Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Shiroi Nakami le mardi 29 avril 2014, 16:03:01
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Shiroi devait se l'avouer. Il avait peur. Non pas d'obéir aux ordres de son maître, non cela il savait que c'était sa place, mais de ce que cela signifiait. Bien sûr le jeune homme ignorait tout de la situation économique de l'établissement dans lequel il travaillait, et de fait sa situation présente ne pouvait avoir qu'une signification. Si son maître le vendait c'était qu'il n'était pas satisfait de lui, pourtant il n'était pas redescendu dans les caves très souvent ces derniers temps, et si la simple pensée des ténèbres lui causa un frisson tout le long du dos il demeurait focalisé sur ce qui allait lui arriver... Vendu... Tout d’abord il ne s'en était pas inquiété, car après tout c'était aussi le terme qui était employé des fois lorsqu'un client louait ses services, mais lorsqu'un des esclaves à côté del ui lui avait expliqué cela en détail il fut consterné... Certes il semblait ne pas être le seul dont le maître semblait avoir été mécontent, mais cela n'apaisait nullement l'amertume qu'il éprouvait quant à cela, persuadé d'avoir mal agi, mais ignorant en quoi.
Pensivement il retraça comment les événements s'étaient déroulés. Comme souvent lorsqu'il n'était ps sollicité la nuit il s'était réveillé de lui même à l'aube, et s'était vêtu de sa tenue de travail, un haut résille et moulant et un short court, tout deux noirs, mais avant même qu'il ne rejoigne la grand salle pour déduire les clients qui y seraient présents le maître l'avait interpellé, puis lui avait passé un collier ornée de pierre noir, de l'obsidienne, autour du cou. ce dernier ressemblait à celui qui lui faisait arborer certains clients en fonctions de leurs fantasmes, et Shiroi s'était tout simplement attendu dans un premier temps à une réservation sur sa personne, le matière ne lui en disant pas un mot. Ce ne fut qu'une fois mené à une pièce vaste mais à l'hygiène douteuse et où étaient déjà présent une dizaine d'esclave du bordel, tous parqués comme des animaux... Le maître l'y avait poussé sans ménagement et depuis il y attendait, ayant simplement interrogé un peu ses congénères pour en savoir plus.
Il était désormais à l'écart, la plupart des autres esclaves ne l'avait jamais vraiment apprécié, car si au bordel ceux qui étaient libres avaient des fois pris ce travail par choix, et affectionnaient le jeune homme qu'était Shiroi, il n’était nul autre esclave dans cet établissement qui appréciait ce qui lui était désormais imposé. De fait Shiroi était vu par eux comme une vermine un lèche botte et sa satisfaction permanente de sa condition et sa candeur n'avaient nullement contribué à son intégration... Mais comme à son habitude le jeune homme ne s’était pas soucié de cela, tant que son maître étai content...Et même son amertume à l’idée de sa vente finit par s’effacer, se disant que c'était simplement la volonté de son possesseur et qu'il devait l’exécuter, et le regard levé vers le plafond, d'où filtrait un peu de lumière il entonna une petite comptine.
Et il laissa son esprit simplet être emporté par cette dernière. ainsi il ne vit pas le temps s'écoulait, ne prêtait pas attention aux protestations et gémissements de ses semblables... Il manqua même de peu de ne pas se relever quand l’ordre lui en fut donné alors que la porte s'ouvrait. D'autres restèrent au sol dans la cellule protestant, le claquement du fouet eut tôt fait de les remettre sur pied. Premier à s'être présenté, Shiroi fut ainsi celui en tête de la file qui fut formé, la chaîne pendant à leur collier étant accroché à celle de l'esclave les devançant.
Et ce fut ainsi qu'ils quittèrent le bordel, par la porte de derrière afin de ne pas effrayer les clients. Le maître ouvrait la marche, tenant la chaîne de Shiroi, qu'il n'eut guère besoin de tirer le jeune homme suivant docilement son rythme, et entraînant les autres à sa suite. Néanmoins l'esclave gardait la tête relevé contrairement à ses congénères. Confiné la majorité du temps dan le bordel il savourait chacune de ses sorties, contemplant toujours avec émerveillement les façades des bâtisses, et manifestant une curiosité encore plus grande face à ce qu'il voyait pour la première fois. néanmoins un coup de cravache à l'épaule apaisa sa curiosité. Le maître paraissait tendu, nerveux, et le comportement de Shiroi n’était pas approprié pour ce qu'il comptait faire, et il le lui faisait comprendre.
Ils arrivèrent ainsi jusqu'au marché aux esclaves, le soleil était haut dans le ciel, l'heure à laquelle il y avait le plus d'acheteurs potentiels, réunis devant l'estrade où les lots les plus divers et variés étaient présentés, les acheteurs faisant monter les prix à grands renforts d'enchères, certains rivalisant même pour un esclave juste afin de mener une lutte "civique" avec un concurrent. Les derniers lots présents étaient en train d'être vendu, ce qui signifiait qu'à peine arrivés, Shiroi et ses camarades seraient mis en vente par lot ou un par un. Pour sa part l'esclave s'appliqua à garder le regard baissé, cette posture semblant satisfaire son maître, alors qu'ils longeaient la foule pour passer derrière l'estrade à laquelle ils monteraient en étant présentés aux potentiels acheteurs... Et alors le maître s'adressa à Shiroi.
"...Tu passeras le premier, alors tu as intérêt à faire bonne figure. Aujourd'hui je me sépare de toi, mais déçois moi et je te le ferai payer ! Je n'ai pas passer 21 ans à t'engraisser pour que tu me déçoives maintenant. Le vendeur va te présenter et tu vas te mettre à genoux face aux acheteurs, essaye de les exciter, s’ils demandent à te voir sous un autre angle tu t’exécutes, s'ils veulent t'examiner fait de même ! Si tu fais de ton mieux peut être trouveras tu mieux que moi, mais j'en doute"
Il eut un petit rire cruel en tapotant la joue de son esclave. Ce dernier n'y réagit même pas, il y sourit même, il en avait l'habitude et se contentait de hoche la tête pour signifier à son maître qu'il ferait de son mieux. Il ne tarda pas à être détaché du reste de la file et un brusque bourrade dans le dos lui fit comprendre qu'il devait monter sur l'estrade, ce qu'il fit s'avançant avec souplesse sur l'estrade regardant brièvement la foule amassée à ses pieds, se demandant lequel deviendrait son nouveau maître...et un peu angoissé à cette idée.
En effet en dépit des divers clients il avait toujours eu qu'un seul et unique maître de toute sa vie et bien qu'on lui avait appris qu'il pourrait en avoir d'autres cette idée l'inquiétait, bien qu'il lui adresserait la même loyauté... Néanmoins il s'agenouilla comme il lui avait été dit faisant face à la foule, la chaîne de son collier pendant sur ses cuisses alors qu'il affichait un léger sourire et qu’un regard qu'il avait su emplir d'un faux désir fixait un point au loin, afin de ne pas offusquer les maîtres potentiels en les fixants mais aussi aviver leur envie...
"Le lot n°72 est constitué d'un seul esclave, mâle, âgé de 21 ans, doté d'une pigmentation capillaire bleu naturel, il appartient à l’établissement "Luxure carmine" et ce depuis sa naissance, il a été ainsi formé aux plaisir de la chair depuis longtemps et possède une grande expérience dans le domaine. Qui plus est élevé dans ce but depuis toujours, il fait preuve d'une grande docilité et vous obéira en tout ! Enfin dernière détails, mais pas des moindres, il s'agit d'un Esper ! Mise à prix 35 000 pièce d'or ! Qui prend à ce prix?"
Une main se leva pour prendre à ce prix, que Shiroi ne vit pas, puis une voix se fit entendre demandant à ce que l'esclave se relève et se tourne afin de pouvoir l'estimer de dos, ce que Shiroi fit avec une grande sensualité, s’exécutant tout en se déhanchant légèrement ,s tenue mettant en valeur son corps...Mais peu après une autre voix se fit entendre, moqueuse.
"Lui, un Esper ? Ses parents l'étaient mais ça ne veut rien dire ! On a jamais vu son pouvoir, et les billes d'osbidiennes de son collier ne prouvent rien, hein, l'Esper raté ?"
Shiroi reconnut là la voix d'un de ses anciens clients, un de ceux aux demandes qui meurtrissaient le plus son corps et qui se plaisait à le rabaisser, ce qui ne dérangeait nullement le jeune homme qui se pliait à toutes les exigences...mais i l fut pris au dépourvu par ses propos, ne sachant comment réagir, mais pourtant, presque par automatisme, son corps continua à se mouvoir avec grâce se montrant sous différent angles avant de se remettre à genoux, reprenant son attitude précédente, bien que son souffle était légèrement plus pesant de par l'angoisse qui l'animait, alors qu'à chaque visage qu'il apercevait il se demandait s’il s'agissait là de son nouveau maître ou de sa nouvelle maîtresse.
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« Combien pour cette neko ?
- Comme vous le voyez, Madame, sa dentition est bonne, et son hygiène...
- Elle est un peu rebelle, je le concède, mais...
- Cet homme fera un parfait gladiateur, oui... Voyez ses muscles, voyez ses cicatrices, n’est-ce pas là le signe d’un guerrier expérimenté ? Il a tué une hydre, saviez-vous ? »
Ce n’était pas la Place du Marché de Nexus, mais la foire aux esclaves d’Ashnard attirait de plus en plus de monde. L’expansion territoriale insatiable de l’Empire y était sûrement pour quelque chose, et on trouvait un choix d’esclaves de plus en plus important en allant à la foire, qu’il s’agisse des guildes esclavagistes éduquant les esclaves depuis des années pour les vendre au prix de fort, ou les chasseurs ayant capturé des Terranides, et les enfermant des cages pour les vendre ensuite à leurs maîtres. Les petits Terranides étaient généralement prostrés dans leur cage, les oreilles basses, un collier en cuir autour du cou, tandis que d’autres, éduqués depuis l’enfance à la servitude, marchaient à quatre pattes en se frottant tendrement contre les jambes de leur éventuel mentor. Il y avait pas mal de stands, notamment des esclavagistes venant des califats ashnardiens. Les marchands proposaient des danseuses exotiques avec des tenues élégantes et sophistiquées. Quelques gardes surveillaient tranquillement la place, qui se tenait à l’orée du Palais Impérial, le Palais étant après tout le cœur de la ville, mais aussi le cœur de l’Empire. On trouvait ainsi des conseillers impériaux, de hauts-fonctionnaires, des militaires... Les plus puissants amenaient leurs intendants à leur place, ces derniers observant scrupuleusement ce qu’on leur avait dit de faire.
Mélinda était là en personne, reconnaissable dans sa robe dorée, et était en train d’inspecter une neko, la câlinant. La belle neko était encore trop jeune pour servir comme prostituée dans son harem, mais Mélinda aurait ainsi le temps de la former. Elle venait souvent lors de la réunion des foires, afin de renflouer son harem et les extensions de ce dernier. Son activité était florissante, et elle commençait à avoir des activités secondaires, notamment auprès de partenaires commerciaux, comme les Karistal, Evangeline, ou encore comme la princesse elfique Lystanill.
« Mraaawww... Rrrrr... Rrrrr…
- Vous voyez comme elle est affectueuse ? Elle adore les câlins ! »
Un léger sourire éclaira les lèvres de Mélinda, qui se redressa alors, et commença à négocier le prix avec le marchand. Elle était accompagnée de son avocate, l’une de ses esclaves qui s’appelait Marina (http://gooloo0-o.deviantart.com/art/Commission19-282110411?q=gallery%3Agooloo0-o%2F14001384&qo=18), et dont la seule e tunique cliente était sa Maîtresse. La belle Marina s’assurait qu’on ne cherche pas à les rouler, mais le négoce se passa plutôt bien, et Mélinda repartir avec la petite neko, qui avait une laisse autour du cou. Elle continuait encore à ronronner, un sourire épanoui sur les lèvres, heureuse d’avoir une maîtresse. Celle-ci avait été éduquée pour être une parfaite esclave, et, de ce point de vue, elle s’en sortait plutôt bien.
Les emplettes de Mélinda conduisirent cette dernière à une vente aux enchères amiables organisées par un esclavagiste qui rencontrait des problèmes financiers. Comme quoi, l’esclavage n’était pas, contrairement à ce que les préjugés disaient, la source assurée du profit et de la réussite économique. Beaucoup d’entrepreneurs se cassaient aussi la figure, car la concurrence était plutôt acharnée. Un jeune homme était en train d’être vendu, et un certain tintamarre était en train de résonner.
« Il n’a aucun pouvoir magique, c’est de l’escroquerie ! » tempêtait un client.
Le produit était vendu 35 000 pièces d’or, ce qui était une somme extrêmement élevée. Un prix correspondant généralement à un ESPer de première qualité, mais, visiblement, il y avait un problème avec ce dernier. L’esclave semblait docile et soumis, mais il n’avait aucune particularité physique. Nonobstant ses prétendues facultés d’ESPer, Mélinda estimait pouvoir le vendre à 2 000 pièces d’or pour faire une bonne affaire. Les femmes se vendaient toujours à meilleur prix que les hommes.
Mélinda désigna Marina, et l’avocate se rapprocha, puis intervint :
« La loi interdit de vendre un esclave dont les pouvoirs magiques ne sont pas clairement apparents ! Si cet ESPer a des pouvoirs latents, alors il ne peut pas être vendu comme un ESPer. »
C’était aussi simple que ça. L’idée était d’empêcher les arnaques et les escroqueries, comme un esclavagiste vendant un produit à 25 000 pièces d’or en le faisant passer pour un mage ayant des pouvoirs magiques latents, alors que, en réalité, il avait un potentiel magique virtuellement inexistant.
« Je vous le prends 2 000 pièces d’or, intervint Mélinda. Au-delà, il n’y a que les pigeons qui vous le prendront ! »
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Face à la plainte du premier client le commissaire priseur répondit que de toute façon quelqu'un avait déjà levé la main et qu'il n’était pas possible de se rétracter. Néanmoins l'agitation croissait au cœur de la foule, certains réclamant à ce que lui soit retiré le collier d'obsidienne pour voir si les accusations portées étaient véridique, d'autres protestant le contraire, disant qu’il serait inconscient que de laisser un esclave même si docile, récupéré ainsi la possibilité d’user de ses pouvoirs. Et sur l'estrade Shiroi commençait à s'inquiéter de toute cette agitation. Il ne comprenait à vrai dire pas tout ce qui se passait, si ce n'était que cela déplaisait sûrement à son maître dont il pouvait entendre les grognements de frustration derrière l'estrade... Mais soudainement le silence se fit quand une voix, une femme, se fit entendre depuis la foule, parlant assez fortement pour couvrir le brouhaha et que ses mots soient clairement compréhensible de tous, même de Shiroi qui comprit ce qu’elle voulait dire. Le vendeur l'avait présenté comme un ESPer alors que son pouvoir ne s'était jamais manifesté e cela semblait interdit. Son maître s'était il donc trompé ? Une idée qui était incapable d'effleurer l'esprit de Shiroi de par son profond respect pour ce dernier.
Mais justement, suite à cette déclaration le maître lui même de Shiroi monta sur l'esclave et commença à parler à voix basse avec le commissaire priseur, mais de sa position le jeune homme pouvait tout entendre, même s'il ne comprit pas tout.
"Je vous l'avais dit ! Vous m'avez demandé de m'être un prix de départ trop élevé, si vous en aviez demandé seulement 20 000 cela aurait bien moins éveillés les soupçons."
"Mais j'ai besoin de cet argent ! Si tout mes esclaves se vendent à ce prix je ne vais pas avoir assez pour me renflouer !"
"Ce n'est pas mon problème, vous ne pouvez pas vous rétracter maintenant, à moins de me payer le double et je ne tiens pas à avoir d'ennuis avec la justice."
Alors le maître se tourna vers Shiroi, lui adressant un regard hargneux. Le jeune homme connaissait ces yeux. C'étaient là ceux qu'il affichait quand il allait le frapper, mais il ne le fit pas, au grand soulagement de l'esclave qui ignorait que ce n'était pas l'envie qui lui en manquait, mais la nécessité qui le lui imposait. il ne devait pas se donner davantage en spectacle et ce serait déjà un miracle si quelqu'un lui achetait l'ESPer déficient...
C'est alors qu'une voix s'éleva, familière pour nombres des individus présents, et la foule s'écarta quelque peu, respectueuse à l'égard de Melinda Warren, et tout aussi craintive. Un maigre sourire vint alors illuminer le visage du maître de Shiroi, malgré les dires sévères de la jeune femme le fait qu'elle achète un de ses esclaves, fusse à un prix aussi bas, sachant qui plus est qu'il était un homme allait contribuer à ses yeux à faire oublier l'incident. Qui plus est essayer de marchander dans sa position aurait déjà été de la folie, mais ce d’autant plus avec la vampire... Ainsi li les contenta de faire signe au commissaire priseur d'adjuger la vente, ce qu'il fit, avant d'aller saisir la chaîne du collier de Shiroi, qui pour cette fois comprenait très bien ce qui se passait.
Ainsi il fut laissé un passage à travers la foule entre le maître et Melinda, le propriétaire du bordel tirant Shiroi derrière lui jusqu'à finalement arriver devant la vampire, lui tendant la chaîne et prenant brièvement la parole.
"Vous verrez il est très docile...Mets toi à genoux Shiroi..."
Mais le jeune homme n'obéit pas se contentant de garder la tête baissée, le regard rivé au sol, déglutissant juste brièvement, mais gardant le silence, le maître se répéta alors, énervé.
"Tu ne m'as pas entendu! A genoux et reconnaît Melinda comme ta maîtresse."
A nouveau il se retenait de peu de le frapper... Mais cette fois ci Shiroi répondit, d'une voix qui bien que soumise était plutôt jolie, claire et audible, bien qu'un peu hésitante.
"Je... Je n'obéis qu'à ma maîtresse, monsieur."
L'intéressé manqua de s’étrangler face à cette nouvelle humiliation alors que des rires discrets répondaient à la réplique de l'esclave. Néanmoins il ne pouvait clairement plus porter la main sur Shiroi sans offenser Melinda. Il se contenta ainsi d'un juron étouffé avant de tendre la main vers la vampire pour avoir son argent.
Après coups un léger tressaillement parcourut Shiroi qui se demandait s'il avait bien fait de prendre ainsi la parole... Pourtant il connaissait parfaitement les « règles » qu’on lui avait inculqué et il n’avait fait que les appliquer. Certes Son ancien maître n'avait pas encore reçu l'argent sellant la transaction, mais ayant été adjugé Melinda était sa maîtresse et malgré tout ses années de service auprès du propriétaire du "Luxure Carmine" Il n'avait fait que ce qui lui semblait au mieux... Mais en vérité ce qui lui faisait peur c'était la crainte d'avoir dès le début offenser sa maîtresse.
Après tout elle ne lui avait pas donné la permission de prendre la parole...Et il crut bon d’essayer de se rattraper en disant d'une voix un peu plus forte, gardant la tête baissée.
"Et veuillez me pardonnez, maîtresse, d'avoir pris la parole sans en avoir reçu l'ordre."
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La fortune de Mélinda, son insolence et sa singulière beauté, faisaient d’elle, aussi bien un objet de respect que de convoitise. Même si elle bénéficiait de ristournes fiscales, les impôts qu’elle devait payer à l’Empire étaient relativement élevés, ce qui était le signe qu’elle était fortunée. C’était d’autant plus inacceptable pour certains que les Warren avaient été complètement dépouillés lors de la Guerre Civile. Ils avaient décidé de soutenir le mauvais camp lors de la révolte contre le Roi Cramoisi, et le résultat avait été à la hauteur de leur chute : ils avaient tout perdu. Tout. Des Warren, il ne restait plus que Mélinda et Bran, et le misérable harem que les Warren détenaient à Ashnard. Les Ashnardiens qui avaient chassé l’Empereur Fou avaient choisi de laisser Mélinda à la tête du harem, en espérant que la jeune femme s’écroule, et ne finisse esclave d’un quelconque conseiller impérial. Contre toute attente, Mélinda avait réussi à reconstruire le harem, en faisant maintenant l’un des commerces les plus rentables de la capitale impériale, attirant à lui bon nombre de clients venant de tous les coins de l’Empire. Comble de l’ironie, Mélinda bénéficiait même de la protection d’une partie du Conseil Impérial, d’où les quelques assouplissements fiscaux dont elle avait réussi à bénéficier. La vérité était que Mélinda n’avait jamais aimé son père, et qu’elle ne pouvait qu’être gratifiante envers les Ashnardiens d’avoir pu l’amener à accomplir sa vengeance en le tuant.
Le maître actuel du jeune esclave, qui s’appelait Shiroi, sembla ravir de savoir que c’était elle qui allait l’acquérir. Il lui certifia que le jeune homme serait docile, tandis que la clameur commençait à se calmer. Derrière les jambes gracieuses et pâles de la vampire, la petite neko qu’elle avait acheté commençait à avoir peur, en voyant tous ces regards et tous ces gens autour d’elle, et veillait donc à rester très proche de sa Maîtresse. En attendant, Mélinda avait planté son regard dans celui de Shiroi, tout en se rapprochant de l’estrade. Le jeune homme refusait de s’agenouiller, malgré les ordres de son actuel propriétaire, et lâcha alors, d’une voix douce, mais un peu trébuchante :
« Je... Je n'obéis qu'à ma maîtresse, monsieur. »
Cette phrase, insolente, provoqua l’hilarité de la foule. Mélinda sourit légèrement. Techniquement, comme elle ne l’avait pas encore acheté, Shiroi restait l’esclave de son maître, et, vu que ce dernier s’étranglait dans le dos de l’esclave aux cheveux bleus, il était certain que, si Mélinda ne le prenait pas, il se ferait battre. Sa langue caressa brièvement ses lèvres, alors qu’elle réfléchissait, tout en se rapprochant. Pour les badauds, c’était là une belle animation, et l’occasion de bander un peu en voyant la belle robe de Mélinda Warren, ainsi que sa chevelure interminable. La vampire se plaça ainsi devant Shiroi, qui poursuivit alors, en baissant respectueusement la tête :
« Et veuillez me pardonnez, maîtresse, d'avoir pris la parole sans en avoir reçu l'ordre. »
Comme la plupart des esclaves, Shiroi était nu, avec seulement un vêtement pour cacher la vue de son sexe, et un collier autour du cou. Mélinda réfléchit brièvement, cherchant surtout à ménager le suspens, puis reporta son attention sur l’actuel propriétaire de Shiroi, ce maître ruiné. Un ravissant sourire éclaira alors ses lèvres.
