille…
« Bonsoir ma petite chienne Roxie… aurais-tu oublié ma promesse de revenir ? OU alors peut être caches-tu chaines et collier... »
Il eut un petit sourire avant de finalement se reculer, ne lui lâchant le sein que pour faire choire la robe à ses pieds… il inspira un grand coup, humain l'air avant de lui dire sur un ton amusé…
« Tu aimes désobéir, n'est-ce pas ? Je suis revenu le jour dit… bon, en tout cas tu te nettoyes bien comme je te l'ai ordonné, c'est bien… mais dis moi, je me trompe, maiiiiis tu as pris goût à ces ablutions, non ? Et tu as vu comme ta peau a gagné en douceur ? On dirait celle d'une pucelle bien élevée… comble pour une chienne comme toi n'est-ce pas,n'est-ce pas… je crois que c'st le mot ke plus employé par tous ceux qui veinnent te tirer, non ? Chienne en chaleur ? Quoique le nom de bouffeuse de queue ou de déesse de la pipe m'ont bien fait rire je l'avoue... »
Il lui sourit et lui caressa la joue…
« Va te préparer comme tu sais que je veux que tu le sois, puis tu prendras un bol de semence et tu m'écouteras pendant que tu boiras, ça te fera du bien… tu pense que ce n'est qu'une punition, cette addiction, mais c'est faux… avoir de moi en toi est un escellent moyen de renforcer tes dons de métamorphose… tu l'as senti n'est-ce pas ? Que te métamorphoser était plus facile chez toi qu'avant ? Je me suis dit que tu avais besoin d'aide... »
IL sourit avant de quitter la pièce, s'installer dans ce qui lui servait de salle à mangr, pieds sur la table, croisés, sous l'apparence de Sylvain.
« J'aime cette apparence... »
Il l'attendit.
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* * *
Roxane s'était un peu perdue dans ses pensées. Elle imaginait à quoi pouvait bien ressembler les terres, plus loin, et même au-delà des mers et des forêts. Oui, elle aurait aimé le découvrir. Cet endroit, elle le sentait, n'avait rien à voir avec la terre. Il y vivait de nombreuses créatures incroyables qu'elle avait étudié un peu, au cas ou. Oui, car heureusement, elle possédait quelques livres pour faire passer le temps. Mieux valait en connaître la maximum sur ce qui l'entourait.
Oui aujourd'hui était le jour J. Mais elle s'était égarée, juste un peu.
Lorsqu'elle s'en rendit compte, sentant le démon apparaître derrière elle pour attraper et malaxer son sein au niveau du piercing, elle grimaça un peu. Elle aurait du être plus attentive au temps qui s'était écoulé. Il la salua, chuchotant à son oreilles, s'étonnant de ne pas voir ses chaînes et son colliers. Elle espérait ne pas l'avoir énervé au point qu'il la punisse à nouveau. Elle aimait le contact sur son sein cependant, et sentit soudain sa robe glisser jusqu'à tomber au sol, la laissant nue. Elle avait l'habitude et n'en rougit pas.
- Excusez-moi, Maître... je ne vous attendait pas si tôt.
Il huma l'air. Nul doute qu'il s’aperçut immédiatement qu'elle avait bien obéit. Il avait du le voir durant tout ce temps. Elle ne dit rien non plus lorsqu'elle entendit toutes les manières dont on la nommait. Ça ne la blessait pas, au contraire, cela prouvait qu'elle était douée et faisait bien son travail. C'était tout ce qui importait, et elle s'était bien amusé finalement. Le démon lui caressa la joue, et elle ferma doucement les yeux, comme pour profiter de ce geste, presque tendre. Il lui demanda de se préparer comme elle se devait, de prendre un bol de sa semence et de le boire pendant qu'elle l'écouterait. Il avait apparemment des choses à lui dire.
Elle le salua gracieusement, comme il sied à un esclave, puis alla se préparer, attachant ses chaînes à ses seins, son nombril et son sexe, puis attachant son collier de cuir à son cou. Son Maître avait raison. Depuis qu'elle se nourrissait de son sperme, ses talents s'étaient améliorés. Mais elle ignorait encore comment bien s'en servir. Comment explorer ses limites. Comme le démon se trouvait à la salle à manger, elle le rejoignit, docile. Elle s’exécuta, buvant alors une gorgée du liquide visqueux et blanc. Il avait reprit l'apparence de Sylvain, et elle sentit son cœur se serrer. Mais elle se tue, comme d'habitude. Elle se croyait retourné des années et des années en arrière, alors qu'elle s'occupait à faire plaisir à son mari pour éviter sa colère le soir venu.
- Vous vouliez me parler, Maître ?
Elle but une nouvelle gorgée, impatiente de savoir ce qu'il pouvait bien lui vouloir.
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Rahemar regarda la jeune femme qui venait s'installer de l'autre côté de la table pour boire son bol de foutre bien chaud… il lui sourit et la regarda de là où elle était…. Non, elle n'était pas prête à l'écouter… il sourit, 'leoil mauvais avant de lui signifier un non d'un simple geste du doigt… il lui indiqua le sol, juste à côté de lui et lui fit un grand sourire avant de finalement contempler un peu les leux, silencieux, ne disant rien tant qu'elle nse s'exacutait pas… qu'elle lève les yeux pour le voir, qu'elle soit à sa juste place : à ses pieds… il eut un léger sourire avant finalement attendre qu'elle soit en place pour parler…
« Je ne me répèterai pas, mais j'ai décidé de faire confiance à ta pénitence et te confier un rôle plus important dans mes affaires... »
Il regarda la jeune femme et lui sourit avant de finalement se décider à faire davantagede doucement, il commença à lui tresser les cheveux pendant qu'il parlait.
« Je ne parle pas te fournir plus de clienst, je parle de t'emener jouer de tes talents sur des domaines bien plus importants, ur des sujets plus graves avec des conséquences plus terribles et plus puissantes que tu ne peux les imaginer… je sais que tu m'as toujours pris pour un démon, mais je ne le suis pas, je suis un dieu… et à partir de cet instant où je t'ai choisie et protégée tu es devenue une de mes servantes, une de mes prêtresses… c'est ton statut, tu es une prétresse… être une chienne est ta nature. Voilà pour la différence entre les deux. »
Il sourit et tira sur la tresse, jouant avec, la laissant se renverser le bol dessus quand il tirait sur la tresse alors qu'elle essayait de boire… il s'amusait en jouant ainsi, regardant le sperme coulant sur son menton, sur sa poitrine…
« Tu sais, je pense qu'avec ton rôle de prêtresse tu devrais être plus utile que pour simplement te faie troncher dans une tour… tu vas m'accompagner… j'ai eu une pière qu'il me tarde d'exaucer… un royaume à renverser… serais-tu tentée par une telle aventure ? J'ai un rôle taillé pour toi si tu es rprêtes à en montrer la carrure… alors ? »
Il sourit, attendant son verdict.
« Tu peux refuser, mais je doute que tu manques une occasion d'essayer tes dons comme je te le propose, ma petite chienne... »
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Roxane n'eut pas le droit à une explication immédiatement. Elle s'en était un peu doutée et attendait les directives de son Maître. Elles ne tardèrent pas en fait, alors qu'il lui faisait signe de venir près de lui. La jeune femme obéit donc, d'approchant de lui pour s'agenouiller à ses pieds. Une fois fait, il prit la parole. Elle l'écoutait sagement, buvant encore un peu de sperme comme il lui plaisait. Il voulait lui confier... Un rôle. Un rôle, plus important que celui qu'elle avait dans cette tour. Voilà qui titilla la curiosité de Roxane. Elle ne s'était encore jamais posé la question de savoir si elle pouvait être utile à autre chose que cela. Elle attendait donc d'avoir davantage d'explications.
Elle sentit ses mains s'approcher de ses cheveux et commencer à les nouer en une tresse. Elle laissa faire, le regardant avec respect. Il continua. Çà avait l'air très sérieux. Il s'agissait d'un travail beaucoup plus important, un travail dont les conséquences pourraient terribles. Mais, le plus étonnant, c'est qu'il avoua ne pas être un démon, mais un Dieu. Un Dieu ? La jeune femme fut surprise. Elle ne s'était pas imaginé les Dieux ainsi... Sa famille ayant été très croyante, les Dieux que l'on connaissait n'avaient rien à voir avec Rahemar, loin de là. Mais après tout, l'homme était très ignorant à ce sujet. Et elle-même ne pouvait l'être que d'avantage dans ce monde inconnu. Même le statut qu'il semblait lui donner l'intrigua. Une... Prêtresse ? N'était-ce pas ces femmes qui vénéraient un Dieu, célébraient son culte, gardien et guides des rituels ?
Elle ne voyait pas trop en quoi ça la concernait. Peut-être que ce n'était pas seulement ça, être Prêtresse. Soudain, alors qu'elle prenait une nouvelle gorgée de la semence, il tira sur sa tresse, laissant alors la majeure partie de sa gorgée se déverser sur son menton et sa poitrine. Elle savait qu'il avait fait exprès et ne dit rien, soumise, se contentant de passer sa langue pour recueillir un peu de sperme sur ses lèvres. Il voulait qu'elle l'accompagne, qu'elle se montre plus utile. Elle ne demandait pas mieux, cela l'intéressait. Apparemment, Rahemar avait beaucoup à faire, comme renverser un royaume... Ce n'était pas banal. Il avait raison, la jeune femme ne pouvait pas refuser une offre pareille. Elle leva les yeux vers son Maître, son Dieu, encore recouverte du liquide visqueux et hocha la tête pour répondre :
- Je serais très heureuse de vous servir plus activement, Maitre.
Elle ignorait encore exactement ce qu'elle allait devoir faire, mais elle ferait tout pour satisfaire son Dieu. Absolument tout. Sa dévotion, elle l'avait déjà prouvée à maintes reprises, et encore aujourd'hui. Elle but encore un peu. Oui, elle avait commencé à aimé le goût de la semence de Rahemar.
