Ahri menait la belle vie depuis un long moment sur Nexus, elle était devenue incontournable dans son propre milieu, le libertinage.
Nombreux étaient les hommes de plus en plus riches à venir me voir et dépenser des sommes de plus en plus folles pour une parties de plaisir avec moi. Mais aussi, il y avait de temps en temps certaines femmes qui venaient d'elle-même à moi, que ce soit pour apprendre ou pour le plaisir simple.
Slimia, la slime bleue qui m'avais autrefois coûté une fortune- Fortune que je pouvait débourser cinq fois maintenant - est revenue me voir un jour, pour jouer encore. Cette fois, il n'était pas utile de la mettre dans le bain, mais le lit a bien failli céder cette nuit là.
Un jour, une femme, grande et séduisante – à mon goût en somme, pourrait je dire avec une point d'ironie, tout le monde est à mon goût - est venue me voir pour ... m'offrir un travail ?
- J'ai bien peur de ne pas avoir tout entendu. Vous voulez me voir travailler ? Je travaille déjà pour moi. ♥
- Il ne s'agit pas de vous trouver un travail, j'exige de votre part que vous vous engagiez à venir fréquenter notre établissement.
La conversation n'en menait pas large, la dame qui s'était présentée comme tenancière d'un établissement nommé « La lune rose » en précisant que c'était un 'araim'. Je n'avais aucune idée de ce que pouvait être un 'araim' alors je me montre davantage plus récitente.
- Si votre établissement sers aussi à faire plaisir aux clients, je peux aussi le faire depuis chez moi. ♥ Qu'avez vous de particulier qui pourrait m'intéresser ? ♥
Le nœud du problème. Ahri ne saisissant pas toute la grammarie de la langue, un 'araim' pouvait être plein de chose
- La lune rose propose à ses client moult femmes libertines qui ne répondent qu'a se faire plaisir. En cela vous êtes loin d'être unique.
J'y réfléchit rapidement, beaucoup de femmes... qui ne veulent que se faire plaisir ... Plein de raisons rapide de s'offrir rapidement un sacré paquet d'énergie spirituelle, soit plus de temps encore jeune et belle et plus de temps encore pour le plaisir pur, pour encore la longévité, pour encore la luxure et cetera... J'étais déjà emballée rien qu'avec ceci, mais la tenancière rajouta :
- De plus, une somme non négligeable vous attends lorsque le client est satisfait des prestations offertes.
Mes oreilles de renardes tressautèrent, de l'argent en plus si un client était content ? Mais autant dire qu'on m'offrait directement cet argent, d'autant plus que Séduction faisait facilement l'affaire, le meilleur aphrodisiaque magique, voire plus que ça, mon sort insère un sentiment d'amour réel envers moi, le moindre geste en présence d'un Séduit est de son point de vue plus beau qu'un rêve. Tout autours de lui est rose, avec des paillettes et tout ça. La 'patronne' pouvait voir qu'elle avait fait mouche, quand en me regardant dans les yeux, elle pouvait y lire le mot ''ARGENT'' au fond de mes pupilles.
- Soit. J'accepte votre proposition. ♥
La tenancière semblait un peu soulagée, derrière son masque impassible. Il n'était pas très évident d'inviter des personnes en tant qu' « esclaves personnelles » quand ces dernières font déjà fortune d'elle-même. Pour moi en revanche, j'éviterais de l'appeler « petite » mais je ne l’appellerais jamais « maîtresse » non plus, elle restera une personne sans nom pour moi. Et puis, quand bien même elle serait douée, elle, elle ne vivrait pas plus longtemps que moi, or que moi, je peux devenir immensément expérimentée sur la voie du sexe et rester en vie excessivement longtemps.
- Parfait, vous commencerez dès demain.
Aussi je me retrouvais engagée dans un milieu à peine connu. Le lendemain, quand le soleil était au dessus de tout, une femme – pas celle d'hier – m'attendais pour m'emmener a La Lune Rose. Après une rapide visite, j'ai pu connaître la vraie signification du araim, lequel allait rapidement me plaire. Ce premier jour n'était que pour me faire une sorte de visite, c'était encore le lendemain où les choses sérieuses allait réellement commencer.
