Le Grand Jeu
Plan de Terra => Territoire de Tekhos => Tekhos Metropolis => Discussion démarrée par: Hera le mardi 03 mars 2009, 17:22:01
-
Et voilà qu'il pleuvait. Les larmes des Dieux, disaient t'on. Elle penchait plutôt pour les résultats d'une semaine ensoleillée. Il fallait forcément que la pluie tombe, un jour ou l'autre - même si le plus tars aurait était le mieux. Et pluie disait se couvrir pour sortir, ne pas exhiber ce corps qu'elle affectionnait temps. Elle éteignit sa radio, entendant " Suicide is Painless " arriver. Pas de déprime. Mauvais temps et chanson triste faisait un si excellent ménage qu'elle se retrouvait au bord du trou à chaque fois, affalée sur sa fenêtre, les traits tirés et les yeux vides. une position qui ne la mettait pas en valeur.
- Nelshä, mon chou ...
Le vêtements grouilla doucement. la sensation de le sentir sur elle lui faisait toujours bizarre, comme si un nid de serpent se déplaçait sur sa peau, silencieusement. Mais la récompense était de taille, le Nelshä lui sortant toujours une tenue extravagante et merveilleuse. Cette fois, elle portait de longues bottes à talons, et une sorte de combi moulante ( comme toujours -_-" ) rouge et verte, bariolée et couvertes d'arabesques dont personne ne connaissait la définition sauf un être " superieur" . Sa coiffure était relevé, seules quelques méches tombant dans sa nuque, et elle avait une cape rouge , dont la capuche était cernée de fourrure étrangement douce. Elle se tourna sur elle même. Qui aurait pu savoir que ces arabesques avait un sens trés peu catholiques, dirons nous... Le nelshä connaissait bien sa maîtresse ... Elle ouvrit la porte, et sortit à grandes enjambées dans la rue, poussant les gens aux passages. Il fallait qu'elle dégage sa mauvaise humeur. En emmerdant les gens donc.
-
Les gens que poussait hors de son chemin Héra s'empressaient ensuite tous à leur tour de lui céder le passage. Tous sauf une personne, qui elle ne bougea pas d'un millimètre de la trajectoire de la déesse. Et pour cause! Cette personne était un jeune homme d'une grande élégance, au traits fins et gracieux, comme sculptés délicatement un par un à un degré de finition incroyable, donnant un aspect lisse surréaliste à son corps harmonieux. Une courte chevelure aile de corbeau s'étalait en mèches diverses tout autour de son visage, soulignant par ses excroissances folles la blancheur de son visage, presque laiteuse, ainsi que leur beauté. Ses yeux étaient d'un violet vif, ressortant largement sur sa peau crémeuse et semblants rayonner d'un regard flamboyant. Alors que par cette pluie, tout le monde allait couvert, lui par contre semblait ignorer totalement la pluie qui lui tombait dessus à verses. Vêtu pour seul et uniquement vêtement d'un pagne richement décoré de pourpre et d'écarlate, orné de liserés et frises d'or, le reste de son corps était nu, livré à la pluie qui ruisselait ainsi librement sur son corps, mais ainsi exposant largement les détails séduisants de cette corpulence proportionnée soigneusement tel une ouvre d'art. Un large sourire brillait sur son visage amusé alors qu'il fixait intensément la "jeune femme" qui venait de lui tomber dessus. Inclinant alors légèrement la tête, son sourire s'accentua tandis qu'il interpellait joyeusement la déesse qui lui faisait face.
"He bien, quelle ravissante surprise! Si je m'était attendu à trouver ici, dans cet épicentre de technologie, une déesse pareille à vous, j'aurais arpenté bien plus longtemps ses rues! Que peut donc faire une femme tel que vous en un tel lieu, par ce temps?"
Belial ne faisait pas l'affront à Héra de se présenter. Toute entité "supérieure" avait une aura particulière, qui n'appartenait qu'a elle, et qui était nettement visible en elle, pour autant qu'elle désire la laisser visible. Ce qui était évidement le cas du prince du feu, qui de plus avait adopté pour l'occasion un avatar ressemblant beaucoup à sa forme démoniaque dans les limites de l'humanoïde. Dire qu'il ne cherchait en rien une telle entité, ayant plutôt en tête quelques idées amusantes à propos de certaines passantes. Et voila qu'il tombait sur une personne se baladant ostensiblement avec de tels signes....des plus divertissants, d'ailleurs. Et qu'il sache, il n'y avait pas trente six milles personnes, même chez les dieux, pour oser une telle chose. Quoi qu'il en soit, il espérait que cet imprévu se révélerait des plus divertissant, ce dont il y avait de fortes chances.....