« On me dit que votre négoce est en train de partir à và-l’eau... Qui sait ? Peut-être que l’achat de cet esclave pourra être le début de relations commerciales profitables entre nous deux... »
Comme toutes les entreprises en faillite, celle-ci allait passer par le biais des procédures collectives. Elle était d’ailleurs peut-être déjà en situation de redressement judiciaire, phase préliminaire à la liquidation judiciaire, où le principe était d’essayer d’épurer le passif, dans la limite de ce qui était matériellement possible. Néanmoins, d’autres personnes pouvaient aussi en profiter pour racheter l’entreprise défaillante, et tenter de la remettre sur pied. C’est ce que Mélinda avait fait en rachetant une importante guilde, il y a quelques temps de ça. C’était une chose qu’elle avait pu accomplir grâce à la vente très lucrative de Theorem*, mais rien ne l’interdisait de recommencer à nouveau.
Sa main se tendit vers Shiroi, et elle lui caressa tendrement la joue. Vu l’empressement de ce dernier à l’appeler « Maîtresse », il devait être impatient à l’idée d’être son esclave.
« Agenouille-toi, Shiroi, et lèche-moi les pieds. »
Mélinda portait des sandales dorées à lacets, fines et élégantes, et découvrant ses pieds. Elle regarda ensuite le maître.
« Pour sa docilité, et parce que je suis d’une âme extrêmement généreuse, je vous le prends 2 500 pièces d’ors, offrit alors Mélinda, mais ce sera tout. Pour le reste, n’hésitez pas à prendre rendez-vous chez moi si vous ovulez sauver votre entreprise. »
Elle, de son côté, allait repartir avec deux esclaves.
* : Cf. RP « Vente de biens et services (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=13197.0) ».
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Le maître s'était simplement attendu à ce que Melinda lui donne son argent et s'en retourne avec l'esclave... mais ne se contentant même pas de simplement sourire face à l'insolence de Shiroi elle s'adressa à lui et lui fit une offre... Et un instant la peur put sel ire dans ses yeux. Pour rien au monde il n'aurait manqué de respect à la vampire, mais il connaissait aussi sa réputation et il savait pertinemment qu'en cas de marché elle y était toujours gagnante, mais restait à déterminer si lui aussi le serait, ou bien s'il ne serait qu'un simple pion entre les mains de la vampire et en paierait le prix. Cependant sa situation était telle qu'au vu de la vente minable de Shiroi et bien que les enchères de ses esclaves semblaient se poursuivre un lot de trois terranides étant alors mis en vente, il savait très bien que la recette ne lui permettrait pas de rembourser ses créanciers, et que dans ce cas son sort ne serait de toute façon guère plaisant. Au final il ne répondit pas dans un premier temps à l'acheteuse, se contentant de la regarder tout en réfléchissant, ne prêtant même plus attention à Shiroi.
Ce dernier pour sa part, bien que gardant la tête baissé n'avait pu s'empêcher un large sourire innocent quand il avait constaté que ses mots n'avaient nullement offusqués sa nouvelle maîtresse, d'autant plus qu'il avait commencé à craindre que les cicatrices que lui avaient laissés les punitions qu'il avait subi, difficilement visibles depuis l'estrade, ne la répugne finalement. Sourire qui s’agrandit quand cette dernière passa sa main sur sa joue. Un geste et une attitude douce qui chassèrent les quelques craintes que l'esclave avait à l'idée de changer de maître, et l'amenèrent à obéir sans la moindre hésitation, se mettant à genoux et baissant le visage, les mains à plat au sol pour assurer son appui et le visage face aux pieds de sa maîtresse il commença à les lécher avec douceur, les yeux mi clos, néanmoins il ne s’exécuta pas tel un chien, avide, ou tel un individu qui assouvissait un fantasme. Non sa gestuelle visait à rendre cette simple caresse aussi plaisant que paisible, comme on le lui avait toujours appris, même pour le plus banal des préliminaires.
Et cela ne le gênait nullement elle n'était pas la première à lui demander cela, nombre de ses clients le lui avaient demandé, néanmoins il ne put s’empêcher de constater...Bien qu'appartenant avant à un autre maître ce dernier ne lui avait jamais demandé une chose telle, contrairement à ses clients...Et à sa nouvelle maîtresse. Cette idée lui plu et il s'appliqua d'autant plus, passant sa langue avec douceur et habilité, sans jamais effleurer les sandales afin de ne pas les souiller de sa salive et caressant les zones qu'on lui avait apprise comme étant communément les plus sensibles et agréables à caresser ainsi, bien qu'elles pouvaient varier d'un individu à 'autre... Et bien que lui même ne gagnait rien à cela il aimait cela. Il avait appris à aimer cela, de la simple sensation de la peau sur sa langue au goût qui finissait par emplir sa bouche, mais surtout montait la plus grande des satisfactions, l'idée de plaire à sa maîtresse. Satisfaction et espoir qui s'avéraient d'autant plus douloureux s'il s'avérait que ce n’était pas le cas... Mais quoi qu'il en soit il continua passant d'un pied à l'autre, alternant, en attendant que sa maîtresse lui dise d'arrêter.
Et peu après le propriétaire de "Luxure carmine" se décida enfin à prendre la parole, prenant l'argent que lui tendait la vampire... Mais lui rendant 500 pièces d'or.
"Je vous remercie pour votre générosité, et je prendrai rendez vous avec vous dès que cette affaire sera terminé. Néanmoins si vous permettez je vous rends 500 d'or. Bien que généreux ce don ne sauvera pas mes affaires, et cet esclave vous a été adjugé à 2000 pièces d'or, je ne voudrai pas qu'on puisse penser que j'arnaque mes clients ou, pire, me mettre en porte à faux vis à vis de la loi."
Il lui fit un sourire obséquieux. Il était clairement des plus hypocrites, vu que techniquement il était déjà sorti du cadre de la loi en vendant Shiroi en tant qu'Esper, mais le geste qu'il faisait là était tant pour s'excuser auprès de Melinda de ce geste que pour s'acheter ses bonnes grâces... Lui même l’avait dit à son échelle à celle de Melinda, bien que pour des raisons différentes 500 pièces d'or e faisaient aucun différence, mais c’était le geste, la symbolique, qui comptait... Et ne le lui rendant il espérait lu montrer qu'en cas d'accord il ne la flouerait pas, tout en espérant que cela puisse être réciproque. Enfin il s'inclina avant de retourner vers l'estrade, Shiroi ne se relevant qu'une fois l'ordre lui en fut donné et emboîtant fidèlement le pas de Melinda, toujours la tête baissée...mais ne pouvant réprimer sa curiosité candide, lançant fréquemment de rapides coups d’œil sur les bâtiments alentours.
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Shiroi alla gentiment lécher les pieds de sa nouvelle Maîtresse, sans en être visiblement forcé ou contraint. Un sourire élégant éclaira le beau visage de la vampire, qui le laissa faire, baissant la tête pour le regarder. Sa longue robe dissimulait bien ses jambes, et elle écarta un pan de cette dernière, afin que Shiroi puisse les baiser. Elle rabaissa ensuite la robe, qui vint frotter la tête de l’esclave, tandis qu’il s’appliquait à sa tâche, mains posées sur le sol. Le public, lui, commençait à se lasser, et se dispersait peu à peu. L’altercation était terminée, et, en toute honnêteté, il n’y avait pas grand intérêt à voir une vente d’esclaves, une fois que les ennuis étaient passés. La nouvelle neko de Mélinda, elle, restait dans le dos de cette dernière, et observait Shiroi, curieuse, le reniflant un peu, une manière classique pour une Terranide de se rapprocher de quelqu’un. Elle se demandait qui était ce nouvel esclave, et espérait surtout que sa Maîtresse ne chercherait pas à l’échanger contre lui. La Maîtresse sentait bon, alors que l’autre, là, avait une odeur qu’elle appréciait moins... En même temps, Mélinda était une femme qui accordait une grande importance à sa beauté.
Elle remit à l’homme les 2 500 pièces d’ors, mais, à sa surprise, ce dernier lui rendit le surplus. Mélinda comprit le message caché : il désirait se rapprocher d’elle. Elle esquissa un léger sourire, et récupéra ses pièces. Marina, elle, finalisa les détails, en récupérant la fiche personnelle de l’esclave, comprenant les informations légales sur ce dernier : son âge, son poids, ainsi que les éventuelles maladies. Dans l’idéal, le mieux était d’expertiser chaque esclave, mais le recours à un expert n’était pas gratuit, et Mélinda comprenait qu’un esclavagiste sur la paille ne puisse pas faire appel à l’un d’entre eux. Marina présenta à l’homme un contrat-type dans ce genre de transactions, et, une fois la signature faite, puis également faite par Mélinda, un original fut remis au propriétaire, Mélinda conservant l’autre.
« Te voilà maintenant ma propriété, Shiroi... Relève-toi. »
Mélinda avait désormais deux esclaves, et n’avait plus rien à faire ici. Elle le tenait par la chaîne reliée au collier de l’homme, et quitta le marché aux esclaves, suivie par Marina, ainsi que par sa neko, qui veillait prudemment à ne pas trop s’écarter d’elle. Ashnard était une ville immense, alors, si jamais elle se retrouvait toute seule... Elle préférait ne même pas y penser ! Mélinda finit par retourner devant son harem.
C’était un élégant bâtiment entouré par un mur, se trouvant le long de l’un des grands axes de la capitale. La capitale ashnardienne était naturellement organisée autour du Palais Impérial, et, si on la regardait depuis le ciel, on pourrait voir une ville composée de deux cercles, un cercle abritant la ville, et un autre, plus petit, abritant le Palais. Différentes lignes découpaient la ville en quartiers, correspondant aux grands boulevards d’Ashnard, menant tous au Palais Impérial. L’activité économique dela ville se concentrait autour de ces boulevards, et le harem de Mélinda se trouvait sur l’un d’entre eux. C’était un bel immeuble, et, à l’entrée, il y avait une petite cour avec de la pelouse, des fleurs, des arbres, des bancs, et une fontaine élégante.
Mélinda rentra rapidement, et remit sa neko entre les mains d’autres esclaves, afin de la préparer, et de lui faire découvrir ses quartiers.
« Toi, Shiroi, tu viens avec moi... »
La vampire grimpa les différents étages du harem, s’enfonçant dans les couloirs, permettant ainsi au jeune esclave de voir l’un des éléments de décor typiques du harem : les femmes mises en vitrine. Il s’agissait de femmes attachées contre le mur, par les chevilles et les poignets, et qui étaient pénétrées pendant des heures et des heures par deux godes enfoncés dans leur vagin et dans leur anus. Elles avaient aussi de longs gants en latex (ou en cuir), des chaînes, des pinces à hauteur des tétons, des collants avec des bottes à talons, ainsi qu’un gag ball et un bandeau noir autour de leurs yeux. Elles étaient offertes à la distraction des clients, qui avaient le droit de toucher, de lécher, et d’embrasser.
Mélinda continuait à s’avancer, jusqu’à rejoindre les ultimes étages de son harem, et rejoignit tout simplement sa chambre personnelle.
C’était une grande pièce, avec un énorme lit, qui était sur une belle estrade. Un lit pouvant contenir plusieurs personnes, tandis que, de manière plus curieuse, dans les coins de la grande pièce, on pouvait voir une sorte de conduit aquatique. Mélinda avait en réalité une sirène, et il arrivait parfois que cette dernière passe par là. Il y avait plusieurs portes, dont une qui menait sur un grand balcon permettant d’avoir une vue imprenable sur le Palais Impérial.
Mélinda tournait le dos à Shiroi, et s’assit sur le rebord de son lit, croisant les jambes.
« J’ai remarqué que tu léchais plutôt bien, Shiroi... Dis-moi donc ce que ton ancien maître t’a déjà fait faire, et dans quels domaines il t’a éduqué... »
Sa voix était douce et mielleuse. Une vraie tête d’ange.
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Regardant déjà discrètement les bâtiments qu'ils croisaient lors de la progression il était interloqué que la neko, elle, ne soit pas retenue par une chaîne.. Mais toutes ces interrogations s'évanouirent face au bâtiment qui était leur destination. Le jeune homme n'avait en effet rien vu qui ne soit si grandiose et impressionnant, et bien que ce ne soit nullement par défi et qu'il se rattrapa rapidement, il ne put s’empêcher de relever le visage brièvement pour contempler la battisse dans toute sa splendeur. Était ce ici qu'il allait vivre désormais ? A mois qu'il s'agisse de la demeure de la maîtresse et qu'elle ait une annexe pour les esclaves, mais dans tout les cas cela était bien plus resplendissant que ne l'était le bordel où il officiait encore hier. Losqu'ils pénétrèrent dans la cour son émerveillement redoubla face au jardin et à la fontaine, ne comprenant tout simplement pas comment l'eau pouvait couler ainsi en continu sans que tout déborde.
Un spectacle dont il dû cesser de profiter en entrant dans la bâtisse, et vit la neko rejoindre d'autres esclaves... Il hésita un instant à faire un pas vers eux, mais sa maîtresse le tenait toujours par sa chaîne il en déduisit donc qu'il ne devait rien faire... Et il dut s'avouer à la fois surpris et craintif face à ce qu'elle lui ordonna, bien que hochant la tête avant de lui emboîter le pas. Si elle voulait qu’elle vienne avec lui c'était pour quel raison. Le punir pour une raison qu'il ignorait ? Ou bien lui donner d'ores et déjà des ordres afin de la servir ? Il n’en savait rien et de toute manière cela ne changeait rien au fiat qu'il obéissait la suivant pas à pas. Se faisant il put voir les femmes exposés le long des murs, toutes de la même manière, tels des produits du marché, ce qui ne choquait nullement Shiroi, cela lui rappelant simplement les quelques fois où il avait fait usage ou subis de tels outils, bien qu'à vrai dire il ne l'avait certainement jamais fait avec autant d’entre eux, en partie parce qu'il n'était pas une femme, mais un des éléments de cette vision lui inspira une crainte sourde qu'il ne pouvait retenir bien qu'il essaya de ne rien en laisser paraître. Il nota cependant un élément, il ne s'agissait là que de femmes, bien qu'il ne savait pas ce qu'il en retournait.
Quoi qu’il en soit il suivit sans peine la maîtresse à travers les multiples étages, sa conditions physique étant des plus respectables en dépit de son allure frêle, et ce jusqu'à la chambre. Déjà ébahi par la décoration du harem il manqua d'avoir le souffle coupé face à celle de la chambre, que même lui pouvait deviner comme étant celle de la maîtresse alors qu'il s'y avançait, son regard passant brièvement par le balcon avant de revenir vers sa maîtresse qui s'asseyant sur le lit lui fit de nouveau face et lui posa une question. Cette dernière Shiroi y avait été préparé et ce fut ainsi d'une voix confiante, bien que soumise qu'il dit, clairement.
"Merci du compliment maîtresse... Quant au propriétaire de "Luxure Carmine" je suis né dans son établissement, et depuis tout petit il m'a formé à satisfaire ses clients, ayant couché avec un d’entre eux pour la première fois il y a... cinq ans je crois. Depuis je n'ai été utilisé que pour cela. Je n'ai été éduqué qu’en ce domaine, mais j'ai déjà couché avec des hommes et des femmes, voir certaines personnes qui étaient les deux à la fois, des humains comme des terranides. Je sais comment leur plaire en usant de mon corps, de mes pieds à ma langue, ainsi que d'outils, comme ceux de ces femmes que nous avons vu dans ces couloirs. Je connais les points sensibles communs à chacun où les caressent sont plus plaisantes et je sais comment chercher celles, propre à chacun, sans leur être déplaisant. J'ai appris de nombreuses positions , et aussi bien à être soumis qu'à dominer, si le client l'exige. J'ai aussi appris à ... Apprécier tout ce qu'on me demandait de faire. Non pas que cela soit un déplaisir, d’obéir, ça ne l'est jamais, mais j'ai appris à aimer par moi même ce que mon corps faisait et ce qu'on lui faisait. J'ai aussi été quelque peu initié à al douleur et je crois pouvoir la supporter quelque peu. Simultanément j'ai été à même de satisfaire jusqu'à quatre individu... Ah et... Mon ancien maître m'a aussi appris à compter pour ne pas que les clients pussent le doubler lorsque ces derniers me confiaient l'argent. C'est tout ce que je sais faire madame, e j'espère que cela vous convient."
Sa voix mourut sur la fin alors qu'il baissait encre plus le visage, il semblait clairement hésitant, le regard confus. Il y avait une dernière chose que son maître lui avait appris, bine malgré lui sans doute, mais cela ne plairait pas à sa maîtresse, or lui plaire était le premier devoir de l'esclave, mais en même temps il ne pouvait pas lui mentir...Et si elle le découvrait elle même son déplaisir n'en serait que plus grand...alors d'une voix plus hésitante il ajouta.
"Il y a une dernière chose qu'il m'a apprit, mais cela vous déplaira peut être. Je... Suis complètement effrayé quand je suis plongé dans les ténèbres. Je vois des ombres et...elles me font mal. J'ai heureusement appris seul à ne plus craindre la nuit, mais sinon... Je n'arrive pas à me contrôler, veuillez m'en excuser maîtresse."
Certes il avait appris à endurer la douleur physique, mais cette dernière avait été poussée à son paroxysme dans la cave et à cela s’était ajouté un traumatisme psychologique qu'il ne contrôlait pas. Son histoire d’ombre pouvait paraître excessif, mais c’était un fait à l'image d'une douleur fantôme il éprouvait une douleur intense à l'emplacement de ses multiples cicatrices quand il était privé de sa vue, la seule chose pouvait l'apaiser alors étant la présence tangible et concrète d'une personne près de lui, bien qu'il n’en avait pas exactement conscience.
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Jambes croisées, Mélinda écouta silencieusement Shiroi se présenter. Étant issu d’un bordel, il lui apprit qu’il savait faire ce qu’on attendait de l’esclave d’un bordel : le sexe. Mélinda connaissait la « Luxure Carmine », qui, pour elle, était un rival. Il avait une petite clientèle, mais, n’étant pas aussi bien situé que son harem, il était en train de couler. La proposition de Mélinda à son propriétaire était toutefois honnête, et elle le relancerait peut-être là-dessus. Elle était actuellement en train d’investir énormément avec tout l’or qu’elle avait accumulé. Elle avait acheté une guilde, mais ce n’était que la première étape vers la construction de son empire commercial, ayant comme pilier la généreuse semence qu’hommes et femmes dépensaient entre les cuisses de ses esclaves. Elle pensait que l’ancien propriétaire de Shiroi ne serait pas contre l’idée de pouvoir continuer à gérer son affaire, tout en bénéficiant du label Warren. Mélinda pourrait relancer l’activité en envoyant quelques-unes de ses filles, et en rénovant les lieux. Honnêtement, le propriétaire avait tout à y gagner, mais, pour l’heure, elle se concentrait sur Shiroi.
La vampire avait un petit sourire sur le coin des lèvres. La neko était trop jeune pour que Mélinda ressente un désir sexuel envers elle. Elle savait qu’elle serait belle, qu’elle pousserait bien, et deviendrait une belle plante, mais, en l’état actuel des choses, elle était tout simplement trop jeune. Shiroi savait aussi compter, mais Mélinda resta silencieuse, car elle sentait qu’il n’avait pas encore fini. Le jeune homme hésita, et finit alors par parler, pour indiquer qu’il y avait en lui une bizarrerie, une étrangeté :
« Il y a une dernière chose qu'il m'a apprit, mais cela vous déplaira peut être. Je... Suis complètement effrayé quand je suis plongé dans les ténèbres. Je vois des ombres et...elles me font mal. J'ai heureusement appris seul à ne plus craindre la nuit, mais sinon... Je n'arrive pas à me contrôler, veuillez m'en excuser maîtresse. »
Il était donc achluophobe, terme technique désignant la peur du noir. Mélinda pencha lentement la tête sur le côté, une petite moue circonspecte venant traverser ses lèvres. Elle avait retiré ses sandales, et frottait l’une de ses magnifiques jambes avec l’un de ses pieds. Dans cette position, on aurait presque pu croire qu’elle était une petite fille, mais, évidemment, c’était mal la connaître. Mélinda était un véritable volcan endormi sous ses belles prunelles.
« Je vois... Ceci risque de poser problème, mon beau, car certains clients aiment faire l’amour dans l’obscurité, et, dans ma maison, le credo est d’exaucer les souhaits de chacun des clients... Dans la mesure du raisonnable, bien entendu. »
Mélinda descendit du lit, et se rapprocha de l’homme. Elle posa une main sur sa joue, le caressant tendrement, et glissa sur son torse nu. Il était habillé comme un esclave sur le point d’être vendu, ayant simplement un sous-vêtement en cuir, et des sandales. Mélinda blottit son corps contre lui, ses seins s’enfonçant contre son torse. Shiroi était un tout petit plus grand qu’elle, mais elle n’était pas troublée. Elle savait qu’elle était petite, et elle enroula ses bras autour du cou de l’homme, se hissant lentement contre lui. Elle l’embrassa alors avec une douceur infinie, plaquant ses lèvres contre les siennes, et lui sourit ensuite. C’était un bref baiser, qui n’avait eu que pour but de le rassurer.
La vampire frotta son nez contre le sien.
« Je t’aiderais à lutter contre ta phobie, mon beau... Ainsi, ton éducation sera parfaite, et tu seras un parfait esclave sexuel... »
Il était souvent difficile, quand on reprenait des esclaves, de les aider à se rapprocher d’elle. Soit ils avaient été battus, et étaient terrorisés par les nouveaux esclavagistes, soit ils avaient développé un lien fusionnel avec leur ancien maître, et voyaient le nouveau comme un usurpateur, qui voulait les arracher à un être aimé. Mélinda connaissait les mêmes problèmes, et ceci expliquait en partie pourquoi elle était si hostile à l’idée de vendre ses précieux chéris.
Ses griffes glissèrent tendrement sur le torse de l’homme, et elle s’en écarta ensuite, pour s’asseoir sur le lit, se couchant nonchalamment sur le flanc. De la main, elle lui fit alors signe de venir, de s’approcher.
« Allez, viens... Montre-moi donc tes talents... »
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Shiroi ne put s'empêcher de serrer ses mains jointes, au point qu'elle pâlirent intensément, devenant presque blanches, la tête baissée et la mâchoire serrée alors que Mélinda lui disait sans détour la nuisance qu'était ce qu'il savait être un de ses plus grandes tares, et il craignait le fait qu'on le lui ait vendu sans lui dire cela n'avive sa colère. Il l'entendit se lever sans la voir, et il se tendit encore plus ,se préparant à recevoir une gifle, ou pire. Quelle ne fut alors sa surprise que de sentir la main de la jeune femme caresser avec douceur sa joue, puis son torse, en un toucher rassurant qui amena le jeune homme à rouvrir les yeux, adressant un faible sourire à sa maîtresse tandis qu'elle se blottissait contre lui. Son corps était agréable à sentir malgré les vêtements, bien plus que ceux de la plupart de ses clients ou clientes passés. Il écarta alors les bras afin de faciliter son approche, et quand elle l'étreignit au niveau du cou, il passa ses bras autour de son dos. non par prétention ou quoi que ce soit, simplement soutenir sa maîtresse, dont il avait remarqué l'effort pour se mettre à sa hauteur...