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Il la regarda se lécher les lèvres et il eut un petit sourire ravi alors qu'elle semblait y avoir pris goût… il lui caressa doucement les cheveux alors qu'elle acceptait… d'un autre côté, pouvait-elle tourner le dos au dieu dans la mesure où elle était son esclave, sa servante, sa chose, sa chienne, sa putain et plein d'autres surnoms plus flatteurs ou beaucoup moins, c'était selon… il sourit en se rappelant de certaines idée qui étaient venues à des visiteurs… il eut un petit sourire et lui tapota doucement la tête de la main, comme un petit animal de compagnie…
« Bon, très bien… alors sache que ta vie ici est finie pour le moment, tu ne reviendras pas pendant au moins un bon bout de temps dans cette tour… tu n'y auras pas ta place… ou du moins, tu n'y auras plus ta place, car c'est une charge à vie que je te confie en te disant de m'accompagner… et j'ai été tendre et laxiste avec toi jusque là… dehors, c'est autre chose… une putain de ton envergure peut y avoir une place de choix... »
Il eut un petit sourire, il eut une petite lueur au fond du regard alors que doucement, il la saisissait par le collier pour l'emmener vers sa chambre… désormais, un cadeau s'y trouvait, grand d'un bon mètre de haut et de large, et de sans doute un mètre vingt de long… à l'intérieur se dissimulat une jolie cage métallique et dedans un autre paquet, un paquet fait avec el même papier qui contenait une magnifique laisse aux reflets d'agent.
« Allez, ouvre ma petite chienne… ensuite répare tes affaires, rien que tu ne puisse porter… mets le sprme dans une outre histoire que tu n'en manques pas, quoique non, tu le pomperas à la source, ce n'est pas parce que je serai avec toi que je vais te priver de tes ablutions… ma belle… d'ailleurs, tu sembles aimer maintenant ce sperme… tu y es accroc n'est-ce pas ? C'est un petit effet bonus… c'est maintenant presque aussi important de prendre tes doses que de satisfaire ta faim... »
Il eut un claquement de langue.
« Ah, oui, d'ailleurs, ta faim… je veux que tu puisses penser avec autre chose que ton cul, aussi une fois sortie, elle va être amenuisée, même si elle te dévorera toujours les entrailles, tu pourras la satisfaire plus simplement… ou du moins de manière plus espacée… ça te permettra de fire davantage que de te faire remplir le vagin... »
Il sourit et rajouta :
« Nous allons loin, plusieurs semaines de voyage… et je t'expliquerait ton rôle en route... »
Quand elle aurait prête avec ses affaires, ils partiraient...
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Que voulait donc lui proposer exactement son Maitre ? Voilà ce que se demandait la jeune femme, pensive. Elle avait beau faire tourner ses méninges, elle ne voyait pas bien en quoi elle pourrait lui servir, autrement que comme elle l'avait fait jusqu'à aujourd'hui. Mais au moins, sa curiosité était piquée au vif. Rahemar caressa ses cheveux, la félicitant de sa fidélité, lui annonçant qu'elle ne reviendrait certainement plus dans cette tour, dans la mesure ou le "travail" qui lui proposerait serait un contrat à vie. Intéressant. La jeune femme ne demandait pas mieux que de quitter cet endroit ! Elle y était depuis si longtemps, maintenant, qu'elle s'en était lassé. Elle avait toujours rêvé de voyager et de découvrir ce Monde. Elle n'allait donc pas refuser une telle proposition ! En revanche, elle ne pensait pas que "tendre" et "laxiste" soient les mots appropriés. Elle se souvenait encore de ce qu'elle avait vécu il y a quelques jours. Mais peu importe. Finalement, il agrippa son collier et l'entraîna dans l'autre pièce. Ce qu'elle y découvrir la laissa sans voix. Une cage ? Elle l'observa un instant, la bouche bée. Ça ne la choquait pas vraiment, en fait, elle était surprise de ce présent. Elle s'en approcha, et comme à la demande de son Maitre, ouvrit le paquet pour y découvrir une laisse aux reflets d'argent. Elle devait admettre qu'elle était belle. Elle la fit glisser doucement entre ses mains, l'observant un peu, avant de se tourner de nouveau vers le Dieu pour l'écouter.Roxane sentait encore le goût âtre du sperme dans sa bouche. C'était vrai... elle avait fini par l'apprécier. Et pouvoir s'en délecter parfois à la source était une idée qui lui plaisait. Elle hocha donc la tête.
- Merci, Maître. Je suis honorée.
Sa faim allait un peu s'atténuer ? C'était une bonne nouvelle en soi. Il est vrai que c'était parfois compliqué à gérer. Elle en était donc heureuse et sourit doucement. Le voyage allait être long, il fallait qu'elle se prépare rapidement.Roxane se leva et attrapa quelques rares affaires. Elle ne possédait pas grand chose pour tout dire, et cela fut rapide. Une fois certaine d'avoir ce qu'il fallait, elle rangea le tout dans une besace et revint prêt de son Maitre.
- Je suis prête.
Elle était vraiment excitée à l'idée de partir et de savoir, enfin, quel allait être son nouveau rôle. !
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Il avait attisé sa curiosité, tant mieux, c'était le but ! Oh, il allait la faire un rien languir, histoire qu''il rit un peu pendant qu'elle se demande ce à quoi il allait la confronter… car même si elle était une petite chienne bien obéissante, il ne lui avait jamais vraiment fait de cadeau qui ne soit pas empoisonné, alors forcément, il aurait compris que l'angoisse monte un peu. Enfin… la perspective de quitter ces lieux était sans doute trop intéressante pour penser à un possible revers de la médaille… il eut un petit sourire et lui caressa les cheveux avec beaucoup de douceur, jouant un peu avec sa tresse alors qu'elle ouvrait ses cadeaux.
Oui, la cage pouvait la laisser perplexe, pas choquer, non, il lui en avait trop fait baver pour qu'elle soit choquée par si peu. Il lui sourit et la regarda, un rien amusé avant de finalement la laisser découvrir la laisse. Oui, il n'avait pas lésiné sur la beauté de la laisse. Elle était longue, très longue, comme s'il cherchait à lui laisser un peu de liberté de mouvements plus rande qu'avec une courte laisse traditionnelle. Il lui sourit et lui caressa un court instant les flancs alors avant de la laisser aller chercher ses affaires. De toute manière, elle avait peu de biens ici, alors cela ne prendrait pas très longtemps. Il sourit et regarda la jeune femme avant de lui sourire et il lui prit sa besace, la mit dans la cage, ne gardant que la laisse alors qu la cage disparaissait.
« Parfait, si tu es prête, ne tardons pas plus ! »
Il eut un petit sourire avant de lui attacher sa laisse au collier, sur le petit anneau qui se trouvait sur sa nuque, puis il glissa la laisse entre les jambes de la jeune femme, laissant la corde se caler contre ses lèvres intimes avant de finalement attacher la poignée de la laisse sur le coller, sur sa gorge. Il ne lui avait pas encore fait ce coup là. Il s'agissait d'un coup très simple à réussir. Et elle sentirait lentement le frottement de son intimité sur la corde qui commencerait à l'irriter, puis la bruler. Mais elle ne l'enlèverait pas. Pas avant qu'il ne le lui permette, n'est-ce pas ?
« Bon, allez, on sort. »
Il la prit par le bras et l'emmena dehors alors qu'au fur et à mesure la tour disparaissait derrière eux, et à peine étaient-ils sortis qu'elle avait l'air de n'avoir jamais existé. Il venait de mettre fin à un pan de sa vie de sa protégée. Elle avait un potentiel nouvel avenir qui s'annonçait… Il la lâcha qu'elle fasse un peu comme elle voulait, si elle souhaitait observer. Il lui sourit et regarda la jeune femme avant de finalement lui dire.
« Je ne vais pas marcher avec toi, tu as deux semaines de marche devant toi et je ne tolérerai aucun retard. Il faudra que tu y sois dans deux semaines, tu ne satisferas pas ta faim d'ici là. Pour la route, c'est suimple, il te faut prendre vers l'est et longer la rive du fleuve jusqu'à ce que tu atteignes la mer. Je t'y trouverais là bas. Je vais te donner uelques indicatsions et quelques consignes. D'abord, tu ne devras jamais utiliser tes dons jusque là, ensuite, tu ne devras parler à personne sauf nécessité absolue, et enfin, quand tu arriveras là bas, il y aura la cage et tes affaires tu t'enfermeras dans la cage et tu m'attendras. Tu n'enlèveras la laisse que là bas. Pour la tenue, tiens, voilà de quoi faire ! »
Il laissa sa main glisser sur son ventre depuis sa gorge, jusqu'à son pubis et elle se retrouva vêtue d'une sorte de robe de voyage, blanche, presque diaphane, comme si en observant bien on pouvait découvrir son corps nu. Il y avait juste assez d'opacité pour qu'on ne distingue rien nettement de prime abord.
« Je vais te faire entrer dans le gynécée d'un empereur… et tu vas me servir d'espionne, d'indic, et à court terme, tu causeras la déchéance dudit empereur… voilà ton rôle… et bien sur, je vai s t'y aider… mais comme qtu n'es qu'une chienne perpétuellement en chaleur, je me suis dit que tu aimerais ce rôle… dans deux seaines, tu vas tomber sur un marchand d'esclaves -moi - qui va te récupérer, te charger dans une carriole, dans ta cage, parmi d'autres et te revendra au gynécée… tu en sauras plus plus tard. Bonne route ! »
Il disparut dans un ricanement.
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Roxanne était plutôt satisfaite des cadeaux qu'elle avait reçu. Bien sûr, cela n'avait rien de banal, ni de très attrayant à premier vue. En général les femmes aiment les bisous, les fleurs ou autre babioles. Mais la jeune femme n'en aurait eu aucune utilité. Une cage et une laisse en revanche, servaient à satisfaire son Maître, et c'est tout ce qui lui importait.
Ils étaient enfin prêts à partir. Cependant, Rahemar décida tout d'abord de lui installer sa laisse, et d'une façon qui surpris à peine la jeune femme. Ce n'était pas très agréable, ni confortable, mais bien mal lui aurait prit de rouspéter. Elle resta donc silencieuse, soumise, et hocha la tête lorsqu'il annonça leur sortie.
