Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Ludya le jeudi 14 août 2014, 12:06:47

Titre: Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [RP Abandonné...]
Posté par: Ludya le jeudi 14 août 2014, 12:06:47

Ludya avait découvert qu'a défaut de le lancer au hasard dans un recoin inexploré de l'espace, le premier prototype de son convecteur spatio-vectoriel provoquait des étincelles bleutées autour de ce que certains appelleraient ici une charette d'acier et ouvrait un portail sur un monde qui lui était tout aussi inconnu que le reste de l'univers : on aura nommé Terra. Mais, eh bien la toute première fois qu'il s'en rendit compte, comme toute expérience un peu foireuse, son prototype de module d'exploration spatiale à comme ainsi dire subi quelques avaries lors du passage d'un monde à l'autre. On vous la fait pas c'est le coup classique du voyage spatial, temporel ou dimensionnel ! Y eut trois éclairs assombrissant le ciel comme si soudain nous nous trouvions en pleine nuit et soudain apparut un truc en plein ciel avec une trainée de flammes sur la trajectoire déjà empruntée dans le monde précédent. Mais, mais mais... Comme si un champ de force magnétique avait un pitit peuuuu démagnétisé tous les circuits électriques et un piti peu interrompu les moteurs alors on s'est un piti peu pris aussi, pour un planeur. Un planeur qui est un peu trop lourd pour planer très longtemps sans piquer du nez voyez vous parce que l'objet ben même s'il possède une double paire d'ailes elles sont pas bien bien longues.

(http://s30.postimg.org/7ujo9thsh/xwingdelorean.jpg)


Dans le cockpit de l'étrange vaisseau était évidemment assis un pilote, une créature qui est arrivée sur terre en créant la panique la plus complète car ses premières heures d'entrée dans l'atmosphère sur terre avaient bien failli brûler tout l'oxygène de la planète et laisser suffoquer tout le monde ! C'était un Abyssian, une créature assez rare voire inconnue, une espèce provenant des recoins les plus insondables de l'univers, soit, c'était Ludya. Ludya portait une paire de lunettes d'ingénieur-soudeur sur le front et une veste (http://perlbal.hi-pi.com/blog-images/34432/mn/1215098206.jpg) a col et manches matelassé et puis rien d'autre avec en fait, la couleur de la veste se fondait bien avec le reste de la couleur brune abyssian, velourée de la peau du reste de son corps et vu qu'il avait pas grand chose à cacher c'était pas toujours utile qu'il revêt un pantalon, sauf si du monde lui faisait la remarque, sauf si du monde commencerait un jour à lui faire plusieurs fois la remarque et montrer de la gêne pour ça, alors automatiquement lui aussi commencerait à en ressentir de la gêne et porterait un pantalon pour cacher et paraître plus acceptable !

Donc il était vêtu comme ça :

(http://s28.postimg.org/cpdtrhcgt/Ludyaveste2.jpg)

On aurait presque dit un aviateur ! Mais cette tenue vestimentaire n'était en rien réglementaire pour ce monde, peut être même trop moderne pour les contrées reculées et sous développées technologiquement autour de Nexus, il risquerait sans aucun doute, de passer pour un excentrique avec une tenue de ce genre ! Mais bon, il en avait pas encore conscience de tout ça, pour le moment il cherche à redresser son aéronef, ah, non, l'oiseau de métal qui fend le ciel si on devait reprendre les termes utilisées de ce coté du portail ! Et pour une fois ça semblait bien parti, bien parti pour faire un semblant d'atterrissage pas trop casse-figure, il déploya le train d’atterrissage manuellement puisque plus rien fonctionnait électroniquement en tournant une manivelle mécanique sous le tableau de bord.

Il rasait la cîme des arbres pendant qu'il déployait le train d’atterrissage, quelques branches balayèrent la vitre du cockpit et ça suffit pour lui rappeler de redresser d'avantage le manche, aie aie aie il pensait pas être arrivé si bas si vite et par chance plus loin y avait une grande clairière au milieu de cette zone forestière, il faudrait juste qu'il passe entre quelques séries de gros arbres, il priait intérieurement pour pas casser ses ailes sur les troncs, effectuant quelques manœuvres et roulement, tonneaux pour s'échapper vivement d'obstacles dans sa route.

Ses ailes tranchèrent quelques fines branches mais il put souffler quand il atteint la clairière, par contre c'est son train d'aterrissage qui prit tout dans les dents ! y avait d'énormes racines et le terrain était accidenté, il plia le support de la roue avant et sa charette volante d'acier finit sa course le museau dans la terre, freinant jusqu'aux racines d'un très gros arbre juste avant la fin de la limite de la clairière. Derrière le vaisseau on pouvait voir une grosse trainée de terre sillonnée et labourée par le train avant et le nez du vaisseau, mais il avait beaucoup de chance qu'il n'y ait que peu de véritable casse !

Et comme dans toute chance il y avait toujours un peu de malchance il avait appuyé par mégarde sur le bouton du siège éjectable quelques minutes plus tôt lorsqu'il crut que les carottes étaient cuites en touchant les premiers arbres, ben ça c'était pas enclenché tout de suite ! Lorsqu'il crut être sain et sauf, en louchant vers le ciel tout en poussant un soupir de soulagement, au bout de quelques minutes à reprendre ses esprits il sera tiré soudainement de ses observations à travers les vitres salies de son cockpit, qui s'envola tout à coup ! Les montants et les supports de la vitre s'éjectèrent dans les airs, suivi d'un petit Oh non... Quoi encore ?

Le siège s'éjecta avec beaucoup de retard hors du compartiment emportant Ludya avec, il grimpa haut tout de même ! son parachute s'ouvrit et il retomba bêtement dans les branches de l'arbre juste au dessus du vaisseau, bloqué comme ça dans les airs et retenu par les élastiques et lanières de son parachute. Il décida de rester là un petit moment les bras ballants, regardant autour de lui, la clairière, la trainée qu'avait faite son vaisseau dans le sol, puis l'écorce du vieil arbre. La vieille, très vieille branche sur laquelle avait décidée comme par hasard de s’emberlificoter son parachute aussie... Avec un peu de chance il pourrait se balancer un peu eeeet, hm, atteindre une autre branche, pas loin par là. Il se mit à se tortiller un peu et tirer la langue sur le coté.

















Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le jeudi 14 août 2014, 16:02:27
Alors c'est ça ! Ca vait l'air drôle hein ! Qui c'est qui s'met à rigoler ?! Il fit le tour de lui même en élançant ses épaules et ses hanches pour faire faire un tour aux élastiques et aux lanières qui le retiennent dans les airs, qui se tordent entre elles et formeraient presque une corde tressée, y se retourne dans tous les sens, une moue désapprobatrice tordant ses lèvres et ses yeux mis clos cherchant à repérer d'où venait ce rire ! Depuis quand cette personne l'avait observée ? Depuis qu'il s'est fait éjecter idiotement de son vaisseau ? Rho alors ça il se sent bien stupide et gêné, là haut, pendant dans le vide, bloqué, si elle l'a vu depuis le début !

L'est où cette chose qui ose se moquer de lui ? Parce que ça rigole en plus de le montrer du doigt ! Il se débat plus vivement dans les lanières de son parachute et la tresse de lanières qu'il à tordu dans un sens très fort finit par lui renvoyer la force qu'il a mis dans ses torsions pour observer tout autour de lui et rien trouver ! Il repart comme une toupie dans l'autre sens, tout tourne, tourne et se confonds dans un mélange de couleurs floues qui lui donneraient bien la nausée, enfin... Enfin tout s'arrête mais sa tête continue de tourner tout comme ses yeux tournent dans les coins de ses n'orbites, étourdi.

Là.. Il la vit, et quand il la vit s'approcher en sautant de branches en branches il attrapa le col de sa veste pour la rajuster d'un air sévère, comme pour se rendre un peu de fierté ! replaçant et recadrant aussi ses lunettes sur son front, en fait elles ont pas bougé d'un poil quand il les à tirées sur leurs élastiques pour les replacer sur sa tête, elles sont venues se poser au même endroit mais c'est pour se donner un peu de contenance face aux moqueries de la créature qui vient à sa rencontre, et qui sait se faire prudente en restant sur une branche hors de sa portée.


- Je suis curieuse de voir comment tu vas t'en sortir ! Si tu es... gentil... je te donnerai peut-être un coup de main !


Eh bien, voyez vous j'étais déjà en train de travaillée à mon plan d'évasion avant même que vous ne commenciez à m'en parler m'dame.

Dit il, époussetant de fierté sa veste, ah ça non il allait pas demander son aide elle s'était fichue de lui et puis il s'était mis là dedans tout seul ! Il était temps qu'il se sorte des situations pourries dans lesquels il se met par lui même ! Voilà, qu'il recommence à essayer de se balancer d'avant en arrière, mais les lanières sont si bien et si mal foutues dans les branches qu'il à pas énormément d'élan à pouvoir produire et de mou pour aller bien loin ! Il parvient cependant à touchée le bout d'une branche du bout du bout du bout de ses doigts mais, hm, il tire la langue pincée entre le coin de ses lèvres en s'étendant et s'étirant du mieeeeux possible... mais... maiiis... maaaaiiiiiiiis ! GGgniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiih !!

Ah zut, hé ! Presque ! T'as vu, il manquait presque rien... La prochaine fois sera peut être la bonne !

Il recommence, repaaaart, revieeeeeeeeeeens, et le bout du bout de cette pitit branche fragile qu'il parvient à saisir entre ses doigts casse évidemment ! Evidemment ! Il reste là a perdre son élan petit à petit, perdant le mouvement de balançoire jusqu'a l'arrêt total en tenant toujours le bout de la branche entre le bout de ses doigts avec le regard formant une barre horizontale et les sourcils fronçés aussi en barre bien droite exprimant tout le ras le bol de son incrédulité face à son manque de chance. Il plisse son joli regard d'une certaine... hum, méfiance en croisant les yeux de la moqueuse qui avait rien fait pour l'aider si ce n'est se moquer de lui jusqu'ici, bien obligé d'essayer de s'en remettre à elle.

Tu veux dire quoi par gentil parce que, hum, Disons que... j'ai pas souvenir d'avoir été méchant récemment. Et puis j'ai envie de descendre. Alors si tu veux pas toi être gentille et m'aider va te moquée de quelqu'un ailleurs ! Ici c'est réservé !

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le jeudi 14 août 2014, 19:27:20
Elle fait que de l'embêter ma parole elle l'énerve hein ! Elle est plus casse bonbon que Bianca quand elle se moquait de lui quand il arrivait pas à lacer ses chaussures où qu'il arrivait pas à atteindre un paquet de bonbons sur une armoire trop haut placé ! Elle fait que regarder et rigoler bêtement ! Son rire eh bien, même s'il possédait de jolies sonorités de sa voix il commençait à l'irriter ! GRRRrrrr !!!

- Mphfff...fff ! Hi hi !

Elle se roule par terre, se fend la poire ! Gondole et se tord de rire ! Ah non hein ! Ah non il s'agite, gesticule, gronde et fait un petit peu ployer la vieille et épaisse, trop solide branche sur laquelle il s'est fait attraper. Quoi qu'il fasse à la fin il est bien obligé de se calmer et de l'écouter, même s'il le fait à contre coeur avec un air plus que boudeur sur les traits du visage, soufflant entre ses lippes pour dégager quelques mèches retombantes sur ses yeux et ça lui donne vraiment, cette expression de ras le bol finie alliée du désespoir d'une cause perdue, enfin si il réfléchissait un petit peu où abusait de sa force il pourrait sans problème enrouler ses hanches autour des lanières en faisant de vives rotations du bassin pour se hisser jusqu'en haut... Mais il n'y pense pas parce que mademoiselle à décidée de lui occuper tout son temps de réflexion utile avec ses singeries sur sa branche !

- Je ne sais pas ...

Comment ? Comment ça tu sais pas ?!

Elle lisse sa chevelure d'un air de j'en ai rien à faire là ! Elle à tout son temps elle se croit au salon de coiffure peut être où dans la salle d'attente d'un médecin, où elle fait juste encore exprès pour le faire brûler d'impatience.

T'es tout susceptible, c'est vraiment... ...trop mignon.

Hé mais ?! Je suis pas susceptible, c'est toi qui me rend susceptible !!! Ah tu perds rien pour attendre si je me sors de là toi ! Je vais t'faire crâmer avec cet arbre ! Deux secondes tu vas voir !

Il devient rouge, rouge pivoine ! Rouge autant de frustration quand à sa situation que d'irritation ! Ses coeurs s'emballent et si il devient progressivement rouge c'est aussi que sa température commence à monter en flèche, mais wow ! Stop ! Non non non il va pas brûler l'immense arbre qui se trouve tout juste au dessus de son vaisseau et encore moins crâmer et ses lunettes et sa veste à cause d'elle quand même !

Ah... Non... Je... En fait c'est un mauvais plan à bien y réfléchir.

Il abaisse sa paire de lunettes d'ingénieur aux verres fumés sur ses yeux pour plus la voir se moquer de lui ! Parce que ça l'empêche de réfléchir correctement si elle était pas là à l'embêtée il est sûr qu'il aurait trouvé une solution par lui même depuis longtemps, il commence à avoir faim et fouille dans les poches de sa veste, ah ! Il a toujours ces barres de protéines et de repas condensés, un peu comme les trucs d'astronautes il en avait pris quelques uns avant de partir au cas où il se retrouverait coincé quelque part dans l'infini de l'univers pendant plusieurs jours où semaines dans l'incapacité de rentrer. Ca tombe bien puisque là il est dans l'incapacité de mettre pied à terre.

Voilà comme ça je te vois plus.

Ben pas tout à fait parce que lorsqu'elle sort ce parchemin de son Yukata il aperçoit les lettres rouges au travers de ses lunettes sombres, il les relève et plisse les yeux pour essayer de déchiffrer ce qu'il peut bien être écrit dessus, il comprend pas grand chose ça doit être écrit dans un plus ancien dialecte, il hausse les épaules et commence à décortiquer l'emballage plastique autour de sa barre de protéines au goût fraise et fait mine de pas trop l'entendre mais on entend qu'elle, alors évidemment ça rend la tâche un peu compliquée !


- Tu sais retomber sur tes pattes, chaton ?



Hmmm j'ai faaaaim, j'ai une super barre protéinée qui me fait de l'oeil ! Qu'elle à l'air bonne ! Ca va être trop bien quand je vais la mettre dans ma bouche et tout, qu'elle va fondre, que je vais croquer dedans et plus m'occuper de la petite voix irritante de la méchante créature qui fait rien que m'embêter !


D'une petite impulsion des épaules, il tourne sur lui même, lui tourne le dos en lui faisant la tête tout en faisant mine de porter sa barre de protéine à sa bouche, faisant genre que c'est super bon, tellement bon que c'est même plus intéressant qu'elle ! Ca oui héhé ! Il fait exprès de plus la remarquer, comme si elle n'existait plus ! Trop intéressé par son idiote petite barre de protéines, ouie ouie ouie ! En tout cas avec Bianca, sa petite soeur dans sa famille adoptive ça marchait, elle supportait pas qu'on l'ignore quand elle faisait n'importe quoi pour qu'on la remarque et surtout des âneries évidemment ! Elle parle de retomber sur ses pattes... Sur ses pattes ? Elle compte faire quoi au juste avec son bout de papier ?


Euh hum... Ben attends hein parce que c'est quand même haut ici... Je connais pas l'étendue de mes... euh... Pouvoirs sur terra... Et si je me fais mal ?!

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le jeudi 14 août 2014, 21:27:45
Oh ! Elle lui avait fait perdre sa barre protéinée dans sa chute ! Il n'imaginait pas qu'une feuille de papier puisse être aussi tranchante, il baissa même la tête lorsqu'il la vit filer à si grande vitesse au dessus de lui pour trancher les liens qui le retenaient au reste de son parachute... C'est étrange, il chuta pas tout de suite, lorsque ses dents voulurent se refermer sur sa barre à la fraise il se rendit compte qu'elle flottait dans les airs sans qu'il n'ait plus à la toucher... Parce qu'il était en train de tomber évidemment ! Mais ça sembla durer longtemps. Comme si le temps s'était figé puis soudain... La pesanteur refit parler d'elle dans toute sa force et sa présence, une fois qu'il avait réalisé qu'il était en train de tomber il se retrouva aussi sec dans le buisson !

Le buisson qu'il écrasa mais qui amortit sa chute, il était content d'avoir cette grosse veste matelassée même si ses jolies p'tites fesses rondes et une partie de la galbe de ses cuisses étaient maintenant lardées comme de petits coups de fouets plus brun clair que son velour Abyssian, preuve que les fins branchages avaient superficiellement griffé son épiderme lors de sa pénétration brutale dans les branches du buisson. Y mit un certain temps à se défaire des lianes et branches l'entourant, il venait d'avoir assez peur aussi le visage encore un p'tit peu bleuit par la montée d'adrénaline qu'avait provoquée sa chute. Y sortit de là en titubant, balayant le vide avec ses mains qui, semblaient comme ses pieds incertains de son équilibre.

C'est à son tour de rigoler quand il la regarde se prendre une décharge d'électricité statique qui la surprend et lui fait secouer la main.

Elle vient de toucher son vaisseau hihi...

Il préféra s'assoir en tailleur à même les herbes et se prendre le visage entre les mains, les joues reposées sur la paume de ses mains... Elle vient de toucher à son vaisseau... ? Il aperçoit machin chose dont il ne connait pas le nom s'intéresser à son module d'exploration spatiale, oula... Elle vient de toucher à son vaisseau, non ? Elle fait que des âneries il à pas du tout confiance en elle pour aller tripoter à son vaisseau là ! Bien sûr qu'il à une âme ! Ils s'y sont mis à plusieurs avec beaucoup de passion et d'acharnement à finir son vaisseau il voulait que personne l'abîme c'était autant utile à ses yeux que ça était un souvenir précieux, en plus y avait encore des bouts de sa cabine téléphonique qui faisait partie des montants de vitre du cockpit, une cabine téléphonique qui était couchée dans la ruelle désolée où il avait trouvé refuge durant des mois, il a vécu dedans et l'a aidée à survivre aux temps dur et puis les gens qui l'ont aidé à faire son vaisseau il s'en souvient aussi quand il pose les yeux dessus !

Alors il s'affaire et se relève vite vite ! Accourt jusqu'au vaisseau et essaye d'attraper ses jambes quand elle monte plus haut et tente de se faufilée dans le cockpit ! Mais il la rate de presque rien, refermant ses mains dans le vide quand ses chevilles lui échappent.

Hé mais Ouste hein !? Tu touches pas à ça toi... Zou ! T'es trop bête pour comprendre comment ça marche !

- ho~  ♪   J’imaginais ça...plus... moins... enfin... différemment on va dire.

A l'intérieur y avait un beau siège en cuir quand même, très comfortable, puis sur le tableau de bord y avait un petit personnage en plastique avec la tête qui remue reliée à un ressort, des indicateurs de pression, de vitesse, d'assiette, les données digitales du convecteur spatio-vectoriel à droite, une boite à gant avec des capsules de bouteille dedans, des élastiques, un petit fer à souder, des boutons de manchette, douze mètre de corde, une paire d'outils et beaucoup d'autres choses utiles comme inutiles dedans. Y avait des jouets électriques qui trainaient au sol du vaisseau dont des petites voitures, un robot qui marche d'un coté à l'autre fonctionnant avec piles, un x-wing pendu au plafond et des figurines collées ça et là sur le tableau de bord, un sephiroth, un voldemort, un siegfried et un nightmare de soul calibur, enfin que des trucs qui proviennent de la terre et qui devaient être inconnues ici sur terra de toute façon !