Le jour, ou plutôt le soir suivant, on me demanda d'aller en salle rose, après m'y avoir conduit, j'inspecte les lieux avec un rapide tour de propriétaire. Cette salle n'avait rien à envier à ma Grande Chambre, excepté peut-être pour la taille du lit et les menottes lourdes qui sont placées chez moi, il n'y avait pas ici non plus de pilules change sexe, sait on jamais. Mais ça compensais avec des petits joujoux supplémentaires et des petit bonus un peu moins visible.
J'avais emporté avec moi quelques objets, on ne me l'avais pas conseillé, mais je me suis justifiée avec le fait que mon Orbe a un lien vital avec moi, aussi, j'ai eu la permission de le garder, j'ai emporté aussi avec moi quelques pilule change sexe, plus discret à cacher dans les vêtements. On ne m'avait presque rien dit sur la personne qui avait particulièrement envie de m'avoir seule en tête à tête, à part pour me dire que c'était une femme et qu'elle avait pour nom Fania, ça ne m'avançais pas trop, dans la mesure ou rien de politique ne m'affectais le moins du monde, de mon point de vue, humain à Terra ou sur Terre c'est la même chose.
Devant l'attente qui se prolongeait, je pouvais remarquer que je commençais à avoir le Toucher exacerbé. Je cherchais des yeux la cause lesquels s'attardèrent sur un bâtonnet qui fumais et qui avait une odeur bizarre. Bon, il ne fallait pas m'enfermer des heures ici, sinon je finirais par me faire plaisir seule, mais voilà que la porte finit par s'ouvrir.
La femme qui se tenais là est dans la norme question grandeur, j'étais donc un peu plus grande qu'elle, elle devait avoir un peu plus que mon age en revanche et elle était blonde. Elle se contenta de s’asseoir sur le lit, avant de sourire et de me dire :
- Ma chère, j’apprécierai énormément une petite gorgée de ce champagne après la dure journée que j’ai eus. Vous seriez bien aimable de me dire votre nom…
Le ton employé n'était pas l'idéal pour bien me placer, alors je préférais esquiver une réponse âcre et me contenter de faire une fleur au 'client' Reste à savoir quelle bouteille est celle de champagne, les bouteilles se ressemblant toute et n'ayant aucune étiquette pour me permettre de me rattraper. Après un bref moment d'hésitation, je finis par attraper le verre d'une queue tandis que je verse le contenu d'une des bouteilles, un liquide ressemblant au jus de pommes, mais avec des bulles. Tandis que je faisais ça, je lui répond doucement :
- Je me nomme Ahri, je connais le votre car on m'a soufflé il y a peu. ♥
Je ne lui dit pas que je ne connais pas son métier, et que de toute façon on s'en fiche. On n'est pas ici pour parler de qui à le meilleur métier, je ne changerais pas mes positions et elle non plus. Du moment qu'elle fait ce qu'il lui plaît et qu'elle me laisse en paix.
(en y repensant, si j'avais eu vent du métier de fania, ç’aurait été une raison supplémentaire de se méfier d'elle, car autant maintenant mes clients repartent de chez moi plus ou moins sains et sauf, autant j'avais déjà auparavant occasionnés une dizaine de mort à mon actif sur l'enceinte de Nexus.)
Je lui tend avec ma queue son verre,e je n'en ai pas pris personnellement, je me méfie un peu des liqueurs en bouteilles, je préfère bien mieux les liqueurs du corps humain, si l'on voit ce que je veux dire ...
