Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Catalina Taylor le jeudi 17 juillet 2014, 17:31:46

Titre: Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 17 juillet 2014, 17:31:46
Le coffret reposait soigneusement sur la place passager de sa voiture. Au volant, Catalina sifflotait un petit air de musique que délivrait les basses à l'arrière. Elle évita les bouchons du centre-ville, faisant un petit détour, pour arriver sans encombre au centre commercial. Il y avait là une bijouterie un peu spéciale. Une bijouterie de luxe, dont le gérant avait un talent inégalé pour restaurer les pièces anciennes et hors de prix.

Catalina, pour sa part, possédait une incroyable collections de ces pièces anciennes et hors de prix. Héritages, pour la plupart. Sauf la pièce qu'elle apportait ce jour-là à la bijouterie. C'était une parure de diamants qu'elle avait payé, aux enchères, le mois dernier. Venant de récupérer son prix, elle faisait un passage obligé par la bijouterie pour rendre leur splendeurs aux pierres et à l'argent qui composaient la parure.

Elle se gara rapidement, et entra dans la galerie commerciale. Le coffret précautionneusement déposé au fond de son sac Armani, elle s'avança sans hésitation vers l'artisan bijoutier. Comme convenu au téléphone, il la conduisit dans une petite pièce sous haute sécurité. Elle déposa le coffret, et il la ramena dans la boutique. Elle reviendrait dans trois heures pour chercher son bien.

En attendant, glissant le reçu dans son décolleté, la belle fit du shopping. Elle avait beau être riche, aimer le luxe et les belles choses, elle trouvait son bonheur dans les boutiques les plus humbles, parfois.

Comme aujourd'hui.

Elle finit son shopping, et, portant ses derniers sacs, elle entra dans la bijouterie. Elle avait six sac plastiques. Et le triple était déjà chargé dans la voiture. Bientôt, elle serait de retour chez elle, et boirait un bon verre de vin sur la terrasse, contemplant son acquisition restaurée.

Normalement.

Mais rien ne se passa normalement.

Alors qu'elle tournait le dos à l'entrée, appuyée sur le comptoir pour régler par carte le montant de la restauration, un courant d'air frais passa sous son tee-shirt. Elle tira un peu dessus, venant couvrir la peau du bas de son dos. Ses doigts effleurèrent le tanga qui dépassait, et elle remonta aussi son petit short moulant, taille basse.

Reprenant sa carte, elle se frotta le mollet avec un pied, le talon venant gratter délicatement l'endroit qui la démangeait.

« Je vous remercie Monsieur. Je n'hésiterais pas à rev- Eh ! »

Un bras emprisonna son buste, tandis qu'une main vint étouffer les cris qu'elle pourrait pousser. Plaquée contre un torse masculin, Catalina ne put que laisser ses sacs tomber par terre. Le coffret à bijoux était encore sous le comptoir, prêt à être récupéré. Mais pour le moment, ça paraissait compromis.

Un autre homme mit en joue l'artisan. Un troisième et un quatrième venaient fracasser les vitrines pour embarquer ce qu'ils pouvaient.

Manque de chance, la grille commença à se refermer dès que l'alarme résonna. Et cette dernière s'enclencha dès qu'une vitre fut cassée. Les quelques clients du magasins étaient menacés par un cinquième et un sixième homme.

« Tout le monde se met à plat ventre, les mains sur le haut de la tête ! Ceci est un hold up. Mais vous devez vous en doutez. Ne résistez pas, et tout se passera bien. Mes collègues vont passer parmi vous pour récupérer vos objets précieux et votre argent. Donnez leur ce qu'ils demandent. Pas de négociations, ou ça se passera mal. Allez, exécution ! »

Celui qui venait de parler maintenant fermement Catalina. Il libéra ses lèvres, venant ramasser le sac Armani tombé au sol. Ce faisant, il obligea la jeune femme à se plier en même temps que lui, et s'amusa de la sentir réticence au contact de sa masculinité contre ses fesses.

La jeune femme n'était pas foncièrement difficile, mais dans la circonstance actuelle, elle n'était absolument pas excitée par les braqueurs. Elle était très attachée au luxe, et à sa fortune. Dès qu'on commençait à l'en dépouiller, ça se passait très mal.

Heureusement, elle avait mit des stilettos aujourd'hui. Les escarpins noirs, à semelle rouge, possédaient un talon aiguille haut de dix-huit centimètres. Elle n'hésita pas une seconde à le planter dans le pied de celui qui la retenait.

« Lâchez-moi ! »

Et laissez mes possessions en paix, bordel !

La fin de sa phrase mourut dans sa gorge quand le braqueur la plaqua face contre le comptoir, venant coincer ses jambes entre les siennes. Il entravait ses mouvements, et tordit ses bras dans son dos. Elle laissa un gémissement de douleur lui échapper.

« Ne t'avises pas de recommencer, salope, où je te jures, j'te prends à sec, là, sur le comptoir. Et tu ne pas kiffer. Salope d'américaine. »

Elle tenta de résister, mais tandis qu'une des mains du braqueur maintenant ses mains, la seconde l'étouffait presque.

« Allez, bougez-vous le cul, il faut qu'on se tire d'ici au plus vite. Six, occupes-toi de la sortie de secours. Cinq, va aider Trois et Quatre à ramasser le blé. Deux, garde tout le monde en joue. Quant à toi, petite pute américaine, tu vas nous servir de monnaie d'échange en cas de problèmes. »

Dès que le butin fut amassé, le coffret de Catalina restant sauf et caché, les braqueurs se ruèrent vers une sortie qui n'était pas grillagée. Le chef du groupe traîna Catalina avec lui, agrippant ses cheveux d'une poigne ferme et dénuée de douceur. Elle sentit la fraîcheur du canon d'une arme contre sa tempe, et suivit le rythme sans broncher, n'ayant pas envie de voir sa cervelle recouvrir les dalles blanches de la galerie commerciale.

Malgré leurs précautions, les bandits n'allèrent pas loin. Un barrage de flic fermait les sorties du centre commercial. Les gangsters se réfugièrent alors dans les toilettes féminines. Ces dernières étaient vides, sans doute évacuées par les policiers.

« Bon, les gars. Trouvez l'aération d'ici. Et faites-moi une putain de sortie de secours ! »

Voulant respirer convenablement, alors que la main du bandit couvrait tout le bas de son visage, Catalina le mordit férocement. Rageur, le chef saisit une grosse poignée de ses cheveux, et la balança, tête la première, contre les lavabos. Le front de la jeune femme heurta le miroir, qui se brisa. Mais le gangster lui garda la tête appuyée contre les bris de glace, même s'ils entaillaient férocement la peau de la veuve, et que le sang se mettait à couler.

« Toi, salope, tu vas prendre cher. Tu cherches à avoir mal ? Tu vas être servie. »

La jeune femme eut juste le temps d'entendre le bruit d'une ceinture qu'on ouvre, et qu'on retire, avant de lâcher une exclamation de douleur. Il lui avait fouetté les jambes avec. La boucle de ceinture égratignant ses cuisses nues.

Rageur, il déchira le tee-shirt donc le dos était en dentelle, et remit un coup. Elle hurla de nouveau. Puis il tira, sa main tenant toujours ses cheveux, et la balança violemment contre un cabinet de toilette. Juste au moment où il brandissait son fouet improvisé, une voix amplifiée par un mégaphone résonna :

« Relâchez l'otage, et vous vous en sortirez en vie. Vous êtes encerclés. Vous n'avez aucun moyen de vous en sortir. »

Un peu sonnée, Catalina se recroquevilla sur elle-même, maintenant son tee-shirt fichu contre son buste. Elle avait atrocement mal aux cuisses et au dos. Ainsi qu'à la tête. Mais elle tentait de trouver un moyen de s'évader, tandis que les braqueurs ôtaient leurs masques.

« Grouillez-vous le cul les mecs. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le jeudi 17 juillet 2014, 19:56:11
Vous savez ce qui est amusant dans cette histoire ? Dans cette histoire, Gabriel n'avait rien à foutre ni des otages, ni des flics ! Gabriel… bah il était pour Gabriel… c'était con mais c'était comme ça ! Il avait regardé la bijouterie, d'en face. Putain, c'était une vraie connerie…

IL y avait dans ce coin du centre commercial, un dealer à la petite semaine, un mec qui dealait pour rembourser des dettes, notamment à Gabriel. Et aujourd'hui, le blondinet était venu dans le coin pour voir si il pouvait lui rembourser quelques maigres intérêts… ouais, la fin de mois était sans doute un peu tendue… ou alors il avait besoin d'un peu de blé rapidos… aussi Gabriel était-kil en train de le secouer comme un prunier dans un coin pour lui faire comprendre sa nécessité…

Une sirène retentit et après une dernière mandale au salopard qui tentait de lui soutirer son porte-monnaie en se débattant pour sortir de sa poigne et enfin, il sourit et regarda, laissant le mec sonné tituber vers la sortie, Gabriel, lui, tâta son holster de poitrine et tâta son arme de poing, plus petite qu'il dissimulait dans un holster de mollet. IL vérifia les chargeurs. Ils étaient pleins. Parfait ! Il savait qu'il risquait de devoir s'en servir… Il commença à marcher dans le centre commercial, à contre courant, cherchant à trouver la source des emmerdes, jusqu'à tomber sur un agent qui lui bloqua le passage. IL lui montra son badge pour continuer et on le laissa passer….

Il ne fallut pas dix minutes pour que son téléphone ne sonne… il décrocha pour entendre une voix féminine et peu engageante lui parler… une autre lieutenant de police, à n'en pas douter…

« Valmy… je me charge de cette histoire et on m'a dit que tétais resté dedans ! Tu te tires vite fait sinon, ça va pas être plaisant à voir… t'as rien à foutre ici… et si on te laisse faire tu finiras par faire tuer quelqu'un… alors tu vas au barrage sud le plus vite possible ! Et tu y restes ! »

Gabriel ne prit me pas la peine de répondre. Il se saisit de son téléphone, raccrocha et le jeta au sol, depuis le troisième étage du centre commercial. Le portable décrivit une jolie courbe avant de se fracasser bien plus bas… Le jeune homme soupira… de toute manière le portable ne lui plaisait pas…

Dans les hauts parleurs du centre, il y eut la même voix que celle qui se trouvait dans son téléphone avant son explosion  par son propriétaire… sortir, être cernés… putain… chier… il était fait comme un rat avec les salopards… soit… mais bon, c'était un peu ce qu'il avait cherché, en ne rejoignant pas le barrage de flic à l'entrée sud, non ?

Gabriel n'était pas du genre à jouer les héro, mais en même temps… merde quoi !  Soi il réussisait à les arrêter, on lui foutrait la paix pendant plusieurs semaines sur le bon bon boulot accompli !  Et ptetre qu'au passage, il pourrait se faire quelques milliers de yens, ça pouvait toujours être utile…

Gabriel remonta plus moins jusqu'à la source. Une bijouterie, et pas n'importe quoi comme bijouterie… c'est alors que Gabriel compris une chose de sure : c'était pas avec le genre de butins que se trimballaient les voleurs qu'il allait s'arrndir un peu le porte monnaie… en effet, il était sur et certains que pour une telle tâche, c'était désormais foutu pour lui ! Bon, tant pis, puisqu'il était là…

D'un seul coup, les lumières intérieures s'éteignirent. Il y avait encore une bonne dose de lumière naturelle, grâce à la verrière du toit, mais cela ne suffisait pas à garder les mecs immobiles non, au contraire, ils auraient encore plus envie de se motiver à sortir d'ici à toute vitesse…

Et ils avaient un otage en prime… putain, c'était du joli… il regarda un peu alentour… bon, étant jeune il avait fait plusieurs braquages avec plus ou moins de succès… réfléchissons… en sortant, à leur place, il serait parti… par là ! IL commença à foncer dans la direction avant de se rendre compte qu'il s'agissait de l'origine d'une partie des sirènes de police, alors, il bifurqua aussi sec vers les chiottes des mecs… pas là… bon très bien… alors, par où ? IL n'eut pas le temps de réfléchir, entendant des pas de ranjos qui galopaient dans le couloir avant de s'immobiliser.

« Ils sont partis pas là ! »

« Par là ? T'es sur, mais bordel, c'est une impasse ! »

Au moins, les pialleurs lui avaient donné un peu d'indications ! Gabriel soupira et leva les yeux aux ciel… bon dieu comme tout ça ne servait à rien… au final, il allait être foutrement inutile, tiens ! Attendez une minute… tout l'endroit était fait avec des faux plafonds comme ça ? Alors peut être…

Il jeta un coup d'oeil à droite et à gauche… BINGO ! Il savait comment il allait faire. En effet, il avait vu un mais de technicien et une dalle du faux plafond qui avait été enlevée… oui, il devait y avoir des conduits électriques au dessus ! Parfait ! Il sourit. Le courant et lui, ça faisait un…

Utilisant l'échelle, il entra dans le faux plafond… certes, ce n'était pas fait  pour ça, mais au moins, il savait qu'il était invisible… inaudible, ce n'était peut être pas encore ça…. Il saisit les cables électriques à pleine main et envoya une bonne dose de jus. Il y eut une odeur de caoutchouc cramé et le courant se rétablit dans la zone. Ainsi, il pouvait se repérer à la lumière qui filtrait d'en dessous et par les bouches d'aérations… il continua jusqu'à entendre un bruit :  des grommellements…

« Vousdrai l'y voir… l'aération… connard va... »

Gabriel haussa les épaules, ça devait être par là sans doute… Il s'approcha et jeta un coup d'oeil furtif… ouais, il y avait plusieurs mecs là dedans… bon, comment y aller… a la douce ou pas ? Heu, oubliez, il ne savait pas y aller très doucement… en fait, c'était même tout le contraire… il s'arque bouta, plaça ses pieds contre la grile et donna un violent coup de pieds… les deux à la fois. IL y eut un craquement sonore quand la grille tomba et un cri, vous savez, genre le mec qui se la prend sur le crâne, avant qu'elle ne heurte le sol… ouais, finesse et lui…

IL entendit le bruit du chien qu'on arme et attendit… attendit…. Avant de balancer ;

« Police, rendez-vous ! »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 17 juillet 2014, 21:12:19
Pendant que les gangster cherchaient à faire une sortie de secours par les conduits d'aération, le chef de ce petit monde tournait dangereusement autour de Catalina. Avec sa ceinture, il la frappait. Les jambes. Les bras. Le dos. A chaque fois, un gémissement quittait les lèvres de la brune. Elle serrait les dents pour ne pas crier. Mais elle ne pouvait réprimer ce son. Elle avait beau se mordre la langue ou les lèvres, ça sortait toujours. La veuve n'était pas adepte de relation sadomasochistes, ce n'était pas pour un rien. Se faire dominer un peu, dans le feu de l'action, oui, okay. Mais elle n'aimait pas avoir mal, ni se sentir inférieure et humiliée en général.

« Je crois que je vais m'amuser un peu avec toi avant de te relâcher. J'aime bien souiller les petites salopes américaines qui se croient tout permis. Tu vas voir, petite pute, tu vas être "chouchoutée" ! »

Catalina frémit. Le ton de sa voix ne plus plaisait pas. Ce braqueur, un japonais grand et baraqué, était sans aucun doute raciste. La veuve n'aimait pas la tournure des évènements.

« Va te faire foutre. »

Simple et concise, sa réponse transpirait le mépris et la haine. Si elle le pouvait, elle lui mettrait sa misère à ce type. Elle n'était pas une de ces oies blanches qui s'évanouissent au moindre problème. Elle avait déjà tué. Elle savait se défendre. Bon, là, en l'occurence, elle a été prise de court. Et seule, contre six hommes armés, elle ne faisait pas le poids.

Loin de perdre son sang-froid, la veuve lui cracha ensuite à la gueule, lorsqu'il saisit sa chevelure d'une main pour forcer un baiser. Elle lui mordit férocement la main, quand il essaya de lui en coller une, et elle se fraya un chemin jusqu'au lavabo en face.

« Salope ! »

Il était plus rapide qu'il ne le paraissait. En deux secondes, il fondit sur elle et l'immobilisa. La veuve noire eut beau cracher, et se débattre, rien n'y fit. Il la maintenait plaquée contre le sol sans effort, bloquant ses deux poignets avec une seule de ses mains. De l'autre, il finit d'arracher le tee-shirt, le balançant au loin, et ne se privait pas de tâter la marchandise encore emprisonnée dans le soutien-gorge noir.

Elle ne pouvait même pas remonter ses genoux contre elle pour se débattre. Il était à califourchon sur elle, et enserrait ses jambes entre les siennes. Il ne tarda pas à chercher à déboutonner son short en jean. Même en remuant tout ce qu'elle pouvait, en ruant comme une vraie furie, Catalina ne réussit pas à se débarasser de l'homme.

Par contre, la grille d'aération qui tomba et qui lui tomba sur le coin du nez, ça, ce fut efficace. L'homme jura, et prit la grille qu'il balança dans un coin. Saisissant à nouveau les cheveux de la jeune femme, sans douceur, il la tira contre lui, la remontant pour la plaquer contre son buste. Le canon d'acier revint effleurer sa tempe, et s'y appuyer fermement.

« Police, rendez-vous ! »

Le gangster ricana.

« Si tu entres, je la bute ! »

Il ôta même la sécurité de l'arme. Ses hommes avaient tous la leur brandie vers le trou dans la grille d'aération.

