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Morwynck était un paisible village médiéval qui n’était plus que l’ombre de lui-même. Perdu dans une immense forêt millénaire, il vivait de la coupe du bois, de la pêche, et de la chasse. Un simple village, avec une grand-place centrale où les enfants aimaient gambader, autour du puits, devant un bâtiment central regroupant le manoir du seigneur local, la prison, et l’église. Les enfants jouaient au jeu du caillou devant, et les villageois passaient régulièrement par là quand ils allaient travailler. Morwynck n’avait jamais rien demandé à personne, et, en cas de problèmes avec des hivers rugueux, ou des attaques de monstres, le seigneur obtenait des troupes de la part de son suzerain. Le royaume dans lequel Morwynck se situait se trouvait à quelques centaines de kilomètres d’Edoras, et commerçait régulièrement avec les Royaumes Nains dans les montagnes. C’était un royaume marchand, un royaume de négociants, dont le territoire était en grande partie envahie par la vaste forêt millénaire, dans laquelle Morwynck était enfui.
L’isolation de Morwynck faisait que personne n’avait encore eu le temps de prévenir ce qui s’était passé ici. Un cavalier venait de rapidement sortir de la ville. Un simple coursier, qui, en voyant l’allure du village, avait compris qu’il fallait fuir le plus rapidement possible. Outre l’air, légèrement vicié, il avait vu les excroissances recouvrant les murs, les énormes spores formant comme d’énormes bulles. Le coursier, Jean, était un homme qui allait souvent à Edoras, où il avait de la famille. Il aimait filer dans cette forêt, mais il savait aussi combien elle était profonde et épaisse, surtout aux environs de Morwynck.
*Vite, vite !*
Il ne pouvait pas se permettre de traîner. L’urgence était de prévenir les autorités, afin que les Tekhanes viennent en personne mettre fin à cette infestation... Car c’était bel et bien de ça qu’il s’agissait, et qui expliquait pourquoi Jean se pressait sur son destrier, comme si l’Enfer en personne était à ses trousses. Des Formiens ! Des Formiens ! Ils étaient là, derrière lui, ils pouvaient presque les sentir grogner, corrompant les arbres, transformant les branches en longs tentacules visqueux, violant à répétition toutes les femmes de Morwynck. Ne traînant pas en route, Jean filait aussi vite que possible, quand un tentacule jaillit, et le frappa en pleine gorge.
Poussant un cri de surprise et de douleur, il tomba sur le sol, tandis que son destrier filait devant lui.
« N-Noon... Reviens ! Reviens, stupide canasson !! »
Ce que Jean avait pris pour un tentacule n’était en réalité qu’une branche d’arbre. Par ici, l’infestation en s’était pas encore répandue. Ayant mal à la gorge, il se massa, le dos recouvert de boue. Dans l’obscurité de la ténébreuse forêt, il était convaincu que la Reine des Lames, une criminelle recherchée activement par Tekhos, et dont la tête était mise à prix, était là. S’avançant lentement, il se dépêcha de rejoindre son cheval. L’air bruissait autour de lui, et il avait la furieuse impression d’être espionné.
*Il n’y a personne, il n’y a personne, personne ne m’a vu... Détends-toi, Jean, détends-toi !*
En tête, toutes les horreurs circulant sur la Fourmilière lui revenaient en tête, ainsi que els transformations que les Formiens faisaient aux mâles, quand ils ne les tuaient pas. Jean avait beau se convaincre qu’il n’était pas resté suffisamment longtemps pour qu’on puisse le repérer, il se retournait fréquemment, dans ce sentier désert. Il continua ainsi à regarder derrière lui, puis perçut un déplacement d’air devant lui. L’homme sursauta, se retourna... Et vit devant lui le corps violet et solide de la Reine des Lames. Elle avait un sourire sur les lèvres.
Le cri paniqué de Jean mourut dans sa gorge, et la Reine balança sur lui une onde psionique qui le neutralisa.
Elle était venue à Morwynck il y a plusieurs semaines, se faisant passer pour une simple Tekhane en quête de voyage. Belle et envoûtante, elle avait logé dans une chambre de l’auberge locale, et avait attiré à elle tous les hommes du village... Ou une bonne partie. À chaque fois qu’elle couchait avec eux, elle les corrompait, répandant en eux ses spores, ses gènes, tout en développant dans l’auberge le Creep. Une fois qu’elle avait réuni suffisamment d’hommes, elle avait attaqué à l’heure de la messe, quand toutes les ouailles se regroupaient dans la nef de l’église.
Morwynck était maintenant une nouvelle Ruche, depuis laquelle Sarah espérait réussir à étendre son influence sur cette vaste forêt. Elle s’étalait sur des milliers de kilomètres carrés, et la prendre constituerait, au vu de sa position centrale, une avancée stratégique majeure. Elle pourrait ainsi bloquer les voies de ravitaillement entre de nombreux royaumes, et désorganiser les humains. Tout partait à partir de ce petit village reculé, où chaque maison avait été recouverte d’une couche d’excroissance, tout comme le sol.
Lentement, ses Formiens naissaient et se reproduisaient, en violant les femmes du village, les engrossant à répétition dans leurs maisons, tandis que Kerrigan avait installé son nid dans l’église, qui se composait de centaines d’œufs, gros ou petits, en train d’éclore et de donner progressivement naissance à la vie.
Une magnifique entreprise... Qui allait bientôt être perturbée.
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La vie n'était pas facile durant les jours qui suivirent, la plupart des communes et les villages paumés du coin était pas très accueillant lors d'un éventuel passage d'un voyageur, souvent il ne faisait que passer ou sinon y passer la nuit dans une auberge de providence et en se ravitaillant pour repartir dans un lendemain sans retour à travers des terres désolés à la rencontre de l'inconnu ou pour partir à l'aventure, ces hommes peuvent être anonyme au yeux des citoyens et des populations civil, bon ou mauvais, fantassin, criminelle, héros, templier, maraudeur etc... Personne ne pouvait comprendre leur buts ni même en savoir sur leurs véritable identité, ces hommes qui circule par ici était désigner par le terme de "passeur" pourquoi et comment ? personne ne le saurait, ni plus ni moins. Ce jour-là une silhouette se frayait péniblement un chemin à travers ce long tapis de gadoue de plusieurs kilomètre de diamètre, en pleine foret là ou devait regorgeait de prédateurs naturelles et autres calamité nuisible à l'hommes, ses haut talons s'enfonçait dans le sol meuble jusqu'à hauteur du mollet et la terre humide en maculait ses traces de couleur marron sombres sur ses cuissardes noire comme la nuit. Il ne s'agissait pas d'un homme mais d'une jeune femme qui avançait sans orientation exact de sa position à travers cet courte purée de pois brumeuse qui recouvrait les zones herbeuses et buissonnière sur le sol, un genre de climat tout à fait propice pour les attaques surprises d'un monstre ou pour un ennemi, car en frappant ainsi, il pouvait être sure de disparaître dans ce brouillard ou en se dissimulant derrière les quelques arbres qui bordait le terrain, sauf que pour le moment, il n'y avait personne à proximité.
Pfff... Encore combien de temps, je vais mettre avant d'arriver pour la prochaine ville !
La jeune femme s'impatientait et avait besoin de se plonger dans le feu de l'action, la prêtresse-Jaeger était la seule femme dans l'ordre religieux de sa confrérie qui pouvait mener à bien les missions qu'on lui assignait, bien sure elle acceptait ces requêtes qu'en échange d'un gite et du couvert pour une courte durée d'au moins une semaine minimum avant de quitter les lieux. Bon, il est vrai qu'elle ne fait plus partie de l'église paroissiale ou elle fut élevée autrefois mais elle avait de bonne raison de l'avoir quittée... Cela devait faire déjà plusieurs mois depuis qu'elle avait déserter volontairement l'ordre des Saint Ecclésiastique, mais en dépit de son errance, elle n'a jamais pu dégoter le moindre infos concernant la disparition de son mentor ni ce de qu'elle en est advenue... Tout simplement, parce que ce qui la motivait, c'était de la revoir un jour saine et sauve et que peut-être toute les deux retourneraient sans doute à l'église après les moments d’effusions et les retrouvailles. En tout cas si dans l'esprit du combat, il y avait à parler, Enjou Sakuya la spécialiste numéro 1 était la meilleur dans sa catégorie de chasse au monstres, son tableau de chasse est bien garnie de la plupart des monstres locale ou hybride qu'elle à traquer et tuer avec son katana et ses puissants sorts incantatoire, à coté d'elle son disciple Sayaka (elle porte ce surnom pour avoir une prononciation plus aisé de son prénom Seika) était une excellente ouvrière de type combattante mais en dépit de ça, elle ne lui arrivait pas à la cheville... Et qui plus est, ses victoires contres les infâmes créatures du chaos s'était amoindri avec le temps et pour cause, les démons qu'elle combattait était doté d'une force sans pareille, mais si au moins ces sournois malins du diable avait un physique tout à fait dans les normes, la nonne n'aurait pu en faire qu'une bouchée mais pas de chance, elle avait un point faible. La demoiselle était allergique au tentacules, ses dernières batailles contre d'autres bestioles hybride ou tentaculaire avait tourner au fiasco et avait donner un avantage pour ses adversaires visqueux, elle tombait littéralement dans les griffes de ses assaillants et se faisait violer pendant des jours voir des semaines... Si il devait s'agir de d'autres humaines, celles-ci n'aurait pu y survivre à cet orgie qui bien sure était une exception pour la Traqueuse-combattante.
Kamori n'oubliera jamais ces dures moments de sa vie qu'elle avait passée au fond d'une fosse ou la tourbe avec les végétaux en décomposition pullulait sur une mare de boue à l'odeur âcre qui donnait envie de gerber rien qu'en l'inhalant ou encore au fond de profonde caverne d'ou le sol humide était couvert de fluides et de réjection de proie répugnante dévoré par leurs prédateurs, dans ces grottes ou elle fut happée par des long bras cylindrique qui se déployait en multitude et lui bloquait tout échappatoire possible, ces heures qui n'en finissait pas ou elle sentait les tentacules parcourir sa combinaison en lui pelotant sa volumineuse poitrine avant de s'engouffrer en elle, sur son intimité et au fond de sa gorge, quand elle pouvait sentir les spermes et les liquides blanchâtre envahir son estomac en s'écoulant à l’intérieur de sa trachée et que son ventre était entrain de prendre du volume en se remplissant tel un ballon de ballon de baudruche emplie avec de l'air. Ses longs gémissements plaintif et cris de détresse pouvait être perçue depuis le fond de la caverne à partir de la nuit tombée car durant la journée, ses agresseurs ténébreux l'enveloppait dans un genre de cocon de chair putride et coupait tout contact a l'extérieur, les seuls bruit que des humains normaux pouvait remarquer était perçue pour eux comme étant un vent soufflant sur un feuillage d'arbre alors que pendant ce temps, la pauvre nonne était agglutinée par un nombre incalculable de filament tentaculaire aussi fin qu'une racine de plante, durant ce temps, elle donnait naissance à sa progéniture en laissant ses petits monstres quitter son organe génitale. Pour survivre, la jeune femme n'avais de choix que d'avaler les liquides blanchâtre que déversait au fond de sa gorge les tentacules de ces êtres humanoïdes.
NON... !!
La jeune femme secoua sa tête pour chasser ces mauvais souvenirs de ses pensées en restant concentré sur ce qu'elle devait faire actuellement, mais ce n'était pas évident, elle n'avait pas de topographie exact des lieux, ni de carte pour se repérer ni de boussole pour s'orienter. Elle ne faisait confiance qu'a son instinct féminine, bon on est d'accord, elle n'est pas très futé dans la réalité mais elle pouvait faire preuve d'intelligence dans le besoin. Alors que la demoiselle tournait en tous sens pour visualiser sa position sur le terrain, un cri déchira le silence de la foret, cela n'avait pas l'air d'être un animal à l'agonie entrain de se faire égorger mais plutôt d'une voix assez grave avec une tonalité assez forte, comme par exemple le cri d'un humain pris au piège avec son agresseur en face de lui. Sans l'ombre d'une hésitation, la jeune femme se rua vers la source de l'anomalie en courant, elle ne risquait pas de tomber dans sa course car le sol était meuble et non dure comme des pavés, ses cuissardes projetant des flaques de boues qui salissait un peu sa tenue au passage mais elle n'y fit pas attention et poursuivit son chemin sans s’arrêter. Malheureusement pour lui, elle arriva trop tard et vis l'homme s'écrouler au sol comme étant sans-vie, elle vis son opposante qui apparaîtrait sous les traits d'une femme ?? Ce fut un choc pour la nonne, elle qui avait eut affaire autrefois par des créatures infernales d'allure masculine ne s'attendait pas a ce que son ennemie soit une opposante féminine...
Peu importe sa véritable nature, cet femme avait commise une faute grave en s'en prenant à un homme et elle devait recevoir la sanction réservé au criminelle de son genre. Elle joignit ses mains comme si elle priait et prononçât une incantation en psalmodiant une formule mystique qui est censée lui faire recouvrer ses facultés.
La Jaeger concentra de l'énergie pure en refermant ses phalanges et canalisa son énergie dans ses poings en faisant s'illuminer ses gantelets de fer (http://auto.img.v4.skyrock.net/6586/74206586/pics/3242913136_1_3_o1KRmITp.jpg)
Counter-knuckle !
La prêtresse de Shinto se jeta sur la ténébreuse demoiselle elle agrippa d'une poigne gauche dans sa vivacité la main du spectre et envoya un direct du droit vers l'abdomen en se servant de sa jambe comme appuie en y enfonçant la botte droit dans la vase humide afin de garder l'équilibre et vis son poing droit gorgé d'énergie mystique s'enfoncer dans le ventre du sinistre personnage, elle ignora si son adversaire avais perçue des dommages ou non mais elle espéra lui avoir fait mordre la poussière a cet être surnaturelle qui être paraissait surnaturelle...
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Face au corps endormi du chasseur, Sarah réfléchissait à la suite. Pouvait-elle encore continuer à développer son nid à Morwynck ? Elle craignait que les Tekhanes, de plus en plus entraînées, ne finissent par la repérer, et n’attaquent... Il lui était de plus en plus difficile de développer ses bio-infestations. Les faire prenait énormément de temps, que ce soit pour repérer un site utile, ou tout simplement pour pondre. Sarah s’était beaucoup investie à Morwynck, village dans lequel elle vivait depuis plusieurs semaines. Elle avait utilisé les fluides sexuels pour que les satellites tekhans la repèrent plus difficilement, et, pour l’heure, son projet avait marché. Cet homme avait bien failli lui échapper... Fort heureusement, Sarah Kerrigan était une Annexienne puissante, disposant de multiples pouvoirs. Outre ses capacités psioniques, elle pouvait aussi prendre une accélération subite, lui permettant de parcourir rapidement de grandes distances. C’est ce qu’elle avait fait pour rattraper Jean, et elle avait eu de la chance que l’homme se prenne une branche en chemin.
Alors qu’elle inspectait son corps, Kerrigan sentit brusquement une autre présence. Elle eut à peine le temps de se retourner qu’elle entendit un cri, puis se reçut une violente charge dans l’abdomen qui l’envoya s’étaler à travers les buissons. Une attaque magique qui l’avait frappé au ventre, et l’envoya dans les fourrés, où elle renversa plusieurs branches, avant de se relever rapidement, un sang violet s’échappant de ses lèvres.
« Décidément... Cette forêt est bien trop remplie, mais ça tombe bien... J’avais besoin d’action... »
Toute la difficulté viendrait du fait qu’elle ne pourrait pas utiliser trop de ses pouvoirs psioniques, sous peine, encore une fois, d’amener sur elle le regard des Tekhanes. Sarah avait devant elle une mystérieuse femme en combinaison de latex violet, une tenue moulante avec des cuissardes noires. Un appel au viol qui lui fit instantanément penser à une Tekhane... Dotée de pouvoirs magiques. Une soldate spéciale ? Une espionne ? Sarah le pensait... Elle ne voyait pour l’heure aucune autre explication, et bondit à son tour vers elle, utilisant une accélération subite.
Elle atterrit devant la femme, à toute allure, en moins d’une seconde, et la saisit à la gorge, puis l’envoya se plaquer violemment au sol.
« Tu es qui, toi, ma beauté ? Un autre sac à foutre pour mes bébés ? »
Les pattes arachnéennes de Sarah s’étaient déployées, et sa poigne était solide, cherchant à étrangler la femme afin de la neutraliser... Pendant qu'elle continuait à l'immobiliser avec sa main, avec l'autre, elle entreprit de masser l'un des ses seins, appuyant dessus, le serrant lentement entre ses doigts. Par ailleurs, maintenant qu’elle voyait son couvre-chef, elle se dit que cette femme ressemblait plus à une nonne... Une nonne particulière, en latex, mais, à Terra, plus grand-chose ne pouvait véritablement surprendre Kerrigan. Tout était possible, et elle était bien placée pour le savoir.
N’en était pas elle-même la plus belle démonstration ?
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Seika l'avait pratiquement envoyer valser vers les fourrés, fière de son geste, elle n'avait pas perdue sa dextérité d'antan et ses compétences en matière de combattante, ses coups étais toujours efficace et comme c'était la première fois qu'elle s'attaquait à une femme, la demoiselle s'était dit qu'elle aurait du y aller doucement avec elle... Mais elle eut tort d'avoir baisser sa garde juste après son attaque car en moins de quelques seconde d'inattention, elle ne vit rien arriver mais en deux temps trois mouvement, elle se retrouva plaquée a terre et à la merci de l'ennemie... Cet femme était quelqu'un de très forte et avait sans doute l'expérience du combat et l'art de la guerre en elle, à coté de celle-ci, Seika passait pour une débutante. Ne tenant pas à se laisser faire, elle voulut réagir mais peine perdue elle n'était pas manifestement de taille à lutter contre elle, la jeune femme était à court d'idée et elle devait essayer de se libérer au plus vite de l'étreinte de son agresseuse. Elle sentit la lourde poigne lui entraver la gorge au fur et à mesure comme si elle cherchait à l’étouffer, elle tenta désespérément de lui retirer sa main mais pas moyen... Son assaillante se mit à lui pétrir un de ses seins et quand elle sentit le latex se déformer sous les gestes volontaire de l'être enchantée, elle devint rouge comme une tomate et se mis a gémir d'embarras mais suite au remarque de son ennemie, elle voulu la prendre au mot, histoire de tester un peu sa réaction et voir si elle était vraiment capable de lui faire subir ce qu'elle avait rétorquer à l'instant car un avec un peu de chance, elle pouvait surement se libérer de son emprise afin de profiter de ce court instant d'ouverture pour lui faire une prise de soumission.
Je suis Seika, la prêtresse purificatrice ! et voyons voir si tu parviens à me pénétrer avec ta semence en moi et à me faire germer tes soi-disant "bébés dans mon sac à foutre" comme tu dis !