Note : femme-renard = kitsune, femme-renard à neuf queues = kitsune 'kyu'bi inari.
je me suis pas attendu à faire aussi long, j'avais peur de pas écrire assez. XD
relis toi de temps en temps, y'a quelques erreurs de grammaire ^^
Je fais probablement figure d'exception dans le cadre de développement terran. Je n'était pas Terranide, malgré les apparences. Fania devait éviter de confondre, même si finalement ça ne changerais pas grand choses. Ahri avait juste beaucoup plus de capacités magique que tout autre terranide.
Je disais précédemment que si elle me battait en luxure, je l’appellerais maîtresse, elle aurait effectivement gagné, mais pas simplement, elle écraserais littéralement les dires de la kitsunes. Pour moi, le sexe est vital, c'est comme manger ou dormir. Demanderais t-on aux gens s'ils sont doués pour manger du pain ou pour respirer ?
L'humaine semblait dépitée par le premier baiser. Mais c'était juste pour répondre à sa question, le second baiser fut heureusement plus long, elle avait même réagit positivement en jouant de la langue. Ma cliente pour la nuit s’avança bien vite en passant ses mains sur mon corps, glissant à travers mes vêtement. Elle me touche à l'aine, et la retire rapidement, sûrement car elle avait récupéré un peu de ma cyprine.
-Eh bien, on est cachottière, ma belle…. Je te fais tant d’effet que ça ? Je dois bien avouer que tu m’en procures autant...
- Ah oui ? Tu n'as pas de queues que je pouvais caresser, moi. C'est comme si depuis le début de la rencontre, je te caressais entre les cuisses. ♥
Elle se contenta de m'embrasser dans le cou, sans doute était elle déjà enivrée par les vapeurs aphrodisiaques qui flottaient en l'air.
- Tu veux sentir comme j’ai chaud en bas ? Tu n’as qu’à me déshabiller … J’ai envie de sentir ton corps contre moi… J’ai même envie que me lèches à des endroits dont peu de personnes possèdent l’autorisation.
Elle me donnait des ordres, tout en agissant d'elle même. Elle fit glisser ma robe pour exposer mes seins et me caresser à la fois les seins et l'entrecuisse. Je ne pouvais pas lui offrir les léchouilles qu'elle souhaitais pour le moment, mais on ne peux pas tout avoir, soit elle se décidait à me lâcher, auquel cas je pourrais, soit elle garde les mains là ou elle les as encore maintenant, auquel cas, les léchouilles verront bien ...
-Ahri… Promet moi une chose, garde ta robe, tu es magnifique avec et se serait une insulte pour cette robe de te l’enlever. Je veux te voir jouir avec …
*Ah ben c'est pas gagné pensé-je. Je sui répond toutefois :
- Si c'est ce que tu souhaites... ♥
Le nombre de fois ou j'ai pu jouir s'élève au nombre incroyable de ... 1. Et face à une slime au taux de lubricité quasi égale au mien. Ahri s'est fait tellement passer dessus que les caresses que Fania procure ne lui font en réalité bien peu de plaisir. Le seul moment où une simple humaine comme Fania pourrait me faire plaisir, ce serait en caressant mes queues sans cesse. Mais je camoufle, je fais semblant, même en semblant réaliste. Il n'est pas malaisé de faire croire que les actions de l'autre te font plaisir.
-… mais avant que tu jouisses, je veux que tu me fasses du bien… Enlève mes habits et lèche mon petit minou qui n’attend que ça…
*Mais j'y pense bien, petite ♥ pensé-je de nouveau.
