Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Vanillia Warren le lundi 08 décembre 2014, 21:49:30

Titre: [FINI] Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le lundi 08 décembre 2014, 21:49:30
(http://sd-2.archive-host.com/membres/images/210852277737036210/LGJ/RP/RPMelinda.png)

*Le domaine de Carnelle, un riche et somptueux cadre verdoyant. Il le fallait bien pour un lopin de terre pareille, censé produire l'un des meilleurs vin de la région. Même si Ashnard n'était pas une région réputée pour ses zones vertes, le domaine occupe l'une des rares parcelles l'étant. Une grande clôture en fer forgée borde le parc et les vignobles, située bien à l'arrière du bâtiment principale ; le manoir de la dynastie Carnelle. Ainsi, si vous arrivez par l'entrée principale vous ne pourrez qu'admirer le travail des jardiniers, ou plutôt esclaves-jardiniers, qui entretiennent les allées, bordées de buissons taillés, avec grand succès. Le grand portail donne un accès sur cette fameuse allée principale et offre d'ailleurs une belle vue, sur les cotés, du petit parc. Au bout de celle-ci, le manoir sera là, dans toute sa magnificence architecturale. Le mot est un peu exagéré certes, mais en regardant sa toiture foncé et ses pierres légèrement noircies par le temps, l'aspect de cette demeure n'en est que plus harmonieuse. Le style intérieur de ce manoir se veut classique pour ce genre d'édifice. Un grand hall menant à un escalier double, se séparant en deux pour accéder aux deux ailes principales. Nul doute que n'importe quel visiteur aimerait perdre un peu son temps à déambuler dans les nombreux couloirs pour admirer tout ce si beau spectacle …*

La soirée était plutôt avancée, ce jour-là. Une nuit agréable pourtant nichée au fin fond d'un hiver rigoureux et rude. La neige formait une pellicule blanche et cristalline sur le domaine et son riche parc. Depuis la grande terrasse, le spectacle avait de quoi faire réchauffer au moins un peu les cœur, même les plus froids. Une vue sublime, qui avait été rendue possible grâce au labeur et aux efforts de toute une dynastie et qui, de nos jours … Était au bord de l'extinction. Un détail sinistre, mais qui n'avait pas sa place en cette soirée. La maîtresse des lieux ne voulait pas garder un souvenir morose de ce jour-là, pas de cette nuit en tout cas. Le vent se faisait froid et faisait virevolter quelques feuilles mortes par-ci et là, donnant un peu de 'vie' à cet environnement immaculé de blanc. Pourtant, même si ce spectacle valait le détour, ne serai-ce que pour sa beauté poétique, la propriétaire du manoir n'était là pour le contempler. Les domestiques, les jardiniers et autre personnel étaient cependant au rendez-vous, profitant d'une soirée où leur maîtresse était particulièrement de bonne humeur, et où ils avaient plus ou moins la soirée à eux. Ils pouvaient profiter de la chaleur du manoir, de ses cheminées flamboyantes et de son confort. Rare étaient les nobles, à Ashnard, offrant ne serai-ce qu'une fois seule fois dans leur vie une telle soirée à leurs gens.

Mais en réalité, elle ne souhaitait pas être dérangée, tout simplement. Ce soir, elle souhaitait être seule dans ses appartements. Car ce soir-là n'était pas n'importe quel soir. C'était un grand moment pour cette jeune femme dont le corps frissonnait légèrement au gré du froid, mais aussi et surtout de l'impatience. Vanillia attendait quelqu'un. Une amie, qui fut il n'y avait pas si longtemps, un simple contact purement commercial. Mais les choses ont évoluées depuis et, le moins que l'on pouvait dire, était que cette évolution avait prit des tournants très surprenant, pour Vanillia. Surprenant dans le sens où, pour un être fait de soif de sang, de chair et de vices, avoir le cœur qui s'emballe et les muscles devenant plus raides au simple passage de cette fameuse femme, était inquiétant. L'explication à cette réaction resta un mystère pendant de longs mois, jusqu'au jour où tout s'éclaira. Vanillia savait pourquoi son être réagissait ainsi, et c'était donc le but de cette soirée qui allait être mémorable …

Officiellement, le but de la visite de cette dame, n'étant autre que la célèbre teneuse de harem, Mélinda Warren, était très flou. Cependant, si l'on s'intéresse réellement à cette affaire, on s'aperçoit que la jeune héritière du domaine Carnelle lui avait affirmé, par lettre il y a quelques jours de cela, qu'elle avait une importante information à lui faire passer. Pour un soucis de discrétion sur cette histoire, elle lui avait demandé de venir toute seule, et d'en informer personne. Que pouvait bien être cette 'information capitale' dont disposait Vanillia ? La réalité était que, aussi calculatrice qu'elle était, elle se montrait aussi très souvent enfantine. La vraie raison était qu'elle avait tout simplement eu envie de voir Mélinda, seule à seule, juste pour le plaisir de la voir et l'avoir à ses cotés pour au moins une soirée. Mais, si elle lui avait dit cela de but en comble dans la lettre, une femme d'affaire ayant systématiquement un planning remplie n'aurait sans doute jamais accepté. Le stratagème était ridicule et stupide, mais au moins, cela avait réussie à faire venir cette femme si spéciale aux yeux de la jeune vampire.

Et ainsi, alors que la nuit s'avança encore et toujours dans son manteau obscure, légèrement illuminé par des rayons lunaires pourtant éclatants, elle attendait. Jusqu'au moment où son sang se refroidit l'espace d'une seconde. La seconde qui, en vérité, correspondait au moment où l'héritière entendit des roues s'approcher. Elle était là, enfin. Se levant doucement, elle s'approcha discrètement de sa grande fenêtre où un fin rideau la dissimulait des regards extérieurs. Et elle descendit, se faisait accueillir par la gouvernante. Cette dernière savait que cette femme était la convive de sa maîtresse, et de ce fait, savait où la conduire. Cependant, Vanillia observa, toujours discrètement depuis sa fenêtre, qu'elle n'était pas seule comme elle le lui avait demandé. Un homme était là aussi, mais elle reconnu dès qu'elle pu apercevoir son visage. Elle ne le connaissait pas réellement en réalité, mais elle se doutait qu'il devait s'agir de Bran, le frère de Mélinda, qui ne la quittait jamais.

Le moment tant attendu allait bientôt arriver. Les secondes, les minutes s'écoulèrent le temps que l'hôte se fasse accompagnée jusqu'à bon port, c'est à dire aux portes des appartements privées de Vanillia. La gouvernante frappa doucement à la porte, en un geste précis et régulier, et s'en alla dès l'instant suivant, laissant Mélinda seule. C'était une femme très professionnelle et appliquée dans son métier. Stricte et loyale, les deux qualités que la jeune héritière favorisait chez son personnel. Quelques instants après, la grande double porte s'ouvrit enfin. Et à ce moment-là, plus rien ne pouvait désormais entacher cette nuit qui s'annonçait palpitante. La vampire, vêtue d'une riche mais délicate nuisette, n'avait pas pensé un seul instant que cet attirail pouvait étonne son amie qui, après tout, était venue là uniquement pour une soi-disant information cruciale qui pourrait fortement l'intéresser. "J'espère que le voyage n'a pas été trop éprouvant pour toi, Mélinda." Dit-elle avec un petit sourire malicieux. Elle la fit donc entrer sans attendre, refermant soigneusement la double porte derrière elle. "Mets-toi à ton aise, je ne voudrais surtout pas que ma convive se sente mal. Surtout après un tel voyage, dans un tel froid …"

La nuit ne faisait que commencer …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 09 décembre 2014, 01:53:33
En d’autres circonstances, elle aurait cru à un piège, ou à un canular. Il y a de cela plusieurs semaines, Mélinda avait reçu une demande de la part d’une noble ashnardienne venant de la campagne, Vanillia Carnelle. Une demande atypique, car la vampire avait demandé à Mélinda une livraison de femmes pour une soirée très spéciale. Elle comptait en effet organiser une immense réception, et désirait des hôtesses qui soient à la fois cultivées, polies, aimables… Et qui n’hésiteraient pas à offrir leurs corps. La vampire, qui n’avait pas l’habitude que des provinciaux s’adressent à elle, avait été sincèrement surprise, et en même temps flattée. Elle ne pensait pas que sa réputation s’étendrait en-dehors des frontières de la capitale. S’il était fréquent qu’elle prête ses locaux à des séminaires endiablés, ou qu’elle loue une partie de ses filles, il s’agissait généralement de contrats avec des personnes se trouvant au sein de la capitale. Mélinda ne cherchait que depuis seulement quelques mois à étendre son empire commercial en-dehors des frontières de la capitale, l’Empire d’Ashnard s’étendant après tout sur des milliers de kilomètres. C’est à ce titre qu’elle avait commencé à passer des alliances avec d’autres sommités ashnardiennes, et qu’elle s’était même achetée une guilde. Elle fut donc étonnée que cette vigneronne s’adresse à elle.

Leurs échanges avaient été épistolaires, et elles ne s’étaient vues qu’une seule fois. Vanillia en personne était vue, et, dès qu’elles s’étaient vues, chacune des deux femmes avait senti chez l’autre ses pulsions vampiriques. Rien n’avait filtré dans leurs bouches, mais leur regard avait été différent, chacun se renvoyant le reflet de l’autre, chacun exprimant les mêmes désirs et les mêmes pensées. La soirée avait été un succès, et, à plusieurs reprises, Mélinda avait songé à cette jeune vampire. Ses obligations professionnelles firent que, malheureusement, elle répondait tardivement à ses lettres. Vanillia avait fini par l’inviter chez elle, venant seule, en se montrant très floue sur ses intentions. Mélinda avait hésité quelques minutes avant de répondre. Une tempête de neige s’abattait dans la région du domaine de Carnelle, et de nombreuses routes étaient bloquées. Néanmoins, elle revoyait à chaque fois le regard pourpre de cette femme, ce regard rieur, et ses yeux pleins de désirs et de promesses silencieuses. C’est finalement en y songeant que la vampire acceptait cette entrevue, annonçant qu’elle arriverait seule… Ou presque.

Bran s’était chargé de conduire le chariot, et ils avaient fait route, ne s’arrêtant quasiment pas. La neige bloquait la plupart des routes, et Mélinda avait craint de se retrouver bloquée quand ils arrivèrent à une auberge. Le tenancier leur avait expliqué qu’un pont était bloqué en raison du froid, mais, quand ils y arrivèrent le lendemain, les gardes et les ingénieurs avaient réussi à stabiliser le pont, ce qui fit qu’ils ne perdirent pas trop de temps. Les chevaux de Mélinda étaient rapides, efficaces, d’anciens destriers de guerre, habitués à porter de lourdes charges. Mélinda en avait profité pour relire toutes ses correspondances avec Vanillia. L’écriture de la petite vampire était fine, ronde, belle, avec un zeste d’exotisme et de sensualité.

*Que me veut-elle ?*

Mélinda avait bien une petite idée de la réponse, mais elle ne pouvait que supposer. Ils rejoignirent finalement le domaine de Carnelle. L’Empire d’Ashnard avait été bâti dans des terres ingrates, rocailleuses, escarpées… Ce domaine était une heureuse exception, avec de belles forêts, et des terres fertiles. Bran se chargeait de communiquer avec les gens, Mélinda sortant très peu de son chariot. En tout, il ne leur fallut que trois ou quatre jours pour rejoindre le domaine, et ils allèrent directement vers le château, Bran présentant à chaque garde sourcilleux des procédures l’autorisation, signée par la plume de Vanillia, qui autorisait le détenteur de la missive à rejoindre son manoir. Un magnifique laissez-passer.

La vampire se méfiait toujours un peu des nobles et de leurs intrigues. Elle savait que le Conseil Impérial n’accordait que peu d’importances aux questions de successions. Tant que les nobles continuaient à payer leurs impôts aux nobles plus âgés, peu importait qui siégeait sur le trône. Elle ne voulait pas se retrouver dans une querelle entre nobles. Néanmoins… Et bien, Vanillia était belle, riche, et elle lui avait fait bonne impression.

Son carrosse s’avança dans la cour du manoir, se rapprochant. Des flocons de neige tombaient, et il n’y avait aucun ouvrier dehors. Mélinda nota toutefois que la route avait été proprement déblayée, et plusieurs pages les attendaient sur le perron. Bran posa un pied à terre, et ouvrit la porte de Mélinda, qui descendit lentement.

« Nous y sommes…
 -  Carnelle veut me voir seule. Tu resteras dans les quartiers des serviteurs, et tu en profiteras pour en savoir plus sur elle. »

Bran ne dit rien, mais fronça lentement les sourcils. Laisser sa sœur seule n’était pas dans ses habitudes, mais il ne comptait pas discuter les ordres de Mélinda. Cette dernière s’avança, et les reflets des torches purent éclairer son corps… Ou ce qu’on en voyait. En effet, le corps de Mélinda était dissimulée derrière une belle cape rouge à capuche (http://img110.xooimage.com/files/5/f/f/vetcap001-48f3718.jpg).

« Nous allons vous conduire auprès de notre Dame, Ma Dame. Veuillez avoir l’obligeance de nous suivre… »

Mélinda, frigorifiée, rentra dans des salons bien chauffés, et les pages l’abandonnèrent devant un escalier menant aux appartements de Vanillia. Lentement, Mélinda entreprit de grimper. Elle sentait l’appétissant sang de la vampire, et finit ainsi dans sa chambre. Elle découvrit sa capuche, et cligna légèrement des yeux en voyant que Vanilla l’attendait dans une courte nuisette

« J'espère que le voyage n'a pas été trop éprouvant pour toi, Mélinda, commença la femme en se rapprochant d’elle.
 -  Hum… Je suis ravie d’être arrivée, en tout cas. »

N’étant pas née de la dernière pluie, Mélinda commença à comprendre que ses suppositions étaient en traind e se vérifier. Vanillia referma la belle double porte, les enfermant dans la grande chambre. Pensivement, mélinda regarda autour d’elle, tandis que, de sa voix envoûtante, Vanillia recommençait à parler :

« Mets-toi à ton aise, je ne voudrais surtout pas que ma convive se sente mal. Surtout après un tel voyage, dans un tel froid… »

Elle sourit délicatement, hochant lentement la tête devant ce sous-entendu.

« Oui, il fait très froid… Nous avons failli être bloquées à hauteur d’un pont, d’ailleurs… J’ai beau être une vampire, ça ne me rend pas insensible au froid… »

Son manteau se retira, et, sous cette longue cape, Mélinda portait sa traditionnelle robe dorée. Avec une tenue aussi légère, on comprenait mieux pourquoi elle avait si froid ! Avec la chaleur qui régnait dans le manoir, ses joues avaient rougi, et elle se rapprocha un peu, ses talons heurtant la moquette entourant le lit de Vanillia. Elle se rapprocha de la femme, et tendit sa main, venant délicatement caresser sa joue.

« Je dois admettre que ton message a piqué ma curiosité… Et que tu as aussi une ravissante demeure. Je n’ai pu la voir que de nuit pour l’heure, mais… Je trouve ton manoir très agréable, et je suis intimement convaincue que cette impression ne pourra que se confirmer… Mes filles n’ont pas tari d’éloges sur toi, que ce soit les locaux, ton personnel… Ou sur tes qualités personnelles. Elles étaient un peu craintives, au début, à l’idée de s’éloigner de moi, et d’être sous les ordres d’une autre… Mais tu as su parfaitement les convaincre et leur montrer toute la chance qu’elles avaient eu. Je crois qu’il n’y en a pas une seule qui ne demande pas à te revoir. »

Mélinda ne la flattait même pas en disant cela.

Ce n’était que la stricte vérité.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le mardi 09 décembre 2014, 21:16:07
Vanillia savait qu'à partir de ce moment, elle ne pouvait faire marche arrière. De toutes les manières, faire une telle chose ne faisait même pas partie de ses habitudes. C'était une têtue, une femme qui fonçait tête baissée dans beaucoup de cas, même lorsqu'elle savait que le mur n'était pas très loin devant. Quand elle voulait quelque chose, elle faisait tout pour l'avoir. C'était sa devise. Bien que pour l'exemple de ce soir-là, en l’occurrence Mélinda, les choses étaient moins simples. D'un autre coté la jeune vampire ne souhaitait pas se tracasser et se torturer l'esprit à se demander mille et une fois qu'elle allait être sa réaction. Arriverait ce qu'il arriverait, après tout. Au moins elle aurait dit ce qu'elle avait à dire … C'était ce qui importait au final, de tout lui avouer. Mais chaque chose avait son temps. La riche propriétaire de harem venait à peine d'arriver, et cela se voyait qu'elle était encore frigorifiée de par le long voyage qu'elle venait de faire. Heureusement que la demeure était assez bien équipée et astucieusement construite pour assurer un certain niveau de chaleur dans des coins bien précis.

Ainsi, alors que Mélinda entra définitivement dans les appartements de Vanillia, cette dernière glissa un dernier petit regard malicieux puis s'en retourna à une petite commode posée plus au loin. Dos tournée à sa convive, elle l'écoutait avec attention toutefois. Elle était juste occupée à se saisir de deux verres et à les remplir avec ce qui semblait le plus évident de trouver en de pareilles lieux ; du vin. Mais pas n'importe lequel, c'était une production limitée certes, mais spécifiquement réservée à la consommation de la famille. En d'autres termes, une variante inédite que peu de personnes avaient eut la chance de goûter. On pouvait se poser la question ; Vanillia étant une vampire, pourquoi buvait-elle de tel breuvage alors qu'elle se nourrissait de sang, désormais ? Car tout simplement, elle aimait bien. Rien de l'empêchait de pouvoir goûter et ressentir le goût des choses, donc elle ne s'en privait pas. Ainsi, lorsqu'elle se retourna, doucement, les deux petits verres en main, elle se laissa faire quasi-naturellement quand Mélinda vint caresser sa joue.

Celle-ci affirma avoir été intriguée par sa lettre, et que par ailleurs elle trouvait son manoir agréable. Ses 'filles' semblaient aussi avoir apprécié travailler ici, allant même jusqu'à dire que pas une seule ne souhaitait pas revoir Vanillia. Un compliment qui fit rougir un peu la propriétaire des lieux. "Elles ont été parfaites aussi, j'ai rarement vu des filles aussi … Talentueuses. Je suis flattée de savoir qu'elles veulent me revoir, en tout cas." Dit-elle avec son habituel petit sourire malicieux. Ce qui la faisait rougir autant, en réalité, n'étant pas tant le compliment bien que celui-ci était toujours le bienvenue. Mais c'était tout simplement cette main, cette douce caresse qu'elle ressentait sur sa joue. Vanillia aurait tant aimé profiter de ce petit 'geste' pour s'avancer un peu plus, mais elle avait l'habitude de toujours vouloir faire un peu durer les petits jeux de ce genre avant de passer au concret. Ainsi, alors qu'elle devenait progressivement rouge comme une tomate, elle déposa l'un de ses deux verres sur la dite commode. Ayant une main libre, elle utilisa celle-ci pour écarter doucement, et non sans la caresser du bout de ses doigts, celle de Mélinda, puis lui plaça le verre dedans. Reprenant le siens, elle le plaça légèrement devant elle puis fit un clin d’œil à la jeune femme en face d'elle.

"Goûtes-y ma belle, je peux t'assurer que jamais dans ta vie tu n'as pu en goûter un de cette catégorie !" Dit-elle en sirotant en première une petite gorgée. Maintenant que les premières minutes s'étaient écoulées, le sujet de la lettre n'allait sûrement pas tarder à revenir. Vanillia, soucieuse de pas tout gâcher, décida cependant de prendre le taureau par les cornes et avança donc en première le sujet. Reculant de quelques pas, elle se pinça légèrement le menton puis se mit donc à parler. "Hmmm … Donc oui, la lettre en effet. Les informations, c'est pour ça que tu es venue après tout ! C'est de ça dont parlait la lettre, oui. Alors … Je dois te dire quelque chose avant, sinon tu risquerai de pas comprendre." Dit-elle en se rapprochant à nouveau de Mélinda. Elle lui reprit avec la plus grande des délicatesse son verre, puis le posa à coté du sien, sur la commode. Puis, subitement, alors qu'elle ne voulait pas tout gâcher et justement, ne pas faire du rentre dedans, Vanillia ne put se retenir.

Elle s'était soudainement avancée puis en même temps que ses mains s'étaient calées sur les douces joues de Mélinda, elle parti donner un furtif mais hargneusement tendre baiser à celle-ci. L'instant dura le temps que la vampire réagisse, suite à quoi Vanillia la regardait avec des yeux ronds. "Désolée …" Dit-elle d'une voix volontairement et exagérément désolée. Elle ne l'était pas vraiment, mais c'était son attitude de se conduire ainsi. Le but même de cette lettre était de faire venir Mélinda pour juste avoir le plaisir, sincère, de l'avoir à ses cotés. Car depuis leur première rencontre, elle avait cette chose en elle. Cette chose qui faisait qu'elle pensait souvent à Mélinda, cette chose qui lui avait donné des frissons, des pulsions. Ce soir elle voulait juste laisser gambader tout ceci, espérant que son amie soit d'humeur à jouer …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 11 décembre 2014, 02:23:00
Voir cette petite Vanillia rougir était un plaisir rare, et terriblement délicieux. Si proche d’elle, Mélinda se sentait fondre. Cette comtesse lui ressemblait énormément… Aussi bien physiquement que mentalement, si on tenait compte de son histoire. Mélinda s’était un peu renseignée sur l’histoire du comté de Carnelle. Cette femme avait été la seule survivante de la prise de pouvoir par un noble voisin, et elle avait été une sorte d’esclave, afin de réussir à se libérer de ses chaînes… Soit un parcours étrangement similaire à celui de Mélinda, qui avait été une esclave envoyée pour tuer son propre père. Les deux femmes s’observèrent, et Vanillia lui montra ensuite son verre. Acquiesçant lentement, la vampire s’écarta un peu de son hôte, et but un peu de ce vin. Même s’il n’était pas aussi bon qu’une coupe de sang bien frais et bien traité (un nectar que rien au monde ne saurait remplacer), il fallait bien reconnaître à Vanillia que son vin était réussi. Les distilleries de Carnelle produisaient un grand cru ashnardien, ce qui était souvent rare pour qu’on le dise. Ce grand cru était servi dans la capitale ashnardienne, lors de réceptions officielles ou de soirées, et Mélinda avait même entendu dire que certains restaurateurs tekhans achetaient cet alcool. Autrement dit, l’argent n’était pas un problème pour cette superbe femme.

Superbe, elle l’était vraiment, et ce peu importe où les yeux de la vampire se posaient. Ses magnifiques cheveux verts avec une tresse lui donnaient envie de glisser ses doigts le long de sa longue chevelure pour voir à quel point ils étaient soyeux. Ses beaux yeux rouges la fixaient à tel point qu’elle aurait pu s’en noyer. Son petit nez espiègle ne demandait qu’à se faire lécher, ses joues rondes ne souhaitaient que se faire caresser, griffer, et ses lèvres, tendres et sensuelles, ne semblaient appeler qu’à un langoureux et interminable baiser… Et ça, ce n’était queson visage. Le reste de son corps était à l’avenant, et, peu à peu, Mélinda sentit ses hésitations fondre. Vanillia l’avait accueilli en nuisette à dentelle, un pyjama terriblement sexy qui mettait ses formes en valeur, et qui était en train d’assécher la gorge de Mélinda.

La vampire n’avait pas parlé tout de suite des informations, car elle ne voulait pas manquer de tact envers Vanillia. Elle savait les nobles relativement susceptibles, et assez attachés au respect des convenances sociales. De plus, cette femme était suffisamment mignonne pour que la vampire se laisse aller à la complimenter. Néanmoins, Vanillia finit elle-même par s’attaquer à ce sujet, et la vampire fronça délicatement les sourcils, tandis qu’elle parlait, tournant autour du pot :

« Hmmm … Donc oui, la lettre en effet. Les informations, c'est pour ça que tu es venue après tout ! C'est de ça dont parlait la lettre, oui. Alors … Je dois te dire quelque chose avant, sinon tu risquerais de pas comprendre.
 -  Je t’écoute… »

Est-ce que ça concernait la soirée ? Finalement, est-ce que l’une de ses esclaves avait fait une bêtise ? Mélinda n’osait y croire, car elle savait très bien de quoi son personnel était capable. La réponse à cette question vint d’elle-même. Vanillia lui reprit sa flûte, puis posa ses chaudes et douces mains sur ses joues, puis alla l’embrasser, son corps se blottissant au sien… Ça, Mélinda ne l’avait pas vu venir, et ses beaux yeux verts s’écarquillèrent sous l’effet de la surprise. Elle accepta ce baiser, et se retira au moment même où elle commençait à apprécier le goût des lèvres de la petite vampire.

Le baiser se rompit donc, et Mélinda souffla sur les lèvres de la femme.

« Désolée… » s’excusa-t-elle alors, sur un ton qui semblait vouloir dire que ce simple baiser n’était qu’un prelude.

L’une des mains de Mélinda se déplaça automatiquement, et s’appuya sur les cheveux de Vanillia. Elle ignorait si ça venait de ce vin, qui avait peut-être des propriétés aphrodisiaques, ou tout simplement de la surnaturelle beauté de la vampire, mais Mélinda sentait ses sens s’exciter.

« Tu peux l’être, jeune fille…rétorqua alors Mélinda sur un ton réprobateur. Tu oses me voler un baiser avec tes lèvres magnifiques, et tu ne glisses même pas ta langue dans ma bouche ? Dois-je m’en sentir offensée ?! »

Elle lui sourit, et l’embrassa à son tour, plus longuement, plus fougueusement, sa main se crispant sur ses longs cheveux verts… Ils étaient effectivement soyeux, agréables, comme tout le corps de cette femme. Ce second baiser ne fut rien d’autre qu’un échange fusionnel et passionnel. Mélinda goûta à la bouche magnifique de son amante, enfonçant au bout de quelques secondes sa langue dans sa bouche, sentant celle de la délicieuse créature, donnant lieu à un sensuel ballet. Leurs langues se caressaient, se cherchaient, se léchaient, se titillaient, s’enroulaient l’une dans l’autre. Leurs seins se heurtèrent également, et on pouvait entendre, à travers ce long baiser, Mélinda soupirer et gémir de plaisir. Plus le temps passait, et plus le baiser devenait intense, se transformant en mordillements. Les deux femmes avaient des canines pointues, et, quand Mélinda ramena son appendice lingual dans sa bouche, ses canines du haut tirèrent sur la lèvre du bas de la femme, la mordillant un peu. C’était douloureux, oui… Mais elle était une vampire. Un vampire ne connaissait l’extase que par un mélange de douleur et de plaisir. Ce baiser dura le temps qu’il fallait, et, quand il se termina, tout fut clair pour Mélinda.

Ses lèvres se retirèrent lentement de celles de Vanillia, et on put voir un mince filet de salive les relier encore, filet que Mélinda cassa avec sa langue. Elle remonta ensuite son visage, et sa langue lécha le bout du nez de la femme.

« Je vois… C’est moi, ton information importante, Vanillia… »

Ce n’était pas une question, rien d’autre qu’une remarque, une simple constatation. Mélinda se mordilla les lèvres, la regardant, une lueur perverse dans les yeux.

« Je dois bien t’avouer… Que j’ai beaucoup pensé à toi, Vanillia… Beaucoup plus qu’envers mes autres partenaires commerciaux. »

Un nouveau sourire se dessina les lèvres de la vampire, et sa main retourna caresser la joue de la femme… Et la griffa un peu.

« Je crois que cette nuit va être très productive… Pas toi ? »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 13 décembre 2014, 19:27:06
La réponse avait donc été positive. Alors que Vanillia avait lancé l'appât, à savoir ce petit baiser volé, Mélinda sembla dans un premier temps ne rien faire. Durant ce court échange, ses yeux s'étaient quelque peu écarquillés, sans doute sous l'effet de la surprise. Son souffle se percutant sur les lèvres de la vampire, celle-ci en eu presque des frissons. Elle adorait quand la jeune femme se comportait ainsi, quand elle était de cette humeur. Visiblement, cette nuit allait être très ludique, pensa Vanillia. Toutefois, alors qu'elle s'était excusée, bien que ceci n'était qu'une sorte de provocation, Mélinda glissa sa main dans la chevelure émeraude de la vampire. Et de sa voix qui se voulait accusatrice, elle affirma qu'elle devrait se sentir offusquée par le fait que Vanillia n'ai même pas inséré sa langue durant l'échange. Voila des mots qui lui plaisait. N'ayant pas le temps d'esquisser un sourire, de satisfaction, les lèvres de son amante se mêlèrent aux siennes. Un nouvel échange, bien plus hargneux et fougueux que le précédent. Les deux femmes étaient blottie l'une contre l'autre, leurs seins s’emboîtant fermement, et leur langues virevoltantes en une furieuse valse.