-
" Oh non, encore un dieu " songea t'elle en se retournant sur le jeune homme. A la base, si elle descendait sur Terree, c'était pour fuir la populasse divine et profiter de l'innocence et la naïveté humaine. Il dégageait une chaleur particuliére autour de son corps, et de plus n'avait pas de vêtements trés ... adaptés. Elle se retourna donc, et bloqua, sentant le Nelshä siffler comme un serpent dangereux et les arabesques remuer sans pour autant perdre leurs sens. Ce n'était pas un dieu, c'était un démon relativement connu de la jeune femme. Elle le reconnaissait, c'était comme si son aura hurlait son nom.
- Belial ! Si j'avais pu un instant me douter de ta présence ici ... Toi aussi tu profites de ces loques ? ( les humains ... oui oui, elle est trés désagréable quand elle veut -_-" )
Elle s'avança vers le démon. il était comme sur les illustrations et semblait correspondre aux résumés faits de lui. Elle plaça sa main sur le cou du démon, palpant cette petite partie du cou qui tremblait quand il avait des idées malfaisantes envers la déesse. Mais non. Elle retira sa main, et releva son visage vers lui. Il semblait plus amusants que les insignifiants humains peuplant les alentours.
- Les humains sont amusants, mon cher, ainsi je profite de leur ... défauts ? Je préfére sortir et me moquer d'eux plutôt que m'ennuyer chez moi. Et toi, tu viens faire quoi en cette tenue ?
-
Belial sourit finement à la déesse alors qu'elle s'adressait à son tour à lui, lui accordant toute son attention. Et ses propos étaient assez amusants. Ainsi, elle venait elle aussi ici pour s'amuser au profil des humains. Comme lui, en quelque sorte, sauf que ses amusements tournaient invariablement vers son domaine de prédilection....que voulez vous, on ne se refait pas! Et puis si il ne s'abandonnait pas à ses penchants, il était de mauvaise humeur, et quand il était de mauvaise humeur, il avait tendance à massacrer et détruire tout ce qui l'entourait. A éviter si il ne voulait pas se faire égueuler par Lucifer pour ingérence auprès des humains. Donc, voila pourquoi il agissait ainsi, et se trouvait de même dans cette tenue.
De toute manière, pour lui la pluie n'était en rien une gêne. Il avait en effet confectionné un petit effet magique qui en supprimait l'aspect dérangeant. Ainsi, la pluie tombait et coulait librement sur son corps, comme sur n'importe qui, mais, sans que cela se voit à moins de le toucher, cette eau ne le mouillait en rien, se contentant de glisser sur lui sans l'humecter. Après tout, un démon accoutumé aux chaleurs intenses de l'Enfer préférait être au sec, de tout temps.
Mais pour l'heure, le prince du vice était tout à son interlocutrice. Il lui répondit ainsi d'une voix doucereuse et gracieuse, pareille à un souffle séducteur.
Mais la même chose que toi, Héra, je m'amuse avec ces humains, bien que de façon plus proche et intéressante, je dirais. Et comme ça, je résous au passage la demande de Lucifer. Même des loques peuvent êtres plaisants quand on sait y faire, après tout....
Mais dis moi, noble déesse en déshérence, que dirais tu, plutôt que de t'ennuyer avec ces mortels, de passer un peu de temps en ma compagnie?
Sur ces mots, Belial avait levé lascivement une de ses mains, pour ensuite venir caresser le vêtement moulant de la déesse, et en particulier jouer avec les arabesques qui l'ornait. Sa main attentionnée faisait ainsi don de ces caresses charmeuses et attentionnées aussi bien au Nelshä que le corps de la personne qu'il recouvrait, alors que le sourire du démon s'accentuait dans les coins, une lueur amusée au fond de l'œil.
-
Les arabesques ne tardérent pas à écrire - dans leur langage - une éloge au nom du démon, aussitôt qu'il posa sa main dessus. Ce a quoi Hera tiqua, et elles reprirent leurs positions d'antan. Ah, ces arabesques vivantes, un vrai desastre ! Elles sortaient tout droit du coeur des enfers, et se pliait devant chaque démon venu sur terre. Enfin, le Nelshä et la déesse leurs faisaient bien comprendre qu'ils n'étaient pas de ce genre. Toujours est-il qu'elle adorait l'attention que lui portait un démon de si haut grade, avec qui elle ne s'étaient jamais ... amusée. Elle lui adressa donc un de ces sourires dont elle avait le secret, reculant neamoins quelque peu afin que la main du démon ne touche plus le Nelshä. une maniére de se faire désirer, en quelques sorte.