La nonne aimait provoquer ses adversaires car c'est souvent grâce à ça quelle pouvait parfois retourner une situation perdue d'avance à son avantage mais il fallait aussi jouer le jeu pendant encore quelque minute car il était important de ruser avec l'ennemi et au moindre faux-pas , son plan serait tombée a l'eau. Il ne restait plus qu'a attendre la fameuse réponse de son opposante et après cela, il s'agira de trouver une solution et préparer un plan B si l'astuce précédente ne devait pas marcher comme il se doit.
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La femme tenta de se débattre, mais la poigne de Kerrigan était solide. Une poigne d’Annexienne, et Sarah en profitait pour palper ce corps aux formes généreuses. Les combinaisons en latex, souvent la marque de fabrique des Tekhanes, avaient pour elle l’avantage de mettre parfaitement en valeur les formes des femmes les portant, et, en l’état, on ne pouvait pas dire que cette curieuse nonne, habillée comme une prostituée, ait été lésée par la nature. Sarah palpa son sein, pinçant rapidement sont éton, et vit les joues de la nonne s’empourprer, tandis qu’elle se mit à gémir. Ce faisant, la résistance dont elle sembla faire preuve sembla quelque peu diminuer, avant que cette dernière ne croise le regard de la Reine des Lames, et ne se mette à parler :
« Je suis Seika, la prêtresse purificatrice ! Et voyons voir si tu parviens à me pénétrer avec ta semence en moi et à me faire germer tes soi-disant "bébés dans mon sac à foutre" comme tu dis ! »
Seika la « prêtresse purificatrice » ? Kerrigan n’avait jamais entendu parler de cette fille. Ce nom ne lui disait absolument rien, mais le reste de sa tirade la fit sourire.
« Je fais toujours ce que je dis, Seika, prêtresse purificatrice... »
Sarah la souleva alors, la tenant par la gorge, et la balança alors comme un fétu de paille. Sarah disposait d’une force surdéveloppée... Pas de quoi soulever des meubles, mais suffisamment pour se battre contre de simples humains. Seika heurta un arbre à proximité, et, avant même qu’elle ne puisse tomber sur le sol, Sarah était déjà à nouveau sur elle, s’étant à nouveau déplacée à toute allure. Elle retourna étrangler la femme, enfonçant ses griffes dans sa nuque, recouverte par son espèce de col blanc, et, avec son autre main, elle caressa ses hanches. Cette femme était très belle, en plus d’être ferme. Elle ferait une magnifique pondeuse pour ses bébés... Mais il fallait encore la ramener près du nid. Elle aurait plus de facilités pour la prendre dans tous les sens. De fait, ce qui ennuyait surtout Sarah était la magie de Seika. Difficile de la violer si Seika pouvait à chaque instant lui balancer une décharge magique. Kerrigan en avait reçu une dans le ventre, et elle devait admettre que c’était... Douloureux.
Elle ne voulait prendre aucun risque, et alla donc au plus simple. Elle serra davantage la gorge de la femme, afin de l’étrangler, de la faire tomber dans le coma... Ainsi, elle pourrait la ramener dans sa Ruche, et pleinement profiter d’elle, sans trop de risque que sa magie puisse interférer dans ses plans...
Naturellement, tout cela dépendait de sa capacité à maintenir Seika immobilisée, car Sarah était sensible à sa magie.
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Incroyable mais vrai, cet femme avait une force de Gorak ! (une tigresse à dent de sabre) Même la prêtresse-Jaeger n'arrivait pas à lui faire face et ce, en dépit de ses entraînements, elle ne s'attendait pas à combattre des adversaires de ce calibre, elle qui pourtant avait prévu de renverser la situation à son avantage et bien, c'est raté malheureusement. Elle essaya de se mouvoir tant bien que mal mais son agresseuse ne lui en laissa pas le temps, l'inconnue continua de s'amuser avec elle pendant un moment en la palpant, la nonne poussa un petit cri aigu comme une souris mais alors comme si il ne s'agissait que d'un jouet déglingué et qui n'avait aucune utilité spécifique, elle balança Kamori au loin d'un seul mouvement. Celle-ci heurta violemment un arbre de dos et une vive douleur l'irradia immédiatement, la nonne eut gravement mal mais alors qu'elle atterrir sur le sol, son ennemie bougeât aussitôt à grande vitesse et l'agrippa fermement une nouvelle fois en lui empoignant la gorge. L'air commençait à lui manquer et ses réserves d'oxygène pulmonaire était en train de se tasser devant le passage de la circulation sanguine avec les globules rouges, la jeune femme tenta de se débattre en tapant sur le bras de l'être enchantée mais peine perdu, ses forces la quittèrent peu à peu... Elle voulu inspirer et expirer de l'air par la voie orale mais ça ne lui était pas possible, ses yeux se révulsèrent et ses pupilles disparurent derrière ses paupières, sa bouche s'entrouvrit tout seul, laissant échapper un long filet de bave depuis ses lèvres en s'écoulant sur son col avant de stopper sur la généreuse poitrine de la jeune femme, ses mains devinrent fébrile et tombèrent le long du corps en pendant mollement vers les cuisses, la jeune femme avais perdue connaissance et semblait plongé entre la vie et la mort.
(...)
Elle était à présent à la merci du monstre, et désormais son assaillante en fut victorieuse. La conscience humaine de Seika était plongé au loin dans un cauchemar vivant, elle pataugeait sa couche dans une cuve organique ou grouillait ses progénitures, des milliers de vers répugnante et visqueuse, ce fut une horrible sensation que de demeurer vivante en assistant à cet scène d'animation en constatant et horreur.
Kamori avait donnée naissance malgré elle à une importante portée de jeune vers avide de pénétration sur leurs maîtresse. (http://auto.img.v4.skyrock.net/6586/74206586/pics/3243302598_1_3_wbhCCufb.jpg)
Personne ne s'en doutait encore mais pour la jeune prêtresse-purificatrice, le cauchemar ne faisait que commencer et seul Celui-qui-est pouvait savoir ce que lui réservait sa tyrannique opposante, et puis de toute manière pour la nonne qui était plongée dans le coma, tombée enceinte à cause de créature nuisible n'était pas la première fois, elle avait déjà eut des relations sexuels avec d'autres forme de vie similaire à son ennemie donc elle en était assez expérimentée sur le sujet et donner naissance à des petits bestioles de forme variable, elle s'y était déjà préparer et n'attendait que ce moment là.
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La vaine résistance de Seika disparut au bout des doigts de la Reine des Lames, et la femme s’écroula silencieusement, sombrant joyeusement dans l’inconscience. Sarah s’était contentée d’appuyer, et eut la joie de ne voir aucun sort magique jaillir des paumes gantées de Kamori. La mystérieuse « prêtresse purificatrice » s’effondra d’un seul bloc, et Sarah la regarda lentement... Puis entreprit de la violer. Elle se coucha sur elle, contre son corps endormi, et remua d’avant en arrière, donnant de violentes coups de reins, et constata rapidement une étrange particularité génétique chez cette femme... Sa combinaison de latex était « soudée » à sa peau, comme si sa peau n’était que cette combinaison. Impossible de la retirer, et, pourtant, elle avait bien une vulve... Sarah n’avait encore jamais rencontré ça, et elle se promit de se renseigner davantage sur cette fleur. Loin de la réfréner, le fait de baiser avec un corps en latex renforçait son excitation, galvanisait son désir, et elle la défonça davantage, soupirant et gémissant contre son corps endormi, jusqu’à atteindre un orgasme.
« Hunnn... Hnnnn !! »
Il lui fallut quelques minutes pour jouir joyeusement, s’abandonnant dans le corps de la femme, déversant son foutre chaud en elle. Sarah soupira ensuite, puis se redressa lentement, s’extirpant du corps endormi de la femme.
« Bien, bien... Il est temps de passer à la suite, maintenant, petite femme... »
Tout cela n’était qu’un prélude, et, maintenant que Kerrigan venait de violer la femme sans qu’elle ne réagisse, elle pouvait maintenant passer aux choses sérieuses. C’est ainsi que, la prenant entre ses bras, Sarah la souleva lentement, puis marcha, quittant cette partie de la forêt, afin de rejoindre Morwynck, et son refuge. Dans ses bras, le corps chaud de Kamori battait contre le sien, et la vie pulsait dans son ventre...
Kamori se réveilla dans une cuve organique, au milieu de multiples larves... Faute d’avoir un bassin génétique encore très opérationnel à Morwynck, Sarah était obligée de s’adapter, d’où le recours à cette chose. Silencieuse, la Reine des Lames avait laissé à la femme-latex le temps de se réveiller, et, quand ce fut fait, elle lui laissa encore quelques secondes avant d’agir.
En claquant des doigts, elle fit jaillir des tentacules, qui saisirent alors Kamori par les bras, et la soulevèrent, d’autres venant ensuite s’enrouler autour de ses chevilles, la mettant en position de croix devant Sarah, au milieu d’une grande salle.
C’était la nef de l’église, son nid, et il était rempli d’excroissances formiennes et d’œufs.
« Tu viens de donner naissance à ta première portée, Kamori... Et je suis impatiente de continuer à t’engrosser, maintenant que tu es devenue ma pondeuse. »
Sarah venait de parler sur un ton sensuel, et marcha lentement devant elle, roulant agréablement des hanches, faisant alors pointer, entre ses cuisses, une belle verge violette. Un sourire sur le coin des lèvres, la Reine des Lames dominait la scène, et vint caresser la joue de Kamori, puis glissa sa main sur son corps, frottant son latex violet.
« Est-ce que tu en as envie, Kamori ? Que je t’engrosse comme une grosse pute ? »
La Reine des Lames voulait une réponse... Même si elle se doutait déjà de ce que la femme pensait...
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Quel horrible et méprisable journée, décidément la jeune femme devait s'attendre a tomber quasiment que sur des imprévus, elle qui pensait faire un escale dans le prochain village qui apparaîtrait sur sa carte afin d'y trouver le gite et le couvert pour la nuit et reprendre la route après avoir bien récupérée, manque de chance, ça ne sera malheureusement pas le cas. Elle qui pensait au début secourir cet homme qui fut agresser par cet étrange assaillante en mettant hors d'état de nuire son adversaire, les rôles se sont bizarrement inversés car finalement, ce fut elle-même qui à était maîtrisée en tombant dans le rôle de la victime après s’être fait battre à plate couture... La jeune femme entrouvrit que durant quelque secondes paupières pour voir ce qui se passait mais elle ne vis pas grand-chose si ce n'est qu'elle sentait tout autour d'elle du mouvement, beaucoup de chose lisse et molle semblait ramper sur son corps en glissant ça et là en parcourant sa combinaison, la nonne voulu esquisser un déplacement mais son corps semblait lourd et fatigué, elle ne pouvait faire autrement que rester sur place et tenter de savoir ce qui se passe, sa tête démontrait des signes intempestifs d'étourdissement comme si elle avait inhalé ou ingurgiter une substance toxique ou que tout simplement qu'il ne devait s'agir d'un genre d'aphrodisiaque particulier, enfin bon, dans tous les cas, elle sentis du mouvement sur son ventre, Kamori se demandait ce qui n'allait pas, elle pencha son regard vers le bas-du-corps et ce qu'elle vis la stupéfia un instant, son ventre faisait environ la taille d'un ballon et quelque chose avait germer à l'intérieure. Prise de panique, elle comprit ce qui lui arrivait, en voyant tous cet amas grouillante de bestioles rose et maronnasse, ces insectoïdes provenait de son organisme et pour cause, son ennemi devait surement et volontairement y être pour quelque chose. Elle ne pouvait malheureusement rien faire, son abdomen bien garnie ne lui permettait pas de se mouvoir... Elle ne devait qu'attendre de finir de "pondre", les contractions fut tellement sévère qu'elle se sentait douloureusement ballotter comme si ses petits monstres voulait lui déchirer ses entrailles afin de s'extirper de ce piège ventrale qui les retenaient prisonniers.
Kamori dut longuement lutter pour ne pas crier comme une folle ni hurler comme une hystérique, apparemment c'était peut-être ce qu'attendait son adversaire, comme celui de la faire craquer mais Seika n'était pas encore arrivée au bout du rouleau car son plaisir ne faisait que commencer et il serait dommage que la nonne ne puisse pas pleinement profiter de la fête. Ces immondices suintante et visqueuse glissèrent de son intimité avec aucune douceur mais avec une envie de se balader à l'air libre mais comme pour leur frère bactérienne, ils allaient devoir se bousculer. Ce calvaire dura environ une bonne heure et lorsque la dernière bestiole s'était extraite de la zone ventrale, l'abdomen imposant tantôt de la prêtresse-Jaeger avait rapidement diminuer pour revenir à la normal, la jeune femme littéralement épuisée sentait encore la cyprine surtout les contours de sa combinaison et baignait toujours dans sa mouille avec les réjections gluantes des mini monstres ainsi que dans le liquide poisseux de sa cuve.
Peu après, quelque chose se produisit dans son bain de fluide répugnante, elle sentait qu'on la redressait, pourtant elle n'avait plus la force de se mouvoir, elle entendit alors une remarque contre son insu et dont elle parvint à en identifie immédiatement la voix, c'était elle ! Aucun doute là-dessus. Kamori avait devant elle la responsable de ce viole collectif, ne s'attendant pas vraiment à la complimenter sur ses agissements tordus mais elle le remercia quand même comme tout bon jeune fille qui se respecte entre gente féminine. Enfaîte, son adversaire n'était pas si forte qu'elle en avait l'air hormis sa vitesse qui la dépassait largement en effet mais sur le plan sociale (encore si elle voulait la draguer) elle n'était pas du tout douée pour la parlotte et la présentation, franchement elle faisait pitié car elle s'était mise plonger son instrument en elle en la rejoignant dans la cuve, Seika sentait la sueur perler à grosse goutte de son front mais surtout elle se sentait terriblement excitée et mit à jouir au fur et a mesure du mouvement de va-et-vient de son ennemie en elle.
Huuu.... mmmmmhhhh... aaaahhhhhhhh... je... me s... sens si b... hhannnnnn.... si bien....
La jeune femme avait perdu connaissance durant une demi-heure après sa parade nuptiale avec la femelle et rouvrit enfin les yeux quand elle entendit le commentaire de la vilaine femme, des tentacules la maintenait hors de la cuve juste au-dessus du liquide repoussant, elle sentit le "gourdin" glisser sur sa cuisse, elle baissa vite fait la vue pour remarquer cet étrange pénis qui pointait hors de la femme hybride puis elle se tourna vers son agresseuse.
Ta pondeuse ? m'engrosser ? ma pauvre franchement, tu me fais pitié ! tu ne m'aucunement enfanté et de plus il ne s'agit pas d'une vraie ponte. Je dois t'avouer qu’enfaîte je n'ai rien senti. Je pensais tombé sur un adversaire valable et plus sure mais en voyant ce que tu fais et ton niveau de ponte pas très amélioré et limitée, je dois dire que ça ne me surprend pas !
Elle se mis à ricaner exprès malgré qu'elle était prisonnière des griffes de cet sorcière irascible, elle savait pertinemment ce qui risquerait de lui arriver si elle continuait éperdument de jouer sur le ton de la provocation, pondre des œufs, donner naissance à des créatures de cauchemar, elle s'en foutait loyalement, la nonne fugitive fut désormais devenue une prostituée assoiffée de viole, de couche et une répugnante "pondeuse" si elle devait reprendre le terme de l'autre fille.
Sérieusement, si un autre mâle ou femelle devait me violer, me mettre enceinte ou me déchirer l'intérieure ou mes entrailles, je serais en extase et franchement, j'aurais trouver un talon à mon pied ! Mais avec toi, ça reste à voir. Montre-moi comment tu parviendras à me pousser dans mes retranchements dans cet même cuve avec mes enfants. Mon corps est à toi, je t'attend !
Seika souffla une bouffée d'air et inspira profondément de l'oxygène et attendit la suite des événements.
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Cette femme était vraiment très spéciale... Attachée devant Sarah, plutôt que de l’amadouer, elle la narguait, la provoquait, comme pour l’inciter à la baiser davantage... Du moins, c’était comme ça que Sarah interprétait ses réactions, la manière dont elle parlait et se comportait. Elle serrait entre les tentacules, arguant n’avoir rien senti quand Sarah l’avait baisé... Ce qui n’était pas étonnant, vu qu’elle avait été engrossée pendant son sommeil. Proche d’elle, la Reine des Lames reniflait le corps de cette femme. C’était bien du latex, son odeur, mais c’était comme si la combinaison avait fusionné avec sa peau. Il fallait l’admettre, c’était très impressionnant. Est-ce que cette femme était une sorte de pute tekhane nouvelle génération ? Sarah avait de plus en plus de mal à se rendre à Tekhos, maintenant, et elle n’était donc pas au fait de toutes les évolutions qui survenaient dans l’État futuriste. Quoi qu’il en soit, ce genre de bizarreries étaient vraiment typiques de l’imagination débridée et perverse de ces femmes perpétuellement en manque.
Ses mains se posèrent sur les seins de Seika, et elle les pinça, à hauteur des tétons, les coinçant entre deux doigts. La femme avait ses exigences, voulant se faire baiser dans la cuve aux vers et aux larves grouillantes. Souriant délicatement, Sarah se pencha vers elle, son sexe caressant ses cuisses, glissant sur ce latex.
« Tu es une salope en manque, ma sœur... J’ignore quel est ton clergé, mais il ne doit pas enseigner la chasteté éternelle... »
Elle se pencha vers l’un de ses seins, et entreprit de le suçoter, mordillant ce latex. C’était... C’était sincèrement très spécial. La Reine des Lames avait l’impression de baiser une poupée en latex vivante, et, tout en suçotant son sein, sa main glissa dans le dos de Kamori, caressant sa chute de reins, pour venir peloter l’une de ses fesses, la pressant et la caressant, frottant généreusement cette dernière, la massant et la malaxant. Elle releva ensuite la bouche, et renifla le cou de la femme, léchant sa peau, venant un peu la frustrer. Ses bébés lui manquaient ? Pas besoin d’être télépathe pour sentir ô combien cette femme était une perverse. Comme quoi, partout sur Terra, même dans une forêt profonde, on pouvait trouver des perles rares.
« Je dois admettre que j’adore ta tenue, Kamori... Très particulière... Et, puisque tu ne demandes qu’à te faire défoncer... »
Sarah n’avait pas encore l’intention de la satisfaire en la plongeant dans la cuve aux larves... Pas encore. Au lieu de ça, elle posa ses mains sur ses hanches, puis guida son sexe en elle, et, d’un coup, en vint à la pénétrer. Son membre, roide et dur, s'enfonça en elle, et tout un frisson traversa Sarah. Du latex... Il filait à l’intérieur, à tel point qu’elle se demandait si cette femme n’avait pas été conçue avec du latex dans son organisme. Pour autant, elle sentit, au bout de sa verge, une texture plus douce, plus molle, moins lisse, plus reconnaissable... Mais, en l’état, c’était bien du latex qu’elle était en train de défoncer. Elle se pressa contre ce corps, glissant sur cette texture, et remua son corps d’avant en arrière, pénétrant joyeusement et rudement Kamori, amenant son corps à bondir d’avant en arrière le long des tentacules qui l’immobilisaient.
