Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 00:39:05

Titre: Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 00:39:05
Citer
"Madame",

Sachez que votre arrivée sur Terre n'est pas passée inaperçue aux yeux de certaines organisations dont nous sommes.
Après un rapide examen de votre statut que nous qualifieront de "réfugié", il nous est apparut évident que vous étiez le genre de personne dont les talents doivent être promus. Vous avez des capacités uniques, une éthique discutable, et un goût prononcé pour les expériences sur cobayes humains. Autant de prétextes qui font que nous aimerions apporter notre contribution à votre bonne implantation sur ce nouveau plan d’existence.

Si vous cherchez un travail qui vous permette de tester et d'exploiter vos pouvoirs, et éventuellement d'en découvrir de nouveaux par l'expérimentation, rendez-vous à l'adresse donnée en pièce jointe. Notre personnel vous recevra dans notre agence Terrienne de Seikusu.

Cordialement,
BIOGENIX CORP.

BIOGENIX, le progrès au service du plus offrant...

À ma grande surprise un coursier m'a apporté cette lettre. Moi qui cherche à me faire discrète, visiblement je m'y prend mal et c'est une très mauvaise nouvelle. Si eux m'ont trouvés, cela veut dire que d'autres le peuvent. Même si cette "Biogenix" ne semble pas hostile à mon égard, tout le monde ne verra pas mon "éthique discutable" d'un aussi bon œil. Quelque part j'ai de la chance qu'ils aient été les premiers à me contacter mais, il faudra que je prenne des mesures pour que ça ne se reproduise pas. Ceci-dit l'offre est très tentante, tester et développer mes pouvoirs au sein d'une entreprise, avec des cobayes fournis par cette dernière, c'est le genre d'opportunités qu'on ne refuse pas dans ma position. Surtout que les probabilités pour que ce soit un piège sont extrêmement faibles, je suis vulnérable et personne ne remarquerait ma disparition. Pourquoi s'embêteraient-ils à faire toute cette mise en scène juste pour me capturer ? Non, l'offre est sincère et bien trop avantageuse pour ne pas y aller, nul besoin d'y réfléchir d'avantage.

Je regarde donc l'adresse sus-mentionnée. Elle est écrite sur un petit carton glissé dans l'enveloppe, curieuse coutume humaine. Ils n'ont pas assez de place pour la mettre directement sur la lettre ? Et puis il sont biens gentils mais, comment je suis censée savoir me servir de cette adresse ? Je viens d'apprendre que cet endroit s'appelle Seikusu il y a cinq minutes et je suis déjà censée pouvoir me repérer ? Enfin, je suppose qu'ils ne doivent pas voir des succubes débarquer tous les jours d'un autre monde par ici. Je me met donc à marcher au hasard, cherchant des yeux quelqu'un qui pourra m'indiquer la bonne direction, lorsque j’aperçois un jeune homme au loin. Je cours vers lui, prenant bien soin d'ouvrir mon décolleté en chemin et j'arrive à son niveau, faisant semblant d'être essoufflée. Haletante, une main sur ma poitrine qui se soulève à chaque inspiration, je lui tends le carton avant de lui demander avec un grand sourire :

"Excusez-moi je me suis perdue. Pourriez-vous me dire comment aller à cette adresse ?"

Le pauvre ne savait plus s'il devait reluquer ma poitrine ou se concentrer sur l'adresse, il s'est mit à bafouiller :

"Heu, hum, c'est ... Vous allez au bout de cette rue et vous tournez à droite. Ensuite vous hum ... Vous allez tout droit jusqu'à la librairie et vous prenez la rue qui monte vers les nouveaux quartiers, elle sera à votre gauche. À partir de là vous aurez des panneaux "Centre commercial", il vous suffira de les suivre, madame, enfin mademoiselle, enfin ... Vous avez un numéro de portable ? Enfin je veux dire ... Au cas où vous vous perdriez encore. J'adore rendre service !"

"Je viens tout juste d'arriver ici et je n'ai pas de portable mais, si vous voulez tant m'aider je serais au parc demain, toute la journée. Et j'aurais vraiment mais alors vraiment ..."

Je me suis jetée à son cou pour l'embrasser fort sur la joue, puis je me suis reculée en terminant ma phrase :

"... besoin d'une grosse aide pour des tâches très, hum, dures. J'y vais, je compte sur vous pour demain !"

"Heu, oui, je, avec plaisir ... Mademoiselle !"

Voilà comment une succube réserve son repas pour le lendemain et c'est plus fiable que n'importe quelle réservation. Il ne se doute pas encore que l'opération pourrait lui être fatale et que dans le meilleur des cas elle le laissera à l'état de légume pendant plusieurs heures. Mais ce n'est pas très vendeur, on évite d'en parler à la première rencontre. Je me dirige donc vers la direction indiquée, je tourne à la librairie comme prévu et je suis les panneaux jusqu'au centre commercial. La suite de l'adresse indique l'étage et le numéro d'emplacement de la boutique que je retrouve sur un plan du centre accroché au mur. Numéro 18, à l'Est du magasin, au rez-de-chaussée. Qu'elle n'est pas ma surprise lorsque je me retrouve face à ... un restaurant ? Un simple restaurant, enfin restaurant ... Une espèce de cantine pour les employés et les clients, avec un self-service. C'est une blague ? Dans le doute je me dirige vers la personne qui tient la caisse pour en avoir le cœur net.

"Bonjour, je suis bien à cette adresse ?"

À partir de là, je n'ai plus qu'à me laisser conduire, à profiter de la visite et à écouter attentivement les propositions qu'on a à me faire. Il suffira simplement de montrer la lettre à l'employé s'il me confirme que je suis bien chez Biogenix. D'ailleurs, je me demande ce que ça donne si d'aventure je montre cette lettre à quelqu'un qui n'est pas supposé la voir. Hum, mieux vaut ne pas tester ça, mauvaise idée.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le vendredi 07 novembre 2014, 14:52:24
Rien ne semble distinguer cet archétype de patron de restaurant de n'importe quel autre. C'est un vieux monsieur, moustachu et ventripotent, le crane chauve et la mine gauguenarde. Non franchement, rien qui ne pourrait laisser penser qu'il travail pour une firme aussi puissante et dangereuse que BIOGENIX.

Et pourtant...

La jeune damoiselle présente son carton et dit les mots, le visage du vieil homme durcit et il passe les mains sous son comptoir. Il plisse les yeux et scrute le visage de son interlocutrice avec la plus grande attention.

Après quelques seconde d'un silence pesant, il se radoucit et s'incline respectueusement. Il se tourne vers les quelques clients qui se trouvent dans son établissement et leur fait un geste discret de la main. Tous cessent instantannément leurs activités, leur discutions, leur repas, et sortent sans dire un mot, laissant la jeune Succube seule avec lui.

Agent de BIOGENIX - Mademoiselle, BIOGENIX CORPORATION vous souhaite la bienvenue dans son agence terrienne. C'est un véritable privilège de vous recevoir.

La succube ressent une légère vibration du sol sous ses pieds, quelque chose bouge, quelque part, dans cet endroit.

Agent de BIOGENIX - Si vous voulez bien me suivre, notre responçable vous attend dans la salle de Briefing, il lui tarde de vous rencontrer et de vous présenter nos locaux de travail.

Des locaux de travail ? Dans ce petit restaurant miteux ? En plein centre commercial ? Mais les réponses se présentent d'elle-même quand elle emboite le pas du "restaurateur".

Ils traversent les cuisines et pénètrent dans la chambre froide, là, une portion de mur entière c'est séparée pour révéler un ascenseur exigu.
Après une interminable descente, la température chute et les portes s'ouvrent sur une succession de couloirs blanc, climatisés et aseptisés, percés de sas dernier cris.

A aucun moment ils ne croisent qui que ce soit, le complexe souterrain semble désert. Ils atteignent enfin un sas gris orné d'un simple mot: Administration, celui ci s'ouvre sur une pièce plongé dans une semi obscurité.

Agent BIOGENIX - Je vais prendre congé maintenant. Ce fut un plaisir Mademoiselle.

L'homme se retourne et quitte les lieux. Laissant la succube seule devant la pièce sombre. Quand elle y pénètre, le sas se referme derrière elle.

Une lueur éclatante éclaire avec violence la vaste pièce équipée d'un grand bureau d' ébène et d'un siège à dossier monumental qui throne derrière.
Une jeune femme blonde au corps sculptural douloureusement engoncé dans un costume noir et blanc, (cf avatar) se tient debout, à coté du bureau.

Sans un mot elle avance vers la jeune succube et son regard ne laisse aucun doute sur ses intentions, elle vient pour la tuer...

Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 16:30:02
Dans quoi je me suis encore fourrée moi ? Je me retrouve face à un vieux monsieur qui me dévisage, puis me souri avant de faire sortir tout le monde, même les clients ... MÊME LES CLIENTS ? Ils payent des gens pour faire semblant d'être des clients ? Sérieusement ?

"Mademoiselle, BIOGENIX CORPORATION vous souhaite la bienvenue dans son agence terrienne. C'est un véritable privilège de vous recevoir. Si vous voulez bien me suivre, notre responsable vous attend dans la salle de Briefing, il lui tarde de vous rencontrer et de vous présenter nos locaux de travail."

Entre-temps le sol s'est mis à vibrer. La prochaine étape c'est quoi ? Un vaisseau spatial qui sort du sol comme dans les films et qui nous emmène sur une base lunaire pour étudier des spécimens extraterrestres ? Non mais, maintenant je m'attends à tout ici. Bon au final c'était juste un ascenseur dans le frigo, tout va bien ! En dessous ça ressemblait à une sorte d’hôpital bizarre, de laboratoire, complétement vide excepté moi et monsieur je-claque-les-doigts-et-tout-le-monde-se-casse. Tandis qu'il marchait droit vers son objectif, je m'attardais sur tel ou tel élément du décor, furetant à droite et à gauche sans perdre de vue mon guide. Je l'aurais bien harcelé de "c'est quoi ça ?" mais, quelque chose me disait que j'allais savoir très vite beaucoup de choses sur cet endroit. Surtout s'ils veulent me faire travailler dedans.

"Je vais prendre congé maintenant. Ce fut un plaisir Mademoiselle."

"Hum ? Heu, oui, merci."

J'ai passé quelques secondes à m'extasier devant le sas, c'est que ça a l'air sacrément solide tout ça. Puis je suis entrée, ce même sas se fermant immédiatement après mon passage. J'ai levé mon bras pour le mettre devant mes yeux, éblouie par le soudain afflux de lumière. L'éclairage est vachement agressif dans cette pièce mine de rien. Probablement pour en mettre plein la vue aux invités ? Malheureusement, l'éclairage n'est pas la seule chose agressive dans cette pièce. Une femme, sacrément bonne, vient vers moi avec un regard pas sympa du tout, genre : "je vais te tuer et me servir de tes tripes comme engrais pour mes coquelicots". C'était peut-être bien un piège en fait.

Les succubes ne sont généralement pas réputées pour leurs aptitudes au combat mais, elles restent des démones quand même. Elles ont des réflexes naturels de défense lorsqu'elles se sentent en danger. J'ai ramené mes bras contre mon corps, me tenant le menton avec la main gauche tandis que la main droite attrapait mon coude gauche, formant ainsi une sorte de "L" incliné. N'importe quelle personne ayant une bonne connaissance des arts martiaux identifiera une posture défensive, le but étant de protéger ses points vitaux, gorge, cœur, poumons, etc. Puis j'ai repris immédiatement ma forme de succube, déployant mes ailes pour impressionner mon adversaire. Pour finalement les abattre violemment vers le bas et ...

"FUAAAAAH !!!"
"Pok !"

M'envoler et planter mes cornes dans le plafond.

"Je crois que je suis coincée ..."

Bon au moins si l'autre veut me faire du mal je suis en bonne position pour lui donner des coups de pied, c'est déjà ça. Néanmoins, je ne pensais pas être capable de voler, beaucoup de succubes n'ont des ailes que pour la décoration. J'ai donc découvert aujourd’hui que certaines succubes pouvaient voler et que j'en faisais partie, plutôt bon à savoir ça. J'ai aussi appris qu'il ne faut pas voler dans les bâtiments.

Mais, tout cela ne me dit pas comment je redescend maintenant ...
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le vendredi 07 novembre 2014, 17:15:02
Irina frappe le vide et grogne de frustration, elle s'était tans préparée à cet instant où elle pourrait enfin libérer sa colère, sa rage, sa frustration.

Le coup qu'elle vient de rater, c'est celui qu'elle rêvait de donner à ce bâtard d' Administrateur qu'elle était en train sucer quelques minutes plus tôt.

Réduite à l'état de pantin par ses implants et son endoctrinement, l'ancienne rebelle n'était pas simplement obligée de massacrer de pauvres gens contre qui elle n'éprouvait aucune haine. Tout client ou employé de BIOGENIX avait le droit d'user d'elle pour son plaisir personnel, et l' Administrateur de l'agence Terrienne ne s'en privait pas...

Pour oublier l'horreur de ces viols successifs, seul lui restait la violence et le combat. Et massacrer une créature réputé maléfique ne choquait pas son sens de l’éthique.

Elle avance vers la créature prisonnière de ses appendices fichés dans le plafond et prend un violent coup de pied dans le menton. Ses iris s'illuminent de fureur, elle attrape la cheville de Sora et tire violemment dessus. La démone se décroche et tombe, Irina lève le poing pour frapper à nouveau, cette fois, elle ne va pas la rater...

Administrateur - Il suffit !

Irina s'immobilise. Son désir de frapper se lit dans son regard fiévreux mais elle est comme paralysée.

Le siège à haut dossier tourne sur lui-même et révèle un homme d'âge mur aux cheveux grisonnants et au regard d'un bleu plus brillants que ceux d'un démon des glaces.Il est très élégamment vêtu d'un costume noir et gris.
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Administrateur - Merci [Sujet 2501]. Tu peux reprendre ta place.

Irina résiste quelques secondes et garde son regard furibond braqué sur la succube. Puis elle craque et obéie à l'ordre impérieux de son supérieur. Elle se retourne et revient se placer juste à coté du chef Terrien de BIOGENIX. Il sourit et passe une main sous sa jupe noire étriquée pour venir caresser la naissance de ses fesses. Irina tique un instant et serre les dents, ce qui fait saillir ses zygomatiques.

Administrateur - Veillez nous excusez mademoiselle Sora. Mais avant de vous en dire plus il fallait savoir si nous nous étions trompé sur votre compte où si vous aviez effectivement de la... valeur...

Il prend un dossier et en sort quelques feuilles avant de tendre le reste à Irina qui le prend sous son bras comme une secrétaire.

Administrateur - Nos indicateurs sur votre strate d' existence nous ont vendu votre arrivée sur Terre et il va de soit que nous ne savions pas s'ils étaient digne de confiance... Mais il semblerait que oui... pardonnez nous d'avoir douté de la bonne fois de votre espèce...

Il pose le rapport et fait signe à la succube d'approcher, il lui désigne un confortable fauteuil devant son bureau.

Administrateur - Je vous en pris, approchez, installez vous, je vous fait la promesse qu' Irina ne vous fera aucun mal.

A en juger par la haine qui brûlait dans le regard de la cyborg, rien n'était moins sur, pourtant elle restait là, prostré, à laisser cet homme odieux et sarcastique la toucher.
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Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 07 novembre 2014, 18:38:37
Au moins elle a trouvé un moyen de descendre. Pas le plus doux certes mais, ça a au moins le mérite d'être efficace. Heureusement que ses ailes ont amorties l'atterrissage, épargnant à son dos un choc trop violent. Malheureusement c'est un tout autre choc qui me préoccupe, celui du poing de cette furie contre ma mâchoire dans l'instant. Choc qui n'arrivera jamais, la bête entendant tonner la voix de son maître. Deux mots seulement pour la neutraliser et huit autres pour l'envoyer faire cou-couche panier. Sa rage à mon encontre est intacte mais, elle semble incapable de lui désobéir. Elle se contente de me regarder méchamment pour me faire bien comprendre qu'à la prochaine occasion elle me le mettra ce coup. Menace vaine puisque l'homme qui vient de faire son apparition ne semble pas disposé à répéter l'expérience.

"Nos indicateurs sur votre strate d' existence nous ont vendu votre arrivée sur Terre et il va de soit que nous ne savions pas s'ils étaient digne de confiance... Mais il semblerait que oui... pardonnez nous d'avoir douté de la bonne fois de votre espèce..."

"Je ne pardonne pas gratuitement, surtout lorsqu'on me fait traverser la moitié d'une ville que je ne connais pas pour essayer de me casser la figure ! Si vous voulez mon pardon, montrez moi que je ne suis pas venue ici pour rien !"

J'ai repris mon apparence humaine et je me suis assise dans le fauteuil. Une fois bien installée j'ai regardé Madame Gros-Nichons droit dans les yeux pour lui tirer la langue. Puéril ? Oui. Nécessaire ? Absolument pas ! Mais qu'est-ce que ça fait du bien putain !

"Beuuuuuuh !"

Je me suis enfoncée dans le fauteuil, un coude posé sur l'accoudoir, jambes croisées, totalement décontractée malgré ce qu'il venait de se passer. J'ai l'intuition que la partie désagréable est passée et que le reste va être amusant. Mais les négociations aussi sont amusantes, s'il se sent obligé de se faire pardonner, peut-être m'accordera-t-il des avantages intéressants. Ça vaut le coup de tenter ma chance.

"Vous avez une proposition à me faire il me semble."

Tandis que la réponse arrivait je me faisais un plaisir de narguer Irina du regard. Ça devait être vachement frustrant de devoir obéir ainsi en silence, de se laisser tripoter par cet homme sans pouvoir protester. Bien fait pour elle.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le dimanche 09 novembre 2014, 23:30:37
Irina regarde droit devant elle en se mordillant la lèvre nerveusement, unique expression de sa tension nerveuse. Elle n'a pas eu l'occasion de se défouler sur cette créature, mais elle sait qu'une fois que l'invité sera partie, sa mission de protection prendra fin et elle sera envoyée traquer et tuer quelqu'un d'autre. Du moins l'espère t'elle...

Administrateur - Effectivement ! Et permettez moi d'entrer immédiatement dans le vif du sujet. Nous sommes en permanence à la recherche de jeunes talents et jusqu'ici BIOGENIX n'a jamais réussi à employer quelqu’un de votre... comment dire... nature...

De toute évidence, les rond de cuir de la firme considéraient le mot "démon" comme politiquement incorrect.


Administrateur - Ainsi quand nous avons apprit votre venue sur Terre ainsi que votre désir d'y rester, d'importantes ressources ont été allouées par notre maison mère pour vous faire une proposition d'embauche !

L'homme sort un nouveau dossier et le présente à Sora. Il s'agit d'un contrat, d'une fiche de paye avec un gros chèque, qui laisserait rêveur bien des terriens, ainsi qu'un plan de l'agence numéroté et une carte d'accès.