Enfin revenons en à ce qu'elle fait parce qu'elle se glisse à l'intérieur, il déglutit et avale sa salive difficilement se dévorant le bout des doigts en piétinant de panique sur place, tournant sur lui même en regardant partout autour de lui, que faire ?! Qu'est ce qu'il doit faire ?! Elle peut pas se mettre à la place du pilote ! Elle y connait rien les gens d'ici ils ont pas la moindre idée de comment un truc comme ça fonctionne ! Elle pourrait même réactiver le vaisseau sans le vouloir et l'abimer pour de bon ! C'est à son tour de grimper sur le vaisseau et de se jeter sur la vitre, il y écrase son front en la regardant droit dans les yeux, son regard se charge de sombres éclairs de sévérité, comme si le fond de ses pupilles et ses iris passaient dans une tempête de gaz stellaire orageux. Il s'accroche avec ses mains sur le rebord supérieur du cockpit.

Sors de là c'est le mien celui là ! Va t'en trouver un à toi, c'est personnel ! En plus j'ai mis longtemps à le construire alors fait rien de stupide ! Touche à rien surtout !!!


Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 15 août 2014, 10:39:10
Elle à touché ! Elle à touché juste pour le faire mousser et être contrariante ! Ben elle à gagné parce qu'il se redresse et retrousse les manches de la veste à hauteur des coudes, se préparant à lui donner la fessée de sa vie ! Comme on lui aurait demandé de faire si Bianca avait fait une véritable grosse bêtise, elle allait pas y couper ! C'est bien la première fois que les mimiques et les manières d'une fille le font péter une durite comme ça, faut dire qu'elle y met du sien et que tous ses gestes sont dirigés en ce sens et qu'il est assez idiot pour tomber dans son piège à chaque fois.

Il la regarde toujours de cet air à briser le ciel d'éclairs lorsqu'elle s'assoit au fond du siège, ses yeux se plissent d'avantage afin de concentrer la tension de son regard jusqu'au sien. Il commence bien malgré lui à comprendre un petit peu le caractère de cette créature qu'a sans doute rien de mieux à faire de sa journée que de tourmenter les gens égarés dans -sa- forêt.

Elle se dresse sur son siège, elle met ses sandales sur son siège !! Pour affirmer la chose suivante :



- Ho, t'es pas drôle tu sais ! Je ne vais pas l'abimer... contrairement à toi! Et si nous parlions de MA jolie forêt que tu as abimée avec ton vieux coucou ? Hum ?


Elle a bien eu raison de se lever parce que quelques secondes de plus et il se serait jeté lui aussi dans le cockpit et serait peut être tombé à califourchon sur elle, la coinçant entre lui et le siège et là on aurait vu qui rigole ! Il l'écoute en posant ses poings fermés sur ses hanche, bombant le torse d'un air peu convaincu, ici personne laisserait une terranide posséder autant d'hectares de forêt à elle toute seule !

AAAah mais oui c'est bien sûr ! Soudainement madame décrète, comme ça, que c'est sa forêt ici ! Je suis sûr que madame à un acte de propriété sur elle et tout et tout !

- Et puis ! Il n'est surement pas à toi, depuis quand les Terranides se servent de machin Tek...Tek-no-l'eau-geek ? Tu es un mâle en plus, enfin, t'y ressembles en tout cas, les Tek-cannes ne te laisseraient surement pas approcher de leur chariotes du diable, leurs boites-volantes!
...
Tu vois que j'en sais des choses sur ce mond... des choses ?


Il rigolerait bien quand elle essaye de prononcer Technologique à sa manière, mais elle se sentirait probablement vexée, si lui eh bien, réagissait comme un gosse elle aussi avait l'air d'une gosse quand elle se met à parler comme ça en voulant faire l'adulte, où alors elle essayait volontairement de se mettre à son niveau de cette façon là, ce qui alors deviendrait un peu vexant au retour pour lui. Enfin y pouvait pas la blamer d'essayer de se mettre à son niveau... Il avait pas compris les trucs sur les Tek-cannes, il en avait jamais rencontré sur terra, il haussa les épaules en ne sachant pas de quoi elle parle à ce niveau.

Elle le toise, le nargue de toute sa hauteur et sa fierté là haut, il serre les poings toujours avec les manches relevées, si elle veut se battre elle va voir il hésitera pas à lui donner la fessée de sa vie ! Il est prêt hein !? Elle se baisse soudainement et il doit faire, inconsciemment quelques petits pas de recul en arrière parce qu'il était si concentré sur sa posture debout et fière au dessus de son vaisseau que ça lui fit limite un choc quand elle s'accroupit, croyant soudain à une attaque.



- C'est quoi ton nom, vieux chaton grognon ?


Il revient vers elle après ces trois petits pas dont le premier avait été sauté en arrière, tendant son visage vers le sien, défiant du regard. Elle pose une question et il va se prendre un malin plaisir à faire son contrariant à son tour.

Pour toi ça sera Sauron. Ouais, appelle moi Sauron le chaton grognon, parce que j'vais venir te déraciner touuuuute ta jolie forêt.

Dit il en désignant théatrâlement touuute l'étendue forestière autour de lui en la présentant de sa main.

Et en faire du combustible pour usine à gobelins. Et puis t'aura plus que tes yeux pour pleurée et plus d'arbre sur lesquels sautillée. Tu vois, je vais faire plein de coucou en acier en arrachant touuuut tes arbres et en asséchant les lits des rivières pour refroidir le métal ! Et puis ça sera à mon tour de bien rigolée quand t'auras plus de chez toi ! Voila !

Oh il commençait même à devenir méchant, et il avait eu du mal à être si méchant en paroles surtout que les dernières phrases lui arrachèrent quelques hauts le coeur qui firent trembler ses propres lèvres, il s'en voudrait presque... Un peu.
Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 15 août 2014, 14:54:40

“ Je ne sais pas ce qu'est un Gaubeulin, Sauron-le-grognon, mais pour prélever du bois de chauffage ou pour ta forge, tu n'as pas besoin de raser une forêt. Reste raisonnable, c'est meilleur pour ton karma... et pour l'intégrité de ton charmant petit derrière !


Musique d'ambiance (https://www.youtube.com/watch?v=tMczXGbpOOI&feature=player_detailpage#t=7)

GRrrr ! Il se met dans une posture défensive quand elle commence à descendre précipitament du pare brise, de là sa chevelure aux reflets cuivrés se met à pulser de rougeurs plus vives, et sa veste à se séparer un petit rien de son corps par d'étranges mouvements d'airs aspirés à lui, le cuir de sa veste fait de petits flappemments lents au départ autour de son propre corps puis ces flappemement d'air engouffrés entre son corps et sa veste accélèrent, deviennent plus claquants et nerveux, les mèches de cheveux qui retombaient sur le devant de ses lunettes d'ingénieur se surélèvent aussi. Apparemment il dégage une puissance qui attire l'air, où l'oxygène vers lui et fait même ployer les branches des arbres dans sa direction.

C'est très rare qu'il possède un regard aussi déterminé, il avait jamais eu à se montrer menaçant auparavant si ce n'est au tout premier jour de son arrivée sur terre.

Il se sent troublé par les mouvements sensuels de ces nombreuses queues autour d'elle qui feraient presque semblant d'en caresser sa peau, elle aime le provoquer c'est ça ? Elle à cette... Attitude charmante de petite peste qui le fait sourire en coin intérieurement. Elle veut tester ses limites ? Savoir jusqu'où il peut aller en encaissant ses provocations gratuites... Il... Il devrait être plus malin que ça hein... Mais le jeu commence à lui plaire quelque part.


...car je serai obligée de te botter le cul. Mais d'un autre côté, je serais presque tentée de te dire... Vas-y, détruis, je te regarde~”


Elle parle beaucoup de d'arrière train en plus d'y laisser glisser ses yeux, elle croit qu'il n'a pas remarqué ? Il va lui montrer ! Elle se fout de lui et ne le prends pas au sérieux, il doit... Lui montrer qu'il en serait capable !


Ton erreur... C'est de me prendre... Pour un terranide.


Çà grimpe... Ca tremble même, la terre autour du vaisseau semble elle aussi vibrer, l'air est chargé d'une aura comme elle pourrait peut être la percevoir autour de certains démons charge l'air d'arcs électriques courts, vifs et violacés autour de Ludya, sa chevelure s'élève bizarrement à quelques reprises lorsqu'elle prend un rouge vif. Ses dents sont serrées et on peut entendre les troncs de certains des anciens arbres craquer de leur fibre, les feuilles d'arbres mortes et divers éléments, cailloux, roches, se font attirer dans un maelstrom d'air chaud et froid se rencontrant autour de l'aura concentrée de l'Abyssian et forme bientôt une espèce de tornade de débris s'élevant jusqu'au ciel au dessus d'eux, autour du vaisseau qui, lui aussi commence à se surélèver par la dépression d'air produite.

Le vaisseau fait une splendide plateforme mouvante qui tourne lentement sur lui même alors que le décor entier, herbes, arbres, végétation autour d'eux vrille, se distord , tordent et dansent dans le même sens que l'air qui s'engouffre autour du vaisseau et des deux êtres debout dessus, ils survolent le sol à moins de deux mètres à peine avec cette plateforme temporaire qui se déplace jusqu'au centre de la clairière.

Il est pas peu fier de son petit cirque, arborant un sourire en coin, ouais c'est sûr il déplace beaucoup d'air pour le moment, mais ça n'en reste que du vent.


Ha ! Quant à moi, j'aimerai beaucoup te voir essayer de me botter le cul ! T'es pas raisonnable... Par contre... Euh... Je... Je ne sais pas... Jusqu'ou je peux me contrôler...


Il avait ajouté cette semi vérité à la dernière seconde pour la charier, il était capable de tout arrêter à la seconde même, mais l'idée qu'elle croit qu'il n'arrive plus à s'arrêter la ferait peut être un peu paniquer, non ? non... ?

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 15 août 2014, 17:06:14
Elle à l'air de s'apprêter à l'affronter ! Génial ! Eh... Enfin... Pourquoi il trouvait ça aussi intéressant... ? Malgré sa taille elle aussi, semble dégager quelque chose d'autrement plus puissant que son allure ne le laisse paraître... Il sautillerait bien sur place d'excitation sur ses deux pieds si la tension du moment ne l'obligeait pas à garder son sérieux, les lentes rotations du vaisseau font tourner le décor autour d'eux, le ciel s'assombrit de débris retombant sans cesse dans la clairière et puis incessamment ré-aspiré dans la tornade qui les entoure.

Ludya note les changements qui s'opèrent au niveau du visage et du regard autrement plus intense de la créature dont il connait toujours pas le nom, d'ailleurs, il se doit après avoir caressé le coté de son nez du bout du pouce, de lui demander :

Hm, j'aimerai quand même connaître ton nom avant qu'il ne soit plus qu'un souvenir !

De la provoc et du bluff ! Il allait s'arrêter oui ?! Il voyait donc pas que la situation prenait des proportions de plus en plus... sérieuses ? Nan il est trop motivé et excité comme une puce par ce qu'il se passe ! Ah ! Elle passe à autre chose et décide de prendre un peu d'élan où d'écart, son aura se manifeste autour des queues de renarde qu'elle possède, des flammes bleues ? Elle se met à prier ? Elle à choisi un drôle de moment pour se mettre à prier.

C'est ça ! Prie ! Oublie pas de prier pour en sortir indemne, ouais !

Tout ça le met dans un drôle d'état d'esprit il ressent ses propres arcs électriques le parcourir jusqu'au bout des doigts et l'adrénaline ne fait que grimper, grimper, le faire frissonner tout entier, même si un moment il s'est senti intimidé et un peu effrayé par le faciès changeant de Kaori, qui lui montra alors cet espèce de masque de renard shinobi grimaçant.

Autre chose, elle vient de faire apparaître tout un tas de longues aiguilles qui le pointent d'un air menaçant, il a toujours eu horreur des piqûres reçues lorsqu'il était enfermé dans le centre de recherche, elle avait pas interêt à le toucher avec ça, il répondrait plus de ses actes.

Puis elle parla de l'exorciser ! Exorcisé ?!

Je suis pas un fantôme !

Il frappa son talon sur la carrosserie de l'avant du vaisseau. Qui se mit à effectuer une rapide rotation sur lui même. Comme un skateboard volant, où un overboard pour ceux qui connaissent, Ludya frappa du talon dessus et le vaisseau entier se mit à effectuer une large spirale autour d'eux comme s'il venait de taper du pied sur un overboard, retirant momentanément tout appui, il sembla disparaître de devant elle et se retrouva derrière elle en ayant suivi le mouvement giratoire du vaisseau pour sortir de son angle de vision. Se retrouvant dos à dos avec elle quand le vaisseau en termina avec sa rotation, un second coup de talon sur l'objet en mouvement l'arrêta net.

Il avait été tenté de l'attaquer par surprise en usant de cette ruse mais finalement à l'attaque il préféra la parole :

Je suis un Abyssian, et j'vais te montrer que je suis aussi réel qu'un vialin coup d'boule ! T'aurais du venir avec une armée dans ton Yukata !

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 15 août 2014, 19:49:19

Oh ! On aurait pu se demander qui était vraiment l'esprit frappeur ici ! Très bien elle est sérieuse alors elle veut en découdre ! Les incantations ne cessent de s'accéllérer de la part de la créature et elle n'a même pas daigné donné son nom, autre preuve d'un manque de respect ! C'est vrai que son aura aurait des allures néfastes violacée et chargée d'une énergie proche de l'antimatière au centre d'un trou noir, mais il n'était ni un démon ni un fantôme, bien une créature faite de chair même si plus concentrée ou dense que la moyenne, comme ses os étrangement composites de métaux très résistants et légers, mais bon sang il était bel et bien pourvu d'un sang rouge qui tournait un tantinet sur le violet dans ses reflets.

Un sang qui ne manqua pas de jaillir lorsque ses aiguilles filèrent sur lui. Il ne put pas éviter où dévier au moins trois de ses aiguilles sur la totalité, qui se fichèrent dans ses membres en le laissant grincer des dents et étouffer des gémissements de douleur dans sa bouche scellée par sa dentition. Il avait pris pire que ça dans le centre de recherche d'où il est sorti, il parvint à dévier les premières aiguilles qui avaient filé vers lui en courant le long de l'aile droite et frappant de son talon sur celle ci à la fin de sa course pour faire faire un tonneau à l'aéronef, certaines des aiguilles ricochant sur l'aile quand le vaisseau tourna sur lui même.

Trois aiguilles plantées dans l'articulation du bras qui avait tenté de se protéger vainement du tir dans sa course.

Celles qui visaient son visage avaient été désintégrées en plein vol par un étrange tir de faisceaux sombres concentrés provenant de ses yeux.

Le vaisseau se retourne et devient lui même une sorte de casse tête géant sur lesquels ils doivent tous deux courir et se servir des différents éléments de l'appareil pour chercher à éviter les attaques de l'autre, enfin, ici c'est surtout lui qui s'en sert pour le moment, s'offrant l'avantage du terrain et du fait qu'il connaisse très bien comment son vaisseau est fait. Elle réfléchissait pas beaucoup, un vaisseau était ce là la création possible d'un démon ? Est ce qu'un fantôme, un esprit où un démon serait capable de créer un truc aussi complexe demandant des mois de réflexion, de montages, de préparation ?!

Alors, oui elle lui avait fait mal pour de bon cette fois la vue de son sang sur son bras et les aiguilles plantées dedans le rendait furieux. Même si elle disparaissait en partie il n'était pas très compliqué pour Ludya de repérer l'origine des lancés de bandes de papier calligraphiés, c'était une grande première, on l'avait jamais attaqué avec du papier toilette auparavant ! Mais à sa grande surprise il se rendit vite compte qu'il s'agissait pas d'un quelconque papier, si lui était jeune, aventureux et fougueux la Kitsune elle avait plus que l'avantage de l'expérience en plus d'user d'attaques qu'il trouve déconcertantes.

Il court dans le sens opposé en se servant à nouveau du vaisseau comme d'une ère de jeu et des obstacles imposés autour de lui, comme les ailes, le train d'atrerrissage, pour se protéger des tirs de bandelettes, qui allaient finir par repeindre son vaisseau en blanc si ça continue ! Certaines bandelettes s'accrochent à ses bras et s'enroulent autour, très bien il a relevé ses manches il peut faire atteindre à ses mains plusieurs centaines, voire un bon millier de degré pour les crâmer au touché s'il en avait envie, mais au lieu de se débarasser immédiatement de celles qui se sont enlaçées autour de ses bras il cherche à brûler celles qui foncent vers lui.

Son adversaire pourra noter que le contact des bandelettes sur sa peau où les caractères sacrés qui les recouvrent n'ont, pour ainsi dire aucune efficacité parce qu'il n'a rien d'un esprit malin où un démon. Par contre les aiguilles plantées oui ça, ça le gêne énormément dans ses mouvements mais il n'a pas peur de les effectuer malgré qu'il soit transpercé par ces dernières.

Il se concentre et des boules d'énergie violettes-ombrées, chargée d'arcs électriques vifs et crépitant autour sortent de son corps, six en tout à son tour et fondent sur elle, pas comme des objets volant à tête chercheuse mais bel et bien animée de sa propre énergie et de sa volonté, elles balayent l'air devant la supposée position où elle devrait se trouver en suivant les trainées logiques de l'origine des bandelettes, anticipant ses prochains pas mais pendant qu'il doit se concentrer là dessus il protège son visage avec ses mains ardentes, les bandelettes s'accumulant partout ailleurs mais n'entravant pas son avancée vers elle. Bandelettes qui brûlent inévitablement lorsqu'elles entrent en contact avec ses mains où avant bras.

Il a les doigts de sa main droite qui s'engourdissent à cause des aiguilles plantées dedans et petit à petit il perd la chaleur aussi qui s'était accumulée dans ce bras là et les sensations au bout de ses doigts, qui picotent comme si sa main était en train de s'endormir, il aime pas ça.

Il aimerait se débarrasser de ses lunettes et de sa veste pour exploiter complétement l'énergie de son corps sans les détruire, à la grande surprise de Kaori il parvient à se rapprocher très près d'elle, même si sans jamais la voir il devine, elle doit bien voir qu'il doit deviner où elle se trouve avec ses boules d'énergie concentrées qui virevoltent dans tous les coins et la frôle, de très très près, même son corps éthéré doit ressentir l'énorme masse et charge électrique enfermée dans ces boules et si elles traversent son corps elles l'électrifieront et laisseront pour un temps apparaître la silhouette de sa personne par diffusion spectro-magnétique dans sa propre matière éthérée et diffuse pour rendre son corps bien plus visible à son regard.