La Reine la prit donc, joyeusement, en grognant et en soupirant, accélérant progressivement le rythme de ses pénétrations.
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Kamori semblait perdre peu à peu son esprit dans sa lutte, jamais aucune femelle auparavant ne l'avait ébranlée aussi profondément et surtout avec un plaisir aussi intense hormis sa mentor porté disparue (Seika n'était encore qu'une gamine à l'époque donc sa grande sœur avait pour habitude de seulement la chouchouter en raison de sa jeune age), Seika s'était toujours gardée de ne pas s'approcher des autres femmes car elle savait bien qu'elle n'appartenait qu'à une seule dame parmi les millions de jeune filles vivant sur Terre, mais après ce qui lui est arriver, elle avait décider de ne plus rester camper sur sa position, si une personne qu'on aime est parti pour de bon dans le deuxième monde, il n'y a donc aucune chance de la revoir ! La nonne avait bien ouvert les yeux et sa vie avait pris une tournure bien différente de son passé. Sa nouvelle partenaire semblait avoir vu clair dans son jeu et c'était tant mieux, il faut dire que la prêtresse-Jaeger était vraiment douée dans l'art de la persuasion et de la manipulation, elle avait parfaitement calculer son coup quand elle avait brandit ces mots face à son adversaire, si elle s'énervait en tentant de lui faire comprendre que le geste demandé est en faite ce qu'elle voulait, la fille alien produirait alors le mouvement inverse de ce que la nonne n'avait pas prévu ! autrement dit, tout n'était que question du contraire, une personne de mauvaise humeur aboyant comme un chien face à un autre homme mais l'autre personne n'agirait pas de cet manière en s’énervant à son tour, lui au contraire se montrerait doux et calme et ne voudra pas agir avec la violence et discutera calmement afin de trouver un arrangement. Kamori cessa aussitôt de prendre la grosse tête et se mit à sourire en la laissant faire, elle sentit les mains de son assaillante parcourir sa poitrine, elle se mit à glapir comme une lapine quand elle ses seins se fit prendre d'assaut par les succions de son ennemie et rougis en fermant les yeux.
On ne m'a rien inculquée là d'ou je viens... Ce que tu est entrain de me faire subir, je l'ai souhaité volontairement et de mon plein gré.
Elle se pressa alors contre elle en l'entourant de ses bras couvert du revêtement plastifié coloré et lui vendit son corps, la sensation qui en émanait de cet scène ne la laissait pas indifférente, une relation harmonieuse entre deux femmes équivalait largement à celui d'un homme qui lui dans le sens contraire de la réalité n'employait aucune douceur et se montrait parfois un peu trop agité voire violent. Elle cessa de rester anxieuse et regarda à nouveau le pénis lui toucher délicatement l'intimité, la jeune femme prit une inspiration et mit ses mains sur les épaules de l'étrangère parce qu'elle savait ce qui allait se passer et elle ne devait pas prendre le risque de déraper durant la suite des événements.
Je t'en remercie et je suis certaine que tu meurt d'envie d'en endosser une tenue similaire à la mienne sur ton corps. Si j'ai dis ça, c'est parce que ce fut bien la première fois que je fais l'amour avec une fille ! mais quel est ton nom déjà ?
Seika voulu continuer la conversation mais les mouvements brusques de l'inconnu devinrent rapide et continuel, le gourdin s’immisçait profondément en heurtant pratiquement sa parois vaginale, elle ne pouvait plus maintenir son regard face à la sienne et s'écroula la tête sur son épaule en gardant la station debout en haletant bruyamment, ses seins se pressèrent sur la poitrine de l'autre demoiselle, la jeune femme sentit les répercussions du "gourdin" à l'intérieure de son organisme, ses viscères fut un peu secoués et elle manqua de peu de vomir et du garder sa main gauche gantée sur sa bouche afin d'éviter de gerber, cet alien n'était pas définitivement une fille normale, elle à un sacré tempérament et du caractère. Mais que comptait faire cet fille avec ces milliers de bestioles, en tout cas si c'est entendre un objection connu depuis la nuit des temps comme conquérir le monde, elle devrait laisser tomber cet idée car elle n'ai pas la seule à avoir ce rêve d'autres imbéciles dans le monde souhaite la même chose et donc elle devrait bien changer de disque.
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Les tentacules immobilisant les bras de Kamori se desserrèrent un peu, ce qui permit à la femme de se blottir contre elle. Hum, que ce latex était bon ! Sentir cette texture frotter son corps était quelque chose de délicieusement agréable... Elle avait un corps frais et tendre, doux et collant. Son uniforme rebondissait contre sa chitine, et elle continuait à la prendre, d’avant en arrière, remuant de plus en plus profondément en elle. Kamori essaya de parler, d’obtenir son identité, mais Sarah, trop excitée, répondit en la pénétrant, la baisant sur place, sans s’appuyer contre quoi que ce soit. Ses bras maintenaient le corps de la femme, et son bassin ondulait d’avant en arrière. Elle se faisait énormément plaisir, savourant ce corps tendre et glissant, se frottant contre cette dernière. Sa queue s’enfonçait en elle, impériale et magistrale, défonçant son intimité, déformant les parois de latex. La sœur gémissait contre elle, ne pouvant désormais plus masquer son plaisir, un plaisir qui était fort et de plus en plus intense.
Tout en la prenant, Sarah allait l’embrasser, enfonçant sa langue dans sa bouche, une main sur ses cheveux, ses pattes arachnéennes ne tardant pas à venir en renforts, s’appuyant sur le dos de la femme, plaquant ainsi son corps contre le sien, remuant en elle. Les pattes appuyaient sur le corps de Kamori, avant de se retirer, puis de s’appuyer à nouveau. Une patte était posée sur les fesses de Kamori, et, de cette manière, la femme continuait à la prendre.
« Hmmm... !! »
Que sa bouche était bonne ! Que ce corps chaud et trépignant d’excitation était jouissif ! Sarah la prenait, griffait ses fesses, appuyant dessus, revenant continuellement sur ce cul bien moulé, et elle rompit le baiser, haletant et soupirant. Plus le temps passait, et plus son envie de baiser cette femme était forte, ce qui finit par la conduire à se coucher sur le sol, et à remuer de haut en bas, défonçant l’intimité de la jeune femme. Couchée sur le dos, Seika ne pouvait que supporter les assauts de Sarah, à même le sol, ses pattes arachnéennes venant se poser de part et d’autre de leurs corps, faisant office d’appui. La Reine des Lames était intense et nerveuse dans ses gestes, soulevant et abaissant son corps, le latex glissant contre sa peau, ou s’y collant parfois, entraînant Seika à la suite de Kerrigan. La Reine remuait d’avant en arrière, de bas en haut, par des coups de reins de plus en plus forts, de plus en plus solides, de plus en plus intenses. La ménager ne faisait clairement pas partie de ce que Kerrigan envisageait.
Elle remuait en elle, d’avant en arrière, une verge grosse et tendue, la baisant à même le sol, sèchement et lourdement.
« Hnnnn... Ta.. Ta Reine, Seika... Voilà ce que je suis... Haaaa... La Reine des Lames ! »
Et elle donna des coups de reins supplémentaires en elle, comme pour ponctuer cette assertion. Sa Reine, oui... Que pouvait-elle être d’autre ?
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Seika s'était laissée prendre au jeu de la demoiselle inconnu et n'arrivait plus a parler si ce n'est que pousser des couinements aigus et des gémissements plaintifs, l'étrangère continuait toujours ses harcèlements sexuels et semblait ne pas vouloir la libérer, la prêtresse-Jaeger n'était plus qu'un objet vivant et animé, un instrument de plaisir servant à apaiser sa nouvelle maîtresse. Elle sentait les mouvements de va-et-vient d'abord de manière imperceptible puis quand celle-ci s'enfonça au loin dans son organe génitale, elle poussa un cri sensuel en se léchant la lèvre du liquide qui l'en maculait et respira doucement puis le plus lentement possible, son corps était en chaleur et son cœur battait a vive allure. Les étranges pattes qui lui ceinturèrent le corps ne lâchait pas prise car maintenant que sa proie était prise au piège dans sa toile, il ne restait plus qu'a la savourer pleinement en la dévorant (d'ailleurs, c'était exactement ce qu'elle faisait). Quand Kamori sentit son abdomen se faire perforer de ce manière a l'intérieur d'elle en se faisant pénétrer de cet façon, elle cru que son ennemi était entrain de lui déchirer les entrailles... Surtout avec ce gourdin épais en utilisation... Elle sut assez mal quand elle sentit cet queue lui toucher avec aucune délicatesse mais avec plus de dureté et de vigueur les parois de son intimité surtout dans sa profondeur mais au lieu d'hurler de douleur, elle ne fit qu'étirer sa langue au fur et a mesure du geste qui se répétait pratiquement avec en prime avec le visage tout écarlate par l'excitation et aussi avec cet expression de truie qui lui peignait le regard quand elle se faisait sauter.
Je... J.. Je le sens bien !!!... oh.. mais je. je le sens bien !....emplie-moi de ta sueur et de ton jus...
Tonitruât-elle pour elle-même durant chaque remontée.
Les mains et les bras de Seika devinrent fébrile, elle n'arrivait plus à se coller a sa partenaire érotique, sa coiffe de nonne glissa de sa tête et tomba au sol, mais la jeune femme ne glissait puisque la demoiselle du pseudonyme "La reine des lames" l'a maintenait contre elle durant toute la manœuvre, a jeune femme était pathétique a voir, ce gourdin qui lui déformait quasiment le ventre, les talons haut de ses cuissardes qui crissait sur le sol lorsque ses jambes touchait le sol après chaque contact, l'excitation qui montait en elle a vitesse grand V. Que dire de plus ?... si ce n'est qu'elle adorait ça et qu'elle ne pouvait plus s'en passer... Seika espéra que sa partenaire lui en fera voir de toute les couleurs et qu'elle le défoncera encore plus violemment que ça au tour suivant en lui grossissant l'abdomen au plus tard, elle avait hâte d'enfanter avec sa partenaire un monstre ou une créature diabolique voire hideuse. Pour le moment, elle avait encore tous son temps pour ça.
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Comme quoi, on pouvait trouver quantité de créatures fascinantes sur Terra, pour peu qu’on cherche un peu. En l’occurrence, Sarah Kerrigan était tombée sur un sacré numéro. Cette poupée de latex était une création peu commune, et baiser du latex, quoi qu’on en dise, était toujours aussi excitant. La Reine des Lames avait sincèrement l’impression tenace de coucher avec une poupée, de baiser du latex qui aurait pris vie... Et ça, ça n’avait pas de prix. Sarah s’enfonçait en elle, une main sur ses fesses, l’autre sur sa nuque. Ses cheveux se dévoilèrent quand le haut de sa tenue tomba sur le sol, sous les mouvements et les coups de bassins de l’Annexienne. Ménager cette femme ne faisait pas partie des plans de la Reine des Lames, et elle continuait à la prendre, encore et encore, sa grosse verge se perdant en elle. Ce n’était évidemment qu’un début, car Kerrigan avait une endurance sexuelle qui était tout simplement surnaturelle. C’était là une conséquence de son statut de Formien. Les Formiens avaient en effet incorporé depuis fort longtemps à leur patrimoine génétique des espèces insectoïdes capables de faire l’amour pendant des jours entiers sans jamais s’arrêter. L’étude du monde des insectes était fascinant, car il permettait de voir bien des choses qui dépassaient la fiction. Sarah savait que les Tekhanes menaient d’intenses recherches sur ces créatures, mais, sur ce point, elles n’étaient que des enfants face au savoir-faire formien. La belle Seika n’était qu’une autre des innombrables amantes et pondeuses de Kerrigan, et toute la résistance dont cette créature violette aurait jadis pu faire preuve s’était maintenant totalement envolée. À la place, il ne restait plus que des cuisses offertes, et un joli lot à ramener à la Fourmilière. Sarah ne se voyait pas laisser un tel potentiel ici, dans ce nid qui, de toute manière, était condamné à être vaporisé par les escouades tekhanes et novaquiennes.
Elle prenait donc cette belle petite perle, pendant de longues minutes, dans une position qu’elle aimait bien : Seika contre son corps, prisonnière, s’appuyant contre le sien. Sa verge, impériale, s’enfonçait lourdement en elle, et sa main se déplaça sur ses fesses, jusqu’à ce qu’elle enfonce un doigt dans son fondement. Elle le remua alors, en même temps que son sexe, se délectant des soupirs de la femme, du plaisir qui naissait en elle, de cette mouille dans laquelle son membre turgescent flottait. C’était une sensation extrêmement délicieuse, jouissive, et confortable, et Kerrigan continuait à prendre la femme, encore et encore, pendant de longues minutes.
« Hunnn... Petite pute... Je... Je sens tes pensées, haaaa... »
Sarah était une télépathe, après tout, et elle pouvait sentir les pensées impures de cette prêtresse, son envie d’enfanter, son envie de porter les enfants de l’Annexienne. Seika était maintenant sienne, et c’était bien pour ça que Terra était un monde formidable. La Reine continuait à la prendre, sans relâche, avec une force renouvelée à chaque fois, et c’est dans ces circonstances qu’elle finit par jouir dans le corps de Seika... Une jouissance généreuse, comme on pouvait s’y attendre d’une Annexienne. Contrôlant à la perfection son corps, elle pouvait aussi contrôler la quantité de foutre qu’elle larguait. De fait, Kerrigan aimait peu laisser les choses au hasard, et le prouvait en ce moment.
Quand elle en eut terminé, elle relâcha une Seika, dont le ventre avait bien gonflé. Pendant plusieurs minutes, Sarah n’avait fait que jouir en elle, encore et encore, sans relâche, et elle la laissa tomber à même le sol.
« Te voilà pleine, maintenant, Seika... Et ta nouvelle vie ne fait que commencer. Je vais t’emmener avec moi, ma petite chérie... T’emmener chez moi, où ta vie ne sera plus qu’une coucherie sans fin, et où tu pourras donner naissance, toi et ton magnifique corps, à des milliers et des milliers de beaux petits bébés... Tu es bien chanceuse, non ? »
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Du haut de sa vingtième année d'existence sur Terra, Seika n'avait jamais partagée sa couche avec un homme, pourtant elle en avait entendu parler de ces étranges relations sexuels que les mâles pervers exerçait contre les femelles et pourtant (du temps ou elle résidait a l'église avec ses sœurs) même si sa tentation de tester les "on dis" fut très forte dans son esprit, jamais elle n'avait trahit ouvertement ses principes et demeurait toujours sainte et pure aux yeux des paroissiens. Au jour d'aujourd'hui, la jeune femme ne faisait désormais plus parti de l'ordre ecclésiastique, alors tant pis si les prêtres supérieurs ont du lancer un avis de recherche contre son insu mais jamais il ne la retrouveraient car elle fut partie pour de bon et même qu'elle fut en constante déplacement afin de ne laisser aucune trace de son passage dans la commune ou village précédent. Kamori ressassait son passé et ferma sa mémoire, elle rouvrit les yeux et regarda sa campagne en émettant un court sourire de satisfaction, elle ne souhaitait pas quitter cet fille enchantée et souhaitait passer encore un peu de bon temps avec elle. La prêtresse-Jaeger sentit des petits ballottements qui provenait de son abdomen et elle caressa doucement le ventre couvert de son revêtement plastifiés, son embryon devait être surement entrain de prendre forme, elle ne savait pas a quoi ressemblerait le jeune monstre qui devait bientôt voir le jour mais elle espéra qu'elle donnera naissance prochainement a plus de couvée que ça.
Et bien... je ne demande qu'a être... satisfaite ! ...
Sa partenaire fut vraiment exténuée par les importants mouvements qu'elle a du déployer rien que pour faire exploser sa jouissance au plus profond de l'enveloppe corporel de la traqueuse-combattante, elle eut besoin de récupérer son souffle et la laissa tomber au sol au milieu de la crasse et des mucus provenant de ses larves qui avait ramper un peu partout, la nonne toujours écarlate et complètement vidée se léchait la lèvre en se pressant les seins l'écouta attentivement en expirant tout bas (une larve glissa de la cuve et s'entortillait avec son gros corps mou pour pour essayer de pénétrer au fond de la gorge de Seika mais la jeune femme essaya de l'extraire en parlant malgré les immondices tentaculaire de la bestiole qui glissa au fond de sa gorge).
Tu me comble vraiment... je te suivrais là ou tu va... arhhhh....
Le ventre de la jeune femme s'agita légèrement mais le petit vers qui voulait élire domicile dans la trachée de la jeune femme ne voulait pas sortir de la voie orale et elle se mit a gerber pendant que la larve s'enfonçait davantage dans la bouche.
URCKKK...... hannn..... hmmm.... ..... .... J'ai hâte d'arriver dans ta modeste demeure...
Seika épuisé par ses dernières forces qui l'a quittèrent, perdit connaissance, la larve quant a lui ne pouvait aller plus loin en raison de sa masse et fut bloqué avec le corps a mi-enfoncé dans la bouche de la nonne et plongea ses longs et minces filament tentaculaire au fond de la gorge et promena ses interstices dans son estomac en touchant les contours stomacale afin de se nourrir des restes de nutriment se trouvant encore présent sur les cavités. En tout cas, Seika avait besoin de sommeil et de récupérer également, la fatigue n'étant pas a se rétablir complètement, elle ne voyait plus rien que le noir total de ses paupières qui se referma sur ses yeux.
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La Fourmilière était une immense structure plantée au milieu de ce qui, jadis, avait été une grande forêt tekhane. Quand l’énorme astéroïde s’était posé, la majeure partie de la forêt avait été rasée par le souffle de l’explosion, formant un épais cratère, et les Formiens avaient ensuite déferlé. De ce crash initial, il restait toujours un vaste cratère, formant comme une sorte de désert poussiéreux, entouré par les rebords du cratère, à savoir d’épaisses falaises escarpées où des bases tekhanes avaient poussé. Une épaisse ligne de défense, constituant l’une des zones les plus militarisées au monde, avec des dizaines de milliers de Tekhanes s’agglutinant dans des complexes militaires dernière génération, aussi bien sur terre, que dans le sol, par le biais de vastes bunkers lourdement armés et suréquipés. Il y avait toute une série de casernes, d’armureries, de hangars, de bases, une ligne de défense épaisse soutenue par des bases arrières, comprenant des aérodromes, des réservoirs, des usines entières. Rejoindre la Fourmilière n’était donc pas aussi simple que de rentrer dans un moulin. Il fallait passer par les souterrains, en espérant ne pas tomber sur les patrouilles tekhanes, et en agissant rapidement. Sarah n’avait généralement pas trop de problèmes en se déplaçant seule ou en comité réduit. Le problème venait quand elle embarquait avec elle trop de monde, a fortiori une prisonnière.