Administrateur - Nous pouvons vous payer dans la devise que vous préférez en fonction des lieux ou vous voulez vous rendre. En attendant que vous trouviez un lieu de vie qui vous convienne parfaitement, BIOGENIX s'engage à vous loger gratuitement dans un de ses lofts derniers cris à proximité des laboratoires, salle d'entrainement, ou salles de vie... Mais j'y reviendrais plus tard.

L'administrateur se lève et fait signe à la succube de l'accompagner, Irina les accompagne sans dire un mot et sans jamais quitter Sora du regard.

Administrateur - Permettez moi de vous faire visiter...

Ils sortent et commencent à déambuler dans les couloirs, un sas s'ouvre, ils entrent dans un laboratoire dernier cris, aux murs blancs, équipé de tables de travail, d'armoires pharmaceutiques, de chevalets métallique avec des sangles de maintient pour les cobayes.

Administrateur - En échange d'un salaire substantiel, d'un loft, et d'un usage totalement libre de nos locaux, la firme BIOGENIX ne vous demande qu'une seule chose: continuer à faire ce que vous aviez commencé. Explorez vos pouvoirs, faites des recherches sur tout les éléments qui vous intéresse et ne regardez pas à la dépense pour le matériel.

Ils traversent le laboratoire et continuent dans les couloirs jusqu’à un nouveau sas, derrière se trouve une salle de débriefing luxueuses avec une grande table blanche, un écran géant et des siège en cuir noir.


Administrateur - Une fois par mois nous vous demanderons un compte rendu de vos trouvailles ou de l'avancé de vos travaux. Vous serez libre de nous révéler ce que vous voulez et garderez le reste pour vous. De temps à autre nous vous demanderons de servir de consultante pour ce qui est de nos tractation avec la strate des Enfers ou encore une tache particulière directement en lien avec vos recherches et capacités.

Ils sortent à nouveau et commencent à marcher de longues minutes, vers une parcelle isolée et discrète du complexe. Ils débouchent sur un grand hall à fontaine percé de nombreux couloirs disposant non pas de sas, mais de portes, à chaque extrémité. L'une des porte arbore le numéro qui se trouve sur la carte de Sora. L' administrateur la guide vers cette porte et utilisa la dite carte pour l'ouvrir. De l'autre coté, un superbe loft tout aménagé avec salon spacieux et luxueux.

Administrateur - Comme vous pouvez le voir, vous pouvez disposer de ces locaux pour vous installer et y rester tout le temps que vous désirez. Vous pouvez aussi en faire usage si vous trouvez à vous loger ailleurs, il suffi d'en faire la demande.

Il la guide entre les pièces de la maison jusqu'à la chambre. Elle est aussi vaste et luxueuse que le reste.

Administrateur - Nous savons que votre nature particulière fait de vous un être particulièrement porté sur le sexe et la domination, c'est pourquoi...

Il appui sur un bouton près du lit et toutes les commodes basculent pour laisser apparaitre un arsenal complet de domina: sextoys de tout type et tailles, harnais, masques, bandeaux, baillons, seringues et flacons de diverses drogues etc...

Après quoi la visite se termine dans le salon, où il dépose le contrat.

Administrateur - Alors ? Qu'en pensez vous ? Désirez vous discuter et apporter d’éventuelles modifications au contrat ?


Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le lundi 10 novembre 2014, 15:03:08
Bla, bla, bla, bla, bla ... Pognon.
Bla, bla, bla ... Maison.
Bla, bla, bla, bla, bla ... Expériences.
Bla, bla ... Comptes rendus et missions.
Bla, bla, bla ... Batcave sexuelle, fuck yeah !

Mon Dieu, que cet homme parle, tel un coréen sur un meuporg il est impossible de l'arrêter. Bon la visite était sympa, les labos donnent envie, la maison est tout aussi bandante mais, bordel, ARRÊTE DE PARLER !!! Je sais lire un contrat, je sais regarder là où il faut pour voir si un lieu me convient ou pas ! Alors pitié arrête ! Mon cerveau fond, il coule par mes oreilles, y'en a partout c'est dégueulasse ! Prends exemple sur madame Gros-Nichons qui ne dit rien depuis tout à l'heure !

À la fin de la visite je hoche bêtement la tête, le regard dans le vide, complétement blasée. Nous arrivons dans le salon et vient enfin la délivrance :

"Alors ? Qu'en pensez vous ?"

Oooooh ! Toi tu vas regretter d'avoir posé cette question ! Je me retourne vers lui en ayant presque les larmes aux yeux.

"Vous prenez des cours pour être aussi chiant à l'oral ? Il faut vraiment arrêter, même une créature pacifique et adorable telle que moi a envie de vous étrangler après ça. Et puis ... Ce n'est pas sexy du tout !"

Vu qu'il est question de pognon avant tout, je me ressaisi bien vite. Passant de la déprime à l'enthousiasme sans transition :

"Hum, ce lieu manque de vie ! Je peux prendre madame Gros-Nichons comme assistante quand vous ne vous en servez pas ?"

Dis-je en parlant d'elle comme d'un outil qu'on se refile entre collègues. Je savoure l'expression faciale de l'espèce de gros ours siliconé, je l'aime bien cette petite. Je ne peux bien évidemment pas m'empêcher de la narguer du regard, avec mon petit sourire innocent qui en réalité signifie : "Tu vas morfler salope, prépare la vaseline, wesh !".

Puis je signe le contrat, parce que je ne vais pas laisser passer cette occasion d'avoir un labo souterrain perso sous un centre commercial pour faire mes expériences. Ça ne se refuse pas ça !
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le lundi 10 novembre 2014, 17:58:20
Sora - Vous prenez des cours pour être aussi chiant à l'oral ? Il faut vraiment arrêter, même une créature pacifique et adorable telle que moi a envie de vous étrangler après ça. Et puis ... Ce n'est pas sexy du tout !

En l'entendant répondre de manière si désinvolte, l'agent comprend qu'elle est séduite par l'offre et que la négociation part sous les meilleurs auspices, ce qui le fait sourire de manière bienveillante.

Sora - Hum, ce lieu manque de vie ! Je peux prendre madame Gros-Nichons comme assistante quand vous ne vous en servez pas ?

Les yeux d' Irina flamboient de colère et son visage durcit, elle sert les poings et cette fois, à le véritable désir de s'en prendre à elle... pour s'en prendre à elle, et pas parce qu'on lui en a donné l'ordre. Mais plus que la colère c'est la peine qui se lis dans son regard, celle d'être prise pour un objet. Malgré toutes ces années de servitude, la cyborg le refuse toujours de toute son âme.

Un jour... je serais libre... tu verras... pense t'elle très fort.

Administrateur - Justement, j'allais y venir.

Irina tourne violemment la tête vers l'agent de BIOGENIX, à la fois surprise et horrifiée parce qu'il vient de dire. L'homme ignore la réaction de la cyborg et sourit en voyant sa nouvelle "employée" signer le contrat. Il le récupère et s'incline de nouveau. Irina tremble de tout son corps, elle semble sur le point d'éclater.

Administrateur - Merci. En effet, nous désirons étudier l'effet des pouvoirs démoniaques, succubiques, ainsi que le fruit de vos expérience et de la magie noire sur nos agents cybernétisés.

Irina - Administrateur !

Administrateur - Silence Sujet 2501... Excusez la, malgré toutes nos procédures de reconfiguration de la personnalité, l'agent Tarkovskaya reste une petite rebelle, raison pour laquelle elle a été choisit pour vous servir de cobaye.

C'est pour ça ! Je n'étais pas là pour te protéger gros bâtard, j'étais la pour servir de ras de laboratoire à ta nouvelle pute !

Ses pensées hurlent dans sa tête mais elle ne peux rien dire, en revanche ses muscles se tendent comme des cordes à piano, sa colère et sa haine transparaissent très clairement. L'agent de BIOGENIX continue comme si de rien n'était.

Administrateur - Les actionnaires et moi-même serions curieux de voir ce qu'une personne disposant de vos talents peut faire pour la rendre plus docile. Pour ce faire toutes les installations sont à votre disposition, y compris les laboratoires si vous ne désirez pas vous cantonner à la magie. Vous trouverez dans votre dossier tout ce que vous auriez besoin de savoir sur le sujet 2501.

Il prend le contrat sous son bras et commence à sortir de la pièce, adressant un dernier sourire à la succube.

Administrateur - Bonne chance et au nom de BIOGENIX, soyez la bienvenue sur Terre et dans notre entreprise.

Il se tourne vers Irina qui est toujours au supplice, la rage au cœur.

Administrateur - Sujet 2501, vous êtes à la disposition de l' Agent BIOGENIX 666 - INUKO SORA. Tachez juste de ne pas la tuer, sa conception nous à coûté fort chère...

Irina - Administrateur !

Irina parvient au prix d'un effort de volonté surhumain à se mouvoir malgré les protocole de soumission de ses implants, elle marche vers la porte, mais celle-ci se referme...
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le lundi 10 novembre 2014, 21:30:05
Titiller la cyborg me plait. Elle ne peut strictement rien faire et sentir d'ici sa frustration m'amuse énormément. Elle a beau serrer ses poings ou râler, rien n'y fait, elle n'a plus le contrôle de son corps, elle est sans défenses. Quand le-gars-avec-les-yeux-qui-brillent m'a dit qu'elle serait mon nouveau jouet je n'ai pas pu retenir un petit :

"Youhou !"

En sautant sur place. Au moins tous les accessoires SM de la chambre vont servir à quelque chose. Cependant le monsieur m'a bien fait comprendre qu'il fallait que je la dresse un peu. Mais peut-on vraiment dresser quelqu'un qui est déterminé à ne pas se laisser faire quoi qu'il arrive ? Voyons déjà son dossier : elle a déjà enduré de nombreuses tortures sexuelles et pas de petites tortures du dimanche non, c'était le menu extrême là. Que puis-je faire de plus ? À la rigueur je peux directement rentrer dans son esprit mais, pour y faire quoi exactement ? Oh je sais ! Je regarde son nom sur le dossier et je m'adresse à elle :

"Dis Irina, je peux te poser une question ? Si je t'offrais un moyen de retrouver une petite partie de ta liberté, m'obéirais-tu à côté ? Sur Terra ils ont des techniques pour briser complétement quelqu'un, qui sont plus efficaces que ce que tu as enduré jusque là. Si Biogenix met la main là-dessus tu pourras dire adieu à ta personnalité pour toujours et je n'exagère pas. Que dois-je faire ? En parler à Biogenix ou bien compter sur ta coopération ?"

Je ne plaisante pas, ces techniques existent réellement, la seule chose que je ne lui dis pas, c'est que je cherche surtout à la soumettre d'une autre manière. Si je m'adresse à elle comme à un être humain, si je lui fais croire que je suis de son côté, si je lui offre un défouloir où elle pourra de nouveau ressentir une once de liberté, peut-être craquera-t-elle. Car ce qui maintient sa combativité, c'est justement le fait de toujours devoir résister pour ne pas plonger, tant qu'elle sera dans ce schéma là, elle sera impossible à dresser. J'ai terminé en portant à sa connaissance une vérité :

"Je ne suis ni bonne, ni mauvaise Irina. Je ne pense qu'à mes intérêts. Si mon intérêt est de parler à Biogenix je le ferais, en revanche si mon intérêt est de m'entendre avec toi, je n'y vois aucun inconvénient. Des chasseurs d'esclaves m'ont poursuivis pendant des semaines pour me faire subir ce genre de traitement. Grâce à l'argent de cette entreprise j'ai une chance de leur échapper et de ne pas devenir un légume qui ne pense qu'à sucer des queues à longueur de journée. Toi tu as encore ta conscience donc tu ne peux pas comprendre. J'ai vu des femmes qui ont subi ça, elles sont mortes à l'intérieur, leurs yeux sont complétement vides. Alors ? Que pense-tu de ma proposition ? Un peu de liberté si tu me permet de gagner un peu d'argent. Plutôt honnête non ?"

Si la méthode douce ne marche pas, il ne me restera plus qu'à me défouler sur elle. Ce qui ne me dérange pas du tout.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mardi 11 novembre 2014, 19:52:09
En parcourant le dossier d'Irina, la succube y découvre quelques points amusants.  L'armement que cache le corps apparemment inoffensif d'Irina par exemple, sa capacité de déployer des sondes, bien que le rapport ne précise pas avec précision à quoi elles servent.
Elle découvre aussi qu' Irina dispose d'une interface accessible directement par des petits ports "jack 1.5" dissimulés sous sa chevelure à la naissance de sa nuque. Branchés à un ordinateur dernier cris de BIOGENIX, ils permettent d’interagir avec sa programmation et collecter des données diverses.
Il explique aussi en détail tout le charabia bio-technique des implants qui entravent son cerveau ou augmente ses capacités, une véritable mine d'or d'information scientifiques, à condition d'avoir fait dix ans d'études...

Irina écoute la succube avec incrédulité et plisse les yeux de suspicion quand elle lui fait sa proposition. La cyborg n'est pas dupe, et son interface rétinienne lui permet d'observer chaque inflexion de la voix, chaque dilatation de pupille, chaque geste involontaire du corps et du visage. La conclusion de son analyse est simple: Inuko dissimule un mensonge avec des vérités.

L'ancienne rebelle connait bien ce genre de discoure, ce genre de torture. BIOGENIX CORP en était une fervente utilisatrice. Ouvrir une porte sur un espoir, pour que l'esclave croie avoir une chance de s'en sortir enfin, de mettre fin au cauchemar... et la refermer violemment pour que le désespoir la foudroie plus qu'aucune drogue ou aucune torture.

Combien de fois Irina s'est elle laissée avoir ? Elle ne peut plus le compter, et a chaque fois, elle a eu mal, elle a abandonnée tout espoir. La dernière en date n'étais pas si vieille et c'était passé dans cette même agence, quand l' Administrateur lui avait promis qu'il ne la baiserai pas si elle ramenait sa prise indemne. Il avait tenu parole... dans un sens... elle n'avait été obligée qu'à le satisfaire avec sa bouche, plongée dans les ténèbres d'une cagoule, pendant plusieurs nuits.

Ce souvenir attise la colère d'Irina mais elle la refoule et décide de jouer le jeu. Peut être ne connaissait elle pas la vérité et le mensonge dans la bouche de la succube, mais celle-ci ne la connaissait pas elle. Une fraction de seconde de liberté lui suffirait.

Irina - J'accepte votre offre. Laissez moi libre de mes mouvements et je vous aiderai...

Irina se prépare à agir, les muscles de son bras droite se tendent discrètement pour frapper, mais ce détail n'échappe pas à la vigilance de la succube...


Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mercredi 12 novembre 2014, 11:10:42
La persuasion ne marche pas, soit. Je suppose que cette femme a déjà tellement subie qu'elle est devenue résistante, quel dommage. Moi qui pensait pouvoir la détourner et me servir d'elle comme garde du corps, elle aurait été une chienne folle de sa maîtresse et adorable. Ces idiots d'humains l'ont déjà braquée, maintenant c'est trop tard, elle est irrécupérable, sauf en brisant définitivement son esprit. Du coup elle redevient ce qu'elle est vraiment, un défouloir vivant qui va payer le prix de son insubordination. Pensive je pose mon index sur mes lèvres, regardant Irina en imaginant une punition appropriée pour sa petite tentative de me casser la figure. Je tourne autour d'elle, détaillant son corps comme un prédateur tourne autour de sa proie. Puis je m'arrête juste devant elle, levant le menton bien haut, toisant cette femme-objet. Je pose ma main droite sur ma hanche, prenant une pose des plus suggestives, poitrine bombée et fesses décalées sur la droite. Et finalement je lève mon bras libre tout en me transformant en succube. Nous sommes sous terre après tout, mon aura ne devrait pas filtrer à l'extérieur normalement et même si elle fuitait je suis dans un endroit bien protégé. Je lui fait signe d'approcher avec mon doigt tout en disant :

"Gros-Nichons aux pieds !"

Bien sûr elle ne peut rien faire d'autre que d'obéir, l'administrateur a été on ne peut plus clair à ce sujet, elle est sous mes ordres. Une fois qu'elle s'est exécutée, je la regarde droit dans les yeux avant de lui mettre une claque et son revers, si elle ne peut pas me frapper, il est tout de même utile de lui rappeler que moi je le peux. Je glisse ma main sur la joue, la forçant à me regarder droit dans les yeux, puis je lui dit :

"À partir de maintenant tu ajouteras systématiquement "Maîtresse" lorsque tu t'adresseras à moi. Tu répondras au nom de "Gros-Nichons", parce que ça te vas bien. Et je t'interdis formellement de porter des vêtements qui ne te font pas honte. Allez retire moi tout ça Gros-Nichons !"

Elle n'a pas d'autre choix que de s’exécuter, du coup je la regarde faire, me délectant de l'expression de son visage. Une fois qu'elle a fini de se dévêtir je lui ordonne :

"Maintenant à quatre pattes et suis-moi. Je veux que tu roule des fesses comme une petite salope en manque et que tu couine mon nom."

Je me suis dirigée vers la chambre et j'ai ouvert le placard contenant les accessoires SM. Il y avait une très grande variété de tenues, toutes plus choquantes les unes que les autres. Des harnais, des déguisements d'animaux, des uniformes sexy, etc.

"Très bien, je veux que tu examines avec attention toutes ces tenues, sans exception. Une fois que ce sera fait, je veux que tu prennes celle que tu auras le plus honte de porter et que tu me l'apporte aux pieds pour que je te la mette ! Exécution Gros-Nichons !"

J'ai bien l'intention de lui faire regretter son attitude à mon égard.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mercredi 12 novembre 2014, 21:21:26
Inuko - Gros-Nichons aux pieds !

Irina écarquille les yeux et à un mouvement de recule au moment où elle se transforme, mais l'ordre que lui donne la succube et impérieux et ne souffre aucune équivoque. Malgré tout Irina parvient à se retenir pendant quelques secondes d'un lourd silence.

Ses implants bourdonnent à ses oreilles et une migraine atroce commence à lui vriller les neurones, elle craque et finit par s’exécuter, déjà épuisé par sa lutte intérieur. Elle approche d'Inuko les poings serrés sans se défaire d'un air renfrogné.

Inuko - À partir de maintenant tu ajouteras systématiquement "Maîtresse" lorsque tu t'adresseras à moi. Tu répondras au nom de "Gros-Nichons", parce que ça te vas bien. Et je t'interdis formellement de porter des vêtements qui ne te font pas honte. Allez retire moi tout ça Gros-Nichons !

La colère cède place a la crainte et surtout, à la honte quand la "Maîtresse" lui demande de se mettre nue. Encore une fois elle commence à lutter intérieurement pour résister, et encore une fois elle finit pas céder et se déshabiller. Elle baisse la tête vers le sol, gênée, et se contente de regarder le sol pendant qu'elle enlève sa cravate et son chemisier, dévoilant une superbe poitrine ferme, plantureuse et, grâce au miracle de la chirurgie, parfaitement dressée sur son torse. Ses tétons sont épais et beaux, presque trop... parfait... comme sculptés sur un canon académique.