Roxane était ravie de prendre l'air. Elle était déjà venue aux pieds de sa tour, mais ne s'était jamais éloignée de celle-ci. Alors, au fur et à mesure qu'ils avançaient, elle observait les arbres, le ciel, les oiseaux... Et quand il lui vint l'idée de lancer un dernier regard à sa tour, celle-ci disparaissait comme par magie, pour finir par ne plus exister. Comme si elle n'avait jamais été là. Ce n'était pas une mauvaise chose, et la belle blonde n'était pas nostalgique. Elle était heureuse de quitter définitivement cet endroit.
La laisse passée entre les lèvres de son intimité lui faisaient une drôle d’impression. Ce n'était ni agréable, ni désagréable. Mais au bout d'un moment, elle était certaine d'en arriver à maudire cet objet. C'est alors que son Maître lui annonça qu'ils ne feraient pas route ensemble, mais qu'ils se retrouveraient à un endroit précis. La jeune femme écoute ses indications et ses conditions sans l'interrompre. Pas de dons, pas de discussion en route et se contenter d'arriver là-bas dans les deux semaines. Roxane hocha la tête. Elle était un peu anxieuse, elle ne connaissait pas ce monde et le voyage ne serait pas de tout repos. Rahemar lui offrit tout de même une tenue. Ce n'est qu'ensuite qu'il lui parla de ce qu'il avait entreprit pour elle. Roxanne fut surprise. Voilà qui n'était pas banal. A la fin des explications, la demoiselle hocha la tête.
- Je vous obéirai. Je serais là dans deux semaines.
Puis il disparut. Le cœur de la jeune femme s'emballa un peu. Elle était désormais seule... sans la sécurité de sa tour. Bon, elle ne devait pas perdre de temps. Après une grande inspiration, elle se dirigea vers l'Est.
* * *
Le voyage ne fut pas sans péripétie. Plusieurs fois, elle du fuir une bête affamée ou des pillards avides de ses courbes et de ses effets. C'était sans doute un miracle qu'elle y soit parvenue, d'ailleurs. Peut-être qu'une bonne étoile veillait sur elle. La jeune femme était rusée, et cela l'aida beaucoup. Elle avait beau être épuisée par cette aventure, elle ne lambinait pas et avançait toujours un peu plus chaque jour. N'ayant pas assez de provisions sur elle, elle avait du cueillir des fruits et des baies par-ci par-là, ou voler un morceau de viande lorsqu'elle croisait des voyageurs inattentifs ou endormis.
Enfin, après deux semaines de marches exactement, elle parvint à destination. Soulagée, elle chercha la cage du regard et finit par la localier. Elle se rappela les ordres de son Maître, et s'enferma à l'intérieur, retirant enfin sa laisse. Elle grimaça. L'objet avait blessé son intimité, et c'était plutôt douloureux. Elle en avait d'ailleurs souffert durant tout le trajet !
Voilà, elle y était. Elle soupira et restas assise, attendant de voir arriver le fameux esclavagiste qui était censé être son Maître. Pourvu qu'il ne tarde pas trop...
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La laisser seule avait un autre objectif, dissimulé celui-ci : celui de faire d'elle davantage une dégourdie qu'avant…. Tout vous tombe tout rti dans le bec dans cette tour. Dans la nature, il n'en allait pas ainsi… il fallait qu'elle se montre dégourdie et débrouillarde. Elle n'était plus la putain qui attendait de se faire déboîter à coups de reins, elle était une graine de discorde dans le petit monde du seigneur du mensonge. Il regarda la jeune femme qui partit dans la bonne direction. Il était ravi de savoir que la jeune femme prenait cette mission à cœur. IL la laissa errer, mettant des embuches sur sa voie, protégeant aussi sa servante quand elle était à deux doigts d'avoir des ennuis… Il sourit et se prépara à aller la chercher.
Ce fut une caravane qui entra sur la plage, composée d'une soixantaine de gardes, presque le double de prisonniers , et Rahemar la dirigeait. Il avait pris une apparence peu amène cemlle d'un homme à l’embonpoint fort important, et au visage aussi rond que ses joues étaient flasques. Il avait une barbe de trois jours, mais cela lui donnait un aspect mal rasée…. Il se déplaçait avec une longue cravache à la main. Et de l'autre, il s'appuyait sur un nerf de bœuf comme une canne.
« Bon, elle est là, parfait. Chargez la avec les autres, on repart tout de suite. »
Il serait difficile pour elle de ne pas noter le timbre et le ton de la voix, qu'elle commençait à connaître… Il regarda la jeune femme et fit un signe de de tête mais aucun sourire avant de se retourner et aller s'installer dans un chariot aux airs luxueux. Deux hommes prirent la cage et la mirent avec d'autres avant de finalement rabattre une bache, coupant toute forme de bruit ou de lumière. Comment le temps passait, comment le savoir ? Il eut un sourire et la laissa ainsi. Ce ne fut que le lendemain soir qu'il se décida à la convoquer. On vint se saisir de sa cage pour la souleer et la bringuebaler sans aucune douceur ni aucune forme de délicatesse. ON la fit entrer sous le pavillon blanc. On déposa la cage sur un tapis présent et on s'éloigna les laissant seuls.
« Je suis ravi que tu aies fait diligence, ma petit chienne. »
Il lui ouvrit la cage et lui mit une gamelle contenant une sorte de tambouille, pour se repas et il lui rattacha la laisse, sans lui passer celle-ci entre les cuisses, mais il tira dessus pour q'elle s'avance et qu'il puisse l'examiner. Il lui sourt et lui glissa un doigt le long des lèvres intime, observant la légère boursouflure des brulures causées. Il les caressa doucement avant de finalement lui mettre une petite fessée.
« Comment est-ce que ça s'est passé ? As-tu bien voyagé ? Le monde t'a plu ? Et dis-moi, qu'en est-il de ta faim ? Et ton besoin de mon foutre ? »
Il lui tapota la tête.
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Roxane n'eut pas longtemps à patienter. En effet, bientôt, elle entendit un bruit. Tendant l'oreille, elle finit par déduire qu'il s'agissait d'un groupe d'homme, nombreux. S'agissait-il de son Maître, comme convenu ? Elle l'espérait. Car si une armée de soldats tombait sur elle, elle n'était pas certaine de pouvoir réagir comme il fallait. Un peu tendue, elle attendit de les voir arriver. Elle réalisa sans problème qu'il s'agissait bien là d'esclavagistes. Sereine, elle les regarda s'avancer, cherchant Rahemar des yeux, ou plutôt l'homme dont il avait pris l'apparence. Elle finit par le reconnaître. Il ne pouvait s'agir que de cet homme imposant, avec la cravache qui marchait devant. Drôle d'air, mais en vérité, ça n'avait pas d'importance. Elle était bien heureuse d'avoir réussi. Ce voyage n'avait pas été de tout repos et le fait que cela soit terminé n'était pas pour lui déplaire finalement. Son Maitre donna l'ordre à ses hommes de récupérer la cage. Ceux-ci s'exécutèrent, la portant jusque dans une carriole avant de refermer une bâche, la plongeant dans le noir.
La jeune femme soupira. Elle fut un peu secouée durant la route et ce n'était pas confortable du tout ! Les jambes repliées contre sa poitrine, elle ne rêvait que d'un bon bain, d'un bon repas et d'une bonne nuit de sommeil. Pour l'heure, elle devrait prendre son mal en patience. Elle réussit à peine à fermer l'œil. Le temps lui semblait long, interminable, si bien qu'elle en vînt parfois à se demander si le Dieu ne l'avait pas abandonnée comme une vieille chaussette. Heureusement, ce n'était pas le cas. Des hommes finirent par réapparaître, agrippant la cage pour la déplacer, et elle avec. Roxane grommela, maudissant intérieurement ces maladroits de la secouer ainsi sans ménagement. Puis, elle fut déposée dans une pièce, face à Rahemar.
Elle était bien heureuse de le voir ! S'il était ravi, il en était de même pour elle. Elle était épuisée. Son Maître finit par ouvrir la cage pour lui servir une gamelle dans laquelle se trouvait une mixture étrange, puis lui rattacha la laisse pour l'attirer vers lui. Après un sourire, elle put sentir ses doigts caresser son intimité mal en point. Elle grimaça et gémit doucement de douleur. Elle ne réagit pas lorsqu'il la fessa, se tentant de le regarder en attendant de savoir ce qu'il attendait d'elle désormais. Il lui demanda comment son voyage s'était passé et si elle avait faim.
- J'ai parfois craint d'échouer Maître. Mais... ce monde est malgré tout fascinant. Merci de m'avoir permis de l'observer. Maintenant, je dois avouer... que j'ai faim.
Elle rougit un peu et se mordilla la lèvre inférieure, baissant un peu le regard. Oui, elle avait souvent eu l'envie de retrouver le goût de la semence, un peu comme si elle en était dépendante. Elle l'était en réalité. Cependant, elle avait faim au sens strict du terme, elle avait besoin de nourriture. Il ne s'agissait pas d'appétit sexuel. Du moins, elle ne le ressentait pas aussi vivement qu'à son habitude.
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Il voyait autant son ravissement à le savoir ici que la légère douleur du passage de ses doigts sur son intimité. En même temps, ce contact n'avait jamais été fait pour être vraiment agréable… il savait ce qu'il lui avait fait subir avec la laisse, aussi, il n'était pas étonnant de voir cette réaction dans le léger gémissement de douleur. Il sourit à cet auguste son, qu'il affectionnait tant entre ses lèvres. Il eut un petit sourire avant de finalement la lâcher.
Il l'avait bombardée de questions, il était tout naturel de devoir se montrer un peu patient pour qu'elle puisse donner ses réponse à toutes ces questions, bien qu'aucune n'ai vraiment d'importance dans le fond. Il sourit et regarda la jeune femme avant de finalement l'écouter. Elle fut laconique. Très bien ! Ça lui convenait. Il sourit et lui indiqua sa gamelle de la main. Il sourit et lui lança.