Elle se tenait encore au nid de Morwynck, et était en train de planifier son retour. Elle se trouvait dans une ancienne maison, et savait que ce n’était maintenant plus qu’une question d’heures avant que les Tekhanes n’arrivent pour raser cette partie de la forêt. À côté d’elle, une femme dormait. C’était Kamori Seika, la poupée en latex, dont la peau était faite de latex. Une bien mystérieuse femme, qui lui avait donné quelques larves. Sarah allait repartir avec tout ça, et, en ce moment, Kamori était en train de dormir, les poignets perdus dans des tentacules violets, qui s’enroulaient faiblement autour d’eux. En soi, il n’y avait pas besoin de l’immobiliser, car Kamori avait volontairement (du moins, pour l’heure) accepté de la suivre. L’immobiliser n’avait ici qu’une vertu sexuelle supplémentaire. La femme avait eu le temps de se reposer, et, quand Sarah vit qu’elle était réveillée, elle lui sourit, et se posa à côté d’elle. Kamori était couchée sur un lit, et avait eu le temps d’accoucher à plusieurs reprises. Plusieurs jours s’étaient écoulés, et Sarah lui avait laissé le temps de se reposer. De fait, le quotidien de Kamori s’était résumé à une série de viols sauvages sur ce lit, avec une Kerrigan qui la prenait, encore et encore, l’engrossait, la laissait accoucher, puis la laissait se reposer pendant quelques heures, avant de la prendre à nouveau, brutalement et sauvagement. Elle remuait sur elle, s’enfonçait dans son corps, et, même quand Kamori dormait, Sarah usait de ses pouvoirs télépathes. Elle envoyait dans le crâne de la jeune femme des impulsions destinées à la rendre encore plus perverses, en jouant avec ses fantasmes.
Là, elle recommença à la saillir, et, pendant une vingtaine de minutes, le lit se mit à nouveau à grincer, tandis qu’on pouvait entendre les deux femmes gémir et soupirer, le mât tendu de Sarah venant défoncer les parois de la belle Kamori.
« Haannn... Haaaannn !! »
Vint ensuite l’orgasme, encore et encore. La verge de violette de Sarah répandit sa crème dans le ventre de Kamori, et Sarah se redressa. C’était presque une sorte de rituel, maintenant.
« Nous allons y aller, Kamori... J’ai appelé quelqu’un pour venir nous chercher, et ma fille vient juste d’arriver... »
Sarah Kerrigan était, au sein de la Fourmilière, une Annexienne, soit une Formienne dirigeant toute une Horde, et ayant des pouvoirs télépathiques lui permettant de contrôler un grand nombre de Formiens. Cependant, sa Horde était vaste, et avait bien grandi, au fil des années. Partant de là, elle s’était entourée de femmes spéciales, des sous-Annexiennes, comme ses lieutenantes. Elle les appelait « Cérébrates », et elles pouvaient commander à ses Formiens, tout en étant totalement soumises à la volonté de Kerrigan. L’une de ses Cérébrates venait d’arriver, et les tentacules libérèrent Kamori. Sarah la tint par la main, et la fit sortir de la chambre. Elles descendirent les marches en bois de l’escalier, se retrouvant ainsi au rez-de-chaussée, puis hors de la maison, dans la rue.
Dans la rue, on put alors entendre des bruits massifs, puis un monstre énorme apparut entre plusieurs maisons. C’était une sorte d’immense ver marron avec une gueule béante, sur le sommet duquel un corps féminin se trouvait... Ou, plutôt, une partie d’un corps féminin.
« Voici celle qui te transportera jusqu’à ton nouveau foyer, Kamori... »
Sheoldred (http://fc04.deviantart.net/fs70/i/2011/086/c/e/mtg__sheoldred__whispering_one_by_janaschi-d3cmabl.jpg) ! Sarah la lui présenta en souriant. Sheoldred était une redoutable Cérébrate, une sorte de curieuse centaure formienne, avec un corps animal et humain. Elle se rapprocha des deux femmes, et Sarah s’avança vers elle, venant caresser le museau du monstre.
« Je suis venue aussi vite que possible, Mère...
- Et je te félicite pour ta célérité. »
Sheoldred se retourna ensuite vers Kamori, et s’approcha d’elle. Une longue langue baveuse jaillit de la gueule de sa partie formienne, et vint lécher le corps de Kamori, de bas en haut, jusqu’à son visage, laissant sur sa joue une traînée de bave. La gueule du monstre puait atrocement, envoyant une odeur infecte de mastication et de salive.
« Elle est appétissante...
- Tu vas te charger de l’escorter jusqu’à la Fourmilière. C’est un voyage qui prendra quelques jours, et je ne veux prendre aucun risque. »
Sheoldred acquiesça lentement.
« Très bien, Mère... Elle sera bien au chaud dans mon ventre... »
La gueule du monstre s’ouvrit alors, et, du fond de sa gorge, des tentacules violets filèrent. La particularité de Sheoldred était qu’elle pouvait « avaler » ses partenaires. Ils finissaient alors dans son estomac, où ils étaient perpétuellement violés et nourris par des tentacules internes, tout en sentant, contre eux, un nombre incalculable de petites langues venir les caresser dans tous les sens. C’était l’estomac de Sheoldred, et c’était souvent une expérience marquante pour toutes celles qui finissaient là-dedans... Ce que Kamori allait découvrir sous peu.
Les tentacules avaient en effet pour but de l’attraper, de la ligoter, et de permettre au monstre de l’avaler.
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La jeune Seika avait enfin trouver chaussure a son pied (bon il est un peu tôt pour dire ça), sa partenaire lui offrait beaucoup de plaisir et la jeune femme comme hypnotisée par celle-ci, succomba a son charme et a son enveloppe charnelle. La vie suivait son cours, Kerrigan l'avait emmenée dans un logis se situant hors de la ville, dans un terrain totalement inconnu aux yeux de Kamori, la nonne ne s'approchait jamais des zones militaires car elle craignait que les hommes qui y figuraient dans ces camps ne la prenne pour une espionne et ne l'enferme a fond de cale et que si ça n'était pas le cas, ils auraient certainement fait feu sur elle... Outre ses moments agréables qu'elle avait passée en compagnie de sa nouvelle maîtresse, elle remarquait que bien entendue que quelque semblait un peu perturber Sarah... Comme si un danger imminent planait sur sa tête. La jeune femme partagea une dernière couche avec la fille-alien en sentent le gourdin heurter son intimité et poussa un long cri de plaisir avant de s'évanouir d'épuisement, toutefois elle fut encore consciente et respirait doucement. Sarah la fit sortir du lit en retirant les tentacules qui la maintenait immobile et la fit sortir du domicile jusqu'à la rue en lui apprenant qu'elle ne pouvait pas être en sécurité plus longtemps que ça dans le périmètre et quelle allait devoir changer d'emplacement. Toutefois la prêtresse-Jaeger se posa des questions de a quoi ressemblerait la fille de la célèbre Kerrigan, le résultat arriva juste après.
Elle fut stupéfaite de voir un être-vivant qui avait des traits de similitude semblable a un manticore (ces bête de légende avec des parties animaux) mais elle s’inquiéta l'espace d'un instant en pensant que cet fille n'en ferait qu'une bouchée de l'humaine quand elle l'entendit dire "appétissante" mais heureusement qu'il ne s'agissait que d'une façon de parler, peut-être qu'elle voulait dire qu'elle trouvait la bonne sœur assez joli a son gout dans le sens propre du terme.
Je... Je comprend... et bien... je te reverrais a la fourmilière alors.
La jeune femme baissa ses bras le long de son corps alors que la seconde partie du corps de Sheoldred s'ouvrit avec sa gueule garnie de dent, une volée de tentacules en surgit aussitôt et vint se nouer autour du corps de la nonne en ligotant ses bras et ses jambes, coupant toute fuite et échappatoire et la ramena dans la bouche du monstre, il fit tout noir a l'intérieure, et l'odeur qui y régnait a l'intérieur fut tellement pestilentiel et repoussante que n'importe qui aurait perdue connaissance, mais Seika fut déjà une habituée de ce genre de cas et même qu'elle déjà atteinte des zones de non-retour autrefois et se mit a respirer lentement puis normalement. Elle avait atterrit sur la langue du monstre, ses seins sentirent la matière gluante et molle qui provenait de la salive qui la fit pousser vers le fond de la gorge, elle tomba sur ses talons et se servit de ses cuissardes pour retrouver son équilibre, le corps toujours ligoté, elle ne pouvait se mouvoir dans l'estomac de la créature mais comme cet dernière commençait à avoir faim (elle n'avait rien avaler en quittant la maison), elle ouvrit donc grand la bouche comme si elle savait exactement ce qui allait se produire et elle attendit calmement le début de cet orgie.
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« Elle est très productive, Mère… »
Sarah n’en doutait pas, et sourit en voyant Sheoldred. Elle avançait le long de son nid. C’était une grande pièce violette avec des excroissances et des veines tentaculaires. Sarah était assise sur son trône, au milieu d’une orgie continuelle et bestiale. Des œufs verts poussaient ici et là, et ses Formiens couchaient régulièrement avec des prisonnières et des esclaves… Zerglings, Hydralisks, Xénomorphes… Des séances de sexe continuelles, tandis que Sheoldred, elle, se tenait devant Sarah, portant, dans son ventre, le corps de Kamori, ainsi que celui de deux autres femmes. Ses trois captives ne s’étaient encore jamais rencontrées, vivant dans son ventre… Kampori était baisée depuis maintenant plusieurs jours par de gros tentacules s’enfonçant dans tous ses trous, et par une multitude incalculable de langues caressant et léchant son corps dans tous les sens. Il n’y avait tout simplement pas un seul centimètre du corps de Kamori qui ne soit pas léché ou frotté, quand les parois internes de Sheoldred écrabouillaient et pressaient son corps. Kamori accouchait en elle, et les larves sortaient par les canaux de Sheoldred, pour se retrouver ensuite dans le Bassin génétique de la Ruche.
Ce Bassin génétique central était une immense piscine verdâtre en forme de sphère. Cette grande piscine hébergeait toutes les larves de la Ruche de Kerrigan. Elles grandissaient et évoluaient à l’intérieur. Le Bassin génétique abritait le patrimoine génétique des Formiens, tout un code génétique qui flottait, et qui était ce liquide vert. Il ensemençait les larves, leur donnant la forme souhaitée… Zergling, Hydralisk, Brutalisk, ou autres créatures étaient conçues ainsi. La conception des Formiens était quelque chose de très complexe, en soi bien plus difficile qu’une procréation humaine, car elle ne se limitait pas qu’à la simple procréation dans le ventre d’une femme. Ce n’était que la première étape, et il fallait ensuite que la larve évolue et grandisse. Elle terminait le processus dans une phase de chrysalide, dans un œuf, telle une chenille devenant un papillon.
Sarah voyait ainsi toute sa Ruche, jambes écartées, sa verge violette disparaissant dans la bouche et dans la gorge d’une belle scientifique en combinaison moulante bleue (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2596146), que les Formiens avaient capturé il y a des mois quand elle faisait des prélèvements dans les grottes souterraines entourant la Fourmilière. Son ventre légèrement arrondi témoignait des multiples larves grouillant dans son ventre.
« Fais-là sortir, Sheoldred… Je pense qu’elle est assez restée dans ton ventre… »
Dans le ventre de Sheoldred, on avait parfois tendance à s’y faire, et, quand on en sortait, la seule envie était parfois d’y retourner. C’était comme une sensation de bonheur perpétuelle, d’aliénation totale, car seul le sexe dominait et régnait en maître. Sheoldred se concentra, et elle cracha tout simplement Kamori, qui rebondit sur le sol, son corps de latex recouvert de salive. Elle était restée là-dedans pendant de nombreux jours, et on pouvait logiquement supposer qu’elle soit… Fatiguée.
« Te voilà dans ton nouveau chez toi, Kamori… Es-tu ravie de découvrir ta nouvelle maison ? »
D’ores et déjà, un Zergling (http://img110.xooimage.com/files/a/8/7/zergling_sc2_cncpt1-4a86ea3.jpg) s’approchait d’elle, sa longue langue violette venant lécher ses jambes…
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Seika avait désormais franchi la zone de non-retour et dans les jours qui suivirent, elle est devenue une mère porteuse de plusieurs bestioles visqueuse et avait donner naissance à d'autre couvées supplémentaire, elle sentait des gémissements durant son viol collectif et elle sut juste après qu’enfaîte elle n'était pas seule mais comme il faisait un noir totale, elle n'arrivait pas avoir de qui il pouvait bien s'agir. Elle dut ingurgiter des litres de liquide nutritionnel et parfois au gout repoussant... Mais elle le savait bien, l'intérieur de son logis était comme matelassé au toucher (les organes) remuait nonchalamment à l'infini et mis à part l'odeur nauséabonde et les effets gluants, c'était nickel ! les filaments entortillait vilainement les seins de la nonne pendant que les bras plus épais faisait le plus gros du travail en pénétrant directement dans l'organe génitale de Kamori. (http://auto.img.v4.skyrock.net/6586/74206586/pics/3247937292_1_3_1N3gaoZw.jpg) La jeune femme poussa un cri étouffé quand elle sentit la pénétration qui s'effectuait en profondeur et faillit défaillir mais resta toujours lucide, un tentacule s'engouffra par la voie orale et lui aussi s'enfonçait au fond de la gorge nerveusement en nourrissant la prêtresse-Jaeger avec de la cyprine juteuse. Même si il y faisait une obscurité opaque à tel point que l'on ne distinguait rien le plaisir en tout cas fut intense.
ARGHHHHHH...... aaaannnaaahhhhhhhh....
(...)
Seika laissa donc les tentacules l'engluer une nouvelle fois car il était l'heure de germer les larves rosâtre dans son abri qui lui sert de ventre. Sheodred était donc la fille de Sarah ? Avec quel genre de monstre, Kerrigan a t-elle du coucher pour donner naissance à un être aussi colossal et effrayant ? là encore elle n'en savait rien, Seika ignorait encore beaucoup de chose au sujet de sa maîtresse, peut-être que son hôtesse là lui dévoilera le moment venu, qui sait ? En attendant, elle était vraiment exténuée, heureusement que son viole se poursuivait pendant qu'elle tombait en syncope, ses nerfs lâchent comme si elle avait plonger dans le coma, les tentacules les plus continuèrent de la défoncer, "de l'inonder" et de l'engrosser avec les bactéries qui se démultiplièrent par milliers avant de grandir dans la cavité stomacale et ensuite une fois formé, tous les embryons en sortirent puis ainsi de suite. La jeune femme sentit soudainement que tous les bras graisseux et filaments tentaculaire s'écartait de son corps, elle se demanda ce qui se passait... puis un rai de lumière se forma par un trou puis un organe vint la saisir sur un tapis couvert de salive humide et la conduisit vers la luminosité, tandis que son "tapis brun" approchait et le trou s'agrandit pour déboucher sur l'extérieur, elle ne sentit plus le confort délicat des organes de Sheoldred mais plutôt une surface dure et couvert ça et là de cailloux et de quelques copeau de bois avec de l'herbe. Elle entendit alors une voix familière en face d'elle et elle comprit qu'il s'agissait de sa maîtresse, elle fut drôlement heureuse de la voir et lui répondit doucement:
Oui maîtresse... j'en suis contente...
La Traqueuse-combattante aperçut une bête qui se dirigeait vers elle, la créature sorti une langue d'une étrange couleur et vint lécher sa jambe, comme si elle la nettoyait d'une façon originale ou que elle cherchait à l'identifier, la jeune femme avança péniblement a quatre patte et s'allongea sur le dos, elle attrapa la tête du monstre avec ses mains gantée et fit approcher son visage bestiale de la sienne, elle ouvrit la bouche et fit introduire sa langue au fond de sa gorge en écartant ses un peu jambes pour lui permettre l'accès à son intimité.
J'ai besoin d'un peu d'énergie corporelle bestiale.. aide-moi..
Seika avait besoin de se requinquer et donc plutôt que d'aller se reposer dans une chambre vacante, elle préféra essayer de se rétablir a l'ancienne mode en adoptant cet posture devant son nouveau foyer.
-
Le Zergling était, au sein de la Ruche, une sorte d’unité de base. Rapide et facile à produire, il était une unité peu résistante, dont le seul avantage était d’être rapide, ce qui le rendait utile pour mener des assauts rapides et kamikazes contre des structures adverses faiblement défendues, des convois, ou des patrouilles. C’était leur utilité militaire, mais, ici, loin du front, toute unité formienne avait une utilité commune : se reproduire Ce Zergling allait se faire plaisir, et, comme Sarah s’y attendait, Kamori ne se trouva nullement effrayée par l’idée de coucher avec cette bête à la gueule puante et baveuse. Le Zergling n’était pas très beau, Sarah devait bien l’admettre, ce qui faisait que, généralement, ses prisonnières préféraient coucher avec elle ou avec ses filles… Voire avec des Formiennes. De manière générale, les monstres et les tentacules les attiraient moins, et il fallait donc un véritable travail de fond pour les amener à accepter ce qui, à leurs yeux, était inacceptable. Sarah le savait très bien, et voir Kamori appeler le Zergling était donc… Jouissif.
« Hmmm… !! »
La belle scientifique gémit en sentant effectivement la verge de la Reine grossir, manquant l’étouffer. Sarah soupira, basculant légèrement son corps en arrière, et sa main se crispa sur la chevelure de la femme. Elle ne perdait pas une miette du spectacle qu’offrait sa nouvelle pondeuse. Couchée sur le dos, elle invita la bête à venir, et le Zergling se posa au-dessus d’elle… Et, là, Kamori entreprit de l’embrasser, ce qui amena, entre ses cuisses, la verge du monstre à pointer, son sexe durcissant rapidement. Il frottait les cuisses de la femme, et, quand elle l’embrassa, en léchant sa grande gueule, le Zergling poussa un long grognement. Cette poupée violette en latex jouait avec le feu, elle jouait avec les pulsions et l’excitation sexuelle du Formien, au risque de s’en mordre les doigts.
Kerrigan sourit donc, et le Zergling, sans plus attendre, enfonça sa grosse verge dans l’intimité de la femme, la déchirant avec une joie primaire et dévorante. La créature poussa un grognement, sa bave heurtant le visage de Kamori, sa langue pendant hors de sa bouche. Il entreprit de lécher sa belle peau, sa queue caudale claquant sur le sol. Son corps s’enfonçait lourdement et profondément en elle, son pieu lui défonçant le vagin.
« Oui, ouiiii… »
Sarah soupirait et gémissait, et enfonçait encore un peu plus la bouche de sa captive sur son sexe.
Qu’est-ce que ce spectacle pouvait être beau !