- Mmmh ... quel sourire malsain !Et bien, j'accepte avec joie cher démon du vice. Cela me changera des humains ! J'espére que tu seras plus ... divertissant qu'eux !
Sa voix aavait appuyée sur les mots " vices " et " divertissants " ( allez savoir pourquoi ... ) Elle eut un autre sourire, tandis que sa tenue se changeait en une robe rouge sang et noir cendre délicate de soirée, avec des longs gants rouges couverts d'arabesques noires, et que sa tenue devenait une des plus sophistiqués qui soit, avec plume, laque, perles ... comme une coiffure de geisha ! Elle avait une longue traine noire qui se mouvait tels des serpents, et ses yeux rubis brillaient encore plus à l'idée de passer du temps à "discuter" avec un démon puissant, un ange déchu, démon du vice ... Quand elle le voyait, elle ne pouvait s'empêcher de penser qu'ils étaient presques pareils. Les péchés, le vice et le plaisir de la chair, ses trois commandements ...
-
Quand les paroles de la déesse l'atteignirent, le regard de Belial s'éclaira d'une lueur intense de vice. Avec elle, pas la peine de se cacher ou de simuler, elle savait très bien quelle était sa nature. Et puis ne plus avoir à cacher sa nature dépravée et corrompue jusqu'à la moelle par la vice était assez plaisant, après tout. Il se mit alors à observer la nouvelle tenue apparue d'un œil expert, l'analysant sous toutes les coutures. Un large sourire appréciateur prit alors place sur son faciès. L'instant d'après, il avait disparu.
En fait de disparaitre, il avait plutôt effectué une téléportassions mineure sur lui même, sans en manifester le moindre signe extérieur. L'instant précédant, il se trouvait devant Héra à la contempler d'un regard tendancieux.....l'instant suivant, il se trouvait juste derrière elle, plaqué tranquillement dans son dos, la chaleur et la sensualité de tout son être se communiquant par ce contact à ce corps divin. Les bras du démon étaient passés sensuellement autour de son ventre, l'enserrant tendrement alors que ses doigts effleuraient langoureusement le nelshä qui lui barrait l'accès à la peau soyeuse de la déesse. Sa bouche, elle, s'était glissée dans la nuque d'Héra pour l'embrasser à loisir, déposant un long et ardent baiser. Se fichant visiblement d'être en pleine rue, il semblait sur le point de la dévorer sur le champ, de l'entrainer sans tarder sur sa voie de délices. Il espérait que la surprise lui avait plus, et n'attendait plus que de voir les désirs qu'elle manifesterait. Sa voix sensuelle et insidieuse en fut la preuve.
Mais j'espère bien te divertir au plus haut point...je n'attend plus que toi!
-
Ravie , surprise , charmée ... tout ces adjectifs assez positifs ! C'était un bon moment à partager, se disait-elle. Car effectivement, avec elle, il ne s'agissait plus de se cacher. Elle perçait les gens à jour, et tant pis pour ceux qui n'assumaient pas ! Ce fait de lire en les gens comme dans un livre grand ouvert lui ouvrait pas mal de porte, et l'aidait beaucoup. Elle pouvait deviner la nature des gens facilement grâce à une technique : quand quelqu'un voulait du mal, une partie de son cou battait à tout rompre. Si elle ne battait pas, la personne était innofensive. Mais avec Belial ... Il avait cette chose qui battait toujours, restait à savoir quelles intentions il avait, mais on le devinait trés facilement généralement, car on était fixés quelques secondes aprés ! Ce qui arriva ...
La belle se laissa faire - pourquoi resister devant ce joli demon ? - tout en souriant. Les arabesques grouillaient, se glissant sur la peau du démon comme pour le chatouiller, et la peau d'Hera tout comme lee Nelshä frissonnaient. Surtout à l'ecoute de ses paroles et de sa voix. Encore un qui surpassera mon Dieu de mari ! songea t'elle.
- Je te trouve trés compréhensif, Belial, ça fait plaisir ...
Elle fit glisser une de ses mains sur celle de Belial, et l'autre dans les cheveux du demon, tout en remuant contre lui ses formes exquises.
- Et j'avoue que je le serais tout autant ... Cela fait trop longtemps que je ne me suis pas amusée, mon cher ( un semaine TT )
-
Belial était vraiment heureux de la réaction de la déesse. En voila une qui n'avait pas froid aux yeux et qui pourrait combler ses désirs tout comme lui les siens. Les moments à venir promettaient d'être superbes. Souriant à la voix d'Héra, il lui répondit sans attendre d'un phrasé lent et langoureux, comme si ses mots même étaient des caresses.
Je tacherais alors de remédier sans attendre à ce manque, très chère...