D'un signe de tête, le chef ordonna à l'un de ses hommes, le numéro quatre, de s'avancer pour voir où était le flic. Pendant ce temps, il reprit.

« En attendant, j'vais me la faire si tu décampe pas presto, mec. Elle a l'air bonne en plus... Aïe, salope ! J'vais t'niquer, sale américaine de merde ! »

Catalina venait de lui donner un violent coup de tête. Le craquement indiquait qu'elle lui avait pété le nez. Elle profita de son geste pour s'esquiver, se mettant à l'abri dans une cabine de toilettes qu'elle ferma. Maigre protection, mais c'était un début quand même.

« Sale garce, reviens ici ! »

Un ricanement lui répondit.

« Va te faire foutre. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le jeudi 17 juillet 2014, 22:37:05
La réaction des braqueurs ne tarda pas, malgré sa bonne position, bien à couvert évidemment, quoiqu'il ne donnait pas cher de faux plafond si ils tiraient dedans,  il vit l'otage, à moitié nue, marquée à plusieurs endroits sur le corps par des blessures et des bleus, enfin, blessures, de simples égratignures, bon, elle allait encore bien ! Il reconnaissait volontiers néanmoins qu'elle n'était pas dans la situation la plus parfaite, non, la plus parfaite, ça aurait été sous lui… mais bref, il n'allait pas commencer à fantasmer alors qu'il devait la sauver, n'est-ce pas ! Enfin, la sauver… si jamais elle n'était pas  sauvable, tant pis !

IL l'entendit gueuler qu'il allait se la faire s'il ne déguerpissait pas… bah vas y !  Tape la toi pauvre con ! Si jamais il baissait son froc,  il cesserait de viser, et si il cessait de viser, Gabriel lui décocherait une balle dans les tripes ! Il n'hésiterait pas un seul instant !  Donc qu'il se tape la minette, qu'est-ce que ça pouvait lui foutre… au mieu ça lui simplifierait la vie…

En l'entendant parler, il entendit ce qu'il ne fallait pas… putain, encore des enfoirés qui avaient une dents contre les gaijins !  Les étrangers. Il avait assez douillé comme ça durant toute sa jeunesse… il avait vécu toute sa vie au japon et il avait toujours pris dans les dents les moqueries sur son physique, en effet, reconnaissez que ni ses cheveux blonds, ni ses yeux bleus n'étaient vraiment locaux… ce type il allait se le faire… mais il ne le tuerait pas, non, il lui maraverait sa putain de gueule de con ! A coups de poings, et à coups de pieds !  IL lui briserait tous les os du corps et les réduiraient en poussière. Ensuite, et ensuite seulement, il se déciderait à le livrer à la police, un peu de charité tout de même… putain le mec avait du pot… quelques années auparavant, il l'aurait traîné sur dix kilomètres derrière sa bécane…

Il ne regarda pas, sachant que si jamais il montrait sa tête on lui tirerait dessus, mais il se passait des truc intéressant, au bruit, quelqu'un venait de se faire mpéter le pif et quelqu'un s'était enfermé… okay, donc elle s'était enfermée et avait pété le nez à quelqu'un… un point pour elle… il profita de cette distraction pour regarder… cabine du fond… il notait…. Bon… alors… il se mit à ramper vers le fond de la pièce… comptant les dalles…

Au bout  d'une dizaine, il se stoppa et commença à rogner des ongles la dalle pour s'en saisir et la soulever. Vous connaissez cette matière à la con, qui résiste que dalle à l'humidité… il finit par la soulever… il était juste au dessus du mauvais chiotte… bon, ça devait être un chouillat plus loin… heureusement, avec le bruit de la police, les vocifération du gars et la fait que les parois des chiottes individuels atteignaient presque le faux plafond. Aussi, il était  tout à fait tranquille…

IL reposa la dalle et continu un peu plus loin… et souleva de nouveau. C'était bon, il était juste au dessus. Se servant des toilettes en eux-même, il se glissa derrière la jeune femme et lui mit la main sur la bouche avant de lui murmurer à l'oreille.

« Ecoute, chérie, je vais t'aider à monter dans le faux plafond, reste là haut, ne bouge pas, pas le moindre bruit et je te rejoins, ensuite on se tire d'ici... »

Il ne restait plus qu'à espérer qu'elle daigne se taire – mal parti, c'était une gonzesse après tout… mais il fallait qu'elle se taise, non ? Il la regarda et comme si il la sentait sur le posint de poser une question, il la musela avec ses lèvres avant de glisser sa main sur ses lèvres. IL lui dévoilà le badge qui lui pendait autour du cou. Au moins, maintenant, elle savait qu'il était venue pour l'aider !

Il la regarda de pied en cape et s'installa les pieds sur la cuvette pour être comme invisible aux yeux des autres et il lui glissa dans la main son flingue du mollet pour ensuite joindre ses mains et lui faire la courte échelle… ensuite, il déclencherait les vraies hostilités… surtout que de l'autre côté de la porte, c'était l'escalade, le mec semblait prêt à faire péter a porter avec un bon tir dans la serrure...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 17 juillet 2014, 23:14:44
Catalina s'appuyait contre la porte des toilettes, résistant aux assauts à l'extérieur. Elle s'arc-boutait pour contenir la porte qui tanguait.

Elle se recula un instant, manquant de tomber, quand une présence dans son dos se fit sentir. Elle ne prononça pas un mot. De toute façon, une main vint bien vite couvrir sa bouche pour l'en empêcher. Elle se raidit, et son esprit tournait à vive allure. Non, ça ne pouvait pas être un des gangsters. Si ?

« Ecoute, chérie, je vais t'aider à monter dans le faux plafond, reste là haut, ne bouge pas, pas le moindre bruit et je te rejoins, ensuite on se tire d'ici... »

Non, pas les gangsters. La voix était celle du flic. Elle en fut rassurée. La tension quitta ses épaules, pour un instant. Elle se retourna vers lui, reconnaissante. Elle n'eut pas le temps d'esquisser un autre geste. Il la surprit, venant poser ses lèvres contre les siennes. L'espace d'un moment, Catalina resta surprise. Elle ne l'avait pas vu venir ça. Elle n'avait même pas eu le temps de l'observer.

Alors qu'elle se détendait, il remit sa main. Elle rouvrit les yeux. Elle ne se souvenait pas de les avoir fermés. Il lui montra sa plaque, confirmant ses soupçons. C'était bien le flic. Après qu'il se soit installé sur la cuvette des toilettes, il lui fila son flingue. Enfin, l'un d'eux.

Elle le prit. Elle savait s'en servir. La dextérité avec laquelle elle vérifia la sécurité en montrait long sur sa maîtrise. Elle hocha la tête pour le remercier. Il lui fit la courte échelle, et elle grimpa souplement, se hissant au-dessus, dans le conduit d'aération. Juste à temps, sans doute, car la porte finit par sauter, une balle ayant eu raison de la serrure.

En haut, avec un flingue à la main, Catalina ne sut soudain que faire. Elle rampa un peu, et observa une dalle descellée. Elle l'enleva alors à nouveau, et jeta un oeil. Elle avait une vue imprenable sur les miroirs. Ces derniers lui montraient le dos des hommes qui se pressaient autour de la cabine qu'elle venait de quitter. Merde.

Elle arma le flingue. Se maintenant agilement dans le conduit d'aération, elle passa la tête pour se mettre en position. Ses longs cheveux bruns cascadaient dans le vide, tandis qu'elle tendait les bras, et qu'elle visait le dos d'un des gangsters. Elle prit une grande inspiration, et elle tira. Une fois. Deux fois. Trois fois. Autant de fois qu'il y avait de balles dans le chargeur. Puis elle remonta prestement, et s'éloigna le plus possible des toilettes des femmes. Elle ne pouvait rien faire de plus pour aider le flic. Elle en avait peut-être eu trois. Ou quatre. Elle les avait sûrement blessés assez grièvement, étant donné qu'elle visait à hauteur de poitrine.

Mais elle n'en savait rien, dans le fond.

« Pitié, faites qu'il s'en sorte... Faites qu'il revienne. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le vendredi 18 juillet 2014, 01:49:42
Outre sa surprise pour le baiser, il nota rapidement avec quelle habitude elle vérifiait la sécurité de cette arme de poing assez petite mais adaptée à la main de la jeune femme. C'était entre autres pour ça qu'il lui avait passé celui-là, et aussi, parce que comme tout homme fort de son organe reproducteur, il avait besoin de garder le gros flingue bien dur ! Cliché ? Peut être, mais personne, personne ne laisserait Gabriel se priver du plaisir  d'en foutre plein la gueule de ce salopard d'anti gaijin ! Et il irait avec la crosse bien sur…

Il arma son arme après avoir vérifié qu'elle s'en était allée. Et il sourit alors qu'il fit entrer une balle dans la chambre  et attendit, assis sur la cuvette, pointant son arme vers la porte. Il attendait que l'un de ces cons ouvre la porte par la force ! Il inspira à fond et s'apprêta à tirer.

Il y eut un coup de feu, puis un deuxième… puis un troisième… puis un quatrième enfin, il tira…. Silence complet. Puis la porte s'ouvrit avec fracas et un homme, sns doute le chef, se tenait devant lui, et sans laisser le temps à Gabriel de tirer, il fit feu…. Gabriel sentit une violente douleur lui endolorir toute l'épaule… le mec voulut tirer de nouveau… peine perdue l'arme s'était enrayée… le sang commençait à dégouliner de la plaie où la balle et le tissu étaient restés… putain de saloperie… mais c'était que ça faisait mal bordel… en soit, ça faisait juste une marque de plus sur le coprs, mais surtout ils avaient besoin d'un coup de main…

D'un autre côté, il était surpris du calme du coin… la police n'intervenait toujours pas… bordel, mais sur le coup, il aurait eu besoin d'un coup de main…. Fort de sa solitude, il sauta sur l'autre et le bouscula ainsi pour le faire tomber, sous lui… il regarda alentour, bien qu'aveuglé par la douleur… il y avait déjà plus de la moitié des hommes à tarre et les autres étaient apparemment affolés… bonjour l'équipe de pros…

Il se roula sous le côté en voyant l'homme allongé sous lui… il y avait du sang sur le carrelage sous son crâne chier… il lui aurait bien appris la vie, bordel… il regarda les deux autres, changea son arme de main et tira sur les deux salopards restants… il se sentait minable, tellement minable… putain il était rageur, tellement rageur… il aurait voulu tout démolir !  IL commença à se redresser et vit enfin la flicaille débarquer… heureusement, il avait loupé ses deux tirs…. Bordel de merde, putain de bordel de merde…

« Homme à terre, on a un homme à terre ! »

Gabriel pris la radio et la lança à la figure de la jeune femme qui venait de lancer l'appel pour une ambulance. Puis, il envoya un coup de pied dans les roupignolles du gars qui s'approchait pour l'aider à se relever… bon dieu, il avait pas besoin de cela… une fois debout, il envoya un bon coup de pied dans les côtes du chef de bande qui craquèrent avant qu'on n'éloigne Gabriel… il s'éloigna et d'un pas furieux, il sortit le la pièce. IL sortit de la poièce et quand on voulu l'empêcher de passer, il mit au troufion un coup de genou dans l'estomac. Le tissu était imbibé de sang et si Gabriel avait mal, il avait les boules. IL était frustré… pas un gramme de pognon, pas un seul exutoire, et la fille s'était barrée et le privant des deux à tous les coups, même pas la fille en récompense….

Putain en plus il était sur qu'elle s'était tirée avec une partie du butin et l'avait pla,nté là, dans la merde… putain, tu parles d'une veine… et putain ce qu'il avait besoin de régler le problème d'épaule !  IL regarda alentour et visa un banc dans un coin et s'y installa pour sortir de sa bottine façon western un couteau, il s'agissait d'un couteau tout simple, mais fin et bien aiguisé… il taillada le tissu autour de la plaie et il  tira d'un coup sec sur le tissu pour le sortir de la plaie. Il serra les dents mais jura tout de même comme u charretier… puis, se plaçant face à une vitrine qui reflétait assez bien les images pour qu'il  s'enfonce le couteau dans l'épaule… il émit cette fois un gémissement. Il lui fallut plusieurs tentatives pour retrouver la balle avant de finalement  l'expulser dans un cri de douleur… putain… plus personne ne lui f'rait ça, plus jamais ! Il se le faisait tout seul depuis qu'il avait compris qu'un loub' après un règlement de compte, ça allait pas chez le toubib… et aussi que son sang pouvait faire désordre avec son don… il fallait qu'il rentre se recoudre la plaie… et ensuite, au dodo !

Putain de bordel… et faire de la moto avec une plaie ouverte comme ça, si c'était pas de la connerie… bon, il était garé où, déjà ?
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le vendredi 18 juillet 2014, 15:10:43
Après être sortie du conduit d'aération, Catalina se demanda quoi faire. Un policier, passant en courant non loin d'elle, l'aiguilla. Elle lui courut après, en le hélant. Elle prit soin de cacher l'arme de poing dans la ceinture de son jean, au creux de ses reins, et le rattrapa.

« Monsieur ! Monsieur l'agent ! Je suis heureuse de vous trouver. »

Il la regarda de pied en cap, intrigué par l'absence de tee-shirt et par les traces de coups sur son corps.

« Vous ne devriez pas être là madame, il y a une intervention en cours. »

Reprenant son souffle, elle hocha la tête.

« Je sais. Je... J'étais l'otage des braqueurs de la bijouterie. Un homme, un policier, est intervenu. Par les conduits d'aérations. Il est sûrement en danger. Il faut aller l'aider. »

De stupeur, le policier écarquilla les yeux.

« Pardon ? Oh. Bien. Euh. Attendez un instant. Suivez-moi. »

Il se retourna, et parla dans sa radio. Il informa ses collègues. Ils pouvaient entrer. L'otage était sauf. Mais l'un des leurs étaient avec les braqueurs. Puis il se tourna vers la jeune veuve, et l'entoura d'un bras protecteur.

« Venez, on va soigner vos blessures. »

S'il remarqua l'arme dans la ceinture de son jean, il n'en montra rien. Il l'accompagna près d'une ambulance. Un homme se chargea d'elle tandis que le policier lui demanda de rester dans le coin, pour sa déposition. Elle hocha la tête, et laissa l'ambulancier soigner les différentes blessures qu'elle avait, et l'entourer avec une couverture de survie.

Le policier qu'elle avait vu un peu plus tôt revint vers elle.

« Alors, mademoiselle. Quelle est votre nom ? »

Elle répondit aimablement. Il lui posa tout un tas de question, et elle y répondit en toute franchise. Elle raconta comment les braqueurs avaient débarqués, elle raconta le trajet vers les toilettes, elle raconta les coups qu'elle avait reçus... Elle omit le passage du baiser, mais raconta que, pour qu'elle puisse se protéger, le policier dans les toilettes lui avait donné son arme. Elle raconta qu'elle avait tiré à l'aveuglette, un peu plus tard, et qu'elle était sortie des conduits d'aérations. Pour finir, elle lui donna l'arme, et demanda :

« Et ce policier, qui m'a sauvée. Il est où ? »

Incapable de répondre, son interlocuteur haussa les épaules.

« Vous savez, Valmy est un peu spécial. Un peu borderlines, si vous voyez ce que je veux dire. »

Catalina hocha la tête. Depuis sa rencontre avec Nathan, elle n'avait pas eu affaire à la police. Mais avec cet agent Valmy, elle était de nouveau convaincue qu'elle préférait ces hommes-là, qui agissent par instinct, peu importe les ordres, plutôt qu'en respectant à la lettre un règlement qui allait faire tuer des gens, selon les situations.

« Très bien. Je peux y aller maintenant ? »

Il lui demanda son adresse, et un numéro où la joindre, et il lui fit signe qu'elle pouvait s'en aller. Elle serait recontactée un peu plus tard, pour l'identification formelle des corps et des braqueurs restants encore en vie.

Remerciant le policier, et l'ambulancier, la jeune femme retourna dans le centre commercial. Elle chercha son héros du jour, mais son regard ne le vit nulle part. Alors elle se dirigea vers la bijouterie. Elle s'enquit de la santé du bijoutier, et des autres clients. Elle récupéra aussi ses sacs de shopping, son sac à main et son coffret de bijoux. Elle retournerait, dans la semaine, au commissariat pour récupérer les biens qui lui appartenaient et que les braqueurs avaient emportés.

Pour le moment, elle quitta le centre commercial, et partit s'installer au volant de sa voiture, après avoir rangé ses affaires. Ôtant la couverture de survie, qu'elle plia soigneusement, elle chercha un peu dans ses acquisitions du jour et elle enfila un chemisier échancré, noir, se mariant bien avec son short en jean et ses escarpins. Sa poitrine était mise en valeur, et sa taille fine également.

Lorsqu'elle leva le regard, elle aperçut un visage familier. Le policier lui ayant sauvé la vie. L'agent Valmy. Précipitamment, elle sortit de sa voiture, et courut vers lui.

« Agent Valmy ! »

Elle le héla, et arriva finalement près de lui. Encore contusionnée, mais plus présentable déjà.

« Je vous vous remerci- Oh, vous allez bien ? »

Elle avisa, au cours de sa phrase, la blessure qu'il avait à l'épaule.