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La prêtresse-Jaeger n'avait jamais imaginer qu'elle baiserait avec un monstre qui se trouvait sous la coupe de sa maîtresse, le plaisir fut si intense et le monstre n'avait aucune douceur dans ses gestes, la douleur se fit ressentir immédiatement en voyant sa région anale se déformer par une forme qui cherchait comme qui dirait a s'extirper de sous la chair. Kamori poussa un hurlement avec son visage couvert de bouillasse salivaire avec le mucus mousseux du Zergling qui humidifia le sol. La nonne ne put qu'apercevoir l'étendue de son spectacle, sa maîtresse était entrain de défoncer une demoiselle qui devait avoir la vingtaine environ, il semblerait qu'elle avait été un peu embêté de la réaction de son esclave sexuelle, elle n'en saura pas plus pour le moment car elle était au prise avec un des familiers de la fille-alien. La Traqueuse-combattante n'en pouvait plus et ne cherchait qu'a essayer de faire durer la scène de viole mais faute de quoi, elle ne pouvait pas revenir en arrière. Cela dura plus d'une heure, durant toute la manœuvre elle se rappela de tous les moments qu'elle avait passer au coté de toute forme de créature et pourtant, elle ne fut pas infecté par aucune bactérie quelconque, ni forme de virus superficiel. Seika s'écarta difficilement du Zergling, elle se servit de ses jambes en plaçant les talons de ses cuissardes noires macules sur le visage de la créature en prenant bien appuie sur celui-ci et d'un bon coup de rein, elle fit éjecter l’énorme queue couverte de cyprine bestiale.
Hannnn... hmmm....
Elle resta allonger sur le dos pendant une bonne minute avec son bras gauche qui masquait son regard, les seins plastifié de la demoiselle montrant des signes d'exténuation à chacun de ses mouvements, elle se retourna sur le coté et se mit à quatre patte et se mit à ramper péniblement vers Kerrigan. L'alien qui s'était bien occuper de Seika s'était assoupie sur ses quatre pattes et gnognait bizarrement alors qu’enfaîte il fut endormie, ce fut grâce à cet astuce que la bonne soeur put s'écarter tranquillement sans prendre le risque de l’éveiller malgré la curieuse position dans laquelle le monstre somnolait en laissant sa queue dans la partie anale de Seika. La nonne rampa jusqu'à sa maitresse et s'écroula de fatigue sur la poitrine de l'esclave à la combinaison bleue qu'était entrain de violer actuellement Sarah, tandis que ses paupières s'abaissèrent sur ses yeux.
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« Elle est très endurante, ma Reine...
- Je sais. C’est pour ça que je l’ai ramené avec moi.
- Les larves qu’elle a mis au monde sont très endurantes, et deviendront assurément des Formiens viables et bien portants. »
Le diagnostic d’Irina (http://fc04.deviantart.net/fs70/f/2012/277/f/e/fe7e573c521e0a7dc64322a7560ff4f1-d2dyiej.jpg), la dernière Cérébrate de Sarah, confirmait déjà ce que la Reine des Lames pensait, mais elle ne fit aucune remarque négative. Avant d’être évoluée pour devenir l’une de ses Filles, Irina avait été une scientifique, et ce côté scientifique se retrouvait toujours en elle, avec cette fascination profonde pour les Formiens. Elle était originaire de Tekhos, et avait réussi à rejoindre la ligne de front, le Containment Point, ce nom donné à l’ensemble des bases militaires entourant la Fourmilière, en faisant valoir son doctorat et ses multiples thèses sur les Formiens. Irina était une femme intelligente, originellement une entomologiste, et elle était fascinée par la biologie, et pensait que les Formiens étaient une espèce intelligente parfaite. C’est de cette manière qu’Irina avait fini par la rejoindre, et Sarah l’avait transformé, faisant d’elle une Cérébrate. À ce titre, son rôle était de seconder Sarah, comme une lieutenante. Elle agissait au nom de l’Annexienne.
Irina se spécialisait pour la reproduction formienne, et pour les Chasseurs xénomorphes. Ces magnifiques créatures (http://img110.xooimage.com/files/f/9/e/sh-monster-arts-b...en-avp-5-4ac2e88.jpg) avaient toujours fasciné Irina, et étaient sans doute le cœur de son attirance pour les Formiens. Elle copulait maintenant fréquemment avec eux, et, dans la pièce où les femmes se tenaient, plusieurs Xénomorphes se trouvaient là... Ceux d’Irina, ses propres enfants. Devant elle, il y avait la dernière invitée de Sarah, la prêtresse, Kamori Seika.
Elle était retenue dans le vide par des tentacules, et était attachée à une Aiguille. Ce terme désignait une structure formienne ayant pour but de produire des Formiens aériens. Il s’agissait d’une sorte de structure en forme de méduse géante, avec une cascade de multiples tentacules, tous reliés à une plateforme en hauteur, ressemblant à une sorte de sphère. Plusieurs femmes étaient prisonnières des tentacules. Après que Kamori se soit écroulée, sous l’effet de la fatigue, Sarah l’avait laissé se reposer dans un incubateur, où elle avait pu accoucher en paix du bébé donné par le Zergling. Elles se tenaient face à une ouverture dans la paroi, d’où elles pouvaient voir la femme.
L’Aiguille se trouvait dans une immense grotte, à côté d’autres Aiguilles, et de Formiens remuant le long de murs organiques, ou volant au plafond. On ne voyait, de fait, pas le sol de cette grotte, ni le plafond. Les tentacules retenaient Kamori à hauteur des chevilles et des poignets, ainsi qu’à hauteur de son ventre. Irina l’observait avec un léger sourire.
« Est-ce qu’elle pourra finir dans un de mes nids, après ? Une femme aussi endurante devrait être capable de produire de beaux Xénomorphes... »
Sarah sourit lentement, amusée. Celle-ci, elle s’y attendait, et, fort heureusement, elle avait, pour Irina, une bonne nouvelle.
« À ton avis, ma chérie, pourquoi donc crois-tu que je t’ai invité, hum ? »
Kamori était séparée d’elle par plusieurs mètres, et les deux femmes attendaient patiemment son réveil... Et les nouveaux bébés qu’elle allait pouvoir se mettre à pondre.
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Kamori était devenue un robot infatiguable et pourtant, elle n'a toujours pas perdu son humanité, malgré les nombres de fois ou sa maîtresse ou ses sujets l'ont fait engrossir pour mettre bas à des petits, elle resta toujours elle-même. Sa carrière de nonne en avait pris un sacré coup et il est certains qu'avec les pêchés qu'elle avait commise, elle ne gagnerait pas pas sa place au paradis et donc elle n'aura pas droit à la vie éternelle. Jusqu'à maintenant elle n'a fait que coucher avec plusieurs espèce différente et son ventre (malgré la douleur des contractions) à pu voir le jour avec plein de bestiole différente les unes que les autres. La jeune femme ne reçoit pas malheureusement de traitement de faveur pour les défavorisés comme elle... Elle avait pour obligation d'être obéissante en plus de se montrer docile mais en retour, elle n'obtenait rien et n'était juste qu'un outil de travail (qu'on jettera probablement un jour quand elle aura plus son utilité) mais cela restait à voir après tout sa patronne qui avait le droit de décider de son sort ne pouvait dépendre que de sa bonne volonté, donc Seika ne pouvait être autoriser à la décevoir... Mais comme la jeune femme semblait encore plongé dans les vapes, elle était pas tout a fait consciente mais elle entendit parler de "Xénomorphe" ou quelque chose comme ça, elle ne savait rien à propos de ces noiuvelles créatures qui lui était encore inconnu jusqu'à maintenant mais elle se demanda à quoi devait ressembler ces droles de bestioles, monstre ou alien, cela ne faisait aucune différence puisqu'elle allait mettre au monde un bébé, des larves ou pondre des oeufs, cela revena au même.
(...)
La prêtresse-Jaeger n'arrivait pas à se mouvoir pleinement, elle comprit qu'elle fut solidement maintenue pour sa prochaine procréation, elle ne savait pas encore en quoi consistait le briefing de sa mission suivante mais elle attendit que le scénario débute, elle ignora comment l'objectif en cours va se dérouler et ne se posa pas la question mais c'est pas en jouant la comédie de la belle au bois dormant qu'elle allait profiter de l'action mis à part perdre du temps, elle ouvrit alors ses paupières et regarda partout, elle remarqua qu'elle fut suspendue dans les airs mais cela ne la dérangeat pas tellement, elle attendit seulement le début du contact avec ce fameux alien qui devait normalement s'occuper d'elle.
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La belle Kamori ne tarda pas à émerger du sommeil réparateur dans laquelle elle avait été plongée, sous le regard ravi d’Irina et de Sarah. La perspective d’avoir cette belle pondeuse, forte et belle, en son nid, excitait énormément Irina, ce que Sarah arrivait à ressentir. Irina était une femme ayant dépassé la trentaine, mais elle restait encore un bébé aux yeux de Kerrigan. Elle était devenue très récemment une Cérébrate, après avoir, pendant des années, fantasmé sur le fait de devenir une Formienne. Les techniques formiennes d’assimilation du patrimoine génétique humain avaient permis de réussir ce tour de force : transformer une simple humaine en Formienne. Les techniques s’amélioraient de plus en plus, et Kerrigan, de fait, avait surtout transformé Irina en raison de ses fortes connaissances scientifiques et biologiques sur les Formiens. Elle avait de faibles pouvoirs psychiques, et c’était pour ça qu’elle était essentiellement assignée à la production de Xénomorphes. Son esprit n’avait pas à se disperser pour s’occuper des autres troupes de la Nuée, et il était donc plus facile de les contrôler... Surtout quand elle était amoureuse d’eux. Le grand secret d’Irina n’avait pas tenu longtemps face aux pensées de Sarah, tout comme les doutes de Kamori. Face à une télépathe, face à une Annexienne qui avait jadis été une Psi-10, on ne pouvait pas faire grand-chose. Sarah savait qu’Irina avait toujours aimé les Xénomorphes... L’amour n’était pas qu’esthétique, celui d’Irina était avant tout scientifique. Face aux imperfections du patrimoine génétique humain, elle avait été bluffée par le code génétique des Chasseurs xénomorphes. De pures perfections, comme les araignées. Maintenant qu’elle était devenue Formienne, Irina pouvait les étudier d’au plus près, et, naturellement, les enfantait... Autant de choses que Kamori allait avoir la joie de découvrir.
La prêtresse était inquiète pour son âme, craignant de ne plus goûter au Paradis. De telles croyances étaient typiquement humaines. Kerrigan savait qu’il y avait une vie dans l’au-delà. Quand un Formien mourrait, il ressuscitait. Si jamais Kerrigan devait mourir, son code génétique, conservé dans les entrailles de la Fourmilière, lui permettrait, tôt ou tard, de renaître. La mort n’effrayait pas les Formiens, ce qui pouvait autant être une faiblesse qu’un point fort. Ils ne craignaient nullement de mourir, car ils savaient que leur vie n’avait que peu de valeurs devant la cause collective, devant une raison qui dépassait leurs égos individuels. Le collectivisme à l’état pur était la définition et la marque de fabrique de la Fourmilière.
Restant silencieuse, Kamori attendait... Et elle n’eut pas trop longtemps à entendre. L’Aiguille sentit la femme être réveillée, et les tentacules la maintenant se resserrèrent un peu, puis d’autres s’approchèrent. Des tentacules roses, certains légèrement humides, vinrent à l’assaut de son corps. Un tentacule se serrait autour de son cou, visant à l’étouffer suffisamment pour qu’elle ouvre la bouche. Un tentacule en profita pour s’enfoncer en elle, venant violer sa gorge, optant rapidement pour une série de violentes et intenses gorges profondes. Un autre s’enfonça entre ses cuisses, venant pénétrer son vagin, et un autre s’approcha de son fondement, s’enfonçant en elle, remontant jusqu’à son colon.
« Il est temps que ton ventre produise de nouvelles larves, Kamori... Sois une gentille fille, et offre-toi à la Nuée ! »
Les tentacules remuaient lourdement en elle. Ils étaient recouverts d’un liquide ressemblant à une sorte de bave, et qui avait pour effet de lubrifier les parois que les tentacules frottaient. Sous les mouvements de ces trois tentacules, le corps de Kmaori se mit à se tendre d’avant en arrière.
Sarah n’en avait pas encore fini avec elle, et, en fermant les yeux, elle lui envoya un message télépathique, afin de la rassurer :
*[MT] Ne te préoccupe pas du regard que ton Dieu pose sur toi, Kamori... Car, maintenant, je suis ta nouvelle religion. C’est moi ta Déesse. Ainsi, ne songe qu’à obtenir ma propre satisfaction ! [/MT]*
Irina, sous ce spectacle, avait un petit sourire enfantin sur les lèvres...
...Elle aussi, elle mouillait.
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Le métier d'incubatrice dans cet fameuse fourmilière allait très bien pour l'ancienne nonne, d'ailleurs en parlant d'elle la demoiselle fut plongée au pays des cauchemars et semblait nager en plein rêve visqueux, elle fut tellement lamentable que même si sa mentor devait la croiser un jour, elle en aurait si honte de lui toucher un mot qu'elle refuserait de la voir ni de lui adresser la parole pour le restant des jours. La jeune femme s'éveilla plus tard de ses nuits angoissées par des mouvements tentaculaire et la fit sortir de sa torpeur, là encore les vers avec leurs salives répugnantes qui l'en recouvrait physiquement lui firent subirent le geste typique et régulier, son corps ne ressentit rien tout comme ses muscles. Un tentacule se contracta contre sa gorge, signe que quelque chose devait normalement s'insérer par la voie orale et elle eut raison car en plus de se faire pénétrer ça et là sur son intimité, la réponse lui vint juste après. Ce manège dura bien des heures et le plaisir en fut comme toujours aussi intense, elle ne savait plus exactement a combien de progéniture devait s'élever le nombre de petits qu'elle a du faire naître depuis son entrée dans le nid mais il était sure qu'elle en avait dépasser le chiffre. Pendant son accouplement tentaculaire, une étrange voix féminine lui parvint télépathiquement en tête, il s'agissait de sa maîtresse qui lui envoyait un message qui disait qu'elle n'avait plus à s'en faire pour ses croyances religieuse et que désormais, elle ne devait se tourner et ne qu'adorer uniquement que Sarah et personne d'autre, facile à dire qu'a faire mais pourquoi ne pas tenter d'inverser les rôles ? c'est vrai quoi cela fait un moment qu'elle avait ce plan en tête mais elle ne put jamais le mettre a exécution car tout simplement sa conscience mentale en fut tout le temps ébranlée par son quotidien... De plus, elle avait un compte a régler avec la demoiselle formienne car Kamori n'avait toujours digérer sa dernière défaite contre celle-ci et elle fut presque sure qu'elle a du user de fin stratagème durant son dernier combat, sinon elle n'aurait pas gagner aussi facilement et la nonne n'aurait pas reçu une défaite en pleine poire ! Quoiqu'il en soit, elle devait réagir et elle devait réfléchir a un nouveau plan tout en rentrant dans le jeu de la prolifération et de la naissance de nouvelles créature du chaos.
Je comprend et je ne vous décevrais jamais, maîtresse...
Pendant qu'elle se faisait violer comme d'habitude avec des ligaments qui s’incrustèrent dans ses organes génitaux et que d'autres filaments tentaculaires lui entortillèrent les seins de sa poitrine, (http://auto.img.v4.skyrock.net/6586/74206586/pics/3251109204_1_3_DNQhintV.jpg) la prêtresse-Jaeger rougit en déformant une vilaine expression qui peignât son visage, elle se laissa défoncer volontairement sans déployer la moindre signe de résistance mais elle resta surtout très calme pour être sure que son ennemie ne détectait rien d'alarmant en elle car si Kerrigan pouvait lui envoyer des messages mentaux, il était sure qu'elle la percerait à jour si Seika détenait des idées sombres qui pourrait la contrarier et surtout la décevoir et en ce moment, qui sait ce qu'elle pourrait faire d'elle, elle pourrait très bien mourir ou tout simplement que sa maîtresse lui administrerait un autre genre de traitement... Elle ne devait qu'attendre, tôt ou tard, le vent se tournera et là elle aura tout le loisir de se déchainer contre celle qui l'a mise dans cet état et lui faire regretter sa venue au monde.
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En fouillant profondément dans l’esprit de Kamori, Sarah aurait pu réaliser que cette dernière la narguait… Mais elle n’y pensa tout simplement pas, en se disant que, de toute manière, même si Kamori aurait voulu se révolter, elle en aurait été bien incapable. Elle venait d’offrir à Irina un cadeau, mais la Cérébrate n’allait pas pouvoir en profiter tout de suite. Pour l’instant, les tentacules de l’Aiguille se faisaient plaisir, remuant profondément dans le corps de Kamori. Comme les autres Formiens avant eux, ils savouraient ce corps de latex, cette délicieuse poupée dont la peau crissait à chaque fois que les tentacules la prenaient. Grouillant contre elles, ils étiraient ses bras et ses jambes, les enserrant fermement, les écartant, tout en continuant à la violer. Les gorges profondes se multipliaient, entre sodomies et pénétrations vaginales brutaux et rapides. C’était de gros tentacules qui la pénétraient régulièrement, et, pour la nourrir, des tentacules en forme de seringues venaient se planter dans sa chair, diffusant des éléments nutritifs l’aidant à se tenir éveillée. Et, sans arrêt, ils jouissaient en elle, faisant gonfler son ventre. Quand elle était sur le point d’accoucher, un tentacule se retira, laissant à Kamori le soin de pondre ses larves, qui tombaient alors dans un vide noirâtre. Elles atterrissaient en contrebas, dans un liquide verdâtre, une rivière conduisant les larves dans les bassins génétiques où elles seraient fertilisées. Et, dès qu’elle avait fini d’accoucher, un tentacule retournait s’enfoncer dans son vagin, et le spectacle se poursuivait, inlassablement, son corps remuant lentement, entouré de tentacules roses.
Combien de temps se fit-elle ainsi prendre ? Difficile à dire… Petit à petit, les tentacules se multipliaient, un peu plus nombreux, et très chauds, très affectueux… Ils répandaient sur elle une sorte de traînée liquide assez gluante, et se frottaient contre ses paumes, l’invitant à les caresser, encore et encore. Les tentacules de l’Aiguille se concentraient sur cette femme, car elle engrossait rapidement, et, surtout, donnait à chaque fois naissance à beaucoup de grosses larves, fortes et puissantes. Un véritable spectacle, qui continua encore et encore, pendant plusieurs jours.