Enfin elle fait glisser la fermeture éclaire de sa jupe et la laisse glisser sur ses hanches. Révélant cette fois ci un fessier bombé et musclé. Une vulve délicate et juvénile, chose qui surprend la succube qui s'attendait à voir celui d'une esclave, déformée et élargie par d'incessants rapports sexuels. Une fine toison d'or en forme de languette orne son clitoris, le reste à été soigneusement épilé.

Inuko - Maintenant à quatre pattes et suis-moi. Je veux que tu roule des fesses comme une petite salope en manque et que tu couine mon nom.

La cyborg lui obéit et se met à quatre pattes pour la suivre en dandinant des fesses, le visage rougit par la honte.


Irina - Oui... Maîtresse Inuko...

Murmure t'elle.

Inuko - Très bien, je veux que tu examines avec attention toutes ces tenues, sans exception. Une fois que ce sera fait, je veux que tu prennes celle que tu auras le plus honte de porter et que tu me l'apporte aux pieds pour que je te la mette ! Exécution Gros-Nichons !

Irina lance un regard emprunt de peur et de désespoir à Inuko, mais elle se heurte à la cruauté sensuelle de sa nouvelle Maîtresse. Elle détourne son regard et avance à quatre pattes vers l'armoire en roulant son fessier parfaitement galbé sous les yeux de la succube qui peut à loisir admirer la base de ses lèvres pubiennes et la plissure délicate de son anus.

Elle s'arrête devant et se livre bien malgré elle à une horrible gymnastique de l'esprit pour contourner l'ordre que vient de lui donner Inuko. Porter celle qui lui ferait le plus honte lui permettrait peut être de ne pas porter celle qui lui faisait le plus peur. Cette idée en tête, Irina lève les yeux sur le présentoirs.

Irina réalise alors tout à coup que ce qui lui fait le plus peur est aussi ce qui lui fait honte: d'avoir perdu le contrôle. Et son esprit, implacablement manipulé par les implants, la pousse vers un modèle en particulier. Il s'agit d'une sorte de harnais-camisole qui dévoile et met en valeur toutes les parties de son corps par un habile jeu de bandes de cuir et de triangle d'acier. Des gants aux doigts joints en une sorte de moufles collantes viennent emprisonner ses bras dans son dos ou sous ses seins, à la fantaisie du maitre. Enfin un collier de cuir épais permet d'emprisonner le visage de la victime dans une cagoule qui épouse parfaitement la forme de son visage. Cette dernière dispose d'un bandeau et de divers outils pour la bâillonner.

Perdre ses repaires, ne plus pouvoir contrôler ce qu'elle voit, ce qu'elle prend en bouche, ce qu'elle sent et même si elle peut simplement respirer. N'être réduite qu'a l'état de simple objet, c'est ce qui lui fait le plus honte.

Elle prend la tenue entre les mains en serrant les dents et se retourne pour l'apporter à Inuko en rampent sur ses genoux.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 13 novembre 2014, 15:21:08
Lorsqu'on se montre ferme avec elle, Gros-Nichons est une brave fille. Il ne faut surtout pas chercher à être gentille avec elle, c'est ce que j'ai compris à son sujet, il faut l'écraser, impitoyablement. Cette petite ne comprend que la manière forte et comme elle refuse de plier, ma seule option est de la briser. Lui infliger un plaisir forcé, lui faire peur, la dégouter d'elle-même, frapper sans relâche et avec force jusqu'à ce qu'elle cède. C'est son caractère qui m'y pousse mais, je mentirais si je disais que je n'éprouve pas un plaisir sadique à la malmener de la sorte. Je me découvre avec elle une passion pour la domination, car la voir aussi vulnérable, piégée entre mes griffes m'excite. L'idée que je puisse lui demander n'importe quoi avec la certitude d'être exhaussée m'est très séduisante, voir la rage, la honte et la détresse dans ses yeux est tout aussi grisant. Intérieurement je ne peux que blâmer mon actuelle faiblesse qui m'empêche d’assouvir ces envies plus souvent.

Irina est un bon petit robot, les ordres ne sont pas exécutés de gaité de cœur mais, ils sont exécutés. Elle se met donc à chercher sa tenue et comme promis me rapporte celle qu'elle aurait le plus de honte à porter. Elle m'apporte une sorte de harnais censé lui restreindre les bras et la priver de ses sens. Curieux choix que je m'empresse de commenter :

"Hum ... Alors comme ça tu as honte d'être restreinte, d'être vulnérable, de ne plus pouvoir bouger. Mais Gros-Nichons, tu n'es même plus capable de frapper quelqu'un que tu déteste ... Cette tenue ne va rien changer du tout ma pauvre petite, tu la porte déjà en permanence, dans ta tête. Ceci dit c'est un choix intéressant !"

Je ramasse la tenue et je la lui enfile. J'attache ses bras dans le dos, afin que l'avant de son corps soit exposé, je lui met la cagoule, de quoi lui bander les yeux. Plutôt que de la bâillonner je préfère lui mettre une sorte de cercle métallique dans la bouche qui l'empêche de refermer sa mâchoire. Je serre tout au maximum, lui faisant ainsi mal à plusieurs reprises, notamment au niveau de ses bras. Mais ce n'est pas suffisant, il manque quelque chose. L'attacher ce n'est que la première étape. Je réfléchis à ce que je pourrais rajouter tout en me moquant d'elle :

"Répète après moi Gros-Nichons : "Comme je suis un peu bête je parle la bouche grande ouverte et personne n'y comprend rien. J'adore ma nouvelle maîtresse elle me fait mouiller comme une petite salope."."

Bien sûr avec l'anneau qui bloque sa mâchoire elle ne peut qu'être ridicule, quoi qu'elle dise. Je ne me gêne d'ailleurs pas pour rire bien fort devant le spectacle pitoyable qu'elle offre. Humiliation supplémentaire, je caresse le haut de sa tête pour la féliciter de sa "bonne volonté". Avec le pouvoir que j'ai sur elle ma vraie nature se révèle, je mesure à quel point je suis un être sadique et cruel, il faut absolument que je devienne une puissante succube et que je pousse tout cela bien plus loin. Je me demande encore jusqu'où je suis capable d'aller, jusqu'où je vais m'amuser avec cette pauvre chose, où est ma limite ? En ai-je seulement une ? Plutôt : jusqu'où mon imagination peut-elle aller ? Oui, c'est une bien meilleure question !

À l'aide de ma queue de succube je fouette son arrière-train, laissant de petites marques rouges en forme de triangle et une étrange substance gluante. Intriguée j'y glisse mon doigt, me rendant compte que la substance en question glisse énormément, comme une sorte de lubrifiant. En y regardant de plus près je constate qu'il y a un minuscule trou à l'extrémité de ma queue d’où sort ce liquide. Intéressante découverte, je testerais ce produit sur elle plus tard. Pour l'heure je m'amuse à poser ton pied sur différents endroits de son corps, sur son sexe, sur son visage, entre ses seins en appuyant bien fort pour gêner sa respiration. Le pouvoir que j'ai sur elle me fascine, il me rend folle et capable de tout, j'adore cette sensation de toute-puissance !
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le jeudi 13 novembre 2014, 16:34:43
Inuko - "Hum ... Alors comme ça tu as honte d'être restreinte, d'être vulnérable, de ne plus pouvoir bouger. Mais Gros-Nichons, tu n'es même plus capable de frapper quelqu'un que tu déteste ... Cette tenue ne va rien changer du tout ma pauvre petite, tu la porte déjà en permanence, dans ta tête. Ceci dit c'est un choix intéressant !"

Irina lève vers sa nouvelle tortionnaire un regard glacial.

Tu crois être la première à vouloir me briser ? Tu crois que tu la seul à servir ce discoure cruel et dévalorisant...

Pense t'elle si fort qu'elle le dit presque en silence, totalement ignorante que les succubes disposent de capacité psyoniques.

Mais la succube ne se laisse pas impressionner par le regard froid de la tueuse dernier cris de BIOGENIX. Non, elle continue comme si de rien n'était, sans jamais se départir de son sourire et son comportement hautain et arrogant qui provoque une véritable monté de nerf chez Irina. La cyborg sent tout son corps se tendre et sa poitrine se soulever quand Inuko pose sans ménagement ses doigts sur sa peau diaphane pour lui enfiler cette horrible tenue d'esclave, non, pire de poupée gonflable vivante.

Irina - [murmure] non... humph...

Inuko tire sur les sangles de cuir et d'acier au maximum, emprisonnant et mordant le corps d' Irina. Les bandes qui corsètent son ventre compriment son diaphragme et lui donne la forme d'une pin-up à la taille de guêpe. Elle doit désormais lutter pour chaque bouffée d’oxygène, ce qui l'oblige à dresser et gonfler sa poitrine ainsi mise en valeur. Les différents jeux de menotte mordent ses poignets et ses coudes et emprisonnent fermement ses membres le long de son dos.

La succube prend la cagoule et le collier de cuir orné d'une boucle pour y passer une laisse.

Irina - [murmure] non... pas ça...

Inuko ne semble pas l'entendre, ou pas l'écouter, la mine réjouie et perverse, elle passe la cagoule sur le visage d' Irina, elle épouse ses traits à la perfection. Irina lance un dernier regard ou la colère et le dédain ont laissé place à la peur et aux supplications silencieuses. Mais encore une fois la succube reste impassible et lui bande les yeux. Perdue dans les ténèbres, la cyborg frissonne et tout son corps se charge d'une fine couche de sueur qui fait briller son corps à la lueur tamisé des lampes. Mais pour elle, le cauchemar ne s’arrête pas la...

Inuko lui passe un grand anneau d'acier dans la bouche, Irina se débat, elle a cet outil en horreur. Elle se souvient des premiers instants entre les mains des scientifiques de BIOGENIX, quand ils le lui mettaient entre les  dents pour ne pas qu'elle les morde pendant qu'ils la faisait tourner entre eux pour la violer par tout les orifices. Elle se souvient de son impuissance, de son incapacité à leur refuser même sa bouche.

Irina - Nan... je ref... ngaal aag...

La succube le lui enfourne de force et serre la sangle de toute ses forces, maintenant la bouche d' Irina grande ouverte.

Inuko - "Répète après moi Gros-Nichons : "Comme je suis un peu bête je parle la bouche grande ouverte et personne n'y comprend rien. J'adore ma nouvelle maîtresse elle me fait mouiller comme une petite salope."."

Irina - Gleuu... aglll...

Irina glapie un borborygme incompréhensible qui torture sa mâchoire, elle s’étouffe avec sa salive qui coule à profusion entre ses lèvres et dégouline sur ses seins dressés. Elle sent la main d'Inuko lui caresser la tête comme un animal, elle trouve la force de se libérer de ce contact humiliant d'un petit coup de tête de coté.

La réponse de la succube ne se fait pas attendre. Dans un claquement de fouet, elle sent la queue de sa tortionnaire lui brûler les fesses.

Irina - HAAA !

Irina part en avant et chute sur les genoux, totalement désorienté par la cagoule. Puis elle sent la pression et la texture étrange du pied d' Inuko lui écraser la poitrine, sa respiration devient roque.  Puis sur son visage, elle l'écrase et la soumet totalement, la réduisant à l'état de simple gibier. Enfin elle visite sa vulve du bout des orteils.

Irina - han !

Elle voudrait crier "nan" mais impossible avec le cercle d'acier. La honte la submerge car elle sait ce que la succube va découvrir. Quand elle passe son pied sur le sexe de son esclave, celle-ci remarque que celle ci à commencée à mouiller...


Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 13 novembre 2014, 21:14:21
Je pousse Gros-Nichons du pied pour qu'elle tombe sur le dos. Voilà qui va faire mal à ses bras, hi hi. Voilà surtout qui va me permettre de la prendre encore plus de haut. Fièrement dressée au-dessus d'elle je pose le bout de mon pied sur son bas-ventre, puis je glisse lentement vers son sexe, glissant mes orteils à l'intérieur.

"Oh ! Mais c'est qu'elle mouille en plus ! Quelle vilaine fille ! Tu t'énerve vite mais, en fait tu es une véritable petite salope Gros-Nichon. Tu réalise que ce n'est que le début ? Quand j'en aurais fini avec toi tu m'en redemanderas."

Je caresse son sexe avec mes orteils, faisant exprès de recouvrir mon pied de sa cyprine. Je la regarde se débattre et se retenir de gémir avec un grand sourire aux lèvres. Lorsque je juge mon pied suffisamment humidifié je l'essuie sur ses cuisses pour qu'elle en ait partout. Je la délaisse une petite minute, le temps d'aller chercher quelques objets sympathiques. Lorsque je reviens elle peut sentir que je me place juste devant elle, entre ses cuisses, elle peut entendre un bruit de vibration aussi. Puis elle identifie la provenance du bruit lorsque je commence à inséré des œufs vibrants à l'intérieur de son vagin. J'en met jusqu'à ce que son intimité soit pleine à craquer de ces petits joujoux, puis je place des bandes adhésives pour que plus rien ne sorte de son sexe. Les œufs vibrent à la puissance maximale et s'entrechoquent à l'intérieur, sensations garanties.

Ensuite je prends un gode vibrant que je recouvre de la substance qui sort de ma queue, un puissant gel lubrifiant, dilatant et aphrodisiaque. Puis je l'insère dans l'anus de ma victime, le réglant lui aussi au maximum avant de le bloquer avec de la bande adhésive. Elle ne peut strictement rien faire à part se tortiller au sol en gémissant comme une pucelle qu'on déflore.

"Et bien Gros-Nichons ? Déjà submergée ? Ne t'inquiète pas c'est bientôt fini, plus qu'un petit accessoire et tu seras devenue un superbe objet de décoration !"

Je me suis emparée de ce dernier accessoire, un petit boitier électrique avec quatre électrodes branchées dessus. J'ai placé les deux premières électrodes sur ses tétons, la troisième sur son clitoris et la dernière je l'ai enfoncée dans sa bouche pour la coller sur sa langue.

"Ouh ! Je crois que celle sur la langue et celle sur ton clito vont faire très mal !"

J'ai allumé l'appareil, le réglant pour un choc électrique toutes les trois secondes, puis je suis partie, laissant Irina seule avec cet attirail pour une durée indéterminée.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le jeudi 13 novembre 2014, 22:11:23
Dans un ultime acte de résistance, Irina essai de forcer en avant pour ne pas tomber à la renverse, mais la position de force de la succube lui donne le dessus et finalement elle chute.

Irina - Hen...

Ses poignets et ses bras meurtris lui font mal, elle essai de s'éloigner d'Inuko en rampent sur le dos mais celle-ci est sur elle en un instant, la dominant de toute sa taille. Après quelques minutes de délectation, la succube commence à glisser le bout de ses pieds dans la fente humide d'Irina qui se tortille et commence à gémir.

Isuko - "Oh ! Mais c'est qu'elle mouille en plus ! Quelle vilaine fille ! Tu t'énerve vite mais, en fait tu es une véritable petite salope Gros-Nichon. Tu réalise que ce n'est que le début ? Quand j'en aurais fini avec toi tu m'en redemanderas."


Non... ce n'est pas vrai... ce n'est pas moi... c'est eux... ces salops de Biogenix... je ne suis pas une salope...


Irina - Han !

Elle continue, encore et encore, avec une dextérité démoniaque, touchant caressant et massant du bout des orteils chaque zone sensible, flattant son clitoris gonflé jusqu'à ce qu'elle commence à se cambrer et onduler involontairement des hanches.

Puis elle l'abandonne dans le noire, Irina, encore brulante de désir, rampe faiblement sur le sol dans l'espoir de se relever. Isuko l’interrompe en revenant s'installer devant elle. Irina déglutie brillamment en entendant le vrombissement caractéristique des sexe toys. Elle les entend, tous, à mesure que la succube les active, il sont nombreux, si nombreux...

Irina - Gaaaa...

Irina tourne la tête de droite à gauche, elle tire sur ses liens qui grincent sous l'effort. Ils tiennent bon jusqu'à ce que Isuko commence à enfourner les œufs uns par uns entre lèvres pulpeuses de sa vulve.

Irina - Gnooooo ooon !

La cyborg commence à trembler de tout son corps, submergée par les stimuli toujours plus violent à mesure qu'elle se fait remplir de sex-toys. La succube continue imperturbablement sa tache et regarde gonfler le bas ventre d'Irina à mesure qu'elle fourre toujours plus son vagin serré. A un moment donné, Irina se cambre et un  œuf ressort de sa fente lubrifiée, elle vient de jouir une première fois. Les yeux d'Irina se chargent de honte à l'idée du spectacle délectable auquel sa tortionnaire vient d'assister. Elle connait déjà sa faiblesse...

Quand Isuko achève sa besogne, le ventre d'Irina est gonflé de petites bosses qui vibrent et se déplacent sous sa peau. Elle se tortille au rythme de ces ondulations incessantes et ne parvient plus à refermer les cuisses tans son vagin est dilaté et stimulé.

Irina - haaaaa haaaa...

Soudain l'ancienne rebelle sent ce qu'elle pense être le coup de grâce: un énorme gode vibrant bien lubrifié qu'elle sent pousser contre le muscle plissé de son anus.

Irina - Gaaaaann !!

Elle se contracte de toute ses forces pour l’empêcher d'entrer, mais c'est sans compter sur la substance lubrifiante et aphrodisiaque que la démone à utilisée pour l'enduire. Lentement le bout fin du gland de plastique ouvre le muscle anal d'Irina et le dilate progressivement en s'y enfonçant. La portions la plus grosse finie de l’ouvrir totalement et la succube insère enfin toute la longueur dans son fondement.

Irina devient folle, son muscle maintenant lisse tente de se contracter autour du jouet vibrant et propage dans tout son corps ses délicieuses et douloureuses vibrations. Une chaleur démoniaque enflamme ses reins et fait fondre sa volonté à mesure que la substance de la succube remonte le long de ses veines et noie son cerveau sous un torrent de désir sexuel. Elle n'entend même plus ce que sa Maitresse fait ou dit, elle commence déjà à se perdre dans l'orgasme.

Quand Inuko se penche une dernière fois pour achever sa proie, elle remarque qu'Irina à perdue la raison. Elle n'est plus qu'une poupée de plaisir qui se contorsionne et jouis en bavant, la langue jaillissant de sa bouche grande ouverte à la recherche de quelque chose à sucer.

La succube à le plus grand mal à fixer les électrodes tans les zones qu'elle choisit sont recouverte de sueur et de cyprine. Elle profite du moindre rare instant d'immobilité pour les fixer sans qu'Irina ne le remarque.