Mais alors un frémissement le parcourut de la tête aux pieds. Il était déjà étonné par cette tendresse, mais le baiser que lui adressa sa maîtresse acheva de le surprendre, le prenant totalement au dépourvue, elle se comportait exactement comme une cliente, sauf qu'il s'agissait de sa maîtresse, et bien que le baiser fut bref il s'avérait des plus troublé par la situation. Rougissant malgré lui alors qu'il n'aurait pas sourcillé aux ébats les plus intenses avec qui que ce soit d'autres... Et quand elle frotta son nez contre le sien il ne pouvait pas garder ses yeux clos plus longtemps il fut bien forcé de les ouvrir et de plonger son regard dans celui de sa maîtresse, y étant absorbé de par sa beauté, et oubliant brièvement le châtiment qu'il pourrait subir pour cela. En fait il sourit même au final, tant car il appréciait l'attitude de sa maîtresse malgré son trouble que parce qu'il lui était reconnaissant pour ce qu’elle lui offrait de faire... Et il alla finalement jusqu’à trouver le courage, ou la folie, de lui répondre, d'une voix emplie de gratitude alors qu'après un dernier frisson en sentant ses griffes sur lui , elle se reculait.
" Ce sera une joie de lutter contre cette peur. Vous servir au mieux et tout ce que je souhaite, maîtresse... Et j'espère un jour vous êtes un esclave parfait en tout points."
Il avait conscience que la chose serait difficile, sans doute pénible, mais il ferait tout pour plaire à ses maîtres, à Mélinda... Et justement cette dernière lui demanda de s’exécuter sans plus tarder, allongée comme elle l'était il n'était pas difficile, même pour lu ide savoir ce qu'elle voulait. Il parut dans un premier temps déboussolé, guère habitué à ce qu'on lui laisse de telles initiatives sans la moindre directive. mais il se ressaisit bien vite. Ce genre de détail n'importait pas, ce n'était pas la première fois qui plus est qu'il avait une telle demande alors oui... il allait lui montrer ses talents, et même essayer de faire plus.
Ainsi il retira dans un premier temps ses sandales afin de ne pas souiller de la poussière des rues le vaste lit, puis il s'approcha de la vampire avec une démarche sensuelle, légèrement chaloupée, commençant à réfléchir à ce qu'il devait faire en fonction du corps de la vampire, de sa position... Puis il monta sur le lit et commença à effleurer ses pieds de sa langue, néanmoins il ne s'y attarda guère, ces derniers ayant déjà bénéficié de ce traitement, sa bouche remontant le long des fines jambes de la vampire, de la peau laissé à découvert par sa robe avant de commencer à caresser son corps avec ses mains. Des caresses douces et délicates, mais à laquelle s'ajoutait qui plus est une expertise, les doigts du jeune homme caressant les points de Mélinda qui l'exciterait, ou contribuerait à lui ôter la tension qu'elle pouvait avoir tel un massage sensuel.
Ainsi il s'allongea finalement sur le flanc tout comme sa maîtresse et derrière elle, ses lèvres effleurant sensuellement son cou ses mains continuant ses caresses tout le long du corps de la jeune femme, s’attardant toujours sur les zones sensibles, sans pour autant encore se dédier à la poitrine ou à l'entrejambe de sa maîtresse, à vrai dire il n'immisçait même pas encore ses mains sous les habits de sa maîtresse... En effet elle lui avait demandé de faire montre de l'étendu de son talent, or cela était bien la seule chose que Shiroi avait pour Lui. Dépourvu de pouvoir, d'appendice ou d'attributs un tant soit peu original, la seule chose qu'il avait pour lui était son talent, sa maîtrise, dont il essayait de démontrer un des aspects à sa maîtresse, tentant de lui faire plaisir avant même de la dénuder.
Néanmoins afin qu'elle ne finisse pas par se lasser il finit par doucement glisser ses mains sous les vêtements, mais jamais trop audacieux, avançant à petit à petit, afin de pouvoir se retirer sur le champs si sa maîtresse lui disait qu'il allait trop loin... Quant à Shiroi lui même il s'abandonnait entièrement ,les yeux mi clos, la pensée tendue vers le seul objectif de satisfaire sa maîtresse, alors que lui même dans ses simples étreintes éprouvait un plaisir personnel... Et finalement il vint mordiller l'oreille de Mélinda, alors qu'une de ses mains venaient s'approcher de son entrejambe, l'autre commençant à caresser sa poitrine, pour lui souffler, d'une voix provocatrice.
"Mes...Talents vous conviennent il jusque là maîtresse ?"
Il était peut être mal venu de poser cette question, mais elle était motivée pour de justes raisons... Le maître précédant de Shiroi n'avait pas eu de relation charnelle avec son esclave c'était donc une situation inédite pour lui... Mais surtout, il voulait plaire à Meélinda encore plus qu'il satisfaisait ses clients, et son attention quant à ses propres gestes en était d'autant plus accrues...
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La fiche de Shiroi ne précisait effectivement pas qu’il avait peur du noir... Ce qui, en l’état, était un manquement aux obligations de loyauté de son précédent propriétaire. Tout compte fait, Mélinda allait peut-être reconsidérer sa position de faire affaire avec cet homme... Si elle rachèterait la « Luxure Carmine », ce serait pour changer de gérant, et envoyer l’ancien propriétaire à la rue. Mais, pour l’heure, Mélinda avait d’autres soucis. Shiroi et elle allaient faire l’amour, voilà qui était maintenant une certitude. Elle verrait au moins si l’ancien propriétaire ne lui avait pas menti aussi sur ce point, en lui vendant une chiffe molle. L’homme avait rougi quand Mélinda l’avait embrassé. Il était sans doute intimidé par cette dernière, ce qui était bien pour son égo. Mélinda aimait qu’on la considère avec respect, car elle était une vampire, et, par définition, les vampires étaient supérieurs aux humains normaux. Il était donc bon et plaisant de lire de la crainte dans leurs yeux, ainsi qu’une sorte de vénération. Il se rapprocha lentement de la femme, et commença par baiser respectueusement ses pieds, un petit spectacle dont Mélinda ne se lassait jamais. Elle avait choisi une pose sensuelle, et le sentit remonter le long de ses jambes, pour se glisser ensuite dans son dos, attardant ses mains sur son corps, la caressant.
C’était un très bon masseur, et Mélinda soupira silencieusement, en sentant le plaisir monter. Depuis deux siècles, Mélinda faisait l’amour avec une hargne assez terrifiante, et elle n’avait encore jamais réussi à se lasser. C’était à croire que le sexe était inscrit dans ses gènes, car elle retrouvait toujours le même plaisir à planter sa verge dans les fesses d’une jeune esclave, ou à sentir un homme la pénétrer rudement. Son harem comprenait essentiellement des femmes, car le sexe, avouons-le, était avant tout l’affaire du beau sexe. Pour autant, elle n’était pas sexiste, et acceptait aussi les esclaves masculins, comme elle le faisait en ce moment. Ce n’était qu’une évaluation de compétences, et elle serait réussie si la Maîtresse mouillait ses délicieux draps en soie... Cependant, sur ce point, Mélinda n’était pas énormément inquiète. Shiroi se blottissait contre elle, remontant peu à peu ses mains le long du décolleté de Mélinda, cette longue ligne qui découpait son torse en deux. Ses doigts filèrent sous le tissu précieux de la robe, caressant au plus près sa peau, et la vampire se pinça les lèvres, les mordillant légèrement, en sentant le plaisir affluer en elle. C’était délicat, discret, intime... Et superbe. L’homme savait y faire, la vampire le sentait, et elle remua légèrement sur le lit, sentant sa verge contre ses fesses, tapant contre son bassin. Lentement, le sang de Shiroi, tout comme le sien. Ses tétons vinrent à se durcir légèrement, alors que l’homme continuait à jouer avec elle, à la titiller, approchant lentement ses mains de ses zones sensibles.
« Mes...Talents vous conviennent-ils jusque-là maîtresse ? »s’enquit le jeune homme en mordillant son oreille.
La vampire répondit par un léger soupir, un gémissement, avant de pencher sa main en arrière, s’agrippant à la nuque de l’homme.
« Tu as... Un certain talent, mon beau... Continue donc à faire plaisir à ta Maîtresse... »
Au moins, l’ancien propriétaire n’avait pas menti sur ce point. Shiroi était talentueux, et Mélinda se sentait peu à peu basculer, le plaisir croissant lentement en elle. Elle en oubliait même ces histoires de peur du noir, pour se concentrer sur le moment présent, et pour sentir cette verge caresser ses fesses. Que Shiroi soit sodomite ou pas, il allait vite apprendre à le devenir.
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Il n'en fallait pas plus à Shiroi que le gémissement de la vampire et la prise qu'elle eut sur son cou, pour qu'il continue à s’exécuter, et même aille plus loin. Ainsi, décidé à faire montre de tout son "talent", comme l'appelait Mélinda, il finit enfin par poser sa main sur un de ses seins, le malaxant doucement avant de jouer avec ce téton qui commençait à pointer, tandis que l'autre touchait enfin à l'intimité de sa maîtresse, caressant avec délicatesse et maîtrise ces chairs sensibles, remontant des fois pour effleurer son clitoris, jamais trop longtemps, sachant que des caresses trop insistantes à cet endroit devenaient pour la plupart rapidement déplaisante.
Puis rapidement, alors qu'il déposait de multiple baiser sur la peau de la jeune femme, il immisça un doigts, puis deux en elle, en cette intimité chaude et qui commençait à s’humidifier, commençant alors à les faire se mouvoir. Néanmoins il n’exécutait pour cela pas que de simples va et viens, pliant des fois légèrement se doigts afin de caresser plus ardemment une zone qu'il savait particulièrement sensible ou simplement offrir à sa maîtresse des sensations un peu plus originales, s’affairant toujours du mieux qu'il pouvait pour la contenter.
Et lui même commençait à éprouver des frissons de plaisir alors qu'il ne tardait pas à atteindre l'érection, sa virilité frottant alors contre les fesses de Mélinda à travers le tissu de sa robe et de son propre sous vêtements. N'ayant rien de particulier elle avait néanmoins une dimension respectable pour un humain, bien qu'encore une fois c'était surtout qu'en ferait le jeune homme qui ferait qu'il serait apprécié, ou non. Il relâcha alors peu après la poitrine de la jeune femme, mais ce fut pour commencer à retirer son seul habit, ainsi que faire se remonter un peu sa robe, dévoilant entièrement son bassin, le bas de son dos et son intimité. Il aurait été trop complique de retiré entièrement la robe et cela aurait cassé le rythme de leur étreinte, enfin Shiroi doutait que continuer à la porter ne dérange réellement Mélinda, à condition qu'il veille bien à ne pas l’abîmer.
Ce qui n’était bien sûr nullement son attention, ses lèvres commençant à baisser le long du dos de la jeune femme ,alors que cette fois ci son membre était directement en contact avec la peau délicate de la jeune femme, sa propre virilité parcourut d'un frisson d'excitation alors qu'il ne cessait de caresser l'intimité de Mélinda, entamant de lents mouvements de rein pour se frotter contre la femme. Les préliminaires durer alors depuis assez longtemps et il songea à passer à la suite. accélérant altos un peu ses va et viens dans son intimité il souffla.
"Hm, vous devez ensemencer à vous lasser de ces simples caresses maîtresse, alors passons à la suite des choses... Mais préféreriez vous qu'elle se passe ici ?"
Dit il en accélérant encore brusquement les mouvements de ses doigts avant de les retirer doucement et venir glisser l'entrées du fondement de sa maîtresse.
"Ou bien par ici ?"
Par défaut il se serait aventuré par l'intimité de son amante, mais même si elle lui laissait les commandes il se souvenaient aussi de la mauvaise surprise qu'il avait eu une fois en étant punie pour avoir ignoré que sa cliente était une sodomite convaincue, et comme il ne savait rien de Mélinda il préférait l'interroger avant d'aller plus loin, d’autant plus que leur position actuelle n'était guère adaptée pour passer à l'étape suivante et qu'en fonction de sa réponse les positions auxquels pensait Shiroi s’avariaient quelques peu, à moins qu'elle ne ne les lui imposent en même temps qu'elle lui réponde, ce qui le soulagerait quelque peu de l'angoisse qu'il avait quant à faire face à ce choix.
Bien que cela n'atténuait nullement son excitation. Au contraire il n'en était que plus fébrile, son souffle chaud ne cessant pas de caresser le cou de sa maîtresse, guettant avec attention sa réponse.
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Shiroi savait y faire, et le jeune esclave s’évertuait à le démontrer à sa propriétaire, faisant preuve d’un talent certain et assuré en la caressant, et en se blottissant contre elle. Contre ses fesses, Mélinda sentait une délicieuse barre de chair, une pointe qui heurtait son corps, glissant contre sa délicieuse robe, cette robe à la fois ample et moulante, à la fois transparente et opaque. La robe de Mélinda était un vrai travail d’artiste, qui valait une petite fortune, et qu’elle portait presque tout le temps quand elle était au harem, ou dans son manoir. Elle en avait plusieurs exemplaires différents, bien sûr, et elle aimait la conception de la robe. La retirer semblait à la fois impossible et extrêmement simple, car il suffisait en fait de tirer sur le nœud du lacet, à hauteur de ses seins. En tirant dessus, la robe s’ouvrait en deux par le décolleté, formant alors comme une fleur qui ouvrirait ses pétales pour révéler la nymphe à l’intérieur. Du bel ouvrage, assurément. Mélinda sentait l’homme tirer un peu sur cette robe, cherchant à accéder aux parties intimes de sa Maîtresse, mais la robe résistait à chaque fois, soutenant ses doigts.
Il aventura finalement une main le long de son ventre, pour la faire passer sous cette dernière. Il sentit la culotte de Mélinda, une belle culotte verte, et fila dessous, atteignant ainsi sa vulve. Mélinda écarta lentement les jambes à ce contact, gémissant silencieusement en sentant les doigts de l’homme remuer en elle. Elle bascula sa tête en arrière, appréciant ce délicieux contact, et elle le laissa jouer en elle, faisant remuer ses doigts, la caressant, la titillant, l’excitant tendrement. Shiroi savait y faire, clairement. Le nier, ce serait mentir. Elle ne pouvait qu’apprécier son talent, et elle commençait à mouiller, se blottissant contre le corps du jeune homme, sentant la raideur de son sexe s’accentuer. Coucher avec sa Maîtresse, après tout, ce devait être, pour un esclave, la plus grande des satisfactions. Elle était donc heureuse de sentir le sang de l’homme bouillonner dans ses veines, signe que ce dernier était excité, fiévreux, et désirait le corps de sa Maîtresse.
Shiroi demanda alors la suite des évènements. Il voyait juste. Mélinda n’était plus une petite jouvencelle, et, si elle n’avait effectivement rien contre un peu de douceur, elle n’était pas non plus contre l’idée de sentir en elle cette barre de chair... Shiroi lui laissa le choix entre un simple coït ou une sodomie. Mélinda sourit légèrement, avant de se mordiller les lèvres, et de se retourner lentement. Elle se retrouva face à Shiroi, et caressa sa joue avec l’une de ses mains, ses griffes retournant glisser sur sa peau. Elle sourit alors, et retourna l’embrasser, toujours sans lui répondre. Shiroi allait ainsi apprendre que sa Maîtresse aimait bien les mystères. Elle trouvait que laisser l’imagination travailler pendant un certain temps n’était jamais totalement inutile, et, tandis qu’elle l’embrassait, en utilisant sa langue, elle utilisa une main pour caresser la verge de l’homme, le long de sa culotte, glissant dessus, avant de tirer sur la culotte, la tirant vers le bas. Le tissu en cuir frotta ainsi contre le sexe de l’homme, jusqu’à se retirer, et le bout de la verge de l’homme ressortit de son sous-vêtement. Mélinda relâcha ensuite ce vêtement, et la glissa ensuite à l’intérieur, masturbant directement son partenaire.
« Mhhmmm... »
Lentement, elle le masturbait, glissant sur sa verge, tout en allant mordiller ses lèvres en ramenant sa langue. Mélinda jouait avec lui, et savourait le fait de le sentir excité. Son beau visage lui donnait l’air d’un enfant, et elle aimait ça. Elle rompit le baiser, sourit, et retourna l’embrasser, une main autour de son cou, posée contre sa nuque. Elle l’embrassait passionnément, se frottant contre son corps, ses jambes caressant les siennes. Mélinda se laissait joyeusement aller, et joua ensuite avec le nez de Shiroi, frottant son nez contre le sien.
« Mon vagin, ou mon cul... Hum... »
Mélinda s’écarta alors, libérant cette belle verge qu’elle était en train de caresser avec ses doigts, et elle se releva, puis, sous les yeux de l’homme, tira sur le nœud de sa robe. Cette dernière tomba alors au bout de quelques secondes, une partie de la robe atterrissant sur le corps de son amant. La vampire lui sourit alors, puis s’écarta alors, montrant à Shiroi son dos, et se laissa tomber sur les genoux, et se mit ensuite à quatre pattes, avant de délicieusement cambrer son dos, relevant ses fesses.
Elle s’était mise à quatre pattes, et, pour ne laisser aucun doute à l’homme, indiqua sa préférence :
« Occupe-toi du cul de ta Maîtresse, Shiroi ! »
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Shiroi avait été quelque peu frustré par la résistance de la robe, mais surtout pris au dépourvu. Jusque là les clients, à moins d'avoir des exigences précises, avaient toujours eu des habits relativement simples à enlever, pour arriver au plus vite à ce qu'ils voulaient réellement, or il n'en était rien, il n’avaient même pas pu la relever et avait finalement du passer en dessous pour effectuer ses caresses. Malgré cela ces dernières semblaient tout de même toujours efficace, comme le prouvait l'attitude de sa maîtresse se levant contre elle, le jeune homme n'ayant encore jamais rencontré d’individu qui feintait le plaisir avec lui, après tout soit ils les contentait soit les clients n'hésitaient pas à le lui signifier qu’ils étaient mécontents, mais il n'y avait nul intermédiaire..
Cependant alors qu'il avait posé sa question, et s'était attendu à une prompte réponse il n'en fut rien. Mais le jeune homme ne tarda pas à comprendre le jeu de sa maîtresse et ainsi alors qu'elle se retournait vers lui, il eut un léger sourire, qui s'agrandit un peu en sentant sa main caresser sa joue. Ces griffes qui l’effleureraient lui arracher à chaque fois un frisson d'excitation et de crainte mêlée en une alchimie étrangement plaisante. Pour spa art le changement de position l'avait forcé à retirer ses mains d leurs positons tandis que sa verge reposait contre le bas ventre de la jeune femme, mais il reprit rapidement ses caresses, caressant les hanches de sa maîtresse d'une main l'autre tenant doucement son épaule. Puis vint le baiser, intense et passionné, auquel il répondit avec ardeur, mêlant ses lèvres et sa langues à celles de la vampire ,les yeux mi clos... avant de les rouvrir en grand léchant un gémissement de plaisir un faible frisson d plaisir le parcourant alors qu'elle caressait sa virilité. Une simple caresse, mais qui le surprit, la maîtresse ayant assez peu agi jusque là.
Mais cela n'était nullement pour lui déplaire, au contraire, il n'en perdait pas une miette, que ce soit la sensation de la douce peau de la jeune femme ou d u cuir un peu plus rugueux de son sous vertement frottant contre sa lance il savourait chacune des caresses sur sa virilité, lâchant un faible gémissement alors qu'elle mordillait ses lèvres. Il savourait à leurs justes valeurs les attentions de sa maîtresse, mais sans oublier de lui rendre ses caresses, alors qu'il la regardait avec désir, le souffle court une fois leur premier baiser interrompu. Il s'attarda alors pour la première fois réellement sur son visage enfantin, presqu'iréel au vu de ce qu'il faisait, mais il savait aussi que les apparences étaient trompeuses, comme le lui prouvait l'attitude entrepreneure de Mélinda, revenant la charge avec un baiser, et tout leurs corps se caressant, les jambes du jeune hommes répondant aux frottements de celles de Mélinda , sinuant un peu son torse pour fortter contre sa poitrine.
Mais enfin elle commença à évoquer à nouveau la question qu'il avait posé, semblant hésiter entre les deux choix qu'il lui offrait. puis elle se releva, alors Shiroi la laissa faire, comprenant qu'elle allait enfin lui donner sa réponse. Il l’observa ainsi se déshabiller, frustré quelque part de voir cette robe se retirer si simplement, et s’efforçant à retenir comme cela avait été fait, mais surtout regardant sa maîtresses avec une forme émerveillement, ayant rarement vu un corps si gracieux, même en ayant satisfaits nombres de clients.
Néanmoins il ne se laissa pas aller, déposant la robe un peu plus loin sur le lit, là où ils ne risquaient pas de l’abîmer,et suivant les mouvements de sa maîtresse. Avant même qu'elle ne l'adopte entièrement il savait qu'elle posture elle allait adopter et lui même pour s'y préparer s'était mis à genoux derrière elle. il l'observa ainsi se cambrer, lui présenter ainsi au mieux ses jolies fesses, qu'il caressa avec douceur, sachant d’ores et déjà ce qu’elle voulait, et souriant quand elle lui dit, lui répondant dans un souffle.
"A vos ordres maîtresse..."
Mais au lieu d'agir directement il prit le risque de la faire languir encore un peu se penchant pour venir doucement lécher l'entrée de son fondement, y déposant de petits baisers, et même y immiscer sa langue. Même si sa maîtresse était une habitué de al sodomie, il espérait que cette caresse réussirait à la surprendre, car à sa connaissance peu y penser ou bien ne le faisait pas en considérant cela trop seul. Mais lui cela ne le gênait pas d'autant plus que sa maîtresse semblait des plus propres... Il savoura ainsi brièvement cette saveur faisant s’agiter quelques instants sa langue en elle, , mais ne s'y attardant pas afin de lui donner ce qu'elle désirait vraiment.