Les mains du prince démoniaques se mirent alors à se mouvoir sur le corps de la jeune femme qu'elle était toujours physiquement. Quittant son délicieux ventre, elles commencèrent à glisser sur ses hanches, les encerclant lentement pour mieux les étreindre sensuellement, parcourant leur peau comme une brise immatérielle. Puis le contact s'intensifia, et une de ces mains continua sa descente, pour venir sur la jambe d'Héra. Précautionneusement, avec un soin pareil à une caresse, il écarta alors partiellement le nelshä de cette partie de l'anatomie de la déesse, pour pouvoir venir caresser sa cuisse à nue, l'imprégner de ses doigts ambitieux et chaleureux. L'autre main, pendant ce temps, était elle au contraire remontée. Elle rencontra bien vite l'obstacle de deux formes rondes et pleinement épanouies, et ce fut sans hésiter qu'elle vint recouvrir un des seins de la partenaire du démon, se mettant à enfoncer insidieusement ses doigts dans cette chair replète et merveilleuse, pour une étreinte passionnée.
La langue du prince du vice, à présente sortie d'entre ses lèvres, vint alors remonter le long de la nuque de la belle, s'arpentant sans se lasser, alors que ses lèvres posaient ensuite leurs baisers attentionnés. Puis cette langue glissa le long du menton de la jeune femme, pour finir par parvenir à ces lèvres pulpeuses et attrayantes, sur lesquelles elle glissa sans remords, avant de s'immiscer entre elles pour venir étreindre celle de la déesse, tandis que la bouche du démon la rejoignait.
Mais dans le même temps, les arabesques du vêtement d'Héra en venant s'aventurer sur le prince du vice, déclenchèrent une curieuse chose. Sur le corps auparavant immaculé de Belial, se mit à apparaitre d'autres arabesques, noires, parsemant parcimonieusement toute la personne du démon, et qui faisaient en fait parties de sa véritable apparence démoniaque. Ces lignes courbes et élancées se mêlèrent ainsi à leurs semblables, comme pour les embrasser, venant même se rependre dans la foulée sur le corps de la jeune femme accolée au prince, tel l'infime caresse du vent...
-
Elle ne doutait pas un seul instant ! Quoi de mieux qu'un démon, et un échange des baisers et de caresses devant une foule qui ne comprenait pas grand chose, si ce n'est pas tout. C'était un moment quasi magique, où la déesse se sentait bien pas forcément en sécurité, mais bien, calme, dans une sorte de boule de chaleur confortable. A partir du moment où il l'embrassa, sa main derriére sa nuque appuya de toute ses forces pour qu'il n'ait pas envie de reculer et de faire cesser ce doux baiser, et ces doux baisers, car elle espérait qu'il y en ait plusieurs. Elle n'apuyait pas violemment comme une catcheuse, plutôt avec certitude, en lui faisant bien comprendre qu'elle ne laisserait pa s'envoler la poule aux oeufs d'or. Son autre main taquine se glissa derriére elle, le long des jambes du démon, s'approchant du membre de Belial puis reculant, comme une petite danse ... diabolique.
- Tout comme je tâcherais de remedier au tien .. glissa t'elle.
-
Je n'en doute pas un instant...
Belial n'avait pas besoin que la déesse l'empêche de reculer et de se séparer de ces lèvres. Elles avaient un goût si délicieux qu'il ne comptait pas les lâcher de sitôt. Il intensifia en effet son baiser, soudant ses lèvres à celles d'Héra pour une longue et passionnée embrassade. Ses bras se resserrent autour d'elle en une langoureuse étreinte, se collant d'autant plus contre elle. Ses mains continuaient leurs caresses attentionnées, glissant sur la peau sensuelle de la belle. Une de ses mains, décidée à ne pas se restreindre, parcourut ainsi toute la poitrine de la déesse, passant d'un sein à l'autre en comblant au passage ses creux de ses doigts agiles et tendres. L'autre main, elle glissa elle aussi sur l'autre cuisse délaissée, écartant là aussi le nelshä sur son passage. Durant le trajet, il vint même passer légèrement sur l'entre-jambe de la jeune femme, s'y aventura subrepticement avant d'en ressortir d'une caresse délicieuse, pour rejoindre et étreindre l'autre cuisse à découvert.
Le membre du démon, lui, était fortement stimulé par tout cela, sans compter la danse insidieuse de la main de la déesse contre lui. Poussé par le corps du prince infernal, il vint alors coulisser et se frotter à l'arrière train admirable d'Héra, diabolique promesse...