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 15 août 2014, 22:40:05
C'est vrai qu'il courrait vite et sans relâche après la forme semi éthérée de la créature, increvable c'est le mot, mais aussi longtemps que ça dure il avait remarqué au bout de quelques essais qu'il l'avait au moins touchée une fois de temps en temps, faisant osciller sa silhouette spectrale pour qu'elle lui aparaisse, mais elle restait insaisissable ! Toutes ces fois où il à essayé de lui attraper une de ses queues où d'encercler son corps avec ses bras il la transperce ? Hm ? Mais... mais après une long moment il commence à se douter que quelque chose tourne pas très rond même s'ils ont parcouru pratiquement des kilomètres en tournant autour de la carlingue de son vaisseau, qui fait des tonneaux de plus en plus rapide à force qu'ils courent comme ça sans jamais s'attraper, il avait remarqué que ses boules d'énergie sombre et électrifiées n'avaient plus jamais touché sa cible, pourtant il était sûr que... sûr qu'il aurait du la toucher !

La fréquence des passages de ses boules d'énergie était trop rapide pour qu'elles ne l'aient pas transpercée depuis quelques minutes même si c'était par le plus grand des hasards la probabilité qu'elle les évite toutes pendant aussi longtemps était très faible, il se sentit aussi idiot qu'un chaton courant après une pelote de laine. Y devait y avoir un "truc" mais il savait pas exactement quoi. Ca s'était produit depuis qu'il l'avait touchée une ou deux fois avec ses boules d'énergie puis plus jamais ça ne s'était produit. Ah, depuis qu'elle avait lancé un somptueux - Enfoiré ! et qu'elle avait subitement disparu puis réapparu au même endroit, il n'avait aucune idée jusque là qu'il était en train de suivre une illusion de très bonne facture.

Il court il court le furet ! Enfin l'Abyssian, à s'en faire suer tiens ! Il se rend bien compte que quelque chose n'est pas très logique elle devrait en avoir assez elle aussi, puis ça fait longtemps qu'elle à plus rien à lui balancer à la figure alors pourquoi elle court comme une dératée, toujours, toujours à la même vitesse, il essaye tout hein ! De changer de direction soudainement, de faire des pas de coté, de courir dans le sens opposé, puis dans l'autre, de taper sur une aile puis l'autre pour faire se retourner son engin dans tous les sens puis, puis c'est lui qui n'en peut plus et qui à la tête qui tourne à force de virevolter et faire faire à son vaisseau des cabrioles, il retombe sur ses fesses à l'avant du vaisseau en ayant la tête qui tourne.


- Sauron ? T'en as pas marre de courir ? Hey, Sauron, il semblerait que j'ai fais une petite erreur à ton sujet... je veux dire...
Si je devais séparer la tête de ton corps pour les mettre dans deux jarres bénites pour les enterrer à l'Est et à l'Ouest une nuit de pleine lune, ça changerait pas grand chose car t'es pas un démon, vieil arnaqueur ! J'ai failli me prendre une sale dose de malus karmique à cause de toi ! Si tu pouvais arrêter ton effet son et et lumière aussi, ça serrait sympa !
Allez ! Grouille toi ! Tu abimes les arbres !
Allez, Sauron, soit mignon !
S'te plait ?


Ah ? Okay... Je vais pas arracher ta forêt, t'abandonnes hein ! Et puisque c'est demandée si gentiment, hum...

Il l'écoute -pour une fois- et bien contraint de l'écouter de toute façon maintenant il a bien compris qu'elle était là haut depuis tout ce temps ! Il se sent mal aussi il se rappellera de plus prendre son vaisseau pour une gigantesque balançoire multidirectionnelle, encore un peu et il aurait eu des relans d'acide dans la gorge si y s'était pas arrêté maintenant. Il se prend les tempes entre les mains, comme pour se concentrer afin d'arrêter tous les sens giratoires emprunté et par le vaisseau et par sa propre aura.

Tout s'arrête, subitement tout s'arrête et tout ce qui gravitait en l'air, les gravats, les cailloux, les morceaux de branches et autres vieux arbustes desséchés et morts, tout retomba à terre en même temps que la tornade se dissipe et le vaisseau lui même retombe au sol. Il chercha à descendre de son vaisseau avec l'équilibre assez particulier qu'il n'avait pas du tout récupéré depuis que tout tourne, il s'échoue lamentablement dans les herbes et sa tête remonte par dessus les hautes herbes juste après, jouant d'un air faussement fâché.

Il fait quelques autres pas indécis et déséquilibrés puis retombe à nouveau par terre et recommence, puis recommence et après une énième tentative il pousse un Et puis Flûte. et restera étendu les quatre membre écartés, en étoile en aplatissant les herbes.

Ca fait longtemps qu'il avait plus pu se dépenser comme ça, que personne l'avait obligé à sortir une toute infime partie de son grand jeu, c'était pas grand chose mais ça faisait du bien quand même ! Il la regarde flotter là en l'air, elle à pas l'air bien méchante en fait. Juste un peu casse bonbon. Il se sent bien là, le corps étendu dans les herbes et les joues caressées par la douceur du col blanc de sa veste, elle a perdu ! Même si bon, c'est un petit peu lui qui est étalé par terre.

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le samedi 16 août 2014, 08:54:50
Elle s'approche, avec cette démarche étrange en évitant les obstacles sur sa route, elle fait la maline ! Elle à jamais fini de faire la maline hein elle ! Y faut toujours qu'elle en rajoute une couche en toute circonstance ! Oh et puis zut qu'elle fasse la fière y s'en fiche finalement, c'est comme ça qu'elle est. Il semble bougon tant son regard passe sur elle puis s'éloigne volontairement dans un sens où l'autre, y se demande ce qu'elle peut bien lui vouloir encore après ça, elle veut remettre le couvert ?! Parce qu'il a compris sa ruse maintenant on ne fait pas subir deux fois la même technique à un chevalier Abyssian ! Enfin, je crois...


- Je vais reprendre ce qui m'appartient.


Il à pas bronché lorsqu'elle a retiré les aiguilles, seulement un petit plissement des yeux et des sourcils mais rien de plus au moment où elle les retire, il a pas pleuré non plus, preuve tangible qu'il à déjà du subir des choses d'un autre degré de souffrance pour pas se mettre à paniquer où crever de trouille à l'approche de ses mains sur les aiguilles.


- Tu vois, il ne faut pas se faire passer pour ce qu'on est pas, sinon, on peut finir exorcisé ou pire en encore!


Mais je.. Comprends pas... J'ai pas essayé de me faire passer pour un fantôme...

- Attend, attend ! Bouge ! Met toi sur le ventre plutôt ! C'est important ! Vite ! Viiite !

Il se laisse basculer sur le coté, car la façon dont elle le dit, ça semble très grave, très très grave ! Elle à le don de le faire paniquer en plus avec le ton soudain exclamé et urgent de sa voix, il coopère donc et plus vite qu'elle ne l'aurait espéré, parce qu'elle à vraiment réussi à lui donner l'impression que ça peut s'aggraver s'il obéit pas.


- Là. Oui ! Surtout, surtooout ! Ne bouge pas ! C'est important .


Ah ?! C'est si grave ?! Je... J'ai peur fait quelque chose !! Je veux pas garder un bras tout endormi où mort ! Ca picote et c'est désagréable... Vite ! Vite fait quelque chose s'il te plait ! Ça pourrait s'infecter ?

Lui, il panique comme un gosse à qui on aurait dit que d'avaler des grains de raisins où de pomme allait lui faire pousser un arbre hors des trous de nez où des oreilles, encore naif et crédule comme il est ! Il s'exécute et se tourne donc sur le ventre en pinçant ses lèvres d'inquiétude, puis à quelques quarts de seconde à peine avant de recevoir son coup de pied sur les fesses il se dit quand même que c'est une drôle de posture pour guérir un bras...

Ses fesses qu'il crispe momentanément en relevant les hanches vers le haut quand il sent son pied aller à leur rencontre à une vitesse dont il ne peut pas réellement souffrir d'impact mais c'est la surprise qui lui fait contracter ses jolis rebonds quasi parfaitement sphériques d'une musculature drôlement bien faite.

Malgré la situation drôlement humilliante il souffle, râleur entre ses lèvres en roulant des yeux vers le ciel, visage reposé entre ses mains en n'osant croire qu'elle est allée jusque là pour affirmer sa victoire, la traitresse !


 
- Alors, c'est qui qui c'est fait botter l'train  maintenant ? Hum ? J'ai ga-gné~


Ooh... Pfff... Vraiment ? C'était donc ça... Tu m'as fait très peur, t'es vraiment nulle hein !

De toute façon, depuis le début elle en avait après ses fesses il n'est qu'a moitié étonné qu'elle se venge comme ça.


- Mon nom est Kaori. Comme ça, tu te souviendras de ta défaites ♥


Il boude, reposant sa joue entre ses bras croisés au sol, y cachant une partie de son visage et effectue un rehaussement d'épaules, du genre, m'en fiche, elle à triché elle à pas gagné à la loyale, puis c'est elle qui à demandé à ce que tout s'arrête la première ! Mais il est gentil il va pas relever et lui laisser croire qu'elle à gagné hein, un peu de galanterie ça lui fera pas de tort après tout ce qu'il à chamboulé dans cet endroit, au pire il a arraché quelques vieux arbres qui étaient déjà morts dont les racines tenaient plus et déplacé des pierres. Il est pas allé jusqu'a déraciner le moindre arbre, c'était plus pour faire mousser Kaori, la provoquer il n'en a jamais eu l'intention.

Oh ben si tu le prends comme ça je te donnerai pas mon vrai nom comme ça tu sauras pas non plus qui tu as vaincu, ça t'avance à rien ! Enfin, si, tu pourras toujours aller dire que t'as vaincu Sauron mais attend pas à ce qu'on te prenne au sérieux si quelqu'un connait d'où vient ce nom...

Il rigole intérieurement à l'idée de la voir s'en vanter et qu'on se fiche d'elle, lui élargissant un sourire enjoué et malin sur les lèvres.

Tiens, d'ailleurs, hum... Il ne sait pas trop pourquoi mais il lui prend l'envie de relever un petit peu le dos en s'appuyant sur ses coudes, la bordure blanche inférieure de sa veste glisse sur la fin du creux de ses hanches bien sinueuse et saillante là en bas, le bord de la veste finissant par épouser la rondeur du haut de ses fesses à la perfection dans cette position en plus de rassembler un petit peu ses cuisses qu'il laisse un petit peu plus relaxées. La galbe de ses cuisses rassemblées qui relevaient et amplifiaient bien la rondeur de son petit derrière, un oeil plissé et taquin se revélant par dessus son épaule. Sa queue opérant de légères et lentes caresses entre ses cuisses...

Son oeil plissé étant aussi chargé de malice que d'un message du genre -ça va, c'est ce que tu voulais non ? tu te rinces bien l'oeil là ?- en plus d'avoir une main semi fermée sur le coin de son visage, se mordillant l'une puis l'autre phalange. Bah, oui lui aussi pouvait avoir un sale petit caractère quand il voulait.

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le samedi 16 août 2014, 13:28:49




- Ho mais, c'est qu'il est mauvais joueur en plus ~

M'en fout ! Tu diras ce que tu voudras.

Le regard étrange de l'Abyssian, aussi félin ait il l'air pour elle semble abriter des constellations sur un fond aussi noir que l'espace, et celles-ci semblent vibrer quand elles s'aperçoivent du coulissement graduel du regard de Kaori sur lui, c'est un peu à son tour de faire semblant de ne rien remarquer, oui il fait mine que tout ça est bien normal et qu'il n'y a pas de quoi s'échauder pour si peu, bien que quelques rougeurs trahissent les profonds frissons qu'il ressent, comme si son regard était pourvu d'un champ magnétique invisible il se sent caressé par le passage de ses yeux ce qui lui fit mordiller avec plus d'insistance certains de ses doigts qui ont la chance de passer sur le fil pointu de ses dents.

Des frissons, ah oui son corps se parcourt de frissons et ça apparait comme une très douce chair de poule à la surface de sa peau mordorée, il eut un petit sursaut lorsque l'une de ses queues effleura la pliure de son genoux, un sursaut accompagné évidemment de la contraction musculaire de la galbe de cette cuisse et par extension de la fesse appartenant à la naissance de cette cuisse là, puis de l'autre lorsque d'autres queues se mirent à caresser la plieur de son autre genoux, puis ensembles, il dut bien fermer les yeux pour tenter d'échapper a la terrible excitation et le plaisir qu'offre une telle caresse. Il s'exclame parce que c'est peut être la seule façon qu'il à de la surprendre et peut être de la faire arrêter, sur un ton qui souffre déjà, d'une fêlure comprise d'un manque de conviction certain.

Ooh, mais... arrête... Toi ! Ce... Ca chatouille... Hmf.

Voilà seulement qu'il réalise combien Kaori est jolie avec sa belle chevelure bleutée et n'ose encore s'attarder sur les traits séduisant de son visage à elle... Elle... A pas le droit de tricher tout le temps comme ça ! Purée ! Par tous les démons qu'elle à pu renvoyer aux enfers, il devait faire semblant d'pas la voir, pas la sentir, pas y faire attention. C'était dur alors qu'elle fait tout pour se rappeller à sa présence, allant jusqu'a s'assoir à califourchon dans son dos...

Hey j'suis pas un cheval hein t'iras nulle part sur mon dos !

Dit il d'un regard farouche lancé par dessus son épaule, juste avant qu'il ne réalise et ressente bien d'avantage sa proximité avec lui, étendue dans son dos à lui imprimer les monts de chair de ses seins dans son dos, son ventre épousant drôledement bien les formes sinueuses formant la chute de son dos jusqu'a ses reins, il rougit et ne fait plus beaucoup le mariole là ! Les traits complétement confus et fondu d'un plaisir naissant, Oh mais non hein elle fait tout ça pour obtenir quelque chose ! Il en est sûr tout comme Bianca était gentille avec lui pour qu'il aille lui chercher des bonbons à des endroits qu'elle pouvait pas accéder toute seule ! Il devait pas oublier que c'était une traitresse ! Une tricheuse ! Même s'il avait drôlement envie là, d'oublier... Surtout quand elle lui siffla à l'oreille comme un serpent tentateur, sa voix pris presque des allures de chant de sirène envoûtant, où était ce parce qu'il vibre de la caresse de sa main glissant dans sa chevelure aux reflets cuivrés... Comme une sorte de ronronnement échappant d'entre ses lèvres.


- Tu ne veux pas me le dire ? ... Est-ce que tu en es sur... d'avoir envie de m'entendre gémir un autre nom que le tiens ?


Il se pinça le coin de la lippe inférieure en laissant sa tête balancer dans un mouvement fluide, de gauche à droite avec un -hmm hmm !- glissé entre ses lèvres closes, signifiant un -non- un peu infantile et jouette pour le coup, y devait... pas... Céder... Ca serait trop facile... Même s'il avait rarement eu droit à de telles... Attentions... Il était sûr que c'était juste pour se jouer de lui encore, mais le trouble était si grand, il se trouva bien faible ! La chair d'un Abyssian avait pas le droit d'être aussi faible ! Si ? Elle le fait tellement douter.

Et si J'ai pas envie de t'entendre gémir mon nom, moi. T'as une voix chiante en plus !

HAAaaa hahaha ! La voila bien servie ! le goujat ! Le vilain petit goujat c'était donc son ultime -attaque- pour l'empêcher de continuer ce qu'elle fait ! C'était faux il pensait tout le contraire mais par Pur esprit de contrariété et la foutre en rogne il était prêt à aller jusque là, il avait plus d'autre choix de toute manière, c'était trop tentant ce qu'elle lui faisait et après, il aurait plus la lucidité et la présence d'esprit de tenter un truc de ce genre là ! Puis elle récoltait ce qu'elle mérite en étant si sûre d'elle là ! Pis c'est tout !

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le samedi 16 août 2014, 15:34:13
HmmmHmm, au risque de se répèter mais Ludya avait pas caressé sa queue le long de sa cuisse à elle, si on relit attentivement le passage ce sont ses propres cuisses à lui qu'il caresse avec sa queue, mais par contre bel et bien pour l'aguicher de la galbe ainsi mise en valeur par le passage de sa queue... Mais bon, on fera les précisions qu'on voudra et dira ce qu'on voudra ça revient quand même au même parce que de toute façon c'était ça aussi très loin d'être innocent et fait pour attiser ses envies, au même titre que s'il avait passé sa queue contre sa cuisse à elle alors ça il peut pas le nier. Quoi qu'il en soit il était content le petit idiot ! Il avait réussi à la mettre en pétard s'il en croit la manière dont elle semble interloquée, interdite un bon moment derrière lui, sentant la vivacité un peu vengeresse avec laquelle elle lui caresse plus rapidement la pliure des genoux et viens même jusqu'a en frôler ses fesses ! Elle lui caresse les membres inférieurs du bout de ses queues, insistant sur la pliure de ses genoux en le faisant frissonner, puis remontant même... Même jusqu'a ses belles petites rondeurs matelassées de son velours brun, bien tendues par sa musculature ferme, il aime bien quand elle fait ça même si ce n'est que frôler il ressent la nervosité de Kaori à travers ces nouvelles caresses plus vives et il s'en pince moelleusement la lippe inférieur entre ses jolies dents.

Zut... Il aurait peut être du se taire finalement, elle arrêta de caresser son crâne et sa nuque, il n'avait même pas eu le temps de bien profiter de ce genre de caresses avant qu'il ne dise sa grosse ânerie pour la provoquer, mais c'est vrai quoi enfin elle obtenait tout en trichant où se montrait juste gentille pour savoir son nom, il est presque sûr que c'est pour aller crier haut et fort qu'elle l'a battu alors que c'est elle qui à capitulé la première en lui demandant l'arrêt de tout ! Il grommelle et soupire, sentant son poids s'appuyer sur ses épaules, l'arrêt de toute caresse est déjà une punition en soi.

- Huuum... D'accord ! Je vais m'en aller dans ce'cas. Tu as sans doutes beaucoup mieux à faire ! Comme jouer avec ta... boite en métal !

Mais... Enfin... Tu vas pas être jalouse d'une vulgaire boite en métal quand même... Enfin, si peut être... Parce que la boite de métal, là tu vois, dans ses circuits imprimés et sa mémoire, elle, elle connait mon nom, elle, par contre !

Dit il en tordant ses lèvres qui voulaient se mettre à sourire, puis le bout de ses doigts tracent des cercles à même la terre et ses jambes se balancent un peu derrière lui, elles se calment lorsqu'elle se blottit une ultime fois dans son dos, ses doigts qui jouaient en cercle dans la terre y pénètrent avec leurs griffes, tous doigts et griffes d'Abyssian sorties et sa queue raidie entre ses cuisses à elle cette fois, oui, il l'avait touchée avec sa queue dressée entre ses cuisses, c'était... tellement tendre... Et fort à la fois... Cette étreinte contre lui, il relève légèrement la tête sur le coté en glissant un chouilla sa joue contre la sienne juste avant qu'elle n'effleure son lobe d'oreille avec ses douces lèvres.

Ses respirations à lui sont bien plus rapides, presque animales tant elles sont rapides et secouent sa cage thoracique.

- Au revoir, alors, chaton ?

Oh, il aime bien quand elle l'appelle comme ça... Même si ça le fait drôlement rougir... Et Pâlir juste après, de désespoir à ces mots qui lui font bien mal maintenant qu'elle pense vraiment à s'en aller.