Ainsi il posa une main sur ses hanches, l’autre tenant son membre pour le guider, alors que d’un lent mouvement de rein il s'approcha d'elle, son gland pressant contre l’entrée de son fondement avec douceur...jusqu'à s'y immiscer, le jeune homme finissant alors un peu plus rapidement son mouvement, s'enfonçant jusqu'à la garde dans un faible gémissement... La facilité avec laquelle il avait pu se mêler à elle par cette voie trahissait l'expérience que Mélinda avait en la matière, et permit au jeune homme de savoir qu'il ne servait en rien de la ménager, à vrai dire c'était à peine si elle avait du avoir mal..Et ainsi au lieu d'y aller avec une douceur excessive comme cela aurait été le cas d'une personne relativement inhabité, il entama des va et viens fluide et rapide, exécutant à chaque fois des gestes amples afin qu'elle savoure au mieux chacune de ses allées et venues, son bas ventre frappant dans un faible claquement contre les fesses de sa maîtresse à chaque va et viens.
Il escomptait s'y prendre au mieux... Néanmoins il ne se limita pas à ces va et viens, après tout n'importe qui d'un tant soit peu habile pouvait faire la même chose ! Ainsi, alors qu'il ne taisait pas ses halètement et soupirs de plaisir pour aguicher sa maîtresse, il se pencha doucement, venant lécher le long du dos de sa maîtresse avec langueur. Dans cette position, il relâcha les hanches de sa maîtresse de ses deux mains, pourtant il ne perdit pas son appui, une de ses mains glissant le long de son ventre et son bras se crochetant ainsi au niveau du coude autour de s taille lui offrant un appui nécessaire, et lui permettant d’atteindre de ses doigts son intimité délaissé, qu'il recommença à caresser, l'effleurant avec douceur, pour lui procurer du plaisir par les deux voies...Et enfin sa seconde main était remonté pour aller caresser doucement sa poitrine caressant avec plus de force que précédemment un des deux globes de chair, laissés à nus cette fois, et titillant les tétons.
Cela pouvait paraître simple ainsi, mais coordonnées chacun de ses gestes et savoir les poursuivre dans un mouvement de va et viens requérait une certaine maîtrise, une grande concentration et une coordination non négligeable, dont Shiroi faisait présentement la démonstration, s’exécutant bien mieux encore qu'il n'avait pu le faire à ce jour. Enfin, il finit par remonter sa langue tout le long du dos de Mélinda et d'une voix presque outrancière il souffla à son oreille un simple mot.
"Maîtresse..."
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Une sodomie n’était jamais brute, sauf si on voulait punir quelqu’un. Contrairement à un vagin, un anus ne s’humidifiait pas naturellement sous l’effet du plaisir. Or, il était nécessaire que les parois intimes d’une femme soient préalablement lubrifiées pour que le membre de l’homme y glisse plus facilement. C’était en suivant cette logique que l’Ordre Immaculé prohibait la sodomie, en retenant que c’était une pratique barbare, contraire à la volonté de Dieu, pour qui le sexe ne devait être qu’un moyen visant à donner la vie, et non une fin en soi. Il allait de soi que Mélinda n’avait guère été convaincue par la justesse de cette philosophie, et continuait à voir dans le sexe une fin suprême, non seulement l’expression d’un plaisir vif et sans cesse renouvelé, mais aussi, tout simplement, un moyen d’obtenir de grandes rentrées d’argent, et ce sans grande contrepartie. Quand un harem marchait bien, c’était une véritable mine d’or. Tout ce qu’on demandait était la semence des hommes et des femmes qui y venaient, un maigre prix en échange de pièces d’or trébuchantes. Pour ça, il fallait toutefois former les esclaves, et c’était ce que Mélinda faisait. Cette formation, ce n’était rien de plus que l’échelle du plaisir, la captation et l’apprentissage de ce dernier.
La langue de Shiroi remuait contre ses fesses, et Mélinda en gémissait, frissonnant à chaque caresse buccale de l’homme. Il visait sa rondelle, et s’y insinua doucement, mais avec une certaine assurance, une maîtrise de soi-même trahissant son expertise en la matière. Mélinda le sentait remuer en elle, elle le sentait se presser contre ses fesses, et elle en sentait ses tétons se durcir, son corps bouillonner, et son sang filer plus rapidement dans ses veines. La sodomie... C’était son péché mignon. Elle avait grandi en étant sodomisée par son père, et elle en avait été profondément marquée. Quand elle s’était vengée de ce dernier, elle avait du faire un immense effort sur elle-même pour accepter à nouveau le sexe. Son désir initial avait été de dissoudre cet harem, et de gracier tous les esclaves de son père. On avait su la convaincre que ce choix serait dangereux, car les esclaves ne seraient pas libres, mais finiraient entre les mains d’individus cruels, qui n’hésiteraient pas à les violer ou à les battre pour leur propre plaisir pervers. Assez curieusement, et de manière discrète, presque inconnue, sauf pour certaines personnes, Mélinda était devenue une esclavagiste par défaut, et, si elle se définissait elle-même comme une esclavagiste, il était plus juste de dire qu’elle était une protectrice, une gardienne... Elle se voyait ainsi, et, si on pouvait objecter qu’elle prenait la liberté des gens dont elle avait la charge, il n’en était pas moins vrai qu’elle préférait les soumettre par la douceur, l’amour, que par la violence et la peur. C’était une autre forme de soumission, une autre forme de prison, redoutable et terrible, que n’aurait pas manqué de souligner Huxley : la fin de la liberté par le bonheur, par la passion, par le sexe, et par le plaisir. Si le but suprême des individus était bien le bonheur, alors n’était-ce pas un marché honnête que de sacrifier sa liberté en échange de ce dernier ? Mélinda répondait à cette troublante question par l’affirmative, et elle avait du faire un effort sur elle-même pour accepter son rôle. Elle s’en sortait plutôt bien, mais devenir esclavagiste n’avait jamais été, initialement, ce qu’elle avait voulu... Évidemment, avec le temps, il était difficile de le remarquer, car Mélinda s’était plutôt bien accommodée à son rôle, et elle avait commencé à le faire en luttant contre sa peur de la sodomie... La lutte avait été tellement efficace que la sodomie était maintenant l’un des plus grands plaisirs de la vampire.
Shiroi l’humidifia donc, puis elle le sentit se redresser. Le lit remua légèrement, crissant doucement, et Mélinda serra ses poings, sachant que le moment approchait. Il la pénétra alors, et, comme il l’avait senti, il y alla sans hésitation.
« Huuuuunnnn !!! » soupira Mélinda, se pinçant les lèvres.
La douleur, bien évidemment, explosa en elle quand elle sentit ce gros membre viril s’enfoncer dans son corps, écartant ses chairs, se frayant douloureusement un passage. Ses griffes sortirent brièvement, s’enfonçant dans les couvertures, avant qu’elle ne commence elle-même à remuer ses hanches. Ce n’est pas parce que Mélinda avait de l’expérience que la sodomie n’était pas douloureuse, et elle allait même jusqu’à considérer que c’était cette douleur qui donnait à la sodomie toute sa saveur, tout son charme. Elle remuait son corps d’avant en arrière, lentement, accompagnant les mouvements de son esclave, qui la prenait rudement. Lui-même grognait et soupirait, car son sexe devait être compressé dans toute cette chair. Mélinda, elle, avait le sentiment qu’on l’ouvrait en deux, qu’on enfonçait un crochet dans son corps pour l’ouvrir... C’était atroce, et en même monstrueusement jouissif. Elle en redemandait volontiers, remuant son corps d’avant en arrière, s’accommodant peu à peu à la présence de ce membre.
Décidé à lui prouver son talent, Shiroi s’aventura alors sur son corps, s’écrasant cvontre elle. Mélinda soupira, utilisant ses bras pour se maintenir. Ce n’est pas que Shiroi était lourd, mais la vampire était tout de même en train de se faire culbuter. Conservant son vit en elle, il s’était penché pour l’embrasser, pressant son corps contre son dos. Mélinda soupirait et gémissait, de la cyprine s’échappant de son intimité pour mouiller le lit, de même que sa salive sur ses lèvres, qu’elle n’arrivait pas à retenir. Les deux mains de l’esclave partirent à l’assaut de son corps, caressant son sexe, la pénétrant, faisant à nouveau gémir l’intéressée, son autre main allant presser l’un de ses seins, pinçant son téton.
« Haaaaaaa... Haaaaannn !! »
La perverse vampire était comblée, et appréciait énormément cette sensation. Quelques mèches de cheveux rebelles venaient à glisser sur son visage, et elle soufflait dessus, les écartant, ou remuait la tête de gauche à droite. Ses bras soutenaient tout cet édifice, et elle continuait à remuer son bassin d’avant en arrière, accompagnant les mouvements de bassin de l’homme. Shiroi avait du être formé là-dessus, car, vu sa position, il avait du mal à la pénétrer, et quelqu’un de moins entraîné se serait vautré.
Il se rapprocha de son oreille, et murmura sensuellement son nom. Mélinda soupira, et hocha la tête.
« Haaaann... Ouuiii... En-Encore, Shiroi... Haaaannn.... Haaaaannn !! F-Fais... Fais plai-Plaisir à... À ta... Haaaaaaaaaannnn... Maîtressssseeee... »
Elle souffla le dernier mot dans un soupir, tout en continuant à inonder les doigts de l’homme, ainsi que les couvertures de son lit.
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La sensation de la chair du fondement de sa maîtresse comprimant sa virilité était tout simplement ... Divin pour le jeune homme, Quelque soit la vitesse à laquelle il allait ou la brusquerie de ses mouvements il se sentait toujours aussi serrée en elle et son plaisir n'en était que croissant. Qui plus est la jeune femme faisait aussi montre de son expérience car malgré le plaisir qu'elle éprouvait, la cyprine suintant de son intimité, la bave à ses lèvres et la pression qu’exerçait quelque peu l'esclave dans sa position elle parvenait à accompagner ses mouvements les rendant d'autant plus agréables pour eux deux. On aurait pu croire les rôles inversées, mais Shiroi n'oubliait pas sa position, laissant échapper à plusieurs reprises des soupirs obscènes à l'oreille de sa maîtresse. Bien que plus discret de cette dernière il était évident qu'il éprouvait tout autant de plaisir...
Mais pour autant il ne se relâchait pas un seul instant dans sa tâche, accélérant ses mouvements, qu'il s'agisse de ceux de ses mains ou de ses hanches, frémissant de tout son être à chaque caresse qu'il prodiguait, à chaque fois qu'il sentait un peu de mouille de sa maîtresse glisser entre les doigts, ruisseler sur ses soieries. Mais aussi conséquent que soit son plaisir il n'avait pas encore atteint son but ultime en tant qu'esclave sexuelle en train de satisfaire sa maîtresse...a savoir la faire jouir...
Et pour cela il advenait que le plaisir brut ne suffisait pas, de fait il se décida à faire un petit et rapide "jeu". il retira ainsi rapidement sa main de l'intimité de sa maîtresse , les doigts couverts de sa mouille, et alors il les porta à ses lèvres, les léchant à côtés du visage de Melinda, avant de lui effleurer les lèvres avec lui soufflant d'une voix langoureuse et entrecoupée de gémissement.
"ahhh... Maî... Maîtresse. Vous êtes délicieuses, hmmm... Goûtez vous même, vous avez si bon goût !"
Et il retourna alors titiller son intimité avec d'autant plus d vigueur comme pour "récolter" tant que possible de ce si délicieux jus...mais ses gémissements se firent rapidement un peu plus fort, serrant les dents pour essayer de les retenir. Cela faisait déjà quelques minutes qu'ils étaient ainsi, mêlés l'un à l'autre, et bien qu'endurant l’usage de tout son talent en matière de sexe avait pour contrepartie d'aviver rapidement le feu qui rongeait son bas ventre le poussant rapidement vers l'orgasme. Mais ils avaient appris à se retenir, même si cela devait lui être pénible voir douloureux, bien que la délivrance n'en était que plus plaisante... Et il n'était pas loin d'atteindre un tel état ! De fait ce fut d'une voix, tremblante rendue ténue par le plaisir, qu'il demanda, presque suppliant...
"Ahhh... Maîtresse ! Est ce que votre esclave peut il jouir ? En vous, ou bien où vous voulez... C'est si bon, ahh ! Ça brûle !"
Son regard commençait à se flouter quelque peu de plaisir alors que par pulsion il accéléra encore ses va et viens afin de pousser au paroxysme leur ébats dans leur dernier instant... Même si la privation n'en serait que plus douloureuse si Melinda lui intimait de ne pas jouir ! Mais il n’oubliait... Peu importait son propre plaisir, et si sa maîtresse avait été généreuse jusque là à ce sujet, sa volonté passer avant tout... Et s'il ne savait pas comment le lui signifier, il savait qu'elle en avait conscience, lui même lui obéirait en tout chose, alors que la langue tendue effleurant à nouveau la peau de la jeune femme il ne pouvait retenir déjà un peu de pré-sperme de lui échapper lubrifiant encore davantage ces parois si serrées qui le poussaient au bord de l'orgasme. Mais malgré son plaisir il n’oubliait pas sa fonction première...
"Aah...Maîtresse... Si vous ne ressentez pas la même chose... Il va, hmmm, falloir me punir !"
Il espérait que ça ne serait pas nécessaire mais s'il échouait c'était tout ce qu'il mériterais et il le savait.
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[HRP. – Je t’ai vu faire l’erreur plusieurs fois, alors, je te le dis : Mélinda n’a qu’un seul fondement :P]
La Maîtresse savait très bien qu’elle avait bon goût. Goûter à sa propre mouille, elle l’avait déjà fait, mais ça ne l’empêcha pas de frissonner quand elle entendit Shiroi le faire. Par-delà ses soupirs et ses gémissements, elle put en effet entendre sa langue glisser sur ses doigts. Il retourna ensuite chercher un peu de ce nectar sacré, alternant ça entre ses mouvements de bassin, continuant à farfouiller dans le cul de Mélinda. Il y allait généreusement, et finit même par lui demander, comble de la politesse, s’il pouvait jouir. Tout en soupirant, Mélinda hocha la tête, confirmant cette demande curieuse.
« Ouuuuuiiiii... !!!! »
Oui, il le pouvait, oui, elle le voulait, oui, elle adorait ça, oui, oui, oui ! Mélinda se laissait pleinement aller, sentant les frontières s’estomper. L’esclave ? La Maîtresse ? Face au plaisir sexuel, face à l’orgie de plaisir qui menaçait, tous étaient égaux, tous étaient au même point, des individus prêts à exploser en vol. Shiroi continuait à la pénétrer, et Mélinda sentait l’orgasme approcher rapidement. Elle peinait à retenir sa salive, la laissant s’échapper de sa bouche, humectant le lit. Vainement, elle essayait de rattraper sa salive, mais le membre de l’esclave continuait à la labourer, avec le même acharnement, avec la même délicieuse voracité. Oh, il était doué, ce bel homme ! Mélinda était heureuse de l’avoir sous ses ordres ! Les esclaves sexuels masculins étaient assez prisés, mine de rien, car ils étaient plutôt rares. La vampire lui prévoyait un bel avenir, et, alors qu’il continuait à le prendre, elle se laissa progressivement aller, cédant aux plaisirs de la jouissance. Dans un cri de plaisir, Mélinda finit par avoir un orgasme, et ses griffes labourèrent brièvement ses draps, alors qu’elle redressa la tête, se laissant aller à un long cri de plaisir.
Voilà qui faisait du bien ! Mélinda se sentait bien mieux, maintenant, comme si son esprit était apaisé après cet orgasme. Elle secoua lentement la tête, et se retira du corps de l’homme. Il y eut un petit bruit de glissement quand ses fesses furent libérées du membre tendu de l’homme, et la vampire se mordilla les lèvres, courbant son dos, sentant l’air frais caresser ses cuisses, glisser contre son trou perforé. Du sperme s’en échappait, coulant le long de son canal, la faisant frissonner.
« Mmmhhh... Tu te débrouilles très bien, Shiroi... »
Mélinda se retourna lentement, et s’assit sur les fesses. Une onde de douleur la traversa, un très agréable frisson, et elle soupira faiblement. Une partie de ses cheveux glissaient nonchalamment près de ses yeux, lui donnant un air négligé qui n’était pas sans lui procurer un certain raffinement esthétique. Elle observa silencieusement Shiroi, réfléchissant à la suite du programme, et un léger sourire vint éclairer ses lèvres.
*Oui, pourquoi pas...*
Ce petit sourire, avec cette lueur pétillante, trahissait souvent, chez Mélinda, un plan qu’elle avait derrière la tête. Un plan qu’elle comptait bien exécuter tout de suite.
« Bran ! appela-t-elle alors en élevant la voix. BRAN !! »
Bran était son grand-frère, un bel homme musclé et bien bâti, qui ne tarda pas à rentrer. Ses yeux clairs dévisagèrent impassiblement la scène de sexe. Il portait un débardeur noir et un pantalon de la même couleur, en cuir, et s’avança lentement, sans rien dire. Ses beaux yeux regardaient la pièce silencieusement.
« Shiroi, je te présente Bran, mon grand-frère... Montre-lui moi ton torse, mon chou... »
Bran obtempéra silencieusement, balançant son haut sur le sol, et s’avança un peu. Le sourire de Mélinda s’accentua, alors qu’elle se reculait un peu, prenant ainsi le rôle d’une spectatrice.
« Bran... Tu vas lui faire l’amour... Je veux voir si Shiroi se débrouille aussi bien avec les hommes qu’avec les femmes. »
Bran se pencha vers l’homme, et posa une main sur son épaule, une autre sur son torse, et alla l’embrasser.
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L'exclamation de sa maîtresse... Fut comme une désinhibition pour Shiori, car alors qu'il avait un peu ralenti pour arriver à demander cette permission il accéléra d'autant plus ses va et viens une fois qu'ils l'eut obtenue. Sa virilité caressait et écartait avec d'autant plus d'ardeur les chairs de Melinda,. Se faisant il rendit la montée de leurs orgasmes respectifs d'autant plus intense et à peine sentait t-il sa maîtresse jouir, frissonnant en sentant sa cyprine jaillir littéralement entre ses doigts, avant de lâcher à son tour un long cri de plaisir. Cri qu’il essayait vainement de retenir un tant soit peu en se mordant profondément la lèvre alors qu'en ultime et puissant coup de rein, sa semence se répandait dans le fondement de son amante.
Il fut par la suite un peu étourdi par la violence de l'orgasme, sentant à peine sa maîtresse se retirer, et ne retrouvant pleinement ses sens que pour voir son sperme coulait de ses fondements, sa semence qui avait emplie sa maîtresse... Il ne savait pas pourquoi cette idée lui procurait une satisfaction et une fierté étrange, qui ne firent que s’accroître lorsqu'elle le complimenta sur ses aptitudes.
"Merci beaucoup maîtresse, mais j'ai surtout été bien formé."
Alors qu'elle s'asseyait il se mit pour sa part à genoux sur le lit, son membre encore tendu. Cela ne durerait cependant pas longtemps après avoir joui du moins ans source d'excitation particulière, bien que la vision de sa maîtresse nue en une attitude si aguicheuse aurait pu suffire. Le regard baisse il fixait les hanches de la jeune femme, hésitant alors à lui proposer de la laver de la semence avant qu'elle ne s'écoule trop et tache les draps
Mais sa maîtresse semblait avoir d’autres projets, car bien qu'il ne comprenait pas son regard plein de malice il entendit par contre clairement son appel. et le regard de l'esclave ne tarda pas à se tourner vers la prte se relevant alors. Il s'attendait à vrai dire à être congédié et à ce que ce Bran vienne le récupérer comme l’avait été la Neko afin qu'il lui soit expliqué le fonctionnement des lieux, et de fait le jeune homme se releva.
Ainsi il fut un peu surpris quand sa maîtresse lui annonça qu'il était son frère, mais nullement gêné, il avait vu bien des clients laissés leurs familles assister à leurs ébats voir y participer alors cela ne le tronculaire guère... Et quand Melinda donna l'ordre à cet homme de commencer à se dénuder l'esclave savait déjà ce qui l'attendait un léger sourire se dessinant sur ses lèvres alors qu'il faisait face à Bran. Bien qu'il ne lui appartenait pas de juger il e trouvait attirant, tout comme sa sœur. Il était par ailleurs plus grand, et surtout bien mieux bâti que ne l'était Shiroi, qui alors se retrouva à nouveau pleinement excité...
Et finalement la maîtresse donna ses ordres, confirmant les soupçons de Shiroi, qui par ailleurs ne se faisaient aucune illusion quant aux rôles respectifs qu'auraient Bran et lui dans leurs ébats, lui de bien plus faible stature allait être celui qui "recevrait", et l'intention de sa maîtresse était cohérente. Elle avait senti ce qu'il valait lorsqu'il prenait, il lui restait à savoir comment il était lorsqu'il était pris.
Ainsi il répondit sans une hésitation au baiser du bel homme, lui rendant un baiser passionné, frissonnant un peu sous ses doigts alors que lui même le caressaient, les mains d'abord sur ses hanches il les descendit vers son pantalon, venant même caresser son entrejambe à travers ce dernier...Mais il ne le descendit pas de suite, avant cela il se mit à genoux devant lui. Ainsi il lui montrait d’ores et déjà ce qu'il lui réservait, mais le fit languir, ne se servant nullement de ses mains, seulement de ses dents pour lui retirer son bas, et même chose pour son sous vêtement. Une fois qu'il eut libéré son membre, Shiroi le caressa avec une de ses mains, l'autre posé sur les flanc de l'homme, répondant brièvement à la vampire.
"J'ai été formé aussi bien à plaire aux femmes qu'aux hommes, ainsi qu'à ceux qui ne sont ni l'un, ni l'autre, ou encore les deux."
Ce n'était pas de la prétention simplement un constat... Et il passa sans plus tarder à la suite, commençant à lécher le membre de son amant, l'odeur et le goût de son sexe commençant à l'enivrer alors qu'il retrouvait encore son souffle suite à son étreinte avec Mélinda. Mais il n’hésitait pas, œuvrant avec maîtrise, descendant des fois jusqu’à ses bijoux, les suçotant doucement avant de remonter, caressant son pieu du bout de sa langue jusqu'à son sommet.
Il n'allait pas tarder à le prendre en bouche, à moins que l'homme ne prenne en cela les devants, mais tout le long de ses caresses Shiroi garder le regard levé vers lui, en une parfaite attitude soumise. Cependant il advenait que ses yeux glissent vers la vampire ne pouvant s’empêcher de se demander. Serait elle simplement une actrice ? Prendrait elle part également à l'étreinte ? Ou bien leur donnerait elle des ordres pour assouvir quelques fantasmes ?