Enfin elle active l'appareil et les déchargent commencent à envahir le corps d'Irina. Elle se contorsionne toujours plus, l'esprit noyé par les orgasmes, la cervelle et le système nerveux survoltés par les décharges électriques. Elle commence à hurler tans de douleur que de plaisir, elle ne sait plus faire la différence. En refermant la porte, Inuko entend les cris de son esclave qui l'accompagnent et la supplie d’arrêter ça...
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 14 novembre 2014, 18:46:15
Gros-Nichons pouvait rester ainsi des heures et des heures, ce n'était pas un problème, vu son dossier elle était endurante, pas la peine de s'en soucier. Il faut que je réfléchisse à un truc amusant à faire, un truc qui sorte de l'ordinaire, qui soit humiliant et excitant mais, surtout amusant, enfin pour moi quoi. Une idée, une idée ... OH PUTAIN JE SAIS !!! Je me dirige vers l'un des téléphones du laboratoire mis à ma disposition, Irina est loin, enfermée dans ma chambre, elle n'entendra rien. Je cherche dans les numéros de l'entreprise celui du service fournitures, ah le voilà ! Et je ne tape sur le pavé numérique.

"Tuuuuuuut ! Tuuuuuuut ! Tuuuuuuut ! Tuuuuuuut ! Service fournitures de Biogenix bonjour !"
"Bonjour, ici l'agent 666, Inuko Sora, je voudrais commander un poney !"
"Un ... Poney ?"
"Oui et faite bien attention à ce que ce soit un mâle, avec un beau phallus. C'est pour une expérience."
"Bien, votre poney sera livré à votre laboratoire dans les plus brefs délais agent 666. Vouliez-vous autre chose ?"
"Hum ... Oui ! Rajoutez-moi une caméra s'il vous plait ! Avec un trépied. Un lit médicalisé, avec des sangles et un grand écran de télévision. Ce sera tout."
"C’est noté agent 666, votre matériel de recherche arrivera à votre laboratoire sous deux jours, au revoir."
"Au revoir."


N'ayant rien de spécial à faire dans l'immédiat, je me suis dis que Gros-Nichons allait probablement survivre à deux jours sans boire et manger. Ouuuui ! Ça va le faire ! Du coup j'ai éteins la lumière et je me suis barrée. Il fallait que je mange un coup en plus.

Deux jours plus tard

J'allume la lumière en entrant dans le laboratoire, ma caméra sur son trépied est arrivée, elle a même été déballée et montée, les passages importants du manuel ont été surlignés. Quelle délicate attention ! Le lit médicalisé est dans le laboratoire, avec les sangles, parfait ! Et un grand écran de télé, déjà monté, branché, réglé, par-fait ! Et dans un coin mon poney est attaché, avec de la nourriture pour une semaine qui tombe automatiquement du distributeur aux heures de repas. Ils ont vraiment fait les choses bien ! Je m'approche du poney et je le caresse un peu.

"Je vais t’appeler Étalon du cul ! Ça te plaît ? J'y ai réfléchis pendant deux jours ! Oh oui ! Tu l'aimes ce nom hein ?"

Ensuite je me suis dirigée vers la chambre, histoire de voir l'état de Gros-Nichons. L'odeur était horrible, malgré la bande adhésive, la pression exercée par sa pisse l'avait arrachée. Elle baignait dans une flaque d'urine, quelques œufs vibrants étaient sortis, vibrant au sol dans le vide. J'ai oublié de penser à ses besoins naturels ... Bof, personne n'est parfait, petite erreur de débutante ! Son ventre était gonflé, elle devait avoir sacrément mal et envie de chier la pauvre, sans parler de sa soif.

"Bonjour Gros-Nichons. Je suis partie un peu plus longtemps que prévu. Tu t'es bien amusée ?"

J'ai retiré son bandeau de ses yeux et j'ai détaché ses bras.

"Tu as dix minutes pour te débarrasser des jouets en toi, aller aux toilettes et nettoyer tes cochonneries ! Je t'interdis de faire autre chose pendant ce temps. Ensuite tu reviendras ici."
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le lundi 17 novembre 2014, 20:26:50
La lueur de la pièce arrache à Irina un petit gémissement de douleur au moment où Inuko lui enlève la cagoule. Quand celle-ci la relâche, elle retombe mollement sur le sol et rampe douloureusement, les jambes écartés  hors de la flaque que forme ses fluides corporels. Curieusement, elle n'a pas déféquée, peut être n'a t'elle absolument rien mangée depuis plusieurs jours, ou peut être es ce une option propre à son corps cybernétique. La succube se souvient alors que le fait d'avoir besoin de manger et de faire ses besoins est une potions "réglable" depuis l'interface de la cyborg.

Irina ne parvient pas à dire un mot, son esprit est confus, totalement déboussolé et submergé d'hormones, épuisée d'avoir tans souffert et tans jouis.

Inuko - Tu as dix minutes pour te débarrasser des jouets en toi, aller aux toilettes et nettoyer tes cochonneries ! Je t'interdis de faire autre chose pendant ce temps. Ensuite tu reviendras ici.

En entendant les ordres cruels de la succube, Irina serre les dents, mais elle n'a plus la force de la défiée, elle est totalement épuisée et sa chaire aussi. Elle se rend jusqu'à la salle de bain à genoux la tête baissée. Le god de bonne taille toujours profondément enfoncé dans son anus l'oblige à le faire les jambes bien écartés d'où glissent uns à uns les œufs maintenant inertes.

Elle s'installe sur le bidet et commence à se nettoyer, l'eau chaude soulage sa chaire meurtrie et détend les muscles de ses cuisses et de ses fesses. Lentement et dans un long gémissement libérateur, elle extrait le god. Elle se contracte, mais la sensation à changée, elle se penche en avant et regarde interloquée son muscle anal distendue qui reste légèrement entrouvert. Irina retient un cris de dégout et se dépêche, elle n'a que dix minutes pour se libérer de toute cette crasse.  Les derniers œufs glissent de sa vulve élargie qu'elle regarde avec tristesse. Elle sait que de toute façon, d'ici quelques heures, voir quelques jours, ses capacités de régénération auront ramené ses organes génitaux à l'état de perfection inviolée qu'elle subit depuis sa métamorphose. Irina crache sur le sol en y pensant, réalisant que Inuko apprécierait énormément cet aspect de son corps amélioré...

Une fois qu'elle est fin prête et parfaitement nettoyée, elle revient en marchant d'un pas déjà plus sure, le corps encore ruisselant d'eau tiède. Elle n'ose plus affronter le regard de celle qui l'a vue se tortiller dans sa cyprine comme une chienne en chaleur.

Irina - [murmure] J'ai terminée... Maitresse...

Ces mots lui arrachent les lèvres, mais elle les prononce quand même, dans l'espoir de ne pas attirer le courroux de la démone...

Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mardi 18 novembre 2014, 11:54:00
Je regarde Irina revenir vers moi, la pauvre chose n'ose même plus me regarder dans les yeux. Où est donc passée ta combativité petite garce ? Tu abandonnes après seulement deux petits jours a patauger dans ta mouille et ta pisse ?

"J'ai terminée... Maitresse..."

Ah ... Quel doux son à mes oreilles mais, non. Je m'en vais prendre un seau, un balais et une serpillière dans le placard et je lui colle le manche du balais entre ses énormes seins tout en lui mettant l'anse du sceau dans la main. Je lui explique bien vite mon geste :

"Non, tu n'as pas terminé ! Tu as oublié de nettoyer la flaque que tu as laissée. Tu crois que ma chambre va se nettoyer toute seule espèce d'idiote ? Allez nettoie moi ça !"

Mon mépris pour elle n'était même pas voilé, rajoutant à la souffrance physique la souffrance psychologique. Il faut que cette cyborg intègre que je suis sa maîtresse, qu'ici c'est moi qui commande et que je fais ce que je veux d'elle. Je prends plaisir à la maltraiter, je n'aurais pas pu rêver meilleur jouet. Je la regarde nettoyer, elle n'a pas le choix après tout, elle est nue, ses orifices sont ouverts comme si un troupeau de taureaux lui était passé dessus. J'attends qu'elle ai fini, me délectant du spectacle. Sitôt sa tâche achevée et le matériel rangé, un autre ordre fuse, plus facile à suivre :

"Suis-moi Gros-Nichons, je dois te montrer quelque chose."

Je sors de la chambre pour l’emmener jusqu'à l'endroit ou se trouve le poney que j'ai commandé, en voyant l'animal elle a probablement directement compris ce que je comptais en faire. Affichant un sourire amusé je lui dis :

"Alors Gros-Nichons ? Comment trouves-tu ton nouveau mâle ? Il est beau hein ? Il s'appelle Étalon du cul, j'ai trouvé ça en jouant à un jeu-vidéo terrien, Bordelland 2, ça m'a fait rire. Mais vous ferez des cochonneries plus tard, je pense que tu as faim depuis le temps."

Je n'étais pas revenue les mains vides, avec l'argent de Biogenix j'avais acheté un repas à emporter, aucun piège ici, un repas tout à fait normal pour Gros-Nichons. Il fallait aussi qu'elle comprenne que quand elle est gentille avec moi je peux être sympa aussi. Je lui tends une énorme pizza et plusieurs bouteilles d'eau, je me suis dis qu'elle aurait vraiment faim. Ça lui laissera aussi le temps de s’inquiéter au sujet de la présence du poney. Après son repas je l'ai emmenée dans le laboratoire, il fallait qu'elle ait une période de vie normale entre deux, il fallait trouver ce subtil équilibre au sein duquel elle allait progressivement aimer sa situation. Je lui ai demandé, comme s'il ne s'était rien passé de spécial :

"Explique moi comment me servir du matériel du labo pour découvrir mes pouvoirs."
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mardi 18 novembre 2014, 21:44:39
Irina accomplie la besogne d'un air renfrogné en gardant pour elle le fait qu'un droïde ménager passe régulièrement dans l'appartement pour le nettoyer. Sa stratégie de ne pas contrarier la succube à fin d'endormir sa méfiance semble fonctionner. Celle ci ne la punie pas pour ne pas avoir immédiatement exécuté ses ordres et lui ordonne de l'accompagner.

Mais le soulagement d'Irina est de courte durée, elle connait ces coursives par cœur et sait vers quelle section Inuko l’emmène... la section scientifique...
Irina frissonne en sentant l'air climatisé des laboratoires se déverser dans les couloirs et frôler sa peau nue.
La succube s'arrete devant un sas et l'actionne. Immédiatement les narines d'Irina sont assaillies par une odeur forte et animale, une odeur d'écurie...

Non... non... ce ne peut pas être...

Pris t'elle très fort en passant le pas de la porte. Elle à un mouvement de recule en voyant l'animal puissamment battis et membré qui mange d'un air stupide et bien dressé son fourrage. L'animal tourne son énorme tête dans la direction des deux femmes et hume l'air, ses lèvres bougent et il pousse un petit hennissement d'excitation. Irina détourne le regard de l'animal, génée, et remarque le lit médicalisé prêt à servir.

Irina recule.

Irina - Non...

La succube la retient et la fait entrer de force dans la pièce avant de refermer le sas. La cyborg est couverte de sueur et de chaire de poule, elle tremble, elle sait ce que Isuko lui réserve, et elle à peur.
La réaction de celle-ci la déconcerte néanmoins. Plutôt que de la punir, la brimer, ou l'offrir à l'animal, celle-ci lui tend un repas copieux.

Irina regarde la pizza d'un air méfiant. Puis décide de le manger, préférant continuer dans son optique d'apaiser la méfiance de la succube. En vérité, son estomac est si noué qu'elle n'a aucun appétits malgré les deux jours de jeun.  Une fois qu'elle à terminé elle jette l’emballage et les bouteilles d'eau dans une poubelle du laboratoire et revient se placer devant la maitresse.

Inuko - Explique moi comment me servir du matériel du labo pour découvrir mes pouvoirs.

La question de la succube la rassure et Irina ne peut réprimer un soupir de soulagement. La saillie n'est pas pour tout de suite. Heureuse d'obéir à cet ordre plutôt qu'à un autre Irina lui présente l'ensemble des fonctionnalité du laboratoire. Elle commence par lui montrer les installations classiques qui comportent tout ce qu'un laboratoire ultra moderne compte de matériel, elle lui montre les armoires des matières, tout ce que la Terre, Terra et les Enfer compte de substance exotique y sont répertories et étiqueté avec minutie: sang de démon ou de vampire, venin de lamia etc etc.

Elle lui présente aussi les installations chirurgicale et de manipulation corporelle, mais sur ce sujet, la cyborg semble beaucoup moins à l'aise. Elle passe rapidement sur le sujet comme pour se débarrasser d'une douloureuse besogne.

Enfin elle lui fait découvrir l'interface virtuelle. Dans une étrange pièce aux murs blancs qui lui donne une impression d'infini, elle matérialise tout ce qu'elle demande, paysage, environnement, matériel, et même cible ou ennemis virtuels.

 
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Irina - Par ce procédé vous pouvez développer vos aptitudes démoniaque au combat et même obtenir une évaluation de vos capacité au près du serveur.

Enfin Irina la guide vers la salle d'expérimentation sur cobaye. Des lits médicalisés et des ascenseurs fait de cage en fer ornent de hauts murs d’où proviennent les cris des prisonniers et prisonnière de tout origines.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Irina reste silencieuse et ne parvient pas à lever la tête pour regarder ce spectacle monstrueux, tans la peur de revivre ce qu'elle à elle-même vécue ici est vive. Après quelques instants, Irina s'éloigne et retourne au niveau du sas.

Irina - Vous pouvez demander le sujet de votre choix ici pour perfectionner vos talents succubiques bien que l' Administrateur m' ait déjà assignée à cette tache. La visite est terminée Maîtresse...


Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 20 novembre 2014, 12:59:13
Montrer à Gros-Nichons le pire, la pousser à s'imaginer empalée sur le phallus de ce poney, puis lui demander quelque chose de dérisoire à ses yeux. Petit à petit elle allait m'aimer, non pas parce que je suis réellement gentille avec elle mais, parce que je lui épargne toujours le pire tant qu'elle est gentille. Si elle se montre méchante en revanche je pourrais me défouler à loisir sur elle, j'aurais déjà tout ce qu'il me faut à portée de main. Et elle le sait, le plus important c'est qu'elle le sait, la menace est là, juste à côté d'elle, un seul faux pas et elle sait qu'elle aura droit au poney. Cette peur là, je vais en user et en abuser, jusqu'à ce qu'elle finisse par m'aimer et que Biogenix me récompense pour le travail effectué sur elle.

Lors de la visite j'ai trouvé l'interface virtuelle particulièrement intéressante, pouvoir simuler des combats et tester mes pouvoirs sur des cibles virtuelles. Je peux même avoir mes résultats, ce truc est génial. Les autres équipements m'ont moins emballés, ils sont plus compliqués à utiliser et je ne suis pas sûre des résultats. Je ne tiens pas à modifier mon corps pour l'instant, il est très bien comme il est et je ne saurais même pas quoi améliorer pour être honnête. Quant aux expérimentations sur des cobayes chaque chose en son temps, d'abord le virtuel, ensuite on verra pour les cobayes. Surtout que Gros-Nichons est déjà une cobaye très coopérative. Après tout, elle n'a pas vraiment le choix.

"Merci Gros-Nichons, tu as quartier libre. Fais ce que tu veux dans la base, sauf m'attaquer bien sûr ..."

Il faut qu'elle comprenne que si elle me sert sans faire d'histoires je serais sympa avec elle. Il faut qu'elle pense que je ne suis pas obligée de le faire, que je le fais pour elle. C'est comme ça que fonctionne ce que les humains appellent le syndrome de Stockholm, quelqu'un vous prive de votre liberté, donc c'est un connard, puis il va vous permettre d'aller aux toilettes ou s'occuper de votre mère qui est malade. Ce gars est toujours le connard qui vous prive toujours de votre liberté mais, vous aller l'aimer parce qu'il vous rend service alors qu'il n'y est pas forcé. Dans notre cas je suis la connasse et la cyborg est la victime mais, elle finira par m'aimer parce que je vais tout faire pour. Et si elle résiste trop je deviendrais son pire cauchemar.

Elle va donc pouvoir aller se changer, se dégourdir les jambes dans la base, admirer le poney, non, ça elle ne va pas le faire je pense. Bref, elle va avoir un peu de liberté, comme ça, gratuitement. Pendant ce temps moi je vais tester cette machine pour voir ce que je peux en tirer. Je prends ma forme de succube et je me connecte à l'interface virtuelle, puis je fais apparaitre des ennemis peu puissants, des espèces d'ESPer de bas niveau. En tant que succube que puis-je faire pour les mettre hors d'état de nuire ? Les charmer ? Non le charme ne fonctionne que sur une personne à la fois ... Activer mon aura ? Le temps de latence entre l'activation et les effets est trop grand pour être utilisé en combat, de plus les effets sont aléatoires. Très vite je comprends qu'il va être difficile de compter sur mes pouvoirs pour la bagarre. Qu'est-ce que j'ai d'autre ? Une queue, des cornes, des ailes ? En m'encastrant dans le plafond j'ai appris que je peux voler, à quel point est-ce que je peux maitriser ça ? Je commence à faire du sur-place, à quelques dizaines de centimètres du sol, montant doucement. Ce n'est pas très dur, donc j'essaye de faire de petites accélérations vers l'avant ou l'arrière tout en repensant à ce qu'il s'est passé dans le bureau la première fois que j'ai croisé la cyborg. Je vais tester un truc !

"Ennemi n°1 !"

Un ESPer capable de se créer une armure apparait, la cible idéale pour se que je veux faire. Je m'incline vers l'avant, tête baissée, mes cornes lui faisant face, puis je donne le plus grand coup d'ailes possible vers l'avant. L’accélération est violente, le choc aussi mais, ce n'est pas moi qui ait le plus morflé. En relevant la tête je vois l'ESPer au sol avec son armure complétement enfoncée, inconscient. Je passe environ une heure dans le simulateur à m'entrainer à le faire de différentes façons et sur différents ennemis. Il faut que je sois capable de me défendre seule et cette technique est clairement une technique de combat, efficace qui plus est. Une fois ma séance terminée je sors de la pièce du simulateur et j'appelle :

"GROS-NICHONS !!!"

Bien sûr elle arrive sitôt l'ordre parvenu à ses oreilles. Fière de moi mais, désireuse d'en apprendre plus je lui demande :

"Dis Gros-Nichons. Tu a l'air de savoir te battre toi, je me trompe ? Apprends-moi les bases, en douceur."
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le jeudi 20 novembre 2014, 20:50:37
Irina écarquille les yeux quand la succube lui accorde quartier libre, les démons n'avaient pas ce genre d'attention généralement. La cyborg accepte néanmoins avec suspicion, se disant que si Inuko lui à dit de ne pas l'attaquer elle... elle peut toujours s'attaquer au poney.

En laissant sa maitresse a son entrainement, Irina réfléchie à la meilleur façon de se débarrasser de l'animal sans éveiller les soupçons. Le tuer provoquera la colère de la succube, elle doit trouver autre chose...

Irina se dirige vers les laboratoires et pénètre dans la pièce ou est installé le poney, un plan germe dans sa tête, il est dégoutant, mais il lui semble infaillible. Elle s'assure que la caméra disposé devant le lit médicalisé ne fonctionne pas. Puis elle se dirige vers une armoire à substances. Elle y récupère un plein flacon de kétamine et une seringue.