Non... non ! S'il te plait Mais... Mais t'as pas le droit de t'en aller... Tu triches avec tout... Même avec mon petit coeur Et ça, ben... ouie... ça fait bien du mal a mes petits coeurs d'Abyssian. Parce que moi, même si tu t'en fous... j'ai bien aimé jouer avec toi au milieu de la clairière... Alors que toi au fond tout ce que tu voulais c'était juste mettre ma tête dans un pot ! Et aller les enterrer à l'est et à l'ouest très loin de je sais plus ou et puis Là t'aurais jamais voulu savoir mon nom même si j'étais mort, t'en aurai rien eu a faire et puis ton karma il serait tout rouge. Et puis... Et puis...

Il dit ça en se pinçant la lippe inférieure et limite en sanglottant, se séchant le coin des yeux avec ses manches... Il ne voulait pas qu'elle s'en aille mais il savait qu'elle voulait juste son nom pour une seule chose...

Et puis, en plus, en plus tu veux obtenir mon nom en trichant aussi... Et après t'iras juste te moquer de moi partout.

Haaaan quel bébé hein ! Quelle histoire pour si peu ! D'ou il sort lui avec son corps de dix sept ans et sa manière de parler comme un gosse là ! Où peut être bien qu'il à jamais été très souvent confronté à ce genre de situations et si il expliquait qu'il est resté une trop grande partie de sa vie enfermé dans un centre de recherche avec très peu de contact extérieur, ça expliquerait bien son léger retard de maturité et ses manques affectifs. Mais là elle avait bien le droit de se demander sur quel genre de machin elle était tombée.


Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le dimanche 17 août 2014, 13:54:21
Oh bien sûr qu'il avait compris, compris tout ça, il s'embrouillait juste dans ses pensées ressorties comme elles étaient, brouillonnes et indécises, confuses dans son esprit, c'était ça, où c'aurait été lui sauter dessus sans savoir si elle était d'accord. Il avait compris qu'elle l'avait pris pour ce qu'il n'était pas, il lui en voulait pas. Il jouait encore avec elle, s'amusant de la voir exaspérée face à son manque de confiance en soi et ses gamineries.

Mais il en jouait, et en jouait bien ! A l'en rendre mignon, craquant... Il était plus rusé qu'elle ne se l'imagine et était pas peu fier de son petit jeu d'acteur haha ! Il acquiesce vivement et fait semblant de sécher ses larmes quand elle dit qu'il lui a fait peur avec sa mise en scène, savait elle jusqu'où allait sa mise en scène alors ? N'avait elle pas remarqué... L'air taquin et aguicheur qu'il avait pris quand il la força presque à glisser son regard sur ses formes lorsqu'il était encore étendu sur le ventre ?

- On va jouer à un jeu, chaton...

Il aimait sa voix, ses gestes tout en sensualité et en douceur, lorsqu'elle se présenta à lui il avait déjà descendu la tirette de sa veste, autrement elle aurait pressé sa poitrine contre le cuir et la tirette de celle ci et ça lui aurait sans doute fait plus de mal que de bien, sa veste à moitié retirée, lui bloquait pour le moment ses bras derrière lui et les pans de la veste laissaient à découvert la rondeur de ses épaules et son torse bombé dans une position à semi incomfortable, bloquant un peu ses omoplates vers l'arrière mais offrant sans nul doute une vue arque-bombée de sa poitrine et de sa belle série d'abdominaux aux reliefs rebondis.

Elle l'envoûte de ses mains, même si elle n'avait pas besoin de ça, vraiment... Son mignon petit visage, sa taille un tout petit peu plus petite que lui, le carmin de son regard plissé, il... Il s'en boufferait les doigts, c'est assez rare qu'une créature lui fasse autant d'effet où bien est ce un sort qu'elle lui jette depuis les traits fins et invitant de son visage... Il respire rapidement, sa poitrine enflée à chaque inspiration avec cette jolie veste à moitié tombée de ses épaules l'obligeant toujours à arquer le dos pour s'appuyer sur le sol derrière lui avec ses mains. Complétement offert et à la merci des appétits de la somptueuse renarde qui ennivre sa pauvre âme de caresses.


- Un jeu où il y a jamais vraiment de perdants...


Des nébuleuses se chargent d'énergie vibrante dans son regard, qui ne quitte jamais, si ce n'est pour de grands clignements d'yeux, ceux de Kaori, clignements d'yeux qui ne se feront que de plus en plus fluide et laissant l'entrouverture de son regard plus plissée à chaque ré ouverture, tantôt à cause de ses bras autour de sa nuque, de l'approche de ses lèvres sur lesquelles son regard passe, juste... Oh juste avant qu'elle n'embrasse L'ambre brune-dorée de sa peau incroyablement bien douce, à l'aspect velouré elle est chaude, plus chaude que la moyenne humaine, et ses baisers humides ne font rien pour apaiser la chaleur corporelle de l'Abyssian qui doit se situer aux alentours des 50 bons degrés, diffusant sa douce chaleur dans le corps de Kaori à travers ses seins glissant sur la peau lisse et tendue des vallées rondes et bien formées de ses pectoraux formidablement fermes et compacts mais, qui savent aussi, selon ses mouvements, selon son envie, la tension de son corps se faire plus lisses et attendris contre sa poitrine à elle.

S'il avait pu gémir où soupirer à chacun de ses baisers, si seulement... Il n'avait pu que tendre le cou vers l'arrière et fermer les yeux, se trouvant merveilleusement pris au piège, comme pour tenter d'échapper à l'indéchiffrable torture plaisante de ses caresses, de ses lèvres. Pareil plaisir et désir ne... Ne pouvait exister, ça ne semblait possible dans sa pauvre petite tête ! Et en la subissant elle lui transmet cette passion et cet appétit qu'il savait possible... mais... Mais ne connaissait pas encore. Il se laisse redresser le visage vers le sien lorsque ses mains viennent chercher sa chevelure, se fait dévorer la lippe inférieure en l'observant d'un regard devenant, au moins aussi fiévreux et instable de désir que le sien.

Enfin sa veste termine, oui, termine de glisser sur ses bras à force d'être malmené avec délice, il aurait aussi envie de retirer sa paire de lunettes mais pour l'instant, ses mains libérées ont bien envie d'aller jouer avec le peluchonnage de ses queues virevoltant en tout sens, de leur cîme à en rejoindre la base, au creux de ses reins, ses griffes glissent délicatement le long de ses queues en flattant, où griffouillechatouillant la peau, la chair qui les compose sous l'épaisse fourrure, espérant lui faire part de son désir d'une manière que personne n'avait du lui autoriser où lui donner auparavant, ses griffes et ses caresses à l'instar de son petit caprice enfantin de tout à l'heure comportent bien plus de dextérité, de délicatesse, de précision, d'envie plus mature, plus doué avec les exercices manuels qu'avec la parole, et dieu sait qu'il à eu le temps de devenir habile de ses mains en soudant, montant et démontant à plusieurs reprises des pièces mécaniques et électroniques sur son vaisseau.

Alors ses griffes vont, et viennent d'une paire de queues à l'autre, cherchant à n'en épargner aucunes, s'attardant même en pitits cercles à la base de la jointure de ses queues à son corps, glissant, frôlant la base de ses reins, le bout de ses doigts effleurés accompagne le passage tout aussi à fleur de peau du bout de ses griffes, et trace des cercles qui se tonf interminables autour de la naissance de ses queues là en bas, elles sont assez taquines pour remonteeeeer puiiiis redesceeeeeeeeeendrrreuh à rebrousse duvet sur ses queues où sur la ligne centrale de son dos, jusqu'a ses épaules à elle, sous son Yukata, l'aidant à s'en débarasser.

Tout du long la fièvre dorée de son regard fendu d'iris perdues dans le cosmos n'ont pas daigné quitter l'ardence carmine de son regard à elle, ici et là bas peut être a t'il plissé son regard au gré des caresses si affectueuses et tendres qu'il lui donne, mais il arrive... Il arrive que la poigne de ses doigts se laisse aller à plus de pulsion, fermeté lorsque ses paumes englobent la rondeur de ses épaules, où sa nuque qu'il vient masser de ses doigts et paumes habiles redescendant... Bien bas le vilain chaton, vilain et chaud petit chaton dont la température varie entre 51 et 52 degrés à cet instant. Sa taille plus petite que lui est charmante aussi, elle lui permet et l'incite à être bien plus, hm... Caressant et entreprenant qu'il ne l'aurait jamais été. C'est tellement facile, légère, pour sa force, de l'envelopper de ses bras et de son corps.

L'ambre brune-dorée de sa peau velourée glisse si bien, d'une fermeté et d'une tendresse impensable sur le satin soyeux de la peau de Kaori, sa veste désormais entrouverte laisse choir sa poitrine sur les vallées tantôt plus musclées, tantôt plus lisses du marbre finement sculpté du physique du jeune Abyssian.


- Encore... Implore-t-elle faiblement, comme à bout de souffle.

Ludya frémit en l'entendant souffler comme ça, ses yeux tombent et glissent sur elle plus nerveusement, la regarde par petites saccades nerveuses, tremblantes d'un désir en ébulition, elle n'aura pas à se répeter, même que ses lèvres auront goutté à l'essouflement de son dernier murmure, l'étreignant entre ses douces lèvres qui, avec une fougue endiablée happeront les siennes, pour que des sons humides d'aspirations et de glisse se laissent entendre tant et bien il l'embrasse charge l'atmosphère de leurs sons magnifiquement excitants ! Sa nuque puissante l'aide bien à laisser danser son joli minois en petites rotations fluides qui, font danser ses lèvres sur les siennes, les emportant dans une valse passionnée redoublée de ses ronronnements d'Abyssian. Ses doigts s'aventurent par delà la limite de ses queues, sur... Sur ses fesses... Enfin non... Elle sent qu'il aimerait s'y étendre parce que le bout de ses doigts se permet de glisser sur la naissance du haut de la rondeur de ses fesses mais bon sang, il craint qu'elle n'y trouve là qu'une forme de manque de respect.

Ce qu'il fera alors c'est d'attraper sa veste et l'enrouler dans l'intérieur de celle ci, elle se retrouve presque avec sa veste à lui sur le dos ainsi, pour mieux la capturer dans toute la chaleur de son corps ses mains glissent à nouveau sur la ligne de son dos et comme si ça changeait quelque chose de cacher ses fesses à elle sous sa veste il ose alors les caresser, y glisser ses mains... Mordant une fois de plus sa bouche en fermant les yeux à son tour, happant, happant et n'en finissant plus de mêler ses lèvres aux siennes, pourquoi il ressent autant d'envie, de désir pour cette magnifique petite peste, humr... Ses cheveux bleus se mélangent et se marient si bien à force d'avoir le visage et les lèvres collées aux siennes, avec ses mèches cuivrées, qui rougeoient légèrement entre chaque battement rapide de son coeur.

C'est bien la première fois que ça arrive aussi mais ce qui est d'habitude caché entre ses jambes, dans la zone secrète et fermée qui ressemblerait à un vagin lisse sans lèvres se déploie, seule, sous la somme de l'excitation engendrée, elle à certainement du la ressentir parce qu'assise comme elle est sur lui, le corps long, épais et lisse à du lui offrir soudainement une assise entre ses cuisses, il s'en empourpre vivement de honte mais il n'arrive pour une fois pas à s'en excuser, même si il est évident que ça vient de le mettre un petit peu mal à l'aise l'instant d'un battement de cil, la seconde d'après il n'en avait presque plus rien à faire, il avait rarement rencontré le genre d'état second dans lequel Kaori l'avait mis !

Ludyaawhmrr lui murmure - t'il au creux de son oreille à elle qu'il vient mordiller, mordiller le lobe couvert d'un joli duvet, qu'il suçote entre ses lèvres et fait rouler ses petites dents dessus, sa queue à lui venant se mêler aux siennes, tentant de s'enrouler autour d'une, puis deux de ses queues, il avait envie d'inverser la position, de la mettre elle dos au sol et de l'assaillir d'attentions plus... Plus appétissantes encore.

Et... Et Est ce que le chaton peut... il peut... Jouer... Avec toi ?

La question aurait peut être été mieux formulée s'il lui avait demandé s'il pouvait faire des -choses- avec son corps, mais le ton fiévreux et l'envie y étaient assez présentes pour traduire son envie qui était de la caresser et la goûter de diverses façons.


Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le mercredi 20 août 2014, 09:48:03

HanWwW Ses vives réactions à ses délicates petites caresses autour de la base de sa queue sont terriblement mignonnes et excitantes, et ne donnent à Ludya qu'une seule envie c'est de les prolonger et se concentrer sur les endroits qui la font gémir, frissonner, entrouvrir ses jolies petites lèvres et cambrer les reins, s'offrant à l'expertise dextre et agile de ses doigts, du bout du bout du bout de ses griffes si bien utilisées, hmmm ?

OOoooh, et elle, elle lui échappe... Il a même pas eu le temps ni le réflexe de pouvoir la retenir dans ses bras, peut être parce que ses paroles l'ont sorti de ces caresses rêveuses et du bien être qu'il ressentait à être tout contre elle comme ça, lui il serait bien resté ici à se faire des mamours, des papouilles, des caresses et des bisoux encore bien longtemps, voila... Parce que la sentir fondre, n'en plus pouvoir de tendresse et d'affection dispensées du bout de ses griffes où contre son corps et sentir les gémissements de Kaori mourrir au bout de ses lèvres entrouvertes, corps tendu puis détendu, tendu puis détendu et caressé contre le sien... C'était une sublime torture de l'âme et de l'esprit autant pour lui qui apprenait sur l'instant à aimer voir sa suppliciée coincée dans la somme de tout son désir lui consumer l'âme, la rendre toute chose, même que ses lèvres à lui avaient suivi les mouvements de ses lèvres à elle s'entrouvrant, comme une danse promettant un baiser au plus beau moment de la liquéfaction de sa raison, oui.

Ses lèvres à lui avaient suivi comme un ballet synchrone si près de son visage, comme s'il cherchait à happer ses gémissements déjà si faibles et éteints, suivant jusqu'a ses ralentissements et changement de rythme, la ravissante déformation de son visage et la fermeture de ses yeux qui, prouvaient qu'elle n'en pouvait bientôt plus hihi... Quelle belle cruauté que de la faire languir si bien et de passer le fil à peine effleuré, là aussi des lèvres de l'Abyssian qui semblent se jouer de son désaroi, la taquiner, ses caresses du bout de ses griffes ne s'en sont faites que plus concentrées, tu sais ? Aux endroits qui te rendent aussi folle, hmmhmmm ! Peut être même que Ludya à posé ici et là sur tes joues chaudes, fiévreuses, quelques frais baisers pour tenter de repêcher ton esprit des abysses profonde de tes sensations que tu voudraient s'éteindre pour les raviver et te ramener à la surface des sens de ton propre corps, hihi... Aaah, sans le vouloir en mêlant le jeu un peu infantile comme ça, malice espiègle et joueuse avec tes tourments, c'en deviendrait une torture de plaisir à la limite d'un certain sadisme gentil, tout gentil et empli d'affection.

Et comme un chant du cygne son corps à elle se revitalisa pour un nouvel assaut, que Ludya accusa en souriant jusqu'a ce qu'il se rende compte lui aussi qu'il commence à son tour à perdre pied face à l'expertise et l'envie des caresses furieuses, fiévreuses, s'attaquant désormais à des points bien sensibles de son corps à lui aussi ! Prenant sa revanche ! Ses lèvres accusent la furie des baisers de Kaori et la laissent faire, bien faire, mais il n'a pas cessé d'aller lui gratouiller habilement le duvet peluchoneux de ses queues pour autant, traçant aussi des pitis ballons de baudruche touuuuuut autour de la base de ses queues, adorant la sentir creuser le bas du dos, ah oui c'était sensible hmm ? Très sensibles et il était sûr que, comme lui cet endroit si chatouilleux et plaisant envoyait carrément à travers les reins, les fesses, les nerfs qui sont présents là bas, d'immenses salves, des torrents électriques de plaisir capables de la rendre complétement folle, sa deuxième main l'aura accompagné là en bas, s'amusant de chatouiller du bout de ses griffes elle aussi le creux formé par sa chute de reins et les alentours pendant que sa main précédente, elle, continuait de prodiguer les tourments qui la rendent si enragée de désir ! Ca s'est pas arrêté jusqu'a ce qu'elle lui échappe. Non ! Pas une seconde, pas question !

Lorsqu'elle s'en prit à l'endroit où on pouvait supposer qu'il possède un téton sur la surface lisse de son pectoral qu'elle attaque du bout de ses griffes celui ci apparut timidement, autrement la surface brun-dorée et lisse n'aurait jamais laissé apparaître le moindre indice qu'il existait, jusqu'a ce qu'on caresse la zone où il est plus ou moins sensé se trouver... Un tout piti bouton de chair rose bien sensible qui le fait se mordre le coin de la lèvre inférieure, bien sûr il a pas de sein mais... Mais même étant un garçon on ressent certaines terribles choses à cet endroit lorsque les caresses sont si fines et délicates et ça s'étend aussi dans la poitrine d'une certaine manière par chatouilles très très agréables et qui, sont capables même de faire redescendre quelques étranges pulsions nerveuses tirantes et plaisantes jusqu'au bas du corps.

Elle avait raison de pas se laisser faire ! Elle montrait là toute l'étendue de sa personnalité, de son caractère, et tout du long des prochains échange elle se mit comme à lutter, lutter contre son plaisir où essayer de le transformer en force pour rendre ses attentions plus furieuses, jusqu'a ce que la douceur du manteau l'enveloppant semble là aussi sapper sa volonté pour quelques temps, la radoucir, là aussi c'était une merveille de la voir fondre sous cette nouvelle attention, sous cette chaleur mais très vite elle l'embrassa, lui il répondit à ce baiser en visitant sa bouche avec avidité, envie incroyable de découverte, passant même sa langue sur le fil des dents pointues de Kaori, ses joues internes, son palais en la chatouillant sûrement, sous et sur sa langue, la pauvre n'avait donc droit à aucun répit ! Et ça plaisait aux coeurs de l'Abyssian de lui offrir tant de tourments. Il possédait cette étrange vigueur où vitalité, et cet esprit réceptif et éveillé même dans les moments de pur bonheur comme celui ci pour toujours vouloir chercher à rendre la chose encore plus irritante et sappante de plaisir. Ses fesses maintenant bien pétries par les doigts glissant dessus, qui glissent et glissent la dessous, caressantes puis empoignantes sur la chair ronde de son postérieur, n'ayant pas envie d'insister même si franchement, l'envie y était, et certaines expériences, voire presque toutes celles qu'il avait pu avoir l'ont souvent tiré vers l'option disons, anale que d'avoir jamais eu vraiment droit au vrai de vrai sexe d'une femme. Donc à défaut d'autre chose il caressait les fesses de Kaori, mais attention hm... ça ne voulait pas dire qu'il n'était obsédé que par ça, c'était pour le moment les seules choses qu'ont lui avait proposé dans ce domaine jusque là et donc il était tout naturel qu'il soit excité par son joli petit derrière.

Elle aurait tout le loisir de lui apprendre qu'on fait pas toujours tout par là et très franchement il n'attendait que ça car il avait bien senti quelque chose, quelque chose de différent, ne serait ce déjà donc qu'a l'odeur de son corps excité à elle, une odeur bien belle et ennivrante qui en appellaient à certains instincts même chez lui.