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Bran était le grand-frère servile et implacable de Mélinda. Un homme discret, efficace, et meurtrier. Jadis, il avait torturé sa sœur, à une époque où ils n’étaient pas encore des vampires, mais sous l’autorité de leur père. Bran avait été influencé par ce dernier, et, de ce que Mélinda savait, le jeune homme aimait beaucoup sa mère... Tout comme son père. Quand elle avait mis au monde Mélinda, elle était très affaiblie, et l’accouchement avait provoqué sa mort, faisant perdre à son père la raison. Il avait vu en Mélinda le point d’orgue de l’effondrement de toute sa vie, et avait utilisé le chagrin de Bran pour la mort de sa mère en haine à l’encontre de sa petite sœur, une haine d’autant plus forte que Mélinda avait toujours ressemblé comme deux gouttes d’eau à sa défunte mère. Elle avait donc été battue et violée par cet homme, et avait eu le temps de se former à la mort de son père. Elle aurait pu tuer Bran, mais la vampire n’avait pas pu se résoudre à supprimer le dernier membre de sa famille. Au lieu de ça, elle l’avait donc rééduqué. Elle en avait fait un vampire, et l’avait torturé pendant des dizaines d’années, jusqu’à ce qu’il finisse par devenir un grand-frère docile, débarrassé de toute sa rage... Il était maintenant complètement fidèle à Mélinda, et la vampire aimait se dire qu’il l’aimait.
C’était grâce à elle qu’il était aussi bien membré, et elle l’avait bien soigné, car il n’avait plus aucune trace sur le corps témoignant de son cruel passé : pas de cicatrices, pas d’hématomes, pas de plaies. Rien d’autre qu’une peau parfaite, et totalement imberbe. Il était bien bâti, car il s’entraînait pour protéger sa sœur. Contrairement à Mélinda, Bran était un vampire-guerrier, et était donc techniquement plus fort que sa sœur. Ayant été torturé pendant des années, il avait également développé une très bonne résistance à la douleur. Il n’y était pas insensible, mais il se débrouillait plutôt bien. En bref, Mélinda l’avait éduqué pour qu’il devienne son parfait grand-frère. Ils faisaient fréquemment l’amour, et ce n’était qu’avec le sexe que la froideur naturelle de ce gorille s’effritait peu à peu. Le plaisir sexuel ne pouvait pas être totalement inventé, car il était bien trop intense et bien trop vif pour pouvoir être simulé.
Bran était donc avec Shiroi, et le jeune homme assura à Mélinda avoir été formé pour ce genre de choses. Cette dernière se contenta de lui sourire, tout en regardant les deux hommes s’embrasser. Un peu d’homosexualité masculine, ça ne faisait jamais de mal. Yeux entrouverts, Bran l’embrassait tendrement, une main posée sur la nuque de l’homme, son torse heurtant le sien. Il laissa Shiroi le déshabiller, n’y opposant aucune forme de réaction, tout en continuant à l’embrasser. Leurs langues se mélangèrent, la respiration de Bran s’accélérant légèrement. Mélinda, elle, continuait à observer le petit film se déroulant devant ses yeux, se mordillant les lèvres, une lueur espiègle brûlant dans ses yeux.
« Allez, allez, ne vous privez pas pour moi, mes beaux... Quelle femme n’aimerait pas voir ses hommes coucher entre eux ? »
Mélinda trouvait ça particulièrement excitant, et s’humectait les lèvres, tout en les regardant faire. Shiroi aida Bran à retirer son pantalon, puis écarta délicatement ce dernier, afin de masturber et d’embrasser son membre. Il avait ainsi baissé sa tête, et Bran écarta les jambes, le laissant venir, tendant une main pour caresser ses cheveux bleu. Mélinda sentait le plaisir monter en lui, croître dans son torse. Il était excité par ce que Shiroi lui faisait, et sa virilité se mit à grossir, alors que Shiroi embrassait ici et là sa queue, glissant jusqu’à ses testicules. Bran avait un beau membre, en tant que vampire. Son sang se concentrait dans son sexe pour le faire grossir, lui formant une belle virilité. En le voyant, Mélinda se mordilla les lèvres, repensant à toutes les fois où elle avait goûté à cette queue tendue et grosse. Elle avait l’impression de se faire déchirer de l’intérieur, surtout que Bran donnait de vifs coups de reins, épuisant la vampire en la pénétrant
Comme quoi, il savait aussi bien coucher avec les hommes qu’avec les femmes. Shiroi continuait à agir sur la queue de l’homme, la recouvrant de sa salive. Le vampire devait admettre qu’il aimait ça... Voir cette bouche remuer sur sa queue... Que ce soit une femme ou un homme, la fellation faisait partie de ces petits plaisirs qu’il appréciait particulièrement.
« Prends-là, Shiroi... » susurra-t-il alors, tout en continuant à caresser ses cheveux, à les empoigner et à glisser sur son crâne.
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Face à la réponse de Melinda à ses regards Shiroi se dédia entièrement à Bran, se concentrant pleinement sur les caresses qu'il donnait à sa virilité, qu e son possesseur semblait apprécier entre sa respiration qui s'accélérait et les mouvements de son torse. Mais la preuve la plus flagrante ne était l'érection de son membre, rapide, et qui surprit quelque peu Shiroi, car étant bien plus large que le sien. Néanmoins cela le fit sourire, il n’en serait que davantage mis à l'épreuve et il escomptait bien s’en montrer à la hauteur ! Ainsi il continua ses douces caresses le long du pieu du frère de sa maîtresse, frémissant quand ce dernier passait une main dans ses cheveux comme pour le flatter.
Et enfin il lui donna comme directives d'aller plus loin, arrachant un sourire pervers à l'esclave qui se contenta de le faire languir un peu plus, remontant avec une lenteur exagérée sa langue le long de sa chair, jusqu'à finalement que ses lèvres effleurent cet ample gland, et s'entrouvre, une main tenant son membre. Dan un premier temps il ne fit que prendre doucement ce sommet en bouche, les lèvres repliés pour recouvrir ses dents, et le suçota doucement, comme pour le pomper. Mais cela ne dura pas car il savait qu'il en ovulait plus et il commença à en prendre d'avantage en bouche. Les lèvres toujours rentrées, il resserrait ses joues pour rendre sa bouche plus étroite et agréable pour son amant pendant que sa langue s'agitait avec frénésie pour le caresser au mieux.
Finalement il put mettre la moitié de cette lance dans sa seule bouche, entamant cette première venue avec une grande lenteur et délicatesse pour s'adapter à ce membre...Mais une fois qu'il eut fini, il continua à maintenir ce membre d’une main, cette dernière frottant la zone que ses lèvres n'atteignait pas, l'autre prenant appui sur ses cuisses et entamait de vifs va et viens, sans qu'à un seul moment sa langue ne cesse ses caresses, seul son regard semblant se flouter quelque peu. Il n’éprouvait certes aucun plaisir à cela mais c’était toujours une satisfaction personnelle et une grande excitation que de faire cela, lâchant entre deux va et viens.
"Ah...Vous êtes si...Vigoureux, Bran..."
Mais il ne s'arrêta pas là, souhaitant donner plus à Bran, et ainsi au terme de quelques instants de ces va et viens de plus en plus rapide, il relâcha sa virilité, prenant appui sur ses hanches pour, d'un seul coup, forcer sur ce membre, qui alla jusqu’à sa gorge en un brusquement gorge profonde, qu'il fit quelque peu durer.
Ce n'était pas là de la témérité de la part du jeune esclave qui savait non seulement rendre cela plaisant mais aussi quand retenir sa respiration et quand la reprendre. Ainsi il se recula, inspira et recommença accélérant à nouveau petit à petit les allées et venues, en suçant et léchant avec avidité ce membre viril, sans la moindre volonté de s'arrêter. C'était à Bran seul de de décider s’il voulait jouir entre ses lèvres ou bien manifester un autre désir. Shiroi lui obéirait de toute manière en tout, son absence de façade n’affectant nullement sa docilité.
Et pour donner l'occasion à son amant de manifester un nouveau désir il arrêtait parfois sa gorge profonde pour venir laper plus simplement ,et comme par provocation, le grand de ce dernier, avant de reprendre ses intenses va et viens.
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Comme Mélinda, Bran était un homme moderne, se souciant assez peu de coucher avec des femmes, ou avec des hommes. Du moment que sa sœur était contente, il n’en demandait pas plus. Tuer ou coucher, ça revenait pour lui au même. Il avait été formaté et bien entraîné. Bran obéissait, effectuant ce qu’on lui demandait de faire, sans se poser de trop amples questions. Son sexe était tendu, durci, signe évident qu’il était excité, et il se tenait sur le lit, jambes écartées, la respiration précipitée, ses mains caressant les cheveux de son amant. Bran était une véritable statue de glace, un spécialiste pour dissimuler ses émotions, mais il y avait des indicateurs qui ne mentaient pas. Cependant, il ne fallait pas se tromper. Malgré son érection, et le plaisir évident que Bran était en train de sentir, si Mélinda lui demandait de tuer Shiroi, de lui briser son beau petit cou, il n’hésiterait pas. C’était ainsi que Mélinda l’avait éduqué, pour être un vampire obéissant et sage, et Bran y arrivait plutôt bien... Mais Mélinda n’avait aucune raison de tuer Shiroi, n’est-ce pas ?
Allongée à côté, elle les observait, sa tête en appui sur l’une de ses mains, un beau sourire traversant son visage malicieux. Une lueur pétillante brûlait dans l’iris de ses yeux. Elle n’en ratait pas une miette. Ce bruit de mastication, ces doigts vigoureux empoignant les cheveux du jeune esclave. En une journée, il avait couché avec Mélinda Warren, puis avec Bran. Voilà un homme bien chanceux ! Se rendait-il seulement compte de la fleur que Mélinda lui faisait ? Elle était heureuse de voir que coucher avec un homme ne lui posait pas plus de problèmes que de coucher avec une femme. Voir cette fellation était loin de laisser Mélinda indifférente, qui sentait son rythme respiratoire s’accélérer. Elle se mordillait les lèvres, tout en voyant Bran se relâcher peu à peu, et en voyant Shiroi enfourner sa queue en lui, le suçant avec une vigueur de plus en plus forte. Shiroi optait pour une belle gorge profonde. Que c’était bon ! Voir ainsi deux hommes se faire l’amour, juste sous ses yeux... Mélinda n’en ratait pas une miette. Shiroi était fin et menu, Bran costaud et athlétique. Les deux étaient différents, mais se ressemblaient plutôt bien, et la perverse vampire sentait bien qu’elle n’allait pas pouvoir rester longtemps ainsi, qu’elle ne pourrait guère rester encore une vulgaire spectatrice.
Elle attendit juste le bon moment. Bran continuait de se laisser aller, son souffle précipité. Mélinda aimait son frère. Sincèrement. Elle l’aimait, et ce même s’il l’avait tortu ré, même si cet homme l’avait violé, battu, humilié, et avait mille fois mérité la mort. L’amour d’une petite sœur envers son grand-frère, sans doute... Elle l’avait amélioré et éduqué pour qu’il soit ce grand-frère protecteur qu’il avait été incapable d’être dans son ancienne vie, et il était maintenant un grand-frère aimant et obéissant. Il faisait tout ce que sa petite sœur lui demandait, et l’inceste ne les dérangeait absolument pas... De fait, pour un vampire, l’inceste était une notion qui avait une interprétation bien différente des humains, puisqu’un vampire considérait comme frère (ou sœur) celui (ou celle) qui avait le même sang que lui. Dès lors, quand un vampire mordait quelqu’un, comme son amant, ils partageaient leur sang. Tout simplement, c’était la notion de « famille » qui était différente. Ce faisant, beaucoup de choses l’étaient.
Elle ne les arrêta que quand Bran eût éjaculé dans la bouche de Shiroi. Ses muscles se contractèrent, son souffle se tut, et il s’abandonna dans sa bouche, crispant sa main sur ses cheveux, et s’abandonna. Mélinda s’était alors rapprochée d’eux, et se tenait dans le dos de Bran, l’embrassant sur la nuque, et caressant son beau torse glabre et musclé avec ses doigts, filant le long de sa peau, le griffant très légèrement, savourant le contact de ce corps solide. Bran jouit en sentant les seins de sa sœur dans son dos, et son sexe tressauta à plusieurs reprises. Sa belle virilité déversa son jus dans la bouche d’un Shiroi qui ne pouvait que la recevoir.
« Miam... La sève d’un vampire..., soupira Mélinda en s’écartant de Bran, pour aller caresser l’échine de Shiroi, ses mains filant le long de son dos. Un jus délicieux, non ? Bois tout ce sperme, mon beau Shiroi... »
Elle regarda la gorge de l’homme remuer, au fur et à mesure qu’il avalait la généreuse semence de Bran, dont le membre ne tarda pas à retrouver sa raideur. Mélinda se redressa alors, et se posa sur le sol, toujours aussi nu, leur montrant son dos. Bran ne put s’empêcher de ressentir du désir en voyant cette chute de reins, en voyant cette longue chevelure bouclée filant vers le milieu de son dos. Une véritable nymphe, tout simplement.
Elle tourna alors la tête vers eux, puis se retourna.
« Venez à moi, mes hommes... Un devant, un derrière, enfourchez-moi, et montrez-vous digne de votre Maîtresse. »
Elle donnait ses ordres, et exprimait ses fantasmes : être prise en sandwich. Tout simplement.
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A aucun moment son amant ne sembla vouloir changer les choses et de fait Shiroi cessa de s'interrompre, se dédiant pleinement à ses gorges profondes de plus en plus intenses, et ce jusqu'à ce qu'il sentait la main se resserrer sur ses cheveux. Il savait ce que cela signifiait tout comme les premiers tressaillement du membre entre ses lèvres...pais au lieu de se contenter de prendre le gland en bouche pour recevoir toute sa semence dans a bouche et y goûter il acheva on mouvement en une gorge profonde retenant alors sa respiration. Son regard relevé vers Bran il put voir sa maîtresse s'approcher...
Et alors qu’elle fut derrière lui son amant jouit enfin, déversant sa semence dans la gorge de l'esclave qui ne pouvait de toute façon qu’avaler, même s’il n'en ressentait pas le goût. Il y avait cependant une raison à ce qu’il ait conclut la chose en une gorge profonde. Il ne s'agissait non pas d'un dégoût de la saveur du sperme, au contraire il avait appris à l'apprécier, seulement pour avaler sa gorge se contracter et dans cette position son amant pouvait senestre les muscles de sa gorge se resserrer et se desserrer autour de sa verge, lui offrant des caresses que Shiroi était bien incapable de faire en d'autres circonstances. Qui plus est il était ainsi certain de boire tout ce délicieux sperme, comme venait de le lui ordonner Mélinda en caressant sa nuque...il entendit aussi le terme de vampire, mais il n'y réagit pas, l'esprit trop embrumé pour y penser.
Cependant, tenir s'avéra particulièrement ardu, Shiroi avait rarement eu des amants aussi généreux en fluides et , se finissant un honneur de tenir jusqu'à la fin de la jouissance de son amant il manqua de peu de tomber dans l'inconscience, ses yeux se révulsant doucement, avant qu'il ne se retire brusquement respirant profondément...Et revenant lécher brièvement le membre de son amant pour le nettoyer, membre toujours aussi raide, soufflant.
"Merci... Pour le repas Bran, c'était délicieux."
Mais il ne s'y attarda, pas se redressant, son regard attiré par Mélinda qui adoptait une position suggestive, qui s'offrait à eux, dans toute sa splendeur. Sa beauté presque infantile se mêlant à ses formes de femmes avaient de quoi exciter nombre d'homme et même après ce qu'il avait déjà fait Shiroi sentait encore le feu du désir dan son bas ventre... Et par son ordre Mélinda lui offrait la possibilité de l'apaiser.
Il vint ainsi vers elle, sa virilité tendue, et exécutant ses directives il fut celui à se positionner devant. Sa virilité effleurant l'intimité de la vampire, alors que ses lèvres caressaient son cou, frémissant à l'idée de l a pénétrer . C’était peut être d'une grande audace de sa part que de s’approprier le trésor de sa maîtresse, mais cette dernière avait exprimé sa préférence pour l'autre voie, c'était donc un cadeau qu'il faisait à Bran... Et l'application de ce que lui avait demandé Mélinda. Elle lui avait demandé de faire montre de ses talents alors il fallait bien qu'il rende honneur à chacun de ses orifices si elle lui en laissait la possibilité...
Cependant il ne précipita pas la chose, attendant que Bran soit aussi prêt que lui, que leurs deux membres appuient doucement contre les orifices de la vampire. Le jeune esclave comptait ainsi caler ses mouvements sur ceux de Bran, afin de prendre leur maîtresse en même temps que, lui au même rythme que lui, afin que le plaisir qu'ils lui procurent en soit doublé, unis, et non pas divisé. Afin de se montrer digne de leur maîtresse...
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Une double pénétration... Un fantasme de jeune fille, un petit plaisir dont Mélinda ne se lassait pas. Bonne princesse, elle avait laissé à Shiroi le soin de savoir par où il voulait la prendre : devant, ou derrière. Aucun des deux ne dérangerait Mélinda, puisque Bran se chargerait de l’autre partie. La vampire était endurante, et elle tenait à ce que Shiroi le comprenne vite. Elle lui avait laissé le choix du trou, et il opta pour le devant, se rapprochant d’elle. Mélinda lui sourit, et posa ses mains sur ses épaules. Il se rapprocha d’elle, ses lèvres effleurant son cou, et Mélinda soupira, fermant légèrement les yeux en le sentant se blottir contre elle. Elle se hissa sur ses jambes, les enroulant autour de la taille de l’homme, et sentit alors, en frémissant, des mains fermes se poser sur ses hanches. Bran se glissa dans son dos, et Mélinda délivra la nuque de Shiroi, tendant une main en arrière, saisissant celle de Bran. Elle se redressa en tournant la tête, et son grand-frère l’embrassa sur les lèvres. Avec son autre main, elle caressait les cheveux de Shiroi, et amena sa tête contre ses seins.
Elle s’amusait avec ses deux hommes, savourant ces torses fermes qui commençaient à l’écraser, savourant la sensation d’être prise en sandwich. Elle tourna la tête, et Bran l’embrassa tendrement, tout en remontant l’une de ses propres mains, empoignant le sein que Shiroi n’était pas en train d’embrasser. Elle sentait toujours leurs verges glisser sur son corps, caressant ses fesses, le haut de ses jambes... Tous ces frissons la faisaient trembler.
« Haaa... Mes hommes, hummm... Serrez-vous contre moi, que je vous sente... M’emprisonner... »
Bran soupira, pinçant son téton. Ses seins avaient durci, et Mélinda lui mordilla les lèvres, ses griffes jaillissant provisoirement de ses ongles, alors que son soupir mourut dans sa gorge. Bran savait bien embrasser, Mélinda l’avait formé sur ce point. Elle l’avait formé sur beaucoup de choses, et lui avait également appris bien des choses. Il enfonça sa langue dans sa bouche, et leur baiser finit par se rompre. Un mince filet de salive les relia, mais elle reporta ensuite son attention sur Shiroi, et posa sa main sous son menton, redressant sa tête, tout en se laissant glisser contre ses hommes. Elle enroula ensuite ses bras autour de sa nuque, et l’embrassa sensuellement, langoureusement, écrasant son corps contre le sien, ses seins heurtant son torse, sa langue venant jouer avec la sienne, roulant tendrement dans sa bouche.
« Hum... Allez-y, mes beaux, commencez... Prenez votre Maîtresse, et défoncez-là bien ! »
Elle sourit à Shiroi, et remua un peu son bassin, pour l’aider à glisser sa verge en elle. Elle serra ensuite ses jambes autour de sa taille, et sentit Bran enfoncer également sa verge. Le plaisir explosa, névralgique, coupant toute forme de pensée dans le corps de Mélinda. Elle bascula la tête en arrière en gémissant silencieusement, et sentit Bran commencer à donner des coups de reins, allant d’avant en arrière, sa verge se perdant en elle, sa belle virilité bien tendue qui lui défonçait la croupe. Un couinement de plaisir s’échappa des lèvres de Mélinda, qui avait toujours ses mains en appui sur les épaules de Shiroi, les griffant à moitié.
Peu à peu, elle revint à elle, alors qu’elle se visualisait la scène : elle, toute en courbes et en formes, prise par deux hommes bien membrés. Hum...
« Encore ! Encore, haa !! Allez, allez, baisez-moi, baisez-moi comme la dernière des putes, HAAAAAAAAAAAAANNNNN !!! »
Leur Maîtresse laissait pleinement aller... Mais il fallait aussi dire qu’elle était plutôt bien remplie !
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Ce n'était pas parce qu’ils étaient déjà passé une fois par l'acte lui même que toutes les caresses qui l'accompagnaient devaient être ignorées pour se concentrer sur le seul bas ventre. Bien au contraire c'était là une manière de sublimer ce plaisir ! Ainsi les mains du jeune esclave continuèrent à caresser le corps de sa maîtresse alors que cette dernière l'attirer contre elle. La tête contre sa poitrine il en tétait avec ardeur un sein, interrompant des fois ses sucions par e rapides léchouilles sur son téton dressé. Se faisant il exécutait également son ordre exerçant une pression de ses mains pour se serrer contre elle. Néanmoins il ne perdit pas une miette du baiser entre le frère et sa sœur, ce spectacle ne l’excitant que davantage, d'autant plus quand ce fut à son tour d'adresser un baiser langoureux à la jeune femme, relâchant son sein alors qu'elle la sentait au plus près de lui, ses jambes croisées sur son dos, sa poitrine contre la sienne, diffusant une chaleur diffuse qui n'était qu'un prélude à ce qui suivrait.
L’instant d'après l'ordre sonna clair...Et si Mélinda exécuta un mouvement initiant la suite Shiroi, ainsi que son compagnon y répondrait avec la plus grand vigueur, leur deux membres se mêlant avec force au fondement et aux chairs intimes de leur maîtresse, arrachant un soupir d'aise au jeune homme. La sensation était légèrement différente que lors de la sodomie, mais toute aussi plaisante...Voir exacerbée, par la sensation particulière que causait la présence du membre de Bran, dont il pouvait presque sentir les mouvements à travers les chairs de leur amante, leur membre exécutant des va et viens ensemble...