En effet, je n'allait pas rester les bras croisés en attendant qu'elle trouve mon – ou plutôt mes 9 - points faibles. Non, mes queues - en parlant du loup (ou du renard) – S'étaient enserrés autours de nous, elle se glissèrent sous les vêtements de Fania. Il n'était pas possible d'enlever ses vêtement du haut sans les arracher, elle avait les mains sur mon corps et ne semblait pas vouloir s'arrêter. et ç’aurait été dommage de lui arracher, j'y perdrait au final. En revanche, trois de mes queues lui ôtèrent assez vite son pantalon. Elle se glissèrent ensuite en direction de l'aine de Fania, deux d'entre elles caressèrent chacune l'intérieur d'une cuisse et la troisième se frotta directement sur l'entrejambe humide de Fania. Je riais doucement
- Hmm hmm. ~♥ (oui c'est bien un rire.) Tu es bien humide aussi, grande coquine. ♥
''Grande'' Si pour Fania ça n'avait que peu de signification, pour moi, appeler quelqu'un ''ma grande '' est un miracle en soi. Fania aurait facilement pu être nommé ''petite'' comme tout le monde, mais ça rentrerait mal car le client se croit dominant. Pour l'heure, j'allais lui faire plaisir avec mes queues, afin de la ''paralyser'' par la luxure, afin de pouvoir la coucher, lui ôter son haut et obéir bien langoureusement à sa demande.
Mes queues qui se débattaient sous les vêtements restant à Fania trouvèrent finalement deux collines qu'elles encerclèrent sans ménagement, une fois les seins enroulés, la pointe des queues chatouillèrent les mamelons légèrement durci, pour les rendre à la fois sensible et tendre. Et ce que ça lui suffirait pour tomber, ou faudra-il finalement se montrer plus inventif pour avoir ce que je désirais ?
Je pouvais deviner que mes queues lui faisait de l'effet, moi je pouvais tricher, mais elle n'en avait pas l'occasion, la vapeur aphrodisiaque entravait un peu sa lucidité. Pour moi, en revanche, c'est open bar.
- Hihi… Tu me chatouilles avec tes queux…. En tout cas tu as une grande dextérité avec…. Je me demande si tu sais te battre à l’épée avec…. Puisque tu sembles tellement apprécier mon corps, je vais enlever mon haut pour que tu puisses t’amuser un peu plus et pendant ce temps, je vais te caresser tes belles queux puisque tu sembles aimer ça.
Avait-elle saisi mon point faible aussi aisément ? C'est à la fois probable et peu réaliste... Pour moi en tout cas, après, je suis en présence d'une des rares personnes qui pense à prendre soin de mes queues avant même de commencer à jouer. Tout pouvais encore arriver.
Elle me caressait une nouvelle fois les oreilles avant de me laisser l'occasion de lui retirer le haut de sa tenue. Elle s'écroula ensuite dans le lit, me permettant de dominer l'action, tout en lui laissant l'illusion de me contrôler par les dires
- C’est si bon…. Ce que tu fais…. Mais, n’oublie pas de me lécher… Pendant ce temps…
Je n'oubliais pas. Aucune inquiétude à avoir de ce point de vue là, je n'allais pas juste la faire bien dormir, j'allais probablement lui faire profiter d'un confort total. Tout ce qui pouvait être érogène pour elle allait être passé au crible et méticuleusement comblé.
Je m'approchais davantage, comme un mâle sur la femelle, sans pour autant l'être. Je pouvais maintenant jouer avec ses seins, à mon tour, je palpais de mes mains ses deux seins - qui, même si n'étaient pas de ma taille, n'étaient pas à négliger non plus – tout en léchant l'un des mamelons, tandis que la pointe d'une de mes queues jouais avec l'autre. Pour attendrir un peu son téton, je le mordille gentiment, c'est important de les attendrir quand il sont dur.
Pour riposter, elle me bloqua contre elle avec ses jambes, si j'étais un mâle à l'instant, je serais en elle, et je ne pourrais plus me retirer. Elle cherchais mes queues de ses pieds et continua de me les caresser. Me procurant au passage pas mal de nouvelles sensations qui ne me déplaisent pas.
Elle était haletante et gémissante quand elle me dit :
- J’espère que tu apprécies…. N’hésite pas à m’indiquer tes endroits sensibles… Tu n’as pas un corps comme les autres…. N’oublie pas… de me lécher…. le minou….