Elle disait son nom, plein de fois, plein de foiiis MRrrr ! Depuis qu'il lui avait murmuré, ça arrêtait pas... Il adorait entendre sa voix le prononcée même si il avait un peu l'impression qu'il aurait peut être pas du le dire dans de telles circonstances parce qu'a force de le répéter elle pourrait bien l'user ! Puis il avait pas l'habitude qu'on l'appelle trois ou quatre fois de suite il aurait bien interrompu idiotement ce qui se passe en lui demandait -mais quoi ?- hihi. Juste pour l'embêter un peu mais il voulait pas gâcher ce moment avec des idioties lui passant par la tête. Lui aussi commençait à être drôlement excité... A haleter même un peu, sérieusement excité même... Envie d'elle... Toujours plus... Toujours plus d'elle...

Puis pendant qu'elle embrasse son cou à lui c'était à son tour d'user son nom avec ses cordes vocales.

AaaahWwwie... Kaorie... KaaaooRrrie... Haaaaan c'est si bon j'adowRRrre. Encore... Encore Kaori. Siteplait.


Pas encore Ludya...Hmm...  Pas encore ❤

Ah ? Huh... P... Pas encore... ? M... mais, mais... Quand ?

HAaaaaaaaaaaanW !!! Qu'est ce qu'elle fait ?! Elle s'en va ? C'est vrai ça ? Elle vient de crier, elle à peur ? Peur de quoi ? Pourquoi elle fait ça soudainement ! Ah oui elle se laisse pas faire et ça l'amuse, même si sur le moment là y avait eu une petite panique dans son regard, de l'incompréhension, parce que oui lui il aurait vraiment prolongé tout ça jusqu'a la faire défaillir entre ses bras ça aurait été si beau. Elle s'éloigne et donne un aspect dramatique, presque grave au regard qu'elle pose sur... Ah oui sur la chose qui est sortie de sa cachette, il avait même pas fait attention qu'elle était sortie entretemps et voilà elle le gêne de sa présence en y faisant autant allusion ! Il rassemble ses jambes en s'essayant en tailleur quand elle crie, écarquille les yeux tout en posant sa main devant sa bouche, ayant l'impression qu'il vient de faire une bêtise, mais... Mais finalement elle le touche... Il ne comprends plus très bien, confus. Mais en tout cas la délicatesse fine de ses doigts est on ne peut plus appréciée et appréciable sur la peau lisse et tendue de son membre dressé et pratiquement impossible à cacher maintenant, même s'il le voulait.


Hummmh... Tu es un -vilain- petit cachotier, toi...


Kaori ? euh, j'ai pas fait exprès... D'habitude ça sort pas tout seul ! C'est toi ! Ta faute ! Tu m'as jeté un sort ? Comment t'as fait ?


Il est très possible que ça soit ses odeurs à elle et la somme d'une excitation très haute qui ait fait sortir son machin, elle pose son doigt dessus et il la regarde, pas rassuré, une lueur dévorante passant dans le regard de Kaori, il aurait presque peur qu'elle veuille lui manger ! Des frissons parcourant tout son être. Puis elle part s'étendre, comme ça ! Sans explications sur le dos... Ca veut dire qu'il peut jouer alors ? Il s'avance à quatre pattes, l'observant s'étendre, il tourne un petit peu autour d'elle et vient poser ses lèvres sur son front, jouant un p'tit peu, souriant et malicieux. il fait le tour et observe la danse de ses queues qui ont l'air de vouloir lui dire quelque chose, lui envoyer un message, puis il s'arrete dans son cercle autour d'elle une fois arrivé entre ses jambes, ses cuisses qu'elle écarte.

Il reste là... Clignant ses grands yeux curieux sur cette zone qui ressemble étrangement à la sienne lorsqu'il a pas son machin sorti. Mais elle, elle à rien... Enfin... Il se mit à rigoler intérieurement parce que si c'est la taille de sa chose à Kaori c'est ridicule, enfin non, il se sentit pas bien d'en rire et se moquer des gens qui sont pas bien fourni par la nature, ça se fait pas il se déçoit même un peu là, mais en même temps l'odeur... L'odeur c'est pas pareil que ce qu'il à déjà connu. Il a pas encore compris ce qu'est une fille ? Haaaaaaaaaaa hahaha ! D'ailleurs ça se voit dans son regard interrogé. Et elle attise juste assez sa curiosité pour lui retirer juste après l'objet de sa découverte soudaine avec ses queues qui viennent le cacher ! Juste au moment où il aurait bien aimé voir ça de plus près, toucher... caresser cette zone pour voir ce qui se passe. Sa curiosité piquée au vif au moment même où elle lui retire son nouveau jouet !

Elle semble se couvrir, autant avec la veste qu'avec ses queues comme si... Comme si... Il incline la tête dans un sens puis dans l'autre, se mordillant le doigt entre les dents tout en se sentant lui tellement attiré par elle que c'en est dure de faire l'innocent et l'idiot.

T'as froid ? T'es fatiguée ? Tu veux déjà aller dormir ? Parce que j'aurai bien voulue jouer avec toi moi... Mais si t'es fatiguée alors je te laisse dormir.


Il voulait... Il voulait... Et... Il voulait pas la forcer non plus mais... Il voulait tellement... Pourquoi ça fait shboum là dedans comme ça, il voulait touchée et plus elle restait comme ça à tout cacher plus son désir pour la petite chose dont il se moquait intérieurement tout à l'heure grandissait, sait pas pourquoi l'odeur et la vision trop courte, trop éphémère lui a presque donné une obsession là ! Il voulait voir, toucher, caresser, découvrir, chercher, voir ce que ça lui fait à elle, tellement envie... tellement envie !!! C'était pas juste ! Elle avait vraiment le droit de faire ça ? On peut faire ça ?! Comment on peut faire ça ! Rhoooo ! Il s'énerve un peu tout seul, peut être que c'est ça qu'on appelle la frustration, il fait du boudin tout seul et s'énerve sans rien comprendre à ce qui l'énerve, il croise les bras, assis encore en tailleur devant elle avec son sexe d'une grande taille, avec sa belle musculature et tout, et pas moyen de faire faire quelque chose à madame ! Elle cache tout et s'est couverte sous sa veste !! Il aurait jamais du lui prêter !

Il se tritouille les doigts et griffes ensemble puis se gonfle une joue de petit énervement et la fait dégonfler en appuyant dessus avec son doigt puis regarde un peu partout au sol dans sa confusion mêlée.

T'es sûre tu veux dormir parce que j'ai très, très... Très envie de toi moi... Puis c'est quand même tôt pour dormir... Je savais pas que lorsque tu as dit "pas encore" tu voulais dire demain...

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le samedi 23 août 2014, 10:22:11
Aaahaaaan... Une Sorcière... Il la regarde d'un air méfiant tout à coup, l'analyse des pieds à la tête, elle est un -peu- sorcière ? HAaaaaaaan, C'est elle ! Elle l'a bel et bien envoûté alors ! La garce ! Qu'est ce qu'il pouvait faire contre ça il la trouvait si jolie, si belle avec son joli visage, sa peau qui toute douce, ses yeux si rouge qu'ils embrasent son pauvre esprit à lui. D'ailleurs il est de plus en plus sûr que c'est avec son regard qu'elle l'a ensorcelé ! Ouais ça peut être que ça, y a énormément de choses, oui, de trucs vraiment frissonnant qui ont l'air de traverser son regard et pénétrer le sien. C'est un sort très puissant, ça oui... Et des plus agréable avec ça... Mais... Mais si elle l'a ensorcelé çavoudrait dire qu'elle à envie un petit peu de lui non ? Où pas... Elle veut pas qu'il ait sa propre volonté où son vrai désir pour elle, rhooo ça lui fait poser des drôles de questions... Son intellect interrogé et très actif d'Abyssian est encore en train de trop en faire et de tout remettre en doute, tout ça n'était qu'une illusion alors ? Jusqu'à quand ? Jusqu'a quel moment ? Avant où après le combat elle à fait ça ? Le combat aussi c'était elle ?! Pourquoi ? Pour s'amuser ? Rho ! Il se fâcherait de ces hypothèses là, se sentant trompé ! Presque mais il peut pas ! Elle l'a ensorcelée... C'est la bonne excuse pour tout lui passer aussi ! Elle à pas le droit ! Enfin peut être que si... Non ! Qu'est ce que tu racontes ça se fait pas ! C'est pas sincère ! Pourtant j'ai trop pas envie de l'enguirlander pour ça j'ai presque même envie de lui dire merci...

Je suis nul alors ? Je suis faible ? Tout se mélange dans sa pauvre p'tite tête là, elle l'a pas aidé au contraire il est encore plus frustré par le méli mélo de sentiments et de raisonnements, il était pourtant si sûr de l'apprécier où d'aimer Kaori maintenant il croit que c'est juste l'effet d'un sort, et cette nouvelle donnée le perturbe se disant qu'il arrive plus à y voir clair entre ses sentiments réels et ce qu'elle pourrait lui avoir hypothétiquement fait ressentir.


C'est pas bien, c'est pas honnête ce que tu fais ! Je te désire pas vraiment, j'ai pas envie de toi, pour de vrai...


Il répéta pas sa question alors, observant l'index de Kaori qui se posait sur ses lèvres qui prirent une moue un peu boudeuse, de chaton grognon alors... Puisqu'elle aimait l'appeller ainsi ! Contrairement à ce qu'elle aurait aimé produire comme effet lui ça à l'air de le rendre tendu, pas trop enclin à se laisser aller, ça se bouscule trop dans sa p'tite tête d'Abyssian. Devant un tas de questions sans réponses qui s'accumulent d'autres questions et encore d'autres et pis d'autres et d'autres et... et... ça lui ressortirait par les oreilles et les trous de nez si les pensées pouvaient sortir sous forme de phrases de sa tête. A force de trop réfléchir son formidable machin entre les jambes se ramollit et il finit carrément par débander ! Elle reste d'une taille plus qu'honnête lorsqu'elle n'est pas en érection mais quand même c'est un peu ridicule ! Ah carrément alors ! Elle disparait ! La somme de ses frustrations et des ses masturbations de cervelle fournies de remises en question sont même parvenues à faire disparaître son machin et ne laisser à la surface, que cette zone pelvienne très semblable à ce qu'aurait du être un vagin fermé, tout lisse. C'est pas très flatteur pour la pauvre Kaori sans doute, mais qu'elle se rassure, ça ne va pas rester comme ça très longtemps.

Non, c'est pas vrai, il réalise. Elle l'avait dit juste pour l'embêter il en était de plus en plus sûr parce que son cerveau d'Abyssian en était arrivé à la conclusion tout seul que s'il était capable de réfléchir autant par lui même et possédait encore autant de libre arbitre jusqu'a ce que son machin disparaisse, c'est qu'il n'était pas envoûté. Oh ! C'est bien sa chance ! Tomber sur une créature qui lui semblait aussi attirante et capable de penser avec son cerveau plutôt que ce qu'il à entre les jambes.

Il lui sourit et s'avance un petit peu plus près d'elle toujours à quatre membres au sol, dodelinant fièrement de la tête de gauche à droite et laissant ses formes ravies par la lumière, dorant la surface de sa peau velourée d'une couche surfacique aussi dorée qu'un miel couvrant par moments le brun de sa peau, il vient chatouiller son épaule avec son p'tit nez comme l'aurait fait un chaton.

Attends mais, HmmhMmmm ! Tu te moques de moi toi. Tu fais que ça depuis le début tu me fais tourner en bourrique parce que je crois tout ce que tu dis mais maintenant je crois que j'ai compris, madame est compliquée et elle aime bien qu'on la cherche !

Elle s'approcha à son tour à quatre pattes, il la regarda en relevant un peu la tête tout en écarquillant ses yeux quand elle s'approche, presque comme un petit chaton impressionné par l'avancée d'un doigt vers son museau, il ne respira même plus, il en oublia de respirer lorsqu'elle s'avança comme ça en dandinant ses jolies formes, sa chevelure bleue retombant sur ses épaules et caressées par ses mouvements, ses oreilles aussi peluchonneuses que ses queues qui donnaient très envie de les caresser et les empoigner un petit peu pour en apprécier la texture où la densité de leur peluchonnage. Elle vint s'assoir dans une pose qui le fit déglutir, la bouche entrouverte, se trouvant assez idiot quand il réalisa que sa bouche était entrouverte alors il referma les dents dans un -clac- puis ses lèvres juste après.


- Est-ce que c'est la première fois que tu es avec une femme ? Est-ce que... Est-ce que tu veux que je te montre ?


Il se sent gêné de lui avouer une chose comme celle là, son regard troublé et sa mine rougie se perdent à terre à gauche puis à droite, se mélangeant quelques doigts ensembles et vient même en porter un à ses dents, qui le mord dans un air assez inquiet, inquiet qu'elle devine à son expression que non, mais il était pas sûr de ce qu'elle voulait dire par "femme"...

Beeeeeeeeeeeen... Sincèrement je ne peux pas dire si oui, où si non. Je ne suis pas sûr de savoir, ni de comprendre ce qu'est une femme. Je crois que j'ai déjà vu des filles où des garçons, où, euh... des garçons-filles où même bien des filles-garçons ? peut être... J'en sais rien moi ! Mais pas encore de femme. C'est certainement encore une espèce à part sur cette planète.


En tout cas, assise dans cette position si près de lui elle avait l'air d'une créature plus belle que plus d'un millier de magnifiques courbes décrites par les plus séduisantes courses orbitales de la galaxie ! ça oui... Et son odeur plus attirante et printanière que le parfum de beaucoup de choses naturelles qu'il avait déjà senti dans son expérience terrienne, même si peut être encore un peu courte. Non il perdait les clignements de ses yeux sur elle, sur ses vallées enchantées, belles dans leurs creux doux puis leurs reliefs doucement arrondis, les ovales sphériques presque parfaites de ses jolies fesses, oh il se mordait les griffes... S'il pouvait seulement... Seulement carresser... Oh oui c'était entêtant cette odeur, lui sautant au désir, l'agrippant, tenace, et bientôt sa proximité et son regard, et quel regard... Firent jaillir aussitôt et aussi vif  que précédemment son sexe de là où il était rentré !

T'as... T'as de beaux yeux tu sais...

Ludya s'était approché d'elle et, dans une assise presque similaire à la sienne mais à l'opposé pour que leurs visages se rencontrent presque l'un en face de l'autre, ses yeux tombaient... timides... par terre, puis remontèrent vers elle avec une complicité pincée de sa lèvre et retombaient aussi vite au sol, sur ses doigts, la tension de son bras d'un coté jusqu'a la rondeur de l'épaule qui la maintenaient assise penchée comme ça, remontant le long de son bras en osant timidement et discrètement passer sur ses seins en clignant son regard, toujours avec... Cette... étrange... lien de complicité communicative, toute un univers d'espiéglerie à moitié cachée sous les rideaux de théâtre de ses paupières mis closes par instants lorsqu'il laisse soi disemment fuir de moins en moins rapidement ses yeux, plongeant dans son regard entendu, taquin entre deux regards retombant sur elle, un temps sur son corps et un temps remontant à ses yeux... Faisant des petites glissades de ses jambes en se tirant avec les mains pour se rapprocher d'elle.

Regarde... Tu vois bien que Ca n'a rien d'un sort. T'as jamais eu besoin d'un sort pour me faire... ça...

Ludya approche ses lèvres, comme pour l'embrasser mais y glisse le mot suivant avec un joli sourire lui chatouillant ses lèvres à elle, ce fut dit sur un ton plus sensuel qu'il ne se l'était pourtant imaginé prononcer, tout comme sa phrase précédente d'ailleurs, s'il s'était entendu il ne se reconnaîtrait peut être même pas dans ce genre de comportement... Où peut être pas, hmmm. :

Menteuse.

Touche t'il sa poitrine ? A t'il déjà l'audace de lui sauter dessus lorsqu'elle dévoile ses atours à son regard, décidant enfin de laisser goûter à son regard la modestie de sa poitrine qu'il trouve lui, incroyablement mignonne dans sa fragilité et sa taille qui vont très bien avec elle, y a une certaine harmonie avec le reste de son corps et donnerait presque plus envie encore d'y toucher et les lui caresser de toute ses mains, c'était quand même plus pratique, et il était presque même sûr que le fait qu'ils soient d'une taille raisonnable permette de les attraper pleinement et procure plus de sensations qu'une énorme poitrine dont les nerfs seraient dilués dans toute la grosseur de ceux ci et finalement, un peu moins concentrés en sensations que ceux de Kaori, il avait déjà envie de tester toute l'étendue de sa "théorie" mais se retenait par politesse... Il avait toujours attendu qu'on lui autorise ce genre de choses avant même de toucher, ayant du mal à déterminer s'il comprenait "bien" les appels du regard de Kaori, parfois on peut très mal interpréter un regard puis se voir insulté de tous les noms ensuite, puis ça avait quelque chose d'époustouflant de rester à quelques millimètres à peine de sa peau et laisser ses souffles courir sur elle.

Ses yeux ont suivi les doigts qui ont glissé jusqu'au lacet, s'en rongeant les siens à lui de la regarder faire, pourquoi se sent il comme un soleil sur le point de naître, d'éclore, bouillant de sa charge magmatique et donner ses touts premiers puissants rayons de soleil irradiant tout un système solaire... Si y s'écoutait trop... Non... Y peut pas. Est ce qu'il avait le droit de regarder comme ça ? Ses yeux passaient si vite, si vite ! de plus en plus vite à ses doigts délaçant ce qui retenait encore le tissu moite contre sa zone intime, c'était si excitant qu'il se désolait lui même de même pas pouvoir avoir eu la présence d'esprit de mettre lui aussi un pantalon où un sous vêtement pour lui cacher ce qu'il à entre les jambes si ça aurait pu elle aussi la mettre dans un état pareil... Réalisant un peu mieux l’intérêt de vêtements portés à cet endroit par la même occasion, mais ça serait un peu difficile de trouver des vêtements qui cache le sien...

Puis soudain il se voit obligé de baisser la tête dans l'urgence quand elle lance sa pièce de lingerie par dessus lui, un peu surpris au début de son geste croyant qu'un gifle allait lui fondre dessus pour ses oeillades un piti peu trop insistantes.

HIIIIiiiiiiiii !!! Attention ! Ah... Ouf, ce n'était qu'une attaque de sous vêtement volant non identifié !


Plaisante-t'il en s'approchant d'elle, à quatre pattes à l'invitation de son doigt ramené à plusieurs reprises dans sa direction. Y s'était pas trompé alors ? Ce genre de regard, ce comportement... Elle le voulait vraiment humr ? Et y avait pas de sorcellerie derrière il en était rassuré, alors c'était bel et bien de son plein gré et du sien y avait plus rien dans ses doutes pour l'empêcher de se laisser aller maintenant.