Pris par le plaisir Shiroi ne lâcha qu'un faible couinement de douleur quand il sentit ses épaules écorchées, amis il en avait vu d’autre ,et en dépit du sang qui en perla un peu, sa peau étant des plus fines, il ne s'interrompit guère pour cela. Au contraire il exécuta avec ferveur l’ordre qui suivit, respirant plus rapidement et fortement sous l'effort alors qu'il exécutait d’amples et vifs va et viens, son membre s'enfonçant à en elle jusqu’à la garde, caressant au mieux son intimité avant de se retirer et revenir avec force, n'hésitant pas à se montrer brutal face à une personne qui y était tant habitué. Certes Shiroi ne pouvait pas prétendre avoir couché avec la dernière des putes, mais pour certains il l'avait été...Et ainsi il traita Melinda dans ses gestes comme il l’avait été, un simple jouet pour ses pulsions masculines, juste suffisamment brimés pour ne pas prendre le dessus sur sa servilité. Ainsi il la prenait sans ménagement et ses mains parcouraient avec ferveur le corps de la jeune femme, assénant par moment de légères claques sur sa croupes, clamant alors d'une voix entrecoupées de soupir.
"La dernière des putes est aaah... Alors une personne heureuse !"
Et il maintint le rythme... Mais cela demandait de grands efforts à l'Esper aux talents humains. Ainsi même si dotée d'une vigueur peu commune pour les humains il commençait à s’essouffler un peu, ses muscles le brûlant quelque peu, mais il ne ralentit pas p, pour le plaisir de sa maîtresse...Mais une autre forme de fatigue était l'approche de la jouissance, causé par le grand plaisir qu'il prenait à en donner à sa maîtresse, alors qu'il peinerait sans doute à agir une troisième fois au vu de leur intensité de leur débat... Il en avait conscience, en avait un peu honte au vu de l'appétit visible de Mélinda, mais quitte à cela il s’évertua à rendre ce second passage aussi intense que possible, le corps toujours collé à celui de sa maîtresse, leurs peau frottant l'une à l'autre, alors qu'en levant la tête il pouvait à la fois voir le visage de Mélinda et celui de Bran, partageant ensemble leurs plaisir...
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Mélinda était une vampire ayant plusieurs facettes. Elle était une femme très autoritaire et dominatrice, qui pouvait volontiers fouetter le dos de ses esclaves quand ils lui désobéissaient. Cependant, elle pouvait aussi, parfois, se faire prendre comme une esclave, et aimer qu’on l’insulte ainsi. Elle réservait ça à certains de ses esclaves, ceux qui étaient capables de comprendre que tout ça n’était qu’une fiction, et que, dans le fond, la vampire continuait à rester la Maîtresse. Elle avait juste des envies bizarres, qui pouvaient l’amener à avoir un collier autour du cou, à être à quatre pattes en se faisant fouetter par des esclaves qui avaient compris son petit manège, et y participaient volontiers. Ce n’est pas tous les jours, après tout, qu’on pouvait fouetter un esclavagiste. L’occasion était tout simplement trop belle pour qu’on la laisse inutilement passer. Ses esclaves savaient y faire, et les deux amants qu’elle avait avec elle ne semblaient pas déroger à la règle, prenant joyeusement la Maîtresse.
Mélinda se tortillait entre eux, sentant leurs membres la prendre, s’enfoncer profondément en elle. Étant le plus costaud, c’était Bran qui se chargeait de maintenir tout ce petit monde en place, son sexe remuant dans le fondement délicieux de sa sœur, tandis que Shiroi la caressait en la prenant par devant, se faisant de plus en plus agressif, de plus en plus violent et sauvage, allant mettre jusqu’à la gifler sur les fesses.
« Hum !! »
La vampire gémissait et soupirait, sentant ses corps glisser contre elle, d’avant en arrière, la compressant entre leurs torses chauds et tendres. Elle essayait de se retenir, de se contenir, de ne pas griffer trop fort Shiroi, mais il était difficile de se retenir face à cette vague de plaisir qui explosait en elle. Ses deux amants continuaient à malmener son corps, et elle tendait Bran soupirer contre elle. Il avait posé ses mains sur les hanches de la vampire, les remontant parfois pour pincer ses seins, plaquant alors le corps de la vampire contre son torse, l’amenant à se séparer de Shiroi... Mais pas de sa verge, car les mains de la vampire le maintenaient, et le ramenaient alors contre elle. Ce faisant, Shiroi devait bien sentir à quel point les deux vampires devant lui étaient joueurs et amants ensemble. Avait-elle seulement haï son grand-frère un jour ? Son père, elle l’avait haï, mais lui... Lui, c’était différent. Elle avait pourtant vraiment voulu le tuer, jadis... Elle avait réellement essayé, mais elle n’avait jamais pu se résoudre à le faire. Tout simplement. Elle se rappelait encore de cette période où elle l’avait torturé, massacré, et où elle le regardait lentement mourir, son corps malingre retenu par ses chaînes... À chaque fois, elle l’avait sauvé. Il était de son sang, et elle ne pouvait tout simplement pas s’en séparer.
Les deux hommes continuaient à la prendre, jusqu’à ce que Mélinda ne finisse par jouir, au bout de plusieurs minutes d’une longue et délicieuse double pénétration. Il fallait la comprendre, c’était tellement bon, d’être ainsi, d’être prise perpétuellement par ces deux hommes en rut, ces deux puissantes bêtes. Malgré ses petits muscles, Shiroi y allait à fond, remuant ses mains, attisant le feu qui consumait le corps de la délicieuse vampire. C’est ainsi que Mélinda jouit, avant de sentir ses deux orifices se faire remplir.
« HHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN !! » hurlait-elle.
Oh, si c’était bon ! Elle se sentait pleine, comblée, et sentit les deux mâles soupirer, la respiration lourde. Mélinda se blottit contre Shiroi, l’embrassant tendrement, caressant les beaux cheveux du jeune esclave bisexuel. Bran, lentement, se retira des fesses de sa sœur, prenant tout son temps. Il avait laissé sa verge en elle pendant quelques instants encore, avant de la retirer, et Mélinda poussa rapidement Shiroi, sous son poids. Le jeune esclave retomba sur le lit, et Mélinda le poussa, l’étalant sur ce dernier.
Elle rompit le baiser, un sourire sur le visage, et caressa tendrement les lèvres de Shiroi, son doigt griffu remontant le long de la commissure de ses lèvres.
« Ta semence risque de beaucoup se diffuser dans ce harem, Shiroi... Le harem comprend surtout des filles, et mes petites protégées aiment bien les hommes... Endurcis-toi, mon beau, car ta verge sera fréquemment utilisée. »
Quel homme ne serait pas ravi d’entendre ça ? À part un homosexuel, bien sûr.
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Shiroi avait partagé la couche de bien des couples et il était un fait que bien peu parmi eux partageaient le lien qui semblait unir Mélinda et son frère. Ce dernier avait beau être visiblement son esclave il avait quelque chose différent des autres ,de lui même. Il avait ce lien complice qui l'unissait à sa sœur, en dépit, et peut être même grâce, à ce qu'ils se faisaient subir mutuellement. Ainsi à aucun mouvement il ne s'opposa au retrait du corps de leur amante, afin qu'elle revienne à son frère, même s'il suivait de près le mouvement pour profiter au mieux de l’instant. L'important été le bonheur de sa maîtresse et cette dernière semblait aux anges entre les bras de Bran, quand bien même Shiroi y contribuait à sa manière.
Il y contribuait, oui, mais en profitait tout autant, ainsi le brasier en son bas ventre crut une nouvelle fois...Et explosa quand il sentit les parois intimes de la vampire se resserrer sur son membre, jouissant en elle d'un flot un peu moins conséquent quel e précédent, mais tout aussi plaisant vu le soupir qu'il eut et le mouvement en arrière de ses yeux qui se perdirent brièvement dans l'explosion de plaisir avant de revenir vers sa maîtresse quand cette dernière l'embrassa. Baiser qu'il lui rendit avec ardeur, ses mains se resserrant sur ses hanches afin de se retirer à son tour, frémissant en sentant la fraîcheur ambiante caresser son membre après avoir été tant au chaud dans l'intimité de la jeune femme.
Mais durant le baiser elle le repoussa, le frêle jeune homme retombant alors sur le lit avec douceur et adoptant instinctivement une position lascive et soumise. Cette dernière était d'autant plus convaincante au vu de al sueur qui recouvrait son corps avec l'effort, e les quelque fluides sur son membre, qui semblait cependant perdre de sa vigueur une fois à l’extérieure de cette dernière. il parvint néanmoins à acquiescer à ses propos. Comprenant ce que cela impliquait...Mais cela l'interloquait tout de même. Bien sûr au vu du plaisir qu'il éprouvait durant l'acte il ne s'en plaindrait pas, ce serait même des plus plaisants, mais il craignait pour les intérêts de sa maîtresse... Et d'une voix affaiblie par la fatigue physique il lâcha alors.
"Je vois, je ne pensais pas que je serai si sollicité, vu que j'ai déjà rencontré des femmes avec une virilité qui n'avait rien à envier à la mienne, mais si vous avez raison, vous n'avez pas peur madame des...Problèmes que ça risque d'engendrer ? Si ma semence se diffuse tant il risque d'y avoir des...Enfants et cela serait problématique non ?"
Certes il n’avait jamais eu ce problème avant car son ancien maître prenaient des précautions quant à cela, ainsi que ses clients, mais il savait aussi très bien le sort que certains maîtres réservaient aux enfants des esclaves, soit il les élevait pour les revendre plus tard, comme ça avait été son cas au final, soit ils les tuer, comme on noyait les chiots d'une portée, et il se demandait ce que Mélinda faisait pour sa part... Mais il avait aussi d'autres préoccupations.
"Et puis je ne peux pas le faire plus deux fois en une demi heure et si vos protégées m'épuisent et qu'un client me demandent, cela sera compliqué... Cependant cela peut s'arranger si, comme vous le dites, je m'endurcis."
Il se permis de lui voler un baiser, la regardant avec langueur alors que la sensation de son corps contre le sien réussissait à l'exciter à nouveau bien que cela était quelque peu douloureux au niveau de son membre...
"Or rien ne me ferait plus plaisir que de me renforcer pour vous satisfaire, vous et vos protégées, alors si vous savez comment faire pour que je sois plus... Endurcis...Faites de moi ce qu'il vous plaira pour cela."
Il avait conscience que cela risquait d'être éprouvant, presque douloureux, mais il avait conscience que cela en vaudrait le prix, à savoir le plaisir de sa maîtresse qu'il continuait à fixer avec langueur demandant finalement d'une voix provocante, bien qu'il ne pourrait probablement pas supporter de nouveaux ébats si intenses.
"Quel est donc votre désir à mon égard, maîtresse ?"
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Les deux amants étaient allongés l’un sur l’autre, Mélinda contre le corps de Shiroi, caressant son torse, ses doigts griffus venant titiller délicatement son téton, sa main venant ensuite savourer ce torse glabre et propre. Ses esclaves masculins la connaissaient suffisamment pour savoir que la vampire ne supportait pas les poils, et que tous ses hommes devaient se raser leur pilosité, voire subir des opérations au laser à Tekhos pour que leur torse soit propre et doux. Mélinda ne supportait pas les poils, tout simplement, et elle était lovée contre Shiroi, si proche, si câline... Tout son art de la soumission s’exprimait de cette manière, en restant proche de tous ses esclaves, en faisant juste appel à sa propre perversion. Elle caressait Shiroi, répondant aux baisers qu’il lui faisait, entendant les questions qu’il lui posait. Le jeune esclave était dévoué, mais inquiet, aussi. La main de Mélinda continuait à le caresser, alors qu’elle l’écoutait silencieusement, sans rien dire.
« Quel est donc votre désir à mon égard, maîtresse ? » finit par demander Shiroi.
Dans sa tête, la vampire repensait à cette histoire concernant les bébés. Sa main glissant sur le torse de l’homme vint emprisonner sa virilité, la caressant, tandis qu’elle se redressait légèrement, posant son autre main sur son épaule. Elle répondit à son baiser, mordillant les belles lèvres de l’homme. Bran, lui, s’était rhabillé, mais, ayant compris que sa sœur ne voulait plus de lui, et voulait rester seule avec son esclave, il était parti. Elle, de son côté, l’embrassa tendrement, prolongeant un peu le baiser, ses doigts se resserrant sur sa verge. Elle la pressa, remontant dessus, et rompit finalement son baiser en tirant sur la lèvre inférieure de Shiroi, le mordant délicieusement.
Plutôt que de répondre directement à sa dernière question, la vampire revint sur un autre point, ses seins heurtant le torse de l’intéressé.
« Mon harem n’est pas contre les bébés... Tu verras qu’il existe plusieurs enfants dans les quartiers réservés à mes esclaves. Ils ne coûtent rien, et peuvent être formés dès le berceau pour me servir, et être de parfaits esclaves. Tu seras donc un père heureux et actif, Shiroi... Ta vigueur servira à renforcer mon harem en accroissant sa population. »
Mélinda savait que certains harems ne voulaient pas d’enfants, car ils n’avaient pas les moyens de les entretenir, mais la vampire raisonnait différemment. Ayant le temps avec elle, Mélinda envisageait les choses sur le long terme. Elle continuait à tendrement le masturber, remuant de plus en plus fort, sentant cette verge grossir, tapant contre sa chair.
« Caresse mes fesses, Shiroi... Tu as bien du remarquer que ta Maîtresse aimait tout ce qui concernait son fondement. Palpe-moi là, mon beau... Et sache que tu seras toujours en forme pour les clients et les clientes. Mes petites chéries ne viendront te voir que pour les heures de service, mais, de toute manière, tu auras l’occasion de t’endurcir ici. »
La vampire retourna à nouveau l’embrasse, frissonnant en sentant les doigts de Shiroi sur elle, palper son corps, remuer sur sa peau... C’était tellement agréable, tellement délicieux ! Mélinda se pinça les lèvres en rompant ce baiser.
« Aimerais-tu ça, Shiroi ? Devenir papa ? Voir grandir tes enfants, puis te remplacer ensuite ? Être à l’origine d’une dynastie d’esclaves qui me serviront fidèlement ? »
Égocentrique, Mélinda ? Pensez donc ! Juste un peu.
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Melinda ne semblait guère presser d'en finir. En effet même s'ils avaient atteint chacun un pic de plaisir, sa maîtresse continuait à caresser sensuellement Shiroi tout en l'écoutant parler, lui arrachant quelques frissons de plaisir sur son corps dépourvu de pilosité, grâce à une des facéties dont la nature lui avait fait "cadeau". Sa réponse fit même attendre, mais dans le même temps l'esclave aida son amante à meubler ce silence en lui rendant ses caresses, ses mains caressant avec douceur ses flancs, répondant aux délicieuses caresses qu'elle lui donnait. A vrai dire sentir sa verge de nouveau s sensuellement traitée, la forçant à rester tendue, lui provoquait une sensation quelque peu déplaisante, voire douloureuse, mais en ayant l'habitude il sut le dissimuler derrières des sourires à peins feins, tandis que du coin de l’œil il assistait avec étonnement au départ de Bran
Sa surprise par contre ne le fut aucunement, arrêtant malgré lui ses caresses quand, alors qu'il léchait ses lèvres après la douce morsure de Mélinda, cette dernière lui avait répondu quant au sort des enfants dans les harems. Le jeune homme ne sut quoi en penser, lui même après tout avait été un enfant e ce genre, né et ayant grandi dans un bordel, pour être formé à répondre à tout les désirs sexuels de son maître, et surtout de ses clients, de fait il savait en partie ce qu'impliquerait le plan de sa maîtresse pour ces enfants, des esclaves qui seraient comme lui... Et lui même serait probablement père rapidement en effet et...Il ne pouvait se l'expliquer mais cette perspective le rendait heureux. Déjà heureux que de pouvoir servir sa maîtresse d'une telle sorte, mais il y avait aussi autre chose. Lui même n'avait que peu connu ses parents, et ce serait aussi le cas de ses enfants sans doute, mai il se souvenait de leur sourire, de leurs joies de le voir... Une joie qu'il espérait bien partagé au fond de lui, malgré a servitude.
Il su néanmoins se ressaisir pour obéir à son ordre, reprenant ses caresses, ses mains se posant fermement sur les fesses de sa maîtresse, ses doigts s'agitant pour caresser ces chairs tendres avec maîtrise, un de ses doigts jouant caressant le contour de son fondement, encore un peu ouvert suite à leurs ébats, sans jamais y pénétrer, par jeu. Tout en se faisant il continuait de l'écouter, et soulagé qu'il n'y aurait pas de conflits entre les désirs des autres esclaves et ceux des clients; Ceci dit il se demandait à nouveau comment elle comptait l'endurcir. Peut être en lui imposant une cadence plu intense qu'à son précédent bordel, voilà une perspective qui était à la fois un peu effrayante, mais également excitante. Excitation accru par ce nouveau baiser qu'elle lui donnait, et la vision qu'elle lui offrit, de son charmant visage se mordillant les lèvres, juste avant de conclure ses dires.
Il s'abandonna alors brièvement à la contemplation de sa maîtresse, ainsi lovée contre lui, au corps si frêle, il n'y avait pourtant pas de doute quant au fait qu'elle le dominait, il émanait d'elle comme une aura particulière, qui lui assurait encore davantage l'obéissance du jeune esclave, qui s'avérait des plus excités à l'idée de ce qu'elle lui proposait et hocha la tête.
"J'en serai fier, ma maîtresse. Être père sera déjà un plaisir, mais ce dernier sera parfait si cela advient pour votre plaisir et votre bon vouloir. Vous êtes une bonne maîtresse, ils seront heureux. Je souhaite donc être à l'origine de cette dynastie qui vous servira, ainsi que vos propres enfants."
Il se mordit alors la lèvre craignant d'avoir dit là un bêtise. Melinda n'avait à sa connaissance pas d’enfants et ce n'était peut être pas sans raison, il espérait ne pas l’avoir offusqué avec ses propos...Qu'il continua néanmoins pour aborder un aspect de la possible venue des enfants, déglutissant brièvement.
"Mais pour qu'ils vous soient de parfaits esclaves il faudrait que d'autres les forment. Moi même trois autres esclaves ont contribuer à me former cela ne sera pas un problème ? Et sinon... Pourrai je savoir quels seraient les esclaves que vous désigneriez pour cette tâche ?"
il savait que cela ne le regardait pas, même en étant père il n'aurait aucun droit de regard sur ce que faisait sa maîtresse aux enfants, à ses propriétés. Pourtant il était préoccupé, même si Melinda était gentille, t même s'il s'admonestait, il devait s'avouer qu'être père l’intéressait de plus en plus.
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Il lui sortit la réponse qu’elle voulait entendre, et un joyeux sourire traversa les lèvres de la vampire quand l’homme avoua qu’il serait heureux, non seulement d’être père, mais aussi de les offrir à sa Maîtresse. Il lui avoua qu’elle était une « bonne Maîtresse », ce qui, curieusement, provoqua en elle un curieux frisson de plaisir. Elle savait que ses méthodes étaient très différentes des autres esclavagistes, mais elle-même était très particulière. Elle ne fouettait pas pour éduquer, simplement pour faire plaisir, et elle préférait séduire ses esclaves, plutôt que de les terrifier. La peur les rendait moins productifs, moins efficaces. Elle ne fonctionnait qu’à court terme, pour obtenir des résultats rapides et simples. Mélinda voulait une institution de qualité, elle voulait de véritables dames de charmes, pas des putes défoncées comme on en trouvait dans les bordels de bas lignage. Elle voulait de la haute qualité, elle voulait que ses esclaves soient des femmes qui enchanteraient les rêves des clients, satisferaient leurs fantasmes, et seraient à la fois cultivés et talentueux au lit. Dans ce monde, il fallait tirer profit de n’importe quelle information, et un harem était redoutable pour ça. Les hommes avaient l’habitude de parler au lit, de confier des choses, des informations à leurs dulcinées. Des informations qui remontaient parfois jusqu’à Mélinda, et que cette dernière enregistrait soigneusement, afin de les réutiliser quand le besoin s’en faisait sentir. Pour l’heure, elle continuait à former Shiroi, car, visiblement, le jeune homme manquait d’informations sur ce monde.
Elle restait blottie contre lui, et il continuait à lui poser des questions. Les lèvres de Mélinda embrassaient tendrement sa nuque, sa main continuant à tendrement le masturber. Elle pouvait sentir la tension renaître, entraînant cette naturelle douleur intime. Un sourire naquit sur les lèvres de Mélinda, qui déplaça à nouveau son visage, embrassant l’homme sur les lèvres, savourant sa belle bouche, tirant sur cette dernière, la mordillant à nouveau.
« Les esclaves plus âgés forment les plus jeunes... Je dirige un établissement de charme, ce qui signifie que, à un moment, certains esclaves sont trop vieux pour continuer à officier dans les chambres. Et, comme me servir, c’estme servir jusqu’à la mort, ces esclaves contribuent en éduquant la jeune génération... Bien sûr, les autres esclaves les forment aussi, mais tu as compris l’idée... Je ne suis que le premier pas, la gardienne du temple, et je vous laisse le soin de vous éduquer entre vous, afin de pouvoir parfaitement me servir. »
N’importe quel psy’ qui aurait eu Mélinda sur son divan aurait assez rapidement diagnostiqué en lui de profonds désordres affectifs. Son arrogance était terrifiante, à la hauteur des vampires. Elle se considérait comme étant naturellement supérieure aux êtres humains, et, ce faisant, il lui semblait normal que ces derniers la servent, et meurent pour elle. Pour un esclave, mourir pour son maître devait être la plus belle des morts. Shiroi était à elle, et il semblait avoir compris ce principe. Ce qu’il venait de rejoindre n’était rien de plus qu’une grande famille, une famille sans père, mais avec une seule mère, qui voulait que ses enfants la respectent scrupuleusement.
Mélinda continuait à le caresser, sentant sa verge durcir lentement, tapant contre son corps. Elle savait qu’elle allait devoir agir rapidement pour s’occuper de ça, mais, pour l’heure, elle avait encore des choses à lui dire, des informations supplémentaires à lui communiquer.
« Par ailleurs, mon beau... Sache que les vampires sont, dans l’écrasante majorité des cas, stériles. Le prix de notre immortalité, pour ainsi dire... J’ai essayé de lutter contre cette stérilité, mais... Il n’y a rien à faire. »
C’était la plus grande des déceptions de Mélinda, sa plus grande frustration, être incapable de procréer, incapable de pouvoir se constituer une réelle famille. Certes, elle pouvait toujours trouver des gens, les transformer en vampires, et ainsi se constituer un clan, mais ça ne serait jamais comme avoir son propre enfant, sa progéniture. Elle ne tomberait jamais enceinte, et, si Mélinda s’y était résignée, ce n’est pas pour autant qu’elle ne ressentait pas un petit pincement de jalousie à chaque fois que l’une de ses esclaves tombait en cloque. C’est aussi ce qui expliquait pourquoi elle ne supportait pas de voir ses filles avorter. La procréation était un don bien trop précieux pour qu’on puisse ainsi le ruiner en y renonçant.