Si Kamori tournait la tête, et observait les environs, elle pourrait voir d’autres personnes, prisonnières comme elle, donnant régulièrement naissance à des larves. L’Aiguille abritait beaucoup de personnes, et Kamori continuait à se faire prendre, soit en étant en position horizontale, ou en position verticale. Toutes les positions possibles étaient bonnes à prendre, et l’Aiguille continuait à la prendre, sans relâche, jusqu’à ce que Kamori finisse par tomber dans le coma, son corps épuisé par une telle activité physique. Elle s’affaissa ainsi lentement le long des tentacules, sombrant dans un sommeil réparateur…
…
« Debout ! »
L’autoritaire voix arracha Kamori du sommeil. La jeune prêtresse n’était plus dans l’Aiguille, ce dont elle put très vraisemblablement se rendre compte assez vite. Plus aucun tentacule ne la prenait, mais elle était toujours retenue par les poignets et par les chevilles, près d’un mur, faisant face à un curieux spectacle. Sous son nez, il y avait un gros œuf (http://img110.xooimage.com/files/b/9/a/168242-4b3e0ee.jpg), avec une sorte de bouche en forme de croix à son extrémité, pointée face à la femme. Où se trouvait-elle ? Comme pour répondre à cette question, des bruits de pas se firent entendre sur la gauche de Kamori, et une main bleuâtre vint caresser son ventre.
C’était Irina (http://fc04.deviantart.net/fs70/f/2012/277/f/e/fe7e573c521e0a7dc64322a7560ff4f1-d2dyiej.jpg), qui se mordilla les lèvres de plaisir en contemplant sa nouvelle proie, sa main remontant pour caresser son visage.
« Tu as bien dormi, ma chérie ? J’espère que tu es en pleine forme, toi et ton ventre magnifique… »
Irina caressait ce dernier, et embrassa la femme dans le creux du cou.
« …Car, toi et moi, nous avons un programme très chargé… »
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voilà quelques semaines qu'elle avait été conduite a la fourmilière mis a part que les gestes d'attouchement sexuel se reproduisait a l'infini et comme d'habitude, il n'y avait certes aucun changement, la demoiselle fut engrossée pendant des heures et des heures et a chaque fois, elle donnait naissance a une nouvelles portée de larves dégoûtante, il n'y avait seulement le quotidien qui se déroula comme d'habitude et toujours sur l'heure de notre monde, un jour ne pouvant plus se mouvoir et étant contrainte de stopper temporairement ses activités, elle pensa un instant qu'elle aura droit a quelques jours de détente bien méritée mais manque de bol, la bénéficiaire n'avait pas cet chance et on lui raccourcit le temps qui lui fut attribuer pour uniquement une journée, c'est ainsi qu'elle pu enfin dormir avec un sommeil agité mais réparateur, elle rêva qu'elle fut enfin rentrer au bercail après avoir quitter ce cauchemar éternel en retrouvant les siens et surtout sa maîtresse Sakuya, elle fut contente de la retrouver après toute ces années d'attente... Elle la prit dans ses bras sans vouloir la relâcher, elle la regarda longuement depuis le jardin de l'arrière-cour de l'église sous la lumière baignant du soleil du midi puis brusquement, tout s'évapora et fut remplacé par un climat hostile et malsaine, la lumière disparut et fut remplacé par la maigre clarté d'une pénombre, elle et sa mentor furent aussitôt happé par des ligaments vivants et ligoter comme une proie prise au piège sur une toile d'araignée, tandis que quelque chose de gros et d'épais glissa bizarrement sous le pubis, les deux femmes se sentaient nerveuse et angoissée par ce spectacle et se resserrent l'une contre l'autre, tandis qu'une queue suivi d'une autre paire apparurent sur le banc et s'enfoncèrent par les fesses, les deux sœurs rougirent au même moment alors que leurs seins se compressent entre elles. (http://auto.img.v4.skyrock.net/6586/74206586/pics/3251926820_1_3_Z0RWfrXt.jpg) Puis l'obscurité prit le dessus et le festin sexuel commençait pour les deux nonnes, Kamori qui se sentait tellement excitée défit le justaucorps qui masquait la lourde poitrine de sa mentor et lui léchouilla un sein alors qu'Enjou s'agrippait fermement a son apprenti comme si elle craignait qu'elle se fasse engloutir par une bestiole et elle couina quand elle sentit la langue adverse venir la lécher sur sa zone sensible, malheureusement tout début avait une fin et pouvait parfois s’interrompre pour une raison inconnue.
Hmm... ? qu'y a t-il ? ...
La Traqueuse-combattante s'éveilla doucement de son mauvais rêve par une voix féminine et sec et elle se fit caresser par la fille de sa nouvelle maîtresse, elle se tourna ensuite devant un drôle de pot qui fut placer devant elle, un objet organique bien entendue, mais elle ignora a quoi il pouvait bien servir, pendant qu'Irina était entrain de la parcourir sensuellement sur son cou, elle ne quitta pas l’œuf des yeux, elle fit un signe affirmatif de tête et de demanda si la créature qui pullulait a l'intérieur de cet œuf ne serait pas cet bestiole qui s'extirpait violemment du corps de sa victime en repoussant d'un féroce mouvement de tête les os de la cage thoracique ? Sakuya n'en savait rien mais espérait qu'elle pourrait goûter a cet nouvelle montée d'adrénaline et même si cela devait se produire, la nonne ne pouvait que penser si elle disposait ou non de capacités spéciaux de régénération rapide (vu qu'elle avait accouchée d'innombrables monstres, peut-être que maintenant, elle était mi-humaine vu qu'elle aurait du recevoir de l'A.D.N de monstre en elle), tout cela était vraiment excitant surtout !
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Irina adorait les Formiens, et elle adorait tout particulièrement les Xénomorphes. Quand elle n’était encore qu’une chercheuse au service de Tekhos, elle avait mené des expériences et des recherches scientifiques sur les Xénomorphes. Ces chasseurs noirs étaient originaires de l’espace, où ils étaient connus de nombreux systèmes stellaires. De redoutables chasseurs stellaires, impitoyables et meurtriers, avec un esprit de ruche, tout en étant très autonomes les uns des autres. C’est en rejoignant les Formiens qu’Irina avait découvert l’origine de ces créatures : une planète solitaire et dévastée où on leur avait voué un culte, avant de disparaître. Même les Formiens, en réalité, ignoraient le passé lointain des Xénomorphes, mais ils avaient réussi à en capturer plusieurs, et à analyser leur patrimoine génétique, puis à l’exploiter, et à l’utiliser. L’esprit d’assimilation de la Nuée avait fonctionné à l merveille, même si l’esprit très indépendantiste des Xénomorphes faisait que, même en étant sous l’autorité d’un Annexien, ils avaient parfois du mal à obéir. C’était pour cette raison que Sarah avait fait d’Irina une Cérébrate, et l’avait affecté presque exclusivement à la surveillance, à l’éducation, et à l’entretien des Chasseurs xénomorphes. Alors qu’elle caressait sa nouvelle pondeuse, Irina avait, dans son ventre, des larves xénomorphes en train de pousser.
L’œuf devant Kamori était en train de se réveiller, et, bientôt, elle allait être ensemencée. Irina caressait son beau ventre en latex, ses hanches, son corps. Elle sentait l’odeur du sexe sur elle, permanente, ne faisant plus qu’un avec son être... Encore une fois, la Reine des Lames avait su trouver une magnifique proie pour la cause, pour la Nuée... Il y avait de quoi être ravie, et, à chaque fois, Irina s’émoustillait des cadeaux que sa Mère lui faisait.
« Dans leur version originelle, les Xénomorphes, quand ils engrossent une femme, naissent au monde en perforant sa cage thoracique, ce qui est mortel... »
Irina se déplaça un peu, et caressa du bout des doigts l’œuf. Il était chaud, et quelque chose palpitait à l’intérieur.
« Fort heureusement, le technogénéticien de la Nuée de la Reine des Lames, Abathur, a modifié cette chose. Les larves xénomorphes sortent désormais par l’orifice traditionnel... Mais en mettre une au monde est très éprouvant, ma belle... Ce n’est pas qu’une simple larve de quelques centimètres... »
Irina estimait nécessaire de la préparer un peu. L’œuf était en train de s’ouvrir... Une fumée s’échappa de ce dernier, délivrant une odeur assez pestilentielle, mais chargée de phéromones. Abathur n’était pas encore très performant pour ce qui concernait les goûts sensoriels humains, ce qu’Irina avait déjà pu réaliser par elle-même.
« Mon Facehugger va venir se coller à ton visage, et te violera la bouche et la gorge, afin de faire pousser en toi la larve... Puis, quand ce sera fait, soit au bout d’un ou deux jours, il s’écrasera sur le sol... Ensuite, tu devras encore tenir quelques jours, et un beau bébé jaillira de ton magnifique ventre. »
Contrairement aux autres Formiens, où on pouvait produire plusieurs larves, un Xénomorphe était long à produire, car on ne pouvait les faire qu’à l’unité, et la période d’incubation durait plusieurs jours, avec trois étapes : la maturation de l’œuf, la gorge profonde par le Facehugger, puis l’accouchement.
« Mais ne t’inquiètes pas, tu n’auras pas le temps de t’ennuyer... Sois prête, ma chérie, il arrive... »
Kamori avait une vue plongeante sur l’œuf, et pouvait voir les couches supérieures de ce dernier fondre. Une improbable créature arriva alors, ressemblant à une sorte d’araignée blanchâtre, qui fit fondre le cœur d’Irina : un Facehugger (http://www.writeups.org/img/inset/Alien_Facehugger_h1.jpg) ! La créature n’attendit guère, et bondit vers Kamori, et se plaqua à son visage avec force, entourant sa tête par ses six petites pattes arachnéennes. Sa « bouche ventrale » se plaqua contre le visage de Kamori, et, depuis cette dernière, un gros tentacule s’enfonça dans la bouche de Kamori, épousant la forme d’une verge, et se perdit dans sa gorge, puis commença des mouvements d’avant en arrière.
Irina, en se mordillant les lèvres, bras croisés, observait pour l’heure ce spectacle... Elle interviendrait après.
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La Traqueuse-combattante n'en croyait pas ses oreilles, elle n'avait encore jamais vu ce type de monstres auparavant et d'après ce que la dénommée Irina lui apprenait, cet bestiole n'allait pas lui faire de cadeau, et juste après avoir effleurer ce drôle d'oeuf au toucher, une sorte d'ouverture hermétique s'écarta comme des pétales de fleurs en laissant dévoiler le contenue de l'oeuf, quelque chose bougea dedans et tandis que sa patronne finissait a l'instant de s'expliquer sur les différentes de gestation de cet nouvelle espèce inconnu. Un petit son bizarre figeât alors la prêtresse-Jaeger, elle ne savait pas ce qui allait émerger mais elle ne pouvait pas se mouvoir non plus car ses liens la retenait solidement et lui coupait tout tentative de fuite possible. Elle ne s'y était pas préparer et décidément ces démons de formiennes n'avait pas leurs langue dans leur poches pour flanquer la frousse a leurs nouvelle résidente ! Kamori fut tellement émotionnellement et troublée a la fois qu'aucune voix en sortit de sa gorge, quelque chose se mit soudainement a frémir, Seika put distinguer des sortes de pattes mince et longues qui avait la forme de doigt squelettiques blanc clair mais elle ne vit pas grand chose durant ces quelques secondes qui lui semblait interminables... Brusquement, le "Facehugger" s'extirpa comme une un prédateur qui bondissait a vive allure sur sa proie et sauta droit sur le visage de la nonne sur un saut bien calculé, Kamori n'eu pas le temps de détourner sa tête de coté et fut complètement a la merci de la créature, la bestiole se plaqua littéralement sur son visage et ses pattes jaunes s'accrochèrent sur le contour de la figure sur ses cheveux mauves désordonnée, tandis que la queue de l'alien s'enroula autour du cou de l'humaine pour être sure de ne pas lâcher prise, la Bunen étouffa un cri mais ne rien émettre parce le monstre avait sorti un sorte de long tube de sa face ventrale et le fit entrer jusqu'au fond de la trachée de la jeune femme.
HHHHHHMMMMMMMM.... hhhhmmmmm...
La purificatrice pouvait sentir une étrange matière glisser sur sa langue pour disparaître par le fond de la gorge et bien sure son épaisseur était assez importante pour savoir que même ses dents furent bloqué a cause de ce conduit glauque, elle pouvait toujours bouger la tête mais son crâne eut cependant un point de mouvement limité a cause du poids du Facehugger et aussi a cause de sa fatigue, la demoiselle ne voyait rien et la lumière du jour disparut, elle dut garder les paupière fermées en n'attendant que la créature l'avait enfanter, les palpitation de cet sorte d'arachnides doublèrent alors de cadence, pendant que le viol orale fut en cours de traitement, elle ne savait pas combien de temps mais ce qui est sure c'est qu'elle ne succomberait pas mais elle devra tenir jusqu'au bout, le cordon qu'avait introduit le monstre en elle déversait tout doucement voire lentement un liquide amniotique mais elle ignora ce que pouvait contenir cet consistance qui sortit de l'ordinaire mais naturellement, la seule personne qui connaissait cet infos ne pouvait qu'être que celle qui la gardait prisonnière en prenant plaisir a s'amuser avec celle-ci.
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C’était le miracle de la vie. Tout simplement. En voyant le Facehugger violer la bouche de Kamori, Irina voyait l’accomplissement de la vie. Il était merveilleux et formidable de voir comment la vie trouvait toujours un moyen de s’affirmer, même si le cas des Xénomorphes était très particulier. Leur origine était sujette à caution, et, ce qu’Irina avait remarqué, c’était qu’un Xénomorphe ne pouvait pas se reproduire sans fertiliser une autre espèce. C’était étrange, car la sélection naturelle voulait qu’une espèce incapable de se reproduire entre ses propres membres finisse par disparaître. Pour autant, les Xénomorphes existaient, et avaient jadis été une espèce civilisée, si on en croyait les ruines archéologiques retrouvées ici et là sur certaines planètes mortes. Leur passé était nimbé de mystères, et même les Formiens n’avaient pas la réponse. Tout ce que la Fourmilière pouvait fournir sur cette race, qui passionnait Irina en tout point, était un éclairage génétique. Ce qu’Irina avait ainsi découvert, c’est qu’il existait plusieurs types de Xénomorphes, l’ensemble formant une société très structurée :
- Les Drones (http://img110.xooimage.com/files/a/d/9/drone-4b8305e.png), constituant les Xénomorphes classiques, dont la fonction était un peu globale. Ils étaient les ouvriers, trouvant des proies, tuant leurs ennemis. Exclusivement de sexe masculin, les Drones avaient ainsi pour but de surveiller un territoire en tuant tout étranger, ou en capturant toute proie utile pour le nid ;
- Les Runners (http://fc00.deviantart.net/fs5/i/2004/304/6/e/Alien_WP_by_herisheft.jpg), des sortes de Xénomorphes se déplaçant à quatre pattes, et qui étaient utilisés pour sortir des territoires sécurisés. Les recherches d’Irina avaient permis d’établir qu’ils pouvaient avoir servi de messagers entre plusieurs colonies, ou plus vraisemblablement d’éclaireurs, envoyés pour chercher de nouvelles colonies. Ils étaient, eux aussi, exclusivement de sexe masculin ;
- Les Reines (http://img110.xooimage.com/files/7/0/a/promo07-4b8307a.png). Une Reine était à la tête d’une colonie, dirigeant tous les autres. Les Reines étaient exclusivement de sexe féminin. Elles étaient bien plus grandes que les Drones, beaucoup plus dangereuses, et étaient aux Xénomorphes ce que l’Annexien était à la Horde de Formiens : un chef. Si on tuait la Reine, toute la colonie se désagrégeait, car l’esprit indépendantiste et cruel des Xénomorphes se réveillait.
Des études passionnantes, qui avaient confirmé à Irina que les Xénomorphes étaient une créature biologiquement parfaite, nonobstant leur impossibilité à se reproduire par eux-mêmes, qui faisait d’eux une espèce de prédateurs par excellence. Une race marquée par un fort dimorphisme sexuel, comme les araignées, dans la mesure où les Xénomorphes femmes étaient appelées à devenir Reines, et qu’on ne pouvait donc trouver qu’une seule Xénomorphe au sein d’une Ruche. Si une autre femelle poussait, la Reine en place voudrait immédiatement la tuer afin d’éviter qu’elle ne devienne une rivale.
Irina voyait donc Kmaori gémir en se tortillant lentement, et la Cérébrate se rapprocha. Le Facehugger était vivant, et la main d’Irina caressa son dos, avant qu’elle ne dépose quelques baisers sur lui. Une bave s’échappa de son ventre, recouvrant ainsi le visage de Kamori, coulissant le long de son menton, destinée à protéger sa peau d’éventuelles irritations liées à cette ponction intense et agressive.
«
Oh, ma belle... » soupira Irina.
Elle posa ses mains sur ses hanches, et fit pousser une verge entre ses cuisses, qu’elle utilisa pour pénétrer la femme, enfonçant son membre dans son corps tout en soupirant, griffant sa tenue en latex... Ou, plutôt, sa
peau en latex.
«
Haaaaaaaaaaaaa... Ouuuuiiii !! »
Contrairement à sa Mère, Irina était une fille très expressive, et elle comptait bien s’occuper
avec tout l’amour possible de la belle Kamori !
-
La chaleur que la jeune femme recevait sur son visage fut si intense qu'on pouvais dire que celle-ci suait a grosse goutte, mais plus encore elle ne pouvait rien voir de ce qui se passait car sa vue fut totalement masquer par cet espèce de bestiole vivante, jamais elle n'aurait cru se retrouver un jour dans une pareil situation mais il fallait qu'elle s'instruise auprès de d'autres enseignant et expérimentée en la matière qu'était l'art et les mystères encore non répertoriée du domaine sexuel. Elle avait couchée et accouchée avec différente créature variable et mit au monde plein de petits monstres répugnantes les unes que les autres mais faire naître un alien en captivité fut sa première expérience quelle trouva enrichissante mais pour pour le moment la nonne n'était pas sortie de l'auberge, elle sentit le monstre déverser en elle le liquide embryonnaire qui devait servir a mettre bas a sa nouvelle progéniture mais le "Face-hugger" le fit très lentement et ne le finissa pas en une seule giclée. Elle ne pouvait pas non plus définir l'anatomie de base d'un de ces monstres une fois qu'ils auront atteint l'age adulte (étant donné quelle n'en avait jamais vu) mais elle se faisait une petite idée via son imaginaire. La prêtresse-Jaeger sentait que les membres de son corps s'engourdissait au fur et a mesure qu'elle se trouvait immobile avec ces lianes et sa circulation sanguine en prit un coup... Elle agita désespérément ses mains face a sa maîtresse Irina en bougeant ses doigts gantés pour lui faire comprendre qu'elle n'en pouvait plus sinon son cerveau ne serait plus irrigué par le sang et elle pourrait faire une syncope et tombé dans le coma avant de faire germer l'alien dans son organisme, elle ignora si celle-ci l'a remarquer ou non mais elle espéra qu'elle l'avait vu et qu'elle l'a libérera si possible et de poursuivre la manœuvre en étant allonger au sol sans aucune entrave supplémentaire...
(...)