« Vous désirez que je vous amène voir un ambulancier ? Ou que je vous ramène quelque part ? Vous ne pouvez pas conduire dans cet état... Ce serait dangereux. Dites-moi ce que je peux faire pour vous aider. C'est la moindre des choses après ce que vous avez fait pour me sauver. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le samedi 19 juillet 2014, 18:08:47
ON ne pouvait pas reprocher à Gabriel d'être un douillet… il n'allait pas à l'hôpital si on ne le forçait pas et l n'allait chez le médecin qu'à l'article de la mort. En général, ses blessures, il s'en occupait tout seul… en rentrant il servirait deux whisky, un pour la plaie un pour la soif, il gueulerait un bon coup parce que ça pique et ensuite il se recoudrai la plaie lui-même. Watanabe, un pote à lui, lui obtenait du fil chirurgical et un peu de matos du même genre qui tombaient du camion et en échange, Gabriel fermait les yeux… un échange qui convenait à tout le monde ! Non ?

Il lui fallait avant tout chercher à rentrer chez lui… ça, ça allait pas être une partie de plaisir… il regarda alentour et vit sa moto… bon dieu, il avait au moins cinq cents mètres pour l'atteindre… certes, il n'habitait pas loin, mais c'était pas la porte à côté non plus… conduire une moto avec une épaule dans cet état il l'avait fait… mais ce n'était pas pour autant une bonne chose… il l'avait fait en pleine campagne à trois heures du matin : les routes étaient désertes ! Il soupira… putain ce que ça faisait mal… ol continua à marcher quand on l'arrêta, lui attrapant l'épaule… oui, l'épaule blessée…

« Hep monsieur, où allez-vous comme ça ? Hein, Valmy ? Mais tu fous quoi bon dieu, o te cherche !  T'as une balle dans l'épaule, espèce de trou du cul !  Va voir l'ambulance,elle est là pour toi, en partie, du con ! »

Gabriel lui saisit la main avec lenteur, et lui tordit violamment le poignet, le lui rabattant dans le dos pour ensuite lui faucher les jambes et reprendre sa route. Ces mecs le mettait de mauvaise humeur, il n'était pas une fillette qui avait besoin d'aide. Il avait besoin de rentrer chez lui et de se soigner…. Pas d'écouter des mariolles qui n'étaient pas plus efficaces que des G.I. dans une bibliothèque !

Il reprit sa route sans un mot jusqu'à être de nouveau hélé… putain, mais il avait fait quoi au juste à ce putain de gosse armé d'une loupe sur la fourmilière humaine qu'était Dieu pour qu'on ne cesse de l'emmerder… nil ne se retourna pas, se contenta de lever le majeur dans la direction de la voix avant de sortir enfin du centre commercial… bon, le plus gros du trajet était fait… il pouvait prendre une pause… il avait besoin de se réconforter… alors… il prit dans sa veste son paquet de clope… saloperie… il était imbibé de sang… il faillit le jeter, mais regarda quand même s'il n'y en avait pas une de potable… Ah ! Si !  Ouf ! IL s'en saisit et jeta le reste dans le caniveau. Merde à l'environnement !

Il se l'alluma et se mit à fumer tranquillement. Il repartirait quand sa clope  serait terminée ! Il prit ue bouffée et dans l'instant, il se mit à tousser… putain de merde !  IL pouvait même plus fumer tranquille ! Il jeta sa clope avec rage sur le trottoir sans même chercher à écraser le mégot.

IL ne se releva as de suite il lui fallait reprendre un peu de courage d'abord...enfin, si on lui laissait en reprendre… mais comme c'était une voix féminine il leva les yeux vers la personne…. Tiens… l'otage…. Elle était ptetre pas complice en fait… il haussa l'apaule (l'autre le faisait trop souffrir pour ça avant de chercher à répliquer quelque chose… en fait non, il resta silencieux…

Oui, il saignait… étrangement, c'était le résultat d'une balle dans le bras. Oui, ça faisait saigner… c'était surprenant n'est-ce pas ? Il en tombait des nues…. Oui, le mauvais poil était bien là… il ne répondit pas à sa question sur le fait qu'il aile bien… si il allait bien il serait pas assis sur ces putains de marches comme un clodo.. enfin, il avait affaire à une jeune femme reconnaissante, il pouvait donc bien fanfaronner un peu au lieu de faire la gueule….

Péniblement il se releva avant de prendre la parole sur un ton, pas décontracter, faut pas déconner, mais presque désinvolte…

« Ça va, ça va !  J'ai l'habitude… mon toubib dit que je dois avoir plus de plomb que de sang dans le corps à force… je vais rentrer chez moi, recoudre ça, me taper une bonne nuit de sommeil et du vautrage canapé devant des films débiles, alors à moins que vous n'ayez une jolie blouse blanche pour jouer les infirmières à domicile, non, y a rien à faire… et hors de question que quelqu'un me fauche ma bécane au passage, ce qui se passera si je la laisse ici... »

Il eut un petit sourire, mais étrangemet, il n'avait rien d'éclatant, non, c'était un sourire fatigué, lessivé, blasé… et il avait les traits tirés, ne pas voir que cela relevait de la fanfaronnade était de l'aveuglement… il sortit de sa poche la balle encore couverte de sang et la lui lança doucement.

« Cadeau souvenir... »

Puis regardant la balle de nouveau il se dit qu'une dernière esbrouf ne ferait pas de mal, alors qu'il cru bon de rajouter…

« Ça fait cher le baiser, non ? »

Il fallait peut être cesser de faire le mariolle, maintenant, car là, il se vidait de son sang, quand même...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le samedi 19 juillet 2014, 23:39:45
« Ça va, ça va !  J'ai l'habitude… mon toubib dit que je dois avoir plus de plomb que de sang dans le corps à force… je vais rentrer chez moi, recoudre ça, me taper une bonne nuit de sommeil et du vautrage canapé devant des films débiles, alors à moins que vous n'ayez une jolie blouse blanche pour jouer les infirmières à domicile, non, y a rien à faire… et hors de question que quelqu'un me fauche ma bécane au passage, ce qui se passera si je la laisse ici... »

Il essayait de se montrer rassurant. Ou bien, il le pensait vraiment. Catalina ignorait ce qu'elle devait en penser. Mais le laisser rentrer ainsi, blessé... Ce serait déraisonnable. Et s'il lui arrivait le moindre ennuis, elle se sentirait responsable. Coupable. Elle l'était déjà bien assez. Il s'était fait blessé en la sauvant des griffes de ces pervers racistes. Le moins qu'elle pouvait faire, c'était de l'aider. N'est-ce pas ?

Elle attrapa ce qu'il lui lança au vol. Une balle. La balle, probablement. Celle qu'il a dû retirer de son épaule.

« Cadeau souvenir... »

Elle eut un ricanement peu convaincu. Mais ses doigts se refermèrent sur la petite balle métallique. Elle la fit rouler entre ses doigts, songeuse. Un petit rire échappa à la veuve lorsqu'il blagua.

« Ça fait cher le baiser, non ? »

Son sourire s'élargit, et elle se rapprocha du policier. Son regard pétilla, et se fit joueur.

« Vous savez, je peux peut-être faire un rabais sur le prochain. »

Ouh là, ça commençait à déraper. Du calme, Cata'... T'excite pas... se dit-elle. Pourtant, il y a une chose qu'elle ne pouvait nier. Le voir jouer les héros, ça avait indéniablement attiré son attention. Ça avait titillé son imagination. Sa libido, peut-être même.

« Mais vous êtes sûr que ça va aller pour rentrer ? Parce que s'il faut une blouse blanche, je crois bien avoir acheté une robe qui fera cet office, cet après-midi... »

Un sourire en coin naquit sur le visage de la veuve. Elle blaguait, mais elle était quand même inquiète. Elle se sentait déjà tellement coupable, en voyant l'air pâle qu'il arborait, et la gravité de la blessure...

« Laissez-moi au moins vous suivre en voiture, je me sentirais vraiment mal s'il vous arrivait quelque chose sur le retour, en sachant que c'est à cause de moi que vous êtes blessés. Et puis, entre compatriote, il faut bien s'entraider. »

Par compatriote, elle entendait "étranger". Elle voulait juste souligner que, comme elle, il n'apparaissait que comme un étranger, malgré le fait qu'il semblait s'être plutôt bien intégré, si elle en jugeait par son poste. En fait, elle ignorait tout de lui, mais ça ne l'empêchait pas d'éprouver de l'empathie.

« Je tiens beaucoup à vous remercier pour ce que vous avez fait. Vous avez risqué votre vie pour moi. Pour arrêter ces braqueurs. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mardi 22 juillet 2014, 21:57:58
Au moins, elle avait compris une chose : on n'empêchait pas Gabriel, aussi tête de lard qu'il puisse se montrer, de faire quelque chose qu'il ne voulait pas. Voir un toubib, par exemple ! OU l'emmener à l'hôpital. Pire, elle rentrait dans son jeu, ce qui était, pour quelqu'un d'à peu près objectif, l'aider à ne pas se faire soigner comme il fallait était du suicide selon les médecins, mais Gabriel avait le crâne plus épais que les murs de son immeuble...

Après, si elle voulait jouer les infirmières à domicile, il n'allait pas se plaindre, hein !  Après tout, avec des dessous très sexies et une jolie blouse blanche, ce serait parfait, non ? Il sourit à cette idée, un peu goguenard et avec une lueur, un poil lubrique dans ses yeux voilés de souffrance.

Intérieurement, il la remerciait de se soucier de lui comme ça, extérieurement, si elle lui avait proposé son aide de manière plus prononcée, il l'aurait envoyée se faire foutre sans la moindre vergogne. Là était tout le paradoxe de Gabriel, et sans doute une parye de son charme : une personne pleine et entière la moindre once de compromis ! Il les refusait  et les refuserait toujours...

Enfin, si elle voulait le suivre jusqu'à chez-lui pour être sur qu'il rentre bien, il n'en voyait pas de problèmes à cela, toutefois, il il ne put s'empêcher une ou deux dernière esbroufs… que voulez-vous il tait comme ça… on ne le changerait pas, c'était sa manière à lui de jouer les héros…

« Okay, ça me va ! Mais attention, hein !  Blouse (robe) blanche et dessous sexy pour aller avec hein !  ON rigole pas sur l'uniforme de travail »

Il eut un léger sourire, comme si il avait autre chose à balancer epuis sa besace, et finalement, lâcha sur un ton mi-figue mi raisin, il lui lança, comme un défi, un jeu, voir si elle en était capable, ou si, comme il le pensait, elle se dégonflerait… en bref, si elle voulait vraiment donner un coup de main où si c'était juste du flan…

« Par contre, autant te prévenir, chérie, je vais pas ralentir pour te faire plaisir… alors tu as intérêt à avoir une conduite sportive ! »

IL sourit et sortit les clés pour mettre le contact sur sa moto, et, s'appuyant sur son bras valide, il fit vrombir le moteur et démarra sans attendre son feu vert, mais roula doucement le temps qu'elle monte dans la voiture pour le suivre. IL avait une fâcheuse tendance à partir sur le côté non blessé, où sa prise était plus ferme. Il tentait de rattraper tout ceala, mais à grand peine, aussi, la conduite carrément casse-cou qu'il avait l'habitude d'utiliser n'était plus qu'assez mesurée, donc en somme, le suivre était aisé sans se mettre en danger… bien sur, le casque pouvait aller se faire mettre…

Il finit par arriver devant ses escaliers et ne prit pas la peine de ranger la moto, enleva juste le contact et s'alluma une nouvelle clope pour tirer quelques nbouffées… tu parles d'une conduite. Il avait conduit comme une petite vieille… il avait un peu les boules… il n'eut même pas besoin de s'asseoir pour attendre la suivante, mais ayant trop les boules, il n'eut pas un mot pour elle mais monta directement dans l'appart et de là, dans la salle de bain pour s'occuper de la plaie, laissant les portes de sa garçonnière ouvertes...

« C'est ouvert ! »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le mardi 22 juillet 2014, 22:35:24
« Okay, ça me va ! Mais attention, hein !  Blouse (robe) blanche et dessous sexy pour aller avec hein !  On rigole pas sur l'uniforme de travail... »

Catalina rit légèrement. Elle hocha la tête, reprenant un air sérieux.

« Absolument. On ne plaisante jamais avec ça. »

Elle lui offrit un doux sourire, mais se souciait quand même de sa blessure. Allait-il réussir à conduire avec elle ? Elle l'espérait. Elle ne le lâcherait pas d'une semelle en voiture, prête à s'arrêter au moindre soucis.

« Par contre, autant te prévenir, chérie, je vais pas ralentir pour te faire plaisir… alors tu as intérêt à avoir une conduite sportive ! »

Le sourire de Catalina se fit assuré. S'il savait comment elle conduisait, par moment. Certaines de ses missions, autrefois, comportaient des bagnoles infiniment plus luxueuses et plus rapides que celle qu'elle avait aujourd'hui. Elle se faisait plaisir. Ça lui manquait un peu, d'ailleurs.

Elle remonta dans sa voiture, gardant l'oeil sur le flic. Elle démarra rapidement, et le rattrapa assez vite. Par contre, contrairement à ce qu'il annonçait, il roula plutôt prudemment. Sa blessure, sûrement. Car, étant donné l'aperçu qu'elle avait eu de son caractère, il devait être le genre de mec à allumer sévère en moto. Le genre de mec dangereux qui l'attirait pas mal.

Ils arrivèrent sans encombre devant chez lui. Elle se gara, soigneusement, et verrouilla sa voiture. Ce quartier, où il habitait, n'était pas réputé. Mais elle se dit qu'elle aurait peut-être vue sur la voiture depuis une des fenêtres de chez le blond.

Elle arriva devant les escaliers. La voix de son sauveur lui parvint alors.

« C'est ouvert ! »

Elle entra donc par la porte laissée ouverte. Ses pas la menèrent en direction de la voix, et elle arriva sur le seuil de la salle de bain.

« Vous allez bien ? »

Son regard se porta vers la blessure, inquiète. Elle se permit toutefois une plaisanterie, pour ne pas l'embarrasser.

« Je suis désolée, j'ai oublié mon uniforme dans la voiture. Je peux jouer l'infirmière quand même ? »

Un sourire effleura ses lèvres. C'était le moins qu'elle puisse faire pour lui, de l'aider avec sa plaie.

Elle entra d'un pas décidé dans la salle de bain, et prit un bout de coton qui dépassait d'une étagère. Elle chercha un peu, et dénicha l'alcool pour stériliser en cas d'infection, et en versa sur le coton. D'autorité, elle se retourna vers le policier, appliquant le coton sur la blessure. Elle tamponna délicatement dessus, et autour, nettoyant le sang qui s'en écoulait toujours.

« Vous avez de quoi refermer une blessure comme ça ? Une aiguille et du fil ? Ou même la lame d'un couteau chauffé à blanc ? »

Elle s'y connaissait un peu en soins de secours. Elle lui proposait ses solutions d'une voix douce, et réconfortante. Chaleureuse et aimable, elle s'efforçait de faire au mieux pour l'agent Valmy.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mercredi 23 juillet 2014, 23:07:53
Au moins, elle avait compris l'essentiel… elle avait compris qu'il ne tolèrerait pas grand-chose avant d'être remis… surtout pas qu'on le contrarie… la contrariété tait la source première des saloperies qu'il pouvait faire ou dire… alors autant éviter, n'est-ce pas ? Car Gabriel était capable d'aller si loin qu'il le regretterait presque lui-même, c'était vous dire… IL sourit à cette pensée :  envoyer quelqu'un qui voulait l'aider était un véritable sport pour lui…

Il lui sourit alors qu'elle venait, elle n'était pas en tenue… soupirant, il regarda la jeune femme se servir dans son placard à pharmacie, prenant de quoi désinfecter la plaie et, sans crier gare, le lui appliquer sur la plaie. Il serra les dents et serra les poings pour tenir… putain ce que ça faisait mal… il ne pipa néanmoins mot et ne parla que quand cela fut terminé, pour ne pas trembler.

« Putain, mais ça fait mal bordel… et puis, on avait un accord, non ? Où est la tenue d'infirmière ? Et les dessous sexies ? Enfin quoi, merde, on déconne pas avec les anésthésiants ! »

IL se releva et quitta la salle de bain, d'un mouvement un peu brusue. Il avaot besoin de soulager un peu son épaule de l'alcool sur la plaie, un alcool qui arrachait bien la gueule. Voilà pourquoi la bouteille était quasiment pleine… il utilisait autre chose… il s'approcha d'un meuble et sortit un brandy ma foi pas dégueu et en remplit trois petits verres.