« En attendant, je crois qu’il y a une tension à satisfaire... »
Laissant sa voix siffler, Mélinda glissa le long du torse de Shiroi, et entreprit alors de prendre son sexe en bouche, de le soulager à la base. Sa bouche avala ce membre, et elle se laissa aller, jusqu’à le délivrer.
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Elle semblait satisfaite de ses réponses, et ses questions ne la génèrent guère à premier vue, puisqu'elle continuait à se lover contre lui, à le caresser à l'embrasser, lui arrachant de faible soupir de plaisir, jusqu'à finalement répondre à ses interrogations. Ainsi il apprit à sa grande surprise que non seulement les plus jeunes des esclaves étaient éduqués, mai qui plus est par les anciens. Cette dernière nouvelle en particulier le surpris, car on lui avait appris depuis longtemps que dès qu'il serait trop vieux il ne serait qu'une bouche inutile et que donc son maître, quel qu’il soit, se débarrasserait de lui de la manière dont il lui plaira. De fait entendre dire de la part de Melinda que ces esclaves restaient à ses côtés jusqu'à ce qu'ils meurent, sans que l'âge n'en soit un facteur décisif, avait de quoi l'étonner, quand bien même au final il n'y avait là qu'une nouvelle marque de la bonté de sa maîtresse.
Néanmoins il ne comprenait pas très bien ce qu'elle entendait par cette histoire de temple. Pour autant cela n'importait guère, car il appréhendait parfaitement quel était son désir au final, et seul cela importait. Une docilité parfaite de la part de ses esclaves et serviteurs, en échange de quoi il bénéficiaient d'une attention qu'ils ne recevraient de la part d'aucun autre maître. Une telle chose était encore difficile à comprendre pour le jeune homme, habitué à obéir sans jamais rien recevoir en échange, mais il devait avouer que cela n'était guère déplaisant comme perspective... Dont il pouvait avoir un ample avant goût ,car malgré la douleur qu'elles provoquaient les caresses de Melinda était aussi des lus agréable alors que de lui même il exécutait de faibles mouvements pour que son membre frotte contre sa peau, ses mains continuant à jouer avec les fesses de son amante.
Cependant son excitation diminua quelque quand elle lui annonça sa stérilité, et lui rappela sa condition de vampire, son esprit étant cette fois assez clair pour en comprendre les tenants et les aboutissants.i avait déjà eu des clients appartenant à cette race. Des plus vigoureux et bon amants, mais il fallait aussi se montrer prudent quant à leurs autres appétits, il avait manqué d'en faire les frais à quelques reprises... Mais ici c'était différent, cette vampire était sa maîtresse alors si elle désirait assouvir sa soif avec lui il ne résisterait nullement. Mais pour l'heure il ne pouvait s'empêcher d'être attristée pour elle. Lui même s'était avoué heureux à l’idée d'être père, alors que sa maîtresse soit privée de cette joie, lui paraissait cruel...Il dit alors avec une moue soucieuse.
"Mais maîtresse...Si vous n'avez pas d’enfants que deviendrons nous s'il vous arrivait quelque chose ? Nous serions revendus ?"
... Puis avec audace il prit l'initiative de l’embrasser encore avant de souffler avec douceur.
"S'ils n'étaient pas vos esclaves, et que ce ne serait pas arrogant de ma part je vous donnerai mes enfants pour qu'ils soient les vôtres... Pour contourner cette stérilité..."
Il se demandait s'il n'allait pas trop loin en disant cela, mais il n'était que bien attentionnée à l'égard de sa maîtresse... Qui d’ailleurs avait décidé de continuer à jouer avec lui. Son membre désormais à nouveau tendu tant que possible était couvert de reste de semence et de mouille, mais cela ne repoussa pas la vampire qui le prit en bouche, arrachant des gémissements intenses au jeune homme. Elle savait s'y prendre au mieux et sut rapidement faire disparaître la douleur qu'il ressentait, alors qu'il haletait.
"Ah...maîtresse ! Oui...oui... Libérez moi de cette tension !"
Il se redressa ensuite un peu, afin de poser une main entre les cheveux de sa maîtresse, a aucun moment il n'appuya sur cette dernière, ne força sa maîtresse, malgré les tendances soumises dont elle avait fait preuve peu avant, se contentant de caresser avec douceur ses belles boucles alors qu'il ne retenait guère ses gémissements et que parfois son membre tressaillait entre les lèvres de sa maîtresse. Une fois encore le feu du plaisir monta en lui, et une fois encore il explosa, le libérant, mais avec une force moindre, en lui arrachant nul cri, juste un faible soupir alors qu'il jouissait. Ayant déjà puisé dans ses réserves ce fut juste quelques maigres filaments de semence que Mélinda reçut en sa bouche, et Shiroi pour sa part affichait une maigre grimace, son membre lui devenant vraiment douloureux et commençant rapidement à perdre en vigueur, se retirant finalement de lui même des lèvres de sa maîtresse haletant.
"Merci... Mais je... Je ne crois pas pouvoir aller plus loin Maîtresse, ou je vous décevrai je pense, si je ne le fais pas d'ores et déjà."
Il déglutit alors faiblement, puis afficha à nouveau un tendre sourire, presque naïf alors qu'il ajoutait, d'une voix des plus douces.
"Mais toute cette activité à dû vous donner soif, et ce n'est pas ma semence qui a dû vous soulager de cela. Si jamais je peux vous servir à boire..."
Bien que formulé délicatement son offre était évidente. Certes il pourrait lui chercher à boire de façon plus commune, mais la sachant vampire il s'attendait davantage qu'elle s'abreuve de son sang, sans qu'il n'en paraisse inquiété, ayant une confiance aveugle envers sa maîtresse.
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Les questions de Shiroi commençaient à devenir un peu trop osées, et, si Mélinda n’y répondit pas, c’était par choix. Envisager la mort de sa Maîtresse était un manque de tact pour un esclave, mais elle comprenait son engouement, sa crainte à l’idée d’être séparé d’elle. Les esclaves en parlaient entre eux, mais Mélinda n’avait pas de réponse à leur fournir .Si elle commençait à le faire, ce serait, pour eux, une manière d’imaginer leur existence sans elle... Ce à quoi elle ne tenait pas, pour d’évidentes et logiques raisons. Elle se concentrait donc sur cette fellation, et sentit Shiroi venir. Le pauvre fonctionnait sur le moteur de réserve, haletant, souffrant de plaisir en gémissant. Elle sentait cette belle verge, ainsi que les doigts de Shiroi, doigts qui, délicatement, caressèrent la chevelure de sa Maîtresse. Tous ceux qui connaissaient Mélinda savaient toute l’importance qu’elle vouait à sa chevelure, combien ses précieux cheveux étaient sacrés pour elle. Elle ne supportait pas qu’on les touche, qu’on les abîme, ou qu’on les endommage. Ses cheveux étaient sacrés, tout simplement ! Quiconque passait sous son autorité finissait tôt ou tard par le comprendre, et par l’accepter. Mélinda tenait beaucoup à sa chevelure, et elle passait une bonne heure, chaque matin, à entretenir toutes ses boucles, avec l’aide de plusieurs esclaves, qui prenaient grand soin à la peigner, et à la nettoyer. Un véritable travail d’orfèvre, qui impliquait parfois, pour passer le temps, des fellations et des masturbations. Autant se faire plaisir dans n’importe quelle circonstance, et, plus on tripotait les cheveux de Mélinda, et plus cette dernière était excitée.
La vampire s’acharnait avec sa langue, ses lèvres et ses dents sur le membre turgescent de Shiroi, jusqu’à sentir le sang affluer en un point, se concentrant hautement, avant d’exploser subitement. Ce ne fut pas une bombe, plutôt un joli pétard, mais Mélinda put tout de même goûter à du sperme. La vampire se redressa ensuite, un sourire sur les lèvres, en voyant que Shiroi était épuisé. Il s’allongeait au milieu du lit, mais semblait visiblement gêné de devoir s’effondrer ainsi. Pour sa défense, il fallait dire qu’il avait plutôt bien servi. Les esclaves de Mélinda se devaient d’avoir une résistance surhumaine dans ce domaine, afin d’être à la hauteur des attentes des clients. Shiroi aurait le temps d’apprendre, de s’endurcir.
« Mais toute cette activité à dû vous donner soif, et ce n'est pas ma semence qui a dû vous soulager de cela. Si jamais je peux vous servir à boire... »
Elle sourit lentement en se redressant, et posa à nouveau ses mains sur ses épaules.
« Je ne vais pas refuser un joli dessert... »
Mélinda aurait sans doute été ponctionner son sang, de toute manière .Ses canines pointèrent, et elle les planta dans la nuque de l’homme, après un bref baiser Il dut ressentir une brève douleur quand les canines percèrent, mais la douleur fut rapidement anesthésiée lorsque les canines atteignirent la veine de l’homme. Très délicatement, Mélinda effleura cette veine, et retira ensuite ses dents. Si elle ne faisait rien, il ne se passerait rien, mais elle aspira alors, et le sang fila dans sa gorge. On entendit alors Mélinda soupirer et gémir, tout en buvant le sang de l’homme. Shiroi étant épuisé, avec ce sang que Mélinda était en train de ponctionner, il allait sûrement s’évanouir.
En tout cas, elle appréciait ce sang. Il était tendre, pur, et le boire était, en ce sens, particulièrement délicieux. Elle le buvait donc avec appétit.
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Il ne s'était pas trompé, elle avait bien soif..Et quand elle le confirma il tendit même son cou s'offrant entièrement à ce nouvel appétit. Néanmoins aussi volontaire qu'il fut il ne put réprimer un faible soupir de souffrance en sentant sa peau être percé parles crocs de Melinda. Heureusement cela ne dura guère e sa respiration redevint des plus calmes, le jeune hommes gardant les yeux mi clos alors qu'il pouvaient littéralement sentir son sang quitter son cou pour aller nourrir sa maîtresse, et il en éprouvait une étrange fierté, que de pouvoir contribuer ainsi à la subsistance de sa maîtresse... Il ne savait rien de si honorant pour un esclave comme lui, repas qu'elle semblait apprécier au vu de ses gémissements.
Mais lui même ne tarda pas à trembler alors que son corps ,déjà épuisé, ne pouvait supporter cette perte de sang sans réduire son "régime", et pour cela la seule solution était de le faire sombrer dans l’inconscience. Mais cela il ne le sut pas, quand bien même ses tremblements s'accentuèrent et sa peau pâlit quelque peu... Il ne faisait que fixer la porte de ses grands yeux...Avant de basculer brusquement sa tète en avant, la faisant se reposer sur celle de sa maitresse, ses yeux se fermant et son esprit dérivant dans un sommeil dont son corps avait grand besoin, un soupir, un mot, mourant alors sur ses lèvres.
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Son réveil fut sans rêve, ni cauchemar, des plus réparateurs en somme..E.t ce fut ainsi en pleine forme qu'il se réveilla, disant à haute voix le mot qui était mort sur ses lèvres ,et n’était de toute façon guère étonnant venant de lui.
"Maîtresse !"
Il regarda alors rapidement autour de lui essayant de savoir où il était ? Toujours aux côtés de la maîtresse dans le harem proprement parler ? Il avait un peu de mal à le déterminer son esprit étant encore quelque peu confus...
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À la voir, on aurait pu douter qu’elle fut un esclave. Avec son allure autoritaire, ses longues bottes en cuir, et son attitude désinvolte, Alex’ (http://img100.xooimage.com/files/5/4/9/alex-brand-01-46009c3.jpg), diminutif d’Alexandra, était bien loin de correspondre au stéréotype de l’esclave timide, docile, et mal dans sa peau. La femme était une pute, mais pas seulement. Depuis que Mélinda avait fait l’acquisition d’une guilde, Alex’ envisageait de quitter les chambres du harem pour rejoindre la route, mais, pour l’heure, elle continuait à offrir ses prestations. Elle était dans le dortoir, veillant sur le corps endormi de l’humain, et tirait lentement sur son cigare, sa main gantée agrippant la belle chevelure blonde de Liana (http://images.ados.fr/1/medias/photo/3737829373/2500458816/img-img.jpg), une belle petite neko docile et soumise.
« Hum !! Hmmmmm !! »
Les gémissements de la neko étaient étouffés par le chibre d’Alexandra, un beau vit qui ruisselait dans la bouche de la neko. Elle enchaînait les gorges profondes. Elle et Liana se faisaient l’amour depuis des années. Alexandra, comme d’autres esclaves, avait eu la chance inouïe de naître dans ce harem. Ses deux parents étaient des soldats, qui avaient été tués durant un conflit, et Alexandra, avait été confiée à un orphelinat militaire, avant que Mélinda ne la rachète. C’était un garçon manqué, le genre de filles qui, durant son adolescence, claquait les fesses des autres filles, et se faisait fréquemment battre et violer par sa mère et Maîtresse. Toutes les esclaves de Mélinda n’étaient en effet pas de dociles petites filles. Il en fallait pour tous les goûts, et il fallait notamment des dominatrices, des femmes qui avaient de la poigne, et qui pourraient hurler sur les clients, les traiter de sale fiottes et de pervers tout en les fouettant.
« Haaa... Suce, hum... Suce, ma belle pute... »
Alexandra devait former Shiroi, et c’était pour ça que des filles l’avaient amené, après son rite initiatique avec Mélinda. Elle avait bu son sang, et Alexandra avait ordonné qu’on fasse de la viande. Il allait avoir besoin de manger en se réveillant. L’homme était nu comme un ver, et elle observait son corps endormi, ainsi que sa petite queue rabougrie. Elle était au repos, mais Alexandra ne doutait pas qu’il devait avoir une belle virilité. Sur ce point, sa Maîtresse ne se trompait jamais, bénéficiant presque d’un sixième sens (ou septième sens, plus exactement) pour déceler les bonnes affaires. Liana était sa neko depuis presque un siècle, et elle était d’une docilité incroyable, une soumission qui n’avait d’égale que sa grande perversion. Alexandra l’adorait, et son plus grand plaisir était de la réveiller le matin en la baisant à sec. Alexandra n’était effectivement pas une femme très romantique, et il y avait peu d’espoir pour que, de ce point de vue, les choses s’arrangent un jour.
Shiroi émergeait progressivement, et, quand il finit par se réveiller, en appelant sa Maîtresse, Alexandra ne l’entendit pas. Elle venait d’écraser son cigare, et sa main gantée continuait à s’agripper à la tête de Liana. Les deux femmes étaient à côté du lit superposé, lui tournant le dos depuis un fauteuil avec un confortable dossier. Peu à peu, Shiroi pouvait voir qu’il était dans un confortable dortoir, et qu’il y avait de nombreux soupirs. Là, dans un lit, sous la couverture, une femme était lentement, langoureusement, en train d’en baiser une autre. Le même scénario s’observait contre un mur, où une adulte prenait également une adolescente, dans une belle tenue de lycéenne. On pouvait les entendre faiblement gémir et soupirer, témoignant de l’atmosphère de luxure perpétuelle qui dominait dans ce harem. Il ne se passait pas une seule seconde sans qu’il n’y ait un couple en train de se la donner. En un sens, c’était presque effrayant !
Alexandra finit par jouir dans la bouche de Liana, et se releva, s’extirpant de son fauteuil. Son sexe masculin disparut dans les entrailles de son corps, et elle s’avança lentement vers Shiroi, s’asseyant sur le rebord du lit. Là, la belle femme rousse tendit sa main, caressant les cheveux de l’homme.
« Bien réveillé, le Prince au bois dormant ? Je te présente ton nouveau domaine... Charmant, non ? »
Pour un esclave, le harem de Mélinda était généralement un endroit plutôt utopique.
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Shiroi se rendit rapidement compte que l'environnement avait changé ainsi, à son grand dam, de l'absence de sa maîtresse. Enfin il ne s’apitoya pas là dessus, il ne pouvait pas rester à ses côtés en permanence et c'était déjà un grand honneur qu'elle lui avait fait... La première chose dont il eut conscience ce fut les nombreux soupirs, ces gémissements lascifs qu'il connaissait bien, et qui laissait deviner quelle était l'ambiance actuelle des lieux où il était. Puis il regarda autour de lui. Il reconnut la pièce comme un dortoir, en ayant aussi un dans le bordel, bien que bien moins vaste et bien moins... Aniém. Certes Melinda l'avait prévenu que les esclaves avaient le droit de coucher entre eux comme ils l'entendaient, mais cette nouvelle avait déjà été une surprise pour lui, alors que dire du fait qu'elles y mettaient tant de ferveur ! Oui elles, car pour l’instant il ne voyait que des femmes, certaines dotées de membres virils, mais pas un homme... Cela ne le dérangea cependant pas, il avait été prévenu après tout.
Ainsi il ne réagit guère à toutes ces scènes de luxure, en vérité il se contentait d'observer. Le fait d'être étendu nu sur un lit ne lui étai pas problématique et de toute façon il se sentait encore un peu comateux... Et finalement il n'eut un véritable mouvement que quand une des femmes, la plus proche, se leva d'un siège pour lui faire face. Il eut le temps de voir la virilité qu'elle avait disparaître, devinant alors sans peine sa nature un peu particulière, se redressant alors pour s'adosser sur le rebord du lit afin de pouvoir la regarder de façon un peu plus convenable. Néanmoins il ne dit pas un mot, ne sachant pas quoi dire. Cela ne sembla pas la gêner puisqu’elle prit l'initiative de la parole alors qu'elle touchait ses cheveux en un geste que l'humain appréciait, lui arrachant un sourire et lu donnant assez de confiance pour lui répondre, bien qu'il ne comprenait nullement la référence qu’elle avait faite.
"Bien dormi, mais j'avoue être un peu épuisé...Quant à cet endroit, il est vrai qu'il me semble merveilleux. Je n'ai jamais connu une couche aussi confortable, si ce n'est chez des clients et puis... Quelque chose me dit que je ne vais pas m'y ennuyé."
Un sourire un peu pervers vint à ses lèvres, Les encouragement divers de Mélinda l'amenait à manifester une forme d'intiative en ce domaine jusqu'alors brimé par son ancien maître mais qui s'éveillait de plus en plus ouvertement... Pour autant il était probable que sa candeur l'empêchait de prendre pleinement conscience de ce qu'un tel endroit pouvait lui offrir. Il poursuivit néanmoins.
"Et je vais avoir du travail visiblement... Je...Est ce que Melinda vous a évoqué ce qu'elle m'a demandé ?"
Et voilà que sa confusion revenait. Si l'idée d'être père l’avait séduit sur le coup, il se demandait si celle d'être mère enthousiasmais autant les femmes du harem. D’ailleurs il se demanda sur le coup s’il était vraiment nécessaire, après tout il ignorait si les Futanaris étaient fertiles en tant que mâle et si c’était le cas, au vu du nombre qui l'entourait, cela ne semblait pas le cas...
Et bien sûr son corps ne tarda pas à réagir à l’atmosphère ambiante s'excitant, sa virilité se tatane douloureusement malgré lui lui arrachant une faible grimace malgré le repos dont il avait pu bénéficier.
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Dans l’atmosphère de débauche et de luxure que constituait le harem de Mélinda, il était difficile de conserver son calme, et de ne pas sentir une tension naître à hauteur des jambes. Le harem, tout simplement, baignait dans le sexe et la luxure. Même les dortoirs, pourtant censés être un lieu de repos, n’étaient rien de plus qu’un lieu de sexe et de plaisir mutuel. Ils étaient l’expression de la philosophie de la Maîtresse des lieux : Mélinda voulait un endroit paisible, un endroit d’amour, une zone où ses esclaves ne se sentiraient pas obligés de servir, mais courberaient l’échine par plaisir. C’était cet endroit que Mélinda avait réussi à concevoir, un endroit où la liberté n’était pas conçue comme un sésame, mais comme une menace dangereuse. Que feraient-elles, ces pauvres femmes, sans la bienveillante protection de la délicieuse vampire ? Où irait-il, ce brave Shiroi, sans les griffes délicates de la vampire qui le protégeait ? Mélinda était leur Maîtresse, leur amante, leur mère… Leur famille. Une famille si heureuse, si soudée, que la quitter n’était pas envisageable une seule seconde. Un cocon de paix, une prison de douceur et de chair. Qui aurait envie de partir d’ici ?
Même Alexandra ne se voyait pas où aller sans Mélinda. Or, il suffisait de la voir pour constater qu’elle n’était pas du genre à se faire marcher dessus. La belle avait toujours été un garçon manqué, et Mélinda avait juste eu à adapter ses caresses aux besoins de la femme pour la soumettre. La vampire était d’une redoutable efficacité, car elle ne faisait pas preuve que d’une souplesse physique, mais aussi intellectuelle. Il ne fallait pas voir en elle une Maîtresse rigide et tyrannique, Mélinda avait de nombreuses facettes, et Shiroi avait déjà pu en faire l’expérience. Alexandra aussi le savait, car, si sa Maîtresse l’avait volontiers fouetté à loisir, l’inverse avait été aussi vrai. Alexandra se rappelait encore, avec frisson, de ces moments où sa Maîtresse se tenait dans une chambre des tortures, et était fouettée par Alexandra et d’autres dominatrices. Elle était alors attachée par les poignets et les chevilles, un bandeau noir autour des yeux, son corps nu dansant devant elles. Mélinda était une grande masochiste, et la torturer était un vrai bonheur, d’autant plus que sa constitution vampirique lui permettait d’en supporter beaucoup. Bougies, fouets, griffures, tout y passait avec elle. C’était une orgie de douleur. Alexandra y repensait toujours avec une certaine forme de nostalgie et une impatience croissante à l’idée de recommencer.
Elle avait pour tâche de s’occuper de Shiroi, donc. Le jeune homme semblait relativement pudique et timide, mignon avec ses cheveux bleus. Un genre de petit nounours. Alexandra fantasmait déjà à l’idée de le battre. Son regard avait oscillé sur toutes les créatures présentes ici, sur tous ces rapports sexuels constants qui se déroulaient sous ses yeux.
« On s’ennuie rarement ici », acquiesça-telle.
Shiroi lui posa ensuite une question, concernant ce que sa Maîtresse aurait demandé. Alexandra cligna des yeux, surprise.
« La Maîtresse m’a juste demandé de prendre soin de toi, et de te présenter les locaux. Je t’ai fait préparer à manger. Elle a sucé ton sang, et tu as besoin de manger avant de tomber à nouveau dans les pommes. »
Elle lui désigna la table à proximité, où se trouvait un plat, avec de la viande chaude et des couverts. Quand Shiroi s’y rendit, elle put voir son érection naissante, et sourit légèrement, tout en croisant les bras. Une fois qu’il fut installé, un singulier spectacle s’offrit à lui. Sur un lit, une mère était en train d’allaiter son enfant, lui donnant le sein… Mais elle avait, elle aussi, une verge, qui était dans la bouche d’une autre femme, une belle adolescente qui la suçait tendrement.