La texture douce et velourée du cuir des doigts de l'Abyssian glissèrent le long des cuisses de Kaori et il avait toujours cette ravissante et complice manière de plisser ses yeux jusqu'a la fermeture lorsqu'il posait un baiser sur l'intérieur bas de la cuisse près du genoux, puis de rouvrir son regard sur le sien à elle quand le baiser se termine et qu'il décolle ses lèvres de sa peau, mains glissantes, caressantes et à peine effleurées encore une fois, de leurs paumes, surface des doigts galopantes, il lui arrivait lui même de pousser un rire doux et bref entre deux baisers. Et plus il se rapprochait de la mi hauteur des cuisses, plus il était tenté de laisser glisser sa langue sur la peau entre deux baisers. Et d'ajouter la douceur de ses joues tournant en petits cercles sur la peau toute aussi douce de ses cuisses intérieures.

Il regardait... Il regardait avec des rougeurs coupables sur les joues cette belle zone lisse entre ses jambes, dont l'odeur mais aussi la forme lui donnait beaucoup envie, ses yeux n'avaient de cesse de se recentrer sur ceux de Kaori et de plus en plus vivement comme s'il avait peur d'être en train de faire une bêtise, plus son visage glisse entre ses jambes, ayant envie d'aller toucher son sexe plus ses yeux balayaient comme ça, vers son objectif, puis vers son regard à elle, ses coeurs paniqués et ses respirations plus sauvages, haletantes et rapides.

Dis moi... Vraiment... Ça va pas te faire mal si je touche ? C'est si beau... C'est tellement beau... J'ai envie... Mais... Mais on dirait ta chair à vif là en dessous. Si je te fais mal tu voudras plus et tu vas m'en vouloir ?


Il avait posé sa question entre deux glissements de son visage qui était pratiquement arrivé à destination, ses joues glissant avec une certaine folie d'envie contenue sur ses cuisses où étaient dispensées de nombreux baisers et vibrations similaires à des ronronnements échangées par le biais du contact de son visage où ses lèvres sur sa peau.

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le mardi 02 septembre 2014, 22:49:33


Hmm...Détend-toi Ludya... Je pense que c'est le genre de chose qui s'apprend... sur le terrain.
Et je devine en toi...Hum... l'âme d'un explorateur...


J'aime... beaucoup partir à l'aventure oui... J'aime beaucoup découvrir... Tout un tas d'trucs... Mais on peut aussi facilement se perdre en cherchant son chemin dans l'univers... en explorant ce monde... où même toi...

Il aimait tant l'entendre et voir la façon dont toute sa vie et ses expressions à elle l'animaient quand elle lui répondait, oui il l'observait beaucoup et était même trop prudent sans doute avant de partir à sa découverte... Elle avait ces petites manies pour repasser certaines de ses mèches derrière ses jolies oreilles de renarde, puis cette façon de le regarder puis de ne même plus le regarder, faisant mine de... De faire comme si tout ça lui était égal ? Où comme si ça lui faisait... Pas grand chose ? Elle le perdait sur certaines de ses expressions comme s'il attendait quelque chose, en fait il attendait trop de signaux d'accords où quelque chose d'exprimer par son corps où sa manière de le regarder mais c'était touuuut le temps indécis jusque là parce que tantôt elle le regarde avec ce pétil et cette fièvre dans les yeux puis tantôt elle détourne la tête comme si elle ne faisait plus attention à sa présence où que rien de tout ça n'avait d'importance, lui à son tour s'en redresse en penchant la tête sur le coté en ayant du mal à interpréter des signaux qu'il n'a jusque là pas encore appris à déchiffrer, ça jouait un peu sur... Sur sa sensibilité où ses nerfs, comme si elle cisaillait sa patience qui serait le crin tendu d'un violon et elle, minaudait en faisant mine de oui et de non avec la finesse d'un archet qui voudrait scier sa corde.

Une corde drôlement résistante parce que ce genre d'attitude le faisait énormément douter ! Il à l'impression, enfin... Il sait au fond de lui qu'il devrait céder non ? Mais mais, maiiiis... Il est plus malin qu'il n'en à l'air, ouie ouie ouie, hihi... Il apprenait vite et il savait quelle chipie, quelle roublarde elle s'aimait à être ! Alors c'était compliquée cette histoire parce qu'il en jouait aussi avec subtilité il répondait où pas à ses appels du corps, du regard, tant que c'était pas précis, tant que la communication était volontairement brouillonne lui aussi tâtait là d'un pas vers l'avant puis de deux vers l'arrière où de deux en avant puis un en arrière, v'la. S'il écoutait sa raison, même si elle se fait drôlement ronger par ses envies, s'il l'écoute et écoute sa propre envie de jouer avec elle, y avait pas de raison de se presser !

Il papillonnait des paupières, clignait rapidement des yeux quand elle posa sa main sur sa joue pour approcher de lui, il avait jamais eu l'impression d'être autant observé... Même si dans son centre de recherche y avait eu tout un tas de caméra le filmant dans tous les angles pour l'étudier il n'avait jamais ressenti l'impression d'être aussi détaillé et foudroyé par un regard, et quel regard... Il l'avait déjà dit mais ses beaux yeux... Ses iris rouges, cette lune sombre formant sa pupille l'hypnotisaient et jouaient avec ses sens comme la lune se jouait de la marée. Ca va par vagues et ça repart, des frissons, un magnétisme d'origine inconnu, ça va et ça revenait du bout de ses pupilles en amendes jusqu'au bout de sa queue ! En petits arcs hérissés laissant derrière eux un semblant de chair de poule.

Puis... Puis... Oh par toutes les créatures inconnues croupissant encore dans le fin fond de l'univers sans jamais qu'on ne les découvre un jour ! A ce magnétisme, ces électrochocs du regard, comme si c'était pas assez troublant déjà il fallut qu'elle fasse ça... Qu'elle saisisse de sa main la sienne, déjà ses doigts fins se faufilèrent trop bien entre ses doigts à lui, pas forcément plus épais de beaucoup mais la différence de chaleur puis de texture glissant l'une sur l'autre ça avait le don de le faire déglutir, sa gorge se noue en avalant difficillement sa salive puis sa respiration se bloque quand sa main voyage, guidée par la sienne jusqu'a sa joue à elle. Et il n'y a que lorsque ses doigts touchent et caresse la joue de Kaori qu'il relache le bloquage de son air, d'une aspiration profonde, comme s'il venait d'émerger à la surface d'une profonde piscine et reprendre son air, là aussi ses yeux venaient de s'écarquiller tout à fait de la même manière qu'un gosse surprise à pas savoir nager et venant d'éviter la noyade en ressortant des profondeurs des eaux pour prendre une profonde et puissante bouffée d'air.

Y se mit à respirer rapidement, même si c'était plus silencieux, à l'approche de ses doigts tout près de ses lèvres, il se mit à respirer, respirer, respirer ! Respirer ! Vite, vite vite si vite ! Ca se voyait presque pas parce que même s'il respirait vite son corps restait pratiquement immobile, comme dans une paralysie incrédule face à ce qui se passe, ses lèvres restant entrouvertes, juste, sa cage thoracique, son torse qui gonfle et se dégonfle à un rythme endiablé, et ça secouait pas son corps qui semblait parvenir à rester calme si ce n'est les turbulences stellaires des étoiles parcourant ses pupilles, ça faisait un peu comme si la vue hors du cockpit d'un vaisseau spatial en tourniquet rapide donnait sur un panorama d'étoiles vrillant sans cesse à l'horizon, ça pouvait même en devenir là aussi captivant et hypnotique.

Ah nan... Nan elle... Elle avait pas fait ça... Avec son doigt ? Si ? Haaaan purée il fond, soudain ses respirations rapides ralentissent mais se font plus, hmmm, plus lentes mais plus profondes et longues à l'entrée de son doigt entre ses lèvres, c'est comme si le bloquage de son corps s'était dissipé lorsqu'il se sentit happé en elle, une petite bille de sueur perla sur sa tempe et coula le long de sa joue jusqu'a son menton, elle coula sur l'imperméabilité lisse de la peau de sa joue et perla presque sèche de son tracé au bout du bout de son visage...


Ha... Nian... Tu... Haaaaaaaaaan... Mais... Maaaaais Qu'est ce que tu faaaaaaaaaais...


Pris d'une bouffée de chaleur et de sa station bloquée, interdite et bouche entrouverte aux yeux écarquillés façon merle en frit, il se décompose, ses traits se relachent et son corps s'assouplit, s'arque en laissant son doigt se faire entrainer là d'dans, ah oui pour en fondre il en fonds, ça se lit sur les traits de son visage, elle avait pas le droit de lui faire un truc comme ça, si ? Là elle... Elle allait trop loin ! Hum... Oui... trop... trrrooop loin... Ah ben qu'elle y aille... Oh oui s'il vous plait qu'elle y aille, il savait pas... C'est bien la première fois qu'on lui léche le doigt comme ça s'il était pas capable de se retenir d'entre ses lèvres entrouverte et s'il avait pas ravalé sa salive à temps il aurait peut être laissé une ou deux gouttes de salive échapper à ses lèvres tant c'était bon, tellement bon, captivé par la sensation, son esprit concentré dessus... Mais ça aurait vraiment fait dégoutant alors il se rappella de la ravaler juste à temps même s'il était passé à deux doigts de laisser sortir un filet de salive.

Elle cesse, elle cesse ! Elle à cessé ! Youhouuu ! Il peut reprendre ses esprits, hein ? que ? quoi ? qu'est ce qui s'était passé là ? Il cligne des yeux comme s'il venait de sortir d'un envoûtement où d'une transe, voyant des étoiles en regardant tout bête son doigt, retombant limite complétement égaré et ébahi sur son petit derrière, la regarde elle puis son doigt. Bon ! Ca va hein il va pas en faire tout un plat des heures durant aussi !

C'était que mon doigt mais... C'est bête... Mais J'ai cru... J'ai eu le vertige, J'ai cru que j'allais tomber dans ta bouche tout entier... Je suis bête hein.

Elle... Elle fait ces choses... Ces choses avec ses queues... Tellement de choses... Habiles, si dextres pour des appendices aussi épais de peluchonnage et duveteux, caressant et soutenant son visage qui le rendent tout chose, le parcourant de sa gorge au bord de ses mâchoires jusqu'au doux miel de ses joues avec ses mains, c'est sûr qu'après l'envoûtement de son doigt y avait de quoi le rendre complétement fou de désir, il arrivait pas à réfléchir, à raisonner, trop, trop de caresses haan et... et pas le moindre répit... Ses queues, trop nombreuses wouahou... Trop de... Trop de sensations à la fois, il se laisse attirer, charmé, fiévreux vers elle, c'est si chaud et doux entre ses mains et ses queues de renardes, qu'il en transpire très légèrement, de charmantes petites billes toutes fines naissant ci et là sur sa peau doraient de reflets mielleux son épiderme halé quand elles se mettaient à éclore.

Ces caresses, cette manière de l'inviter vers elle y avait pas de doute, plus de doute possible... Elle aimait ce qu'il faisait et elle voulait que ça continue, humhuumm... Y avait pas de spectacle plus joli que le visage de Kaori exprimant son désaroi et son envie, la torture de son âme à ne pas encore recevoir son du et maintenant il avait compris, c'est lui qui en jouait parce qu'il savait un peu qu'il était peut être pas assez rapide pour elle mais, l'en voir exacerbée et torturée de sa -maladresse- où inexpérience surjouée la rendait de plus en plus folle et c'était tellement drôle. Ah oui c'était drôle et même merveilleux de la voir comme ça, épanouie et imaptiente, hihi. Il maudirait presque son intelligence Abyssiane d'être encore capable d'analyser ce qui se passe et d'en faire certaines conclusions à un moment pareil ! Elle finirait par le maudir aussi s'il tardait trop non ?

Elle fait tout de même de ces choses avec ses mains et ses queues qui l'éveillent au désir qu'il peut produire chez une femme mais surtout qui l'éveille lui même à son propre corps et se découvre même des parties désirables qu'il n'aurait jamais pensé exister... Elle dessine où même redessine à son jeune esprit sa propre vision de lui même au travers du désir et de l'envie de ses mains choyant son cou et son visage, au moins pour elle il se sentait beau à travers ses doigts, à travers ses regards, si elle savait comme ça lui faisait tellement plaisir après certaines choses qu'il à traversées. Tellement de tendresse, d'invitation et d'envie à travers ses doigts, il peut pas résister à son appel.

Il ressentit la libération de ses lunettes hors de son front et de sa chevelure comme une délivrance, parce qu'il commençait à avoir chaud au contact aussi de cet accessoire, il lui avait posé une question qu'il savait déjà stupide s'il sagissait de son sexe, mais c'était plus fort que lui il fallait à la fois qu'il joue et se rassure.

... Ludya...
Non, ça ne fait pas mal... Au contraire...

J'ai très envie de sentir... hmm...Ludya... ta langue, tes lèvres, tes doigts.


La joue de Ludya glissa sur l'intérieur haut de sa cuisse droite, un baiser... Deux... Baiser... suivi du bout de ses griffes qui, sur la peau si sensible de l'intérieur haut de sa cuisse gauche se plaisait à tracer des cercles, et de sa douce voix, un peu vibrante et plus sensuelle, enjouée, il murmure de façon audible mais, comme une caresse aussi chatouilleuse que le bout de ses griffes :

Un baaaaallon de baudrrruuuuuche...

Puis recommence cette fois, avec deux griffes effleurées à peine, insupportables qu'elles étaient de leurs caresses chatouilleuses il recommença ce maudit chenapan ! Et sa prononciation était intentionellement lente sur les syllabes, ça allait de paire avec le rythme, l'allure insupportable et lente de ces chatouilles et des dessins dont le tracé était rythmé par sa voix et la longueur que prenait sa petite phrase idiote !

Deeeeuuux Baaaaallons de bauuuudruuuuche hihi...

Et encore ! Trois doigts cette fois :


TRRRrrrrroiiiis... Baaaaallooooons de... bauuuuudruuuche... hmmm ? Encore un non ?


Et puis ce n'était pas tout parce qu'a chacun des tracés effleurés de ses ballons auquel il rajoutait depuis le début, en premier seulement l'index, puis l'index et le doigt du milieu, puis trois, puis quatre doigts, lorsqu'il prononçait ces mots il laissait la douceur d'une haleine fraîche glisser le long de ta cuisse, ses lèvres se rapprochant si près de l'aine, sur la peau tout autour de tes lèvres... La vibration de sa voix et de sa joue contre ta cuisse... toujours plus près... Piti à petit... A quelques centimètres à peine de toucher... de toucher...

Quaaaaaaaaaaaaatre... Baaaalllooooooooons....

Oh et puis zut ! C'est lui qui n'en pouvait plus... Son doux visage s'engouffra là en bas, sans prévenir ! Sans prévenir, oui ! Et l'imprévisibilité de la chose alors que tu te serais attendue à entendre, et à devoir supporter cette petite voix murmurée quasi devenue insupportable au même titre que ses chatouillis, attendue à ce qu'au moins il fasse son intéressant avec un cinquième ballon de baudruche chatouillé sur ta cuisse gauche, l'attente d'un inévitable recommençement soudain coupé net, en rajouta à l'effet de surprise !

Il venait de poser un baiser chaste mais bien appuyé sur tes lèvres encore légèrement closes, se pinçant la lippe inférieure en relevant le plissement taquin et malicieux de son regard sur toi, avec une complicité fautive, presque comme s'il se donnait un air coupable d'avoir fait ça puis recommence, et recommence... Et recommence encore... Baisers après baisers contre le tour entier de tes lèvres, il picore à son tour ton sexe de petits baisers tout doux et appuyés, sonores de l'humidité de ses lèvres rencontrant la surface de la peau de ton sexe, des sons répétés, rapides, allant jusqu'a glisser sa joue même contre ton intimité et s'amuser de poser la joue contre ton mont de vénus, pour quelques secondes à écouter de son oreille aussi collée là en bas, l'intérieur de ton corps... Oui il découvre et il y avait une petite part de curiosité.

Ses doigts massent ton pubis, ton mont de venus, glissent le long de l'aine de chaque coté et puis flatte la peau et la chair autour de ton sexe, il tâtonne, palpe... Apprécie les formes qu'il à sous ses doigts, alors parfois il presse comme de la bonne pâte entre ses phalanges quand même un petit peu plus fort par moments, juste par curiosité de voir quelle masse ça fait, quel volume, puis c'est assurément aussi très tentant de toucher. Puis ses mains remontent le long de tes hanches, se joignant depuis l'extérieur de tes cuisses jusqu'a ton nombril à plat lorsqu'il parait glisser plus en avant, inclinant la tête à gauche pis à droite en se léchant les lèvres sur un sourire encore bien rieur et amusé. Il claque ses dents ensembles là en bas en faisant semblant de vouloir la mordre ! Juste histoire de lui faire peur où de lui infliger un grand frisson.

Un frisson liquéfié, fondu par le bout d'une langue qui fera là, bien le tour... Doucement le tour de la peau extérieure de son sexe. Plus il lèche et plus il trouve ça drôlement à son goût même s'il évite encore les zones intérieures, il se plait bien à lécher tout le contour pendant que ses doigts et le bout de ses griffes se balladent dans ce qui devrait être la zone de sa toison pubienne, sur laquelle il laisse courir ses petites griffes en cercles, gratouillés très finement sur cette zone en plus de les y faire courir.

Il la regarde... Il l'observe hein, toujours entre deux coups de langue ses yeux remontent les vallées de son ventre, par delà les collines de ses seins, il guette son regard lorsqu'il veut bien croiser le sien et à chaque fois qu'elle le croise il ne sait pas pourquoi il aime élargir un de ces francs et vifs sourires, jouette, mais il peut plus vraiment parler, tout ce qu'on entend c'est des sons de lappements assez rapides, répétés, faisant aller et aller sa langue qui cette fois à osé s'aventurer dans les cercles de chair intérieurs de sa fleur, il lappe, comme le ferait un petit chaton, assez vite... Puis, hm, sais pas pourquoi il aime fermer les yeux aussi en se laissant aller à faire ça. Ca l'excite, rien que de la voir comme ça... De la lécher à un tel endroit et la sentir se tortiller ça l'excite, ça tient son sexe drôlement dur et droit. Même, presque dur à lui en faire mal tiens ! Mais y s'en fout bien parce qu'il adore faire ce qu'il est en train de faire là.

Ses lappemments, ses petits coups de langue s'accélèrent et deviennent plus longs aussi, utilisant une plus grande partie de sa langue qui viendrait frotter et glisser sur toute sa longueur sur ses lèvres, qui, se font emportée un peu par le mouvement de sa langue qui, elle aussi se fait bien appuyée, comme sa bouche et l'Abyssian possède une drôle de force... Donc ça lèche et ça rape un peu à la limite parce qu'il appuye assez bien sa bouche et s'est aussi solidement agrippé à ses hanches avec ses bras vaisant une partie du tour extérieur de ses cuisses pour que ses mains, là, maintenant, s'agrippent sur le haut intérieur de ses cuisses, faisant comme une sorte de grippe, où de pince, où d'étau avec ses bras l'emprisonnant contre son visage. Il était beau à voir dans l'épanchement de ses envies où appétits contre elle parce que parfois il lui prenait l'envie d'embrasser à pleine bouche son sexe à elle, mais avec autant si ce n'est plus encore de langeur, de passion et d'envie que lorsqu'il embrasse sa bouche, et il se mettait à vibrer en plus, ça n'arrangeait rien aux sensations de sa langue qui paraissait un peu plus vibrante par vibration contre son sexe.