La Bunen sentit encore quelque chose se passer de nouveau, cet fois-ci cela se déroula sur le bas-du-corps, alors que l'angoisse l'envahit, une forme bizarre semblait vouloir la pénétrer d'abord doucement puis petit a petit avec plus de vigueur, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de sentir l'excitation monter a vitesse grand V et elle sut juste après qu'il s'agissait d'Irina, il faudrait qu'elle y aille mollo parce que sinon, elle risquerait de lui déchirer son organe génitale mais au moins, elle partageait déjà un moment d'extase et elle ne s'en plaignait pas, au contraire elle le savourait très bien mais sa position inconfortable ne lui permettait pas malheureusement de se sentir plus a l'aise dans ses mouvements et elle avait besoin de plus d'espace et de liberté pour se faire.
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En devenant une Cérébrate, Irina avait hérité des pouvoirs télépathiques de sa mère, même si, chez elle, ils étaient présents en une bien plus faible quantité, et mal maîtrisés. Irina était encore jeune, presque un bébé, vu qu’elle n’était la Fille de Sarah que depuis quelques semaines seulement. Elle profitait toutefois pleinement de sa nouvelle vie, et Kamori allait en faire les frais. La Cérébrate la pénétrait, et, toute absorbée dans son plaisir, comprit au bout de quelques minutes que son heureuse prisonnière voulait être libérée de ses entraves. C’était en soi risqué, mais, avec le Facehugger son sur visage, Kamori était de toute manière incapable de s’éloigner trop loin. En ce moment, elle ne faisait plus qu’un avec cette créature. Si on tentait de retirer le Facehugger, il arracherait la figure de Kamori, la tuant très probablement. Et, si jamais elle tentait de s’évader, Irina pouvait commander au Facehugger de l’étouffer en coupant toutes ses voies respiratoires. Sa verge remuait en elle, s’enfonçant bien profondément dans son corps, caressant ce corps en latex. Elle lui palpait les fesses en soupirant, gémissant tout contre elle. En un sens, il était presque dommage que Kamori ne puisse pas la voir en train de lui faire l’amour, tant elle était belle. Son chibre bleu remuait en elle, encore et encore... Et elle finit par retirer les tentacules qui immobilisaient la prêtresse en latex.
Kamori s’affala sur le sol, et Irina, à côté d’elle, ne la laissa pas seule trop longtemps. Elle la rejoignit, et s’allongea sur elle, retournant la pénétrer, avant d’approcher sa bouche de l’un de ses seins, qu’elle se mit à suçoter et à mordiller. C’était vraiment un corps fascinant, quelque chose dont elle n’avait jamais entendu parler, même à l’époque où elle était encore une simple humaine. Le latex avait fusionné avec le corps de cette femme, devenant sa peau naturelle, ce qui faisait que Kamori était en train de sucer du latex entre ses lèvres... Et, comme sa mère avant elle, elle adorait tout simplement ça. Son corps remuait d’avant en arrière, soulevant celui de Kamori, et elle mordilla son sein, avant de se redresser, et d’embrasser le Facehugger. Son amante pouvait ainsi progressivement comprendre une chose : elle était physiquement reliée à la créature qui était en train de l’incuber, et devait donc ressentir les baisers et les frottements qu’Irina faisait sur le Facehugger... Facehugger qui ne pouvait qu’en être ravi, car Irina était un peu comme sa mère.
Et, pendant ce temps, elle continuait à remuer en elle, explorant les joies infinies et magnifiques du sexe. Oh, qu’est-ce que ça pouvait être bon ! Quand on découvrait ça, on se demandait vraiment pourquoi les Tekhanes continuaient encore à se battre, alors même que les Formiens ne faisaient qu’exaucer les souhaits et les désirs profonds des humains : coucher perpétuellement et éternellement. Les Formiens n’avaient jamais été pour Irina une force d’invasion, mais plutôt une source d’espoir, la promesse de lendemains meilleurs.
« Hummm... Hunnn !! »
Leurs seins se frottaient ensemble, et Irina continuait à prendre avec cette femme, à l’étriller, à la prendre, et à s’unir avec elle... Et, tout en le faisant, elle commença à envoyer ses ordres, par le biais de messages télépathiques destinés à la belle Irina :
*[MT] Fais-moi l’amour, Kamori... Palpe-moi les fesses avec tes mains. Tu voulais que je te libère les membres, alors utilise-les... Ou tu seras à nouveau attachée. [/MT]*
Dans la société formienne, tout se devait d’être utilisé, ce qui était aussi l’une des grandes forces. Contrairement aux sociétés humaines, les parasites sociaux n’étaient pas les bienvenus ici, et étaient engloutis. La société formienne était une société profondément collectiviste et utilitariste, où il fallait donc utiliser régulièrement son corps et tous ses membres... Ce qu’Irina venait de proposer à Kamori.
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Kamori sentit toujours la présence extérieure de la formienne qui la défonçait tendrement mais avec plus de vigueur, elle était vicieuse sur ses mouvements, cela se voyait sur sa façon d'agir, Seika était devenue l'esclave sexuelle de cette fille alien, le gourdin s'enfonça en elle dans un mouvement de va-et-vient perpétuelle, le col de son utérus en fut vilainement heurtée sans aucune douceur et elle reçut un ordre par télépathie lui intimant de la prendre par les fesses, elle poussa un gémissement étouffée quand sa maîtresse lui suçota un de ses seins alors que durant ce temps, le "bulbe" déversa lentement son ovule en l'imprégnant de sperme au fond de sa trachée, celle-ci s'écoula directement au plus profond de ses entrailles, son estomac en fut remplie de cet sécrétion liquide ce qui lui fit prendre un peu de volume dans son ventre. Kamori souleva alors la créature et lui serra les fesses en la pinçant de sa main gantée, elle ne pouvait malheureusement pas la voir puis le "face-hugger" lui couva tout le visage mais elle pouvait en parti l'entendre.
Je vais te déchirée les fesses, tu va voir méchante !
Sayaka lui pinça alors les deux parties, essayant de la faire souffrir de son mieux même si les moyens d'accès en fut limitée mais elle se demanda dans combien de temps elle va accoucher de ce bébé monstre qui n'est pas encore arriver pour l'instant au stade embryonnaire, seule son hôte connaissait la réponse, mais là n'est pas la question parce qu'elle dés qu'elle aura fait naître la bestiole, elle s’occupera du cas de la formienne en lui ouvrant le ventre et étudiera son organisme et ses fonctions vitaux en la disséquant avec joie mais pour se faire, il fallait attendre l'heure du jugement ou peut-être les rôles seront inversés, elle griffa les fesses de l'alien tout en se faisant meurtrir dans sa parti intime, qu'attendait-elle pour lui percer le col et déverser son jus sur les boyaux ?? le temps lui paraissait long en restant uniquement dans cet position à plat dos et avec cet espèce de pâte à modeler à sa figure qui la violait gratuitement.
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Le temps d’incubation d’un Facehugger durait généralement plusieurs heures. Plusieurs heures à sentir une queue dans sa bouche, remontant dans sa gorge, balançant régulièrement des substances qui permettaient de fertiliser le ventre de la femme. Plusieurs heures de gorge profonde, qui furent également ponctuées par une séance de sexe longue et intense avec la Cérébrate de Sarah, la belle et sensuelle Irina. Cette ancienne Tekhane s’était retrouvée une nouvelle vie avec son statut de Formienne, à tel point qu’elle considérait son ancienne existence comme une erreur, une sorte de non-vie. Sa vraie vie, elle était là, en ce moment, à pénétrer cette femme, à l’enfanter, à la fertiliser, et à sentir ses mains parcourir ses fesses, son corps en latex se frottant contre le sien, plaquant son corps contre le sien, provoquant de magnifiques frottements. La grosse queue d’Irina bouillonnait dans son corps, remuant d’avant en arrière, déformant les parois de Kamori. Sa Mère lui avait offert une magnifique offrande, et Ireina y goûtait avec joie.
Pour Kamori, il n’y eut aucun temps mort. Pendant toute la durée de son incubation, Irina lui fit l’amour. Des heures et des heures de soupirs, de jouissance, dans ce nid, de corps entortillés. Irina embrassa le Facehugger à maintes reprises, sa langue léchant les petites pattes qui s’étaient enroulées autour de la taille de la femme. Ses mains se crispaient sur ses cheveux, puis sa bouche se déplaçait, embrassant sa tenue en latex, la léchant, mordillant et tirant sur ses tétons. C’était vraiment une peau particulière, comme si le latex avait fusionné avec sa chair, et, pendant des heures, Irina la parcourut, de part en part.
Elle la retourna, la prenant à quatre pattes, enfonçant sa verge dans son cul, en poussant de longs soupirs de plaisir, des cris remontant le long du nid. Irina était encore une Formienne relativement inexpérimentée, d’un point de vue sexuel, mais elle était pleine d’énergie, pleine de fougue et de vitalité. La Cérébrate prit donc Kamori dans tous ses trous, alternant entre son cul et son vagin. Elle la baisa à même le sol, et la plaqua contre le mur, remuant ses hanches, encore et encore, tant elle avait envie de cette femme, tant elle avait envie de sexe, et tant elle aimait ce latex, ce corps de poupée, ferme et solide, beau et tendre.
« Oh ouuuiii... Ouuuiiii !! Haaaaaaaaaaannn... !! Haaaaaaaaaaaaaaannnn... !!! »
Elles se firent l’amour pendant des heures, le Facehugger continuant à féconder la femme. Rien ne semblait pouvoir arrêter Irina, et, quand le Facehugger finit par se retirer, Kamori était prise contre le mur, prise par les élans d’Irina, prise par la soif de la Cérébrate. Le Facehugger se détacha lentement, et tomba sur le sol, inerte, mort. Kamori put ainsi voir le visage d’Irina, qui alla rapidement l’embrasser fougueusement, plantant sa langue dans sa bouche, l’embrassant pendant bien une bonne minute.
Elle retira ensuite ses lèvres, et arqua sur ses lèvres un sourire mielleux.
« Oh, Kamori, tu es une telle bénédiction pour moi, hum... Le Xénomorphe que tu vas pondre sera un bébé très puissant, solide... »
Irina en était ravie, et relâcha alors Kamori, après un nouvel orgasme. Son ventre était bien arrondi, et Irina était en sueur.
« Viens me faire l’amour, Kamori, ma belle. Encore, encore, j’en veux encore... »
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Son corps appartenait à cette formienne, elle ne pouvait rien faire a part sentir tous les mouvements et les postures que lui faisait exercer Irina, si elle le pouvait, elle aurait pu s'en libérer mais le Face-hugger lui avait inoculer un genre de sédatif visant à limiter la réaction de ses membres , du coup, elle ne bougea que lentement soit à la vitesse d'un escargot mais sa complice n'en était pas de cet avis et s'amusa réellement en la défonçant comme un rien. Elle ressentit des picotements et des démangeaisons, signe indiquant que la sadique lui torturait sa chair, elle aurait voulu hurler pour exprimer son mécontentement mais sous la bestiole la bouche fut bloquer par une longue queue épaisse se définissant comme un cloaque, elle ne pouvait pas essayer de refermer sa dentition sur ça car l'épaisseur de la chair salivaire de cet créature avait une curieuse résistance. Elle se sentit mise à quatre pattes, elle comprit que l'alien l'avait retourner, elle put toucher le sol vaseux et sale sous ses mains gantées, puis soudainement, ses sens tombèrent en alerte, ses pieds se redressèrent sur la pointe de ses bottes de cuir et son dos se contorsionna, quelque chose de dure et de non délicat avait pénétrer rageusement dans son intimité. Les yeux de la jeune femme manquèrent de s'ouvrirent mais craignant de perdre la vue à cause des glandes salivaires sous le corps de l'animal, elle ne le fit pas mais sa patronne n'avait aucune douceur, d'abord ses fesses puis son intimité furent prisent d'assaut alternativement. Pendant toute la scène d'orgie qui la rendait quelque peu paralytique, Irina contrôlait le corps de la nonne, puis sa carcasse fut soulevé du sol par la queue de l'alien pour se faire plaquer après contre un mur, ses gros seins se firent écraser contre la surface dure, elle eut mal mais le plaisir fut énorme que même la douleur était aveugle pour Kamori.
HHHHHHyyyyyyyyaaaaaannnnnnnnn.... aaaahhhhhhhhnnnnnnn....
Durant ce temps, le monstre qui masqua le visage de la prêtresse-Jaeger commença alors à bouger avec plus de vigueur, ses deux poches d'air sur le côté de son corps d'arachnide jaune se mirent à vibrer comme les glandes des crapauds qui coasse. Son geste devait apparaître comme un individu qui devait se branler devant une vidéo pornographique, ce qui rendit difficile l'arrivée d'air à Seika, elle eut un peu de mal à respirer comme si elle se trouvait sous l'eau mais elle fit de son mieux en inspirant et en expirant par les narines. La créature éjecta alors par le fond de sa trachée qui se déversa directement sur son tube digestif et pendant qu'Irina la punissait sexuellement, la bactérie commença alors à germer en elle et grandir doucement, le ventre de la jeune femme prit un peu de volume comme un ballon de baudruche. Sayaka adorait la période d'incubation et finalement, Irina lâcha prise en lui rendant sa liberté et au même moment, la créature tomba sur le sol en se détachant du visage de la Traqueuse-combattante comme une feuille morte. La figure de la fille fut humide de mucus salivaire avec de la transpiration, elle haleta bruyamment en matant Irina avec sa langue qui pendait hors de sa bouche, elle se leva en se maintenant l'abdomen et se laissa tomber au pied d'Irina, elle poussa un cri de douleur mais retrouva vite son air perverse et se mit à lécher le pied de son ennemie avec un regard de soumission.
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Les pattes du Facehugger se contractèrent sous un ultime spasme musculaire. Il était mort, car il avait balancé toute sa vie dans un ultime coup de foutre, qui avait filé dans le ventre de la femme. Maintenant qu’il était mort, sa carcasse allait retourner à la Fourmilière, et la nourrirait. Quant à Kamori, sonnée, elle se redressa lentement, le corps en feu, endolori par tout ce qu’elle avait subi. Un sourire amusé sur le coin des lèvres, Irina la laissa ensuite se rapprocher. Sa démarche était pantelante, et elle finit par tomber à genoux devant elle, avant de lui lécher le pied, incapable de parler. Ce n’était pas étonnant ; sa bouche avait été violée pendant des heures. Elle était pâteuse, et les muscles de sa bouche étaient donc en piètre état, nécessitant un peu de repos. Seika lécha donc son pied, et Irina lui sourit, son membre toujours dressé, recouvert de la mouille de la femme. Elle se pencha alors vers elle, et caressa délicatement son visage, ainsi que ses cheveux.
« Oh, ma belle, tu as raison... Il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud... Ta grossesse risque de durer plusieurs jours... Ce sera comme si tu étais vraiment enceinte d’une belle fille. Ton ventre va grossir et onduler jusqu’à devenir bien rond... Puis nous assisterons ensemble à la naissance de ton enfant. »
Elle lui sourit, et l’embrassa tendrement sur les cheveux, la caressant comme une sorte d’animal de compagnie. La Cérébrate se redressa ensuite, et s’étira lentement. Le sexe... C’était maintenant une composante fondamentale de son existence, et elle ne pouvait le nier. Le sexe... Elle adorait ça, tellement, tellement. Il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne fasse des orgies, que ce soit avec ses propres enfants, ou avec ses délicieuses prisonnières. Tout, ici, n’était qu’un prétexte à la lubricité et à la perversion, au sexe sauvage et décomplexé. Et c’était bien ce qu’elle comptait faire avec cette femme.
Elle l’observa donc. Kamori était complètement écrasée, et totalement soumise... C’était encore une merveilleuse acquisition de sa Mère, une femme qui allait désormais passer l’intégralité de sa vie à être baisée, et à servir de ventre pour les Formiens. Une existence de rêve, à bien des égards... Après tout, elle avait la chance de coucher à volonté avec une femme aussi belle qu’Irina, cette délicieuse Cérébrate à la peau bleue.
« Lèche ma jambe... Remonte jusqu’à ma queue, et suce-moi.... Suce-moi bien, et je te montrerais de quoi je suis capable, ma petite salope... Suce la queue de ta Maîtresse, Kamori, lèche sa belle peau magnifique... Frotte ton corps en latex contre mes jambes, ma poupée de sexe... »
Et ce n’était qu’un début...
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Le corps entièrement vidée de sa force, elle avait vaillamment tenu le coup depuis des heures et elle pu enfin respirer de l'air non pas pure mais fétide mais cela resta différemment de l'oxygène, elle s'était évanouie de fatigue et bizarrement son corps ne lui obéit plus et s'en rendre compte parut être contrôler par l'entité mouvante qui s'occupa d'elle. C'est comme si son âme fut extrait de son enveloppe charnelle et que son corps bougeait telle une marionnette désarticulé, elle ne se rendit absolument pas compte de ce qu'elle faisait... La célébrate prit bien son temps en s'amusant avec celle-ci, la jeune femme avait le regard trouble comme si elle avait longuement fixer le soleil pendant un moment juste avant de détourner le regard si bien qu'il y avait comme qui dirait des ombres se défiler... Son visage portait encore les sécrétions humide de l'animal et son regard avait une étrange expression avec le côté écarlate qui avait envahit sa figure et sa langue pendait mollement de sa bouche, son épuisement était tel que quand elle inspira et expira, ses seins se balancèrent de haut en bas. La formienne lui intima de suivre un ordre, chose qu'elle fit à l'instant, la nonne crevée physiquement par les heures de luttes passée mais dont l'esprit fut follement excitée se mit à passer sa joue sur la queue et ce malgré que sa joue se déforma sur la surface dure de l'item mais l'embout fut un peu volumineux et sa bouche rudement petite et non béante comme un Grangousier (une espèce de poisson des abysses dont la mâchoire est assez extensible pour gober des proies), elle passa de timides coup de langue sur la matière mouillé qui lui donna l'impression de lécher du bois humide après une pluie. Une fois le premier mouvement mit en place, elle se rapprocha des cuisses de l'alien en faisant se frotter sa poitrine caoutchouteuse sur une des jambes de l'étrangère et ceintura ses bras autour de celle-ci en lançant des regards débile avec sa langue pendante sur sa dirigeante.
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La belle Irina exultait. Elle avait une nouvelle pondeuse ! Et visiblement pas n’importe laquelle... Une vie de luxure et de perversion sans bornes s’ouvrait pour Kamori. Elle pouvait oublier tout ce qu’elle avait été jadis, tout ce qu’elle avait été avant de venir ici. Mère lui avait fond e cette petite poupée, et le Facehugger l’avait enfanté. Un bébé xénomorphe poussait maintenant dans le ventre de cette belle poupée de latex, un bébé qui avait besoin qu’on le nourrisse pour pouvoir éclore. Et, fort heureusement, dans ce domaine, Irina était championne. Elle allait la nourrir, cette petite ! Mais, avant, elle voulait que Kamori lui montre sa soumission... Ce que cette dernière fit sans rechigner, comme si le passage avec le Facehugger lui avait ôté toute volonté. C’était ainsi une belle femme très docile qui lécha sa jambe, satisfaisant de profonds fantasmes humains chez la Cérébrate. De base, cette dernière était une Tekhane, et, même malgré sa transformation en Formienne, elle n’avait pas oublié certains de ses anciens penchants.