Elle se rapproche de l'animal qui semble, heureux de la voir... Elle administre à l'animal une dose suffisante pour l'apaiser mais pas l’assommer. Puis, elle prend une grande inspiration, dégluti, retient sa respiration, et avant de changer d'avis, elle enfonce son poing dans l'anus de l'animal jusqu'à ce qu'elle sente le renflement de sa prostate sous la pulpe de ses doigts. Elle canalise alors suffisamment d’énergie le long de ses canots conducteur pour envoyer de petites décharges aux extrémité de ses doigts, brulant ainsi ses fibres nerveuses.

Irina ressort de l'animal et cour se rincer. Satisfaite de savoir que cet animal n'aurait plus d’érection à moins de n'avaler une caisse entière de viagra. Mais sa satisfaction est de courte durée, dans le couloir résonne la voix de l' Administrateur dans l'intercom.

Administrateur - Sujet 2501, dans mon bureau.

Irina s'y rend, le sas est ouvert, elle entre, il se referme, l'homme lui fait face avec son sourire habituel de comploteur.

Administrateur - Au rapport Sujet 2501.

Irina commence à lui décrire ces premiers instants avec la succube. L'homme semble apprécier l'histoire, et les détails sordides l'excite beaucoup. Une fois qu'elle à terminé il s'éloigne de son bureau en restant assis sur son siège.

Administrateur - Je vois. Merci Sujet 2501.

Le sas s'ouvre, Irina commence à sortir.

Administrateur - Et pour ce qui est de la dégradation de matériel biologique, je me vois dans l'obligation d'en informer notre cliente.

Irina se braque et elle se tourne vers lui à nouveau.

Administrateur - A moins que...

Il sort le bandeau qu'il à l'habitude de lui faire porter quand il lui impose ses jeux sexuels et le lui montre.

Administrateur - Vous ne soyez ouverte au compromis...

Irina serre les dents et fait un pas en arrière, le sas se referme sur eux...

Inuko - GROS-NICHONS !!!

Irina n'a même pas eu le temps de se changer avec tout cela, elle porte toujours son harnais de cuir douloureusement serré sur son corps provoquant. Elle à juste eu le temps de se netoyer de la crasse que l'Administrateur à laissé sur elle, et en elle...

Elle arrive en courant devant la succube.


Inuko - Dis Gros-Nichons. Tu a l'air de savoir te battre toi, je me trompe ? Apprends-moi les bases, en douceur.

Finalement, Irina se dit que la succube n'est pas si odieuse que ça en comparaison de BIOGENIX, et même si elle ne changera jamais de comportement avec la firme, peut être devrait elle tenter quelque chose avec la succube.

Non Iri... cette idée est stupide... c'est une démone, une putin de démone... elle va te baiser et t'écraser comme les autres...


Irina repousse ses pensées agressives et se concentre sur Inuko.

Irina - Suivez moi.

Elles entrent dans la salle d'entrainement, Irina génère une salle avec divers objets répartis.

Irina - avant d'apprendre à vous battre, vous devez apprendre a marcher, a courir, a vous servir de votre environnement, sans jamais quitter votre adversaire des yeux...

Commence alors une longue séance de discoure tactique, entrecoupé de moment de pratique qui mettent en valeur le corps nu et harnaché de la cyborg qui se contorsionne et bouge en tout sens, offrant à la succube le savoureux spectacle de ses seins ballotant sous l'effort.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le vendredi 21 novembre 2014, 16:09:46
Tout cela donne une ambiance fort étrange. La cyborg qui était il y a encore un peu plus d'une heure attachée, baignant dans sa pisse, se tenait devant moi pour me faire un petit cours d'Arts martiaux et de tactiques de combat. Le tout en ayant gardé son harnais sur elle pour une obscure raison. Devais-je partir du principe qu'elle appréciait cette tenue ? Hum, non, si elle ne l'a pas retirée c'est qu'elle était occupée à autre chose, je visionnerais les enregistrements des caméras de surveillance plus tard. Quoi qu'il en soit, c'est une situation originale et plutôt amusante, son sérieux mêlé au ridicule de sa tenue et de son corps déformé par les améliorations m'arrache quelques sourires en cours de route. Ça me donne aussi une bonne occasion de me retrouver avec elle dans un contexte moins tendu, où nos rôles respectifs sont plus flous. Mais surtout une bonne occasion de devenir moins vulnérable et ça j'en ai grand besoin.

Elle me montre comment me mettre à couvert, comment progresser sans se faire repérer, où il faut regarder, quels détails doivent retenir mon attention. Elle me montre des postures pour protéger mes points vitaux, des manières de sauter, de courir, de respirer par le ventre, etc. Le temps passe vite, Irina ... Gros-Nichons, explique bien sans s'éparpiller. Elle me fait faire de petits exercices de respiration et me fait faire comme elle à sa suite. Elle me montre comment parer un coup de poing, un coup de pied, comment frapper quelqu'un sans se louper et en lui faisant vraiment mal. Plus de deux heures vont passer ainsi, deux heures pendant lesquelles elle va m'expliquer les bases. De temps en temps pour me montrer une prise elle l'effectue sur moi, puis je refais la même chose sur elle pour m'entrainer. Sa tenue fait qu'à chaque prise son corps est directement en contact avec le mien, ce qui ne devait être qu'une séance d'entrainement prend très vite des airs plus érotiques.

En sueur et haletante, je finis par arrêter la séance, j'ai suffisamment appris pour aujourd'hui. Je m'étale sur le sol, sur le dos, regardant le plafond de la salle.

"Merci Gros-Nichons. Ça ne te dérange pas si on recommence ça plus tard ? Il faut que j'apprenne à me défendre. Si je ne sais pas me protéger par moi-même je serais capturée et je subirais un sort encore pire que le tiens. Toi tu as la chance d'avoir encore ta personnalité et de petits instants de liberté. Si je peux te faire confiance j'essayerais de t'en accorder le plus possible."

Je continuais sur ma lancée, il faut qu'elle finisse par s'attacher à moi, qu'elle voit que je ne suis pas si terrible que ça malgré ce que je lui ai fais subir. Si elle intègre ça, je pourrais peut-être obtenir de bons résultats avec son dressage, je pourrais même en faire une alliée précieuse. Mais je me souviens de mes suspicions et je rajoute sans grande conviction, juste pour vérifier :

"Gros-Nichons, qu'as-tu fais pendant ta période de temps libre ? Tu n'as pas retiré ton harnais ... Ça me surprend un peu."

En théorie elle ne peut pas me mentir donc j'en aurais le cœur net.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le lundi 24 novembre 2014, 20:25:05
La succube apprend vite, et rapidement Irina en vient à lui enseigner les rudiments du combat au corps à corps. Leurs courbes s’enlacent par moment et provoquent à chaque fois de délicieuses décharge d'adrénaline et de désir qui lui brulent les reins. Mais Irina refoule ces émotions, parfaitement conscientes qu'elles sont induites par son conditionnement et par les neurochirurgies successives. En revanche son corps se montre moins raisonnable que sa tête, il se couvre rapidement d'une sueur odorante et la fente délicate de sa vulve s'humidifie elle aussi de ses fluides aux effluves musquées.

Enfin Inuko met fin à l'entrainement. Irina souffle intérieurement, son cœur commençait à battre la chamade et son esprit à se brouiller. Mais ce que lui dit la succube réveille sa colère et sa frustration d’être réduite en esclavage. Que restait il vraiment de sa personnalité ? Si Irina n'était pas un simple zombi totalement décérébré, c'était uniquement parce que les scientifiques, les cadres comme les clients de BIOGENIX trouvaient plus existant de la savoir non consentante quand ils la violaient. Finalement, ne plus être une personne ne devait pas être si mal, ce devait être comme la mort se dit la cyborg. Quant à la liberté, la succube se faisait des illusions, quand Irina n'était pas maintenue en sommeil cryogénique, elle servait à plein temps soit de traqueuse, soit de pute de luxe. Chaque instant que la succube n'utiliserait pas, BIOGENIX lui trouverait autre chose à faire.

Irina toise Inuko d'un air dur, résolument décidée à ne pas se laisser amadouer par cette créature maléfique, qui après tout, elle était désormais un cadre de BIOGENIX, et ne valait pas mieux que l' Administrateur.

Inuko - Gros-Nichons, qu'as-tu fais pendant ta période de temps libre ? Tu n'as pas retiré ton harnais ... Ça me surprend un peu.

Irina baisse les yeux et rougit, elle doit trouver une parade vite, elle doit se concentrer pour réussir à ne pas tout dire. Une goute de sueur perle le long de son front. Les implants commencent à gronder dans sa tête mais elle les combat plus fort qu'a aucun autre moment jusqu' alors.

Irina - Je... j'ai... J'ai été réquisitionnée par l'administrateur pour répondre à ses questions, il a demandé à savoir si vous vous plaisiez ici. Si vous aviez trouvé les installations à votre gout, si vous appréciez BIOGENIX d'un premier abord.

Le conditionnement de la firme lui permet de ne révéler que ce qui arrange l'Administrateur, en revanche l'ordre impérieux de tout révéler lui brûle les lèvres. Elle tremble sous l'effort et refuse de regarder la succube dans les yeux, de peur de craquer. Mais c'est elle qui fait le premier geste. Irina sent sa main délicate se poser sur son menton et le lui relever. Le regard que lui lance alors la démone est sans équivoque, sans un mot, elle lui impose de parler, Irina sent sa concentration se déliter, l'excitation de la séance de combat l'a de plus, affaiblie mentalement.

Irina - J'ai... j'ai... je suis allé dans le laboratoire...

Non Iri... ne lui dit pas, résiste...


Irina - et j'ai... j'ai... humm... j'ai brulée la prostate du poney... pour ne plus qu'il bande de manière naturelle...

Irina serre les dents et rebaisse les yeux.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mardi 25 novembre 2014, 17:35:36
Bon je laisse tomber, Gros-Nichons ne sera jamais coopérative, c'est peine perdue, je commence même à me demander si l'administrateur ne m'a pas refilé cette cyborg en sachant pertinemment que je n'arriverais à rien avec elle de son plein gré. Je vois bien qu'elle essaye de se retenir mais, ses implants sont vraiment très pratiques, elle va craquer, elle ne peut pas faire autrement.

"et j'ai... j'ai... humm... j'ai brulée la prostate du poney... pour ne plus qu'il bande de manière naturelle..."

D'un ton sec je rétorque en fronçant les sourcils :

"Je vois ... J'ai attendu deux jours pour ce poney ! Puisque tu l'as cassé tu vas devoir le remboursser !"

Ce n'est pas une question d'argent bien entendu, Biogenix a largement les moyens d'acheter deux ou trois poneys de temps en temps. Cependant, une bonne idée vient de me traverser l'esprit, je sais comment lui faire payer son affront. Je suis partie dans ma chambre, laissant la Cyborg sur place sans plus d'explications. Sitôt à l'intérieur je me suis enfermée à clé dans ma chambre pour pouvoir chercher tranquillement ce dont j'ai besoin. J'ai fouillé dans les accessoires SM à ma disposition, le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils en avaient mis pour tous les fantasmes, des plus classiques aux plus ... Spéciaux. Je met tout mon petit matériel dans un sac et je sors de la chambre en criant comme d'habitude :

"Gros-Nichons ! Aux pieds !"

Et comme d'habitude, incapable de résister à mes ordres elle accourt tel une adorable petite chienne. Je souris avant de balancer le sac plein à ses pieds, toisant cette petite garce avec un regard malveillant.

"Ouvre-le ! Dedans tu trouveras un plug anal en forme de queue de cheval, un masque de cheval qui restreint ton champ visuel et t'empêche de parler, un collier avec une pancarte où est écrit "7000 yens le tour (30 mins)" et une tirelire ventrale dans laquelle tu mettras les billets !"
[7000 yens = environ 50 euros]

Oh non tu ne rêves pas Irina ! Je vais vraiment faire ça oui ! Je vais te forcer à te prostituer dans ce costume ridicule et tu vas m'apporter une prime en plus de mon salaire pour le temps que tu m'as fait perdre ! Il faut que tu comprennes une bonne fois pour toute que l'administrateur n'est pas un démon, enfin pas que je sache, moi si ! Te tâter les fesses à longueur de journée ne m’intéresse pas, moi ce qui me fait mouiller c'est de te voir patauger dans la fange, de te forcer à exhausser mes caprices, de te voir impuissante face à moi. C'est dans ma nature, dominer, détruire, m'amuser, violer, corrompre. C'est aussi naturel pour moi que de respirer. Avec dédain je lui balance une sorte de long manteau pour se couvrir.

"Tu mettras ça par dessus. Je veux que tu ailles jusqu'au parc, qu'une fois là-bas tu retire ton manteau et que tu ailles chercher tes clients. Je t'interdis de revenir avant d'avoir eu vingt clients et je t'interdis de leur résister, exhausse tous leurs souhaits pendant une demi-heure chacun."

Je commence à me diriger vers la salle où je m'entrainais auparavant, rajoutant simplement avant de la laisser :

"Tu devrais faire attention Gros-Nichons, j'ai l'impression que tu ne me prends pas au sérieux. Si tu recommences quelque chose dans ce genre, ta punition sera beaucoup plus dure, tu peux me faire confiance pour ça. Imprime bien ce que je viens de te dire dans ta mémoire espèce d'idiote et oublie tes périodes de liberté, tu n'en auras plus. Dégage maintenant, va bosser !"
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mardi 25 novembre 2014, 20:22:12
Elle est en colère, mais au moins Irina est rassurée, pas de coup avec le poney, et la cyborg ne voit pas ce que la démone pourrait trouver de pire...
Alors que sa Maîtresse s'éloigne, Irina repense à ce qui vient de se passer et se dit qu'elle a eu beaucoup de chance, après tout, Inuko aurait très bien pu trouver un moyen chimique ou magique de faire bander l'animal ou pire, en demander un autre...

Soudain la voix impérieuse de la démone résonne dans le couloir, elle l'appel par son nom dégradant. Irina se pince les lèvres et se mord la langue pour résister, craignant tout de même ce que la folle des enfer pouvait bien avoir en tête. Au bout de quelques secondes d'hésitation, elle accoure néanmoins, soumise à la volonté implacable de ses protocoles de contrôle. La cyborg arrive et s'agenouille au pieds d'Inuko comme celle-ci l'a demandé. Elle reçois un sac lourd et bien rempli en plein visage, elle le prend entre les mains et l'ouvre, ses yeux s'écarquillent d'horreur.

Inuko - Dedans tu trouveras un plug anal en forme de queue de cheval, un masque de cheval qui restreint ton champ visuel et t'empêche de parler, un collier avec une pancarte où est écrit "7000 yens le tour (30 mins)" et une tirelire ventrale dans laquelle tu mettras les billets !

Irina lance un regard plein de détresse à la succube.

Irina - Non... je vous en supplie... ne me faite pas faire ça... je ferais tout ce que vous voudrez mais ne me réduisez pas à ça...

Gémit elle en implorant la clémence de la démone. Même si Irina servait d'esclave sexuelle aux cadres et aux clients de la firme, ceci étaient généralement d'une certaine classe sociale. Elle n'avait en revanche jamais été prostituée à la... "populace" terrienne. Et celle des bas fond qui entouraient le centre la répugnait au plus haut point, ce n'était que de pauvres haires issues des couches populaires et crasseuses de la ville. Tout ce qu'elle pouvait compter de loubards, d’alcooliques, de clochards, de chômeurs à la dérives. Le simple fait de les imaginer la toucher, la tripoter, la baiser, la dégoutait au plus haut point.

Mais la clémence de la Maitresse ne vient pas, bien au contraire, d'un simple geste, elle lui intime de se "vêtir" pour sa tournée.

Non !

Hurle t'elle intérieurement alors que ses implants de contrôle commence à grésiller sous l'effort. Elle serre les poings, tout son corps est parcouru de soubresaut nerveux.  La sueur coule de son front et elle respire de plus en plus difficilement. Au bout de quelques intenses minutes ou la succube crains de devoir se battre à nouveau contre la cyborg, Irina abdique finalement. Le visage emprunt d'un profond dégout, elle commence à enfiler le more de cheval et les œillères en cuir noir. Elle porte ensuite le lourd collier autour de son coup, la pancarte dodeline entre ses seins généreux, lui donnant l'aspect d'une bête de trait, d'une jument reproductrice dont le propriétaire négocie la saillie. Enfin, elle s’humecte les doigts à fin de lubrifier son anus, pour y enfoncer tout doucement le plug anal. Ses capacités de régénération aillant déjà réparés les dégâts du godemichet, le muscle de son anus est à nouveau dur et résistant, et la cyborg est obligée de faire usage de toute sa dextérité pour se faire le moins mal possible et combattre le violent désir que provoque la pénétration de l'engin. Inuko pendant ce temps la, admire son visage et ses expressions, quand elle se fait mal, quand elle se fait jouir.

Une fois parfaitement inséré dans son séant, les dimensions du god lui impose de marcher courbée en avant et les jambes bien écarté pour ne pas trop souffrir. Ce qui permet à tout un chacun d'admirer les lèvres pulpeuses de sa vulve.
 

Inuko - "Tu mettras ça par dessus. Je veux que tu ailles jusqu'au parc, qu'une fois là-bas tu retire ton manteau et que tu ailles chercher tes clients. Je t'interdis de revenir avant d'avoir eu vingt clients et je t'interdis de leur résister, exhausse tous leurs souhaits pendant une demi-heure chacun."

Irina baisse la tête et exécute l'ordre de la succube, rendue parfaitement silencieuse par la honte et le more qui meurtri sa bouche. Puis elle prend le chemin de l’ascenseur, la peur et le dégout lui nouent l'estomac.

La pauvre esclave n' atteins même pas le square avant que son premier "client" ne la découvre, surpris par la queue qui dépasse de son manteau et par l'harnachement qui recouvre sa tête. Il se contente de lire la pancarte et sort son portefeuille fébrilement pour lui tendre les billets, Irina retient un haut le cœur, son premier sera donc un individu lambda que ce quartier peut offrir...

Après la demi-heure de baise accordée à son premier client, Irina reprend la route, le foutre encore chaud dégouline entre ses jambes avec lenteur. Tendis que ses larmes elles, dévalent rapidement ses joues pour sécher sur sa gorge nue, elle se sent sale et sait que ce n'est que le début. Elle atteint finalement le parc, il est peuplé ça et la de tout ce qu'Irina crains, des clochards, des petites frappes, des loubards...