Et il était si bien appuyé que la chair de ses lèvres, eh bien, étaient obligées de suivre les mouvements de sa langue comme une danseuse suivant les pas de son cavalier, si appuyé qu'elle sentait les mouvements de sa belle mâchoire s'ouvrir et se refermer contre elle pour laisser remonter et redescendre sa langue, et il ronronnait lui ! Il ronronnait et souriait alors que sa lèche devenait ravaleuse et dévorante ! Quel vilain petit salopard hein quand même ! Ah ça l'amuse ! Même si y savait pas quelle pression où force il pouvait exercer contre elle sans la blesser, il se modérait parce qu'il pourrait très bien lui faire du mal avec sa force et c'était surtout de ça qu'il avait peur depuis le début, il pourrait exercer plusieurs tonnes de pression dans sa mâchoire où ses bras s'il se contrôlait pas. Et Kaori méritait tout le bien qu'il pouvait lui faire.

C'est pas grave, hmm ? Parce que j'ai envie de toute te mangée !
Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le dimanche 14 septembre 2014, 14:07:44
HAaaw ça oui... Il prenait tellement plaisir à la lécher, la laper, comme un petit chaton puisqu'elle aimait l'appeller comme ça, il avait été surpris puis tellement aimé se faire pousser par ses jambes contre son intimité, se noyant dans son sexe avec ses lèvres, son visage, même parfois le bout de son petit nez ! Ses gémissements étaient une douce musique à ses oreilles, il se découvrait un appétit qu'il ne se connaissait pas jusque ici, l'incroyable envie de l'entendre pousser ces doux petits cris et de la sentir émerveillée par ses talents... hum... D'orateur... Il ronronnait une mélodie vibrante à son sexe tout en la lapant de plus en plus rapidement, vivement, appuyant avec sa bouche, embrassant ses lèvres intimes quand elle semble vouloir l'attirer, l'aspirer en elle, plongeant sa langue pour un baiser des plus intimes et secrets là en dessous en tête à tête avec sa fleur.

C'était tellement beau d'entendre sa voix, ses haANWW, ses hmmm, ses ouiii, ses continue, howw, que c'était bon de l'entendre, d'entendre le plaisir qu'elle prenait à s'être faite déguster par l'Abyssian... Y sait pas pourquoi mais il voulait l'entendre encore plus, il voulait entendre sa voix tourmentée par le plaisir prononcer son nom et tout un tas d'autres choses si elle le voulait.

Il fit l'effort... Non, pas l'effort, il avait envie d'être plus sérieux a ce niveau d'excitation, même si l'envie de se jouer de son état était terriblement irrésistible ! A s'en croquer la lippe... Il résista à l'idée de faire la remarque de son état de faiblesse, de lui dire que cette fois, c'est elle qui à perdu ! non... Ça serait gâcher. Il n'eut pas à résister l'invitation de son corps décontracté, las, étendue dans l'herbe, cette façon qu'elle avait eu de l'appeller par son nom l'avait envoûté, il voulait encore... Encore entendre ces gémissements merveilleux, ces appels, cette voix... Le creux de ses reins s'élever, ses cuisses et son bas ventre se durcir du mal du plaisir, La douceur de ses traits, de ses lèvres se déformer elles aussi de cette souffrance plaisante... Il aimait beaucoup qu'elle soit un petit peu plus petite que lui, elle était si mignonne, elle lui paraissait si fragile à coté de ce qu'il pourrait faire par maladresse s'il ne faisait pas attention à la force qu'il imprime dans ses gestes... Et ça le rendait tout chose, tout chose de savoir qu'il pourrait s'il le voulait la... la prendre... La défaire, encore et encore, la vaincre, l'abattre, l'explorer et la conquérie, se l'approprier et la faire supplier ouie. Humr...


Il posa le bout de sa griffe sur ses lèvres, posant un regard entendu, complice, incliné de sa tête, glissant à son tour le doigt de son autre main face à ses lèvres à lui :

Ludya...

Sshhhht... Je viens.

Il rampa vers elle, s'étendit sur son corps d'une très longue caresse avant qu'elle ne sente, dans sa progression lente le bout de son sexe caresser ses lèvres tant qu'elle était dans cet état d'extase, étourdie, son regard encore perdu dans le plaisir. Il ne laissera pas à ses spasmes d'agitation du bas ventre se terminer, lui laisser de répit, il glissera la jolie taille de son gland lisse en elle, il avait bien perçu cette faille, cette entrée pendant qu'il était trrrès occupé là dessous. Puis... Puis elle était si humide qu'il n'aurait pas milles et unes précautions à prendre pour y glisser, enfin ce qu'il croit et, bien qu'il aurait apprécié y aller très, très... Très doucement, il sentait la nervosité des contractions de son sexe prête à l'acceuillir, L'Abyssian s'avança, progressant fièrement d'un déhanché suivi du mouvement fluide de ses épaules, en glissant les reliefs de son torse et de son ventre à lui sur le corps de Kaori...

Avait il le droit ? Le droit de profiter ainsi de son agonie, son désaroi, cette fois c'était elle qui avait baissé les armes. Et l'Abyssian venait pour conquérir et prendre tous ses territoires. Il fut surpris autant qu'elle du contact chaleureux de leurs deux corps s'unissant à peine... Son assurance blêmissant sur son visage et fondant sur des traits plus incertains, hésitants, arquant le dos en redressant son visage qui, jusque là planait presque au dessus de sa poitrine.

Un regain de volonté, et il continua sa progression impitoyablement lente, s'avançant de ses mains posées sur le sol, rampant vers elle en dandinant sa queue d'Abyssian et contractant l'une puis l'autre de ses petites fesses musclées entre les cuisses de Kaori, ce vil... envahisseur venu d'un autre monde, l'envahissait ! Et il lui sembla qu'il y avait peu de place, se sentant si serré déjà alors peut être qu'a peine un petit tiers de son membre s'était fait une place serrée, irradiante d'une bonne chaleur fondante en elle. Hmmpff... Il s'arrêta là un moment, ses petites fesses et ses cuisses se dandinant et se contractant avec jeu et surtout plaisir, le plaisir de laisser vivre, pulser, reposer, "tremper" diras t'on, un brin vulgairement, vingt centimètres de son sexe dans son doux petit corps, ce qui lui semblait déjà être un exploit en soi pour l'apparence aussi jolie, que fragile et douce de la taille de Kaori. Il s'étendit sur elle, venant écraser sa poitrine avec les reliefs puissants de la sienne, pour que son visage s'échoue au creux de son cou, contre sa joue, et qu'il lui murmure toute la sincérité de ses désirs et de son envie :

KaoRrrri... Hauwh... Kaori ♥ Quelle... Quelle errrreur...  hm ? Est ce que tu la sens déjà, cette... Haaahhh... Erreur ? ... RRrr De donner... Rrrr... Si envie... Une telle envie d'exploration... A un vil Abyssian ?

Il restera un beau et long moment en elle, comme ça, en secouant d'une petite danse presque victorieuse ses hanches, prenant soin de se reposer à nouveau de tout son corps sur ton ventre, ses mains allant s'occuper de sa douce poitrine, d'une taille raisonnable, la sentant sensible et plus fine, ses doigts glissèrent sur ses seins et les massèrent avec tant de gentillesse, d'envie aussi dans ses lèvres qui s'emparèrent de ses tétons qui, étaient sans doute durcits et peut être aussi un peu érigés. Les battements puissants et dédoublés des coeurs de l'Abyssian faisaient rapidement pulser son mat de chair dans ton ventre, tendu de sa peau par l'envahissement de cette créature. Bien qu'il ne bouge pratiquement pas, il laissait faire les vibrations de ses coeurs pulsant en elle et celles de ses vibrations ronronnées, qui, seules suffisaient à la faire vibrer, masser ses parois internes assez pour les décontracter et millimètres... après millimètres, comme si les vibrations de ses ronronnements et les pulsions de ses deux coeurs la remplissaient de fourmillements, son sexe avançait encore... Sans se précipiter, même qu'il régulait sa respiration, contrôlait la tension sanguine de son membre pour qu'elle soit dans cet état semi érigée, semi moelleuse pour vraiment, vraiment pas lui faire de mal... Les zones charnelles extérieures de son membre étaient plus tendre et le coeur de la "meule" de son sexe si on veut, était toujours bien rigide et dressé. Car il craignait avec la mignonne fragilité de son apparence de lui faire bien mal avec la taille de son membre.

Il ne s'arrêtera pas pour interrompre sa progression d'une demande stupide et soudaine, du genre "ça va kaori ? T'es sûre que ça va hein ?" Il le saurait si ça ne va "pas", il le lirait sur son corps, son expression, puis il commençait à comprendre que ses interventions spontanées et abruties même si sincère d'inquiétude pour ce qui se passe la frustraient, où lui couperait une partie de l'envie parce qu'il ne serait pas assez franc, assez langoureux où que ça coupait toujours au meilleur moment ce qu'il était en train de faire... Pas cette fois. Elle n'aura pas de répit cette fois ! Sa chute est inexorable, il la sent probablement se contracter merveilleusement autour de lui, ses spasmes de plaisir n'ont pas du discontinuer depuis qu'il a entamé sa progression, ah ça oui il n'avait pas daigné laisser à son corps la chance de se remettre de son précédent petit orgasme qu'il s'était aventuré en elle !

Il lui grignotte le bout de l'oreille entre ses lèvres et parfois du bout de ses dents, embrasse sa joue en suivant la ligne saillante de son mâchoire jusqu'a son menton et picore son cou de ces baisers là aussi, trrrrès agile et habile d'une danse de ses hanches et ses fesses qui cherchaient pas nécessairement à pousser son sexe plus loin mais le faire tourner et danser un peu en elle, les vibrations et le poids de son corps faisant le reste pour lui, rendant si interminable, irritante de patience et de longueur sa progression en elle, et ça le faisait sourire cet idiot d'Abyssian ! AaahwRr... Humr, non, là... Là c'était plus par jeu, il avait l'air d'avoir envie et de maîtriser ce qu'il faisait cet infâme petit coquin, en plus de s'aider à s'habituer à son étroitesse, il sent qu'il doit durcifier un peu l'épiderme de son membre pour l'insensibiliser légèrement aux charmes trop intenses des parois étroites de Kaori. Ca ne serait pas "drôle" pour elle mais surtout pour lui s'il pouvait pas la torturer de plaisir un peu ! Et il avait tellement envie, tellement envie d'achever son adversaire de plaisir.

Désolééé hmrrrr... Parfois l'exploration, ça peut prendre un petit peu... où beaucoup de temps ♥ Puis.. Humpfr... ça dépends de la rareté des choses qu'on explore...

Il revint lui murmurer à l'oreille, enjoué mais aussi très suave, sensuel de sa voix vibrante, emplie de ses ronronnements :

Et tu le sens, hmr ? Tu sens Rrrr.. que j'ai trrrrès envie de prendre touuuut mon temps pour t'explorer, toi ? ♥ RRrrou ? Si rare... Si belle...

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le vendredi 19 septembre 2014, 13:34:46
Elle à décidé de le caresser à un endroit paaaarticulièrement sensible, ultra-chatouilleux là en bas, si bien que le contact de ses mains lui envoient de puissants et incontrôlables frissons rayonnant du bas du dos jusqu'au bout de ses doigts de pieds et frissons froids de sentiments vif d'avoir à s'échapper dans son crâne, à produire des noeuds nerveux et fou-fuyants dans son bas ventre, des spasmes de contractions nerveuses, à ça s'ajoutait aussi un sentiment de préservation, cet étrange sentiment comme lorsque l'on à la frousse où la sensation d'être poursuivi dans la nuit, cette chose qui vous envoie des frissons froids dans le creux des reins et pousse littéralement le corps hors de ses limites et vous fait courir plus vite que jamais vous n'avez jamais couru par peur de sentir quelque chose de vraiment dangereux où effrayant dans son dos, ça forçait donc Ludya a se courber, creuser son dos d'avantage, aux dépends de Kaori qui dut subir ses soubressauts instables, très nerveux, qui faisaient inévitablement avancer la taille de son doux pilône de velours entre ses lèvres, déjà bien déformées par la fonte chaude de ce membre si dur, si épais, mais surtout d'une longueur qu'il craint lui faire du mal !

Et une crainte dans l'autre son âme est torturée par l'envie débordante d'urgence de fuir ses doigts et de rentrer se réfugier complétement en elle, et ce sont des à coups rapides, successifs, se déhanchant une fois violemment à droite, où vers la gauche en penchant ses hanches dans une danse plus violente, avec des déhanchements dignes de la puissance d'un taureau, c'est pas sa faute... Il se retient d'éclater de rire, et se tortille, ne peut plus contrôler complétement sa force... Et ses rotations du bassin et le tortillement de ses fesses contractées sont si vives et soudaines d'un coté à l'autre qu'elle aurait l'impression que son membre est un pilon et son sexe un mortier bien trop étroit pour les mouvements limite brutaux que ces sensations trop intenses pour lui, le forcent à faire !

Puis... Puis il s'engouffra d'une traite, fluide et rapide jusqu'au bout en elle, retombant sur son corps en enfouissant la douceur de son visage doré contre son cou, sa petite langue lui lapant la gorge et se laissa emporer par la faiblesse de cette branle si bien exécutée sur la base de sa queue, allant et venant en rythme avec la manière dont elle masturbait sa queue c'était... C'était sssssiiiii booooon ? Tellement, hanw... Tellement bon, bon , Bon ! oui... Ouiiiii... Il aurait pu fondre, comme ça, il devait même s'empêcher de miauler ! Ca serait pas... C'était pas juste... Elle trichait... Haaan... Huuummm... Il allait et venait si nerveusement, il contrôlait plus le bas de son corps, même ses fesses se contractaient et se décontractaient en ayant une fichue tremblotte, tout comme ses cuisses, ses genoux dérapant sur le sol en ne sachant plus suivre les mouvements incontrôlables de ses hanches et de ses fesses, elle devait le sentir aller et venir sur une petite distance, entre huit et dix centimètres d'avant en arrière mais a une allure de nervosité électrique où spasmique déclenchée par ces frissons chatouilleux.

Il devait se ressaisir, il devait, Awr ! Envie et pas envie... Il finirait esclave de cette branle foudroyante, électrique sur sa queue si ça continue, elle avait pas le droit ! pas le droit ! il en avait même des faiblesses dans le haut du corps, dans les bras, dans le cou qui faisait se glisser sa joue et ses lèvres sur celui de Kaori, tremblottant comme une feuille morte, non, non ça montait en puissance, il vibrait plutôt, comme une sorte de moteur, au début comme un petit moteur a bas régime, puis de plus en plus fort, passant de cylindrées supérieures, à supérieures, des vibrations des hanches qui le faisait aller et venir si sur cette petite distance, d'avant en arrière si rapidement ! Il finit par comprendre ce qu'elle voulait, donnant volontairement un coup de butoir beaucoup plus profond et sauvage que les autres, mais... Hanw... mais...

Gn...Gn-hanwrr... ça ne dura pas... Pas bien longtemps... ce regain de volonté ne dure pas... Aucune envie d... d... De lui échapper... Surtout... Oh... HumGRr... Surtout qu'elle n'arrête pas de laisser trainer ses ravissantes mains sur la rondeur de ses fesses, remontant discrètement dans sa raie pour aller branler sa queue... Le corps, la chair de cette queue qui se raidit, qui se tends, et se durcit ! Presque comme une sorte d'érection de ce membre ! Et ça n'arrange rien à ses forces qui semblent drainées d'une façon si exquise, magnifique, rendant ses membres tout las, manquant de force comme çaaaah ? Il glissa le miel de ses joues partout, partout dans son cou en tremblant des fesses et des cuisses, du bas de ses reins caressés et chatouillés qui partaient dans des mouvements souples et fluides.

HAaaahh... HAaaaahwwwRRr... HAAaaaah... Arrrretes ! Kwaorrrriiiii... Arretes ! J... J...

Il ne voulait pas avouer à quel point ça lui faisait du bien, même si son corps le trahissait déjà, suivant avec une avidité rare les caresses de la fin des doigts, des griffes de cette malicieuse créature, elle pouvait sentir le trouble de sa peau et de sa chair trembler sous ses caresses, sa branle experte, si bien, trop bien exécutée sur la base de sa queue envoyer tant et tant de vagues de frissons qu'il en écartait progressivement les cuisses, arquait sa jolie chute de rein bien définie et se laissait finalement faire comme un vilain petit chaton victimes de caresses impitoyables, insupportables, sans aucune pitié de la part de sa tortionnaire ♥ HaaWwRRroui, à ce stade de chatouilles et ce niveau de plaisir c'en était devenu de la torture !

Comme pour chercher à la distraire, à l'empêcher de se concentrer sur ce qu'elle fait tout ce qu'il pouvait faire était de multiplier les baisers sur son cou, sa gorge, ses joues, des dizaines et des dizaines de baisers si rapides, ronronnés contre sa peau, où se mêlait souvent le bout de sa langue, secoué par ses propres caresses le sexe de Ludya vibrait énormément et remuait beaucoup en elle, sans pour autant avancer où reculer, il était incapable d'un tel mouvement pour l'instant.

Tu... Tu triches... Tu triches... Tu triches encore... J'vais... J'vais... Pas le droit... T.. Tellement bon, Trop booon ♥ Pitié... Pitiéééé ♥ J'ferai tout ce que tu veux HngRr !! Tout... Touuuuut. J... J... Pitié... C... Continues ♥

Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le dimanche 05 octobre 2014, 22:27:46
Han-haaaan !

Cette douce petite peste s'amusait beaucoup de l'émoi dans lequel elle le mettait ! Son beau et triste sort l'amuse et lui plait beaucoup à c'te chipie ! Elle aimait s'occuper de lui au moins autant qu'il n'avait a-do-ré insister de ses doigts et de ses griffes sur ses queues à elle. Et Ludya ne peut certainement pas mentir, se faire torturer de plaisir par ses caresses infiniment expertes sur sa chute de rein et sa queue d'Abyssian lui plaisent, le font fondre dans ses bras et ronronner contre la peau de son cou, où de sa joue. Il adore, adore sentir ses membres perdre leur volonté et se sentir devenir faible, de plus en plus faible face a la nature divine des caresses exquises dont elle l'accable. 

Lorsqu'il peut encore redresser un peu le visage, l'échouer sur sa poitrine où dans son cou en relevant les yeux sur les siens... Il l'aperçoit, cette vilaine créature ! Se plaire de voir son visage fondre, ses lèvres trembler, son corps s'offrir et s'arquer d'un creux souple du bas des reins, sa queue se tendre, durcir et limite elle aussi se mettre à pulser sous le passage de ses doigts.

La galbe du miel des cuisses de l'Abyssian étaient sans cesse caressées contre celles de Kaori, la glisse douce de ce doigt dans le sillon de ses fesses l'avait rendu tout chooose... Elle avait trrrrès certainement senti sa respiration se bloquer, son corps s'arrêter de bouger, son joli postérieur crispé lorsqu'elle commença à insister de plus en plus sur cet endroit secret entre ses fesses.