Vanillia savoura cœur et âme ce moment intense. Sa salive se mélangeait à celle de cette femme, de même que sa langue. Une danse presque endiablée, qui était ponctuée par des mordillements, ajoutant le petit coté sauvage et cruellement agréable qui manquait à cette étreinte. Que ce soit Mélinda qui de par ses canines tirait sur sa lèvre, ou bien Vanillia qui en faisait de même en retour, ce balais était magnifique. Il dura quelques instants, avant que les deux femmes ne le rompent. La petite touche finale de la femme d'affaire, à savoir le filet de salive sciemment dissipé, fit sourire Vanillia. Elle avait trouvé la perle rare, cette femme était si exceptionnelle qu'elle se demandait parfois si elle était bien réelle. Question stupide vu qu'elle l'était … Mais quand on avait la tête et l'esprit de l'héritière, ce genre de choses étaient normales. Lorsque la vampire comprit que l'information était elle, la cadette des Carnelle hocha vivement de la tête, sans rien dire. Son petit stratagème était d'un niveau enfantin, c'était pour cela qu'elle se demandait si au fond Mélinda n'était pas venue en toute connaissance de cause … Et cela lui plaisait, finalement.

Lorsque cette main vint à nouveau caresser sa petite joue, tout en la griffant légèrement, un frisson parcourut toute l'échine de Vanillia. Cette dernière, restant un petit moment silencieuse, posa sa main par-dessus la sienne et répondit donc. "Je ne le crois pas … Je le sais, nuance." Dit-elle en frottant sa joue contre la paume de Mélinda dans un premier temps, puis déplaçant celle-ci sur son sein. Elle la pressa pour la forcer à tâter sa poitrine, comme pour lui faire comprendre que ses deux généreux atouts n'attendaient que son attention. Glissant sa main sur le coté de sa cuisse, palpant la douceur et le satiné de sa délicieuse peau pâle, Vanillia remonta tout en caresse jusqu'à son fessier, se faufilant ainsi sous sa robe. "Hmm … Viens par là, ma belle." Dit-elle subitement, en retirant sa main baladeuse. S'écartant un peu, elle prit assise sur la commode, qui était suffisamment élevée pour rester à la hauteur de Mélinda. Elle tira légèrement cette dernière vers son être et emprisonna ses harmonieuses hanches avec ses cuisses, entourant finalement toute sa taille avec ses jambes. "Les filles m'ont beaucoup parlé de leur maîtresse, louant toute ses qualités et son professionnalisme, si je puis dire. Et moi, en tant que grande critique par nature, je ne demande qu'à voir …" Dit-elle en gloussant.

Elle balança légèrement sa tête en arrière pour offrir de la plus belle des manières sa forte poitrine à Mélinda. Son bas-ventre collé au sien, car elle avait enfermé les hanches de la vampire avec ses cuisses, sa part de virilité semblait s'être éveillée et pointait d'ores et déjà vers le ciel, ayant retroussé la robe à cet endroit. Néanmoins, en tant que femme des plus coquette et soucieuse de son physique, Vanillia l'avait délicatement enfilée dans un 'bas' spécialement conçu pour. Un petit nœud en dentelle séjournait à la base de celui-ci, pour ajouter une touche de glamour. Ses mains vinrent à nouveau se glisser sous la robe dorée de Mélinda pour venir chercher son fessier, qu'elle caressa généreusement, se plaisant à jouer avec. "J'ai tant attendue ce moment Mélinda … Si tu savais !" Dit-elle d'une voix vive, accompagnée d'un large sourire faisant apparaître ses canines.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 16 décembre 2014, 02:11:59
Le sexe entre vampires avait quelque chose de terrible et d’unique à la fois. Mélinda allait avoir l’occasion de l’expérimenter. Cette petite Vanillia était une véritable perle, une surprise totalement inattendue pour Mélinda. Elle se pressait contre elle, et la vampire pouvait sentir son sang battre à toute allure dans ses veines, témoignant de l’excitation profonde qu’elle ressentait... Et, comme la gérante du harem, la gérante d’alcool avait également un appendice masculin, une verge qui était lentement en train de se redresser sous le plaisir que la jeune femme ressentait. Elle était si belle, tellement magnifique... Ah, comment ne pas aimer ce corps parfait ?! Comment ne pas l’aimer ? Elle sentit la main de Vanillia agripper la sienne, la posant sur l’un de ses seins, encore recouverts par sa belle nuisette transparente à dentelle. Elle-même aventura ensuite ses mains sous les plis et les traits de la longue robe dorée de Mélinda, afin de caresser son fessier. C’était vraiment une femme pleine de surprise, et Mélinda fit comme la femme l’attendait. Sa main se serra sur son sein, s’appuyant dessus, se crispant fermement dessus.

« Hummm... » soupira Mélinda.

La main de Vanillia caressait tendrement son beau petit cul, et elle-même n’était pas en reste, caressant délicatement le sein de son amante. Elle glissait dessus, son pouce venant frotter son téton. Ses seins se durcissaient sous l’effet du plaisir, et Mélinda se mordilla les lèvres... Avant de se sentir emmenée contre un mur. Vanillia la guida, et bondit sur une grosse commode, avant d’enrouler ses jambes autour des hanches de Mélinda, venant ainsi l’emprisonner contre elle. Mélinda la laissait faire, et sentit clairement, contre son ventre, la tension pointant du bassin de son amante. La jeune femme était excitée, et sa verge pointait en l’air, exprimant tout le plaisir qu’elle ressentait, toute son envie, et tout son désir. Un désir communicatif, Mélinda sentant également le plaisir monter en elle. Sa respiration se faisait plus lourde, et elle soupirait, tout contre le tendre et magnifique corps de l’amante vampirique.

Vanillia lui expliqua alors ce que les filles avaient dit sur le compte de la Maîtresse... Était-ce pour ça que Vanillia était aussi excitée à l’idée de la voir ? Mélinda se demandait ce que tout cela cachait. Elle-même ne pouvait pas nier que cette femme était extrêmement appétissante... Mais est-ce que Vanillia avait fait tout ce spectacle simplement pour avoir l’occasion de coucher avec elle ? La vampire doutait sincèrement que ses filles aient pu laisser entendre que Mélinda soit une femme du genre à avoir des réticences à l’idée de coucher avec de belles inconnues... La curiosité de la vampire était donc titillée, mais, pour l’heure, la seule chose qui la guidait vraiment était le spectacle du corps magnifique de Vanillia s’offrant à ses petits yeux pervers et ravis. La vampire se pencha en arrière, comme pour offrir davantage son corps à celui de la vampire, qui sentait toujours contre elle les jambes de la femme, ainsi que ses mains, posées sur sa croupe. Vanillia avait juste relevé un peu son buste, et la vampire comprit ce qu’elle voulait. Les propres mains de la vampire étaient pour l’heure posées sur ses hanches, caressant sa nuisette. Elle aurait pu la lui retirer rapidement, mais, pour l’heure, Mélinda préférait prendre son temps. Elle sentait que ses goûts étaient les mêmes que ceux de cette jeune femme, et elle approcha donc sa bouche de l’un de ses seins, venant le mordiller, tirant sur son téton à travers la nuisette, ce qui amena Vanillia à une étrange remarque :

« J'ai tant attendu ce moment Mélinda … Si tu savais ! »

Et bien... Non, elle ne savait pas, et tout cela l’intriguait. Elle releva donc un peu la tête, voyant le visage mielleux de Vanillia, avec ses deux canines qui pointaient hors de sa bouche, et elle posa un doigt sur ses lèvres... Elle le rapprocha de ses canines, et se coupa légèrement, faisant perler un peu de son sang. Elle se coupa de quelques millimètres, suffisamment pour que le liquide rouge pointe. Ce faisant, elle enfonça son doigt dans la bouche de Vanillia, lui offrant ce délicieux sang... Un nectar carmin, une sorte de douce préparation avant le grand show final.

« Tu m’intrigues, ma belle... Ça ne date pas que de ce que mes filles t’ont dit sur moi, n’est-ce pas ? j’espère que mon sang est à la hauteur de ce que tu attends de moi, petite cochonne... »

Tout en parlant, son autre main vint pincer l’un des seins de la femme, et elle se pencha vers elle, mordillant son cou, mais sans enfoncer ses canines, juste pour sentir un peu la douce et tendre peau de Vanillia. Cette vampire était définitivement belle, et ce peu importe l’angle qu’on lui portait. Sa peau était aussi tendre que celle d’un beau bébé, et son sang... Ah, son sang avait l’air délicieux ! Un beau et magnifique sang bleu qui n’attendait que les crocs de Mélinda. Elle remua son doigt dans la bouche de Vanillai, et finit par le retirer, un sourire sur le coin des lèvres.

« Plaisir et douleur... Les deux versants du sexe... Je vais te faire l’amour comme les vampires le font, ma belle... Ainsi, ta longue attente sera récompensée... »

L’amour entre vampires était comme l’amour normal... En bien plus intense, en bien plus sauvage, et en bien plus sanglant. Des trésors et des monts insoupçonnés de plaisir allaient s’abattre durant la nuit, et, pour l’heure, Mélinda y allait doucement. Après tout, rien ne pressait, et, ce faisant, sa bouche repartit à l’assaut de la nuisette de la femme, léchant et titillant l’un de ses seins, sa langue filant le long de cette douce texture élégante, la caressant, ses mains grattant les hanches de la femme, l’une d’entre elles remontant de temps en temps pour caresser et palper son sein.

Il fallait bien s’occuper un peu de cette petite.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 20 décembre 2014, 18:07:20
Il fallait se poser la question ; pourquoi Vanillia avait tant tenue à faire venir Mélinda ? Elle aurait très bien pu attendre une occasion prochaine, au lieu de la créer de toutes pièces. La jeune noble aurait pu tout simplement tout avouer dans cette lettre, bien qu'elle n'aimait pas vraiment cela. Trop cliché, trop impersonnel, trop … Chiant, selon elle. À la place elle avait monté toute une histoire pour faire ramener la vampire. CA, c'était un plan digne d'elle. Un plan tellement grossier que cela avait marché, en fin de compte. Le fait que Mélinda se demandait réellement pourquoi Vanillia avait tant attendue ce moment la faisait sourire. Elle aimait la voir se poser des questions, ne pas savoir de quoi il en retournait exactement. Cela attisait le feu, selon elle. Et elle espérait que ça en faisait de même pour la directrice du harem car, elle n'allait pas lui donner de réponse de sitôt. Pas avant de lui avoir explicitement montrer la chose, avant de la lui avouer. Ainsi, toute serrée contre elle, assise sur la commode, la vampire avait relevé sa poitrine pour mieux l'offrir à sa muse. Car en effet, à ses yeux, Mélinda était sa muse. Il n'y avait pas d'autres mots pour décrire cela.

Les mains de la jeune femme, alors posées sur ses hanches en train de les caresser, continuèrent leur office tandis que sa bouche se rapprocha de l'un de ses seins. Vanillia frissonna au contact, et surtout au moment où elle sentit son téton tirer. Un frisson électrisant, qui la fit légèrement serrer des dents. Après qu'elle ai fait part qu'elle avait particulièrement attendue ce moment, elle constata que Mélinda ne dit rien. Celle-ci releva un peu son visage, et décida dès lors de poser un de ses doigts su les lèvres gourmandes de la noble. Vanillia, après avoir vu la manœuvre de la vampire consistant à se blesser volontairement, comprit alors qu'elle allait voir et expérimenter des choses particulières cette nuit. Le sang de Mélinda coula un peu par la blessure qu'elle s'était faite, en se coupant avec les canines de Vanillia. Cette dernière, à la vue de ce liquide aussi rouge et limpide, avait ses instincts qui s'éveillaient. La soif était en train de se faire sentir, elle voulait goûter à ce délicieux mets qui s'offrait à elle. Et ainsi, sans qu'elle s'y oppose, elle ferma sensiblement les yeux au moment où Mélinda introduit son doigt entre ses lèvres.

"Hmmm …" Soupira la vampire. Elle n'était pas très réservée et c'était pour cette raison qu'elle n'avait aucune honte à suçoter langoureusement ce doigt. Elle ne se contenta pas de lécher le précieux élixir débordant de la plaie, mais elle aspirait afin d'en faire sortir d'avantage. Quel délice, quelle saveur … Elle n'en avait jamais eu aucun doute ; le sang de Mélinda était la chose la plus exquise qu'elle n'avait jamais goûté. Elle y allait avec appétit, et ceci avait le don de l'exciter encore plus qu'elle ne l'était. Son sexe continuait de pointer et de grossir à mesure que les minutes s'écoulaient. Ses tétons en faisaient de même, créer de petite pointe dure au travers sa délicate nuisette. Tout son corps vibrait à cet instant, alors qu'elle entendait les mots de la vampire. Oh oui … Ce sang était largement à la hauteur de ses attentes. Gémissant en guise de réponse, ces derniers s'accentuèrent un peu quand Vanillia ressentit son sein se faire pincer, et son cou se faire mordiller. Mélinda venait d'attaquer son point sensible. Le cou était une partie toute particulière pour Vanillia. C'était étrange mais dès qu'on portait un peu d'attention à celui-ci, cela suffisait à la rendre toute chose.

Les mains de la jeune noble remontait un peu le long de la soyeuse robe dorée de Mélinda, venant caresser toute son échine. Elle avait tant hâte de retirer ce bout de tissu et venir réellement profiter cette peau si douce et délicate. Vanillia avait envie du corps de la vampire, plus que jamais. Mais alors qu'elle continuait de sucer tendrement son doigt, la propriétaire le retira. C'était dommage, Vanillia aurait pu continuer encore longtemps ainsi. Cependant, l'affirmation de Mélinda qui suivit fit malicieusement sourire la noble. Comme les vampires le font, voilà qui avait de quoi la ravir. Elle se demandait bien comment deux vampires font l'amour, si c'était réellement quelque chose de différent. Mais en vue de ce qui venait de se passer, elle n'avait aucun doute que l'expérience serait des plus uniques. Ainsi, alors que les lèvres de sa muse repartir savourer son sein, au travers de sa nuisette, Vanillia resserra son emprise avec ses cuisses. Ses douces jambes coulissaient sur ses hanches, les caressant doucement, alors que de ses pieds elle en faisait de même sur les cuisses de Mélinda.

Elle passa une de ses mains dans la magnifique chevelure de cette dernière, gémissant longuement sous les assauts sulfureux sur sa poitrine. Un visage si angélique, si enfantin … Vanillia se demandait comment une telle chose était possible. Mélinda était une curiosité à elle seule. Si on ne la connaissait pas et qu'on la jugeait uniquement sur son physique, on ne pourrait se douter de qui elle était réellement. La jeune héritière avait envie de l'embrasser, de venir capturer ses lèvres, mais pas seulement. En réalité, elle avait de l'embrasser partout sur le visage, tellement ce dernier faisait effet. Et alors qu'elle fantasmait dessus, l'une des bretelles de sa nuisette finit par tomber délicatement sur le coté de son épaule. Voyant que Mélinda faisait son office par-dessus ce tissu, Vanillia releva pour un moment son visage. Elle resta quelques secondes à l'admirer, le regarder, le temps de réellement imprimer cette magnifique image dans sa tête.

"J'en ai encore envie !" Dit-elle d'une vive voix, étouffée entre deux gémissements. Elle vint plaquer subitement ses lèvres contre les siennes, agrippant fermement, mais doucement, l'arrière de la tête de la vampire. Sa langue vint furieusement chercher la sienne, la forçant presque à danser avec elle. Sa salive abonda, alors qu'elle ponctuait le balais avec quelques petits mordillements. Toutefois, pendant qu'elle donner ce fougueux baiser, elle fit tomber l'autre bretelle de sa nuisette de par sa main libre. Ceci eut pour effet de la faire tomber jusqu'à son bassin, dévoilant alors sa poitrine à nue. Attendant un peu, savourant encore le délicieux arôme que possédait la salive de Mélinda, elle rompu le baiser, en tirant un peu de ses canines sur sa lèvre supérieure. "J'ai bien fais de ne rien mettre d'autre …" Dit-elle avec un léger clin d’œil. Alors qu'en parallèle, elle continuait de caresser tendrement les cuisses de la vampire avec ses délicats pieds, et de presser ses hanches entre ses jambes. Inutile de dire que sa virilité tremblait d'impatience, mais chaque chose avait son temps. Vanillia n'était pas pressée, elle était juste très, très excitée à l'idée de partager enfin ce moment avec cette personne qui habitait sa tête, et son cœur, depuis tant de temps …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 23 décembre 2014, 01:38:08
La nuit n’allait clairement pas être de tout repos... Ce qui tombait plutôt bien, dans la mesure où Mélinda avait trouvé le temps long en rejoignant ce manoir. Elle était tombée sur un véritable volcan en fusion, une femme aussi belle qu’impatiente, aussi perverse qu’assoiffée... Vanillia Carnelle. Qui aurait cru que Mélinda pourrait ressentir de telles bouffées envers cette femme ? Le désir était si fort qu’il semblait pulser dans chaque partie de son corps, dans chaque muscle, dans chaque veine, la faisant tressaillir. Elle goûtait à ce sein comme si c’était le premier sein auquel elle touchait depuis des années, avec la passion d’un individu ayant une bouteille d’eau après avoir traversé un désert à pieds. Elle goûtait à ce sein, et sentit la nuisette de Vanillia se défaire, sentant aussi, dans la foulée, la verge tendue de la jeune vampire. Oh, qu’elle avait l’air impatiente, cette petite ! Boire les quelques gouttes du sang de Mélinda avait visiblement galvanisé ses ovaires, et la petite vampire était en feu.

*Ça tombe bien, c’est exactement ce que je voulais...*

Elle continuait à malmener cette nuisette, quand Vanillia lui bondit dessus. Mélinda manqua tomber à la renverse, mais réussit à se rétablir. Elle sentit une main sur sa nuque, s’empoignant à ses cheveux, et elle en fit de même, agrippant les cheveux de la femme, l’autre main venant se poser sur ses fesses. Scotchée à elle en mode koala, Vanillia lui roula un patin formidable, un baiser magnifique, plein de désir, plein de frustration sexuelle et de pulsions immenses. Oh, quel baiser magnifique ! Mélinda en aurait presque pleuré ! Elle n’avait jamais cru au coup de foudre, et pourtant... Était-ce de l’amour qu’elle ressentait ? Vanillia l’excitait furieusement... Et, quand Mélinda le pensait, ce n’était pas un euphémisme, ici. Vanillia était chaude comme la braie, et Mélinda avait instinctivement conscience d’être tombée sur une femme qui lui était similaire... Physiquement, mais aussi mentalement. Une vampire belle, perverse, joueuse, mutine, et qui, visiblement, ressentait une profonde affection pour Mélinda. Sa forte érection, la manière dont elle se cramponnait à elle, enfonçant ses ongles pointus dans sa nuque... Tout était un appel au sexe, et, au-delà de ça, à la fusion de leurs corps, une fusion comme seuls les vampires savaient y faire.

Le langoureux baiser finit par se rompre dans un mordillement. Les lèvres de Vanillia claquèrent contre les siennes, laissant sur la bouche de la vampire un agréable et jouissif frisson de douleur. La nuisette, quant à elle, venait de glisser sur le bassin de la femme, et Mélinda avait soif... Soif de sexe, soif de sang, soif de Vanillia.

« J'ai bien fait de ne rien mettre d'autre… » glissa alors Vanillia, faisant sourire Mélinda.

En réponse, elle frotta son tendre nez contre le sien. Deux belles perles en train de se faire follement l’amour. Il y avait de quoi stimuler l’imagination d’un milliard d’êtres humains. Mélinda lui embrassa le petit bout du nez, et ses mains se raffermirent sur ses fesses.

« Oui... Tu es tellement belle, ma chérie... »

Mélinda tira sur la nuisette, la déchirant en deux à hauteur des fesses. La tenue était descendue jusqu’au bassin, et, en la tirant d’un côté comme de l’autre, Mélinda griffa aussi le cul de Vanillia, puis l’envoya heurter violemment le mur à côté d’elles. Le coup fut si fort qu’un miroir trônant à côté tomba, lâché de son appui. Il se brisa sur le sol.

« Oops ! s’exclama Mélinda. Rassure-toi, je te rembourserais pour le mobilier détruit... »

Elle poursuivit par un baiser sur le cou de Vanillia, mordillant à nouveau sa peau, lui faisant un long suçon. Quand elle avait embrassé cette partie-ci de son corps, elle avait senti le sang de Vanillia s’accélérer brièvement. Ce n’était, en soi, pas surprenant. Le cou était une zone sensible de l’organisme, un point de concentration de tout le système nerveux, et donc une zone hautement sensible. Mélinda caressait les hanches de Vanillia, tout en tirant sur sa nuisette, la jetant sur le sol. La belle vampire était maintenant toute nue, lui offrant le spectacle de son corps, ainsi que celui de ses jambes s’enroulant autour des siennes... Ça, c’était quelque chose qu’elle aimait beaucoup. Sentir cette femme la serrer, l’immobiliser, la maintenir contre elle. Mélinda soupirait, et redressa un peu son dos, amenant Vanillia à voir, outre ses seins, la corde noire qui se trouvait à cette hauteur.

Un sourire sur le coin des lèvres, Mélinda posa sa main sur la tête de Vanillia, l’approchant de son décolleté.

« Utilise tes dents, ma petite beauté... Retire-moi ce lacet... »

Et, en faisant ça, Vanillia verrait que Mélinda aussi ne portait rien dessous !
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le vendredi 26 décembre 2014, 18:06:07
Si Vanillia ne savait pas que Mélinda était une vampire, elle l'aurait prise pour une succube. Elle en avait tout les traits, après tout. Un corps de rêve, un visage angélique, un charme brisant toutes barrières, tout les éléments étaient réunis. Pourtant, elle n'était qu'une vampire … D'un autre coté, cela avait grandement son charme. Les deux femmes étaient des créatures de la nuit, savourant le sang de leur victime et se délectant de son goût. Elles étaient des êtres animés par un brasier constant, une soif sans limite, ce qui les rendait des plus vives. Alors autant dire que lorsque deux de ces créatures décident de se côtoyer et surtout, de se faire intensément l'amour, le résultat était des plus magistral, et la preuve en était là. Vanillia était, à l'intérieur, un volcan en pleine explosion et pourtant, ce n'était que les débuts. Sa flamme et sa hargne charnelle envers Mélinda était extrêmement puissante, tellement qu'elle avait du mal à se retenir. À quoi ? À lui bondir tout simplement dessus et à lui offrir son corps du maximum qu'elle pouvait, quitte à être un peu sauvage, voir bestial. Elle voulait Mélinda et rien d'autre. Elle la voulait pour elle, contre elle, en elle … Il était inutile de dire qu'elle était littéralement une droguée. Et le fait qu'elle éprouvait des sentiments pas seulement physique, même si elle ne l'avait pas encore avoué, jouait un rôle majeur dans cette envie.

Ainsi, alors que le tendre baiser prit fin, les joues de Vanillia se mirent à rougir délicatement quand elle sentit sa muse frotter son nez contre le sien, puis l'embrasser. Ce n'était pas la zone la plus excitante qu'il soit, mais en revanche, ce geste avait eut pour particularité d'émoustiller la jeune femme. C'était l'instant mignon, comme elle le définissait, et elle adorait ça. Mélinda poursuivit par un compliment certes simple, mais qui touchait grandement la vampire tout de même. La simplicité était parfois bien meilleure que la complexité, dans les mots du moins. Ce fut à cet instant qu'elle se laissa faire, voyant son amante renforcer son emprise sur son généreux fessier. Un frisson la saisit sur tout le long de son échine, surtout quand elle fut griffée. Elle n'avait pas pu retenir un léger et petit hoquet de douleur, mais qui traduisait en réalité le plaisir qu'elle en avait tiré. Sa nuisette n'était plus, Mélinda venait de la déchirer en deux et l'avait envoyé balader sur un miroir, qui se brisa au sol d'ailleurs. Prise sous le feu des sensations, Vanillia avait la voix quelques peu hachées et quand la jeune vampire lui affirma qu'elle lui rembourserait, et qu'elle attaqua son cou, elle répondit difficilement. "N-non … Il ét-était moche de toute f-façon …" Dit-elle tout en gémissements.

La propriétaire de harem l'avait prise sous son point faible ; le cou. Son sang se mit à crépiter en elle tellement elle était sensible à cet endroit. Le petit visage de Mélinda, niché dans son cou, et ses lèvres en train de la combler de mille et une attentions … C'était trop pour Vanillia. Elle gémissait, légèrement certes, mais gémissait quand même. Prise en une intense et passionnée étreinte, elle serra de par ses bras la vampire. Scotchée à elle, ses cuisses et ses bras étaient à présents enroulés autour d'elle, pendant qu'elle l'embrassait sur le cou. Elle sentait aussi ses mains sur hanches, qui ne tardèrent d'ailleurs pas à achever la nuisette en la retirant complètement, dévoilant la nudité de Vanillia. Celle-ci était dans son meilleur moment pour se dévoiler à nue ; sa peau incroyablement douce avait prit une teinte rouge, sous l'effet des sensations et des pulsions. Un corps juvénile et presque angélique, n'attendant que l'attention de Mélinda. Sa verge était restait tendue, fièrement dressée vers le ciel. Nul doute que Vanillia ressentait le besoin pressant de s'en servir et de la soulager de toute cette pression … Elle en avait cruellement envie. Mais à force de pression, le spectacle n'en était devenu que plus appétissant. Gonflé, tendu, ce sexe qui avait pourtant hérité de la douceur de peau de la propriétaire paressait des plus impatient.

Cependant, l'étreinte prit fin. La vampire releva son dos et, regardant la maîtresse des lieux, esquissa un sourire qui en fit de même sur elle. Elle sentit sa main se caler sur sa tête, et lorsqu'elle entendit les mots de sa tendre amante, ses yeux changèrent de ton. Un regard malicieux, traduisant de l’appétit. "Avec plaisir …" Répondit-elle à la demande. Rapprochant ses lèvres du dit nœud, Vanillia décida toutefois de ne pas y aller franchement. Elle déposa sa bouche sur son sein, le marquant ainsi d'un délicat baiser. La noble ramena une de ses mains au creux de ses omoplates, pour mieux se blottir contre elle, tandis qu'elle plaça l'autre autour de sa taille. Elle savourait cette peau, et surtout, ce sein qu'elle goûtait. Une texture délicate et douce, qui répondait donc parfaitement aux attentes de la vampire. Léchant un peu, elle finit par descendre vers le nœud tout en couvrant la distance par des baisers toujours plus ardents, laissant même la trace de ses lèvres. Ceci était dû au fait que, Vanillia en bonne amante, s'était faite belle et toute pimpante pour Mélinda et s'était donc mis certains cosmétiques sur ses délicates lèvres.

Ainsi, elle parvint au nœud. Le prenant en tenaille entre ses dents, elle exécuta la demande de sa belle. Tirant légèrement en reculant sa tête, elle accompagna le lacet jusqu'à ce que celui-ci se détende. Et à ce moment, Vanillia eut une idée. Alors que la robe de Mélinda s'apprêtait à tomber, la jeune noble plaqua ses mains pour éviter cela. Lançant un regard amusé, elle descendit de sa commode et, toujours en restant blottit contre la vampire, commença à descendre ses mains pour faire progressivement tomber la robe. Mais, la particularité était qu'elle descendait sa tête aussi au fur et à mesure. Pour chaque nouvelle parcelle de peau libérée, Vanillia donna un langoureux baiser dessus. Son ventre, son bassin, jusqu'à arriver à son intimité … Qu'elle n'hésita pas à couvrir aussi d'un délicieux baiser. Elle poursuivait sa descente, embrassant ses majestueuses jambes de toute part. Cependant, quand la robe était à présent aux pieds de Mélinda, Vanillia se releva. "Laisses-moi faire, ma chérie." Lui dit-elle alors, en lui indiquant de s’asseoir sur la commode à son tour.