« ON reprendra quand tu te seras changée ! »

Il but le premier verre, pour le courage, appliqua le second sur la plaie, pour désinfecter… il eut envie de chialer tant ça brûlait, mais au moins, c'était efficace… quant au troisième verre, c'était pour la soif. Il retourna dans la salle de bain en silence pour s'approcher du grand miroir qui encadrait le lavabo…

Il sortit l'aiguille et le fil chirurgical d'une petite trousse de soin tout ce qu'il y avait de plus simple. Il sourit et sortit de la poche de son futal un briquet, avant de retirer définitivement le t-shirt qui le gênait plus qu'autre chose. Il le saisit et le découpa pour ne pas se faire de mal à l'épaule… enfin, il se concentra et se dit qu'il avait tout ce qui lui fallait… Il regarda alentour et ne la voyant pas revenir de suite, il soupira et planta l'aiguille dans sa chair pour faire le premier point…

« Dis, t'es toujours là, chérie ? Parce que j'avoue que si t'es en tenue j'aurai peut être usage de tes petites mimines pour la couture ! »

Il avait les mains qui tremblaient trop pour qu'il ne puisse faire quoi que ce soit ! Mais hors de question de l'admettre….
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 24 juillet 2014, 15:03:14
« Putain, mais ça fait mal bordel… et puis, on avait un accord, non ? Où est la tenue d'infirmière ? Et les dessous sexy ? Enfin quoi, merde, on déconne pas avec les anesthésiants ! »

Catalina se mordit l'intérieur des joues pour ne pas rire. Ce n'était pas drôle. C'est vrai que ça faisait un mal de chien. Elle-même avait déjà eu ce genre de soin à pratiquer sur elle, et ça n'était pas une partie de plaisir. Mais, en serrant les dents, et en laissant filtrer des jurons entre elle, ça se passait. Oui, jurer quand on a mal, ça atténue la souffrance. C'est peut-être uniquement psychologique, mais ça marche.

Elle le laissa partir brusquement, jetant le coton déjà imbibé de sang autant que de désinfectant. Se rinçant les mains sous le robinet, elle passa un coup d'eau dans son cou, et dans son décolleté, apaisant la bouffée de chaleur qui lui venait. Elle passa ensuite sa main dans les cheveux, les remettant dans un semblant d'ordre, et soupira.

« On reprendra quand tu te seras changée ! »

Un sourire effleura ses lèvres. Elle l'observa revenir, et sentit l'alcool qu'il venait sans doute de boire. Et de mettre sur sa plaie, à en juger le tissu imbibé de sang et de boisson. Par respect, elle quitta alors la salle de bain, venant faire les cent pas dans la pièce d'à côté. Elle se frotta les mains de temps à autres, tremblant encore un peu depuis sa capture et sa libération. Elle n'avait pas été en état de choc, mais quand l'adrénaline retombait, on le sentait.

« Dis, t'es toujours là, chérie ? Parce que j'avoue que si t'es en tenue j'aurai peut être usage de tes petites mimines pour la couture ! »

Un petit rire secoua sa cage thoracique, achevant d'apaiser ses nerfs mis à rude épreuves. Non, elle ne s'était pas changée. Mais en arrivant dans la salle de bain, elle ouvrit les boutons de son petit chemisier noir, dévoilant un soutien-gorge en satin blanc, bordé de dentelle, mettant en valeur sa poitrine généreuse. Elle baissa légèrement son short. Juste assez pour que l'homme puisse voir ses hanches nues, et les délicats motifs du tanga qu'elle portait dépasser dans le bas de son dos.

Elle ne se déshabillait pas aussi rapidement, d'habitude. Enfin, sauf peut-être cette nuit-là, en revenant du gala, avec ce beau policier... L'uniforme, décidément... Même sans uniforme en fait. La plaque, peut-être. Ou les armes. Ou le côté ténébreux. Quoi qu'il en soit, elle s'efforçait de le mettre à l'aise. Voir une jolie jeune femme presque déshabillée pouvait le distraire suffisamment afin qu'elle suture sa plaie.

« Je n'ai pas eu le temps d'aller chercher ma robe, mais je me suis dit que, comme je suis, ça ne devrait pas poser de problème. On garde le côté sexy, non ? »

Un sourire éclaira son visage, alors qu'elle le fit asseoir contre le lavabo, et qu'elle se penchait sur la blessure.

« Serres les dents, agrippe mes hanches même, si ça te fait plaisir. Parce que ça va piquer un petit peu. »

Très professionnelle, elle saisit l'aiguille d'une main. La veuve la désinfecta, et prit un coton propre pour nettoyer le sang, avant de commencer les sutures. Minutieuse, elle s'efforçait néanmoins de travailler le plus vite possible. Quelques points après, elle noua le fil, et le coupa. C'était fini.

Ce qu'elle détestait faire du mal aux gens. Même pour leur bien. Elle avait serré les dents à chaque fois que l'aiguille traversait la chair. A chaque fois que la pointe effilée rencontrait une petite résistance. Elle souffla quand elle nettoya le sang qui suintait encore un peu, et qu'elle reposa l'aiguille sur le lavabo. Elle avait un peu blêmit, mais son regard chercha celui de l'agent de police pour s'assurer qu'il allait bien.

« C'est bon ? Vous voulez un verre pour faire passer la douleur ? »

Elle se rendit compte, à cet instant, qu'elle l'avait tutoyé juste avant de le suturer. Et qu'elle repassait au vouvoiement. Un sourire gêné flotta un instant sur ses lèvres, avant qu'elle ne hausse les épaules.

Maintenant que la suture était finie, s'il le voulait, elle irait volontiers chercher sa petite robe blanche, moulante, pour jouer les infirmières dévouée. Mais avant, elle voulait être sûr que ça allait.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mardi 05 août 2014, 22:08:43
Gabriel, macho de première ou porc misogyne ? Ptetre un peu des deux… en effet, demander à une femme de faire de la couture en cet instant, mais trouver un moyen de pester et de cracher sur les autres était un bon moyen de calmer la douleur, au même titre qu'un verre de gnôle (dans le gosier, pas sur la plaie, bien sur). Aussi, si il lui en envoyait un peu dans les dents, il fallait reconnaître que ça le soulageait énormément.

Mais apparemment, elle n'en avait pas pris ombrage. Qui aurait pu ? En effet, il parlait beaucoup, et souvent, il parlait encore plus à tort et à travers… et quand il était blessé, c'était pire… et ce,même si elle était particulièrement sexy… ça, fallait le reconnaître, elle savait mettre en valeur ses courbes ravageuses… bon, allez, il allait bien lui accorder un passe droit. IL opina du chef et la laissa approcher… après tout, le flic devait bien la laisser le soigner, non ? Après tout, ça pogne tremblait trop…

Mais il n'avait jamais entendu l'euphémisme piquer un peu… que l'aiguille rentre dans ses chairs, ça ne lui posait aucun problème. Jamais, mais la vraie douleur, c'était le fil, aussi fin soit-il, qui glissait dans chaque trou fait le long de la plaie… ça, c'était la vraie saloperie du moment… Aussi, il ne refusa pas son offre, serrer les dents… ouais, c'était nécessaire… quand à l'agriper par les hanches… oui, c'était pas une mauvaise idée, surtout quand on tapait un peu plus bas que les hanche pour venir lui passer le bras autour des fesses quitte à en serrent une entre ses doigts, de toute ses forces à chaque fois que la douleur augmentait…

Quand enfin, elle lui annonça que c'était fini, il expira dans un grand soupir de soulagement. Bon dieu ce que c'était une bonne chose que de savoir que c'était fini ! Ouf !  IL était d'avis qu'il valait mieux, en fin de compte, avoir un truc sexy à mater et peloter pendant ce genre de moment, ça aidait à bien supporter la douleur…. Il sourit à cette idée et opina du chef devant sa proposition. Oui, un verre, ça lui ferait le plus grand bien. IL en avait foutrement besoin.

« Ouais, chérie, un bon whisky bien sec ! Voilà ce qu'il me faut. Dans l’encoignure du salon. Y a une bouteille entamée et y a déjà un verre de sorti sur la table…. »

IL lui sourit et se leva avant de prendre les bandages et de mettre une compresse qu'il attacha avec du sparadrap. Oui, ça ferait mal quand il le retirerait mais qu'importe ! Il la rejoignit là bas en faisant un crochet dans sa piaule pour mettre un T -shirt propre et par le vide ordure où il jeta son Tee-shirt foutu… putain, d'ailleurs, en parlant de cela, il lui faudrait impérativement changer son trench-coat qui était troué du coup… car hors de question de le repriser. D'abord car il n'avait pas le talent pour ça, mais aussi parce que ça ferait moche sur le  manteau…

« Allez, file te changer, parce que même si c'est soigné dans les règles pour l'épaule, faut pas que je me serve du bras pour quelques heures/jours, au cas où, pour pas faire péter tes points… ce serait con hein ? »

IL sourit, un peu goguenard…

« Ouais, une infirmière à domicile juste le temps que je puisse réutiliser mon bras sereinement ne serait pas de refus. ET en échange, y aura une belle récompense... »

Son regard s'illumina, malicieux… des récompenses, il en avait moult possibles à lui offrir...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le mardi 12 août 2014, 19:17:17
« Ouais, chérie, un bon whisky bien sec ! Voilà ce qu'il me faut. Dans l’encoignure du salon. Y a une bouteille entamée et y a déjà un verre de sorti sur la table…. »

Hochant la tête, Catalina se lava les mains pour enlever le sang, et sortit de la salle de bain. Elle aperçut directement la bouteille dont il lui parlait, et rempli le verre à moitié. Particulièrement serviable, elle le lui apporta, un sourire amical aux lèvres.

« Allez, file te changer, parce que même si c'est soigné dans les règles pour l'épaule, faut pas que je me serve du bras pour quelques heures/jours, au cas où, pour pas faire péter tes points… ce serait con hein ? »

Un petit rire lui échappa, et elle prit ses clés. Elle adressa un clin d'oeil à son "patient", et sortit brièvement pour aller à sa voiture. Elle fouilla dans ses sacs, jusqu'à trouver la robe (http://www.glamedressit.fr/compte/zjjp-edressit-votreboutiquepro-com/images/04125407c-robe-de-cocktail-Glamedressit.jpg?osCsid=00b3df6a1b9a7e897d855b6d50fa5b54) parfaite. Blanche, cintrée à la taille, avec un ruban écru pour souligner sa taille et ses hanches. Décolleté sage, mais quelques agrafes parfaitement dissimulées sur le devant permettaient de la faire devenir plus aguicheuse si besoin. Sans oublier la fermeture dans le dos.

Elle l'emporta, ses doigts agrippant la dentelle du corsage pour la remettre dans le sac, avec les sous-vêtements assortis, et elle referma la voiture. Elle gagna rapidement le pallier du flic, et se glissa dans l'appartement, refermant soigneusement la porte derrière elle. Porte déjà bien abîmée, il faut le dire.

« Ouais, une infirmière à domicile juste le temps que je puisse réutiliser mon bras sereinement ne serait pas de refus. Et en échange, y aura une belle récompense... »

Un sourire éclaira ses lèvres, et elle s'enferma dans la salle de bain pour se changer.

« J'en ai pour une minutes ou deux... »

Elle referma la porte, et entreprit de se changer. Elle ne tarda pas, et ne mit pas plus de deux minutes pour être prête. La veuve se regarda ensuite dans le miroir, et sortit son maquillage de son sac. Elle fit des retouches, remettant un peu de crayon, de mascara, et de rouge à lèvre. Parfait, songea-t-elle en envoyant un baiser au miroir.

Elle ressortit de la salle de bain, avec un soupçon d'hésitation. Elle n'avait pas oublié de mettre des bas noirs, opacifiés, dont les bords en dentelles pouvaient être aperçu quand elle marchait. Perchée sur ses stilettos, elle se posa contre le coin de la table.

« Mon patient se sent-il mieux après ce verre ? »

Un sourire étira ses lèvres, et elle croisa légèrement les jambes, la droite venant se balancer contre la gauche.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le lundi 25 août 2014, 14:58:48
Apparemment sa réaction fanfaronne la faisait rire. D'un autre côté, il allait pas balancer comme ça que ça allait mal et qu'il avait besoin d'aide. Horsd de question de se faire plaindre !  IL avait de la fierté à revendre ! Trop, selon bon nombre de personnes !  Mais que voulez-vous !  Il sourit et commença à picoler légèrement, parce que bon, il n'allait pas rester ici à attendre qu'elle soit en infirmière pour vivre. Déjà qu'il avait toléré l'absence de tenue réglementaire pour le soigner, il ne voulait pas aller trop loin en cédant, ce serait bien trop dommage à son goût…

Il la vit revenir les affaires en main se demandant ce qu'elle avait pris, comme une curiosité vis à vis de ce qui pouvait être considéré comme une tenue d'infirmière sexy, surtout qu'elle était déjà foutrement sexy à l'origine, alors si, en plus, elle mettait une tenue sexy…. Il garantissait pas de rester sage, d'autant plus qu'il avait toujours eu un faible pour les infirmières – et les blondes, mais un sur deux, c'est déjà plus qu'énorme ! 

Il eut envie, un instat, de la suivre et d'entrer pendant qu'elle se changeait. Mais il aurait trouvé cela dommage, d'une certaine manière :  un peu comme la magie cessait d'opérer… ou comme quand on apprenait comment un tour de passe passe fonctionnait. On avait beau  savoir qu'il s'agissait d'un tour ayant un truc, cela restait magique, tant que l'on ne connaissait pas ce petit truc. Aussi, il se retint, malgré l'envie de la surprendre qui lui tortillait les boyaux et lui réchauffait autre chose que le coeur…

Il enfila son verre et l'attendit, restant quelques instants éberlués devant le spectacle… elle n'avait pas fait que mettre une robe sexy, mais elle avait aussi choisi des sous-vêtements – et surtout des bas -  qui ne puvaient que transparaitre lors de ses mouvements. Noirs. Pas mal… et jolie dentelle pour les bas… il eut un sourire appréciateur…

« Et ben… j'avoue que je vais avoir besoind 'un autre verre ptetre… ravissante... »

Il prit carrément la bouteille et se mit à boire au goulot de celle-ci  avant de reposer la bouteille… carrémen,t sexy… elle avait de la chance qu'il n'utilise pas son autre bras sinon, il lui aurait déjà sauté dessus sans la moindre vergogne ! Ouep, il était comme ça ! Et puis en même temps, tous ceux qui auraient pensé différemment étaient des idiots ! Elle était à damner un saint !

« Bah ce qui fait chier, c'est que c'est comme par hasard, le bras qui m'est le plus utile qui a été touché. Écrire, tirer, conduire, et même me pougner ses compliqué… quant à me raser… pas que ce soit important, mais je me retrouve pas mal dans la merde ! Mais ça va, ça va, chuis pas bibidextre, mais je devrai pouvoir me démerder pour pas mal de trucs…. Pis la blessure, ça fait tourner la tête des minettes… genre héros, tu vois le genre ! »

Il eut un petit rire avant de finalement tenter de prendre le verre avec le bras blessé et de pousser un juron particulièrement fleuri !

« Oh et sinon, la tenue, tu as choisi une tenue d'infirmière nonne ? Car en général, avec le mot sexy vient un décolleté pigeonnant, non ? »

Il eut un sourire goguenard, et en un instant il eut une série de fantasmes des plus simples au plus délirent, qu'il étouffa dans un juron. Rêve pas, gamin...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le mardi 09 septembre 2014, 15:54:41
« Et ben… j'avoue que je vais avoir besoin d'un autre verre ptetre… ravissante... »

Ses joues rougirent légèrement, appréciant le compliment. Elle esquissa un sourire discret, et vint le rejoindre tandis qu'il buvait, à même la bouteille cette fois.

« Bah ce qui fait chier, c'est que c'est comme par hasard, le bras qui m'est le plus utile qui a été touché. Écrire, tirer, conduire, et même me pougner c'est compliqué… quant à me raser… pas que ce soit important, mais je me retrouve pas mal dans la merde ! Mais ça va, ça va, chuis pas bibidextre, mais je devrai pouvoir me démerder pour pas mal de trucs…. Pis la blessure, ça fait tourner la tête des minettes… genre héros, tu vois le genre ! »

Elle posa une main délicate sur son épaule, hochant la tête. C'est vrai, les blessures faisaient souvent craquer les demoiselles. Elle-même ne résistait pas à un homme comme lui, et la trace de cicatrice reflétait la bravoure des hommes et l'émoustillait particulièrement.

« Oh et sinon, la tenue, tu as choisi une tenue d'infirmière nonne ? Car en général, avec le mot sexy vient un décolleté pigeonnant, non ? »

Elle rit légèrement, et le contourna pour se mettre face à lui. D'une main agile, elle dégrafa légèrement le devant de sa robe, dévoilant un décolleté tout ce qu'il y avait de plus sexy. Elle avait tout prévu. Cette robe pouvait être très sage, convenant pour des soirée de gala élégantes, ou bien très séduisante, pour des soirées beaucoup moins guindées. Là, en l'occurrence, ça promettait d'être la seconde option. Et elle n'y était absolument pas contre.

Posant une main légère sur le bras de Gabriel qui n'était pas blessé, Catalina le couvait d'un regard enjôleur.

« Je vois bien, en effet. J'aime beaucoup les héros, par ailleurs... »

La veuve sourit, illuminant son regard d'une lueur coquine. Sa main glissa le long du bras du flic, venant se glisser dans sa main à lui et elle le fit se tourner face à elle.

« J'espère que mon héros n'est pas trop mal en point. Je m'en voudrais vraiment beaucoup sinon. Ce serait à cause de moi qu'il ne pourrait plus... Satisfaire les demoiselles en détresse. »

Délicieux, ce jeu de séduction, alors que la fin est plus ou moins connue d'avance. Mais, la conquête trop facile, c'est comme la chasse dans un supermarché. Il n'y a aucun plaisir à en retirer. Aucun prestige. Et même si Gabriel lui plaisait énormément, Catalina ne s'avouait pas vaincue facilement.