-
Et une promesse qu'elle voulait tenue. La jeune femme délicate et attentionée au caractére meurtier eut un léger soupir, tandis que les troupes autour d'eux chuchotaient, et regardaient, comme un spectacle. Quel amusement ! Si elle ne les avaient pas occupées, elle frapperait dans ses mains avec joie et sourire ! Mais elle avait d'autres idées en tête pour le moment. Le Nelshä lui brûlait la peau, grouillant contre son epiderme frissonante, changeant sans cesse de tenue de plus en plus petite. C'était sous l'effet du démon ... Son aura, sûrement. Mais le moment n'était pas aux réflexions scientifique, non, loin de là. Elle comptait bien s'amuser.
- Tu me connais voyons ! dit elle d'un ton faussement choqué.
Elle laissa gambader son adorable main une nouvelle fois le long de la jambe du démon avant qu'elle ne se glisse sous son pagne et ne vienne taquiner le membre sans aucune timidité. Car comme tout le monde le sait, Hera n'est pas timide ... non, pas elle...
-
La foule réunie autour d'eux, attentive ou non à leur scène, fut alors peu à peu gagnée par un sentiment...de satiété, comme si leurs corps et leurs sens s'échauffaient, désirant ardemment assouvir leurs plus basses pulsions malgré leur incompréhension. On les sentaient bouillir peu à peu de désir, alors que la puissance de Belial continuait de les contaminer. Voila ce qui se passait quand le démon ne se contenait pas, toutes ses sensations, désirs et pulsations s'étendaient tout autour de lui, et pervertissaient tout les esprits qu'elles touchaient.
Mais le prince infernal n'y prêtait lui même guère attention, tout accaparé qu'il était par la déesse auprès de lui. Qui se faisait ainsi plus entreprenante, venant carrément chercher son membre dressé. Qui ne se fit d'ailleurs pas prier pour se frotter affectueusement à cette main bienveillante. Les propres mains du démon n'étaient d'ailleurs pas en reste, continuant leurs caresses passionnées. Celle en hauteur vint se glisser vicieusement sous la poitrine de la déesse, et de là la malaxa entièrement avec attention, ne négligeant pas une parcelle de chair de son pétrissage sensuel, faisant monter et redescendre ces seins sous ses impulsions endiablées. L'autre main, elle, après avoir chaleureusement réchauffé les jambes d'Héra, vint langoureusement caresser l'entre-jambe divin, allant jusqu'a son intimité en franchissant sans hésiter les vêtements qui le dérangeait. Qu'il se mit alors à recouvrir sans attendre de ses attouchements charnels...
-
N'était-ce pas un delicieux moment ? Tandis que la déesse s'amusait du démon, il s'amusait d'elle. Ses mains câlines et coquines franchissaient des caps de plus en plus important, et pourquoi se priver d'ailleurs ? Avec cette foule brûlantes autour d'eux et cette atmosphére de chaleur, la déesse ne pouvait plus partir. Prise dans un piége qu'elle ne pouvait quitter ... La démon y allait sans aucune hésitation, elle sentait son épiderme se lever, descendre, caresser tendrement le membre de Belial en y donnant toujours plus de vigueur, et sentir qu'il réagissait à ses attentions.
Et se sentir réagir à celles de cet être du vice, en se mordant délicieusement la lévre inférieure pour ne laisser passer qu'une infime partie de ce qu'elle ressentait. Sa peau le traduisait, et le Nelshä tremblant et excité continuait sa folle course, faisant bouger sa matiére le long de la déesse cette fois, comme un serpent, se refermant sur les mains du démon, ou au contraire leur laissant liberté compléte sur le corps d'Hera.
-
Le corps de Belial réagit à l'extension du nelshä sur lui par sa propre émanation, ses tatouages gracieux et voluptueux qui vinrent s'enrouler et s'étaler sur la créature recouvrant encore la déesse, offrant comme une décoration supplémentaire alors que ces arabesques venaient pénétrer en profondeur la consistance du vêtement vivant, jouant avec lui comme le démon jouait avec la déesse, se tortillant de plaisir en le caressant de ses lignes délicates.