Quand cela fut le cas, la vampire esquissa à nouveau un sourire. Ses mains caressèrent sa jambe droite, tout en la soulevant doucement, puis finirent par glisser au niveau de son pieds. Saisissant la robe toute pliée sur elle-même, Vanillia la fit passer outre, de la même manière que précédemment, à savoir en embrassant donc son pieds. Toutefois, la malice qui découlait de son regard en disait long sur ses intentions du moment. Alors que la robe tomba au sol, elle n'arrêta pourtant pas sa soif de baisers. Elle était en train d'en couvrir le pieds de Mélinda, timidement au début. Elle restait silencieuse, comme si elle était emportée et dévouée à ce qu'elle était en train de faire … Elle n'avait aucun doute sur le fait que Mélinda aimerait ce petit traitement.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 27 décembre 2014, 02:13:49
De vieilles légendes véhiculées par les poètes et les artistes affirmaient que, à l’aube des temps, il n’y avait ni homme ni femme, mais un sexe unique. Ce sexe aurait été divisé par la suite, quand l’univers serait passé de l’unité originelle à sa dualité fondamentale. La femme et l’homme seraient ainsi nés, chacun étant issu d’un même organisme. Qu’est-ce que l’amour ? La réponse était alors trouvée : un être vivant recherchait son autre moitié, qu’elle soit de son sexe, ou d’un autre sexe. C’est en ce sens qu’on disait qu’on avait trouvé sa moitié, en désignant la personne aimée. Une belle légende, mais qui, aux yeux de Mélinda, avait toujours été une histoire... Un conte de fées qu’on distillait aux jeunes enfants pour ensemencer leurs rêves, une histoire que les jeunes et romantiques amoureux se racontaient au coin du lit avec leurs amants, en pensant, avec toute la naïveté qui seyait au jeune âge, qu’ils ne rencontreraient jamais personne d’autre. Mélinda n’y croyait pas. Elle pensait que l’amour n’était rien de plus qu’une attirance charnelle et/ou alchimique sur certains points, mais son orgueil, et probablement son scepticisme, l’avaient toujours amené à considérer avec dédain l’existence d’une femme qui serait très proche d’elle. Elle n’avait en somme jamais cru à cette théorie absurde, cette théorie romantique ridicule... Jusqu’à ce soir. Vanillia... Plus elle la rencontrait, plus elle la voyait, et plus elle sentait en elle un immense sentiment d’attirance s’emparer d’elle. Ce sentiment avait né en voyant sa beauté... Vanillia était d’une beauté incroyable, une beauté très similaire à la sienne, un corps angélique, et pour autant marqué de ces traces de sombre élégance propres aux vampires. Vanillia était une femme parfaite, et, plus le temps passait, et plus cette impression se confirmait.

Elles n’en étaient pas encore au stade de se faire l’amour, simplement de se découvrir. On pouvait dire tout ce qu’on voulait, prétendre être qui l’on voulait, il n’y avait vraiment que dans le sexe que la véritable nature d’une personne s’affirmait. Le sexe permettait de voir si vous étiez une personne dominatrice ou soumise, si vous aimiez la douceur ou la sauvagerie, si vous étiez un individu prompt à faire parler sa passion, ou si, au contraire, vous faisiez preuve de cette retenue morale caractérisant les modérés et les tempérés. Oui, le sexe était un indicateur, et, en ce sens, Mélinda titillait Vanillia... Tout comme Vanillia la titillait. Les deux femmes se comprenaient instinctivement, et Mélinda n’avait jamais ressenti une telle emphase avec quelqu’un d’autre que jusqu’à ce moment. S’attaquer au cou de Vanillia, sentir son sang battre la chamade, griffer ses fesses, sentir son sang se mettre à perler, la voir rougir furieusement sous l’effet du plaisir, sentir sa verge tendue glisser contre son estomac... Oh, que de sensations divines, que de promesses merveilleuses ! Ce qui leur arrivait était magnifique, tout simplement, et il y avait, là-dedans, quelque chose de profondément jouissif. Elles allaient se faire l’amour. Ce n’était même plus une hésitation, à partir de maintenant, mais simplement une constatation. Elles allaient se faire l’amour, mais Mélinda avait le sentiment que ce ne serait pas comme d’habitude.

*Oh non...*

Sa main caressait la longue et soyeuse chevelure verte de Vanillia, tandis que la belle vampire s’attaquait à son sein, recouvert par le tissu de sa robe. Une fétichiste... Encore une fois, les fantasmes et les goûts de Mélinda faisaient écho aux siens. La luxure était marquée au fer blanc sur le corps de Mélinda. Elle existait depuis quelques siècles, et avait bien dû coucher des milliers de fois, avec autant d’amants. Dieu seul sait combien de femmes s’étaient tortillées sous elle, et combien d’hommes avaient hurlé sur elle, labouré son dos, défoncé son cul. Aurait-elle été une femme fertile qu’elle aurait eu de quoi enfanter tout un petit pays. Pour autant, face à Vanillia, elle se sentait comme si elle venait de perdre sa virginité il y a quelques jours. Cette séance de sexe s’inscrirait assurément dans son Top 3. Tendre et délicieuse, Vanillia allait lui offrir quelque chose de beau et de sauvage. Tandis qu’elle léchait son sein, et laissait sur son bonnet les marques de ses lèvres magnifiques, Mélinda tendit sa main, et caressa son sexe, glissant quelques doigts dessus, du bas vers le haut, juste pour apprécier la taille de sa virilité, juste pour sentir contre ses doigts l’épaisseur de ce chibre dressé et raide. Un contact ô combien excitant, et les seins de Mélinda se mirent à durcir, ses tétons pointant contre son bonnet.

« Haaaa... »

De délicats soupirs s’échappaient de ses lèvres. Les dents de Vanillia finirent par se positionner entre ses seins, et elle tira dessus, défaisant peu à peu le lacet noir se trouvant dessus. Mélinda se tortilla un peu. Sa robe était très particulière, car il n’y avait que par le soutien-gorge qu’elle tenait. Quand on le retirait, la partie supérieure de la robe s’ouvrait en deux, comme les pétales d’une fleur, et, à moins de la retenir, la partie inférieure tombait. Mélinda sentit sa robe glisser... Mais Vanillia la retint avec ses lèvres, une lueur espiègle dans les yeux. La robe glissait dans le bas de son dos, mais Vanillia perturbait tout le processus en la maintenant.

Les deux mains de Mélinda caressèrent alors lourdement ses joues, glissant dessus. Elle avait de belles grosses joues, bien rondes, des joues faites pour les baisers... Et pour les caresses. Mélinda les caressait intensivement, comme si Vanillia était un chat qui réclamait des câlins.

« Petite coquine... »

Instinctivement, Mélinda la traitait comme une égale. Elle n’avait sincèrement jamais ressenti une attirance aussi spontanée et aussi forte pour une autre personne qu’elle-même. La vampire se faisait donc plaisir, et sentit sa robe descendre lentement. De manière assez habile et talentueuse, elle tirait sur la robe avec ses mains, et en profitait pour embrasser sa peau, chacun de ses baisers faisant soupirer Mélinda... La belle vampire mouillait clairement, et les minutes passaient. Elle caressait les cheveux de Vanillia, jusqu’à ce que cette dernière soit trop basse, après un bisou sur son intimité, sur ses lèvres intimes trempées... Mais Mélinda pouvait-elle sincèrement la lui reprocher ? Elle la narguait, elle la frustrait... Mais c’était en réponse à ce que la vampire avait fait auparavant avec elle. Vanillia embrassa et lécha ses jambes, et, plus le temps passait, et plus Mélinda était perturbée.

*Cette femme... Je n’y crois toujours pas, elle... On dirait... On dirait moi, tout simplement...*

Vanillia était presque couchée sur le sol, mais demanda alors à Mélinda d’aller sur la commode. En souriant, cette dernière obtempéra, frissonnant au mot « chérie »... Il semblait tellement naturel qu’elle n’avait même pas hoqueté en l’entendant. Elle avait été au contraire surprise de son absence d’étonnement.

« Bien sûr, ma puce... »

Mélinda posa sur la commode, et la robe finit par partir, délivrant ses petits pieds... Et Vanillia choisit de l’achever. Parmi tous les fantasmes et toutes les pulsions de Mélinda, il y en avait une qu’elle partageait avec assez peu de gens : le fétichisme des pieds. Vanillia, cependant, choisit de s’y attaquer, et Mélinda se mordilla les lèvres en sentant les lèvres de Vanillia venir sur son pied. Elle était là, à genoux devant elle, et tenait respectueusement son pied, l’embrassant généreusement, le couvrant de multiples baisers et de léchouilles.

« Hooo, Vanillia, ma belle... Hmmm... Je vais fondre, si tu continues, ma petite... »

La vampire souleva son autre jambe, la croisant sur la sienne. Elle s’appuyait avec ses mains sur le comptoir, une lueur malicieuse dans les yeux, et avança son autre pied, venant s’en servir pour caresser le visage de Vanillia, titillant son nez, puis s’enfonçant contre ses joues.

« Làààà... Attaque-toi à mes pieds, ma chérie... Tu peux même mordre, si tu veux... »

Il n’y avait pas beaucoup de sang dans les pieds. Vanillia pouvait donc boire un peu de sang sans que Mélinda ne tombe dans les pommes... Et, tandis que la vampire commençait à embrasser son pied, elle la caressait avec l’autre, frottant son talon dans le creux de son nez, tirant ainsi un peu sur sa tête. On pouvait voir une lueur amusée dans les yeux de la vampire. Elle se mordillait les lèvres, s’amusant comme une gamine... Tout simplement.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le lundi 29 décembre 2014, 14:57:05
Vanillia avait tout de même légèrement appréhendé ce que ferait Mélinda face à sa petite initiative. Ce n'était pas tout le monde qui aimait ça et elle en avait bien conscience. Mais qui ne tentait rien n'avait rien, après tout. Et elle fut agréablement surprise de voir que la vampire semblait même aimer grandement cela. Voila un autre point commun qu'elles partageaient … Et aux yeux de la noble, ce n'était pas des moindres. Si elles partageaient leur goût en matière de pratiques sexuelles, cela n'en serait que mieux ! Ce serait même fantastique. Mais, chaque chose avait son temps. Pour le moment, Vanillia s'appliqua comme une virtuose à embrasser le pieds de la jeune femme et à ponctuer ses attentions de tendre léchouilles. Le plaisir ressenti était presque indescriptible. C'était un fétichisme après tout et ce genre de chose était rarement explicable. On aimait, c'est tout. Il n'y avait rien à expliquer d'autre … C'était à la fois étrange et fascinant. La peau à cet endroit était particulièrement douce et sensible, ce qui excitait d'avantage Vanillia qui ronronnait de plaisir.

"Oh, tu m'autorises à mordre … Tu ne vas pas être déçue." Répondit-elle d'un ton taquin. Elle constata que Mélinda se prêta au jeu, ramenant son autre pieds et venant la titiller ainsi. Son talon frottait contre le creux de son nez, alors qu'elle continuait de se régaler. L'envie de mordre se faisait de plus en plus pressante, et elle n'avait d'ailleurs pas très envie de se retenir ce coup-ci. Esquissant un petit sourire, elle saisit la patte nouvellement venue de la vampire et la fit descendre jusqu'à sa douce poitrine. Vanillia avait fait en sorte de caresser son propre corps avec ceci au passage, ce qui fut des plus agréable. Arrêtant ses baisers un court instant, elle leva légèrement ce qu'elle tenait en main pour exposer sa plante, avant de déposer pleinement ses lèvres dessus. Elle goûta de par sa langue à cette chair si tendre et douce, en remontant jusqu'à ses petits doigts, qu'elle mordilla légèrement. Puis, vint alors le moment tant attendu … Faisant mine de s'occuper de tout le long du coté, elle planta vivement ses crocs acérés dans la peau de Mélinda.

Rapidement et sans attendre elle aspira un peu de son sang, juste un peu. Même s'il n'y en avait pas beaucoup à cette partie du corps, Vanillia ne voulait pas faire d'excès. Lorsque les premières gouttes arrivèrent à sa langue, elle sentit son échine frissonner. Quel sang … Quelle saveur … La jeune vampire n'en avait jamais goûté de pareil dans sa vie. Oh oui elle était tentait d'aspirer du plus fort que possible, de se repaître au maximum de ce délicieux élixir … Mais elle devait se contenir. De son autre main elle caressait délicatement son autre pieds, posé habilement sa propre poitrine, venant même de temps à autre à dépasser sur sa jambe. La morsure ne dura plus longtemps, Vanillia avait d'ores et déjà envie de revenir à la patte de Mélinda. Ses lèvres vinrent ainsi se poser à nouveau sur sa plante, savourant, se délectant de cette peau. Elle se dirigeait ainsi vers son grand doigt, lentement, sensuellement, afin de le prendre en tenaille entre sa bouche. Et, de la manière la plus suggestive qu'il soit, avec un regard rempli de sous-entendus, commença à le suçoter.

"Hmm …" S'amusait-elle ainsi, à gémir lascivement. Elle ne prévoyait pas vraiment ce qu'elle faisait à l'avance, elle se laissait bercer par ses pulsions et ses envies, en espérant que Mélinda apprécie le tout. Car elle faisait tout ceci pour son plaisir unique, après tout. Et si ce but était accompli, alors le plaisir se faisait aussi ressentir pour elle. Elle resta ainsi quelques temps, avant de retirer ses lèvres, donnant un dernier baiser sur la pointe de son orteil. Sans dire un mot, elle glissa dès cet instant sa main vers l'autre pieds de Mélinda, qu'elle caressa doucement, avant de le faire remonter lentement vers elle. "Il faut être juste, ça serai dommage de l'oublier ainsi." Dit-elle d'une voix coquine. Sans trop s'attarder, elle commença alors à s'occuper vigoureusement de celui-ci. Mais alors qu'elle commença, elle eut une idée. Embrasser et lécher les pieds de Mélinda était certes excitant, voir très, mais il fallait un petit quelque chose de plus pour l'exciter d'avantage. Entre deux baisers bien mouillés sur sa plante, Vanillia saisit la précédente patte, et d'un sourire des plus carnassiers, se mit complètement debout. Elle l'orienta alors vers le bas, toujours plus loin, jusqu'à la faire arriver à son intimité des plus éveillée qu'il soit … "Ne te prive surtout pas, ma puce …"

Elle laissa à Mélinda le loisir de choisir ce qu'elle voulait faire, après tout elle n'avait faite que l'orienter et rien de plus. C'était à son goût et à son convenance, car après tout cette nuit, elle était reine.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 31 décembre 2014, 17:22:49
Le fétichisme de Vanillia était comme un coup de massue supplémentaire, un choc qui achevait de convaincre Mélinda qu’elle était tombée sur la perle rare. Oui, cette belle vampire était indéniablement une partenaire formidable. D’une grande beauté, elle était aussi terriblement perverse, et ses fantasmes étaient tout simplement magnifiques. Mélinda n’avait, au cours de sa longue existence, vampirisé qu’une seule personne... Une erreur qu’elle regrettait encore amèrement, la preuve, s’il en est, que personne n’était infaillible. Elle avait parfois failli offrir à d’autres personnes la transcendance, le don du vampirisme, mais il y avait toujours eu un petit quelque chose, une sorte de petite frontière, de barrière, d’ultime restriction... Mais, avec Vanillia, tout s’envolait, et, plus elle jouait avec ses pieds, et plus Mélinda en était sur le point de se demander si, finalement, elle n’avait pas trouvé LA perle rare... La femme qui serait capable de tout changer, la femme qui serait enfin capable de lui convenir. Voilà ce qu’elle se disait tandis que Vanillia suçait ses doigts de pied, léchait et mordillait sa peau, et qu’elle soupirait et haletait, en proie à d’incontrôlables vagues de plaisir. Des vagues inexplicables, car, concrètement, un pied n’était pas une grande zone érogène. Pour autant, sentir la langue de Vanillia jouer sur sa peau, sentir ses mains tirer sur ses doigts de pied, glisser dedans, les emprisonnant, sentir sa langue s’enrouler sur eux, et sentir ses dents racler contre sa peau... Ah, y avait-il seulement un mot assez fort pour décrire ça ?! Existait-il seulement un mot suffisamment puissant pour décrire tout ce que Mélinda ressentait ? De multiples frissons de plaisir remontaient dans son corps, traversant tout son être...

...Et le plaisir s’accrut encore quand les dents de Vanillia s’enfoncèrent dans sa peau. Elle sentit la morsure éclater en elle, une magnifique morsure, et elle poussa un cri, ses mains se crispant sur le bois de son meuble, ses griffes s’enfonçant à l’intérieur, entaillant ce dernier.

« HAAAAA !! »

De la salive coula de ses propres dents, et elle se lécha rapidement les lèvres, baissant la tête pour la voir. À genoux devant elle, sa belle Vanillia venait de mordre son pied, suçant un peu de son sang. Elle voyait les beaux petits yeux de cette perverse remonter vers elle, tandis qu’elle continuait à boire, suçant, absorbant son précieux nectar. Mélinda soupirait, mouillant clairement, se tortillant sur elle-même. Mélinda ne portait sur son corps qu’une simple culotte verte, qui était en train d’épouser la forme de sa moule, laissant clairement apparaître des traces de cyprine. Vanillia suçait son sang, et c’était un spectacle magnifique... Elle aurait presque pu en jouir, et ses seins étaient devenus très douloureux, ses tétons pointant fièrement en avant. Mélinda remuait de gauche à droite sur le meuble, sans rien dire d’autre que de longs soupirs.

Vanillia finit par retirer ses dents, laissant une Mélinda pantoise et électrique. Son amante savait comment y faire, et s’attaqua à son autre pied, multipliant les gestes lascifs et les provocations, prenant ainsi son gros doigt dans sa bouche, tout en la regardant d’un air de prédatrice. Une terrifiante succube se tenait face à elle, essayant de se faire passer pour une vampire. Mélinda, elle, continuait à gémir et à soupirer, se tortillant sur le meuble, de gauche à droite. Elle avait entaillé le meuble sur plusieurs centimètres, ses griffes ayant marqué le mobilier. Cette nuit serait définitivement inoubliable. Mélinda était totalement sous le charme, conquise jusqu’au bout de ses griffes pointues par cette terrifiante femme.

*Mon Dieu, ce qu’elle me fait subir...*

Un nouveau soupir s’échappa des lèvres de Mélinda. Vanillia était bien décidée à ne pas négliger le côté fétichisme, et ce moment, clairement, était peut-être le plus important de cette soirée. Il ne voulait physiquement pas dire grand-chose, mais, symboliquement, c’était tout autre chose. En ce moment, Vanillia et Mélinda n’étaient pas en train de coucher ensemble comme deux étrangères voulant sympathiser. Non, elles étaient comme deux sœurs communiant ensemble, s’exprimant mutuellement un amour profond et inné. Difficile à expliquer autrement ou à rationaliser, mais Mélinda ressentait pour cette femme une bouffée d’amour et d’affection comme elle n’en avait jamais ressenti auparavant, l’impression d’être face à une égale, face à une femme où elle n’aurait rien d’autre à faire que s’allonger dans son lit, et se laisser porter, ayant avec elle l’intime conviction que, quoi qu’elle fasse, tout irait pour le mieux avec Vanillia.

Vanillia avait justement une idée derrière la tête, et se releva alors, en tenant dans sa main le beau petit pied de Mélinda, allant le rapprocher de son intimité. Elle s’était redressée, amenant son visage à hauteur de la poitrine de la vampire, qui comprit instantanément ce qu’elle voulait. Mélinda savait user de ses pieds. Elle s’amusait notamment à masturber Bran avec ses doigts de pied, le faisant jouir ainsi... Et elle le faisait parfois avec des femmes. Elle posa une main sur la nuque de Vanillia, souriant à son tour, en rapprochant son visage de ses seins.

« Viens voir Maman, Vanillia, tu as bien travaillé... Et tu mérites bien ta tétée... »

Pendant ce temps, son pied se déplaça un peu, et se glissa entre les cuisses de la femme, avant de se relever. Par-delà la salive de Vanillia, elle sentit, sur son talon et sur son pied, la mouille de cette dernière. Elle remua d’avant en arrière, délicatement, sentant l’intimité de la jeune femme, et sourit à nouveau. Elle était délicieuse, tout simplement, et son pied remuait, se frottant, s’enfonçant en elle, dans sa fente intime, la frottant tendrement. Quant à sa main, elle s’était raffermie sur ses cheveux verts, son autre main venant doucement caresser l’une de ses joues.

« Là, ma chérie, lààààà... Haaaan, tu es si douée, ma belle, si douée... »

Elle embrassa ses cheveux, avec un sourire rêveur sur le coin des lèvres. Quelle était cette sensation qui palpitait dans son corps, cette chaleur qui enflammait son cœur ? Elle connaissait instinctivement ce mot, mais elle n’avait jamais voulu y croire... Par conséquent, ces quelques lettres se refusaient à venir dans son esprit, mais elles étaient bien là, stagnant et remuant pour rester en elle.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 10 janvier 2015, 15:18:03
Si Vanillia n'en était qu'à son premier coup, elle aurait sûrement déjà exploser depuis longtemps. Comment résister à une telle femme ? Elle avait tant envie d'elle et de son corps. Elle avait envie de la sentir contre elle et en elle, de ne faire plus qu'un avec, de sentir sa chaleur et bien d'autres choses … En somme, elle voulait lui faire l'amour. Pour le moment ce n'était qu'une sorte de préliminaire et, bien qu'elle était des plus excitante, Vanillia avait toujours ce feu qui la consumait constamment. Le moment allait bientôt venir de toutes les manières et, après tout, il ne servait à rien de précipiter les choses. Au contraire, plus elles allaient retenir la pression, plus le dénouement serait magistral ! Vanillia s'en mordait d'ores et déjà les lèvres. Ainsi, alors qu'elle avait clairement incité Mélinda à venir taquiner son intimité de par son pieds, elle fût elle-même vivement invité à recevoir sa petite récompense. Traçant un regard félin, ce fut avec un grand appétit et plaisir que ses lèvres se rapprochèrent des tétons durcis de la vampire. "Hmm merci …" Soupira-t-elle alors que sa langue commença à balbutier sur sa première pointe rosée.

Mais le plaisir était décuplé quand elle sentit l'indiscret petit pieds de Mélinda se glisser entre ses cuisses. Poussant un petit hoquet quand elle le sentit se frotter contre son intimité, sa verge ne tarda guère à laisser un mince filet de pré-semence sortir et venir s'étaler contre le rebord de la commode. Fermant les yeux, Vanillia s'appliquait à savourer en léchant habilement les tétons pointant de Mélinda, tout en pinçant celui qui n'était pas entre ses lèvres quand c'était le cas. Elle s'autorisait à sucer aussi, venant même parfois tirer légèrement dessus pour créer un effet de succion, ce qui créer un bruit des plus grivois. Elle se régalait de cette généreuse poitrine, à un tel point qu'elle pourrait rester ainsi pendant toute une vie. Les seins de sa belle étaient sans doute le meilleur des mets au monde, et c'était avec envie qu'elle les honorait de tout son être. Finissant au bout de quelques minutes, Vanillia alla nicher son nez dans le petit espace se situant au milieu de cette délicieuse poitrine, qu'elle commença alors à lécher et embrasser abondement.

Toutefois, le traitement qu'elle subissait en son bas-ventre la faisait rapidement perdre la tête. Ce pieds continuait de la provoquer. Elle le sentit se frotter contre elle, et à chaque fois elle gémissait. Ses joues étaient aussi rouge que des tomates, elle ne pouvait plus se contenir, ou tout du moins, difficilement. "Aww Mélinda … Tu-Tu me rends folle! " Dit-elle alors. Cependant, alors qu'elle releva sa tête de sa poitrine, généreusement enduite de salive, elle remarqua la petite culotte de son amante qui était littéralement en train de se scotcher à sa féminité. Visiblement elle avait bien mouillé, pour que son sous-vêtement épouse autant ses formes. Esquissant un sourire, Vanillia posa doucement sa main dessus et commencer à frotter voir même pincer légèrement cette zone. "La pauvre … Elle a été bien oubliée cette petite … Laisses-moi corriger ça." Affirma-t-elle juste avant de descendre sa tête à son niveau, même si cela impliquait que le pieds de Mélinda ne pouvait plus la taquiner. Continuant de caresser la culotte avec sa main, elle finit par l'enlever pour la remplacer par ses lèvres. Vanillia déposa un premier et généreux baiser dessus, durant lequel elle pu clairement ressentir l'abondance de mouille.

La jeune noble n'avait plus qu'une seule envie dès lors ; goûter à cette féminité. Ses lèvres s'apposèrent à nouveau dessus, pleinement, donnant de multiples baisers tous les plus ardents et vigoureux les uns que les autres. Embrasser cette culotte toute mouillée et moulée était extrêmement excitant. On aurait presque dit que Vanillia avait un fétiche pour ceci. Ses paupières se fermèrent à mesure qu'elle se délectait de cette chair intime et de cette délicieuse mouille. Elle léchait, embrassait et aspirait de temps à autre. Inutile d'affirmer qu'elle avait très envie de s'attaquer directement à cette moule, sans passer par la culotte. Ce fut ainsi que, après plusieurs minutes à teaser ainsi, elle se saisit de l'extrémité du tissu avec ses dents puis, tout en regardant coquinement Mélinda, commença à tirer doucement. À la même manière qu'avec sa robe, elle tira, faisant progressivement monter la culotte à mesure qu'elle la faisait glisser le long des jambes de la vampire. Quand le bout de tissu fut retiré du bout de ses délicats pieds, Vanillia donna un dernier et langoureux baisers sur celui-ci, profitant une dernière fois de son toucher, et de son odeur.

Caressant sa jambe, la vampire donna un énième baiser sur son pieds droit, puis redescendit ainsi tout le long de jambe, jusqu'à revenir à son point de départ. "Tu n'en as pas finis avec moi, trésor …" Susurra-t-elle alors. Elle ne tarda d'avantage avant de déposer de nouveau ses lèvres sur cette intimité, cette fois-ci à même la peau. Sa langue commença son labeur, venant se lover tendrement contre ses chairs et plus précisément, contre son bouton intime.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 13 janvier 2015, 01:49:28
Les deux vampires étaient toutes les deux d’indéniables expertes du sexe. Des femmes talentueuses et redoutables, qui se taquinaient mutuellement. L’idée n’était même pas d’essayer d’en frustrer une pour prendre l’ascendant psychologique dessus, mais simplement de jouer ensemble… De jouer à faire des préparatifs en vue d’un final flamboyant et explosif. Oh oui, elles allaient s’amuser ensemble toute la nuit ! Rien qu’à cette idée, Mélinda peinait à dissimuler son excitation. Avec ses doigts de pied, elle avait senti la verge de Vanillia, tendue et assoiffée. Cette femme était une Futanari, ce que Mélinda avait su par le biais de ses esclaves, et qui était un autre moyen de l’inciter à venir la voir. Mélinda avait toujours aimé les Futa’… Bien que le « toujours » soit peut-être un peu trompeur. En effet, avant d’être la femme qu’elle était aujourd’hui, Mélinda s’était vue greffer de force un phallus, et avait longtemps détesté ce membre, hésitant même à le couper… Avant de finir par le garder, et par s’en servir maintenant avec une certaine fierté et un plaisir renouvelé à chaque fois. Ici, elle comptait laisser sa verge au chaud, dans son corps… Sauf si les circonstances en disaient autrement. Elle avait senti la virilité de Vanillia, un chibre bien tendu, ce qui l’avait fait malicieusement sourire, le plaisir et l’impatience l’amenant à s’humecter et à se mordiller les lèvres. Elle sentit Vanillai remonter vers sa culotte, et elle continua ensuite à la faire rêver.

« Haaaa… Petite catin… ! »

La culotte de Mélinda était effectivement très humide, épousant ainsi la forme de sa moule, ses lèvres intimes apparaissant en transparence dessus. La vampire avait opté pour une culotte blanche et fine, presque transparente, et elle frissonna en sentant la main de Vanillia masser sa culotte, frottant au passage son intimité. Elle gémit et soupira, se mordillant à nouveau les lèvres, ses mains se serrant contre le rebord du bureau, ses griffes se plantant dedans. Aaaah, mais qu’elle était douée ! Quelle vicieuse, quelle créature admirable ! Plus Mélinda la côtoyait, et plus elle était ravie des attentions de cette femme, de son indéniable et indiscutable talent ! La vampire caressait et empoignait ses cheveux, gémissant et soupirant, puis la bouche de Vanillia remplaça sa main, et sa langue partit à l’assaut de son sexe. Gémissant et couinant, Mélinda la laissait faire, se tortillant légèrement sur le bureau. Elle sentait les lèvres pulpeuses de Vanillia tirer sur sa culotte, ses dents la mordant pour tirer en arrière, amenant le tissu de la culotte à se serrer davantage contre les belles fesses bien rondes de la vampire. Vanillia aimait ça, et Mélinda le sentait. La femme ne se forçait nullement en attaquant ainsi sa culotte, et, en la voyant à l’œuvre, Mélinda ressentait, outre les naturels et évidents frissons de plaisir, autre chose… Quelque chose de plus profond, de plus… De plus bizarre, qu’elle n’arrivait pas à identifier, mais qui enserrait son cœur. Vanillia était comme elle, et Mélinda, fugacement, repensa à tous ces contes sur l’amour… Ceux qui disaient que, avant d’être deux, les êtres humains n’étaient qu’un seul être, puis qu’ils avaient été séparés en deux parties, les sexes illustrant ça. L’amour, alors, consistait à rechercher son autre partie. C’était un conte romantique, auquel Mélinda n’avait jamais cru… Mais c’était parce qu’elle n’avait jamais vu quelqu’un comme Vanillia. Son souffle était court, sa respiration emballée, ses tremblements forts… Elle n’avait jamais ressenti ça auparavant, et elle peinait à se contrôler, à se calmer.