« Pour la faim bassement physique, tu as une gamelle, il te suffit de manger comme une bonne chienne. C'est de la tambouille. Mais attends, ce sera plus simple si je fais ça ! »
Il lui saisit les cheveux pour les attacher temporairement en un chignon serré, histoire qu'elle ne trempe pas ses cheveux dans sa gamelle. Il regarda la jeune femme avant de lui flatter les flancs de la poignée de la laisse avant de la lâcher, qu'elle puisse manger tranquillement avant de finalement lui lancer sur un ton aimable et affable, bien que l'on pouvait sentir dans le fond de sa voix une forme de froideur, mais ça, elle s'y attendait, non ?
« Bien, bien, comme ça tu pourras manger sans t'en mettre plein les cheveux. Ensuite, je veux que tu laves mon corps., avec ces bourrelets et ces replis de peau, j'ai la flemme de le faire… tu pourras partager mon bain et mon eau. Considère ça comme un cadeau, car d'ici notre arrivée tu seras traitée comme une esclave, à une petite différence prêt, tu seras traitée comme ma favorite. On te laissera venir dans ma tente lorsque l'on monte le camp et y dormir. Tu dormiras contre moi la nuit, même si tu seras attachée. »
Il sourit et posa sa main sur ses reins avant de la laisser glisser sur son abdomen qu'il caressa doucement.
« La douleur de l'absence de sexe ne te fais pas trop mal ? J'ai peut être mal dosé... »
Il lui sourit avant de laisser tomber les vêtements richement brodés au sol et les laisser à côté d'elle, avant de finalement se diriger de l'autre côté d'une porte de toile.
« Viens me laver quand tu auras fini de manger. Je vais me détendre dans l'eau chaude en t'attendant. »
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Malgré les difficultés rencontrées lors de son voyage, Roxanne était en effet satisfaite d'avoir pu découvrir ce monde. A part certaines végétations, certains animaux et les humains, rien n'y était semblable à la terre. Les montres qui y rodaient étaient impressionnants et extrêmement dangereux ! De quoi perdre la tête, ou avoir cette impression de faire partit d'un roman fantastique. Heureusement pour elle, elle avait survécu à tout cela. Elle s'était surprise elle-même, bien qu'elle soupçonnait son Maître d'être parfois intervenu. Mais elle ne le saurait sans doute jamais, car elle n'osa poser la question.
Rahemar lui désigna la gamelle, son repas. Normalement, elle aurait grimacé face à cette pitance, mais elle n'était pas en mesure de faire la fine bouche. Elle avait faim et aurait mangé n'importe quoi. Anticipant la chose, le Dieu attacha les cheveux blonds de la belle pour qu'elle ne les salisse pas. Roxane hocha la tête pour le remercier.
Rahemar lui indiqua ce qu'il attendait d'elle ensuite. Qu'elle le lave en partageant son bain, et qu'elle pourrait à l'avenir également partager sa chambre et sa couche en tant qu'esclave favorite. Celui lui convenait. Dormir parmi les autres esclaves l'aurait dérangée. Malgré leur détresse, ils n'avaient pas l'air tous d'être des enfants de cœur. Les autres esclavagistes non plus d'ailleurs...
- Merci, Maître.
Roxane s'installa alors à quatre pattes et se pencha sur la gamelle pour laper ce qui s'y trouvait, à la manière d'une chienne. Ce n'était pas excellent, mais au moins, cela remplissait son estomac. Rahemar lui demanda alors si l'absence de sexe ne la faisait pas trop souffrir. La demoiselle cessa de manger pour répondre d'une voix timide :
- C'est... supportable, Maître.
Pour le moment. Elle était consciente que l'envie de sexe grimpait un peu plus à chaque minute. Le Dieu se débarrassa de ses vêtements et se dirigea vers un autre coin de la pièce, derrière une toile, pour aller prendre son bain. Il lui indiqua, au passage, qu'elle devrait le rejoindre pour le laver une fois son repas finit.
La jeune femme retourna donc à son repas, continuant de laper la mixture. Elle ne tarda pas à le terminer. Au moins, son estomac ne criait plus famine. Elle essuya délicatement sa bouche, qui se releva pour rejoindre son Maître. Un bain ne lui ferait sans doute pas de mal non plus !
Elle laissa glisser ses vêtements sales au sol, se retrouvant entièrement nue, et se glissa à son tour dans l'eau, derrière son Maître. Elle frissonna au contact de cette délicieuse chaleur et se sentit tout de suite mieux, même si à vrai dire, la chaleur de l'eau au contact de son intimité blessée la fit grimacer une seconde.
Roxane tendit la main vers une grosse éponge douce qu'elle trempa dans l'eau, puis recouvrit de savon. Elle s'attela alors à nettoyer son Maître, commençant par le dos. Son aspect, inhabituel, ne la dérangeait pas pour l'heure. Avec des gestes doux, presque sensuels, elle nettoyait le corps en silence, appréciant le bruit de l'eau et ses caresses sur sa peau.
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C'était supportable ? Quinze jours ? Tsss, il avait du bien mal doser… il avait diminué la faim, il ne l'avait pas éliminée, alors en 15 jours, normalement, elle aurait du enfler suffisamment pour qu'elle réclame. Dans son bain, il repensait à cela… en s'immergeant autant que possible. Il sourit avant de finalement l'entendre approcher, l'entendre le rejoindre, entendre le bruissement du tissu qui glisse le long de son corps, l'offrant à la vue de toute personne qui serait passée par là. Il ne se tourna pas vers elle, l'entendant entrer dans l'eau, la sentant un peu contre lui avant de sentir la jeune femme se mettre à sa tache.
Il regarda la jeune femme par dessus son épaule alors qu'elle se mettait au travail. Elle était douce et attentionnée, et en même temps, elle avait un rien de luxure- ou du moins, il avait l'impression - dans ses gestes. Il sourit et se laissa faire avant de finalement prendre la parole, sur ce ton douceâtre qu'il affectionnait tant que cela avec elle, ce ton doux mais en même temps froid avec un léger fond de cruauté alors qu'il parlait
« Merci d'être venue ainsi, mais dis moi, qui t'a permis de rentrer dans l'eau ? Qui te dis que je ne voulais pas que je me laves d'abord avant de te laisser l'eau que j'ai utilisé ? Enfin bon, laisse tombé, considère que la brulure de la corde sur tes lèvres intimes sera ta punition. Ça me semble justifié, non ? »
Il lui sourit et lui prit doucement la main pour la faire glisser entre deux bourrelets pour qu'elle pense à nettoyer ici aussi, c'était un contact peu ragoutant, mais elle avait sans doute vu pire grâce à lui, déjà, non ? Il se retourna autant que possible pour la saisir par la taille et observer son torse, et son ventre. Il ne lui avait pas retiré les chaînettes de ses piercings, aussi, elle les avait gardé durant tout ce temps…
« Je trouve ces chaînes trop simples, il faut que je trouve mieux comme décoration… peut être un motif fait de petites chaînes entremêlées… tu as une idée ? Qui sait tu pourrais avoir un avis constructif en me lavant... »
Il lui sourit et lui tapota la joue avant de lui laisser la possibilité de prendre le nettoyage du dos de son maitre adoré. Il eut un léger sourire avant de finalement lui lancer, par dessus son épaule, à la jeune femme une consigne pour la suite.
« Tout ce qui est immergé, tu le nettoieras à la langue… en apnée. Je te conseille de te préparer à retenir ton souffle. »
Il eut un petit sourire amusé… un petit défi…
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Roxane n'avait pas vraiment songé a attendre que son Maître lui dise ou non de rentrer. Ce n'était pas à mal ou par égoïsme, simplement parce qu'il lui serait plus simple de le laver ainsi, et parce qu'il qui avait proposé de partager son eau à un moment donné. Peu importe, c'était fait, et dans le fond, Rahemar ne décida pas de la punir pour cela. La demoiselle se sentit tout de même rougir de confusion. Mais il l'avait remerciée tout de même, non ?
Elle continua sa tâche, nettoyant le dos de l'homme dont il avait l'apparence, devant ensuite passer aux bourrelets comme il le lui fit comprendre. C'est vrai que ça n'avait rien de très agréable, mais elle ne rechigna pas. Car en effet, elle avait vu bien pire après tout.
Soudain, il la tourna pour observer sa taille et les chaînes qu'il y avait placé avec les piercings. Il semblait ne pas les trouver à son goût, et alla même jusqu'à lui demander d'y réfléchir. Ce qu'elle fit. Elle n'était pas une experte, mais enfin, elle finit par ouvrir la bouche.
- Si vous me permettez, Maître... quelque chose comme ceci peut-être ?
Elle se servit de ses pouvoirs. Ça faisait bien longtemps d'ailleurs. Ça ne lui prit qu'une seconde avant que la chaîne ne change. http://img15.hostingpics.net/pics/264269Sanstitre24.png.
Puis son Maître eu une idée. Une idée qui ne manqua pas d'étonner et de rendre la jolie blonde nerveuse. Le laver avec sa langue en apnée ? Elle n'était même pas sûre de pouvoir faire un truc pareil. Bien, elle pouvait toujours tenter le coup.
Elle se débrouilla pour se retrouver face à lui. Elle inspira un bon bol d'air, puis commença. Elle commença par les pieds, même si sincèrement, ce n'était pas très ragoutant non plus. Elle lécha chaque orteil de chaque pied, puis remonta. Bien entendu, elle respirait entre temps. Elle avait du souple, mais pas au point de tenir autant de temps.
Puis, elle passa au sexe, un passage obligé. Et elle devait bien avouer qu'à force de lécher ainsi, sa faim était devenue de plus en plus grande.
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Rahemar attendait d'elle qu'elle se montre dévouée, attentionnée, efficace. En bref, qu'elle soit la parfaiote servante dévouée, et pour le moment, c'était plutôt bon ! Il sourit et regarda la jeune femme pour lui sourire, oui, pour une fois, au lieu de la rabaisser il l’encourageait à continuer de l asorte. En même temps, il ne pouvait pas prévoir quelle tâche aurait à accomplir sa petite chienne une fois livrée à elle-même dans ce gynécée, alors autant qu'elle montre ce qu'elle pouvait faire… il lui souriait alors qu'elle frotait entre les bourrelets de graisse avec attention, et sans montrer trop de répugnance, moins sans doute que pour d'utres tâches qu'elle avait eu à subir. Il lui caressa les cheveux pendant qu'elle el faisait, les lui détachant.