Pendant ce temps, Belial, lui, ne s'arrêta pas en si bon chemin. Héra l'excitait bien de son coté en s'occupant avec attention de son sexe, et celui ci branlait d'ailleurs obligeamment dans sa main, coulissant ainsi de lui même entre ses doigts, comme pour surligner son geste et son plaisir. La main du prince infernal auprès du bas-ventre de la déesse se fit alors plus aventureuse. Faisant fi de tout obstacle, elle continua à caresser langoureusement l'intimité offerte à elle. Avant de glisser, avec une délicatesse et une subtilité vicieuse, quelques doigts entre les lèvres exposées, et ainsi pénétrer lentement et soyeusement à l'intérieur de ce corps merveilleux. Sans se faire prier, les doigts s'agitèrent à l'intérieur, se frottant contre les parois du sexe de la déesse, pointant profondément en elle avant d'aller et venir avec un mouvement charmant dans cette antre. Ils exploraient et préparaient le terrain, éveillant d'autant plus les sens d'Héra par leur parcourt voluptueux. Dans le même instant, Belial enserrait plus intensément encore la poitrine de sa compagne, l'entourant d'un carcan de doigts avides et délicieux, qui prenaient soin de cette chair merveilleuse en la parcourant en tout sens aussi bien qu'en profondeur, soulevant ces délectables seins encore et encore sous ses étreintes, comme pour les maintenir constamment en mouvement sous ses caresses.
Alors, soudainement, Belial retourna brusquement Héra face à lui, la faisant tourner dans ses bras pour se retrouver ainsi devant elle, et de là pouvoir l'embrasser fougueusement, étreignant sa bouche de la sienne avec une sensualité ardente, goûtant avec délectation à sa saveur enivrante. Sous le mouvement, ses doigts s'enfoncèrent d'autant plus en elle, alors que son étreinte sur sa poitrine se resserrait.
-
Ooh oh ... Quel jeu amusant ! Elle ne savait pas vraiment qui avait le dessus sur l'autre - un démon versus une déesse, voici un combat interessant - mais sentait bien qu'il jetait autour de lui une atmosphére étrange. Oui, ça sentait le désir à plein nez, tout le monde pouvait le sentir. Et elle surtout. Sentir les doigt agiles du démon jouer avec son intimité lui procurait un plaisir tout nouveau. Le démon de vice ne faisait pas comme les autres, et jamais comme les autres. Il était unique en son genre - quelle chance de l'avoir croisé ! Le moindre des mouvements de Belial lui faisait un bien fou, qu'elle exprimait par un frisson onctueux ou un délicieux petit bruit sortit du fond de ses entrailles. Pas un gémissement comme les autres, non, Hera n'aimait pas le conformisme, mais un gémissement qui glissait, virevoltait pour mieux rebondir dans l'air et venir caresser les tympans du démon. Elle laissait glisser ses mains sur le démon, sans aucune pudeur ni timidité, afin d'exciter davantage cet être rempli d'envie. Ses cheveux étaient lâchés tout autour d'elle, glissant comme des ombres de serpent sur la peau de la déesse, et caressant celle de Belial, délivrant une douce odeur incongrue.
-
L'atmosphère s'alourdissait, devenait plus torride alors que Belial continuait ses gestes avec sa compagne. Et contaminait lentement mais surement leur entourage. Déjà, des cols s'ouvraient sous l'effet d'une chaleur moite envahissant les corps de l'assistance, un désir intense s'emparait d'eux, tandis que quelques gestes et caresses débutaient parmi les spectateurs; Ce n'était qu'une question de temps avant que tout l'endroit soit plongé entièrement dans l'acte que produisaient le démon et la déesse.
Démon qui, le sourire aux lèvres, entreprit de continuer son geste, à savoir aller et venir dans l'intimité d'Héra, la caresser toujours plus vite et profondément de ses doigts délicats. Il s'enfonçait loin en elle, glissant et caressant cette antre chaude et délicieuse. Son baiser se prolongea, unissant ses lèvres aux siennes en une embrasse interminable, comme si il voulait la priver à jamais de son air. L'autre main, elle incitée par celles d'Héra sur sa peau en train de le caresser langoureusement, revint parcourir le corps de la déesse, glissant sans soucis sous le nelshä pour étreindre sa peau partout où il le pouvait. La partie de son corps la plus excitée, quand à elle, vint se frotter affectueusement contre le ventre de la "jeune femme", serpentant gracieusement dessus un moment, alors que tout le corps du démon suivait et se collait à celui d'Héra, lui communicant sa chaleur et sa passion...
-
Une ambiance qui collait à la peau et au vêtement de la déesse. Pour la premiére fois, le Nelshä tomba sur le sol. Lui qui ne quittait jamais la peau de la belle, quitte à ne devenir en cas d'extrême urgence une unique perle dans sa chevelure, venait de s'ecrouler par terre, laissant la belle nue devant le demon. Ses douces caresses gllissaient le long de son corps, se glissant partout, s'insinuant avec delicatesse sur le corps et l'entrejambe de Belial, tandis que sa voix ne se lassait pas de laisser partir quelques gémissements doux dans l'air. Sa main devenait de plus en plus sûre et quelque peu violente ( evidemment ... ) dans ses mouvements et griffait presque le membre tendu de Belial, tandis que son autre main caressait son dos avec une vigueur extrême, appuyant sur ses muscles avec passion. Elle se rapprocha davantage, le baiser aussi chaud que le desert a midi au mois d'aout. Elle sentait les doigt de belial qui la stimulait, et sentait l'atmosphére tendue et torride.