Les minutes défilèrent à toute allure, laissant Mélinda en pleine extase. Vanillia, plutôt que de retirer la culotte avec ses mains, préféra user de son habile langue, de ses dents magnifiques, et elle tira dessus, faisant glisser sa culotte le long de se sjambes. Un frottement magnifique, qui, encore une fois, fit soupirer Mélinda. D’une main, elle se malaxait l’un des seins,a find ‘apaiser la vive tension qui était née à hauteur de cette portion de son corps.

« Hmmmm… »

Vanillia était en train de la rendre folle, et, pour ponctuer le tout, elle recommence ensuite à embrasser ses pieds. Elle avait excité Mélinda, l’avait chauffé, et la vampire sentait ses instincts et ses sens reprendre le contrôle sur ce qu’elle était. Une formidable soirée s’annonçait, une séance de sexe qui risquait de renvoyer aux oubliettes tout ce que Mélinda avait pu faire jusqu’à présent. Elle en était maintenant intimement convaincue : cette femme était un don venu du ciel.

« Tu n'en as pas fini avec moi, trésor… » glissa-t-elle alors, d’une voix faite de velours et d’incitations sexuelles.

Mélinda lui répondit en souriant, et sentit ensuite la langue de la femme partir à l’assaut don son sexe. Elle déposa un baiser sur son intimité, et alla chercher son clitoris. La vampire poussa un nouveau soupir, un long gémissement, et sa main retourna se crisper sur les cheveux de la femme. Vanillia cherchait directement son bouton d’amour, et le fluide intime de Mélinda était en train de se répandre dans la bouche de cette dernière. Son autre main, elle, allait jouer avec les cheveux de la vampire. Malheureusement, la vampire avait d’autres projets en tête… Mais il était particulièrement difficile de se défaire de l’étreinte de Vanillia, de repousser cette langue magique. Les joues rouges, Mélinda gesticulait faiblement sur place, mais elle finit par tirer en arrière la tête de Vanillia.

« Hummmm… Haaaa… À mon tour… À mon tour de jouer, Vanillia ! »

En sueur, Mélinda repoussa alors Vanillia, et la força à se coucher sur le sol, en posant un pied sur son front, appuyant dessus pour l’amener à se coucher sur le dos. Un sourire sur le coin des lèvres, Mélinda sauta ensuite sur le sol, puis agrippa un élégant fauteuil, et le poussa à côté de la vampire. Qu’avait-elle derrière la tête ? La vampire observait cette belle verge en érection, et elle s’assit donc sur le fauteuil, ses pieds se posant alors sur le bassin et sur la cuisse de la femme.

« Tu m’as bien excité, petite coquine… Tu croyais que tu allais pouvoir me manipuler ainsi, ma beauté ? Jouer avec moi et me faire jouir comme si j’étais une vulgaire catin ? »

Elle lui sourit, et déplaça alors ses pieds, les approchant de la verge de la femme… Puis elle entreprit de la masturber avec. Son pied gauche caressait la verge, d’avant en arrière, tandis que sa jambe droite servait à coincer ce sexe, glissant également sur sa peau. Mélinda se concentrait sur sa tâche, qui était très difficile, car elle exigeait de bien savoir se concentrer. Néanmoins, l’excitation sexuelle qu’elle ressentait, loin de l’amener à vouloir brûler les étapes, l’amenait au contraire à savourer pleinement ce moment, à apprécier le contact de la verge de la femme contre ses doigts de pied, à frissonner en sentant cette peau douce et chaude. Elle glissait d’avant en arrière, et parfois, elle joignait ses deux pieds, les serrant fort. Ou alors, elle les relevait, et les joignait à hauteur de ses talons, écrabouillant ainsi le sexe de la femme, pour retourner ensuite le masturber.

Patiente et appliquée, Mélinda ne négligeait nullement sa belle Vanillia, la malmenant avec un plaisir évident et extrêmement jouissif.

« Hum-hum… Quelle belle queue… Tu n’es pas la seule à savoir jouer de tes pieds… Je pourrais te faire jouir comme ça… »

C’était quelque chose qu’elle adorait faire quand elle couchait avec des hommes, notamment Bran, son grand-frère. Lentement, elle remuait ses pieds, descendant jusqu’aux testicules de la femme, qu’elle soupesait et « grattait » avec ses ongles, avant de remonter le long de cette belle verge.

Un juste retour des choses, après le traitement onctueux et ô combien jouissif que Mélinda avait enduré tantôt…
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le mardi 20 janvier 2015, 22:52:00
Vanillia était littéralement en train de se régaler de cette intimité. Sa bouche se faisait généreusement enduire du fluide intime de Mélinda, ce qui n'était pas pour déplaire à la vampire, voir tout le contraire. À ses yeux, elle était parti pour faire jouir une première fois sa muse, lui offrir son premier orgasme de la soirée. Cela aurait été tellement excitant et gratifiant, que Vanillia en frissonnait à l'avance. Sa langue, experte et féline, virevoltait toute autour de ce bouton intime, alternant entre coups de langues et gourmandes succions. La jeune femme ronronnait de plaisir, et avait même fermé les yeux pour savourer complètement l'instant. Autant que sa bouche se faisait largement enduire de cette mouille, autant elle en couvrait tout autant la féminité de Mélinda de sa propre salive, sans retenues. Le mélange avait de quoi éveiller ses sens les plus pervers, et c'était ce qui était en train de se produire. Plus elle honorait la féminité de la vampire, plus sa verge tirait et gonflait. Il fallait le dire, depuis le début de leurs chaleureux ébats elle n'avait pas encore servi … Nul doute que Vanillia allait bientôt jouir si elle continuait à s'en réserver autant. Et cela allait être des plus explosifs, au sens propre du terme.

Et alors qu'elle continuait son labeur, elle entendit la douce et coquine voix de la vampire, déclarant que c'était désormais à son tour de s'amuser. Rouvrant dès lors les yeux, Vanillia fut un peu prise de cours quand elle sentit le délicat pieds de sa partenaire la pousser légèrement, pour la forcer à s'allonger au sol. Les yeux légèrement incrédule, le goût exquis de sa féminité encore en bouche, la noble ne comprit pas de suite ce qui était en train de se tramer. Mais, en partenaire docile et joueuse, elle se laissa totalement faire, portée par les idées de Mélinda qui en aucun cas ne pourraient la décevoir. Elle ramena à elle un fauteuil avant d'y prendre assise, puis posa ses pieds sur la jambe et le bassin de la maîtresse des lieux. Ceci devenait intéressant, très intéressant même … Se mordant les lèvres, Vanillia resta muette, attendant de voir quel genre de traitement sa belle allait lui offrir, ou lui faire subir … Le deuxième ayant la même signification que le premier, ce soir-là. *Si tu savais Mélinda … C'est plutôt moi qui me considère comme la tienne … Sauf que j'en suis éperdument fière …* Pensa-t-elle instinctivement quand la vampire parla.

Mais quand elle le sentit, sur sa verge, faisant alors tout pour la masturber de force, Vanillia ne pu retenir un hoquet de plaisir. "HMMM … TU-TU … A-AHH" gémissait-elle ainsi, de plus forte des manières. Elle venait de s'attaquer à son point le plus sensible, c'était compréhensible. D'autant plus que son chibre était au bord de l'éclat, et la moindre attention avait donc l'effet d'une bombe. La noble commençait à se tortiller au sol, tentant de résister, mais succombant clairement et rapidement à cette puissante vague qui l'envahissait. Son intimité fièrement tendue, prise en étau entre les pieds de Mélinda … C'était trop pour elle. Quand il fut écrabouillé, la propriétaire lâcha un plus qu'un gémissement, mais un vrai cri propulsé par l'intense plaisir qui la tenaillait et la faisait vibrer de tout son être. "Mél-Mélinda … AaaAaAAaaHH … Je-Je t'en prie … FaIs-fAis moI jOUir ! COnti-nUEs, c'e-c'Est … HMMMM !" Peinait-elle à dire, la voix complètement hachée. La pauvre était au bord d'imploser, toute cette retenue qu'elle avait faite durant les dernières minutes l'avait rendue complètement impuissante face à toute tentative de résistance.

Et le coup de massue arriva alors. Sa verge commençait déjà à laisser un mince filet de pré semence sortir, tandis que Mélinda, en bonne bourreau, décida de venir titiller ses douces et totalement imberbes bourses. Elle les soupesait, n'hésitant pas à leur faire un traitement à part, avant de remonter sur sa verge. Les secondes passèrent, formant alors de minces minutes pendant lesquelles Vanillia était en train de subir une torture tellement jouissive et puissante, qu'elle finit par lâcher complètement prise au moment d'une grande et violente pression sur son bout rosé. "HIIIAAAAAAA" Poussait-elle alors au moment où son chibre se mit à s'affoler et balbutier entre les doux pieds de Mélinda, étant littéralement en éruption. Son foutre giclait, la pression était si forte qu'elle entacha autant la propriétaire que les étaux de chair et de sang de la convive. Pendant une dizaine de seconde, Vanillia jouit comme jamais auparavant, et cela se voyait partout sur elle. Son visage, aussi rouge qu'une tomate et sensiblement exhaussé par le puissant orgasme qu'elle venait d'avoir, laissait clairement entrevoir l'intensité de celui-ci. Son liquide intime s'était expulsé sur tout son bassin, sur le sol entre ses jambes et à coté, et sur les pieds de Mélinda. Elle n'avait pas pu se contrôler … Elle espérait que sa belle n'y verrait aucun mal.

"Haan … Mélinda … Je suis une novice à ce genre de boulot comparée à toi …" Dit-elle tout en reprenant son souffle. "Mais à cause de moi, tes pieds sont tout tâchés … Je vais arranger ça." Dit-elle d'une voix malicieuse, alors qu'elle se saisit doucement de l'un des pieds de Mélinda, l’approchant alors de sa délicieuse bouche. Sa langue léchouilla timidement sa plante, commençant alors son labeur, comme elle l'avait dit. Cette délicieuse sucrerie qu'était le pieds de Mélinda, Vanillia en raffolerait à vie. Ronronnant, elle porta son second sur sa poitrine, l'invitant à jouer avec comme bon lui semblerait … Après tout, tant que Vanillia serait couchée au sol, elle serait totalement soumise à sa magnifique amie …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 24 janvier 2015, 02:13:04
Mélinda et Vanillia... Deux petites vampires qui avaient plus en commun que ce qu’on pouvait penser. Bien plus. Elles étaient toutes les deux d’une grande beauté, de cette beauté particulière qui semblait témoigner d’une certaine forme d’innocence. Une beauté qui n’était pas intimidante, mais rassurante, qui suscitait la confiance, une sorte de beauté angélique et virginale... Et, sous cette beauté, sous cette attirance pour les robes, leurs mentalités ne s’opposaient pas, mais se rejoignaient. Les mêmes fantasmes s’exprimaient, et Mélinda avait le sentiment, sur ce point, d’être en légère position de supériorité par rapport à Vanillia. Une impression qui ne tenait à rien, juste au fait que, là où Vanillia était vigneronne, Mélinda, elle, était responsable active d’un harem de luxe. En somme, là où Vanillia n’avait peut-être pas eu la chance de développer tous ses fantasmes et tous ses désirs, Mélinda, elle, avait fait du harem entier l’expression même de ses plaisirs, de ses fantasmes, et de ses envies sexuelles. C’était bien le harem Warren, car la présence de Mélinda ne se résumait pas qu’à la signature sur les chèques, ou à une plaque dorée à l’entrée. Non, c’était toute sa personnalité qui suintait à travers les murs, une personnalité qu’elle offrait au reste de la ville, et que la ville avait su prendre... Et que Vanillia prenait, maintenant... Mais elle le prenait si bien que, plus le temps passait, et plus Mélinda avait l’intime conviction d’avoir enfin trouvé la perle rare... Cette femme qu’elle cherchait depuis des années, et face à qui elle n’avait trouvé que des déceptions, à tel point qu’elle avait fini par se dire qu’elle était trop sévère, qu’elle plaçait la barre trop haut. Elle n’avait jamais eu une première impression aussi forte, jamais eu un premier ressenti qui soit aussi positif. Vanillia était en train de crever tous les plafonds, d’élever toutes les courbes vers les strates atmosphériques du graphique.

Les deux pieds de Mélinda jouaient sur son membre, car, dans l’esprit de Mélinda, c’était exactement ce qu’elle était en train de faire : un jeu. Elle jouait, tout simplement. La vampire s’amusait avec Vanillia, et, si elle sentait du stress, il n’était pas lié au fait de tomber sur quelqu’un qui la repousserait, mais lié au fait de ne pas être à la hauteur des espérances de Vanillia... Elle s’appliquait avec ses pieds, répétant et améliorant à chaque fois ce qu’elle faisait sur certains clients ayant envie de se faire soumettre de la plus belle des manières, ou sur son grand-frère, Bran, qui, en ce domaine, était un excellent cobaye. Ses pieds glissaient amoureusement le long de cette belle verge tendue, caressant ce chibre. Il était dur, gros, tendre, chaud, pulsait entre ses doigts de pied. Elle remontait le long de ce sexe, avant de descendre, frottant avec l’extrémité de ses doigts cette peau chaude et replète, pour venir titiller ses testicules, glissant sur cette partie de son corps, appuyant dessus. La langue de Mélinda passait parfois sur ses lèvres, en signe de concentration intense, et, ainsi, inlassablement, elle jouait, jouait, et jouait encore.

« Mmmhmmm... »

Bercée par les soupirs et les couinements de Vanillia, Mélinda la laissait exprimer sa joie, remuant sur son sexe, chacun des magnifiques soupirs de la belle vampire étant un signe supplémentaire. Ses pieds glissaient, ondulaient, jouaient, remuaient, caressaient, et frottaient. Elle pressait parfois l’extrémité de son sexe entre ses talons, juste pour la faire souffrir un peu, et avait de plus en plus tendance à s’appuyer sur le fauteuil uniquement avec ses mains, afin que ses jambes aient plus d’amplitude. Qui aurait pu croire que de simples pieds puissent être aussi excitants ? Ce n’était pas que du talent qui s’exprimait ici, c’était aussi un fantasme, une vision particulière des rapports sexuels... Particulière et merveilleuse. Oh, comme Vanillia était belle ! La voir ainsi, le visage tout rouge, le plaisir la traversant et l’inondant... Une lueur espiègle traversait alors les yeux de Mélinda, qui s’en mordit les lèvres de plaisir, retenant difficilement de longues vibrations de plaisir sur son corps, des frissonnements qui la firent brièvement claquer des dents.

S’appliquant avec un soin méticuleux, avec une geste qui trahissait sa plus sincère affection, elle la masturbait. Ses ongles frottaient cette verge, caressaient ses anfractuosités, ses bouts de peau encore un peu pliés. Plus le temps passait, et plus le sexe de Vanillia se tendait et devenait lisse. Bientôt, Mélinda ne pouvait que le « gratter » avec ses ongles, avant de le caresser avec le flanc de son pied. Aurait-elle voulu être plus sévère qu’elle aurait écrabouillé sous ce sexe sous la plante de son pied, mais, ici, elle ne voulait qu’être douce. Il n’y avait pour Vanillia qu’un profond amour naissant qui était en train de s’exprimer... Et, dans cet amour comme en tant d’autres, il n’était jamais aussi pur, jamais aussi parfait, jamais aussi accompli, qu’en ces débuts. Il était alors comme un nouveau-né qui venait d’ouvrir un cil, et pour lequel on ne pouvait ressentir autre chose qu’un amour sans bornes, un amour qui vous consumait, et qu’on ne retrouverait plus jamais ensuite. Mélinda ne transmettait que de l’amour, un amour chaleureux, sincère, plein, entier, mais aussi coquin, malicieux, pervers, sournois... Un amour vampirique.

Se mordillant encore les lèvres, chose que Mélinda adorait clairement faire, elle continua à masturber la belle Vanillia... Jusqu’à sentir le point d’orgue venir. Elle le sentait, que ce soit dans la manière dont sa belle amante se tortillait sur le sol, ou dont sa queue tendue ne semblait aspirée qu’à jouir. Elle le sentait, tout simplement, parce que le sexe était sa spécialité, son métier, son expérience. Elle frotta un peu plus vite, pressa un peu plus fort, et le jus jaillit, formant comme une délicieuse fontaine. Le sperme s’envola en suivant la direction de la verge. Il heurta le rebord du lit, il éclaboussa les seins de Vanillia, il fila en hauteur, heurtant un lustre, avant de redescendre, tombant sur le bassin de Vanillia, le sol, le tapis. Il fila vers les pieds de Mélinda, les éclaboussant généreusement, car, tandis que Vanillia jouissait, Mélinda continuait à la branler, à remuer ses deux pieds, à gauche et à droite de son sexe, appuyant dessus, balançant le jus dans tous les sens. Ledit jus alla aussi éclabousser la commode sur laquelle, tantôt, Mélinda s’était assise. Un bel orgasme, entrecoupé de soupirs, arbitré par le sourire vorace et le regard mielleux de Mélinda.

Vanillia éjacula pendant de nombreuses secondes, avant de lentement se calmer. Son sang circulait dans ses veines avec une telle vitesse qu’elle en était toute rouge, et que Mélinda avait une envie folle de la mordre... Mais, si elle le faisait, Vanillia serait épuisée.

« Haan … Mélinda … Je suis une novice à ce genre de boulot comparée à toi... Mais à cause de moi, tes pieds sont tout tâchés … Je vais arranger ça. »

Mélinda n’eut pas le temps de dire ou de faire quoi que ce soit que, déjà, tout en restant allongée, Vanillia avait attrapé l’un de ses pieds, et s’empressait de le suçoter. Il est vrai que ses pieds n’étaient plus très propres. Le sperme dégoulinait sur eux, et il fallait bien les nettoyer... Ce que Vanillia entreprit de faire en les suçotant tendrement et chaleureusement. Sa langue remuait sur ses doigts de pied, les suçotant et les léchant, tendrement et délicieusement.

« Mhmmm... Va-Vanillia, tu... Tu es terrible... »

Soupirant de plaisir, Mélinda se déplaça rapidement, et posa son autre pied à côté de la femme, afin de se redresser. Elle y allait lentement, se livrant à un travail d’équilibriste, mais elle savait y faire. S’écartant du dossier, se servant de son pied libre comme gouvernail, elle se posta au-dessus de Vanillia, s’appuyant avec un seul pied... Et avec l’autre. En effet, Vanillia léchait ses doigts de pied, mais rien n’interdisait à la vampire de poser la plante de son pied sur son menton. C’est ce qu’elle entreprit de faire, lentement, et prudemment... Et, tandis que Vanillia léchait et suçait, elle-même aventura ses doigts dans son intimité, et se masturba... Juste au-dessus de Vanillia.

Des gouttes de cyprine tombèrent ainsi sur les seins et sur le visage de son amante vampirique, Mélinda oscillant d’avant en arrière.

« Mmhmm-hhummmm... Haaaaa... Vanillia, hmmm... »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 08 février 2015, 14:46:37
On ne pouvait parfaire d'avantage cette situation. Ou du moins, pour des préliminaires, on ne pouvait mieux faire. Vanillia venait d'avoir son premier orgasme de la soirée, elle était toute essoufflée après un tel exercice. Essoufflée, mais pas épuisée. Et bien au contraire elle salivait déjà à l'idée de poursuivre cette folle soirée dans les bras de Mélinda, car tout ceci n'avait fait que la faire envie, bien que celle-ci était déjà là de base. La vampire était maintenant suspendue au dessus d'elle, et d'une manière très habile, se maintenait en équilibre malgré qu'un de ses délicieux pieds était retenu captif entre les lèvres de Vanillia. Celle-ci s'adonnait à cette petite gourmandise, suçotant ses doigts délicatement, caressant de ses mains le dos, et étant très tentée d'aller jusqu'à lécher à nouveau sa plante. Mais si elle faisait ça, elle ferait perdre l'équilibre à son amante. Et comme si ce n'était déjà pas assez, cette dernière commença dès lors à se faire plaisir, venant taquiner sa propre féminité qui laissa alors couler quelques magnifiques gouttes de son nectar intime. Ils tombèrent tantôt sur la généreuse poitrine de la noble, tantôt sur son visage.

"Hmm …" Gémissait donc Vanillia, qui était presque devenue addictive à ce qu'elle avait en bouche à ce moment. Jamais elle n'avait autant prit de plaisir à lécher un pieds. Même si cela venait à la base d'un fétichisme prononcée, elle n'avait eut que peu d'amante chez qui ce plaisir était aussi intense. Certainement parce que Mélinda partageait en tout points ce fétiche, et que cela décuplait alors le plaisir. Dans tout les cas, Vanillia était heureuse. Il fallait comprendre que, mis à part tout ce coté sexuel, pervers et vicieux de cette relation qu'elle entretenait avec Mélinda, il y avait quelque chose de plus noble qui se cachait derrière, et qui était la base de tout. Si la maîtresse des lieux avait invité cette jeune femme chez elle ce soir, ce n'était pas seulement pour lui faire l'amour de la plus tendre et acharnée des façons ; c'était pour lui montrer quelque chose au travers de ça. Pour lui montrer quelque chose qui était à la fois simple et compliquée, insignifiant et lourd de sens … Quelque chose de profond. Mélinda ne le savait peut-être pas encore, mais Vanillia, en son âme et conscience, malgré que ce soit une créature des plus vils et perverses de ce monde, était amoureuse. Pas d'un amour uniquement physique et sexuel, non … Un amour sincère, un amour de l'âme comme on pourrait le qualifier. Vanillia ressentait quelque chose de puissant envers Mélinda. Peut-être que cette dernière allait considérer que c'est trop sentimental pour elle, c'était la seule peur que possédait la vampire en réalité.

Mais seul le temps allait le dire, et ce qui était sur, c'était qu'à la fin de cette nuit elle aurait le fin mot de l'histoire. Ainsi, alors que Mélinda continuait de se faire plaisir, Vanillia de sa délicate main venait étaler sa cyprine sur toute sa poitrine, lentement, à mesure qu'elle léchait les doigts de pieds de sa tendre amante. Toutefois, vint le moment où elle désirait changer un peu les choses. Posant doucement sa main sur le dos de son pieds, elle pressa légèrement dessus pour faire comprendre à la vampire de le poser à terre. Une fois que cela fut fait, Vanillia l'observa d'un air coquin, se pourléchant les lèvres. "Tu as bien pris ta revanche, ma chérie … Reprenons là où on s'est arrêtée !" Affirma-t-elle alors. Elle avait bien vu comment Mélinda, en venant taquiner sa propre intimité, était en train de partir rapidement vers la jouissance. Ses gémissements, sa cyprine aussi délicieuse qu'odorante, son corps qui oscillait … Elle avait clairement besoin d'un petit coup de main, ou plutôt, d'un coup de langue. Sans préavis, Vanillia se mit à genoux et vint plaquer ses douces lèvres sur la féminité de Mélinda, recommençant dès lors le labeur qu'elle avait commencé avant qu'elle ne se retrouve à terre. Toutefois son objectif était différent cette fois-ci ; elle voulait faire jouir Mélinda comme celle-ci venait de le lui faire.

Ses mains vinrent s'enrouler autour des cuisses de sa muse, sa langue s’immisçait sans aucune pudeur à l'intérieur même de son temple sacré, venant goûter à la moindre parcelle de celui-ci. Il y avait une vraie vigueur, une vraie férocité dans sa façon de lécher de Mélinda comme elle le faisait. Sa bouche effectuait de fort succions, sa langue s'imprégnait puissamment de ses chairs et de son nectar intime. Quand elle manquait de souffle, elle se dégageait légèrement pour venir chercher son bouton d'amour, insistant férocement dessus. Ses doigts se crispèrent dans la généreuse chair enveloppant ses cuisses, à mesure qu'elle intensifiait encore plus ses coups de langues. À ce moment, le seule et unique souhait que possédait Vanillia était clair ; elle voulait que Mélinda jouisse, et qu'elle le fasse pleinement !
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 09 février 2015, 01:17:43
C’était comme si deux courants parallèles venaient de se rejoindre, deux affluents d’un même fleuve... Et, quand deux affluents se rencontraient, ils ne se séparaient pas, formant une seule ligne, un seul tracé... En ce moment, alors que Mélinda se masturbait au-dessus de la belle Vanillia, elle prenait pleinement conscience que Vanillia, clairement, n’était pas comme les autres... D’un point de vue sexuel et racial, certes, mais... Uniquement ? N’était-elle qu’une sex friend ? C’est ce qu’on pouvait très honnêtement se dire, vu qu’elles baisaient comme des hyènes en manque, mais... Il y avait quelque chose d’autre. Vaguement, la vampire en avait conscience, et, si, pour Vanillia, les choses étaient claires, pour Mélinda, c’était plus compliqué... La vampire avait du mal avec les sentiments amoureux, car elle avait déjà senti des déceptions amoureuses, et, même si Mélinda semblait intouchable, insensible, sa perversion et son goût pour le sexe n’étaient que des remparts, des murs destinés à la protéger de nouvelles déceptions sentimentales, comme ce qu’elle avait pu ressentir, jadis, avec cette professeur, Hitomi... Elle avait voulu en faire son amante vampirique, transformer cette humaine arrogante en vampire, et Hitomi avait refusé, crachant au visage de Mélinda une offre qu’aucun mortel censé ne pouvait refuser... Une malédiction, le vampirisme ? Pour Mélinda, c’était le plus précieux des dons, et c’était bien pour ça qu’elle n’entendait pas le confier à n’importe qui. Avec Vanillia, cette question ne se posait pas...

Il y avait quelque chose entre elles, un lien que Mélinda percevait, mais qu’elle se refusait à voir, qu’elle se refusait à admettre dans toutes ses branches, et dans tout son volume. C’était un lien trop fort et trop dangereux pour qu’elle l’accepte, et, pour l’heure, elle choisissait de se mentir en le dissimulant derrière le sexe et la soif sexuelle que Vanillia lui inspirait. Elle continuait délicatement à se masturber au-dessus d’elle, jouant avec ses pieds sur son corps, et la vampire finit par la repousser. Les fesses nues de Mélinda heurtèrent un meuble, et elle vit son hôte se redresser, mais pas pour se tenir debout. Son beau corps était brillant par endroit, là où la mouille de Mélinda avait atterri, et on pouvait voir, ici et là, des marques de pieds... Ce qui amena sur les lèvres raffinées de Mélinda un sourire malicieux.

*À la fin de cette nuit, je crois que nous aurons toutes les deux beaucoup de marques...*

Elle s’en amusait un peu... L’amour entre vampires était quelque chose d’intense et de profondément fusionnel. Vanillia resta à quatre pattes, et se rapprocha de Mélinda, qui comprit très rapidement ce qu’elle avait derrière la tête... Sans même que Vanillia ne s’exprime, elle sut qu’elle comptait la faire jouir. Avec ses doigts dégoulinants de cyprine, et ses cuisses trempées, la fleur de Mélinda ne demandait qu’à libérer ses belles pétales. Un spectacle délicieux, n’est-il pas ? Elle léchait ses propres doigts, ou se touchait les seins, laissant ainsi des traînées de cyprine, tout en satisfaisant la tension vive qui s’exerçait à hauteur de sa poitrine. Ses tétons étaient lourds et tendus, ne demandant qu’à se faire presser et caresser.

Vanillia se rua sur ses cuisses, enroulant ses bras autour de sa taille, et sa bouche filant vers son intimité, comme si elle était aimantée par cette dernière.

« Hunnn... ! »

Mélinda se pinça les lèvres, basculant sa tête en arrière, et sa main empoigna les cheveux de Vanillia, les serrant et les caressant... Avant de les tirer et de les serrer plus fermement quand sa langue s’enfonça en elle, et alla s’exciter autour de son clitoris, appuyant sur le bourgeon, fort, fort, fort...

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! Va-Vanillia, huuuummmmmmmmmmmmm... !! »

Pas de doute, Vanillia ne jouait plus, elle voulait faire jouir sa belle partenaire, celle qu’elle appelait « chérie », et dans la bouche de qui ce mot n’avait jamais été aussi vrai... Oh oui, oui, oui, elle ne pouvait plus le nier, maintenant ; sa chérie, oui, parfaitement ! Le plaisir montait, comme un raz-de-marée, comme une super-tornade qui balaierait absolument tout, ne laissant derrière elle qu’une vive lumière blanche éclatante. Tête relevée, Mélinda haletait et gémissait, hurlait et soupirait, ses mains se crispant sur la chevelure de Vanillia, arrachant parfois, bien involontairement, plusieurs mèches de cheveux. C’était une conséquence du plaisir, ce plaisir névralgique et violent qui s’instillait dans son corps, remontait le long de ses veines, et la dominait totalement. Elle ne pouvait pas lutter contre ce dernier, simplement s’accrocher sur les bords du navire, et se laisser porter... Et, tandis qu’elle se laissait porter, elle acquérait en elle l’intime conviction que le lien entre elle et Vanillia était unique... Fort, fort !