Elle ferme les yeux et serre de toutes ses forces le more qu'elle a entre les dents en sentant ses mains s'animer d'elle même pour obéir aux ordres de la Maitresse. Instantanément les oiseaux de proie se jettent sur ce corps sans défense. Les négociation tournent très vite à la cohue, à l'émeute même. Les loubards la veulent en premier et l'entrainent dans un coin sombre du parc avec violence, les billets tombent dans sa boite et déjà ils commencent à la plaquer contre une rambarde pour la prendre en levrette, les uns après les autres. A peine en ont ils fini avec elle et l'abandonne parfois en la frappant, parfois en lui crachant dessus, que les clochards s'approche à leur tour de son corps à demi effondré contre l’accoudoir en métal. Pendant que les premiers se faisaient plaisir, il se son cotisés pour pouvoir se l'offrir. La troupe de vieillards puants la vinasse et la saleté se referme alors sur elle. Ils lui arrache son more et son plug pour pouvoir profiter à loisir de tout ses orifices, enfournant sans vergognes leurs pénis répugnant en elle, de tout coté. Le véritable cauchemar commence alors...

De nombreuses heures plus tard, Irina arrive devant la porte de sa maitresse, elle est couverte de foutre, son vagin et son anus dégoulines et baillent de manière obscène, déformés par les wagons de queues qu'ils ont pris. La cyborg est éreintée par l'effort, et pire que tout, par l'horreur et la honte. Car a plusieurs reprises entre les mains de tout ces hommes répugnants, elle à jouit... 
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mercredi 26 novembre 2014, 17:55:40
Pendant qu'Irina était en train de se faire remplir les orifices par toutes sortes de rebuts de la société, moi je continuais à m'entrainer. Mais l'entrainement n'est pas mon soucis premier, je profite de ce dernier pour réfléchir tout en faisant quelque chose d'utile. Comment me venger de cette petite salope qui a abusé de ma confiance et stérilisé mon poney. Je suis tellement fière de mon idée du poney ... Je ne peux pas accepter qu'elle me pourrisse mon plan de la sorte et ce n'est pas une petite séance de prostitution qui va me calmer. Non je veux la voir pleurer devant moi, soumise à une situation encore pire que le poney, quelque chose qui sera encore plus honteux et douloureux que le poney ! Je veux que cette salope paye ! J'enchaine les ennemis virtuels, à la recherche d'une idée, je passe une bonne heure à réfléchir. Qu'est-ce qui est pire qu'un poney ? Un cheval, non, il faut quelque chose de plus surprenant, quelque chose d'inattendu pour elle. Un gros animal, plus violent qu'un cheval ... Hum ...

OH JE SAIS ! J’interromps mon entrainement, courant dans les couloirs jusqu'au téléphone le plus proche, je compose à la hâte le numéro du service fournitures et je sautille de joie comme une gamine juste avant noël. Quelqu'un décroche le téléphone et se présente :

"Service fournitures de Biogenix, bonjour. Que puis-je faire pour vous ?"
"Bonjour, agent n°666, Inuko Sora. J'avais commandé un poney mais, un cobaye l'a abimé, je voudrais qu'on m'en débarrasse et que vous vous assuriez que la caméra et le lit médicalisé n'ont pas été abimés."
"Je prends note, un agent de maintenance va s'occuper de votre requête. Vouliez-vous autre chose agent 666 ?"
"Oui ! Je voudrais commander un taureau, le plus gros possible et avec un gros sexe. C'est pour un cobaye récalcitrant. Mettez le donc à la place du cheval."
"J'ai bien pris note, vous serez livrée dans la journée. Au revoir."
"Au revoir."

La la la ! Pire qu'un poney, pire qu'un cheval, un taureau, un bon gros taureau bien agressif, bien bourrin avec une groooosse bite pour ma petite salope Gros-Nichons. Qu'est-ce qu'elle allait être contente en découvrant son nouvel ami pour la vie. J'ai dis à Gros-Nichons au moins vingt clients, à raison d'une demi-heure par client, ça fait au moins dix heures, sans compter le trajet, le temps passé à trouver une cachette et à racoler. Ça me laisse largement le temps de tout préparer. J’installe un banc piqué dans les vestiaires qui servira à l'attacher à hauteur de queue pour son mâle, la caméra qui a été réparée de façon à bien voir son visage et son cul à la fois sur l'image. Le taureau est livré douze heures plus tard et elle n'est toujours pas revenue, parfait.

Après seize heures passées dehors Gros-Nichons revient, dans un état hilarant. Je ne prends pas de gants, je me fous ouvertement de sa gueule, riant de bon cœur devant sa mine déconfite et ses orifices béant suintant de foutre tiède ou froid. Sans même lui adresser la parole je m'empare de la tirelire ventrale pour compter :

"140000 yens ça fait 20, 147000 ça fait 21, 154000, 161000, 168000 ! 24 clients Gros-Nichons ! Tu as fais du rab' sur le chemin du retour à ce que je vois ! C'était si bon que ça ? Je suis vraiment contente que tu ais aimé, je t'ai enfin trouvé une utilité. On recommencera à l'occasion. tu aimerais un costume de cochonne la prochaine fois ? Allez, dis moi que tu adorerais ! ... Oh ça c'est une bonne fille ! Suis-moi !"

Je l'ai emmené dans le laboratoire où le taureau est fermement attaché au mur, j'ai fais signe à Irina de se positionner sur le banc, sans me soucier de sa réaction. Je l'attache de manière à ce qu'elle ne puisse plus bouger et je fais venir l'animal au-dessus d'elle, l'attachant lui aussi pour qu'il reste en place.

"Je vais injecter un puissant aphrodisiaque à cette superbe bête. Il va te faire adorer les poneys tu verras."

Oui elle était déjà à bout. Et alors ? J'allume la caméra et je plante une seringue préparée à l'avance dans les fesses de l'animal. Et c'est parti ! Très vite l'animal bande comme un ... taureau. Son sexe vient effleurer l'anus meurtri de Gros-Nichons et d'un mouvement sec l'animal entre en elle. Très vite il commence à la besogner ainsi, tandis que la caméra capture toute la scène. Car oui, si elle s'imagine que ça va s'arrêter à un simple viol elle se fourre le doigt dans l’œil jusqu'au coude.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mercredi 26 novembre 2014, 20:23:59
Irina, encore profondément perturbée par les violes à répétition dont elle vient d’être victime, n'entend presque pas Inuko se moquer d'elle, elle ne désire qu'une seule chose, une seule petite chose, elle veux se laver. Elle veux se libérer de toute cette crasse collée à sa peau, de la graisse que les doigts libidineux de ses clients ont laissé en la touchant, de tout ce foutre qui gonfle son colon, son utérus et lui fait ressentir plus fort encore sa présence froide et visqueuse. Son estomac est encore plus gonflé que son ventre, elle rêve de pouvoir enfin vomir ce sperme qu'ils ont éjaculés en elle au mépris de son refus évident. Et tout cet alcool fort bon marché qu'ils l'ont forcée à boire pour l'enivrer.

Elle ferme les yeux très fort pour chasser le tournis et le flou qui brouille sa vision. Elle les entend encore rire en lui tirant les cheveux pour tenir sa tête en arrière et la gaver de tout ce qu'ils trouvent, vodka, tekila, vin, et même parfum bas de gamme. Les salops étaient finalement arrivés à leurs fins. Irina était si ivre qu'elle avait satisfait le groupe bien au delà de la demi heure autorisé et d'autres s'étaient même payé le luxe de la baiser sans payer quand elle gisait à demi consciente dans le caniveau.

Mais la succube ne semble pas en avoir terminée avec elle. Celle-ci ne lui laisse même pas le temps de se changer et la prend par le collier pour l'entrainer vers les laboratoires. Irina pousse un petit gémissement de protestation épuisé, et ne trouve pas la force de résister. Elle se laisse mener comme une jument que l'on traine jusqu'à l’abattoir. Le regard perdu et rivé sur le sol, toujours concentré sur son désir de sommeil et de propreté.

Irina passe par le sas, toujours trainée par le collier de la main implacable d'Inuko. Elle remarque alors que le poney à disparu, mais cela ne la soulage pas, car ce qu'elle voit à la place la fait dé-saouler instantanément.

Irina - Non !

Hurle t'elle, la voix brisée par la fatigue et le désespoir. La bête est énorme, comme son sexe et les deux monstrueux testicules qu'il orne. Irina recule et tente même de fuir, mais la poigne de fer de la succube l'entraine sans ménagement vers le banc. Avec une dextérité folle, elle parvient à sangler Irina si proprement que celle-ci ne peut plus faire que des petits soubresauts qui font simplement rebondir ses fesses et ses seins. L'odeur de femelle commence déjà à émoustiller le puissant mal qui commence à souffler dans le coup de la cyborg, le corps d'Irina est parcouru de frisson de dégout et d'anticipation.

Inuko - Je vais injecter un puissant aphrodisiaque à cette superbe bête. Il va te faire adorer les poneys tu verras.

Irina se débat au point de faire grincer les sangles de maintient, mais celle-ci tiennent bon jusqu'à ce qu'il soit trop tard...

Irina - Non... je vous en supplie ne faite pas ça...

Gémit elle, alors qu'une larme coule le long de sa joue.
La succube plante la seringue dans le cuir de l'animal et presse le piston. Le taureau se met à beugler et saliver, la bave qui coule de sa gueule coule sur les hanches d'Irina qui se contracte sous la terreur. Sa queue gonfle, et gonfle encore, elle est si longue qu'elle atteint sans même qu'il face un geste la ceinture plissée de l'anus d' Irina.

Irina - Non ! Non ! Enlevez le ! Je vous en supplie Maitresse enlevez le je ferai t... HAAAAAAooooooooo !

Dans un geste sec et brutal, l'animal presse sa queue énorme contre l'anus meurtri et encore lubrifié de sperme froid d' Irina, et s'y enfonce sans vergogne. Le sexe au diamètre improbable perfore et déforme carrément la chaire de la captive au point que son cul, généralement si délicat, ressemble à un trou béant aux rebords lisses. Incapable de s'évanouir naturellement à cause de ses implants, Irina croit devenir folle. Elle hurle a gorge déployée, la bouche grande ouverte et la langue sortie de manière obscène à mesure que la queue va et vient. Celle-ci décrit une grande bosse allongée qui soulève la peau de son bas ventre, puis de son ventre.

Totalement cambrée en avant, les yeux révulsé d’où pleuvent une escadrille de larmes noircies par le maquillage, la cyborg commence à atteindre un état second. Elle se met à rouler des hanches sous les assaut répétés de la bête, son corps modifié entre en scène et manipule astucieusement ses centre de douleur et plaisir. Quand la tension sexuelle à atteint son comble, l'implant crée alors un pont directe entre ces deux parties de son cerveau pour qu'ils se mélangent.


Irina - Na on....

Malgré la douleur intense et l'horreur de la situation, Irina ne peut retenir un premier orgasme dévastateur qui lui fait expulser le contenu de son vagin sur le banc souillé qui la retient.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 27 novembre 2014, 19:50:58
Déjà exténuée par des heures de viols sordides, la cyborg doit maintenant faire face au summum de sa décadence. Après les individus lambdas et les rebuts de la société, elle était maintenant saillie par une bête, réduite à l'état de simple sac à foutre qu'on attache au vît de l'animal pour récupérer sa semence. Car oui, elle n'est plus que ça, un vulgaire objet qu'on utilise jusqu'à ce qu'il casse, puis qu'on jette. Sauf qu'elle n'aura pas la chance d'être brisée ou jetée, malheureusement pour elle. La camera braquée de manière à capturer son visage et son cul n'en loupe pas une miette, tout est filmé, tout sera utilisé contre elle plus tard et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle m'en donne pour mon argent. Même si je n'ai rien dépensé dans l'histoire ... La pauvre petite se débat, elle me supplie, elle me lècherait l'anus avec plaisir si cela pouvait la sortir de cette situation mais, je n'en ai rien à foutre !

Je fais le tour de la scène, faisant bien attention de ne pas passer entre la camera et ma jolie petite pute personnelle, rôdant autour comme un charognard en quête de cadavres à l'abandon. Irinouille, oui il faut varier les surnoms dégradants, semble même, chose curieuse, prendre du plaisir à se faire ainsi pénétrer par l'énorme bête. Je me rappelle avoir lu, dans un rapport la concernant, quelque chose sur des implants qui transforme sa douleur en plaisir ou quelque chose du genre, ainsi que d'autres choses amusantes du même ordre. Ah la technologie ! Il faudra que je me renseigne sur les améliorations physiques ou mentales qui pourraient m’intéresser d'ailleurs mais, chaque chose en son temps. Pour l'heure il faut sévèrement punir la petite garce qui s'est arrogée le droit de démolir mes expériences dans mon dos.

Joignant le geste à la pensée, je me met dans le champ de la camera. Je m’accroupis, de manière à ce que mon visage soit juste à côté de celui de Gros-Nichons sur la vidéo. Puis je fais un grand sourire à la camera, me permettant même de faire un petit "coucou" de la main comme si je filmais quelque chose de tout à fait banal. Ensuite j'ai caressé les cheveux de ma chose, faisant la grimace lorsque mes doigts furent recouverts de foutre. Même dans les cheveux, quelle sale petite truie ! Enfin bon, je trouverais bien une manière amusante de lui faire prendre une douche plus tard. Finalement je me fous ouvertement de sa gueule, profitant de la présence de la camera pour l'humilier le plus possible :

"Mais, c'est qu'on dirait qu'elle aime ça cette petite perverse ! On dirait qu'involontairement je t'ai donné une récompense ... Ça ne va pas du tout, il va falloir que je te punisse bien plus fort après, histoire que tu retiennes la leçon ! Enfin ... Dis-moi plutôt à quel point tu aimes ton nouvel ami ?"

J'ai un petit secret en réserve, un petit secret très très vilain. Je le lui dis ou pas ? Han j'hésite, j'hésite ! Allez, juste pour le plaisir de voir sa tête, l'expression de son visage lorsqu'elle comprendra où je veux en venir. Je me dirige vers un meuble et j'en sors une seringue déjà préparée. Puis je reviens m'accroupir à côté d'elle, lui mettant la seringue sous les yeux.

"Tu sais ce que c'est ça, Irinouille ? C'est la même chose que ce que j'ai injecté au taureau. Mais je t'ai mentis sur un point ... Un point, important. Vois-tu ... Ce produit ... Ce n'est pas seulement un aphrodisiaque. Il a d'autres effets, particulièrement, intéressants. En fait, il booste la production de fluides sexuels."

Oh oui oui oui ! Tu as parfaitement compris Irinouille ! J'ai bien dis que ça booste la production de fluides sexuels et que j'en ai injecté au taureau ! Par conséquent ... :

"Par conséquent lorsque ce superbe animal éjaculera ... Tu risques d'avoir un tout petit peu mal au ventre ... Un tout petit peu !"

Ah, je me sens si bien en tant que démone à ces moments, je prends tellement mon pied ici ! Je peux laisser libre court à mon génie maléfique naturel et expérimenter les pires saloperies. J'adore cet endroit ! J'adore cette assistante ! Mon sourire s'élargit pour devenir franchement malsain, avec une lueur diabolique dans les yeux je lui dis :

"Et devine pour qui est la deuxième seringue ?"

Sans lui laisser le temps de protester j'enfonce la seringue dans sa cuisse et je vide son contenu en elle. Et voici : GROS-NICHONS LA FEMME-FONTAINE !
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le jeudi 27 novembre 2014, 22:46:05
Les yeux à demi révulsé, Irina se met à hennir comme une jument à chaque coup de reins bestial du taureau qui lui répond en grognant et en bavant toujours plus sur elle, souillant sa peau diaphane de son écume verdâtre. Elle ne parvient qu'à suivre vaguement les gestes et le jeu de la succube, trop occupée à se faire baiser et à supporter le floc implacables de sensations qui se déverse dans tout son corps. Il lui semble que la douleur comme le plaisir ne vont jamais s'arrêter, a plusieurs reprises, elle sent un orgasme monter.

Irina - Nuuu... non...

Elle gémit alors et pleure d'horreur et de honte, mais ne peux empêcher son corps de se pâmer et de se cambrer comme celui d'une putain. A cet instant, son esprit est si fiévreux et perdu sous cette avalanche sexuelle qu'elle en oublie presque son nom, son passé, ses souvenirs fondent comme neige au soleil et sont remplacés par ces instants de baise sordide. Une petite parcelle de la rebelle qu'elle fut subsiste néanmoins et comprend ce que la démone est en train de faire. Inuko est en train d'utiliser le corps d' Irina contre elle, pour la briser, lui faire perdre toute forme d'identité et d'amour propre, pour la remodeler ensuite à sa guise. Elle hurle contre la barrière de sa psychés corrompue par la violence du sexe pour la prévenir, pour lui dire de tenir bon, de ne pas se laisser aller. Car chaque orgasme mêlée de douleur éloigne peu à peu Irina de la raison pour la perdre dans le néant de la servitude.

Quand la succube lui présente son nouveau jouet, Irina reprend un peu ses esprits et regarde entre deux va et viens du taureau la seringue que la succube lui montre. Ses yeux s'écarquillent et elle remue les épaules dans un geste de fuite dérisoire pour éloigner la petite tige de fer. Inuko comprend alors que la tueuse cybernétique, à une véritable peur panique des aiguilles et des injections, probablement a cause des batterie de substance qu'on lui a administrer pour lui laver le cerveau.


Inuko - Tu sais ce que c'est ça, Irinouille ? C'est la même chose que ce que j'ai injecté au taureau. Mais je t'ai mentis sur un point ... Un point, important. Vois-tu ... Ce produit ... Ce n'est pas seulement un aphrodisiaque. Il a d'autres effets, particulièrement, intéressants. En fait, il booste la production de fluides sexuels.

L'image de son propre ventre déformé par les hectolitres de foutre de l'animal traverse l'esprit d'Irina comme une flèche. Elle a envie de vomir.

Inuko - "Par conséquent lorsque ce superbe animal éjaculera ... Tu risques d'avoir un tout petit peu mal au ventre ... Un tout petit peu !"

Irina - Non ! Non je vous en pris ! Arrêtez le... retirez le... je ne peux pas... il va me tuer !

La pauvre esclave de la succube gesticule de plus belle, cherchant malgré son corps endolori, presque paralysé par les orgasme et la douleur qui déchire son anus, à se libérer. Son regard est fou, deux globes exorbité aux iris dilatés à l’extrême.

Inuko - Et devine pour qui est la deuxième seringue ?

Irina sent la tige d'acier s'enfoncer dans la chaire de sa cuisse, perforer en profondeur une veine pour y diffuser son poison.

Irina - NAN !

Irina sent la substance épaisse et froide remonter le long de sa jambe, atteindre son cœur comme une main de glace.

Irina - Non...

Sa voix meure dans sa gorge au moment ou le fluide jailli d'un battement de cœur puissant pour venir inonder son cerveau. Sa volonté se délite, la voix de la rebelle qui lui hurle de tenir se noie sous le flot aphrodisiaque. Sa matière grise surchauffée obéit aux stimulus chimiques et fait sauter toute inhibition. Le cœur de la cyborg commence à battre a un rythme infernal, la tête d'Irina se tourne vers le plafond et s'incline légèrement sur le coté, ses yeux sont presque révulsé. Sa bouche désormais grande ouverte laisse glisser sa langue de manière perverse et un filet de salive coule au coin de sa lèvre, les goute glissent le long de son menton pour tomber sur le ban. Ses seins, déjà volumineux, semblent gonfler encore plus et ses tétons  enflent tellement qu'ils en deviennent lisse et cramoisi, comme deux préservatifs gonflé d'air. Mais le plus spectaculaire se passe entre ses cuisses, juste au dessus du champ de bataille qu'est devenu son cul. De sa vulve gonflée commence à gicler de longs filets de mouille poisseuse, elle se repend sur ses cuisses, sur le ban, sur tout son corps, les jets sont si fort qu'ils viennent tacher la caméra et l'écran.