« Aaaahh.. Ouuuiii, ma chérie... Haaaann, voilà... Frotte-toi bien... »
Oh oui, que c’était bon ! Irina sourit en la voyant, la langue pendante, les yeux vides... Le Facehugger n’avait, pour autant, nullement altérer ses facultés mentales. Difficile de dire ce qui lui était arrivé, mais, en un sens, Irina préférait ça à l’excès inverse : la résistance, la rébellion, l’opposition perpétuelle et permanente... Ici, la petite femme était docile, et, en l’état, c’était vraiment tout ce que la Cérébrate souhaitait. Elle continua à la laisser se frotter, une main caressant tendrement ses cheveux, puis finit par tirer la tête de Kamori vers l’arrière.
« Allez, viens boire mon bon nectar, mon amour... »
Irina souleva la tête de la femme, et, avec sa langue pendante et sa bouche ouverte, il ne fut guère difficile d’enfoncer sa verge dans sa bouche. Elle maintint sa main contre ses cheveux, et soupira de plaisir, enfonçant sa queue le plus loin possible pour commencer. Son mandrin tapa ainsi contre sa gorge, puis elle partit en arrière, et commença ainsi à la baiser, remuant son membre en elle, de plus en plus rapidement.
« Hmmmm... Ooouuuuiii... Haaaa... Je vais jouir dans ta petite bouche de salope, ma... Ma chérie ! »
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L'on pouvait presque dire que sa langue s’assécha au fur et a mesure de parcourir des allers et retour en va-et-vient sur cette peau peau rêche, cela devait bien faire des heures qu'elle faisait de la léchouille depuis que la pieuvre-alien avait lâcher sa figure, sa main ganté de couleur sombre et plastique fut couvert d'un étrange mucus quand elle tenu l'une des jambes de sa maîtresse. Et enfin, le moment tant attendu pour Irina fut de placer son bâton au fond de la bouche de la nonne, et s'ensuivit la défonce de la gorge de la jolie demoiselle. Le pénis de cet être maléfique sembla grossir de quelques centimètres de diamètre et en plus avec la bouche qui s'écartait difficilement a chaque entrée et sorti de ce truc, elle avait du mal a respirer et d'autant que même sa vision fut brouillé par la sueur et ses cheveux humides qui lui masquait son champs de vision comme des rideaux. A l'intérieur de son abdomen, son petit monstre se développa doucement mais il avait besoin d'être nourrie et peut-être bien que ce qui se trouva au fond de la queue de cette subordonnée ne pouvait que contenir un genre de lait spermatique devant servir justement a nourrir la monstruosité qu'elle détient. Kamori fut si achevée quelle n'avait pas la force de lever un petit doigt mais heureusement pour elle, Irina ne lui forçait pas la main puisque ce fut son opposante qui dirigea les mouvements. Seika fut comblée en quelque sorte et c'est ainsi que ses pupilles prirent une étreinte fixe comme si elle avait perdue connaissance les yeux ouvert, elle est bien éveillée mais juste son esprit est ailleurs. La Traqueuse-combattante se souvint alors de la Radical Dream alias sa grande sœur qui avait disparue en mission, elle avait l'impression de revoir sa mentor Sakuya a la place d'Irina et soudainement comme si cela avait eut de l'effet, sa langue lécha le dessous de la queue qui continua imperturbablement de la pénétrer, n'hésitant pas a avaler le plus possible de ce liquide spermatique et ce en s'étouffant presque, ses mains se nouèrent presque autour du bas-du-corps de la fille alien et tandis que sa bouche toucha presque les entre-jambes, le pénis déforma un peu sa trachée mais ce ne fut pas un problème puisque elle se dépêcha de bouger la tête jusqu'a ce que la queue atteigne le fond de la gorge pour noyer ses entrailles et faire baigner l'embryon dans cette poche liquide qu'est devenu son ventre.
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Irina aimait toujours faire l’amour, que ce soit avec des femmes ou avec des hommes. En tant que Formienne, elle avait une grande ouverture sexuelle, qui se traduisait au quotidien, par le fait qu’elle couchait aussi bien avec des beautés en latex comme Kamori, qu’avec des petits monstres comme les Formiens. Et, dans les deux cas, elle prenait son pied. Là, avec cette espèce de religieuse, il y avait, néanmoins, plusieurs couches de plaisir supplémentaires. De base, il y avait le fait qu’elle avait une peau de latex impossible à enlever, ce qui lui conférait vraiment l’image d’être un sex toy monté sur nichons, et, ensuite, il y avait sa grande servilité. Kamori était visiblement une merveilleuse perverse, qui, si elle avait un jour eu des velléités de rébellion, s’était maintenant totalement écrasée et soumise aux ambitions de la Cérébrate. Face à elle, avec sa queue tendue et érigée, Kamori était l’image même du désir et du sexe sauvage, torride et déluré. S’humectant les lèvres, Irina frissonnait lentement, puis vit la jeune femme approcher sa bouche de son sexe, tout en ceinturant sa taille.
« Haaaa… »
L’une des mains de la femme à la peau bleue caressa les cheveux de la femme. Elle savait que Kamori était épuisée, et c’était bien pour ça qu’elle lui proposait quelque chose de peu intense… Du moins, pour le moment. Elle sentit la bouche de la femme remuer un peu sur sa queue, mais, ensuite Kamori alla surtout la regarder, en ouvrant la bouche, ce qui fit sourire Irina.
« Petite catin… Tu veux que ce soit moi qui te prenne, c’est ça ? Tu es… Une incorrigible traînée ! »
Les deux mains d’Irina vinrent, suite à ces propos, se crisper sur la tête de la femme, et elle commença à remuer, d’avant en arrière, donnant des coups de reins en enfonçant joyeusement sa trique dans la bouche de la jeune femme, tirant sur ses cheveux.
« Hummm… Vas-y, petite pute, palpe-moi le cul, haaaa… »
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Ça était c'était une vie sexuelle, elle fut entièrement refaite et elle n'avait plus aucune volonté tellement Irina l'avait pénétrée en corrompant sa fierté paroissiale, la jeune fille se fit baiser passionnément par elle qui l'a maintenu solidement contre son gourdin de "Futa", quel visage larmoyant et spermatique elle avait, elle s'en ficha du reste et étrangement le pénis s'agrandit de l'intérieure d'environ une trentaine de centimètre déformant sa trachée et sa lobe ne pu éviter de frôler la surface du sexe, elle poussa une toux étouffé en manquant de vomir mais même si ce fut le cas, sa déjection serait retourné au fond de ses viscères a cause de l'épaisseur large qui prenait toute la place du fond de la gorge. Kamori du effectivement s'agripper aux fesses de la maudite pour ne pas tomber en perdant l'équilibre tant l'épuisement physique fut grand. La cyprine sortant du bout durci inonda son estomac alors que son ventre prit de l'ampleur, ses cheveux mouillées lui retomba sans cesse lui coupant le regard par moment, elle eut alors une idée de dernière minute. Sayaka se servit de sa main droite valide (tandis que celle de gauche lui pinça intensément le fessier), la main droite prit du recul et comme une flèche fonça directement dans le "trou du cul" de l'alien, cela paraissait sacrément étroit et du se servir de index et du majeur pour forcer l'entrée de la main jointe comme une lance. Seika pensa qu'en la fistant de cet manière, elle pourra faire alors sortir ses "coprolithes" et elle fut impatiente intérieurement de goûter a quelque chose d'aussi inhabituelle, si elle avait bien pu avaler des litres de sperme et servi d'urinoir, elle pourrait aussi bien servir de latrines mais honnêtement mais elle ne savait même pas elle même pourquoi elle devait en arriver là comme si elle avait perdue la dernière parti de son humanité qui pendait encore il y a peu.
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La belle Kamori était un superbe cadeau. Comme toujours, Irina était surprise de voir ce que sa mère pouvait rapporter. Une vraie petite beauté, poupée en latex, qui semblait n’avoir été conçue que pour se faire baiser. Irina enfonçait sa virilité impériale dans sa bouche, mains crispées sur ses cheveux, et elle sentit soudain les doigts de la Tekhane se rapprocher de ses fesses, cette dernière cherchant à lui faire ce que, poétiquement, on appelait un fist fucking.
« Haaa… Petite gourmande… !! »
Fort heureusement, les Formiens avaient une morphologie très élastique, qui permettait ce genre de choses. La Cérébrate à la peau bleue disposait ainsi d’un corps très souple, ce qui permettait de faciliter les mouvements en elle. Crispant ses mains sur les cheveux de la femme, elle remuait en elle, poussant de longs soupirs en se mordillant les lèvres. Comme toujours, Irina aimait tout ce qui se touchait à l’anal, y compris son propre petit cul. Un cul qui était régulièrement exploré, ce qui fit que les doigts de Kamori purent assez rapidement s’y enfoncer.
Cependant, l’intérieur de ses fesses était très propre, et, à la rigueur, tout ce qu’on pouvait y sentir était des dépôts liquides, traces des précédentes fois où des membres phalliques l’avaient pénétré pour jouir en elle, des témoins silencieux qui attestaient de la vigueur sexuelle de la femme. Irina, tout simplement, n’était pas la fille de la Reine des Lames pour rien, et elle se félicitait d’être sa fille, et d’être ainsi expérimentée. Pour elle, devenir une Cérébrate avait toujours été un choix volontaire, et elle s’était d’elle-même rendue à Sarah Kerrigan pour pouvoir réaliser ce vieux fantasme.
« Ouuuiii… Haaaa… Tu l’aimes, mon cul, hein ? Hmmm… !! »
Les minutes passèrent ainsi, jusqu’à ce que la Formienne jouisse à nouveau dans la belle bouche de la femme. Cette pénétration anale rendit son orgasme encore plus virulent, à tel point qu’elle inonda la bouche de Kamori, gonflant ses joues, avant de finir par jouir sur son visage, sa queue se retirant pour expulser du foutre sur sa face. Irina hurlait et soupirait de plaisir, et s’écarta alors, en soupirant profondément.
Kamori avait du sperme sur son visage, dégoulinant lentement, maculant ses cheveux, glissant sur ses seins et sur sa poitrine.
« Voilà… Une belle crème glacée… » soupira lentement Irina.
Reprenant son souffle, Irina vint caresser les cheveux de Kamori, puis la jeta sur le sol.
« Ne t’endors pas trop, Kamori… Ce n’est que le début. »
Déjà, autour de la jeune femme à la combinaison violette, des tentacules roses et violets jaillissaient du mur et du plafond, pour venir la prendre dans tous les sens…
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Combien de temps encore va t-elle pouvoir tenir, elle n'a pratiquement pas assez dormi pendant des jours si ce n'est que trois-quatre heure maximum (quand sa maîtresse fut convoquer autre part dans la fourmilière) et les occasions pour récupérer était fort rare et quand une ouverture se présenta, elle le profita volontairement pour le saisir mais en dépit de tous ça, elle était faible physiquement et mentalement. C'est un peu comme si Kerrigan lui avait jeter un sort afin quelle ne soit qu'une marionnette vide et contrôler télékinésiquement par sa pensée en la forçant à baiser... Sayaka n'avait jamais "fister" de sa vie et c'est la première fois que sa main pénétra le cul d'un être démoniaque et heureusement que sa main qui avait fusionner avec sa combinaison ne ressentit aucun effet et si elle devait être infectée ou contaminé, elle en aurait déjà sentie les effets depuis des heures, elle avait une drôle de sensation et avec un sentiment de dégoût (elle avait l'impression de plonger sa main dans l'organe d'un macchabée. Seika eut la vision embrumée comme si elle avait inhaler une odeur particulière et sa vue se brouilla si bien quelle n'avait que de l'énergie sur la main droite et de l'autre, elle s'en servit pour garder l'équilibre malgré sa position déjà inconfortable. La Traqueuse-combattante ignora si la scélérate avait mal ou non (peut-être que si elle n'était pas exténuée de sa séance intempestif, elle l'aurait enfoncer plus loin jusqu'à genre la faire brailler, qui sait ?), il était évident que sa maîtresse devait le sentir comme si elle avait affaire à une éponge mouillée en le pressant pour évacuer l'eau. Ce qui fut étonnant, c'est que malgré que les doigt heurtait les parois en tissu d'alien de l'intérieur , elle ne sentit absolument rien au bout ! Rien d'odorant et de pestilentiel à en gerber ou se pincer le nez et la gueule fermée pour lutter et ne pas défaillir, ce fut quand même bizarre et sans doute que son hôte n'avait rien avaler non plus ou encore quelle pouvait facilement se passer de la faim (car elle n'est pas humaine non plus de base).
"Mais que ?..."
La moitié de la chevelure poisseuse de la Bunen salement humide et collant lui couvrit le quart du visage mais pas le coté gauche et elle revit de nouveau le gourdin se redresser et il fallait de nouveau ouvrir la gueule pour une nouvelle éjaculation, elle voulu protester en secouant la tête mais déjà le zizi a tête chercheuse avait détecter la fine bouche de miss Kamori et entra directement dans cet dernière sans prendre le temps d'avoir son accord. Cette substance non savoureuse vint inonder l'intérieure de sa gueule en n'épargnant non plus son palais dentaire, Seika n'avait plus de force sur la main droite et en sortit tout seul du fessier de l'extra-terrestre alors que sa bouche lui se remplissait au fur et a mesure mais doucement. Elle n'arrivait pas a articuler si ce n'est que pour pousser des gémissements étouffé comme si elle elle fuyait un incendie en essayant de respirer vers le sol, ses joues rosies par le nombre d'effort quelle a du contraindre a se faire se compressa comme un gros ballon de baudruche prêt a péter et c'est que le "POP" sonore retentit, la queue se retira de la bouche l'humidifiant sur plusieurs giclée spermatique le visage, le liquide s'écoula sur le menton avant de continuer sa course vers les seins, elle avait tellement donnée durant toute ses heures, quelle se sentit fatiguée comme jamais, plus de force pour remuer un muscle de la mâchoire afin de lui répondre, ni aucune volonté pour lui faire signe, elle ne faisait que haleter bruyamment avec ce liquide répugnant couleur de lait tourné qui glissa ça et là sur belle poitrine. (http://www.zupimages.net/up/16/24/unye.png) Visiblement, pour Sarah, elle n'était qu'une esclave sexuelle qui n'avait pas son mot a dire dans l'histoire, mais pourquoi cet alien en pinçait tellement pour cette nonne ? Comme si elle n'était qu'un outillage qu'on jette après usage, elle poussa la femme par-terre comme si elle n'était qu'une coquille vide sans importance et la prévint que la partie ne fut pas terminée. Sayaka atterrit sur le tapis de mucus salivaire de dos et n'avait aucune distinction de la part des choses, sa poitrine faisant des hauts et des bas en inspirant et expirant démontrait une certaine satisfaction en elle, (http://www.zupimages.net/up/16/24/pka5.jpg) Kamori se demanda ce quelle compterait faire par la suite, et en plus elle n'avait pas oublier quelle avait ce fœtus de Xenomorph qui grandissait lentement et en plus en étant mère de cette progéniture qui n'est pas censé exister chez la faune de l'espèce humaine, elle devait s'attendre au pire. La guerrière de l'église cru quelle allait enfin clamser l'esprit tranquille mais chose qui n'arrivera puisque la réponse de sa question précédente vint lui apporter la mauvaise nouvelle, une dizaine de ligament extensible (chose quelle détestait) arriva en tout sens pour lui couper tout échappatoire et se resserrent mollement sur ses poignet et chevilles comme pour l'immobiliser sur une toile d'araignée et vint se frotter a son intimité en la heurtant sans aucune délicatesse, Sayaka afficha quant a elle regard de salope se laissant pénétrer volontairement et avec un air amusé et perverse dans le regard. (http://www.zupimages.net/up/16/24/rl2f.jpg)
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Dans la plus pure tradition formienne, de multiples tentacules approchèrent, et s’enroulèrent autour des membres de la poupée en latex, avant de la pénétrer. Deux se posèrent sur ses seins, des tentacules avec des bouches et de multiples petites langues, qui se mirent à lécher chacun des seins de la femme, tandis que d’autres pénétraient son vagin, ses fesses, et sa bouche. Deux tentacules finirent rapidement par s’enfoncer dans ses lèvres, tandis que ses bras et ses jambes étaient maintenues en l’air, bien écartées. Dans sa bouche, les tentacules remuaient furieusement, s’enfonçant dans sa gorge, frottant entre eux, l’un se reculant pour permettre à l’autre de s’enfoncer. Ce que Kamori subissait était très intense, et Irina la sentait au bord de la rupture. La scientifique, quand elle était encore une simple humaine, avait pu remarquer combien le sexe tentaculaire était lourd et intense, combien il était bon et jouissif.
Kamori était en train de le sentir, dans ses tripes. Cette femme, au demeurant, était tout à fait particulière. Irina n’avait encore jamais rencontré de femmes qui avaient fusionné avec une combinaison. Et Kamori n’était pas un cyborg, mais bien une humaine. Irina avait joyeusement baisé en elle, et tout ça n’était qu’un début... Ou, plutôt, une séance parmi tant d’autres. Dire, en effet, qu’il y avait un début, sous-entendrait l’existence d’une fin. Or, il n’y avait pas de fin à ce que Kamori ressentait, seulement des pauses entre des moments à baiser, à jouir, et à procréer.
Son ventre avait maintenant bien grossi, bien enflé, lui donnant l’apparence d’une femme enceinte, tandis que les verges tentaculaires s’enfonçaient à plusieurs dans sa bouche et dans son cul, faisant crisser le latex, les jambes de Kamori tressautant nerveusement. Le spectacle était vraiment magnifique à voir, faisant doucement sourire Irina, qui, malgré le nombre de fois où elle avait joui en elle, était toujours autant excitée de voir la prêtresse en latex se faire baiser.
La main d’Irina finit par émerger au milieu de cet amas de tentacules, caressant son ventre. À chaque fois qu’un tentacule jouissait en elle, les embryons se nourrissaient.
« Oui, ma chérie, tu vas bientôt accoucher... C’est un grand moment... »
Le miracle de la naissance... Irina en était toute émue, et esquissa un doux sourire sur ses lèvres.
Les tentacules finirent par la relâcher, et la femme s’écroula dans une sorte de bassin blanc composé de sperme et de mouille. Elle trempa dedans, avant de se retrouver couchée sur le dos, Irina agenouillée à côté d’elle, lui caressant le ventre.
« Ils sont prêts, ils veulent sortir... Pousse, ma chérie, pousse ! »
Qu’ils sortent... Qu’ils sortent ! Irina voulait voir les nouveaux bébés de la Horde venir au monde !