« Va-Va... HAAAAAAAAAAAAAAANNNN !! »

L’orgasme fusa alors, avec la puissance d’un coup de tonnerre. Mélinda arque-bouta son corps, sa salive dégoulina de son menton, ses griffes caressèrent le cuir chevelu de Vanillia, et son corps fonça en avant, se dandinant d’avant en arrière, comme si un démon joueur venait d’en prendre possession. Tout son corps se dandina, ses muscles s’excitèrent... Explosion de joie, explosion de sens, explosion de tout ce qui a jamais explosé et de tout ce qui explosera jamais... La petite mort, voilà comment on appelait ce moment blanc, immaculé, éphémère et éternel, pendant lequel tout s’abandonnait, tout se fracassait, et où plus rien ne subsistait. Un bref moment, infime, où le corps humain s’aliénait totalement, où on caressait du bout des doigts la cime des Anges. Une seconde qui passait en un battement de cils, mais qu’on attendait avec l’impatience du plus grand des alcooliques devant sa boisson matinale. Le plaisir éclata, fulgurant, si violent qu’on ne pouvait même plus le qualifier de « plaisir », juste de... Séquence.

Le plaisir diminua progressivement, et Mélinda retrouva le contrôle d’elle-même, soufflant et inspirant longuement.

« Hummm... Hummmmm... Oh, Vanillia... Tu... Haaaa... Tu vas finir par me rendre folle, mon amour... »

Ce mot était sorti spontanément, sans même qu’elle n’y pense... Un lapsus, tout simplement.

Révélateur.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 15 février 2015, 01:55:04
Quel délice qu'était ce subtile mélange entre donner du plaisir, et récolter les fruits qui en résulte. L'une des facettes des sentiments que Vanillia portait à l'égard de Mélinda était ce détail. Aussi surprenant que cela pouvait paraître, la vampire se sentait satisfaite au simple fait que sa belle ai prit du plaisir grâce à elle. C'était comme une récompense, la gratification ultime que de savoir que sa moitié avait réellement prit son pieds grâce à ses talents. On imagine sans mal que Vanillia ai ressentie tout ceci alors qu'elle honorait vigoureusement la féminité de Mélinda, l'explorant sous toutes ses coutures, goûtant à sa saveur. Et qu'elle ne fut pas un magnifique final quand la vampire gémissait fortement, peinait à prononcer le nom de celle qui était en train de lui faire subir tout ceci. Puis, au bout d'un moment, le point de non retour sonna. L'orgasme pointa, et tel un violent coup de fouet, sembla affecter le moindre nerf de Mélinda qui esclaffa dans un énième cri animé par le seul et unique plaisir qu'elle ressentait à ce moment. La récompense ultime pour la noble qui sourit dès lors, retirant doucement ses lèvres de l'intimité brûlante et exténuée de sa muse.

Et ce fut à ce moment qu'elle entendit ce mot. Ce mot qui avait été dit au bout d'une phrase, sans doute inconsciemment et dans la foulée, mais qui eut l'effet d'une véritable détonation chez Vanillia. Sans qu'elle ne puisse rien faire, rien contrôler, son cœur s'était brièvement emballé à l'entente de ceci, puis s'était calmé. C'était si agréable à entendre, surtout de la part de cette bouche qu'était celle de Mélinda qui, rappelons-le, n'était pas n'importe qui aux yeux de Vanillia. Si elle s'écoutait, si elle se laissait complètement emportée par son corps et son cœur, elle lui sauterait immédiatement au cou et la couvrirait de mille et un baiser en lui répétant en boucle qu'elle l'aime. Mais, ce n'était pas digne de Mélinda, faire ceci serait trop soft, pas assez hargneux et dans la droite ligne de ce que désirait la propriétaire de harem. Ainsi, à l'entente de ce mot, Vanillia se contenta d'afficher un large sourire, transpirant la satisfaction. "Ce n'est que juste retour des choses." Répliqua-t-elle de sa petite voix taquine.

Vanillia, attendant que sa chérie reprenne un peu son souffle, avait blottie sa joue contre l'extrémité basse de son ventre, et avait complètement enserré la vampire de par ses bras. Attendant quelques instants, elle finit par relever sa tête. Elle remonta progressivement, donnant de manière ponctuel un petit baiser chaleureux par ci et là, jusqu'à ce qu'elle arrive au niveau du cou de Mélinda. La tentation de mordre était intense et vive, mais le faire reviendrait à épuiser Mélinda, ce qui n'était pas dans ses plans. Ainsi, à la place, elle donna un grand et langoureux baiser dessus, chatouillant sa peau avec ses douces lèvres. "Je ne m'en lasserait jamais je crois …" Lâcha-t-elle alors qu'elle remonta finalement au niveau de son visage. Prenant en tenaille les joues de la vampire, Vanillia planta son regard dans le sien, contemplant ses merveilleuses émeraudes lui servant d’œils, avant de déposer un baiser qui fut, sans l'ombre d'un doute, le plus doux et le plus chargé en sentiments qu'elle n'ai jamais donné à quelqu'un dans toute sa vie. Pressant son corps passionnément contre le sien, ce baiser ne provenait pas d'une envie charnelle, ni d'un besoin viscéral. Il provenait d'une source plus noble. C'était la réponse au mot que Mélinda avait dit plus tôt. En d'autres termes, ce doux baiser venait du cœur de Vanillia, et non de son appétit sexuel. Elle adorait les petits moments de douceur après un tel effort, même si c'était pour repartir de plus belle après.

Mais rapidement, l'envie pour le corps de cette magnifique femme revint au galop. Clôturant l'échange buccal, elle regarda à nouveau Mélinda, sans dire un mot, puis lui attrapa la main avec la sienne. Elle recula de quelques pas, l'incitant à la suivre en la tenant toujours par la main, jusqu'à ce qu'elle se faufila sur le grand lit resté jusque là en retrait. Faire l'amour sur les meubles et au sol était peut-être très excitant, mais Vanillia en bonne noble habituée au confort, préférait parfois la praticité qu'offrait un bon lit. En attendant que Mélinda la rejoigne, elle adopta une posture qui ne prêtait à aucune autre interprétation que celle-ci ; elle voulait que Mélinda la prenne … Car même si jusqu'à présent elle n'en avait montré aucun signe, elle savait que la vampire possédait quelque chose en plus. Elle était comme elle, tout comme elle, même sur ce point qu'était l'anatomie … "Je veux la voir Mélinda … Aller, ne soit pas timide ma belle !" Dit-elle alors de vive voix. Elle espérait toutefois que Mélinda n'ai rien contre le fait d'emprunter la porte de derrière car, pour le rappeler, Vanillia ne possédait plus d'organe féminin à ce niveau-là.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 18 février 2015, 01:36:43
Cet orgasme avait été délicieux. Il n’y avait aucun autre mot plus simple et plus fort pour le décrire. Délicieux... Comme tout ce qui se passait ici. Qui aurait cru que Mélinda aurait éprouvé de telles choses ? Elle n’avait jamais ressenti une telle attirance envers quelqu’un d’autre... Sauf, peut-être, pour son frère, mais ce n’était pas la même chose. Vanillia se cramponnait à elle, enroulant ses bras autour de sa taille, posant sa tête contre son ventre, sa joue ressentant les battements pulmonaires de la vampire, son estomac qui remontait et qui redescendait. Une respiration lourde et profonde, un corps en sueur... Puis un autre corps qui se releva lentement. Mélinda n’avait même pas conscience de l’avoir appelé « mon amour », elle savait juste qu’elle avait exprimé son désir. Ce mot était sorti des tréfonds de son inconscient, exprimant ce qu’elle avait instinctivement ressenti dès qu’elle avait vu cette femme. Le coup de foudre ? Mélinda n’y avait jamais cru... Mais l’amour avait ses propres raisons, et se moquait bien qu’on croit en lui ou pas pour exister. Vanillia remonta le long du corps de Mélinda, déposa un baiser sur son cou, puis posa ses mains sur chacune des chaudes joues de Mélinda.

On disait que les vampires avaient la peau perpétuellement froide, parce qu’ils étaient des cadavres ambulants... C’était un fieffé mensonge, une réputation exagérée. En temps normal, leur peau était fraîche, mais, sous l’effet de la fatigue physique, de l’effort, comme n’importe qui, leur corps chauffait... Et la température interne de la vampire, en ce moment précis, était en train d’atteindre des sommets. Cette vampire, cette Vanillia, était terrible, et, quand ses deux mains se posèrent sur chacune de ses joues, Mélinda se pinça les lèvres, ferma les yeux pendant une ou deux secondes, sentant un long frisson qui traversait son corps de part en part... Puis elle les rouvrit, clignant à plusieurs reprises, et ses mains se posèrent sur les hanches de la femme, et elle l’embrassa à son tour. Un baiser où la langue ne fila pas, mais qui resta, pour autant, passionnel. Les ongles de Mélinda griffèrent légèrement la peau doucereuse et enchantée de son amante, et elle ne sentit pas tout de suite, contre ses cuisses, la verge de Vanillia... Tout ce qu’elle perçut, ce fut le goût de ses lèvres, le parfum naturel s’échappant de son corps, la douce sensation de ce corps serré contre le sien... Et, alors même qu’elle avait déjà eu un orgasme, Mélinda en sentit un autre pointer à vive allure, remuant dans tout son corps. Le désir, palpant, vibrant, remuait à nouveau, comme un démon insatiable, une force surnaturelle qui, encore une fois, s’emparait d’elle, afin de la dominer, de la maîtriser, et de la guider... Mais un désir différent, plus profond, plus sinueux.

Pendant de longues secondes, elles s’embrassèrent ainsi, sans rien dire, sans rien faire, sans aucun attouchement sexuel, sans aucune caresse sur leurs belles fesses respectives. Les deux terribles et sanguines beautés s’embrassaient tendrement, chaudement, Mélinda ayant fini par fermer les yeux, afin de mieux profiter de ce moment. Aucun parasite ne devait venir gêner le goût tendre des lèvres de Vanillia. Or, si elle avait ouvert les yeux, le simple fait de voir le nez de Vanillia, ses fossettes, ses sourcils, ou ses yeux, auraient atténué la qualité de sa bouche. Durant toute la durée de ce baiser, elle se pressa donc contre elle, savourant ses lèvres, jusqu’à ce que, lentement, le baiser ne finisse par se rompre. Un mince filet de salive relia brièvement leurs deux bouches, avant qu’un mouvement de langue ne le retire.

« Hummm... »

Mélinda sourit en sentant, contre ses cuisses, une verge bien tendue, et avait, sur les lèvres, le goût de Vanillia. Son amante s’écarta alors d’elle, manifestant, après cette courte pause, des désirs plus profonds. Mélinda, pensive, la regarda s’installer sur le lit, louchant sur ses fesses, sur ses mouvements de hanches, sur l’agréable balancier de ses fesses, ce mouvement de gauche à droite, sensuel, infiniment beau, éternellement sensuel.

*Que m’arrive-t-il ? Que sont ces frissons que je ressens ? Cette envie vorace, viscérale... Ai-je déjà ressenti quelque chose comme ça auparavant ?*

Elle se palpa les lèvres, et vit ensuite Vanillia se coucher à quatre pattes sur le lit, lui offrant la vue magnifique de sa croupe, avant de se permettre une invitation, qui sonnait comme une ultime provocation :

« Je veux la voir Mélinda … Allez, ne sois pas timide ma belle ! »

La « belle » sourit, et s’approcha un peu.

« Si tu veux... Je vois que tu es bien renseignée, ma puce... »

Les surnoms filaient si facilement, avec Vanillia... Mélinda se concentra un peu, puis ferma les yeux... Et poussa. Un grognement ténu s’échappa de ses lèvres quand elle sentit son intimité se faire écarteler... Puis l’appareil jaillit de son corps, recouvert de sa semence, un bel organe pulsant et vibrant. Elle rouvrit ensuite les yeux, et masturba lentement son sexe, sous les yeux de Vanillia, un sourire taquin sur le coin de sa bouche. Comme Vanillia, Mélinda était hermaphrodite, mais elle pouvait rétracter son sexe... C’était l’avantage qu’il y avait à se faire opérer par des Tekhanes, spécialisées dans les interventions de ce genre. Mélinda s’avança vers le lit, et écarta ensuite les jambes, laissant à Vanillia le soin d’observer son monceau de viande.

« J’espère qu’elle te plaît, ma chérie, car c’est avec ça que je vais défoncer ton beau petit cul... »

Ce petit cul qui la tentait de plus en plus. Laissant planer quelques secondes supplémentaires, elle s’approcha ensuite de sa croupe. Ses mouvements étaient frénétiques, ses mains tremblaient nerveusement. Quand elle sortait sa verge, elle sentait toute son envie être happée par cette queue, par ce membre turgescent et dominateur, égoïste et totalitaire. Il fallait réussir à retenir ses pulsions, et elle malaxa tendrement les délicates petites fesses de Vanillia, s’amusant parfois à les pincer, ses pouces glissant sur les plis de sa chair, afin de les écarter, écartant ainsi ses fesses, pour libérer l’accès à sa raie, et, surtout, à cette petite rondelle rose, cette délicate et timide porte, un trou étroit... Dans lequel elle s’empressa d’y nicher sa langue, la faisant remuer sur sa rondelle, avant de s’y enfoncer.

« Hummm... Hmmmm... »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 21 février 2015, 15:09:49
Taquine, irrévérente, impétueuse, voilà les mots qui qualifiaient à ce moment l'attitude de Mélinda. Celle-ci avait visiblement accéder à l'énième requête de Vanillia, à savoir qu'elle lui montre son second sexe. Si la noble avait fort bien aimé s'occuper de la fleur féminine de son amie, elle souhaitait à présent plus de vigueur dans leurs ébats. Et, quoi de mieux qu'une veineuse et pulsante verge pour combler ce besoin ? Elle mourrait d'ores et déjà d'impatience de sentir ce puissant mat de chair se fondre en elle, la torturer, la faire grimper à des cieux encore jamais atteint jusque là. "Je n'attendrai que ça, Mélinda …" Répondit-elle à l’annonce de la vampire concernant le sort qu'elle réservait à son postérieur. Cependant, Mélinda n'entendait pas passer directement au plat principal. Toujours plus insolente, ce qui était d'ailleurs l'un des éléments qui faisait que Vanillia l'adorait, la vampire masturba lentement son vit, puis vint alors apposer ses mains sur le petit et joufflue fessier de la noble. Celle-ci hoqueta, gémissant doucement aux petites caresses de son amante, commençant alors à resserrer légèrement ses doigts sur ses draps. Des petites attentions qui faisaient leur effet, c'était efficace !

Toutefois, la surprise vint quand elle sentit non pas un chibre, mais une langue s'immiscer dans en elle. Même si elle avait sentit ses deux fesses se faire écarter l'une de l'autre, elle pensait que c'était pour préparer … Et non pour y abriter au final la langue de Mélinda. Mais, cette sensation malicieuse la fit rapidement rendre toute chose et, se tortillant un peu sur place, lâcha des soupirs. "Coquine … J'adore …" Dit-elle alors, savourant ce qui était en train d'être fait à sa rondelle. Cette langue jouait en elle, la titillait, la taquinait. Et la sensation était si soudaine, et quelque part nouvelle, qu'elle en devenait unique et très plaisante. Le moment dura un peu, mais rapidement Vanillia en voulait plus ! Visiblement Mélinda ne voulait pas passer à l'acte de suite, mais cela, Vanillia finirait par la prendre de surprise s'il le fallait. Et elle savait d'ailleurs comment s'y prendre. Toutefois, elle avait une autre idée en tête, maintenant que sa belle avait sortie son grand atout.

Sans crier gare, Vanillia s'écarta un peu laisser sortir cette langue puis se retourna de la manière la plus féline qu'il soit. Son regard, planté dans celui de la vampire, était empli de malice et d'idées. Mélinda était sur ses genoux, ce qui laissait sa verge fièrement tendue à portée. Se redressant de la même façon, la vampire effectua un soudain geste qui consistait alors à échanger les places, puis à pousser Mélinda pour la forcer à allonger son dos. Son sexe, pointant désormais vers le ciel, Vanillia laissa afficher ses canines en un sourire carnassier. "Je ne voulais pas seulement la voir … Je la voulais, tout court !" Lâcha-t-elle d'un ton presque inquisiteur. Baissant lentement sa tête, elle vint lécher du bout de sa langue le gland rougeoyant de sa chérie, avant de l'enrouler complètement tout autour. Faisant durer ceci un petit moment, elle finit par ramener ses lèvres, puis déposa un irrévérent baiser sur l'extrémité, qui se multiplia dès lors sur tout le long de ce pieux de chair, jusqu'aux bourses.

"Hmm …" Gémissait-elle. L'envie de ce vit était immense, mais elle y allait progressivement. Après tout, dans pas longtemps elle allait se faire littéralement défoncer son fessier, mieux valait donc préparer l'outil. Et quoi de mieux qu'une intense et langoureuse fellation faite avec entrain, et amour, pour palier à ceci ? Ainsi, Vanillia finit par apposer ses lèvres de part et d'autre de ce gland brûlant, gobant celui-ci, l'honorant dans tout les sens avec sa langue et sa salive. L'effet de succion était voulu et même exagérer, pour donner encore plus de sensations. Rapidement, alors que la pression augmentait chez Vanillia, celle-ci ne pouvait retenir plus longtemps sa faim. Elle commença à coulisser le long de cette verge, la prenant ainsi sur toute sa longueur dans sa chaleureuse et douce bouche, effectuant sans ménagement des allers/retours, pour le moment lentement. Ses gémissements étaient étouffés, mais extrêmement intense. Vanillia goûtait à ce sexe tendue en prenant son temps, lentement, attisant la hargne qui devait monter en Mélinda à ce moment.

Alors qu'elle faisait son office, une de ses mains décida de jouer à l'exploratrice un peu trop curieuse et vint se glisser sur la sacoche assortie à ce puissant sexe. Elle la caressa, ponctuant ceci par quelques petits pincements. Toutefois la douceur commençait progressivement à laisser place à la voracité, au fur et à mesure que Vanillia accélérait ses vas et viens, tant en terme de vitesse que de force. De ce moment à la gorge profonde, il n'y avait qu'un pas … Qu'elle comptait bien franchir.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 24 février 2015, 01:35:21
La douceur était une chose agréable dans le sexe, et même indispensable... Mais Mélinda et Vanillia étaient deux vampires, deux êtres de passion, éprouvant l’une et l’autre un amour mutuel, fort et vibrant, qui ne demandait qu’à s’exprimer. Il était tout simplement impensable de se limiter à ça avec deux vampires. Mélinda aurait pu la sodomiser tout de suite, et elle savait que Vanillia aurait adoré ça... Mais elle voulait prendre son temps, d’où le fait de lécher tendrement son petit fondement, de titiller son bouton rose... Elle continua à le faire pendant quelques minutes, ses mains continuant à jouer sur ses fesses, et Vanillia, au bout d’un moment, se retourna, et la renversa. Mélinda un sourire sur les lèvres, malicieux et plein de perversion, la laissa faire.

Couchée sur le dos, son mât se dressait fièrement. Contrairement à d’autres hermaphrodites, qui n’avaient qu’une verge, Mélinda, elle, disposait du service intégral, ce qui faisait que, à chaque fois qu’elle le sortait, elle avait mal. La magie avait été utilisée sur son sexe pour permettre de la doter des deux sexes, et, si elle s’était initialement plainte de ce mécanisme, elle admettait maintenant totalement l’utilité d’avoir les deux sexes. Son membre était donc là, avec le vit et les testicules. Il lui manquait juste les poils pubiens, son sexe restant ainsi tout propre, et Vanillia s’empressait d’attaquer à son bout, à son vit, le suçant et l’embrassant. Elle avait laissé Vanillia la pousser, afin de l’allonger ainsi, victime de la soif de la jeune femme. Une soif bien compréhensible, vu que Vanillia en voulait plus, et qu’elle avait assurément une expérience sexuelle moindre que celle de Mélinda... Elle s’attaqua donc à son sexe, le léchant, le baisant, le titillant avec sa belle bouche pulpeuse et sanguine. Belle et magnifique, elle prenait tout son temps, afin d’exciter Mélinda, pour que cette dernière vienne joyeusement la sodomiser.

« Haaaa... »

Elle entendait Vanillia soupirer, elle sentait ses dents racler son sexe. Pudiquement, Vanillia finit par déposer un bout baiser sur l’extrémité de son membre, puis redescendit ainsi le long de sa hampe, la salive de cette dernière coulant dessus. Vanillia emmenait Mélinda, par la main, dans des vagues torrides de plaisir et de sexe intense. Dans sa tête, la vampire voyait le petit cul de Vanillia se faire déchirer par sa verge. Vanillia l’avait léché, embrassé, câliné, afin que son membre soit dur, tendu, qu’il se dresse douloureusement vers le plafond. Sur ce confortable lit, Mélinda en avait des suées, des plaques rouges se dessinant sur son corps, le désir sexuel atteignant des sommets massifs. Elle avait désormais envie de cette fille, à tout point de vue. Elle voulait se la taper, dans tous les sens possibles et inimaginables du terme. Des heures et des heures d’orgasme, de sexe débridé et sauvage, si ce n’est des jours entiers à la sodomiser, à se faire prendre par elle, à jouir, à la griffer, à la mordre, à jouir, à jouir, et à jouir encore.

Après les baisers, Vanillia recommença sa succion, plus approfondie, l’une de ses mains venant se déplacer pour flatter ses bourses.

« Haaaaaannnn... Vanillia, haaaaaa... !! »

L’une des mains de Mélinda se crispa sur les tendres cheveux verdâtres de la vampire, et elle se tortilla sur le lit, remuant d’avant en arrière, son sexe émettant des vibrations de plaisir et de désir, des envies de jouir dans cette belle bouche. Mélinda voyait maintenant la belle tête rondelette de Vanillia, cette petite bouille angélique, remuer d’avant en arrière, engloutissant son membre à chaque fois, l’enfonçant à chaque fois. Elle avait un talent indéniable, exquis, et ô combien jouissif... Mélinda en était totalement fan, incapable de la repousser, ses doigts glissant le long de ses cheveux, les caressant et les empoignant, de la sueur suintant des pores de la vampire.

Elle aurait pu jouir ainsi, elle le savait, car Vanillia était monstrueusement douée. Oui, oui, cette petite peste aurait pu la faire tirer son coup... Mais elle n’avait pas oublié ce qu’elle voulait. Elle n’avait pas oublié la vue de ce petit cul qu’elle avait bien lubrifié. Vanillia accélérait le rythme, suçant généreusement sa queue, et Mélinda finit, au bout de plusieurs minutes, plusieurs minutes d’un traitement aussi merveilleux que terrible, qui la rendait fébrile et docile, par tirer sur les cheveux de Vanillia. Ainsi, elle arracha à cette dernière sa sucette, et poussa Vanillia dans la foulée, la couchant sur le sol.

Avec son sexe tendu et couvert de salive, imprégné de l’odeur de Vanillia, Mélinda sentit immédiatement une terrible vague de frustration la saisir. Elle se redressa donc, aussi rapidement qu’elle avait balancé la femme sur le sol, et bondit à côté d’elle, déployant ses griffes, observant Vanillia de haut en bas, en posture d’agression.

« À quatre pattes, ma chérie... Vite ! Seul ton cul, pour l’heure, goûtera à ma crème ! »

Elle avait une envie phénoménale de la baiser, et elle aida elle-même Vanillia à se positionner, la retournant, et l’aidant à se redresser. Elle planta ensuite une main sur son cul, faisant perler un peu du nectar sanguin de Vanillia, et posa son autre main sur son sexe. Chaud, palpitant, assoiffé, son membre était comme une bombe prête à exploser en elle. Le simple fait de le toucher, afin de le rapprocher de sa cible, déclencha dans le corps de Mélinda d’intenses frissons, qui se manifestèrent par un long gémissement plaintif.

Son membre se posa contre la croupe de la femme, et Mélinda grogna.

« Sale peste, tu m’as mis dans un de ces états... »

Elle força le passage, et commença ainsi à proprement défoncer le cul de Vanillia, tâche qui serait d’autant plus intense que son membre était palpitant de vie, après le traitement que Vanillia lui avait fait subir. Elle rentra donc en elle, puis, posa son autre main sur la croupe de son amante vampirique... Et commença ensuite à donner des coups de reins.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le vendredi 27 février 2015, 23:55:21
Comment décrire la présente situation. Vanillia elle-même, au fond, ne savait pas ce qui se passait. Ou plutôt elle le savait, mais elle ne le réalisait pas. Il fallait dire que les choses étaient allées un peu vite, depuis le début de cette folle soirée. Mélinda dans son manoir, un verre de vin, un baiser et puis … Un déchaînement alliant passion et férocité. C'était justement ça qu'adorait Vanillia plus que tout. Cette bestialité dont les vampires pouvaient faire preuve parfois, et qui l'excitait au plus au point. Pour le moment, son amante ne s'était pas encore réellement montrée ainsi, mais elle comptait bien la faire craquer. D'une part, elle venait de lui offrir ce qui sera le théâtre d'un véritable labourage. Son cul, pour dire les choses tel qu'elles étaient. D'autre part, elle avait particulièrement insister sur cette fellation qu'elle était en train de lui prodiguer, afin d'attiser au maximum ce feu qui allait la consumer de l'intérieur. Ce brasier, cette hargne qui allait finalement l’amenait à ce que la cruelle Vanillia voulait ; se faire démolir l'arrière train. Petit fait intéressant, ce presque-fétichisme pour la sodomie était vague en Vanillia auparavant. Ce ne fut que depuis le jour où elle était devenue une hermaphrodite, et qu'elle avait par conséquent perdue son temple de la féminité, que ce coté-là s'était particulièrement développé.

Ainsi, la noble continuait de pomper ce membre pulsant dans sa bouche, au bord de l'éclatement. Elle y mettait toute sa force et sa vigueur, afin de stimuler au maximum la pauvre Mélinda qui gémissait toujours plus. Elle sentait les mains de sa chérie dans ses cheveux, se crispant dessus à mesure qu'elle savourait le traitement. Toutefois, Vanillia aussi commença un peu à se perdre dans les limbes enivrantes de cette fellation. Sucer cette verge était si excitant, si délicieux et si électrisant qu'elle en devenait progressivement accro. "Hmm …" Gémissait-elle tendrement à chaque va et viens de sa tête. Oh oui, elle adorait ce qu'elle était en train de faire. Peut-être que ce niveau de plaisir était particulièrement élevé car il s'agissait de Mélinda … Cela n'en faisait aucun doute. Ô combien serait-elle prête à faire en la matière pour les beaux yeux de la vampire … Celle-ci ne pouvait pas se l'imaginer. Peut-être aurait-elle une idée quand cette soirée serait finit, mais en attendant, l'heure était à la découverte.

Et ce fut ainsi que au cours du labeur de Vanillia, que celle-ci sentit soudainement une vive douleur dans ses cheveux, comme s'ils étaient tirés. Prise par surprise, elle fut littéralement envoyée au sol, sans qu'elle ne comprenne ce qu'il se passait. Mais elle n'en démordait pas, et s'éxecuta à l'instant même où Mélinda lui ordonna de se mettre à quatre patte. Tout l'aspect vorace et bestiale de la vampire se révélait, et elle adorait ça. Son coté se révélait aussi en elle, quand elle serra les dents et bomba ses fesses volontairement pour le livrer délibérément en pâture à Mélinda. Et que dire quand ses griffes finirent par se planter dans sa peau, faisant couler son précieux liquide écarlate. Vanillia poussa un petit hoquet de douleur, couplé à un vicieux plaisir, à ce moment. Le moment tant attendu arriva enfin, quand son entrée secondaire, dorénavant principale, finit par se faire visiter par l'inquisitrice verge de la vampire. "Et j'aurai pu t'en mettre dans un bien pire ! Défonces-moi le cul, la petite peste que je suis le mérite !" Lui répliqua-t-elle sur un ton acéré. Quand le premier claquement arriva, Vanillia serra des dents et poussa un gémissement féroce, se rapprochant d'avantage d'un râlement rauque qu'autre chose.