« Beau spectacle pour manger, non ? »
Tout en lui parlant, Alexandra mit autour du cou de l’homme un collier noir en cuir, avec, à l’arrière, un emplacement pour une laisse.
« La première règle à retenir, Shiroi, c’est que, désormais, ton sexe ne t’appartient plus. Tu ne dois jamais te masturber, sauf si un client te le demande expressément. Il faut toujours laisser les autres s’en charger… Et ça tombe bien, car j’ai amené une petite neko qui aime bien les belles sucettes comme la tienne. »
Ses mains gantées caressaient les épaules de Shiroi, glissant sur sa nuque, filant dans ses mèches de cheveux, et Liana, qui se tenait sous la table, apparut alors. Elle avança à quatre pattes, sa petite tête fixant Shiroi, ses grands yeux clignant béatement. Elle ouvrit ensuite en grand sa bouche, et enfourna le sexe en elle, l’avalant toute crue, ses yeux ne cessant pas de regarder Shiroi. Usant ses quatre pattes, la neko s’avança ensuite, d’avant en arrière, offrant ainsi au jeune homme bien des plaisirs onctueux.
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Apparemment elle ne savait pas...Et bien qu'il n'était pas dans les habitudes de Shiroi de mentir il préféra se taire. Après tout au vu de l’atmosphère des lieux la chose se ferait le plus naturellement du monde, alors pas la peine d'en parler, cela ne servirait à rien, à part nuire peut être à l'aura de luxure de ce lieu, en donnant un autre but aux ébats que le plaisir brut... Il se contenta ainsi d'un sourire reconnaissant en réponse à la jeune femme, l'idée de pouvoir manger lui plaisant grandement. En effet il se sentait des plus faibles et il n’avait pas mangé depuis sa mise en vente. Aussi docile soit il il avait lui aussi besoin de se nourrir tout de même ! Comme pour le confirmer son ventre gargouilla alors et il vint s'installer à la table, nullement gêné par sa nudité, le regard tourné vers la nourriture lui faisant face... Il ne résista guère plus longtemps et commença à manger avec appétit, une première, et savoureuse bouchée... Ce ne fus qu'alors, son ventre contenter à l'idée de pouvoir bientôt être rempli qu'il vit ce qui se passa en face de lui. La scène paraissait presque irréelle entre la mère partageant à la fois l’instant avec son enfant et une amante, la chose paraissant quelque peu troublante... Mais au delà de cela il ne put s'empêcher de penser aux enfants qui seraient les siens.
"Oui...Un spectacle splendide."
Il tourna alors brièvement la tête vers son interlocutrice, un sourire aux lèvres, avant de se tenir le cou droit. Il avait vu ce qu'elle avait en main et en se tenant ainsi il lui facilita la tâche, son sourire s'élargissant alors. Le collier...la marque des esclaves. Avec cela il pouvait maintenant se considérer comme appartenant entièrement à Melinda, jusqu'à sa mort ou qu'elle le rejette... Mais justement il lui était dit une des règles à respecter, qui le fit un peu rire. Cette dernière ne serait pas compliqué, en tant qu'esclave dans un bordel c'était bien une des première s choses qu'il avait appris, quand bien même il y batavia là la variante que ce plaisir n'était pas à partager qu'avec les clients, mais aussi les autres esclaves... Et ainsi sans même attendre qu'il réponde à cela, une autre esclave s'avança, une neko, à quatre pattes sous la table. Sur le coup il sursauta surpris, avant de se ressaisir. Il avait beau être encore douloureux il devait avouer que la vision de ce lieu et ses pulsions lui donnait grandement envie de donner cette sucette à la neko.
Et de toute manière ce ne fut pas comme si elle attendit son accord, juste après que leur regard se soit croisé, celui de Shiroi étant empli de désir, elle avait pris son membre en bouche, et le plaisir commença à se mêler à sa douleur lui arrachant de faible ahanements... Mais pour autant il ne s'arrêta pas de manger, laissant faire la neko. Néanmoins au bout de quelques instant il posa le couteau afin de lui caresser avec douceur les cheveux ahanant, alors que son corps tremblait de plaisir...peu après la fourchette suivit le second couvert alors qu'avec un sourire un peu perdu il s'adressait à celle qui avait accompagné son réveil.
"...Ah...Si t u veux te joindre à nous...Tu es la bienvenue."
Il commençait très bien à assimiler le "règles" de ces lieux et il s'y adonnait visiblement à cœur joie au vu du plaisir marquant ses traits à cette fellation, la neko étant des plus habiles ! Suffisamment pour lui faire oublier sa faim et vu son état c'était dire !
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Shiroi était plutôt bien entouré, avec une vue magnifique. Liana se débrouillait plutôt bien pour faire des fellations, et elle se débrouillait même si bien que Shiroi fut sous peu dans l’incapacité de pouvoir continuer à se faire à manger. Alexandra esquissa un léger sourire en le voyant faire. Il devait manger, c’était impératif. Son estomac était vide.
« ... Ah... Si tu veux te joindre à nous... Tu es la bienvenue. »
Alexandra esquissa un léger sourire. Entre ses cuisses, Liana ronronnait joyeusement en remuant sa bouche d’avant en arrière, sentant cette verge en elle, cette grosse et délicieuse sucette. Elle gémissait en ronronnant, ses pattes heurtant le sol. Liana ferma ensuite les yeux, et gémit, se laissant faire. De son côté, l’esclave dominatrice planta sa fourchette dans sa viande, et le fourra dans les lèvres de Shiroi.
« Commence par manger. »
Elle lui offrit ainsi sa nourriture, comme à une espèce de bébé, en lui déconseillant de jouir trop vite. Il devait d’abord manger, et il s’écoula ainsi plusieurs minutes, où on entendait surtout Liana gémir et soupirer. La neko y allait sans hésitation, optant pour des gorges profondes, la verge de Shiroi disparaissant en elle. Avec l’une de ses mains libres, elle alla titiller testicules de l’homme, le caressant, tandis que sa queue caudale glissait sous le corps de Liana, la pénétrant tendrement. Elle gémissait et soupirait, ronronnant de plus en plus fort. Alexandra, elle, continuait à lui donner à manger, jusqu’à en avoir fini, et esquissa un léger sourire.
Shiroi était comblé, et elle sentit qu’elle allait devoir agir également. Elle s’écarta un peu, et tira sur sa minijupe en cuir, avant de se concentrer. On put ainsi voir sa belle intimité épilée qui se mit à s’écarter. Alexandra soupira, ferma les yeux, et laissa une belle verge pointer des profondeurs de son corps. Comme bien des esclaves de sa Maîtresse, Alexandra était hermaphrodite, ayant eu droit à une opération chirurgicale dans une clinique tekhane pour pouvoir se doter de cette appendice... Un cadeau pour sa majorité, avec lequel elle avait pu sodomiser sa Maîtresse, la prenant avec force, son sexe remuant profondément en elle. Oh, c’était un délicieux souvenir ! L’un des plus beaux de son existence, celui où elle avait pu pénétrer celle qu’elle avait toujours considéré comme sa Déesse, sa mère légitime et suprême.
« Suce, mon petit Shiroi, tu as l’air d’aimer ça... »
Pour lui, c’était l’heure du dessert. Elle posa sa main sur sa nuque, et approcha son visage de son sexe, tenant ce dernier avec son autre main. Elle s’était assise sur le rebord de la table, ses jambes filant de part et d’autre du corps de Shiroi, et elle poussa sa tête, l’amenant ainsi à gober directement son sexe.
« Aaaaah, putain !! » soupira Alexandra, ravie.
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En effet, incapable de manger sous tant de plaisir, Shiroi n'eut d'autre choix que de se laisser prendre au jeu, se laissant nourrir tel un enfant alors que son souffle se faisait de plus en plus ivre de plaisir. Il lui était dit de ne pas jouir, pas encore, et même si la jeune femme rousse n'était pas sa maîtresse il lui obéit par instinct... Mais cela était dur, de se concentrer assez pour ne pas jouir tout ne mâchant et avalant sa pitance, d'autant plus que la neko ne le ménageait nullement. faisant preuve d'un ample savoir faire, le plaisir physique qu'elle arrachait au jeune homme n'avait rien à envier à celui qu'il avait éprouvé entre les bras de sa maîtresse !
a vrai dire cela en devenait insoutenable que de ne pouvoir jouir, le brasier de son désir le consumait entièrement, le faisant trembler et gémir de plus en plus fortement alors qu'il se retenait... Pis enfin, en voyant son assiette vide vint la délivrance, et cette longue attente ajouté au repos qu'il avait eu l'amena à jouir copieusement entre les lèvres de la neko l'amenant à être nourrie tout comme il l’avait été...Et le serait visiblement.
En effet, Alexandra était peut être chargé de s'assurer que Shiroi est bien récupéré ,elle semblait toute aussi désireuse de prendre aussi sa part de plaisir...Et cela le jeune homme ne pouvait pas le lui refuser. Elle s’était montré si prévenante, et continuait à l'être ! Après tout elle l’avait déjà nourri et elle allait continuer à le faire c'était là trop de bonté...Et le jeune homme allait la récompenser pour cela!
"Hm oui, madame... J'adore cela..."
Ça avait été sans surprise qu'il avait vu ce membre jaillir des chairs intimes de la jeune femme, et toujours assis sur la table elle le guida de ses mains, son gland effleurant les lèvres du jeune homme qui, l'instant d'après,l'engloba, jusqu'à la garde. Son amante ne lui laissait pas le choix, imposant bien plus son rythme que ne l'avais fait Brann, mais Shiroi su s'adapter, tout comme il l’avait tant fait avec ses clients.
Ainsi, si elle imposait le rythme des va et viens et leur profondeur, les caresses de sa langue, de ses joues et de ses mains, jouant sur ses zones sensibles, étaient bien de son fiat et il se montrait tout aussi attentionné à son égard qu'il avait été avec le frère de Melinda. Après tout ils étaient une grande famille il fallait en traiter tout les membres avec la même attention et la même générosité !
C'était néanmoins un gros morceau, et petit à petit le jeune homme peinait à respirer ses yeux se révulsant par à coups, alors qu'il frémissait faiblement, de plus en plus régulièrement.
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Alexandra avait toujours aimé les fellations. Pour elle, c’était là que toute l’ambivalence du sexe s’exprimait, et qu’il était difficile, concrètement, de déterminer qui dominait, et qui menait la danse. Était-ce Alexandra, parce qu’elle se tenait debout, qu’elle avait Shiroi à genoux en train de sucer sa queue ? Ou était-ce Shiroi, parce qu’il pouvait agir, parce qu’il avait la main ? Toute relation sexuelle reposait sur la même ambivalence : domination et soumission, les deux faces d’une même pièce. L’un agissait, l’autre subissait. Le coït, la sodomie, les baisers... Oui, il y avait toujours un dominant dans les ébats, mais, dans le schéma précis de la fellation, les deux se retrouvaient partiellement sur un pied d’égalité.
Shiroi se mit à jouir dans la bouche de Liana, qui ne pouvait qu’aimer ça. Si, jadis, le goût du sperme avait pu la rebuter, par son côté aigre, ce dégoût s’était depuis longtemps envolé. Liana était maintenant une belle perverse, fière de l’être, et qui admettait volontiers tous ses penchants lubriques. Malgré sa fine et délicate silhouette, l’agréable neko avait plus de 80 ans. Sa Maîtresse l’entretenait, utilisant les potions magiques fournies par ses amies magiciennes pour permettre à ses plus belles pièces, ses plus beaux esclaves, de rester jeunes. Liana était heureuse de faire partie de ces quelques heureuses élues. Elle avala goulument le sperme de l’homme, mais conserva son sexe dans sa bouche, jouant avec, le léchant tendrement. Ce n’était pas parce qu’il s’était déchargé, et que sa vigueur avait bien diminué, que ce pauvre petit sexe devait être à l’air libre. Maîtresse lui avait enseigné qu’un chibre n’aimait pas être dehors, et qu’il fallait toujours le fourrer quelque part, préférentiellement dans un autre corps. Il fallait le maintenir au chaud, et c’était tout à fait ce à quoi Liana s’affairait en ce moment, suçant cette queue avec une tendresse infinie, ronronnant tendrement.
Alexandra, elle, était un peu moins tendre, et son sexe était bien tendu. Généralement, les hermaphrodites qui se faisaient greffer des sexes héritaient d’organes conséquents, et c’était le cas pour Alexandra. Sa main agrippait Shiroi, et elle remuait en lui, savourant ça. C’était toujours bon quand une fille vous suçait la queue, mais, quand ça venait d’un mec... Disons qu’il y avait là une dose supplémentaire de perversion, une dose qui était tout simplement délectable et magnifique. Il fallait cependant bien reconnaître que, de manière générale, sans doute par inexpérience, les hommes étaient, sur ce point, bien moins doués que les femmes. Toutefois, ça n’empêchait évidemment pas Alexandra d’apprécier ce moment, et sa verge tendue en était le bon signe. Elle la remuait en lui, tapant contre le fond de sa gorge, se délectant de cette gorge profonde, avant de replier son sexe, pour le ramener dans sa bouche, continuant ce mouvement, sans chercher à le ménager. Sa main gantée se crispait à ses cheveux, les serrant, les pressant, et elle continuait ainsi à le prendre, sans relâche.
« Haaa… Haaaannn… Hmmmm !! »
Elle se laissait aller, pleinement, sans hésitation, remuant, l’amenant peu à peu à véritablement être un soumis. Elle lui baisait la bouche, son membre vorace s’enfonçant en lui, filant sans relâche, le pénétrant, et elle tint pendant plusieurs minutes ainsi, Liana soufflant sur les braises avec sa langue et ses doigts. Ses doigts caressaient en effet les testicules de Shiroi, et elle cessait parfois de le sucer, simplement pour l’embrasser, ou pour lécher les rebords de sa verge, afin de sentir la tension revenir, afin de sentir cette virilité revenir à la charge. Liana se régalait.
Alexandra mit un certain temps avant de jouir, confirmant l’extraordinaire endurance des femmes de Mélinda dans le domaine du sexe. Elle tenait bon sur la longueur, et, quand elle jouit, ce fut une véritable explosion crémeuse, son sperme déferlant dans la gorge et la bouche de Shiroi, alors qu’elle soupirait de bonheur, gémissant en sentant cette tension qui engourdissait tous ses membres disparaître rapidement.
« Aaaaahh… Ah putain ouais ! »
Elle venait de se décharger généreusement en lui, et conserva encore son sexe dans sa bouche, baignant dans une marée de sperme. Elle avait balancé de grosses giclées, attestant ainsi qu’elle était clairement une dominatrice.
Et ça faisait foutrement du bien !
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Malgré l'air qui lui manquait, le jeune homme savourait pleinement l'instant. Certes il peinait quelque peu à reprendre son souffle, et cela commençait à se faire ressentir à travers son corps, de plus en plus tendu, mais pour autant il ne se laissa pas divaguer, il ne laissa pas le plaisir le happer, pour deux simples raisons. Premièrement parce qu'il n'aurait dès lors plus eu conscience de son plaisir, mais aussi parce qu'il ne ferait dès lors plus rien pour celui d'Alexandra ! En effet, malgré la peine qu'il éprouvait, il était tout de même habitué à vivre cela et s'en accommodait très bien ,ayant par ailleurs en cet instant une perception bien plus aiguë de son propre corps, dont il usait pour satisfaire la femme, sa dominatrice. Ainsi bien que soumis il agit tant avec ses mains que sa langue ou ses lèvres pour contenter l'hermaphrodite en face de lui, se montrant tout aussi doué qu pouvait l'être une femme en la matière. Chacun de ses gémissements lui était un délice, et même cette verge, cette belle queue avec laquelle il s'étouffait lui semblait être le plus délicieux des desserts !
Pour autant il n'était pas non plus insensible aux attention de la petite neko, oubliant la douleur de son entrejambe cette dernière se montra des plus réceptives aux attentions de la belle et attentionnée Terranide. Chacun de ses gestes arrachait des frissons de plaisir aux membres dont elle prenait soin, tout le corps du jeune esclave étant bouillant de désir et de plaisir mêlé, les deux montant de pairs à chaque instant. En fait dans son esprit se monta un défi, créer de toute pièce par son désir de luxure, où il s'imaginait en compétition avec la jeune neko, à celui qui procurerait le plus de plaisir à celui dont il prenait soin.
Et ainsi, restant dominé par la belle hermaphrodite il redoubla d'effort jusqu'à ce qu'enfin elle jouisse entre ses lèvres. Brusquement sa semence emplit rapidement la bouche du jeune homme, dont les sens furent saturés par la saveur et l'odeur des fluides que ce membre crachait en lui. Il se rendit bien compte que la quantité de sa jouissance était bien plus conséquente que celle de chacun de ses propres orgasmes, peut être une spécificité des hermaphrodites... Mais il n'allait nullement s’en plaindre, au contraire...
Sentir ce fluide chaud, couler le long de sa gorge, sa bouche emplie par ce goût amer, tout en ayant conscience qu'il était là le symbole du plaisir de son amante... Il y avait bien peu de choses plus jouissif que cela ! Néanmoins il dut faire face à deux de ses limite. La première étant que même si ce membre était enfoncé dans sa gorge, il ne pouvait pas avaler une telle quantité de sperme, ni la retenir dans sa bouche, qui en était emplie, le membre de l'hermaphrodite y baignant, alors que malgré son état le jeune homme continuait de le pomper par à-coups. Quant à la seconde... Il s’agissait tout bonnement de la difficulté qu'il avait à se concentrer sur ce qui se passait au niveau de son visage avec ce qu'il ressentait en son bas ventre sous le traitement de la neko !
Son regard était d’ailleurs légèrement relevé, contrit et soumis essayant de happer les yeux de sa maîtresse avec une expression sincère de culpabilité, que de ne pas réussir à retenir toute cette semence. Ainsi cette dernière lui échappait, par quelques filets au niveaux des lèvres, qui vinrent souiller le bas ventre d'alexandra et la table, mais aussi, le membre dans sa bouche agissant comme un bouchon, par son nez. La sensation était quelque peu déplaisante même pour lui ,et surtout frustrante car il ne pouvait rien y faire... Heureusement que les caresses de Liana lui permettait d’oublier un peu cela, bien qu'il faisait là preuve d'une endurance plus conséquente que la dernière fois, en partie parce qu'il n'avait plus beaucoup de jouissance à rejeter en lui...
Mais une fois qu'elle eut finit de jouir, il recula la tête, la retirant de ses lèvres, mais tenant encore son membre, poisseux et couvert de semence d'une main avec un léger sourire. Son regard se releva sur le visage de sa maîtresse, et avec un sourire pervers, il finit d'avaler, en une gorgée la semence qui l'emplissait, annonçant faiblement, entre deux soupirs de plaisir que lui arrachait encore Liana.
"J'ai fini le dessert... Mais il est temps de faire la vaisselle."
Et avec un petit rire, répétant ces phrases usées et usées avec ses anciens clients il vint lécher doucement le membre de la femme, afin de le nettoyer, avec une grande langueur, une leur perverse au fond des yeux, ne semblant guère se soucier par contre de la semence sur son propre visage. Cependant alors qu'il s’exécutait, et venait alors plus précisément suçoter doucement le sommet de ce pieu il ajouta d'une voix taquine.
"Mais peut être que toi aussi tu voudrais être nourrie."
Mais à peine disait il cela qu'il fut parcouru d'un spasme de plaisir, et se laissa légèrement retomber posant sa tête contre la cuisse d'Alexandra, une main toujours sur son membre, l'autre avait filé sur la tête de Liana, pressant faiblement sur son crane, alors qu'il jouissait à son tour,, faiblement en terme de quantité de sperme, mais intensément en plaisir, le regard un peu perdu, la langue tirée, quelque peu envahi par le plaisir. Ce qui se se passait dans ce harem... C'était à un tout autre niveau que ce qu'il avait vécu au bordel, et lui qui étai confiant de son expérience semblait avoir encore bien des choses à apprendre.
Quelque part cela le rendait mal à l'aise, car il avait l'impression d'être un fardeau, même s’il ferait tout pour changer la chose... Il souffla alors faiblement.
"Je crois...Qu'il va falloir que j'apprenne à avoir plus d'appétit."
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Shiroi commençait à comprendre toute la différence entre l’établissement d’où il était issu, et celui-ci. Le harem de Mélinda se voulait être un harem de luxe, un harem de qualité, ce qui faisait que le personnel se devait d’être exceptionnel. Shiroi comprenait peu à peu ce que cela signifiait : on allait lui en demander bien plus que ce à quoi il s’était habitué. Il avait les bases, il était plutôt mignon, et il fallait juste les perfectionner. Il eut du mal à avaler tout ce sperme, qui s’écoula notamment depuis son nez. Alexandra aurait pu lui faciliter la tâche en retirant son membre de sa bouche, mais elle aimait bien le conserver ainsi, après avoir joui dans la bouche de ses amants. Elle était une dominatrice ayant des fantasmes assez osés, puisqu’elle n’hésitait pas , sur certaines personnes, à terminer en urinant, parfumant ainsi son sperme de l’urine, un mélange qui était très déroutant la première fois qu’on avait la « chance » d’y goûter. Elle était bien l’une des esclaves de Mélinda Warren, ne se refusant aucun plaisir.
Après avoir goûté au sperme d’Alexandra, Shiroi entreprit de nettoyer sa verge, mais dut rapidement s’arrêter, car son zeppelin était également prêt à larguer sa cargaison. La montgolfière explosa dans la bouche d’une Liana ravie, heureuse de goûter à nouveau à sa sucrerie. Elle avala ce sperme sans la moindre difficulté, et retira ensuite sa bouche de ce sexe apaisé, le phallus de Shiroi ayant besoin de repos.
« Je crois...Qu'il va falloir que j'apprenne à avoir plus d'appétit » lâcha alors Shiroi.
Cet aveu arracha un sourire sur les lèvres d’Alexandra, qui hocha lentement la tête, avant de s’écarter.
« Tout te viendra progressivement, Shiroi. Pour l’heure, tu as surtout besoin de te reposer. »
Il s’en sortait plutôt bien, pour un débutant... Et il était mignon.
« La seule femme à qui tu as besoin de faire plaisir ici est notre Maîtresse, Shiroi. Tant qu’elle est contente de toi, alors tu n’as rien à te reprocher. »
Mélinda prendrait soin de lui, car elle n’avait pas énormément d’esclaves masculins. Or, bien des clients désiraient aussi des hommes. Shiroi apprendrait, tout simplement. Il avait les bases, il était doué.
Il suffirait de le travailler au corps.