-
[hrp]désolé du retard, soucis de temps d'ordi ces derniers temps! :-[[hrp]
L'atmosphère était à présent devenue presque tangible tant elle était intense, nourrie par les sentiments et sensations des deux êtres fantastiques qui se côtoyaient de la sorte. Le pouvoir du prince du vice, laissé libre d'agir par simple désir de son possesseur, expulsait tout autour d'eux ces sensations, qui contaminaient les passants, et leur faisait ainsi tout à fait oublier les ébats qu'ils avaient devant les yeux. Sans parler que cela commençait à les pousser à entamer les leurs. Une ambiance parfaite pour illustrer tout cela et les entourer.
Car pour l'heure, le prince infernal s'en donnait à cœur joie avec sa divine compagne. Elle s'y prenait elle aussi très bien pour le stimuler, et ces délicieuses sensations l'envahissait avec délectation. Mais l'heure des préliminaires demandait à présent plus d'action, et le démon s'en ferait une joie d'en apporter. Leur baiser ardent se prolongea intensivement, alors que la langue sinueuse du prince du vice semblait presque vouloir aller jusqu'a la gorge de sa compagne, tant son ballet et son entortillement devenaient profonds. Sa main continuait sa danse à elle sur le corps de la déesse, mais en descendant sensiblement, petit à petit, pour finalement parvenir sur ses hanches, qu'elle malaxa tendrement.
Puis, soudainement, l'autre main se retira de l'entre-jambe d'Héra. Mais la déesse n'eut pas le temps de s'offusquer de la chose que déjà, les bras puissants, bien qu'attentionnés, du prince du vice la soulevait par les hanches. Profitant de sa taille pour ne pas interrompre leur embrassade pour autant, Belial glissa voluptueusement ses doigts sur les fesses dénudées de sa compagne, les étreignant avec une passion pressante. Puis, sans plus se retenir, il fait descendre l'arrière-train divin, tandis que ses propres hanches montaient à sa rencontre. Héra se retrouva ainsi tout à coup pénétrée par le prince infernal. Mais ce ne fut ni en force ni en violence, plutôt comme un glissement soyeux et agile, un membre louvoyer et charmeur qui rentra d'un coup dans son intimité sans pour autant la brusquer, s'enfonçant dans ses entrailles d'une montée gracieuse et délicieuse.
Alors, à peine la rencontre entamée et la dague logée dans son fourreau, que les hanches de Belial se mirent à se mouvoir contre l'entre-jambe de la déesse, entamant un soyeux mouvement de vas et viens en elle, sur un rythme composé et décalé comme pour surprendre son corps et y aller et venir sans ordre ni constance, tout dans le chaos du mouvement pénétrant. Ses lèvres n'avaient toujours pas lâchées celles de la déesse....
-
Oui, la déesse était surprise. Il lui avait promis au début de la rencontre qu'il la surprendrait, qu'elle oublierait vite les humains. Effectivement, cette sensation , cette penetration, était bien différente de celle des autres être humains. Ce n'était pas immonde, violent, vulgaire et douloureux, non, c'etait délicieusement horrible, anormalement délicat. Son buste se souvela pour une respiration etrange , sans quitter la bouche du démon pourtant, lorsqu'elle le sentit en elle. Humm ... ce moment valait toutes les nuits avec Zeus qu'elle avait pu passer ... Une telle sensation de désir qui montait, ce plaisir qui bloque votre ventre, vos cuisses, qui passe et vous chatouille, faisant monter trés haut le thermométre, elle ne l'avait pas connue depuis longtemps. Décidement, une déesse et un démon , c'était le coktail explosif ... Chaque mouvement faisait monter tout en elle, et le rythme décalé la surprenait. Elle lâcha un instant les lévres du démon, sa main glissant dans son dos pour le griffer avec un sourire légérement sadique.
- Tu sais qu'il en faut beaucoup pour me faire trés plaisir, Belial, lança t'elle sur le ton du défi.
Les défis, à chaque instant, étaient ses péchés mignons. Elle sentit doucement ses yeux devenir rouges, comme à chaque fois que le plaisir montait en elle. Elle recolla ses lèvres contre les siennes, avec force et tendresse, un mélange parfait ...
-
La réponse de Belial ne se fit pas attendre, subtile et vicieusement charmeuse, juste avant que les lèvres de la déesse ne cèlent les siennes.
Mais j'espère bien me montrer à la hauteur, chère Héra.