Ses griffes se resserrèrent sur le sol, provoquant des entailles dans celui-ci, à mesure que le rythme de va et viens s’accélérait. "Ahhh-hhh OUI !!! OUI CONTINUES ! HAAAANNN" Gémissait-elle très fortement, tellement cette pénétration brutale lui faisait de l'effet. Elle entendait le claquement entre elle et Mélinda, elle le sentait même. Tout son corps remuait. Ses seins se balançaient de haut en bas sauvagement, balbutiant au-dessus du sol. De même que sa verge qui était fortement et puissamment secouée dans le même mouvement, accompagnant le mouvement de ses testicules qui claquaient contre elle. Son sexe retrouvait déjà de l'ampleur, et bientôt, c'était de véritable coup de matraque qu'elle s'infligeait elle-même au bassin … Autant dire que si Mélinda continuait de la démolir de cette façon, elle serait bien capable de jouir à nouveau. Il fallait dire que le fait que son sexe se balançait violemment en l'air de haut en bas aidait à l'exciter encore plus qu'il ne le fallait. Elle l'était tellement qu'elle se permit une petite folie ... En effet, elle ne se contenta pas de simplement attendre les coups de reins, elle suivait le mouvement de manière à venir s'empaler d'elle-même sur le membre brûlant de sa tendre amante.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 03 mars 2015, 01:24:07
Encore une fois, Mélinda aurait pu se laisser faire. Elle aurait pu laisser Vanillia continuer à lui sucer jusqu’à lui faire atteindre l’orgasme, car, en ce moment précis, il ne faisait absolument aucun doute que Vanillia aurait pu lui faire atteindre l’extase. Mélinda avait rencontré une version similaire d’elle-même, presque un clone, tant les deux femmes se ressemblaient. C’était presque à se demander si elles n’avaient pas été séparées à la naissance. La vampire, qui n’avait jamais cru à ces théories scabreuses et fantasmagoriques sur l’âme sœur, se retrouvait ici face à la preuve parfaite que, parfois, les théories romantiques avaient des applications concrètes. Elle aimait Vanillia, tout simplement, et elle ne pouvait guère le nier. Là, face à elle, elle pouvait enfin lui faire pleinement l’amour, exactement comme elle le voulait, uniquement comme elle le souhaitait. Alors, oui, elle aurait pu jouir dans sa bouche, mais elle tenait à rappeler à son amante qu’elle n’était pas une esclave, mais bien une vampire. Elle avait donc usé de son caractère, se faisant violence à elle-même, ce qui l’amena très rapidement à lui perforer le cul. À l’air libre, sa verge s’impatientait, comme si l’air ambiant lui faisait mal. Elle avait un besoin vital d’enfoncer sa queue dans quelque chose, et, en l’état, le cul parfait de Vanillia lui semblait être le meilleur des endroits où venir nicher son membre turgescent. Par conséquent, sa queue s’enfonça généreusement dans son cul, remuant en elle, et ses mains se crispèrent sur ses fesses, faisant, encore une fois, perler son liquide carmin.

Le sexe entre vampires n’avait pas fondamentalement vocation à être doux, il devait être passionné, fusionnel. C’était une ode à la vie, et, pour un vampire, la vie était un mélange de plaisirs et de souffrances. Les deux faces d’une même pièce, que le sexe centralisait et assemblait. Un humain craignait la relation sexuelle pour la souffrance qu’on ressentait, tout en l’appréciant pour le plaisir obtenu, et tout le monde connaissait la corrélation entre les deux. Le plaisir découlait de la souffrance, et vice-versa. C’était quelque chose que Mélinda avait accepté depuis fort longtemps, et qu’elle pratiquait précisément en ce moment, sodomisant joyeusement Vanillia, enfonçant sa queue en elle, de plus en plus profondément.

« HAAAAAAAAAAA... Haaaaaaaaaaaaaaannn, putain, ton cuuuul, haaaaaaaaaaaaaaaaaaaan... !! »

Parler était difficile, et des larmes de souffrance coulaient depuis ses yeux, filant sur ses joues rouges. Ses mains claquaient les fesses de son amante avec une passion phénoménale et jouissive. Elle remuait en elle, de plus en plus fort, se perdant dans son corps, son membre s’enfonçant de plus en plus profondément, déformant à chaque coup de reins les parois internes de son amante. Vanillia était une femme forte, elle pouvait l’endurer, et, cela, Mélinda le sentait. La défoncer était donc d’autant plus jouissif. La vampire filait en elle, dans une danse simple, mais ô combien magnifique. C’était l’osmose des corps, la fusion de deux êtres qui s’aimaient d’une passion sincère et mutuelle. Mélinda, en ce moment, ne niait plus rien, et elle acceptait pleinement toute l’attirance qu’elle ressentait pour Vanillia. Qui l’aurait cru ? Elle n’avait jamais ressenti, aussi rapidement, un tel attrait. Même avec les jumelles Karistal, dont la légendaire perversion avait été, pour Mélinda, le plus irrésistible des appels, elle ne s’était pas aussi sentie rapidement en phase, avec, en elle, cette intime conviction qu’elle était tombée sur la bonne personne, sur celle avec qui elle pourrait fonder son édifice, sa tour. Elle la prenait donc, sa queue s’enfonçant dans les tréfonds du corps de Vanillia.

Elle, debout, Vanillia à quatre pattes, c’était une position lourde et intense, qui permettait à Mélinda de se déployer d’avant en arrière. Ses mains en sueur glissaient sur les belles fesses et les cuisses de Vanillia, rougies par l’effort physique. Les deux femmes se faisaient brutalement l’amour, et elle sentait que Vanillia s’impatientait... De fait, elle sentait son érection, et, surtout, elle la sentait remuer d’avant en arrière, essayant d’accompagner les mouvements de son amante. Mélinda était sincèrement impressionnée. La soif de cette femme, son talent... Malgré cette queue lui labourant le cul, elle arrivait à suivre le rythme, à remuer à son tour, d’avant en arrière. La verge de Vanillia était tendue, assoiffée, et, Mélinda, tout en la prenant, et en sentant son amante aux cheveux verts user de ses genoux et de ses bras pour remuer, tendit sa main, la déplaçant des fesses confortables et terriblement belles de Vanillia pour caresser sa verge, la masturbant. Ceci eut pour effet, au début de légèrement ralentir les mouvements de Mélinda, mais une autre idée germait dans son esprit.

« Hum... Tu t’impatientes, ma chérie, hein ? Haaa... Dans ce cas... »

Mélinda reposa ses mains sur ses hanches, puis remonta l’une d’elle, et alla saisir ses cheveux verts, avant de la déplacer encore, pour saisir sa nuque. Elle se crispa sur sa peau, et elle souleva alors Vanillia, puis bascula en arrière. Concrètement, ceci eut pour effet d’amener Mélinda à s’asseoir sur le sol, écartant les jambes, avec Vanillia sur elle. Son sexe s’enfonça d’un coup sec en elle, sous l’effet de la gravité, et Mélinda se mit à hurler, enfonçant ses griffes dans les cuisses de Vanillia.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA-PUUUTAAAAAAAAAAAAAAAAINNNN !!! OOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHH !!! »

Le plaisir explosa totalement, et, d’une main ferme, elle se mit à masturber vigoureusement la queue de Vanillia, tout en laissant à cette dernière le soin de danser sur elle, de s’empaler sur cette verge... Comme elle avait envie de le faire.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 08 mars 2015, 15:08:23
Que dire de cet instant si ce n'était qu'il représentait la pleine bestialité et fougue qui traduisaient toute l'affection qui s'entretenait entre les deux vampires. Un torrent enflammé, bousculant tout sur son passage. Un balais infernal, qui fit que Vanillia était en train de se faire écarteler de l'intérieur, jouissant de cette souffrance, ressentant même un profond plaisir à se faire traiter de la sorte. Et pour Mélinda, le plaisir n'en était que mieux. Sa queue se fondait en elle, et elle pénétrait toujours plus voracement la vampire qui criait presque d'extase. Ce labourage dura. Pendant tout ce temps, Vanillia ne fut pas une simple spectatrice pour autant ; elle remuer en avant et en arrière pour encore mieux accompagné le mouvement, et mieux se faire pénétrer ainsi. Une véritable succube en manque, en somme. Elle serrait des dents et soufflait, bien qu'on aurait facilement assimilé ceci à des râlements rauques. Sa propre intimité se ballottait sauvagement d'avant en arrière, la faisant bander cruellement. Nul besoin de dire que, à son tour, petit à petit, elle sentait l'envie de la nicher quelque part.

Mais pourtant, comme à son habitude, Mélinda avait tout prévue pour satisfaire Vanillia. Alors que le claquement entre leur corps se faisait bruyant, la vampire glissa sa main sur le sexe de la noble, et en ralentissant un peu le rythme, prit l'initiative de la masturber en même temps. "Hnnn-Haaaaaa !" Couinait-elle presque quand elle sentit sa belle amante caresser sa verge. Mais ce n'était rien comparé à ce qui l'attendait. Le rythme resta soutenue jusqu'à ce que, à nouveau, l'impétueuse Mélinda eut une autre idée. Elle la teasa, juste avant de passer à l'action. En un mouvement habile et rapide, elle la saisit par la nuque, pour finalement se retrouver brutalement allongée au sol. Vanillia se retrouva quant à elle perchée sur Mélinda, presque assise sur elle. L'effet fut immédiat car grâce à la gravité, elle s'était littéralement enfoncée sur le chibre de sa belle. Celle-ci hurla, ce qui était compréhensible. Et dès lors, ce fut comme l'explosion qui fit redémarrer la machine. Mélinda saisit fermement la queue de la noble et commença à la masturber énergétiquement. "HIAAAAAAAAAAAA" Criait alors Vanillia, qui se sentait imploser de l'intérieur.

Et l'action repartit de plus belle. La vampire montait et descendait avec une hargne spectaculaire, s'empalant très violemment sur la verge de Mélinda. Son propre sexe se faisait astiquer frénétiquement pendant tout ce temps, décuplant ainsi le plaisir. Il était gonflé, tendu, comme si il était prêt à exploser d'un instant à un autre. Plus de place pour des petits gémissements, Vanillia ne pouvait touts simplement pas contenir la puissance de son extase, qu'elle extériorisait désormais en criant, en jouissant sans aucune limite. Comme si cela suffisait pas, elle posa une de ses mains sur celle de Mélinda, et força à son tour sa propre masturbation, rendant le geste deux fois plus endiablé. Elle continuait de monter et descendre fermement, n'hésitant pas un seul instant à appuyer fermement au moment de la descente, quitte à écraser sa partenaire. Le plaisir n'en serait que mieux. Cela dura, encore et encore, mettant à rude épreuve l'endurance des deux créatures. Toutefois, Vanillia commença à défaillir au bout de quelques temps. Elle ne pouvait plus contenir le feu qui la ravageait. Cette brutalité faisait qu'elle était intensément rouge de la tête au pieds, et particulièrement au niveau de son fessier et de son sexe.

Elle ne tarda donc pas à jouir brutalement, laissant sa verge cracher sauvagement son foutre dans tout les sens possible. "HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA" Criait-elle alors qu'elle jouissait intensément. Sa brûlante semence sortit avec une pression si forte que même le plafond fut touché. Elle partit dans tout les sens, éclaboussant tout sur son passage, même les mains qui étaient apposés sur le mat de chair. Ceci dit, comme elle était en train de se faire masturber, cette verge était restée tendue et, de fait, elle se fit elle-même toucher en grande partie. Toute sa poitrine fut aspergée de son foutre, de même que son menton. Son visage fut épargnée car elle l'avait tordu en arrière, sous l'effet de l'extase. Elle avait eut une idée machiavélique, mais elle était bien trop emportée par le torrent de l'orgasme pour l'appliquer. Si cela avait toutefois été possible, Vanillia aurait vicieusement prit le pas pour se retourner et jouir abondement sur sa muse, notamment sur sa verge même, et sa poitrine, lui faisant alors la surprise … Mais cela n'avait tout simplement pas été possible.

"Haaa … Mélindaaaa …" Murmurait-elle alors que sa voix était essoufflée. Elle reprenait son souffle lourdement, exténuée par le puissant orgasme qu'elle avait eut. Physiquement, elle tenait encore le coup mais avait besoin d'une toute petite pause, pendant laquelle elle décida de rester empaler sur cette chaude queue qui résidait encore dans son fondement. Elle sentait le foutre brûlant de Mélinda à l'intérieur, preuve qu'elle avait aussi jouit pendant son orgasme. En comme, une magnifique séance de sodomie bien rude venait de se conclure en un concerto d'orgasme. Elle finit par se laisser tomber au sol, basculant en arrière et faisant alors sortir la verge de Mélinda de son fessier. Elle se retrouva allongée sur tout le corps de sa muse, sa tête arrivant au niveau de son cou. "Et … Maintenant, ma chérie ? Qu'elle est … la suite ?" Dit-elle alors que sa voix était entrecoupée par son souffle exténuée. Vanillia eut cependant un réflexe assez étrange, qu'elle ne contrôla pas. Alors qu'elle lui avait posé la question, sa main s'était offerte la liberté d'aller chercher celle de Mélinda, la caressant, puis la saisissant tendrement en croisant ses doigts avec le siens. Elle raffermit durement son emprise, comme si elle ne voulait pas décroiser ses doigts des siens.

Toutefois, quand Vanillia s'en aperçut, un petit sourire s'afficha sur ses lèvres. Un sourire qui n'était pour une fois pas vicieux. Elle ramena sa main qui était littéralement scotchée à celle de Mélinda, et déposa un baiser rempli de sentiments et d'affections sur celle de son amie.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 11 mars 2015, 01:28:40
Mélinda prenait Vanillia, et leur séance était sauvage, brutale, violente... Jouissive. Terriblement jouissive, même. Ce que Vanillia vivait était une sodomie magnifique, intense et lourde, délivrée par une experte. La grosse verge joufflue de la vampire s’enfonçait dans son corps, un corps qui remuait d’avant en arrière, glissant et ondulant sur son sexe. De longs soupirs s’échappaient de la belle bouche de Mélinda. La vampire était en transe, complètement subjuguée et fascinée par cette femme, cette délicieuse succube qui était en train de la rendre folle. Ses seins se frottaient contre le dos de Vanillia, qui remuait de haut en bas, glissant ainsi contre son corps, leurs peaux se frottant mutuellement, claquant ensemble, sueurs, soupirs et cris se mélangeant dans un même et jouissif ensemble. Mélinda se lâchait totalement, et ce qu’elle faisait là était particulièrement douloureux et exigeant, autant pour elle que pour Vanillia. D’une main, elle empoignait ce sexe, et le masturbait. Les cris de Vanillia, délicieux, onctueux, raisonnaient dans ses oreilles, et elle soupirait longuement, glissant sur cette verge sale, qui avait déjà craché sa semence, et était recouverte de sueur, que ce soit celle de Mélinda, ou celle de Vanillia.

« HAAAAAAAAAAA... HAAAAAAAAAAAAAAAANNNN-OOOOUUUUUIIIIII !!! O-OUUUUUIIIII !! HAAAAAANNN... TU AIMES, HEIN ?!! HEEEEIIINNNN ?!! »

Elle hurlait, rugissait contre ses oreilles, et reprenait ensuite, embrassant sa peau, sa bouche glissant sur son cou, goûtant à sa belle peau. Sa main, elle, continuait à s’exciter, de haut en bas, remuant sur cette verge, la compressant. Ce gourdin était tellement tendu... Oh oui, sa belle était tellement excitée que Mélinda en tremblait sur place ! Elle comprimait son sexe, sentant cette queue grossir contre elle. Une bite bien dure, un sexe solide, trahissant tout son plaisir. Mélinda était alors convaincue que sa belle beauté n’avait encore jamais eu une telle amante. Mélinda venait de lui prouver qu’elle était bel et bien une Maîtresse d’un harem de luxe depuis plusieurs siècles. Sa verge remuait dans son cul, glissant à l’intérieur. Vanillia s’empalait dessus, de haut en bas, hurlant et gémissant, et son sang carburait en elle, se concentrant énormément à hauteur de ce sexe. Elle le sentait, là, tout contre elle, ce délicieux sang chaud et vif, bouillonnant de désir, et sentir ce sang l’excitait énormément. Sa propre queue était dure comme un bout de bois, douloureuse, et, tout en hurlant, tout en criant pour expurger son plaisir, pour maîtriser cette soif qu’elle percevait dans le corps de Vanillia,

La vampire la prenait donc, et sentit Vanillia jouir. Sa main la masturbait alors frénétiquement, griffant même cette peau chaude et tendre, et, tout en la sentant jouir, Mélinda éjacula à son tour, balançant sa crème chaude dans son corps, basculant sa tête en arrière, sentant tout son corps se vider dans le sien. Le membre de Vanillia crachait par à-coups, comme un serpent répandant tout son venin. Des filaments blanchâtres fusaient en l’air, éclaboussant les doigts de Mélinda, mais aussi, et surtout, le corps de Vanillia. Elle jouit longuement, comme on pouvait s’y attendre d’une vampire, et il en allait de même pour Mélinda. La verge de Vanillia devenait une pompe, et, pour elle, elle jouissait encore et encore, sentant, à chaque fois, à chaque fois qu’elle remuait son bassin, des vagues supplémentaires jaillir dans son membre, avant de déferler dans les fesses de Vanillia. Son foutre fusa dans son colon, s’enfonçant dans son organisme, ses doigts se crispant sur ce sexe, ne parvenant nullement à empêcher Vanillia de jouir, de jouir et de jouir... Une danse magnifique, un spectacle sexuel défiant l’entendement.

« HNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN... !!! » soupirait longuement Mélinda.

Mélinda s’était déversée joyeusement en elle, et soupira longuement, les cheveux collés à son front. D’une main, elle libéra l’accès à sa peau, et déposa un petit baiser sur la nuque de Vanillia. Leur séance de sodomie avait été magnifique, comme une danse frénétique, jusqu’au point d’orgue suprême, celui où les deux femmes s’étaient vidées ensemble, la vampire se déversant dans le corps de Vanillia. Là, elle reprenait son souffle, délaissant sa verge, caressant ses cuisses, et elle souleva sa main, allant lécher ses doigts maculés de sperme... Celui de sa belle... Vanillia reprenait son souffle, et se pencha alors en avant, après plusieurs minutes de repos, plusieurs minutes pendant lesquelles son membre était resté bien au chaud dans son cul, sentant tout son foutre autour d’elle. Une sensation délicieuse et magnifique, comme tout ce que Vanillia lui offrait en ce moment.

Son amante s’écarta donc, puis se retourna, et coucha Mélinda sur le sol, venant joindre sa main dans celle de Mélinda qui l’avait aidé à se branler. Mélinda cligna des yeux, en sentant les doigts de Vanillia se serrer sur les siens, et déplaça lentement son autre main, venant caresser le dos de la femme, jusqu’à aller la poser, en repos, sur ses fesses. Les deux femmes se regardèrent donc, leurs seins se frottant ensemble, leurs verges se caressant... Puis Vanillia lui sourit, et alla embrasser sa main, en profitant pour lécher le sperme. Les yeux dans le vague, Mélinda était en train de planer, de flotter ailleurs, et reprenait, peu à peu, pied avec la réalité. Elle avait l’impression de rêver, et, quand elle lui sourit en retour, ses canines apparurent, pointues et tranchantes.

« Ce que nous allons faire, ma chérie ? Que font des vampires pour retrouver leur vitalité ? Tu sais... Je n’ai pas du tout envie de m’endormir maintenant... J’ai tellement envie de te faire l’amour, Vanillia... De te baiser dans tous les sens possibles du terme, encore... Que tu me recouvres de ton foutre, que je baigne dans notre sperme commun... Dans notre crème mutuelle... »

Elle sourit lentement, et embrassa Vanillia sur les lèvres.

« Où veux-tu me mordre, ma puce ? Au cou ? Ou... »

Petit moment de silence, petite lueur espiègle dans les yeux...

« ...Dans les fesses ? »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 22 mars 2015, 15:57:09
S'il n'y avait un moment à ne pas négliger, c'était l'après coup. Et à ce moment, il battait son plein. Blottit l'une contre l'autre, Vanillia et Mélinda restèrent ainsi, juste à se caresser, à profiter de la chaleur de l'une comme de l'autre. La noble sentit les mains de son amante se plaquer contre ses fesses, tandis que ses propres seins se lovaient contre les siens. Une position délicate et terriblement agréable. Mais la meilleure sensation était sans doute celle provoquait par la caresse entre leur verge respective. Quel délicieux touché … Sentir cette peau, ce sexe si impétueux s'acoquiner avec le siens, était magique. Vanillia se laissa tenter de remuer sensiblement du bassin pour encore mieux frotter le sexe de Mélinda avec le siens. Un petit sourire, et voilà que ses lèvres se firent à nouveau capturer en un petit mais savoureux baiser directement orchestré par Mélinda. Celle-ci avait déclaré avant qu'elle ne souhaitait pas s'arrêter, qu'elle désirait, visiblement, faire intensément l'amour encore et encore, jusqu'à ce qu'elle puisse littéralement baigner dans le mélange de leur spermes. Une vision qui donna des frissons à la noble, qui savourait d'ores et déjà ceci.

Elle aussi adorerait pouvoir recouvrir sa belle de sa semence, et se faire pareil avec le sien. Il y avait tant d'autres choses à faire, que finalement, la précédente séance de sodomie n'était qu'un apéritif, en comparaison. Ainsi, répondant au baiser, Vanillia laissa planer un petit silence avant de répliquer. Une proposition des plus intéressante que voilà, se disait-elle. Mordre au cou, ou dans les fesses … Mélinda lui offrait la possibilité de s'abreuver d'un peu de son sang, afin de regagner en vitalité. C'était le meilleur moyen que disposait les vampires pour se remettre d'aplomb. Cependant, à peine avait-elle prononcé le mot fesses qu'une petite idée germa dans son esprit. "Hmm … Cruel choix que tu me poses là. J'aimerai tant me régaler de ton petit cou vanillé, mais j'aimerai aussi mordre ton jolie fessier …" Lui dit-elle alors. Néanmoins, elle avait déjà fait son choix. Esquissant un malin sourire, elle se dégagea doucement, puis incita Mélinda à se retourner, et à lui offrir donc une pleine vue sur sa magnifique et douce croupe.

Empoignant ces belles fesses de ses mains, Vanillia les pressa, les massa en les écartant d'une part et d'autre, profitant de ce touché si agréable. Puis, elle rapprocha sa bouche pour donner un premier baiser dessus, qui dura un certain temps. Elle en donna un deuxième, puis un troisième, avant d'effleurer sa peau avec ses canines. Elle donna quelques petit coups de langue pour la lécher, puis finit par soudainement planter ses crocs acérés dans sa délicate peau. À ce moment, l'effet fut quasi instantané. Son sang se mit à virevolter. Elle commença à aspirer un peu du précieux liquide carmin de Mélinda, progressivement. Elle s'abreuvait de ce précieux élixir, qui, en plus, appartenait à une femme d'exception. Si elle en prenait trop, elle serait trop épuisée pour continuer cependant. Ainsi, pendant quelques secondes elle aspira, sentant son corps retrouver vitalité comme prévu. Elle finit par se retirer, laissant alors deux petits tous à la surface de la fesse. Du sang coulait un peu ses lèvres, mais elle se pressa à se les pourlécher afin de ne perdre aucune goutte de ce délicieux nectar. "Ton sang est … Savoureux, mon trésor." Affirma-t-elle alors, avant de donner une claque aux fesses de Mélinda.

Maintenant qu'elle avait finit, elle se mit en tête de mettre en application sa petite idée. Elle savait que Mélinda aurait peut-être besoin de la mordre en retour, ce qu'elle accepterait volontiers mais uniquement quand elle aurait conclue sa petite affaire. Ses mains vinrent à nouveau se plaquer contre chaque de ses fesses, les écartant l'une de l'autre. Et, à la manière dont elle lui avait fait il y a quelques temps, Vanillia pressa son entrée secondaire de par sa langue, faisant remuer ce petit orifice, pour finalement y nicher sa langue dedans. "Hmmm" Couinait la vampire, qui commença à remuer à l'intérieur. Sa langue s'enfonça complètement, se faisant engloutir littéralement. Elle la tournait dans tout les sens, venant provoquer cette timide rondelle. Ainsi, pendant qu'elle jouait avec sa langue chaudement fourrée dans cet orifice, elle continua de malaxer son fessier avec ses mains. Vanillia espérait que son trésor aimait ce qu'elle était en train de lui faire. Elle le faisait uniquement pour elle, pour sa magnifique et merveilleuse personne. Inutile de dire que Vanillia, en l'état, était dorénavant complètement et éperdument folle de Mélinda. Au bout d'un certain temps, la vampire finit même par retirer une de ses mains, qu'elle plaça sur le bout du sexe de sa convive, et commença dès lors à caresser, gratter celui-ci.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 25 mars 2015, 01:19:10
Se frotter au corps de Vanillia était quelque chose de magnifique, à l’image de cette sublime créature. Oui, Vanillia était une femme magnifique. Entre elles, on pouvait définitivement clamer que le courant passait. Elles étaient liées l’une à l’autre, liées par des liens indéfectibles et puissants, liées par leur perversion mutuelle, et par cet amour fort qui était en train de naître, et qui était en train de tout balayer chez Mélinda, comme une tornade rose qui ravagerait le petit village de son esprit. Leurs membres au repos se frottaient entre eux, et, tout en ayant fait sa proposition à Vanillia, Mélinda profitait de ce laps de temps pour continuer à déplacer, lentement et délicatement, son bassin, frottant ainsi son membre turgescent contre celui de son amante. Leurs sexes se caressaient, se frottaient, se cherchaient, et, du fait de leur transpiration mutuelle, et des résidus de sperme qui s’y collaient, parfois, leur peau mutuelle se collait. Mélinda avait alors la sensation incroyablement plaisante de sentir la verge de sa partenaire partir avec la sienne en se reculant un peu, le membre la suivant, avant de tendrement se décoller. Sa main était toujours en appui sur ses beaux cheveux, et l’autre sur ses fesses. Comme Mélinda l’avait dit, ceci n’était qu’un début, mais elle pouvait comprendre que Vanillia soit fatiguée. Contrairement à la Warren, elle ne dirigeait pas un harem, mais une distillerie. Fort logiquement, son expérience du sexe était donc moindre que la sienne. C’était quelque chose que Mélinda acceptait sans la moindre difficulté, et qu’elle trouvait même excitant, car c’était, pour elle, l’occasion de former davantage cette petite perle, de lui enseigner un peu mieux les voies du sexe, et toutes les pratiques qui en découlaient.

Vanillia avait le choix entre son cou et son fessier, et elle finit par opter pour le fessier, amenant Mélinda à se retourner. Cette dernière, un sourire sur les lèvres, et son cœur sautillant dans sa poitrine, se dépêcha de se positionner bien comme il le fallait, en se mettant à quatre pattes, et en bombant ses fesses vers l’arrière. Elle serra ses poings sur le lit, et sentit la bouche de Vanillia se rapprocher. Plusieurs beaux baisers appuyés heurtèrent sa croupe.

« Haaaa… »

De simples baisers suffisaient à l’émoustiller, et sa verge se durcit un peu, mais ce n’était qu’une mise en bouche… Le plus gros était à venir,  et arriva quand Vanillia vint à la mordre, là où elle l’avait embrassé. Mélinda avait encore le goût de ses lèvres sur sa peau quand elle sentit sa langue, puis ses canines, qui se plantèrent dans son corps. Ses griffes poussèrent alors de ses ongles, et elle couina de plaisir en relevant la tête, sentant la douleur éclater à hauteur de son postérieur.

« Haaaaaaannnn !! »

C’était une zone extrêmement sensible, et qui, pour Mélinda, était aussi très sexuelle. Elle adorait qu’on s’occupe de ses fesses, et, pour l’avoir déjà dit, elle n’était pas du tout contre le fait de souffrir en pratiquant l’amour. Pour elle, c’était quelque chose de tout à fait normal, plaisir et douleur n’étant que les deux facettes d’une même pièce. C’est ainsi que cette douleur qu’elle ressentait dans les fesses était jouissive… Ses esclaves savaient bien que leur Maîtresse ne mordait pas toujours qu’au cou. Dans la mesure où boire du sang faisait toujours gonfler la libido de Mélinda, il arrivait aussi qu’elle les morde aux fesses, avant de terminer le traitement en les sodomisant. De manière générale, l’Étreinte, terme par lequel elle désignait le fait de ponctionner une sang, était presque systématiquement toujours érotique. Les exceptions étaient rarissimes, et l’Étreinte qui se déroulait en ce moment ne serait guère différent.

Vanillia pouvait se servir, Mélinda était toujours chargée en sang, mais son amante s’avéra moins gourmande qu’elle. Si elle avait été à sa place, Mélinda savait qu’elle aurait eu bien du mal à se retirer de la croupe de son amante, car elle savait, sans hésitation, que son sang serait magnifique, comme le plus doux des nectars. Dans ces conditions, difficile de se retirer, et de laisser les choses se faire. Vanillia avait plus de contrôle qu’elle-même, mais, au lieu de délaisser totalement ses fesses, elle se jeta ensuite dessus, et Mélinda, surprise, mais dans le sens positif de la chose, écarquilla les yeux, entrouvrit les lèvres, se les mordilla, et serra à nouveau le lit, avant de remuer son corps d’avant en arrière. La langue de Vanillia s’enfonça dans son intimité anale, explorant cette porte secrète, ce fondement… Et, comme elle le supposa bien, loin de décourager Mélinda, ou de l’effrayer, la sensation de cette langue de joueuse, de ce visage se pressant contre son cul, avec les promesses qui en découlaient, amena la verge de Mélinda à se durcir. Elle sentit son sang filer dans sa queue, qui se roidit sur place, ce que Vanillia eut l’occasion de sentir quand sa propre main vint la masturber.