Lui indiquer mes points faibles ? Non non non, les points faibles devaient être trouvé naturellement, comme j'étais en train de faire, mais si elle caresse mes queues sans savoir que c'est mon point faible, alors que plusieurs indices pré-cités ont été énoncés devant elle, c'est dommage. ♥
enfin, le client en redemandais, aussi j'allais devoir bientôt m'y mettre. Mon coté sadique dominante voulait la faire jouir sans même avoir à utiliser la langue, et je la sentais sur le point de céder, pour preuves, mes queues qui jouaient avec ses cuisses devaient lutter désormais pour garder l'entrejambe exposée à la troisième queues, deux autres queues avaient aussi envie de jouer avec l'aine de Fania, et si je l'avais vraiment voulu, la totalité de mes queues auraient pu jouer avec, pour la faire jouir sans tarder dans une mer de doux poils canin. Mais la vérité...
La vérité, il fallait que je m'y plie, même si j'aurais bien aimé la faire jouir sans, il fallait que je le fasse. Aussi, cessant de jouer avec ses seins - ou plutôt laissant à nouveau trois queues de plus sur elle - Je descend lentement le reste du corps, tout en caressant des mains et de la langue depuis la poitrine jusqu'au nombril, puis du nombril à l'aine, retirant la queue imbibée de mouille, j'attaque doucement ... avec les doigts. Eh non, je voulais bien jouer avec elle, et non seulement la contenter
- Ahri…. Goûte-moi de ta langue, je veux sentir ta langue entrer en moi….
On pouvais voir qu'elle se donnais du mal pour ne pas jouir immédiatement. Après avoir joué encore dix secondes avec ses lèvres intimes avec les doigts, je finit par lui offrir ce qu'elle voulais : lécher la petite boule de plaisir qui était très humide. Le goût de sa mouille n'était pas mauvais. Plus vierge, mais encore bonne à garder en bouche, elle ne devait pas avoir de rapport bien longs avec des mâles, ou alors plus depuis longtemps. Après avoir lavé l'entrejambe de Fania de sa cyprine, je passe ma langue en elle. Elle avait bon goût aussi à l'intérieur. Sans cesser de remuer, j'utilise aussi les doigts.
Vu comment elle insistait pour que je le fasse, je me doute bien qu'elle allait jouir sous peu, mais exciter davantage l'humaine permettais de l'épuiser un peu plus, or, c'est ce que je voulais. Je ne songe pas un instant qu'elle puisse me vaincre en luxure, pas dans son état, et même sans, elle ne pourrait pas. Tandis que je m’apprêtais à recevoir en plein visage une giclée de mouille gratuite, deux queues étaient parties chercher dans mon sac mon orbe. Je n'allais pas me gêner pour me refaire une santé devant elle.
HRP : Non, je n'avance pas plus que ça, j'ai déjà eu l'expérience d'un RP qui s'est arrêté à cause du fait que je prenais des décisions à la place de l'autre, le joueur en est parti (sur un de mes précédents forums). Même si ici tu m'y autorises en MP, je ne le ferais pas.
Pour tes url, utiliser [url=http://]http://[/url]
sert à rien.
Pour que ce genre de code soit utile, il faut utiliser [url=http://]Nom Au Choix[/url]
pour que soit affiché en hyperlien le "Nom Au Choix"
sinon utilise juste [url]http://[/url]
ça affichera l'url normalement
Pour toute réponse à ma proposition, elle se leva et pris la clochette. Que comptait-elle en faire ?
- Depuis le début, on obéit à tes règles et tu les dictes de telle manière à ce que je puisse pas gagner. Mais les règles, elles sont faites pour être brisées. Si je veux gagner…. Il faut donc que je vis les interdits ! Je vais appeler deux esclaves… ou plutôt une flopée d’esclaves… On en choisira deux et on testera tes pilules sur elle, on pourra utiliser les instruments de la pièce et la première qui arrive à faire jouir sa partenaire à gagner.
Puis sans attendre, elle agita la clochette. De deux choses l'une. J'allais considérer la paye comme trop facile et je risque fort de la refuser. Mais ce n'était qu'un moindre mal, car de plus, je ne suffisait pas, ça restera indiqué dans mon premier test que la cliente a été peu satisfaite de moi seule. Même si ça ne se note pas et que ce n'était pas le but recherché, il ne fallait pas s'imaginer penser normalement quand on est une créature non humaine.
