Une belle aveugle comme Amy, dévouée et studieuse, méritait amplement sa récompense. C’était tout ce que Pamela comptait faire : la récompenser. L’honorer pour sa patience, son dévouement, et lui offrir une journée inoubliable. Elles avaient plutôt bien commencé dans la salle de cours. Amy l’ignorait, mais, pendant qu’elle dormait, Pamela lui avait injecté une solution très particulière, un aphrodisiaque qui aurait pour effet, non seulement de la rendre plus assoiffée, sexuellement parlant, mais aussi, et surtout, plus endurante. C’était ce fameux dérivé du sérum Titan qu’elle venait aussi de s’infliger, et qui leur garantirait un très long moment de plaisir, intense et brutal, pour leur plus grand bonheur.
Amy réalisa alors, en posant ses mains sur le corps de Pamela, qu’elle avait bien une verge, ce qui ne manqua évidemment pas de la surprendre... Mais, après tout ce qu’elle avait vécu, son esprit dut se dire que ce n’était, somme toute, pas si surprenant que ça, et elle avoua vouloir continuer, s’abandonner à elle. Devant cet aveu, Ivy sourit à nouveau, et sa main caressa le visage d’Amy, glissant sur ses cheveux, puis sur ses joues.
« Bien... Je n’en attendais pas moins de toi, ma chérie... »
Elles étaient dans le refuge végétal de Pamela, et elle continua à caresser la tête d’Amy, dont le visage était, en réalité, fort proche de son sexe. Sa queue se redressa même, et la pointe heurta le nez de la femme. Pamela s’avança, et appuya davantage son chibre sur sa tête, sa queue se dressant au contact de sa peau, jusqu’à former une belle barre découpant en deux le visage de son amante. Pamela savourait lentement ce contact, en se faisant doucement plaisir, puis sourit encore, sentant le souffle de la jeune femme sur la base de sa verge, longeant ses testicules.
Tout était fait pour qu’elle s’occupe d’elle, et qu’elle la baise très longuement.
« Je t’ai injecté une solution qui t’aidera à tenir la cadence, Amy... Car je compte bien te baiser pendant des heures et des heures, et me régaler de tes hurlements et de tes orgasmes multiples. »
Autant dire que tout ce qu’Amy avait subi jusqu’à présent n’avait été qu’un prélude pour des plaisirs beaucoup plus forts. Pamela se pinça les lèvres, ses deux mains posées sur la tête d’Amy, caressant doucement cette dernière.
« Mais commençons par les choses sérieuses, amour... Viens jouer avec ma queue, viens voir à quoi ça ressemble avec tes lèvres et tes mains... »
Puisqu’Amy était aveugle, autant qu’elle prenne conscience de l’importance de son sexe à travers la meilleure sensation qui soit : le toucher.
Pamela se dévouait toujours pour ses élèves talentueuses. Pourtant, pratiquer la science quand on était aveugles, ce n’était pas facile. Il y avait, après tout, des expériences à faire, des constatations visuelles à donner. La belle Amy méritait donc tout ce à quoi elle avait droit, et Pamela avait encore envie de s’amuser longuement avec elle. Tout ça, ce n’était qu’un délicieux cadeau pour elle. Amy venait de se réveiller dans son bureau, et s’attaqua à sa verge. Les deux mains de Pamela se posèrent sur sa tête, ses doigts s’enfonçant dans sa chevelure, et elle remua doucement d’avant en arrière, laissant Amy s’habituer à son membre, à cette grosse queue qui s’enfonçait en elle, entre ses lèvres. Amy s’y faisait, et, pendant ce temps, les tentacules se déplaçaient encore.
« Là, Amy, oui, hmmm... Enfonce cette queue plus profondément entre tes lèvres, ma chérie... Respire par le nez, surtout... Ma petite beauté... »
Ivy caressait ses cheveux, tirant sur ses mèches, et des tentacules phalliques s’approchèrent des joues d’Amy, caressant sa peau, appuyant dessus. Pamela se dandinait doucement d’avant en arrière, esquissant de nouveaux soupirs. Elle entrouvrit les yeux, se pinça les lèvres.
« Tes mains, Amy... Déplace-les, caresse mes tentacules. Vas-y, ma beauté... »
Pamela lui parlait doucement, lentement, telle une professeur s’adressant à son élève. Tout était fait pour qu’elle soit à son aise, pour la faire doucement sombrer dans la perversion et dans le stupre. Amy n’avait plus qu’à se laisser aller, tout simplement, et à goûter à la joie de faire l’amour avec une femme talentueuse au milieu de tentacules et de plantes... D’autres tentacules caressaient d’ailleurs le reste du corps de la femme, glissant tendrement dessus.