« Hannn-haannnn… »

Mélinda haletait et gémissait, sentant les griffes de Vanillia jouer sur son membre. C’était une sensation agréable, douloureuse, mais qui en appelait d’autres, et, tout comme cette langue magnifique remuant dans les entrailles de son corps, Mélinda sentait la frustration pointer le bout de son nez. Ses joues rosirent ainsi, elle se mordilla les lèvres, avant de soupirer :

« Va-Vanillia… Prends… Prends-moi, ma puce… Défonce-moi le cul, ma… Ma chérie, hunnn… »

C’était tout ce que Mélinda voulait, maintenant… Inverser les rôles, sentir la grosse verge de Vanillia remuer dans ses entrailles, une verge qui venait de se gorger de sang, son sang.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 05 avril 2015, 15:17:17
S'il y avait bien une chose que Vanillia aimait, c'était de prendre par surprise sa partenaire. Cela avait comme un attrait très spécial, qui lui faisait plaisir autant que l'intéressée. Encore une preuve que ses sentiments pour Mélinda n'étaient pas composés uniquement que d'attirance sexuelle, mais bien d'autre chose … Ce fut pour cette raison qu'elle s'affaira à explorer son fondement de par sa langue très joueuse. Elle fit en sorte de s'enfoncer le plus que possible, et de remuer de tel façon à créer le plus de sensations. Et visiblement, cela marchait. Vanillia entendait d'ores et déjà les succulents gémissements de la vampire. Ce son devait être le plus agréable à entendre dans le monde entier, aux oreilles de la noble, qui se sentait satisfaite dès lors. Son traitement plaisait, la mission était accomplie. Mais, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Alors qu'elle continuait de jouer avec l'intimité de Mélinda, sa petite main vint enserrer fortement la verge nouvellement tendue de la vampire. Elle décida alors de jouer avec ce membre durcit à souhait, le masturbant avec une certaine force, montant en crescendo. Ses griffes filaient sur sa peau tendue, histoire de rendre le tout plus … Acéré.

Vanillia fit durer le moment un peu plus longtemps après que son amante lui clama de la prendre. Une invitation des plus intéressantes, qui allait faire renverser les rôles. Il n'y avait que quelques minutes c'était la propriétaire des lieux qui était en train de se faire labourer, et cette fois-ci, ça allait être Mélinda. La noble s'en mordait les lèvres. Ainsi, alors qu'elle finissait de tourner sa langue dans le fondement de la magnifique vampire, elle finit par se retirer et donna une grande claque sur son fessier. "Tes souhaits sont mes buts, mon cœur …" Répondit-elle. Sa main resta cependant là à masturber la verge de Mélinda, certes moins frénétiquement car la position avait changé, mais la masturbant tout de même. De son autre main, elle positionna son propre sexe qui s'était raidit depuis lors, prêt à en découdre à nouveau. Cette fois-ci, Vanillia avait des idées, beaucoup même … Et alors qu'elle plaça son vit, elle poussa brusquement sur l'entrée étroite, faisant ainsi rentrer d'un seul coup sa lance de chair "HIAAAAAAAA !!!" Gémissait-elle alors, au moment du contact. Là, la vampire incita Mélinda à ne plus se tenir au lit, mais au sol, car elle voulait adopter une posture en conséquence.

"Prête, ma puce ?" Dit-elle alors d'une voix coquine, sensiblement hachée par les frissons qui la parcourait. Quand Mélinda fut en place, Vanillia s'apposa sur son dos, sa tête se posant alors sur son épaule, ses formes épousant celles de son amante à la perfection. Sa verge était en place dans le fondement de Mélinda, et elle commença dès lors à effectuer des va et viens, puis prit très rapidement en vitesse et force. La particularité était que lorsqu'elle s'enfonçait, ses bourses claquaient contre celle de la vampire, offrant une sensation supplémentaire. Toutefois, plus elle s'adonnait, plus elle jouait en conséquence sur le manche de sa partenaire. Tout ceci ponctué par de sulfureux baisers qu'elle donna sur son cou, puisqu'elle y avait accès. "Hmmmm M-Mélinda … Haaaaahaaaa …" Ses soupirs, s'accouplant à de grand gémissants de plaisir, traduisait à merveille toute les sensations qu'elle ressentait à ce moment. Ses reins faisaient leur office, s'occupant à se balancer pour propulser d'abruptes et puissants coup. Sa verge transperçait les chairs de Mélinda, s'enfonçant toujours plus vigoureusement et profondément dans ses entrailles.

Cependant, après quelques temps à rester ainsi, Vanillia eut une soudaine idée. Elle avait en tête une nouvelle position qui allait sans doute plaire à Mélinda, du moins le pensait-elle. Esquissant un sourire, et entre plusieurs soupirs, la noble agrippa les hanches de son amante et, sans prévenir, pressa dessus pour la faire retourner sur son dos. "Je vais avoir une vue des plus magnifiques à présent …" Déclara-t-elle alors. Dans cette position, Vanillia avait une vue sur tout le corps de Mélinda, et avait le privilège de voir son visage se tordre sous le plaisir. Un atout non-négligeable. Ne perdant pas plus de temps, Vanillia se remit à besogner en se ré-insérant dans l'antre intime de Mélinda. Une de ses mains vint s'enrouler autour de sa jambe pour lui donner appui, et l'autre vint s'apposer sur la verge tendue vers le ciel de Mélinda. Le jeu de reins reprit de plus belle, sauf que cette fois-ci elle avait le grand avantage de voir tout le corps de sa belle remuer sous ses allers/venues. "Hmmm – Haaaaaann !" Les gémissements de Vanillia étaient intenses, et s'accordaient de pair au fur et à mesure que sa verge explorait les entrailles de Mélinda. Tellement qu'elle adorait cela, elle ne remarqua même pas qu'elle se mordillait obsessivement les lèvres.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 09 avril 2015, 01:46:25
Il était maintenant temps que Vanillia goûte au Saint-Graal de Mélinda : son fessier. Ce joli cul, pour lequel ses clients se damneraient volontiers. Combien de personnes passant par le harem rêvaient de pouvoir enfoncer leur dard dans ses fesses ? Il fallait dire que Mélinda était connue pour sa passion de la sodomie, et que, partant de là, besogner son arrière-train était très tentant... Non seulement parce qu’elle était belle, mais aussi parce qu’elle était passionnée de sodomie. La vampire offrait donc à Vanillia un cadeau magnifique. Elle lui offrait sa péninsule, et Vanillia ne tarda guère, avant de venir la prendre. Les deux vampires continuaient à jouer ensemble, et, pour Mélinda, c’était tout à fait naturel de lui offrir la chance de la sodomiser. Après tout, elle avait exploré le cul de la vampire... Et c’est sur cette idée qu’elle sentit le vit de la femme s’enfoncer d’un seul coup en elle, la faisant gémir et hurler.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN... !! »

Assise à quatre pattes sur le lit, elle laissa s’exprimer tout son plaisir quand Vanillia enfonça son sexe en elle. Oh, que c’était bon ! Se sentir remplie comme ça, pénétrée par sa belle Vanillia... Elle avait beau ne la connaître que depuis quelques heures, la vampire avait le sentiment qu’elles étaient ensemble depuis des années. Il y aurait un « avant » et un « après » ce moment, indéniablement. Les personnes comme Vanillia étaient trop rares dans ce monde pour que Mélinda se permette la folie de les laisser passer quand ils lui tombaient sous le nez. Vanillia s’enfonça rapidement ne elle, et se lova contre son corps, faisant couiner et gémir Mélinda, dont les griffes s’enfoncèrent dans le lit. Elle se faisait parfois sodomiser, mais elle-même devait reconnaître que c’était plutôt rare. Généralement, c’était plutôt son bâton qui allait prendre les autres fondements. Il était rare qu’elle laisse à quelqu’un le privilège de la prendre, et, avec Vanillia, elle avait confiance. Elle savait que Vanillia allait exploiter au mieux ses fesses, qu’elle ne la décevrait pas. Elle sentit ainsi le beau et tendre corps de son amante se lover contre le sien, ses mains caresser ses hanches, avant de s’appuyer sur ses épaules. Elle la sentit se pencher contre elle, et lui embrasser le cou, avant de se redresser, et de continuer ses solides coups de reins.

C’était une sodomie brutale. De cela, il ne fallait nullement douter. La verge de Vanillia s’enfonçait jusqu’à la garde, provoquant des ondes aveuglantes de douleur dans tout le corps de Mélinda. Son visage en devenait cramoisi, des gouttes de sueur filant le long de ses joues, tandis qu’elle hoquetait et gémissait, n’ayant même plus la force de crier. D’avant en arrière, Vanillia filait en elle, et, quand elle s’enfonçait d’un coup, ses testicules venaient claquer contre ses fesses, faisant s’avancer le corps de Mélinda de quelques centimètres, avant de repartir en arrière, pour de nouveaux coups de reins. Elle la prenait, joyeusement, longuement, violemment. Ce beau corps ondulant contre le sien était un plaisir immense, et cette sodomie était magnifique. Tout ce que la vampire faisait, c’était d’accepter ce corps la pénétrant. Deux femmes à l’unisson, deux vampires résonnant sur la même longueur d’onde. Que demander de plus ? Vanillia, encore et encore, continuait à la prendre, remuant en elle, s’enfonçant dans les tréfonds de son corps, de sa chair. Les minutes filaient à toute allure, et le sexe de Mélinda glissait contre le lit, un sexe tendu, et en belle érection. Se mordillant les lèvres, Mélinda remuait. Elle, elle avait pris tout son temps en enculant Vanillia, et elle l’avait très certainement fait beaucoup souffrir en la soulevant et en l’empalant sur son chibre ; ce n’était que justice que Vanillia en fasse de même. Et puis... Ce qu’elle faisait était tellement bon, tellement, tellement merveilleux. Comment lui dire d’arrêter ? Comment l’encourager à cesser ce qu’elle faisait ? Mélinda en était totalement incapable, tant ce qu’elle ressentait était merveilleux.

« Hmmmm... Ouuuiii-ouiiiiii... Haaaann !! »

C’était tout ce qu’elle arrivait à dire. La vampire se tortillait et gémissait, sans que jamais Vanillia ne semble devoir se calmer. Elle lui bourrinait le cul avec une force qui exprimait toute sa passion. Pour rien au monde, Mélinda n’avait envie qu’elle s’arrête... Mais Vanillia, elle, en voulait plus. C’est ainsi que Mélinda sentit la prise de ses mains sur son corps se raffermir. Elle tourna alors Mélinda, et cette dernière se retrouva couchée sur le dos. En clignant des yeux à plusieurs reprises,  Mélinda se retrouva donc sur le dos, et Vanillia recommença à la prendre. Les jambes de Mélinda étaient écartées et redressées, et Vanillia pouvait ainsi voir le corps magnifique de Mélinda. Les jolis seins de la vampire sautillaient de haut en bas, et elle hurlait et gémissait, enfonçant ses griffes dans le lit, en se tortillant sur place. Vanillia était en train de compliquer sa sodomie, car, en retournant ainsi la vampire, elle limitait son champ d’actions. Elle avait dû soulever un peu les hanches et le bassin de Mélinda, à l’aide de ses mains, lui offrant ainsi la possibilité de mieux la prendre de cette manière.

La vampire gémissait et soupirait, encore et encore. Ses mains, elles, se déplacèrent, afin de caresser les poignets de la femme, les griffant parfois légèrement. Son membre tendu était face à Vanillia, et Mélinda ne put s’empêcher de poser ensuite une main dessus, venant le masturber frénétiquement...

À ce rythme, Vanillia allait à nouveau se retrouver couverte du sperme de Mélinda.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 11 avril 2015, 14:12:20
Voila que la situation devenait réellement frénétique. Vanillia, en positionnant de telle façon Mélinda, avait dû abandonner son sexe pour placer ses mains de tel façon à soulever légèrement sa belle. En réalité, si ce n'était grâce à son condition de vampire, elle n'aurait pas eut assez de force pour tenir ainsi. Ses mains étaient posées sur ses cuisses, en bas, pour lui permettre de la soulever sensiblement. Mais l'avantage, était qu'elle avait plus d'appui et plus de force pour la pénétrer encore plus … passionnément. Car effectivement, Vanillia ne ressentait à ce moment plus qu'une seule et unique envie ; celle de ne faire plus qu'une avec l'élue de son cœur. La hargne et la frénésie la gagnait graduellement, au fur et à mesure qu'elle labourer le fondement de Mélinda. Terrible situation pour Vanillia qui avait devant ses yeux tout le magnifique corps, et visage, de son amante. Elle pouvait l'entendre gémir intensément, mais aussi voir son corps remuer sous ses assauts. Et aussi, voir son visage changer au gré de son plaisir.

Cependant, la chose qui l'excita le plus fut sans doute quand Mélinda agrippa fermement sa propre verge et commença à se masturber énergétiquement. Quelle promesse que cela ouvrait. Le dénouement serait spectaculaire, comme à la précédente fois. Vanillia, même si prise en étau mentalement, ne pouvait s'empêcher de s'imaginer recouverte de la tête aux pieds par le foutre de la vampire. Elle le désirait, du plus profond d'elle-même, à présent. En fait, elle le désirait depuis que Mélinda lui avait susurrer qu'elle voulait baigner dans leur semence commune … Une vision qui perdura dans son esprit jusqu'à maintenant, alors qu'elle besognait. Son bassin effectuait ses vas et viens, en un rythme qui s'accélérait progressivement. "Hmmm - Ouiiiii !!! HaaAawWw !!!" Gémissait-elle intensément, alors qu'elle œuvrait. Son vit était brûlant, et ses bourses claquaient sauvagement contre celle de Mélinda, vu que la position le permettait. Et cette sensation atypique était la cerise sur le gâteau.

On aurait presque dit que Vanillia, à chaque entrée, tentait de rester un peu plus longtemps afin de frotter ses sacoches à foutre contre celle de Mélinda, explicitement. Toute nouvelle sensation aussi étrange et atypique qu'elle était, donnait des frissons à la noble, qui en raffolait désormais. Ceci était aussi possible car Vanillia s'adonnait à fond pour procurer le plus de plaisir à Mélinda. Elle s'enfonçait entièrement en elle, permettant ainsi à leur testicules de se coller aussi fortement. Cependant, alors qu'elle continuait, et que tout son corps frémissait, elle décida d’accélérer. Son rythme devint plus soutenu, la vitesse croissait. Elle l'avait tant désiré … Pouvoir faire l'amour ainsi à Mélinda, pouvoir lui écarter les entrailles, pouvoir lui labourer le rectum, elle en avait tant rêvé … Mais heureusement, elle ne rêvait pas de Mélinda uniquement dans ce sens. Cela allait sans doute paraître trop sentimental, pour des vampires, mais Vanillia rêvait aussi de pouvoir partager sa vie avec cette femme.

Pouvoir la serrer, tantôt lui faire l'amour sauvagement, tantôt simplement l'aimer … Tantôt être tout simplement à ses cotés. Autant le dire, c'était littéralement le coup de foudre. Vanillia était littéralement folle amoureuse de Mélinda, et nul doute qu'à la fin de ces ébats, elle allait le lui déclarer ouvertement. La peur du rejet la tenaillait, comme toujours, mais elle se disait que dans tout les cas, après une telle soirée, les deux vampires ne pourraient simplement en rester là. Revenant à elle, Vanillia était désormais passée à la vitesse supérieure, son bassin effectuant de vif, rapide et abruptes vas et viens. "HAAAAAA-AAAAAANNNN !!!" Criait-elle. Cette sodomie abrupte était si intense et si puissante … La vampire allait rapidement devenir accro à cette pratique. Elle savait que Mélinda avait déjà un faible pour ceci, et elle savait aussi que c'était un privilège de pouvoir l'effectuer sur elle. Elle voyait son délicat corps remuer de toute part sous ses lourds assauts. Ses seins balbutiaient de haut en bas, et sa main continuait à la masturber frénétiquement.

Les minutes s'écoulèrent, et bientôt, le point de non-retour arriva. "HMMMMMM-Je-Je … HAAAAAAAA OUIIIIIII !!!" Cria-t-elle. Vanillia était sur le point de jouir. Le moment tant attendu était sur le point d'arriver. Toutefois, elle ne voulait pas gâcher ce moment, et dans un dernier effort incommensurable, réalisa quelque chose. Ses bourses, pleine à craquer de foutre, étaient sur le point d'envoyer la pression, quand la vampire se retira brusquement du rectum de Mélinda. Puis, sans demander son reste, prit le relais avec sa main. "HIAAAAAAAAAAAA !!!" Joui-t-elle puissamment. Sa verge cracha violemment son foutre en direction de Mélinda, comme un grand jet à haute pression. Penchant la tête en arrière, Vanillia était en transe. Elle sentit son amante jouir de même, et sentit surtout sa semence s'écraser contre son corps. Et elle en fit tout autant, arrosant la vampire de sa crème. Petit détail, comme elle le souhaitait auparavant, une bonne partie s'écraser contre sa virilité, arrosant celle-ci copieusement. Mais, tout le reste de son corps fut aussi gracieusement servit …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 12 avril 2015, 01:18:47
Vanillia la pilonnait joyeusement et profondément. Elle ne cherchait pas à la ménager, et, avec sa nouvelle position, Mélinda se faisait tringler. Elle se sentait partir au loin. La douleur était terrifiante, et sa main se masturbait frénétiquement, presque machinalement. Mélinda hoquetait et gémissait, incapable d’avoir des pensées cohérentes. La douleur était si forte qu’elle formait comme un coup d’épée transperçant son corps et son esprit. Elle était si anesthésiée par le plaisir, si écrasée par ce dernier, qu’elle n’arrivait même pas à retenir sa salive, cette dernière filant parfois de ses lèvres. Son corps remuait d’avant en arrière, et elle clignait des yeux, afin de voir le beau visage de Vanillia, un visage traversé par le plaisir et l’envie, ainsi que par l’effort, qui faisait gonfler ses belles joues rouges.

« Haaa... Haaaannn !! »

Et puis, alors que Mélinda pensait s’épuiser, la douleur revenait en elle, explosant, réveillant ses sens, dynamitant son organisme. Elle se tortillait alors à nouveau, et continuait à remuer, à onduler le long de la verge de la femme. Vanillia n’y allait pas de main morte. Oh, pour ça, Mélinda lui faisait confiance ! Elle la prenait, avec une rage féroce, ses testicules claquant fréquemment contre ses fesses, et, quand sa verge s’enfonçait profondément en elle, écartelant ses parois internes, Mélinda poussait de longs hurlements, et se griffait avec sa main se masturbant. Des hurlements si forts qu’on pouvait sans aucun doute les entendre dans tout le domaine, rebondissant le long des murs, filant le long des couloirs et des parois. Mélinda hurlait à s’en casser la voix, à s’en rompre les cordes vocales. Elle remuait, encore et encore. Le sang de Vanillia était comme le sien, prêt à exploser... Et, alors qu’elle le sentait arriver au point d’orgue final, Vanillia se retira subitement.

Mélinda gémit à nouveau, et se lâcha alors, balançant des flux de sperme vers Vanillia, tandis que la belle vampire jouit également sur elle. Les cris laissèrent place aux soupirs et aux gémissements, le sexe de Mélinda répandant des litres de sperme sur le corps de Vanillia, aspergeant ses seins, son torse, son ventre, son cou, son visage... Elle-même se retrouva généreusement décorée par des filaments de foutre sur son corps, le sperme filant le long de son corps, éclaboussant ses jambes, son bassin, son sexe, ses doigts, ses mains, sa tête, ses seins... Pendant environ une bonne minute, les deux femmes ne pensèrent qu’à jouir mutuellement, extirpant tout le plaisir qui se trouvait en elles. Mélinda se vidait, tout simplement, balançant tout son sperme sur le corps tendre et magnifique de son amante.

« Ohhhhh... Haaaaa... Haaaaaaannn... »

La vampire cligna des yeux à plusieurs reprises. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait fortement. Elle papillonna des yeux, une douleur forte résonnant dans son cul. Demain, elle aurait mal aux fesses, très clairement... Mais, pour l’heure, l’adrénaline battait encore dans ses veines. Son nez s’était habitué, mais elle était convaincue que la pièce devait puer. Leur parfum mutuel s’était envolé sous une couche de sueur et de sexe, ne laissant que quelques rares et minces flagrances. Mélinda finit par se redresser, et ses mains, gluantes, agrippèrent les poignets de Vanillia.

Elle remonta ensuite pour s’appuyer sur sa nuque, enfonçant ses griffes dans sa peau, et s’en servit pour se redresser. Son sperme heurta celui de Vanillia, leurs sexes se caressèrent, leurs peaux claquèrent ensemble, et la vampire l’embrassa tendrement, passionnément, enfonçant sa langue dans sa bouche, soupirant et gémissant. Diable ! Elle avait même un peu de sperme dans les cheveux. Elle l’embrassa longuement, sans tenir compte du temps qui défilait, puis se pencha légèrement en arrière.

Emportant Vanillia avec elle, Mélinda retourna s’allonger sur le lit, et reprit ensuite son souffle.

« Tu m’as joyeusement défoncé le cul, Vanillia... Petite cochonne... »

Elle lui sourit, et l’embrassa sur le front.

« Ah, je crois que je n’oublierais jamais cette nuit, ma chérie... »

Jamais, en effet.

Pour elle, c’était même une certitude.
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 18 avril 2015, 18:01:06
Un final comme Vanillia l'avait espéré. Un véritable déluge de foutre ! La semence de Mélinda et la sienne se mélangèrent, en un torrent de gémissements. Toutes les deux furent recouvertes généreusement de leur jus respectif. Que ce soit la tête, la poitrine ou même leur propre sexe, elles étaient très imprégnées. Reprenant grandement son souffle, la noble planta son regard dans celui de son amante. Elle l'admirait, tout simplement. Parfois, il ne fallait pas chercher grand chose pour être satisfait. La beauté et la grâce de cette femme la comblait à tout les étages, et sa simple vue suffisait à lui ravir le cœur. La pièce sentait fort le sexe, mais étant donné que les deux vampires baignaient dedans depuis de longues minutes, elles ne sentaient presque rien. De toutes les manières, c'était l'affaire des domestiques de nettoyer tout ça … Et si l'on pense aux critères de sélection qu'avait les Carnelle à les choisir, celles-ci n'allaient pas être dérangées pour le moins du monde à sentir l'odeur sexuelle de leur maîtresse adorée.

Cette soirée avait été presque magique. Vanillia avait explosé de toute part, et maintenant, ses sentiments étaient aussi clair que de l'eau de roche. Il ne restait plus qu'à tout avouer, et nul doute que cela allait venir dans les instants qui suivent. Restant silencieuse, elle se laissa agripper par les poignets, sentant les mains gluantes et chaudes de sa muse. Elle s'aida de ceci, et de sa nuque, pour se hisser et l'embrasser tendrement. La noble sentit un frisson la parcourir quand les griffes de Mélinda se plantèrent en elle, et en sentit encore plus quand leur peau recouverte de sperme se collèrent l'une à l'autre. "Hmmm …" Soupirait-elle pendant ce délicieux baiser. Et comme toujours, ce fut cette merveilleuse caresse entre leur sexe qui fit la différence. Sa verge se lovait contre la sienne, s’imprégnant de la semence résidant dessus, créant un mélange entre les deux. Vanillia en venait à aimer Mélinda encore plus follement quand celle-ci avait ses attributs masculins que ses attributs féminins. Même si au fond, peu importe comment elle était, elle l'aimait toujours aussi irrationnellement.

Puis, au terme d'un long et délicat baiser, Mélinda finit par ramener Vanillia vers elle en se laissant tomber, s'allongeant à nouveau sur le lit. Les deux femmes étaient l'une contre l'autre, et pour la noble, c'était le moment le plus agréable de toute la soirée … "Je ne l'oublierai jamais aussi …" Répliqua-t-elle, toute rouge, sa tête nichée dans le cou de son amante. Elle passa son bras par-dessus elle, comme pour la serrer contre elle. Qu'est-ce qu'elle se sentait heureuse ainsi lovée contre Mélinda. Elle était si sereine, si bien … Elle donnerait de sa vie pour faire en sorte que jusqu'à la fin de ses jours, elle puisse être aux cotés de son amie. Son cœur se mit à battre fort, elle sentait qu'elle devait tout avouer maintenant, c'était le moment. C'était d'ailleurs pour cette raison que ses joues étaient devenues aussi rouge que des tomates. "Mél-Mélinda je … Je dois te dire quelque chose." Déclara-t-elle de sa petite voix sensiblement exténuée par toute cette folle soirée. Elle se mit à niveau de sa tête et, toujours en restant à coté d'elle, allongée, elle tourna le visage de Mélinda vers le sien en posant sa main sur sa joue.

Vanillia caressa doucement la peau de Mélinda, d'une manière anormalement douce et attentionnée. Il n'y avait plus cette lueur sexuelle dans ses yeux et ses gestes … Il y avait une notion bien plus sentimentale et affectueuse. Sa voix était coupée, mais elle rassembla ses forces et son courage pour poursuivre. "Je … Je t'aime." Déclara-t-elle enfin. "Je t'aime Mélinda. Mais, mais pas comme tu le penses ! Je t'aime réellement, avec mon cœur ! Depuis la première fois où on est vu toutes les deux, j'avais senti quelque chose en moi … Et ce n'est que ce soir que j'ai eu la confirmation de ce que je pensais. Mes sentiments n'étaient pas que sexuels, mais ils étaient surtout … Affectifs. Je suis tombée amoureuse, je le crois …" Dit-elle solennellement, en caressant lentement la joue de Mélinda. "J'avais peur de ce que tu penserai … Mais je ne pouvais pas garder cela plus longtemps. Je t'aime si fort … J'aimerai passer le restant de ma vie à tes cotés, j'aimerai devenir tienne tout les jours, comme je l'ai fait ce soir … Je l'aimerai tant …" Finit-elle, ses yeux rivés dans ceux de son amante.

Pour la première fois de sa vie, Vanillia venait de déclarer quelque chose sans aucune once de pensées perverses ou non sincères. Ce qu'elle venait de déclarer venait du fin fond de son cœur, et peut-être même de son être tout entier. Ses sentiments envers Mélinda était extrêmement et incommensurablement puissant ! Elle n'avait aucun mot pour les décrire, et elle espérait que la vampire comprendrait tout de même cela. Vanillia finit, avec son autre main, par saisir celle de son amie et elle la serra fortement, avec toute l'affection du monde. Un silence s'était marqué, qu'elle rompu en ponctuant définitivement son temps de parole ; "Je t'aime …". Son corps blotti contre le sien, nul doute que Mélinda pouvait sentir son cœur battre à toute vitesse, tellement ce qu'elle venait de dire était sincère et important à ses yeux. Il n'en tenait qu'à l'intéressée de décider de l'avenir de leur relation, et des dires de Vanillia …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 19 avril 2015, 02:13:07
Les deux femmes avaient baisé comme des folles furieuses. Ouais, Mélinda le reconnaissait, elle s’était pas mal déchirée, pour le coup. Oh, certes, elle aimait bien le sexe extrême, et elle n’allait pas jouer la fausse prude, en prétendant que ce qui s’était passé ici avait dépassé ce qu’elle avait envisagé… Mais là, putain… Ah, ça avait été clairement intense ! Pour une première fois… Woow.. Mélinda accusait encore clairement le coup, et son corps se frottait tendrement contre celui de Vanillia. Elles étaient dans l’après-séance, comme après avoir vu un bon film… Non, plutôt un excellent film, le chef-d’œuvre inattendu, l’outsider qui vous clouait sur place comme si un trente-six tonnes venait de vous passer dessus. Et, après ça, on ne savait pas quoi dire. Il y avait eu un trop-plein d’émotions à digérer, et Mélinda était dans cet état. Pendant quelques minutes, la si loquace et si prolixe vampire, qui avait toujours le bon mot et le sens de la formule, ne trouvait absolument rien à dire, si ce n’est l’envie de savourer ce moment. Son phallus caressait celui de Vanillia, leurs corps spongieux, recouverts de leur foutre respectif, se frottaient tendrement. Elle s’était enlacée contre Vanillia, lui offrant un tendre baiser. Elles étaient plus que jamais sur la même longueur d’onde, et Mélinda n’arrivait pas à se détacher du corps chaud et tendre de Vanillia.