Elle lui montra alors son idée, quand il l'autorisa à le faire. Il opina du chef, sans rien dire, sans réelle idée, il se dit que cela pourrait très bien convenir. Il n'avait donc aucune raison de ne pas approuver… et en touchant la chaînette, il se rendit compte qu'elle était plus lourde que la précédente. Cela devait lui faire tout drôle…. Enfin, il fallait qu'elle s'y habitue car elle semblait lui aller très bien...
« Cette chaînette sera parfaite ! »
Il lui sourit avant de finalement lui caresser la joue et la regarder prendre son premier souffle pour plonger en apnée, oui, ce n'était pas simple, en effet, il était sur que ce serait un bon moyen pour elle de faire quelque chose de nouveau…. Il la laissa donc faire, savourant cette nouvelle forme de toilette. Le but de cette manière de faire était aussi une manière pour elle de tester de nouveaux préliminaires, qu'elle se montre lubrique sans chercher pour autant à atteindre directement la source de son envie. Il lui sourit et lui caressa la joue alors qu'elle plongeait pour lécher bien comme il faut les différentes parties de son corps. Il souriait en la voyant faire, reprenant son souffle régulièrement. Il lui sourit et la laissa faire, savourant tant l'eau chaude que la langue de sa protégée.
Quand elle arriva à son membre, il était là pour la tenter et quand elle s'y attaqua, il la saisit par les cheveux et lui émergea la tête, la tenant ainsi. Lui laissant le temps de se reprendre.
« Tu te débrouilles plutôt bien je trouve, mais ta récompense n'est pas pour tout de suite…. Voilà ce que je veux que tu fasses pour la mériter… je veux que tu fasses comme il faut ton travail partout ailleurs, même si cela signifier me lécher le fion. Compris ? Et si tu veux que je t'autorise à prélever ta dose de semence, il va falloir que tu la mérite… alors je veux que tu prennes les savons et que tu en loge un dans chacun de tes deux orifices du premier coup… il te faudra sans doute forcer, et les garder en toi sans que l'on d'eux ne sorte jusqu'à la fin du nettoyage. Ensuite seulement je te ferai l'honneur de me laisser sucer par toi. Compris ma petite chienne ? »
Il lui lâcha les cheveux et lui caressa la joue avant de lui dire, avec amusement.
« Et je ne souhaites pas être sucé dans mon bain… je préfère faire ça après. D'autant que je veux que cette fellation soit faite devant témopins, preuve que tu m'obéis bien… c'est compris ? »
Si tu le désires, tu peux aller jusqu'à cet acte qui se fera sous le pavillon de base (là où est sa cage) pendant le repas de rahear avec deux gardes qui peuvent l'observer faire, tu peux prendre en compte qu'il lui ordonne de le sécher et de le vêtir, mais elle n'aura pas de vêtements à se mettre par contre ;)
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Le Maître était satisfait pour la chaîne, et c'était tout ce qui comptait. Elle était d'ailleurs heureuse d'y être parvenu. C'est qu'elle s'appliquait et y mettait du cœur en plus ! Cela aurait été dommage de ne pas être à la hauteur. La ver son corps en apnée était un vrai challenge, mais finalement, elle avait réussit et ne s'en était pas trop mal sortit.
Lorsqu'elle s'attaqua à son membre, étrangement, elle s'était attendu à ce qu'il l'en empêche. Avec Rahemar, rien n'était simple, tout se méritait. Et une simple toilette en apnée n'était apparemment ma suffisant. La jeune femme en profita pour reprendre un peu son souffle et essuyer un peu l'eau qui dégoulinait de son visage.
La tenant par les cheveux, il lui expliqua de quelle manière elle pourrait avoir le droit à sa semence. A cette seule idée, Roxanne salivait. Oui, elle avait de cette semence, cela faisait trop longtemps maintenant. Mais ce qu'il lui demandait n'était pas rien. Loger du savon dans ses orifices n'avait rien d''attrayant et ne serait pas chose aisée. Mais voilà, elle allait le faire. Elle ferait tout ce qu'il lui demandait, peu importe le prix, elle n'était plus en mesure de refuser quoi que ce soit face au Dieu.
Elle nota chaque condition dans un coin de sa tête, puis hocha celle-ci.
- A vos ordres, Maître.
Elle alla chercher différents savons. Ils n'étaient pas petit, en plus. mais le fait qu'elle soit trempée aiderait sûrement. Elle s’exécuta donc, rougissant un peu. Elle commença par faire pénétrer l'un deux dans son intimité. Avec ses blessures, elle eut un peu mal, mais ce ne fut pas trop compliqué, elle parvint tout de même à y loger la chose. La sensation était étrange. Le plus dur était à venir : son anus. Elle commença par positionner le savon entre ses fesses, un peu anxieuse, puis le poussa. Elle grimaça un peu. C'était douloureux... vraiment. Elle força encore, encore, jusqu'à ce que le savon commence à pénétrer doucement. Il lui fallut encore un peu de temps avant que tout ne rentre. C'était douloureux.
Elle retourna donc toiletter Rahemar comme il l'avait exigé. Elle n'oublia rien, léchant sous l'eau chaque parcelle de peau qui passait à sa portée, même dans les endroit les plus gênants, comme ses fesses, oui. Cela la dégoutait un peu, d'ailleurs, elle devait bien l'avouer. Cela lui prit quelques minutes. Une fois qu'elle eut terminé et que le Dieu était satisfait, puisque qu'aucun savon n'avait bougé, elle fut soulagée.
Elle du ensuite le sécher, ce qu'elle fit avec un serviette, avec douceur, sans rien oublier et en silence. Elle alla ensuite chercher des habits propres pour l'habiller de pied en cape avec soin. Peu de temps après, des esclaves vinrent installer une table et un repas, et Roxane retourna près de sa cage. Deux gardes pénétrèrent alors dans le pavillon pour accompagner Rahemar à dîner. La nourriture sentait bon, et la jeune femme aurait bien aimé en profiter aussi. Tant pis. Un autre repas l'attendait. Elle attendit un peu, laissant les hommes s’installer et commencer un peu à manger. Puis Rahemar lui fit signe et lui ordonna d'approcher. Appuyant sur sa tête, il l'invitait alors à faire son office, ce qu'elle fit sans rechigner. Au contraire.
Les deux autres hommes souriaient de la voir faire, ainsi parfaitement soumise. Roxane détacha la ceinture de Rahemar, et fit sortir son membre avant de commencer à le lécher sur tout la longueur afin de l'humidifier. Elle avait beau avoir faim, elle ne se précipita pas, s’appliquant soigneusement.
Puis, elle commença à le sucer doucement, effectuant des vas et viens dans sa gorge, allant toujours plus profondément, jusqu'à ce que celui-ci disparaisse parfaitement dans sa bouche. Elle continua son œuvre, le suçant encore et encore sous les yeux visiblement excités de ces messieurs qui ne se gênaient pas pour mater son cul. Elle s'en fichait. Elle n'avait qu'une seule envie, avaler le sperme de son Dieu qui lui manquait tant.
-
Non, rien n'était jamais simple avec Rahemar… il était exigeant, il changeait facilement d'avis et il n'aimait ps que l'on ne s'adapte pas aussi vite que lui… il était le dieu des changements, n'est-ce pas. ! Il sourit et regarda la jeune comprendre et opiner du chef comme elle pouvait pour se mettre au travail… elle conclue juste avant de s'y mettre par une phrase commune et habituelle. Une phrase simple qu'il avait l'habitude d'entendre…
« Exactement. A mes ordres. »
Il lui sourit et la laissa faire, non sans sentir sa répugnance quant au nettoyage de certaines zones. Elle avait de la chance tout de me, certains n'avaient pasune aussi bonne hygiène que celle qu'il imposait à se corps… il ne s'agissait jamais que de crasse. Enfin. De toute manière, elle pliait à ses actes, à ses envies, alors à quoi bon se poser des questions ? Il lui sourit et savoura chacun de ses coups de langue jusqu'à ce qu'il estime qu'il soit propre et se lever, péniblement. Pour qu'elle le sèche et qu'elle l'habille, ce qu'elle fit avec application et diligence, vous vous en doutez -bien. Un esclavagiste aurait loué le ciel d'avoir une esclave si volontaire, n'est-ce pas ?
Les savons en elle devaient la gêner à chaque mouvement, c'était la raison de leur taille et de son ordre, qu'elle sente à chaque mouvement cette intrusion dans son corps, comme si c'était un rappel qu'à n'importe quel moment, son dieu et maître pouvait venir les lui retirer pour les remplacer par sa virilité pou par celle de quelqu'un d'autre, à sa convenance… enfin, de toute manière elle n'avait pas reçu l'ordre de les retirer… et puis, elel avait vu plus gros, non ? Quand, monstrueux, il lui avait forcé le derrière….
« Bien, merci, je vais aller m'occuper de manger maintenant. Viens. »
Il saisit la laisse et retourna dans le pavillon principal, la tirant par la laisse pour qu'ils s'y rendent tous les deux, elle sur ses basques… elle était bien sage, elle ne le forçait pas à tirer sur la laisse pour la faire avancer, mais marchait à la limite de celle-ci, respectueusement. Brave chienne. Il commença alors à manger, bien installé, ses doigts rapidement graisseux à cuse des viandes avec leur jus, mangeant avec le doigts sans la moindre vergogne, laissant la jeune femme de côté, rectifiant à coup de cravaches si besoin était sa position d'attente : accroupie, cuisses écartées, et mains posées sur la nuque. Uil lui sourit et la regarda ainsi avant de finalement lui faire signe de venir s'occuper de lui.