Irina - Ra !

Elle craque et se met à hurler de plaisir et de douleur sans la moindre retenue au point que d'autres scientifiques de BIOGENIX en cessent leur activités pour venir voir ce qu'ils se passe. Jamais ils n'ont entendu Irina crier comme ça, les quelques uns qui ont le courage de passer la tête par les sas du laboratoire reste pétrifiés par la surprise, mais aussi par l'excitation. En cet instant, Irina n'existe plus pour elle-même, elle ne se rappel plus son nom ni même son identité, elle n'est qu'un numéro sur une pancarte accroché à son coup comme une cloche de vache laitière. Un jouet qui ne sert qu'a satisfaire sa Maitresse.

Le monstre de muscle continue de la saillir encore et encore jusqu'à ce qu'il se contracte enfin et jouisse. Le ventre d' Irina gonfle comme une bouée.


Irina - Arrrrrrg !

La douleur lui fait reprendre connaissance, ses yeux horrifiés se portent sur son abdomen, qui continu de grossir, et de grossir encore, et encore, jusqu’à ce que sa peau commence à se couvrir de vergetures et que le sperme épais de l'animal commence à se frayer un chemin entres sa queue, et le muscle distendu d'Irina. La raison d'Irina a totalement volée en éclat, elle ne sait plus si elle pleure de plaisir ou d'horreur, si elle jouis ou si souffre, plus rien n'a de sens.  La succube admire son œuvre alors que les jets de cyprine continuent de fuser au son des orgasmes de la belle et de la bête.


Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le mardi 02 décembre 2014, 16:43:00
Avec Irina j'ai réussi à atteindre un stade particulièrement jouissif, le stade de la victoire totale. Battre son adversaire ne suffi pas, il faut l'humilier, le briser, le détruire jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un tas de cendres fumantes. Nous les démons nous adorons cela, les victoires totales, la destruction intégrale de ce qui nous déplaît ou nous restreint. Sans la moindre once de pitié je regarde ce qui est devenu un tas de chair sans âme se cambrer lubriquement et gémir sous les assauts bestiaux de son mâle. À cet instant elle n'est plus qu'un vulgaire sac à foutre, un sextoy vivant, enfin à peu près vivant. De rebelle à cyborg, de cyborg à pute de luxe, de pute de luxe à pute des bas quartiers pour finalement atteindre la déchéance ultime, vulgaire objet servant à satisfaire les besoins d'un animal bête et brutal. Mais le pire n'est pas là, non, le pire c'est que ses entraves la pousse vers un plaisir masochiste et malsain qui est l'antithèse même de son caractère d'origine. Le pire c'est que son corps adore cette sensation et ne peut y résister, supplantant ainsi totalement son esprit dont elle est si fière. Dans cette position, dans cette situation, que reste-t-il de cette fierté si chère à son cœur ? Un tas de cendres.

Des jets de cyprine jaillissent de son entrejambe. Ils me surprennent par leur puissance, tâchant toute la pièce. Même la caméra, pourtant à bonne distance, se fait asperger. Heureusement l'objectif de cette dernière n'est pas trop atteint, seules quelques gouttelettes arrivent jusqu'à lui, elles donneront un petit effet sympathique à mon documentaire animalier. Mes jambes aussi se font rincer, ma queue de succube descend donc le long de mes jambes, récupérant son nectar pour finalement l'apporter jusqu'à mes lèvres, hum, délicieux. Le corps de la cyborg semble approcher de sa limite, ses yeux se révulsent, sa mâchoire pendouille de même que sa langue, son corps entier est agité de violents spasmes. Si je pousse davantage elle en mourra et la mort ce n'est pas très amusant, la voir vivre avec ce souvenir dérangeant sera bien plus drôle. Ne pouvant pas me retenir davantage je me met à rire aux larmes. Tinuviel m'a parlé de lutter contre ma mauvaise nature, elle m'a dit que je pouvais devenir ce que je voulais mais, j'aime ma mauvaise nature, elle me va parfaitement. Voir cette chose se laisser aller à ce point à la luxure me ravit, la détruire me ravit, me moquer de son état me ravit …

Je regarde tous ces scientifiques ébahis devant le spectacle que je leur offre. Les viols sont pourtant courants ici et malgré cela ils sont là, à regarder leur cobaye se faire démonter l'arrière train par un énorme taureau. J'en déduis qu'ils n'en sont jamais arrivés à cette extrémité, que ma manière de faire est nouvelle pour eux et qu'elle leur plaît. Parfait ! Je ne résiste pas à l'envie de faire mon petit spectacle. Je pose l'une de mes mains sur ma hanche, pointant l'index de l'autre vers Irina, levant fièrement le menton face aux grattes-papiers de Biogenix :

"C'est comme ça qu'on viole une petite rebelle ! Regardez et apprenez bande d'amateurs !"

Soudain mon jouet reprend ses esprits et pousse un long cri, elle peut voir son ventre enfler comme s'il allait exploser. Elle peut sentir ses organes internes compressés par l'afflux massif de foutre en elle. Le sexe disproportionné de l'animal a tout ravagé sur son passage, donc elle peut également sentir ses blessures. Une fois ses intestins pleins à craquer, le foutre de l'animal se fraye un chemin jusqu'à l'air libre et jailli de son anus. De petits jets blanchâtres se répandent ainsi derrière elle ou coulent le long de ses cuisses. Finalement le stupide taureau a fini son affaire et cherche à se dégager, il recule mais, à cause de tout ces fluides dans lesquels baigne son énorme verge l'air ne parvient pas à passer, transformant le cul de la cyborg en véritable ventouse. Il la traîne donc avec lui vers l'arrière et lorsqu'il arrive au bout de sa chaîne il s'avance d'un coup pour recommencer, enfonçant à nouveau son sexe dans le fondement d'Irinouille. Il recommence plusieurs fois la manœuvre sans succès, jusqu'à ce que je pose mon pied sur les fesses de Gros-Nichons pour les séparer de force.

"POP !!!"

Un véritable torrent de semence chaude tombe alors au sol, ça et là de petits filets rouges montrent aussi la violence de ce coït. L'anus béant de mon assistante ne parvient pas à se refermer et sa dilatation permet de voir en elle comme si elle avait un écarteur fiché à l'intérieur. Démunie de tout contrôle sur cette partie de son corps, tout ce qui se trouve dans son cul se met à couler joyeusement sans qu'elle puisse retenir quoi que ce soit. Hilare, je détache ses sangles avant de donner un coup de pied dans le banc pour la faire basculer sur le côté. À l'impact, un puissant jet de foutre va repeindre en blanc le sol de la pièce sur deux bons mètres. Quelle vision agréable que voilà. Je me penche vers ce qu'il reste de la petite rebelle et je l'embrasse sur la bouche pour aspirer sa force vitale, me régalant de sa jouissance avant de la laisser sombrer dans l'inconscient pendant de longues heures. Son ventre va lentement dégonfler, libérant tout ce qui a été accumulé à l'intérieur, le sperme va sécher, se transformant ainsi en une sorte de boue odorante. Et quand elle se réveillera après les cauchemars qu'elle pourra faire à volonté, elle se retrouvera dans cette position, recouverte de semence sèche, avec sa tenue ridicule.

Pendant son sommeil je vais préparer la suite, mettre le film en sécurité, en faire des copies, m'occuper d'installer correctement le lit médicalisé et tout. Car si elle pense que je vais m'arrêter là, c'est que cette petite est bien naïve. Le taureau n'était que le début de mon programme la concernant.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mardi 02 décembre 2014, 21:12:09
Le monde à basculé dans la folie et Irina ne parvient plus a articuler la moindre chose intelligible, elle n'est plus que grognement animal, soupire et gémissement de femme brisée. Son univers n'est plus rythmé que par les orgasmes douloureux qui agitent son corps avec la régularité et la violence d'un métronome. Il y a longtemps, lors de son dressage par BIOGENIX, un scientifique avait prétendue qu'elle avait jouit plus d'une centaine de fois en une heure, à cet instant précis, la cyborg ne dispose plus d'un QI suffisamment développé pour compter. Seul parvient à son esprit les éclat de rire déments de sa Maitresse qui s'insinuent au plus profond de sa psyché pour y imprimer une crainte et un respect mal-saint mais tenace.

Le bourrin essai de se dégager maladroitement, provoquant à chaque tentatives de nouvelles piques de douleur qui se répercutent dans tout l'abdomen sur-gonflé de la cyborg. Un traitement pareil aurait probablement tuée une humaine normal, mais Irina avec ses innombrables améliorations, à la malchance d'être presque immortelle. Finalement c'est la succube qui la libère et pressant son talon sur le cul encore bombé et brulant de son esclave.

Irina sent l' appendice gargantuesque de la bête quitter enfin son fondement totalement ravagé. Elle la fait basculer de son ban et la jeune captive se retrouve baignée de ses propres fluides corporelles et de ceux du taureau.  Immédiatement elle sent le foutre sous pression quitter son corps et la soulager, Irina pousse alors une longue complainte de soulagement qui meure peu à peu.

Irina - haaaaaaaaaaaaaaaaa

La façon que Inuko a utilisée pour séparer ses esclaves l'un de l'autre est à la fois cruelle et humiliante. Pourtant l'esprit brisé et bouillant d'Irina ressent un profond sentiment de gratitude à l'égard de celle-ci.


Ma Maîtresse a arrêté la douleur... Ma Maîtresse a arrêté la jouissance... je suis reconnaissante envers ma Maitresse... elle me protège et me soulage...


Lui répète inlassablement son esprit éteint alors qu'elle regarde Inuko avec ses grands yeux pleins de reconnaissance. Elle n'est plus capable de faire la pare des choses ou d'avoir une once de discernement humain sur le monstre qui se trouve devant elle et qui se penche pour lui voler un baiser. Elle a totalement occulté le fait que c'est elle qui lui a infligé cela, elle n'est plus que réflexion primale.
Le visage d'Inuko s'approche de celui d'Irina, celle-ci, perdue dans son délire, ferme les yeux et tend ses lèvres pour faire plaisir à sa maitresse. Leurs lèvres se joignent en un baiser sans grâce ni amour, la succube se repait alors de toute la jouissance qu' Irina a accumulée pendant ces longues minutes de viole.


Non... non... je vous en supplie... laissez m'en... je l'ai si durement acquise... j'ai tans souffert pour la ressentir... laissez m'en juste un petit peu... je ne veux pas me sentir vide...


Mais la succube n'entend pas le cris de l'âme de son jouet, elle dévore goulument toute la satisfaction sexuelle d'Irina jusqu'à ce que celle-ci se sente totalement vidée de plaisir. La pauvre esclave s'effondre la tête la première, le regard mort, et s'affaler sur le ventre dans la mare de foutre et de cyprine.

Quelques heures plus tard.

Irina sent une douleurs cuisante, et un vide abominable au fond de ses entrailles, déjà la démangeaison de la frustration sexuelle commence à titiller son clitoris et le bout de ses seins. Elle ouvre péniblement les yeux, elle à froid, elle est sale et poisseuse. Elle gémit de douleur en tentant péniblement de bouger les membres et la tête, malgré ses capacités de régénération, la cyborg sent que son anus ne s'est pas totalement refermé. Le muscle distendu de son cul baille encore de manière obscène et forme un trou large comme une balle de golf, elle commence a verser des larmes de désespoir en imaginant le spectacle qu'elle devait présenter. L' Administrateur serait ravi, elle ressemblait enfin aux putes qu'il aime tans avec leur vagin et leur anus dilaté. . Elle regarde, à la fois dégoutée et encore enivrée le liquide caillé qui l'entoure et la recouvre en partie. Elle remarque dans ce brouillard de douleur et de faiblesse qu'elle n'est plus allongée sur le ventre, mais sur le dos, les jambes et les bras bien écartés. Elle se redresse doucement sur les coudes et regarde son vagin. Ses lèvres d'ordinaire d'une belle couleur pale ont pris une teinte rose sombre et un petit résidu de sperme en dégouline.

Irina réalise alors que son calvaire a continuer bien après sa perte de connaissance, car les scientifiques qui ont assisté à la scène ne se sont pas contenté de jouir de la vue. Après le départ de la succube, ils se sont offert le luxe de baiser son corps inanimé.
Les images de ce qu'elle a vécu lui reviennent en tête et se fondent avec celle des visages libidineux de ses violeurs, et elle vomit.

Mais le sort ne semble pas vouloir laisser Irina tranquille. A peine quelques instants après son réveille, son corps vidé du plaisir que lui a volé la succube se rebelle et réclame ce qu'on lui a prit. Instantanément, sa frustration sexuelle transcende sa chaire et embrasse son corps tout entier, elle est trop vidée et trop brisée pour résister, et après avoir réussi à ramper péniblement vers un coin sombre de la pièce, elle commence à se masser le clitoris lentement mais nerveusement pour profiter enfin d'une jouissance libératrice.
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 04 décembre 2014, 23:39:07
Pendant que Gros-Nichons dort comme un gros bébé, je prépare la suite de son traitement. Quelque chose de moins brutal, de plus psychologique, histoire d'affaiblir encore un peu plus son esprit, jusqu'à ce qu'il cède. Jusqu'à ce qu'elle m'aime, jusqu'à ce qu'elle me considère comme sa maîtresse sans avoir besoin de ces foutus implants. Elle n'a pas besoin d'aimer Biogenix ou de les servir de son plein gré pour ça, il lui suffi juste de tomber sous mon charme. Il lui suffi de se laisser aller et de penser à tout le plaisir que je pourrais lui donner. Son regard empli d'une sincère et touchante reconnaissance m'a redonné l'espoir de pouvoir la dresser. Au fur et à mesure que j'utiliserais mon pouvoir d'absorption sur elle, sa frustration se transformera en une véritable addiction à mon corps. Si j'arrive dans le même temps à la charmer, à en faire une chienne consentante à mon service, je gagnerais une puissante alliée et une superbe amante. Parce que la soumission forcée à l'aide de gadgets technologiques ne m’intéresse pas, ce n'est pas amusant.

J'ai demandé aux scientifiques restés sur place de tout faire pour accentuer sa frustration à son réveil. Je leur ai demandé de la torturer sexuellement, de rendre cette sensation insoutenable, de ne surtout pas la satisfaire, de surtout pas la laisser se satisfaire elle-même. Moi pendant ce temps-là je dors, je récupère, la nuit porte conseil et m'apportera sûrement plein de bonnes idées pour son dressage. J'ai aussi demandé à ce que le lit médicalisé soit prêt à l'usage, ainsi que les autres accessoires que je garde secrets pour entretenir le suspens.

Pendant ce temps dans le laboratoire :

"Hey petite salope ! Qu'est-ce que tu fous ? Arrêtes de te masturber, c'est un ordre ! Qui t'as donné l'autorisation de te toucher comme ça hein ? PERSONNE !!! Suis-nous !"

Plusieurs scientifiques sont entrés dans le labo et s'en sont violemment pris à Irina, prise en flagrant-délit de masturbation non-autorisée. En général ils étaient plutôt du genre à en profiter, c'est donc qu'ils avaient une idée derrière la tête. Ils ont emmené la cyborg jusqu'à une salle qu'elle ne connaissait que trop bien, une salle pleine de cellules de torture sexuelle où les sujets étaient enfermés le temps que leur esprit soit brisé. Elle avait déjà vécut ça, elle savait à quoi s'attendre, enfin non, pas tout à fait en fait. Les scientifiques l'ont attachée au mur, curieusement ils ne lui ont pas bourré les orifices de jouets sexuels et n'ont pas commencé à la violer comme d'habitude. L'un d'entre eux s'est approché avec une seringue pour la mettre juste sous le nez d'Irina.

"Je te présente DHS-186C, notre nouveau produit qui fait la fierté de nos chimistes. C'est notre dernier aphrodisiaque et il est, comment dire ? Extrêmement puissant, à la limite du supportable, enfin en théorie. On a besoin de toi pour les tests pour vérifier tout cela !"

Quelques heures plus tard :

Je me réveille et j'ai très bien dormi, j'ai rêvé de Gros-Nichons et de ce que je pourrais faire avec elle à mon réveil. J'espère que les scientifiques de Biogenix ont suivis mes instructions la concernant. Je dois l'attaquer sans répit pour avoir un véritable impact sur son caractère, il est très important de ne jamais la laisser souffler. Je me lève et je me rends immédiatement là où je l'avais laissée la veille. Puisque je compte me servir de mon corps je ne prends même pas la peine de m'habiller, déambulant nue dans les locaux sans la moindre gêne, prenant plaisir à aguicher mes collègues. Finalement, un scientifique sort de la salle des cellules et me fait signe :

"Ah Agent 666 ! Elle est enfermée dans une cellule, nous avons suivi vos instructions."
"Parfait, vous êtes un amour."


Le scientifique en question est un vieil homme dégarni et bedonnant, il a de grosses lunettes et est en train de mater ma poitrine en bavant comme un gros porc. De la nourriture reste de la nourriture, même quand l'emballage n'est pas joli. Je le plaque contre le mur en caressant son sexe à travers son pantalon. Il est déjà excité d'avoir observé la Cyborg nue tout ce temps, il vient probablement de se masturber. Je me contente de rallumer ses ardeurs, collant mes lèvres aux siennes avant d'aspirer sa force vitale et de le laisser glisser contre le mur pour s'étaler au sol. Bon, le petit-déjeuner c'est fait ! Maintenant Gros-Nichons.

J'entre dans la salle, ma chose est attachée dans une cellule et je n'arrive pas à déterminer si elle est consciente ou non. Une énorme flaque de cyprine s'est formée à ses pieds, sa frustration sexuelle doit être immense après tout ça. J'entre dans sa cellule et je glisse mes doigts sous son menton pour relever délicatement sa tête et qu'elle puisse me regarder dans les yeux. Je détache ses bras tout en la soutenant en collant mon corps contre le sien, la plaquant contre le mur, puis je l'aide à marcher tout en lui parlant :

"Comment vas-tu Gros-Nichons ? Tu as très envie n'est-ce pas ? Maîtresse Inuko va s'occuper de toi ne t'en fais pas. Je vais te faire prendre une bonne douche et après je te ferais jouir comme une petite folle, autant de fois que tu le voudras."