Entre Kitsune, c'est la tout simplement la honte de recevoir la proposition d'une humaine, d'accepter et ne pas réussir à la satisfaire seule.
Je tente de garder ma déception pour moi, derrière un visage impassible, mais un point ne trompais pas, mes pupilles. Malgré l'obscurité de la pièce, elle étaient extrêmement fine, presque comme si je n'en avait plus , signe que quelque chose m'irritais profondément.
Ce qu'il y a avec le plan de Fania, c'est qu'elle recevrait finalement l'inverse de ce qu'elle pensait obtenir. Si elle songeait qu'apporter plus de filles à mon égard était une bonne chose, c'était en fait le contraire qui se passerait. J'allais être moins efficace et j'allais moins réagir aux stimulations. Pour faire court... Une personne de trop ? deux fois plus de sexe, deux fois moins sensible. Six personnes de trop ? Six fois plus de sexe, six fois moins sensible. De plus, la lubricité dont je fait preuve peux pratiquement me laisser généralement insatisfaite, même après une orgie. Comme un homme qui aime prendre une chope et lever le coude, mais qui jamais n'est tombé ivre et qui chercherais la boisson parfaite pour le devenir.
Entre temps, du monde s'était attroupé, ce que je pouvais ressentir plutôt que de la joie était un sentiment de gêne et de honte, comme si six des sept filles devant moi se moquaient de mon incapacité à suffire à une simple humaine. J'avais même pratiquement envie de partir malgré l'orgie qui s'annonçait, c'est dire.
- Vous avez fait vite Clara… Vous devez vraiment être excitée par le petit jeu qui se prépare.
Non, elle rêvait de pouvoir corriger une insolente kitsune qui ne savais contenter une seule femme et qui pourtant à son propre bordel.
Ma belle Ahri, je te présente Clara, Léa, Elsa, Farah, Elizae et Lia.
On s'était déjà rencontré avant, ce n'était pas la peine ... J'étais de très mauvaise foi et ça n'allait pas aller en s'arrangeant. Je considérais le jeu actuel de Fania comme un véritable affront rappelons le.
Elles ont chacune pleins de bras et elles pourront caresser tes queux pendant que tu coucheras avec l’une des leurs.
Plein de bras ? Elle n'en ont que deux chacune, avec elle ça faisait... euh... sept, plus sept... quatorze... Heureusement que j'avais appris à compter un minimum... Certes, ça faisait plus que mes neufs queues, mais je conservais toujours un avantage, à savoir la force pure, pour mes queues, et la magie. Certes, je ne pourrais en toucher qu'une à la fois, mais ça ne ferais plus sept contre une mais deux contre six. On partait sur de mauvaises bases.
Choisis en une et monte moi comment fonctionne ces petites pilules.
Super... Confirmer le fait que j'ai emporté mes pilules face à celle qui ne m'autorisais pas à les prendre et ce avant même la rencontre... Ça partait de mal en pis... Dans la suite, il ne manquait plus qu'elle demande des dagues pour me crucifier sur place et un collier d'obsidienne pour n’empêcher de m'en sortir
Chacune de ses filles vont chercher à te satisfaire puisque je n’y arrive pas toute seule et que tu le mérites tant.
Ce ne fut concrètement que cette phrase qui aurait pu être retenue comme étant positive. Toutefois, l'état dans lequel j'étais m'empêchais de ressentir la moindre gratitude. Ni la moindre sensation quand les filles passèrent derrière moi pour me caresser les queues. J'étais sur les nerfs, dans un état qui à la fois me donnais envie de tout briser et de me fondre dans le décor, ou encore de tout annihiler. Et dans cet état, je ne ressentais pas le moindre plaisir. Elle pourrait jouer avec moi aussi longtemps qu'elle le désirait, je n'aurais pas davantage de réactions.