Ses doigts s'échappèrent de ceux du policier, et vinrent effleurer sa joue dans une caresse aussi légère que le battement d'aile d'un papillon. Elle se détourna bien vite par la suite, s'occupant de prendre un second verre dans un des placards de l'appartement (après en avoir fouillé trois) et de venir se verser un peu de liqueur ambrée.

Portant le récipient translucide à ses lèvres, elle darda sur le blond un regard de braise, et son sourire malicieux releva le coin de ses lèvres, creusant deux petites et délicates fossettes sur ses joues.

« Tu as besoin de quelque chose en particulier ? Ton infirmière à domicile est à ta disposition... »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mercredi 10 septembre 2014, 17:50:18
Il adorait voir ce genre de regard, un regard à la fois enjôleur et séduit… vous savez, ce genre de regards avec ce fond de lubricité au fon de la pupille. Mis il y avait mieux encore à voir, car comme si elle s'attendait à ce qu'il réagisse de la sorte, elle rit et augmenta son décolleté… voilà qui était mieux. Mais si c'était décolletable comme ça, déjà, peut être l'était-ce encore plus ? Il devait peut être regarder ça de plus près…

La séduction qui s'opérait entre eux était particulière, parce que le sujet de celle-ci était lié à un domaine qui pour Gabriel était couru d'avance… aussi, il ne se posa pas la moindre question, il se contenta de se dire qu'il pouvait bien jouer un peu ce jeu, ça lui changerait beaucoup de d'habitude. Et elle en valait la peine, non ? IL regarda la jeune femme avec une lueur d'intérêt dans le regard alors qu'il  serrait doucement la main dans sienne… IL ne comptait pas ne rien faire, il comptait juste  la jouer aussi fine qu'elle… même si la finesse, c'était pas forcément son truc…

Il attendit qu'elle revienne après avoir trouvé un verre pour boire avec lui. Le blond en profita d'ailleurs pour se resservir un coup, dans un verre cette fois, alors qu'il voyait les petites fossettes se creuser de part et d'autres de sa bouche. Il regarda la jeune femme et lui sourit. C'était carrément craquant, ces petites fossettes toutes mignonnettes… il s'emùpara de son verre doucement et le lui ôta pour dessiner du doigts ses deux jolies fossettes toutes mignonnes…

« A vraie dire, je me suis rendu compte d'une chose il n'y a pas deux minutes... »

Il sourit et agrandit « en douce » son décolleté encore un peu. Déjà que c'était pigeonnant, mais alors maintenant, comme ça… comme ça en fait, ce n'était plus la même chose… c'était complètement autre chose et doucement, il se glissa dans son dos pour aller caresser ses reins. Il regarda la jeune femme et doucement, il lui murmura un petit mot au creux des oreilles.

« Mais je n'ai pas été le seul à être blessé… et je ne voudrai pas une infirmière en mauvais état... »

Doucement, il  glissa vers le sol et posa une de ses mains sur le mollet droit de la jeune femme, ménageant son bras blessé, il le laissait pendre à son côté… il remonta le long de la jambe, laissant ses doigts courir le long du galbe des muscles depuis presque la cheville jusqu'en haut de la cuisse.

« Je me souviens… de ces belles jambes fuselées… couvertes d'ecchymoses, continuant comme ça depuis les cuisses… jusqu'aux reins… il faudrait peut être y appliquer de la pommade... »

Il cessa le contact physique pour lequel il n'avait pas utilisé d'électricité. Il s'était contenté de la frôler avant de finalement lui caresser la joue.

« Mais si tu tiens tant que cela à te rendre utile, je crois qu'il faudrait que je te signale quelques petites choses… mais avant tout, tu permets que je vérifie si la tenue est bien aux normes ? »

Il sourit, un peu goguenard alors qu'il glissait sa main sur sa cuisse et passait sous la robe pour  aller caresser doucement la peau sous l'attache du porte-jarretelle…

« Hum, voilà qui n'est pas mal du tout, une infirmière sexy en bonne et due forme... »

Il lui fit un clin d'œil avant de finalement de rire doucement.

« Tu sais, je crois que je devrai me reposer, mais je pense que j'aurai besoin d'aide pour m'allonger, tu pourrais m'y aider, s'il te plait ? ET j'ai un problème de raideur dans le bas ventre qui m'importune depuis ce matin…. »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 11 septembre 2014, 22:19:37
Qu'il caresse ainsi ses fossettes fit pétiller les yeux de la brune qui lui laissa bien volontiers son verre. Décidément, cette prise d'otage avait eu de bons côtés.

« A vraie dire, je me suis rendu compte d'une chose il n'y a pas deux minutes... »

Le sourire qu'il arborait était contagieux, et Catalina se surprit à avoir le même tandis qu'il glissait ses doigts contre son décolleté, faisant sauter quelques agrafes en plus. Elle ferma les yeux quand il passa derrière elle, et se mordilla la lèvre inférieur lorsqu'elle le sentit caresser son corps à travers la robe dont le tissu épousait parfaitement ses formes. Elle frissonna quand il susurra quelques mots à son oreille.

« Mais je n'ai pas été le seul à être blessé… et je ne voudrai pas une infirmière en mauvais état... »

Penchant doucement la tête, pour lui laisser libre accès à son cou, elle sourit de plus belle et le laissa continuer à explorer son corps de ses doigts agiles. Elle frissonnait de nouveau quand elle le sentit remonter sa main le long de sa jambes, et ne résista pas à l'envie d'écarter doucement les cuisses, le laissant palper à loisir.

« Je me souviens… de ces belles jambes fuselées… couvertes d'ecchymoses, continuant comme ça depuis les cuisses… jusqu'aux reins… il faudrait peut être y appliquer de la pommade... »

A cette idée, le sourire de Catalina s'agrandit, et elle ne put réprimer un petit soupir déçu quand il cessa ses attouchements délicats, mais elle tourna la tête pour darder sur lui un regard mutin. Les idées qui fusaient dans sa tête, toutes pas très catholiques, n'étaient pas bien difficiles à imaginer.

« Mais si tu tiens tant que cela à te rendre utile, je crois qu'il faudrait que je te signale quelques petites choses… mais avant tout, tu permets que je vérifie si la tenue est bien aux normes ? »

Elle rit doucement, et la pointe de sa langue vint humecter ses lèvres alors qu'il posait ses doigts sur le sous-vêtement particulier, réputé très sexy pour les hommes.

« Hum, voilà qui n'est pas mal du tout, une infirmière sexy en bonne et due forme... »

Un haussement de sourcil lui répliqua, l'air de dire "Evidemment, je ne fais pas les choses à moitié, mais elle ne dit rien, se contentant de se tourner vers lui quand il cessa ses caresses.

« Tu sais, je crois que je devrai me reposer, mais je pense que j'aurai besoin d'aide pour m'allonger, tu pourrais m'y aider, s'il te plait ? Et j'ai un problème de raideur dans le bas ventre qui m'importune depuis ce matin… »

Un air professionnel, et également coquin, sur le visage, elle l'aida à se redresser, et le conduisit vers la chambre qu'elle avait aperçu en entrant.

« Aucun problème. Je suis là pour ça. »

Sa voix de velours était chaude et sensuelle. Un appel à la luxure, rien de moins. Mais ce jeu de rôle était bien destiné à cette finalité, n'est-ce pas ?

Passant un bras autour de sa taille, du côté où il n'était pas blessé, elle l'accompagna jusqu'au lit. Elle repoussa les draps d'une main, et le fit s'asseoir sur le matelas, avant de se pencher sur lui, lui offrant une vue avantageuse sur son décolleté. Il pouvait presque toucher sa peau nue du bout des lèvres quand elle le poussa doucement à s'allonger.

« Voyons cette raideur alors. »

Un air gourmand plaqué sur ses traits, la brune entreprit de déshabiller agilement son patient improvisé. Ses doigts légers glissaient sur la peau du blessé avec douceur, et en moins de temps qu'il n'en faudrait pour le penser, elle l'avait débarrassé du tissu superflu, libérant son organe mâle effectivement raidi, gorgé de sang.

« Mmm, c'est en effet un sacré problème que vous avez là. Je vais essayer de vous soulager, si vous le permettez... »

Son regard s'était assombri par le désir alors qu'elle s'accroupit sur le sol, restant à la hauteur de cette raideur qui semblait palpiter dès qu'elle y posa les doigts. Sa main se fit ferme, experte, alors qu'elle massait la rigidité de la chair. Elle se pencha un peu plus, et le bout de ses lèvres embrassa l'extrémité violacée de l'engin, suivant le contour du gland du bout de la langue avant de descendre plus au sud, et d'humidifier la hampe avec de petits coups de langue.

Bientôt, alors qu'elle dardait sur l'homme un regard malicieux, elle vint enserrer l'intégralité du gland entre ses lèvres, ses mains assurant une prise ferme sur le reste de la verge, la serrant tout en coulissant de haut en bas. Sa bouche aspira le gland, et le fit pénétrer plus profondément, venant goûter également le reste de l'organe, jusqu'à ce que l'extrémité vienne taper contre sa gorge. Sans cesser d'aspirer, Catalina fit également coulisser sa tête sur le sexe tendu, ses doigts venant maintenant s'occuper avec chaleur des testicules qui étaient pour l'instant délaissées. Elle les massa, tendrement, en accélérant un peu le rythme de ses lèvres qui s'affairaient sur la virilité.

Sans cesser ses soins, la brune posait sur le blond un regard enfiévré, observant la moindre de ses réactions, cherchant la meilleure manière de lui procurer du plaisir.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le samedi 13 septembre 2014, 20:51:39
Son petit air qui collait à son minois charmant était amusant, un air qui en disait particulièrement long sur le jeu qui était clairement sur la dernière phase, celle qui faisait en sorte qu'ils allaient se retrouver dans le même lit pour danser à l'horizontal, vous vous en doutez bien ! En effet, il semblait clair pour les deux que ce serait dans cette pièce que se finirait la journée, ou du moins, cette partie de la journée ! Il lui sourit alors qu'elle l'asseyait au bord du lit, se penchant sur elle au point qu'il avait – dieu merci ! -  sa tête entre les deux parties de sa poitrine plus que  généreuse ! Il soupira de plaisir à cette impression…

Elle s'intéressa alors d'un air gourmand à ce qu'il avait entre les jambes qui avait la rigidité d'une brique tant il était prêt… oui, la comparaison était un peu particulièrement, mais chut ! Il regarda la jeune femme qui lui avait retiré les diverses barrières de tissu entre elle et une jolie gourmandise fourrée à la crème gorgée de sang. Il sourit devant sa réplique… il la regarda faire, apparemment emprisonnée par le désir, à la hauteur de l'objet de son envie…

Il sourit et frémit en sentant les doigts de la jeune femme entourant lentement la verge des doigts, serrant et commençant une simple masturbation… et s'il trouvait cela agréable, il fallait bien avouer qu'il espérait beaucoup plus !  En effet, il espérait davantage… une pipe par exemple, ce serait un bon début. Vulgaire, le Gabriel ? Non, ce n'était pas son genre voyons… certes, se faire branler était bien, mais avec la bouche ou les seins (et les deux chez les femmes avec peu de cou et une bouche proche des seins…).

Elle vint offrir des baiser sur sa verge, des coups de langue…. Il avait une vue plongeante dans son décolleté, décolleté qui, soit dit en passant, lui descendait quasiment jusqu'au nombril par ses soins, révélant l'absence de soutien gorge...miam, en somme…. Il frissonna en sentant les lèvres  de la jeune femme se poser sur le sommet du gland, jouant  de la langue, jouer tout du long, jusqu'à finalement le prendre en bouche… et en parlant de prendre en bouche, il ne s'agissait pas de tout, juste de prendre en bouche le gland, ce qui était un excellent début, non ? IL frémit d'un plaisir non dissimulé alors qu'elle plongeait son regard dans le sien… un regard particulièrement chaud, particulièrement sexy, et, ne le nions pas, un rien salope, ce qui n'était pas déplaisant !

Puis elle se mit à prendre le reste en bouche, progressivement pour que la jeune femme finisse par lui offrir de magnifiques gorges profondes… en effet, il sentait sa verge venir heurter sa gorge, mieux encore, jouer contre sa glotte avec amusement sans que rien ne puise dissimuler les bruits que bon nombre auraient trouvé obscènes mais qui allaient de paire avec ce plaisir en particulier… Gabriel adorait les gorges profondes et plus encore, il aimait les provoquer,les rendre un peu plus « brutales ». Il sourit et alors, il  passa doucement la main derrière la tête de la jeune femme, la saisissant par les cheveux pour lui bloquer celle-ci, l'empêcher de reculer, de se dérober d'une certaine manière…

« Putain c'est bon... mais tu vas voir, j'ai mieux... »

Il commença à donner des coup de pbassin dans sa bouche, d'abord lents, mesurés, n'allant pas au fond des choses… il allait plus loin au fur et à mesure jusqu'à finalement que ses corones viennent heurter son menton, son gland venant jouer contre sa glotte, la caresser ou la frapper, si l'on peut dire… il gémissait lui même de plaisir. Il souriait  benoîtement de plaisir alors qu'il continuait à jouer comme ça. Parfois, il allait au fond et y restait un moment, avant de reprendre les mouvements. Et finalement, il se retira de là pour se pencher et l'embrasser, introduisant sans langue dans sa bouche pour aller chercher la sienne dans un baiser fougueux… Puis, doucement, il lui murmura, comme une confidence d'un amant à son amante.

« Il y a  deux choses que j'aime par dessus tout, ma chère… que tu réussisses à prendre en bouche non seulement ma queue, mais les couilles avec…. Et que tu me branles avec tes seins… »

Il avait une lueur lubrique dans le regard alors qu'il rajoutait.

« Si tu exauces mes fantasmes, belle infirmière, je te jure de t'offrir plus d'orgamse aujourd'hui que tu n'en as eu dans le reste de ta vie... »

Il rajouta :

« Si tu ne me crois pas… essaye et tu vas voir... »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le dimanche 09 novembre 2014, 20:18:47
Coquine, Catalina le laissait faire. Elle aimait ça, le sentir aller et venir entre ses lèvres. Même si elle ne bougeait pas sa tête, qu'elle le laissait imposer son rythme, sa langue ne cessait de s'activer. Elle ferma les yeux un moment, savourant la dureté de ce membre entre ses lèvres. Elle ne se plaignait pas de se sentir impuissante sous sa poigne. Elle était totalement consentante. Elle retenait les haut-le-coeurs qui venaient, naturellement, dès que le gland tapait un peu trop contre sa gorge, et adaptait sa posture du mieux qu'elle le pouvait pour les empêcher, et pour l'aspirer plus encore entre ses lèvres serrées, arrondies autour de la verge dressée.

Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux, mais la brune rayonnait de désir. C'était juste une réaction physique à l'intrusion jusqu'au fond de sa gorge. Elle remonta lentement le long de son corps quand il en donna l'impulsion, et répondit à son baiser avec une fougue égale à la sienne, sa langue jouant avec malice contre sa jumelle.

Ses fantasmes confiés, le blond put voir que sa compagne avait un éclat de défi dans les yeux.

« Mm, vraiment ? Intéressant. »

Elle sourit, et revint à son point de départ, parsemant de baiser le corps du policier sur le lit, jusqu'à atteindre sa destination. Elle aimait les défis. Elle aimait par-dessus tout les relever. Gagner. L'échec n'était même pas envisageable. Surtout là, dans un domaine où elle était, somme toute, plutôt bien expérimentée.

Elle reprit le gland violacé entre ses lèvres, aspirant la chair avec un regard coquin. Elle reprit la masturbation orale qu'elle lui offrait, venant une nouvelle fois accueillir la pointe de son vît au fond de sa gorge, et répéta ces mouvements un moment, pour habituer sa gorge à sa présence.

Quand elle se sentit prête, ses mains laissèrent les bourses qu'elles massaient avec sensualité, et ses lèvres happèrent doucement ces dernières, cherchant à les aspirer comme elle le faisait pour l'organe rigide. Elle ne réussit pas du premier coup. Elle fit plusieurs essais, et finit par réussir à atteindre son but. Elle laissa sa langue jouer un instant avec, avant de les relâcher, et de dégager sa gorge, reprenant son souffle. Ses joues étaient rouges. Ses yeux, brillants. Elle sourit, malicieuse, et dégagea légèrement sa poitrine en se penchant un peu vers Gabriel. Elle enserra la verge entre ses deux globes de chair rebondis, et la fit coulisser doucement. L'engin était plus que bien lubrifié. Presque autant que l'entrejambe de la Veuve à cet instant, et ça glissa naturellement alors qu'elle serrait ses mains autour de sa poitrine pour ne pas le laisser échapper.

Ayant reprit son souffle, elle pencha la tête en avant, et suçota le gland turgescent dès lors qu'il arrivait à hauteur de ses lèvres, sa langue glissant contre le frein, cherchant à lui procurer un grand plaisir.