« Allez, viens prendre ta dose, ma petite chienne… et passe sous la table ! »
De toute manière, elle n'avait pas le choix, pour accéder à cette partie si désirée de son anatomie il fallait passer à moitié sous la petite table, faisant disparaître la tête, mais forçat à se cambrer de sorte à ce que le derrière autantq eu l'intimité soit en place ainsi, alléchant… Il sourit et la laissan venir et se mettre à l'oeuvre, d'abord en léchant bien, avant de gber la source de jie de la jeune femme. Elle se mettait à l'ouvrage avec une conscience presque professionnelle, cherchant à l'envoyer toujours le plus loin au fond de sa bouche, de sa gorge, jusqu'à réussir à le premnrdre entière, suite à quoi il lui bloqua la tête ainsi, la laissant lentement étouffer, qu'elle se débatte et elle prenait un coup de cravache.
Il attendit qu'elle n'en puisse plus avant de finalement la laisser respirer. Il lui sourit etla regarda avec un œil un rien mauvais avant de finalement lancer aux deux gardes.
« Cette nouvelle acquisition est parfaitement dressée j'ai l'impression. Elle a un objet dans l'intimité, enlevez le à la main et remplacez le par un autre objet de votre choix, vous pouvez utiliser uniquement sa bouche, elle adore la pipe et elle vous la réclamera sans doute. Et vous pouvez partager avec vos collègues. Dans une heure, je veux que vous reveniez avec elle pour qu'elle finisse ce qu'elle a commencé avec moi… je trouve qu'elle manque d'ardeur. Vous lui servirez de leçon. Ah et une dernière consigne : il faut qu'elle lappe, qu'elle boive, qu'elle lèche la moindre goutte.. si elle n'obis pas, ou n'obéis pas assez vite, vous aure le droit d'user de la cravache... »
Sadisme ? Oui, tout à fait. Il se pencha et chuchota à la petite chienne.
« Quand tu reviendras, je veux t’entendre m'expliquer à quel point cette leçon aura été profitable, et je veux aussi t'entendre t'avilir, te diminuer, me montrr à quel point tu sais que tu ne mérites aucun des honneurs que je te fais, même celui de me lécher le fion... »
C'était purement injuste mais il voulait s'amuser...
-
Roxane continua de sucer son Maître, pour entre sa queue de plus en plus profondément dans sa gorge, sachant que cela était encore plus agréable. Elle recouvrait son membre de salive, ainsi, facilitant la pénétration, jusqu'à avoir son sexe entièrement dans sa bouche. Mais alors qu'elle allait continuer ainsi ses vas et viens, il poussa sur son crâne de sorte à laisser son sexe bien carré au fond de sa gorge. La jeune femme faillit bien avoir un haut le cœur, mais se contint, grimaçant un peu et gémissant doucement. S'il ne la lâchait pas bientôt, elle allait étouffer ! Elle ne tenta cependant pas de se retirer, sachant pertinemment ce qui l'attendait si elle osait une telle chose. Enfin, il la relâcha, et elle s'empressa de reculer son visage, retenant à grande peine de tousser. Elle s'humecta les lèvres, reprenant un peu son souffle.
Puis, elle écouta son Maître exposer le programme la concernant. Au fur et à mesure, Roxane fronça un peu les sourcils. Ça ne lui plaisait pas trop de devoir se faire prendre la bouche par ces types-là. N'oublions pas qu'elle avait été une femme riche et de bonne famille, puis une Dévoreuse au service d'un Dieu. Se faire malmener par de simple gardes malpropres la dégoutait. Elle savait pourtant ne pas avoir le choix, et n'avait aucune voix au chapitre. Au moins, ils n'avaient le droit qu'à sa bouche !
Rahemar se pencha ensuite vers elle pour lui annoncer ce qu'elle allait devoir faire en revenant dans une heure. Elle ne s'attendait pas à ça, mais se contenta de hocher la tête.
Les gardes se levèrent, apparemment ravis de ce petit cadeau. L'un d'eux attrapa sa laisse et lui intima de la suivre, un sourire goguenard aux lèvres. Le regard froid, elle le suivit tout de même, regrettant déjà de devoir quitter son Maître. Il l'amenèrent dans un autre pavillon, bien moins confortable et luxueux que celui de leur supérieur.
- Viens par-là, ma jolie, grogna le type en tirant d'un coup sec sur sa laisse.
Roxanne grimaça lorsque son collier força sur sa nuque. L'autre ricanait et souriait en salivant. On l’amena au centre de la pièce sur un vieux tapis en fourrure arraché à un animal qui lui était certainement inconnu. Le garde tendit la laisse à son comparse, et lâcha d'un ton sec :
- A genoux.
Ça lui faisait mal de devoir obéir à ce sale type, mais la jolie blonde s’exécuta, se baissant alors à genoux en le fixant. Il enfonça alors soudain son pouce entre ses lèvres, brutalement, remuant alors celui-ci dans sa bouche, caressant férocement l'intérieure de sa joue et sa langue.
- Alors comme ça on manque d'ardeur à la tâche, hein ? T'en fait pas, après ça je peux te jurer que t'y mettra plus de cœur.
Il ricana, encore, sous l’œil espiègle de l'autre type qui attendait sagement que le spectacle commence. L'homme continua de lui faire sucer brutalement son doigt avant de le retirer. Il attrapa alors la cravache en cuir coincée dans sa ceinture et en plaça le bout devant sa bouche avec un regard lubrique.
- Lèche petite chienne.
Roxanne fixa le bout de la cravache, retenant un air de dédain, puis s’exécuta, léchant l'objet par de petits coups de langue humide. Son acolyte semblait presque impatient, triturant la laisse entre ses doigts, le regard passant de ses lèvres à sa croupe. La jeune femme continua son œuvre, jusqu'à ce que la cravache soit si trempée que des filets de salives tombent sur le sol. Alors il finit par l'enfoncer dans sa bouche pour effectuer des mouvements de vas et viens. Il n'allait pas trop profondément, heureusement. Cela dura quelques minutes, puis il retira l'objet et l'essuya entre ses deux seins en riant.
- Bien, bien... Tu es obéissante, c'est vrai. Alrick ?
Alrick était sans doute l'autre homme. Celui-ci ne cacha pas sa satisfaction à l'idée que cela fusse son tour. Il déboucla sa ceinture, sortant alors son sexe déjà dur qu'il masturba doucement en s'approchant d'elle. Roxanne l'observa, alors qu'elle réalisait que sa faim était toujours plus présente. Elle n'avait pas imaginé commencé à l'assouvir avec ce genre d'individu... tant pis. L'homme grogna d'excitation.
- Putain, j’enfoncerai bien ma queue entre ses cuisses !
- Contente-toi de sa bouche, on t'a dit ! Aboya l'autre garde. Lèves un peu ton cul, ma cochonne...
La demoiselle, le cœur battant, leva légèrement les fesses en s'appuyant sur ses genoux. L'autre en profita pour carrer directement son sexe tendu dans sa bouche. Roxane protesta d'un gémissement étouffé tandis qu'il glissait une main à l'arrière de son crâne pour l'empêcher de lui échapper. Soudain, l'autre posa ses doigts sur son intimité qu'il commença à caresser avec avidité. Tandis qu'elle suçait le dénommé Alrick, ou plutôt que celui-ci lui baisait tranquillement la bouche, il continua de la caresser, enfonçant parfois le bout de ses doigts jusqu'à ce qu'elle mouille. Avec un sourire conquérant, il enfonça alors carrément sa main sans prévenir. Roxane poussa un cri étouffé, un cri de surprise, mais aussi de plaisir tandis qu'il fouillait son intimité pour agripper le savon à peine main et l'en sortir d'un coup, tirant un autre gémissement à la blonde.
- Du savon, hein ? Ahah... au moins on saura que c'est propre là-dedans. Alors, comment est cette bouche dis-moi, camarade ?
- Humf... putain elle est bonne ! Merde !
L'homme avait le visage rouge, les dents serrés, et quelques secondes plus tard, il lâcha une giclée de sperme chaud au fond de sa gorge dans un râle. Roxane fronça le nez, puis il la lâcha, mais l'agrippa immédiatement par la mâchoire.
- Ouvres. Je veux te voir te rincer la gorge avec.
- Alrick, bon sang, c'est tout ce que tu sais faire ?
Son comparse lui répondit par un claquement de langue agacé. Il avait pas baiser depuis un moment et n'avait pu se retenir dans cet écrin superbe qu'était la bouche de l'esclave. Roxane, de son côté, ouvrit sa bouche remplie de semence et exécuta la demande du garde. Quand il le lui permit, elle finit par l'avaler. Bien entendu, elle trouvait son goût bien moins agréable que celle de son maître. L'autre ordonna à son comparse de s'occuper de son cul, d'y déloger le deuxième savon, et d'aller chercher deux autres objets pour les remplacer. Roxane n'aimait pas ça...
L'homme déboucla alors à son tour sa ceinture et sortit son sexe, un peu plus gros que le précédent.
- A nous deux, maintenant. J'attends.
La jeune femme prit le sexe dans une main et le branla un peu avant de l’humidifier avec sa langue, puis de le prendre en bouche. Le second choisit ce moment là pour se servir de sa mouille et lubrifier son antre, et y fourrer ses doigts. Roxanne gémit de douleur, se crispant tandis qu'il tentait de sortir l'autre savon. Heureusement pour elle, il finit par glisser de lui-même. Le garde dont la queue s'enfonçait dans sa bouche agrippa ses cheveux d'une main ferme.
- Concentres-toi ! Vas plus vite.
Roxane obéit, entendant l'autre type se redresser en ricanant et s'éloigner, certainement pour aller chercher des objets à glisser dans ses orifices. Elle essaya de ne pas y penser, ni même s'y faire attention, et augmenta un peu le rythme de ses vas et viens.
- Encore plus vite. Encore !
Elle suivit ses ordres, mais il n'était pas encore satisfait, lui intiment encore et encore d'accélérer, si bien que la jeune femme peinait à tenir la cadence. Le sexe s'enfonçait maintenant profondément, tapant violemment dans le fond de sa gorge. Il riait, grognant de plaisir à la voir ainsi le sucer à pleine vitesse. Sa cravache toujours à la main, il la claquait un peu contre son cul à chaque fois qu'il voulait qu'elle accélère. L'autre type revint alors, tenant dans sa main une bouteille d'environ 1L et une sorte de fruit ou de légume long ressemblant étrangement à une courgette.