Quand on disait les vampires froids et égocentriques, on n’avait pas tort… Mais on pouvait dire la même chose des humains. Il fallait de tout en toutes choses, et, en ce domaine comme en tant d’autres, un vampire ne saurait se résumer à un seul et réducteur trait de caractère. Mélinda était égocentrique, oui. Orgueilleuse ? Arrogante ? Narcissique ? Assurément. Elle ne pourrait le nier, et ne pouvait que le confirmer. Elle avait sauvé l’entreprise familiale d’une fin programmée, elle avait sauvé ses esclaves, avait même réussi, comble du culot, à faire peser les choses. Sa méthode avait fait des émules, car les esclavagistes avaient réalisé qu’il était peut-être plus utile, sur le long terme, d’avoir des esclaves aimants, et de diminuer les coups de fouet. Elle, l’anti-esclavagiste, l’ancienne esclave torturée, humiliée et violée, était devenue l’égérie d’un système qu’elle haïssait profondément. Une femme nuancée et complexe, l’ennemi de l’intérieur. Plutôt que de se lancer bêtement dans une campagne contre l’esclavage, elle était rentrée dans les rouages du système, afin de détruire le système de l’intérieur, en en embellissant les poings positifs, et en en atténuant les points négatifs. Sa vie était une réussite sociale et sexuelle… Mais elle était comme ces puissants chefs d’État, comme l’Empereur d’Ashnard. Elle était seule sur son trône, seule et solitaire… Et, si elle pouvait donner le change en jour, face aux autres, le soir, quand elle était seule face à elle-même, quand, dans son sommeil trouble, elle venait se défier elle-même, elle ne pouvait plus se défiler. Plus de mensonges. Plus de faux-semblants, plus d’apparences, plus de tromperies, et plus de dissimulations. Là, Mélinda affrontait l’échec de la vie : son héritage. Le harem Warren n’était pas une entreprise familiale, c’était une entreprise personnelle, conçue, pensée, et développée autour de sa personne. Si elle mourrait, l’entreprise disparaîtrait. Même en étant vampire, elle n’était pas immortelle. Nul être ne pouvait surmonter la Mort. Alors, voilà… Mélinda savait qu’elle allait devoir faire quelque chose contre ça.

Et Vanillia serait sa première pierre.

La belle vampire parla la première, et Mélinda fut aussi muette qu’une statue grecque. Elle ne dit rien, et sentit son cœur se pincer quand Vanillia, de ses belles, de ses magnifiques lèvres, souffla les mots… Ces fameux mots magiques. Mélinda savait très bien ce qu’elle voulait dire, et, même si Vanillia s’évertua à le préciser, la vampire l’écouta. Elle termina en se blottissant contre elle, et le silence répondit à sa litanie… Un silence méditatif, un silence contemplatif, un silence qui était plus parlant que mille mots prononcés à la hâte… Car, quand les choses devenaient sérieuses, il ne fallait pas se hâter. Et ça, Mélinda le savait mieux que personne.

« J’ai aimé quelqu’un, une fois… Une femme. »

Son nom dansait encore dans l’esprit de Mélinda, revenant de temps en temps, dans les jours sombres. Son visage pencha vers le bas, et elle croisa le regard de Vanillia… Mais, cette fois-ci, elle ne l’embrassa pas.

« Je lui avais proposé de devenir une vampire… Car elle était une simple humaine. Mais… Les choses ne se sont pas très bien passées. Elle… Elle a rejeté mon offre, et, depuis lors, je ne l’ai plus jamais revu. »

Aux dernières nouvelles, Hitomi avait été mutée ailleurs… Ou elle était peut-être morte. Pour le peu que ça lui importait, maintenant… Mélinda avait fait son deuil de cette femme. Elle croisa le regard de Vanillia, et s’humecta les lèvres, réfléchissant à ce qu’elle allait dire.

« Depuis lors, je me suis plus promise de ne plus jamais aimer d’humains… On ne peut pas leur faire confiance. Le caractère éphémère de leur existence les rend instables par nature… Mais toi, Vanillia, toi…  Toi, tu es… Tu es comme moi. Ça, je m’en suis rendue compte dès que je t’ai vue… Je n’ai jamais cru au coup de foudre, pourtant. Mais, dès que je t’ai vue, et notre nuit l’a confirmé, j’ai su qu’il y avait… Quelque chose de spécial à notre sujet. »

Elle lui sourit alors, et vint frotter son nez contre son visage.

« Je te veux, Vanillia… Je veux que tu sois la première femme qui m’accompagnera pour fonder mon clan… »

Sa bouche se rapprocha ensuite de son oreille, et elle termina sa déclaration :

« …Parce que, pour mon malheur, et pour mon plus grand bonheur, j’en ai acquis l’intime conviction… »

Elle déglutit alors. Quelques secondes de silence, comme si la note finale était suspendue au bout des doigts du pianiste…

« Je t’aime. »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le mercredi 13 mai 2015, 23:55:25
Le cœur de la vampire battait la chamade. Jamais de toute sa vie elle n'avait été en un pareil suspens. Cette réponse, ou bien cette réaction ou peu importe quelle cela allait prendre, était d'une grande importance. C'était sans doute la chose la plus importante dans sa vie. Mélinda n'était pas qu'une simple amante, elle était … Plus que cela. Elle était devenue celle qui occupait ses pensées, celle qui occupait son cœur, et ce soir, celle qui partageait sa nuit. Pas que d'un point de vue sexuel, même si cela avait bien aidé, mais aussi d'un point de vue purement et noblement sentimental. Voir son amie dans ses bras, se reposer dans la couche qu'elle, et juste profiter d'un moment intime et solennel avec sa personne était le bonheur le plus inestimable à ses yeux. Vanillia haletait, son souffle était haché par tout un mélange d'émotion qui s'entrechoquaient, en attendant le verdict ultime. Mais, tout retomba, en un lourd silence interne, comme une sentence irrévocable. Je t'aime, c'est deux mots simples résonnèrent infiniment dans sa tête, au moment où ils furent prononcés par Mélinda.

Elle avait rapproché sa bouche à son oreille pour lui susurrer ces doux mots. Des mots que, au fond de son être, Vanillia avait attendue depuis si longtemps. Depuis qu'elle avait vu Mélinda pour la première fois, exactement. Ce soir avait donc définitivement marqué le début d'une nouvelle page, d'un nouveau chapitre qui allait se construire non plus à elle seule, mais avec la femme qui partageait sa vie désormais, du moins qu'elle l'espérait. Car en ayant entendu les précédents dires de son amante, ceux portant sur son clan, l'idée fut clair dans l'esprit de Vanillia. Marquant un silence, pour assimiler ce qu'elle venait d'entendre, la noble finit par tourner son visage en direction de celui de Mélinda, et, avec un sourire des plus amoureux et sincère qu'elle n'ai jamais pu faire, offrit un délicat baiser à la vampire. "Je … Je serai honorée d'être la première femme avec laquelle tu fondera ton clan, Mélinda. Je serai honorée d'ailleurs d'être tout simplement … Une femme … Ta femme, celle qui sera tienne … Pour l'éternité, puisque l'on est vouée à cela." Lui déclara-t-elle.

Ce n'était pas des mots pour cacher des sens. C'était des mots pour simplement exprimer sa pensée. Si Mélinda souhaitait faire de Vanillia la première femme avec qui elle posera les premières pierres de son clan, cette dernière le souhaitait alors également. Mais plus que cela, elle souhaitait devenir son âme-sœur. Ne plus être qu'une amante, mais être la Femme qui partagera sa vie, pour l'éternité. Un concept bon pour les niais et les débiles d’ordinaires, qui répugnait Vanillia. Mais Mélinda, cette soirée, tout ces événements, avaient fait que dorénavant, pour cette vampire, plus rien n'avait d'importance ; si elle pouvait se marier à Mélinda, elle ferait, désormais. Et c'était ce qu'elle avait voulu lui faire comprendre par ses précédents mots. Un mariage, oui. Mais pas n'importe lequel, pas celui que l'on connaît au travers des pratiques humaines. Une union vampirique, bien plus profonde et charnelle que de simples mots couplés à du papier.

Se lovant contre son amante, Vanillia nicha sa tête au creux de son cou, son bras par-dessus elle, sa main jouant avec l'une des mèches de Mélinda. Son sexe se pressa contre le sien, leur verge se caressèrent fortement, se chevauchant l'une contre l'autre, coulissant sensuellement de par la douceur de leur peau respective. Mais à ce moment, cela n'avait qu'un effet plus intime qu'un réel effet grivois. "Comment le vois-tu, ce clan ? Parles-moi un peu de ça Mélinda ! Si je dois être la première femme à t'accompagner là-dedans, je tiens à connaître tout les détails !" Dit-elle d'une voix enjouée. Pour le moment, le sexe avait clairement été mit de coté, malgré la forte odeur de sperme et de sueur encore fortement présente dans la pièce. On aurait presque dit que le simple bonheur que procurait le d'être d'être lovée contre sa moitié était encore plus intéressant et agréable qu'une partie de jambe en l'air. Même si, assurément, cela n'allait pas être toujours le cas … Après tout, nombreuses fois allaient venir où les deux tourterelles vampiriques allaient avoir réellement envie de méchamment se mordre …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 16 mai 2015, 01:57:27
Elles avaient fait l’amour comme des petites folles, et, couchée sur le dos, Mélinda reprenait son souffle, retrouvait son calme. Sa respiration était lourde et pesante, et elle sentit Vanillia se lover contre elle, caressant son corps, se nichant contre le creux de son corps. Cette femme… Mélinda lui avait dit qu’elle l’aimait. C’était… C’était exceptionnel. Elle le disait rarement, et, les rares fois où elle l’avait dit, ça n’avait… Jamais été aussi rapide. Quelque chose venait d’avoir lieu ce soir… Quelque chose que Mélinda essayait de s’expliquer avec le calme, mais qu’elle n’arrivait pas à comprendre. La femme avait compartimenté sa vie sous un contrôle total et absolu, qui tournait autour de sa personne. La vampire soupirait lentement, clignant des yeux à plusieurs reprises en fixant le plafond. L’une de ses mains caressait délicatement le dos de Vanillia. Comment s’expliquer cette frénésie qui l’avait traversé ? Elle avait fait l’amour avec Vanillia avec une rage insoupçonnable. Une force terrifiante avait envahi le corps de Mélinda quand elle lui avait fait l’amour, quand elle l’avait vu, et cette force, elle ne pouvait que l’assimiler à l’amour… Un amout fort et vorace, puissant et passionné, qui s’était exprimé instantanément. Elle n’osait pas se dire ce mot, mais elle savait très bien de quoi elle avait été victime.

Le coup-de-foudre.

Vanillia l’avait frappé comme une bombe nucléaire pulvérisant sa chambre. Elles avaient fait longuement l’amour, et ce n’était qu’un début… Une relation durable et terrible allait les unir, avec la possibilité, pour Mélinda, d’accomplir le plus vieux et le plus fou de ses rêves : restaurer la noblesse des Warren. Jadis un nom affilié à une puissante famille noble, Warren était tombé en disgrâce quand son père avait choisi de rester fidèle à l’Empereur fou, et que la guerre avait été perdue. On leur avait tout volé, ne leur laissant qu’un établissement sexuel, que Mélinda avait su conserver. Tel le Phénix, sa famille était en train de renaître de ses cendres, et Mélinda, depuis des années, caressait l’idée de fonder un clan… Mais un clan vampirique n’était pas chose facile à fonder, surtout à Ashnard, où il existait des clans vampiriques millénaires, des clans qui avaient déjà proposé à Mélinda de les rejoindre, et qui verraient d’un très mauvais œil la fondation d’un nouveau clan.

Tout ça se bousculait dans sa tête, et elle sentait, contre sa verge recouverte de sperme et de mouille, celle de Vanillia, se lovant contre la sienne, la caressant tendrement. Les deux vampires avaient fait voracement l’amour, à s’en déchirer le cul, mais il y avait quelque chose de terrible chez Vanillia… Plus Mélinda la côtoyait, plus elle avait envie de coucher avec elle. Vanillia voulait connaître « tous les détails », et Mélinda sourit, puis la regarda alors. Elle se pencha sur le côté.

« Tous les détails… Bien sûr, mon cœur… Alors, il va falloir commencer par notre mariage… Car nous n’allons pas nous marier à la manière des humains, mais à la manière des vampires. »

Le mariage humain n’avait pas pour but de durer, car il ne s’agissait que d’une simple union formelle, un simple échange de mots. Un mariage vampirique, lui, avait destination à durer pour l’éternité, comme l’avait rappelé Vanillia. Partant de là, il obéissait à des règles différentes, qu’on ne connaissait pas forcément. Mélinda se retourna donc contre Vanillia, et inversa leurs positions. Une main sur l’une des épaules de Vanillia, elle la poussa sur le dos, et s’allongea ensuite sur elle, entremêlant ses jambes avec les siennes, et posa sa tête contre l’un de ses seins, avant de lui parler :

« Un mariage vampirique est une longue cérémonie, Vanillia, et est quelque chose de très important, et d’unique… Il se déroule en présence de plusieurs témoins, dans un bassin rempli de sang, et est plus qu’une union… C’est une fusion entre deux êtres, une cérémonie de plusieurs heures pendant laquelle les deux vampires se mordent mutuellement en se faisant l’amour. Mon sang circulera dans tes veines, et ton sang dans les miens… Un cercle de vie et d’amour, une poésie extrême qu’un humain ne pourra jamais comprendre… Et, tandis que nos sangs se mélangeront pour n’en former plus qu’un, tout ce que nous sommes sera connu de l’autre. Mon passé, ton présent, mes aspirations, tes désirs, nos fantasmes… Nous n’aurons plus de secrets l’une pour l’autre, Vanillia. Tu seras moi, et je serais toi, et, tout en conservant nos propres personnalités, nous ne serons plus jamais les mêmes. »

Pour d’évidentes raisons, même les mariages ne réalisaient pas souvent cette cérémonie, car il fallait être sûr de son coup. Néanmoins, les deux femmes n’avaient pas le choix. Mélinda embrassait les seins de Vanillia en se redressant un peu.

« Les règles sont claires, mon amour… Pour fonder un clan vampirique, il faut être noble… Or, mon statut de noblesse m’a été retiré quand le Conseil Impérial a décrété que les Warren avaient trahi l’Empire. Et il n’existe pas beaucoup de moyens de le récupérer. Au niveau des vampires, une simple union civile ne suffira pas à m’anoblir. Si je veux fonder mon clan, je dois me marier avec toi… Tu comprends, mon amour ? Tu m’offriras les moyens de redevenir une noble, et de pouvoir enfin constituer un clan… Un clan qui sera notre clan, car tout ce que j’aurais sera aussi à toi, ma chérie… »

Mélinda parlait sur un ton calme, lent, et sensuel. Un nouveau baiser alla sur sa joue.

« Maintenant, tu sais à quoi ce mariage t’engage… Bien sûr, je comprendrais que tu aies besoin de temps… La tradition laisse généralement un ou deux mois de réflexion, durée pendant laquelle les deux fiancés peuvent mener autant de recherches qu’ils le veulent sur les autres. Toutes les portes de mon harem te sont ouvertes, mon amour… Car je suis convaincue que c’est avec toi que je veux entamer le nouveau chapitre de mon histoire. J’ai été matronne pendant des siècles… »

La vampire se mordilla les lèvres, et esquissa un sourire :

« Grâce à toi, j’aurais la possibilité de devenir Comtesse. »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le dimanche 17 mai 2015, 16:43:45
Mélinda … Un nom qui résonnait à présent comme une mélodieuse symphonie dans ses oreilles. À ce stade là, ce n'était pas un simple coup de sang animé par une criante séance de sexe qu'elle ressentait à son égard. C'était définitivement, et irréfutablement quelque chose de profond, sincère et puissant. Jamais Vanillia n'aurait pensé un jour ressentir ce genre de choses, elle qui était une cruelle fille de ce point de vue. Elle qui ne voyait que les sentiments que par une attirance purement charnelle, ne pensant pas à quelque chose de plus profond. Pourtant, cette vampire, celle qui était entrée dans sa vie au cours de ces derniers mois, avait réussie à tout chambouler. Dès le premier jour, dès le premier contact qu'elles avaient eu, Vanillia avait sentie quelque chose de saisissant. Quelque chose l'attira presque magnétiquement chez elle. Et ce soir-là, après avoir laisser exprimer pleinement leur sentiment au cours d'une explosive séance de sexe, elles avaient enfin ouvrèrent les yeux sur cette chose qui les liaient. Et Vanillia accepta cela pleinement. D'ailleurs, elle avait invité Mélinda spécialement pour cela à la base, pour lui déclarer ce qu'elle ressentait. Mais tout s'était décidément mieux passer que prévu, et la voilà qu'elle était blottit contre, envelopper dans les bras de son amante.

Elle lui avait demandé des détails sur les projets de Mélinda, sur ce qu'elle entendait sur son clan. Et le moins que l'on pouvait dire, était que c'était visiblement quelque chose qui lui tenait réellement à cœur. Et avec ses explications, elle comprit pourquoi. Elle voulait restaurer son clan et retrouver sa noblesse, en incorporant Vanillia dans l'équation. Son clan deviendrait leur clan, à toutes les deux. Elles partageraient le même sang, le même esprit, tout en restant elles-mêmes. Une idée qui faisait presque rêver la vampire. Elle se laissa mettre sur le dos par Mélinda, qui vint alors nicher sa petite tête contre son sein. Vanillia en profita pour faufiler sa main dans sa douce chevelure, la caressant avec une grande tendresse. Elle parlait bien de mariage, même si le terme ne recouvrait pas ce à quoi l'on pouvait penser. Une union vampirique, en réalité. Pendant des heures elles allaient se mordre et se faire l'amour, devant des témoins. Le sang de chacune allait couler dans l'autre. Une pensée qui donna des frissons à la noble, qui ne pouvait s'empêcher de frémir à l'idée de sentir le sang de son amante couler dans ses propres veines.

"Nous allons devenir sœur, en quelques sortes ?" Dit-elle sur un ton malicieux. Sœur de sang, c'était logique dans la mesure où elles allaient partager le même sang. Laissant planer un petit silence, Vanillia tenu à apporter sa réponse définitive à ce projet, qu'elles mèneraient ensemble et à vie. "Mélinda … En te faisant venir ici, ce soir, tout était déjà clair dans ma tête. Notre petite escapade n'a fait que renforcer cela, mais sache que tout était gravé avant que tu ne viennes … Mes sentiments ne changeront jamais. Je t'aime, et ça sera le cas même au bout de deux mois … Même au bout de l'éternité. Je veux que tu le sache mon amour, je suis prête. Je souhaite devenir tienne plus que tout au monde, et ce au moment que tu juges le mieux." Déclara-t-elle, doucement. Marquant à nouveau silence, elle termina. "Moi, je suis convaincue que c'est avec toi que je veux passer le restant de ma vie …" Vanillia était décidément folle de Mélinda. Elle n'avait pas menti qu'en elle affirma que tout était déjà clair. Ses sentiments, son amour, tout. Cela n'avait été qu'une question de temps avant d'avoir le courage de le lui dire, mais ce soir, cela s'était fait naturellement.

Elle avait ponctué sa déclaration par un délicat baiser sur la tête de Mélinda, l'enserrant d'avantage contre son corps. Apaisée, sereine, jamais Vanillia n'avait connue une pareille situation. C'était donc ça, être amoureuse ? Elle savait qu'à l'instar des êtres humains, ses sentiments allaient rester les mêmes à vie. Car il ne s'agissait pas que d'une passion, il s'agissait d'âme, d'esprit. Mélinda ne l'attirait pas uniquement car elle était sublime, ou bien que c'était une féroce amante. Non. Elle l'attirait car elle sentait quelque chose d'autre, quelque chose qui la liait à elle, viscéralement. Elles étaient pareilles, comme de parfaites jumelles mentalement. Elles possédaient le même fond, et c'était ça qui les avait attiré si intensément l'une vers l'autre. Un silence plana, durant lequel Vanillia continua de doucement caresser la luxuriante chevelure de sa future femme. Elles allaient être épouses et sœur de sang en même temps. Drôle de situation, mais qui plaisait. Vanillia finit par esquisser un petit sourire et fit en sorte d'abaisser sa tête au niveau de celle de Mélinda.

Leur visage se collèrent presque, son souffle se mêlait au sien. Elle caressa sensuellement la joue de la sublime vampire avec le dos de son index, effleurant la délicatesse et le satiné de sa peau. "Comtesse Mélinda … Ça te va à ravir." Lui susurra-t-elle, doucement. Elle approcha lentement ses lèvres, donnant un petit baiser sur sa joue, à l'extrémité de ses lèvres. Elle effleura presque sa peau, tellement ce baiser était délicat. Elle en donna un deuxième de la même façon, mais le troisième s'apposa sur ses délicieuse lèvres. Ce n'était pas un baiser furieux, mais un simple geste affectif, prouvant alors tout l'amour que lui portait Vanillia. Elle captura ses lèvres entre les siennes, donnant lieu à un délicieux petit baiser. Leur visages étaient collés, tout comme leur corps. Jambes entremêlées, sexe chevauchant et se caressant l'un à l'autre, Vanillia posa sa main par-dessus celle de son amie et croisa ses doigts avec les siens, tout en refermant. Leur petit baiser n'était pas endiablé, mais au contraire, doux, sensuel et surtout, interminable …
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 19 mai 2015, 01:03:13
Mélinda avait conscience de l’impact de ce qu’elle lui demandait. Par définition et par nature, un vampire se devait d’être égoïste. Un vampire ne se liait pas facilement, et Mélinda en savait quelque chose. Rares étaient les personnes qui avaient suffisamment trouvé grâce à ses yeux pour qu’elle se décide à leur proposer le don de l’immortalité. Elle avait trouvé une humaine sur Terre qui aurait pu remplir ce rôle, Hitomi... Mais les choses avaient mal tourné. C’était une histoire dont elle devrait parler à Vanillia, un jour ou l’autre... Avait-elle peur que les mêmes choses se passent ici ? Oui, assurément... Seule une folle inconsciente n’aurait pas eu peur. Ce que Mélinda proposait à Vanillia... C’était presque de la folie. Elle lui proposait une union éternelle, elle lui proposait de devenir des sœurs de sang, comme Vanillia le disait si bien. C’était là la finalité du mariage, après tout : s’unir au sein d’une même famille. Et, pour un vampire, il n’y avait de famille que le sang qu’on avait en commun. Tout le reste relevait du domaine du verbal, de l’hypothétique, du superflu, du compromis et des remises en cause... Mais le sang, lui, était éternel. Il transcendait à la mort, se perpétuant de génération en génération. Il vous singularisait dans la mêlée grouillante et remuante des êtres humains.

Vanillia lui offrit sa réponse, et Mélinda sentit une vague de soulagement la traverser, comme un long frisson remontant le long de son échine. Sa belle amante se frottait contre elle, lui admonestant quelques tendres baisers. Leurs verges continuaient délicatement à se caresser, et la main de la vampire caressait le bas du dos de Vanillia, le griffant légèrement, tout en répondant à son tendre baiser. Oui... Elle était tombée sur une perle rare. Quelle femme ! Mélinda n’aurait jamais cru pouvoir tomber sur une telle personne avant de le voir en chair et en os ! Comme quoi, le hasard faisait bien les choses. Dès que Mélinda l’avait vue, elle avait senti une attirance... Et cette attirance venait de se confirmer après toute une moitié de nuit à baiser dans tous les sens possibles du terme. Vanillia se frottait contre elle, et Mélinda soupira lentement. Comme par enchantement, son phallus se contracta, et se retira.

« Une... Une dernière fois, Vanillia... Pénètre-moi... Je veux te sentir... Au plus profond de moi... »

Elle voulait croire, elle voulait croire que c’était réel. Elle, la petite vampire, celle qui n’avait fait que se battre contre le monde extérieur depuis des siècles. Elle s’était battue contre les autres esclavagistes, contre les Impériaux voulant détruire son harem, elle s’était battue contre les hommes voulant l’asservir, contre les fanatiques religieux la voyant comme un monstre, contre les fanatiques anti-esclavage la voyant comme une abomination... Elle s’était battue pour protéger son entreprise, battue pour conserver les murs de son harem, les corps de ses esclaves... Sa famille... Ou, plutôt, un embryon de famille, un embryon qui allait maintenant devenir le cœur d’une véritable famille. Grâce à Vanillia, la possibilité d’un clan, ce lointain fantasme, venait de prendre une tournure très concrète.

L’une de ses mains se glissa sur les fesses de Vanillia, et l’autre caressa sa nuque. La pénétration lui arracha un soupir. Vanillia contre elle, Vanillia sur elle, en elle...

« Hum... Je t’aime, Vanillia... Et ensemble... Hummm... Nous fonderons notre clan... Il sera beau et fort... Aaaahh... D’autres vampires nous rejoindront, et nous mettrons en commun toutes nos possessions, toutes nos richesses, nos fortunes, pour servir les intérêts de notre famille. »

Dans un clan, tout était mutualisé. Toutes les richesses des vampires, tout leur patrimoine, était concentré en un patrimoine unique, le patrimoine du clan, sa trésorerie.

« Ensemble, Vanillia... Hum... Nous serons les fondations d’un Empire puissant... Notre clan ! »
Titre: Re : Entrevue ludique ... [PV : Mélinda Warren]
Posté par: Vanillia Warren le samedi 23 mai 2015, 14:05:25
Quel plaisir et quel bien-être de se sentir ainsi. Vanillia ne s'était jamais autant portée bien, dans toute sa vie. Mélinda était tout simplement le cadeau le plus inestimable que le destin, ayant toujours été contre la vampire, lui avait fait. Peut-être que sa transformation devait avoir lieu pour connaître cette femme … Qui savait. Peut-être tout était lié. Si elle n'avait pas été une vampire, jamais elle n'aurait pu connaître Mélinda, et encore moins avoir l'immense honneur et chance de se marier avec. Plus elle tournait ça dans sa tête, plus elle se disait que les choses étaient finalement bien faite. Il suffisait qu'elle regarde sa vie à l'heure actuelle ; Vanillia était riche et prospère. Elle ne manquait de rien, même pas d'amour ni de sexe. Mélinda fut l'élément qui la compléta, et qui la rendit une femme accomplie et surtout, heureuse. La propriétaire de harem allait être celle qui allait partager sa vie, pas comme une simple épouse comme les humains s'embêtaient à le faire, mais comme une sœur. Une femme qui allait devenir toute une partie de son être, avec qui elle allait vivre aux cotés pour l'éternité ! Cette pensée la faisait frissonner, et la rendait encore plus ivre envers Mélinda.

D'ailleurs, celle-ci finit par lui formuler un désir qui la fit sourire. Une dernière fois, voulait-elle que Vanillia l'honore. Le sexe de la vampire s'était rétracté afin de lui redonner sa féminité, ce qui voulait dire qu'elle voulait que la noble s'acoquine avec elle par là. Un sourire se dessina sur les lèvres de Vanillia, qui se déplaça au-dessus de Mélinda, reposant sur ses coudes. "Ça ne sera pas la dernière fois, Mélinda … Nous avons l'éternité devant nous désormais …" Lui susurra-t-elle à l'oreille, déposant un baiser à cheval entre ses lèvres et sa joue quand elle retira sa tête. Elle remua son bassin, faisant glisser sa verge sur les cuisses de Mélinda, avant de la mettre finalement face à son temple intime. Elle se rapprocha doucement, effleurant sa peau du bout de la tête rosée de son sexe, puis se décida à la pénétrer en un petit claquement. Un soupir franc s'échappa de ses lèvres, puis son regard se reporta sur celui de la vampire. Son visage était juste au-dessus du sien, presque collé. Le bout de leur nez se caressaient, alors que Mélinda commença à parler. Vanillia faisait ses vas-et-viens avec un certain rythme, pénétrant sa futur femme, sentant son sang fuser à toute allure dans ses veines. "Hmmm …" Gémissait-elle en se mordillant les lèvres.

Ses coudes étaient apposés sur le matelas de sa couche, mais ses mains étaient sciemment positionnées sur les délicates épaules de Mélinda. Elle sentit les siennes se faufiler sur ses fesses et sur sa nuque, l'emprisonnant contre elle, intensifiant l'étreinte passionnelle qu'elles partageaient. Elle déclara qu'elles allaient fonde un clan, partager richesses, fortunes et autres dès lors. Un clan, un empire, comme elle le mentionna. "Oui … Oui, notre Empire Mélinda … Rien qu'à nous … Hmmm … Rien que toi et moi …" Susurra-t-elle, entre deux soupirs. Sa verge labourait la féminité de Mélinda, s’immisçant en elle en un bruit de succion. L'intimité de la vampire gobait avec voracité le sexe de Vanillia, qui se mordait toujours autant les lèvres, et qui finit par crisper ses doigts, griffant alors la douce peau de son amante au niveau de ses épaules. Sa queue rougissait et gonflait de plus en plus, poussant sa propriétaire à hoqueter de plaisir. Elle y allait si intensément qu'elle parvenait à rentrer toute sa lance de chair dans le corps de Mélinda, pressant ses testicules contre son fondement à chaque descente.

Ses seins se blottirent contre les siens, les écrasants, faisant frotter leurs pointes rosées entre elles. "Haa-Haa … Je … Hmm … Je t'aime … Si fort … Si fort … Haaa …" Gémissait-elle, tout en plongeant son regard dans celui de Mélinda. Même si elle se tordait de plaisir, Vanillia regardait son amante d'une manière des plus perçante. Quand elle lui déclara à nouveau son amour, ses yeux se chargèrent en sens et en profondeur, tentant de transpercer le regard de la vampire à ce moment. Ces mots n'étaient pas de simple jérémiades émotionnelles. Ils venaient de ses entrailles. Ils étaient viscéraux !