Fania se glissa sous ma courte robe avant de dire :
- En fait, avant que l’on fasse le jeu, je vais te satisfaire comme je te l’ai dit avant. Crie mon nom quand tu jouiras….
Crier son nom ? Quand je jouirais ? Il m'en faudrait bien plus actuellement. Dans l'immédiat, je rejetterais les avances de cette pièce, rentrerait chez moi avec deux mâles terranides fraîchement capturé, encore sauvage, pour qu'ils me prennent violemment. Une verge ou deux bien dure et des muscles saillants à tâter... Rien que cette idée me fit glisser un peu dans le plaisir personnel...
J'étais tellement peu réceptive aux plaisir corporel en ce moment que je n'avais ici qu'une simple forme de supplice. On pouvait dire effectivement que c'était pratiquement la première fois que je ressentais ça... Du moins en tant que presque humaine, en tant que renarde les périodes de reproduction me donnait un arrière-goût similaire.
Fania y mis de l'entrain, sans douter une seconde que son plan avait totalement changé mon point de vue sur la partie actuelle. Quand bien même six alliées jouaient avec elle, je n'en tirais aucun profit. Je m'ennuyais. C'était aussi simple que cela. L'ennui. Autant je ressentais de l'ennui, car j'avais désormais en tête qu'une humaine n'avait pu se satisfaire de moi seule, et cette simple pensée pouvais tant me déprimer que je pourrais me changer en renarde et m'exiler de Nexus à tout jamais sur-le-champ, autant le plaisir que l'on tentais de m'offrir était fade. Oh, bien sûr, je pourrais faire semblant, en gardant les traits attentifs je pourrais prononcer les bons soupirs au bon moment et je pourrais même simuler un peu de mouille histoire de faire joli. Mais le cœur n'y est pas, et n'y sera pas...
Puis, un petit truc se ravivait. Pas grâce aux efforts des sept femmes sur moi, mais une pensée qui viens chasser mon sentiment de déprime actuelle pour le troquer avec la compétition à laquelle j'étais habituée. Cet esprit de compétition remplaçait à la perfection cette minable déprime. Elle ne semblait pas pouvoir gagner seule, alors elle appelle des amies, soit. Je riposterais de la meilleure manière que je puisse faire, en les faisant jouir l'une après l'autre. Après tout, c'est comme si à table vous aviez faim et que vous étiez écœuré, mais qu'il fallait finir encore six assiettes ... et demie.
Elles purent remarquer une différence entre les débuts, ou je n'avais aucune forme de réaction « réelle » et une passivité maladive, et maintenant, car je relançais l'attaque. Il me sera difficile de toute les charmer, autant ne pas s'y risquer, mais user de mes queues actuellement n'est pas impossible. Plusieurs d'entre elles attaquèrent directement les parties exposées à l'air libre de chacune, les deux seins de l'une, les fesses de l'autre... L'une des filles avait déjà mouillé, et le trou à son entrecuisse était bien ouvert, comme l'a constaté une des queues qui s'est enfoncé dedans alors que cette dernière ne voulait que la caresser, mais il n'y avait pas que les queues, l'une des fille s'accrochait à mon bras, parvenant à le libérer, je lui offre dans la foulée des caresses bien sentie sur son entrecuisse, et sans plus tarder, j'enfonce mes doigts dedans, rapidement, chacune des femmes allait être satisfaite.
Quand à Fania, eh bien je simulais, pour lui faire plaisir. Des répliques de 'la jambe qui se relève ''involontairement'' ', des 'petits soupirs' bien casés, des ''Han'' quand je le pouvais, ce qui était un peu difficile avec celle à la couleur de peau différente qui enfonçait son aine dans ma bouche. Rien ne laissait indiquer que je simulais, même si au fond, je m'ennuyais ferme, il fallait cependant conserver un minimum de dignité - si tant est que j'en aie - et parvenir à faire jouir les femmes qui tentaient elles aussi de me faire jouir.