« Alors... Es-tu... Satisfait ? Susurra-t-elle entre deux lapement sur le gland. »

Elle faisait vraiment une infirmière très cochonne. Plus le temps passait, et moins elle n'avait de retenue. Dire qu'au départ, elle avait "simplement" été prise en otage par des gangsters...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mardi 11 novembre 2014, 00:20:24
Si on pouvait donner un bon point à Catalina, c'était sur le fait qu'elle n'avait rien d'être prude… en effet, elle semblait plutôt à son aise quand il prenait les choses en main, comme s'il n'était pas forcément le plus doux ou le plus délicat. En effet, il imaginait bien que les femmes n'aimaient pas toutes qu'on pénètre ainsi leur cavité buccale et qu'on ne prenne pas de gant, que l'on aille ainsi titiller leur glotte au fur et à mesure des coups de reins… mais hormis les réactions logique, du corps il avait pu lire dans ses yeux  son envie au moins aussi présente que la sienne. Et plus encore, il y avait dans ses yeux une jolie lueur… vous savez, ces petites lueurs de défi qui n'augurait que davantage de jeu…

Elle semblait prête à tout affronter…. Oui, vraiment, tels étaient ses fantasmes et tels étaient ceux qu'il espérait bien voir se réaliser… et ce n'était apparemment pas impossible que de se dire qu'elle allait tenter sa chance...et elle tenta sa chance… pas qu'un peu… elle se mit à le faire, ou du moins, à tenter de tout prendre en bouche… ah !  Ce n'était pas facile, n'est-ce pas ! IL sourit devant a peine qu'elle avait à y arriver. En effet, elle n'avait pas une bouche particulièrement grande, donc forcément, elle devait réussir à jouer sur l'espace dont elle pouvait se servir, ce qui n'était pas facile…

Et chacune de ses tentatives étaient quand même drôlement bonne… les femmes étaient rapides à perdre pied avec Gabrile, et tant mieux, car il n'était pas le plus endurant des hommes non plus… quoiqu'il n'ait pas à se plaindre à ce niveau là… il lui sourit et l'embrassa de nouveau alors qu'elle finissait par tout relacher, toussant et reprenant ses esprits… oui, ça étouffait pas mal, tout le matos dans la bouche !

Et une fois la première chose faite… elle s'attaqua à la deuxième… vous pensez si ça vint tout seul cette histoire, avec toute la salive que cela avait amenée, en plus de celle qui s'était glissée contre la verge pour la rendre glissante à souhait contre ses globes de chair ! Et putain ce que c'était bon ! IL soupira et gémit même d'aise… de plaisir, se disant qu'il serait bien foutu de craquer très vite… il sourit et gémit même quand elle y rajouta la langue…

« Tu parles si je suis satisfait… Tu suces et tu branles comme une putain de déesse... »

Il sourit et ajouta, sur un ton qui était plus fait pour amuser que pour vexer, mais ça pouvait passer mal…

« J'aime bien tirer avant de contrôler les papiers d'identité, mais je suis pas co,vaincu que t'apprécies des masses que je dise le nom d'une autre au moment de gicler... »

Ouais, la grande, grande, grande classe, vous le reconnaîtrez ! Mais voilà gabriel dans son état actuel :  c'était son côté connard et débile des jours blessés, que voulez-vous… il sourit et la regarda alors qu'il venait doucement poser la main sur sa joue avant de venir un peu essuyer les reliquats de larme dues aux groges profondes et plus, d'ailleurs…

« T'aime les défis apparemment… bah j'en ai un autre, de défi, si tu veux… enfin… si tu te sens de remettre e jeu les orgasmes que je te dois... »

Il sourit et s'approcha alors pour venir l'embrasser à pleine bouche.

« J'ai plein d'idées en fait… plein de choses que j'adorerai faire… mais chaque chose en son temps… d'abord, je t'en prie, termine ça et choisis où tu préfères que je jouisse... »

Il lui avait susurré ça en lui mordillant l'oreille...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 13 novembre 2014, 16:52:12
La veuve était satisfaite de voir à quel point elle se débrouillait bien. L'entendre le lui confirmer était encore plus satisfaisant. Elle léchait avec application le gland lorsqu'il arrivait à hauteur de ses lèvres, et son expression était des plus coquines. Elle rit doucement, serrant un peu plus sa poitrine contre l'organe. Elle ferma à demi les yeux dès lors qu'il essuya les larmes qui avaient perlées au coin de ses yeux.

Elle releva la tête lorsqu'il parla de défi, continuant de le branler avec sa main, fermement serrée autour de la lance de chair. Répondant au baiser avec une passion non feinte, elle hocha la tête, amusée. Excitée aussi.

« Bien sûr que j'accepte. A une condition... »

Elle sourit, malicieuse, et suçota un peu le gland, avant d'énoncer sa condition.

« Je veux un avant-goût... Pour m'assurer que tu ne bluff pas, mh ? »

Elle reprit un peu le gland entre ses lèvres, aspirant la peau et laissant sa langue le caresser, avant de le laisser ressortir avec un petit bruit de succion.

« Cela étant... J'aimerais te goûter, avant toute chose. »

Son sourire se fit plus malicieux, et elle le replongea entre ses lèvres, le faisant buter contre sa gorge. Elle mit tout son cœur à le sucer, prenant un rythme de plus en plus rapide au fur et à mesure que le temps passait, serrant une main autour de la base du sexe, et son autre main continuant à flatter les testicules encore pleines pour le moment.

Elle ferma les yeux, véritablement passionnée par ce qu'elle faisait, tout en sentant que son entrejambe était bel et bien moite à présent. Elle relâchait parfois la pression de ses lèvres pour faire glisser l'engin entre ses seins, reprenant juste le gland en bouche, sans jamais cesser d'émettre de petits gémissements étouffés.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le dimanche 23 novembre 2014, 21:16:15
Dire que la belle brune se débrouillait bien aurait été bien en dessous de ses mérites… elle suçait comme une déesse, ouais ! Il savait qu'elle lui ferait cracher tout ce qu'il aurait sans la moindre difficulté !  IL sourit à cette idée et lui caressa la joue où il pouvait sentir l'enflement de sa ferge qu'elle titillait, excitait, mettait dans tous ses états comme une véritable professionnelle… ça aussi il le tut, d'abord pour ne pas la vexer, mais en plus parce qu'il comptait faire en sorte de le faire jusqu'à ce qu'il se sente tirer à blanc… ouais, c'était bien son intention… qitte à se faire mal en utilisant le bras invalidé par la balle… il soupira d'aise en regardant la jeune femme s'appliquer, ne serait-ce que du coup de poignet impeccable alors qu'elle lui répondait avant de reprendre sa tâche. Tâche qui semblait bien l'accaparer et lui plaire s'il se basait sur les gémissements étouffés.  De là où il était, il ne pouvait voir l'intimité de la jeune femme, mais il aurait juré qu'elle était complètement trempée… à force de gémir… à croire qu'elle prenait autant de plaisir à sucer qu'à être prise…

IL lui sourit alors qu'elle réclamait un avant goût… normal en fait pendant qu'il arrivait encore à penser à autre chose qu'à la question guère importante de « où jouir ? » ouep, elle avait mérité un avant goût, et elle l'aurait… d'une certaine manière, il venait d'avoir une idée que certains qualifieraient d'idiote, mais il en avait rien à foutre… tiens en parlant de foutre justement… il sentait la pression délicieusement monter alors qu'elle continuait son office, se rappelant des différentes envies qu'il avait exprimé, jouant avec sa poitrine autant qu'avec sa bouche, jouant avec une maestria peu souvent rencontrée par Gabriel des charmes de son corps…

« Et bah crois moi, me goûter tu vas pouvoir sous peu, je te le promets ! »

Il lui sourit et se mit à donner quelques coups de reins, tantôt brusques tantôt pas du tout… il variait et l'accompagnait pour davantage de plaisir, même si elle se débrouillait déjà fort bien toute seule à ce niveau là… finalement sentant qu'il ne pourrait se retenir bien plus longtemps de plaisir, alors qu'un long frisson le parcourait tout le long de l'achine, il finit par faire ce qu'il avait prévu… tenant la jeune femme d'une main par les cheveux, sans forcer, il envoya un dernier puissant coup de rein qu'il accompagna de la dose bien précise d'électricité pour mettre en joie tout son bas ventre, suffisamment pour qu'elle obtienne jouissance alors que lui même remplissait sa cavité buccale cde cechaud fluide corporel masculin qu'est le le sperme, ne visant pas sa gorge, mais bine sa bouche, et même, il en prit l'initiative, ses lèvres

Il savourait le simple plaisir de la voir ainsi, un peu de semence sur les lèvres, un peu de son plaisir sur les jolies lèvres carmines… et finalement il lui caresser la joue avec un léger sourire amusé… et complètement ravi…

« Alors, mon goût te plait ou pas ? C'est une cuvée juste pour toi… et j'espère bien t'en resservir plusieurs tournée ma belle... »

… merde. Elle ne lui avait toujouprs pas donné son prénom… chiant comme détail… il soupira un peu de dépit et se contenta donc d'estimer que sa phras était terminée… il n'allait pas le lui redemander… que si jamais elle l'ait dit… bah qu'il ait pas l'air d'un con… i lui sourit avant de rajouter, sur un ton amusé.

« Et niveau orgasme, tu pense que le jeu en vaut la chandelle ? Parce que sinon, j'ai une autre idée…. »

Il sembla hésiter un peu mais on pouvait lire dans ses yeu qu'il disait mrde à l'envie de lui faire deviner pour le lui dire…

« .. je me disais qu'après ça, tu pourrais bien me donner un de tes fantasmes à réaliser… que je sois pas le seul à prendre un pied complet... »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 27 novembre 2014, 19:52:37
Elle gémissait des sons étouffés, à mesure que la verge emplissait sa gorge délicate. Dire que la veuve n'aimait pas ça serait mentir. Son regard brillait de plaisir, son corps la trahissait. Elle était plus que prête à l'accueillir en elle. Ses tétons étaient douloureusement érigés sous la robe plus qu'ouverte sur son buste. Et elle mettait un tel entrain à satisfaire son "patient", qu'on ne pouvait émettre de doutes quant à son ressenti.

Il finit par venir en elle, lui faisant goûter sa semence avec générosité. Elle fut surprise de se sentir jouir également, ses reins prenant feu sous le désir, explosant en elle comme il explosait dans sa bouche. Lèvres grandes ouvertes, elle avalancheuse quelques gorgées, le reste atterrissant sur ses lèvres, coulant peu sur son menton. Elle sortit sa langue, allant ce qui coulait, et relâcha le drap qu'elle avait agrippé quand le plaisir l'avait dévastée.

« C'était... De ton fait ? S'étonna-t-elle. »

Elle se redressa, légèrement alanguie, et remontant sinueusement contre lui, ayant fini de nettoyer ses lèvres, et ayant également donner un dernier coup de langue sur le sexe apaisé.

« Tu peux m'appeler Catalina, lui souffla-t-elle à l'oreille. »

La veuve s'installa à califourchon sur lui, lui laissant le loisir de constater qu'elle avait ôté son sous-vêtement et qu'elle était trempée de plaisir.

« J'ai toujours été fascinée par les menottes je dois dire... On pourra les utiliser ? Sur toi, sur moi, ou même les deux ? »

Elle embrassa son cou, le mordillant doucement. Elle rajoutera aussi, sur le ton du secret :

« Je suis une fille qui n'est pas toujours très sage... »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le vendredi 28 novembre 2014, 15:01:52
Il sourit devant son incompréhension… oui, Gabriel était a...Elle gémissait des sons étouffés, à mesure que la verge emplissait sa gorge délicate. Dire que la veuve n'aimait ssez habitué à ce genre de réactions.. non pas qu'il utilise ses dons systématiquement, mais il fallait reconnaître que de jouir pendant qu'on taillait une pipe, y avait de quoi se poser de sacrés questions… ou alors on était un peu trop chaude pour réfléchir…

Il lui sourit alors qu'elle lapait les dernières gouttes de semence qui perlait de sa verge avant de se redresser. Bon, maintenant, il connaissait son prénom, c'était déjà ça. Mais c'était trop long, beaucoup trop long… bon, ce serait Catie. Ouais plus facile à retenir… il sourit et opina du chef, attendant qu'elle ait fini de se lécher les lèvres pour l'embrasser, juste lèvres à lèvres, il avait un certain dégout pour le goût du sperme… il lui sourit et lui caressa le visage…

Il la laissa s'installer sur ses genoux, nullement étonné par l'état d'échaudement de son intimité, après tout, il avait lui offert un orgasme… il lui sourit de nouveau, frissonnant alors qu'elle venait lui mordiller le cou en lui expliquant une fascination certaine pour les menottes… il eut un léger frisson d'excitation… il lui caressa les reins de son bras valide…

« Tsst… les vilaines filles devraient se rappeler qu'elles mériteraient la fessée, ou plus... »

Il lui sourit et la repoussa un peu pour lui saisir un sein à pleine main et le lui masser avec fermeté mais pas de violence…. Il commençait à se demander si en fait, les marques sur ses cuisses n'étaient pas dues à cette fâcheuse histoire, mais à ses envies personnelles… il ne put s'empêcher de cesser pour aller mettre une petite fessée, assez douce…

« Mais dis moi, tu sais, Catie, que tu suces comme une déesse ? En tout cas, la question, c'est :est-ce qu'il faut que je la force à se mettre en position pour une punition est-ce que je passe directement aux menottes ? »

Mais brutalement il changea de sujet pour lui lancer avec un certain côté amusé, mais si elle le fixait dans les yeux, elle saurait qu'il était honnête alors qu'il lui lançait :

« Dis-toi, pour le coup de l'orgasme, qu'il ya pas d'explications et que je suis exceptionnel… que tu eserais capable de jouir jusqu'à ce qu'il ne te reste plus la moindre goutte de mouille entre tes cuisses… la question, maintenant, c'est savoir si tu vas me forcer à en arriver là, où si tu préfères abandonner ? »

Il détournait la conversation en parlant de défi, parce qu'il avait vu ce que les défuis donnaient...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le mardi 27 janvier 2015, 23:59:34
Catalina avait un sourire amusé sur les lèvres. Elle était fascinée par le flic à présent. Savoir ce qu'il était capable de faire... Même si elle ignorait comment il l'avait fait... Ça la rendait toute chose. Presque autant que l'orgasme qu'il venait de lui offrir. Elle secoua doucement la tête quand il la défia à mots à peine couverts. Elle ne résistait pas à un défi, il devait l'avoir compris.

« Je n'abandonne jamais... »

Elle lui sourit, et ondule doucement contre lui. Elle fait attention, cependant, à ne pas brusquer son bras blessé. Mais ça ne l'empêche pas, malgré tout, de montrer tout son désir au policier. Ses seins qui pointaient, son intimité brûlante, son regard brillant... Elle meurs d'envie de se laisser aller avec lui.

« Et je ne suis pas contre un peu de... Mh... Brusquerie... De temps à autres. Viens donc me forcer, Ô Grand Défenseur de la Loi... »

Et pour achever de le convaincre de son sérieux, la belle veuve vient l'embrasser dans le cou avec douceur. Avec ferveur. Ses mains viennent doucement le masser, prenant garde à sa blessure. Elle l'effleure partout, et joue avec ses muscles, comme une groupie fascinée. Elle se frotte un peu plus contre lui, ses seins venant se presser contre son torse. Elle gémit même doucement, impatiente de voir la suite des événements.

Puis d'un coup, elle se redresse. Elle sourit avec amusement à Gabriel, et se lève, le quittant momentanément. Un doigt posé sur les lèvres, elle lui fait signe de ne pas protester, qu'elle revient dans un instant. Et elle revient vite, en effet, mais pas les mains vides. Elle a récupéré le nécessaire du flic, à savoir son arme, mais surtout, ses menottes. Elle joue avec ces dernières d'ailleurs, d'un doigt négligeant. Elle revient s'installer sur lui, posant l'arme à côté, mais gardant les menottes à la main. Elle continue de jouer avec.