- Ça devrait lui plaire, tu crois pas Jared ?
Roxane n'en pouvait plus de sucer le sexe à une telle vitesse et ses joues étaient rouges et la faisaient souffrir. Mais ce fut pire lorsque le garde commença à pénétrer la bouteille dans son anus. Elle voulut hurler, mais faillit s’étouffer avec la queue dure et palpitante d'excitation qui continuait à baiser sa bouche. Plus la bouteille entrait et plus elle avait mal. Lorsqu'elle presque entièrement entrée, dépassant légèrement tout de même, le fameux Alrick passa à son intimité, y logeant le fruit/légume dans toute sa longueur. Roxane gémit, incommodée par ces objets logés dans ses orifices. L'homme devant elle choisit ce moment pour agripper sa tête à deux mains, et donner quatre coup de reins violents et profond dans sa gorge avant de déverser une grande quantité de sperme dans un soupire de plaisir.
- En voilà une gentille fille. N'avale pas, garde-le encore un peu dans ta bouche, profites...
Roxane, la bouche endolorit et pleine, du faire beaucoup d'effort pour ne pas recracher le tout. Elle tremblait un peu sous la douleur, et le type derrière elle choisit ce moment là pour donner un tout petit coup de pied dans le cul de la bouteille. Ce n'était pas très fort, mais cela suffit à la faire cambrer de douleur, et elle s'étouffa à moitié avec le sperme qu'elle ne pu s'empêcher de recracher en toussant. Celui qui s'appelait Jared grogna de mécontentement et l'agrippa fermement par son collier.
- Regardes-moi ça ! Et bien tant pis pour toi, tu vas tout nettoyer avec la langue. Et n'oublies pas ma queue.
Roxane avait un mal de chien, mais obéit et lécha entièrement le sexe du type. Puis elle se baissa lentement pour lécher le mélange de sperme et de salive qui se trouvait sur le sol, comme une petite chienne.
Durant les dernières minutes de son calvaire, elle du sucer tour à tour les deux hommes de nouveau malgré sa douleur, encore et encore, jusqu'à ce qu'ils éjaculent de nouveau et qu'elle doive tout avaler.
Enfin, seulement, il la raccompagnèrent sous le pavillon où se trouvait Rahemar. Une fois devant lui, la jeune femme se souvint de ce qu'il lui avait dit et, les objets toujours logés dans ses orifices, se baissa à quatre pattes, puis se prosterna à ses pieds, lançant alors d'une vois trahissant son être perturbé :
- Merci pour cette leçon, Maître, j'ai bien apprit. Je saurais me montrer à la hauteur désormais. Je ne suis rien comparé à vous, je ne suis que votre chienne qui mérite qu'on la traite comme vous le faîtes, qui mérite d'être punie et reprise à chaque fois que vous le jugerez nécessaire. Je ne vous mérites pas... vous êtes si juste avec moi... Je jure de vous servir comme il se doit, même si je ne mérite pas non plus l'honneur, ne serais-ce que de lécher votre noble fessier...
Elle espérait que cela suffisait, le visage toujours près du sol, soumise, et les joues toujours rouge d'avoir subit les envies des deux gardes.
-
Les gardes l'emmenèrent sans ménagement. Et Rahemar se désintéressa d'elle, s'en désintéressant sans doute autant que de son repas humain pour aller faire autre chose, une sorte de reconnaissance de ce qui allait se passer.. Oh, il ne lisait pas l'avenir, loin de là. Il essayait, par contre, de chercher à comprendre exactement quels étaient les liens de pouvoir qui existaient dans l'endroit où ils allaient. Mais pas seulement. Il était là aussi, et se masturbait tranquillement jusqu'à jouissance dans une assiette à soupe, une écuelle qu'il déposa dans la cage de la jeune femme, il avait violontaireent rempli ladite écuelle, qu'elle puisse calmer sa dépendance en rentrant.
Il n'avait aucun intérêt vis à vis de se qui se passait dans le pavillon un peu plus loin avec les deux soldats… et quand elle revint… il comprit. Rien qu'à sa démarche. Elle avait subi plus qu ce qu'il avait voulu qu'elle subisse… il leva les yeux au ciel alors qu'elle venait faire sa diatribe. Il lui sourit et s'approcha d'elle, posant sa main contre sa joue, comme une invitation à s'y lover. Il n'allait pas la frapper. Il l'enlaça doucement et la serra contre lui avant de finalement la lacher et faire le tour de sa personne, et, voyant lea bouteille dépasser, il s'en saisit et la tira hors d'elle d'un coup sec. Il retira ensuite le légume et il lui flatta la croupe avec amusement.
« ET bien je vois qu'ils n'y sont pas allés de main morte. Ils sont même allés trop loin… ils seront punis… ou mieux ! Oui, j'ai mieux ! Je vais te faire une proposition. Tuvas avoir un choix, et tu es libres de faire celui que tu désires. Tu ne seras pas punie, quel que soit celui que tu fais ! »
Il lui caressa de nouveau la joue, puis le sein avant de doucement lui susurrer.
« Tu as le choix. Ou tu oublies ce qui vient de se passer et on finit la soirée comme s'ils avaient respecté les consignes, et donc tu auras la semence et même, peut être une sodomie, voire une baise plus classique et nous ne cesserons cela qu'à deux jours de route du royaume, soit je t'offre la posibilité de te venger… je te les livres et tu leur fais ce que tu veux jusqu'à l'aube… et tu m'offres leurs têtes coupées sur un plateau au lever. »
Un choix intéressant, vous ne trouvez pas ? Il eut un petit sourire avant de rajouter.
« Dans l cas de ta vengeance tu dormiras dans ta cage avec les autres esclaves cette nuit. Biens ur tu auras ta dose de semence aussi, mais tu n'auras pas d'autre occasion de te faire baiser avant le gynécée… cette proposition va te paraître sans doute exagérément drastique, mais je suis en mesure de t'offrir une vengeance, la question, c'est est-ce que tu en veux, de cette vengeance ? »
Lui il la voulait, lses gardes ne passeraient pas la nuit.
« Voilà comment on va faire. Je vais m'allonger dans ma chambre, toi, soit tu me rejoinds, soit tu vas les trouver et tu leur dis que je les attends ici avant de jouer comme tu le souhaites avec eux dans cette pièce… tâche juste de ne pas trop les faire crier. »
Lui, il allait se coucher !
-
Roxane était bien contente que tout ça soit terminé. Ces types étaient décidément des salopards mal élevés ! Enfin... des esclavagistes, quoi. Elle ne savait pas bien ce qui l'attendait avec cet empereur et ce que son nouveau rôle allait lui demander exactement, mais elle espérait réellement qu'il ne soit pas aussi brutal et répugnant ! Étrangement, la demoiselle acceptait les traitements de son Maître, mais râlait lorsqu'il s'agissait d'obéir à des inconnus, surtout de ce genre là. Elle n'aimait pas trop les esclavagistes et avait même toujours détesté l'esclavage en lui-même. Elle ne s'était jamais réellement vue comme une esclave vis à vie de Rahemar. Non, elle était sa servante, sa débitrice, elle lui devait tout après tout. Même sa vie. Mais à ces gros dégueulasses, là, elle ne devait rien !
Une fois son discours pour son Maître terminé, celui-ci posa une main sur sa joue, allant même jusqu'à l'enlacer, comme s'il savait ce qu'elle venait de vivre. Elle fut presque touchée par se geste, et se sentit déjà mieux. Puis il lui enleva la bouteille d'un coup sec, la faisant sursauter et grimacer. Même chose pour le légume. Tout de même... elle était bien heureuse d'être libérée ainsi, et soupira.
Le Dieu semblait trouver que les deux comparses étaient allé trop loin. C'était également le sentiment qu'avait Roxane ! Le plus étrange fut sans doute lorsque son maître lui fit une proposition. Celle de décider si elle voulait se venger elle-même de ces salopards en faisant d'eux ce qu'elle voulait tant qu'elle lui ramenait leurs têtes sur un plateau le lendemain. Ou bien oublier tout ça, faire comme si rien ne s'était passé, et profiter de la semence et de la présence de son maître.
Roxane, un peu étonnée, réfléchissait à toute allure.
Comme le lui exposait Rahemar, il y avait des bons et des mauvais côtés pour chaque décision. Il allait falloir qu'elle fasse le bon choix et pour cela, qu'elle prenne le temps de réfléchir sérieusement. En attendant, son maître annonçait qu'il allait se coucher.
Roxane se leva doucement, et resta plantée au milieu du pavillon sans trop savoir quoi faire. Le choix était trop dur à faire. Elle désirait tout autant boire la semence de son maître jusqu'à plus soif que d'arracher les yeux des deux vicelards. La gorge sèche, elle regardait tantôt vers l'endroit où était partit son maître, et tantôt vers la sortie du pavillon. Que faire ?
Au bout d'un petit moment, la demoiselle prit son courage à deux mains et se dirigea vers Rahemar. Non pas qu'elle avait fait son choix, malheureusement, mais elle voulais essayer de négocier une alternative. Elle inspira un peu d'air, puis se lança :
- Pardonnez ma présomption, Maître. Mais... puis-je vous demander de me laisser le choix des deux propositions ? Je voudrais pouvoir me venger... et profiter de votre semence et de votre compagnie. Je vous en prie... j'ai obéis et fait tout ce que vous m'aviez demandé. J'ai même du supporter pire... s'il vous plaît ?
Elle espérait qu'il accepte et ne se mette pas en colère. Après tout, elle avait toujours été extrêmement obéissante, et elle méritait cela. Pour appuyer sa demande, elle se mit de nouveau à genoux.