Il laissa alors sa bouche s'abandonner à la sienne, sa langue venant s'enfoncer sans retenue pour happer sa consœur et l'étreindre violement. Il goûtait lui même avec plaisir à ce baiser passionné et violent, où pourtant dans lequel se mêlait une subtile délicatesse dans leur mouvement d'embrassade, qui sembla se prolonger indéfiniment. Mais tout le reste n'était pas oublié, loin de là. Les mouvements des reins du démon changèrent, pour partir en cercles concentriques en s'enfonçant dans l'entre-jambe de la déesse. Sans pour autant y insuffler un surplus de vitesse, Belial se contente de faire tourner et retourner son membre à l'intérieur d'Héra, comme un mouvement soyeux et savamment calculé, faisant frotter et s'enfoncer sa virilité tout autour à l'intérieur de sa partenaire. Participant à la manœuvre, ses mains agrippaient franchement les fesses de la déesse, soutenant et soulevant son corps pour ensuit el rabaisser sur ses propres hanches. Sous le coup du désir qui monta en lui, Belial crispa un instant ses doigts, griffant légèrement et délicieusement l'arrière-train de sa partenaire. Ses lèvres, comme galvanisées, quittèrent alors à regret un instant celles d'Héra, pour d'abord venir embrasser tendrement le reste de son visage. Puis les baisers descendirent dans le cou, le parcourant de part e part de ses caresses. Pour finalement terminer sa descente sur la poitrine de la déesse, qu'il se mit alors à recouvrir de sa langue sinueuse, laquelle vint caresser langoureusement chacun des seins, se glisser à leur naissance pour mieux les lécher, en une sorte de ballet soyeux et doucereux, accompagnée de ces lèvres insatiables qui dévoraient presque cette poitrine de leurs ardentes embrassades, en de longs mouvements délicats et harmonieux....
-
Le démon du vice était vraiment une de ces personnes qu'Hera aimait : il savait y faire. Il savait comment une femme fonctionnait, comme elle pouvait recevoir du plaisir, quitte à en donner plus à la personne qu'a lui même. C'était vraiment un parfait démon, qui sûrement avait était éduqué par ce cher Satan lui même, qui au lit disait-on égalait chaque personne. Ses mains ne quittaient pas la peau de Belial, s'insinuant partout, glissant, se baladant avec un délice et une violente merveilleuse, digne d'elle. Quand on la voyait se battre, on devinait tout d'elle. Et là, elle ne pouvait que pousser des gémissements et passer ses mains sur lui, immobilisée par tant de plaisir. Elle glissa ses doigts dans les cheveux du démon, le caressant, un sourire sur les lèvres.
- Je vois que ... tout commence bien, dit elle en souriant.
Elle eut un mouvement de tête, celle ci se rejetant en arriére, sentant un halo de chaleur se créer autour d'elle, tandis que ses cuisses se serraient davantage autour de lui, et que ses mains se crispaient au fur et à mesure que son sang se figeait, le plaisir l'attrapant avec perversité.
-
Belial se laissa griser par les caresses de la déesse, la laissant parcourir tout son corps à sa guise, profitant du soyeux toucher passionné de ces doigts charmeurs. Ses propres doigts répondirent à cet appel, et à leur tour vinrent caresser le corps offert de sa compagne. Adoptant des caresses lentes et sensuelles, prenant le temps de bien souligner chaque trait, d'étreindre chaque rondeur de chair, d'effleurer chaque creux. Ni violence ni brusquerie, juste de tendres reteintes sur le corps de la déesse. En parfait et délicieux contraste avec ce qui se passait à présent plus bas. Car à présent que les mains de Belial vaquaient sur Héra, plus rien ne retenait, si ce n'est le membre fiché en elle. Qui du coup, sous la propre pression naturelle du corps de la "jeune femme" s'enfonça encore plus loin en elle. Sous cet aflux, les coups de rein de Belial en furent ragaillardis, devenant plus vifs et pénétrants devant cette entre-jambe qui se soulevait à chaque impulsion de hanche, s'arquait au moindre vas et viens., visant leur deux corps ensembles, les liants a chaque mouvement, communiquant chaque sursaut à l'autre par ce sexe vigoureux.
Sa bouche n'était pas en reste. Toujours affairée sur la poitrine de la belle, ne réduisant en rien ses baisers et léchouilles, elle en vint à venir mordiller les tétons exposés de la déesse, s'appliquant dessus avec délectation et envie, les durcissant sous l'effet de ses attentions vigoureuses. Et c'est entre deux mordillements qu'il répondit d'une voix charmeuse et scabreuse à souhait.
Et tout cela n'attend que toi pour continuer encore mieux.....