Dans son esprit les scientifiques doivent être les méchants et moi je dois être la gentille Maîtresse qui l'aide à évacuer sa frustration après. Bien sûr ce genre de petites manipulations ne suffira probablement pas à la ramener de mon côté, c'est juste une façon de préparer le terrain pour la suite.  Je l'aide à rentrer dans les douches, je la débarrasse de son attirail qu'elle a gardé tout ce temps pour mettre complètement nue et je la fais entrer dans la douche. Je dirige le jet d'eau vers elle et je commence à la savonner, à caresser son corps avec un gant de toilette très doux. Je frotte son corps consciencieusement, effaçant les traces de toutes les horreurs qu'elle a subie. J'insiste sur ses divers orifices, glissant mes doigts à l'intérieur pour aller nettoyer les résidus de sperme qui y sont restés. Une fois qu'elle est bien propre je me colle contre elle et je l'embrasse sur la bouche. Pendant ce temps ma main droite va caresser son bas-ventre et son clitoris, en douceur. Tandis que ma main gauche s’attarde dans son dos pour la presser contre moi. Ma queue de succube gonfle, formant un sorte de gros gode souple à son extrémité et rentre dans son anus avant d'éjaculer une sorte de simili-sperme aphrodisiaque, dilatant et lubrifiant. Elle s'enfonce dans son cul avant de ressortir, commençant à aller et venir en elle. Je veux que la cyborg jouisse dans mes bras, qu'elle me considère comme celle qui la soulage, qui lui fait du bien au milieu de cet Enfer.

"Tu aimes ce que ta Maîtresse fait pour toi Gros-Nichons ?"

Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le lundi 08 décembre 2014, 21:04:06
Scientifique - Hey petite salope ! Qu'est-ce que tu fous ? Arrêtes de te masturber, c'est un ordre ! Qui t'as donné l'autorisation de te toucher comme ça hein ? PERSONNE !!! Suis-nous !

Irina lève vers les hommes un regard vide et furibond à la fois. Elle essai de se défendre, de les frapper, et finalement, à défaut de pouvoir se battre, elle tente désespérément de les repousser. La belle cyborg ne comprend pas, son corps est totalement vidé, ni ses implants cybernétiques ni ses muscles d’athlète ne répondent. En vérité c'est tout son corps qui est dépossédé de son énergie vitale, de sa volonté de surmonter les obstacles et de se libérer. Plus rien de tout cela ne reste car le viol monstrueux de la bête, les orgasmes a répétition, et le vol de son plaisir l'ont asséché de toute combativité. Elle n'est plus qu'un trou béant qui réclame ce qu'on lui a volé, une junkie défoncé au sexe qui n'a pas sa dose.

Son esprit fiévreux lui permet à peine de comprendre ce que les scientifiques lui font, la pièce vers laquelle ils l’emmènent. Elle ne commence à reprendre ses esprit qu'au moment où elle est attachée contre le mur, et même alors, le manque de plaisir et la et étouffe sa raison. Elle fronce les sourcilles et lutte contre sa faiblesse pour réussir à redevenir cohérente. Et c'est à ce moment la que l'un des scientifiques se rapproche et lui présente la dernière variante du CN20. 


Scientifique -"Je te présente DHS-186C, notre nouveau produit qui fait la fierté de nos chimistes. C'est notre dernier aphrodisiaque et il est, comment dire ? Extrêmement puissant, à la limite du supportable, enfin en théorie. On a besoin de toi pour les tests pour vérifier tout cela !"


Irina reconnait instantanément sa Némésis, les nuances vertes et rouges qui dansent dans la liqueurs épaisse et noirâtre du poison ne peuvent pas mentir, c'est une nouvelle version du CN20. Irina commence à gesticuler et à se débattre en voyant la substance qui l'a rendue folle deux ans plus tôt. Elle se souvient de cet instant où son jugement et sa volonté ont volé en éclat pour la transformer en esclave nymphomane et stupide. Son désir et son excitation avaient été si brutaux qu'une lobotomie ne l'aurait pas rendue plus stupide et docile et c'est ainsi qu'elle était devenue... ce qu'elle est aujourd’hui...

Irina - Non ! Non Salops ! Reculez ! Ne m'approchez pas ! Non !

Scientifique - Détend toi Sujet 2501, dans quelques instants tu vas te sentir beaucoup mieux...

Dit il en ricanant et en s'approchant d'elle. Il profite de sa vulnérabilité totale pour lui caresser l'intérieur de la cuisse, l'excitation d'Irina est déjà tellement violente qu'elle en frissonne et rougit.

Irina - Qu'es ce que tu fais espèce de pourri HAAA !

La tige d'acier chirurgical vient de se planter profondément dans la chaire la plus tendre de son entrecuisse, tout près de ses lèvres pubienne. Elle se heurte à la membrane solide de son artère fémorale et la perce enfin d'un petit coup sec qui fait sursauter Irina.


Irina - Non... par pitié pas ça... je... ho.... je... ha...ha...


Irina commence à trembler comme une feuille et à haleter la bouche grande ouverte. Son corps commence à suer de grosses goutes et sa cyprine se repend déjà en ruisseau sur ses cuisses. Le scientifique n'a pas fini de pousser toute la drogue aphrodisiaque dans son organisme que déjà elle défaille, le centre de sa pensé bascule dans le délire.

Le corps sculptural de la cyborg commence à se convulser d'avant en arrière, ses mains attachées l’empêchent de soulager le feu qui dévore son corps et son sexe en rivière. Elle hurle de frustration et abandonne toute pudeur ou fierté pour supplier les deux hommes de la baisser tout de suite, mais ils résistent, et chaque seconde la chose qui était Irina devient de plus en plus folle.

Quelques heures plus tard:

Des heures de se régime ont fini par étouffer totalement la volonté et la personnalité d' Irina qui fixe le sol d'un regard éteint. Son corps continue de trembler, elle n'entend plus rien, juste le bourdonnement de son sang qui palpite dans ses oreilles alors que son corps continue de bruler atrocement de l'intérieur.

Quand Inuko soulève son menton pour regarder les yeux de sa captive, elle découvre le vide abyssal de son esprit et les ravages qu'on provoqué les heures avec le taureau et celle avec la nouvelle drogue. La petite rebelle qui tape parfois aux carreaux de sa conscience est écrasée par le désir, la succube ne la voit nul par dans ses iris totalement dilatés et dans sa sclérotique empourprée.

Inuko - "Comment vas-tu Gros-Nichons ? Tu as très envie n'est-ce pas ? Maîtresse Inuko va s'occuper de toi ne t'en fais pas. Je vais te faire prendre une bonne douche et après je te ferais jouir comme une petite folle, autant de fois que tu le voudras."

Irina la regarde, ses gestes sont lents et son air totalement hébété, elle veux répondre oui, qu'elle en veut, même si un petit fragment de sa conscience lui cris de se défendre. Elle ouvre la bouche, mais pas un mot n'en sort, juste un gémissement de faim, mais qui n'appelle pas à rassasier son estomac. La succube agit calmement mais avec intelligence, elle sait qu'elle dispose de nombreuses heures avant que l'esprit d'Irina ne se réveille, elle emploie donc le temps dont elle dispose pour briser son subconscient et le plier à sa cause.

Elle détache la cyborg, instantanément Irina s'effondre sur le sol et passe ses deux mains entre ses cuisses pour se masturber lentement en gémissant. Mais la cruelle maitresse ne veut pas qu'elle se soulage toute seule. Elle repousse délicatement ses mains de son sexe et l’attire vers la douche. Le corps d'Irina garde pendant de nombreuses minutes les marques de son harnais, qui zèbre son corps de manière pornographique. L'eau aurait peut être pue ramener un peu de raison dans la psyché fiévreuse d'Irina, mais l'aphrodisiaque continue de couler dans ses veines et de bruler sa conscience.

Irina se tient droite et complètement contracté par le désir, fixant la douche qui déverse son flot brulant et agréable alors qu'Inuko commence à la laver et la caresser. La cyborg recommence à trembler de tout son corps. A peine la succube éfleur t 'elle le clitoris hypertrophié d'Irina qu'elle se contracte et pousse un gémissement de plaisir. Une trainée de cyprine vient zébrer les cuisses de la succube, la cyborg commence à haleter et couver sa maitresse d'un regard fiévreux et animal. Mais celle-ci ne lui laisse pas le temps de souffler car sa queue se métamorphose alors en puissant jouet sexuel qui glisse contre le muscle anal de la captive et commence à en forcer la porte. Les bras d'Irina se referment violemment sur les épaules de sa maitresse pour la prendre dans les bras et se frotter à elle, son corps s'agite et ses hanches se cambrent alors qu'elle jouit à nouveau. Elle sent une substance étrange se déverser en elle et accroitre toujours plus son désir sexuel, au point que la cyborg deviennent vraiment une machine sans conscience aillant pour seul but de prendre du plaisir.

Irina se débat et se frotte contre Inuko à mesure que son corps est déchiré par de violents orgasmes qui l'emplissent enfin de satisfaction et apaise sa folie. Les vas et vient la vide et l'emplissent à la fois, les corps des deux jeunes femmes glissent l'un contre l’autre et font rebondir leurs formes provocantes. Quand la succube plonge à nouveau son regard dans celui d' Irina, elle n'y voit plus que de la dévotion et du désir.

Inuko - "Tu aimes ce que ta Maîtresse fait pour toi Gros-Nichons ?"

Irina - Oui Maitresse... Gros-Nichons est heureuse de ce que vous faite pour elle...
Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Inuko Sora / Sathael Ishnah le jeudi 11 décembre 2014, 15:29:24
Tsss, cette créature faible et soumise n'est pas celle que je souhaitais obtenir, je veux toucher la véritable cyborg. C'est cette foutue rebelle que je veux dresser, je veux qu'elle m'aime, qu'elle me considère comme son alliée et sa maîtresse. Dans la douche ce n'est qu'un corps brûlant et un esprit brisé que j'ai entre les doigts. Où est passée la petite rebelle qui avait honte de s'offrir à tous ces scientifiques ? Dans son état actuel elle baiserait volontiers avec tout le complexe plusieurs fois si je le lui demandais, elle pourrait même apprécier ça et en redemander. Et ça ce n'est pas amusant, je veux la petite salope qui ose me résister, celle qui a voulu me coller son poing dans la figure à notre première rencontre. C'est cette sale petite pouffiasse que je veux détruire, humilier, dresser. Mon instinct de démone la réclame, ma mauvaise nature veut s'exprimer, je veux appliquer mon plan initial. Émerge Irina, émerge et je te détruirais, ce jeu est comme une bataille navale, tu es un sous-marin qui a épuisé ses munitions et qui arrive à court d'oxygène. Dès que tu remonteras pour prendre de l'air, je te torpillerais sans la moindre pitié et je te coulerais. Déçue de son manque de résistance, je masque toutefois ce désappointement. Même brisée elle reste très belle, une délicieuse friandise que je vais dévorer comme la gloutonne que je suis. Je ne dois pas oublier, là j'ai affaire à une version vulnérable d'elle-même, je dois être gentille, lui offrir le plaisir que son corps réclame. Je dois la soulager de sa frustration extrême, la mettre en confiance pour mieux la contrôler, semer le doute dans son esprit.

"Bien sûr que tu es heureuse Gros-Nichons. Tu es une bonne fille, j'ai tellement eu peur pour toi ma belle. Les méchants scientifiques ne te feront plus rien, je te protégerais et je te ferais l'amour. Tu seras ma petite salope d'amour, ma préférée et je te ferais jouir comme une petite catin tous les jours. Tu aimerais jouir hein ? Oh oui, tu adorerais, tu ne pense qu'à ça. Je t'aime Gros-Nichons."

Blablabla … Ce n'est pas ce qu'elle attend, elle elle attend que je la baise mais, ces mots vont se graver dans son esprit. Les mots marquent plus sûrement et plus efficacement que n'importe quel fer rouge. Ces mots lui reviendront à l'esprit même lorsqu'elle sera redevenue elle-même, à force de les entendre ils deviendront son unique vérité. Ils seront la première étape avant ce que j'avais initialement prévu pour elle, une sorte d'avant-goût d'une méthode de dressage bien plus violente et perverse. Pour associer à ces paroles un souvenir positif, je dois maintenant m'occuper de son corps. Mes mains se baladent sur son ventre, l'eau tombe de la douche sur nos corps nus, ma poitrine est toujours collée contre la sienne. Je me met sur la pointe des pieds, je l'embrasse passionnément, glissant ma langue entre ses lèvres. Dans cet état son corps ressent tout plus intensément, il est hyper-réceptif à mes caresses, à mes mots. Je vais lui mordiller malicieusement l'oreille, glissant au passage un murmure :

"Alors petite salope ? À quel point aimes-tu ta maîtresse ? Que serais-tu prêtes à faire pour elle ?"

Outre le fait d'être un nouveau jeu pervers, ces paroles vont surtout la distraire, la déconcentrer, en faisant l'effort de me répondre elle va me laisser user de son corps comme je le souhaites, lui faire ressentir un plaisir intense. Ma queue de succube continue à défoncer son adorable petit cul, tandis que je caresse sa fente du bout des doigts. Ce n'est pas suffisant, pas du tout, je veux que ce soit intense et brutal. Arborant un sourire malsain, je lui dis finalement :

"Dis Gros-Nichons ? Tu sais ce qu'est un chant en canon ? C'est quand les chanteurs chantent la même choses mais, en décalé. Tu sais pourquoi nos oreilles aiment tant cela ? Parce que notre esprit adore être assailli de sensations agréables. C'est possible avec le son mais, ce n'est pas possible avec le toucher, les sensations du corps ne peuvent pas se superposer, en théorie … Tu sais pourquoi je te parle de tout ça Gros-Nichons ? Parce que la théorie c'est de la merde."

Sans plus d'explication j'utilise mon pouvoir de manipuler le sens du toucher sur elle. Je lui donne l'impression qu'un imposant sexe lui ramone le vagin avec ardeur. C'est moins intense que le taureau, ceci dit cela produit sont petit effet quand même. Sentir à la fois ma queue dans son cul et ce phallus imaginaire entre ses cuisses, tout cela pendant que ma main caresse toujours sa vulve, voilà qui doit être fort agréable. Mon but n'est cependant pas ici, ce n'est pas ce que je veux lui faire. Tout à coup elle peut sentir une seconde bite entre ses cuisses, imaginaire elle aussi. Son rythme est diffèrent, sa taille aussi, son esprit confus se retrouve face à une incohérence qu'il peine à comprendre. Mon sourire s'élargit, tu vas jouir comme tu n'as jamais jouis de ta vie ma petite salope ! Une troisième verge va et viens en elle, puis une quatrième et enfin un cinquième, leurs rythmes et leurs tailles sont tous différents. C'est comme si cinq fantômes la prenait en même temps dans ces douches. Puis ce fut le tour des langues imaginaires puis des mains, partout sur son corps, dans son cul, sur sa poitrine, ses tétons, dans sa bouche, sur son ventre. Au final elle avait l'impression que des centaines de corps étaient pressés contre le sien, se superposant dans un gang-bang irréel. Bloquée dans un état d'orgasme permanent, assaillie de sensations agréables, son corps est incapable de résister à ça, ne pouvant que subir.

Pendant plus d'une heure je la prends ainsi sous la douche, la menant jusqu'aux portes de la folie avant de tout stopper, la laissant choir au sol. Avec un sourire satisfait je lui demande :

"Qui est ta maîtresse adorée Gros-Nichons ? Que serais-tu prête à faire pour elle ?"

Plus elle se le répétera, plus elle s'en convaincra. Peut-être même que mon plan initial deviendra inutile à ce rythme là.

Titre: Re : Les intérêts communs font les bons amis [Irina]
Posté par: Irina Tarkovskaya [Sujet 2501] le mardi 16 décembre 2014, 20:19:19
L'esprit d'Irina tente de reprendre lentement le dessus, mais avant qu'il ne surpasse le plaisir que lui procure la succube, elle se sent assaillie de nouveau par toujours plus de pénis, toujours plus de langues, toujours plus de plaisir. Elle pousse de long cris à gorge déployée, la poitrine en feu et les tétons gonflés comme des chambres à aire. Elle regarde autour d'elle les yeux mi-clos, tentant de comprendre, de voir ses amants/ Mais son regard se referme sur le vide et son esprit brisé et fiévreux s'enfonce encore plus dans l'incohérence et la folie. Progressivement, à mesure que les orgasmes pilent sa raison, des silhouette fantomatiques apparaissent pour accorder à son délire un sanglant de cohérence.

Dans un ultime hurlement où elle demande grâce à son adversaire victorieuse, Irina s'effondre sur le sol de la douche. Elle trempe dans le mélange d'eau brulante de cyprine et de sucs démoniaques, les bras ballants, les jambes écartés et la tête baissée. Jamais elle n'a tans ressemblé à ce qu'elle est vraiment, un pantin désarticulé.


Inuko - Qui est ta maîtresse adorée Gros-Nichons ? Que serais-tu prête à faire pour elle ?

Irina relève lentement la tête vers sa Maîtresse, elle ouvre la bouche mais ne trouve pas de mot pour répondre, sa volonté et son intellect ont fondu dans la fournaise d'Inuko. Mais la succube n'a pas besoin de l'entendre dans sa bouche car elle lit ses mots dans son regard. Prête à faire quelque chose pour ? Non... elle serait carrément prête à mourir pour elle...

La scène s'éloigne et apparait sur un écran géant dans une salle obscure ou deux silhouettes minces et élancées regardent ce qu'il vient de se passer dans un silence total.

Administrateur - Vous êtes songeur Monsieur le Président... le nouvel agent ne vous apporte t'il pas satisfaction ?

Khane - Bien au contraire mon ami... Mais je sais maintenant que nous allons devoir nous montrer patient pour apprendre à connaitre sa sorcellerie démoniaque. Jusqu'ici l'agent 666 n'a que fort peu recourue à ses dons, et même si nous en avons gardé de très bon relevés, elle à surtout utilisée nos technologies pour briser Irina.

Administrateur - Certe, mais il faut avouer que la vitesse à laquelle elle à obtenu de telles résultats est très largement supérieur à ce que font nos propres équipes.

Khane - Vous dite vrai, elle a fait un usage très judicieux de nos ressources, en particulier pour ce qui est de la nouvelle variante du CN20. L’enzyme de contrôle est presque prête, mais imaginez que nous disposions du pouvoir que la succube à décrite...

Khane plisse les yeux et la convoitise brule dans son regard.

Khane - Imaginez que nous apprenions d'elle sa technique pour anéantir totalement l’intellect de quelqu'un et en faire un esclave servile et accros à sa personne. La porté de la découverte serait formidable...

Administrateur - Mais, monsieur, elle risque de ne jamais nous le montrer, si elle continue ainsi elle pourrait bien atteindre la soumission totale d'Irina sans y recourir.

Khane - C'est pour ça que je vous demande de régler la régénération de la volonté du sujet 2501 à son plus haut niveau de rapidité ainsi que son niveau de conscience... je veux que vous libériez la rebelle pour que la démone soit obligée d'utiliser ses pouvoirs...



Pendant ce temps dans la douche, Irina gémit doucement et essai de se relever, la drogue est encore très présente dans son corps mais son esprit reprend peu à peu le dessus.