-
Il lui avait offert un choix, il lui avait offert le choix entre assouvir s luxure, celle qui était déjà si forte au naturel et qu’il avait exacerbé, et une vngeance qu’elle avait amplement mérité. Un choix cruel, non ? enfin, ussi cruel qu’à l’accoutumée, il n’avait jamais été un maître tendre et affectueux, sauf si cela pouvait blesser davantage, bien sur ! il sourit et regarda la tente, attendant qu’elle vienne, ou qu’elle ne vienne pas… oh, le choix était tentant, non ? Il eut un regard amusé avant de finalement se décider.
Il était un être patient et méticuleux. Il prenait le temps de faire chaque chose dans les règles de l’art, la preuve vivante s’incarnait dans la petite chienne Roxie, qui avait si bien su jouer son rôle qu’elle en était devenue presque trop douée pour son but initial. C’était pour cela qu’il lui proposait une nouvelle sorte de travail, peut être serait-elle parfaite pour cela, peut être pas. Elle était une de ses prêtresses désormais, une servante de Dieu, le seul Dieu qu’elle reconnaissait. Lui. En somme, la faire dveenir eclave était un moyen de la mettre exactement dans la condition exacte qu’elle avait eu durant toutes ces années de bons et loyaux services (admettons-le !).
Elle fut un peu longue à se décider. Il s’attendait à ce qu’elle se montre un rien plus vindicative – dans le cas où elle choisirait la vengeance – ou plus chienne – dans le cas où elle choisirai la luxure. D’un autre côté, étant donnée la violence du besoin de luxure tel qu’il l’exaltait chez elle depuis le premier jour, il ne faisait aucun doute sur le fait que ce serait un véritable dilemme cornélien… Il sourit et fermales yeux, comme si il dormait.
Il l’entendit rentrer dans la chambre du pavillon et se redressa pour aller se servir un verre d’un vin très fin du pays où ils allaient, très fruité avec une jolie robe bien pourpre. Il attendait d’écouter ce qu’elle avait à dire car elle restait à distance. Il fronça légèrement les sourcils avant qu’elle ne se mette à prendre la parole… ne pas vraiment choisir ? Comme c’était divertissant…
« Oh ! Voilà un point de vue très singulier… ainsi, tu t’estimerais au dessus du choix que JE te propose ? Voilà qui est tout de même très fort, je trouve…n’es-tu pas de cet avis ? Enfin, tu es audacieuse uand tu veux et tu sais que j’aime beaucoup l’audace, non ? Alors je vais t’accorder ce droit… sache juste que d’ores et déjà, tu vas subir plusieurs choses. La première sera e redevenir vierge. C’est la moindre des choses pour le gynécée… on n’offre pas au roi quelque chose qui a pu déjà être utilisé, si ? Quant à la deuxième, c’est que dans la mesure où tu t’élèves contre mes choix, tu accepte d’en subir les conséquences. »
Il s’était levé, verre de main à la main et avait avancé jusqu’à elle pour poser son autre main sur un seins qu’il malaxait sans douceur mais sans violence pour autant.
« Ce que j’entends par conséquences, c’est simple : tu devras t’infliger tout ce qui leur sera infligé – hormis les dégâts étaux, cela va de soi… après tout, tu refuses le choix que je te fais l’honneur de t’offrir… tu devras, bien sur, diriger toi-même cette vengeance, sous ma surveillance. Logique. Au petit matin, ils seront morts et tu porteras ça ! »
Il lui tendait sa paume ans laquelle il y avait une petite clochette d’un métal précieux qui était accrochée à une fine barre métallique qui n’excédait pas les deux milimètre de diamètre pour une longueur un rien plus imposante. Tout avait été calculé, vous penez-bien. Au bout, il y avait un crochet, dans le même métal. Métal qui n’était pas de l’or, bien sur.
« Ceci est une petite chose en fait que l’on accroche aux pucelles, le crochet vient se fixer à l’hymen et la clochette dépasse très légèrement de l’intimité, à peine en fait. Ainsi, à chaque pas, elle émet un très léger tintement…. C’est une preuve de pureté de corps, et aussi une preuve de disponibilité… que tu es « sur le marché si je puis dire… c’est ainsi que tu seras vendable pour le gynécée… »
Il lui sourit. Si tout était bon pour elle, elle n’aurait plus qu’à aller chercher les suppliciés en devenir.
« Satisfaite ? »
Pour en revenir à la douleur, elle n’aurait ni marque ni trace seulement la douleur etdes impressions. Il n’allait pas abimer sa marchandise…
-
Roxane savait qu'en effectuant ce genre de demande, cela n'était pas sans risque. Elle avait apprit depuis longtemps qu'avec Rahemar, rien n'était gratuit, il fallait toujours payer quelque chose en retour. Mais elle était prête à accepter n'importe quel marcher. Son appétit sexuel était aussi forte que son envie de se venger sur ces sales types. De quelle manière ? Elle ne savait pas encore précisément, mais elle était certaine que les idées ne manqueraient pas une fois face à eux.
A son étonnement, Rahemar accepta sa requête, ce qui était déjà agréable en soi. Mais, comme elle s'y était attendue, cela amenait des conséquences. Il lui expliqua tout d'abord qu'elle allait devoir redevenir vierge afin d'être offerte au roi, ce qui était assez logique, elle le concevait. Ce genre d'homme n'aimait pas franchement passer après les autres. Elle se devait d'être parfaite. La suite était plus compliquée. Et avant de lui expliquer, il malaxa fermement l'un de ses seins, la faisant doucement rougir de plaisir. En effet, si elle se vengeait des deux gardes, elle devrait subir par la suite les mêmes traitements, sauf ceux qui leur serait fatal, bien heureusement. Voilà un cruel dilemme pour elle. Elle allait devoir montrer un peu plus de retenue qu'elle ne l'avait imaginé. Tant pis... elle l'avait cherché après tout.
Ce n'était pas terminé, le Dieu ajouta autre chose. Elle allait devoir porter une sorte de clochette, logée dans son intimité, ce qui serait une preuve de sa virginité et affirmait sa disposition à être vendue. Roxane ne connaissait pas ce système, mais était évidemment prête à l'accepter sans râler. Elle finit donc par répondre :
- Il sera fait selon vos désirs, Maître.
Tout était dit. Sauf que Roxane n'était toujours pas certaine de ce qu'elle désirait faire. Tout en prenant et en observant la clochette, elle réfléchissait. Au bout d'un petit moment, elle se décida. C'était peut-être un peu facile et lâche comme décision, mais peu importe. Elle regarda donc Rahemar et fit :
- J'ai changé d'avis, Maître. Ces hommes ne valent pas la peine que je me salisse les mains. Je préfère rester ici et me concentrer sur le rôle que vous m'offrez. Rien n'est plus important.
Il fallait avouer, également, que sa faim était devenue vorace, et que le goût de la semence de son maître lui manquait cruellement. Elle préférait oublier ces deux idiots, et rester près de Rahemar, pour ensuite se concentrer sur sa future mission à tête reposée. Il fallait qu'elle soit à la hauteur.
-
Elle répondit comme il fallait… elle répondait toujours comme il fallait. Parce qu'elle connaissait sa place, parce qu'elle savait exactement ce qu'elle valait et ce qu'elle avait le pouvoir de faire. Parce qu'elle savait exactement ce qu'elle lui devait. Avec précision. Et c'était cela qui régissait leur relation. Elle était sa servante et elle était capable de répondre au mieux aux besoins du dieu. Voilà à quoi il avait passé ces années dans sa tour… la préparer à être ainsi, soumise à sa volonté… il lui sourit et lui caressa avec douceur la joue. Beaucoup de douceur. Trop pour êre honnête alors qu'elle reprenait la parole…
Il éclata de rire, il se moquait d'elle, ouvertement… il sourit et regarda la jeune femme alors que sa main retournait cueillir son sein, et le maltraiter, juste un peu… tordant l'anneau pour la faire légèrement glapir de douleur. Von dieu, cela faisait si mal… il eut un regard pour la personne qui se trouvait en face de lui et lui lança sur un ton des plus railleurs – comment aurait-il pu agir autrement aux vues de ses propos.
« Ainsi, le masque de la louve vengeresse tombe pour révéler la vérité… il n'y a qu'une chienne en chaleur derrière… au fond tu n'as jamais été plus que cela… je me trompe ? »
Il eut un léger regard musé avant de lui tendre une petite arme, un léger couteau, aiguisé comme un rasoir, il aurait tranché l'acier sans doute… il eut un petit sourire avant de finalement lui caresser le ventre, puis l'intimité avant de finalement remonter et glisser deux doigts entre ses lèvres qu'elle les suçote alors qu'il reprenait la parole… il n'avait pas vraiment eu besoin de réponse à sa question, elle était rhétorique, et ils le savaient tous les deux…
« Pas de vengeance juste une exécution… tu les tues rapidement et tu me ramènes leur coeur, que tu mangeras devant moi, avant de satisfaire une de mes apparences… je me suis dit que mon apparence démoniaque te manquait un peu… à moins que tu ne préfères Sylvain ? »
Nouveau rire railleur alors qu'il lui flattait la croupe, puis il l'envoya faire ce qu'elle avait à faire. Il se fichait de la manière dont elle les tuerait, tant que c'était proprement fait. Il l'accompagna jusqu'à la sortie de la tente, non sans lui refixer la laisse entre les cuisses. Qu'elle se rappelle un peu des risques à se venger. Il lui sourit et la fit sortir de la tente avant de se rendre près de la cage et prendre son écuelle pleine de sperme bien chau et la déplaça dans chambre, aux pieds du lit… et il l'attendit, jusqu'à ce qu'elle revienne avec les coeurs encore chauds pour lui lancer.
« Tu as ta sauce pour les cœurs dans ton écuelle… si tu n'en as pas assez tue viendras la chercher à la source… ah et pense à natter tes cheveux, tu sais que j'aime quand je peux te saisir par les tresses pour te baiser… quel que soit le trou que je te baise… ça te force à te cambrer davatagage quand je tire dessus… et ça te rappelle que je peux t briser en deux quand je veux... »
Il sourit et changea pour prendre celle de l'énorme dépon aux pieds de bouc pour lui souririre et lui lancer.
« Allez, mange ! »
Lui même, il commença à se masturber.