« Mais revenons aux menottes... Tu veux me mettre en état d'arrestation ? »

Elle sourit, le regard pétillant de malice. Et de défi, aussi. Pour répondre à la provocation...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le mercredi 28 janvier 2015, 00:41:07
Oh oui, si on partait sur les défis, alors on était  bien partis, ni l'un ni l'autre n'était du genre à abandonner face à un défi, elle le disait elle même, non ? Il eut un léger sourire alors qu'elle se montrait féline et câline avec il, un peu comme une demande de plus… non, pas un peu comme, c'état complètement une réclamation de plus, non ? Il vaait vu son intimité suinter, il savait ce qu'elle désirait plus, et mieux encore, qu'elle voulait le faire attachée par de vraies menottes… les siennes… et si elle désirait un peu de brusquerie… oh, il pouvait lui offrir bien plus que cela…

Frissonnant lui-même d'une envie renouvelée sous ses caresses et ses baisers, sa manière presque admirative qu'elle avait d'observer son corps, de l'effleurer… il sentait les pointes de chair délicieusement dressées au bout de ses seins… il laissa sa main errer jusqu'à en caresser un, revenant mettre sa main sans son dos… avant de la voir se lever d'un seul coup… que faisait-elle au juste ? Il ne comprenait pas ;.. en tout cas, si elle comptait le frustrer, elle ne savait opas à quoi elle s'exposait… heureusement, ce n'était pas son but, puisqu'elle revint assez vite  avec ses affaires, il regarda ce qu'elle avait amené : son arme, ses menottes… et il se dit qu'en effet, il y avait moyen de bien s'amuser… il lui sourit et saisit la jeune femme par le poignet pour lui faire une clé de bras, la plaquant contre le lit, allongée…. Il lui passa le premier bracelet, répétant l'opération pour lui emprisonner complètement les poignets, serrant assez pour qu'elle ne puisse pas s'en défaire, sans pour autant lui entamer les chairs, ce n'était pas le but. Il se pencha sur elle, glssant ses ongles sur ses fesses, puis sur ses reins, griffant sans aucune gravité le dos de la jeune femme pour lui chuchoter à l'oreille, d'un ton doucereux ou pointait son envie du jeu…

« Oh, je ne sais pas si tu mérites que je m'occupe de toi… les vilaines filles, on ne leur offre pas ce qu'elles veulent… et on les punit... »

Il lui mordilla l'oreille et le cou avant de finalement ramener le bras en arrière et lui administrer une magnifique fessée… il recommença, en ensuite, il glissa ses doigts entre ses cuises effleurant son antre intime avant de remonter ses doigts entre ses fesses, caressant son œillet. Ce ne fut qu'après avoir fait cela qu'il recommença à donner une nouvelle fessée… il cessa tout contact et prit, au sol, malgré la douleur de son bras, un t-shirt, il ne savait pas s'il était à laver ou s'il était propre et le passa devant le visage de la jeune femme pour  venir le nouer devant son visage, lui bandant de fait les yeux…

« On va punir les vilaines filles… et c'est le rôle des policiers, non ? »

Il lui remit une petite fessée avant de la laisser ainsi, allant chercher dans ses affaires deux autres ustensiles :  sa plaque, qui tenait par une broche sur sa veste, il la détacha et une autre paire de menottes, sa paire de rechanges, qu'il gardait toujours en cas de besoin et c'est armé de ces deux accessoires qu'il revint dans la pièce… il passa la première menotte à sa cheville, ne serrant qu'à peine, pas le choix, que voulez-vous… et détacha l'un des poignets de la jeune femme pour lier en fait le poignet gauche à la cheville gauche et recommença avec l'autre paire pour que le côté droit soit identique…

« Voilà, maintenant on va commencer... »

IL glissa son bras sous elle pour la forcer à  se redresser, la forcer à se placer à genoux sur le lit alors qu'il prenait son badge et pinçait sans percer, entre les deux parties de la broche, sa plaque au bout de l'un de ses mamelons… puis il vérifia que son arme était complètement déchargée, enleva le chargeur et fit attention à ce que la chambre soit vide avant de placer le canon de métal froid contre son entrecuisse, l'einserant lentement...

« Tu es en état d'arrestation, tu as le doit de garder le silence, tout ce que tu pourras dire sera retenue contre toi pendant que je chatierai la vilaine fille... »

Il releva la parie la plus longue du T-shirt qui lui tombait devant les yeux pour l'embrasser avec fougue avant de  la contourner et lui mettre dans la main une capote hors de son emballage, qu'elle allait devoir lui enfiler sur la verge qu'il utilisait pour taquiner ses doigts… un petite défi…

« Complètement à ma merci, comme une criminelle livrée à son bourreau... »

Il lui bécota les doigts, les mordillant...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le vendredi 30 janvier 2015, 12:12:48
Elle ne chercha pas à résister quand il la plaqua contre le lit. La sensation du métal contre ses poignets était grisante. Elle frissonna de plus belle en le sentant la caresser du bout des ongles, la griffant avec douceur. Un petit gémissement lui échappa, alors qu'elle tentait de le voir, du coin de l’œil. Elle se cabra quand il vint la mordiller doucement dans le cou, et un sourire se glissa sur ses lèvres. Elle n'eut pas le temps de répliquer cela dit, puisqu'il claqua ses fesses. Elle gémit à nouveau, appréciant ce traitement. Tout comme elle appréciait la main qui glissait entre ses cuisses, entre ses fesses... La nouvelle fessée la fit soupirer une nouvelle fois. Elle faillit gémir de frustration quand il n'y eut plus de contact entre eux, mais elle se mordilla la lèvre à la place, le voyant prendre un tee-shirt pour lui masquer la vue. Elle resta docile pendant qu'il l'attachait comme un bandeau, et émit un petit bruit de gorge à sa phrase. Oh oui, c'est le rôle des policiers de punir les criminelles.

Heureusement, d'ailleurs, qu'il ignorait tout du passé de la belle veuve, parce que sinon, ça ne serait plus un jeu. Quand il s'éloigna à nouveau, Catalina tendit l'oreille pour tenter de deviner ce qu'il faisait. Elle eut la surprise de le sentir entraver une cheville également, et de libérer un poignet pour l'accrocher avec. Et pareillement pour le second côté. Un petit gloussement lui échappa.

Elle se laissa redresser à genoux, et sursauta quand il tritura son sein avec quelque chose de froid, de métallique. Le pincement la surpris, mais elle gémit plutôt que de crier. Elle se mordilla la lèvre, se demandant avec impatience ce qui allait suivre. Elle sursauta de nouveau quand quelque chose de froid glissa entre ses cuisses. Un autre gémissement lui échappa, alors qu'elle finissait par deviner qu'il s'agissait du canon d'une arme à feu. Un délicieux frisson courut le long de son corps.

Répondant au baiser qu'il lui offrit avec passion, la veuve se sentait impatiente. Son intimité trempée, dans laquelle était glissé le canon de l'arme, en témoignait, tout comme la pointe de ses seins qui s'était érigée. Elle fut surprise de sentir qu'il glissait quelque chose entre ses doigts, et un sourire naquit sur ses lèvres en se rendant compte de ce que c'était.

« Oooh, oui. Mmmm. »

Elle sentait également le gland qui frottait contre ses doigts, et avec un petit gloussement, elle se mit à la tâche. C'était périlleux, d'enfiler un préservatif avec les mains liées ainsi. Mais, malgré quelques essais infructueux, la belle brune réussit sa manœuvre, et finit par dérouler le latex lubrifié sur le sexe érigé.

« Tadaam... »

Elle sourit, sous le tee-shirt qui était retombé, et se trémoussa. L'arme en elle la faisait mouiller de plus belle, et elle ne tenait plus.

« Monsieur le bourreau, venez exécutez votre sentence... Mmmh... »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le vendredi 30 janvier 2015, 12:35:30
Le baiser fut passionné alors qu'il se demandait par quel bout la croquer… il lui sourit et lui caressa un court instant le sein, jouant avec le badge qui lui pinçait le mamelon, tirant dessus avec douceur alors qu'il laisait la jeune femme se montrer plutôt habile de ses doigts… en effet, même s'il crut qu'elle allait laisser tomber la capite à plusieurs reprises, il la sentit finalement réussir à metre la capote sur la verge tendue et lui mit une bonne fessée avant de s’exclamer sur un ton mi-taquin mi-sérieux !

« Et bien, tu en as mis du temps ! Vilaine fille ! »

Il lui remit une bonne fessée sur chaque fesse, avec fort peu de douceur, mais en même temps, la situation n'appelait pas à la douceur… il se pencha sur elle, et mordilla sa nuque, tachant de la rocuher le moins possible, en se doutant bien qu'ainsi, elle ne saurait pas d'où viendrait la prochaine punition… saisissant son sein et faisant rouler le mamelon entre ses doigts et le lamena ainsi en silence pendant quelques instants avant d'ajouter…

« Oh ? Ne devrais-tu pas craindre ta punition ? Et pour toi ce sera monsieur l'agent…. Compris, vilaine fille ? »

Il lui gifla, pas trop fort, le sein avant de lui chuchoter à l'oreille sur le ton de la confidence.

« Sache qu'à tout moment, si tu me supplies de jouir, ej t'offrirais ta jouissance, la question, c'est combien tu pourras en encaisser avant de t'écrouler…. »

Il sourit avant de lui pincer le mamelon de nouveau et lui retirer le badge pour admirer le mamelon maltraité par celui-ci… oh, il ne défit pas l'attache, il se contenta de tirer sur le badge jusqu'à lacher le mamelon de son carcan métallique… il glissa un doigt sous le tissu pour aller entrer dans sa bouche et commencer des vas et viens avant de finalement lui flatter le flanc et lui lancer sur un ton amusé, mais impérieux.

« Tu as compris, Catie la vilaine  ? »

Il retira son doigt de sa bouche pour caresser son oeillet, remuant le flingue fiché où il était pour finalement, forcer un peu l'entrée de derrière et glisser le bout de son doigt dans son derrière...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 05 février 2015, 18:58:37
Lorsque la claque s’abattit sur ses fesses, la veuve ne lâcha qu’un long gémissement, excitée. Elle cambra le dos autant qu’elle pouvait, offrant ses fesses à son amant. L’arme en elle se réchauffait. Quand il retirerait le canon, en plus d’être luisant de cyprine, il serait bouillant. Comme elle.

Elle ne put résister à pencher la tête quand il mordilla sa nuque. C’était l’un de ses points les plus sensibles, et sentir ses dents courir sur sa peau rendit Catalina toute chose. Presque molle de plaisir. Elle adorait vraiment quand son amant l’embrassais là, la mordillait, voire la mordait un peu plus fort.

Son sein torturé par le blond était chaud. Le téton durcit roulait entre les doigts experts du policier, amenant la jeune femme à gémir de nouveau, trempée de désir. Elle ne voyait pas où il était. Elle était surexcitée, tentant de savoir ce qu’il allait faire par la suite.

Sans grand succès, puisqu’elle frémit quand la main masculine brutalisa doucement la chair tendre de son sein quand il parla.

« Oh oui… Monsieur l’agent…. Mmm… J’ai hâte de voir ç- Aaaah ! »

Quand il a tiré sur le badge, maltraitant son autre sein, elle a ressenti une décharge de plaisir. Ce n’était pas vraiment brutal. Et elle avait adoré. L’arme fichée en elle commençait à glisser, malgré les efforts que la brune faisait pour la retenir avec ses muscles vaginaux. Elle était si humide… Trempée, serait le mot. Chaude comme la braise.

Elle suçota le doigt qu’il glissa entre ses lèvres avec plaisir, comme s’il s’agissait de son sexe, avec autant d’application.

« Oui… Oui… J’ai compris… Mmm.. Monsieur l’agent… Mmmh.. »

Elle avait difficulté à articuler, non seulement à cause du doigt qui caressait sa langue, mais aussi parce qu’ondulant doucement comme l’arme plantée dans son intimité glissait de plus en plus, la faisant chavirer de plaisir. Quand il le retira, ce doigt qu’elle aspirait entre ses lèvres, le petit bruit de succion fit frissonner la belle.

Il glissa ensuite ce doigt humidifié sur son anneau de velours. Il rajusta l’arme en elle, en même temps, aussi elle frissonna, totalement détendue, prête à se laisser envahir par cet intrus curieux.

Elle le sentit s’insérer en elle alors qu’un frisson plus fort que les autres venaient la secouer, la trempant de plus belle.

« Ouii…. Mmm… »

L’arme en elle glissa de nouveau, alors que la veuve ondulait ses reins pour inviter le policier à aller plus loin. A la faire sienne de la façon dont il l’entendait.

Si certaines femmes étaient réticentes à la sodomie, ce n’était pas son cas. Catalina aimait ça, au même titre que la levrette ou la fellation. Elle frissonnait de plaisir, de désir, attendant la suite des événements avec un nouveau gémissement.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le vendredi 06 février 2015, 10:20:51
La situation plus que chaude semblait la mettre en émoi plus que raison, il avait senti son plaisir évident à se faire un peu malmener et avait aussi senti sa réaction quant à sa nuque… og elle était donc si sensible ici ? Il ne put s'empêcher de recommencer, insistant jusqu'à y laisser une magnifique forme de suçon, un suçon qui mettrait un bon moment à disparaître, il était devenu doué avec ça… il sourit alors qu'il la lachait pourla malmener un peu de tous les côtés, profitant de sa cécité provoquée….

Il voyait qu'elle était incapable de réfléchir ou même de finir ses phrases, c'était son but d'une certaoine manière, de la posséderentièrement, complètement, totalement. IL eut unpetit sourire avant de finalement lui caresser   les flancs, sentant son désiri, dson envie d'être prise… il lui sourit, sans qu'elle puisse le voir, avant de laisser glisser ses ongles  le long de sa colonne vertébrale,  finissant sur ses reins qu'il mordilla, cessant de jouer avec son oeillet… on ne punissait pas les criminelles en leur donnant ce qu'elles voulaient, si ?

« Tsst tssst tsst, ce n'est pas comme ça que ça marche... »

Nouvel air ravi de sa part, il eut un grand sourire et lui caressa la cuisse, lui flatant ensuite le flanc puis le sein… et enfin, il regarda la jeune femme avant de lui mettre une paire de fessée, une sur chaque fesse, pour pas faire de jalousie, avant de lui retirer l'arme échauffée et mouillée de son intimité. IL eut un sourire avant de glisser ses doigts dans son intimité pour y cueillir un peu d'humidité et commencer de légers mouvements de poignet pour faire coulisser les doigts…

« Je trouve que pour une criminelle tu es trop bien traitée, non ? »

Il lui pinça le bouton de plaisir lié à son intimité pour  ensuite gouter sa cyprine. Appréciant son goût avant venir enfoncer sdeux doigts, sèchement, dans son derrière et commencer des mouvements de doigts avec peu de douceur, et peu de délicatesse… ce n'était pas le but après tout ! Là il s'agissait de punir une vilaine fille… IL eut un nouveau sourire accompagné d'un ricanement avant de lui dire, sur un ton  amué et plein d'envie…

« Oh tu n'auras pas ma queue tout de suite… ma queue se mérite… et pourquoi est-ce que tu la mériterais ? »
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le jeudi 02 avril 2015, 18:57:56
Catalina était survolté. Tout son corps vibrait d’excitation. Elle était brûlante de désir. Moite d’impatience. Son souffle était irrégulier tant l’excitation la chamboulait. Les doigts, les dents, les lèvres… Tout ce que Gabriel faisait entraînait une bouffée de chaleur, une bouffée de plaisir. Le glissement du métal devenu brûlant, lorsque le policier retira l’arme de son intimité, la fit frémir de plus belle. Un nouveau gémissement franchit ses lèvres quand les doigts du blond remplacèrent un instant le canon du flingue.

« Mmmh. Peut-être bien… Oui… »

Sa voix n’était plus qu’un gémissement langoureux. Ses hanches ondulaient doucement, cherchant toujours plus de contact avec la main taquine. Elle soupira longuement suite à son absence, avant d’étouffer un hoquet surpris quand il inséra ensuite ses doigts entre ses fesses, explorant son œillet avec fougue.

« Pou-Pourquoi ? Mmm… Répéta-t-elle songeuse, entre deux gémissements. Parce que… Mmmh… Je suis une petite infirmière affamée ? Parce que… Je suis divine ? Ou encore parce que…. Mmmh… Tu me veux ? Acheva-t-elle dans un gémissement. »

Son bassin ondulait toujours, en rythme avec les doigts du flic. Son souffle se coupait parfois, alors qu’elle se cambrait. Ses lèvres mordillées finirent par ajouter :

« Et parce que…. Mmm… Je te supplie… ? »

La pointe de ses seins était tendue par le désir. Son corps échauffé tremblait presque sous les doigts du blond alors qu’elle s’arquait contre Gabriel.

« S’il te plaît… Mmmh… Je t’en prie… »

La veuve ne pouvait pas tenir longtemps, embrasée comme elle l’était. Elle en voulait plus. Elle le voulait lui. Elle voulait le sentir en elle, le sentir la posséder… Elle était folle de désir, oui.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le jeudi 23 avril 2015, 23:35:54
Cette femme était devenue comme un brasier dont les braises semblaient jaillir et même l'atteindre, sans pour autant le brûler, non, cela l'échauffait. Oui, il avait envie d'elle, il avait envie de la prendre, là maintenat, tout de suite, sur le sol, sans douceur niamabilité, sans délicatesse, juste de la force, et sans doute même de la violence… oh, pas jusqu'à la battre, vous vous en doutez bien… il la voulait et il l'avait et la seule raison pour laquelle il attendait était… bah pourquoi au juste ? Ah ! Oui ! Parce qu'il aimait imiter les chats, jouer avec ses proies. Oui, cela pouvait paraître cruel, mais ça l'était aussi pour lui, vous ne pensez pas ? Lui aussi avait envie de jouer, d'entrer en elle, de la sauter ! Par tous les trous, vous pensez bien !