Il perdait... Il se sentait proie... Et doit admettre sa honte. Il... Il devait admettre qu'il adorait perdre si c'était... Non ! Aaanh non... Pas de cette façon ! Si... Aaah si ! Il entrouvrit les cuisses et relâcha doucement ses fesses sous cette attention délicate et d'une douceur dont il n'aurait pu soupçonner le plaisir qu'il puisse procurer... Déjà le passage caressé et même chatouilleux du doigt lubrifié, caressé sur cet endroit qu'il ne connaissait pas encore, le... lu... Lui plaisait à en mordre sa langue entre ses dents pour ne pas gémir de plaisir. Elle pouvait pas ! Pouvait pas faire ça ? Si ?

Elle... Elle appelait ça une gâterie... Pourquoi en avait il si honte... Il hochait rapidement la tête par la négative contre son cou, son petit nez glissant sur sa peau de gauche à droite, luttant pour ne pas s'abandonner à ce qu'elle lui fait ! Elle peut sentir un conflit intérieur l'étreindre, jusqu'a presser l'anneau qu'elle entrouvre autour de son doigt par raffermissements irréguliers des muscles de ses fesses.

Il ne put lutter longtemps... Il ne voulait pas... Pas lui donner cet indice, mais si, si c'est vrai elle caressait bel et bien son point P là dessous... Sa tête finit par calmer ses rotations de gauche à droite pour se briser sur la plus belle expression de son joli minois fondu, ravagé, les traits égarés par la honte et le plaisir, lèvres entrouvertes... Son appendice buccal toujours si serré entre ses dents qui finirent par la relâcher et la laissèrent enfin sortir au fur... et à mesure... qu'il sent le doigt pro-gre-sser en lui. Plus elle avance, plus son doigt s'enfonce et plus sa douce langue s’étend... Synchrone avec l'avancée... Elle Sort... Elle glisse... D'un étrange besoin de la laisser sortir. Comme si la poussée du doigt entre ses fesses obligeait a un certain soulagement, sa douce petite langue se couche avec une impression de confort charnel sur le matelassage de sa douce lippe inférieure.

GRRRrhaaaââââaauuuuuuuuuuhhh ♥

C'était bien plus vibrant et grave ou rauque qu'a son habitude... Suave d'un épuisement de fin de volonté, d'un épuisement physique face a sa propre lutte de ne pas croire que ça se passe, que ça soit possible... D'un éreintement de sa résistance au plaisir. Il se rendit compte qu'il n'était pas de taille, ouie, pas de taille face à l'expérience de cette magnifique créature et il aurait perdu non pas sans lutter !

Il éprouvait tant... Tant de honte à ne pas pouvoir cacher à quel point il aimait aussi sentir ses doigts s'occuper de cet endroit qu'il ne voulait pas nommer. Sa plus grande honte était qu'elle s'en rende compte, qu'elle soit témoin de sa déconfiture... Il avait pas envie de se donner dans cet affligeant spectacle en ayant l'impression que toute la virilité qu'il a essayé de se construire en dernier lieu face à elle s'effondre. Secouant encore une fois la tête par la négative entre deux sons rauques échappant à ses lèvres, au fond de sa gorge. Non !!! Il nie ! Enfouissait périodiquement son visage contre son cou mais le relevait avec la cadence de ronronnements hauts de plaisir quand le bas de ses reins se redressait sous les allées et venues de son doigt le taquinant là dessous. Elle faisait complétement fondre sa concentration et son pouvoir de durcification où d'armure dermique ne protégeant hélas plus du tout, du tout son sexe pour former une insensiblité qui était jusque là efficace au plaisir.

Elle lui demande de se détendre... Il essaye... Sa voix est si envoûtante, comme le chant d'une sirène. De toute façon il à peur de trop bouger maintenant, il vibrait très très fort en elle mais se contentait de tout piti mouvements, preuve qu'il était sur le point de mourir de plaisir ♥ Il se détends bien que fébrile et tremblant comme une feuille morte vibrant sur l'échappement d'un moteur puissant, elle le sent s'abandonner en elle et sur elle, mais surtout s'abandonner à la pénétration lente et experte de son doigt, en son fort intérieur il se sent un tout petit peu mal... Il voudrait pas donner l'air d'aimer trop ça et que ça perturbe Kaori qui... Qui le prendrait pour un vil débauché. Où une salope comme on dit dans le jargon, il est pas une salope ! Où une pute... ou un putain... Enfin, mais salaud à pas le même genre d'impact où de signification il trouve que salope en subissant un truc qui le rend clairement fou de plaisir et en redemanderait, c'est... ça lui parait... Pas bien. Au fond de lui il a peur que Kaori le respecte plus s'il se laisse aller comme ça sur ce genre de caresses. Mais il pouvait rien y faire elle s'attaquait à un point faible et vu que les femmes possédaient pas leur point G là bas et que seul les hommes pouvaient se faire surexciter par là c'était un étrange paradoxe que ça soit les mâles qui se fassent faire jouir beaucoup plus vite et fort par là...

- Je haan~ triche pas... j'ai envie que tu... ha! jouisses avec moi... chaton!

Il n'arrivait pas à croire qu'une telle créature existe. Qu'elle soit si... Si douce, gentille, aimante dans ses caresses et ait envie de lui faire tant de bien dans les attentions qu'elle lui portait. Se sentait si désiré qu'il se croyait dans le plus inconcevable des rêves. Elle... Ben elle lui en voudrait pas, hm ? S'il devient un petit peu -salope- à cause d'elle... On dirait bien qu'elle le cherchait. Il haletait la langue sortie, avec cette expression ahurie, sans honte de plaisir. Une expression d'ébahissement qui friserait le ridicule même si ses traits sont encore mignons lorsqu'il s'y prête. Il se sentit happé en elle, dans son temple qu'il s'en voudrait presque d'avoir profané si idiotement depuis le début... Trop tard pour avoir des regrets sur la façon dont il à fait les choses, s'il avait su il aurait fait les choses pour qu'elles soient plus parfaites encore, plus excitantes, malignes et plus mémorables encore pour elle. Il se sent aspiré, attiré encore plus profond. Il se retenait, se retenait de toutes ses forces ! Avec la volonté du désespoir, l'expression de son visage de plus en plus honteuse et abandonnée de tous ses nerfs qui se concentraient autre part...

Hii... Hiii... Hiiiiiiiiiiiiiihhh... Si... si tu triches... K... Kaorie... KaorRRRrrrrie ! Huummmmm ♥ N'Raaauw !! Mais... mais J'adowRRre quand... Ahanwoui... J'adowr quand tu trrrrriches ♥

De tous ses muscles relâchés par ce massage enivrant. Ce morceau de chair long et brûlant en elle durcit par pulsions plus fortes et soudaines, entrant en conflit et rivalité où en une forme de danse qui cherchait à repousser les contractions étranglantes des parois de la Kitsune, une jouissance pulsative en frottant et caressant l'autre pour la faire grimper ! grimper... Monter si haut... Si haut avant... Avant... AVANT QU... !!!

Il voulut crier mais ses lèvres restèrent entrouvertes, comme bloqué dans un cri sans la voix qui irait avec, s'il avait pu ça aurait été un grand et puissant cri, mais c'était si... Si puissant que l'arc bout de son corps si dressé et tendu de tous ses muscles suffisait à lui même d'être l'expression violente d'un orgasme tétanisant, fulgurant !

Des spasmes si forts faisaient enfler le sexe de Ludya, Kaori pouvait très clairement sentir quand le liquide remontait le long du canal interne de son sexe parce que ça le rendait plus volumineux de la naissance de sa verge jusqu'au bout. Juste avant que ça ne se répande en elle, les jets étaient assez puissants pour qu'elle ressente la projection se répandre et s'écouler contre toutes ses parois. C'était puissant, le liquide -brossait- sa chair lors de leurs fulgurants jets de sortie. Le bas ventre de Ludya se contractait très fort lui aussi à chaque fois qu'un courant électrique où pulsion incontrôlable dressait son sexe.

Quand elle empoigna sa queue comme s'il s'agissait d'une poignée il était tout, tout collé contre elle, son sexe et son entrejambe épousait très fort son corps à en lui incliner le bassin vers le haut dans l'extase solide, tétanisée, furieuse partagée. Comme si la douleur de leurs muscles tendus et durcits, crispé, crampé du bas ventre l'un contre l'autre amplifiait son orgasme ! Il s'échoua, chaud et ronronnant sur elle. Bien qu'il possédait encore beaucoup d'énergie il s'était senti crampé et temporairement éreinté par cet orgasme, l'envie d'être tout au calme contre son corps, de la sentir contre lui et de profiter. De la regarder et caresser du bout de ses doigts sa lèvre encore entrouverte. De venir caresser affectueusement sa joue sur la sienne.

Il se pince la lippe et rampe un peu sur elle, doucement pour parvenir à hauteur de son oreille, lui murmure d'une voix enchantée, douce :

Je suis peut être pas encore allé dans l'espace, mais J'ai vu une étoile de très près aujourd'hui.

Il ne sait pas si elle aimerait qu'il s'occupe de ses jolies fesses à elle lui aussi... C'est difficile à dire... Elle pourrait aimer le faire mais pas apprécier qu'on lui rende la pareille. Il glissera doucement ses mains sous elle, jusqu'a ses queues avec lesquelles il joue pendant qu'elle semble encore épuisée et pantelante de plaisir, quelques doigts s'aventurant un touuuuut pitit peu plus bas... Tout piti peu... A l'orée de la croisée du bas de ses reins, des derniers muscles du bas du dos juste avant le sillon fessier et chatignouille cet endroit du bout de ses griffes en roulant du bout de son p'tit nez sur le sien, sourire malin sur les lèvres.

J'ai encore envie de toi mais... Je voudrai pas te forcer à jouer encore si tu me trouvai trop gourmand !
Titre: Re : Le visiteur du fut... hum, d'un autre monde. [PV Kaori]
Posté par: Ludya le jeudi 13 novembre 2014, 10:32:34

- Flatteur...Hmmm... Continue~


Ses sourires le séduisent, l'ennivrent et en font naître d'autres plus rieurs chez l'Abyssian... Vraiment très ommunicatifs ses sourires... oui, Ludya peut pas s'empêcher d'étendre ses lèvres en sourires lui aussi, allant même jusqu'au rire qui donne le frisson de fin de faiblesse du corps et de la voix comme lorsqu'on sent ses forces vous échapper quand elle entortille une mèche cuivrée autour de son index... Et puis il se voudrait s'assagir... Laissant son sourire disparaître sur le calme de ses traits redevenus un peu plus... sérieux lorsqu'elle écarte d'une caresse une autre mèche de cheveux...

Continuer de la flatter ? Il avait peur de dire des grosses bêtises à force parce que ce qu'il avait dit précédemment c'était sorti comme ça presque tout seul et avait peur que de broder et inventer par la suite ça allait pas avoir l'air aussi sincère et spontané que ce qu'il a pu dire sur l'émotion comme ça.... Mais en gardant que ça ressemble toujours un peu à un jeu en tête et que le ton peut être plus léger alors oui. Il essaye.

Ta chevelure est belle et bleue comme l'aura de la lune un soir d'hiver, vue à travers le reflet doux et calme d'un lac tranquille... Mais qui pourtant peut avoir des mèches aussi rebellées qu'un équipage de navire s'en prenant à leur capitaine avec l'impression qui ne rentreront jamais au port, aussi sauvages et turbulents puis insolents qu'une tempête en pleine mer quand ton visage laisse danser tes traits au gré de tes mouvements, ils veulent me cacher leurs joli traits !

Il essayait de continuer pendant qu'elle l'embrasse et fait toutes ces choses trop marrantes et chatouilleuses à son visage et c'était pas toujours très facile de se concentrer sur ce qu'il dit, même si il doit fermer les yeux pour ça et effacer ses bêtes sourires pendant ce temps là !

Ta mignonimie - t'aurais pu utiliser beauté, banane- ... Euhmhum... Ta mignonimie rayonne comme l'éclat d'un soleil vivant...


Rigole puis se pince la lèvre des prochains baisers de Kaorie, sentant fondre son intellect par la même occasion huh.

Et... et les photons brillants de ta joliemie se... se reflettent sur les... disques de la sphère d'armillaire du... Du capitaine abandonné que je suis essayant de se repérer dans les abysses de ton univers...

Et tes lèvres... Haah... sont comme des rayons qui me... Me guident... sans m'aveugler... Haaah... à travers les ténèbres... de mes pensées... Et pis, confuses, oui et très souvent, ouie, très souvent idiotes, hihi... Rendues idiotes et débiles... haah Par le ravissement de ta lumière... Puis.... puis... Humm

Il devenait ivre, ivre d'excitation de par tous les baisers qu'elle lui donne pendant qu'il essaye de mouvoir ses lèvres et s'était penché, de plus en plus donné son visage à ces étranges caresses qui le tuent, sachant pas que son visage, ses belles joues miel et ses traits pouvaient subir un tel outrage ! Elle aimait bien sa tête, la physionomie de son visage à ce point pour le lécher de partout comme ça ?

Haaah... haaanh... Je dis... Je dis n'importe quoi moi... je dis n'iiiiimporte quoi... Et c'est ta faute hihi...

Elle est douce... Elle est d'une délicatesse et d'une redoutable précision affective dans ses gestes... Du bout de ses doigts, de ses lèvres Cette douce petite créature lui caresse la peau, le visage, la nuque... Les épaules... Et il tangue, danse avec ses mains, danse avec ses baisers sur sa peau en fermant les yeux... se laissant aller... Il frissonne de tout son être... Et en est profondément touché. Autant de désir... Autant de folie ce... pour quelqu'un... Même dans ses désirs les plus fous ça ne pouvait exister. Il en était la proie et malgré sa force il fond... Il fond littéralement en dedans et se laisse faire en poussant milles et un petits gémissements à chaque fois que ses lèvres happent sa peau, lèchent son visage...

Il se sentait tant désiré entre ses griffes... C'est fou ça... Ses yeux en vibrent... Ils S'humidifient mais l'Abyssian ne se laisse pas pour autant aller jusqu'a pleurer. Ca le rend triste... Tout comme ça lui donne aussi beaucoup de joie... Il la laisserait lécher et baiser son visage, sa peau et mêler ses doigts à sa chevelure à l'en user si tel était son désir. Elle aimait sa bouille... Le miel de sa peau... Et lui... Lui offrait les zones les plus planes et lisses possibles en relâchant ses traits lorsqu'elle y passe sa langue ou ses lèvres, poussant des gémissements dépourvus de honte du plaisir qu'il ressent au passage de sa langue... De la moindre de ses attentions. C'est tout son être qui passe sous chacun des sens de Kaori... Comme si elle cherchait à s'approprier chaque volume, chaque espace qu'il occupe.

Ca l'excite... HHhRrrw awoui... ça l'exciiite... A son tour il caresse son visage... Sa joue droite roule et roule sur la sienne entre divers baisers chassés, volés, sur le coin de ses lèvres... Ses doigts glissent sur la ligne douce de ses joues, la saillie lisse de ses mâchoires... et suivent de leur chatouille caressée sur le bout du menton de Kaori... Respire... Oh ouie... Respire à quelques millimètres à peine de sa peau entre deux baisers... Ses mains glissent derrière ses oreilles... Appréciant fermer une paupière après l'autre avec la fraîcheur de baisers du bout de ses lèvres qui appuyent dessus, Embrassant aussi les zones intérieures de l'arête de son nez avec une frénésie qui lui picore ensuite le reste du visage d'une quantité affolante de baisers qui se multiplient... Se multiplient encore et descendent de son visage à son cou, attrapant sa nuque... Massant sa chevelure entre ses mains... Son cuir chevelu entre ses doigts... Ses petites griffes y laissant le léger plaisir de traçés en cercles aérant et parcourant son cuir chevelu.

Elle l'a encore appellé chaton et normalement ça l'agace ça ! Surtout que comme il est pas bien grand pour un garçon il voudrait grandir plus vite et déjà être adulte mais la façon dont le dit Kaori et dont elle lui manges le visage lui donnerait presque envie de rester comme ça toujours.

J'suis pas un chaton... Murmure t'il discrètement l'air de pas vraiment en être convaincu.

Lorsqu'elle se sera redressée contre lui il se relèvera sur ses genoux en redressant ses cuisses. Se dressant un peu face à elle, corps contre le sien... Et c'est si doux d'être Emmêlé dans les étoffes caressantes de son yukata qui glisse contre, autour, et entre eux... Amenant ses doigts sous son menton pour la guider vers lui, une autre main derrière sa tête pour l'acceuillir et soutenir sa tête inclinée vers la sienne. La surplombant un peu pour se laisser fondre contre ses lèvres.

Et là, il sait pas dans cette façon d'avoir bien saisi son visage il a envie... tellement envie de... Ben il l'embrasse... Il l'embrasse et l'embrasse, et l'embrasse, et l'embrasse et fini par un long, long, long baiser la maintenant prisonnière contre lui, sous son visage, entre ses bras, ses mains et ses doigts... L'embrasse à l'en étouffer, les mains de l'Abyssian la décoiffent en s'affolant à la caresse, une caresse plus frénétique, nerveuse... Possédant là une griffure un peu plus appuyée restant tout de même chatouilleuse mais décidément bien plus posséssive et étreignante sur son crâne. La pressant contre ses lèvres qui la goûtent et la dévorent. Il ne sait pas ce qui lui arrive... Il lui devient difficile de préserver tout le frisson de la délicatesse de gestes qui étaient avant plus précis, ils deviennent plus précipités, nerveux, envieux, la tâtant ici et là, la pressant d'avantage contre son corps et fouillant sa bouche avec la présence de quelques mordillements de ses lèvres, lui pressant les hanches et appuyant dans le creux de son dos pour ramener son ventre contre le sien, lui saisissant à pleines mains les fesses pour relever son corps et changer le niveau de leurs visages, elle se retrouvant soudain plus haut, une tête plus haut que lui, et inverser la position précédente dans laquelle c'était lui qui surplombait son visage et l'embrassait maintenant c'est elle.

Tu es... si grâcieuse... Ta peau si douce... Tu as l'air aussi jolie que fragile et précieuse... Je sais pas comment... Comme du beau cristal bleu... Tu me donnes envie de t'aimer comme un sauvage, mais t'as l'air si précieuse et fragile aussi... ça donne peur de te faire du mal. Alors je sais pas... Je voudrai expliquer mais là, maintenant... J'ai que des mots idiots et j'aurai l'impression de tout gâcher si je te prenais comme une vilaine bête ou un animal. Et tu mérites vraiment pas ça hein... Tu mérites qu'on caresse ta beauté pas qu'on la brutalise et pourtant t'es si belle qu'on a envie... si envie de te voir crier de plaisir... Ce serait un plaisir trop primaire et égoiste et j aurai l'impression de me servir de toi pour me faire plaisir et que ça serait meme un peu sadique parce que ça donne aussi envie de voir ton visage et ta belle petite bouche se déformer de plaisir et de surprise.

Diable soit de son cerveau d'Abyssian qui à tendance à trop réfléchir...

Mais tu vois, je suis... Trop sincère avec ce que je veux... Et ce que je veux pour le moment c'est vraiment pas bien... C'est vulgaire... Mon cerveau lutte contre parce que la vérité c'est... C'est que j'ai très envie de vulgairement te baiser comme une femme de rue et t'entendre hurler et franchement je crois... Qu'avec quelqu'un comme toi, t'es si sensible que ça se fait pas voila... voila... Tu en penses quoi ? Tu en penses quoi... Dis moi que je peux, dis moi que je peux pas...