Mais voilà, pour le moment, il jouait de ses sens, faute de pouvoir voir quoique ce soit, comme une manière pour lui de l’obliger à être constamment dans l’anticipation à l’aveugle, dans l’attente de la suite sans qu’elle puisse deviner ce qu’il pouvait bien prévoir pour elle. Vous trouvez cela sévère. Regardez plutôt dans quel état cela la mettait…. Elle adorait ça, c’était évident, non ? Il ne put s’empêcher de sourire un brin en voyant la jeune femme dans tous ses états. Au point om elle en était, il était à peu près sur qu’elle aurait dit n’importe quoi ou presque…

« Oh, vraiment ? Tu es divine ? Tu es quelle divinité au juste ? Celle de la pipe ? De la sodomie ? J’en sais rien, j’ai pas tout testé, on va vérifié…. »

Oui, au diable l’attente, tant pour elle que pour lui, il voulait jouer et il jouerait ! il laissa sa verge gainée de sa protection se glisser le long de la raie des fesses de la jolie veuve avant de finalement la positionner contre sa rosette de laquelle il avait retiré les doigts. Ceux-ci, loin d’être en restes, avaient glissé sur son nombril avant de glisser le long e son corps pour finir par caresser son pubis et finalement ses lèvres intimes… puis y entrer,  et commencer de solides vas et viens, sa verge glissant entre ses gliobes de chair sans la moindre pénétration…

« Tu me supplie de quoi ? De prendre ta chatte ? De te faire enculer ? »

Oui, le côté vulgaire il trouvait ça drôlement bandant Chacun son truc, direz-vous… mais pour le coup, étant donnée la sitution, étant donnée qui menait la danse et qui se souettait, il pouvait bien imposer ses jeux, non ? il lui sourit et alors, il écarta ses doigts pour entrer dans son intimité, sauvagement, et commencer des vas et viens brutaux, mais néanmoins maitrisés… ou, il s maitriait ce serait con de la blesser maintenant… il soufflait bruyamment en rythme alors qu'il revenait se saisir d'un sein et le masser assez fermement.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le lundi 11 mai 2015, 20:31:58
Elle était haletante. Les paroles du flic faisaient se nouer son ventre d’anticipation. Elle voulait qu’il la pénètre, vraiment. Elle voulait le sentir aller et venir en elle. Ne sentir la verge que contre sa peau la frustrait. Attisait son envie. Elle ondulait, cherchant vainement à le faire entrer en elle, ses gémissements se faisant presque plaintifs.

Les doigts pénétrant son intimité firent se cambrer la veuve, qui en voulait plus. Gémissante, elle ne pouvait que le supplier de continuer, d’approfondir. Elle était encore plus frustrée qu’il prenait un malin plaisir à faire enserrer son membre raidi entre ses fesses alors qu’elle ne souhaitait qu’une seule chose. Qu’il la pénètre, où il le désirait, et qu’il la possède avec force.

« Prends-moi, où tu veux… »

Ses paroles étaient hachées par les gémissements alors qu’elle remuait contre lui. Quand il décida enfin de lui accorder ce semblant de délivrance, pénétrant avec brutalité dans son intimité trempée, elle lâcha un cri de plaisir. Ses doigts étaient bien, mais elle préférait la vigueur d’un sexe raide quand même. Elle remuait contre lui, amplifiant ses allées et venues entre ses lèvres brûlantes de désir.

« Oh oui… Oui… »

Ses reins se contractaient de plaisir à chaque passage vigoureux, et elle arqua le dos pour mieux en profiter. Ses gémissements se muaient peu à peu en des cris, et des lourds soupirs de bien-être. Elle n’était plus qu’un jouet entre ses doigts, une femme dont la sexualité libérée ne lui interdisait pas de se montrer coquine et perverse. Elle soupirait parfois, fougueusement, tandis qu’elle ressentait la montée de l’orgasme avec une acuité incroyable. Son corps tremblait contre celui de l’homme tandis qu’elle jouissait de sa présence en elle, tandis qu’elle frémissait de ses coulissements au plus profond de son intimité. Sa poitrine se soulevait à intervalles irréguliers alors qu’elle peinait à reprendre son souffle. Sa raison s’était évanouie sous les frémissements de plaisir qui parcouraient son corps tendu.

La pointe de ses seins était raidie à l’extrême, et les doigts de l’homme sur la rondeur galbée ne faisaient que renforcer son plaisir. Catalina était bouillante, et chaque coup de reins l’amenait un peu plus près du sommet, un peu plus près des étoiles. Elle transpirait aussi, son corps se dépensant en ondulant comme elle le pouvait.

Avant de céder au plaisir qui l’envahissait, la veuve souffla quelques mots à l’intention de son amant. Quelques mots avec la même vulgarité qu’il avait employé précédemment. Quelques mots aguicheurs, presque suppliants.

« Encule-moi, je t’en prie… »

Elle voulait jouir alors qu’il l’emplissait de sa présence dans cette antre peu souvent visitée. Elle voulait qu’il la prenne avec force, qu’il la sodomise brutalement, alors que son corps serait arqué par le plaisir foudroyant de l’orgasme.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le jeudi 14 mai 2015, 00:30:10
Regardez moi la vilaine fille que Gabriel était en train de remettre dans le droit chemin à coup de queue ! Voilà qui était plus qu'efficace sans doute !  Il lui fit un petit sourire alors qu'il se montrait un peu plus brutal… elle adorait ça, elle adorait être soumise ainsi à sa volonté, attachée de la sorte, pliée en avant ainsi, difficile pour elle d'agir autrement qu'ainsi : se soumettre complètement et subir. Il sourit et continua alors qu'elle se cambrait davantage.

Il resta un instant silencieux avant de finalement se décider et agir, il glissa ses mains sur ses hanches qu'il saisit fortement, au point sans doute d'y laisser des marques rouges. Il sourit et regarda davantage la jeune femme avec un grand sourire alors qu'il continuait à se faire plaisir dans son intimité… même lui faire plaisir était un bonus, il était égoïste… Gabriel avait tendance à privilégier son propre plaisir, ses propres envies…

« ouais, je sens que tu adores ça... »

Il fit un petit sourire avant de se décider à l'écouter… oui, il adorait cette manière de parler… il adorait qu'on lui demande, qu'on le prie de faire quelque chose en utilisant les bons mots… il lui fit un petit sourire et lui flatta la croupe avant de se retirer d'elle… il voulait se jouer d'elle et lui faire le max de sensation possible… il lui mit une claque sur le fessier et lui lança alors sur un ton fort amusé.

« Oh t'en fais pas, vilaine cata… il faut bien que je te remette dans le droit chemin complètement... »

Il lui écarta les fesses, et cracha sur sa rosette frémir de plaisir et d'envie avant de finalement y « Oh t'en fais pas, vilaine Catalina… il faut bien que je te remette dans le droit chemin complètement... caler son membre, puis d'un coup violent, un coup  unique et brusque pour s’enfoncer le plus loin possible sans la moindre douceur, une fois bien au fond, il se pencha sur elle jusqu’à ce que son poids vienne peser sur elle, jusqu'à ce que son souffle soit sur sa nuque. Il lui susurra alors.

« Comme ça ? Plus fort ? Plus doucement ? »

Il eut un ricanement. Son petit trou était bien serré, même s'il se doutait que ce n'était pas sa première sodomie, il ne pouvait pas non plus estimer qu'elle pratiquait particulièrement souvent… il ressentait chaque centimètre carré de son conduit alors qu'il commençait de lents mais fermes vas et viens au fond d'elle...
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le dimanche 26 juillet 2015, 16:49:24
Catalina appréciait vivement ces attentions. Elle n’était pas qu’une petite chose à câliner. Elle était une femme, avec des envies diverses et variées. Si elle aimait la tendresse, elle appréciait aussi la brutalité. Pas toujours, mais quand elle en voulait, elle savait comment le demander. Elle n’était pas farouche en cet instant, et pas prude du tout lorsqu’elle lui demanda sans fioriture de venir lui prendre les fesses. Arquée face à lui, elle gémit quand il lui claqua le derrière, et se trémoussa doucement, émoustillée.

« Oh oui… Soupirait-elle avec impatience. »

Elle ressentit le crachat comme une autre secousse de plaisir, alors qu’il maintenait ses fesses écartées pour la lubrifier. Elle ressentit aussi la fermeté de son membre, alors que le gland venait se caler à l’orée de cette petite entrée peu utilisée. Un cri lui échappa quand il força brusquement le passage. Elle ressentit de la souffrance, mais très vite, le plaisir la submergea alors qu’elle sentait l’épaisseur de Gabriel l’écarteler, qu’il l’écrasait de son poids pour venir lui murmurer quelques mots. Elle ne parvenait pas à reprendre sa respiration, perdue entre le plaisir intense et la douleur lancinante. Mais cette même douleur ne la gênait pas, pour le moment, changeant ses sensations en une myriade d’étincelles de plaisir.

Quand il commença à bouger, ses gémissements reprirent de plus belle. Elle rejeta la tête en arrière, creusant encore plus le dos si c’était possible, pour se remuer sensuellement contre son amant.

« C’est si bon…. Mmm… Plus fort, oui… »

Elle était partie dans cet univers où, tant que le plaisir était là, la douleur refluait. Elle douillerait probablement après, quand les endorphines se seraient dissipées, mais elle s’en fichait. Elle avait envie de plus, à cet instant, et mettait de côté la douleur du lendemain.

« Oh j’aime quand tu… Mmm… Fait respecter la loi…. Monsieur le policier… Aaaah… »

Et elle ondulait encore, alors que son petit trou serré se détendait progressivement sous l’invasion du policier. Elle ne pensait plus à la blessure de Gabriel, qui avait pourtant été le déclencheur de ce petit jeu. Elle ne pensait plus qu’au plaisir, à ce mal qui faisait du bien. Ses gémissements se transformaient en cris, et son corps était brûlant de ce plaisir, de ce désir qu’il instillait en elle.

« Oh oui, Gabriel ! »

Cette boule de plaisir, de chaleur, qui enflait dans ses reins, commença à se diffuser dans son corps. Elle n’était plus très loin de la jouissance. Quelques coups de reins supplémentaires, plus forts, plus puissants, et elle ne serait plus qu’une poupée malléable entre ses bras, terrassée par un orgasme dévastateur.
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Gabriel Valmy le jeudi 08 octobre 2015, 21:05:07
La douceur, la subtilité… deux mots qui laissaient un peu Gabriel dubitatif… ouais, ce n’était pas vraiment le genre de notions que Gabriel préférait mettre de côté… ce n’était pas son genre, de base, mais alors pas du tout ! Alors autant vous dire que l'entendre réclamer d'y aller plus fort lui allait tout à fait, lui allait entièrement ! Il était ravi de l'entendre réclamer qu'il lui laboure les entrailles  à coups de reins. Car à force, c'était de cela  qu'il s'agissait, lui maintenir les hanches comme possible  malgré la douleur de son bras pendant qu'il allait et venait en elle, qu'il savourait l'étroitesse de moins en moins pressante de son fondement.

« Hm ! Tu vois !  Je fais. Respecter. La loi ! » [/b][/i]

Il continuait à aller de venir, brutalement, presque comme si son objectif était de lui « briser » les reins sous ses assauts. Il lui sourit, se penchant encore sur elle alors qu'il culminait en elle, savourant la sensation de la fouiller jusqu'à la garde pour lui mordre la nuque, lui mordre les épaules, laissant des traces de dents qui disparaîtraient vite, sauf une qui était plus rouge que les autres... un petit souvenir alors qu'il lui susurrait au gré de nouveaux coups de boutoir :

« Et. Et tu aimes. Bien. Payer. Ton du… à la société ! » [/b][/i]

Il savourait chaque petite chose, mais la sentir changer, se tendre, se mettre à crier au lieu de gémir, voilà qui était des plus ravissant à son avis, entendre par là que ça le ravissait, bien sûr ! Il lui fit un nouveau sourire avant de finalement sentir l'afflux de sensations qui annonçait, criait au monde sa propre jouissance, il  la ceintura brusquement, collant son bassin contre lui, son dos contre son torse, son autre main lui saisissant le sein, le serrant presque convulsivement, alors qu'il ne tiendrait vraiment plus longtemps, c'était là une question de secondes, de coups de reins, et pour finir, il semblait avoir décidé d'être encore plus violent, encore plus brutal étant donné la manière qu'il avait de faire les choses…

Ce ne fut pas long à venir. Alors qu'il émettait un grognement et une sorte de gémissement rauque, il jouit dans son fondement, la capote faisant obstacle au remplissage, vous vous en doutez bien ! Et se retira d'elle, la laissant s'effondrer au sol si elle n'avait pas la force de tenir sur ses genoux. Il ne la libéra pas de l'entrave des menottes sur ses poignets. Pas le courage… il se contenta  de retirer maladroitement – il avait les doigts un peu gourds et fatigués par cette séance d'amusement – son préservatif. Mais il ne le ferma pas avant de le jeter négligemment dans la poubelle qui n'était pas trop loin, non, il le garda à la main et se traîna, à quatre (enfin trois) pattes, à côté de la belle brune pour finalement lui mettre la capote pleine sous le nez.

« Il y a une dernière tâche à accomplir pour redevenir une bonne fille... » [/b][/i]

Il commença à faire glisser le liquide séminal vers le sol, à elle de se renverser pour avoir la bouche en dessous, à tendre assez la langue, ou à elle de lécher le sol, peu importe !

« Après avoir été enculée comme une chienne en chaleur, il faut finir les choses jusqu'au bout, c'est la moindre des choses, non ? » [/b][/i]

Il entendait par là récupérer tout le sperme, celui de la capote comme celui qui gouttait encore au bout de la hampe qui lui avait lacéré les entrailles…
Titre: Re : Prise d'otage de haut vol [Gabriel Valmy]
Posté par: Catalina Taylor le mercredi 11 mai 2016, 18:40:29
Oh oui, qu’elle aimait ça quand il faisait respecter la loi, sa loi, à la pointe de sa queue rigide… La brunette en était d’autant plus excitée. Qu’il soit aussi brutal alors qu’il la sodomisait, elle adorait. Elle sentait les mouvements de son gland qui écartait ses parois sensibles, stimulant quelques zones érogènes aux travers de la fine paroi qui séparait le conduit anal du conduit vaginal, et elle appréciait pleinement cette expérience. La vilaine petite Cata était ravie de se voir remettre dans le droit chemin par un policier si dévoué à sa tâche, à tel point qu’elle ne réfléchissait plus clairement.

Entravée comme elle l’était, elle ne pouvait pas faire grand-chose et tentait surtout de rester offerte à son amant, cambrée comme si sa vie en dépendait. La morsure sur sa nuque l’irradia de mille et un frissons plaisants. La douleur se mêlait au plaisir pour former un cocktail détonnant. Catalina était ainsi trempée de plaisir à mesure qu’il ravageait ses fesses. Les morsures suivantes continuèrent de la faire mouiller, cherchant à se cabrer encore plus pour lui faire plaisir. Et finalement, à force de ces vas-et-viens puissants, l’orgasme finit par la submerger. Elle criait, comme si elle vivait une expérience mystique, et se laissa couler contre le torse du policier derrière elle qui l’enserra de ses bras. Sa main qui vint martyriser son sein ne la gêna pas, au contraire. Alors que le plaisir déferlait en elle, gigantesque vague ravageuse, la douleur occasionnée par cette maltraitance rajouta du piment à l’orgasme qui la possédait.

La veuve savoura la sensation de la virilité en elle qui tressautait à mesure qu’il s’approchait lui aussi de la jouissance, et ces sensations, infimes peut-être, ravivèrent encore les sensations plaisantes qui mettaient ses nerfs à rude épreuve. Elle aurait presque pu perdre connaissance, tant elle se sentait en-dehors de son corps, portée par le plaisir. Elle crut même, un bref instant, avoir fait une expérience mystique, être entrée en transe.

Mais finalement, les sensations de ses genoux contre le sol, de ses poignets entravés à ses chevilles, et surtout, le vide laissé par le policier quand il se retira, tout cela la ramena sur terre. Elle manqua effectivement de tomber, son équilibre ayant été mis à rude épreuve au cours de ces ébats fougueux, mais elle se rattrapa bien vite malgré sa liberté de mouvement réduite. Elle était devenue plutôt douée pour trouver son point d’équilibre, au fil des années, et elle ne fit ainsi que vaciller alors que Gabriel la contournait. Elle secoua rapidement la tête. Le tee-shirt qui lui masquait la vue, déjà mis à mal par leurs ébats déchaînés, finit par céder et retomba dans un froissement de tissu sur le sol à côté d’elle.

Les cheveux ébouriffés, les joues rougies de plaisir et les yeux brillants de contentement, la veuve observa le blond se mettre près d’elle, et renverser la capote sur le sol. Elle ne tenta pas de se pencher en avant, sachant qu’elle risquait plus de tomber sans élégance qu’autre chose, et elle se pourlécha les lèvres avant d’hausser un sourcil joueur.

Ses prunelles se dardèrent sur la flaque qui s’était formée sur le sol, et elle procéda avec précaution, malgré son corps tremblant et son souffle court, jusqu’à ce qu’elle réussisse à pencher le buste complètement, après avoir posé ses fesses maltraitées contre ses talons. Elle mobilisait les dernières ressources de son corps engourdi par l’orgasme, et elle sortit sa langue afin de laper le sperme qui était sur le sol.

« Mmmm… Gémit-elle juste avant que sa langue ne vienne entrer en contact avec le sperme. »

Elle fit son « travail » consciencieusement, nettoyant jusqu’à la dernière goutte qui avait coulé sur le sol, avant de se redresser un peu avec précaution. Elle passa sa langue sur ses lèvres, gourmande, comme pour en effacer jusqu’à la dernière trace. Puis elle tendit la tête avec un air taquin et sa langue vint caresser l’arrondi du gland.

« Comme ça, fit-elle entre deux coups de langue mutin, je suis à nouveau…. Une bonne fille, mm ? »

Et elle continuait son œuvre, venant bientôt faire pénétrer le gland entre ses lèvres, l’aspirant de plus en plus jusqu’à ce qu’elle le tienne entièrement  dans sa gorge, jusqu’à ce que ses lippes s’appuient contre l’aine masculine. Elle fit ainsi deux ou trois allers-retours, nettoyant avec joie cette verge « souillée », tout en levant un regard encore troublé par le plaisir vers le policier.